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Ce jeudi 13 novembre, Mehdi Kessaci, 20 ans, a été tué par balle devant une pharmacie des quartiers Nord de Marseille. D'après le ministre de l'Intérieur il s'agit d'un crime d'intimidation, pour chercher à faire taire son frère Amine Kessaci. Amine Kessaci est un militant écologiste marseillais, âgé de 22 ans, devenu lanceur d'alerte sur les ravages du narcotrafic dans le pays; après un règlement de compte, en 2020, dans lequel son grand frère a été tué. Plusieurs marches blanches sont organisées ce samedi 22 novembre en hommage à Medhi Kessaci. Quel est le poids du trafic de drogue aujourd'hui en France ? Quelle est la réponse des autorités ? Et où en est l'enquête sur cet assassinat qui a ému le pays ? On fait le point dans Code source avec Jean-Michel Décugis, journaliste au service police justice du Parisien, et Damien Delseny, qui dirige ce service. Écoutez Code source sur toutes les plates-formes audio : Apple Podcast (iPhone, iPad), Amazon Music, Podcast Addict ou Castbox, Deezer, Spotify.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Reporter : Barbara Gouy - Production : Anaïs Godard et Thibault Lambert - Réalisation et mixage : Pierre Chaffanjon - Musiques : François Clos, Audio Network - Archives : INA, France Inter, France Télévisions et La Provence. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Pour « La Story », le podcast d'actualité des « Echos », Margaux Boulte et ses invités décryptent les chantiers – et les déboires – des lignes à grande vitesse, qui essaiment partout dans le monde, de San Francisco à Sydney en passant par Moscou.« La Story » est un podcast des « Echos » présenté par Margaux Boulte, en remplacement de Pierrick Fay. Cet épisode a été enregistré en octobre 2025. Rédaction en chef : Clémence Lemaistre. Invités : Raphaël Balenieri, correspondant des « Echos » en Chine, et Denis Fainsilber, journaliste en charge des Transports aux « Echos ». Réalisation : Willy Ganne. Chargée de production et d'édition : Michèle Warnet. Musique : Théo Boulenger. Identité graphique : Upian. Photo : Cfoto/SIPA Usa/SIPA. Sons : Les Echos, CGTN Français, CPAC, France Télévisions.Annonce politique : Le sponsor est Instagram, qui fait partie de Meta Platforms Ireland Ltd. Cette annonce est en lien avec les réflexions des États membres de l'UE en faveur d'une majorité numérique commune pour accéder aux services en ligne.Consulter toutes les informations relatives à la transparence sur https://eur-lex.europa.eu/eli/reg/2024/900/oj/eng Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dans cette édition :Les ministres de l'Intérieur et de la Justice se rendent à Marseille pour rencontrer la famille d'un homme assassiné, soupçonné d'être lié au narcotrafic, et envisagent de cibler les consommateurs de drogue pour lutter contre ce fléau.Les maires de France s'inquiètent après le discours du chef d'état-major des armées les appelant à préparer les Français à une éventuelle guerre contre la Russie d'ici 5 ans, une perspective qui les préoccupe.Un médecin a été violemment agressé et insulté par des patients dans son cabinet médical à Tourcoing, pour avoir simplement demandé à un enfant de se tenir tranquille en salle d'attente, un acte de violence gratuite qui choque la profession.Radio France et France Télévisions assignent en justice Europe 1, CNews et le JDD pour dénigrement, une démarche que la ministre de la Justice Rachida Dati désapprouve.Un enfant de 5 ans est entre la vie et la mort après avoir été blessé par balle lors d'une fusillade en Martinique, probablement liée au narcotrafic.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :Les ministres de l'Intérieur et de la Justice se rendent à Marseille pour rencontrer la famille d'un homme assassiné, soupçonné d'être lié au narcotrafic, et envisagent de cibler les consommateurs de drogue pour lutter contre ce fléau.Les maires de France s'inquiètent après le discours du chef d'état-major des armées les appelant à préparer les Français à une éventuelle guerre contre la Russie d'ici 5 ans, une perspective qui les préoccupe.Un médecin a été violemment agressé et insulté par des patients dans son cabinet médical à Tourcoing, pour avoir simplement demandé à un enfant de se tenir tranquille en salle d'attente, un acte de violence gratuite qui choque la profession.Radio France et France Télévisions assignent en justice Europe 1, CNews et le JDD pour dénigrement, une démarche que la ministre de la Justice Rachida Dati désapprouve.Un enfant de 5 ans est entre la vie et la mort après avoir été blessé par balle lors d'une fusillade en Martinique, probablement liée au narcotrafic.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C dans l'air du 19 novembre 2025 - Narcotrafic : "une lutte à mort est engagée"Nos experts : - Frédéric PLOQUIN - Grand reporter spécialiste du grand banditisme, auteur de Les narcos français brisent l'omerta- DAMIEN DELSENY - Rédacteur en chef adjoint en charge du service police-justice - « Le Parisien »- AUDREY GOUTARD - Grand reporter - France Télévisions - Spécialiste des faits de société- Anouck FOURMIGUÉ - Secrétaire générale adjointe – Syndicat des Commissaires de la Police nationale (SCPN)
C dans l'air du 19 novembre 2025 - Narcotrafic : "une lutte à mort est engagée"Après avoir présidé une réunion d'urgence mardi à l'Elysée, le chef de l'État a demandé d'" amplifier" la lutte contre le narcotrafic en adoptant la même approche que pour le "terrorisme". " Ce qui a été fait, et même réussi, dans la lutte contre le terrorisme, nous devons le faire sur le narcotrafic", a-t-il insisté.Ces déclarations interviennent après l'assassinat, jeudi, du frère du militant écologiste Amine Kessaci, engagé dans la lutte contre le narcobanditisme, un "crime d'intimidation" et "un assassinat d'avertissement" pour les autorités. "C'est un combat qui ne fait que commencer", a prévenu, devant l'Assemblée nationale, Sébastien Lecornu, appelant à "l'unité nationale".Les ministres de l'Intérieur, Laurent Nuñez, et de la Justice, Gérald Darmanin, se rendront ce jeudi à Marseille à la demande du président de la République, qui y est lui-même attendu mi-décembre, alors que la ville est en état de choc. Le monde associatif et militant engagé sur ces questions est sidéré. Certains y voient une "nouvelle étape dans l'horreur" et redoutent l'omerta. Un silence que refuse le frère de la victime qui s'est exprimé pour la première fois publiquement ce mercredi dans une tribune publiée par Le Monde. Connu pour son combat contre les ravages du trafic de drogue dans les quartiers populaires de Marseille, il a exhorté l'État à "comprendre qu'une lutte à mort est engagée".La réunion d'urgence convoquée mardi par le chef de l'État avait pour objectif d'accompagner la " montée en puissance" de la loi sur le narcotrafic promulguée en juin dernier. Ce texte prévoit notamment la création, le 1er janvier 2026, d'un Parquet national anticriminalité organisée, ainsi qu'une répression accrue et l'isolement des narcotrafiquants les plus dangereux dans des quartiers de haute sécurité pénitentiaire, s'inspirant de la méthode anti-mafia italienne.De son côté, Jean-Noël Barrot doit présenter jeudi à Bruxelles une proposition visant à mettre en place un "régime transversal" de sanctions européennes contre les acteurs de la criminalité organisée. "Nos objectifs sont bien de viser de grands acteurs du narcotrafic ou de la criminalité organisée au niveau international", a expliqué le ministre des Affaires étrangères, qui s'est récemment rendu en Amérique latine pour mobiliser le réseau diplomatique dans la lutte contre le trafic de drogue.Comment lutter contre le narcotrafic ? Quel dispositif qui a permis à l'Italie d'endiguer en trente ans des réseaux criminels et mafieux jusque-là capables de défier l'État ? Enfin depuis son retour à la Maison Blanche, Donald Trump a fait de la lutte contre les cartels d'Amérique du Sud une de ses priorités. Opérations en mer des Caraïbes, bombardements aériens, menaces contre les dirigeants du Venezuela et du Mexique… la guerre contre la drogue est montée d'un cran, mais pour quels résultats ? Nos experts : - Frédéric PLOQUIN - Grand reporter spécialiste du grand banditisme, auteur de Les narcos français brisent l'omerta- DAMIEN DELSENY - Rédacteur en chef adjoint en charge du service police-justice - « Le Parisien »- AUDREY GOUTARD - Grand reporter - France Télévisions - Spécialiste des faits de société- Anouck FOURMIGUÉ - Secrétaire générale adjointe – Syndicat des Commissaires de la Police nationale (SCPN)
Dans cet épisode de Head of Design, Paul Menant reçoit Bastien Hugues, Head of Design chez Bouygues Telecom. Ancien journaliste à France Télévisions, Bastien partage son parcours singulier — du monde des médias à la direction du design d'un grand groupe — et explique comment il a su faire dialoguer contenu, recherche utilisateur et stratégie digitale.Il revient sur la construction d'une équipe pluridisciplinaire (UX, UI, content, design system), sa vision du management et la façon dont il a introduit une culture design et IA au sein d'un environnement complexe. Ensemble, ils explorent les impacts de l'intelligence artificielle générative sur le métier de designer, la montée du prompt design, et les frontières entre intuition, créativité et intelligence.
C dans l'air du 18 novembre 2025 - Affaire Epstein : le scandale qui rattrape Donald TrumpUn revirement spectaculaire. Après plusieurs mois d'un combat acharné contre la divulgation du dossier lié au pédocriminel Jeffrey Epstein, décédé en prison en 2019, le président américain a fait volte-face dimanche. Il a exhorté ses pairs républicains du Congrès à voter en faveur de la publication des documents judiciaires liés à l'enquête.La raison de ce virage à 180 degrés ? Les courriels de l'homme d'affaires déchu rendus publics la semaine dernière par des élus démocrates à la Chambre des représentants. Ces derniers suggérant des liens étroits entre Donald Trump et Jeffrey Epstein. Donald Trump "savait à propos des filles" agressées sexuellement et a "passé plusieurs heures" avec l'une d'elles, affirment des mails signés par Jeffrey Epstein.Le scandale Epstein a semé la division dans son camp. Une figure emblématique de son mouvement MAGA (Make America Great Again), Marjorie Taylor Greene, avait reproché au président de manquer de transparence dans ce scandale politico-judiciaire.Donald Trump a contre-attaqué en réclamant une enquête fédérale sur la relation entre Jeffrey Epstein et certaines personnalité démocrates. Parmi les 20.000 documents rendus publics, plusieurs personnalités sont mentionnées, dont le prince Andrew, déchu de ses titres royaux en octobre dernier. Un certain nombre de mails accablants impliquerait le frère du roi Charles III dans cette affaire retentissante. Empêtré dans cette affaire Epstein, Donald Trump doit faire face au mécontentement de ses citoyens, alors que l'inflation s'accélère dans le pays (à +3% en septembre contre +2,3% en avril, selon l'indice CPI). Sous pression, le président américain a annulé des droits de douane qu'il avait lui-même imposés sur certains produits du quotidien. Son propre camp le poussait à réagir après un cinglant revers aux derniers scrutins locaux et à un an des élections de mi-mandat. Nous sommes allés à la rencontre de ses électeurs déçus de sa politique, en Floride.Nos experts : - Laurence HAïM - Journaliste spécialiste des États-Unis- Nicole BACHARAN - Historienne et politologue, spécialiste des Etats-Unis, éditorialiste à Ouest-France- Virginie VILAR - Grand Reporter pour Complément d'Enquête sur France Télévision- Anthony BELLANGER - Éditorialiste à France Info TV, spécialiste des questions internationales
C dans l'air du 18 novembre 2025 - Affaire Epstein : le scandale qui rattrape Donald TrumpNos experts : - Laurence HAïM - Journaliste spécialiste des États-Unis- Nicole BACHARAN - Historienne et politologue, spécialiste des Etats-Unis, éditorialiste à Ouest-France- Virginie VILAR - Grand Reporter pour Complément d'Enquête sur France Télévision- Anthony BELLANGER - Éditorialiste à France Info TV, spécialiste des questions internationales
Recherché depuis 13 ans, un fugitif américain a été retrouvé en Alsace. Michael Wiseman, poursuivi pour pédocriminalité, vivait depuis un an à Kilstett, près de Strasbourg, sous un faux nom. Il était l'un des criminels les plus recherchés de l'Arizona, en Alsace, il se faisait appeler Robert Danilewski. Selon l'AFP, l'homme de 51 ans était recherché depuis 2012 après s'être enfui pendant une période de libération conditionnelle. Selon le communiqué de la police de Scottsdale, il aurait commis de nouveaux actes d'abus sexuels sur mineur de moins de 15 ans, potentiellement en France sur un des enfants qu'il aurait adopté. Il est actuellement détenu en France pour ses crimes commis sur le sol français avant d'être extradé aux Etats-Unis. Libérés après plus de trois ans de détention en Iran, Cécile Kohler et Jacques Paris débutent leur reconstruction mais toujours loin de leurs proches. Ils sont pour le moment toujours confinés dans l'enceinte de l'ambassade de France à Téhéran. Selon leurs proches et les informations de nos confrères des DNA, Cécile profite du parc de la résidence, lit de nouveau et a déjà retranscrit les 74 poèmes qu'elle avait composés en détention. Le couple vit dans un studio, au sein de l'ambassade, entouré d'une équipe du Quai d'Orsay pour leur accompagnement. La France de son côté continue de travailler à leur retour dans les meilleurs délais. A l'occasion de la 14ème semaine de l'industrie, l'association “Elles bougent” ouvre les portes des entreprises à plus de 5500 jeunes filles partout en France. L'objectif : leur faire découvrir les métiers de ce secteur, grâce à des ateliers, des visites et des rencontres avec des ingénieurs et des techniciennes. En Alsace, cinq événements sont organisés à partir d'aujourd'hui et jusqu'à vendredi pour immerger les collégiennes, lycéennes et étudiantes. Le programme complet est à retrouver sur le site internet ellesbougent.com. Grave accident de la route dans le Haut-Rhin. Hier, vers 2 heures du matin, un véhicule circulant entre Rustenhart et Dessenheim a fait une sortie de route avant de percuter un arbre. Quatre adolescents, trois mineurs et un majeur, étaient à bord. Une jeune femme qui était passagère à l'arrière est décédée sur le coup. Les trois autres, dont le conducteur âgé de 17 ans, ont été évacués à l'hôpital. Deux d'entre eux, le passager avant et le deuxième passager arrière, étaient dans un état grave et ont dû être désincarcérés. Une enquête a été ouverte pour déterminer les causes de l'accident. Un policier rattrape en courant un livreur de stupéfiants. A Colmar ce samedi aux alentours de 16h, un adolescent circulait à trottinette électrique et a pris la fuite pour échapper à un contrôle de police. Les agents ont d'abord tenté de le rattraper en voiture et l'un deux est ensuite descendu du véhicule pour lui courir après. En possession d'une quarantaine de grammes d'héroïne, de trois ou quatre grammes de cocaïne et d'une centaine d'euros, l'adolesent de 17 ans a reconnu qu'il transportait ces produits pour les livrer. Il était hier soir toujours en garde à vue.A Strasbourg, un conducteur de bus a été agressé. Cela s'est déroulé vendredi soir à l'arrêt carpe Haute sur la ligne C1 dans le quartier de la Robertsau. Le passager a roué de coup le chauffeur alors que ce dernier lui demandait de descendre. Il a été transporté à l'hôpital et une enquête a été ouverte. L'agresseur est pour le moment toujours recherché. Et on termine ce journal par un mot de sport. En handball, le SAHB a accueilli vendredi soir Chambéry au Centre Sportif Intercommunal de Sélestat. Les deux équipes se sont quittées dos à dos, 33 à 33.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C dans l'air du 15 novembre 2025 - Survols de drones en France : l'ombre du KremlinPokrovsk menace de tomber. La ville du sud-est, qui fait l'objet de combats depuis plus d'un an, est désormais encerclée par les Russes. Si elle tombe, ce sera la plus grosse prise du Kremlin depuis Bakhmout en 2023. Les mauvaises nouvelles s'amoncellent pour le gouvernement ukrainien, déjà secoué par un scandale de corruption. C'est dans ce contexte que Volodymyr Zelensky rencontrera lundi Emmanuel Macron à Paris. Une visite qui vise, selon l'Élysée, à "réaffirmer l'engagement de la France aux côtés de l'Ukraine". Ce sera aussi l'occasion pour Emmanuel Macron d'évoquer les tentatives d'intimidation menées par la Russie. Ces dernières semaines plusieurs sites militaires et industriels français ont été survolés par des drones. Si les commanditaires n'ont pas encore été identifiés, l'ombre de la Russie plane sur ces opérations.Sur le front ukrainien, les combats font rage et les médecins ont de plus en plus de mal à absorber le flot de blessés. Dans le Donbass, les Ukrainiens ont mis en place des hôpitaux de campagne pour soigner les victimes avant qu'elles repartent au front. Les drones kamikazes FPV, également utilisés par les Ukrainiens, vont des ravages dans les positions ukrainiennes. Une équipe de C dans l'air a pu se rendre à proximité de la zone de front.Dans l'est de l'Europe, on observe avec crainte l'évolution du conflit et l'importance prise par les drones dans les combats. En Lituanie, le ministère de la Défense forme depuis plusieurs mois des élèves au pilotage de ces engins volants. Officiellement, on parle d'usage médical ou policier, mais la menace russe est dans toutes les têtes. D'autant que la Lituanie a aussi fait l'objet de survols de drones en juillet et en octobre. Face à cette menace aérienne, le ministre de la Défense lui-même a reconnu "des lacunes et des failles à combler".À quelle vitesse les Russes progressent-ils en Ukraine ? Comment les Ukrainiens gèrent-ils l'afflux de blessés en provenance du front ? Et pourquoi les États baltes s'inquiètent des manœuvres d'intimidations de la Russie ?Nos experts : - Anthony BELLANGER - Journaliste, éditorialiste et spécialiste des questions internationales sur FranceinfoTV- Marie JÉGO - Journaliste spécialiste de la Russie et ancienne correspondante à Moscou - Le Monde- Maryse BURGOT - Grand reporter - France Télévisions- Colonel Michel GOYA - Ancien officier des troupes de marines et historien- Sylvain TRONCHET - Correspondant à Moscou - Radio-France
C dans l'air du 15 novembre 2025 - Survols de drones en France : l'ombre du KremlinNos experts : - Anthony BELLANGER - Journaliste, éditorialiste et spécialiste des questions internationales sur FranceinfoTV- Marie JÉGO - Journaliste spécialiste de la Russie et ancienne correspondante à Moscou - Le Monde- Maryse BURGOT - Grand reporter - France Télévisions- Colonel Michel GOYA - Ancien officier des troupes de marines et historien- Sylvain TRONCHET - Correspondant à Moscou - Radio-France
C dans l'air du 14 novembre 2025 - Budget: dépenses partout, économies nulle partLe budget va-t-il être voté à l'Assemblée nationale ? Déjà très serré, le calendrier des discussions budgétaires a été rendu encore plus complexe par la décision du gouvernement de ne pas faire siéger les députés au cours du week-end. La gauche a immédiatement dénoncé cette décision, certains députés accusant l'exécutif de chercher à empêcher la tenue d'un vote.Sur la partie du budget de l'État consacrée aux recettes, un vote était initialement prévu lundi prochain. Mais « au rythme auquel nous avançons, il est évident que lundi nous ne terminerons pas les 1 900 amendements » restants sur ce premier volet, a déclaré jeudi le ministre des Relations avec le Parlement, Laurent Panifous. D'autre part, « nous devons également tenir compte de la fatigue qui existe chez les députés, chez les collaborateurs, chez les administrateurs » de l'Assemblée, a-t-il ajouté dans l'hémicycle, précisant avoir été « saisi » par plusieurs groupes sur la question. Les débats ne se poursuivront donc pas « samedi et dimanche », a-t-il annoncé, mais reprendront lundi dès 9 h, au lieu du milieu de journée.Cette décision est jugée « inacceptable » par la cheffe des députés écologistes, Cyrielle Chatelain, qui a accusé l'exécutif « d'organiser […] le fait que cette assemblée ne puisse pas se prononcer sur le budget ». « Ne prenez pas prétexte de la fatigue des uns et des autres pour nous empêcher de pouvoir voter sur le budget de l'État », a abondé le coordinateur de La France insoumise, Manuel Bompard.L'ensemble du texte doit être transmis au Sénat le 23 novembre à minuit, selon les délais constitutionnels. S'il semble clair que les députés n'auront pas le temps d'aller au bout, un vote sur la seule partie “recettes” n'est pas non plus assuré.Faute de temps, les députés n'ont déjà pas voté le projet de loi de financement de la Sécurité sociale. Les débats ont été interrompus à l'Assemblée nationale dans la nuit du mercredi 12 au jeudi 13 novembre, et c'est le texte modifié par les amendements des députés qui va être examiné par le Sénat à partir de la semaine prochaine. Et pour le ministre du Travail, le compte n'y est pas. D'un « déficit de 17,5 milliards d'euros » prévu initialement par le gouvernement, les députés sont passés à un déficit « d'environ 24,3 milliards d'euros », a expliqué Jean-Pierre Farandou dans les colonnes du Parisien. À ce stade, « il nous manque beaucoup d'économies que l'on a du mal à faire voter », a-t-il reconnu.Selon les calculs du rapporteur général de la commission des Affaires sociales, Thibault Bazin (LR), les changements apportés par l'Assemblée nationale au projet de budget de la Sécurité sociale pour 2026 creuseraient son déficit de 6,8 milliards d'euros.Parmi ces amendements figure le rejet d'une taxe exceptionnelle sur les contrats des complémentaires santé, le maintien des exonérations de cotisations pour les apprentis, la suspension de la réforme des retraites de 2023, la suppression du gel des pensions…Autant de points qui ont suscité une levée de boucliers ces dernières semaines, notamment chez les retraités qui ont, fait rare, manifesté la semaine dernière dans les rues de France. Nous sommes allés à la rencontre de plusieurs retraités qui ont manifesté le 6 novembre dernier à Granville, dans la Manche.La colère gagne également les agriculteurs qui se disent à nouveau prêts à se mobiliser après les propos d'Emmanuel Macron sur le Mercosur. Ces derniers sont vent debout contre le traité de libre-échange en discussion entre l'Europe et les pays d'Amérique latine, qu'ils jugent néfaste pour eux. Reportage ce soir chez un exploitant agricole à Lens-Lestang.Nos experts : - CÉCILE CORNUDET - Éditorialiste politique - Les Echos - NATHALIE SAINT-CRICQ - Éditorialiste politique - France Télévisions- EMMANUEL DUTEIL - Directeur de la rédaction - L'Usine Nouvelle - THOMAS PORCHER - Économiste, professeur à la Paris School of Business
C dans l'air du 14 novembre 2025 - Budget: dépenses partout, économies nulle partNos experts : - CÉCILE CORNUDET - Éditorialiste politique - Les Echos - NATHALIE SAINT-CRICQ - Éditorialiste politique - France Télévisions- EMMANUEL DUTEIL - Directeur de la rédaction - L'Usine Nouvelle - THOMAS PORCHER - Économiste, professeur à la Paris School of Business
Du lundi au vendredi, Julien Pichené fait le point sur l'actualité des médias. Aujourd'hui, du nouveau dans l'affaire qui oppose la BBC et Donald Trump, la présidente de France Télévisions envisage de faire d'importantes économies, TikTok est assigné en justice pour non-respect de droit d'auteur et TF1 diffusera ce week-end un grand documentaire consacré à la campagne des Restos du Cœur. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Du lundi au vendredi, Julien Pichené fait le point sur l'actualité des médias. Aujourd'hui, du nouveau dans l'affaire qui oppose la BBC et Donald Trump, la présidente de France Télévisions envisage de faire d'importantes économies, TikTok est assigné en justice pour non-respect de droit d'auteur et TF1 diffusera ce week-end un grand documentaire consacré à la campagne des Restos du Cœur. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Du lundi au vendredi, Julien Pichené fait le point sur l'actualité des médias. Aujourd'hui, du nouveau dans l'affaire qui oppose la BBC et Donald Trump, la présidente de France Télévisions envisage de faire d'importantes économies, TikTok est assigné en justice pour non-respect de droit d'auteur et TF1 diffusera ce week-end un grand documentaire consacré à la campagne des Restos du Cœur. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Delphine Ernotte, la patronne de France Télévisions est interviewée ce matin dans Les Echos et elle dit qu'il va falloir faire de sacrées économies… Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
7:59 Police-justice
Okoo s'impose comme la plateforme de streaming incontournable pour les jeunes francophones, orchestrée avec soin par France Télévisions. Elle a été conçue comme un havre numérique qui privilégie la qualité, la sécurité et l'éveil éducatif, se démarquant du chaos algorithmique des plateformes commerciales. Okoo propose une bibliothèque méticuleusement organisée, englobant l'animation française classique, des séries éducatives et des contenus jeunesse internationaux de premier choix, le tout disponible gratuitement et strictement sans publicité.La plateforme se distingue par son engagement solide envers la sécurité des enfants. Elle intègre des interfaces intuitives, adaptées à l'âge, et des contrôles parentaux complets, garantissant un environnement de visionnage serein. En offrant une sélection variée et évolutive issue du patrimoine audiovisuel public, Okoo assure aux familles françaises un divertissement fiable qui soutient à la fois le développement linguistique et la sensibilisation culturelle, consolidant son rôle de pilier essentiel des médias jeunesse en France.Website: https://okoo.online/
C dans l'air du 11 novembre 2025 : Menace terroriste : l'ex de Salah Abdeslam incarcérée...Nos experts : - Gilles KEPEL - Professeur émérite des universités et spécialiste du Moyen-Orient - Auteur de "Antiterrorisme, la traque des jihadistes"- Mathieu DELAHOUSSE - Grand reporter - « Le Nouvel Obs »- Soren SEELOW - Journaliste spécialiste des questions de terrorisme - « Le Monde »- Audrey GOUTARD - Grand reporter - France Télévisions - Spécialiste des faits de société
C dans l'air du 11 novembre 2025 : Menace terroriste : l'ex de Salah Abdeslam incarcérée...À deux jours des commémorations des dix ans des attentats du 13 novembre 2015, l'ex-compagne du terroriste islamiste Salah Abdeslam, Maëva B., est de retour dans la chronique judiciaire. Elle a été doublement mise en examen et incarcérée.Le parquet national antiterroriste a en effet ouvert deux instructions distinctes. La première porte sur une clé USB contenant de la propagande djihadiste. Cette clé aurait été illégalement remise via un parloir à Salah Abdeslam, unique survivant du commando du 13 novembre 2015 et incarcéré à la prison de haute sécurité de Vendin-le-Vieil.La seconde enquête porte sur un projet d'attentat. Dans ce dossier, trois protagonistes dont Maëva B. ont été mis en examen et incarcérés lundi en début de soirée pour association de malfaiteurs terroriste criminelle.Cette actualité judiciaire rappelle que la menace terroriste plane encore sur la France. L'état de cette menace a d'ailleurs évolué de manière inquiétante ces trois dernières années. On observe en effet un spectaculaire rajeunissement des auteurs de projets d'attentat. Le processus de radicalisation est toujours plus rapide et touche des individus toujours plus jeunes, parfois même mineurs. L'année dernière, 20 % des mis en examen pour terrorisme avaient ainsi moins de 18 ans. Ce rajeunissement, constaté depuis 2023, est observé dans les mêmes proportions dans plusieurs pays européens. Cette année, pas moins de 17 mineurs sont déjà mis en examen pour des faits de terrorisme, contre seulement deux ou trois par an il y a encore cinq ans.Cette génération nouvelle, endogène, n'a jamais quitté le territoire français et n'est pas directement en contact avec des organisations terroristes internationales. Elle se nourrit d'une propagande numérique qui transforme parfois un sentiment de mal-être en pulsion de violence. Dans ce phénomène, le rôle des réseaux sociaux, notamment TikTok, Snapchat ou encore Telegram, est pointé du doigt. Ces plateformes agissent en effet comme des accélérateurs. Leurs algorithmes ont tendance à renforcer la visibilité des contenus problématiques ultraviolents et jihadistes.Les Etats-Unis invitent à la Maison-Blanche un ancien djihadiste. Ahmad al-Chareh, l'ancien dirigeant de la branche syrienne du groupe djihadiste Al-Qaïda a ainsi été reçu lundi par Donald Trump. Si cet ancien terroriste a aujourd'hui les bonnes grâces de Washington, c'est qu'il est devenu cette année le président syrien et que son pays s'apprête à rejoindre la coalition internationale contre le groupe État islamique. Un évènement sans précédent aux enjeux stratégiques pour le Moyen-Orient. C dans l'air retrace le parcours d'Ahmad al-Chareh, dont la tête fut un temps mise à prix par les Américains mais que le renversement du pouvoir en Syrie a rendu fréquentable.Que préparait l'ancienne compagne du djihadiste Salah Abdeslam ?Comment endiguer la recrudescence de la menace terroriste en France ?Pourquoi Donald Trump fait confiance au président syrien malgré son passé djihadiste ?Nos experts : - Gilles KEPEL - Professeur émérite des universités et spécialiste du Moyen-Orient - Auteur de "Antiterrorisme, la traque des jihadistes"- Mathieu DELAHOUSSE - Grand reporter - « Le Nouvel Obs »- Soren SEELOW - Journaliste spécialiste des questions de terrorisme - « Le Monde »- Audrey GOUTARD - Grand reporter - France Télévisions - Spécialiste des faits de société
En pleine COP30, des températures estivales dans toute la France mi-novembre. On en parle avec Sébastien Thomas, journaliste au service météo-climat à France TélévisionsTous les soirs du lundi au vendredi à partir de 18h57 sur France 5, Anne-Elisabeth Lemoine et toute son équipe accueillent celles et ceux qui font l'actualité du jour.
Crise à la BBC, la radio télévision publique britannique. L'institution, souvent présentée comme un des meilleurs médias d'Europe est empêtrée dans un scandale sur son traitement de l'information. Ce week-end, le directeur général et la directrice de l'information ont démissionné, sous la pression. Mardi dernier, un média conservateur, The Telegraph, a révélé une note interne destinée au conseil d'administration de la BBC. Un dossier monté par un conseiller indépendant du média public, dénonçant des dérives dans le traitement de l'information, des biais, des partis-pris flagrants. Des alertes précédentes ont été ignorées par les équipes en place. On y apprend que la BBC a bidouillé un discours de Donald Trump. Sans doute la goutte qui a fait déborder le vase. Dans une émission consacrée aux élections américaines, Panorama, la BBC a charcuté un discours de Donald Trump du 6 janvier 2021 – le jour de l'assaut au Capitole, lui faisant dire " Nous allons marcher jusqu'au Capitole, je serai avec vous // et nous nous battrons comme des diables” . en fait, le collage de deux morceaux différents de son discours situés à 54 minutes d'écart. But de la manipulation, on le devine, était de le rendre plus belliqueux – dans le but de le dénoncer. La BBc a dû s'excuser mais cela pourrait lui valoir un procès à un milliard de dollars intenté par Donald Trump. En voulant le dénoncer, elle a réussi à lui donner des arguments anti médias. Bravo. Et ce n'est pas la seule accusation présente dans la note interne. Non, c'est seulement la partie émergée d'un iceberg de problèmes editoriaux. la BBC est aussi accusée d'un traitement partial du conflit à Gaza. La filiale en arabe, BBC Arabic est décrite comme une antenne pro-Hamas, qui héberge des journalistes ouvertement antisémites. La note dresse aussi une longue liste d'informations fausses et de traitements déséquilibrée par la maison mère. Décompte des morts à Gaza, fosses communes faussement attribuées à Israël, menaces de famines, micro ouvert à des proches du Hamas, Un parti pris anti israélien flagrant qui confine à la désinformation. Même chose sur les questions raciales et les questions de genre. Dans les deux cas, la note dénonce des traitements biaisés, des voix orientées, des avis occultés, pour coller à un récit fantasmé plutôt qu'aux faits. Une accablante accumulation d'exemples qui laisse penser que les sujets britanniques ont été privés de débats sociétaux importants sur l'immigration, la transexualité, par journalistes qui jugeaient immoral ou inutile de les avoir. Traduction : la BBC ne fait pas son travail d'information, elle passe les problèmes à la trappe, elle milite. Elle a arrêté l'avis correct et progressiste à avoir et elle s'est donné pour mission de rééduquer son public, de le faire penser droit. Avec son argent. Cela ouvre un débat sur l'information qui traverse la Manche. La BBC sert de mètre étalon, en Europe, en Occident, de l'information de qualité. 500 millions de personnes touchées chaque semaine. Elle est citée par nos propres médias de service public comme le modèle de l'information haut de gamme. A la lumière du scandale, on se dit qu'ils y ont peut-être aussi trouvé, ces dernières années, un blanc-seing pour leurs propres partis-pris. Le 5 juillet 2023, la présidente de France Télévisions, Delphine Ernotte, avait déclaré devant une commission d'enquête parlementaire que la télé publique « essayait de représenter la France telle qu'on voudrait qu'elle soit». Exactement ce qui est reproché à la BBC. Avoir présenté l'information telle qu'elle voulait qu'elle soit, plutôt que telle qu'elle est. Au mépris de ceux qui la financent et à qui elle explique, pour beaucoup, que leur lecture du monde est incorrecte et ne mérite plus d'être envisagée. Une captation de l'espace public de l'information. La déflagration qui ébranle la BBC devrait faire réfléchir aussi de ce côté de la Manche sur cette conception de l'information. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Crise à la BBC, la radio télévision publique britannique. L'institution, souvent présentée comme un des meilleurs médias d'Europe est empêtrée dans un scandale sur son traitement de l'information. Ce week-end, le directeur général et la directrice de l'information ont démissionné, sous la pression. Mardi dernier, un média conservateur, The Telegraph, a révélé une note interne destinée au conseil d'administration de la BBC. Un dossier monté par un conseiller indépendant du média public, dénonçant des dérives dans le traitement de l'information, des biais, des partis-pris flagrants. Des alertes précédentes ont été ignorées par les équipes en place. On y apprend que la BBC a bidouillé un discours de Donald Trump. Sans doute la goutte qui a fait déborder le vase. Dans une émission consacrée aux élections américaines, Panorama, la BBC a charcuté un discours de Donald Trump du 6 janvier 2021 – le jour de l'assaut au Capitole, lui faisant dire " Nous allons marcher jusqu'au Capitole, je serai avec vous // et nous nous battrons comme des diables” . en fait, le collage de deux morceaux différents de son discours situés à 54 minutes d'écart. But de la manipulation, on le devine, était de le rendre plus belliqueux – dans le but de le dénoncer. La BBc a dû s'excuser mais cela pourrait lui valoir un procès à un milliard de dollars intenté par Donald Trump. En voulant le dénoncer, elle a réussi à lui donner des arguments anti médias. Bravo. Et ce n'est pas la seule accusation présente dans la note interne. Non, c'est seulement la partie émergée d'un iceberg de problèmes editoriaux. la BBC est aussi accusée d'un traitement partial du conflit à Gaza. La filiale en arabe, BBC Arabic est décrite comme une antenne pro-Hamas, qui héberge des journalistes ouvertement antisémites. La note dresse aussi une longue liste d'informations fausses et de traitements déséquilibrée par la maison mère. Décompte des morts à Gaza, fosses communes faussement attribuées à Israël, menaces de famines, micro ouvert à des proches du Hamas, Un parti pris anti israélien flagrant qui confine à la désinformation. Même chose sur les questions raciales et les questions de genre. Dans les deux cas, la note dénonce des traitements biaisés, des voix orientées, des avis occultés, pour coller à un récit fantasmé plutôt qu'aux faits. Une accablante accumulation d'exemples qui laisse penser que les sujets britanniques ont été privés de débats sociétaux importants sur l'immigration, la transexualité, par journalistes qui jugeaient immoral ou inutile de les avoir. Traduction : la BBC ne fait pas son travail d'information, elle passe les problèmes à la trappe, elle milite. Elle a arrêté l'avis correct et progressiste à avoir et elle s'est donné pour mission de rééduquer son public, de le faire penser droit. Avec son argent. Cela ouvre un débat sur l'information qui traverse la Manche. La BBC sert de mètre étalon, en Europe, en Occident, de l'information de qualité. 500 millions de personnes touchées chaque semaine. Elle est citée par nos propres médias de service public comme le modèle de l'information haut de gamme. A la lumière du scandale, on se dit qu'ils y ont peut-être aussi trouvé, ces dernières années, un blanc-seing pour leurs propres partis-pris. Le 5 juillet 2023, la présidente de France Télévisions, Delphine Ernotte, avait déclaré devant une commission d'enquête parlementaire que la télé publique « essayait de représenter la France telle qu'on voudrait qu'elle soit». Exactement ce qui est reproché à la BBC. Avoir présenté l'information telle qu'elle voulait qu'elle soit, plutôt que telle qu'elle est. Au mépris de ceux qui la financent et à qui elle explique, pour beaucoup, que leur lecture du monde est incorrecte et ne mérite plus d'être envisagée. Une captation de l'espace public de l'information. La déflagration qui ébranle la BBC devrait faire réfléchir aussi de ce côté de la Manche sur cette conception de l'information. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Nos invités du mardi 11 novembre - Bataclan: Daniel Psenny, journaliste, co-réalisateur avec Franck Zahler du documentaire « Vendredi noir » diffusé demain à 20h35 sur La Chaine Parlementaire et Charlotte rescapée des attentats du 13 Novembre 2015 au Bataclan. Météo: Sébastien Thomas, journaliste au service météo-climat à France Télévisions.Avec également comme chaque soir L'édito de Patrick Cohen, la story de Louis Amar et le 5 sur 5 de Lorrain Sénéchal.Tous les soirs du lundi au vendredi à 18h55 sur France 5, Anne-Elisabeth Lemoine et toute son équipe accueillent celles et ceux qui font l'actualité du jour.
durée : 00:14:43 - Journal de 8 h - Le soulagement sera total quand Cécile Kohler et Jacques Paris seront de retour chez eux. Les deux Français sont sortis de leur prison iranienne, mais se trouvent encore à l'ambassade de France à Téhéran.
durée : 00:14:43 - Journal de 8 h - Le soulagement sera total quand Cécile Kohler et Jacques Paris seront de retour chez eux. Les deux Français sont sortis de leur prison iranienne, mais se trouvent encore à l'ambassade de France à Téhéran.
durée : 00:14:43 - Journal de 8 h - Le soulagement sera total quand Cécile Kohler et Jacques Paris seront de retour chez eux. Les deux Français sont sortis de leur prison iranienne, mais se trouvent encore à l'ambassade de France à Téhéran.
durée : 00:20:30 - Journal de 12h30 - Cécile Kohler et Jacques Paris vivent leurs premières heures de semi-liberté à l'ambassade de France à Téhéran, en attendant de pouvoir quitter la République islamique. Ce matin, le président Emmanuel Macron a demandé à son homologue iranien la "libération pleine et entière" des deux ressortissants.
Dans cette édition :L'ouverture d'une boutique Shein au BHV à Paris et l'influence grandissante de la Chine dans le quotidien des Français, notamment avec l'application TikTok qui fait l'objet d'une enquête du parquet de Paris pour des contenus incitant au suicide chez les adolescents.La libération après 1 277 jours de détention de Cécile Kohler et Jacques Paris, accusés d'espionnage au profit de la France et d'Israël, et leur retour à l'ambassade de France à Téhéran.L'élection de Zoran Mamdani, un anti-Trump, au poste de maire de New York, faisant de lui le premier maire musulman de la ville.Les sondages pour les élections municipales de 2026 à Paris, avec Rachida Dati en tête des intentions de vote.Les débats au sein des Républicains sur le mode de désignation du candidat pour la présidentielle de 2027, entre partisans et opposants d'une primaire.Les mesures concernant la réforme des retraites, avec une semaine spéciale sur Europe 1 en partenariat avec le magazine Capital pour bien préparer sa retraite.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Du lundi au vendredi, Julien Pichené fait le point sur l'actualité des médias. Aujourd'hui, une histoire de floutage à France Télévisions, plusieurs techniciens portent plainte contre la société de production Mediawan, le retour de "Star à domicile" et le résultat du Prix Goncourt. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:20:30 - Journal de 12h30 - Cécile Kohler et Jacques Paris vivent leurs premières heures de semi-liberté à l'ambassade de France à Téhéran, en attendant de pouvoir quitter la République islamique. Ce matin, le président Emmanuel Macron a demandé à son homologue iranien la "libération pleine et entière" des deux ressortissants.
Du lundi au vendredi, Julien Pichené fait le point sur l'actualité des médias. Aujourd'hui, une histoire de floutage à France Télévisions, plusieurs techniciens portent plainte contre la société de production Mediawan, le retour de "Star à domicile" et le résultat du Prix Goncourt. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :L'ouverture d'une boutique Shein au BHV à Paris et l'influence grandissante de la Chine dans le quotidien des Français, notamment avec l'application TikTok qui fait l'objet d'une enquête du parquet de Paris pour des contenus incitant au suicide chez les adolescents.La libération après 1 277 jours de détention de Cécile Kohler et Jacques Paris, accusés d'espionnage au profit de la France et d'Israël, et leur retour à l'ambassade de France à Téhéran.L'élection de Zoran Mamdani, un anti-Trump, au poste de maire de New York, faisant de lui le premier maire musulman de la ville.Les sondages pour les élections municipales de 2026 à Paris, avec Rachida Dati en tête des intentions de vote.Les débats au sein des Républicains sur le mode de désignation du candidat pour la présidentielle de 2027, entre partisans et opposants d'une primaire.Les mesures concernant la réforme des retraites, avec une semaine spéciale sur Europe 1 en partenariat avec le magazine Capital pour bien préparer sa retraite.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
AWS Morning Brief for the week of November 3rd, with Corey Quinn. Links:Beyond pilots: A proven framework for scaling AI to productionNew Amazon CloudWatch metrics to monitor EC2 instances exceeding I/O performanceProcessing Amazon S3 objects at scale with AWS Step Functions Distributed Map S3 prefixWhat's the difference between AWS ParallelCluster and AWS Parallel Computing Service?France Télévisions prepared for 2024 Olympic Games with AWS Countdown PremiumAmazon Kinesis Data Streams now supports 10x larger record sizesAmazon DocumentDB (with MongoDB compatibility) announces upgraded query planner that can run queries up to 10x fasterAnnouncing AWS X-Ray SDKs/Daemon End-of-Support and OpenTelemetry MigrationAmazon S3 adds conditional write functionality to copy operationsIntroducing the Capacity Reservation Topology API for AI, ML, and HPC instance typesHow to deploy a SQL Server Failover Cluster Instance across three Availability Zones using Storage Spaces Direct Reduce CAPTCHAs for AI agents browsing the web with Web Bot Auth (Preview) in Amazon Bedrock AgentCore BrowserUsing Kubernetes Labels to Split and Track Application Costs on Amazon EKSIntroducing AWS Lambda event source mapping tools in the AWS Serverless MCP Server Split Cost Allocation Data for Amazon EKS supports Kubernetes labels
Vous savez à quoi on peut être certain qu'on a pris de l'âge ? Quand on commence à dire « de mon temps ». Bon, je dois bien l'avouer, c'est mon cas. J'ai commencé à travailler au siècle dernier ; je sais, rien que cette phrase me laisse sans voix. Et bien, des expressions de vieux, j'en ai un paquet :De mon temps, un bon salarié, et encore plus un manager, ne devait pas avoir d'émotions !De mon temps, une présentation Powerpoint avec plein de chiffres et de phrases complexes, c'était la norme.De mon temps, un salarié motivé, c'était un salarié qui partait le soir après son manager.De mon temps, un manager avait toujours raison !Bref, de mon temps, l'humain avait un tantinet disparu derrière les chiffres, les résultats, la performance à tous prix. Le symbole absolu de cette période ? France Télécom bien entendu avec son PDG, Didier Lombard reconnu coupable de « harcèlement moral institutionnel » et condamné à 1 an de prison (dont 8 mois avec sursis) et 15 000 € d'amende pour lui et les 2 ex-dirigeants reconnus coupables.Mais cette entreprise était loin d'être la seule dans ce cas et la Qualité de Vie au Travail n'est devenue une réalité en France que depuis cette vague de suicide.Oui, de mon temps, l'intelligence émotionnelle n'avait pas sa place, et il suffit pour s'en convaincre de relire les minutes de ce procès et les déclarations de son PDG pour s'en convaincre.Mais ce procès n'explique pas tout, loin de là. Le chemin aura été long, et nous n'en sommes pas au bout. L'intelligence émotionnelle en entreprise devient de plus en plus importante chaque jour, et cette évolution n'en est qu'à son début, et ce, selon moi, pour 5 raisons principales :1- L'exigence des salariés2- La réalité en termes de performances3- La réalité du marché de l'emploi4- L'évolution des modes de vie et de travail5- Le besoin de sensBonne écoute !Soutenez ce podcast http://supporter.acast.com/happy-work. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
C dans l'air du 31 octobre 2025 : Budget: faire payer les riches...et taxer l'héritage? C'est une journée cruciale dans l'examen du projet de loi de finances pour 2026. Après une « niche parlementaire » réservée au Rassemblement national, les débats sur la partie « recettes » du budget 2026 ont repris ce vendredi à l'Assemblée nationale, avec au cœur des discussions la proposition, soutenue par la gauche, de taxe Zucman, du nom de l'économiste et directeur de l'Observatoire européen de la fiscalité, Gabriel Zucman.Si les quatre groupes de gauche (LFI, PS, écologiste et communiste) défendent l'instauration de cette taxe au nom de la « justice fiscale », le gouvernement et le reste de l'hémicycle y sont, jusqu'à présent, opposés. Le premier secrétaire du PS, Olivier Faure, qui peut faire tomber le gouvernement à tout moment, a d'ailleurs à nouveau menacé le Premier ministre Sébastien Lecornu de censure s'il n'évoluait pas sur la question. Il estimait, ce vendredi matin, que la taxe ne serait « vraisemblablement pas votée », mais demandait des « outils » alternatifs sur l'imposition des plus riches, par un retour de l'ISF ou sur l'héritage.Un rejet d'un « impôt plancher » de 2 % sur le patrimoine des personnes disposant de plus de 100 millions d'euros par l'Assemblée nationale « serait incompréhensible » et « irresponsable », a estimé de son côté, ce vendredi sur franceinfo, Gabriel Zucman « parce que cela reviendrait à accepter que les milliardaires aient le droit de payer zéro » a-t-il ajouté.Mais la « taxe Zucman » est critiquée au centre, à droite, à l'extrême droite et dans le monde patronal, notamment en raison de l'inclusion des biens professionnels (actions, parts de sociétés, outils de travail). Pour eux, taxer ces biens ou leurs dividendes reviendrait à toucher à l'outil de travail, à décourager l'investissement et à menacer l'emploi. Sous le regard du Premier ministre Sébastien Lecornu, venu au banc à partir de la mi-journée, les députés ont adopté ce midi un amendement qui restreint le champ de la taxe prévue sur les holdings, proposée au budget afin de lutter contre certaines formes d'optimisation fiscale des plus fortunés.Une fois l'examen de l'article 3 terminé, « les débats reprendront sur l'article 5 », a expliqué l'entourage du ministre de l'Économie à France Télévisions. L'article 5 propose la suppression de 23 niches fiscales jugées « obsolètes ou inefficaces » parmi les 474 existantes. À la recherche de lignes d'économies tous azimuts, le prochain budget de l'État envisage notamment de lever l'avantage fiscal sur les biocarburants français d'origine agricole, dont le superéthanol E85.Une mesure qui a provoqué une levée de boucliers, de la filière agricole aux fédérations de transporteurs, en passant par une partie des députés qui s'inquiètent d'un coup d'arrêt pour la décarbonation des véhicules thermiques. Nos journalistes sont allés à la rencontre de transporteurs routiers particulièrement impactés par cette mesure, si elle se confirmait.LES EXPERTS :- EMMANUEL DUTEIL - Directeur de la rédaction - L'Usine Nouvelle- CÉLINE BRACQ - Directrice générale - Institut de sondages Odoxa- ERWAN BENEZET - Journaliste au service Economie - Le Parisien – Aujourd'hui en France - BRUNO JEUDY - Directeur délégué et éditorialiste - La Tribune Dimanche
Du lundi au vendredi, Julien Pichené fait le point sur l'actualité des médias. Aujourd'hui, "Grokipédia" l'encyclopédie en ligne d'Elon Musk, nouvelle concurrente directe de Wikipédia, TF1 et France Télévisions s'opposent au lancement d'une nouvelle offre de streaming, la "Star Academy" a totalement changé son générique et le chanteur Amir qui sera prochainement à l'affiche d'une série TF1 est de nouveau visé par des appels au boycott. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Du lundi au vendredi, Julien Pichené fait le point sur l'actualité des médias. Aujourd'hui, "Grokipédia" l'encyclopédie en ligne d'Elon Musk, nouvelle concurrente directe de Wikipédia, TF1 et France Télévisions s'opposent au lancement d'une nouvelle offre de streaming, la "Star Academy" a totalement changé son générique et le chanteur Amir qui sera prochainement à l'affiche d'une série TF1 est de nouveau visé par des appels au boycott. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C dans l'air du 25 octobre 2025 : Budget : premiers votes, premiers reversUn premier ministre en sursis. Alors que l'agence de notation Moody's a maintenu vendredi sa note concernant la dette française, Sébastien Lecornu inaugurait dans le même temps à l'Assemblée nationale les débats sur le projet de budget pour 2026. Celui qui a entériné la suspension de la réforme des retraites pour éviter une censure de la part des socialistes s'est dit "prêt à un débat transparent, y compris en modifiant en séance notre propre texte". Les socialistes se sont réjouis que "le Parlement retrouve ses pouvoirs", mais leur patron Olivier Faure menace toujours de censure si la majorité n'adopte pas plus de mesures de justice fiscale d'ici lundi. À l'occasion des débats sur la partie recette du budget, ils ont proposé une "taxe Zucman light" qui exonérerait les propriétaires de start-up et d'entreprises familiales. "Nous voulons montrer que nous ne sommes pas dogmatiques", a ainsi défendu le député PS Philippe Brun. Levée de bouclier chez LFI qui accuse les socialistes de pactiser avec le gouvernement. "L'expérience historique et internationale montre que dès qu'on introduit des exonérations, on relance la machine à optimisation fiscale", a de son côté dénoncé l'économiste Gabriel Zucman, à l'origine de la proposition.Si les socialistes sont indéniablement revenus au centre du jeu politique depuis quelques semaines, ils se sont aussi mis une partie de leurs électeurs à dos en acceptant de négocier avec Sébastien Lecornu. En Haute-Garonne, le député PS de la 8e circonscription, Joël Aviragnet, n'a pas voté la dernière motion de censure contre le gouvernement, ce que lui reprochent déjà certains habitants. "Tu sens un peu la tendance là ? Comment sont les gens ? Toujours inquiets ? C'est assez déstabilisant comme situation", constate-t-il alors qu'une équipe de C dans l'air l'a suivi en circonscription. Alors pour maintenir le lien avec les acteurs économiques du territoire, le député tente de les réunir, une fois par an. Une façon aussi, d'occuper le terrain face au Rassemblement national qui a fortement progressé lors des dernières législatives. Joël Aviragnet alerte sur les dangers selon lui d'une dissolution, ou d'une destitution du président de la République.Dans ce contexte politique dégradé, les retraités sont particulièrement inquiets. Avec la suspension de la réforme des retraites, leur pension, qui doit déjà être gelée l'année prochaine puis sous-revalorisée jusqu'en 2030, pourrait faire l'objet d'un nouveau coup de rabot. Ceux qui ont pu mettre de l'argent de côté craignent maintenant d'être mis à contribution pour venir au secours d'un État mauvais gestionnaire. Une de nos équipes est partie à leur rencontre.Les députés vont-ils parvenir à se mettre d'accord d'ici lundi sur de nouvelles mesures de justice fiscale ? Comment les députés socialistes défendent-ils leur position délicate auprès de leurs électeurs ? Et combien va coûter la suspension de la réforme des retraites pour les retraités ?LES EXPERTS :- Emmanuel DUTEIL - Directeur de la rédaction - L'Usine Nouvelle- Nathalie SAINT-CRICQ - Éditorialiste politique - France Télévisions- Élisa BERTHOLOMEY - Cheffe adjointe du service politique - Politico- Éric HEYER - Économiste, directeur du Département Analyse et Prévision - OFCE
C dans l'air du 25 octobre 2025 : Budget : premiers votes, premiers reversLES EXPERTS :- Emmanuel DUTEIL - Directeur de la rédaction - L'Usine Nouvelle- Nathalie SAINT-CRICQ - Éditorialiste politique - France Télévisions- Élisa BERTHOLOMEY - Cheffe adjointe du service politique - Politico- Éric HEYER - Économiste, directeur du Département Analyse et Prévision - OFCE
Du lundi au vendredi, Julien Pichené fait le point sur l'actualité des médias. Aujourd'hui, une étude démontre que les IA confondent info et chronique d'humour, donnent des mauvaises dates, ou inventent des détails, l'Arcom saisi par l'organisation Amnesty International France concernant TikTok et beaucoup de rediffusions cette semaine sur France Télévisions. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Du lundi au vendredi, Julien Pichené fait le point sur l'actualité des médias. Aujourd'hui, une étude démontre que les IA confondent info et chronique d'humour, donnent des mauvaises dates, ou inventent des détails, l'Arcom saisi par l'organisation Amnesty International France concernant TikTok et beaucoup de rediffusions cette semaine sur France Télévisions. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C dans l'air du 21 octobre 2025 : Un président en prisonC'est une première pour un ancien président sous la Ve République. Nicolas Sarkozy a été incarcéré ce mardi 21 octobre à la prison de la Santé, dans le 14e arrondissement de Paris. L'ancien chef de l'Etat a été écroué près d'un mois après sa condamnation pour association de malfaiteurs dans le cadre de l'affaire du financement libyen de sa campagne présidentielle de 2007.Bien qu'il ait fait appel de cette condamnation, la peine – cinq ans d'emprisonnement assortie d'une exécution provisoire – l'a conduit en détention. Il a été placé dans une cellule du quartier d'isolement. Immédiatement après son incarcération, ses avocats ont déposé une demande de mise en liberté. Celle-ci sera examinée dans un délai d'environ un mois, a précisé son conseil, Me Christophe Ingrain.Quelques heures avant son incarcération, Nicolas Sarkozy a publié un message sur les réseaux sociaux : « Mais que le prix à payer aura été écrasant. » L'ex-chef de l'État a également reçu, ce matin, le soutien d'une centaine de fidèles, rassemblés près de son domicile. Parmi eux, son fils Louis Sarkozy, organisateur du rassemblement, le sénateur LR Roger Karoutchi, mais aucun des ténors du parti Les Républicains n'était présent : ni Bruno Retailleau, ni Laurent Wauquiez.Le ministre de la Justice, Gérald Darmanin, proche de Nicolas Sarkozy, a lui fait savoir, lundi, qu'il irait le « voir en prison ». Un choix qui fait vivement réagir les magistrats, à commencer par le premier d'entre eux. Le procureur général près la Cour de cassation a estimé ce lundi que la justice doit pouvoir travailler dans la sérénité, en particulier les juges de la cour d'appel de Paris, qui se pencheront dans les prochaines semaines sur la demande de mise en liberté de Nicolas Sarkozy et sur son procès en appel l'année prochaine. « Il y a un risque qu'une telle visite soit ressentie par les magistrats et perçue par l'opinion comme une sorte d'obstacle à cette sérénité recherchée. Il faut préserver de toute influence l'intervention des magistrats dans un dossier aussi sensible », a déclaré Rémy Heitz.Dans la foulée, Gérald Darmanin lui a répondu via un message publié sur X : « S'assurer de la sécurité d'un ancien président de la République en prison, fait sans précédent, n'atteint en rien à l'indépendance des magistrats, mais relève du devoir de vigilance du chef d'administration que je suis, responsable devant le Parlement selon l'article 20 de la Constitution », a-t-il écrit.Le président de la République, Emmanuel Macron, qui a reçu Nicolas Sarkozy vendredi dernier à l'Élysée, a jugé « légitime » le débat sur l'exécution provisoire, en marge d'un déplacement en Slovénie : « Parce que tout le monde souhaite qu'il puisse y avoir des voies d'appel et de recours. Mais c'est un débat qui doit être mené dans le calme et indépendamment des cas spécifiques pour que notre justice puisse se faire et puisse évoluer dans la sérénité qui convient », a-t-il expliqué.En France, 86 % des peines de deux ans de prison et plus sont mises à exécution immédiatement à l'audience.Alors, quelles sont les conditions de détention de Nicolas Sarkozy ? Combien de temps l'ex-président de la République peut-il rester en prison ? Faut-il ouvrir un débat sur l'exécution provisoire des peines ? Et quel avenir pour Les Républicains, fragilisés par cette affaire et traversés par de profondes divisions internes depuis des mois ?LES EXPERTS :- Ludovic VIGOGNE - Journaliste politique - La Tribune Dimanche - Audrey GOUTARD - Grand reporter - France Télévisions, spécialiste des faits de société- Vanessa SCHNEIDER - Grand reporter - Le Monde - Anne-Charlène BEZZINA - Constitutionnaliste et politologue - Maître de conférences en droit public - Université de Rouen et Sciences Po
C dans l'air du 21 octobre 2025 : Un président en prisonLES EXPERTS :- Ludovic VIGOGNE - Journaliste politique - La Tribune Dimanche - Audrey GOUTARD - Grand reporter - France Télévisions, spécialiste des faits de société- Vanessa SCHNEIDER - Grand reporter - Le Monde - Anne-Charlène BEZZINA - Constitutionnaliste et politologue - Maître de conférences en droit public - Université de Rouen et Sciences Po
durée : 00:08:46 - Nouvelles têtes - par : Mathilde Serrell - Lou Deleuze, 11 ans, a été sélectionnée par France Télévisions pour représenter la France à l'Eurovision Junior le 13 décembre à Tbilissi, en Géorgie. La jeune chanteuse interprétera « Ce monde » composée et écrite par Linh. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Miners in Kenya risk their lives every day to extract gold 30 meters below the Earth's surface. With the recent gold rush in the country, artisanal mining is raising concerns over negative environmental consequences and poor labor conditions. Our colleagues at France Télévisions Lucile Chaussoy, Fabien Fougère, and Joseph Bohbot and France 24's Florent Marchais have this report.
C dans l'air du 4 octobre 2025 - La semaine cruciale de LecornuIl renonce à utiliser le 49.3. Sébastien Lecornu a pris la parole ce vendredi depuis l'hôtel de Matignon pour tenter de convaincre les oppositions de ne pas le censurer à la suite de son discours de politique générale (prévu ce 7 octobre). Mais si Marine Le Pen salue « un geste respectueux », Jean-Luc Mélenchon met en doute sa sincérité, « On te croit pas . Tu n'as pas l'intention de gouverner sans nous forcer le moment venu » a déclaré le leader insoumis.Alors que le nouveau gouvernement n'a toujours pas été annoncé, et que le projet de budget 2026 reste « peu précis » pour le Rassemblement national, « insuffisant » pour les socialistes, le risque est réel que la gauche et le RN fasse tomber le Premier ministre dès la semaine prochaine. Pendant ce temps, la colère sociale s'intensifie, cette attente ne faisant qu'alimenter l'exaspération des Français.Le pouvoir d'achat, lui, est une des préoccupations principales des Français, qui sont de plus en plus nombreux à avoir des fins de mois difficiles. Un secteur en pâtit : l'immobilier. 30% du budget des ménages est consacré au logement et en un an, le nombre de ventes immobilières a baissé de 17 %. Si acheter est difficile, louer n'est pas plus aisé, avec de lourdes conséquences sur tout un secteur.Au moment des Gilets jaunes, la colère sociale avait été consignée dans 20.000 cahiers de doléances, regroupant plus de 200.000 contributions qui n'ont jamais été publiées dans leur intégralité. Leur contenu reste pourtant d'actualité. C dans l'air est allé à la rencontre d'une archiviste indignée par le « mépris » avec lequel ces cahiers ont été traités.Alors, Lecornu peut-il éviter la censure ? Pourquoi le secteur immobilier est-il en crise ? Que sont devenus les cahiers de doléances des Français ?LES EXPERTS :- Olivier BEAUMONT - Chef-adjoint au service politique du Parisien/Aujourd'hui en France - Nathalie SAINT-CRICQ - Éditorialiste politique à France Télévisions - Béatrice MATHIEU - Grand reporter à L'Express - Gaël SLIMAN - Président et cofondateur - Institut de sondages Odoxa
C dans l'air du 4 octobre 2025 - La semaine cruciale de LecornuLES EXPERTS :- Olivier BEAUMONT - Chef-adjoint au service politique du Parisien/Aujourd'hui en France - Nathalie SAINT-CRICQ - Éditorialiste politique à France Télévisions - Béatrice MATHIEU - Grand reporter à L'Express - Gaël SLIMAN - Président et cofondateur - Institut de sondages Odoxa