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Dans ce nouvel épisode de « Sans contrôle, le podcast 100% FC Nantes », nos quatre spécialistes reviennent sur la victoire 2-0 du FCN à Caen contre Vire (N3), à l'occasion des 32es de finale de la Coupe de France qui marquaient l'entrée en lice des clubs de Ligue 1. Alors que les Canaris affronteront une autre N3 en 16es de finale, à savoir Thaon-les-Vosges, peuvent-il envisager de réussir un incroyable « back to back » comme en 1999-2000 ou il est encore beaucoup trop tôt pour rêver ? Et puis cette qualification soulève une question : comment gérer l'enchaînement des compétitions puisque les Jaune et Vert sont en lice sur trois tableaux, la Ligue 1 où ils jouent le maintien, la Ligue Europa avec un choc aller-retour face à la Juventus Turin et donc la Coupe de France. Dans le deuxième thème de cette émission, nos spécialistes se penchent justement sur l'effectif nantais. Est-il suffisant pour faire face à toutes ces échéances ? Comment pallier l'absence longue durée du cadre Nicolas Pallois ? Faut-il recruter un défenseur, donner sa chance à un jeune ou rester comme ça ? Plus généralement, l'équipe de « Sans contrôle » fait le point sur toutes les rumeurs mercato du moment, notamment l'intérêt pour l'attaquant de l'OGC Nice Andy Delort. Enfin, dans la dernière partie de ce podcast, lumière sur le championnat et la prochaine journée de Ligue 1 face à Lyon, à la Beaujoire, ce mercredi 11 janvier. Victoire obligatoire pour la bande à Antoine Kombouaré ? Bonne écoute.
Tous les soirs, retrouvez l'histoire du jour par l'édition du soir de Ouest-France. Crédit musique : Cuisine - Nctrnm / freearchivemusic.org (cc by 4.0) Photo : Ouest-France
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Du jaune et du vert en Une des quotidiens : « Il était un Roi », titre L'Équipe qui affiche une photo en couleur d'un Pelé souriant, maillot brésilien sur le dos. « Et le football fut », résume Libération. Quand La Provence choisit comme Une spéciale un maillot auriverde floqué du numéro 10. « Eson Arantes do Nascimento pour l'état civil, Pelé pour la planète foot », c'est ainsi que la Voix du Nord présente la légende. Le « plus grand joueur de l'histoire, décédé à 82 ans », rappelle le quotidien. « L'émotion est planétaire », constate Le Parisien - Aujourd'hui en France, alors que La Croix parle de Pelé comme de « la première légende du foot mondialisé, symbole autant qu'acteur de la naissance d'un sport sans frontières ». ► À lire aussi : De Neymar à Mbappé, de Lula à Macron, les hommages du monde entier au «Roi» du football Parcours exceptionnel « Mais par où commencer ? », se demande La Voix du Nord. « Comment trouver le meilleur moyen d'aborder une vie aussi riche, le parcours d'un joueur qui aurait marqué, selon la légende, plus de 1 000 buts dans sa carrière, un peu moins selon la police », rappelle le quotidien qui choisit finalement l'originalité en parlant de ces buts que Pelé « n'a pas marqués ». Le journal n'en compte que deux. Plus classique, Ouest France propose un portrait du « Roi » qui commence par cette question : « Papa, pourquoi tu pleures ? » Question posée le 16 juillet 1950, à son père par le celui qui n'est encore que le jeune Edson Arantes do Nascimento. Le Brésil vient alors de perdre face à l'Uruguay. « Ces larmes, Pelé ne les oubliera jamais »,raconte le quotidien. Pelé, un surnom que le jeune footballeur n'apprécie pas au départ. Le Parisien relaye les propos de la légende : « "Quand j'étais môme, j'ai détesté m'appeler Pelé, un nom donné par mes copains. C'est le nom d'une rivière sacrée en Amazonie mais cela veut aussi dire stupide en turc !" » Quatre lettres qui le font entrer dans la légende C'est lors de la Coupe du monde de 1958, raconte l'Équipe : « La technique, la vitesse, la force athlétique, cette forme de symphonique et d'harmonie dans son jeu, tout cela a constitué une sorte d'émerveillement originel. [...] Personne n'avait vu ça sur le vieux continent. » ► À lire aussi : Pelé, le «Roi» du football, est mort La télévision en est à ses débuts et L'Équipe précise que « les images les plus nettes qui restent du phénomène sont celles qui rendent le moins bien hommage à son talent ». Elles datent de 1970, et de la dernière Coupe du monde de Pelé, alors âgé de 29 ans. Mais première en couleur à la télévision, rappelle Le Parisien qui qualifie l'événement de « plus belle des Coupes ». Et si L'Équipe parle d'un Pelé quelque peu « vieilli », « empâté », Le Parisien décrit tout de même un joueur : « Spectaculaire, étourdissant, insaisissable et qui reste à tout jamais l'emblème de ce mondial. » Pelé faisait « presque » l'unanimité « Toujours admiré, jamais critiqué », souligne La Croix qui cite « quelques illustres successeurs » de Pelé : Johan Cruyff, Franz Beckenbauer, Cristiano Ronaldo, tous admiratifs. Pelé plus grand que Maradona chantent en chœur les journaux. Les deux joueurs « qu'à part une misère originelle, tout opposait », raconte Libération. « Quand Maradona fréquentait les réprouvés du monde, Pelé s'affichait avec Mastercard, Pepsi et les marques de montre de luxe », rappelle Libé, qui cite le génie brésilien parlant de l'Argentin : « "Je ne le prendrais pas en voiture même si je le croisais un jour de pluie". » Maradona répondait : « "Si je ne m'étais pas drogué, on ne parlerait même plus de Pelé". » Loin des terrains de foot, Le Monde consacre un article aux « ambiguïtés politiques du roi du football ». Le quotidien souligne que le Brésilien a été « critiqué, pendant et après sa carrière, pour sa proximité avec des figures du pouvoir autoritaire et pour son affairisme ». Des critiques vite oubliées dès que Pelé foulait les pelouses. Le Figaro cite un écrivain brésilien parlant du footballeur : « Lorsqu'il attrape le ballon et dribble un adversaire, il est comme un câlin. Il a un tel sentiment de supériorité qu'il ne fait pas de cérémonies. C'est un génie incontestable ! Pelé pourrait se tourner vers Michel-Ange, Homère ou Dante et les saluer avec une effusion intime : ''Comment vas-tu, collègue ?" » Le mot de la fin revient à l'Équipe qui conclut : « Ce matin, le monde entier a la saudade. » ► À lire aussi : Diaporama - Pelé, la légende d'un «Roi» en images
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« Officiellement, seuls quelques dizaines de morts ont été recensés, mais, pointe Libération, le pays est débordé par une vague de décès sans précédent depuis le début de la pandémie. En quelques semaines, le nombre de cas est passé Chine de 3 000 à 4 000 par jour à plusieurs dizaines de millions. Le gouvernement ne publie plus le décompte officiel des malades – comme il le faisait depuis trois ans – mais la province du Zhejiang par exemple (aussi peuplée que la France) avance le chiffre d'un million de nouvelles contaminations quotidiennes et anticipe un pic atteint autour du Nouvel an avec deux millions de malades par jour. Des données compilées par plusieurs agences de presse étrangères évoquent 18 à 20% de la population chinoise déjà contaminée. » Virage à 180 degrés… Commentaire de Libération : « la situation est ubuesque, car après avoir vu les autorités verrouiller d'une main de fer le pays, le slogan qui aujourd'hui sert de ligne politique est que "chacun est responsable de sa santé". Qu'importe si le régime s'est fourvoyé dès le départ avec sa stratégie zéro Covid, qu'importe que des milliards aient été dépensés pour la mettre en œuvre pour rien, qu'importe que le taux de vaccination dans le pays y soit trop bas, qu'importe, en gros, que les autorités se soient trompées sur toute la ligne… Rien ne dit que cette vague XXL, qui pourrait encore grossir avec les transhumances prévues à l'occasion du Nouvel An, fragilise le pouvoir. Le vide démocratique est trop béant. C'est le tragique de l'histoire, conclut Libération : les Chinois n'ont pour l'instant retrouvé qu'une liberté, celle de pleurer leurs proches. » De nouveaux variants ? Des pénuries de médicaments ? « Chine : faut-il s'inquiéter de la flambée du Covid ? », s'interroge Ouest-France. Eh bien oui, répond le journal. Tout d'abord parce qu'on peut craindre l'émergence de nouveaux variants du virus. Et ensuite parce qu'il y a un risque de pénurie de médicaments… En effet, précise Ouest-France, « 80% des principes actifs, la matière première des médicaments, sont fabriqués en Chine et en Inde ». Et le paracétamol, médicament contre la fièvre, commence à manquer, en Chine et dans le reste du monde. ► À lire aussi : La Chine partagée entre ouverture et recrudescence de l'épidémie de Covid-19 Alors, des pénuries de médicaments, des nouveaux variants, des nouvelles vagues de Covid dans le monde ? C'est l'inconnue : « Soumises à la triple pression causée par l'explosion de l'épidémie, l'effondrement de l'économie et les protestations de la population, constate Le Monde, les autorités chinoises ont abandonné leur politique du jour au lendemain. La réouverture de la Chine ressemble à celle de la boîte de Pandore. » En France, les transports en crise À la Une du Figaro, un coup de gueule contre la situation catastrophique des transports par le rail à Paris et dans les régions. « Trains en retard ou supprimés, grèves, vétusté des voies, travaux… C'est la grande déconnexion entre les métropoles et les petites villes, entre les régions et la capitale, qui est à l'œuvre, dénonce Le Figaro. Intercités, TER, RER… les transports sont désormais plus imprévisibles que le temps !, fulmine encore le journal. La "France périphérique" ne compte plus les heures passées sur le quai. […] La liberté de ces Français dépossédés d'eux-mêmes se réduit en même temps que le maillage des régions se délite sous le coup de la désindustrialisation et des injonctions anti-voiture – sans compter aujourd'hui la hausse de l'énergie. Il est frappant, conclut Le Figaro, de voir combien l'affaissement des institutions autrefois garantes de ce bien commun qu'est l'aménagement du territoire fragilise aujourd'hui la puissance publique. » Un hiver trop doux… Enfin, décidément, il n'y a plus de saisons. Après des températures glaciales, mi-décembre, la France connait un redoux inédit. « Chaud devant ! », s'exclame L'Est Éclair en première page qui annonce qu'un record pourrait être battu ce week-end dans le département de l'Aube avec près de 17 degrés. « Dans les Pyrénées, on skie sur des cailloux », constate pour sa part Le Parisien. Certaines stations ont dû fermer de même que dans les Alpes. « Pourtant, la saison s'annonçait bien : le froid était glacial à la mi-décembre, la neige tombait en abondance. Mais les fortes pluies, dues aux températures trop douces, ont balayé le manteau neigeux. » Cette douceur hivernale s'observe déjà depuis quelques années, et ça ne devrait pas s'arranger. ► À lire aussi : En France, des associations veulent que l'environnement soit mieux traité dans les médias
Tous les soirs, retrouvez l'histoire du jour par l'édition du soir de Ouest-France. Crédit musique : Cuisine - Nctrnm / freearchivemusic.org (cc by 4.0) Photo d'illustration : Wham! / YouTube
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Les journaux relatent les dernières évolutions de l'enquête et reviennent sur les motivations de l'assaillant, et le motif raciste retenu par la justice. « Le suspect voulait d'abord tuer des étrangers » précise Les Dernières Nouvelles d'Alsace quand Ouest France parle d'une « haine des étrangers pathologique ». Le quotidien de rappeler les propos du tireur présumé décrit comme dépressif et suicidaire : « avant de me suicider, j'ai toujours eu envie d'assassiner des migrants, des étrangers, depuis ce cambriolage ». Un cambriolage qui a eu lieu « à son domicile en 2016 » précise le Figaro qui parle alors de « déclic » pour le tueur qui aurait alors voulu s'en prendre à des étrangers. Le quotidien de citer le père âgé de 90 ans du tireur présumé : « Il est cinglé, il est fou ». Libération donne la parole à la communauté kurde « Un loup solitaire, pris d'une impulsion raciste, qui aurait pris son arme et tiré au hasard ? ». Libération cite le porte-parole du conseil démocratique kurde de France qui « n'y croit pas ». « Pour nous, ce n'est pas anodin que ces assassinats se soient produits dans ce lieu qui fait office d'ambassade du plus grand peuple sans État » martèle Yekbun Eksen. Libération l'interroge sur les lieux de la tuerie, au centre culturel Ahmet Kaya, rue d'Enghien. Le quotidien décrit une « grande salle, véritable mausolée à la gloire des martyrs et héros du PKK ». Dans un coin, « un groupe de femmes, visages fermés, yeux rougis ». « Les hommes chuchotent entre eux. Tous sont persuadés que le tireur a été retourné en prison, par des pro-Erdogan ». Libération a aussi pu observer que samedi, lors de la manifestation de soutien aux kurdes place de la république, « seule une pancarte pointait l'éventuelle responsabilité de l'extrême droite ». Une jeune Franco-Kurde interrogée en marge de la manifestation enfonce le clou : « À l'approche des dix ans de l'assassinat de trois militantes, qui a eu lieu à quelques rues du centre culturel, c'est trop gros ». Le porte-parole du conseil démocratique kurde de France l'assure à Libération : « On s'attendait à ce qu'il y ait des problèmes à Paris, pour les dix ans. On sait que des équipes d'assassins sillonnent l'Europe pour tuer des militants kurdes. » Les célébrations de Noël « Noël à travers le monde », titre la Croix qui nous emmène « en Mongolie, avec la petite communauté catholique, mais aussi à Rome et en France ». Dans les steppes mongoles, le quotidien parle de « Noël des premiers temps » alors que le pays compte à peine 1 500 fidèles. Pas de quoi décourager le cardinal Marengo, préfet apostolique du pays. « Nous devons tout bâtir. Nous vivons comme dans l'Église des premiers chrétiens. » Eux ont vécu un « réveillon assombri par le conflit. » Le Parisien aujourd'hui en France a passé Noël avec un couple d'Ukrainiens à Kiev. Malgré la guerre, constate le quotidien, « Volodymir, Lubov et leur fille Maryna ont tenu à dresser une table de fête ». « Salade, betterave, choux, carottes, crudités […] la majorité des produits viennent du potager » de leurs parents, confie la mère de famille au quotidien. D'ordinaire, le 24 au soir, ils fêtent Noël chez des amis. « Mais cette année, les amis en question ont déserté Kiev », raconte le couple au Parisien. Entre deux verres, la guerre est le principal sujet de conversation… L'occasion pour le père de famille de « remercier les alliés de l'Ukraine » sans lesquels, ajoute-t-il, « nous ne pourrions pas partager ce repas ». Au lendemain de Noël, tenter de se débarrasser de ses cadeaux. « Des millions de Français sont prêts à les revendre »assure Les Echos. Les raisons sont « financières ou écologiques » selon le quotidien qui constate que « le phénomène s'accroit d'année en année ». Le journal cite une plateforme de vente en ligne qui « anticipe 3 millions d'annonces publiées entre 25 décembre et le 3 janvier ». En tête de liste des cadeaux qui ne plaisent pas selon le quotidien : « les produits culturels, notamment les livres, et les produits high-tech ». Quant aux raisons qui poussent à se séparer d'un cadeau : le plus souvent, rappelle les Échos, « recevoir un jouet en double ou un vêtement dans la mauvaise taille est la situation la plus commune ». La revente de cadeaux fait maintenant partie intégrante de notre économie, conclue le quotidien qui rappelle que « La revente des cadeaux représenterait ainsi plus de 336 millions d'euros réinjectés ». Les Échos publient les résultats d'un sondage selon lequel « un Français sur deux envisage cette année de revendre l'un de ses cadeaux s'il ne lui convenait pas ».
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« Comment en est-on arrivé là ? » s'interroge Les Dernières Nouvelles d'Alsace. « La grève de trop qui met les Français en colère » titre le Figaro alors que le Parisien Aujourd'hui en France tente de comprendre « comment le mouvement est devenu hors de contrôle ». Le quotidien pose le problème : « Malgré les propositions de la direction, l'arrêt de travail chez les contrôleurs, construit en marge des syndicats, va priver 200 000 voyageurs de leur train. » La Voix du nord revient au précédent mouvement social, début décembre : pour le quotidien, c'est depuis cette grève que « la SNCF peine à nouer le dialogue avec un collectif de contrôleurs qui s'est organisé sur Facebook pour réclamer une meilleure reconnaissance ». « La grève pendant les périodes de Noël : c'est l'arme atomique », assure le Parisien. « Une arme souvent brandie par les cheminots, mais rarement utilisée », rappelle le quotidien qui cite un salarié de la SNCF : « Déposer le sac, comme on dit chez nous, pour Noël et Nouvel An, c'est l'arme absolue. On n'appuie pas sur ce bouton sur un simple coup de tête ». Fatigue et colère des usagers « Mouvements sociaux à répétition, trains bondés, en retard ou supprimés, défaut de signalisation ou accident voyageur… Les clients de la SNCF supportent de moins en moins ce calvaire qu'ils endurent bien souvent en silence ». Et Ouest France leur donne la parole : « J'ai chialé direct », raconte Chloé au quotidien quand elle a « appris que son train était supprimé en raison d'un mouvement social ». Mais la jeune femme n'en veut pas aux grévistes, précise Ouest France : « s'ils en arrivent à faire un truc pareil, c'est que vraiment ça ne doit pas aller fort », confie-t-elle. Au contraire, le Figaro affirme qu'avec cette grève, ce collectif de contrôleurs « a, semble-t-il, franchi les limites du tolérable ». Le quotidien de citer Céline, cadre parisienne : « On est pris en otage avec la SNCF qui a le monopole du ferroviaire. Je ne pensais pas dire ça un jour, mais je suis devenue partisane de la privatisation ». Côté cheminots, le Parisien met en avant « une profonde rancœur accumulée par les contrôleurs ». Ils étaient « en première ligne lors de la pandémie de Covid-19 pour accueillir les clients malgré le virus, ils étaient de nouveau au front l'été dernier quand les problèmes de matériels se sont accumulés faute de bras et de moyens pour les réparer ». Le quotidien de citer un administrateur de la SNCF : « les contrôleurs sont un peu comme les hôtesses et les stewards vis-à-vis des pilotes chez Air France. Ils ont le sentiment d'être moins bien considérés alors qu'ils sont l'image de la SNCF. » La visite de Volodymyr Zelensky à Washington Un voyage « entouré de secret jusqu'à la dernière minute », raconte le Figaro. Libération revient sur les dessous de ce déplacement et souligne le grand écart entre la visite du président ukrainien sur le front et son déplacement aux États-Unis. « Passer en un jour de Bakhmout à Washington, ça rappelle la vitesse de déplacement de James Bond », confie une journaliste ukrainienne au quotidien. Volodymyr Zelenski a-t-il même eu le temps de se changer ? Le Parisien constate qu'à sa sortie de l'avion, il portait toujours son « traditionnel treilli Kaki ». Un moyen peut-être de rappeler aux Américains que l'Ukraine est en guerre, et que son pays a besoin d'aide. La journaliste ukrainienne interrogée par Libération se veut rassurante à ce sujet : « les Américains ne laisseront pas repartir un tel invité les mains vides pour Noël ». Et elle ne se trompe pas, rappelle La Croix : « Joe Biden a déclaré vouloir renforcer le soutien des États-Unis à l'Ukraine. Parmi cette aide, l'armée ukrainienne pourrait bénéficier du système de défense antiaérienne américain Patriot ». Mais voilà, de son côté, rappelle Libération, Volodymyr Zelenski n'est pas venu les mains vides. « De la ville dévastée de Bakhmout, il a ramené un drapeau national signé par des soldats ukrainiens et promis de le remettre aux Américains avec ce message : "Nous sommes reconnaissants pour leur soutien, mais ce n'est pas assez" ». Le quotidien conclut : « Peut-être Volodymyr Zelenski aura-t-il évoqué devant le Congrès le saisissant contraste entre sa visite éclair dans une capitale américaine parée d'illuminations festives et l'hiver sombre et glacial qui débute pour son pays, où il doit faire son retour dès ce jeudi ».
Le projet de réforme qui sera soumis au Parlement début 2023 est prêt. C'est Le Figaro qui en a la primeur. Entretien croisé sur deux pages avec les deux ministres qui ont porté le texte : Gérald Darmanin à l'Intérieur et Olivier Dussopt au Travail. « L'un est de droite, l'autre de gauche, rappelle le journal. Les deux intéressés préfèrent parler d'équilibre de pragmatisme... » Le Figaro résume : fermeté d'un côté, humanité de l'autre... Ou plus exactement meilleure intégration des travailleurs étrangers. Création d'un titre de séjour d'un an pour les métiers sous tension Le ministre du Travail développe : ce dispositif serait « accessible aux étrangers présents sur le territoire national depuis au moins trois ans ». Deuxième condition : avoir une ancienneté professionnelle d'au moins huit mois. S'ajoutent à cela d'autres prérequis comme une maîtrise « minimale » du français, à charge d'ailleurs pour l'employeur d'accompagner cet apprentissage de la langue. Le Figaro s'interroge : s'agit-il d'« une régularisation massive qui ne dit pas son nom ? » Non, répondent les ministres Darmanin et Dussopt : ce sera « du cas par cas ». Et pour contrer l'opposition de droite qui dénonce déjà un « appel d'air », les deux membres du gouvernement insistent sur l'autre grand volet de cette réforme : la fermeté. Gérald Darmanin déroule quelques-uns des 27 articles : l'article 9 par exemple, qui vise à faciliter les expulsions des étrangers ne respectant pas les valeurs de la République. Ou encore l'article 10, qui assouplira le champ d'application des « OQTF », ces obligations de quitter le territoire français, tout au moins pour des faits constituant une menace grave pour l'ordre public. « Bref, l'expulsion après la prison », résume Le Figaro. Quand le ministre de l'Intérieur parle lui d'une « double peine », ce qu'il assume d'ailleurs pleinement. « Alors le sécuritaire d'un côté, l'humanitaire de l'autre. Le méchant contre le gentil, ce serait trop simple », écrit en substance Guillaume Tabard. L'éditorialiste estime que pour convaincre l'opinion, « il faudra faire bouger le curseur vers la droite ». Conclusion du Figaro : le débat au Parlement s'annonce animé... Un weekend de Noël qui s'annonce compliqué dans les transports « Weekend perturbé », titre sobrement Ouest France, quand Le Parisien évoque lui des « voyageurs pris en otage ». En cause : un mouvement de grève à la SNCF venu, comme l'explique Libération, d'un collectif d'agents indépendants des syndicats. « Ils sont ainsi plusieurs milliers de salariés à se parler, à s'organiser sur les applis Telegram ou WhatsApp. » Libération y voit « une nouvelle forme de conflit social ». Toujours est-il qu'il a pris de court la direction... Résultat : une moyenne d'un train sur trois en moins et 200 000 personnes privées de voyage. Fleur, 25 ans, compte parmi ces naufragés du rail. Au Parisien, elle raconte ce qui devait être ces vacances en famille à Milan : elle avait fait, dit-elle, l'effort de prendre le train par souci écologique, quand bien même le billet coûtait plus cher qu'un billet d'avion. Son train annulé, elle aurait pu en prendre un autre mais l'addition s'élève à 350 euros ! « Pour sept heures de train, ça fait cher » explique Fleur, qui finalement s'envolera pour l'Italie en avion avec une compagnie low cost. Au Sierra Leone, les ravages de la « kush » Cette enquête de Libération sur « la kush, cette drogue qui ravage la jeunesse » au Sierra Leone et dans les pays voisins comme en Guinée. La « kush », c'est un mélange artisanal de cannabis et de produits chimiques. Rémi Carton et Paul Boyer ont arpenté les bidonvilles de Freetown, là où cette drogue a le plus d'adeptes. On y retrouve Kétasse, 24 ans, chemise à fleurs et veste en jean, qui se déhanche les mains levées vers le ciel, lunettes de soleil pour cacher ses pupilles dilatées. « Depuis deux ans, tout le monde fume de la kush », dit-il avant d'être interrompu par une descente de police. Le fléau est tel que l'unique hôpital psychiatrique du pays est débordé, raconte encore Libération. C'est particulièrement le cas en cette période de Noël où la consommation de drogue augmente. L'établissement voit affluer des patients de plus en plus jeunes, certains ont tout juste 14 ans. Un médecin s'en désole : « C'est ça le plus douloureux : voir notre jeunesse se détruire ».
Tous les soirs, retrouvez l'histoire du jour par l'édition du soir de Ouest-France. Crédit musique : Cuisine - Nctrnm / freearchivemusic.org (cc by 4.0) Photo d'illustration : Pexels
« Merci aux légendes », titre Le Parisien Aujourd'hui en France, qui se fait l'écho de cette « dernière étape d'une épopée inoubliable ». Pour Libération, « la foule célèbre […] ses perdants magnifiques ». Il faut dire qu'ils étaient des milliers lundi pour accueillir l'équipe de France sur la place de la Concorde, relaie La Provence. Un retour illustré en images par Ouest France de la descente de l'avion jusqu'au centre de Paris. Le quotidien parle de joueurs aux « mines fatiguées » et d'un Kylian Mbappé au « visage fermé ». Mais les 50 000 personnes présentes sur la place de la Concorde ont redonné le sourire aux Bleus. Pour Le Monde, « on se croirait au stade ». « On chante, on danse, on fait exploser des pétards », La Voix du Nord se fait l'écho de l'ambiance que le quotidien régional qualifie de « presque irréelle ». Minute par minute, Le Parisien raconte la soirée et surtout l'apparition des joueurs sur le balcon de l'hôtel Crillon. C'est Didier Deschamps et son capitaine Hugo Lloris qui sortent les premiers, bientôt rejoints par le reste des joueurs qui « agitent les bras à s'en faire des tendinites » selon le quotidien. « Une consolation. Un baume délicieux et doux à poser sur la blessure de la défaite », analyse Le Monde. Le Figaro lui a déjà les yeux tournés sur la suite et l'Euro 2024. Et pour le quotidien : « L'avenir s'annonce réjouissant. Surtout quand on possède dans ses rangs Kylian Mbappé, auteur d'un triplé légendaire contre l'Albiceleste et qui s'avance comme le leader de la nouvelle génération ambitieuse entrevue au Qatar ». Fin de la COP15 sur la biodiversité « Les promesses d'un accord », titre Les Échos qui reviennent en détail sur le texte adopté dans la nuit de dimanche à lundi par près de 200 pays à Montréal. Il prévoit, rappelle le quotidien, « d'éviter une extinction massive d'espèces végétales et animales, notamment en protégeant au moins 30% des terres et des mers d'ici 2030 ». « Un accord historique pour protéger la planète, vraiment ? », s'interroge Le Parisien qui souligne que cette conférence mondiale s'est « achevée dans la douleur […] après d'âpres négociations ». Le quotidien qui cite le président de la Ligue pour la protection des oiseaux, pour qui « cet accord préserve l'essentiel, mais il ne règle rien. Tout se jouera dans la mise en œuvre, sur laquelle l'accord ne donne quasiment aucun engagement chiffré ». Malgré tout, La Croix estime qu'un « grand pas a été franchi pour protéger la biodiversité », notamment avec la « réduction massive de l'usage des pesticides ». Le journal s'intéresse aussi à la question « du financement des pays en développement » et relaye ce chiffre qualifié « d'ambitieux » : « Chaque année, 20 milliards de dollars devront être alloués aux pays pauvres d'ici à 2025, et 30 milliards d'ici à 2030, contre 5 à 7 milliards aujourd'hui ». Mais, comme le rappelle Les Échos, les principaux intéressés jugent ces promesses insuffisantes. Le quotidien souligne que « quelques minutes avant la fin du sommet, la République démocratique du Congo et d'autres pays africains ont clairement marqué leur opposition au projet d'accord ». Un accord salué par le secrétaire général de l'ONU, rappelle Le Parisien, qui parle du « commencement d'un pacte de paix avec la nature ». Reportage à Notre-Dame et dans le Donbass Le premier reportage, à lire dans La Croix, nous emmène au chevet de Notre-Dame. La cathédrale qui révèle « son nouveau visage », selon le quotidien qui nous emmène au cœur du chantier de restauration de l'édifice. Et à en croire La Croix, ça avance bien puisque « le nettoyage des pierres et la rénovation des peintures laissent déjà entrevoir le nouvel éclat qu'offrira Notre-Dame en 2024 ». Avant ça, rappelle le quotidien, place au grand chantier de la charpente et de la flèche l'an prochain. Second reportage, à lire dans Le Figaro, qui nous emmène « en première ligne, dans les pas d'une unité d'élite ukrainienne » dans le Donbass. « Il y a la guerre qu'on entend, hurlante, partout, tout le temps. Les tirs de mortiers, de missiles Grad, de bombes à sous-munitions et d'artillerie lourde », raconte l'envoyée spéciale du journal. Mais « il y a aussi l'autre guerre, discrète et silencieuse, qui permet la première : de petits groupes parcourent les travées à la recherche de positions adverses, et pour recueillir du renseignement ». Un coup de projecteur sur cette guerre de l'ombre, c'est la promesse du quotidien. De son côté, L'Équipe voit encore plus loin et se penche sur l'avenir de Didier Deschamps. Le quotidien annonce la rencontre à venir entre le sélectionneur et Noël Le Graët. L'Équipe le rappelle : « Deschamps ne s'est pas encore prononcé sur son avenir. Mais s'il reste, ce qui semble être la tendance, il entend négocier un contrat jusqu'à la prochaine Coupe du monde ».
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Tous les soirs, retrouvez l'histoire du jour par l'édition du soir de Ouest-France. Crédit musique : Cuisine - Nctrnm / freearchivemusic.org (cc by 4.0) Photo d'illustration : Jean-Michel Niester / Ouest-France
Tous les soirs, retrouvez l'histoire du jour par l'édition du soir de Ouest-France. Crédit musique : Cuisine - Nctrnm / freearchivemusic.org (cc by 4.0) Photo d'illustration : Darwin Vegher / Unsplash
Tous les soirs, retrouvez l'histoire du jour par l'édition du soir de Ouest-France. Crédit musique : Cuisine - Nctrnm / freearchivemusic.org (cc by 4.0) Crédit photo : Tasmanian Museum and Art Gallery
Tous les soirs, retrouvez l'histoire du jour par l'édition du soir de Ouest-France. Crédit musique : Cuisine - Nctrnm / freearchivemusic.org (cc by 4.0) Crédit photo : John Wierwiller / Facebook
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Frédéric Guittard, ex-directeur commercial d'une entreprise de rillettes au Mans, est retrouvé mort le 29 juin 2015 dans son appartement, attaché à un radiateur, à demi dévêtu, le corps roué de coups et criblé de trois balles : une dans le flanc, une autre dans la tempe, une dernière au niveau de la nuque. Entre clubs échangistes, argent, vengeance et piste corse...qui en voulait à Frédéric ? Invité : Josué Jean-Bart journaliste à Ouest-France.
Tous les soirs, retrouvez l'histoire du jour par l'édition du soir de Ouest-France. Crédit musique : Cuisine - Nctrnm / freearchivemusic.org (cc by 4.0) Crédit photo : AFP// TT News Agency
Tous les soirs, retrouvez l'histoire du jour par l'édition du soir de Ouest-France. Crédit musique : Cuisine - Nctrnm / freearchivemusic.org (cc by 4.0) Crédit photo : AFP
durée : 00:33:29 - Talmudiques - par : Marc-Alain Ouaknin - Avec Jean-François Bouthors - invités : Jean-François Bouthors Journaliste, collaborateur de la revue Esprit et éditorialiste à Ouest-France
durée : 00:32:22 - Talmudiques - par : Marc-Alain Ouaknin - . - invités : Jean-François Bouthors Journaliste, collaborateur de la revue Esprit et éditorialiste à Ouest-France
Moins de 5 euros : c'est ce qu'il reste par jour, selon un rapport du Secours catholique, pour la moitié des personnes accueillies par l'association. Le nombre de celles qui se trouvent en situation d'extrême pauvreté augmente aussi. Le gouvernement met fin à la ristourne à la pompe. Roselyne Febvre revient sur ces sujets avec Catherine Tricot de la revue Regards, Neila Latrous de France Info et Stéphane Vernay de Ouest-France, en partenariat avec slate.fr et son fondateur Jean-Marie Colombani.
Inondations, feux, sécheresse, les effets du dérèglement climatique causent déjà des dégâts qui ont un coût humain et économique. Alors que l'Egypte, qui accueille la COP 27, se bat contre le manque d'eau, le Pakistan ou l'Europe ont été en proie à des épisodes d'inondations. Pour « La Story », le podcast d'actualité des « Echos », Pierrick Fay et ses invités posent la question de la facture du réchauffement de la planète.Vous souhaitez prendre la parole et nous aider à poursuivre le développement de nos podcasts et plus largement des services « Les Echos » ? Nous vous invitons à rejoindre notre panel de lecteurs pour partager très prochainement votre opinion sur nos podcasts en suivant ce lien.La Story est un podcast des « Echos » présenté par Pierrick Fay. Cet épisode a été enregistré en novembre 2022. Rédaction en chef : Clémence Lemaistre. Invités : Amélie Laurin (journaliste au service Finance des « Echos ») et Richard Hiault (grand reporter aux « Echos »). Réalisation : Willy Ganne. Chargée de production et d'édition : Michèle Warnet. Musique : Théo Boulenger. Identité graphique : Upian. Photo : Simon LAMBERT/HAYTHAM-REA. Sons : Franceinfo, TF1, France 24, Ouest-France, L'Obs, 20 Minutes, Euronews, BFM TV. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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Un nouvel acteur entre clairement dans la guerre en Ukraine: l'Iran. Si les liens diplomatiques entre Moscou et Téhéran sont assez clairs depuis le début du conflit, l'utilisation de drones iraniens par l'armée russe et l'accord signé le 8 octobre dernier entre les deux pays pour une prochaine livraison de missiles sol-sol montrent une implication plus grande du pays des mollahs. Dans le même temps, Téhéran doit faire face à un mouvement de contestation qui ne semble pas faiblir après la mort, le 16 septembre, de Mahsa Amini à la suite de son arrestation par la police des mœurs pour port de vêtements inappropriés. Pourquoi cette soudaine implication iranienne sur le terrain ukrainien? Quelles conséquences sur la région? Le régime est-il menacé par la rue? Nous allons tenter de répondre ensemble à ces questions et pour cela, nous accueillons cette semaine Samuel Hauraix, journaliste indépendant, spécialiste du Moyen-Orient en général et de l'Iran en particulier, collaborateur de Slate et de Ouest-France. Le monde devant soi est un podcast hebdomadaire d'actualité internationale présenté par Christophe Carron, avec Jean-Marie Colombani, directeur de la publication de Slate.fr, Alain Frachon, éditorialiste au Monde spécialisé dans les questions internationales. Musique: «True Messiah (LilRod Edit)», DJ Freedem Prise de son, montage et réalisation: Aurélie Rodrigues Si vous aimez Le monde devant soi, pensez à l'exprimer en nous donnant la note maximale sur votre plateforme de podcast préférée, en en parlant autour de vous et en laissant vos commentaires sur les réseaux sociaux. Suivez Slate Podcasts sur Facebook et Instagram.
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