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Ulysse poursuit son récit devant les Phéaciens, partageant les dangers qu'il a traversés, les pertes, et la douleur de l'exil.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Histoires du soir : podcast pour enfants / les plus belles histoires pour enfants
Ulysse poursuit son récit devant les Phéaciens, partageant les dangers qu'il a traversés, les pertes, et la douleur de l'exil.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Nous sommes le 7 mai 1946, à Dampremy, l'un des sièges d'extraction de la « Société Anonyme des Charbonnages Réunis du Mambourg ». Un terrible coup de grisou a frappé ce que l'on appelle « le Puits du Sacré-Français ». Le « Journal de Charleroi » rapporte : « Mardi soir, vers 21h30, un dégagement intense de gaz délétères et inflammables s'est produit dans la taille Cayette, à l'étage 860 mètres (…). Seize ouvrier ont été surpris par la catastrophe et sont morts asphyxiés et brûlés (…). Parmi les victimes, on compte trois Belges, six travailleurs étrangers (deux Italiens, deux Polonais, un Tchèque et un sujet français originaire du Maroc). En plus de ces neuf victimes civiles, il faut compter sept prisonniers allemands, du camp de Lodelinsart. » Qui sont ces prisonniers allemands ? Après la Libération, des milliers d'entre eux sont restés sur notre territoire et ont participé, au même titre que les mineurs belges, et italiens par la suite, à la « Bataille du charbon ». Cette vaste opération lancée, dès la fin de la Deuxième Guerre mondiale, par le gouvernement d'Union nationale. Privés de liberté au moment même où s'achevait le conflit, 60 000 de ces hommes ont été, en effet, cédés à la Belgique par le Commandement allié, en juillet 1945, au titre de « dommage de guerre ». Mis à la disposition de l'industrie charbonnière, afin de retrouver le plus rapidement possible la production d'avant-guerre pour relancer l'économie et relever le pays de ses ruines, la majorité a été directement affectée aux travaux d'extraction, tandis qu'une minorité fut occupée à la production des bois nécessaires au soutènement des galeries et des chantiers. Ils étaient répartis entre 38 camps de travail dont 32 étaient situés dans les bassins houillers, à proximité des sites de production, et 6 dans les Ardennes, à la lisière des forêts. Grâce à cet apport en main-d'œuvre, la production totale de charbon a pratiquement doublé, entre janvier ‘45 et janvier '46, avant de décroître. Comment ces prisonniers de guerre allemands ont-ils été traités ? En quoi peut-on dire qu'ils ont constitué ainsi l'avant-garde d'une armée de la paix au service d'une économie de marché ? Avec les Lumières de : Alain Forti, conservateur au Bois du Cazier, et Pierre Muller, directeur adjoint des collections au « War Heritage Institute ». Exposition : « Le charbon de la reconstruction » au Bois du Cazier. Sujets traités : Allemands, prisonniers, charbon, Libération, Deuxième Guerre mondiale, industrie Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le Victoria s'apprête à ouvrir son premier centre permanent de dépistage de pilules à Fitzroy, au cœur de la vie nocturne de Melbourne. Destiné à analyser les substances et détecter les opioïdes synthétiques les plus dangereux, ce site inédit s'inscrit dans une approche innovante de la politique des drogues, à l'heure où l'Australie cherche à concilier réduction des risques et renforcement des mesures de sécurité.
durée : 01:57:02 - Fictions / Théâtre et Cie - Deuxième et troisième journée
durée : 01:57:02 - Fictions / Théâtre et Cie - Deuxième et troisième journée
(Deuxième et dernier épisode) À l'été 2004, dans l'arrière pays cannois gagné par les chaleurs du mois de juillet, Nicole Rossi donne discrètement rencard à des gendarmes dans une église. La quinquagénaire craint pour sa vie. Elle veut dénoncer les crimes, abominables selon elle, de son conjoint Michel Lambin. Certes, ce berger est déjà passé par la case prison avant les années 1980 pour quelques larcins, mais il s'était depuis rangé. Nicolas Rossi parle pourtant d'un odieux meurtrier en série, cannibale de surcroît, qui a sévi dans l'ombre pendant des années…Dans Crime story, la journaliste Clawdia Prolongeau raconte cette enquête avec Damien Delseny, chef du service police-justice du Parisien.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Ecriture et voix : Clawdia Prolongeau et Damien Delseny - Production : Thibault Lambert et Anaïs Godard - Réalisation et mixage : Julien Montcouquiol - Musiques : Audio Network - Archives : INA.Documentation. Cet épisode de Crime story a été préparé en puisant dans les archives du Parisien, avec l'aide de nos documentalistes, ainsi que dans celles de Nice Matin et l'Express. Nous nous sommes également appuyés sur un numéro du magazine de France 2 « Au bout de l'enquête » consacré à cette affaire. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Ces derniers jours, les socialistes ont désigné leur nouveau secrétaire national : Olivier Faure, réélu pour un quatrième mandat. Réuni à Nancy, le PS a tenté de fixer la ligne du parti pour les mois à venir. Un congrès passé quelque peu inaperçu et pourtant très important pour la gauche. Car depuis la fin du XIXe siècle, les congrès des socialistes ont souvent marqué la politique française. Cette semaine, La Loupe revient sur quatre grandes dates, avec l'historien Gilles Candar et Mattias Corrasco, journaliste au service Politique de L'Express. Retrouvez tous les détails de l'épisode ici et inscrivez-vous à notre newsletter. L'équipe : Présentation et écriture : Charlotte BarisMontage et réalisation : Jules Krot et Sébastien SalisCrédits : PS, Le Parisien, Public Sénat, INA Musique et habillage : Emmanuel Herschon / Studio Torrent Logo : Jérémy CambourPour nous écrire : laloupe@lexpress.fr Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 01:57:33 - Fictions / Théâtre et Cie - Première et deuxième journée
durée : 01:57:33 - Fictions / Théâtre et Cie - Première et deuxième journée
(Deuxième et dernier épisode) Août 1983. Comme chaque année à cette période, le festival d'Avignon bat son plein. Lucien André, Geneviève Dupont et leurs enfants font escale au Sofitel de la ville. Dans la nuit, les petits sont réveillés par des cris. Les policiers arrivent sur place et découvrent un massacre. Sept morts, parmi lesquels des clients et des employés de l'hôtel. Ils aperçoivent aussi un homme, qui tente de s'enfuir par l'arrière du bâtiment…Dans Crime story, la journaliste Clawdia Prolongeau raconte cette enquête avec Damien Delseny, chef du service police-justice du Parisien.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Ecriture et voix : Clawdia Prolongeau et Damien Delseny - Production : Thibaults Lambert, Clara Grouzis et Anaïs Godard - Réalisation et mixage : Pierre Chaffanjon - Musiques : Audio Network.Documentation. Cet épisode de Crime story a été préparé en puisant dans les archives du Parisien, avec l'aide de nos documentalistes, ainsi que dans les journaux du Monde, du Dauphiné Libéré et dans l'émission « L'heure du crime » sur RTL. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:57:37 - Samedi fiction - À la recherche d'un chez-soi quelque part en Europe. - réalisation : Laurence Courtois
durée : 00:57:37 - Samedi fiction - À la recherche d'un chez-soi quelque part en Europe. - réalisation : Laurence Courtois
durée : 00:14:55 - Journal de 12h30 - Deuxième jour de guerre ouverte après l'attaque aérienne massive d'Israël, baptisée "Rising Lion", notamment contre les installations nucléaires et militaires iraniennes. - invités : Clément Therme Chargé d'enseignement à l'Université Paul Valéry de Montpellier
J'ai l'intime conviction qu'une société qui va bien est une société qui prend particulièrement bien soin des mères.Je sais que la France a encore un long chemin devant elle avant d'arrêter d'être maltraitante envers les mères. En attendant, nous avons la chance d'avoir des femmes qui se battent pour mettre en lumière les enjeux de santé mentale. C'est ce que fait Elise Marcende, la directrice de l'association Maman Blues, qui est une bouée de sauvetage pour les mères en détresse.Avant de venir en aide aux autres, Élise a elle-même traversé l'enfer d'un accouchement émotionnel violent il y a 15 ans. Sa maternité ne s'est pas faite dans la joie ni dans la douceur, mais à travers une dépression anténatale et une dépression post-partum sévères, qui l'ont menée jusqu'à l'hospitalisation.Dans cet épisode, Élise nous raconte sans détour son entrée fracassante dans la maternité, le lien d'attachement briséavec sa fille à la naissance, et comment elle a peu à peu reconstruit sa vie. Ensemble, nous avons parlé de santé mentale périnatale, de solitude, de tabous encore trop présents… mais aussi de résilience et d'engagement.Aujourd'hui, à travers Maman Blues, Élise met toute son énergie pour que d'autres mères ne se sentent plus jamais seules face à leur souffrance. Un épisode fort, authentique, et porteur d'espoir.Lien utile : Maman Blues
Chaque mois, Luc Julia, co-inventeur de Siri et directeur scientifique de Renault, partage son analyse sans filtre de l'actualité tech dans Monde Numérique.À l'occasion de la sortie de son nouveau livre « IA générative, pas créative » (Éd. Cherche Midi), Luc revient sur les confusions sémantiques qui entourent l'intelligence artificielle. Pour lui, parler d'« IA créative » est une erreur fondamentale : ces outils ne font que régurgiter des données passées, sans jamais sortir du modèle qui les encadre. « Une IA ne crée pas, elle remâche ».Deuxième mise au point : le mythe de l'intelligence artificielle générale (AGI), que certains annoncent comme imminente. Luc Julia n'y croit pas une seconde. Reproduire une intelligence humaine alors qu'on en ignore encore la définition ? Un pur fantasme selon lui, alimenté par le storytelling de la Silicon Valley.Enfin, Luc alerte sur ce qu'il considère comme le vrai danger des IA : leur impact environnemental. Une requête ChatGPT, c'est l'équivalent de centaines de requêtes classiques, avec une consommation énergétique et hydrique vertigineuse. Il plaide pour une prise de conscience collective… et l'abandon progressif des modèles géants au profit d'outils plus légers, plus spécialisés, et donc plus sobres.-----------
Assurances, conso, nouvelles technologies… "On en parle" vous oriente dans tout ce qui fait votre quotidien. Au programme aujourd'hui: 1. Médecin à domicile: à quel prix? 2. Deuxième service 3. Guichet: le barbecue, avec Benjamin Deschamps et Christophe Sifferlin
FATAL ERROR est une expérience sonore animée par Charlotte du Collectif Toute Seule. Entendable de minuit à mi-nouïe, de l'un dit à l'une dit. Sonorités entre reportages ou élucubrations sur-irréalistes. Deuxième partie de la pourchasse de l’artiste M Popp et de son buffet garni. « Jamais sans ma quiche « . Après l’accrossage vient le vernissage où […] L'article À la poursuite de l’artiste – « Jamais sans ma quiche » est apparu en premier sur Radio Campus Tours - 99.5 FM.
Si vous deviez bâtir une franchise NBA autour d'un meneur star, qui choisiriez-vous ? Shai Gilgeous-Alexander, leader des Thunder et MVP en puissance, ou Tyrese Haliburton, maestro des Pacers et maître du collectif ? Analyse des profils, comparaison des styles, impact sur leurs équipes respectives…
Deuxième soirée Planète Rap de Genezio ! Avec MIG, JKSN, Saamou...
Comment préparer l'aîné à ce bouleversement ? Quels comportements peuvent émerger et comment les gérer ? Dans ce podcast, découvrez une partie des coulisses de l'émission "Parlons-Nous" du 09 juin 2025. En compagnie de Caroline Dublanche, Paul Delair revient sur les témoignages et autres moments qui ont marqué le direct. Chaque soir, en direct, Caroline Dublanche accueille les auditeurs pour 2h30 d'échanges et de confidences. Pour participer, contactez l'émission au 09 69 39 10 11 (prix d'un appel local) ou sur parlonsnous@rtl.frDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Summary of Pride and Prejudice in English and French.English Version. By Jane AustenPublished: 1813 Genre: Romance, Social CommentarySet in early 19th-century England, Pride and Prejudice follows Elizabeth Bennet, a witty and independent young woman, as she navigates issues of class, marriage, and morality. Elizabeth is the second of five daughters in a middle-class family with little wealth and no male heir, making marriage a practical necessity for financial security.When the wealthy and reserved Mr. Darcy enters her social circle, Elizabeth initially finds him proud and disagreeable. Their relationship is marked by mutual misunderstandings and social pressures. However, as both characters confront their own flaws—Elizabeth's prejudice and Darcy's pride—they grow and change, ultimately realizing their deep love and respect for one another.Austen uses sharp dialogue and keen social observation to critique the rigid class structure of her time. The novel champions individual merit and personal integrity over social status and wealth.French Version.Résumé de Orgueil et Préjugés Par Jane AustenPublié en : 1813 Genre : Roman d'amour, satire socialeSitué dans l'Angleterre du début du XIXe siècle, Orgueil et Préjugés suit Elizabeth Bennet, une jeune femme vive et indépendante, confrontée aux enjeux du mariage, des classes sociales et de la morale. Deuxième d'une fratrie de cinq filles dans une famille de la petite noblesse sans héritier mâle, Elizabeth vit dans un contexte où le mariage est souvent le seul moyen d'assurer sa sécurité financière.Elle fait la connaissance de M. Darcy, un homme riche, réservé et apparemment hautain. Dès leur première rencontre, Elizabeth le juge orgueilleux, tandis que lui la considère peu convenable selon les normes sociales de son rang. Leur relation est marquée par des malentendus et des jugements erronés. Cependant, chacun finit par reconnaître ses propres erreurs : Elizabeth son préjugé, et Darcy son orgueil. Grâce à cette évolution personnelle, ils apprennent à s'estimer mutuellement et tombent amoureux.À travers un style plein d'esprit et une observation fine des mœurs de son époque, Jane Austen critique la rigidité des classes sociales et valorise l'amour sincère, le respect et l'intégrité personnelle plutôt que la richesse ou le statut.This was a LitBits Podcast for Tale Teller Club Publishing www.taletellerclub.com
(Deuxième et dernier épisode) Le jeudi 28 janvier 1988, Michel Morandin et Claude Aiazzi, deux policiers, se rendent dans un hôtel de Toulon (Var) pour une opération de routine. Ils enquêtent sur un règlement de compte entre proxénètes.Alors qu'ils se dirigent vers une chambre, ils sont tout à coup touchés par plusieurs balles. Le tireur sort dans le couloir, abat Michel Morandin avec froideur puis s'enfuit. À Toulon comme à Marseille, des centaines de policiers se mettent à la recherche du fugitif à l'aide d'une simple photo et d'un surnom, « Dédé ». Dans Crime story, la journaliste Clawdia Prolongeau raconte cette enquête avec Damien Delseny, chef du service police-justice du Parisien.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Ecriture et voix : Clawdia Prolongeau et Damien Delseny - Production : Pénélope Gualchierotti et Orianne Gendreau - Réalisation et mixage : Julien Montcouquiol - Musiques : Audio NetworkDocumentation. Cet épisode de Crime story a été préparé en puisant dans les archives du Parisien, avec l'aide de nos documentalistes, ainsi que dans les journaux du Monde. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
De l'Afrique aux Amériques en passant par la Caraïbe, les œuvres de 150 artistes noirs sont montrées en 2025 au Centre Pompidou à Paris. L'exposition s'appelle Paris Noir, circulation artistique et luttes anticoloniales et l'onde de choc qu'elle suscite n'a d'égal que son succès public. Un public renouvelé, curieux de découvrir des artistes des années 50 aux années 2000... dont les œuvres ont rarement été diffusées en France. Une exposition mais aussi un salon de lecture auxquels RFI et la Bibliothèque-archives Bernard Binlin Dadié se sont associés en écho à Paris Noir. En complicité avec Franck Hermann Ekra, critique d'art et curateur, nous recevons la scénariste Marguerite Abouet, le plasticien Hamedine Kane, l'écrivain Mohamed Mbougar Sarr, le comédien Sidiki Bakaba, le metteur en scène Koffi Kwahulé et la réalisatrice Bintou Diarra.Dès l'entrée de l'exposition, la première image inscrit l'exposition dans l'histoire des luttes anticoloniales dont Paris est l'un des carrefours. En référence à la capacité d'agir des Africains dans la capitale de l'A.O.F et A.E.F (Afrique occidentale Française et Afrique équatoriale française), dans l'après Deuxième Guerre mondiale. Sous la forme d'un immense collage, des couvertures emblématiques des livres de la maison d'édition Présence Africaine fondée par Alioune Diop… que ce soit le Docker noir de Sembene Ousmane, Nation nègre et culture de Cheikh Anta Diopou encore Un nègre à Paris de Bernard Dadié. Expression d'une conscience africaine multiforme, l'œuvre de Bernard Dadié est une œuvre émancipatrice, un contre-récit dont les écrits de prison sont un véritable journal de bord de la lutte pour la liberté et la dignité en Côte d'Ivoire, dès la fin des années 40, puisque Dadié a été arrêté en 1949 avec ses camarades militants dont Matthieu Ekra, le grand-père de Franck Hermann Ekra, initiateur de ce salon de lecture.Tous nos remerciements à Alicia Knock, commissaire de l'exposition Paris Noir, circulation artistique et luttes anticoloniales ainsi qu'aux équipes du Centre Pompidou et aux équipes du Centre Wallonie Bruxelles.Découvrir l'expositionÉcoutez le premier épisode proposé par RFI et la Bibliothèque-archives Bernard Binlin Dadié
Avec le soutien d'UniversCiné, la plateforme de streaming éclectique et 100 % française. Retrouvez des nouveautés à la demande, des classiques et des exclusivités dans l'abonnement UniversCiné, ainsi que la sélection de films de CAPTURE MAG. Rendez-vous sur UniversCiné : https://bit.ly/CmXUcCAPTURE MAG - LE PODCAST : ÉPISODE 42, deuxième partie sur DAVID LYNCH : Notre vaillante équipe composée de Rafik Djoumi, Julien Dupuy, Érich Vogel et Stéphane Moïssakis se réunissent pour continuer d'explorer la carrière de David Lynch, de 1987 à 1993. Cette fois, prudence est de mise, ils ont conscience d'entrée de jeu qu'ils ne vont traiter que trois pans de la carrière du cinéaste, mais pas des moindres : BLUE VELVET, la Palme d'Or SAILOR ET LULA et le phénomène télévisuel TWIN PEAKS, et le film TWIN PEAKS - LES 7 DERNIERS JOURS DE LAURA PALMER. Et rien que ça, ça les occupe pendant trois bonnes heures !Retrouvez toutes nos émissions sur http://www.capturemag.frPour nous soutenir, il y a deux adresses :PATREON : https://www.patreon.com/capturemagTIPEEE : https://www.tipeee.com/capture-magLISEZ CAPTURE MAG !Toutes nos revues sont disponibles dans les librairies, les magasins de produits culturels et sites marchands.Akileos : https://bit.ly/AkilsCMCapture Mag est sur LETTERBOXD : https://letterboxd.com/CaptureMag/00:00 BLUE VELVET56:52 SAILOR & LULA1:33:50 TWIN PEAKSEn MP3 sur Acast : https://bit.ly/3v6ee7sSur SPOTIFY : https://spoti.fi/3PJYnF3Sur DEEZER : https://bit.ly/2wtDauUSur APPLE podcasts : https://apple.co/2UW3AyO#twinpeaks #redroom #nicolascage Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
La vie sociale, les activités, la gastronomie et les codes sociaux, Camille nous raconte tout. Deuxième épisode.
Assurances, conso, nouvelles technologies… "On en parle" vous oriente dans tout ce qui fait votre quotidien. Au programme aujourd'hui: 1. Echange maison pour vacances pas cher 2. Deuxième service 3. Guichet cuisine: les tomates, avec Gaël Brandy et Jérémy Blondin
« Les entreprises françaises sont trop frileuses en Afrique, elles doivent se réengager sur le continent », déclare Étienne Giros, le patron des opérateurs français en Afrique, qui publie 54 nuances d'Afrique aux éditions Télémaque. Étienne Giros a travaillé 23 ans dans le groupe Bolloré. Depuis onze ans, il préside le CIAN, l'association professionnelle qui regroupe les entreprises françaises opérant en Afrique. Il salue la résilience des quelque 5 000 opérateurs français qui travaillent toujours en Afrique et qui emploient 700 000 personnes. Mais il les invite à plus d'audace. Étienne Giros est le Grand invité Afrique de Christophe Boisbouvier. RFI : Emmanuel Macron et Jean-Luc Mélenchon ne sont pas d'accord sur tout, comme chacun le sait, mais ils sont d'accord pour dire que les entreprises françaises en Afrique profitent trop d'une situation de rente et qu'elles n'innovent pas assez. Pourquoi cela vous met-il en colère ?Étienne Giros : Cela m'agace parce que cela ne correspond pas à la réalité. Qu'est-ce que c'est qu'une rente ? Une rente, c'est bénéficier d'une situation de monopole qu'on va créer soi-même pour obtenir des tarifs élevés et ne pas développer des progrès techniques, etc. Les grands groupes français et les entreprises de taille moyenne, qui sont en France, ont peut-être eu des situations de rente en Afrique il y a cinquante ou soixante ans. Maintenant, rien n'est plus faux que cela. Les entreprises françaises sont soumises à la concurrence. Je prends un exemple d'un groupe que je connais bien : l'ancien groupe Bolloré qui maintenant s'appelle en Afrique AGL. Il est en concurrence avec des opérateurs chinois, dubaïotes et originaires d'autres régions du monde sur les ports. Le groupe Orange, qui est très important en Afrique dans la téléphonie, est en concurrence avec sept ou huit opérateurs mondiaux. S'il ne performe pas en qualité et s'il n'a pas les bons prix, je peux vous dire qu'il sera battu. C'est donc une erreur de croire que nous sommes en position de monopole.Est-ce que la compagnie Air France ne profite pas de sa position de monopole sur certaines lignes pour imposer des billets d'avion très très chers ?J'avoue que cela peut arriver et que les billets sont chers. C'est une question souvent de permis et d'autorisation de slots [les créneaux horaires donnés à une compagnie aérienne, NDLR] qui doivent être donnés par les autorités africaines. On appelle de nos vœux l'ouverture de ces marchés, car la communication entre les pays africains est très importante et effectivement c'est trop cher.Vous dites que les entreprises françaises restent très présentes en Afrique. Elles sont plus de 5 000, elles emploient 700 000 Africains pour un chiffre d'affaires de combien ?Cent milliards d'euros, ce qui est beaucoup plus que tout le volume d'affaires que nous faisons avec les États-Unis ou la Chine.Mais vous dites aussi, que depuis le Covid-19 de 2020, vous voyez des chefs d'entreprise français qui préfèrent renoncer à leurs projets en Afrique. Pourquoi ?Ils renoncent ou ralentissent parce qu'ils sont confrontés à un ressenti du risque africain qui est élevé. Le départ de la France dans des conditions compliquées, on va dire cela comme ça, du Sahel, les affaires de conformité avec le risque réputationnel ou le risque d'être traîné devant les tribunaux, les questions de la corruption qui perdurent et la petitesse des marchés…Tout cela fait que les entreprises françaises y réfléchissent à deux fois avant d'aller sur place. Notre travail, c'est de faire baisser le ressenti du risque en disant : « Non, l'Afrique n'est pas plus risquée qu'ailleurs ». Deuxièmement, en disant « Petit marché deviendra grand, une classe moyenne en Afrique arrive, la croissance démographique est là et ce continent est ouvert sur le monde ».Vous racontez dans votre livre l'histoire d'une entreprise française implantée en Afrique qui réclamait son argent. Le ministre des Finances de l'État concerné lui a répondu : « Je vous paye si vous me donnez 10% en dessous de la table ». C'est ce qu'on appelle du chantage. Comment cette entreprise française s'en est-elle tirée ?Elle s'en est tirée parce que c'était un grand groupe qui avait les reins solides. Elle a attendu. Elle a discuté avec les bailleurs de fonds. Elle a rendu public, non pas dans la presse mais à certaines personnalités, cet état de fait. Finalement au bout d'un an, un an et demi, ça a été réglé. Mais une entreprise de taille moyenne qui ne peut pas tenir un an, un an et demi et qui a les emplois en cause, va quelquefois, soit être obligée de partir, soit être obligée de céder. Tout ça pour dire que je sais que peut-être certains ne vont pas être d'accord avec ce que je vais dire. Et je pense que les entreprises dans les affaires de corruption sont davantage victimes qu'opératrices.Un groupe français bien connu, le groupe Bolloré, pour lequel vous avez travaillé, est visé par la justice française qui le soupçonne d'avoir acquis frauduleusement la gestion des ports de Lomé et de Conakry. Est-ce que le groupe est plutôt victime ou plutôt coupable ?Je ne vais pas prendre parti sur ce dossier d'autant que la justice n'a pas encore rendu ses conclusions. Je ne peux pas répondre à votre question.Cette affaire judiciaire n'est-elle pas la raison pour laquelle Vincent Bolloré a vendu toutes ses activités africaines en 2022 à l'armateur italo-suisse MSC ?Je ne suis pas mandaté pour expliquer les motivations du groupe pour son départ d'Afrique dans les domaines du transport. Je ne crois pas que cela soit la raison. Je crois que c'est simplement un arbitrage d'actifs. Et ce groupe, qui est un groupe puissant, qui évolue beaucoup, a décidé d'orienter sa stratégie de manière différente et de quitter les transports, puisqu'il a vendu, certes, ses activités de transport en Afrique à MSC, mais il a aussi vendu ses activités de transport monde à CMA CGM. Ce n'est pas l'Afrique qui était visée. Je pense que c'était simplement une réorientation stratégique. D'ailleurs, ce groupe conserve sa présence en Afrique dans le domaine des médias. Canal+, qui appartient à ce groupe, est en cours d'acquisition du grand opérateur de télévision payant sud-africain qui s'appelle Multichoice, une énorme acquisition sur toute l'Afrique australe. Deuxièmement, il déploie la fibre dans une dizaine de pays. Je pense donc que ce n'est pas un signe de désintérêt de l'Afrique, c'est plutôt une réorientation stratégique.
Deuxième finale de son histoire pour Indiana, qui n'a encore jamais été sacré champion NBA. Oklahoma City va disputer sa 5e finale... avec pour l'heure 3 défaites, et 1 sacre en 1979, alors que la franchise s'appelait encore SuperSonics Seattle. Les Pacers peuvent-ils embêter le Thunder qui semble largement favori dans cette finale ?
New York et Minnesota sortent en finale de Conférence. Les deux équipes ont encore échoué à rallier les finales NBA. Que leur manque-t-il pour enfin franchir le cap ?
Deuxième finale de son histoire pour Indiana, qui n'a encore jamais été sacré champion NBA. Oklahoma City va disputer sa 5e finale... avec pour l'heure 3 défaites, et 1 sacre en 1979, alors que la franchise s'appelait encore SuperSonics Seattle. Les Pacers peuvent-ils embêter le Thunder qui semble largement favori dans cette finale ? Présentation complète des finales NBA avec Pierre Dorian, Fred Weis, Stephen Brun et Félix Gabory
Deuxième soirée Planète Rap pour Fresh La Douille. Avec une grosse session live à la fin...
durée : 00:23:00 - Orthodoxie - par : Alexis Chryssostalis - Deux émissions consacrées à Grigol Péradzé, prêtre et érudit géorgien, mort à Auschwitz en 1942. Deuxième émission : professeur en Pologne, martyr à Auschwitz. - réalisation : François Caunac
(Deuxième et dernier épisode) L'après-midi du mardi 12 avril 1960, Jean-Pierre Peugeot, président des usines automobiles du même nom, joue au golf à Saint-Cloud (Hauts-de-Seine), un lieu fréquenté par la haute bourgeoisie parisienne. Ses deux petits-fils, Jean-Philippe, 7 ans, et Eric, 4 ans, s'amusent juste à côté, dans le jardin d'enfants rattaché.Vers 17 heures, Jean-Pierre Peugeot s'aperçoit qu'Eric est introuvable. Deux hommes l'ont enlevé sous les yeux des autres enfants. Les adultes, eux, n'ont rien vu. En guise de rançon, les kidnappeurs exigent 50 millions de francs, soit près d'un million d'euros.Dans Crime story, la journaliste Clawdia Prolongeau raconte cette enquête avec Damien Delseny, chef du service police-justice du Parisien.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Ecriture et voix : Clawdia Prolongeau et Damien Delseny - Production : Pénélope Gualchierotti et Orianne Gendreau - Réalisation et mixage : Théo Albaric - Musiques : Audio Network - Archives : INA.Documentation. Cet épisode de Crime story a été préparé en puisant dans les archives du Parisien, avec l'aide de nos documentalistes, ainsi que dans les journaux du Monde et de Paris Match. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Ecoutez Le 2ème œil de Philippe Caverivière du 30 mai 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 01:03:37 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda, Mathias Le Gargasson, Antoine Dhulster - C'est le "monde d'après" qu'explore ce 24e et dernier épisode de la série de Gilbert Pilleul sur la Deuxième Guerre mondiale diffusé en 1983. Une après-guerre dans lequel se dessine un nouvel ordre mondial, entre prémisses de la Guerre froide, début de la décolonisation et reconstruction. - réalisation : Massimo Bellini, Vincent Abouchar - invités : Jean-Pierre Rioux Historien et responsable de l'Université Populaire du Mouvement Démocrate
Ecoutez Le 2ème œil de Philippe Caverivière du 30 mai 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 01:03:35 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda, Mathias Le Gargasson, Antoine Dhulster - Entre 1940 et 1944, des Français et étrangers furent captifs de l'Allemagne nazie avec l'aide du régime de Vichy. C'est aux requis pour le travail obligatoire, prisonniers de guerre et déportés qu'est consacré en 1983 ce 23e épisode de la série sur la Deuxième Guerre mondiale. - réalisation : Massimo Bellini, Vincent Abouchar
durée : 01:02:35 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda, Mathias Le Gargasson, Antoine Dhulster - Des premiers gestes spontanés, isolés, désarmés de 1940, jusqu'au soulèvement général du printemps 1944 qui accompagnait le Débarquement, c'est à un survol de l'histoire de la Résistance que nous convie ce 22e épisode de la série sur la Deuxième Guerre mondiale, diffusé en 1983. - réalisation : Massimo Bellini, Vincent Abouchar
Aujourd'hui, la Cédéao, la Communauté des États d'Afrique de l'Ouest, fête ses cinquante bougies dans la division, avec un bilan plutôt positif en étant l'une des régions africaines à forte croissance avec l'EAC, selon Pape Ibrahima Kane, spécialiste des organisations régionales africaines, qui revient sur les nombreux problèmes qui ont handicapé son développement depuis sa création à nos jours. Il répond à Esdras Ndikumana. RFI : Quel bilan peut-on dresser pour la Cédéao après un demi-siècle d'existence positif ou négatif ? Pape Ibrahima Kane : Cette organisation a été créée par le Nigeria pour se réconcilier après la fin de la guerre civile au Nigeria avec les pays francophones d'Afrique. Sous cet angle-là, c'est un bilan largement positif. Et bon, elle connaît des hauts et des bas et surtout une gouvernance plus ou moins difficile. Mais ça, ce n'est pas le propre de la Cédéao, c'est presque toutes les organisations qui vivent la même situation.Mais cette organisation connait également beaucoup de problèmes ? D'abord, à l'origine, c'est des problèmes liés à la manière dont la décolonisation s'est faite. N'oubliez pas que, un des traits caractéristiques de cette région, c'est le fait que la France voulait à tout prix casser le Nigeria pour assurer une certaine continuité entre l'Afrique de l'Ouest et l'Afrique centrale où elle avait eu le plus grand nombre de territoires. Ça n'a pas marché. Dans les quelques années qui ont suivi, elle a été confrontée à beaucoup de difficultés. Vous avez eu deux guerres civiles, mais vraiment d'une intensité inouïe.En Sierra Leone et au Libéria, vous avez la crise du Sahel et vous avez le fait que c'est la région la plus pauvre du monde. Un dernier point que je soulignerai, qui me paraît aussi fondamental le Nigéria, c'est naturellement le leader de la région et le Nigéria depuis plus d'une quinzaine d'années, mais vit une situation intérieure catastrophique. Il n'y a pas de leadership. Chaque fois que le leadership a été au Nigeria, ça a permis à la Cédéao de faire des progrès, notamment dans les années 90, sous la présidence du président Obasanjo.Quels sont les bénéfices - je parle d'avantages concrets- que les populations des pays membres tirent aujourd'hui de cette organisation ? D'abord, le fait qu'il y a une libre circulation des personnes et des biens. C'est la seule région africaine où depuis 2014, on n'a pas besoin de carte de séjour pour résider dans l'un des pays membres. Deuxièmement, c'est la région qui a inventé le concept de citoyenneté régionale. Troisième élément important, c'est une région où on a la Cour de justice de la Cédéao qui protège les droits de la personne humaine, même si on sait que ces trois-là sont vraiment chahutées. Si on prend et qu'on compare avec ce qui se passe dans les autres régions du monde, on peut vraiment dire que la Cédéao a fait des pas importants dans la bonne direction.Mais de l'autre côté, il y a le départ des trois pays de l'AES, l'Alliance des États du Sahel. Est-ce que ce départ a affaibli la Cédéao ? Dans quelle mesure ? Nécessairement que ça va affaiblir la Cédéao. D'abord parce que la Cédéao perd la moitié de son territoire. Ensuite, parce que la Cédéao perd une population importante près de 20 % de sa population. Et ensuite, parce que c'est une région qui est en crise sécuritaire, euh, sociétale et autres. Cette crise-là, si elle n'est pas résolue, ne peut pas permettre à la Cédéao de régler ses problèmes pour vous.Est-ce qu'on peut parler d'un faux départ ou alors c'est une rupture déjà consommée ? Je ne pense pas que la rupture soit consommée. On a tellement de choses qu'on partage, notamment au plan sécuritaire, au plan économique, que on ne peut pas se séparer de cette manière-là. Il y a eu des malentendus, mais tôt ou tard, ces trois pays reviendront à la maison mère et la Cédéao pourra peut-être donner plus de gages à ces pays-là pour revenir plus rapidement à la maison mère.Un argument des pays de l'AES est que la Cédéao est contre les coups d'État militaires mais permettent des coups d'État institutionnels comme les changements de Constitution en vue de se maintenir au pouvoir. Est-ce que la Cédéao peut réellement faire son mea culpa sur ce point ? Mais bien sûr, la Cédéao devra faire son mea culpa sur beaucoup, beaucoup de questions importantes. Ce n'est pas seulement eu cette attitude de complaisance vis-à-vis de dirigeants qui changent facilement les constitutions, mais c'est aussi dans la manière dont les élections sont organisées, dans la manière dont les dirigeants traitent leurs populations. J'espère que ce cinquantenaire-là va permettre à la Cédéao de faire un bilan de manière à tirer des leçons pour que, dans le futur, de pareils travers ne puissent se répéter au sein de l'organisation.À lire aussiCinquante ans après sa création, quel bilan pour la Cédéao?
Pour découvrir le podcast Le Précepteur:https://open.spotify.com/show/4Lc8Fp7QAVsILrKZ41Mtbu?si=w28n3PRPSIuguRE4SQVMlQ-----------------------------La sexualité des adolescents français est en pleine mutation. C'est ce que révèlent trois études majeures publiées récemment : EnCLASS, CSF-2023 et Vavisa. Ensemble, elles dessinent le portrait d'une jeunesse à la fois plus prudente, plus diverse dans ses orientations, mais aussi plus exposée aux violences sexuelles.Premier constat frappant : les adolescents sont aujourd'hui moins nombreux à avoir des rapports sexuels qu'il y a dix ou vingt ans. En 2010, près de 18 % des collégiens déclaraient avoir eu un rapport sexuel ; ils ne sont plus que 8,8 % en 2022. En terminale, la proportion a chuté à 46,3 %, contre plus de 54 % en 2018. La parole des garçons reste plus affirmative sur ce point que celle des filles, comme dans les enquêtes précédentes. Ce recul pourrait traduire une forme de prise de distance vis-à-vis de la norme de performance sexuelle ou un environnement plus ouvert à d'autres formes d'intimité.Deuxième tendance marquante : la diversité des attirances s'affirme davantage. De plus en plus de jeunes osent se dire attirés par des personnes du même sexe ou par les deux sexes. Chez les garçons, ils sont passés de 1,6 % à 3,9 % entre 2018 et 2022. Chez les filles, la hausse est encore plus nette : de 4,1 % à 9,4 %. Cette évolution peut être liée à un climat social plus inclusif et à une plus grande liberté de parole sur les questions d'orientation sexuelle.Mais ces évolutions positives sont contrebalancées par des signaux préoccupants, notamment en matière de prévention et de violences sexuelles. Le recours au préservatif est en baisse, y compris lors des premiers rapports. Plus inquiétant : les lycéennes l'utilisent moins que les collégiennes. Seules une sur deux déclare se protéger avec un nouveau partenaire. La pilule est également en recul, souvent remplacée par d'autres moyens comme le stérilet.Enfin, le plus alarmant reste la fréquence des violences sexuelles et du non-consentement. Un tiers des jeunes – et quatre fois plus de filles que de garçons – disent avoir eu une relation sexuelle sans en avoir envie. Selon l'étude Vavisa, 80 % des victimes connaissaient leur agresseur, et 20 % n'en ont parlé à personne. À cela s'ajoutent les cyberviolences : diffusion d'images sexuelles non sollicitées, propos déplacés, ou visionnage de films pornographiques dès le plus jeune âge.En résumé, la sexualité des adolescents devient plus libre et diverse, mais elle reste marquée par des risques importants et une insuffisante prévention. Face à ces constats, la parole, l'éducation et l'écoute apparaissent plus que jamais comme des outils indispensables. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Trente-deux ans après Limoges, Monaco n'a pas réédité l'exploit et échoué en finale de l'Euroligue, dimanche à Abu Dhabi contre Fenerbahçe (70-81). La Roca Team aura malgré tout livré un parcours flamboyant dans la compétition, qu'elle quitte la tête haute. Exploit ou déception ?
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durée : 01:03:23 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda, Mathias Le Gargasson, Antoine Dhulster - "J'entre aujourd'hui dans la voie de la collaboration" annonçait Philippe Pétain en octobre 1940. En 1983, ce 21e épisode d'une série sur la Deuxième Guerre mondiale évoque les différents aspects que la Collaboration avec l'Allemagne nazie prend en France durant les quatre années d'Occupation. - réalisation : Massimo Bellini, Vincent Abouchar - invités : Pascal Ory Historien, Académicien, spécialiste d'histoire culturelle sous l'Occupation
durée : 01:02:50 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda, Mathias Le Gargasson, Antoine Dhulster - De 1940 à 1944, Paris, capitale de la France est occupée par les nazis. Cette période est analysée dans le vingtième volet de la série sur la Deuxième Guerre mondiale enregistrée en 1983. L'historien Henri Michel nous raconte ces quatre années dans une émission illustrées de lectures et d'archives. - réalisation : Massimo Bellini, Vincent Abouchar - invités : Henri Michel Historien
durée : 01:03:12 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda, Mathias Le Gargasson, Antoine Dhulster - Sous quel uniforme continuer le combat après juin 1940 ? Celui de la France libre, de l'armée de Vichy ou de IIIe Reich ? Et quel combat mener ? En 1983, ce 19e épisode de la série sur la Deuxième Guerre mondiale raconte le choix que certains ont fait. - réalisation : Massimo Bellini, Vincent Abouchar
(Deuxième et dernier épisode) Le jeudi 20 août 1981, Pascal Sergent, un jeune homme de 20 ans qui effectue son service militaire à Mourmelon-le-Grand dans la Marne, décide de faire de l'auto-stop pour rejoindre sa famille pour le week-end. Ne le voyant pas arriver, ses parents s'inquiètent.Quatre jours plus tard, la gendarmerie leur fait savoir que leur fils est désormais considéré comme déserteur, ayant quitté l'armée sans autorisation. Sa mère ne croit pas à cette piste, sachant son fils très épanoui. Les années suivantes, sept autres hommes disparaissent dans les mêmes conditions.Dans Crime story, la journaliste Clawdia Prolongeau raconte cette enquête avec Damien Delseny, le chef du service police-justice du Parisien.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Ecriture et voix : Clawdia Prolongeau et Damien Delseny - Production : Pénélope Gualchierotti, Clémentine Spiler et Clara Grouzis - Réalisation et mixage : Julien Montcouquiol - Musiques : Audio Network - Archives : INA, Faites entrer l'accusé.Documentation.Cet épisode de Crime story a été préparé en puisant dans les archives du Parisien et du Parisien Magazine, avec l'aide de nos documentalistes, ainsi que celles de Libération et de l'émission « Au bout de l'enquête » sur France 2. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Les désirs guerriers de la modernité, épisode 2: l'héritage du 20e siècle Comment comprendre l'ambivalence de notre rapport à la guerre, quand elle semble si lointaine dans le temps et l'espace? Comment saisir les racines historique des guerres les liens qu'elles entretiennent entre elles et avec notre présent? Comment comprendre les silences de la mémoire et l'amnésie qui encouragent les puissances à réumprunter si aisément les sentiers de la guerre? Deuxième épisode de la série consacrée aux Désirs guerriers de la modernité titre du livre signé aux éditions du Seuil par la philosophe Deborah Brosteaux, membre du Centre de recherche sur l'Expérience de la Guerre à l'ULB . Après avoir décrit l'art subtil de la distanciation mis en place par les puissances occidentales, Nicolas Bogaerts poursuit avec son invitée l'enquête sur notre rapport à la puissance, à la mémoire, au réel. Retour sur les ruines de la seconde guerre mondiale, prestement effacées au profit d'une reconstruction et d'une réorganisation urbanistique. Et si cette réorganisation avait aussi été celle de notre mémoire et de nos silences? Sujets traités : désirs, guerriers, modernité, héritage, mémoire, Deborah Brosteaux, Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Retour sur l'actualite sportive de ces derniers jours avec du cyclisme, du football et de la boxe.