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Emmanuel Macron a défendu sa politique économique sur TF1, assumant l'augmentation de la dette publique pour protéger les Français face aux crises successives.Traduction:Emmanuel Macron defended his economic policy on TF1, acknowledging increased public debt as necessary to shield French citizens from successive crises. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
La marque longtemps leader du discount français doit tailler dans ses effectifs et ses magasins. Un crève-cœur pour son fondateur atypique Philippe Ginestet. Dans « La Story », le podcast d'actualité des « Echos », Pierrick Fay et ses invités reviennent sur les difficultés d'un précurseur du discount, GiFi.Retrouvez l'essentiel de l'actualité économique grâce à notre offre d'abonnement Access : abonnement.lesechos.fr/lastory« La Story » est un podcast des « Echos » présenté par Pierrick Fay. Cet épisode a été enregistré en mai 2025. Rédaction en chef : Clémence Lemaistre. Invités : Isabelle Couet et Renaud Honoré (enquêteurs aux « Echos »). Réalisation : Willy Ganne. Chargée de production et d'édition : Michèle Warnet. Musique : Théo Boulenger. Identité graphique : Upian. Photo : Laurent Grandguillot/REA. Sons : franceinfo, GiFi, amelbonplan, TF1, La Coopérative Welcoop. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:37:46 - Questions du soir : le débat - par : Quentin Lafay, Stéphanie Villeneuve - Le 13 mai sur TF1, Emmanuel Macron a évoqué un possible recours au référendum pour débloquer certaines réformes. Est-ce une réponse aux blocages démocratiques ou un outil du populisme ? À l'heure où la parole politique se délite, le vote direct interroge notre manière de décider ensemble. - réalisation : François Richer - invités : Raphaël Doan Agrégé de Lettres classiques, enseignant à Sciences Po Paris, essayiste ; Dominique Rousseau Professeur de droit constitutionnel à Paris 1 Panthéon-Sorbonne, ancien membre du Conseil Supérieur de la Magistrature de 2002 à 2006.
Mercredi 7 mai, 22h45, Luis Enrique s'élance sur la pelouse pour embrasser ses joueurs, le coup de sifflet vient de sonner. Le Paris Saint-Germain est qualifié en finale de la Ligue des Champions. Un parcours extraordinaire que le club doit en grande partie à son coach.Depuis deux ans, l'espagnol porte le PSG à bout de bras. Si ses idées ont d'abord été critiquées par la presse, les joueurs ainsi que les supporters, l'entraîneur a depuis fait ses preuves. Luis Enrique, lui, n'a qu'un mot d'ordre : la star, c'est l'équipe. Pour Code source, Benjamin Quarez et Stéphane Bianchi, journalistes sportifs du Parisien, dressent le portrait de Luis Enrique, l'entraîneur prodige du PSG.Écoutez Code source sur toutes les plates-formes audio : Apple Podcast (iPhone, iPad), Amazon Music, Podcast Addict ou Castbox, Deezer, Spotify.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Reporter : Barbara Gouy - Production : Pénélope Gualchierotti, Thibault Lambert, Clémentine Spiler et Orianne Gendreau - Réalisation et mixage : Pierre Chaffanjon - Musiques : François Clos, Audio Network - Archives : PSG, Cadena ser, Beinsports, Canal+, TF1. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Alors qu'il assurait la veille au soir ne jamais participer à "Mask Singer", Jeanfi Janssens a surpris Laurent Ruquier sur le plateau de TF1. Un mensonge droit dans les yeux ! Retrouvez tous les jours le meilleur des Grosses Têtes en podcast sur RTL.fr et l'application RTL.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
« Ma vie a été très belle, je voudrais bien que ma mort le soit aussi. » Charles Bietry, 81 ans, a interpellé Emmanuel Macron mardi 13 mai sur TF1. L'ancien journaliste sportif souffre d'une maladie dégénérative et se bat, comme bien d'autres, pour légaliser l'aide à mourir en France. Un premier pas a été franchi quelques jours plus tard à l'Assemblée nationale : les députés ont voté le samedi 17 mai un article pour la création d'un « droit à l'aide à mourir ». Une avancée significative pour tous ceux qui attendent depuis des années une évolution de la loi, promise par le chef de l'Etat. Un vote sur l'ensemble du texte relatif au droit à l'aide à mourir est prévu le 27 mai, ainsi que sur la proposition de loi qui concerne les soins palliatifs.Dans cet épisode de Code Source, Bérangère Lepetit, journaliste au service société du Parisien et Véronique Hunsinger, journaliste au service santé du Parisien, font le point sur le contenu du texte et les dissensions rencontrées.Écoutez Code source sur toutes les plates-formes audio : Apple Podcast (iPhone, iPad), Amazon Music, Podcast Addict ou Castbox, Deezer, Spotify.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Reporter : Barbara Gouy - Production : Clémentine Spiler, Pénélope Gualchierotti, Orianne Gendreau, Thibault Lambert - Réalisation et mixage : Pierre Chaffanjon - Musiques : François Clos, Audio Network - Archives : TF1, Europe 1. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:18:15 - L'interview de 9h20 - par : Léa Salamé - Le comédien François-Xavier Demaison est au micro de Léa Salamé à l'occasion de la saison 2 de la série "Le Négociateur" sur TF1. - invités : François Xavier DEMAISON - François-Xavier Demaison : Humoriste et comédien
durée : 00:18:15 - L'interview de 9h20 - par : Léa Salamé - Le comédien François-Xavier Demaison est au micro de Léa Salamé à l'occasion de la saison 2 de la série "Le Négociateur" sur TF1. - invités : François Xavier DEMAISON - François-Xavier Demaison : Humoriste et comédien
Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 16 mai 2025.Avec cette semaine :Nicolas Baverez, essayiste et avocat.François Bujon de l'Estang, ambassadeur de France.Antoine Foucher, spécialiste des questions sociales, auteur de Sortir du travail qui ne paie plus.Michaela Wiegel, correspondante à Paris de la Frankfurter Allgemeine Zeitung.MACRON : INVENTAIRE AVANT BILAN …Interrogé mardi sur TF1, le président de la République a croisé le fer avec plusieurs personnalités de la société civile sur toute une série de sujets : Ukraine, défense, politique sociale, sécurité, dépenses, santé mentale, fin de vie, salaires, Gaza ... Peu d'annonces concrètes lors de cette intervention de plus de trois heures. A deux ans de la fin de son deuxième quinquennat, Emmanuel Macron s'est surtout attaché à défendre sa présidence, et notamment sa ligne économique : travailler plus, produire plus, ne pas augmenter les impôts. Le chef de l'État refuse de nationaliser Arcelor Mittal, alors que le sidérurgiste vient d'annoncer la suppression de plus de 600 postes en France. Il a demandé au gouvernement de lancer dans les prochaines semaines une « conférence sociale » sur le financement de notre modèle social. Tout en prétendant ne pas « préempter » les termes du débat à venir, il a indiqué que l'une des principales options à explorer consisterait à réduire les cotisations pesant sur les salaires et à mettre davantage à contribution « d'autres facteurs, en particulier la consommation ». Il s'est défendu toutefois de plaider en faveur d'une « TVA sociale ». Rejetant l'idée d'une taxation nationale des grandes fortunes, il a plaidé pour une approche mondiale face à l'exil fiscal.Attendu sur une annonce de référendum, Emmanuel Macron a déclaré opter pour une « consultation multiple » dans le cadre de l'article 11 de la Constitution. C'est-à-dire viades référendums en bonne et due forme et non via un outil purement consultatif créé pour l'occasion. Ceux-ci devraient intervenir « dans les mois qui viennent » et pourraient porter sur de « grandes réformes économiques, éducatives ou sociales ». Un spectre très large, sur lequel il entend réfléchir avec le gouvernement. Il pourrait recourir à un référendum sur l'aide à mourir comme une arme de déblocage qu'il ne dégainera qu'en solution de dernier recours, en privilégiant d'abord la poursuite du débat parlementaire. Ouvert à ce que des « réformes » du premier ministre François Bayrou, sur le « plan économique et social » fassent l'objet d'une consultation, le président de la République ne « voit pas », en revanche, de référendum possible sur l'immigration, demandé par la droite, ni sur la réforme des retraites, comme le lui a suggéré la secrétaire générale de la CGT, Sophie Binet.Le président de la République s'est dit favorable à l'interdiction des mariages de personne sous obligation de quitter le territoire français (OQTF), et souhaite un accroissement du pouvoir des polices municipales. Il a confirmé vouloir que soit imposée aux adolescents une vérification de leur âge pour s'inscrire sur les réseaux sociaux, estimant qu'il y a « une jeunesse qui a été percutée » par ces plateformes.Interrogé pour finir sur un troisième mandat en 2032, Emmanuel Macron n'en a pas écarté l'idée en déclarant : « Quand j'aurai fini, je réfléchirai à la suite. »LA DÉSINDUSTRIALISATION EN FRANCE ET EN EUROPEDepuis quarante ans, la France a été confrontée à un important processus de désindustrialisation. Le poids de la valeur ajoutée du secteur manufacturier est passé de 22 à 15% de 1983 à 2023. Seuls 13% des actifs français étaient, employés dans l'industrie en 2023, contre près de 40% quarante ans auparavant. La désindustrialisation française est la conséquence d'une vague de faillites qui a frappé les secteurs du textile, de la machine-outil et de l'automobile, et du choix de certains grands groupes de délocaliser. La production industrielle française a souffert de son positionnement « gamme moyenne ». Elle a été concurrencée frontalement par celle des pays émergents quand l'Allemagne et les pays d'Europe du Nord ont opté pour le haut de gamme. Le manque de capitaux, d'ingénieurs, de techniciens, la faiblesse de la recherche et une préférence donnée aux services expliquent ce mauvais positionnement de l'industrie française qui est, en outre, confrontée à des impôts de production plus élevés que ses concurrentes. Le poids de l'industrie manufacturière représente aujourd'hui 10 % du PIB en France, contre 15 % en Italie et 16 % en Allemagne.La désindustrialisation touche l'ensemble de l'Europe. En 2000, la part de l'Europe dans la production mondiale de l'industrie était de 22,5%, contre 21% pour les Etats-Unis. Vingt ans plus tard, elle est tombée à 14,5% et celle des Etats-Unis à 16%. La part de la Chine est passée de 10 à 28%. Dans la sidérurgie, ArcelorMittal vient d'annoncer 600 suppressions de postes en France et son concurrent allemand, ThyssenKrupp, en supprimera 11.000 d'ici 2030. A côté de la baisse européenne de la production d'acier, les ventes de véhicules en Europe restent inférieures de 25% à leur niveau de 2019 et tous les analystes s'accordent sur le même étiage ces prochaines années. En Allemagne Volkswagen, prévoit 35.000 suppressions d'emplois d'ici à 2030. Chez Stellantis, les effectifs en Italie sont passés de 55.000 salariés en 2021 à 38.000 en 2025 et, en France, de 53.000 en 2017 à 42.000 aujourd'hui.Face à cette crise, la Commission européenne a présenté fin mars leplan acier de l'Europe. En plus d'une réduction immédiate de 15% du quota d'importations d'acier autorisées sur le sol européen, il prévoit une nouvelle clause de sauvegarde à partir de juin 2026, dispositif qui encadre les imports d'acier sur son territoire selon son origine. La Commission européenne a également annoncé 47 projets miniers pour couvrir une partie de ses besoins en minerais stratégiques. Ainsi, l'UE ambitionne d'ici 2030 d'avoir 10% de sa consommation annuelle extraites localement et 40% de sa consommation annuelle issue du raffinage local.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Comme chaque année, on fait le tour des séries françaises ! Il y a des choses pas mal qui se sont profilées.00:00 : Intro 00:52 : quelques news so TV (Royal Pains, You et Heartstopper)04:05 : Delphine Ernotte : France TV, son avenir, nos séries.06:20 : les séries françaises, toujours la même chose ?12:12 : La Rebelle : la jeunesse de George Sand (sur France 2)23:10 : 37 secondes (sur ARTE)29:45 : Le Sens des Choses (sur MAX)36:42 : Clean (sur M6+)38:30 : Cette nuit-là (sur France 2)42:50 : Anaon (sur Prime) et Flashback (sur TF1)43:40 : Cimetière Indien (sur Canal+)49:35 : Les recos des Causeurs (Dear You sur Prime, étoile sur Prime et Doctor Who sur Disney+)
C'était la semaine des grands oraux pour les deux têtes de l'exécutif : mardi, Emmanuel Macron était en prime time sur TF1 pour balayer l'actualité internationale, et surtout nationale, et tenter de reconquérir les Français. Le lendemain, son Premier ministre, François Bayrou était auditionné par une Commission d'enquête parlementaire sur le scandale de l'affaire Bétharram. Dans les deux cas, les réactions sont mitigées.
Aujourd'hui, c'est au tour de Christophe Moulin, ancien présentateur vedette de TF1, auteur de "J'ai tant de choses à vous raconter" (XO Editions), de faire face aux GG. - L'émission de libre expression sans filtre et sans masque social… Dans les Grandes Gueules, les esprits s'ouvrent et les points de vue s'élargissent. 3h de talk, de débats de fond engagés où la liberté d'expression est reine et où l'on en ressort grandi.
Ce jeudi 15 mai, les différentes réactions au débat sur la TVA sociale abordé par Emmanuel Macron sur TF1, principalement l'hostilité des syndicats à un impôt jugé injuste, ont été abordées par Christian Chavagneux, éditorialiste à Alternatives économiques, Jean-Marc Daniel, professeur émérite à l'ESCP, et Stéphane Carcillo, responsable de la division revenu/travail de l'OCDE, dans l'émission Les Experts, présentée par Nicolas Doze sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
La banque RTL2 - Alexandra de Betteville vers Rouen gagne 50 000 euros ! - Julia de Bourgogne vers Reims gagne 400 €. L'info du matin - Grégory Ascher et Justine Salmon ont partagé un conseil Feng Shui pour mieux dormir : évitez de placer votre lit avec les pieds dirigés vers la porte. En Chine, cette configuration est appelée "le lit de la mort". Le winner du jour - Un Québécois a reçu une contravention pour téléphone au volant alors qu'il était simplement à la commande d'un Drive McDonald's. - À Landerneau, le maire a interdit la vente de boissons aux Schtroumpfs samedi prochain ! Le flashback de janvier 1987 - Arrivée de "MacGyver" sur Antenne 2, avec le héros le plus débrouillard des séries américaines. - Le 5 janvier 1987, début de "La roue de la fortune" sur TF1. Les savoirs inutiles - En 2007, les troupes militaires suisses ont accidentellement envahi le Liechtenstein... par erreur. Une invasion aussi brève qu'inoffensive. 3 choses à savoir sur l'Eurovision Qu'est-ce qu'on fait ? - Samedi, c'est la nuit européenne des musées. De nombreux musées ouvriront gratuitement leurs portes en France et en Europe jusqu'à minuit. - À Bordeaux, ce soir, place à des courses de chaises de bureau sur la placette de Munich pour la 3ᵉ édition de cet événement décalé. Le jeu surprise - Sébastien d'Auvers-sur-Oise vers Paris gagne un séjour de 2 nuits pour 2 personnes au Moulin de Fourges avec Weekendesk. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:03:11 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Le président de la République a longuement évoqué l'Ukraine et les questions de défense sur TF1 ; mais il peine à concilier les aspirations contradictoires de l'opinion : en faire trop ou pas assez. Il a en revanche précisé les enjeux de la dimension européenne de la dissuasion nucléaire française.
C dans l'air du 14 mai 2025 : Bayrou a-t-il menti ? Macron a-t-il séduit ?C'est une audition très attendue, potentiellement un tournant dans l'affaire Bétharram et pour François Bayrou. Le Premier ministre, accusé d'avoir proféré des mensonges, va s'expliquer à partir de 17 heures devant une commission d'enquête de l'Assemblée nationale sur ce qu'il savait et son éventuel rôle auprès de la justice dans l'affaire des violences physiques et sexuelles au collège lycée Notre-Dame de Bétharram. A-t-il menti ? A-t-il tenté d'influencer la justice ? Ce sera l'heure de vérité après des semaines de contradiction sur ce scandale pour le Premier ministre.Une affaire politique et personnelle pour François Bayrou, ancien ministre de l'Éducation entre 1993 et 1997, et ancien député, qui a scolarisé plusieurs de ses enfants dans cet établissement catholique des Pyrénées-Atlantiques dont il a été président du Conseil général, et qui est situé près de Pau, la ville dont il est resté maire. L'institution Notre-Dame de Bétharram où sa fille dit avoir été tabassée, où sa femme a enseigné le catéchisme et où 200 anciens élèves ont porté plainte ces derniers mois pour des sévices physiques et sexuels entre la fin des années 1950 et 2010. Parmi eux, Jean-Marie Delbos, qui accuse le prêtre Henri Lamasse de l'avoir violé en 1956. Le Béarnais, aujourd'hui âgé de 79 ans, avait dénoncé dès 1961 son agresseur, placé en garde en vue en février. Il nous a livré son témoignage sur cet immense scandale sur lequel une enquête est menée depuis un an par le parquet de Pau.Si l'enjeu aujourd'hui de la commission porte sur "les modalités du contrôle par l'Etat et de la prévention des violences dans les établissements scolaires", les dénégations de François Bayrou quant à sa connaissance de l'affaire devraient être au centre de l'audition. Un exercice périlleux pour le Premier ministre, qui a plongé ces dernières semaines dans les sondages en raison notamment de ce scandale qui lui colle à la peau depuis trois mois. C'est une affaire "bouleversante, qui m'a fait beaucoup de mal", a confié le principal intéressé à l'AFP. Le Premier ministre a reçu hier soir le soutien du président de la République, invité sur TF1. "Je sais qui il est. C'est un homme que je connais depuis de nombreuses années. J'ai confiance en lui" pour répondre "à toutes les questions" qui lui seront posées a affirmé Emmanuel Macron. Pendant près de trois heures, le chef de l'État a répondu à de nombreuses interrogations, portant sur l'actualité internationale et nationale. Une prestation - destinée à faire son retour sur la scène intérieure mais aussi à défendre son bilan - qui est vivement critiquée ce mercredi dans la classe politique. L'opposition le jugeant "impuissant" et "à bout de souffle".Alors quels sont les enjeux de l'audition de François Bayrou par la commission d'enquête de l'Assemblée nationale ? À quoi faut-il s'attendre ? Que retenez-vous de l'intervention télévisée d'Emmanuel Macron ? LES EXPERTS : - Jérôme JAFFRÉ - Politologue, chercheur associé au CEVIPOF- Vanessa SCHNEIDER - Grand reporter - Le Monde - Astrid DE VILLAINES - Productrice, présentatrice de "Sens politique" - France Culture- Jérôme FOURQUET - Directeur du département Opinion - Institut de sondages IFOP, auteur de La France d'après - Michaël HAJDENBERG (en duplex) - Co-responsable du pôle enquêtes – Mediapart
C dans l'air l'invité du 13 mai 2025 avec Paul Vannier, député la France insoumise, co-rapporteur de la Commission d'enquête parlementaire sur les violences en milieu scolaire, créée dans le cadre de l'affaire d'agressions sexuelles et de violences dans l'établissement Notre-Dame-de-Bétharram.Demain, le Premier ministre François Bayrou sera entendu par cette commission d'enquête. Il est accusé d'avoir été au courant des violences, ce qu'il dément. Depuis trois mois, il est mis sous pression politique par cette affaire, qui porte sur des accusations de viols, violences physiques ou sexuelles, commis essentiellement au début des années 1980 qui visent des religieux et des laïcs.François Bayrou, ministre de l'Éducation nationale de 1993 à 1997, assure dans la presse en mars n'avoir "jamais entendu parler" de risques sexuels. Plusieurs de ses enfants ont été scolarisés dans l'établissement et son épouse y a enseigné le catéchisme. Le 11 février dernier, il avait affirmé devant l'Assemblée nationale n'avoir "jamais été informé de quoi que ce soit, de violences ou de violences a fortiori sexuelles. Jamais".Le 16 février, sur TF1, le gendarme chargé de l'enquête sur le père Carricart, ex-directeur de l'institution accusé de viol en 1998, évoque une "intervention" de Bayrou, alors qu'il était député et président du Conseil général des Pyrénées-Atlantiques. Puis le juge qui enquêtait relate que François Bayrou avait "fait la démarche de venir" le voir. Ce dernier dément dans un premier temps, avant d'évoquer ultérieurement une rencontre fortuite avec le magistrat, qui est son voisin, tout en affirmant n'être "jamais" intervenu dans cette affaire "ni de près ni de loin". Depuis, la fille de François Bayrou, Hélène Perlant, elle-même, victime de violences, a témoigné dans un livre. Sur France Inter, elle a assuré que son père "ne pouvait pas comprendre" le "système pervers" de l'établissement catholique.
Chaque jour, en moins de 10 minutes, un résumé de l'actualité du jour. Rapide, facile, accessible.
Aujourd'hui, Robert Ménard, maire DVD de Béziers, était l'invité dans les Grandes gueules. Il est revenu sur l'interview d'Emmanuel Macron qui a eu lieu ce mardi soir sur TF1.
durée : 00:03:11 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Le président de la République a longuement évoqué l'Ukraine et les questions de défense sur TF1 ; mais il peine à concilier les aspirations contradictoires de l'opinion : en faire trop ou pas assez. Il a en revanche précisé les enjeux de la dimension européenne de la dissuasion nucléaire française.
Ce mercredi 14 mai, l'idée d'un retour de la TVA sociale abordée par Emmanuel Macron mardi soir sur TF1, ainsi que les craintes générées par l'arrivée de l'euro numérique, ont été abordées par Nathalie Janson, économiste, professeure à la Neoma Business School, Dorothée Rouzet, cheffe économiste de la direction générale du Trésor, et Philippe Dessertine, professeur à l'IAE Paris-Sorbonne, dans l'émission Les Experts, présentée par Nicolas Doze sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Aujourd'hui, dans "Punchline", Laurence Ferrari et ses invités débattent de l'interview qui a eu lieu hier soir sur TF1, avec le président de la République pour faire un bilan de ses huit premières années à la tête du pays et tenter de se projeter sur la fin de son deuxième quinquennat.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, dans "Punchline", Laurence Ferrari et ses invités débattent de l'interview qui a eu lieu hier soir sur TF1, avec le président de la République pour faire un bilan de ses huit premières années à la tête du pays et tenter de se projeter sur la fin de son deuxième quinquennat.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:10:40 - L'invité de 7h50 - par : Sonia Devillers - Le maire de Béziers Robert Ménard était l'invité de France Inter, au lendemain de l'interview d'Emmanuel Macron sur TF1. - invités : Robert Ménard - Robert Ménard : Maire de Béziers
durée : 00:22:42 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé - Au lendemain de l'interview d'Emmanuel Macron sur TF1, débat ce mercredi sur France Inter sur l'image donnée par le chef de l'État. - invités : Jérôme JAFFRE, Nathalie Schuck, Jean Michel APHATIE, Natacha POLONY - Jérôme Jaffré : Directeur du Centre d'études et de connaissances sur l'opinion publique (CECOP), Nathalie Schuck : Journaliste politique, Jean-Michel Aphatie : Journaliste politique français, Natacha Polony : Journaliste
Que retenir de la prestation du Président de la République sur TF1 mardi soir ? Sébastien Chenu, député du Nord et vice-président du RN, est l'invité de Thomas Sotto. Ecoutez L'invité de RTL avec Thomas Sotto du 14 mai 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Après un point sur la situation internationale, Emmanuel Macron a longuement abordé, mardi sur TF1, de nombreux aspects de la politique française, évoquant des pistes de référendums et défendant âprement son bilan, notamment la réforme des retraites. Pendant plus de trois heures, répondant au journaliste Gilles Bouleau et à plusieurs intervenants dans un débat qui se prolongeait tard dans la soirée, le chef de l'État a semblé tourner une page mardi soir. Privé de majorité à l'Assemblée, cantonné depuis la dissolution de l'Assemblée à son rôle diplomatique dans un contexte de vives tensions planétaires, M. Macron a largement réinvesti le champ de la politique nationale, des prisons à la politique fiscale en passant par le financement du modèle social. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
À l'occasion des 80 ans de la fin de la Seconde Guerre mondiale, Yani Khezzar, journaliste à TF1, a conçu un format vidéo exceptionnel mêlant technologie immersive et rigueur historique. Il revient sur les coulisses de cette réalisation innovante diffusée dans le JT de TF1 : une reconstitution des derniers mois de la guerre grâce à la vidéo volumétrique, aux décors virtuels, aux voix multilingues, et à une dizaine d'outils d'intelligence artificielle.Ce projet ambitieux de huit minutes, à mi-chemin entre le reportage et le documentaire, propose une immersion saisissante dans l'Histoire, en incarnant l'actualité passée comme si elle se déroulait aujourd'hui. Yani Khezzar raconte comment les technologies les plus avancées ont permis de reconstituer les champs de bataille, les visages des grands dirigeants, et même les ambiances sonores de l'époque, tout en conservant un objectif journalistique clair : mieux informer et mieux transmettre.-----------
Que retenir de la prestation du Président de la République sur TF1 mardi soir ? Sébastien Chenu, député du Nord et vice-président du RN, est l'invité de Thomas Sotto. Ecoutez L'invité de RTL avec Thomas Sotto du 14 mai 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Après un point sur la situation internationale, Emmanuel Macron a longuement abordé, mardi sur TF1, de nombreux aspects de la politique française, évoquant des pistes de référendums et défendant âprement son bilan, notamment la réforme des retraites. Pendant plus de trois heures, répondant au journaliste Gilles Bouleau et à plusieurs intervenants dans un débat qui se prolongeait tard dans la soirée, le chef de l'État a semblé tourner une page mardi soir. Privé de majorité à l'Assemblée, cantonné depuis la dissolution de l'Assemblée à son rôle diplomatique dans un contexte de vives tensions planétaires, M. Macron a largement réinvesti le champ de la politique nationale, des prisons à la politique fiscale en passant par le financement du modèle social. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:22:42 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé - Au lendemain de l'interview d'Emmanuel Macron sur TF1, débat ce mercredi sur France Inter sur l'image donnée par le chef de l'État. - invités : Jérôme JAFFRE, Nathalie Schuck, Jean Michel APHATIE, Natacha POLONY - Jérôme Jaffré : Directeur du Centre d'études et de connaissances sur l'opinion publique (CECOP), Nathalie Schuck : Journaliste politique, Jean-Michel Aphatie : Journaliste politique français, Natacha Polony : Journaliste
durée : 00:10:40 - L'invité de 7h50 - par : Sonia Devillers - Le maire de Béziers Robert Ménard était l'invité de France Inter, au lendemain de l'interview d'Emmanuel Macron sur TF1. - invités : Robert Ménard - Robert Ménard : Maire de Béziers
durée : 00:06:26 - L'invité de 6h20 - Le politologue Bruno Cautrès était l'invité de France Inter ce mercredi, après l'interview d'Emmanuel Macron sur TF1. Le président de la République a répondu aux questions du journaliste Gilles Bouleau et de plusieurs personnalités. Il "a été régulièrement mis en difficulté", relève le politologue. - invités : Amine BENYAMINA - Amine Benyamina : Psychiatre addictologue
Bruno Retailleau, ministre de l'Intérieur, répond aux questions de Sonia Mabrouk au sujet de l'interview d'Emmanuel Macron sur TF1, de l'absence d'annonce sur l'immigration, de la tentative d'enlèvement en pleine rue à Paris et de l'attaque du Fourgon d'Incarville et de l'évasion de Mohamed Amra il y a un an. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:02:24 - Le brief politique - Une semaine décisive pour l'exécutif. Après Emmanuel Macron sur TF1, c'est le Premier ministre qui sera scruté, mercredi, auditionné par la commission d'enquête parlementaire qui est née de l'affaire de violences physiques et sexuelles au sein de l'institution religieuse de sa région.
Chaque jour dans l'Heure des pros, Pascal Praud livre son édito sur l'actualité du moment. Aujourd'hui, il revient sur l'interview d'Emmanuel Macron sur TF1. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, dans "On marche sur la tête", Cyril Hanouna et ses invités débattent et analysent l'interview du président de la République, Emmanuel Macron sur TF1.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque matin dans son édito, Vincent Trémolet de Villers revient sur l'actualité politique du jour. Ce mercredi, il revient sur les déclarations d'Emmanuel Macron sur TF1 concernant les sujets qui inquiètent les Français. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C dans l'air du 13 mai 2025 : Pompiers, tribunaux...violences sans limiteDepuis plusieurs années, la société française est secouée par une série de faits de violence, qui se traduit par des agressions envers les représentants de l'État (enseignants et personnels scolaires, policiers…) des harcèlements avec menaces de mort, des rixes entre bandes rivales ou des lynchages. Et les exemples s'accumulent. Rien que sur ces dernières heures on a appris que la fille du PDG d'une grande plateforme d'achat de cryptomonnaies a échappé ce mardi à une tentative d'enlèvement en pleine rue à Paris. Ce week-end, deux violentes agressions de sapeurs-pompiers ont eu lieu en Haute-Savoie. Et hier soir, c'est une violente bagarre qui a éclaté dans l'enceinte de la cour d'assises de la Gironde lors du procès de trois jeunes hommes, jugés pour la mort de Lionel, 16 ans, mortellement blessé lors d'une fusillade, sur fond de rivalités entre quartiers bordelais. Les parents de l'adolescent tué ont fait part de leur "colère" contre ceux "qui ne respectent pas la mémoire" de leur fils. "Il faut leur faire comprendre qu'on n'est pas dans un pays sans lois (…) On compte sur la justice pour que le verdict qui sera prononcé fasse écho dans les quartiers, pour qu'il n'y ait pas d'autre Lionel", a dit son père. "Il n'y a plus un seul territoire où les Français sont à l'abri de cette violence et de cet ensauvagement partout dans notre pays. (…) Même dans un palais de justice, ces bandes de jeunes qui créent le trouble ne craignent même plus l'autorité", a de son côté réagi Jordan Bardella, président du Rassemblement national (RN) sur TF1. Appelant à "un tournant", il a accusé le gouvernement, y compris le ministre de l'Intérieur, Bruno Retailleau, "d'inaction".Le débat sur l'insécurité dans le pays est relancé. Une question qui occupe une place centrale depuis plusieurs semaines dans la campagne opposant Bruno Retailleau à Laurent Wauquiez pour la présidence du parti Les Républicains. À une semaine du vote, les deux rivaux multiplient leur présence dans les médias et sur le terrain, pour tenter de convaincre les plus de 121 000 adhérents à jour de cotisation, avec un thème de prédilection : la sécurité.Mais quel est leur programme ? Quelle est la réalité de la violence en France ? Pourquoi les magnats de la cryptomonnaie et leurs proches sont-ils des nouvelles cibles pour les gangs ? Comment lutter contre l'insécurité ? Nos journalistes se sont rendus dans l'Oise où il y a deux ans, le 29 mars 2023, une violente rixe a opposé des jeunes de deux villes, Montataire et Villers-Saint-Paul. Depuis les élus et médiateurs ont développé un programme pour empêcher que des tensions ne débouchent sur de nouveaux affrontements.LES EXPERTS : - Alain BAUER, professeur de criminologie au Conservatoire national des Arts et Métiers, auteur de Menace sur Taïwan et Opération Zelensky publiés chez First- Audrey GOUTARD, grand reporter à France Télévision, spécialiste des faits de société- Christophe BARBIER, éditorialiste politique, Conseiller de la rédaction de Franc-tireur - Evelyne SIRE-MARIN, magistrate honoraire, vice-présidente de la Ligue des Droits de l'Homme
Au menu de la deuxième heure des GG du mardi 13 mai 2025 : "Macron sur TF1 ce soir, 2h30 de show : allez-vous regarder ?", "Immigration : chance pour la France ?" et "10 jours sans écran, est-ce possible ?", avec Barbara Lefebvre, professeur d'histoire-géographie, Bruno Poncet, cheminot, et Jean-Loup Bonnamy, professeur de philosophie.
A 10h, ce mardi 13 mai 2025, les GG : Barbara Lefebvre, professeur d'histoire-géographie, Bruno Poncet, cheminot, et Jean-Loup Bonnamy, professeur de philosophie, débattent de : "Macron sur TF1 ce soir, 2h30 de show : allez-vous regarder ?".
Aujourd'hui dans "Punchline", Laurence Ferrari et ses invités débattent de la prise de parole du président de la République, Emmanuel Macron, ce mardi, sur TF1. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Référendum, Emmanuel Macron sur TF1, Bétharram : une semaine à haut risque pour François Bayrou. Marc Fesneau, vice-président du MoDem, président du groupe Les Démocrates à l'Assemblée nationale, député du Loir-et-Cher, est l'invité de Thomas Sotto.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Emmanuel Macron sur TF1 à la reconquête des Français : écoutez l'interview de Jean-Daniel Levy, directeur délégué de Harris Interactive France. Ecoutez Les trois questions de RTL Petit Matin avec Jérôme Florin du 13 mai 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Référendum, Emmanuel Macron sur TF1, Bétharram : une semaine à haut risque pour François Bayrou. Marc Fesneau, vice-président du MoDem, président du groupe Les Démocrates à l'Assemblée nationale, député du Loir-et-Cher, est l'invité de Thomas Sotto.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Emmanuel Macron sur TF1 à la reconquête des Français : écoutez l'interview de Jean-Daniel Levy, directeur délégué de Harris Interactive France. Ecoutez Les trois questions de RTL Petit Matin avec Jérôme Florin du 13 mai 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Référendum, Emmanuel Macron sur TF1, Bétharram : une semaine à haut risque pour François Bayrou. Marc Fesneau, vice-président du MoDem, président du groupe Les Démocrates à l'Assemblée nationale, député du Loir-et-Cher, est l'invité de Thomas Sotto. Ecoutez Le journal RTL avec Olivier Boy du 13 mai 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Bruno Guglielminetti et Jérôme Colombain discutent de l'interdiction prochaine des téléphones intelligents dans les écoles secondaires au Québec et en France. La mesure, bien accueillie par certains, provoque une levée de boucliers chez les élèves québécois. Ensuite, ils commentent la possible intégration de moteurs de recherche alternatifs à Google dans Safari, dont Perplexity et Gemini, une manière pour Apple de renforcer sa stratégie en IA. Jérôme présente aussi un robot d'Amazon sensible au toucher et un reportage de TF1 utilisant l'IA pour raconter la fin de la Seconde Guerre mondiale.
Cette semaine, la France et le Québec sont sur la même longueur d'onde : à la rentrée prochaine, les téléphones portables seront interdits dans les établissements scolaires. Une mesure radicale qui soulève un débat de société. De l'autre côté de l'Atlantique, une fronde s'organise, notamment sur TikTok, où des élèves québécois contestent cette interdiction. Bruno Guglielminetti nous raconte la mobilisation inédite des jeunes et les réactions contrastées des parents et enseignants.Autre sujet brûlant : l'intelligence artificielle pourrait bientôt bouleverser la recherche sur Safari, dans l'écosystème iPhone. Apple envisagerait d'intégrer Perplexity et d'autres moteurs IA pour concurrencer Google. Un mouvement stratégique lourd de conséquences pour l'équilibre du Web.Enfin, on parle jeux vidéo avec l'ouverture d'un nouveau studio montréalais dédié à l'adaptation de la série La Roue du Temps et les 25 ans du studio Gameloft à Montréal.
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