Podcast appearances and mentions of pascal durand

De très nombreux Européens ne vivent pas dans leur État de naissance. Ils peuvent voter lors des élections européennes, mais sont parfois peu au courant de ce droit. L'eurodéputé Pascal Durand fait plusieurs propositions pour remédier à cette situation.Bonne écoute.

De très nombreux Européens ne vivent pas dans leur État de naissance. Ils peuvent voter lors des élections européennes, mais sont parfois peu au courant de ce droit. L'eurodéputé Pascal Durand fait plusieurs propositions pour remédier à cette situation. Bonne écoute.

Pascal Durand, eurodéputé du groupe Renew , était l'invité de Audrey Maubert et Christophe Jakubyszyn dans Good Morning Business, ce vendredi 15 juillet Ils sont revenus sur l'adoption de la directive européenne CSRD en commission et les changements que cela va apporter pour les entreprises sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.

Ce vendredi 15 juillet, Sandra Gandoin et Christophe Jakubyszyn ont reçu Victoire de Lapasse, cofondatrice de Neptune Elements, Philippe Chalmin, économiste auteur du rapport CyclOpe, Véronique Louwagie, vice-présidente de la commission des Finances, et Pascal Durand, eurodéputé du groupe Renew, dans l'émission Good Morning Business sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.

La France préside le Conseil de l'Union européenne pour 6 mois. A cette occasion, la Délégation des Barreaux de France et Lefebvre Dalloz s'associent pour vous proposer ce podcast dont la vocation est de sensibiliser sur les travaux et les actions conduites dans le domaine de la justice au plan européen. Dans ce podcast, Hélène Biais reçoit Pascal Durand, eurodéputé français au Parlement européen et ancien avocat. Podcast créé, réalisé et animé par : ·  Laurent PETTITI, Président de la Délégation des Barreaux de France ·  Hélène BIAIS, Directrice des Affaires Publiques, Délégation des Barreaux de France ·  Laurent MONTANT, Directeur Studio Média Lefebvre Dalloz ·  Laurent DARGENT, Rédacteur en chef de Dalloz Actualité ·  Axel GABLE, Ingénieur du son

Cette semaine dans Fréquence Europe, Olivier Singer revient sur le discours d'Ursula von der Leyen prononcé le 15 septembre dernier.

Aujourd'hui, Arnaud Romain lit l'article de Ludovic Lamant: L’UE retente le coup d’une conférence pour sauver son avenir , publié sur Mediapart le 13 m

Aujourd'hui, Arnaud Romain lit l'article de Ludovic Lamant: L’UE retente le coup d’une conférence pour sauver son avenir , publié sur Mediapart le 13 m

   Deux rapports d'initiative, aux enjeux liés, sur la gouvernance d'entreprise durable et le devoir de vigilance des entreprises ont été présentés à la commission des affaires juridiques du Parlement européen en septembre dernier. La Commission européenne a prévu de déposer une initiative législative sur ces sujets début 2021. La législation est actuellement très disparate entre les pays membres et de nombreuses entreprises demandent que des réglementations voient le jour pour plus de cohérence au sein de l'UE Un échange avec Pascal Durand sur l'actualité de ce rapport et sur ses ambitions. Quel diagnostic poser aujourd'hui sur la gouvernance des entreprises ? Est-ce que la vision d'une gouvernance durable d'entreprise est partagée par les différents pays européens ? Comment se positionnent les différents groupes politiques au Parlement ? Quel est le rôle des parties prenantes : syndicats, ONG, consommateurs...  Ce projet sous-tend certaines valeurs européennes. Quel est alors le modèle européen d'entreprise ? et quelle est l' ambition politique voire géopolitique derrière ce modèle ? Nous évoquerons également la dynamique actuelle sur ce sujet : comment s'inscrivent les propositions de ce rapport par rapport aux autres travaux du Parlement sur le devoir de vigilance, la transparence extra-financière ou encore l'économie circulaire.. ?Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Carrefour de l’Europe réunit, en deux débats, mais en une seule émission six eurodéputés autour des questions qui alimentent le débat européen du moment. Deux thèmes pour cette nouvelle séquence :- Le Brexit, le Royaume a quitté l’Union européenne le 31 janvier 2020, mais applique encore les règles de l’UE jusqu’au 31 décembre 2020, dans le cadre d’une période transitoire qui aurait dû permettre de négocier la relation future de la Grande-Bretagne avec le Continent... Or, le temps passe et les négociations sont au quasi point mort.- Le plan de relance de 750 milliards d’euros initié par les 27 avec la Commission européenne est le fer de lance de l’Union pour relancer une économie européenne entrée en récession avec la pandémie du Covid… Mais, sa mise en œuvre patine.  Avec :Premier débat :- Geoffroy Didier, PPE/Les Républicains.Plus d’infos : ici - Pascal Durand, Renaissance/Renew.Plus d’infos : ici- Emmanuel Maurel, GUE/Gauche Républicaine Socialiste.Plus d’infos : ici. Deuxième débat :- Didier Cormand, Les Verts/EELV.Plus d’infos : ici - Aurore Lalucq, APS&D/Place Publique.Plus d’infos : ici - Jérôme Rivière, ID/Rassemblement National.Plus d’infos : ici. Avec Sasha Mitchell de Courrier International. 

Quelle feuille de route pour la prochaine Commission européenne ? Au moment du renouvellement de toutes les institutions, les défis populistes, sociaux, environnementaux et migratoires nous poussent à nous interroger sur les priorités de la Commission pour les cinq années à venir. Notre engagement commun repose sur le dialogue et la rencontre entre les citoyens et les décideurs institutionnels afin de promouvoir la participation de tous à l’Europe de demain, nous vous invitons donc à échanger et participer à cette journée aux côtés d'intervenants de tous horizons et de tous milieux et ainsi nourrir des réflexions multidisciplinaires. -> Elise Bernard, docteur en droit public, directrice des études d’EuropaNova, modération -> Sandro Gozi, ex-secrétaire d’État aux affaires européennes italiennes -> Gilles Gressani, président du Groupe d’Études géopolitiques -> Peter Grk, secrétaire général du Bled Strategy Forum, coordinateur au sein du ministère des Affaires étrangères du gouvernement slovène -> Pascal Durand, député européen -> Maria-Joao Rodrigues, présidente de la FEPS, ancienne députée européenne, ancienne ministre de l’Emploi du gouvernement portugais -> Tara Varma, directrice de l’ECFR Paris Extrait de la Conférence Europa 2019 à Ground Control le 16 novembre 2019.

durée : 01:08:54 - Le Magazine du week-end - par : Raphaël Bourgois, Chloé Rossignol - Le parti Les Républicains organise le 6 juillet une convention pour redéfinir la charte des valeurs et des engagements. Quelle direction va prendre la droite ? Nous parlerons ensuite des nominations aux "top-jobs" européens : simple victoire du duo Merkel/Macron, ou Union européenne renforcée ? - invités : Annie Genevard, Jérôme FOURQUET, Pascal DURAND, Anne Rovan - Annie Genevard : députée du Doubs (Les Républicains), vice-présidente de l'Assemblée Nationale Jérôme Fourquet : analyste politique, directeur du département opinion et stratégies d'entreprise de l'institut de sondages IFOP. Pascal Durand : député européen, membre de la Liste Renaissance/LREM Anne Rovan : journaliste politique au Figaro, correspondante à Bruxelles - réalisé par : Luc-Jean Reynaud

En dehors de quelques climatosceptiques, toute la classe politique s’accorde à dire que la lutte contre le réchauffement climatique est l’un des grands enjeux pour la planète des prochaines années. Ouest-France a interrogé dans le cadre de l’émission « Mon Parlement à moi » deux eurodéputés, l’une allemande et l’autre français, pour les interroger sur la place de l’écologie dans les futurs débats du Parlement européen. Après les élections européennes, quelle place pour l’écologie dans le débat politique ? C’est la question posée dans le cadre du podcast « Mon Parlement à moi » à deux eurodéputés dans une émission enregistrée cette semaine, Anna Deparnay-Grunenberg (Verts, Allemande) et Pascal Durand (Renew Europe - LREM, Français). Lors du dernier G20 à Osaka (Japon), 19 pays ont redit leur soutien au grand accord de lutte contre le réchauffement climatique signé en 2015 à Paris, et dont les États-Unis s’en sont retirés en 2017. En Allemagne, les écologistes sont arrivés en deuxième place aux élections européennes, devant les sociaux-démocrates du SPD. De quoi se rêver en porte-étendard de la gauche outre-Rhin ? Les Verts « ne se posent pas ce genre de questions », assurent l’eurodéputée Anna Deparnay-Grunenberg. Elle se place plutôt sur la question « de modifier le système pour freiner le changement climatique ». « J’aurais bien aimé être Allemand de ce point de vue », réagit Pascal Durand, passé à La République en marche au moment des européennes de 2019, « et que les Verts français ait eu la même logique ». Mais ceci est dû selon lui au fait que l’Allemagne possède un système électoral avec le scrutin proportionnel qui permet à chaque parti de défendre ses propres dynamiques. « Le scrutin majoritaire a bloqué la capacité des Verts en France a proposé une politique autonome », estime-t-il. Ce système électoral oblige l’écologie à être un peu partout, « mais tout le monde n’est pas devenu écolo », pointe-t-il. Au Parlement européen, les députés écologistes pourraient jouer un rôle pour faire partie d’une grande majorité ou lors d’un vote décisif. « On n’a pas de majorité les uns sans les autres. Il faut réussir à trouver les transitions qui sont essentielles, mais qui créent encore des résistances, et à créer des dynamiques qui vont faire que l’Europe reste un espace équilibré entre les questions sociales, environnementales et économiques », estime Pascal Durand. Mais les dirigeants nationaux n’ont pas réussi le 20 juin dernier à trouver d’accord par exemple pour inscrire la date de 2050 comme celle d’une Union européenne neutre en émissions de carbone, une poignée d’États d’Europe de l’Est, grands consommateurs d’énergie fossile, n’ayant pas voulu s’engager sans garanties concrètes de pouvoir financer leur transition énergétique. Le Premier ministre de la Pologne a ainsi expliqué qu’il avait refusé de signer l’accord car cela aurait été contraire aux intérêts des entreprises polonaises. « La Pologne aussi partage cette terre avec nous », remarque Anna Deparnay-Grunenberg. « Protéger son industrie peut être un réflexe, mais il faut voir au-delà. Ceux qui n’arrivent pas à se transformer dans le monde nouveau vont perdre par la suite », estime-t-elle. Crédit Musique: Version hip-hop de l'hymne européen par Florian Müller

En dehors de quelques climatosceptiques, toute la classe politique s'accorde à dire que la lutte contre le réchauffement climatique est l'un des grands enjeux pour la planète des prochaines années. Ouest-France a interrogé dans le cadre de l'émission « Mon Parlement à moi » deux eurodéputés, l'une allemande et l'autre français, pour les interroger sur la place de l'écologie dans les futurs débats du Parlement européen.Après les élections européennes, quelle place pour l'écologie dans le débat politique ? C'est la question posée dans le cadre du podcast « Mon Parlement à moi » à deux eurodéputés dans une émission enregistrée cette semaine, Anna Deparnay-Grunenberg (Verts, Allemande) et Pascal Durand (Renew Europe - LREM, Français).Lors du dernier G20 à Osaka (Japon), 19 pays ont redit leur soutien au grand accord de lutte contre le réchauffement climatique signé en 2015 à Paris, et dont les États-Unis s'en sont retirés en 2017.En Allemagne, les écologistes sont arrivés en deuxième place aux élections européennes, devant les sociaux-démocrates du SPD. De quoi se rêver en porte-étendard de la gauche outre-Rhin ? Les Verts « ne se posent pas ce genre de questions », assurent l'eurodéputée Anna Deparnay-Grunenberg. Elle se place plutôt sur la question « de modifier le système pour freiner le changement climatique ».« J'aurais bien aimé être Allemand de ce point de vue », réagit Pascal Durand, passé à La République en marche au moment des européennes de 2019, « et que les Verts français ait eu la même logique ». Mais ceci est dû selon lui au fait que l'Allemagne possède un système électoral avec le scrutin proportionnel qui permet à chaque parti de défendre ses propres dynamiques. « Le scrutin majoritaire a bloqué la capacité des Verts en France a proposé une politique autonome », estime-t-il. Ce système électoral oblige l'écologie à être un peu partout, « mais tout le monde n'est pas devenu écolo », pointe-t-il.Au Parlement européen, les députés écolog...

En dehors de quelques climatosceptiques, toute la classe politique s'accorde à dire que la lutte contre le réchauffement climatique est l'un des grands enjeux pour la planète des prochaines années. Ouest-France a interrogé dans le cadre de l'émission « Mon Parlement à moi » deux eurodéputés, l'une allemande et l'autre français, pour les interroger sur la place de l'écologie dans les futurs débats du Parlement européen. Après les élections européennes, quelle place pour l'écologie dans le débat politique ? C'est la question posée dans le cadre du podcast « Mon Parlement à moi » à deux eurodéputés dans une émission enregistrée cette semaine, Anna Deparnay-Grunenberg (Verts, Allemande) et Pascal Durand (Renew Europe - LREM, Français). Lors du dernier G20 à Osaka (Japon), 19 pays ont redit leur soutien au grand accord de lutte contre le réchauffement climatique signé en 2015 à Paris, et dont les États-Unis s'en sont retirés en 2017. En Allemagne, les écologistes sont arrivés en deuxième place aux élections européennes, devant les sociaux-démocrates du SPD. De quoi se rêver en porte-étendard de la gauche outre-Rhin ? Les Verts « ne se posent pas ce genre de questions », assurent l'eurodéputée Anna Deparnay-Grunenberg. Elle se place plutôt sur la question « de modifier le système pour freiner le changement climatique ». « J'aurais bien aimé être Allemand de ce point de vue », réagit Pascal Durand, passé à La République en marche au moment des européennes de 2019, « et que les Verts français ait eu la même logique ». Mais ceci est dû selon lui au fait que l'Allemagne possède un système électoral avec le scrutin proportionnel qui permet à chaque parti de défendre ses propres dynamiques. « Le scrutin majoritaire a bloqué la capacité des Verts en France a proposé une politique autonome », estime-t-il. Ce système électoral oblige l'écologie à être un peu partout, « mais tout le monde n'est pas devenu écolo », pointe-t-il. Au Parlement européen, les députés écologistes pourraient jouer un rôle pour faire partie d'une grande majorité ou lors d'un vote décisif. « On n'a pas de majorité les uns sans les autres. Il faut réussir à trouver les transitions qui sont essentielles, mais qui créent encore des résistances, et à créer des dynamiques qui vont faire que l'Europe reste un espace équilibré entre les questions sociales, environnementales et économiques », estime Pascal Durand. Mais les dirigeants nationaux n'ont pas réussi le 20 juin dernier à trouver d'accord par exemple pour inscrire la date de 2050 comme celle d'une Union européenne neutre en émissions de carbone, une poignée d'États d'Europe de l'Est, grands consommateurs d'énergie fossile, n'ayant pas voulu s'engager sans garanties concrètes de pouvoir financer leur transition énergétique. Le Premier ministre de la Pologne a ainsi expliqué qu'il avait refusé de signer l'accord car cela aurait été contraire aux intérêts des entreprises polonaises. « La Pologne aussi partage cette terre avec nous », remarque Anna Deparnay-Grunenberg. « Protéger son industrie peut être un réflexe, mais il faut voir au-delà. Ceux qui n'arrivent pas à se transformer dans le monde nouveau vont perdre par la suite », estime-t-elle. Crédit Musique: Version hip-hop de l'hymne européen par Florian Müller

Les élections européennes ont lieu le 26 mai en France. Ouest-France est allé à la rencontre de l'eurodéputé Pascal Durand pour qu'il nous explique pourquoi le travail des eurodéputés est important à suivre pour les citoyens. Un entretien audio à retrouver dans "Mon Parlement à moi", une série proposée par Le Mur des Podcasts d'Ouest-France. Comment les eurodéputés ont-ils vécu leur arrivée au Parlement européen ? À quelques semaines des élections européennes du dimanche 26 mai, Ouest-France est allé à la rencontre des élus pour qu'ils nous parlent de « leur » parlement. Des entretiens audio à retrouver sur Le Mur des Podcasts d'Ouest-France. Pour le député européen écologiste Pascal Durand, l'une des choses les plus surprenantes pour un élu français est « la capacité à trouver des majorités d'idées et pas d'être dans une logique de majorité face à l'opposition » dans cette enceinte. Ecoutez le podcast depuis le player ci-dessous:S'il devait regarder son expérience avec un œil critique, il pointerait la présence forte des lobbies auprès des eurodéputés. « Certains députés ne disent pas qu'en réalité ils portent des amendements de lobbies industriels », regrette-il. Autre sujet compliqué pour un nouvel eurodéputé venu de l'Hexagone, l'emploi de la langue de Shakespeare. On pratique « un anglais vraiment médiocre » lors des réunions où les interprètes ne sont pas là, constate-t-il. Pascal Durand demande donc qu'on maintienne les crédits dédiés à l'interprétariat. « C'est un métier, la subtilité d'un langage fait partie de sa culture », affirme-t-il tout en reconnaissant qu'il faut « parler un minimum anglais, ce qui permet des échanges, sinon on n'avance pas ». « L'Europe, c'est la vie de tous les jours, contrairement à ce qu'on croit », déclare-t-il quand on lui demande pourquoi les citoyens devraient s'intéresser au travail du Parlement européen. Retrouvez tous les émissions dédiées aux élections européennes sur Le Mur des podcasts de Ouest-France. Découvrez à cette occasion ces élus trop méconnus qui ont pourtant un pouvoir important dans la conception de nos lois. Le scrutin du dimanche 26 mai 2019 correspond à l'équivalent des législatives au niveau européen et sert à élire des eurodéputés qui siègent au sein du Parlement européen. Depuis le traité de Lisbonne, les eurodéputés ont un véritable rôle de colégislateur avec le Conseil de l'Union européenne (où siègent les ministres des États membres). Ils disposent désormais d'un pouvoir de contrôle budgétaire et politique, même si les États membres continuent de dominer l'architecture institutionnelle. Bonne écoute Crédit Musique: Version hip-hop de l'hymne européen par Florian Müller

Throughout history, law has been reactive to scientific developments and new social movements. Could the next monumental shift be the transformation of a nonhuman animal from a mere thing with no rights to a person with legal protections? And should it? Various judicial systems indeed show increasing receptiveness to arguments maintaining that at least some animals should become the bearers of such fundamental rights as bodily liberty and bodily integrity. The movement is spurred by a growing consensus in the community of cognitive sciences that most animals including all mammals and birds possess the neurological substrates necessary to generate consciousness, as well as philosophers such as Peter Singer who have long argued that all animals have intrinsic value and that their wellbeing should be independent from homocentric needs. Most legal advocacy has been directed towards animals with higher cognitive abilities, but the main focus of this podcast is on another type of animal who probably have endured one of the worst fates of any lifeform since the advent of the agricultural revolution, namely farm animals. The welfare legislation protecting these creatures in the EU is a far cry away from granting them any rights, but we judged it important to understand what one of the world’s most comprehensive legal frameworks on animal welfare offer them. The results are unsurprisingly disappointing. The listener will also gain insight in the thoughts of the management of a slaughterhouse regarding some of the abuse cases that have emerged and brought attention to the mistreatment of animals in many abattoirs across Europe. Additionally, Pascal Durand, a member of the European Parliament shares his reflections on why the EU’s overall response to the multitude of these cases has been so weak. Our podcast does not comprise all facets of this profound topic. However, it does present the fundamentals of a legal movement that might change the way humans interact with all life around us. Many thanks to PH.D. Researcher Jennifer Dubrulle (Tilburg Law School), Mr. Pascal Durand and ESA Foods for their generous contributions to the episode; and Dr. Phillip Paiement and Dr. Anna Marhold for their research guidance. We would also like to acknowledge Dr. Yuval Norah Harari whose books ‘Sapiens’ and ‘Homo Deus’ have provided valuable insights on current scientific findings concerning nonhuman animal cognition. This episode was produced and narrated by Maria Dommer Nielsen and Lilia Nguyen. Be sure to subscribe to our Soundcloud and Facebook pages to stay up to date on our most recent episodes. And if you like what we do, please leave us a review in iTunes - it really helps get the word out about Nomosphone! We acknowledge the following image and audio clips were used in original format in accordance with Creative Commons licensing and / or Fair Use: ‘crime scene,’ ‘the mystery,’ and ‘misconception’ by Myuu (CC BY 3.0) 'Mariage D'amoure’ performed by Toms Mucenieks Photos: Chimp: Stefanie WIebach Pixabay; Pig: Bernhard Stärck Pixabay

Et si montrer des solutions, raconter une histoire qui fait du bien, était la meilleure façon de résoudre les crises écologiques, économiques et sociales, que traversent nos pays ? En mettant bout à bout ces initiatives positives et concrètes qui fonctionnent déjà, les réalisateurs du film commencent à voir émerger ce que pourrait être le monde de demain…