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(Deuxième épisode) Le dimanche 28 septembre 1986, à 17h30, Cyril et Alexandre, deux jeunes garçons de 8 ans, se rendent tous les deux à vélo au « talus » de Montigny-lès-Metz, en Moselle. Haut de vingt mètres, c'est un lieu entouré par des voies ferrées, des garages à train entreposés et des bennes à déchets de l'imprimerie voisine. Les enfants du coin aiment y jouer.Alors que les deux garçons avaient promis de ne pas rentrer tard, ils ne sont toujours pas de retour chez eux à 19h. Leurs parents donnent l'alerte et les recherches commencent. Moins de trente minutes plus tard, les corps de Cyril et Alexandre sont retrouvés le long d'une voie de garage de la SNCF, gisant sur le dos et violemment frappés au crâne. Dans Crime story, la journaliste Clawdia Prolongeau raconte cette enquête avec Damien Delseny, chef du service police-justice du Parisien.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Ecriture et voix : Clawdia Prolongeau et Damien Delseny - Production : Thibault Lambert, Clara Garnier-Amouroux et Pénélope Gualchierotti - Réalisation et mixage : Julien Montcouquiol - Musiques : Audio Network - Archives : INA.Documentation.Cet épisode de Crime story a été préparé en puisant dans les archives du Parisien, avec l'aide de nos documentalistes. Nous avons également utilisé les ressources suivantes : Rachel Noël, Aymeric Robert. « Trente ans après, le double meurtre de Montigny-les-Metz reste sans coupable », France Bleu. 2016.Clément Lhuillier, Cédric Lang-Roth. « Double meurtre de Montigny-lès-Metz : Chantal Beining est morte », France Bleu. 2019.Jean-Michel Dumay. « Patrick Dils assure que ses aveux de 1987 lui ont été suggérés par la police », Le Monde. 2002.Ph. B. « Patrick Dils : les terribles aveux soutirés à un apprenti cuisinier », Le Monde. 2006.Afp. « Double meurtre de Montigny-lès-Metz : Leclaire mis en examen pour meurtre », Le Monde. 2014. Violaine Jaussent. « Procès Heaulme : l'ombre du double meurtre plane toujours sur Montigny-lès-Metz », Franceinfo. 2017.Clément Parrot. « "C'est un peu comme le tournage d'un film" : Heaulme, Rançon, Daval... Les étapes clefs d'une reconstitution judiciaire », Franceinfo. 2019.« Double meurtre de Montigny-lès-Metz : revivez en direct le douzième jour du procès de Francis Heaulme », Le Républicain Lorrain. 2017.« 28 septembre 1986 : les corps de Cyril Beining et Alexandre Beckrich, âgés de 8 ans, sont … », L'Est Républicain. 2018.Dominique Delpiroux. « 28 ans après le double meurtre, la piste d'un troisième homme » , La Dépêche. 2014.« Patrick Dils, marathon pour un acquittement », Faites entrer l'accusé. 2003. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Sur le réseau social LinkedIn, ces derniers temps, existe une tendance qui se généralise : beaucoup de publications surfent sur l'engouement pour l'intelligence artificielle. Jusque là, rien d'étonnant. Mais ce qui m'interpelle, c'est la façon dont certains en profitent pour vendre littéralement une promesse un petit peu trop belle pour être vraie. Selon eux, grâce à l'intelligence artificielle, créer sa propre start-up serait devenu aussi simple que de commander une pizza. Plus besoin d'investisseurs, plus besoin de patron, plus besoin de passer par les grandes plateformes numériques, et plus besoin de lever des millions. Avec son ordinateur portable et les bons outils, n'importe qui pourrait donc lancer son entreprise depuis son salon et toucher le monde entier. Evidemment, ce genre de discours fait rêver. Mais, attention, ce rêve peut rapidement devenir un mirage. Voici pourquoi : première promesse, plus besoin d'argent pour se lancer. C'est vrai que l'intelligence artificielle permet de faire beaucoup de choses sans passer par une agence digitale ou une équipe entière (créer un logo, rédiger des textes, créer un petit site internet tout seul). Mais, attention, ces outils reposent sur des infrastructures coûteuses et dès que l'activité prend un petit peu d'ampleur, il faut payer pour avoir plus de serveurs, pour un service client et pour du marketing. Donc démarrer coûte peut-être moins cher qu'avant, mais cela ne veut pas dire que c'est gratuit. Les frais n'ont pas disparu, ils arrivent juste un peu plus tard. Deuxième promesse, on peut toucher le public sans aucune barrière. Aujourd'hui, il est plus facile de publier une vidéo sur Tik Tok ou un post sur Instagram, mais cela ne garantit pas que votre contenu soit vu. Ces plateformes fonctionnent avec des algorithmes qui choisissent eux même ce qu'ils montrent, ou pas. Résultat : sans stratégie et sans budget publicitaire, on parle souvent dans le vide. Puis, troisième promesse, on n'a plus besoin de lever des fonds pour réussir. Certains disent même qu'avec un bon prompte, c'est à dire une bonne consigne donnée à l'intelligence artificielle, un ordinateur et une part de pizza, on pourrait conquérir le marché. Mais, dans les faits, faire grandir une entreprise demande toujours du support client, des serveurs fiables, des outils de gestion et de la conformité juridique, et une équipe. Bref, il faut des ressources. Et même les start ups les plus célèbres ont fini par lever des millions après leur lancement. 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Merci pour votre écoute Pour écouter Classic 21 à tout moment i: https://www.rtbf.be/radio/liveradio/classic21 ou sur l'app Radioplayer Belgique Retrouvez tous les épisodes de La chronique économique sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/802 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Découvrez nos autres podcasts : Le journal du Rock : https://audmns.com/VCRYfsPComic Street (BD) https://audmns.com/oIcpwibLa chronique économique : https://audmns.com/NXWNCrAHey Teacher : https://audmns.com/CIeSInQHistoires sombres du rock : https://audmns.com/ebcGgvkCollection 21 : https://audmns.com/AUdgDqHMystères et Rock'n Roll : https://audmns.com/pCrZihuLa mauvaise oreille de Freddy Tougaux : https://audmns.com/PlXQOEJRock&Sciences : https://audmns.com/lQLdKWRCook as You Are: https://audmns.com/MrmqALPNobody Knows : https://audmns.com/pnuJUlDPlein Ecran : https://audmns.com/gEmXiKzRadio Caroline : https://audmns.com/WccemSkAinsi que nos séries :Rock Icons : https://audmns.com/pcmKXZHRock'n Roll Heroes: https://audmns.com/bXtHJucFever (Erotique) : https://audmns.com/MEWEOLpEt découvrez nos animateurs dans cette série Close to You : https://audmns.com/QfFankxDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Épisode 133 du Fantasy Podcasque, propulsé par la grande famille de Trop Fort Pour La Ligue!Deuxième partie de notre spécial repêchage accompagné de Jay,FX et ETN! Les boys mettent la table pour les équipes de la NFC à l'approche du repêchage de la NFL qui arrive à grands pas. Un autre gros show, LET'S GOOOO!!!
Google: le monopoleur compte porter la décision en appel. Maisons Canada: pas aussi bête que son nom! Discussion économique avec Francis Gosselin, économiste. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qubPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
L’humoriste Mike Beaudoin présente son spectacle « Acharné » dont la première médiatique se déroulera le 4 novembre à Québec et le 25 novembre à Montréal. Entrevue avec Mike Beaudoin, humoriste. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Désastre du REM | Débat des chefs | Canadiens | Katy Perry dans l’espace | Deuxième meurtre en moins de 48 heures à Montréal | Dans cet épisode intégral du 17 avril, en entrevue : Entrevue avec Bruno Lebeau, étudiant français en droit politique et résident temporaire en situation critique. Entrevue avec Dominic Aubry, coordonnateur du secteur transport terrestre au Syndicat canadien de la fonction publique (SCFP). Entrevue avec Nathalie Ouellette, astrophysicienne et directrice adjointe de l’Institut de recherche sur les exoplanètes (IREx) à l’Université de Montréal. Une production QUB Avril 2025Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Deuxième meurtre en moins de 48 heures à Montréal. Des coups de feu tirés sur une pâtisserie dans la Petite-Italie. Un homme accusé d’être entré chez des femmes pour les agresser. Segment avec Maxime Deland, journaliste à l’agence QMI. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub.Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Quel bilan pour les français cette saison ? Que faut-il retenir de la saison de Wembanyama ? Sarr et Risacher ont-ils réussi à s'imposer pour leur première saison ? Yabusele a-t-il réussi son retour en NBA ? Basket Time fait le point sur tous les français de NBA
L'intelligence artificielle capte toutes les attentions, mais dans l'ombre, une autre révolution technologique se prépare. L'informatique quantique, encore méconnue du grand public, pourrait bien être le véritable tremplin du progrès pour les décennies à venir. Et ce n'est pas Google qui dira le contraire. En ce 14 avril, Journée mondiale de l'informatique quantique, la firme de Mountain View a partagé sa vision du futur : dans 10 à 15 ans, nos ordinateurs pourraient résoudre des problèmes aujourd'hui insolubles, propulsant l'humanité vers une nouvelle ère technologique. Trois domaines majeurs sont concernés par cette promesse.D'abord, l'énergie. Grâce à la puissance de calcul phénoménale des ordinateurs quantiques, la maîtrise de la fusion nucléaire pourrait devenir réalité. Une énergie quasi illimitée, produisant plus qu'elle ne consomme. Pour Google, les algorithmes quantiques permettront de simuler plus efficacement les réactions de fusion soutenues, jusque-là hors de portée des machines classiques. Deuxième promesse : les batteries. Le quantique pourrait aider les ingénieurs à concevoir de nouveaux matériaux, optimisant autonomie et performance, un enjeu crucial dans notre transition énergétique.Enfin, la santé. En collaboration avec le laboratoire Boehringer Ingelheim, Google a déjà montré des résultats prometteurs : les simulations quantiques des cytochromes P450, enzymes clés dans la transformation des médicaments par le corps, s'avèrent plus précises. À terme, cela pourrait accélérer le développement de traitements plus efficaces. Amazon, Microsoft, Google : les géants américains sont dans la course. Reste à savoir si l'Europe saura se positionner dans cette révolution silencieuse… mais potentiellement plus bouleversante que celle de l'intelligence artificielle. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Deuxième jour de la tournée en Asie du Sud-est pour Xi Jinping... Un objectif : positionner la Chine comme un partenaire fiable en contraste avec les Etats-Unis. Le président chinois a commencé hier par le Vietnam. Dans le cadre de la guerre commerciale avec Washington, Pékin cherche à trouver des débouchés.
Fabriquer une arme nucléaire, ce n'est pas simplement assembler des composants explosifs. C'est une des entreprises technologiques, scientifiques et industrielles les plus complexes jamais réalisées par l'être humain.La première grande difficulté, c'est la matière fissile. Deux substances peuvent être utilisées dans une bombe : l'uranium hautement enrichi (à plus de 90 % d'uranium 235) ou le plutonium 239. Or, dans la nature, l'uranium est présent à plus de 99 % sous forme d'uranium 238, inutile pour une bombe. Enrichir l'uranium, c'est donc séparer les isotopes, ce qui est extrêmement difficile.Les techniques d'enrichissement, comme la centrifugation gazeuse, demandent des infrastructures gigantesques, un contrôle précis, des matériaux résistants à des contraintes extrêmes, et surtout… du temps. C'est pourquoi la plupart des pays ne peuvent tout simplement pas le faire en secret.Deuxième option : le plutonium. Lui n'existe presque pas à l'état naturel. Il faut le produire dans un réacteur nucléaire spécifique, puis le séparer chimiquement du combustible irradié. Là encore, c'est une technologie très avancée, nécessitant des installations industrielles rares et surveillées.Ensuite vient le défi de l'implosion. Une bombe nucléaire ne se contente pas de faire exploser la matière fissile : il faut la comprimer de manière quasi parfaite, avec des explosifs classiques disposés autour du noyau fissile pour provoquer une réaction en chaîne. Ce système, appelé "détonateur à implosion", doit fonctionner à la microseconde près. Le moindre défaut, et l'arme ne fonctionne pas.Autre obstacle : la miniaturisation. Si une bombe nucléaire pèse plusieurs tonnes et ne peut pas être transportée efficacement, elle perd tout intérêt militaire. Les véritables puissances nucléaires maîtrisent la miniaturisation de leurs têtes nucléaires pour les placer sur des missiles balistiques. Cela nécessite une maîtrise avancée des matériaux, du design et des simulations nucléaires complexes.Enfin, il y a le secret et la non-prolifération. Le Traité sur la non-prolifération des armes nucléaires (TNP) limite très strictement l'accès aux technologies sensibles. De plus, les agences de renseignement internationales, comme l'AIEA, surveillent en permanence les installations suspectes.Bref, fabriquer une arme nucléaire, c'est réunir des compétences en physique nucléaire, en chimie, en ingénierie de précision, en explosifs, en logistique industrielle… tout en échappant à la surveillance internationale. C'est un véritable casse-tête technologique et politique. Et c'est précisément cette difficulté qui a permis, jusqu'à présent, de limiter le nombre de puissances nucléaires dans le monde. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:35:25 - CO2 mon amour - par : Denis Cheissoux - Retour avec nos Chanteurs d'oiseaux en baie de Somme, dans leur milieu naturel entre la Manche et la forêt... - réalisé par : Juliette GOUX
(Deuxième et dernier épisode) Lundi 15 mai 2000, en fin d'après-midi, une professeure de droit allemande disparaît alors qu'elle traverse à vélo un bois de l'agglomération strasbourgeoise. Son mari l'attend pour 20h30 mais Ursula Brelowski ne vient pas au rendez-vous. Son corps inanimé est retrouvé le lendemain dans la forêt. La femme de 44 ans est allongée sur le ventre, à moitié dévêtue et lardée de plusieurs coups de couteau. L'absence de pantalon et de culotte ainsi que la brutalité de l'agression évoquent aux enquêteurs une affaire similaire. Mais au même moment, un individu surnommé « le Fantôme de Kehl » sème également la terreur à quelques kilomètres de là, de l'autre côté de la frontière franco-allemande…Dans Crime story, la journaliste Clawdia Prolongeau raconte cette enquête avec Damien Delseny, chef du service police-justice du Parisien.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Ecriture et voix : Clawdia Prolongeau et Damien Delseny - Production : Thibault Lambert et Pénélope Gualchierotti - Réalisation et mixage : Julien Montcouquiol - Musiques : Audio Network - Archives : INA, « Faites entrer l'accusé ».Documentation.Cet épisode de Crime story a été préparé en puisant dans les archives du Parisien, avec l'aide de nos documentalistes. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Assurances, conso, nouvelles technologies… "On en parle" vous oriente dans tout ce qui fait votre quotidien. Au programme aujourd'hui: 1. Des œufs de Pâques venus d'ailleurs 2. Deuxième service 3. Guichet: viva la pasta! Avec Luca Santoro et Stefanie Antelmi
Guest: Philip ILic, Founder Linkedin Ads agency KiinIn this episode, I speak with Phil,a seasoned LinkedIn ad specialist from Lisbon, who shares a groundbreaking LinkedIn ads framework poised to transform B2B marketing by 2025.We discuss the importance of high-quality content and understanding audience needs to create impactful posts that integrate organic and paid strategies. Phil introduces innovative ad formats, like thought-leader ads,which personalize engagement and improve conversion rates. We also cover the shifting dynamics of organic reach,emphasizing strategic ad sponsorship and performance metrics. As we dive into tools for data collection and automation,Phil highlights the synergy of inbound and outbound marketing tactics. This conversation is a treasure trove of insights for B2B marketers eager to master LinkedIn advertising in the evolving landscapeWhat's in this conversation between Philip and Mony?0:06 Introduction to LinkedIn Ads Framework1:33 The First Pillar: High-Quality Content7:13 Step Two: Boosting Your Best Posts10:19 Understanding Thought-Leader Ads19:01 Step Three: Audience Size and Budget22:10 Step Four: Engaging with Warm Outbound27:05 Final Thoughts and Success StoriesReferences:
Chaque mois, Luc Julia, co-inventeur de Siri et directeur scientifique de Renault, partage son analyse sans filtre de l'actualité tech dans Monde Numérique.Ce mois-ci, Luc pousse un double coup de gueule. D'abord contre l'engouement pour les générateurs d'images type ChatGPT, utilisés de manière irréfléchie par des millions d'utilisateurs qui livrent leurs photos personnelles… sans en mesurer les conséquences. Pour Luc Julia, cette appropriation massive d'images par les IA génératives pose de sérieux problèmes d'éthique, de vie privée — et ouvre la porte à des usages dangereux, comme les deepfakes.Deuxième motif d'inquiétude : l'impact écologique de ces outils, dont la production d'images engloutit une quantité colossale d'électricité et d'eau.Enfin, Luc Julia revient sur le lancement en demi-teinte d'Apple Intelligence. Si le coup marketing est brillant, l'exécution technique laisse à désirer, et Siri reste loin derrière ses concurrents. Apple, fidèle à sa stratégie de suiveur, semble miser sur une intégration opportuniste de ChatGPT… en attendant de reprendre la main.-----------
Le collectif de Houston est porté par deux joueurs talentueux : Alperen Sengun et Jalen Green. Qui doit être la star de l'équipe entre le pivot turc et l'explosif arrière des Rockets ?
Un policier kényan a été tué par un gang dans le département de l'Artibonite, en Haïti, le 25 mars. Il appartenait à la Mission multinationale d'appui à la sécurité (MMAS), une force de sécurité menée par le Kenya pour lutter contre les groupes armés en Haïti. C'est le deuxième Kényan à trouver la mort sur place depuis le déploiement de la MMAS en juin 2024. Neuf mois après, les Haïtiens déplorent son manque de résultats, alors que les gangs ne cessent de gagner du terrain.
Version longue et sans commentaire du "report" (re-port ;-) consacré au festival de St Nazaire.... édition 2024.
Comme chaque vendredi, Maxime Dupuis et Martin Mosnier débattent de l'actualité du football, dans le FC Stream Team. Au programme de ce podcast : la crise qui couve à Marseille avec des tensions entre le staff et les joueurs, quelle valeur donner au titre du PSG et que faut-il penser de la saison de Strasbourg ? Dans le premier sujet (04:55), nos journalistes analysent la semaine écoulée à Marseille où les tensions sont apparues entre les joueurs et l'entraîneur Roberto de Zerbi. Quelle issue pour le groupe ? Pour Martin Mosnier et Maxime Dupuis, le match contre Toulouse est un tournant. Deuxième sujet (17:50) : le Paris Saint-Germain, en passe de remporter son 13e titre de champion de France ce week-end. Quelle valeur lui accorder ? Eléments de réponse. Troisième thème de cette émission (27:06): l'enthousiasmante équipe de Strasbourg qui est toujours en lice pour se qualifier en Ligue des Champions la saison prochaine. Mais doit-on se réjouir du modèle qu'elle incarne ? Les avis sont partagés. Bonne écoute Présentation : Maxime Dupuis et Martin MosnierGraphisme : Marko Popovic (extraits en vidéo)Animation du quiz : Allan BreviRéalisation : Hadrien Hiault Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Assurances, conso, nouvelles technologies… "On en parle" vous oriente dans tout ce qui fait votre quotidien. Au programme aujourd'hui: 1. Comment accompagner les enfants qui vivent des expériences paranormales? 2. Deuxième service 3. Guichet: les salades
Dans cette édition :Des sachets de drogue retrouvés dans la cour de récréation d'une école maternelle de Seine-Saint-Denis, obligeant les parents à passer à proximité des dealers pour récupérer leurs enfants.Démantèlement d'un réseau très organisé de vols de téléphones portables dans des supermarchés du sud-ouest de la France, avec des préjudices estimés à plusieurs dizaines de milliers d'euros.Deuxième jour du procès d'une puéricultrice accusée du meurtre d'une petite fille de 11 mois à qui elle aurait fait ingérer du détergent, la directrice de la crèche témoignant de ses doutes sur les compétences de cette employée.Réaction de Marine Le Pen et de son parti après sa condamnation, avec une mobilisation sur le terrain et des recours judiciaires envisagés.Tensions diplomatiques entre la France et l'Algérie autour de la question des ressortissants algériens considérés comme dangereux sur le territoire français.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :Des sachets de drogue retrouvés dans la cour de récréation d'une école maternelle de Seine-Saint-Denis, obligeant les parents à passer à proximité des dealers pour récupérer leurs enfants.Démantèlement d'un réseau très organisé de vols de téléphones portables dans des supermarchés du sud-ouest de la France, avec des préjudices estimés à plusieurs dizaines de milliers d'euros.Deuxième jour du procès d'une puéricultrice accusée du meurtre d'une petite fille de 11 mois à qui elle aurait fait ingérer du détergent, la directrice de la crèche témoignant de ses doutes sur les compétences de cette employée.Réaction de Marine Le Pen et de son parti après sa condamnation, avec une mobilisation sur le terrain et des recours judiciaires envisagés.Tensions diplomatiques entre la France et l'Algérie autour de la question des ressortissants algériens considérés comme dangereux sur le territoire français.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Un an après le sacre de Victor Wembanyama, Zaccharie Risacher et Alexandre Sarr sont toujours en course pour obtenir le titre de rookie de l'année. Les deux français terminent très fort la saison en NBA ! Le sélectionneur doit-il les convoquer pour l'Euro ?
Fidèle à ses habitudes, la surfeuse landaise Jade Magnien est en Australie pour plusieurs mois pour s'entraîner et reprendre la compétition. À 22 ans, elle se confie sur ses objectifs cette saison, et sur ses rêves de Jeux Olympiques.
Send us a textMaîtriser les synonymes essentiels en français part 02
Deuxième semaine de campagne électorale qui commence : la fin de semaine a été marquée par certaines tensions dans les rangs du Parti conservateur du Canada de Pierre Poilièvre. Des sources conservatrices affirment en privé et en public que le chef fait fausse route avec sa stratégie de campagne et devrait cibler davantage les menaces de Donald Trump.
(Deuxième épisode) Dans une série exceptionnelle en six épisodes, Crime story revient sur l'une des affaires les plus énigmatiques de ces vingt dernières années : un quadruple meurtre incompréhensible en Haute-Savoie.Le mercredi 5 septembre 2012, sur le parking d'une petite route de montagne située à quelques kilomètres de Chevaline, une fusillade éclate. Quatre personnes sont tuées : un cycliste et trois membres d'une même famille à l'intérieur d'une voiture. Une fillette gît sur le sol, elle est entre la vie et la mort.Huit heures plus tard, alors que des dizaines de gendarmes sont sur place, une petite fille de quatre ans est découverte dans la voiture…Dans Crime story, la journaliste Clawdia Prolongeau raconte cette enquête avec Damien Delseny, chef du service police-justice du Parisien.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Ecriture et voix : Clawdia Prolongeau et Damien Delseny - Production : Raphaël Pueyo, Thibault Lambert, Clara-Garnier Amouroux, Clémentine Spiler, Pénélope Gualchierotti - Réalisation et mixage : Julien Montcouquiol - Musiques : Audio Network - Archives : INA.Documentation. Cet épisode de Crime story a été préparé en puisant dans les archives du Parisien, avec l'aide de nos documentalistes. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Deuxième chapitre du livre "Être ce qui est" qui comprend des discours d'Ajahn Chah recueillis et traduits par Paul Breiter, disciple d'Ajahn Chah, qui séjourna dans son monastère de nombreuses années. Traduction française réalisée par Jeanne Schut. Bibliographie: Ajahn Chah, Être ce qui est, éditions Sully (www.babelio.com/livres/Chah-Etre-ce-qui-est--Lessence-des-enseignements-du-B/1021509) Narration et réalisation: Bruno Léger Production: Les mécènes du Vieux Sage Que règnent la paix et l'amour parmi tous les êtres de l'univers. OM Shanti, Shanti, Shanti.
Comme chaque vendredi, Maxime Dupuis et Martin Mosnier débattent de l'actualité du football, dans le FC Stream Team. Au programme de ce podcast : les pistes de nos journalistes pour redonner de l'intérêt à la Ligue 1, les comptes de l'OL qui sont dans le rouge et le Brésil au plus mal. Dans le premier sujet, nos journalistes tentent donc de trouver des solutions pour ranimer la Ligue 1 que le PSG pourrait remporter dès ce week-end. Une de leurs idées ? Des Play-offs. Qu'en pensez-vous ? Deuxième sujet : l'Olympique Lyonnais a présenté des comptes dans le rouge. Comment en est-on arrivé là ? Eléments de réponse. Troisième thème de cette émission : Le Brésil qui vient de perdre 4-1 en Argentine. A un an de la Coupe du monde, que peut faire l'équipe sud-américaine pour remonter la pente ? Présentation : Maxime Dupuis et Martin MosnierGraphisme et animation du quiz : Quentin Guichard (extraits en vidéo)Réalisation : Hadrien Hiault Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Rubrique:nouvelles Auteur: marcel-boulenger Lecture: Daniel LuttringerDurée: 08min Fichier: 5 Mo Résumé du livre audio: « Elle avait changé de robe, sans en être pour cela mieux vêtue d'ailleurs, mais elle resplendissait, elle étincellait de bijoux ! Etranges bijoux arabes, pierreries splendides, émeraudes, saphirs, perles ! Qu'était-ce donc enfin que cette extraordinaire Mme Fédidjé ? Une aventurière ? Une Levantine ? Elle semblait riche et ne cachait guère sa fortune. Elle ne l'avait donc point volée. Une amoureuse en fuite, peut-être ?... Ah ! je le saurais, j'en perdais la tête !... » Cet enregistrement est mis à disposition sous un contrat Creative Commons.
Assurances, conso, nouvelles technologies… "On en parle" vous oriente dans tout ce qui fait votre quotidien. Au programme aujourd'hui: 1. Les cas de violence domestique en augmentation 2. Deuxième service 3. Guichet: les burgers, avec Léa Jarou et José Herrera
Ecoutez Vous allez en entendre parler avec Tom Lefevre du 25 mars 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Est-ce enfin l'explosion pour le numéro 1 de la dernière draft ? Sur ses 20 derniers matchs Zaccharie Risacher tourne à 14,1 PTS et 4,2 REB à 51% aux tirs et surtout 44% à 3-PTS ! Le français peut-il aller chercher le titre de rookie de l'année ?
Ecoutez Vous allez en entendre parler avec Tom Lefevre du 25 mars 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:20:02 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - En 1992, Stéphanie Katz s'entretenait avec Hubert Damisch, auteur de "L'origine de la perspective". Deuxième volet d'une série des "Chemins de la connaissance", intitulée "Cette illusion que la perspective invente". - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Hubert Damisch Philosophe français spécialisé en esthétique et histoire de l'art
Depuis quelques jours, le Niger est sur tous les fronts. Le 14 mars, Niamey a expulsé trois dirigeants chinois de sociétés pétrolières et le 17 mars, il a décidé de rompre avec la Francophonie. Une décision relayée ensuite par le Mali et le Burkina Faso. Pourquoi cette offensive souverainiste de la part du général Abdourahamane Tiani ? Quels sont les dessous de ces deux choix politiques de Niamey ? L'économiste français Olivier Vallée a été conseiller technique au Sahel, notamment au Niger, où il a gardé de contacts. Il répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : Pour expliquer leur rupture avec la francophonie, les trois pays de l'AES affirment que l'OIF est un « instrument politique téléguidé », sous-entendu par la France. Pourquoi ont-ils attendu jusqu'à 2025 pour rompre ? Olivier Vallée : Ce qui s'est passé, c'est que les trois pays de l'AES ont essayé, via l'OIF, de rétablir des relations plus paisibles avec Paris et qu'à chaque fois, ça a été, en particulier vis-à-vis du Niger, un refus catégorique. Deuxième facteur, en grande partie sous l'influence de l'Élysée, l'OIF a été peu à peu remplie à un certain nombre de postes de Franco-Sahéliens et les Franco-Sahéliens qui étaient dans l'OIF ont plutôt milité ouvertement contre les pays de l'AES. Est-ce que la réintégration dans l'OIF de la Guinée Conakry, c'était en octobre dernier, a provoqué un mécontentement chez les pays de l'AES ? Non, pas vraiment. C'était simplement la manifestation de plus qui tendait à prouver que les proscrits de la francophonie n'étaient pas les ennemis de la démocratie, mais plus spécialement ces trois pays de l'AES. À lire aussiLe Niger annonce son retrait de l'Organisation internationale de la FrancophonieLe Niger est aussi dans une relation exigeante avec son partenaire chinois, puisqu'il vient d'expulser trois Chinois responsables de la gestion de sa filière pétrolière. Pourquoi cette mesure d'une grande fermeté ? En matière pétrolière, les grands accords sur l'ensemble de la filière - que ce soient le pipe qui est géré par une filiale sino-béninoise, Wapco, la raffinerie Soraz qui est à Zinder, qui est une filiale sino nigérienne, et l'extraction même du pétrole, qui est assurée par la compagnie chinoise Cnpc -, ce sont des accords qui ont été passés principalement par l'administration Issoufou. Et pour ce qui est de Wapco, par un ministre du Pétrole qui s'appelle Bazoum, qui va devenir ensuite, on le sait, président. Donc je crois qu'il y avait un litige, ou plusieurs litiges, sur tous les contrats qui ont été signés pendant l'administration Issoufou et l'administration Bazoum, et que des incidents récents lors de la convocation de dirigeants chinois des filiales nigériennes auprès du ministre du Pétrole ont été d'une certaine façon la goutte de pétrole qui a fait déborder le baril et qui a poussé le gouvernement du Niger à cette décision d'expulsion dans un cadre juridique. Maintenant, le dossier est confié au ministre de la Justice qui va demander plusieurs audits, et en particulier un audit sur le fonctionnement de Wapco. Donc en fait, ce n'est pas une mesure individuelle contre ces trois cadres chinois, c'est une mesure contre l'État chinois qui ne verse pas assez de royalties et qui ne paye pas assez d'impôts ?C'est certainement un des éléments qui devraient apparaître à la suite des audits et de la révision des contrats. Et on est un petit peu dans le cadre de la reconquête du contrôle des ressources minières qu'on observe dans les autres pays de l'AES. Ce qui est plus particulier dans le cas nigérien, c'est que toutes les clauses des contrats passés avec les administrations précédentes sont restées secrètes et n'ont pas été transmises au gouvernement actuel du Niger. Donc l'identification du manque à gagner ou du déficit fiscal qu'aurait subi le Niger n'est pas encore établi. Et ces trois responsables chinois n'ont pas fait l'objet d'emprisonnement, de menaces de rétention. Ils ont été expulsés par une décision motivée. Le Niger a trop besoin de la Chine pour pouvoir jeter en prison des ressortissants chinois ? Je pense qu'il y a deux choses. Il n'est pas nécessaire pour le Niger d'arriver à une relation aussi tendue avec la Chine qu'avec la France et, deuxièmement, la prison, en particulier pour des ressortissants étrangers, ne fait pas partie des habitudes du Niger.À lire aussiAprès l'expulsion des dirigeants de trois sociétés pétrolières chinoises, Niamey cherche à éviter la brouille avec Pékin
Comme chaque vendredi, Maxime Dupuis et Martin Mosnier débattent de l'actualité du football, dans le FC Stream Team. Au programme de ce podcast : le cas d'Ousmane Dembélé (3:33), loin du niveau qu'il affiche avec le PSG ce jeudi lors de la défaite des Bleus en Croatie (2-0). Deuxième sujet : que Didier Deschamps doit-il changer, pour le quart de finale retour de Ligue des nations face aux Croates ? (11:11) Rendez-vous dimanche au Stade de France pour le second acte en question. Troisième thème de cette émission : Antoine Griezmann, et son avenir. (19:32) "Grizou" va-t-il s'envoler sous peu pour la MLS ? Le quiz vient clore ce nouvel opus du FC Stream Team (24:49).Présentation : Maxime Dupuis et Martin MosnierGraphisme et animation du quiz : Quentin Guichard (extraits en vidéo)Réalisation : Simon Farvacque Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:30:45 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - En 1998, "Les chemins de la musique" de France Culture consacrent une série de cinq numéros "La musique concrète a cinquante ans". Dans ce dernier épisode, Christian Rosset interroge les compositeurs François Bayle, Luc Ferrari et Daniel Teruggi sur les "attitudes concrètes aujourd'hui". - réalisation : Thomas Jost - invités : François Bayle Compositeur, créateur et ancien directeur du Groupe de recherche musicale (GRM); Luc Ferrari Compositeur; Daniel Teruggi
En Allemagne, les chrétiens démocrates allemands, qui ont gagné les élections du 23 février, s'en prennent, à la surprise générale, à certaines ONG qu'ils jugent trop critiques envers eux. Le parti du probable futur chancelier Friedrich Merz reproche à plusieurs associations d'avoir appelé à manifester contre lui, avant les élections, et cela avec l'argent des contribuables. Elles protestaient notamment contre les votes au Parlement qui avaient rassemblé les conservateurs et l'extrême droite. Mais ce projet a suscité un tollé. Les chrétiens démocrates allemands ont présenté un catalogue de plus de 500 questions au Bundestag pour savoir quelles associations reçoivent des fonds publics. Ils exigent des comptes à 16 organisations aussi connues que Greenpeace, Amnesty International et même Les Mamies contre l'extrême droite. Marianne a 72 ans. Elle milite depuis un an et demi pour ce mouvement présent dans quasiment tous les défilés pour la démocratie :« Ça a tout d'un acte de vengeance. Je crois que la CDU n'avait pas prévu les conséquences de son vote avec l'AfD au Bundestag, ni le niveau de protestation que cela allait susciter. En remettant en cause notre action, elle essaie d'intimider et de délégitimer les manifestations de protestation. »Pour cette grand-mère militante, historienne de profession, ces attaques contre son association sont infondées, et cela pour deux raisons : « Nous sommes une association non partisane et n'appartenons à aucun grand regroupement politique. Deuxièmement, nous ne recevons pas d'argent de l'État. »« Conservatisme radicalisé »En Allemagne, ce genre d'attaques contre les ONG et associations est d'habitude plutôt le fait de l'extrême droite. Que la droite conservatrice s'y mette est nouveau, et cela a suscité de très vives réactions. Cette politologue à l'université libre de Berlin y voit un parallèle avec ce qui se passe dans de nombreux autres pays :« Nous constatons, au sein de la CDU et surtout de la CSU bavaroise, un phénomène que nous pouvons observer dans d'autres pays. Chez les conservateurs britanniques, chez les républicains aux États-Unis, chez l' ÖVP, le parti populaire autrichien, c'est un conservatisme radicalisé. Cela consiste en une politique conservatrice qui se concentre très fort sur des sujets liés à la lutte culturelle et qui croit profiter d'attaques contre le wokisme de gauche, contre des minorités de gauche qui tyranniseraient la majorité. Nous rejouons ce qui se passe depuis quelques années aux États-Unis. Ce que nous voyons en Allemagne est une énorme augmentation de la polarisation affective, le rejet des militants des autres camps. »Cette affaire pourrait toutefois ne pas avoir de suites concrètes. Les sociaux-démocrates du SPD sont les seuls partenaires de coalition possible de la droite allemande et ils s'insurgent contre l'attitude de Friedrich Merz et de son parti. Ils ont posé comme précondition à tout début de négociation un arrêt des accusations envers la société civile. Friedrich Merz, le très probable futur chancelier, a d'ailleurs déjà adouci le ton. À voir si cela durera.Le reportage de notre correspondante à Berlin est à retrouver dans son intégralité dans Accents d'Europe sur et l'application Pure Radio.
Ecoutez L'angle éco de François Lenglet du 20 mars 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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durée : 00:03:42 - Le Regard culturel - par : Lucile Commeaux - La cinéaste Maura Delpero livre un deuxième long-métrage splendide et lent sur le quotidien d'une famille dans les Alpes italiennes à la fin de la Deuxième Guerre mondiale, avec une attention particulière pour les personnages féminins.
Coup de théâtre au Qatar, où le Congolais Félix Tshisekedi et le Rwandais Paul Kagame se sont rencontrés secrètement hier. Les deux chefs d'État ont décidé de « poursuivre les discussions entamées hier pour établir les bases solides d'une paix durable », dit le communiqué final. Jusqu'à présent, on croyait que l'Angola faisait médiation entre les deux pays en guerre. Mais après la rencontre d'hier, tout est en train de changer. Trésor Kibangula est analyste politique l'Institut congolais de recherches sur la politique, la gouvernance et la violence. En ligne de Kinshasa, il répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : Est-ce que vous êtes surpris par cette rencontre au Qatar ? Trésor Kibangula : Oui, comme tout le monde. C'était une grande surprise, en tout cas dans la forme, mais pas totalement dans le fond. Parce qu'on sait que Doha a longtemps voulu jouer un rôle dans la médiation entre la RDC et le Rwanda. On se souvient encore d'une tentative en 2023 déjà, mais jusqu'ici, Kinshasa s'y montrait toujours réticent, notamment parce que le Qatar est perçu par les autorités congolaises comme proche de Kigali, notamment avec des investissements au Rwanda et la construction d'un aéroport au Rwanda. Mais au regard des blocages dans les autres formes de médiation, je pense que cette rencontre offre quand même un progrès sur un point essentiel : elle permet aujourd'hui aux deux chefs d'État de se parler directement. Et c'est la première fois depuis des mois que Tshisekedi et Kagame se retrouvent face à face dans un cadre, où ils peuvent discuter sans intermédiaires régionaux.Il y a trois mois, une rencontre entre les deux présidents était déjà prévue, c'était à Luanda, mais à la dernière minute, Paul Kagame avait renoncé à y aller. Pourquoi ça a marché hier ? Plusieurs éléments ont évolué depuis décembre. Les contextes militaires et diplomatiques ont basculé. En décembre, Kinshasa refusait encore totalement l'idée de négocier avec le M23. Kigali, de son côté, a posé comme condition sine qua non des négociations directes entre le gouvernement congolais et les M23, ce que Tshisekedi refusait. Donc beaucoup de choses ont évolué. Les rapports de forces ont changé sur le terrain. Fin janvier, le M23 a pris le contrôle de Goma. Puis en février, Bukavu est tombé aussi. L'armée congolaise n'a pas réussi à reprendre l'initiative et, aujourd'hui, le M23 continue à consolider ses positions. Et sur le plan diplomatique, Kinshasa a finalement accepté l'idée de ce dialogue direct avec le M23. Et de l'autre côté, on voit aussi toutes ces sanctions qui tombent sur le Rwanda. Donc, je pense que, face à cette situation, les deux parties avaient finalement plus d'intérêt à parler aujourd'hui qu'en décembre.Dans le communiqué final d'hier soir, les deux chefs d'État insistent sur le processus conjoint, le processus fusionné, que l'organisation EAC des pays d'Afrique de l'Est et l'organisation SADEC des pays d'Afrique australe ont mis en place le mois dernier à Dar es Salam en faveur de la paix au Congo. Pourquoi cette attention particulière ? Je pense que l'initiative de Luanda n'avait pas vraiment réussi à avoir la confiance de Kigali. Elle était portée par l'Angola de manière plus ou moins isolée. Et aujourd'hui, Doha ne cherche pas à créer un énième format parallèle de médiation. Parce que, lorsqu'on lit les communiqués qataris, on voit très bien effectivement que ce sont les discussions sous l'égide de l'EAC et de la SADEC qui sont encouragées, ce qu'on appelle aujourd'hui les processus fusionnés. Je pense que ces choix peuvent s'expliquer par plusieurs facteurs parce que, un : il correspond aux préférences de Kigali qui a toujours misé sur ces processus fusionnés pour gérer la crise, parce que Kigali a une certaine influence sur l'EAC. Deuxième chose, c'est que ce choix de Doha de préférer les processus fusionnés permettent d'éviter un affrontement entre plusieurs initiatives concurrentes. Parce qu'on était un peu dans une cacophonie d'initiatives de médiation. Avec Doha, maintenant, on essaie de proposer une ligne et c'est le choix des processus fusionnés.Est-ce à dire que les premières négociations directes entre le gouvernement congolais et le M23 n'auront pas lieu à Luanda sous l'égide de l'Angola, mais quelque part ailleurs en Afrique, sous l'égide de ce processus fusionné entre l'EAC et la SADEC ?Ça devient vraiment très difficile d'envisager que la médiation angolaise puisse reprendre la main, à cause de ce déficit de confiance, surtout du côté du M23 et de Kigali. Mais comme les deux parties doivent se parler et qu'il y a eu un progrès avec la rencontre de Paul Kagame et de Félix Tshisekedi à Doha, on pense que le processus pourrait continuer, peut-être en marge des discussions EAC/SADEC qui se tiennent dans le cadre de ces processus fusionnés.À lire aussiTrésor Kibangula: «Doha a longtemps voulu jouer un rôle dans la médiation entre la RDC et le Rwanda»
Deuxième épisode. Le mardi 17 mai 2005, en début d'après-midi, un homme est retrouvé mort dans un bois du Val-de-Marne, à Sucy-en-Brie dans la banlieue sud-est de Paris. Dans cette ville résidentielle si paisible, l'apparition d'un tel fait divers n'a rien d'habituel.La victime, Christophe Belle, est un boulanger de 40 ans travaillant dans le quartier du Marais, au centre de Paris, et vivant avec sa compagne en banlieue ouest de la capitale. Il a reçu plusieurs balles dans la tête. Les enquêteurs explorent plusieurs fausses pistes, avant de découvrir un message vocal, laissé par le boulanger la nuit du meurtre sur le téléphone de son associé… Dans cet épisode de Crime story, la journaliste Clawdia Prolongeau raconte cette enquête policière aux nombreuses pistes avec Damien Delseny, chef du service police-justice du Parisien.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Ecriture et voix : Clawdia Prolongeau et Damien Delseny - Production : Pénélope Gualchierotti et Thibault Lambert - Réalisation et mixage : Julien Montcouquiol - Musiques : Audio Network - Archives : INA.Documentation. Cet épisode de Crime story a été préparé en puisant dans les archives du Parisien, avec l'aide de nos documentalistes. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Rendez-vous le jeudi 20 mars à 18h30 pour le prochain GDI-Live sur le thème : "Se lancer plus vite plus fort grâce à l'IA". Inscrivez-vous iciQonto était la licorne française la plus valorisée en 2022 avec ses 4,4 milliards d'euros.Deuxième round pour Alexandre Prot qui était venu en 2018 à mon micro (#épisode54). Depuis l'entreprise s'est métamorphosée et est passée de 120 à 1600 collaborateurs.Aujourd'hui, Qonto est présent dans 8 pays Européens et accompagne plus d'un demi-million d'entreprises dans leur gestion administrative et financière.Alexandre et ses équipes ont levé au total 634,6 millions d'euros et fait l'acquisition de deux entreprises :>Regate, spécialisée dans l'automatisation comptable et financière>Penta, une néobanque allemande qu'ils ont fusionné avec QontoAvec une mission très sympa : faire gagner un max de temps à leurs clients. Alexandre affirme que ses clients gagnent en moyenne 2h par semaine sur la gestion administrative.Dans ce 2ème épisode, il me décrypte l'évolution de sa fintech qui explose, et comment piloter un navire de plus en plus gros :Comment lever 1/2 milliard et faire deux acquisitions d'entreprisesGérer 1600 collaborateurs dont 50% d'étrangersLa facturation électronique obligatoire dès 2026 : à quoi vous préparer ?Le secret pour une organisation interne efficace : “More motion than Notion”Le futur de la gestion bancaire avec l'IALes clés pour réussir son internationalisationUn épisode "OG" GDIY qui lève le voile sur le potentiel totalement sous estimé des néobanques.Je vous ai négocié le code promo "GDIY2025" pour bénéficier de 3 mois offerts pour toute ouverture de compte bancaire Qonto et la création d'entreprise est en ce moment offerte.TIMELINE:00:00:00 : Le développement fulgurant de Qonto en 8 ans00:15:52 : Gagner 2h par semaine en simplifiant l'administratif00:21:30 : La facturation électronique obligatoire dès 2026 : petit cours00:35:20 : Aider les entreprises à se financer (sans être une banque !)00:49:22 : Pourquoi les banques traditionnelles sont si archaïques et refusent les jeunes entrepreneurs01:04:01 : Le business model des BaaS (Banking as a Service)01:09:09 : Lever 1/2 milliard et faire deux acquisitions d'entreprises01:36:30 : Comment se développer sans corrompre la culture de l'entreprise01:43:40 : Le secret pour une organisation interne efficace : Motion vs Notion01:51:08 : Tout ce qu'il faut savoir pour s'internationaliser (en Europe)02:03:37 : Une valo à 4,4 milliards, vers une introduction en bourse ?02:20:48 : Famille, organisation interne et diversité02:33:47 : Le futur de la gestion bancaire avec l'IA02:41:15 : “L'effort n'est pas proportionnel à la taille du secteur”Les anciens épisodes de GDIY mentionnés#54 Alexandre Prot - de McKinsey à QONTO (en passant par les cigarettes électroniques)#425 - Matthias Dandois - Champion de BMX - La vie freestyle d'un enfant Red Bull#455 - Valérie Messika - Maison Messika - Le diamant brut de la joaillerie françaiseNous avons parlé de :QontoSmokioSteve AnaviGénéralisation de la facturation électronique au 1er septembre 2026La facturation électronique chez QontoSilicon Valley BankRegate by QontoLes valeurs de QontoNotionSalesforceWiseL'étincelleCosavostraLes recommandations de lecture : Un petit livre rouge sur la sourceMagellan de ZweigLa décisionVous pouvez contacter Alexandre sur LinkedIn.La musique du générique vous plaît ? C'est à Morgan Prudhomme que je la dois ! Contactez-le sur : https://studio-module.com. Vous souhaitez sponsoriser Génération Do It Yourself ou nous proposer un partenariat ? Contactez mon label Orso Media via ce formulaire.
Après cinq années de recherche frénétique, la commission Bergier s'apprête à rendre son rapport en ce début d'année 2002. Par cette entreprise historique de grande ampleur, mise en place par le Conseil fédéral, la Suisse s'inscrivait enfin dans l'histoire mondiale de la Deuxième guerre mondiale. Ses relations industrielles et économiques avec le Troisième Reich, sa politique d'asile sans compassion pour les victimes de l'antisémitisme, l'attitude des banques suisses vis-à-vis des avoirs nazis et juifs, autant de thèmes qu'il a fallu exhumer des archives publiques et privées. Un travail de titan pour mettre fin au scandale des fonds en déshérence. Après un accord financier conclu avec les victimes du nazisme et leurs descendants, s'emparer de cette histoire, c'est désormais une affaire entre Suisses. Mais comment le pays a-t-il reçu cette actualisation de son histoire après sept années de polémique ? Avec Pietro Boschetti, journaliste et auteur de Les Suisses et les nazis. Le Rapport Bergier pour tous, (Editions Zoé, 2004) et Dominique Dirlewanger, historien et maître d'histoire au gymnase Provence de Lausanne, auteur de Tell Me, la Suisse racontée autrement (Editions Alphil, 2019).
Une neutralité ferme. Telle était la position officielle du gouvernement helvétique au cours de la Deuxième Guerre mondiale. Une attitude vertueuse mais un comportement, dans les faits, beaucoup moins net. Cinquante ans plus tard, le Congrès national juif et le Sénat américain demandent des comptes sur les fonds en déshérence déposés dans les banques suisses par les victimes du nazisme. Au milieu des années 1990, une boîte de Pandore s'ouvre comme jamais sur l'attitude réelle de la Suisse au cours de cette guerre avec la menace de sanctions en cas de sourde oreille. Les invectives pleuvent au-dessus de l'Atlantique entre responsables, banquiers suisses et états-uniens. Côté suisse on aimerait beaucoup que la poussière retombe sur ces vieilles affaires qui rappellent de cuisants moments. Avec Pietro Boschetti, journaliste et auteur de Les Suisses et les nazis. Le Rapport Bergier pour tous, (Editions Zoé, 2004) et Dominique Dirlewanger, historien et maître d'histoire au gymnase Provence de Lausanne, auteur de Tell Me, la Suisse racontée autrement (Editions Alphil, 2019).
En janvier 2025, les banques suisses étaient à nouveau dénoncées comme les coffres forts du nazisme. On apprenait que Crédit Suisse avait hébergé des comptes liés aux activités nazies de prédation et de dissimulation de leurs vols. Pourtant dans les années 1990, avec l'affaire des avoirs en déshérence et le travail de la Commission Bergier sur l'attitude de la Suisse au cours de la Deuxième guerre mondiale, on pensait avait avoir accompli cette actualisation de l'histoire. Alors pourquoi l'histoire ne passe-t-elle pas ? Avec Pietro Boschetti, journaliste et auteur de Les Suisses et les nazis. Le Rapport Bergier pour tous, (Editions Zoé, 2004) et Dominique Dirlewanger, historien et maître d'histoire au gymnase Provence de Lausanne, auteur de Tell Me, la Suisse racontée autrement (Editions Alphil, 2019).