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C dans l'air l'invitée du 8 juillet 2025 : Noémie Schulz, grand reporter au service police-justice de France Télévisions.Le 8 juillet 2023, il y a tout juste deux ans, disparaissait Emile, deux ans, dans un hameau des Alpes-de-Haute-Provence. "Rien ne nous aura été épargné" depuis la disparition tragique d'Emile, ont déploré mardi ses parents, dénonçant le rôle des "médias" et des "réseaux" dans une rare prise de parole."Cela fait deux ans que la disparition d'Emile a déchiré nos vies, que le sol s'est dérobé sous nos pieds et que nous avons été noyés dans l'angoisse", écrivent Marie et Colomban Soleil, dans un communiqué transmis aujourd'hui par leur avocat. "Nous avons vu étalés et décryptés nos visages, notre passé, nos parcours, nos opinions politiques réelles ou fantasmées, notre foi catholique, nos habitudes, nos qualités, nos défauts, ceux de nos chères familles, de nos amis", déplorent-ils. Emile était arrivé la veille de sa disparition pour les vacances chez ses grands-parents maternels, dans leur résidence secondaire du Haut-Vernet, un hameau perché à 1.200 m d'altitude dans les Alpes-de-Haute-Provence. Pendant neuf mois, et malgré plusieurs jours de battues et ratissages, l'enquête sur sa disparition ne donne rien de concret, jusqu'à la découverte fortuite, le 30 mars 2024 par une promeneuse, du crâne et de dents de l'enfant, à environ 1,7 km du hameau. Lors de sa dernière conférence de presse le 27 mars dernier, le procureur avait révélé qu'Emile avait été victime d'un "traumatisme facial violent", évoquant "la probable intervention d'un tiers". Il avait également précisé que la piste familiale n'était "pas refermée".Noémie Schulz, grand reporter au service police-justice de France Télévisions, fera avec nous le point sur l'enquête sur la mort d'Emile, et reviendra sur le déroulé des investigations.
Kati Bremme, directrice de l'innovation à France Télévisions et rédactrice en chef de Méta-media.fr, est l'invitée de L'atelier des médias pour discuter du dernier numéro du cahier de tendances de France Télévisions. Son titre : Bienvenue en post-réalité, une époque marquée par l'IA générative et ses défis pour les médias. Kati Bremme définit la « post-réalité » : ce monde où l'IA générative produit des contenus « plus vrais que la réalité », où des images et des vidéos quasi indiscernables du réel inondent internet, créant une « hyperréalité » où « l'illusion est plus crédible ». Cela instaure un « doute numérique » constant : tout contenu en ligne est par défaut suspecté d'avoir été généré. Ce flux inclut le « slop », ce « nouveau spam » composé de contenus créés par IA et générés en masse. Les IA, basées sur des probabilités, « hallucinent » sans distinguer le vrai du faux. Elles facilitent la « propagande assistée par intelligence artificielle » et l'usurpation d'identité médiatique pour désinformer. Face au « doute numérique » généralisé – il concerne près d'un internaute sur deux –, les médias publics doivent affirmer leur rôle de « média de confiance ». Leur valeur réside non pas dans la génération de contenu IA, mais dans la vérification des faits et la « relation humaine avec nos publics », rappelle Kati Bremme. Le journaliste devient « créateur de sens », au-delà de la curation d'informations omniprésentes. Il doit « décrypter, mettre dans le contexte » et « incarner l'information ». Ceci exige un retour au « terrain comme seule épreuve tangible du réel », pour reprendre les mots de Fabrice Arfi, journaliste à Médiapart, pour une confrontation directe à la réalité et aux personnes, démarche différenciante. Les IA conversationnelles deviennent en quelque sorte un « nouveau public » pour les journalistes, remâchant leurs contenus. Cela ouvre la voie aux « formats liquides » qui s'adaptent aux utilisateurs. Dans ce contexte, l'IA offre un « dividende d'intimité » : les internautes se permettent de lui poser des questions bêtes, sachant qu'ils ne vont pas être jugés – tout l'inverse des réseaux sociaux. Cependant, l'hyperpersonnalisation menace de créer des « bulles solipsistes », enfermant l'individu dans son raisonnement, ce qui nuit au débat démocratique. Face à l'hégémonie des géants technologiques, les médias sont dans une situation « perdant-perdant ». Aussi, iI est crucial de comprendre les intérêts économiques, d'être transparent sur l'utilisation de l'IA... et de chercher des alternatives, explique Kati Bremme.
PRESS REVIEW – Tuesday, July 1: The French left-wing papers rejoice after a controversial public broadcasting bill is rejected by parliament. The New York Times looks at how the Sinaloa cartel is making new alliances with enemies, which could reshape the global drug trade. Also: a photo report documents horrific sexual violence inflicted on Tigray women in Ethiopia. Plus: Oliver Tarvet, an amateur player, will face world n° 2 Carlos Alcaraz in the second round at Wimbledon. French MPs have rejected a bill that aims to bring France's public services under one holding company. The text was rejected in the National Assembly on Monday before it could even be debated. It will now head to the Senate for a review. L'Humanité, the Communist paper, says: "Dati persists, public services resist." That headline is in reference to French Culture Minister – and Paris mayor hopeful – Rachida Dati, who spearheaded the controversial bill. Libération says the MPs' outright rejection of the text is a "slap in the face" for Dati, noting that she was abandoned in the vote by Macron's ruling coalition. In its editorial, Libération says Dati failed in her fourth attempt at passing the deeply controversial bill. It accuses her of being dogmatic in her bid to seek revenge on the journalists who have investigated her many corruption scandals. As Le Monde explains, the proposal seeks to merge France's three major public broadcasting companies: France Télévisions, Radio France and INA, the national archives. This merger has been likened to a French-style BBC. Those opposed to the move say it would hamper editorial independence and offer fewer resources at a time when maintaining editorial independence is crucial. Le Monde notes that this reform comes at a time when French public services are in relatively good health: Radio France's podcasts are among the most listened to and France Télévisions is holding strong against competition. This doesn't detract, however, from the challenges the sector faces: ageing audiences and fierce competition from on-demand television. In other news: The New York Times looks at how tough times for the Mexican Sinaloa dug cartel could push them to make dangerous alliances. The Sinaloa cartel is the world's most feared fentanyl cartel. It is reeling from internal fighting and a crackdown by Mexico and the USA. The cartel has for years run a global empire through alliances with affiliates around the world. But now, amid troubled times, a faction of the group have allied with a powerful adversary: the Jalisco New Generation Cartel. This alliance could turn the latter in to the world's biggest drug trafficker and redraw alliances and power structures around the world. As one expert puts it, it's as if the East Coast of the US seceded during the Cold War and reached out to the Soviet Union. The British daily The Guardian has a haunting photo report looking at the horrific sexual violence inflicted against Tigray woman in Ethiopia. Uruguayan photographer Ximena Borrazas specialises in documenting humanitarian conflict. During the 2020 war, tens of thousands of Tigrayan women were gang-raped by Ethiopian and Eritrean soldiers. As Borrazas reports, some had foreign objects forcibly injected into their uterus – metal screws and even letters written by soldiers covered in plastic. These letters expressed a desire to render the women infertile so as to end the Tigrayan population. Some expressed a desire to seek revenge for Tigray's border war in the 1990s. Other women were subjected to acid attacks and still suffer today. The Guardian notes that nearly 90 percent of victims have not received any medical or psychological help. Justice for them seems an even more distant prospect. Finally, an amateur tennis player will face world n° 2 Carlos Alcaraz in the second round of Wimbledon. Britain's Oliver Tarvet, who is ranked 733rd in the world, is the lowest-ranked player in the entire singles draw. His three-set first round win over a Swiss opponent earned him nearly £100,000. But his amateur status and the fact that he's a US college student mean he can only received £10,000 in profit this year because of the national collegiate athlete rules. Nonetheless, he has a mammoth task ahead of him: his second-round match will be against Alcaraz on Wednesday! You can catch our press review every morning on FRANCE 24 at 7:20am and 9:20am (Paris time), from Monday to Friday.
Le célèbre jeu de culture générale de France 3 va bousculer les habitudes de ses très fidèles téléspectateurs pour la saison prochaine. France Télévisions avance des arguments chiffrés. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Cliquez ici pour accéder gratuitement aux articles lus de Mediapart : https://m.audiomeans.fr/s/P-UmoTbNLs Casse sociale, reprise en main politique, cadeau au secteur privé... Le projet de réforme examiné lundi et mardi à l'Assemblée fait craindre le pire aux équipes de Radio France, de France Télévisions et de l'INA. Les députés de gauche espèrent lui faire échec. Un article de Yunnes Abzouz publié dimanche 29 juin et lu par Jérémy Zylberberg. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
As news of Off the Fence going bankrupt sends tremors through the documentary sector and speculation over PBS's future continues, C21's Clive Whittingham speaks with Sunny Side of the Doc director Aurélie Reman [19:54], France Télévisions' Caroline Behar [29:55] and ITV Studios' Cecilie Olsen [39:45] in La Rochelle and contrasts the event with last week's Sheffield DocFest.
Aujourd'hui dans "On marche sur la tête", Cyril Hanouna et ses invités débattent des propos tenus sur le plateau de « Quotidien » par Delphine Ernotte, présidente du conseil de direction de France Télévisions, face aux critiques dénonçant un manque de pluralisme sur France TélévisionsDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
France Télé s'est pris une clim' vendredi soir. Enfin plutôt non, ne s'est pas pris de clim' du coup. C'était le coup de la panne et de l'écran noir. On a donc rien vu & entendu pendant quelques dizaines de minutes, ça ne nous empêchera pas d'en parler dans le Vu & Entendu, avec la vasque de retour et le Floodcast qui fait ce qui lui Playel. Puis dans l'Actu, une réforme qui Bloch, les radios d'été, Vahramian qui prépare la rentrée de franceinfo et qui braque Salhia, Salamé à l'abri au 20h, la conf' de rentrée de d'M6, le mercato en bref et l'actu express. Et puis pêle-mêle : Laurence Bloch de clim', Damien lève tard, Ah (le même), été 18, été F1, été 9, les grands portés (18), la guerre proche de Lorient, LCL, moi c'est moi, LCP c'est la 8, Lscié, Zen d'Axelle Red et les tranches d'Euro-pain. Recos : Service Public sur explore sur Canal + Service Public 2 sur explore sur Canal + Partir un Jour (court-métrage) sur Arte Les articles pas fun : Médiapart - Europe 1 se retrouve à gérer « la cohabitation » entre Morandini et des stagiaires mineurs L'Informé - Accents moqués, climat « colonial », diversité en berne… RFI accusé de discrimination Sources : France Inter - Le journal de 13h00 du samedi 21 juin 2025 X - FranceTVPro - Communiqué Youtube - France Télévisions - Problèmes techniques Le Parisien - Panne à France Télévisions : une plainte déposée après « un acte de malveillance » Libération - Réforme de l'audiovisuel public : ce que contient le rapport rédigé par Laurence Bloch SNJ RadioFrance - Rapport Bloch Franceinfo - Radio France : six syndicats appellent à une grève illimitée à partir du 26 juin contre les mesures d'économie et contre la réforme de l'audiovisuel public Le Parisien - Réforme de l'audiovisuel public : un appel à la grève illimitée lancé à France Télévisions à partir du 30 juin France Inter - Edito de Patrick Cohen - Une réforme de l'audiovisuel, pour quoi faire ? X - France TV Pro - Communiqué X - Radio France - Communiqué RTL - RTL : émissions, jeux, témoignages… Découvrez les nouveautés pour l'été 2025 Radio France - Dossier de presse / été 2025 / ICI Radio France - Les étés de France Culture Radio France - Un été avec France Inter, du samedi 28 juin au dimanche 24 août 2025 Le Parisien - « Paul Larrouturou de TF1 nous rejoint » : la patronne de franceinfo présente sa rentrée en avant-première Le Parisien - France 2 : Caroline Roux a refusé le journal de 20 Heures Le Parisien - « Pas une bonne nouvelle, surtout si tard » : comment France Inter va rebondir après le départ de Léa Salamé Le Parisien - « Une femme d'origine libanaise au 20 Heures, ça claque ! » : les coulisses de la nomination surprise de Léa Salamé La Tribune Dimanche - Les confidences exclusives de Léa Salamé : « Faire appel à moi pour le 20 Heures est un choix très audacieux » Le Parisien - Hanouna, Lapix… « La rentrée la plus ambitieuse de l'histoire du groupe M 6 », promet son patron, David Larramendy M6 Pro - Saison 2025-2026 X - Julie Ragot - Dernière de Dominique Tenza X - Hélène Zelany X - Radioscope - Albert Spano Le Parisien - Mercato des médias : Augustin Trapenard en route vers RTL Le Parisien - « Les Maternelles » change de formule et bascule sur France 4 avec Marie Portolano L'Equipe - Xavier Domergue et Samir Nasri courtisés par la Ligue, une nouvelle saison d'« Au Micro » : c'est déjà la rentrée des médias X - Jean-Marc Juramie - Le Cercle Cinéma Radio France - Astrid de Villaines prendra à la rentrée les commandes de l'émission iconique de France Culture : L'Esprit public L'Equipe - Droits TV : une affiche de Ligue des champions féminine en clair par journée sur la chaîne L'Équipe Les Echos - Streaming : alliance inédite entre Netflix et TF1 X - ALP - Décès Jean-Pierre Mitrecey Rejoignez le Discord d'Alex Arbey, suivez @jplussept sur X/Twitter et sur Instagram ou @jplus7.fr sur Bluesky Laissez-nous vos avis sur ce que vous avez vous aussi vu & entendu tout au long de la semaine sur repondeur.jplus7.fr Une émission animée par Alex Arbey, en direct sur Twitch tous les lundi à 20h35 : twitch.tv/alexarbey
Chaque matin, dans Culture Médias, Julien Pichené fait le point sur l'actualité des médias. Aujourd'hui, appel à la grève illimitée chez France Télévisions et la dernière star internationale démasquée dans «Mask Singer» sur TF1.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La réforme de l'audiovisuel public, Rachida Dati nous la promet, et elle met en grève Radio France, France Télévisions et l'INA, vent debout contre la création d'une "holding" qui les rassemblerait en une seule entité. Depuis les années 80, d'une main les gouvernements étiquetés à gauche, ou à droite dépouillent des services publics de leurs moyens. De l'autre, ils les concentrent en des entités toujours plus grandes, plus grosses. Est-ce le sort qui attend l'audiovisuel public ?Nos invité·es :Céline Autin : journaliste Ici Picardie (ex France Bleu), déléguée syndical CGTAlexandre Joux : professeur à l'Université Aix-Marseille Université (école de journalisme et de communication). Un podcast co-produit par Radio Parleur et Le MédiaTV, animé par Violette Voldoire, enregistré par les équipes du Média, et produite par Samia Benguetaïb et Salomé Lepretre.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque matin, dans Culture Médias, Julien Pichené fait le point sur l'actualité des médias. Aujourd'hui, appel à la grève illimitée chez France Télévisions et la dernière star internationale démasquée dans «Mask Singer» sur TF1.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque matin, dans Culture Médias, Julien Pichené fait le point sur l'actualité des médias. Aujourd'hui, appel à la grève illimitée chez France Télévisions et la dernière star internationale démasquée dans «Mask Singer» sur TF1.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La ministre de la Culture Rachida Dati, ministre de tutelle de l'audiovisuel public, joue de plus en plus du rapport de force avec les journalistes. La ministre de la Culture porte une réforme de l'audiovisuel public qui prévoit de réunir sous une même holding France Télévisions, Radio France et l'Institut national de l'audiovisuel. Alors que les syndicats de Radio France appellent à la grève sur ce projet le 26 juin, Rachida Dati exercent des intimidations verbales, voire des menaces sur des journalistes. On l'a vu cette semaine dans l'émission C à Vous, sur France 5, où la ministre a mis en cause l'intervieweur Patrick Cohen à propos d'un article de Mediapart évoquant un possible management toxique de sa part entre 2010 et 2017 quand il était à France Inter, ce qui pourrait relever du harcèlement moral selon Mediapart. Elle a même évoqué en direct la possibilité d'engager des poursuites judiciaires contre ce journaliste sur la foi de ces témoignages. Des accusations contestées par Patrick Cohen qui rappelle qu'il n'y a eu aucune procédure judiciaire, mais qui sont utiles à la ministre pour retourner le projecteur quand des questions l'embarrassent. Des questions qui ont à voir avec l'audiovisuel public. Car l'émission Complément d'enquête a révélé sur France 2 il y a quinze jours, en partenariat avec Le Nouvel Obs, qu'une deuxième affaire de corruption accable la ministre, déjà mise en examen pour corruption passive et trafic d'influence après avoir touché 900 000 euros de Renault, époque Carlos Ghosn, quand elle était députée au Parlement européen. Cette fois, les journalistes révèlent un document comptable d'un cabinet d'avocat qui atteste de deux virements de GDF Suez de près de 150 000 euros chacun qui seraient liés à ses prises de position sur des sujets gaziers au Parlement. Elle laisse entendre que tout cela relèverait du même dossier et de son travail d'avocat. Et traite de « voyous » les journalistes de France 2 en les accusant d'avoir voulu acheter des témoignages dans sa famille au Maroc, ce que dément la chaîne. La présidente de France Télévisions, Delphine Ernotte, défend ses journalistes. Sans ambiguïté, puisque France Télévisions a apporté son soutien à C à Vous et jugé les mises en cause de ses journalistes « pas acceptables ». La société des journalistes a de son côté dénoncé des « intimidations » et des « pressions ». Il faut dire que Rachida Dati cache mal ses récriminations vis-à-vis des patronnes de France Télé et de Radio France. Elle aurait promis d'avoir le « scalp » de Delphine Ernotte, selon le Canard enchaîné, et accuse Sibyle Veil à Radio France de caricaturer sa réforme. De là à ce que la prochaine loi vise à les mettre au pas. À lire aussiFrance: l'examen de la réforme de l'audiovisuel public suspendu après un accrochage avec Rachida Dati
C dans l'air du 19 juin 2025 - Affaire Grégory : un nouvel interrogatoire...L'affaire du petit Grégory rebondit. Plus de quarante ans après la découverte du corps du petit garçon, ligoté, dans la Vologne, en octobre 1984, l'un des plus grands faits divers français pourrait prendre un nouveau tournant. Jacqueline Jacob, la grand-tante de l'enfant, va de nouveau être auditionnée par les juges d'instruction de la cour d'appel de Dijon, en vue de sa possible mise en examen pour "association de malfaiteurs criminelle", a annoncé mercredi le procureur général de la cour d'appel de Dijon, Philippe Astruc. Jacqueline Jacob avait déjà été suspectée depuis qu'une expertise en graphologie l'avait désignée comme l'autrice d'une lettre anonyme menaçante adressée en 1983 aux parents du petit Grégory. Interpellée avec son époux en 2017, elle avait gardé le silence lors de son audition et avait été mise en examen avec son mari pour "enlèvement et séquestration suivie de mort". Mais un vice de forme avait, à l'époque, fait échouer les poursuites. L'avocat des époux Jacob a botté en touche, estimant qu'il s'agit d'une "non-information". L'affaire, qui hante la famille Villemin et qui a déjà causé le suicide du juge Lambert en 2017, va-t-elle cette fois-ci se conclure ?L'affaire du petit Grégory n'est pas la seule à hanter la justice. Celle d'Inass Touloub, surnommée la "martyre de l'A10", depuis la découverte de son corps d'enfant mutilé en 1987, le long d'une autoroute du Loir-et-Cher, offre un panorama des dysfonctionnements de la justice. Les enquêteurs ont d'abord mis des années à retrouver les parents de la victime. Arrêtés en 2018, ils ont été mis en examen pour "tortures ou actes de barbarie sur mineur de 15 ans", mais ont depuis été relâchés sans la moindre date de procès à l'horizon. En cause, un débat judiciaire entre le parquet, les juges d'instruction et les avocats sur les qualifications du crime et la volonté réelle de tuer la petite fille. Depuis des années, les différents partis se renvoient la balle tandis que les suspects vieillissent : ils sont aujourd'hui âgés de plus de 70 ans. Dernier épisode en date, cette lettre envoyée début 2025 par les juges d'instruction de la cour d'appel d'Orléans à la chancellerie, et expliquant ne pas pouvoir organiser de procès avant 2027 à cause du manque de moyens de la justice.Fin mai, c'est le procès Le Scouarnec qui a connu son dénouement. Après trois mois d'audience, le pédocriminel de 74 ans, a été condamné à 20 ans de réclusion criminelle pour près de 300 agressions sexuelles, dont certaines sur des mineurs, commises entre 1989 et 2014, dans l'exercice de ses fonctions de chirurgien. Mais les victimes s'inquiètent désormais que cette affaire hors-norme disparaisse des radars. Là où l'affaire des viols de Mazan a débouché sur une proposition de loi modifiant la définition pénale du viol, et l'affaire de Bétharram sur des inspections de la part de l'Éducation nationale, l'affaire Le Scouarnec n'a quasiment pas donné lieu à des réactions politiques. Un collectif de victimes exhorte désormais les responsables politiques et l'ordre des médecins à s'engager pour des mesures fortes contre la pédocriminalité en milieu médical : "Ce procès n'est pas seulement celui d'un homme, c'est le procès d'un système, celui de défaillances institutionnelles en série, de complicités passives, d'alertes ignorées", ont-ils dénoncé. Elles demandent désormais une commission interministérielle et des mesures politiques, notamment pour empêcher les agresseurs sexuels d'exercer dans le domaine médical.L'affaire du petit Gregory va-t-elle rebondir avec l'audition de sa grand-tante ? Comment expliquer la lenteur de la justice dans l'affaire de la petite martyre de l'A10 ? Et pourquoi les victimes de Joël Le Scouarnec dénoncent-elles l'inaction des personnalités politiques ?LES EXPERTS :- Laurent VALDIGUIÉ, grand reporter à Marianne- Alain BAUER, professeur de criminologie au CNAM- Audrey GOUTARD, grand reporter à France Télévisions, spécialiste des faits de société- Marine ALLALI, avocate pénaliste au Cabinet Seban, directrice du pôle Aide aux victimes
C dans l'air du 19 juin 2025 - Affaire Grégory : un nouvel interrogatoire...LES EXPERTS :- Laurent VALDIGUIÉ, grand reporter à Marianne- Alain BAUER, professeur de criminologie au CNAM- Audrey GOUTARD, grand reporter à France Télévisions, spécialiste des faits de société- Marine ALLALI, avocate pénaliste au Cabinet Seban, directrice du pôle Aide aux victimes
Dans ce nouvel épisode de Caféine, j'ai le plaisir de recevoir Jérémy Gillet, acteur.À seulement 24 ans, Jérémy enchaîne les rôles entre fiction contemporaine et grandes fresques historiques. Il incarne aujourd'hui Louis XIII dans Une amitié dangereuse, la nouvelle série France Télévisions, un rôle pour lequel il a reçu le prix du meilleur acteur à Séries Mania.Mais au-delà des projecteurs, cet échange est une plongée dans sa manière d'habiter ses personnages, sa quête de sincérité dans le jeu, sa formation parallèle au théâtre, ses doutes entre deux tournages… et ses obsessions (spoiler : Pokémon et l'Eurovision ne sont jamais loin;) ).Une conversation sur ce que ça coûte d'être acteur, sur les moments de doute, de feu… et tout ce qu'il y a entre les deux.Bonne écoute !
Elle fascine, elle provoque, elle questionne, elle bouscule... La Bad Bitch ne laisse personne indifférent. Pour retracer son histoire et pour comprendre cette figure, qui ne se résume pas à un phénomène musical mais qui incarne bien un phénomène de société, Anaëlle Abasq reçoit la journaliste Morane Aubert. Son premier documentaire "Bad Bitch, la plus belle revanche du rap" est sorti le 7 mai 2025 et est disponible sur France Télévision. Son du jour : The Glass Between Us - Geagea
Créé il y a 63 ans, le jeu "Intervilles" va faire son grand retour sur France Télévisions l'été prochain et Yoann Riou n'attend que ça !Retrouvez tous les jours le meilleur des Grosses Têtes en podcast sur RTL.fr et l'application RTL. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C dans l'air du 10 juin 2025 - Surveillante poignardée : un "déferlement de violence insensé"LES EXPERTS :- CHRISTOPHE BARBIER - Éditorialiste politique, conseiller de la rédaction - Franc-Tireur - ALAIN BAUER - Professeur de criminologie - CNAM- AUDREY GOUTARD - Grand reporter à France Télévisions, spécialiste des faits de société- MARIE-ESTELLE PECH - Rédactrice en chef société à Marianne
C dans l'air du 10 juin 2025 - Surveillante poignardée : un "déferlement de violence insensé"Vers 9 h ce matin, alors que les gendarmes effectuaient un contrôle inopiné des sacs devant un collège de Nogent, en Haute-Marne, l'un des élèves, pour une raison encore inconnue, s'est jeté sur l'assistante d'éducation présente sur place et l'a poignardée à plusieurs reprises avant d'être maîtrisé par les forces de l'ordre. Grièvement blessée, la jeune femme, âgée de 31 ans, est décédée.Le suspect, Quentin G., âgé de 14 ans et inconnu des services de police, est actuellement entendu par les enquêteurs en garde à vue. Il devrait être examiné par un psychiatre. Des dispositions d'accompagnement ont été mises en place pour prendre en charge les élèves, leurs familles et le personnel de l'établissement. La ministre de l'Éducation nationale s'est rendue sur place en début d'après-midi. Interrogée sur le profil du suspect, Élisabeth Borne a parlé d'un "jeune qui ne présentait pas de difficultés particulières et qui était ambassadeur harcèlement". Elle a estimé qu'il faut une "réponse globale" face à ces drames. "On doit aussi agir sur la santé mentale", a expliqué la ministre, alors que les réactions dans la classe politique sont très nombreuses.Le président de la République a dénoncé ce matin sur X un "déferlement de violence insensé (…) La nation est en deuil". Cette mort "horrifie et elle nous glace", a réagi sur X la présidente du groupe LFI à l'Assemblée nationale. Le premier secrétaire du PS, Olivier Faure, a déploré une "abomination". "L'école est frappée par l'ultraviolence. Elle résiste, mais ne peut pas tout. On ne peut pas lui demander de réparer seule des décennies d'abandon civique, de désagrégation du lien social et de propagation de la violence", a écrit de son côté Raphaël Glucksmann. La présidente du groupe RN à l'Assemblée nationale Marine Le Pen, pour sa part, a écrit sur X : "Pas une semaine sans qu'un drame frappe l'école. Désacralisation de la vie, banalisation de l'ultraviolence, encouragée par l'apathie des pouvoirs publics à y mettre fin, explosion du port d'armes blanches : les Français n'en peuvent plus et attendent une réponse politique ferme", a affirmé la leader d'extrême droite, sans en dire plus.Le Premier ministre, qui sera l'invité du 20 heures de TF1, a indiqué vouloir faire de "la menace des armes blanches chez nos enfants" un "ennemi public". Le 24 avril dernier, après une attaque au couteau à Nantes, François Bayrou avait fait renforcer les contrôles inopinés et les fouilles des sacs devant les établissements scolaires. Il avait également demandé "des propositions concrètes en matière de prévention, de réglementation et de répression pour endiguer le phénomène des violences commises par les mineurs avec des armes blanches". Un rapport avait été remis en mai avec une série de propositions : interdiction de la vente, directe comme en ligne, des armes zombies, vidéoprotection et interdiction des téléphones portables dans les établissements scolaires… Parallèlement, le gouvernement entend interdire l'accès aux réseaux sociaux aux mineurs de moins de 15 ans, en imposant aux plateformes la vérification de l'âge au moment de la création d'un compte. Mais il s'est heurté, pour l'instant, en Europe, à des questions techniques et de compatibilité avec le droit communautaire. LES EXPERTS :- CHRISTOPHE BARBIER - Éditorialiste politique, conseiller de la rédaction - Franc-Tireur - ALAIN BAUER - Professeur de criminologie - CNAM- AUDREY GOUTARD - Grand reporter à France Télévisions, spécialiste des faits de société- MARIE-ESTELLE PECH - Rédactrice en chef société à MariannePRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.frFACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5TWITTER : https://twitter.com/cdanslairINSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
C dans l'air du 7 juin 2025 - Budget : Une "année blanche" pour trouver 40 milliards ?LES EXPERTS :Nathalie SAINT-CRICQ - Editorialiste politique à France TélévisionsFrançois ECALLE - Ancien rapporteur général à la Cour des Comptes, président de FipecoThomas PORCHER – Économiste, professeur à la Paris School of Business, auteur du VacataireIsabelle RAYMOND - Cheffe du service économique à Franceinfo
C dans l'air du 7 juin 2025 - Budget : Une "année blanche" pour trouver 40 milliards ?« Encombrement » et « excès des fraudes ». Telles sont les raisons invoquées cette semaine au Sénat par le ministre de l'Économie, Éric Lombard, pour suspendre temporairement MaPrimeRénov'. L'enveloppe budgétaire aurait été consommée, le gouvernement veut donc remettre à plat ce levier pour encourager la rénovation énergétique des logements.De quoi mettre vent debout l'opposition de gauche. « Votre gouvernement accélère son désengagement brutal du financement de la transition écologique », a dénoncé le sénateur écologiste Ronan Dantec. « Une fois réglé, le processus pourra continuer » a voulu rassurer Lombard. En attendant, les particuliers doivent toujours patienter longtemps avant de recevoir l'aide promise. C dans l'air a rencontré un habitant de Clamart (Hauts-de-Seine) qui attend désespérément 40.000 euros suite à la rénovation de son logement.Cette suspension arrive au moment où le gouvernement cherche 40 milliards d'euros pour renflouer les caisses de l'État. C'est l'équation sur laquelle planche Bercy pour le budget 2026. Plusieurs pistes se dessinent comme celle de la TVA sociale. Mais cette mesure a ses détracteurs : les syndicats, la gauche, et le RN, qui pourrait censurer François Bayrou sur ce motif. Celui-ci évoque aussi la possibilité d'une année blanche pour geler tous les budgets, comme les allocations, le portefeuille des collectivités ou l'indexation des retraites - sujet hautement sensible. Le Premier ministre, qui a annoncé qu'il allait demander "un effort à tous les Français", a fixé le 14 juillet comme date limite pour présenter son plan d'économies. L'impossible équation budgétaire est aussi l'occasion pour plusieurs ténors de se positionner pour 2027. Dans son dernier livre, Édouard Philippe prône la rigueur budgétaire mais Xavier Bertrand l'accuse d'être en partie responsable du bilan macroniste. La popularité de Philippe est aussi rattrapée par celle de Bruno Retailleau. Beaucoup verrait bien le très droitier ministre de l'Intérieur à l'Élysée. Alors, quels sont les problèmes de MaPrimeRénov' ? François Bayrou fera-t-il passer son budget 2026 ? Qui est le mieux placé à droite pour la présidentielle ?LES EXPERTS :Nathalie SAINT-CRICQ - Editorialiste politique à France TélévisionsFrançois ECALLE - Ancien rapporteur général à la Cour des Comptes, président de FipecoThomas PORCHER – Économiste, professeur à la Paris School of Business, auteur du VacataireIsabelle RAYMOND - Cheffe du service économique à Franceinfo
Sa traversée du désert à France Télévisions, ses débuts de speakerine, le jour où elle s'est faite attaquée par un lion en direct, son malaise dans Mask Singer ou encore ses envies de télé, Marie-Ange Nardi refait sa télé avec Eric Dussart et Jade le samedi 7 juin 2025 !Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C dans l'air du 5 juin 2025 - Poutine humilié par les drones ukrainiens : quelle riposte ?Symbole du contrôle russe sur la Crimée, le pont du détroit de Kertch a été visé par une attaque ukrainienne. Mardi 3 juin 2025, une charge explosive sous-marine a ciblé l'édifice reliant la péninsule annexée au territoire russe. Sur Telegram, le Service de sécurité d'Ukraine (SBU) a revendiqué l'opération, qui aurait "gravement endommagé" les piliers sous-marins. De leur côté, les autorités russes ont reconnu l'attaque, tout en assurant que la situation était sous contrôle.Malgré les dispositifs de sécurité renforcés par Moscou, Kyiv frappe encore une fois l'un des symboles les plus visibles de l'annexion de la Crimée par la Russie. Cette attaque intervient seulement deux jours après un vaste raid de drones ukrainiens contre des bases aériennes russes, au cours duquel des dizaines d'avions auraient été touchés.Cette intensification des opérations militaires survient dans un climat diplomatique particulièrement tendu. Lundi, la rencontre entre responsables russes et ukrainiens à Istanbul a mis en lumière l'impasse persistante entre les deux camps. Le président des États-Unis s'est également entretenu par téléphone avec Vladimir Poutine. "Il n'y aura pas de paix immédiate", a-t-il averti mercredi. Sur son réseau Truth Social, Donald Trump a relayé les propos du président russe, qui promet une riposte.C'est donc une intensification militaire qui semble s'annoncer en Ukraine, loin de la promesse faite par le président américain de réussir à mettre fin, "en 24 heures", au conflit. Quelle forme prendra-t-elle ? La Russie est-elle sur le point de lancer une offensive majeure ?En guise de réponse aux nombreux appels du pied de Washington, l'homme fort du Kremlin a, au contraire, décidé d'intensifier ses attaques contre l'ex-république soviétique ces dernières semaines. Vladimir Poutine a également intensifié ses contacts avec ses alliés, notamment l'Iran, la Corée du Nord, l'Azerbaïdjan, la Biélorussie et la Chine. Avec Pékin, la relation est décrite comme une amitié "sans limites". Depuis le début du conflit, les échanges commerciaux entre les deux pays ont explosé, atteignant un record de 245 milliards de dollars en 2024. En peu de temps, la Chine a remplacé l'Union européenne en tant que premier acheteur d'énergie et fournisseur de biens de la Russie. Ce qui limite, de facto, l'impact des sanctions occidentales sur l'économie et l'effort de guerre russes.Sur le terrain, les mouvements des troupes russes s'accélèrent. Moscou déploie ses troupes vers plusieurs zones clés du front, notamment dans l'est de l'Ukraine et en Biélorussie. Un haut responsable ukrainien a averti mercredi les États-Unis que l'armée russe préparait des avancées militaires importantes en 2026, dont un barrage de l'accès ukrainien à la mer Noire, crucial pour Kiev.LES EXPERTS :- GÉNÉRAL DOMINIQUE TRINQUAND - Ancien chef de la mission militaire française auprès de l'ONU, auteur de D'un monde à l'autre - VERA GRANTSEVA - Politologue- spécialiste de la Russie - MARYSE BURGOT - Grand reporter à France Télévisions- ALBAN MIKOCZY - Grand reporter à Franceinfo tv
C dans l'air du 5 juin 2025 - Poutine humilié par les drones ukrainiens : quelle riposte ?LES EXPERTS :- GÉNÉRAL DOMINIQUE TRINQUAND - Ancien chef de la mission militaire française auprès de l'ONU, auteur de D'un monde à l'autre - VERA GRANTSEVA - Politologue- spécialiste de la Russie - MARYSE BURGOT - Grand reporter à France Télévisions- ALBAN MIKOCZY - Grand reporter à Franceinfo tv
Épisode 1328 : Roland-Garros, tournoi historique du tennis mondial, connaît une transformation notable de son public, portée par l'essor des réseaux sociaux et l'évolution des modes de consommation du sport.Un engouement toujours massif… mais plus diversifiéL'édition 2025 du tournoi bat des records d'affluence physique, avec près de 700 000 spectateurs attendus dans les tribunes, dépassant les chiffres déjà records de l'an passé.À la télévision, l'événement reste un rendez-vous incontournable : 40,5 millions de téléspectateurs ont suivi Roland-Garros en 2023 sur France Télévisions, avec des pics d'audience lors des finales (4,8 millions pour la finale hommes, 2,2 millions pour la finale femmes).Les jeunes de plus en plus nombreuxLa tranche des 15-24 ans représente désormais une part importante du public TV, notamment lors des grands matchs (52 % de part d'audience pour la finale dans cette tranche d'âge).Retrouvez toutes les notes de l'épisode sur www.lesuperdaily.com ! . . . Le Super Daily est le podcast quotidien sur les réseaux sociaux. Il est fabriqué avec une pluie d'amour par les équipes de Supernatifs. Nous sommes une agence social media basée à Lyon : https://supernatifs.com. Ensemble, nous aidons les entreprises à créer des relations durables et rentables avec leurs audiences. Ensemble, nous inventons, produisons et diffusons des contenus qui engagent vos collaborateurs, vos prospects et vos consommateurs. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:16:01 - L'invité du 13/14 - par : Jérôme CADET - Que change la nouvelle numérotation des chaînes de la TNT pour France Télévisions ? Notamment avec l'arrivée de France 4 sur le 4ème canal, à la place de la chaîne mythique Canal+. Quels programmes vont-être proposés ? Quelles nouvelles offres pour rajeunir le public ?
durée : 00:10:52 - Info médias - Initialement condamnée à disparaître, France 4 connaît une renaissance inattendue avec son passage sur le canal 4 de la TNT. Michel Field, directeur culture de France Télévisions, revient sur cette résurrection portée par la crise sanitaire, le service public… et un tweet présidentiel. Il évoque aussi l'ADN de la chaîne, entre jeunesse et culture.
C dans l'air du 3 juin 2025 - Paris : pourquoi tant de violences ?LES EXPERTS :- Alain BAUER - Professeur de criminologie - CNAM- Christophe BARBIER - Éditorialiste politique, conseiller de la rédaction - Franc-Tireur - Nathalie MAURET - Reporter politique - Groupe de presse régionale Ebra- Audrey GOUTARD - Grand reporter - France Télévisions, spécialiste des faits de société- Arnaud DE SAINT-REMY (en duplex) - Avocat spécialiste du droit des mineurs
C dans l'air du 3 juin 2025 - Paris : pourquoi tant de violences ?Après la victoire du Paris Saint-Germain en finale de la Ligue des champions face aux Italiens de l'Inter Milan, des scènes de débordements se sont multipliées en France dans la nuit du samedi 31 mai au dimanche 1er juin. Des supermarchés et d'autres magasins ont été saccagés puis pillés, des voitures ont été brûlées, du mobilier urbain dégradé… Les dégâts matériels sont très importants et le bilan humain est tragique : deux personnes sont décédées, plus de 200 autres ont été blessées. Les forces de l'ordre ont procédé à plus de 560 interpellations dans toute la France, dont près de 491 à Paris, au terme d'une nuit marquée par des incidents d'une ampleur considérable. Mais pourquoi a-t-on assisté à de telles scènes de violence ?Depuis deux jours, la polémique monte sur la sécurité autour de l'événement et sur la réponse judiciaire apportée, alors que les premières condamnations sont tombées. Quatre hommes, âgés de 20 à 23 ans notamment, ont été jugés lundi en comparution immédiate pour des tirs de mortier ou des jets de projectiles envers les forces de l'ordre. Sans casier judiciaire et insérés socialement — étudiants ou en formation —, tous ont été condamnés à des peines allant de 2 à 8 mois de prison avec sursis. Certains d'entre eux devront également s'acquitter d'une amende et réaliser des travaux d'intérêt général ou un stage de citoyenneté.Une décision de justice qui a fait réagir le garde des Sceaux. "À la suite des graves incidents d'ordre public et des désordres répétés de ce week-end, une partie des condamnations pour violences, notamment commises à l'encontre des forces de l'ordre et pour destructions de biens, ne sont plus à la hauteur de la violence que connaît notre pays", a réagi Gérald Darmanin sur X ce mardi 3 juin au matin, avant de proposer de "faire évoluer radicalement la loi". Selon lui, il faudrait "supprimer les aménagements de peine obligatoires", "supprimer le sursis" et "mettre en place par la loi une condamnation minimale systématique une fois la culpabilité reconnue". "Par exemple, trois mois de prison ferme (réellement exécutés) minimum pour toute agression envers un représentant de l'État, ou encore une amende très élevée pour toute destruction", a poursuivi le ministre de la Justice.Les violences en marge de la victoire parisienne ont également enflammé les débats ce mardi à l'Assemblée nationale. Le groupe LFI a annoncé le dépôt d'une demande de commission d'enquête "sur la gestion de la sécurité publique après le match" PSG-Inter. Les Insoumis, qui comptent sur le soutien d'autres groupes pour faire prospérer cette initiative, entendent ainsi "expertiser ce fiasco dont le ministre de l'Intérieur", Bruno Retailleau, est à leurs yeux "directement responsable".Ciblé par l'extrême droite pour son inaction, le ministre de l'Intérieur est aussi critiqué à gauche pour ses propos. En qualifiant à nouveau les fauteurs de trouble de "barbares", il s'est attiré les foudres de plusieurs élus. "Ce tweet est indigne d'un ministre de l'Intérieur républicain. Il faut refuser la violence de ceux qui voudraient gâcher la fête, mais pourquoi utiliser ce vocabulaire : “barbare”, “sauvage”, c'est-à-dire : étranger et quasi animal ?", a déploré le député NFP de Seine-Saint-Denis Alexis Corbière.Dans ce climat tendu, un autre drame a secoué l'opinion : le meurtre de Hichem Miraoui, abattu devant son domicile à Puget-sur-Argens (Var). Bruno Retailleau a qualifié les faits de "crime raciste" mais le patron des socialistes Olivier Faure juge qu'il "participe au débat public avec ceux qui, à l'extrême droite, cherchent à banaliser le racisme, à expliquer qu'il y a une forme de menace qui serait créée par nos concitoyens d'origine étrangère".Alors, que s'est-il passé en marge de la victoire du PSG ce week-end ? Pourquoi ces scènes de violence après une grande célébration sportive ? Plus largement, pourquoi les violences à l'encontre des représentants de l'État, notamment les maires, sont-elles si nombreuses ? Enfin, que sait-on du meurtre de Hichem Miraoui, dont s'est saisi le parquet antiterroriste ?LES EXPERTS :- Alain BAUER - Professeur de criminologie - CNAM- Christophe BARBIER - Éditorialiste politique, conseiller de la rédaction - Franc-Tireur - Nathalie MAURET - Reporter politique - Groupe de presse régionale Ebra- Audrey GOUTARD - Grand reporter - France Télévisions, spécialiste des faits de société- Arnaud DE SAINT-REMY (en duplex) - Avocat spécialiste du droit des mineursPRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.frFACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5TWITTER : https://twitter.com/cdanslairINSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
C dans l'air du 29 mai 2025 : ZFE, A69, pesticides : l'écologie, c'est fini ?Les députés ont voté mercredi soir la suppression des zones à faibles émissions (ZFE), ces périmètres mis en place pour interdire l'accès aux véhicules les plus polluants dans les centres-villes. Cet amendement, porté par les groupes Les Républicains (LR) et le Rassemblement national (RN), a été soutenu par les insoumis et certains députés macronistes.En ligne de mire : l'impact social des ZFE, accusées de pénaliser les ménages modestes, qui n'ont pas les moyens d'acheter un véhicule moins polluant. Malgré les alertes des défenseurs de la santé publique, le texte a été adopté, au grand dam des partisans du dispositif, qui dénoncent un vote " grave" aux "lourdes conséquences sanitaires" à quelques mois des élections municipales. Ils regrettent également l'absence d'un accompagnement du dispositif pour permettre la transition (aide aux plus modestes, dérogations).Présentes dans une quarantaine d'agglomérations, les ZFE ont été lancées en 2019 pour limiter les émissions de particules fines, responsables de maladies respiratoires et de 40 000 décès par an selon Santé publique France. Mais leur mise en œuvre a varié d'un territoire à l'autre, créant confusion et tensions. Ces derniers mois, les contestations locales s'étaient multipliées.Ce vote ne signifie toutefois pas la fin immédiate des ZFE. Le projet de loi de "simplification", auquel est rattaché cet amendement, doit encore être adopté dans son ensemble. Il passera ensuite en commission mixte paritaire. Le Conseil constitutionnel pourrait également censurer cette mesure, jugée trop éloignée de l'objet initial du texte.Autre dossier brûlant : l'autoroute A69, entre Toulouse et Castres. Mercredi, la cour administrative de Toulouse a autorisé la reprise du chantier, stoppé depuis février. Elle a répondu favorablement à un recours en urgence déposé par l'État, malgré l'absence de "raison impérative d'intérêt public majeur" invoquée par la justice pour suspendre les travaux en février dernier.Le fond du dossier sera examiné lors d'un procès en appel prévu dans plusieurs mois. Mais les opposants craignent que les travaux soient terminés avant. Ils dénoncent un passage en force et prévoient de nouvelles mobilisations, alors qu'un texte controversé, reconnaissant un "intérêt public majeur" au projet, doit être examiné la semaine prochaine à l'Assemblée nationale, après son adoption par le Sénat.La suppression des ZFE et la relance de l'A69 s'inscrivent dans un contexte plus large de remises en cause des politiques environnementales. Ces derniers jours, les parlementaires ont aussi voté des mesures détricotant le principe de "zéro artificialisation nette", qui vise à lutter contre la bétonisation des sols, ou encore décidé de réintroduire un pesticide jusqu'alors interdit.Face à cette dynamique, de nombreuses voix s'élèvent. François Gemenne, professeur à HEC, membre du GIEC et spécialiste des migrations climatiques, alerte depuis plusieurs mois sur la montée d'un "populisme anti-écolo" en France et en Europe. Il déplore une tendance à faire de l'écologie un bouc émissaire et appelle à un changement de ton chez les écologistes eux-mêmes. Selon lui, leur discours moralisateur aurait contribué à braquer une partie de l'opinion publique.LES EXPERTS :- Soazig QUÉMÉNER, rédactrice en chef - La Tribune Dimanche - Nathalie SAINT-CRICQ, éditorialiste politique - France Télévisions - Frédéric DENHEZ, journaliste spécialiste des questions environnementales - Marianne - Caroline BRUNEAU, journaliste Industrie - Aerospatium
C dans l'air du 29 mai 2025 : ZFE, A69, pesticides : l'écologie, c'est fini ?Les députés ont voté mercredi soir la suppression des zones à faibles émissions (ZFE), ces périmètres mis en place pour interdire l'accès aux véhicules les plus polluants dans les centres-villes. Cet amendement, porté par les groupes Les Républicains (LR) et le Rassemblement national (RN), a été soutenu par les insoumis et certains députés macronistes.En ligne de mire : l'impact social des ZFE, accusées de pénaliser les ménages modestes, qui n'ont pas les moyens d'acheter un véhicule moins polluant. Malgré les alertes des défenseurs de la santé publique, le texte a été adopté, au grand dam des partisans du dispositif, qui dénoncent un vote " grave" aux "lourdes conséquences sanitaires" à quelques mois des élections municipales. Ils regrettent également l'absence d'un accompagnement du dispositif pour permettre la transition (aide aux plus modestes, dérogations).Présentes dans une quarantaine d'agglomérations, les ZFE ont été lancées en 2019 pour limiter les émissions de particules fines, responsables de maladies respiratoires et de 40 000 décès par an selon Santé publique France. Mais leur mise en œuvre a varié d'un territoire à l'autre, créant confusion et tensions. Ces derniers mois, les contestations locales s'étaient multipliées.Ce vote ne signifie toutefois pas la fin immédiate des ZFE. Le projet de loi de "simplification", auquel est rattaché cet amendement, doit encore être adopté dans son ensemble. Il passera ensuite en commission mixte paritaire. Le Conseil constitutionnel pourrait également censurer cette mesure, jugée trop éloignée de l'objet initial du texte.Autre dossier brûlant : l'autoroute A69, entre Toulouse et Castres. Mercredi, la cour administrative de Toulouse a autorisé la reprise du chantier, stoppé depuis février. Elle a répondu favorablement à un recours en urgence déposé par l'État, malgré l'absence de "raison impérative d'intérêt public majeur" invoquée par la justice pour suspendre les travaux en février dernier.Le fond du dossier sera examiné lors d'un procès en appel prévu dans plusieurs mois. Mais les opposants craignent que les travaux soient terminés avant. Ils dénoncent un passage en force et prévoient de nouvelles mobilisations, alors qu'un texte controversé, reconnaissant un "intérêt public majeur" au projet, doit être examiné la semaine prochaine à l'Assemblée nationale, après son adoption par le Sénat.La suppression des ZFE et la relance de l'A69 s'inscrivent dans un contexte plus large de remises en cause des politiques environnementales. Ces derniers jours, les parlementaires ont aussi voté des mesures détricotant le principe de "zéro artificialisation nette", qui vise à lutter contre la bétonisation des sols, ou encore décidé de réintroduire un pesticide jusqu'alors interdit.Face à cette dynamique, de nombreuses voix s'élèvent. François Gemenne, professeur à HEC, membre du GIEC et spécialiste des migrations climatiques, alerte depuis plusieurs mois sur la montée d'un "populisme anti-écolo" en France et en Europe. Il déplore une tendance à faire de l'écologie un bouc émissaire et appelle à un changement de ton chez les écologistes eux-mêmes. Selon lui, leur discours moralisateur aurait contribué à braquer une partie de l'opinion publique.LES EXPERTS :- Soazig QUÉMÉNER, rédactrice en chef - La Tribune Dimanche - Nathalie SAINT-CRICQ, éditorialiste politique - France Télévisions - Frédéric DENHEZ, journaliste spécialiste des questions environnementales - Marianne - Caroline BRUNEAU, journaliste Industrie - Aerospatium
Du lundi au vendredi, Julien Pichené fait le point sur l'actualité des médias. Aujourd'hui, France Télévisions va rester le diffuseur des coupes d'Europe de rugby, TF1 a obtenu les droits pour diffuser en clair les matchs des équipes de France de basket lors des prochaines grandes compétitions, l'avenir de Laurent Ruquier sur TF1, l'émission "Un dîner presque parfait" va changer de chaîne. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Du lundi au vendredi, Julien Pichené fait le point sur l'actualité des médias. Aujourd'hui, France Télévisions va rester le diffuseur des coupes d'Europe de rugby, TF1 a obtenu les droits pour diffuser en clair les matchs des équipes de France de basket lors des prochaines grandes compétitions, l'avenir de Laurent Ruquier sur TF1, l'émission "Un dîner presque parfait" va changer de chaîne. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Entre sport et danse, nos corps balancent avec Thomas Docquir, premier danseur belge à l'Opéra de Paris et Alexandre Boyon, le plus belge des journalistes sportifs de France Télévisions Né à Stave dans la province de Namur, Thomas Docquir débute la danse à l'âge de 8 ans. Très doué, il intègre quatre ans plus tard l'école des petits rats de l'Opéra de Paris. A force de travail, discipline et persévérance, il gravit les échelons pour se hisser au sommet. Actuellement, il incarne le Prince Désiré, premier rôle masculin dans le ballet ‘La Belle au bois dormant' Alexandre Boyon est né dans le Val-de-Marne mais il a grandi à Lille. Journaliste sportif sur France 2, il commente tous les Jeux Olympiques depuis 1996 à Atlanta mais ce féru de sports avait déjà passé la frontière quelques années plus tôt pour rejoindre sa belle à Tournai Chaque dimanche, Adrien Joveneau vous fait découvrir ces Belges qui ont donné des ailes à leurs rêves, à 9 heures sur La Première ou en podcast à volonté sur RTBF Auvio.be France - 28/05/25 Merci pour votre écoute Les Belges du bout du Monde, c'est également en direct tous les dimanches de 9h à 10h sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez l'ensemble des épisodes des Belges du bout du Monde sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/432Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:01:48 - Les 80'' - par : Nicolas Demorand - Je vous emmène suivre les toujours passionnants « liens vagabonds » de nos amis de Méta-Media, la cellule de France Télévisions qui réfléchit à l'avenir du journalisme. Cette semaine, un petit crochet par le Festival de Cannes où était présenté un documentaire sur Bono, le chanteur du groupe U2.
Plusieurs débats au cœur de l'actualité, les Grandes gueules ont le choix, en débattre ou non : Paris, 3 sites de baignade ouverts cet été... vous plongez ? Troisième mandat à France Télé, Delphine Ernotte s'accroche ! Landerneau, pas d'alcool pour les Schtroumpfs !
Du lundi au vendredi, Julien Pichené fait le point sur l'actualité des médias. Aujourd'hui, Delphine Ernotte Cunci reste à la tête de France Télévisions, le feuilleton "Un si grand soleil" diffusé sur France 3 vient d'obtenir le Label Ecoprod "3 étoiles", Jimmy Mohamed se serait blessé la semaine dernière sur le tournage de Fort Boyard et une candidate de “Mariés au premier regard” est harcelée pour son orientation sexuelle. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pascal Praud revient pendant deux heures, sans concession, sur tous les sujets qui font l'actualité. Aujourd'hui 15/05/2025, il réagit avec la journaliste, Françoise Laborde à la disparition de Daniel Bilalian, journaliste et présentateur des JT de France Télévisions à l'âge de 78 ans. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur les grandes thématiques développées dans l'émission du jour. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C dans l'air du 13 mai 2025 : Pompiers, tribunaux...violences sans limiteDepuis plusieurs années, la société française est secouée par une série de faits de violence, qui se traduit par des agressions envers les représentants de l'État (enseignants et personnels scolaires, policiers…) des harcèlements avec menaces de mort, des rixes entre bandes rivales ou des lynchages. Et les exemples s'accumulent. Rien que sur ces dernières heures on a appris que la fille du PDG d'une grande plateforme d'achat de cryptomonnaies a échappé ce mardi à une tentative d'enlèvement en pleine rue à Paris. Ce week-end, deux violentes agressions de sapeurs-pompiers ont eu lieu en Haute-Savoie. Et hier soir, c'est une violente bagarre qui a éclaté dans l'enceinte de la cour d'assises de la Gironde lors du procès de trois jeunes hommes, jugés pour la mort de Lionel, 16 ans, mortellement blessé lors d'une fusillade, sur fond de rivalités entre quartiers bordelais. Les parents de l'adolescent tué ont fait part de leur "colère" contre ceux "qui ne respectent pas la mémoire" de leur fils. "Il faut leur faire comprendre qu'on n'est pas dans un pays sans lois (…) On compte sur la justice pour que le verdict qui sera prononcé fasse écho dans les quartiers, pour qu'il n'y ait pas d'autre Lionel", a dit son père. "Il n'y a plus un seul territoire où les Français sont à l'abri de cette violence et de cet ensauvagement partout dans notre pays. (…) Même dans un palais de justice, ces bandes de jeunes qui créent le trouble ne craignent même plus l'autorité", a de son côté réagi Jordan Bardella, président du Rassemblement national (RN) sur TF1. Appelant à "un tournant", il a accusé le gouvernement, y compris le ministre de l'Intérieur, Bruno Retailleau, "d'inaction".Le débat sur l'insécurité dans le pays est relancé. Une question qui occupe une place centrale depuis plusieurs semaines dans la campagne opposant Bruno Retailleau à Laurent Wauquiez pour la présidence du parti Les Républicains. À une semaine du vote, les deux rivaux multiplient leur présence dans les médias et sur le terrain, pour tenter de convaincre les plus de 121 000 adhérents à jour de cotisation, avec un thème de prédilection : la sécurité.Mais quel est leur programme ? Quelle est la réalité de la violence en France ? Pourquoi les magnats de la cryptomonnaie et leurs proches sont-ils des nouvelles cibles pour les gangs ? Comment lutter contre l'insécurité ? Nos journalistes se sont rendus dans l'Oise où il y a deux ans, le 29 mars 2023, une violente rixe a opposé des jeunes de deux villes, Montataire et Villers-Saint-Paul. Depuis les élus et médiateurs ont développé un programme pour empêcher que des tensions ne débouchent sur de nouveaux affrontements.LES EXPERTS : - Alain BAUER, professeur de criminologie au Conservatoire national des Arts et Métiers, auteur de Menace sur Taïwan et Opération Zelensky publiés chez First- Audrey GOUTARD, grand reporter à France Télévision, spécialiste des faits de société- Christophe BARBIER, éditorialiste politique, Conseiller de la rédaction de Franc-tireur - Evelyne SIRE-MARIN, magistrate honoraire, vice-présidente de la Ligue des Droits de l'Homme
C dans l'air du 13 mai 2025 : Pompiers, tribunaux...violences sans limiteLES EXPERTS : - Alain BAUER, professeur de criminologie au Conservatoire national des Arts et Métiers, auteur de Menace sur Taïwan et Opération Zelensky publiés chez First- Audrey GOUTARD, grand reporter à France Télévision, spécialiste des faits de société- Christophe BARBIER, éditorialiste politique, Conseiller de la rédaction de Franc-tireur - Evelyne SIRE-MARIN, magistrate honoraire, vice-présidente de la Ligue des Droits de l'Homme
durée : 00:54:10 - Questions politiques - par : Elodie Forêt, Fabienne Le Moal - Le ministre de l'Europe et des Affaires étrangères Jean-Noël Barrot est l'invité de Questions politiques ce dimanche. Une émission présentée par Élodie Forêt avec Nathalie Saint-Cricq de France Télévisions et Claire Gatinois du journal Le Monde. - invités : Jean-Noël Barrot - Jean-Noël Barrot : Homme politique français
C dans l'air du 9 mai 2025 : Léon XIV, le vatican contre la maison blanche ?« Habemus Papam ! » il est 19h15 lorsque la célèbre formule a été prononcée sur la place Saint-Pierre. Un nouveau pape, le premier américain de l'Histoire, allait être présenté au monde catholique. Robert Francis Prevost, qui prit le nom de Léon XIV, a alors prononcé un premier discours, placé sous le signe de la paix. « Le mal ne l'emportera pas ! », a-t-il affirmé.Prevost, âgé de 69 ans, est réputé être le plus latino des cardinaux états-uniens. De père français et de mère italienne, il s'inscrit dans le sillage d'une Église engagée sur les questions sociales et tournée vers le monde. Sur X, quand il était cardinal ou évêque, Prevost n'hésitait pas à prendre position contre Donald Trump, notamment concernant la question des migrants. Celui-ci l'a toutefois félicité hier, "Quel grand honneur pour notre pays", a-t-il lancé sur Truth Social.Léon XIV se retrouve le chef d'une Église catholique perdant des fidèles malgré le milliard de catholiques dans le monde. Une crise de la foi et des vocations, marquée par une baisse des pratiques religieuses, qui l'oblige à réfléchir à sa volonté de réformer. Pourtant, le nombre de baptêmes catholiques d'adultes en France ne cesse de progresser. En deux ans, il a même doublé.Mais quel regard porte l'Église sur les enjeux de la société moderne, comme le genre ou l'écologie ? Le sujet des violences sexuels devra aussi être traité par Léon XIV. Ce sujet demeure l'un des plus grands défis pour l'Église. Le Vatican était notamment au courant des violences sexuelles commises par l'abbé Pierre, d'après une enquête des journalistes Laetitia Cherel et Marie-France Etchegoin.Alors, le pontificat de Léon XIV sera-t-il dans la continuité de celui de François ? Comment l'Église catholique réfléchit-elle à son avenir ? Que savait le Vatican du cas l'Abbé Pierre ? LES EXPERTS : ANTHONY BELLANGER - Éditorialiste - Franceinfo TV, spécialiste des questions internationales Christine PEDOTTI - Directrice de la rédaction de Témoignage chrétien VIRGINIE RIVA - Journaliste politique à Contexte, spécialiste des religions, auteure de « Ce pape qui dérange » Alban MICOCZY - Ancien correspondant à Rome pour France Télévisions PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.frFACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5TWITTER : https://twitter.com/cdanslairINSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
C dans l'air du 9 mai 2025 : Léon XIV, pape anti-Trump ?LES EXPERTS : ANTHONY BELLANGER - Éditorialiste - Franceinfo TV, spécialiste des questions internationales Christine PEDOTTI - Directrice de la rédaction de Témoignage chrétien VIRGINIE RIVA - Journaliste politique à Contexte, spécialiste des religions, auteure de « Ce pape qui dérange » Alban MICOCZY - Ancien correspondant à Rome pour France Télévisions
durée : 00:06:03 - franceinfo junior - Dans un documentaire diffusé sur France Télévisions, l'histoire et les origines de l'esclavage sont retracés. On en parle dans franceinfo junior avec sa co-réalisatrice, Sonia Dauger, et des collégiens.
C dans l'air du 24 avril 2025 - Affaire Bétharram : scandales en sérieLES EXPERTS : - Christophe BARBIER - Éditorialiste politique, conseiller de la rédaction - Franc-Tireur - Audrey GOUTARD - Grand reporter - France Télévisions, spécialiste des faits de société- Solène PODEVIN-FAVRE - Membre du collège directeur de la CIIVISe – Commission Indépendante sur l'Inceste et les Violences Sexuelles faites aux Enfants - Antton ROUGET - Journaliste – Médiapart
C dans l'air du 24 avril 2025 - Affaire Bétharram : scandales en sérieC'est un livre choc qui parait ce jeudi. Dans Le silence de Bétharram, Alain Esquerre dépeint le système de violences mis en place au sein de l'institution catholique privée pendant des décennies. Avec la journaliste Clémence Badault, ils ont rassemblé les témoignages de dizaines de victimes qui décrivent les sévices physiques et sexuelles subis pendant leur scolarité dans l'établissement. A ce jour, plus de 200 plaintes ont été déposées contre l'institution béarnaise après un an et demi de combat pour faire éclater la vérité.Parmi ces témoignages, figure celui de la fille du Premier ministre François Bayrou, Hélène Perlant. Elle révèle avoir été victime, adolescente, de violences lors d'un camp d'été organisé par la congrégation à laquelle appartient l'établissement privé catholique au cœur du scandale. "Je voulais me faire recenser comme victime, une victime parmi d'autres et fille du Premier ministre", a-t-elle déclaré sur France Inter. Hélène Perlant assure que son père François Bayrou "ne savait pas" les violences dont elle a été victime. "J'ai été obligée de lui dire parce que Le Canard enchaîné l'a contacté. On avait l'intention de ne pas le dire", a-t-elle poursuivi."En tant que père de famille, ça me poignarde le cœur (…). Qu'on ne l'ait pas su et que des dérives de cet ordre aient eu lieu, pour moi, c'est presque insupportable", a répondu le Premier ministre. François Bayrou a également affirmé que sa fille ne lui avait "jamais parlé" de violences. Toutefois, "elle n'est pas le centre de l'affaire" et "ce n'est pas une affaire personnelle", selon lui. "En tant que responsable public (…), c'est aux victimes que je pense" et "je ne veux pas les abandonner", a-t-il déclaré. François Bayrou doit être entendu le 14 mai par la commission d'enquête parlementaire née du scandale de Bétharram. "Je ne dis depuis le premier jour que ce que je sais de cette affaire, que la vérité de ce que je découvre, et je n'ai, de ce point de vue-là, aucun problème à répondre", a dit le Premier ministre, interrogé sur cette convocation. Plus tôt dans le mois, un ancien gendarme et un ancien juge qui ont enquêté sur la première plainte pour viol ayant visé un religieux de cet établissement scolaire catholique ont fait savoir que François Bayrou était intervenu dans cette affaire. Des propos démentis par le Premier ministre. Originaire de la région, l'actuel maire de Pau et ancien député et président du conseil départemental des Pyrénées-Atlantiques, ex-ministre de l'Éducation nationale entre 1993 et 1997, nie plus largement avoir eu connaissance, dans le passé, des violences qui se déroulaient dans l'établissement.Nos journalistes ont recueilli le témoignage de plusieurs victimes de Bétharram. Ils ont également interviewé le juge Edouard Durand, magistrat spécialiste du droit des enfants, ancien président de la Ciivise qui continue à incarner la lutte contre les violences sexuelles sur mineurs. LES EXPERTS : - Christophe BARBIER - Éditorialiste politique, conseiller de la rédaction - Franc-Tireur - Audrey GOUTARD - Grand reporter - France Télévisions, spécialiste des faits de société- Solène PODEVIN-FAVRE - Membre du collège directeur de la CIIVISe – Commission Indépendante sur l'Inceste et les Violences Sexuelles faites aux Enfants - Antton ROUGET - Journaliste – Médiapart
C dans l'air du 22 avril 2025 : Impôts : les retraités vont-ils plus payer ?Comment renflouer les caisses de l'État de 40 milliards d'euros ? C'est l'équation sur laquelle planche Bercy, avec la préparation du budget 2026, dont l'objectif est une réduction du déficit à 4,6 % l'an prochain. Parmi les pistes envisagées se trouvent les niches fiscales. Elles sont 467 au total et coûtent 85 milliards d'euros à l'État chaque année. Bercy veut en supprimer au moins 50 et n'écarte aucune hypothèse. Pas même celle de mettre les retraités à contribution via la suppression de l'abattement fiscal de 10 % dont ils bénéficient.Créé en 1978 par le gouvernement de Raymond Barre, cet abattement fiscal accorde à chaque retraité une déduction automatique de 10 % sur ses revenus (dans la limite de 4.399 euros) annuels au moment de la déclaration. Ce qui se traduit in fine par une baisse d'impôt. Dans Le Parisien, la ministre des Comptes publics ne s'est pas dit contre une remise en cause de cet abattement fiscal, estimant "que ce n'est pas votre âge qui doit définir votre contribution". "Je pense, à titre personnel, qu'on ne peut pas indéfiniment mettre à contribution les actifs pour financer les nouvelles dépenses sociales liées au vieillissement", a ajouté Amélie de Montchalin.La suppression de cette niche fiscale permettrait à l'État de récupérer près de 5 milliards d'euros. Plus précisément, la Cour des comptes estime à 4,494 milliards d'euros le coût de cette mesure pour l'État en 2023, ce qui en fait la quatrième niche fiscale la plus coûteuse, derrière le crédit d'impôt en faveur de la recherche (CIR), une aide aux entreprises (7,2 milliards) ; le crédit d'impôt pour l'emploi d'un salarié à domicile (5,9 milliards) et la détermination du résultat imposable des entreprises de transport maritime en fonction du tonnage de leurs navires (dispositif mis en place pour protéger les armateurs face à la concurrence asiatique, 5,6 milliards). La Cour des comptes déplorait dans un précédent rapport une "articulation insuffisante" entre les dépenses fiscales et les objectifs des politiques publiques qu'elles sont censées soutenir – quand leurs effets concrets sont connus et appelé à procéder à la revue de l'ensemble des dépenses fiscales d'ici 2027.Alors que va décider le gouvernement ? Si le Premier ministre a fixé avant le 14 juillet la date butoir pour dévoiler ses grandes orientations, le premier président de la Cour des comptes n'a pas attendu pour pousser un coup de gueule. Lors de la présentation son rapport sur le résultat du budget 2024 de l'État, Pierre Moscovici a étrillé la gestion budgétaire des derniers mois. Il a également regretté l'impossibilité pour son institution de certifier les comptes de État "sans des réserves très significatives", dénonçant le "refus persistant de l'administration d'appliquer les principes et normes comptables communément acceptés". L'institution de la rue Cambon déplore "5 anomalies significatives", autrement dit des comptes sous-évalués ou surévalués « sur plusieurs milliards d'euros", mais aussi 11 insuffisances ou incertitudes, sur lesquelles les magistrats financiers ont été incapables de "réconcilier les chiffres". Dans ces conditions, Pierre Moscovici s'interroge sur l'attitude à adopter lors des prochains exercices budgétaires, si ses observations continuent d'être prises "à la légère" et prévient : "en l'absence de progrès significatifs en 2025, la Cour pourrait être amenée à en tirer les conséquences […] autrement dit à ne pas certifier les comptes". L'ancien ministre de l'Économie a d'ailleurs fait la comparaison avec le monde privé. " J'imagine la situation d'une entreprise où le commissaire aux comptes certifierait les comptes avec de fortes réserves ou ne les certifierait pas, et où le conseil d'administration dirait on s'en fiche. Ce n'est pas sérieux !"Du coté des entreprises également, plusieurs grands patrons français ont donné de la voix ces derniers jours face à l'exécutif à Paris et à Bruxelles. Bernard Arnault, PDG du numéro un mondial du luxe LVMH, qui avait dénoncé en février une taxation française pénalisant le "Made in France", a mené la charge jeudi dernier contre l'UE et les "bureaucrates" de Bruxelles. L'Union européenne, selon lui, "n'est pas dirigée par un pouvoir politique […] mais par un pouvoir bureaucratique qui passe son temps à éditer des réglementations", rendant "pas facile" la création d'une "zone de libre-échange" entre les États-Unis et l'UE - une zone à laquelle il s'est dit comme Elon Musk "favorable". Le même jour le directeur général de L'Oréal, Nicolas Hieronimus a évoqué parmi les pistes pour faire face aux droits de douane américains la possibilité de relocaliser "une partie" de la production aux États-Unis. Le PDG de TotalEnergies Patrick Pouyanné s'est lui attaqué dans les colonnes du Figaro magazine au "millefeuille administratif du pays". "Quand il faut trois ans pour faire une ferme solaire aux États-Unis, cela prend sept ans en France. Et pour un projet dix fois plus petit !", selon lui.À rebours de ces positions, Michel-Édouard Leclerc, le président du comité stratégique des centres E.Leclerc, a estimé qu'"il ne faut pas que Bernard Arnault, que Rodolphe Saadé, le président de CMA CGM (qui s'est affiché début mars dans le Bureau ovale avec Donald Trump pour annoncer 20 milliards d'investissements aux États-Unis sur 4 ans) ou Schneider Electric (qui avait dit fin mars compter investir plus de 700 millions de dollars d'ici 2027 aux États-Unis, NDLR) aillent signer leur accord avant que l'Europe n'ait négocié, sinon on a l'air minable". "Je lance un appel à Bernard Arnault : Fais société, fais nation", a-t-il ajouté.Pendant ce temps, Donald Trump poursuit sa guerre commerciale et accentue sa pression sur le président de la Fed, Jerome Powell. "Si je veux qu'il parte, il va partir très vite croyez-moi", a lancé le locataire de la Maison-Blanche jeudi dernier. Une menace réitérée lundi : "Il peut y avoir un RALENTISSEMENT de l'économie à moins que 'Monsieur le retardataire', cet immense looser, ne baisse les taux d'intérêt, MAINTENANT", a-t-il écrit sur son réseau Truth Social. Jerome Powell a pourtant été nommé par Donald Trump en 2017, puis reconduit par Joe Biden en 2022. Son mandat s'étend désormais jusqu'en mai 2026. Mais depuis son retour au pouvoir, le républicain reproche au patron de la Fed de ne pas baisser ses taux assez vite. Une baisse des taux pourrait doper la croissance, alors que les États-Unis viennent d'imposer des droits de douane à presque tous les pays du monde. Mais la Fed préfère prendre son temps afin de ne pas prendre le risque d'aggraver l'inflation qui est repartie à la hausse. Des tensions persistantes entre le président américain et Jerome Powell qui inquiètent les marchés. La Bourse de Wall Street a fini en forte baisse lundi et le dollar poursuit sa dégringolade face aux principales devises mondiales.LES EXPERTS : - PHILIPPE DESSERTINE - Directeur de l'Institut de Haute Finance, auteur de Le grand basculement - CAROLINE MICHEL-AGUIRRE - Grand reporter au service politique - Le Nouvel Obs - NATHALIE SAINT-CRICQ - Editorialiste politique - France Télévisions - OLIVIA DETROYAT - Journaliste économique - Le Figaro
C dans l'air du 22 avril 2025 : Impôts : les retraités vont-ils plus payer ?LES EXPERTS : - PHILIPPE DESSERTINE - Directeur de l'Institut de Haute Finance, auteur de Le grand basculement - CAROLINE MICHEL-AGUIRRE - Grand reporter au service politique - Le Nouvel Obs - NATHALIE SAINT-CRICQ - Editorialiste politique - France Télévisions - OLIVIA DETROYAT - Journaliste économique - Le Figaro