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Radiokultura vous présente sa première radionovela : Dans un village perdu entre cactus et secrets, trois âmes tourmentées s'affrontent pour le pouvoir, l'amour… et le guacamole. Voici leur histoire. Une guerre. Un drame. Une avalanche de rebondissements. Préparez-vous pour : Guacamole o Muerte … La Guerre du Guacamole ! Ecoutez : « Secrets, sueur et salsa verde » (deuxième épisode – 2/6) Jatorria : Radiokultura / Script : Beñadin avec l'aide de l'I.A. (Iñaki Artaburuaga ?)
Après un début d'année sous haute tension, entre incertitudes monétaires, inflation persistante et risques géopolitiques, les marchés scrutent avec attention la suite de 2025. Premières baisses de taux de la Fed, trajectoire du dollar, reprise du dialogue commercial avec la Chine, politique budgétaire américaine, tensions au Moyen-Orient : état des lieux des grandes tendances à surveiller avec John Plassard, responsable de la stratégie d'investissement et associé de la banque Cité Gestion. Ecorama du 16 juillet 2025,présenté par David Jacquot sur Boursorama.com Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
Yacine Nemra fait le tour des festivals en demandant à des artistes quel concert ils/elles feraient si ils/elles nʹavaient aucune limite financière, humaine ou matérielle. Deuxième épisode au Montreux Jazz avec la dj lausannoise Ngọc Lan, la chanteuse soul américaine Céleste et les duo indie-dance Neuchâtelois Psycho Weazel qui nous dévoilent leur concert de rêve.
Jusqu'ici, nous avons fait connaissance avec Berthe et Gérald, ancien combattant de la première guerre mondiale indiscipliné, blessé mais marié en 1919, passionné de photographie et surtout d'album photos. L'histoire ne s'arrête pas là. Gérald, s'engage dans la Deuxième guerre mondiale et cette fois du côté de l'ennemi, dans les rangs nazis. Clémentine Vidal-Naquet, historienne et autrice de Noces de Cendres, (Éditions La Découverte) s'est consacrée à l'histoire de ces jeunes mariés, de leur voyage de noces, et ce jusqu'à la défaite nazie.
Madagascar a obtenu début juillet un décaissement de 107 millions de dollars du Fonds monétaire international. Il s'agit de soutenir la Grande île confrontée aux cyclones, à la diminution de l'aide au développement et à l'augmentation des droits de douane américains. Le FMI appuie également une réforme, centrale pour Madagascar, mais délicate, celle du secteur de l'énergie, alors que le pays subit depuis des mois des délestages prolongés. La réforme du secteur malgache de l'énergie tient sur deux pieds. D'abord une diminution des subventions sur les prix à la pompe, mais une diminution progressive. « L'idée, ce n'est pas d'aller à la vérité des prix soudainement, souligne Kodjovi Eklou, le représentant résident du FMI à Madagascar. On garde encore une part de subventions, mais on les maîtrise. C'est une formule, donc chaque mois, les prix changent à la pompe dans une limite de -200 et +200 ariarys le litre. » Développer le solaire Autre versant de la réforme, le plan de redressement de la compagnie publique malgache, la Jirama, vient d'être publié. Il vise, explique le représentant du FMI, à diminuer le prix de revient de l'électricité, près de deux fois plus élevé que le prix de vente… « En ce moment, l'énergie est produite essentiellement par du heavy fuel et du diesel, précise Kodjovi Eklou. Donc, ça coûte extrêmement cher. On sait que les grands projets hydroélectriques vont prendre du temps. Mais avant d'arriver là, avec les panneaux solaires, on va produire de l'énergie à moindre coût. » Graves dysfonctionnements pas résolus L'amélioration du service devrait, espère le FMI, permettre d'imposer des tarifs « confort » et « super confort » pour, par exemple, les bureaux et les grands hôtels, afin de renflouer les caisses, tout en préservant des tarifs sociaux. Cette réforme de la Jirama ne remédie pourtant pas aux dysfonctionnements graves de la compagnie, estime Serge Zafimahova, consultant malgache en risque d'investissement. « Les services de l'État ne paient pas. Or, ces montants sont bel et bien consommés. Où va cet argent ? Deuxième point, comment se fait-il que le coût du litre de gasoil de la Jirama soit supérieur au coût du litre pour le consommateur à la pompe, fournie par Total, Shell ou Esso ? Il y a quand même quelque chose d'anormal. » Vers une privatisation de la Jirama ? Si la Jirama est désormais une société anonyme à participation de l'État, sa structure n'est pas réformée, souligne cet expert. « En gardant la Jirama dans sa forme actuelle, c'est-à-dire une société qui s'occupe de la partie électricité, de la partie eau et de la partie logistique, les mêmes maux vont produire les mêmes soucis demain. Si ça passe entre les mains du privé, ça va faire flamber les cours du kilowattheure. » Inquiet d'une possible privatisation, le personnel de la Jirama a déjà organisé des sit-in à travers Madagascar et prévoit d'amplifier le mouvement.
(Deuxième épisode) Le 10 juillet 1985, un bateau de l'association écologiste Greenpeace, le « Rainbow Warrior » est tranquillement amarré dans le port d'Auckland en Nouvelle-Zélande. Dans la nuit, le navire est saboté. Deux bombes détruisent la coque du Rainbow Warrior et tuent Fernando Pereira, un photographe. Une enquête est ouverte et très vite, les regards se portent vers les services secrets français. À cette époque, la France réalise des essais nucléaires en Polynésie, ouvertement condamnés par Greenpeace. Ce qu'on va appeler « l'attentat du Rainbow Warrior » va devenir un scandale d'État. 40 ans après, Crime story revient sur ce fiasco gouvernemental avec la journaliste Clawdia Prolongeau et Damien Delseny, chef du service police-justice du Parisien.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Ecriture et voix : Clawdia Prolongeau et Damien Delseny - Production : Anaïs Godard, Thibault Lambert, Clara Garnier-Amouroux et Pénélope Gualchierotti - Réalisation et mixage : Pierre Chaffanjon - Musiques : Audio Network - Archives : France TV, Greenpeace.Documentation.Cet épisode de Crime story a été préparé en puisant dans les archives du Parisien, avec l'aide de nos documentalistes. Nous avons également utilisé plusieurs articles du Monde, le documentaire CANAL+ « Rainbow Warrior : barbouzes, hippies et mensonge d'Etat », le livre « Deux bombes sous le Rainbow Warrior » de Hervé Gattegno et l'émission Zoom Zoom Zen « 1985 - L'affaire du Rainbow Warrior » de France Inter. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:15:08 - Journal de 18h - Le gouvernement a utilisé cet après-midi la procédure de vote bloqué pour accélérer les débats. "Obstruction" aura été un mot beaucoup prononcé à la fois par Rachida Dati et par l'opposition durant ce débat.
durée : 00:02:19 - Le billet sciences - Les maladies cardiovasculaires tuent cinq fois plus de femmes que le cancer du sein en France, et touchent des patientes de plus en plus jeunes, souvent mal informées sur les symptômes atypiques qu'elles présentent. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Ce 220e épisode de Pos. Report reçoit Franck Cammas pour commenter son actualité chargée, entre Course des Caps sur l'Imoca Holcim PRB tout juste terminée à la troisième place, et navigations à partir de mercredi sur l'Ultim SVR Lazartigue.Il commence par raconter comment, sur une proposition de Sébastien Col, le team manager, il a intégré le team Holcim PRB en vue de The Ocean Race Europe, l'objectif prioritaire de la saison. La Course des Caps, qui n'était au départ pas au programme, s'est avérée riche d'enseignements pour l'équipage composé pour l'occasion, en plus de notre invité, de Nicolas Lunven, Alan Roberts, Annemieke Bes et Anne Beaugé (OBR).On refait ensuite le match de ce tour des îles britanniques avec Franck Cammas qui explique que dans certaines conditions, Holcim PRB a souffert de la comparaison en vitesse avec ses rivaux, Macif Santé Prévoyance (Sam Goodchild), Association Petits Princes-Quéguiner (Elodie Bonafous) et Vulnerable (Thomas Ruyant). Deuxième au Fastnet et quatrième au nord de l'Ecosse, Holcim PRB a finalement pris la troisième place au prix d'une grosse bataille de virements de bord avec Association Petits Princes-Quéguiner et après avoir déploré une casse au niveau du bout-dehors.On ouvre ensuite une page Ultim, Franck Cammas revenant sur son intégration au sein du team SVR Lazartigue, au point qu'il a récemment été nommé directeur de la performance, avec l'objectif d'accompagner Tom Laperche jusqu'à la Route du Rhum 2026 et d'optimiser le plan VPLP, notamment pour répondre au futur Gitana 18 quand ce dernier sera lancé l'automne prochain.On termine cet épisode en évoquant la recherche de partenaires de notre invité en vue du Vendée Globe 2028, qui l'a d'ores et déjà contraint à modifier ses échéances. Il estime aujourd'hui à 50/50 ses chances de trouver des sponsors pour l'accompagner et se donne jusqu'à la fin de l'année pour trouver.En partenariat avec The Sea CleanersDiffusé le 08 Juillet 2025Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Grégoire LevillainHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans ce nouvel épisode, j'ai le plaisir de recevoir Marie & Clara❤️, pour parler de Onyx Storm. Le troisième tome de la saga The Empyrean. Nous ne sommes pas d'accord sur tout mais c'est ça qui est drôle ✨
Dans cet épisode de Balades en France, William Lémergie vous emmène explorer trois lieux emblématiques, chacun marqué par une histoire unique et un charme particulier.Premier arrêt : les Jardins Secrets de Vaud, en Haute-Savoie.Mélina Nieto, petite-fille des créateurs, nous ouvre les portes de ce jardin hors du commun, véritable oasis mêlant inspirations orientales et occidentales. On y découvre des fleurs rares, des plantes étonnantes, et de petits palais nichés dans la verdure — le fruit du travail passionné d'une famille investie.Deuxième étape : la verrerie de Biot, dans les Alpes-Maritimes.Considérée comme le berceau du verre soufflé, cette verrerie emblématique nous dévoile les secrets du verre "bulé", une spécialité locale. Avec Anne Lechaczynski, directrice de l'entreprise, on suit tout le processus de fabrication, du four à la pièce finale, dans un lieu chargé d'histoire.Dernière halte : la maison de Jules Verne, à Amiens.Pierre Stépanoff, directeur des musées d'Amiens, nous raconte la vie fascinante de cet écrivain visionnaire. Dans cette demeure, où l'on retrouve manuscrits, objets personnels et mobilier d'époque, c'est tout un pan de l'histoire littéraire qui prend vie.Au fil de cette balade, laissez-vous surprendre par la richesse du patrimoine français, entre créativité, savoir-faire artisanal et héritage culturel. Une immersion captivante à ne pas manquer !Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Messe des artistes : deuxième édition demain à Vacoas by TOPFM MAURITIUS
durée : 00:15:46 - Journal de 18h - A quelques heures de la fin de l'année scolaire et des premiers grands départs en vacances d'été, certains ont dû revoir leurs plans: un millier de vols est encore annulé vendredi en France.
durée : 00:15:46 - Journal de 18h - A quelques heures de la fin de l'année scolaire et des premiers grands départs en vacances d'été, certains ont dû revoir leurs plans: un millier de vols est encore annulé vendredi en France.
(Deuxième épisode) Dans la matinée du 28 octobre 2017, Alexia Fouillot (épouse Daval) disparaît en Haute-Saône, à Gray-la-Ville. Son mari, Jonathann, déclare à la gendarmerie qu'elle n'est pas revenue de son jogging matinale. Elle n'est pas du genre à ne laisser aucune nouvelle.La disparition de cette joggeuse de 29 ans dépasse le fait divers local. Après d'importantes recherches, le corps d'Alexia Fouillot est retrouvé calciné dans un bois. Trois mois plus tard, alors qu'il apparaissait jusqu'ici comme le mari éploré, porté à bout de bras par sa belle famille, Jonathann Daval est placé en garde à vue. Dans Crime story, la journaliste Clawdia Prolongeau raconte cette enquête avec Damien Delseny, chef du service police-justice du Parisien.Cet épisode traite de violences faites aux femmes et de féminicides. En France, 137 femmes ont été tuées par leur compagnon ou ex-compagnon. Le 3919 est le numéro national de référence pour l'écoute et l'orientation des femmes victimes de violences. Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Ecriture et voix : Clawdia Prolongeau et Damien Delseny - Production : Anaïs Godard, Thibault Lambert et Raphaël Pueyo - Réalisation et mixage : Pierre Chaffanjon - Musiques : Audio Network.Documentation. Cet épisode de Crime story a été préparé en puisant dans les archives du Parisien, avec l'aide de nos documentalistes, ainsi que dans l'INA et BFMTV. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Danièle Sauvageau deviendra la première femme à être intronisée à titre de bâtisseuse au Temple de la renommée du hockey. Carey Price, quant à lui, a été ignoré à sa première année d’admissibilité. Claude Giroux serait intéressé à jouer pour les Canadiens. Et qu’arrivera-t-il avec Dvorak et Armia? Trevor Zegras quitte la Californie pour Philadelphie: les Flyers l’ont acquis en échange de Ryan Poehling et de choix au repêchage. Et que feront les Canadiens au repêchage? Ce sont quelques-uns des sujets de ce nouvel épisode de Sortie de zone animé par Louis Jean, qui est en compagnie de Stéphane Waite du 98.5, ainsi que Guillaume Lefrançois et Richard Labbé, de La Presse. Le sommaire Bloc 1 0:45 | Danièle Sauvageau est intronisée au Temple de la renommée à titre de bâtisseuse. On discute aussi des autres personnes intronisées, puis de l’absence de Carey Price. 21:35 | Repêchage de la LNH dès vendredi: que fera le CH? 23:00 | Deuxième joueur de centre du Tricolore: Claude Giroux est-il une bonne option? Armia et Dvorak n’ont toujours pas de contrat pour la prochaine saison avec les Canadiens de Montréal. Seront-ils difficiles à remplacer? Bloc 2 35:47 | Evander Kane jouera désormais avec les Canucks de Vancouver 42:30 | Que se passe-t-il chez les Islanders de New York? 48:30 | Visiblement, le CH n’avait pas d’intérêt envers Trevor Zegras… 50:23 | Jonathan Toews rentre à la maison et signe avec les Jets de Winnipeg Bloc 3 53:00 | Pour ou contre l’entente entre la NCAA et les ligues juniors canadiennes? Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee pour notre politique de vie privée
Nous sommes le 7 mai 1946, à Dampremy, l'un des sièges d'extraction de la « Société Anonyme des Charbonnages Réunis du Mambourg ». Un terrible coup de grisou a frappé ce que l'on appelle « le Puits du Sacré-Français ». Le « Journal de Charleroi » rapporte : « Mardi soir, vers 21h30, un dégagement intense de gaz délétères et inflammables s'est produit dans la taille Cayette, à l'étage 860 mètres (…). Seize ouvrier ont été surpris par la catastrophe et sont morts asphyxiés et brûlés (…). Parmi les victimes, on compte trois Belges, six travailleurs étrangers (deux Italiens, deux Polonais, un Tchèque et un sujet français originaire du Maroc). En plus de ces neuf victimes civiles, il faut compter sept prisonniers allemands, du camp de Lodelinsart. » Qui sont ces prisonniers allemands ? Après la Libération, des milliers d'entre eux sont restés sur notre territoire et ont participé, au même titre que les mineurs belges, et italiens par la suite, à la « Bataille du charbon ». Cette vaste opération lancée, dès la fin de la Deuxième Guerre mondiale, par le gouvernement d'Union nationale. Privés de liberté au moment même où s'achevait le conflit, 60 000 de ces hommes ont été, en effet, cédés à la Belgique par le Commandement allié, en juillet 1945, au titre de « dommage de guerre ». Mis à la disposition de l'industrie charbonnière, afin de retrouver le plus rapidement possible la production d'avant-guerre pour relancer l'économie et relever le pays de ses ruines, la majorité a été directement affectée aux travaux d'extraction, tandis qu'une minorité fut occupée à la production des bois nécessaires au soutènement des galeries et des chantiers. Ils étaient répartis entre 38 camps de travail dont 32 étaient situés dans les bassins houillers, à proximité des sites de production, et 6 dans les Ardennes, à la lisière des forêts. Grâce à cet apport en main-d'œuvre, la production totale de charbon a pratiquement doublé, entre janvier ‘45 et janvier '46, avant de décroître. Comment ces prisonniers de guerre allemands ont-ils été traités ? En quoi peut-on dire qu'ils ont constitué ainsi l'avant-garde d'une armée de la paix au service d'une économie de marché ? Avec les Lumières de : Alain Forti, conservateur au Bois du Cazier, et Pierre Muller, directeur adjoint des collections au « War Heritage Institute ». Exposition : « Le charbon de la reconstruction » au Bois du Cazier. Sujets traités : Allemands, prisonniers, charbon, Libération, Deuxième Guerre mondiale, industrie Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La NBA a un champion inédit. Le Thunder d'Oklahoma City, porté par son MVP canadien Shai Gilgeous-Alexander (29 points, 12 passes), a décroché à domicile son premier sacre NBA face aux Indiana Pacers. Jusqu'où ira Shai Gilgeous-Alexander ?
Deuxième soirée Planète Rap de Djadja & Dinaz ! Avec une grosse session live...
Le Victoria s'apprête à ouvrir son premier centre permanent de dépistage de pilules à Fitzroy, au cœur de la vie nocturne de Melbourne. Destiné à analyser les substances et détecter les opioïdes synthétiques les plus dangereux, ce site inédit s'inscrit dans une approche innovante de la politique des drogues, à l'heure où l'Australie cherche à concilier réduction des risques et renforcement des mesures de sécurité.
durée : 01:57:02 - Fictions / Théâtre et Cie - Deuxième et troisième journée
durée : 01:57:02 - Fictions / Théâtre et Cie - Deuxième et troisième journée
(Deuxième et dernier épisode) À l'été 2004, dans l'arrière pays cannois gagné par les chaleurs du mois de juillet, Nicole Rossi donne discrètement rencard à des gendarmes dans une église. La quinquagénaire craint pour sa vie. Elle veut dénoncer les crimes, abominables selon elle, de son conjoint Michel Lambin. Certes, ce berger est déjà passé par la case prison avant les années 1980 pour quelques larcins, mais il s'était depuis rangé. Nicolas Rossi parle pourtant d'un odieux meurtrier en série, cannibale de surcroît, qui a sévi dans l'ombre pendant des années…Dans Crime story, la journaliste Clawdia Prolongeau raconte cette enquête avec Damien Delseny, chef du service police-justice du Parisien.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Ecriture et voix : Clawdia Prolongeau et Damien Delseny - Production : Thibault Lambert et Anaïs Godard - Réalisation et mixage : Julien Montcouquiol - Musiques : Audio Network - Archives : INA.Documentation. Cet épisode de Crime story a été préparé en puisant dans les archives du Parisien, avec l'aide de nos documentalistes, ainsi que dans celles de Nice Matin et l'Express. Nous nous sommes également appuyés sur un numéro du magazine de France 2 « Au bout de l'enquête » consacré à cette affaire. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Deuxième résolution d'empouvoirement de l'année: arrêter de dire merci et surtout à ce faux compliment sur notre belle "conservation" physique ! Un podcast Bababam Originals Ecrit par Hélène Vézier Retrouvez tous les épisodes de Madame Meuf ici. Première diffusion le 09/01/2025 Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
La Banque mondiale alerte sur un recul historique des investissements directs étrangers dans les pays émergents. L'Afrique n'est pas épargnée, avec des chutes marquées en Égypte, en Angola ou en Afrique centrale. Un phénomène inquiétant qui menace la croissance et les infrastructures. Décryptage. Les investissements directs étrangers (IDE) vers les pays émergents et en développement ont atteint en 2023 leur plus bas niveau depuis 2005. C'est le constat dressé par la Banque mondiale dans son dernier rapport. Ces flux de capitaux — injectés par des entreprises pour implanter usines, services ou projets — se sont limités à 435 milliards de dollars l'an dernier, soit à peine 2 % du PIB de ces pays. Un effondrement spectaculaire quand on sait qu'ils représentaient plus de 5 % du PIB en 2008. La tendance n'épargne pas les économies plus avancées, mais elle frappe avec particulièrement les pays en développement, qui dépendent fortement de ces flux pour financer leur croissance, leurs infrastructures ou leur transition énergétique. L'Afrique, première victime de la chute Le continent africain illustre à lui seul cette dynamique globale. L'Afrique du Nord a vu ses IDE chuter de 12 % en 2023, et l'Afrique centrale de 17 %. L'Égypte, longtemps l'un des plus gros récipiendaires d'IDE sur le continent, a connu une baisse brutale après un pic en 2022. Et l'Angola affiche un signal encore plus inquiétant : les flux d'IDE y sont devenus négatifs, c'est-à-dire que les filiales étrangères retirent plus de capitaux qu'elles n'en investissent. Malgré ce tableau sombre, quelques exceptions subsistent. La Mauritanie, par exemple, continue d'attirer de grands projets liés à l'hydrogène vert. Mais ce sont des cas isolés dans un contexte global de désengagement. Des causes multiples : incertitude, dette et inertie politique Pourquoi une telle désaffection ? La Banque mondiale identifie plusieurs freins majeurs. D'abord, l'incertitude géopolitique, qui a atteint son niveau le plus élevé depuis le début du siècle, refroidit considérablement les investisseurs. Ensuite, la montée du protectionnisme sape les fondements du commerce international. À cela s'ajoute la dette publique élevée dans de nombreux pays en développement, qui réduit la marge de manœuvre pour accueillir et sécuriser des investissements. Enfin, la stagnation des réformes structurelles dans plusieurs économies émergentes empêche toute amélioration durable du climat des affaires. Face à ces défis, la Banque mondiale propose une série de recommandations. Premièrement, améliorer le climat des affaires et lever les obstacles réglementaires afin de restaurer l'attractivité des pays concernés. Deuxièmement, favoriser les projets qui génèrent une forte valeur ajoutée locale et de l'emploi. Mais surtout, l'institution insiste sur la nécessité de renforcer la coopération internationale : relancer les traités commerciaux, réduire les barrières aux échanges et accompagner les réformes à travers une aide technique et financière. Car derrière ces flux de capitaux, il y a plus qu'un enjeu économique. Attirer les investissements, c'est donner une chance au développement, à la transition énergétique, et à la stabilité sociale de ces pays.
Ces derniers jours, les socialistes ont désigné leur nouveau secrétaire national : Olivier Faure, réélu pour un quatrième mandat. Réuni à Nancy, le PS a tenté de fixer la ligne du parti pour les mois à venir. Un congrès passé quelque peu inaperçu et pourtant très important pour la gauche. Car depuis la fin du XIXe siècle, les congrès des socialistes ont souvent marqué la politique française. Cette semaine, La Loupe revient sur quatre grandes dates, avec l'historien Gilles Candar et Mattias Corrasco, journaliste au service Politique de L'Express. Retrouvez tous les détails de l'épisode ici et inscrivez-vous à notre newsletter. L'équipe : Présentation et écriture : Charlotte BarisMontage et réalisation : Jules Krot et Sébastien SalisCrédits : PS, Le Parisien, Public Sénat, INA Musique et habillage : Emmanuel Herschon / Studio Torrent Logo : Jérémy CambourPour nous écrire : laloupe@lexpress.fr Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Le Thunder n'est plus qu'à un match du titre. SGA, Jalen Williams, Chet Holmgren... Le noyau de l'équipe est très jeune et l'avenir de l'équipe d'Oklahoma semble radieux. Au point d'installé une dynastie ? Qui peut arrêter OKC sur les prochaines années ? La possible venue de Kevin Durant aux Spurs pour rejoindre Victor Wembanyama peut-elle rebattre les cartes ?
Deuxième soirée Planète Rap de Attaching Boy ! Avec Kany, Manise, Cadie Nelva...
durée : 01:57:33 - Fictions / Théâtre et Cie - Première et deuxième journée
durée : 01:57:33 - Fictions / Théâtre et Cie - Première et deuxième journée
(Deuxième et dernier épisode) Août 1983. Comme chaque année à cette période, le festival d'Avignon bat son plein. Lucien André, Geneviève Dupont et leurs enfants font escale au Sofitel de la ville. Dans la nuit, les petits sont réveillés par des cris. Les policiers arrivent sur place et découvrent un massacre. Sept morts, parmi lesquels des clients et des employés de l'hôtel. Ils aperçoivent aussi un homme, qui tente de s'enfuir par l'arrière du bâtiment…Dans Crime story, la journaliste Clawdia Prolongeau raconte cette enquête avec Damien Delseny, chef du service police-justice du Parisien.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Ecriture et voix : Clawdia Prolongeau et Damien Delseny - Production : Thibaults Lambert, Clara Grouzis et Anaïs Godard - Réalisation et mixage : Pierre Chaffanjon - Musiques : Audio Network.Documentation. Cet épisode de Crime story a été préparé en puisant dans les archives du Parisien, avec l'aide de nos documentalistes, ainsi que dans les journaux du Monde, du Dauphiné Libéré et dans l'émission « L'heure du crime » sur RTL. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:57:37 - Samedi fiction - À la recherche d'un chez-soi quelque part en Europe. - réalisation : Laurence Courtois
durée : 00:57:37 - Samedi fiction - À la recherche d'un chez-soi quelque part en Europe. - réalisation : Laurence Courtois
durée : 00:14:55 - Journal de 12h30 - Deuxième jour de guerre ouverte après l'attaque aérienne massive d'Israël, baptisée "Rising Lion", notamment contre les installations nucléaires et militaires iraniennes. - invités : Clément Therme Chargé d'enseignement à l'Université Paul Valéry de Montpellier et à Sciences Po Paris
durée : 00:14:55 - Journal de 12h30 - Deuxième jour de guerre ouverte après l'attaque aérienne massive d'Israël, baptisée "Rising Lion", notamment contre les installations nucléaires et militaires iraniennes. - invités : Clément Therme Chargé d'enseignement à l'Université Paul Valéry de Montpellier
J'ai l'intime conviction qu'une société qui va bien est une société qui prend particulièrement bien soin des mères.Je sais que la France a encore un long chemin devant elle avant d'arrêter d'être maltraitante envers les mères. En attendant, nous avons la chance d'avoir des femmes qui se battent pour mettre en lumière les enjeux de santé mentale. C'est ce que fait Elise Marcende, la directrice de l'association Maman Blues, qui est une bouée de sauvetage pour les mères en détresse.Avant de venir en aide aux autres, Élise a elle-même traversé l'enfer d'un accouchement émotionnel violent il y a 15 ans. Sa maternité ne s'est pas faite dans la joie ni dans la douceur, mais à travers une dépression anténatale et une dépression post-partum sévères, qui l'ont menée jusqu'à l'hospitalisation.Dans cet épisode, Élise nous raconte sans détour son entrée fracassante dans la maternité, le lien d'attachement briséavec sa fille à la naissance, et comment elle a peu à peu reconstruit sa vie. Ensemble, nous avons parlé de santé mentale périnatale, de solitude, de tabous encore trop présents… mais aussi de résilience et d'engagement.Aujourd'hui, à travers Maman Blues, Élise met toute son énergie pour que d'autres mères ne se sentent plus jamais seules face à leur souffrance. Un épisode fort, authentique, et porteur d'espoir.Lien utile : Maman Blues
Chaque mois, Luc Julia, co-inventeur de Siri et directeur scientifique de Renault, partage son analyse sans filtre de l'actualité tech dans Monde Numérique.À l'occasion de la sortie de son nouveau livre « IA générative, pas créative » (Éd. Cherche Midi), Luc revient sur les confusions sémantiques qui entourent l'intelligence artificielle. Pour lui, parler d'« IA créative » est une erreur fondamentale : ces outils ne font que régurgiter des données passées, sans jamais sortir du modèle qui les encadre. « Une IA ne crée pas, elle remâche ».Deuxième mise au point : le mythe de l'intelligence artificielle générale (AGI), que certains annoncent comme imminente. Luc Julia n'y croit pas une seconde. Reproduire une intelligence humaine alors qu'on en ignore encore la définition ? Un pur fantasme selon lui, alimenté par le storytelling de la Silicon Valley.Enfin, Luc alerte sur ce qu'il considère comme le vrai danger des IA : leur impact environnemental. Une requête ChatGPT, c'est l'équivalent de centaines de requêtes classiques, avec une consommation énergétique et hydrique vertigineuse. Il plaide pour une prise de conscience collective… et l'abandon progressif des modèles géants au profit d'outils plus légers, plus spécialisés, et donc plus sobres.-----------
Assurances, conso, nouvelles technologies… "On en parle" vous oriente dans tout ce qui fait votre quotidien. Au programme aujourd'hui: 1. Médecin à domicile: à quel prix? 2. Deuxième service 3. Guichet: le barbecue, avec Benjamin Deschamps et Christophe Sifferlin
FATAL ERROR est une expérience sonore animée par Charlotte du Collectif Toute Seule. Entendable de minuit à mi-nouïe, de l'un dit à l'une dit. Sonorités entre reportages ou élucubrations sur-irréalistes. Deuxième partie de la pourchasse de l’artiste M Popp et de son buffet garni. « Jamais sans ma quiche « . Après l’accrossage vient le vernissage où […] L'article À la poursuite de l’artiste – « Jamais sans ma quiche » est apparu en premier sur Radio Campus Tours - 99.5 FM.
Si vous deviez bâtir une franchise NBA autour d'un meneur star, qui choisiriez-vous ? Shai Gilgeous-Alexander, leader des Thunder et MVP en puissance, ou Tyrese Haliburton, maestro des Pacers et maître du collectif ? Analyse des profils, comparaison des styles, impact sur leurs équipes respectives…
Comment préparer l'aîné à ce bouleversement ? Quels comportements peuvent émerger et comment les gérer ? Dans ce podcast, découvrez une partie des coulisses de l'émission "Parlons-Nous" du 09 juin 2025. En compagnie de Caroline Dublanche, Paul Delair revient sur les témoignages et autres moments qui ont marqué le direct. Chaque soir, en direct, Caroline Dublanche accueille les auditeurs pour 2h30 d'échanges et de confidences. Pour participer, contactez l'émission au 09 69 39 10 11 (prix d'un appel local) ou sur parlonsnous@rtl.frDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
(Deuxième et dernier épisode) Le jeudi 28 janvier 1988, Michel Morandin et Claude Aiazzi, deux policiers, se rendent dans un hôtel de Toulon (Var) pour une opération de routine. Ils enquêtent sur un règlement de compte entre proxénètes.Alors qu'ils se dirigent vers une chambre, ils sont tout à coup touchés par plusieurs balles. Le tireur sort dans le couloir, abat Michel Morandin avec froideur puis s'enfuit. À Toulon comme à Marseille, des centaines de policiers se mettent à la recherche du fugitif à l'aide d'une simple photo et d'un surnom, « Dédé ». Dans Crime story, la journaliste Clawdia Prolongeau raconte cette enquête avec Damien Delseny, chef du service police-justice du Parisien.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Ecriture et voix : Clawdia Prolongeau et Damien Delseny - Production : Pénélope Gualchierotti et Orianne Gendreau - Réalisation et mixage : Julien Montcouquiol - Musiques : Audio NetworkDocumentation. Cet épisode de Crime story a été préparé en puisant dans les archives du Parisien, avec l'aide de nos documentalistes, ainsi que dans les journaux du Monde. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
De l'Afrique aux Amériques en passant par la Caraïbe, les œuvres de 150 artistes noirs sont montrées en 2025 au Centre Pompidou à Paris. L'exposition s'appelle Paris Noir, circulation artistique et luttes anticoloniales et l'onde de choc qu'elle suscite n'a d'égal que son succès public. Un public renouvelé, curieux de découvrir des artistes des années 50 aux années 2000... dont les œuvres ont rarement été diffusées en France. Une exposition mais aussi un salon de lecture auxquels RFI et la Bibliothèque-archives Bernard Binlin Dadié se sont associés en écho à Paris Noir. En complicité avec Franck Hermann Ekra, critique d'art et curateur, nous recevons la scénariste Marguerite Abouet, le plasticien Hamedine Kane, l'écrivain Mohamed Mbougar Sarr, le comédien Sidiki Bakaba, le metteur en scène Koffi Kwahulé et la réalisatrice Bintou Diarra.Dès l'entrée de l'exposition, la première image inscrit l'exposition dans l'histoire des luttes anticoloniales dont Paris est l'un des carrefours. En référence à la capacité d'agir des Africains dans la capitale de l'A.O.F et A.E.F (Afrique occidentale Française et Afrique équatoriale française), dans l'après Deuxième Guerre mondiale. Sous la forme d'un immense collage, des couvertures emblématiques des livres de la maison d'édition Présence Africaine fondée par Alioune Diop… que ce soit le Docker noir de Sembene Ousmane, Nation nègre et culture de Cheikh Anta Diopou encore Un nègre à Paris de Bernard Dadié. Expression d'une conscience africaine multiforme, l'œuvre de Bernard Dadié est une œuvre émancipatrice, un contre-récit dont les écrits de prison sont un véritable journal de bord de la lutte pour la liberté et la dignité en Côte d'Ivoire, dès la fin des années 40, puisque Dadié a été arrêté en 1949 avec ses camarades militants dont Matthieu Ekra, le grand-père de Franck Hermann Ekra, initiateur de ce salon de lecture.Tous nos remerciements à Alicia Knock, commissaire de l'exposition Paris Noir, circulation artistique et luttes anticoloniales ainsi qu'aux équipes du Centre Pompidou et aux équipes du Centre Wallonie Bruxelles.Découvrir l'expositionÉcoutez le premier épisode proposé par RFI et la Bibliothèque-archives Bernard Binlin Dadié
Avec le soutien d'UniversCiné, la plateforme de streaming éclectique et 100 % française. Retrouvez des nouveautés à la demande, des classiques et des exclusivités dans l'abonnement UniversCiné, ainsi que la sélection de films de CAPTURE MAG. Rendez-vous sur UniversCiné : https://bit.ly/CmXUcCAPTURE MAG - LE PODCAST : ÉPISODE 42, deuxième partie sur DAVID LYNCH : Notre vaillante équipe composée de Rafik Djoumi, Julien Dupuy, Érich Vogel et Stéphane Moïssakis se réunissent pour continuer d'explorer la carrière de David Lynch, de 1987 à 1993. Cette fois, prudence est de mise, ils ont conscience d'entrée de jeu qu'ils ne vont traiter que trois pans de la carrière du cinéaste, mais pas des moindres : BLUE VELVET, la Palme d'Or SAILOR ET LULA et le phénomène télévisuel TWIN PEAKS, et le film TWIN PEAKS - LES 7 DERNIERS JOURS DE LAURA PALMER. Et rien que ça, ça les occupe pendant trois bonnes heures !Retrouvez toutes nos émissions sur http://www.capturemag.frPour nous soutenir, il y a deux adresses :PATREON : https://www.patreon.com/capturemagTIPEEE : https://www.tipeee.com/capture-magLISEZ CAPTURE MAG !Toutes nos revues sont disponibles dans les librairies, les magasins de produits culturels et sites marchands.Akileos : https://bit.ly/AkilsCMCapture Mag est sur LETTERBOXD : https://letterboxd.com/CaptureMag/00:00 BLUE VELVET56:52 SAILOR & LULA1:33:50 TWIN PEAKSEn MP3 sur Acast : https://bit.ly/3v6ee7sSur SPOTIFY : https://spoti.fi/3PJYnF3Sur DEEZER : https://bit.ly/2wtDauUSur APPLE podcasts : https://apple.co/2UW3AyO#twinpeaks #redroom #nicolascage Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
« Les entreprises françaises sont trop frileuses en Afrique, elles doivent se réengager sur le continent », déclare Étienne Giros, le patron des opérateurs français en Afrique, qui publie 54 nuances d'Afrique aux éditions Télémaque. Étienne Giros a travaillé 23 ans dans le groupe Bolloré. Depuis onze ans, il préside le CIAN, l'association professionnelle qui regroupe les entreprises françaises opérant en Afrique. Il salue la résilience des quelque 5 000 opérateurs français qui travaillent toujours en Afrique et qui emploient 700 000 personnes. Mais il les invite à plus d'audace. Étienne Giros est le Grand invité Afrique de Christophe Boisbouvier. RFI : Emmanuel Macron et Jean-Luc Mélenchon ne sont pas d'accord sur tout, comme chacun le sait, mais ils sont d'accord pour dire que les entreprises françaises en Afrique profitent trop d'une situation de rente et qu'elles n'innovent pas assez. Pourquoi cela vous met-il en colère ?Étienne Giros : Cela m'agace parce que cela ne correspond pas à la réalité. Qu'est-ce que c'est qu'une rente ? Une rente, c'est bénéficier d'une situation de monopole qu'on va créer soi-même pour obtenir des tarifs élevés et ne pas développer des progrès techniques, etc. Les grands groupes français et les entreprises de taille moyenne, qui sont en France, ont peut-être eu des situations de rente en Afrique il y a cinquante ou soixante ans. Maintenant, rien n'est plus faux que cela. Les entreprises françaises sont soumises à la concurrence. Je prends un exemple d'un groupe que je connais bien : l'ancien groupe Bolloré qui maintenant s'appelle en Afrique AGL. Il est en concurrence avec des opérateurs chinois, dubaïotes et originaires d'autres régions du monde sur les ports. Le groupe Orange, qui est très important en Afrique dans la téléphonie, est en concurrence avec sept ou huit opérateurs mondiaux. S'il ne performe pas en qualité et s'il n'a pas les bons prix, je peux vous dire qu'il sera battu. C'est donc une erreur de croire que nous sommes en position de monopole.Est-ce que la compagnie Air France ne profite pas de sa position de monopole sur certaines lignes pour imposer des billets d'avion très très chers ?J'avoue que cela peut arriver et que les billets sont chers. C'est une question souvent de permis et d'autorisation de slots [les créneaux horaires donnés à une compagnie aérienne, NDLR] qui doivent être donnés par les autorités africaines. On appelle de nos vœux l'ouverture de ces marchés, car la communication entre les pays africains est très importante et effectivement c'est trop cher.Vous dites que les entreprises françaises restent très présentes en Afrique. Elles sont plus de 5 000, elles emploient 700 000 Africains pour un chiffre d'affaires de combien ?Cent milliards d'euros, ce qui est beaucoup plus que tout le volume d'affaires que nous faisons avec les États-Unis ou la Chine.Mais vous dites aussi, que depuis le Covid-19 de 2020, vous voyez des chefs d'entreprise français qui préfèrent renoncer à leurs projets en Afrique. Pourquoi ?Ils renoncent ou ralentissent parce qu'ils sont confrontés à un ressenti du risque africain qui est élevé. Le départ de la France dans des conditions compliquées, on va dire cela comme ça, du Sahel, les affaires de conformité avec le risque réputationnel ou le risque d'être traîné devant les tribunaux, les questions de la corruption qui perdurent et la petitesse des marchés…Tout cela fait que les entreprises françaises y réfléchissent à deux fois avant d'aller sur place. Notre travail, c'est de faire baisser le ressenti du risque en disant : « Non, l'Afrique n'est pas plus risquée qu'ailleurs ». Deuxièmement, en disant « Petit marché deviendra grand, une classe moyenne en Afrique arrive, la croissance démographique est là et ce continent est ouvert sur le monde ».Vous racontez dans votre livre l'histoire d'une entreprise française implantée en Afrique qui réclamait son argent. Le ministre des Finances de l'État concerné lui a répondu : « Je vous paye si vous me donnez 10% en dessous de la table ». C'est ce qu'on appelle du chantage. Comment cette entreprise française s'en est-elle tirée ?Elle s'en est tirée parce que c'était un grand groupe qui avait les reins solides. Elle a attendu. Elle a discuté avec les bailleurs de fonds. Elle a rendu public, non pas dans la presse mais à certaines personnalités, cet état de fait. Finalement au bout d'un an, un an et demi, ça a été réglé. Mais une entreprise de taille moyenne qui ne peut pas tenir un an, un an et demi et qui a les emplois en cause, va quelquefois, soit être obligée de partir, soit être obligée de céder. Tout ça pour dire que je sais que peut-être certains ne vont pas être d'accord avec ce que je vais dire. Et je pense que les entreprises dans les affaires de corruption sont davantage victimes qu'opératrices.Un groupe français bien connu, le groupe Bolloré, pour lequel vous avez travaillé, est visé par la justice française qui le soupçonne d'avoir acquis frauduleusement la gestion des ports de Lomé et de Conakry. Est-ce que le groupe est plutôt victime ou plutôt coupable ?Je ne vais pas prendre parti sur ce dossier d'autant que la justice n'a pas encore rendu ses conclusions. Je ne peux pas répondre à votre question.Cette affaire judiciaire n'est-elle pas la raison pour laquelle Vincent Bolloré a vendu toutes ses activités africaines en 2022 à l'armateur italo-suisse MSC ?Je ne suis pas mandaté pour expliquer les motivations du groupe pour son départ d'Afrique dans les domaines du transport. Je ne crois pas que cela soit la raison. Je crois que c'est simplement un arbitrage d'actifs. Et ce groupe, qui est un groupe puissant, qui évolue beaucoup, a décidé d'orienter sa stratégie de manière différente et de quitter les transports, puisqu'il a vendu, certes, ses activités de transport en Afrique à MSC, mais il a aussi vendu ses activités de transport monde à CMA CGM. Ce n'est pas l'Afrique qui était visée. Je pense que c'était simplement une réorientation stratégique. D'ailleurs, ce groupe conserve sa présence en Afrique dans le domaine des médias. Canal+, qui appartient à ce groupe, est en cours d'acquisition du grand opérateur de télévision payant sud-africain qui s'appelle Multichoice, une énorme acquisition sur toute l'Afrique australe. Deuxièmement, il déploie la fibre dans une dizaine de pays. Je pense donc que ce n'est pas un signe de désintérêt de l'Afrique, c'est plutôt une réorientation stratégique.
(Deuxième et dernier épisode) L'après-midi du mardi 12 avril 1960, Jean-Pierre Peugeot, président des usines automobiles du même nom, joue au golf à Saint-Cloud (Hauts-de-Seine), un lieu fréquenté par la haute bourgeoisie parisienne. Ses deux petits-fils, Jean-Philippe, 7 ans, et Eric, 4 ans, s'amusent juste à côté, dans le jardin d'enfants rattaché.Vers 17 heures, Jean-Pierre Peugeot s'aperçoit qu'Eric est introuvable. Deux hommes l'ont enlevé sous les yeux des autres enfants. Les adultes, eux, n'ont rien vu. En guise de rançon, les kidnappeurs exigent 50 millions de francs, soit près d'un million d'euros.Dans Crime story, la journaliste Clawdia Prolongeau raconte cette enquête avec Damien Delseny, chef du service police-justice du Parisien.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Ecriture et voix : Clawdia Prolongeau et Damien Delseny - Production : Pénélope Gualchierotti et Orianne Gendreau - Réalisation et mixage : Théo Albaric - Musiques : Audio Network - Archives : INA.Documentation. Cet épisode de Crime story a été préparé en puisant dans les archives du Parisien, avec l'aide de nos documentalistes, ainsi que dans les journaux du Monde et de Paris Match. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Ecoutez Le 2ème œil de Philippe Caverivière du 30 mai 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.