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Le Nouvel Esprit Public
Le Brexit six ans après / Les réformes institutionnelles du président

Le Nouvel Esprit Public

Play Episode Listen Later Feb 12, 2023 62:43


N°284 / 12 février 2023Connaissez-vous notre site ? www.lenouvelespritpublic.frUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 10 février 2023.Avec cette semaine :Michel Eltchaninoff, rédacteur en chef du mensuel Philosophie Magazine.Isabelle de Gaulmyn, rédactrice en chef du quotidien La Croix.Nicole Gnesotto, vice-présidente de l'Institut Jacques Delors.Marc-Olivier Padis, directeur des études de la fondation Terra Nova. LE BREXIT SIX ANS APRÈSLe Brexit a été voté en juin 2016, et la sortie effective du marché unique européen a eu lieu le 1er janvier 2021. Difficile de faire précisément le tri entre le Brexit, la pandémie, le choc énergétique et le chaos politique, mais les faits sont là : l'économie britannique décroche plus qu'ailleurs. Selon les calculs du Centre for European Reform, un groupe de réflexion britannique, entre le deuxième trimestre 2016, date du référendum, et celui de 2022, le Royaume-Uni a connu une croissance inférieure de 5,5 % à celle d'un groupe d'une quarantaine de pays comparables qui connaissaient, les années précédentes, une croissance similaire. Le volume du commerce extérieur britannique a également augmenté de 7 % de moins que ce groupe et les investissements sont de 11 % inférieurs. Sur un an, ce seraient 40 milliards de recettes fiscales perdues pour le gouvernement. Un trou qu'il a fallu compenser dans le budget de rigueur concocté en urgence par le chancelier de l'Échiquier en novembre dernier, avec 55 milliards de livres de hausses d'impôts (25 milliards) et de baisses de dépenses (30 milliards). Le Centre for European Reform estime, en outre, que la fin de la libre circulation a entraîné un manque à gagner de 330.000 travailleurs européens qui seraient sans cela arrivés sur le marché du travail depuis deux ans. Selon l'Office National Statistique britannique, 28 % des entreprises de plus de dix salariés se disent concernées par les pénuries. Parmi elles, 40 % ne peuvent, pour cette raison, répondre à la demande.Le mécontentement social, accumulé après des années d'austérité – avec néanmoins une pause durant la pandémie - et de sous-investissement dans les services publics, éclate désormais avec une longue série de grèves, inédites depuis les années 1970, dont celle cette semaine, chez les 360.000 infirmières du Service national de santé.Depuis janvier, ce sont désormais 60 % des Britanniques qui affirment que la sortie de l'Union européenne a été une erreur, contre 40 % qui la soutiennent. Le basculement a commencé à l'été 2021 (les Britanniques étaient alors partagés, à 50/50 ) et, depuis, les deux courbes s'éloignent progressivement. Le pourcentage des Brexiters qui pensent que c'était une erreur a grimpé de 4 % à 19 %. Friands de néologismes, les Britanniques ont trouvé un nom pour désigner le sentiment de regret du Brexit : le « Bregret ». Il est particulièrement prononcé chez les Londoniens : 7 sur 10 pensent que c'était une erreur de quitter l'Union européenne. Autre néologisme apparu pour désigner ceux qui souhaitent revenir dans l'UE : les « rejoiners », nombreux chez les jeunes qui n'avaient pas l'âge de voter en 2016.***LES RÉFORMES INSTITUTIONNELLES DU PRÉSIDENTAu début de son premier quinquennat Emmanuel Macron avait présenté aux parlementaires une révision de la Constitution, finalement enterrée au cœur de l'été 2018 à la suite de l'affaire Benalla. Entre les deux tours de la présidentielle, il avait esquissé une autre méthode, s'il était réélu, avec la mise en place d'une « commission transpartisane » pour réviser la Constitution.Dans un entretien au Figaro le 12 janvier, le secrétaire général du parti présidentiel Renaissance, Stéphane Séjourné, a annoncé : « Après les retraites, nous devrons réformer nos institutions ». Le même jour, Emmanuel Macron réunissait les présidents de commission des lois de la majorité pour ouvrir le chantier. Stéphane Séjourné a confié à l'ancienne garde des Sceaux Nicole Belloubet et au député de la Vienne Sacha Houlié, président de la commission des Lois de l'Assemblée nationale, le soin de préparer la position que le parti défendra au sein de la commission transpartisane. Les conclusions de ce travail sont attendues ce mois-ci, dans la perspective du premier Conseil national que le parti Renaissance organisera au printemps.Ce chantier comporte quelques grands attendus : une réflexion sur la réduction du nombre de parlementaires, sur la réforme des modes de scrutin, sur le retour au septennat, sur la fin de la Cour de justice de la République... La disparition du poste de Premier ministre pourrait aussi être envisagée. Une réflexion pourrait être menée notamment sur le découpage territorial avec une éventuelle suppression de l'échelon régional. Des réflexions sont aussi promises sur le non-cumul des mandats qui, à en croire ses détracteurs, a rompu le lien entre démocratie locale et nationale. La question du scrutin proportionnel, chère à François Bayrou, allié du chef de l'Etat, reste également dans les esprits, même si le parti Les Républicains, majoritaire au Sénat, s'y oppose frontalement. La simplification du recours au référendum pourrait être abordée pour dédramatiser son usage.Le constitutionnaliste Jean-Philippe Derosier, à la tête du groupe de réflexion sur l'évolution de la Constitution et des institutions (Gréci), explique qu'« il existe deux alternatives pour valider une réforme constitutionnelle. Dans les deux cas, elle doit au préalable être approuvée par les assemblées dans des termes identiques. Ensuite, le texte peut être définitivement entériné soit par référendum soit par la réunion du Congrès ». Au regard du rapport de force au sein des assemblées, l'adoption des textes pourrait être complexe. L'ancien Premier ministre Edouard Balladur a rappelé que trois réformes constitutionnelles ont eu lieu au cours de la IIIème République, une seule durant la IVème et... vingt et une pendant la Vème.Selon le directeur général de l'institut de sondages IFOP, Frédéric Dabi, le sujet de la réforme institutionnelle « n'intéresse pas les Français ».Vous pouvez consulter notre politique de confidentialité sur https://art19.com/privacy ainsi que la notice de confidentialité de la Californie sur https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.

C dans l'air
CDLA - VOS QUESTIONS SMS – 30/01/23

C dans l'air

Play Episode Listen Later Jan 30, 2023 7:21


BORNE HAUSSE LE TON… LA RUE AUSSI ? – 30/01/23 EXPERTS YVES THRÉARD Éditorialiste, directeur adjoint de la rédaction - « Le Figaro » NEILA LATROUS Cheffe adjointe du service politique - « France Info » NATHALIE MAURET Journaliste politique - Groupe de presse régionale « Ebra » JÉRÔME FOURQUET Directeur département Opinion - Institut de sondages IFOP

C dans l'air
EHPAD : ENCORE DES RÉVÉLATIONS… – 25/01/23

C dans l'air

Play Episode Listen Later Jan 25, 2023 63:24


EXPERTS Pascal CHAMPVERT Président de l'Association des directeurs au service des personnes âgées DR PATRICK PELLOUX Médecin urgentiste au SAMU de Paris - Président de l'AMUF SOAZIG QUÉMÉNER Rédactrice en chef du service politique - « Marianne » ÈVE ROGER Journaliste, spécialiste des questions de société Il y a un an, les révélations de Victor Castanet et de son livre « Les Fossoyeurs » sur le groupe Orpea avaient suscité une véritable déflagration. On y découvrait la part d'ombre des Ehpad d'Orpea : les couches et la nourriture rationnées, les patients mal soignés et délaissés, le personnel en sous-effectif ainsi qu'une gestion « contestable de l'argent public ». Un an plus tard, le journaliste, qui a depuis reçu le prix Albert Londres, publie ce mercredi en version poche une nouvelle édition de son livre, augmentée de dix chapitres, sur les coulisses de l'enquête et les pressions subies avant sa parution. L'occasion de revenir sur ce scandale, centré au départ sur Orpea, mais qui a ébranlé l'ensemble du secteur des maisons de retraite, privées, associatives ou publiques. Et de s'interroger : qu'est-ce que les révélations ont changé ? Comment l'encadrement et la gestion des Ehpad ont-ils évolué ? Vendu à près de 170 000 exemplaires, la première édition du livre a bouleversé l'opinion publique. Les langues se sont déliées, les témoignages se sont multipliés sur les conditions de vie dans les maisons de retraite. Le « système Orpea », comme l'a défini Victor Castanet, est aujourd'hui entre les mains des juges et l'onde de choc politique n'est pas terminée, même si plusieurs mesures ont été décidées par l'exécutif, notamment en matière de contrôle. Ainsi alors qu'auparavant les établissements étaient inspectés tous les vingt ans, le gouvernement a ordonné le contrôle, sous deux ans, de l'intégralité des 7 500 Ehpad de France. Au 31 décembre 2022, environ 1 400 avaient déjà été inspectés - ou étaient en cours d'inspection. Néanmoins si la fréquence des contrôles a augmenté, se pose aussi la question de leur qualité. La Défenseure des droits regrette dans un rapport publié le 16 janvier dernier, « qu'il n'existe toujours pas de référentiel commun comme base de contrôle ». L'association Fnadepa, qui regroupe quelque 1.200 directeurs d'Ehpad, dit de son côté craindre que dans la plupart des cas, les contrôleurs se contentent « des documents comptables et administratifs envoyés par mail par les directeurs ». En parallèle des inspections, le gouvernement a annoncé mardi 24 janvier, le lancement d'une plateforme numérique pour recueillir les signalements de maltraitances en Ehpad. Selon le ministre des Solidarités Jean-Christophe Combe, « l'objectif est de libérer la parole, que les signalements soient plus simples et faire en sorte qu'ils soient pris en considération ». Un décret paru en avril dernier a par ailleurs obligé les établissements à plus de transparence quant à leurs prestations et leur gestion des sommes facturées aux résidents. Pour autant, « la transparence ne fait pas forcément la qualité », a expliqué à l'AFP Annabelle Vêques de l'association Fnadepa. D'autant que demeure au cœur de la crise des Ehpad, la question du manque d'effectifs. Dans son rapport de janvier, la Défenseuse des droits a tiré une nouvelle fois la sonnette d'alarme sur les « atteintes » aux droits fondamentaux et la « maltraitance » des personnes âgées en Ehpad, estimant que la réponse des pouvoirs publics n'était « pas à la hauteur ». « La présence humaine - mesurée à travers le taux d'encadrement - est largement insuffisante pour une prise en charge respectueuse du résident », précise le rapport qui préconise un minimum de huit temps pleins pour dix résidents. Un chiffre sur lequel le gouvernement ne s'est pas encore engagé. Pour l'heure, le projet de loi de financement de la Sécurité sociale pour 2023 prévoit le recrutement de 3 000 aides-soignants et infirmiers supplémentaires dans les Ehpad. Le président de la Fnadepa plaidait, lui, en octobre dernier pour que ce chiffre soit porté à 20 000 pour 2023, afin de faire face aux difficultés « inouïes » auxquelles ils sont confrontés. Des professionnels du secteur regrettent également que la loi sur le grand âge, promesse du gouvernement depuis le premier quinquennat, n'ait toujours pas été mise à l'ordre du jour des débats parlementaires. Et ce alors qu'en 2050, un Français sur trois aura plus de 60 ans. Des Français qui aujourd'hui seraient déjà plus de 80 % à réclamer de pouvoir vieillir chez eux. 89 % approuveraient également l'autorisation du recours au suicide assisté, à savoir l'ingestion d'un produit létal (mortel), en présence d'un médecin, pour mettre fin aux souffrances des malades selon un enquête Ifop de février 2022. Un sujet sensible au centre des travaux menés par la convention citoyenne sur la fin de vie jusqu'en mars 2023. DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/

Par Jupiter !
En gros, 2 Français sur 3 rêvent d'avoir le destin d'un technicien de Radio France, et ça c'est beau !

Par Jupiter !

Play Episode Listen Later Jan 25, 2023 4:40


durée : 00:04:40 - Le journal de presque 17h17 - par : Charline Vanhoenacker, Alex Vizorek - Brigitte Macron défend une réforme faite pour "que les jeunes aient une retraite", selon une étude Ifop, 2 Français sur 3 préfèrent avoir du temps libre plutôt qu'un salaire élevé, et la préfecture de la Manche alerte contre la présence de fausses méduses très urticantes, c'est l'actu du jour !

C dans l'air
CDLA L'INVITÉ – FRÉDÉRIC DABI – 24/01/23

C dans l'air

Play Episode Listen Later Jan 24, 2023 10:50


COMPLOTISME, SEXISME… ALERTE SUR LA JEUNESSE ? – 24/01/23 FRÉDÉRIC DABI Directeur général Opinion - Institut de sondages IFOP La Fondation Reboot et la Fondation Jean-Jaurès ont commandé à l'IFOP une enquête auprès des jeunes visant à mesurer leur porosité aux contre-vérités scientifiques et ceci au regard de leur usage des réseaux sociaux. Cette étude montre la sécession d'une partie de la jeunesse avec le consensus scientifique : les adeptes des thèses conspirationnistes et plus généralement des croyances irrationnelles sont particulièrement nombreux chez les jeunes, notamment chez ceux qui utilisent beaucoup les réseaux sociaux. L'enquête révèle par exemple que près de 70 % des jeunes entre 18 et 24 ans adhèrent aux fake news. Selon l'étude, alors qu'elle reste marginale chez les seniors (3%), l'idée que la Terre puisse être plate plutôt que ronde recueille un assentiment non négligeable de la part des 18-24 ans. Les jeunes affichent une posture nettement plus critique que dans le passé à l'égard de la science. Ils sont un sur trois à penser qu'elle apporte plus de mal que de bien. Dans le brouillard informationnel « post-Covid » des plus propices à l'essor des théories complotistes, une part significative de jeunes semble perméable au récit poutinien sur la guerre en Ukraine : plus d'un jeune sur quatre (26%) estime que « le massacre de civils à Boutcha était une mise en scène des autorités ukrainiennes ». Et dans le même registre complotiste, ils sont près d'un sur trois (31%) à estimer que « le résultat de l'élection présidentielle américaine de 2020 a été faussé aux dépens de Donald Trump ». Une autre étude a été publiée hier par le Haut Conseil à l'Égalité. Malgré la sensibilisation qu'a provoquée le mouvement #MeToo, le sexisme perdure en France, notamment avec des « réflexes masculinistes » chez les jeunes hommes, déplore le Haut Conseil à l'Égalité, qui demande notamment de « réguler les contenus numériques ». « Le sexisme ne recule pas en France. Au contraire, certaines de ses manifestations les plus violentes s'aggravent et les jeunes générations sont les plus touchées », écrit le HCE qui explique que « l'opinion reconnaît et déplore l'existence du sexisme mais ne le rejette pas en pratique, majoritairement chez les hommes ». Frédéric Dabi, directeur général Opinion de l'institut IFOP reviendra sur cette jeunesse et sur son rapport à la science, au sexisme et au travail.

Le Nouvel Esprit Public
Retraites : une réforme mal accueillie / La relation franco-allemande

Le Nouvel Esprit Public

Play Episode Listen Later Jan 22, 2023 60:01


N°281 / 22 janvier 2023Connaissez-vous notre site ? www.lenouvelespritpublic.frUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 20 janvier 2023.Avec cette semaine :Nicolas Baverez, essayiste et avocat.Matthias Fekl, avocat et ancien ministre de l'Intérieur.Marc-Olivier Padis, directeur des études de la fondation Terra Nova.Michaela Wiegel, correspondante à Paris de la Frankfurter Allgemeine Zeitung.RETRAITES : UNE RÉFORME MAL ACCUEILLIELe 10 janvier, la Première ministre a présenté les différentes mesures de sa refonte controversée du régime de retraites. Le recul de l'âge légal de départ de 62 ans actuellement, à 64 ans d'ici à 2030 sera couplé à un allongement de la durée de cotisation, qui interviendra plus rapidement que prévu : il faudra avoir cotisé quarante-trois ans dès 2027 au lieu de 2035 pour obtenir une pension de retraite à taux plein. Ce nouveau système actera par ailleurs « l'extinction des principaux régimes spéciaux ». Le minimum de pension sera relevé à 85 % du smic net, « soit près de 1 200 euros par mois dès cette année », pour les futurs retraités ayant une carrière complète, mais aussi pour ceux d'aujourd'hui. Un dispositif « carrières longues » sera préservé. Afin de favoriser le maintien au travail des seniors, le gouvernement veut créer un « index seniors ». Concernant le facteur pénibilité, les trois critères abandonnés en 2017 (port de charges lourdes, postures pénibles et vibrations mécaniques) devraient être réintégrés, sous réserve d'un examen médical. Les périodes de congés parentaux seraient désormais prises en compte. Selon le ministre de l'Économie, la réforme des retraites pourrait rapporter 17,7 milliards d'euros aux caisses des retraites d'ici à 2030 et pourrait créer 100.000 emplois d'ici à 2025. Selon ces calculs, l'exécutif disposera d'une cagnotte de 4,2 milliards d'euros pour financer des mesures d'accompagnement, dont quelque 3,1 milliards d'euros serviront à financer les départs en retraite anticipés pour inaptitude ou invalidité.Plus de deux tiers des Français (68 %) sont défavorables au report de l'âge légal, même à 64 ans, selon un sondage IFOP pour Fiducial. Dès l'annonce du plan, les dirigeants des huit grands syndicats (CFDT, CGT, FO, CFE-CGC, CFTC, UNSA, Solidaires et FSU) ont appelé avec succès à une première journée de grève et de manifestation le 19 janvier. Les organisations syndicales sont opposées à tout relèvement de l'âge légal, estimant qu'il affecterait surtout les plus modestes, qui ont commencé à travailler tôt et ont déjà leurs trimestres à 62 ans. La droite, qui avait affirmé être prête « à soutenir une réforme » des retraites, à « quelques conditions », s'est dite « satisfaite d'avoir été entendue » par le gouvernement, notamment quant à la chronologie du report de l'âge de départ à la retraite et à la revalorisation des petites pensions. Le syndicat patronal Medef a salué « les décisions pragmatiques et responsables » tout en se disant « opposé au principe d'un index seniors ». Pour le leader de La France insoumise « la réforme Macron-Borne, c'est une grave régression sociale », tandis que le premier secrétaire du Parti communiste français a dénoncé un « projet brutal de recul de l'âge de départ en retraite ». La présidente du Rassemblement national a fait part de sa « détermination pour faire barrage » à la réforme « injuste » des retraites présentée par la Première ministre.***LA RELATION FRANCO-ALLEMANDE Ce dimanche à Paris, on célèbre le 60e anniversaire du Traité de l'Elysée, colonne vertébrale de la relation franco-allemande, signé le 22 janvier 1963 par le Général de Gaulle et le Chancelier Konrad Adenauer pour sceller officiellement la réconciliation entre les deux pays. Cérémonie à la Sorbonne ce matin, suivie d'un Conseil des ministres franco-allemand à l'Élysée. Celui-là même qui avait été reporté fin octobre sur fond de dissensions bilatérales, et de glissement du cœur de l'Europe vers l'Est avec la guerre en Ukraine qui bouleverse l'équilibre du moteur franco-allemand.Les motifs d'incompréhension, voire de discorde, sont apparus depuis qu'Olaf Scholz a succédé à Angela Merkel en décembre 2021, notamment sur le prix du gaz, le nucléaire, le Système de combat aérien futur ou la défense antimissile européenne - pour laquelle Berlin prône une solution concurrente de celle de Paris. Emmanuel Macron n'a pas apprécié d'avoir été écarté de la visite du chancelier allemand à Pékin, le 4 novembre. Il n'a pas non plus été informé à l'avance de la mise en place d'un plan d'aide allemand de 200 milliards d'euros pour compenser la crise énergétique. Olaf Scholz reproche au président français d'avoir tué dans l'œuf le projet de gazoduc MidCat (Midi-Catalogne), soutenu par Berlin. En matière d'énergie, l'Allemagne a choisi une politique de transition vers le tout renouvelable, couplée au gaz, tandis que la stratégie française repose sur le nucléaire qu'Emmanuel Macron veut renforcer avec de nouveaux EPR. En août, à Prague, le chancelier a dessiné sa vision de l'Europe, comprenant de nombreux points de convergence avec celle d'Emmanuel Macron, mais sans mentionner une seule fois l'axe franco-allemand. Derniers incidents en date : Emmanuel Macron a annoncé la livraison de chars de combat légers à l'Ukraine le 4 janvier, sans crier gare, conduisant Berlin et Washington à sortir du bois avec la même annonce le lendemain, puis le 17 janvier, à Davos, la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen a détaillé la réponse de la Commission européenne à l'Inflation Reduction Act (IRA) américain, avec notamment la création d'un fonds commun pour soutenir les industries vertes et un assouplissement temporaire du cadre des aides d'Etat. Une solution défendue par Paris, mais critiquée par Berlin.Afin de rapprocher les points de vue, après Olaf Scholz, les partenaires de la coalition allemande ont été conviés pour la première fois à l'Élysée et Élisabeth Borne a pris le chemin de Berlin le 25 novembre. Un groupe de quelques Françaises et Français, dont le diplomate Maurice Gourdault-Montagne, et notre ami Matthias Fekl, a pris l'initiative de créer une Académie franco-allemande de Paris, comme il existe une Académie de Berlin depuis 2006.Il se murmure que le travail entamé à Paris en janvier pourrait aboutir à une visite d'État du président français en Allemagne l'été prochain.Vous pouvez consulter notre politique de confidentialité sur https://art19.com/privacy ainsi que la notice de confidentialité de la Californie sur https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.

Um pulo em Paris
Coletes amarelos voltam às ruas na França contra reforma da Previdência de Macron

Um pulo em Paris

Play Episode Listen Later Jan 6, 2023 11:24


O ano de 2023 começou com a perspectiva de forte mobilização social na França pela insistência do presidente Emmanuel Macron em querer aprovar, até o mês de julho, uma reforma da Previdência destinada a aumentar a idade mínima de aposentadoria dos atuais 62 anos para 64 ou 65 anos. Os detalhes do projeto de lei serão apresentados na semana que vem, no dia 10. Mas essa reforma impopular, rejeitada por dois terços da população, segundo uma pesquisa do instituto Ifop, e também por todas as organizações sindicais de trabalhadores do país, evidencia um desgaste importante de Macron perante a opinião pública e sinaliza meses de protestos pela frente. Grupos de coletes amarelos retornam às ruas neste sábado (7) para protestar contra o projeto, o aumento dos custos da energia, dos combustíveis e da inflação, assim como a falta de votação parlamentar na aprovação do Orçamento de 2023. Motivos para reclamar não faltam, mas ninguém sabe se o movimento vai ganhar força como aconteceu em 2018, quando surgiu, motivado na época pelo aumento dos preços dos combustíveis. Há páginas do Facebook com chamados para passeatas em Paris e outras cidades francesas. Uma outra manifestação, da oposição de esquerda e de organizações estudantis, já está marcada para 21 de janeiro.  A rejeição massiva dos franceses à reforma da Previdência tem múltiplas razões. As condições de vida estão mais difíceis com o retorno da inflação. Os salários estão achatados, a guerra na Ucrânia pesa no moral das pessoas, e os franceses têm notado no cotidiano uma deterioração dos serviços públicos. Em dezembro, os ferroviários fizeram greve no fim de semana do Natal, faltam motoristas de ônibus e metroviários na região parisiense, os hospitais públicos enfrentam a pior crise em décadas, por falta de médicos e enfermeiros. Mas o principal argumento de resistência à reforma é a dificuldade de manter o emprego depois dos 55 anos.  O próprio Ministério do Trabalho admite que só a metade das pessoas – 56% – na faixa etária de 55 a 64 anos permanece empregada na França, um percentual que nos países escandinavos chega a 90% nessas idades. A Alemanha também dá muito mais oportunidades de trabalho aos sêniores. Na França, como historicamente as empresas empurram a pessoa à demissão ou mandam embora na última década da carreira, e elas não encontram mais emprego, mesmo tendo contribuído durante anos para o sistema previdenciário, muitos aposentados vivem com pensões de baixo valor. Para contornar a situação, o ministro do Trabalho, Olivier Dussopt, cogitou criar um "índex" para obrigar as empresas a publicar anualmente o número de pessoas que mantêm empregadas com mais de 55 anos. Na avaliação da opinião pública, soou como conversa para boi dormir. Por que trabalhar mais? O governo diz aos franceses que eles precisam trabalhar por mais tempo para preservar a universalidade do sistema e torná-lo mais justo. Ainda mais em um contexto em que muitos países europeus já aumentaram a idade mínima das aposentadorias para 65 ou até 68 anos. Na proposta, que muitos apontam como ideológica e não técnica, o Executivo promete garantir uma pensão mínima de aposentadoria de € 1.200, que hoje corresponde a 85% do salário mínimo. Isto dá uma ideia do quanto as pensões podem ser minoradas, uma vez que elas sequer alcançam o valor do salário mínimo em vigor.  Governo tenta convencer com apelo a mulheres As autoridades também alegam que a reforma é essencial para fazer justiça às mulheres, que não teriam mais o tempo de licenças usadas para cuidar dos filhos descontadas do tempo de contribuição. Mas especialistas dizem que a maior injustiça, que a reforma não corrige, é que as pensões pagas às mulheres são 40% inferiores às dos homens, por causa da desigualdade salarial crônica ao longo da carreira.  Outro fator de resistência é que já existe uma reforma recente, que entrou em vigor em 2020, aumentando gradualmente o tempo de contribuição para que uma pessoa tenha direito à pensão integral. O calendário de aplicação dessa reforma, aprovada durante a presidência do socialista François Hollande, em 2014, já obriga quem está atualmente no mercado a trabalhar até 65-67 anos se quiser obter o benefício da pensão integral. Em 2035, serão exigidos 43 anos de tempo mínimo de contribuição.  Intenso debate na mídia Durante as negociações, que foram conduzidas pela primeira-ministra Élisabeth Borne, as centrais sindicais tentaram garantir a continuidade de vantagens para quem começou a trabalhar cedo, antes dos 20 anos, e de 15 categorias que beneficiam de regimes especiais de aposentadoria. O projeto de Macron acaba com os regimes especiais, mas promete levar em conta as carreiras longas e manter vantagens para alguns critérios de periculosidade. Professores e trabalhadores do setor nuclear perderiam benefícios.  Neste momento, há intenso debate na mídia e na sociedade sobre a necessidade ou não de se fazer esta reforma. Muitos especialistas dizem que bastava aumentar ligeiramente a contribuição previdenciária para todos, algo em torno de € 4 por mês, que o risco de déficit e desequilíbrio das contas estaria resolvido.  Macron aposta em vencer pelo cansaço, contando que os trabalhadores, com a alta do custo de vida, não poderão abrir mão de vários dias de salário para fazer greve. Para o presidente, o que está em jogo é sua imagem de reformador e este é o trunfo político que ele quer deixar como legado no final de dois mandatos. O governo não tem mais maioria absoluta no Parlamento, então depende da oposição para aprovar a reforma. O partido da direita republicana (LR) sempre defendeu o aumento da idade mínima da aposentadoria para 65 anos em seu programa, e provavelmente votará junto com o governo. Mas vários deputados conservadores já disseram que aumentar de 62 para 64 anos pode ser a proposta que não esticaria demais a corda e poderia vingar no Parlamento. 

L'entretien de Sonia Mabrouk
Frédéric Dabi : «Pour les Français, l'injustice suprême est d'avoir un travail qui paie mal»

L'entretien de Sonia Mabrouk

Play Episode Listen Later Jan 2, 2023 15:50


Frédéric Dabi, directeur général opinion de l'IFOP, répond aux questions de Sonia Mabrouk au sujet de la réforme des retraites, du risque de conflit social et des deux quinquennats d'Emmanuel Macron.

Revue de presse française
À la Une: le Noël métachronique des Ukrainiens

Revue de presse française

Play Episode Listen Later Dec 25, 2022 4:45


Depuis 440 ans, la messe est dite, le 25 décembre, pour les catholiques, c'est Noël ! Ainsi le stipule le calendrier grégorien. Pour les orthodoxes, en revanche - en Ukraine, en Russie ou ailleurs - Noël, c'est le 7 janvier, comme l'accrédite le calendrier julien. Toutefois, « pour se démarquer des orthodoxes russes (…) de plus en plus d'Ukrainiens rompent avec la tradition du 7 janvier et choisissent la date du 25 décembre », signale Le Figaro. « Cette année, de plus en plus de croyants ukrainiens souhaitent célébrer Noël en même temps que Paris, Berlin ou Londres et non pas Moscou », explique ce journal. Dans le froid et souvent dans l'obscurité. Bon Noël à eux. Ukraine, les Français veulent une solution négociée Justement, le soutien à l'Ukraine, jusqu'où ? Dans le conflit qui l'oppose à la Russie, l'immense majorité des Français veulent une solution négociée. Selon un sondage Ifop pour Le Journal du Dimanche, « les Français adhèrent à cette idée de soutenir « en même temps » l'idée d'une négociation et le soutien sans faille à l'Ukraine. Mais sans se faire d'illusion à court terme, constate Le JDD, un Français sur cinq seulement croyant en une fin du conflit possible d'ici à la fin de l'année 2023 ».  Et, en effet, cette enquête indique que 7 Français sur 10 souhaitent que la France et l'Union européenne « cherchent d'abord à parvenir à une solution négociée entre l'Ukraine et la Russie, tout en continuant à fournir une aide militaire importante aux Ukrainiens », contre 3 sur 10 qui estiment que la France et l'Union européenne « continuent à fournir une aide militaire importante à l'Ukraine pour permettre à ce pays de battre militairement la Russie », rapporte Le Journal du Dimanche. Lequel hebdomadaire signale aussi qu'aux États-Unis, la dernière enquête d'opinion menée par l'institut Chicago Council on Global Affairs, révèle « qu'il n'y a plus que 48% d'Américains à souscrire au maintien d'une aide à l'Ukraine « le temps qu'il faudra », quoi qu'il en coûte au budget des États-Unis. C'est dix points de moins qu'en juillet dernier. Et il n'y a plus que 33% d'électeurs républicains à envisager cette option », pointe encore Le JDD. Les Savonarole de gauche À la Une cette semaine également, « les nouveaux obscurantistes ». Ils venaient autrefois des mouvements religieux et ils étaient plutôt de droite. À présent, c'est l'inverse. « Un nouvel obscurantisme se développe à gauche », constate L'Express. Lequel hebdomadaire consacre en effet son numéro de Noël à ces « nouveaux obscurantistes » dont « l'erreur fondamentale », selon ce magazine, est de « confondre science et morale, et vouloir abolir tout ce qui, dans la nature, semble s'opposer à leur credo progressiste ». Dans l'inventaire des « attaques contre la biologie » dressé pour L'Express par le biologiste américain Jerry Coyne, on trouve notamment « le déni du sexe biologique » la « mise au même niveau » des « savoirs autochtones » et de la science moderne jugée « colonialiste », sans omettre l'idéologie de la « page blanche » selon laquelle les êtres humains seraient uniquement « le produit de leur environnement et non pas de leurs gènes ». De quoi conduire ce professeur émérite de l'université de Chicago, réputé de centre gauche, à juger « inquiétantes » les attaques contre la science « venant de la gauche ». Car si, selon lui, le créationnisme « a pratiquement disparu des universités », Jerry Coyne explique à L'Express qu'à l'inverse, « les attaques contre la science venant de la gauche ont lieu à l'intérieur du système éducatif ». Or ce qui est aujourd'hui enseigné – ou pas enseigné - dans les écoles « aura une grande influence sur nos connaissances dans le futur », prévient-il dans L'Express. Ébouriffant ! Harmonie en Patagonie Balade, pour conclure, dans les parcs nationaux du Chili. L'hebdomadaire L'Obs nous invite à la découverte des dix-sept parcs nationaux situés en Patagonie, extrême-sud du Chili, « où des dizaines d'espèces se réapproprient des territoires dévastés par l'homme ». Voici le nandou de Darwin (une autruche, en plus petit) ; voici le condor (un vautour, en plus grand) ; voici le huemul (un chevreuil, en plus gros). À l'origine du projet, un couple d'Américains, Doug et Kris Tomkins, qui, après avoir fait fortune dans le monde des affaires, ont tout réinvesti dans l'achat et la réhabilitation de terres nécessaires à la réintroduction de ces espèces menacées. Des terres qu'ils ont ensuite données à l'État chilien. Doug est mort il y a sept ans, mais Kris, sa femme, a continué l'œuvre. Et les résultats sont là. Sur place, L'Obs a constaté un « petit miracle » en train de se produire dans ce vrai poumon de la nature qu'est désormais le sud du Chili. Esprit de Noël, où es-tu ? Pas au Pôle nord, non, en Patagonie…

Um pulo em Paris
Inflação alta e veganismo fazem franceses mudar de hábitos no Natal

Um pulo em Paris

Play Episode Listen Later Dec 24, 2022 12:55


O aumento da inflação impôs mudanças aos franceses naquilo que eles mais apreciam: a boa mesa. Com algumas especialidades a preços astronômicos, pratos típicos dessa época do ano estão sendo substituídos por alternativas mais em conta. O tradicional foie gras, o polêmico fígado gordo de pato ou ganso, dobrou de preço em um ano e está custando a bagatela de € 150 o quilo, cerca de R$ 822.  Esta entrada, que sempre foi associada a um luxo, mas que a maioria das famílias ainda fazia questão de ter na mesa de Natal e no Réveillon, praticamente sai do cardápio. Isto já era uma tendência, devido à forma como as aves são forçadas a se alimentar. A moda, agora, é servir a versão vegana do foie gras, que os chefes de cozinha batizaram de "non gras", uma receita à base de castanhas, manteiga de cacau, óleo de coco, missô japonês, pasta de gergelim, conhaque e uma pitada de trufa, aquele fungo raro que também é um assalto à carteira.  Os chefes de cozinha dão várias ideias de como fazer uma ceia de Natal sem se arruinar. A dica é evitar o salmão selvagem, trocado pela truta, algumas espécies de aves e crustáceos que encareceram acima da conta e substituí-los por outros produtos, principalmente, pelas vieiras, chamadas de noix de Saint-Jacques, abundantes na França neste ano. Com a comida cara, o orçamento para presentes diminuiu e esta é outra tendência de fundo. As lojas estão lotadas, mas é perceptível que os franceses estão privilegiando mais qualidade e menos quantidade, tanto devido à inflação, dos preços proibitivos, quanto por consciência ecológica. Na França, não é comum fazer amigo secreto, mas isso está mudando, justamente para diminuir a quantidade de presentes nas famílias.  Segundo uma pesquisa Ifop, 18% dos franceses não irão oferecer presentes de Natal neste ano, uma alta de 8 pontos em relação ao ano passado. A geração mais jovem tem muito mais consciência da gravidade das mudanças climáticas, sofre com isso e quer se livrar do peso que essa tradição de consumo exagerado e presentes representam.  Nas vésperas do Natal, dá para ver que as pessoas aguardam a temporada de liquidação de inverno, que vai começar em 11 de janeiro. Tem muita mercadoria sobrando nas lojas. Marcas de roupa mais caras diminuíram visivelmente suas coleções. Algumas lojas têm aquela área enorme e poucas peças nos cabides. Os donos de indústrias estão pessimistas: 56% acreditam que 2023 será um ano difícil para o setor da moda na Europa, contra 9% que faziam essa previsão pessimista no ano passado.   A festa das famílias Fala-se muito que os franceses são desgarrados das famílias, mas o Natal é realmente a data em que a grande maioria das pessoas fica em família. Para muita gente, é a única ocasião do ano em que toda a família se reúne: bisavós, avós, pais, filhos, netos e bisnetos. Quem mora fora volta para casa; os aposentados, que costumam mudar para uma região mais ensolarada, ficam com a casa cheia. Por isso, os preparativos para a ceia do dia 24 e o almoço de 25 de dezembro são tão importantes.  As pessoas são capazes de passar de três a cinco horas à mesa, e cada região tem suas tradições. Uma delas é o trou normand, um hábito criado na Normandia. Para aguentar a refeição de duas ou três entradas, prato de peixe, uma ave assada, queijos e sobremesas, bebe-se um copo de Calvados, a cachaça local feita de maçã, entre as etapas, para abrir de novo o apetite. Assim, é garantido que a comilança dure horas.  Depois do Natal, quem tem dinheiro viaja. Alguns vão para as estações de esqui, embora as pessoas prefiram fazer o esqui em fevereiro e passar o Natal e o Ano-Novo mais sossegados. O que está uma dor de cabeça nesses dias é a greve de trens. Greve de trens prejudica viagens A greve dos agentes que controlam as passagens deve tirar de circulação praticamente dois terços dos trens na França, neste fim de semana. Os controladores, independentes de sindicatos, convocaram uma mobilização por aumento de salários, e mais de 200 mil passageiros tiveram suas passagens canceladas. A companhia ferroviária SNCF indenizou os clientes, propondo um vale no valor do dobro da passagem perdida, mas a paralisação estragou o Natal de muita gente. Os carros de locação desapareceram das lojas, os preços das passagens de ônibus e de caronas na plataforma Blablacar foram às alturas, um estresse de última hora que deixou os viajantes irritados. O conflito social só foi resolvido na manhã de sexta-feira (23), depois que o presidente Emmanuel Macron deu uma bronca, na véspera, no presidente da companhia, no ministro dos Transportes, e acusou os grevistas de falta de empatia com a população, ao fazer uma greve no único momento do ano em que as pessoas visitam familiares.  Finalmente, um acordo foi encontrado, e os sindicatos da SNCF suspenderam a greve que também estava prevista para o fim de semana do Ano-Novo. O Natal já está perdido.

Le sept neuf
Frédéric Dabi - Dominique de Villepin - Marion Poitevin

Le sept neuf

Play Episode Listen Later Dec 22, 2022 148:54


durée : 02:28:54 - Le 7/9.30 - par : Alexandra Bensaid - Frédéric Dabi, politologue, directeur général Opinion de l' IFOP, est l'invité du 7h50. Dominique de Villepin, ancien Premier Ministre et ministre des Affaires Etrangères, est l'invité du 8h20. Marion Poitevin, alpiniste et auteure de « Briser le plafond de glace », est l'invitée du 9h10.

Catholic Drive Time: Keeping you Informed & Inspired!
Shutting Down Orthodox - Advent Savior - 7 Best Books

Catholic Drive Time: Keeping you Informed & Inspired!

Play Episode Listen Later Dec 14, 2022 119:59


Catholic Drive Time - 877-757-9424 Date – Wednesday, December 14, 2022 – Memorial of Saint John of the Cross, Priest and Doctor of the Church INTRO – Is France LOST? Also, The Ukrainian Govt. Shutting down the Orthodox, Chris Tomlinson weighs in. And – Seeking the Wrong Savior This Advent Also –The seven pillars of wisdom on which Western civilization is built... if just had to choose only 7 books.... Quick News - - Transportation Secretary Buttigieg: "Remarkable Number Of Congressional Republicans" Supported "Respect For Marriage Act" - DOJ Official - Associate Attorney General Vanita Gupta - Admits Targeting Pro-Lifers Is Response to Overturn of Roe - Oregon Gov. Kate Brown, a Democrat, commuted all of the state's death sentences ahead of her leaving the office. Florida Gov. Ron DeSantis seeks grand jury to probe any wrongdoing related to COVID-19 vaccines - According to internal emails obtained by the Washington Examiner The Secret Service and the Immigration and Customs Enforcement secretly coordinated with the FBI to strip U.S. citizens of their rights to own, use, or even buy firearms. - Journalists with Reuters this month reported that the Nigerian government had been forcing thousands of rescued girls and women to abort babies conceived in rape or forced marriages to Islamist militants. Join Email list! GRNonline.com/CDT GRN to 42828 What's Concerning Us? – Seeking the Wrong Savior This Advent In Whom do we place our trust? Guest Seg. - Chris Tomlinson – Breitbart – Is France LOST? Ukraine suppressing the Orthodox -France - The poll, taken by the French firm Ifop, revealed that 52 per cent of teachers in France practice some form of self-censorship on the topic of secularism as France celebrated the anniversary of 1905 secularism laws on Friday, December 9th. - 71 per cent of teachers say they have had to deal with confronting pupils on the ban on visible religious symbols, such as the Islamic veil. 2nd Hour Guest Seg. - The seven pillars of wisdom on which Western civilization is built... if just had to choose only 7 books.... The Iliad and The Odyssey. Homer's epic narratives deserve preeminence on their own literary merit but also for the influence that they've exerted in the three millennia since they were written. the Holy Bible needs no justification and no explanation. Its absence would remove the very heart from Western civilization. Virgil's epic about the foundation of Rome itself, The Aeneid. the great Saint Augustine and his magnum opus, The City of God The penultimate pillar is that other edifice of Christian theology and philosophy, the Summa Theologica of Thomas Aquinas. Dante's Divine Comedy, a work which brings together the Homeric and Virgilian Muses and baptizes them in the living waters of Thomistic theology and philosophy. Joe Social Media IG: @TheCatholicHack Twitter: @Catholic_Hack Facebook: Joe McClane YouTube: Joe McClane Rudy Social Media IG: @ydursolrac Youtube: Glad Trad Podcast Adrian Social Media IG: @ffonze Twitter: @AdrianFonze Facebook: Adrian Fonseca YouTube: Adrian Fonseca YouTube: Catholic Conversations Visit our website to learn more about us, find a local GRN radio station, a schedule of our programming and so much more. http://grnonline.com/

Les histoires de 28 Minutes
Preljocaj, danseur mythique / Légaliser l'euthanasie ?

Les histoires de 28 Minutes

Play Episode Listen Later Dec 12, 2022 43:12


L'émission 28 Minutes du 12/12/2022 Au programme de l'émission du 12 décembre 2022 ⬇ Le chorégraphe Angelin Preljocaj revisite les grands mythesGrande figure de la danse contemporaine, Angelin Preljocaj a déjà chorégraphié 56 pièces et collaboré avec de nombreux artistes de domaines variés, notamment  Jean-Paul Gaultier ou encore Laurent Garnier. Pourtant, né de parents albanais, le danseur doit se battre contre les préjugés : “La danse a toujours été pour moi un art de combat : contre ma famille qui en rejetait violemment l'idée, contre mes copains de la cité de Champigny qui étaient moqueurs et dénigrants.” Avec Nicole Saïd, il fonde sa propre compagnie, “Ballet Preljocaj”, composée de vingt-quatre danseurs, avant d'obtenir le prix du ministère de la Culture pour sa première chorégraphie “Marché Noir”. Dans son dernier spectacle “Mythologies”, Angelin Preljocaj réunit vingt danseurs et explore “nos rituels contemporains et les mythes fondateurs qui forment notre imaginaire collectif”. Il est notre invité. Euthanasie, suicide assisté : faut-il changer la loi sur la fin de vie ?“Le cadre de l'accompagnement de la fin de vie est-il adapté aux différentes situations rencontrées, ou d'éventuels changements devraient-ils être introduits ?” C'est la question à laquelle 185 Français tirés au sort vont devoir répondre à l'issue de la Convention citoyenne sur la fin de vie, organisée de décembre 2022 à mars 2023. Alors que l'euthanasie et le suicide assisté sont autorisés aux Pays-Bas, en Belgique ou encore au Canada, en France, les pratiques restent illégales. Si certaines lois ont déjà été votées, notamment sur les soins palliatifs en 2009, les droits des malades en 2002, ou sur le recours à la sédation profonde et continue jusqu'au décès en 2016, les Français en veulent plus. En effet, selon un sondage IFOP, 78% de la population serait favorable à la légalisation de l'euthanasie ou du suicide médicalement assisté. Au contraire, les opposants craignent une banalisation de ces processus. Alors faut-il modifier l'encadrement de la fin de vie ? On en débat avec nos invités. Enfin, retrouvez également les chroniques de Xavier Mauduit et d'Alix Van Pée 28 Minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Elisabeth Quin du lundi au vendredi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement : 12 décembre 2022 - Présentation : Élisabeth Quin - Production : KM, ARTE Radio

Ah ouais ?
LES ? DE L'INFO - Pourquoi ne pas se laver tous les jours est bon pour notre porte-monnaie ?

Ah ouais ?

Play Episode Listen Later Dec 8, 2022 2:23


Pour tordre le cou à cette légende qui veut que les Français soient tous sales, selon une étude IFOP, 76 % d'entre eux affirment se laver entièrement tous les jours. Malheureusement, les 24% restants se donnent rendez-vous tous les jours dans les transports en commun. C'est quasiment pareil que les Allemands (77 %), mais mieux que les Anglais (68 %), et que les Italiens (53 %). Une douche, c'est autour de 57 litres d'eau. Cela équivaut à 40 % de celle qu'on utilise tous les jours. Et je ne vous parle même pas du bain, là c'est 150 à 200 litres. De l'eau qu'il faut chauffer évidemment. La facture annuelle d'une douche quotidienne tout compris, c'est autour de 220 euros par personne. Pour une famille de 4 personnes, ça approche vite des 1000 euros. De toute façon, se doucher tous les jours, ce n'est pas bon. C'est même déconseillé par les dermatologues. Tous les jours à 6h50 sur RTL, Florian Gazan révèle une histoire insolite et surprenante, liée à l'actualité.

Les histoires de 28 Minutes
Molière prend l'accent belge / Retraite à 65 ans

Les histoires de 28 Minutes

Play Episode Listen Later Dec 7, 2022 46:22


L'émission 28 Minutes du 07/12/2022 Au programme de l'émission du 7 décembre 2022 ⬇ Avec le collectif Tg STAN, Molière prend l'accent belge Au collectif théâtral Tg STAN, il n'y a pas de hiérarchie. Le principe démocratique prévaut : tout le monde participe aux choix des textes, des costumes, du décor, et même des éclairages et des affiches. Cofondée par les comédiens et metteurs en scène Jolente De Keersmaeker et Damiaan De Schrijver, la compagnie belge offre un répertoire riche et varié, qui fait la part belle aux œuvres d'auteurs dramatiques classiques comme Tchekhov, Gorki, Schnitzler, Ibsen, Bernhard ou Pinter, placées dans un contexte contemporain. À l'occasion de l'Année Molière qui fête ses 400 ans de naissance, la troupe joue "Poquelin II", un "best of Molière" librement inspiré de "L'Avare" et du "Bourgeois gentilhomme". À retrouver du 8 au 19 décembre au théâtre de la Bastille. Pour en parler, Jolente De Keersmaeker et Damiaan De Schrijver sont sur notre plateau. Retraite à 65 ans : les Français sont-ils prêts à l'accepter ?   La réforme des retraites sera officiellement présentée le 15 décembre aux partenaires sociaux, même si Elisabeth Borne en a déjà annoncé les grandes lignes qui semblent peu négociables. L'âge de départ en retraite du régime général passera de 62 à 65 ans. Dans la fonction publique, les actifs dits "de terrain" qui partent aujourd'hui à la retraite à 52 ou 57 ans, comme la police, verront également leur âge de départ repoussé. Quant aux régimes spéciaux (RATP, EDF…), ils seront supprimés, mais pour les nouveaux recrutés uniquement. C'est la fameuse "clause du grand-père". La réforme entrera en vigueur dès l'été 2023, et la première génération concernée sera celle née au second semestre de 1961. Selon une enquête IFOP en septembre dernier, seuls 22 % des sondés se disent favorables à un recul de la retraite à 65 ans. À l'Assemblée, le 49.3. pourrait être dégainé si aucun terrain d'entente n'est trouvé. Dans un contexte social et économique tendu, la réforme des retraite ne risque-t-elle pas d'être une bombe ? On en débat avec nos invités.  Enfin, retrouvez également les chroniques de Xavier Mauduit et Alix Van Pée.  28 Minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Elisabeth Quin du lundi au vendredi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio.   Enregistrement : 7 décembre 2022 - Présentation : Élisabeth Quin - Production : KM, ARTE Radio

Hit West vous explique
Pourquoi les 15-24 ans n'ont plus peur (à tort) du sida

Hit West vous explique

Play Episode Listen Later Dec 1, 2022 2:51


Jeudi 1er décembre : c'est la journée mondiale contre le Sida et il y a encore du boulot en terme de prévention et d'information Katell, notamment chez les jeunes ...Un jeune sur trois âgé de 18 à 25 ans s'estime mal informé sur le VIH et deux sur trois n'utilisent pas systématiquement de préservatif lors d'un rapport sexuel. C'est ce que révèle un récent sondage IFOP.Première explication à cela : le Covid qui pendant deux ans a tout éclipsé ...Mais il y a aussi une forme de banalisation du virus du sida. Les jeunes se font de moins en moins dépistés. D'ailleurs, plus d'un sondé sur deux ne sait ni où ni comment se faire dépister.Pour beaucoup de jeunes le SIDA est devenu une maladie chronique.Alors c'est vrai, grâce aux traitements on meurt beaucoup moins du SIDA. La qualité de vie des patients s'améliore, il y a de moins en moins d'effets secondaires à ces traitements mais il n'y a pas de guérison définitive.On ne guérit pas du SIDA !On estime à au moins 24 000 en France le nombre de séropositifs qui s'ignorent.Quel que soit votre âge allez vous faire dépister !L'an dernier 29 % des infections à VIH ont été découvertes à un stade avancé de l'infection. Or, un dépistage précoce permet de bénéficier d'un traitement antirétroviral, de baisser la charge virale dans l'organisme et de ne plus transmettre le VIH à ses partenaires.Et puis les idées reçues sont tenacesC'est effrayant : 23 % des jeunes interrogés pensent qu'on peut contracter le SIDA par un baiser, 17 % par la transpiration et 18 % qu'on peut s'en protéger en procédant à une toilette intime …   

Single Jungle
Ep.48 ✏️ Livio Bernardo, auteur, dessinateur de la BD "La vie moderne"

Single Jungle

Play Episode Listen Later Dec 1, 2022 47:37


Vous avez sans doute déjà vu les dessins de Livio Bernardo sur son compte Instagram @livioetlaviemoderne, 380 publications et 109 000 followers au compteur, excusez du peu. Il y décrit la société d'aujourd'hui, nos obsessions, nos contradictions, toujours avec humour, autodérision (il s'inclut dans les personnages qu'il critique). Dans cet épisode, nous parlons de ses œuvres, de son parcours artistique, amoureux, sa peur de l'engagement qu'il a pu surmonter (comme quoi, c'est possible !), son parcours familial, ses combats, son rapport aux réseaux sociaux, au succès, ses craintes et ses projets. Merci à Livio pour sa grande sincérité sur tous les sujets abordés. Références citées dans l'épisode (ou en bonus) :Retrouvez Livio sur Instagram https://www.instagram.com/livioetlaviemoderne/Et en librairies : "La vie moderne" (éd. Delcourt) https://www.placedeslibraires.fr/livre/9782413016847-la-vie-moderne-livio-bernardo/ "En toute conscience", co-écrit avec Olivier Peyron (éd. Delcourt) https://www.placedeslibraires.fr/livre/9782413036890-en-toute-conscience-olivier-peyon-livio-bernardo/Autres livres : "Féminisme et réseaux sociaux : une histoire 'amour et de haine" d'Elvire Duvelle-Charles (éd. Hors d'atteinte) https://www.placedeslibraires.fr/livre/9782382570234-feminisme-et-reseaux-sociaux-une-histoire-d-amour-et-de-haine-elvire-duvelle-charles/ Podcasts : "Tout fout le camp", Pourquoi a-t-on toujours l'impression que les gens parlaient mieux avant ? Et pourquoi ce sont toujours les jeunes qui « parlent mal » ? produit par ARTE Radio et INA, documentaire sonore de Manon Prigent, réalisé par Charlie Marcelet https://www.arteradio.com/serie/tout_fout_le_camp/1913 https://www.arteradio.com/serie/tout_fout_le_camp/1913 "Les pieds sur terre", épisode "Des hommes déconstruits", reportage : Pauline ChanuRéalisation : Yaël Mandelbaum et Laure-Hélène Planchet, produit par France Culture, émission de Sonia Kronlund https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/les-pieds-sur-terre/des-hommes-deconstruits-5944418 "Single Jungle" épisode 41 Louise Jussian & Chloé Tegny de l'Ifop : les hommes sont-ils déconstruits ? https://singlejungle.lepodcast.fr/ep-point-41-louise-et-chloe-de-lifop-les-hommes-sont-ils-deconstruits Articles "Les ados français ne dorment pas assez" [à cause du télépone portable, séries, jeux, etc] https://www.ouest-france.fr/leditiondusoir/2022-01-31/les-adolescents-francais-ne-dorment-pas-assez-voici-pourquoi-06b343f4-e732-4455-bc21-40bc43512c55 santé mentale : 8 séances gratuites avec 1 psy (mesure gouvernementale) , comment en bénéficier : https://www.parents.fr/actualites/etre-parent/consultations-psychologiques-gratuites-qui-y-a-droit-916319 Autres références à suivre AVERTISSEMENT IMPORTANT : Ne jamais s'inscrire sur une application ou site de rencontres payant sans 1) lire les avis sur Google (Play store) ou Apple (App store) 2) lire les conditions tarifaires de l'abonnement. Ainsi je vous déconseille fortement le site PARSHIP, qui pratique l'extorsion : on ne peut pas résilier avant 1 an obligatoire, même si on n'utilise plus le service, qui n'est pas satisfaisant, car très peu de personnes dans votre région. Le service client n'a que mépris pour les clients et le service communication ne veut rien entendre (un comble), aucun arrangement possible. Donc évitez-vous une dépense inutile. Episode enregistré en octobre 2022, à Paris, chez Isabelle, merci à elle pour son accueil.Prise de son, montage et mixage : Isabelle FieldMusique : Générique de "Manimal", virgules sonores : Edouard JoguetLogo conçu par Lynda Mac-ConnellHébergement : Podcloud

Accents d'Europe
Tauromachie: à l'heure du débat au Parlement français, la pratique divise en Europe

Accents d'Europe

Play Episode Listen Later Nov 24, 2022 19:30


La corrida ou course de taureau, cette tradition qui remonte au XVIIIè siècle où le taureau est mis à mort ou, exceptionnellement, gracié à l'issue d'un combat avec le matador. Ce spectacle a-t-il encore un sens aujourd'hui ? Est-il un art ou une tradition barbare ? Le Parlement français en débat pour la première fois aujourd'hui. Mais au Portugal aussi, la tourada à cheval, et sans mise à mort de l'animal, suscite depuis quelques années une forte opposition avec, depuis 2008, la fin des diffusions en direct des corridas à la télévision. Marie-Line Darcy revient sur cette pratique néanmoins très ancrée au Portugal. En France, on n'a jamais autant parlé de corrida que ces derniers jours. En cause une proposition de loi visant à abolir la corrida sur tout le territoire français. Même si, selon un sondage Ifop, 74 % des Français seraient favorables à l'interdiction de cette pratique, la question divise les partis politiques. Dans le sud de la France, entre 150 et 200 corridas, sont organisées chaque année avec un millier de taureaux tués. Résultat : les acteurs de ce secteur culturel et économiques se mobilisent, comme a pu le constater Frédéric Faux. Elle est le nouveau visage de la Suède sur les questions climatiques : Romina Pourmokthari, la jeune ministre de l'Environnement a promis à la COP27 que son pays maintenait le cap des réductions de gaz à effet de serre. Et pourtant, le programme du gouvernement de droite dont elle fait partie, indique tout le contraire. À Stockholm, chercheurs et associations environnementales accusent Romina Pourmokthari d'hypocrisie. Les explications de Carlotta Morteo. La chronique Europe du Net de Clémence Pénard sur les «crimes climatiques» rassemblées par des internautes sur le réseau social reddit. À l'heure où on parle de plus en plus de sobriété énergétique, imaginez un immeuble sans chauffage, ni climatisation, mais où la température serait douce toute l'année. C'est la promesse d'un bâtiment construit près de la ville de Lucerne, en Suisse. Le concept, venu d'Autriche, est plus que d'actualité : pas de chaudière, pas de facture, et pas d'émissions de CO2. Visite de cet immeuble nouvelle génération avec Jérémie Lanche.

C dans l'air
CDLA - VOS QUESTIONS SMS – 22/11/22

C dans l'air

Play Episode Listen Later Nov 22, 2022 6:56


AGENT DU FISC TUÉ : LA FRANCE FACE À L'ULTRAVIOLENCE ? – 22/11/22 EXPERTS ALAIN BAUER Professeur de criminologie – CNAM LAURENT VALDIGUIÉ Journaliste - « Marianne » NATHALIE SAINT-CRICQ Éditorialiste politique - « France Télévisions » JÉRÔME FOURQUET Directeur département Opinion - Institut de sondages IFOP

Les 4 Vérités
Sylvain Maillard - 18 novembre 2022

Les 4 Vérités

Play Episode Listen Later Nov 18, 2022 9:53


Les députés et les sénateurs ne sont pas parvenus à aboutir à un compromis sur le projet de loi de financement de la sécurité sociale (PLFSS) pour 2023. Ainsi, le texte va retourner à l'Assemblée nationale en nouvelle lecture, avec la perspective d'un nouveau 49.3. Cela pourrait être le cinquième article 49.3 dégainé par le gouvernement afin de faire valider les différents budgets de 2023. « La France, cinquième puissance mondiale, doit avoir un budget. Nous prenons nos responsabilités. On discute beaucoup », explique Sylvain Maillard, député de Paris et président par intérim du groupe Renaissance à l'Assemblée nationale, invité des 4 Vérités, vendredi 18 novembre 2022. Alors que de nombreux chantiers sont prévus pour 2023, comme les retraites, la transition écologique ou encore la politique d'immigration, le gouvernement parviendra-t-il à dégager une majorité ? « Nous avons toujours dit que nous voulions que l'assurance chômage soit plus adaptée à la situation. (…) On a exactement suivi la ligne qui était la nôtre, pour faire en sorte que l'assurance chômage soit la plus aidante pour ceux qui en ont besoin », affirme Sylvain Maillard. Le 24 novembre prochain sera débattu le projet de loi initié par le député insoumis Aymeric Caron, visant à interdire la corrida. Selon un récent sondage Ifop, 74% des Français y sont opposés. Néanmoins, dans l'hémicycle, aucune majorité ne semble se dessiner sur le sujet. « Il y a une liberté de vote (…) Dans notre groupe, il y a un nombre plus important de députés qui ne veulent pas l'interdire », rapporte Sylvain Maillard. Mercredi 16 novembre, la commission des lois a rejeté le texte. « Il y a une sorte d'opposition entre députés ruraux et députés des grandes villes. J'ai mes convictions mais je respecte. On fera en sorte que chacun puisse s'exprimer librement », souligne-t-il, réaffirmant l'opposition du Groupe Renaissance aux « thèses antispécistes développées par Aymeric Caron ». Antisémitisme, le RN illégitime ? Alors que le Rassemblement national voulait présider le groupe d'études sur l'antisémitisme à l'Assemblée nationale, le groupe Renaissance s'y est fermement opposé. Le parti de la majorité présidera ce groupe dans l'hémicycle. « C'est une ligne rouge pour moi. Je pense que l'extrême droite n'est pas légitime à présider un groupe sur l'antisémitisme. Regardez l'histoire et ce qu'est l'extrême droite, ils ne peuvent pas chercher à se refaire une virginité en présidant ce groupe », assure Sylvain Maillard.

Le 13/14
Jérôme Fourquet et Jérémie Peltier pour l'étude Jean Jaurès / IFOP : "Grosse fatigue et épidémie de flemme"

Le 13/14

Play Episode Listen Later Nov 17, 2022 59:10


durée : 00:59:10 - Le 13/14 - par : Bruno DUVIC - Les invités du 13-14 sont Jérôme Fourquet et Jérémie Peltier pour l'étude de la fondation Jean Jaurès en partenariat avec l'IFOP, "Grosse fatigue et épidémie de flemme, quand une partie des Français a mis les pouces".

C'est en France
Éco-anxiété : quand l'angoisse climatique impacte le quotidien

C'est en France

Play Episode Listen Later Nov 15, 2022 11:00


Depuis 30 ans, les médias, les différentes COP ou les rapports successifs du Giec alertent sur les risques d'une catastrophe climatique. Aux émissions de gaz à effet de serre s'ajoutent, entre autres, les pollutions aux plastiques ou aux produits chimiques. Selon un récent sondage de l'institut IFOP, 67 % des Français se déclarent éco-anxieux. Et la moitié affirme que cela affecte leur santé mentale. Portraits et analyse de cette angoisse des temps modernes.

24H Pujadas - Les partis pris
Les partis pris : «Biden et Xi se partagent le monde», «Ocean Viking, le bal des hypocrites» et «Le travail n'est plus “central” (IFOP)»

24H Pujadas - Les partis pris

Play Episode Listen Later Nov 14, 2022 23:49


Partis Pris de Abnousse Shalmani et son point de vue sur la rencontre entre Joe Biden et Xi Jinping. Les deux maîtres du monde se mettent autour de la table pour décider des règles de leur guerre. Une guerre en gentleman entre les deux adversaires pour le leadership du monde. Partis Pris de Jean-Michel Aphatie et son point de vue au sujet de l'onde de choc de l'accueil de l'Ocean Viking. Il voit chez l'ancien ministre de l'Intérieur, Gérard Collomb, la danse du bal des hypocrites. Partis Pris de Pascal Perri et son point de vue sur ce que nous révèle une enquête de l'IFOP : le travail n'est plus une valeur centrale. L'étude montre une France physiquement assoupie et un pays stressé et angoissé psychologiquement. Du lundi au vendredi, à partir de 18h, David Pujadas apporte toute son expertise pour analyser l'actualité du jour avec pédagogie.

Revue de presse française
À la Une: la politique d'otages des mollahs iraniens

Revue de presse française

Play Episode Listen Later Nov 13, 2022 4:31


Catherine Colonna le confirme au journal Le Parisien Dimanche : « deux autres compatriotes (…) sont également détenus » en Iran, ce qui porte à sept le nombre de ressortissants français détenus dans ce pays. Dans ce journal, la ministre des Affaires étrangères demande la « libération immédiate » de ces sept Français ou Franco-Iraniens ainsi que l'accès pour eux à « la protection consulaire ». La chef de la diplomatie française confirme également ce vrai coup de froid diplomatique sur les versants franco-italiens des Alpes résultant de l'accostage en France du navire humanitaire Ocean Viking, l'Italie lui ayant refusé l'accès à ses ports. « Si l'Italie persiste, il y aura des conséquences », prévient Catherine Colonna dans Le Parisien Dimanche. Moi, présidente (Marine Le Pen) À la Une également : Marine Le Pen. Loin de craindre une éventuelle dissolution de l'Assemblée nationale, l'ancienne présidente du Rassemblement national assure ne pas souhaiter être Première ministre. Dans un entretien accordé au Journal du dimanche, Marine Le Pen rappelle qu'elle vise la présidence de la République et qu'elle ne souhaite donc pas « être Première ministre ». Elle, présidente, « n'accepterai(t) pas que ces bateaux de passeurs débarquent des migrants chez nous », déclare encore Marine Le Pen dans Le JDD. Terrorisme, la menace constante Aujourd'hui, 13 novembre, sept ans jour pour jour après les attentats de Paris. Des cérémonies d'hommages à leurs victimes sont prévues ce dimanche. Et pour trois Français sur quatre, la menace terroriste demeure élevée. Selon un sondage Ifop publié par le site du Journal du dimanche, 76 % des Français le pensent, contre 24 % qui pensent le contraire. Des craintes chiffrées « en baisse » depuis novembre 2020 et l'assassinat de Samuel Paty, souligne Le JDD. Les dégâts de la marine Avant-hier, 11 novembre, c'était plutôt l'armistice de la Première Guerre mondiale que la France commémorait… Sondage Odoxa pour Le Figaro à l'appui, nous indiquions alors que l'immense majorité des Français aimaient leur armée. Ceux-là seront probablement consternés de découvrir à quel point les équipements de vie de cette armée tant aimée sont souvent délabrés. Une enquête de L'Express le souligne, « malgré l'augmentation du budget de la Défense, les militaires évoluent dans des conditions de vie et de combat parfois indignes ». Entre autres exemples signalés par le magazine, ce réserviste qui assure que « les chasses d'eau des toilettes du Charles-de-Gaulle sont hors service (…) Un porte-avions nucléaire qui coûte 800 milliards d'euros sans chasse d'eau qui fonctionne, forcément, ça fait bizarre, confie-t-il à L'Express. De quoi faire descendre Mars, dieu de la Guerre, de son paradisiaque Olympe. Nous n'irons pas tous aux paradis Les paradis, justement. Tout va très bien pour eux. « Eux », ce sont, bien entendu, les paradis fiscaux. C'est ce que dénonce Renaud Van Ruymbeke dans l'hebdomadaire L'Obs. Auteur d'un livre « coup de poing », intitulé Offshore, cet ancien juge, spécialiste des dossiers financiers, et qui a notamment instruit les affaires Boulin, Urba, Elf, Kerviel, Karachi, Clearstream ou Cahuzac, y rappelle qu'en septembre 2009, Nicolas Sarkozy, alors président de la République, annonçait : « Les paradis fiscaux, c'est terminé. » Treize ans plus tard, « les paradis fiscaux n'ont jamais été aussi florissants, se navre Renaud Van Ruymbeke dans ce magazine. Les circuits de blanchiment drainent de plus en plus d'argent. Ils assèchent littéralement les comptes publics de tous les pays. » Dans L'Obs, Renaud Van Ruymbeke signale que l'économiste Gabriel Zucman « évalue à 8 700 milliards de dollars les avoirs cachés via les sociétés offshore. Rendez-vous compte, s'effare l'ancien juge, cette somme correspond à un siècle d'impôts sur le revenu payés par les Français ! C'est tout aussi délirant que scandaleux… » Les « histrions » du climat Eux se scandalisent de la dégradation de l'environnement. « Eux », ce sont les activistes du climat. Le Point, L'Express, Marianne, Valeurs actuelles, Paris Match... C'est à se demander si tous ces hebdomadaires se sont donné le mot pour la hisser en Une, cette nouvelle génération d'activistes climatiques, adeptes de la désobéissance civile, qui multiplient les coups d'éclat ; qui en s'en prenant à des œuvres d'art dans les musées ; qui en bloquant la circulation aux heures de pointe ; qui en dégradant les greens de golfs ou en perturbant les représentations théâtrales... Pour Paris Match, c'est la « génération coup de poing » ; pour Valeurs actuelles, ce sont les « bouffons du climat » ; quant aux « écolos radicaux » de la Une de Marianne ; ils deviennent les « ultra-radicaux » sur celle de l'hebdomadaire Le Point ; tandis que celle de L'Express estime qu'avec de telles actions, l'écologie « se saborde ». Mille sabords !

Les vraies voix
Les vraies voix - Inflation, sondage Ifop sur les personnalités politique et coup de projecteur sur la COP27

Les vraies voix

Play Episode Listen Later Nov 8, 2022


Inflation, sondage Ifop sur les personnalités politique et coup de projecteur sur la COP27

Les 4 Vérités
François Braun - 07 novembre 2022

Les 4 Vérités

Play Episode Listen Later Nov 7, 2022 11:57


Le système de santé français est-il encore sauvable ? Ce lundi 7 novembre, le Comité national d'éthique doit remettre au ministre de la Santé, François Braun, un rapport sur l'avenir des médecins. Invité sur le plateau des 4 Vérités, lundi 7 novembre, sur France 2, ce dernier estime le système de santé actuel « sauvable », tout en précisant : « Mais il faut effectivement reprendre l'ensemble de notre système de santé qui a été construit dans les années 70, avec des moyens que nous n'avons plus actuellement. (…) Il est sauvable au prix d'un traitement sévère ». « Ça craque partout », titrait le JDD ce dimanche 6 novembre. « Le diagnostic, tout le monde le connaît. On connaît les difficultés de l'hôpital. On passe d'une crise à l'autre. Il faut s'attaquer à la maladie elle-même de notre système de santé », explique l'ancien médecin urgentiste. Pour faire face aux tensions dans l'hôpital public, notamment des services de pédiatrie débordés par l'épidémie de bronchiolite, le gouvernement a annoncé un plan de 400 millions d'euros d'aides (au lieu des 150 millions d'euros promis au mois d'octobre NDLR). Cette somme devrait notamment permettre de revaloriser les heures de nuit, d'attirer du personnel supplémentaire ou encore de faire venir du matériel. « Ce n'est pas suffisant, mais cela va permettre de passer ce cap qui est difficile. Je connais les difficultés que traversent les soignants », explique François Braun, qui souhaite à présent s'attaquer au « traitement de fond » du secteur hospitalier. Selon un sondage Ifop, pour le JDD, 73 % des Français jugent l'hôpital public déficient. En déplacement à Marseille, vendredi 4 novembre, le ministre de la Santé a expliqué vouloir « faire sauter les verrous ». « L'argent, il y en a. Mais il faut restructurer différemment », commente-t-il, souhaitant réintroduire du « sens » au travail des soignants et notamment réduire leurs tâches administratives. « Je veux que les administratifs soient au plus près des services », explique François Braun. « Redonnons du temps aux soignants », renchérit-il. Le ministre souhaite également généraliser les assistants médicaux, dans le public et le privé et notamment dans les zones qui manquent de médecins. « On va faire du sur-mesure en fonction des territoires. Il n'y a pas de solution miracle », précise-t-il. Les internes en grève De leur côté, les internes en médecine poursuivent leur grève, contre l'introduction d'une quatrième année d'internat en médecine générale dans les déserts médicaux. « Je ne reviendrai pas sur cette mesure. (…) Elle est nécessaire pour améliorer la formation », affirme le ministre. « Il n'est pas question de les obliger à aller dans les zones sous-denses, simplement de les inciter », tempère-t-il, assurant leur encadrement. Sur le retour du Covid, François Braun estime que le retour du masque est « raisonnable dans les endroits où nous sommes les uns contre les autres ». Toutefois, il ne prévoit pas d'instaurer d'obligation. Le gouvernement prépare également le grand débat sur la fin de vie, qui devrait débuter d'ici la fin de l'année. Certains médecins, mais aussi les religions ont d'ores-et-déjà manifester leur opposition au « droit de mourir ». « Nous avons besoin d'un débat apaisé sur la question. Je serai particulièrement attentif au fait que l'on parle des soins palliatifs et aussi que l'on entende les soignants », conclut-il.

C dans l'air
CDLA - VOS QUESTIONS SMS – 25/10/22

C dans l'air

Play Episode Listen Later Oct 26, 2022 8:43


ASSEMBLÉE : ÉLISABETH BORNE À 50 VOIX ... DE LA CHUTE Avec les experts : - Christophe Barbier, éditorialiste politique et conseiller de la rédaction - Franc-Tireur - Cécile Cornudet, éditorialiste politique - Les Échos - Soazig Quéméner, rédactrice en chef du service politique - Marianne - Jérôme Fourquet, directeur département Opinion - Institut de sondages IFOP et auteur de "La France sous nos yeux"

Politique
Recours au 49.3 : le premier d'une longue série pour le gouvernement

Politique

Play Episode Listen Later Oct 20, 2022 41:15


Le gouvernement engage sa responsabilité sur le budget 2023 et déclenche le 49.3 pour faire passer le texte sans vote à l'Assemblée nationale. Les mouvements de grève s'essoufflent et les Français se désolidarisent. En partenariat avec Slate.fr, Roselyne Febvre reçoit l'analyste  Frédéric Dabi, directeur général opinion du groupe Ifop, qui se penche sur l'état d'esprit des Français. En plateau également, Bruno Jeudy, journaliste politique et Jean-Jérôme Bertolus, éditorialiste politique.

C dans l'air
CDLA - VOS QUESTIONS SMS – 13/10/22

C dans l'air

Play Episode Listen Later Oct 14, 2022 8:14


GRÈVE : LA RÉQUISITION... ET LA CONTAGION Les experts : - Philippe Dessertine, directeur de l'Institut de Haute Finance et auteur de "Le grand basculement" - Fanny Guinochet, éditorialiste - France Info et La Tribune, spécialiste des questions économiques et sociales - Nathalie Saint-Cricq, éditorialiste politique - France Télévisions - Jérôme Fourquet, directeur du département Opinion - Institut de sondages IFOP (enlever “du” car pas la place) et auteur de "La France sous nos yeux"

Signes des temps
La France Insoumise : le diagnostic qui passait pour une prescription

Signes des temps

Play Episode Listen Later Sep 25, 2022 43:30


durée : 00:43:30 - Signes des temps - par : Marc Weitzmann - Retour sur la crise qui secoue La France Insoumise, révélatrice de plusieurs dysfonctionnements majeurs au sein du parti. - invités : Jérôme Fourquet analyste politique, directeur du département opinion et stratégies d'entreprise de l'institut de sondages IFOP.

C dans l'air
CDLA - VOS QUESTIONS SMS - 20.09.2022

C dans l'air

Play Episode Listen Later Sep 21, 2022 6:43


AFFAIRE QUATENNENS : MÉLENCHON DÉRAPE Avec les experts : - Bruno Jeudy, éditorialiste politique - Nathalie Saint-Cricq, éditorialiste politique - France Télévisions - Astrid de Villaines, cheffe du service politique - Huffington Post - Jérôme Fourquet, directeur département Opinion - Institut de sondages IFOP

Revue de presse française
À la Une: pompe et circonstance sous protection pour Sa Majesté

Revue de presse française

Play Episode Listen Later Sep 18, 2022 4:18


Plongeurs, maîtres-chiens, policiers à cheval, tireurs d'élite, déployés par milliers, demain, dans les rues de Londres… Ce sera « la plus grande opération de sécurité de l'histoire de la capitale britannique », signale Le Journal du Dimanche. Objectif : protéger 300 chefs d'État et de gouvernement présents à l'abbaye de Westminster et les centaines de milliers de personnes attendues le long du parcours entrer Londres et Windsor, où, en fin de journée, sera portée en terre Sa Majesté...   Elisabeth II reine de France C'est L'Express qui le rapporte. « Dans les années 1950, les gouvernants du Royaume-Uni et de la France avaient flirté de manière inédite, envisageant un rapprochement des deux nations », rapporte cet hebdomadaire, sur la foi d'un document déclassifié du cabinet britannique, exhumé en 2007 par la BBC, et signalant que, lors d'un séjour à Londres, le 10 septembre 1956, Guy Mollet, président du Conseil français, « a évoqué la possibilité d'une union (entre les deux pays) (…) quelques jours plus tard, le socialiste Guy Mollet, ira même jusqu'à proposer... l'entrée de la France dans le Commonwealth. Un événement qui aurait fait d'Elizabeth II (…) la souveraine de la France », énonce, d'une fort peu républicaine déduction, le magazine L'Express. Voici venir l'automne du mécontentement De Londres à Windsor, demain, place donc à la pompe de circonstance. Mais après…  les perspectives conjoncturelles demeurent bien ténébreuses pour le Royaume-Uni. Prédiction confirmée par l'hebdomadaire Challenges. L'économie britannique enregistre « le plus faible taux de croissance du G7 et le PIB par habitant est désormais inférieur à celui de la zone euro », pointe en orfèvre ce magazine économique. Retraite de Bayrou En France, le centriste François Bayrou lance un pavé dans la mare. Allié d'Emmanuel Macron, il ne veut pas d'une réforme des retraites votée en catimini. « Je suis opposé au passage en force », dit François Bayrou au Parisien Dimanche. Selon le chef du Modem, « le passage en force, c'est le contraire de l'esprit du Conseil national de la Refondation (…) cette réforme ne peut pas se faire au détour d'un amendement », martèle François Bayrou dans Le Parisien Dimanche. La France atomique Le nucléaire civil en France. Les Français sont pour… Selon un sondage Ifop pour Le Journal du Dimanche, trois Français sur quatre se disent « favorables au nucléaire ». Cette enquête indique notamment que deux Français sur trois estiment « bon marché » cette source d'énergie, pointe encore Le JDD. Le maltraité de Maastricht Aujourd'hui, 18 septembre 2022… Dans deux jours, en France, ce sera – pile – le trentième anniversaire du référendum de ratification du Traité de Maastricht. Pour l'hebdomadaire Marianne, pas de quoi pavoiser. « Le 20 septembre 1992, les Français ratifiaient d'un cheveu le traité de Maastricht. Cette campagne référendaire a inauguré le clivage qui, depuis, structure notre vie politique, souligne ce magazine. Pour la première fois dans l'histoire de la République, un combat électoral a opposé gagnants et perdants de la mondialisation, "cercle de la raison" contre défenseurs d'une "autre politique" économique ».  Trente ans après, « les camps du oui et du non au traité de Maastricht correspondent à une typologie identifiable, constituée », remarque Marianne. « D'un côté, les gagnants de la mondialisation ou, du moins, ceux qui en acceptent les codes. De l'autre, ceux pour qui la nation reste l'horizon indépassable. Un clivage fondateur ».  Ce magazine rappelle qu'en 2019, un sondage Ifop indiquait que, s'ils devaient voter une fois encore, les Français diraient majoritairement « non » au traité de Maastricht. Dans Marianne, l'ex-conseiller de François Hollande Aquilino Morelle explique ce rejet par « l'attachement profond du peuple français à sa nation et à son État ». Cette éminence grise de l'ancien pouvoir socialiste qualifie le traité de Maastricht de « coup de force fédéraliste », et remarque que les Etats membres ayant refusé l'euro – Suède, Danemark, Bulgarie, Hongrie, Tchéquie, Croatie, Pologne, Roumanie – ont enregistré « des performances meilleures que celle des pays de la zone euro », dans laquelle circule « une monnaie sans Etat, une monnaie sans peuple ». Faire l'Europe fédérale, c'est « défaire la France », bucheronne Aquilino Morelle dans Marianne. 

C dans l'air
CDLA - VOS QUESTIONS SMS - 15.09.2022

C dans l'air

Play Episode Listen Later Sep 16, 2022 8:39


MACRON : LA RÉFORME DES RETRAITES... QUOI QU'IL EN COÛTE Avec les experts : - Jérôme Jaffré, politologue - chercheur associé au CEVIPOF - Cécile Cornudet, éditorialiste politique - Les Echos - Mathilde Siraud, journaliste politique - Le Point - Frédéric Dabi, directeur général Opinion - Institut de sondages IFOP, auteur de "La fracture"

C dans l'air
CDLA L'INVITÉ – THOMAS HERVÉ – 16/09/22

C dans l'air

Play Episode Listen Later Sep 16, 2022 10:43


SUICIDE ASSISTÉ : « J'AI ACCOMPAGNÉ MA MÈRE EN SUISSE » - 16/09/22 THOMAS HERVÉ Journaliste, chroniqueur et animateur de télévision Emmanuel Macron a annoncé mardi 13 septembre le lancement d'une consultation citoyenne sur la fin de vie, en vue d'un possible nouveau « cadre légal » d'ici à la fin 2023, après la publication d'un avis sur la question du Comité consultatif national d'éthique. Une convention citoyenne, organisée par le Conseil économique, social et environnemental sera constituée dès octobre et rendra ses conclusions en mars 2023. Selon une enquête Ifop publiée en avril 2021, 93% des Français sont favorables à une euthanasie réalisée par les médecins et 89% au suicide assisté. A ce jour, la loi Claeys-Leonetti interdit l'euthanasie et le suicide assisté, mais permet une « sédation profonde et continue jusqu'au décès ». Axel de Tarlé reviendra sur les enjeux de ce débat avec le témoignage de Thomas Hervé.

Quoi de Meuf
(Rediff) - Tenue républicaine : A qui appartient le corps des jeunes filles ?

Quoi de Meuf

Play Episode Listen Later Sep 4, 2022 54:39


Tenue “républicaine” exigée, longueur des jupes réglementaire, épaules et nombrils à couvrir… Scrutées et contrôlées depuis toujours, les tenues des jeunes filles reviennent au centre du débat en ce début d'année scolaire. Après que plusieurs établissements aient sanctionné des jeunes filles au motif qu'elles s'habillaient de façon indécente et qu'un sondage IFOP demande aux français.e.s ce qu'est une tenue “correcte” pour une fille au lycée, nous voilà revenu.e.s quelques décennies en arrière.Clémentine et Pauline reviennent sur ce débat qui montre que le patriarcat a de beaux jours devant lui.Références entendues dans l'épisode :Pauline Verduzier, Vilaines filles, Anne Carrière, 2020.Interview d'Océane Delien, Tapage, 2020La vidéo du compte TikTok @elsa_tlsp, septembre 2020.Guillaume Meurice, “Le Crop Top est-il une tenue républicaine ?“, Par Jupiter, France Inter, septembre 2020.Hugo Couillard, “Un professeur juge le décolleté d'une collégienne “trop voyant” : le coup de gueule de son père”, L'Est Républicain, septembre 2020.Delphine Tanguy, “Les collèges pris de court par la révolte des crop top”, La Provence, Septembre 2020.Titiou Lecoq, “Les filles peuvent s'habiller comme elles veulent, c'est un droit, pas une opinion”, Slate, septembre 2020.Communiqué de Prenons la Une, « Marianne » relaie un sondage sexiste de l'Ifop sur la tenue des lycéennes, octobre 2020.Marc Beaugé, “Le crop top, de Thomas Edison à Zac Efron en passant par « Flashdance »“, Le Monde, octobre 2020.Séverine Pierron, “Victoria Beckham période Spice Girls, la vraie icône mode de 2020”, Slate, octobre 2020.“Ce qu'il faut savoir sur la jupe pas «laïque»“, Libération, avril 2015.Christine Bard, Ce que soulève la jupe. Identités, transgressions, résistances, Éditions Autrement, 2010.Valentine Faure, “Tenues au lycée : « Voilé ou dévoilé, le corps féminin est toujours coupable »“, Entretien avec Christine Bard, Le Monde, octobre 2020.Nathalie Bajos et Michel Bozon, Enquête sur la sexualité en France, Pratiques, genre et santé, La Découverte, 2008.Michel Bozon, « Autonomie sexuelle des jeunes et panique morale des adultes. Le garçon sans frein et la fille responsable », Agora débats/jeunesses, 2012.Laura Piccand, « Mesurer la puberté. La médicalisation de l'adolescence, Suisse 1950-1970», Travail, genre et sociétés, 2015.Alexandra Klinnik, “À Londres, une école privée veut autoriser les garçons à porter des jupes”, Le Monde, mai 2017.Paul Goodman, Growing Up Absurd: Problems of Youth in the Organized System, social critic, Random House, 1960.Ovidie, A quoi rêvent les jeunes filles ?, Yami Production, 2015Inès Léraud et Pierre Van Hove, Algues Vertes. L'histoire interdite, Delcourt, 2019.Tiffany McDaniel, Betty, Éditions Gallmeister, 2020.Chimamanda Ngozi Adichie, L'autre moitié du soleil, Gallimard, 2008.Quoi de Meuf est une émission de Nouvelles Écoutes, cet épisode est conçu par Clémentine Gallot et présenté avec Pauline Verduzier. Mixage Laurie Galligani. Générique réalisé par Aurore Meyer Mahieu. Prise de son, montage et coordination Ashley Tola.Vous pouvez consulter notre politique de confidentialité sur https://art19.com/privacy ainsi que la notice de confidentialité de la Californie sur https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.

Revue de presse française
À la Une, le «farewell» au Mali de «Barkhane», sans tambour ni trompette

Revue de presse française

Play Episode Listen Later Aug 21, 2022 3:58


Ce ne fut pas une descente aux enfers, non, mais lundi dernier, 15 août, jour de l'Assomption pour les chrétiens, ce fut tout sauf une montée au ciel pour Barkhane. Dans les cantines de la force militaire française au Sahel, l'hebdomadaire Le Point a répondu présent à l'appel de son dernier détachement encore présent au Mali. « Au total, plus de 5 000 conteneurs et des milliers de véhicules ont été évacués ces six derniers mois de ce qui fut la plus grande base de l'armée de terre française, rapporte-t-il (…) Le défi logistique, considérable, a été surmonté sans douleur », constate ce magazine. Toutefois, remarque Le Point, « aucune cérémonie » n'a marqué ce retrait. Cette évacuation marque « une étape capitale dans la plus longue guerre que la France a menée depuis longtemps : déjà neuf ans et demi, presque deux de plus que la guerre d'Algérie », souligne cet hebdomadaire, en admettant qu'au Mali « comme en Afghanistan, le résultat n'est pas très différent : ce sont les militaires occidentaux qui s'en vont et les islamistes qui restent. En Afghanistan, les talibans ont consolidé leur pouvoir depuis que Kaboul est tombé entre leurs mains. Au Mali, il est évident aux yeux de tous les acteurs que le départ de l'armée française crée un vide sécuritaire hautement dangereux (…) Les mois qui viennent diront si ce que la France a construit au Sahel l'a été sur du sable ». Défaite de com' pour la Grande Muette D'autant que ce qui va se jouer à présent, en Afrique, conditionne l'avenir sécuritaire de la France et même « l'avenir de l'Europe », prévient Le Point, en notant que la force Barkhane a dû plier bagage « non pas sous les coups de ses ennemis, les jihadistes, mais en raison de son incapacité à conquérir les cœurs et les esprits. Au Mali, ce sont nos propres faiblesses de communication que la Russie et ses partenaires locaux ont exploitées – et avec quelle facilité ! – pour dresser la population contre Paris », regrette Le Point. Le désamour de la France en Afrique L'Express n'écrit pas autre chose. Comme le constate ce magazine, « partout » en Afrique, la France « recule (…) À force de renoncements, la France fait moins rêver ». L'Express souligne notamment que « Paris donne l'impression de tourner le dos à la jeunesse africaine ». Directeur régional du Timbuktu Institute, basé à Dakar, Bakary Sambe dit à L'Express que « si la francophonie se limite à dire aux Africains "Parlez français... mais restez chez vous !" elle n'a plus grand sens ». Ce magazine relève aussi dans le dernier baromètre Afrileads de l'institut français Immar que « l'image de la France s'est détériorée aux yeux des leaders d'opinion. Elle n'arrive qu'au neuvième rang des partenaires jugés les plus bénéfiques pour le continent », relève L'Express. N'en jetez plus ! Le peu rassurant Monsieur Macron En France, le bilan du gouvernement en matière de sécurité est jugé sévèrement par les Français. Selon un sondage Ifop pour Le Journal du dimanche, 7 Français sur 10 ont le sentiment que la délinquance a augmenté ces derniers mois. Et 3 sur 4 estiment que le bilan d'Emmanuel Macron en matière de lutte contre l'insécurité est négatif. Mayotte en sol mineur La visite de trois jours à Mayotte de Gérald Darmanin et son ministre délégué aux Outre-mer Jean-François Carenco débute aujourd'hui. Le ministre de l'Intérieur a bien l'intention de modifier le droit du sol à Mayotte. Gérald Darmanin compte faire voter l'obligation pour « l'un des deux parents (d'être) régulièrement depuis plus d'un an sur le territoire (de Mayotte) afin que leur enfant soit reconnu comme Français », dit-il au Journal du dimanche, étant rappelé que ce délai légal est de trois mois actuellement. Gendarmerie olivâtre Par ailleurs, en matière d'atteintes à l'environnement, le ministre de l'Intérieur dit au JDD vouloir créer « 3 000 postes de gendarmes verts ». Gérald Darmanin souhaite que, dans chaque brigade de gendarmerie, il y ait des gendarmes formés aux atteintes à l'écologie. Les pyromanes n'ont qu'à bien se tenir !

France Culture physique
Les jeunes se détournent-ils du sexe ?

France Culture physique

Play Episode Listen Later Aug 5, 2022 43:21


durée : 00:43:21 - Le Temps du débat d'été - par : Quentin Lafay - L'idée préconçue d'une jeunesse sexuellement libérée a récemment été questionnée par un sondage IFOP. En effet, plus de quatre jeunes sur dix n'auraient pas eu de rapports sexuels en 2021. Faut-il s'inquiéter de cette tendance ou laisser, simplement, chaque génération faire ce qui lui correspond ? - invités : Arthur Vuattoux Sociologue, maître de conférence à l'Université Sorbonne Paris-Nord et membre de l'Institut de recherche interdisciplinaire sur les enjeux sociaux; Camille Aumont Carnel Entrepreneuse et autrice; Daphné Leblond Réalisatrice de documantaires

Du grain à moudre
Les jeunes se détournent-ils du sexe ?

Du grain à moudre

Play Episode Listen Later Aug 5, 2022 43:21


durée : 00:43:21 - Le Temps du débat d'été - par : Quentin Lafay - L'idée préconçue d'une jeunesse sexuellement libérée a récemment été questionnée par un sondage IFOP. En effet, plus de quatre jeunes sur dix n'auraient pas eu de rapports sexuels en 2021. Faut-il s'inquiéter de cette tendance ou laisser, simplement, chaque génération faire ce qui lui correspond ?

Maintenant, vous savez
Comment les applis de rencontre ont-elles investi le marché de l'amitié ?

Maintenant, vous savez

Play Episode Listen Later Jul 28, 2022 4:16


A l'occasion de la Journée mondiale de l'amitié le 30 juillet, Maintenant Vous Savez met à l'honneur ce sentiment que tout le monde connaît. A l'heure des réseaux sociaux, quelle forme prend l'amitié aujourd'hui ? Quelles sont les nouvelles manières de composer ensemble ? Découvrez ces concepts, pratiques et initiatives qui font l'amitié d'aujourd'hui ! Comment les applis de rencontre ont-elles investi le marché de l'amitié ? Selon la dernière enquête IFOP de janvier 2022 sur le sentiment de solitude des Français, 1 personne sur 5 est confrontée à la solitude chronique. Nous sommes de plus en plus connectés et pourtant de plus en plus seuls. Dans un contexte social aussi compliqué, pas étonnant que le marché de l'amitié ait lui aussi été investi par les applications de rencontres. Après le succès des applis destinées aux célibataires en quête de relations sexuelles ou amoureuses, les plateformes se sont évidemment mises à se décliner sur le ton de l'amitié.  Quelles sont ces plateformes ? Et comment fonctionnent-elles ? Et quel est le public concerné ?  Ecoutez la suite de cet épisode de "Maintenant vous savez". Un podcast écrit et réalisé par Johanna Cincinatis A écouter aussi : Comment reconnaître une amitié toxique ? Qu'est-ce qu'une relation parasociale ? Pourquoi les chagrins d'amitié sont-ils si douloureux ? Si vous souhaitez écouter les épisodes sans interruption, rendez-vous sur la chaîne Bababam+ d'Apple Podcasts : https://apple.co/3NQHV3I Abonnement Maintenant Vous Savez : https://apple.co/3x8liRx Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices

Single Jungle
Ep.41

Single Jungle

Play Episode Listen Later Jun 27, 2022 50:11


J'ai une passion pour les statistiques sociologiques. Je suis donc plus que ravie que Louise Jussian et Chloé Tegny, chargées d'études à l'Ifop, aient accepté mon invitation. Avec pédagogie, elles expliquent la méthodologie et les enseignements de cette étude Ifop / Wyylde qui a fait grand bruit. Et à raison : grâce à cette étude, on sait enfin où en sont les hommes français concernant leur "déconstruction". Au-delà des beaux discours, quels sont leurs comportements vis à vis des femmes, concernant les tâches ménagères, leur rapport à leur image et à autrui, leur grossophobie, leur sexisme, etc. Et les jeunes ne sont pas forcément plus ouverts, loin de là. Attention, ça pique ! Bonne écoute ! Références citées dans l'épisode (ou en bonus) :Articles / infographies Etudes Ifop : ¤ Etude Ifop en partenariat avec Wyylde "Observatoire de la déconstruction", par François Kraus, Louise Jussian et Chloé Tegny https://www.ifop.com/publication/observatoire-wyylde-de-la-deconstruction/ ¤ Etude Ifop en partenariat avec Gleeden : "Enquête sur le poids de la politique dans la vie de couple des français à une semaine du premier tour (des élections présidentielles), par François Kraus https://www.ifop.com/publication/enquete-sur-le-poids-de-la-politique-dans-la-vie-de-couple-des-francais-a-une-semaine-du-premier-tour/¤ Etude Ifop en partenariat avec CAM4 "Comment trouve-t-on l'amour à Paris à l'heure de Tinder ?" de François Kraus, étude de 2017, avec ce chiffre qui montre bien qu'il y a bcp plus de femmes célibataires (50%) que d'hommes célibataires (35%) à Paris, donc forcément, c'est problématique. https://www.ifop.com/publication/comment-trouve-t-on-lamour-a-paris-a-lheure-de-tinder/ 48,9% des femmes déclarent vouloir être en couple uniquement être avec un homme plus grand. 13,5% des hommes ne veulent être qu'avec une femme plus petite. (source : étude Journal of family issues, 2014). A voir sur le compte de FranceTVslash https://www.instagram.com/p/CbCcfNzoxEA/ Podcasts épisode 8 de "Single Jungle", avec Anaïs Orsini, créatrice de la chaîne Youtube "Je suis moi & toi T toi", mode grande taille et body positive, pour cet épisode intitulé "être ronde et sereine". On y parle de ces hommes qui aiment les femmes rondes mais refusent d'être vus en public avec elles, car ils en ont honte. Episode 7 de "Single Jungle" sur "Politique et rencontres" avec Hadrien Bibard, du podcast Restons polis Episode 16 de "Single Jungle" avec France Ortelli, autrice de "Nos coeurs sauvages", et le concept de "célibataire définitif ou définitive" repéré par Jean-Laurent Cassely, extrait ici : https://twitter.com/Single_Jungle/status/1409489524095324165 Episode de "C'est compliqué" par Lucile Bellan, produit par Slate Podcasts (Benjamin Hours, Aurélie Rodrigues) avec une femme féministe qui fréquente un homme d'extrême droite. Et ça se pas mal. Evidemment. http://www.slate.fr/podcast/177006/c-est-complique-je-couche-avec-un-mec-dextreme-droite-je-le-vis-mal "Le cœur sur la table", de Victoire Tuaillon, Solène Moulin, Naomi Titti, Diane Jean etc, chez Binge Audio. Les questionnements de Victoire Tuaillon sur les hommes qui demandent une sodomie aux femmes, sans jamais avoir exploré leur propre anus, sont dans le tout 1er épisode (sauf erreur). Le sujet de la sodomie et du rapport anal en général, réclamé très souvent par les hommes hétéros (très influencés par le porno), avec beaucoup d'insistance, alors que la partenaire n'en a pas forcément envie. Il va y avoir ce jeu malsain, consistant à essayer de la convaincre, évoqué aussi dans cet épisode des Couilles sur la table (Binge Audio) : https://www.binge.audio/podcast/les-couilles-sur-la-table/maia-mazaurette-sortir-la-tete-du-trou-1-2 Sujet évoqué aussi dans cet épisode d''Un podcast à soi" de Charlotte Bienaimé, sur Arte Radio : https://www.arteradio.com/son/61661608/sexualite_des_femmes_la_revolution_du_plaisir_18 J'espère que les femmes plus jeunes (ou moins expérimentées) pourront les écouter, se documenter, et s'écouter elles, AVANT TOUT, surtout. Combien de femmes ont accepté ce type de rapports "pour faire plaisir", "ne pas vexer", par peur etc, alors qu'elles n'en avaient pas envie, trouvaient ça douloureux, désagréable, sans intérêt etc. De même pour les hommes gay, bi, personnes non binaires, à qui on proposerait avec autant d'insistance un rapport anal. Votre corps, vos choix. Documentaire Derniers condamnés pour homosexualité en France https://www.france.tv/france-5/la-case-du-siecle/3366538-homosexualite-les-derniers-condamnes.html AVERTISSEMENT IMPORTANT : Ne jamais s'inscrire sur une application ou site de rencontres payant sans 1) lire les avis sur Google (Play store) ou Apple (App store) 2) lire les conditions tarifaires de l'abonnement. Ainsi je vous déconseille fortement le site PARSHIP, qui pratique l'extorsion : on ne peut pas résilier avant 1 an obligatoire, même si on n'utilise plus le service, qui n'est pas satisfaisant, car très peu de personnes dans votre région. Le service client n'a que mépris pour les clients et le service communication ne veut rien entendre (un comble), aucun arrangement possible. Donc évitez-vous une dépense inutile. Episode enregistré en mai 2022, à Paris, chez Isabelle, merci à elle pour son accueil.Prise de son, montage et mixage : Isabelle FieldMusique : Générique de "Manimal", virgules sonores : Edouard JoguetLogo conçu par Lynda Mac-ConnellHébergement : Podcloud

Revue de presse française
À la Une: Borne reste à Matignon, Macron persiste et signe

Revue de presse française

Play Episode Listen Later Jun 26, 2022 4:04


Le président l'a dit à l'Agence France Presse. « J'ai décidé de confirmer ma confiance à Elisabeth Borne ». À charge pour la Première ministre de trouver à former un gouvernement dans un arc allant du Parti communiste au parti de droite Les Républicains, en excluant, donc, La France insoumise et le Rassemblement national. Mais les Français, en effet, ne sont pas contents du tandem Macron-Borne. Selon un sondage Ifop pour Le Journal du Dimanche, 61% d'entre eux sont mécontents d'Emmanuel Macron, et 52% d'Elisabeth Borne. La presse naufrageuse pour Macron La presse hebdomadaire est naufrageuse comme jamais pour Emmanuel Macron. « La macronie au tapis, les coulisses d'une catastrophe », lance ainsi la Une de L'Express. « Dans l'étau lepéno-mélanchoniste, la tragédie française », enchérit celle de l'hebdomadaire Le Point. Emmanuel Macron, « le président relatif », formule celle de L'Obs. Celle de Marianne se demande si Macron est « hors d'état de nuire ? ». Emmanuel Macron avait supplié les électeurs français de « ne pas ajouter un désordre français au désordre mondial », rappelle Le Point. « Il va devoir affronter les deux simultanément, et il porte sa part de responsabilité dans cette infortune. Depuis qu'il a perdu sa majorité parlementaire, le 19 juin, la France est devenue un risque politique pour l'Europe et un sujet majeur d'inquiétude pour nos voisins et nos alliés », s'alarme Le Point. Macron face à son destin Ce président a deux obsessions, résume L'Express : « ne pas être celui qui transmet le pouvoir à un populiste ou à un radical, comme Barack Obama accueillant Donald Trump à la Maison Blanche ; ne pas être qu'une parenthèse dans l'histoire de la Ve République ». Sûr de lui, Emmanuel Macron n'a rien vu venir. « Les éructations d'un Jean-Luc Mélenchon, clamant chaque jour son arrivée prochaine à Matignon, allaient, pour sûr, suffire à remobiliser les électeurs raisonnables dans un dernier sursaut. Raté », pointe L'Express. Au magazine Le Point, un « intime » du président confirme que jamais Macron « n'avait envisagé ce scénario. Il s'est peut-être endormi sur ses lauriers (…) Lui qui voulait en finir avec des partis démonétisés – qu'il comparaît en 2016 à une "amicale des boulistes, sans l'amitié et sans les boules" – restera comme celui qui a ressuscité les combinazione de la IVe République », martèle cet hebdomadaire. Constat partagé par L'Obs, qui dresse le bilan. « Une gauche rassemblée, une extrême droite décuplée, des Républicains revigorés, une majorité diminuée : Emmanuel Macron se retrouve assiégé au lendemain d'élections chaotiques. Son second quinquennat s'annonce infiniment plus ardu que prévu ». D'autant que le contexte économique est inquiétant, souligne Marianne. « Alors qu'on nous avait promis les "jours heureux" après la crise du Covid, l'économie française s'enfonce de nouveau dans la dépression ». Dans Marianne, le sociologue Jérôme Fourquet le remarque : « On se détourne aujourd'hui de l'isoloir comme on se détournait hier de l'église ». Et Marianne y va de sa formule : « Les bureaux de vote brûlent, et nous regardons ailleurs ! Ces législatives ont confirmé que les électeurs fondaient aussi vite que la banquise ». Rachel Keke, de l'ombre à la lumière La presse salue enfin les nouveaux entrants à l'Assemblée nationale. Parmi ces députés, Rachel Keke. Selon Paris Match, Rachel Keke, femme de ménage franco-ivoirienne animatrice d'une grève contre la direction de l'hôtel Ibis Batignolles à Paris, fait partie de celles qui « pourraient jouer un rôle majeur pendant les cinq prochaines années ». Rachel Keké ? C'est, pour Paris Match, « la représentante des invisibles ».

C dans l'air
GOUVERNEMENT BORNE : 3 JOURS, 2 POLÉMIQUES... – 23/05/2022

C dans l'air

Play Episode Listen Later May 23, 2022 64:48


Gouvernement Borne : 3 jours, 2 polémiques... LES INVITÉ.ES : - Yves THRÉARD - Éditorialiste et directeur adjoint de la rédaction « Le Figaro » - Jérôme FOURQUET - Directeur département Opinion - Institut de sondages IFOP, auteur de « La France sous nos yeux » - Caroline MICHEL-AGUIRRE - Grand reporter au service politique – « L'Obs » - Soazig QUÉMÉNER - Rédactrice en chef du service politique – « Marianne » Les 27 ministres nommés vendredi avait rendez-vous ce lundi autour de la Première d'entre eux, Elisabeth Borne, à l'Elysée, pour recevoir leur feuille de route. Un premier Conseil des ministres placé par Emmanuel Macron sous le signe du « progrès » et « d'une action nouvelle sur le fond et la forme » à « l'aune de défis nouveaux ». Le chef de l'Etat qui a mis en avant « un gouvernement pour agir, rassembler notre pays, un gouvernement qui lui ressemble » a notamment insisté sur trois priorités : la santé, l'éducation et l'écologie. Et sur une urgence, le pouvoir d'achat sur fond d'inflation qui grève le budget des Français. Le premier projet de loi « Pouvoir d'achat » devrait d'ailleurs être adopté en Conseil des ministres avant le premier tour des législatives. « C'est une question de semaines » a expliqué un peu après Olivia Grégoire, la nouvelle porte-parole du gouvernement. Mais ce premier Conseil des ministres était surtout perturbé par l'Affaire Abad. Le site d'informations Médiapart a révélé samedi que le nouveau ministre des Solidarités, ex-patron des députés LR, est accusé par deux femmes de viols commis en 2010 et 2011. Des faits, contestés par Damien Abad, qui ont fait l'objet d'un signalement auprès des instances de LREM et de LR. Sans que cela remette en question la décision de la nommer dans la nouvelle équipe d'Elisabeth borne. Ses anciens partenaires chez LR s'en étonnent et les appels à la démission se multiplient depuis 24 heures. Pressée de s'expliquer, la Première ministre a assuré dimanche qu'elle n'était « pas au courant » des accusations de viols visant Damien Abad et a promis de tirer « toutes les conséquences » en cas de « nouveaux éléments ». La porte-parole du gouvernement a également rappelé ce lundi la ligne du chef de l'Etat : « tolérance zéro pour les délinquants sexuels, respect, écoute totale pour toutes les victimes présumées (…) Et l'établissement de la vérité, c'est à la justice de le faire » a-t-elle affirmé alors que le parquet de Paris a déjà classé sans suite deux plaintes en 2012 et en 2017 de l'une des plaignantes. Mais cette dernière estime sur franceinfo qu'il y a eu « des manquements » dans l'enquête, et les critiques fusent depuis ce week-end. Autre nouveau ministre à être particulièrement scruté ce lundi : Pap Ndiaye. La nomination de l'historien à l'Education nationale, interprétée comme une rupture avec l'ère Blanquer, a suscité ces derniers jours de vives réactions essentiellement à l'extrême droite. Lors de sa première prise de parole après l'annonce de son gouvernement, la Première ministre Élisabeth Borne avait dû montée au créneau, vendredi au journal de 20 heures de TF1. « C'est parfaitement caricatural, ce qui ne m'étonne pas de la part des personnes que vous avez mentionnées », avait-t-elle déclaré en référence aux propos de Marine Le Pen et Éric Zemmour. « Pap Ndiaye est un républicain très engagé, quelqu'un qui croit aux valeurs de la République et c'est bien évidemment ce qu'il va porter en tant que ministre de l'Education nationale », avait-t-elle plaidé. Quelle est la feuille de route du gouvernement Borne ? Au-delà de la question judiciaire, la nouvelle équipe tout juste nommée peut-elle se permettre de conserver Damien Abad en son sein, et donc de gérer cette affaire en pleine bataille des législatives ? Enfin quelles sont les positions de Pap Ndiaye ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/

Do you really know?
What is erectile dysfunction?

Do you really know?

Play Episode Listen Later May 7, 2022 4:39


What is erectile dysfunction? As many as six in ten men have experienced erection problems over the course of their life. And that proportion has been on the rise in the last fifteen years, according to a study released by IFOP in April 2019. It's also known as impotence, and is a big health taboo among men. Erectile dysfunction is often linked to cardiovascular risk factors, so it's important to consult a doctor if affected. Furthermore, it can impact relationships, sometimes due to misunderstandings about the cause of the problem. The good news is it can be addressed with lifestyle changes, as we'll discuss in a minute. How do erections actually work? So why might that mechanism not work in some people? What about psychological or emotional factors? In under 3 minutes, we answer your questions! To listen to the last episodes, you can click here: Who are Arcade Fire? Who are Rammstein? What is Frontex? A podcast written and realised by Joseph Chance. In partnership with upday UK. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices

Répliques
Les leçons de l'élection présidentielle

Répliques

Play Episode Listen Later May 7, 2022 52:58


durée : 00:52:58 - Répliques - par : Alain Finkielkraut - Une certaine image de la France, avec Jacques Julliard et Jérôme Fourquet. - invités : Jacques Julliard Historien, journaliste et essayiste; Jérôme Fourquet analyste politique, directeur du département opinion et stratégies d'entreprise de l'institut de sondages IFOP.

Laurent Gerra
BONUS - Si Laurent Gerra était en politique (3/5)

Laurent Gerra

Play Episode Listen Later May 4, 2022 1:43


En novembre 2020, selon un sondage IFOP pour la fondation Jean Jaurès, 20 % des Français affirmaient avoir des pensées suicidaires. Les psychiatres eux, indiquaient qu'une vague de suicide était possible à cause du confinement. Mais Olivier Véran, le ministre de la Santé, avait alors pris les devants...

Le Nouvel Esprit Public
Deuxième tour : plus de questions que de réponses / n°243 / 1er mai 2022

Le Nouvel Esprit Public

Play Episode Listen Later May 1, 2022 61:20


Connaissez-vous notre site ? www.lenouvelespritpublic.frUne émission de Philippe Meyer, enregistrée en public à la fondation Jan Michalski, à Montricher en Suisse le 27 avril 2022.Avec cette semaine :Nicole Gnesotto, vice-présidente de l'Institut Jacques Delors.Lucile Schmid, membre du comité de rédaction de la revue Esprit. Richard Werly, correspondant à Paris du quotidien helvétique Blick. Lionel Zinsou, ancien Premier ministre du Bénin et président de la fondation Terra Nova.DEUXIÈME TOUR : PLUS DE QUESTIONS QUE DE RÉPONSES Emmanuel Macron a été réélu président de la République, dimanche 24 avril, avec 58,54 % des voix contre 41,46% à Marine Le Pen. Un doublé auquel aucun président sortant n'était parvenu sous la Ve République, hors période de cohabitation, depuis Charles de Gaulle, en 1965. Toutefois, avec 18,7 millions de voix, Emmanuel Macron a perdu presque 2 millions de suffrages en cinq ans, tandis qu'avec près de 13,3 millions de voix – 2,7 millions de plus qu'en 2017 –, Marine Le Pen a établi le meilleur score de l'extrême droite à une élection, toutes périodes confondues. Le taux d'abstention a atteint 28,01 % approchant le record établi au second tour de l'élection présidentielle de 1969 (31,1 %). Ce dernier opposait alors deux candidats de droite, Georges Pompidou et Alain Poher. Si on ajoute à ces 28,01%, les votes blancs et nuls, on passe à 34% du corps électoral, soit 16,7 millions de personnes. Une abstention principalement le fait des jeunes.Selon un sondage Ipsos-Sopra Steria, 42% des électeurs de Jean-Luc Mélenchon au premier tour se sont reportés sur le président sortant tandis que 17% ont fait le choix de Marine Le Pen. Alors que le vote Macron agrège les deux bouts de la pyramide des âges, une part de la jeunesse et la quasi-totalité des retraités, celui de Mme Le Pen concentre les tranches du milieu, soit une très grande partie de la population active. Selon cette enquête, les électeurs d'Emmanuel Macron le soutiennent pour deux raisons principales : la confiance qu'il suscite (36 %) et la logique de barrage à l'extrême droite (39 %). Ses idées ne mobilisent que 25 % de ses soutiens. La candidate du Rassemblement national, elle, capte 42 % de son électorat sur l'adhésion à son idéologie.La représentante du RN est parvenue, en jouant sur la défiance des antivaccins, à conquérir les Antilles et la Guyane dans une parfaite inversion du rapport de force avec Emmanuel Macron en 2017 : elle a récolté 69,60% en Guadeloupe (contre 24,87% il y a cinq ans), 60,87% en Martinique (contre 22,45%), 60,70% en Guyane (contre 35,11% en 2017). Elle est aussi arrivée en tête dans plusieurs départements de métropole, dont l'Oise, la Somme, les Vosges, la Meuse, les Pyrénées-Orientales, le Gard, le Var ou le Vaucluse, contre les seuls Pas-de-Calais et Aisne en 2017.Une enquête Ifop réalisée le jour du premier tour indiquait que la problématique numéro un était la santé (71%), puis le pouvoir d'achat (68%), la sécurité (60%), l'éducation (59%) le terrorisme (57%) le chômage (49%), la lutte contre l'immigration clandestine (47%) et enfin l'environnement (44%). Les thématiques régaliennes n'ont donc pas disparu des préoccupations, elles restent toujours en toile de fond. Si on compare à 2017, la préoccupation « santé » a bondi de 9 points (sous l'effet de la pandémie), le pouvoir d'achat de 8 points, la délinquance de 4. Le terrorisme a lui baissé de 9 points et la lutte contre le chômage de 20 points. Les élections législatives se dérouleront les 12 et 19 juin prochain.See Privacy Policy at https://art19.com/privacy and California Privacy Notice at https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.

IMPACT POSITIF - les solutions existent
EXTRAIT Solution n° 67 : « Ta voix compte », reconnecter les jeunes aux urnes

IMPACT POSITIF - les solutions existent

Play Episode Listen Later Apr 20, 2022 6:47


Dans cet extrait, retrouvez l'interview dans l'interview d'Elsa Grangier et Victor Quilichini. Un temps fort du podcast que vous retrouvez à la fin de l'épisode. --------------------- Au premier tour, plus de 40% des 18-24 ans (Ifop) se sont abstenus de voter. Et pourtant, une majorité de la jeunesse est engagée (13 :30). Pourquoi s'est-elle éloignée des urnes et des partis ? Comment, plus globalement, embarquer tout le monde, toutes les jeunesses, même celles qui sont moins insérées et qui ne se sentent pas concernées ? C'est l'objectif de « Ta Voix Compte », une initiative portée notamment par Ashoka et qui a sélectionné il y a moins d'un an 11 jeunes de 13 à 25 ans. Des jeunes qui ont été formés, outillés, « encapacités » pendant plusieurs mois (06 :44). Objectif ? Faire remonter des propositions de toute la France, aller à la rencontre d'autres jeunes et leur expliquer tout simplement qu'ils ont des idées, qu'ils peuvent eux-mêmes formuler des propositions et que leur voix compte (08 :27). En d'autres mots : redonner confiance mais aussi donner à comprendre cette jeunesse. Ces 11 jeunes ont ensuite rencontré des candidats (08 :51), ils se sont confrontés à leur discours et leur programme. Dans ce podcast avec Elsa Grangier, directrice générale d'Ashoka et l'un des jeunes, Victor Quilichini, 21 ans, engagé pour l'écologie, on essaie de comprendre comment ce mouvement peut perdurer au-delà de la présidentielle, pour devenir un organisme à part entière (20:45). Celui-ci pourrait relayer la parole des jeunes et surtout, il servirait à co-construire des politiques publiques qui les concernent directement. Car comment faire de la politique pour les jeunes sans les jeunes ? En attendant, une soixantaine de propositions ont été formulées, elles sont consultables sur le site tavoixcompte.org et certains anciens candidats, comme Anne Hidalgo vont s'emparer de l'une d'entre elles : « un jeune/un député » (11:11) afin d'associer les jeunes à la politique qui se fait au quotidien. N'hésitez pas à aller découvrir les parcours de ces jeunes, les propositions et pourquoi pas, engagez-vous auprès de « Ta voix compte » car l'aventure ne fait que commencer. Vous retrouvez également à la fin de l'épisode l'interview « Déclic » (28 :12) avec des conseils et des idées lectures inspirantes (31:07). Très bonne écoute avec Impact Positif.