Capital of Portugal
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Virginie Girod raconte une catastrophe naturelle qui a modernisé l'Europe. Le 1er novembre 1755, un puissant séisme détruit la ville de Lisbonne. Trois violentes secousses se succèdent, ouvrant de larges failles dans la terre et provoquant un tsunami qui déferle sur la ville. L'Europe est traumatisée par ce cataclysme qui ouvre bientôt un débat philosophique sur responsabilité de Dieu et celle des hommes.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
En France, Auchan a fermé deux hypermarchés samedi : Clermont-Ferrand et Bar-le-Duc, laissant sur le carreau environ 300 salariés. Pendant ce temps, l'enseigne essaye d'inventer l'hyper du futur : ça se passe au Sud du Portugal, à Cascais, près de Lisbonne... Ecoutez Olivier Dauvers : les secrets de la conso du 20 mai 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
En 79 de notre ère, le Vésuve se réveille. En quelques heures, la ville de Pompéi est ensevelie sous les nuées ardentes et ses habitants, figés pour l'éternité dans leur tentative de fuite. La semaine prochaine, dans Au cœur de l'Histoire, revivez des catastrophes naturelles qui ont marqué l'histoire de l'humanité. Découvrez comment le récit de l'éruption antique du Vésuve nous est parvenu et comment le tremblement de terre qui a ravagé Lisbonne, en 1755, a contribué à moderniser l'Europe.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Porté par un Parc des Princes en fusion et par son sens du collectif, le PSG, malmené mais solide, s'est qualifié pour la finale de la Ligue des champions en battant mercredi Arsenal (2-1), et peut de nouveau rêver de soulever le trophée qui l'obsède tant. Après avoir échoué face au Bayern (1-0) en 2020 à Lisbonne, il est temps pour les joueurs de Luis Enrique d'écrire la plus belle page de l'histoire du club de la capitale le samedi 31 mai face à l'Inter Milan, à Munich, la ville où Marseille a offert en 1993 au football français la seule Ligue des champions de son histoire. Retour sur cette folle soirée avec Nicolas Georgereau, Cédric Chasseur et la participation de Florian Gazan autour de Philippe Sanfourche.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ligue des champions, deuxième demi-finale retour PSG/Arsenal, avantage minimum, Paris doit finir le travail au Parc des Princes, sans connaître de trou d'air. Les Rouge et Bleu visent une autre finale, cinq ans après Lisbonne. Les Gunners devront renverser la situation pour s'offrir le voyage à Munich, 19 ans après la déconvenue du Stade de France face au Barça. Qui aura le plus la pression ? Dembélé, buteur à l'aller, est dans le groupe malgré une alerte musculaire. Combat au cœur du jeu : Thomas Partey de retour, pour renforcer le milieu londonien et redistribuer les cartes ? Mikel Arteta vient pour gagner, Luis Enrique ne veut pas calculer et contrôler le tempo. Difficile d'imaginer un match aussi prolifique que celui d'hier ?Inter/Barcelone, les Nerazzurri sont insubmersibles !Comme à l'aller le 30 avril, la manche retour a offert un spectacle mémorable, conclu par une victoire 4-3 des Italiens après prolongation, la bataille de Milan restera dans l'histoire. De retour au sommet deux ans après Istanbul. Scénario fou, intensité dramatique, avalanche de buts ! (13 en deux matches )Acerbi n'avait jamais marqué en C1 ! Le doyen a offert la prolongation à une équipe qui a une fois encore perdu son avance, avant de se faire rattraper (en sept minutes) puis dépasser par les spécialistes du come-back !Frattesi, entrée gagnante ! Le milieu international a porté le coup fatal. Sommer time ! Le portier suisse inarrêtable.Le Barça a entr'aperçu Munich, mais doit s'arrêter brutalement. Les Catalans auront inscrit six buts en 210 minutes aux Interistes, qui n'en avaient encaissé que cinq auparavant dans le tournoi.Pour débattre avec Annie Gasnier : Éric Rabesandratana, Bruno Constant et Philippe DoucetTechnique/réalisation Laurent Salerno – Coordination David Fintzel/Pierre Guérin
Ligue des champions, deuxième demi-finale retour PSG/Arsenal, avantage minimum, Paris doit finir le travail au Parc des Princes, sans connaître de trou d'air. Les Rouge et Bleu visent une autre finale, cinq ans après Lisbonne. Les Gunners devront renverser la situation pour s'offrir le voyage à Munich, 19 ans après la déconvenue du Stade de France face au Barça. Qui aura le plus la pression ? Dembélé, buteur à l'aller, est dans le groupe malgré une alerte musculaire. Combat au cœur du jeu : Thomas Partey de retour, pour renforcer le milieu londonien et redistribuer les cartes ? Mikel Arteta vient pour gagner, Luis Enrique ne veut pas calculer et contrôler le tempo. Difficile d'imaginer un match aussi prolifique que celui d'hier ?Inter/Barcelone, les Nerazzurri sont insubmersibles !Comme à l'aller le 30 avril, la manche retour a offert un spectacle mémorable, conclu par une victoire 4-3 des Italiens après prolongation, la bataille de Milan restera dans l'histoire. De retour au sommet deux ans après Istanbul. Scénario fou, intensité dramatique, avalanche de buts ! (13 en deux matches )Acerbi n'avait jamais marqué en C1 ! Le doyen a offert la prolongation à une équipe qui a une fois encore perdu son avance, avant de se faire rattraper (en sept minutes) puis dépasser par les spécialistes du come-back !Frattesi, entrée gagnante ! Le milieu international a porté le coup fatal. Sommer time ! Le portier suisse inarrêtable.Le Barça a entr'aperçu Munich, mais doit s'arrêter brutalement. Les Catalans auront inscrit six buts en 210 minutes aux Interistes, qui n'en avaient encaissé que cinq auparavant dans le tournoi.Pour débattre avec Annie Gasnier : Éric Rabesandratana, Bruno Constant et Philippe DoucetTechnique/réalisation Laurent Salerno – Coordination David Fintzel/Pierre Guérin
Radio Foot deux services en direct ce mardi 16h10-21h10 T.U. : - Ligue des Champions, première ½ finale aller, encore un adversaire anglais sur la route du PSG ! ; - L'Inter est-il dans un temps faible ? - Ligue des Champions, première ½ finale aller, encore un adversaire anglais sur la route du PSG !Et des retrouvailles avec Arsenal, près de mois après un match de 1er tour perdu 2-0 à Londres. Les Gunners ambitionnent de retrouver la finale, et de la gagner ! 19 ans après le rendez-vous manqué face à Barcelone. Les Parisiens rêvent d'y retourner aussi, 5 ans après Lisbonne. Arsenal et Paris, 2 formations qui se retrouvent dans l'idée de la construction d'une équipe avec une identité. - « North London Forever », ambiance garantie à l'Emirates ! Les Gunners 2es de Premier League, 3 défaites cette saison, un court revers en C1 concédé face à l'Inter au 1er tour. Paris dans un temps faible ? Après un début d'année enflammé, le PSG battu dans l'enceinte d'Aston Villa, puis en championnat par Nice, est-il dans un temps faible ? Milieu moins performant, Dembélé moins efficace ? Luis Enrique plus tendu en conférence de presse, loue l'état d'esprit du groupe. 2 entraîneurs espagnols face à face (ou côte à côte), comme lors du ¼ de finale. - Arsenal, club des Frenchies ! Il y eut l'ère des invincibles, Wenger et les Bleus de 1998-2000 (Henry, Anelka, Vieira Pires). La Love story continue, près de 30 ans après l'arrivée d'Arsène à Arsenal, l'engouement pour les Canonniers existe aussi côté français, des associations comme les French Gooners suivent leur 11 favori en championnat comme leurs déplacements européens.- L'Inter est-il dans un temps faible ?Éliminés de la Coupe d'Italie, les Nerazzurri qui viennent de perdre à domicile face à la Roma, connaissent un 3è revers d'affilée, et ont cédé leur place de leader de Serie A au Napoli, vainqueur du Torino. L'attaque en panne, alors que les Milanais se rendent en Catalogne pour affronter demain un FC Barcelone désireux de conquérir un titre supplémentaire.Avec Annie Gasnier : Éric Rabesandratana, Saïd Amdaa, Bruno Constant. - Technique/réalisation Laurent Salerno -- David Fintzel/Pierre Guérin.
Radio Foot deux services en direct ce mardi 16h10-21h10 T.U. : - Ligue des Champions, première ½ finale aller, encore un adversaire anglais sur la route du PSG ! ; - L'Inter est-il dans un temps faible ? - Ligue des Champions, première ½ finale aller, encore un adversaire anglais sur la route du PSG !Et des retrouvailles avec Arsenal, près de mois après un match de 1er tour perdu 2-0 à Londres. Les Gunners ambitionnent de retrouver la finale, et de la gagner ! 19 ans après le rendez-vous manqué face à Barcelone. Les Parisiens rêvent d'y retourner aussi, 5 ans après Lisbonne. Arsenal et Paris, 2 formations qui se retrouvent dans l'idée de la construction d'une équipe avec une identité. - « North London Forever », ambiance garantie à l'Emirates ! Les Gunners 2es de Premier League, 3 défaites cette saison, un court revers en C1 concédé face à l'Inter au 1er tour. Paris dans un temps faible ? Après un début d'année enflammé, le PSG battu dans l'enceinte d'Aston Villa, puis en championnat par Nice, est-il dans un temps faible ? Milieu moins performant, Dembélé moins efficace ? Luis Enrique plus tendu en conférence de presse, loue l'état d'esprit du groupe. 2 entraîneurs espagnols face à face (ou côte à côte), comme lors du ¼ de finale. - Arsenal, club des Frenchies ! Il y eut l'ère des invincibles, Wenger et les Bleus de 1998-2000 (Henry, Anelka, Vieira Pires). La Love story continue, près de 30 ans après l'arrivée d'Arsène à Arsenal, l'engouement pour les Canonniers existe aussi côté français, des associations comme les French Gooners suivent leur 11 favori en championnat comme leurs déplacements européens.- L'Inter est-il dans un temps faible ?Éliminés de la Coupe d'Italie, les Nerazzurri qui viennent de perdre à domicile face à la Roma, connaissent un 3è revers d'affilée, et ont cédé leur place de leader de Serie A au Napoli, vainqueur du Torino. L'attaque en panne, alors que les Milanais se rendent en Catalogne pour affronter demain un FC Barcelone désireux de conquérir un titre supplémentaire.Avec Annie Gasnier : Éric Rabesandratana, Saïd Amdaa, Bruno Constant. - Technique/réalisation Laurent Salerno -- David Fintzel/Pierre Guérin.
Sur le chemin de Saint Jacques de Compostelle, le pèlerin est souvent confronté à des imprévus. Dans le langage courant, l'imprévu est synonyme de pépin, de tuile ou de galère. Mais sur le camino, il en va tout autrement.L'imprévu, c'est par exemple ce magnifique paysage qui se dévoile au détour d'un chemin, c'est cette rencontre aussi inattendue que marquante, c'est la découverte d'un beau lieu profondément inspirant. Bref, sur le chemin de St Jacques, l'imprévu prend souvent la forme d'une bonne surprise, source d'émerveillement.► Découvrez les deux premières saisons du podcast Croire : Les voies de la prière ; et Vies de moines► Dans Place des religions, des séries sur les grands rendez-vous spirituels autour du pape François : sa visite à Marseille et les JMJ 2023 de Lisbonne ; et des réflexions de fond : Écologie, où sont les religions ?, Ainsi soient-elles, sur la place des femmes dans les religions.► Vous avez une question ou une remarque ? Écrivez-nous à cette adresse : podcast.lacroix@groupebayard.comCRÉDITS – Rédaction en chef : Arnaud Alibert et Paul de Coustin. Cheffe du service Religion : Céline Hoyeau. Reportage, montage et réalisation : Gilles Donada, journaliste au service Religion. Mixage : Sarah Lefèvre. Chargée de production : Célestine Albert-Steward. Visuel : Isaline Moulin. Directrice du marketing, audience et développement : Laurence Szabason. Musiques extraites de l'album Spiritual guitar, de Diego Baëza, Bayard Musique.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Lundi en milieu de journée, une gigantesque panne électrique touche l'Espagne, le Portugal et le Pays basque français. Rapidement, le gestionnaire du réseau français RTE rétablit le courant sur la région, mais pour Madrid et Lisbonne, le problème perdure. Le réseau électrique européen, très interconnecté, est le plus grand du monde, mais il est vieillissant. Et les conséquences économiques peuvent se chiffrer en milliards, voire en dizaines de milliards d'euros, selon la durée du blackout, toujours en cours sur la plus grande partie des territoires espagnol et portugais tard lundi soir.
Que devient la sécurité de notre continent ? Vivre en sécurité, c'est connaître une situation dans laquelle nous ne sommes exposés à aucun danger, à aucun risque ou menace. Comprise ainsi, la notion de sécurité dépasse la simple protection de la violence exercée par d'autres Etats. La sécurité humaine inclut, rappelle l'ONU, des composantes alimentaires, sanitaires, environnementales, économiques, etc.Mais aujourd'hui, nous allons nous concentrer sur les menaces géopolitiques qui affectent l'Europe dans laquelle nous vivons, une Europe démocratique et libérale, centrée sur l'Union Européenne. Cette Europe connaît depuis 1945 une situation de paix. La construction européenne, rassemblant toujours plus de membres, a contribué à nous faire ressentir comme une évidence l'impossibilité d'une agression par un autre État. L'Union Européenne, l'UE est le bon élève du multilatéralisme, attachée à la notion de sécurité collective assurée par l'ONU dont les membres s'engagent, rappelons-le, à ne pas recourir à la force contre l'intégrité territoriale et l'indépendance politique d'un autre État.L'Union Européenne s'était bien dotée, par le traité de Maastricht en 1992, d'une PESC, politique étrangère et de sécurité commune ; celle-ci fut renforcée lors du traité de Lisbonne en 2007 qui comporte une clause d'assistance mutuelle en cas d'agression mais le rôle politique et sécuritaire de l'UE est , nous y reviendrons, limité par l'unanimité requise pour les décisions et les faibles moyens de la Politique de Sécurité et de Défense commune. Dans ce contexte, la protection offerte par l'alliance atlantique, donc les Etats-Unis était et est l'alpha et l'oméga de notre sécurité, et ce même si deux puissances – la Grande Bretagne et la France- se dotèrent dès 1951 et 1960 de l'arme nucléaire. Or toute cette architecture est renversée par le constat que désormais l'allié américain n'est plus fiable. Notre environnement est devenu instable, imprévisible tandis qu'à l'intérieur la tornade du trumpisme encourage la mouvance national-populiste. Le politologue américain Fareed Zakaria l'explique clairement : « Donald Trump rompt brutalement avec le système international tel qu'il existe depuis 8 décennies…Il est en train de recréer un vieux monde, celui de la realpolitik du XIXe siècle, où le système international était défini par les ambitions et les intérêts des plus grandes puissances. Aujourd'hui, cela voudrait dire les Etats-Unis, la Chine et la Russie mais en exagérant la force de cette dernière. La démocratie, le droit international, la liberté passent au second plan. Seule compte la puissance. » Ce constat est terrible pour beaucoup d'Européens : mais cette rupture transatlantique est-elle complètement inattendue alors que la tendance lourde est au désengagement des Etats-Unis depuis le début du siècle ? Doit-on et peut-on faire son deuil de la protection des Etats-Unis alors que l'Europe ne semble pas avoir les moyens d'assurer sa propre sécurité ? mais d'abord pourquoi faut-il se préoccuper de notre sécurité : quelles sont les menaces dont nous devons nous prémunir ? Saurons-nous être unis ou les divisions en notre sein condamnent-t-elles nos capacités ? Bref, sommes-nous en sécurité ?
Pour cette dernière de la semaine de vacances avec Clémence, Merwan et Roxane vous ont préparés une matinale très chargée. Au menu : 2:30 La chronique police-justice
Dans cet épisode: Retour de World of Women à Lisbonne pour un événement exceptionnel : le WoW Gala, qui aura lieu le 5 juin, en marge de la NFC. Adelina nous partage aussi les dernières news du projet et notamment son intégration récent à l'écosystème Tezos.
Dans ce 858eme épisode, Rem et John reçoivent Julien aka MetaFroggy, cofondateur de la MemeCon, la première conférence entièrement dédiée aux meme coins, qui se tiendra à nouveau cette année à Lisbonne du 4 au 6 juin, dans le cadre de la NFC. L'occasion de faire le point sur l'état du marché, la vitalité de la scène meme coin, et ce que cet univers dit plus largement de la culture Web3.Julien revient sur les précédentes éditions de la MemeCon (Lisbonne, Singapour, Bangkok) qui ont rassemblé des milliers de personnes dans une ambiance unique, fun et inclusive. Il insiste sur la volonté de professionnaliser ce secteur souvent caricaturé, en montrant qu'il attire aussi des profils venus de la finance, de l'art ou de la tech traditionnelle.Les meme coins sont-ils morts ? Pour Julien les meme coins sont plus vivants que jamais, mais en pleine mutation. Certains deviennent de vraies "social currencies", d'autres s'inscrivent dans des stratégies d'attention à long terme, et de nombreuses innovations naissent dans leur sillage (wallets, DEX, browsers thématiques…).Enfin, une réflexion plus philosophique émerge : à part les actifs liés au monde réel, tout ne serait-il pas déjà un meme coin ? Un point de vue partagé par plusieurs intervenants du space, qui questionne le fondement même de la valorisation des tokens dans l'écosystème Web3.Citation marquante de l'épisode :« Pour moi, tout est meme coin ou real world asset. » — citation entendue lors d'un panel, reprise et discutée par John et Julien comme une clé de lecture du Web3 actuel.
Encore une histoire est un podcast interprété par Céline Kallmann, réalisation Alexandre Ferreira, production Benjamin Muller.Générique : Vlad Gluschenko - Time.Retrouvez Encore une histoire sur Instagram, Facebook et Twitter. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Guest: Philip ILic, Founder Linkedin Ads agency KiinIn this episode, I speak with Phil,a seasoned LinkedIn ad specialist from Lisbon, who shares a groundbreaking LinkedIn ads framework poised to transform B2B marketing by 2025.We discuss the importance of high-quality content and understanding audience needs to create impactful posts that integrate organic and paid strategies. Phil introduces innovative ad formats, like thought-leader ads,which personalize engagement and improve conversion rates. We also cover the shifting dynamics of organic reach,emphasizing strategic ad sponsorship and performance metrics. As we dive into tools for data collection and automation,Phil highlights the synergy of inbound and outbound marketing tactics. This conversation is a treasure trove of insights for B2B marketers eager to master LinkedIn advertising in the evolving landscapeWhat's in this conversation between Philip and Mony?0:06 Introduction to LinkedIn Ads Framework1:33 The First Pillar: High-Quality Content7:13 Step Two: Boosting Your Best Posts10:19 Understanding Thought-Leader Ads19:01 Step Three: Audience Size and Budget22:10 Step Four: Engaging with Warm Outbound27:05 Final Thoughts and Success StoriesReferences:
La Pologne est sans aucun doute le pays européen le plus en pointe pour renforcer son armée face à la menace russe. Son histoire et les 600 kilomètres de frontière commune y sont pour beaucoup. Les dépenses de défense atteindront 4,7% du PIB à la fin de l'année, soit plus du double du ratio français. Le Premier ministre Donald Tusk a aussi annoncé trois jours de formation militaire non obligatoire pour les adultes. En attendant, des jeunes entre 13 et 17 ans devancent l'appel et suivent des formations paramilitaires pour apprendre le maniement des armes. Notre correspondant Adrien Sarlat les a suivis lors de leur entrainement.À lire aussiPologne: devant la menace russe, les formations militaires en faveur des civils se multiplientLa conscription en EuropeEt l'incertitude qui plane sur l'engagement américain en Ukraine et dans l'Otan provoque aussi dans de nombreux pays européens un débat sur la conscription. Juliette Gheerbrant.Quand l'énergie verte détruit les oliviers...L'Espagne, bonne élève de l'énergie verte. 66% de son électricité est désormais produite grâce au renouvelable. Énergie éolienne, mais surtout solaire. Un engagement écologique qui n'empêche pas certains dérapages.En Andalousie, dans la région de Jaén, l'opérateur électrique veut arracher des champs entiers d'oliviers centenaires pour installer un méga-projet de panneaux photovoltaïques. À Lopera, un village de 3 500 habitants qui vit de l'économie de l'huile d'olive, les agriculteurs dévastés se mobilisent et ont déposé un recours en justice. Une de nos correspondantes en Espagne, Diane Cambon, est allée les rencontrer.La guerre des jacarandasEt comme un phénomène en miroir, au Portugal, dans la capitale Lisbonne, ce sont les habitants qui se mobilisent contre l'arrachage d'un arbre fétiche de la ville, le Jacaranda dont le couvert bleu mauve embellit la ville au printemps. Pour permettre la construction d'un vaste parking souterrain, une cinquantaine d'arbres sont promis à la destruction... à moins que la mobilisation ne gagne du terrain. À Lisbonne, Marie-Line Darcy.
La Pologne est sans aucun doute le pays européen le plus en pointe pour renforcer son armée face à la menace russe. Son histoire et les 600 kilomètres de frontière commune y sont pour beaucoup. Les dépenses de défense atteindront 4,7% du PIB à la fin de l'année, soit plus du double du ratio français. Le Premier ministre Donald Tusk a aussi annoncé trois jours de formation militaire non obligatoire pour les adultes. En attendant, des jeunes entre 13 et 17 ans devancent l'appel et suivent des formations paramilitaires pour apprendre le maniement des armes. Notre correspondant Adrien Sarlat les a suivis lors de leur entrainement.À lire aussiPologne: devant la menace russe, les formations militaires en faveur des civils se multiplientLa conscription en EuropeEt l'incertitude qui plane sur l'engagement américain en Ukraine et dans l'Otan provoque aussi dans de nombreux pays européens un débat sur la conscription. Juliette Gheerbrant.Quand l'énergie verte détruit les oliviers...L'Espagne, bonne élève de l'énergie verte. 66% de son électricité est désormais produite grâce au renouvelable. Énergie éolienne, mais surtout solaire. Un engagement écologique qui n'empêche pas certains dérapages.En Andalousie, dans la région de Jaén, l'opérateur électrique veut arracher des champs entiers d'oliviers centenaires pour installer un méga-projet de panneaux photovoltaïques. À Lopera, un village de 3 500 habitants qui vit de l'économie de l'huile d'olive, les agriculteurs dévastés se mobilisent et ont déposé un recours en justice. Une de nos correspondantes en Espagne, Diane Cambon, est allée les rencontrer.La guerre des jacarandasEt comme un phénomène en miroir, au Portugal, dans la capitale Lisbonne, ce sont les habitants qui se mobilisent contre l'arrachage d'un arbre fétiche de la ville, le Jacaranda dont le couvert bleu mauve embellit la ville au printemps. Pour permettre la construction d'un vaste parking souterrain, une cinquantaine d'arbres sont promis à la destruction... à moins que la mobilisation ne gagne du terrain. À Lisbonne, Marie-Line Darcy.
On est à Lisbonne et j'en ai profité pour aller à la rencontre de 4 joueurs français pour vous faire découvrir 2 clubs et vous expliquer les spécificités du tennis dans cette capitale. (prix, courts, clubs, classements, tournois, cordages, raquettes etc).
Cet épisode est tiré de ma newsletter (à laquelle vous pouvez vous abonner ici bien sur et est disponible intégralement en vidéo sur la chaine Youtube :)La semaine dernière, je discutais avec un ami de longue date, père de deux garçons adolescents. La voix incertaine, il m'a confié : "Je ne sais plus quoi leur dire. Comment être un homme aujourd'hui ? Quels conseils leur donner quand moi-même je n'y comprends plus rien ?" Son désarroi m'a profondément touché, car il résonne avec une question que je me pose depuis l'adolescence : qu'est-ce qu'être un homme dans notre société ?Est-il encore possible d'incarner une masculinité qui ne soit ni toxique ni effacée ? Comment naviguer entre les attentes contradictoires qui bombardent les hommes quotidiennement ? Et surtout, pourquoi est-il devenu si difficile de simplement être soi-même ? Est-ce que cela signifie même quelque chose ?La confusion règne partout. La bouleversante série "Adolescence" sur Netflix nous plonge dans la réalité de jeunes garçons perdus, tiraillés entre les modèles masculinistes qui prolifèrent sur les réseaux sociaux et une société qui condamne - à juste titre - les comportements toxiques. Pendant ce temps, l'affaire Gérard Depardieu révèle nos incohérences collectives : comment comprendre qu'un comportement de prédateur puisse encore être défendu au nom du "génie artistique", y compris par des figures féminines respectées ? De manière anecdotique, j'écris cette newsletter alors que simultanément j'observe de jeunes adolescents simuler une bagarre et jouer à la loi du plus fort.Dans ma propre histoire, des femmes m'ont parfois qualifié de "trop sensible" ou "tellement fragile" pour avoir simplement exprimé mes ressentis avec vivacité. Ces expériences m'ont amené à m'interroger profondément : notre société sait-elle ce qu'elle attend des hommes ? Savons-nous, en tant qu'hommes, ce que nous voulons être ?Cette confusion n'est pas seulement théorique - elle se manifeste dans nos comportements quotidiens, dans nos relations, dans notre façon d'élever nos enfants. Elle a des conséquences réelles sur la santé mentale des hommes, sur les dynamiques de couple, sur l'éducation des garçons qui tentent désespérément de trouver des repères dans ce brouillard identitaire. Les modèles masculins manquent cruellement : les pères sont souvent absents, les films & séries sont caricaturaux et les algorithmes des réseaux sociaux avantagent les avis extrêmes.J'observe des hommes qui, comme des caméléons, changent de personnalité selon qu'ils cherchent à séduire, à impressionner leurs pairs masculins, ou à répondre aux attentes contradictoires de la société.La masculinité est devenue un champ de mines - un pas trop appuyé vers la virilité et vous êtes un dinosaure toxique; un pas trop léger et vous êtes invisible, insignifiant. Ce numéro d'équilibriste épuise des générations entières d'hommes qui ne savent plus qui ils sont censés être.Aujourd'hui, je plonge sans retenue dans cette question explosive : qu'est-ce qu'être un homme au XXIe siècle, quand personne – ni les hommes, ni les femmes, ni la société – ne semble capable de formuler une réponse cohérente ?Mon histoire d'homme un peu perduParadoxalement, pour un homme, parler de masculinité reste compliqué. On craint de dire une bêtise, de ne pas être légitime. J'avais d'ailleurs expliqué à Angelo Foley cette « peur d'être un homme » sur son podcast il y a quelques années. Mais aujourd'hui, je me sens plus légitime que jamais pour mettre les deux pieds dans le plat.Mon histoire personnelle offre peut-être quelques clés de compréhension. Enfant, j'avais un père pompier de Paris, musclé et "viril" – une sorte de super-héros. Mais un super-héros chroniquement absent, qui ne prenait pas de temps pour ses enfants. Commercial avec le Maghreb, il était souvent en voyage et par ailleurs, il ne nous a pas beaucoup accompagné, pas appris à faire du vélo, pas joué avec nous. Il était un excellent bricoleur mais chaque fois qu'on essayait de l'aider et d'être curieux, il nous rejetait en nous disant que nous étions des incapables…Ce n'était pas nécessairement méchant mais juste réaliste, on lui faisait perdre du temps, très basique.Si je partage cela, c'est parce que je ne crois pas être le seul homme à avoir eu un père absent et donc un manque d'amour inconscient et surtout un père aimant et gentil mais loin de la paternité idéale.Il nous a quitté il y a 9 ans et je n'ai pas eu l'occasion de parler de cela avec lui malheureusement.Il y a d'autres sujets que j'ai abordé avec lui, j'y reviendrais peut-être.En parallèle, ma mère avait arrêté de travailler pour s'occuper de mon frère et moi. J'ai passé de très nombreuses journées dans le jardin de la cité, à écouter les conversations de ma mère et ses amies pendant des années.C'est peut-être de là que vient mon appétence pour les femmes, les conversations profondes, et ma facilité à m'entendre avec elles.J'ai grandi avec une bande de garçons et adolescent, nous trainions et faisions les 400 coups et beaucoup de skateboard. Mais mon caractère s'est véritablement ancré vers 13-14 ans, quand je me suis lié d'amitié avec Émilie. Ma première meilleure amie.Nous nous écrivions, nous nous appelions jusqu'à rendre fous nos parents respectifs.Quand ils en avaient assez, j'allais dans la cabine téléphonique du quartier (ceux qui savent, savent…) pour poursuivre nos échanges. Cette relation – parfaitement platonique puisqu'elle était la petite amie de mon meilleur ami – avait une profondeur incomparable avec les discussions entre garçons. Elle a nourri en moi une sensibilité qui ne demandait qu'à éclore.Depuis lors, mes amitiés sont très majoritairement féminines. Elles représentent sans doute 90% de mon entourage proche.On qualifie la sensibilité, l'écoute, et la vulnérabilité de valeurs féminines, pourtant, elles ne sont pas des qualités genrées – elles sont simplement humaines. Marque de notre société, et de manière très curieuse, même aujourd'hui, je ressens le besoin de préciser que j'ai toujours été attiré sexuellement par les femmes. Comme si une petite voix m'imposait cette clarification, de peur que vous ne fassiez d'autres suppositions. Preuve que les préjugés ont la peau dure, même à l'intérieur de moi-même.J'ai conscience que c'est idiot mais j'ai choisi de vous partager de manière sincère ce que je ressens.En 2 mots, ma vie s'est construite sur des amitiés homme-femme authentiques. Contrairement à ceux qui doutent de leur possibilité, je trace une ligne claire dans mon esprit entre mes « amies » et mes « intérêts romantiques potentiels ». Cette sensibilité est peut-être la raison pour laquelle vous êtes majoritairement des femmes à suivre cette newsletter et mon podcast par ailleurs. La quête d'une masculinité authentiqueComme je l'ai décrit dans ma dernière newsletter, ces dernières années, j'ai travaillé sur ma «gentillesse » parfois excessive pour renforcer ce que l'on pourrait nommer ma « colonne masculine» : plus décisif, plus ancré, plus fort.Et d'ailleurs, je ne peux que constater que depuis que je vis à Lisbonne, je me suis lié d'amitié avec des hommes avec lesquels j'adore échanger. J'ai même créé un cercle d'hommes dans mon salon pour libérer une parole authentique entre nous – car, en vérité, les hommes se parlent rarement de cœur à cœur.Alors, parlons-nous franchement : c'est extrêmement compliqué d'être un homme aujourd'hui (je ne prétends pas que c'est simple d'être une femme, loin de là). En vérité, nous dansons tous ensemble une chorégraphie complexe de genre et d'identité. Mais cette réflexion se concentre spécifiquement sur la masculinité contemporaine.Je ne l'ai pas dit dans ma dernière newsletter mais ma « gentillesse » et mon côté « débonnaire» viennent partiellement d'un rejet du modèle masculin que j'observais autour de moi : mon grand-père, mes oncles, mon père….Mais ce faisant, comme pour beaucoup d'hommes, ma masculinité s'est construite en creux – par opposition plutôt que par affirmation.Mon ami Jerry Hyde que j'ai reçu sur Vlan avec sa femme Mai Hua, l'a judicieusement noté : une certaine masculinité misogyne a parfaitement compris la frustration des jeunes hommes d'aujourd'hui. L'absence de modèles masculins positifs a créé un vide facilement exploitable. On leur a fait croire que le féminisme les avait privés de leur héritage légitime, que les hommes étaient naturellement destinés à dominer, et qu'il fallait revenir aux anciennes normes.Cette rhétorique toxique, combinée au fait que dans les classes populaires, les jeunes femmes réussissent souvent mieux à l'école et trouvent des emplois mieux rémunérés, a privé de nombreux hommes de leur rôle traditionnel de « pourvoyeurs ». Résultat : de nombreux jeunes hommes adhèrent massivement à cette vision régressive.Plus inquiétant encore : certaines femmes adhèrent aussi à cette vision. Pourquoi ? Parce qu'au fond, elles non plus ne veulent pas d'un homme perçu comme faible, insipide, fade, glissant, trop conciliant ou constamment dans l'excuse.Il faut admettre que ce n'est pas très sexy. La misogynie est culturelle et ne dépend pas du genre – les femmes absorbent ces mêmes messages toxiques. Encore aujourd'hui, beaucoup de femmes se construisent aussi, entre autres, avec l'idée que l'homme doit pouvoir subvenir seul au besoin d'un foyer et doit « protéger », créant par là même une dépendance financière et donc une relation de pouvoir à l'avantage des hommes.Nous sommes loin de cette masculinité en creux.Et en comparaison, l'image de l'homme misogyne paraît claire et séduisante pour certaines : puissant, identifiable, riche, entouré de belles femmes, propriétaire de belles voitures etc…Pour des jeunes désorientés, anxieux, perdus, ou pour des personnes plus âgées élevées dans des visions dépassées, cette masculinité toxique devient malheureusement une option attractive. Nature ou culture : au-delà des clichésPour démêler ces questions complexes, j'ai voulu remonter à la source – au moment où la culture pesait moins lourd sur nos comportements. La préhistoire humaine s'étale sur 2,5 millions d'années et représente 99,8% de notre histoire, elle est donc constituée de multiples phases.Mais pour faire court, quand on interroge les experts, il leur est impossible de définir clairement des rôles genrés à cette époque. Les femmes chassaient vraisemblablement autant que les hommes. Et nos ancêtres n'avaient pas établi le rôle de l'homme dans la reproduction, ce qui empêchait tout système patriarcal structuré puisque l'homme n'avait, pour eux, aucun rôle dans la procréation.La sédentarité des femmes est en réalité apparue avec la fin du nomadisme et l'invention de l'agriculture, il y a seulement 10-15 000 ans. Quant à l'imagerie de la femme préhistorique restant dans la grotte et tirée par les cheveux par un homme des cavernes – elle a été créée au 19ème siècle et ne représente aucunement une réalité historique. Il s'agit simplement d'une projection d'une époque sur une autre.Pour aller plus loin, j'ai eu l'immense plaisir de recevoir l'un des primatologues les plus respectés au monde, Frans de Waal. Car au final, tout autant que nous sommes plus proches des humains préhistoriques qu'on aimerait le croire, nous sommes également tous des primates, très proches des grands singes. Ses conclusions sont éclairantes : la distinction entre sexe biologique et identité de genre est cruciale. Si une identité biologique existe, l'identité de genre est largement formée par l'imitation et l'apprentissage social. Les enfants observent et reproduisent les comportements associés à leur genre, ce qui active les centres de récompense du cerveau.Les différences physiologiques sont indéniables – cycles menstruels, gestation, allaitement sont exclusivement féminins. La conséquence principale est que les mâles ont tendance à considérer leur corps comme moins important. Mais la différence semble s'arrêter là.Contrairement aux idées reçues, « l'instinct maternel » tel qu'il est souvent conçu n'existe pas vraiment. Il y a une attirance des femelles vers les bébés, mais les compétences maternelles s'apprennent par l'observation. Quand une mère meurt, ce n'est pas une autre femelle qui prend le relai avec les bébés mais un mâle, qui développe alors dans son cerveau les même éléments qu'une femelle et qui ont trait au soin.A la naissance, les males sont un peu plus turbulents et plus actifs que les femelles mais encore une fois une partie de ce comportement est aussi généré par du mimétisme social pour répondre aux exigences du centre de récompenses de notre cerveau. De même, l'idée qu'un mâle cherche nécessairement de nombreux partenaires tandis qu'une femelle serait sélective est fausse. De Waal explique que les femelles primates sont également entreprenantes sexuellement et recherchent souvent de multiples partenaires.L'idée de la protection des femelles par les mâles est également une construction sociale. Bien que les mâles soient généralement plus grands chez de nombreuses espèces, cette différence est souvent liée à la compétition entre mâles plutôt qu'à la préférence des femelles. D'ailleurs, De Waal note que le dimorphisme sexuel (différence de taille) est relativement faible chez les humains, les chimpanzés et les bonobos comparativement à d'autres mammifères.Enfin, concernant les émotions, De Waal suggère que si leur intensité peut être similaire entre mâles et femelles, leur expression est fortement influencée par des règles culturelles. Les mâles, dans un contexte de compétition, cachent souvent leur vulnérabilité – non par nature, mais par construction sociale.Nous cherchons donc à opposer une réalité physiologique (les hommes et les femmes sont bien plus semblables qu'on veut nous le faire croire) à une réalité sociale – des millénaires de patriarcat. Mais dans le même temps, il est illusoire de penser que l'on puisse s'abstraire totalement de son contexte social.Les 3 grandes religions ont joué également un rôle dans la structuration du patriarcat évidemment mais je ne vais pas descendre dans l'histoire « récente » ici.Je ne crois pas aux hommes parfaitement déconstruits mais très souvent les femmes ne le sont pas plus.Au mieux, je crois que l'on peut s'éduquer sur le sujet et que nous pouvons observer le patriarcat dans nos pensées et développer suffisamment de conscience de soi pour prendre du recul.Et parfois, ça sort j'avoue, je dis une bêtise, ça m'échappe et je m'excuse.Une preuve simple si les expressions « ne fait pas ta meuf » ou « soit un mec » résonnent ou si quand vous pensez à un « care giver » vous pensez automatiquement à une femme ne serait-ce que 1 seconde dans votre cerveau, vous savez exactement ce à quoi je fais référence. Vers une masculinité réinventéeFace au retour en force d'une masculinité toxique (coucou Trump, Vance, Tate, Zuck, Bezos ou Musk…) et à la dérive de certains espaces (comme les communautés de musculation sur les réseaux sociaux qui glissent vers le masculinisme), il est essentiel de proposer une alternative.Comme me le faisait justement remarquer mon amie Mai Hua, également co-autrice avec Jerry du documentaire « make me a man » , en m'envoyant un réel Instagram, les hommes « gentils » utilisent parfois cette masculinité toxique à leur avantage : « je vais te défendre contre ces hommes ». Mais cette masculinité en creux n'est pas une solution viable, car elle suppose le masculinisme pour exister. Ces hommes restent, d'une certaine manière, passifs et complices.D'ailleurs, ils montent rarement au créneau quand ils en ont l'occasion.Il faut reconnaître qu'une société qui vénère la compétition, la domination et l'accumulation (de biens, de pouvoir, de notoriété) est fondamentalement patriarcale. Ensuite, il est crucial de comprendre qu'il existe des masculinités et des féminités plurielles – il n'y a pas une seule "bonne manière" d'être au monde. Personne n'a besoin de s'enfermer dans un carré minuscule défini par des stéréotypes étroits.La série « Adolescence » sur Netflix montre bien comment les hommes souffrent aussi du patriarcat. Aucune place n'est laissée à la vulnérabilité, considérée comme une faiblesse, ce qui entraîne une atrophie de la capacité à exprimer ses émotions. J'ai même observé que certains hommes n'arrivent pas à décrire ce qu'ils ressentent intérieurement – leur vocabulaire émotionnel se limitant souvent à la joie, la frustration et la colère.Ma conclusion personnelle est qu'on peut développer une masculinité posée et ancrée, qui ne soit ni toxique ni effacée. Cette masculinité équilibrée implique une intelligence émotionnelle développée, l'assurance de ses envies et points de vue, une évolution constante en tant qu'être humain (notamment en matière de sexualité, où l'homme croit devoir « savoir » et « dominer », alors que personne ne sait vraiment puisque seul le porno nous « éduque »), la capacité à reconnaître ses torts et à poser des limites claires.Comme le résume parfaitement Jerry : il s'agit simplement d'être un adulte. Cela implique de dialoguer avec d'autres hommes qui ont développé cette maturité émotionnelle (qui n'est malheureusement pas une question d'âge).Finalement, comme pour tout être humain, la tendresse est au fondement d'une masculinité saine. Être un homme suppose d'intégrer toutes les parties de soi – force et vulnérabilité, courage et sensibilité, indépendance et connexion.Pour revenir à la question initiale, le rôle du père n'est pas de faire de son fils un homme mais un être humain entier.D'ailleurs, la théoricienne féministe bell hooks nous offre ici une boussole précieuse.Dans son œuvre "La volonté de changer: Hommes, Masculinité, et Amour", elle soutient que le patriarcat blesse profondément les hommes en les privant de leur pleine humanité émotionnelle. Selon elle, les hommes souffrent d'une "blessure de l'âme" en étant conditionnés à réprimer leurs émotions et à éviter la vulnérabilité.Si je devais traduire ses théories en conseils pratiques pour mes semblables masculins, voici ce que je retiendrais :1. Reconnaître que notre capacité à aimer a été diminuée par le patriarcat - non pas pour nous victimiser, mais pour comprendre ce qui nous empêche d'être pleinement présents dans nos relations.2. Développer une conscience critique de la manière dont les médias et la culture façonnent nos idées de la masculinité, et oser questionner ces messages.3. Pratiquer activement la vulnérabilité - non comme une faiblesse, mais comme la plus grande force qui soit. Comme l'écrit hooks, "l'amour ne peut pas fleurir dans une culture de domination".4. Créer des espaces entre hommes où l'on peut partager ouvertement ses peurs, ses doutes et ses émotions sans jugement.5. Embrasser ce que hooks appelle une "éthique de l'amour" qui valorise la connexion, le soin des autres et la croissance personnelle au-delà des performances de virilité.Cette masculinité réinventée n'est pas un retour en arrière vers des archétypes dépassés, ni une négation de ce qui fait la spécificité masculine. C'est une proposition d'avenir, un équilibre dynamique qui répond aux besoins profonds des hommes tout en s'inscrivant dans une société qui aspire à l'égalité.Le temps est venu de dessiner ensemble ce que pourrait être cette masculinité du XXIe siècle – ni lavette, ni macho, mais pleinement humaine. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Faut-il ramener l'âge de la retraite à 62 ans au lieu de 64 ans ? En France, le débat sur la réforme de 2023 continue à diviser la classe politique et les partenaires sociaux. Le Portugal, lui, a tranché : ce sera désormais 66 ans et 9 mois. Le dossier des retraites agite la France mais aussi le Royaume-Uni et le Portugal : Ce dernier pays est le deuxième de l'Union européenne en terme de vieillissement : en 2022, la moitié de ses 10 millions 200 mille habitants avaient plus de 46 ans. Le départ à la retraite se fait de plus en plus tard : à 66 ans et 7 mois à partir de cette année, selon un calcul basé sur l'espérance de vie. Le départ anticipé est possible mais les pensions n'atteignent en moyenne que 650 euros par mois et de plus en plus de Portugais continuent à travailler une fois qu'ils sont à la retraite. Si la moitié d'entre eux le font par intérêt et pour rester actifs, pour l'autre moitié c'est une nécessité financière. Reportage à Lisbonne, Marie-Line Darcy.Elles entendent porter leur dossier retraite devant la haute cour du Royaume-Uni ! Les Waspi, ces femmes nées dans les années 50 et 60, estiment qu'elles ont été mal - voire pas du tout - informées par le gouvernement des changements intervenus dans l'âge de départ à la retraite, et qu'elles ont de ce fait subi des préjudices financiers importants. 3 800 000 femmes pourraient être concernées à travers le pays.... À Londres, les explications de Marie Billon. La diaspora grecque en Australie, une longue saga migratoireLes Grecs célèbrent leur fête nationale. Cette commémoration de l'indépendance de l'empire ottoman, le 25 mars 1821, est également fêtée par les nombreux Grecs de l'étranger. Avec plus de 400.000 représentants les Gréco-Australiens forment l'une des communautés les plus importantes de la diaspora grecque dans le monde. La majorité des Grecs exilés en Australie sont partis pour des raisons économiques au fil du XXè siècle. Mais ces dernières années, le pays a connu une nouvelle vague migratoire venue de Grèce à cause de la récente décennie de crise financière. Reportage à Melbourne, Joël Bronner. Alphonse Mucha a un nouveau musée à Prague Il vient d'ouvrir ses portes dans l'un des plus beaux bâtiments baroques du centre de la capitale tchèque et il est entièrement consacré au précurseur de l'Art-Nouveau, dont les affiches parisiennes aux lignes sinueuses, aux figures florales et aux femmes aux chevelures immenses sont connues dans le monde entier. Visite guidée avec l'arrière-petit-fils de l'artiste, Marcus Mucha, et notre correspondant à Prague Alexis Rosenzweig.
Ligue des nations : la France s'est qualifiée pour les demi-finales de la Ligue des nations aux tirs au but face à la Croatie (2-2, 5 t a b à 4), dimanche 23 mars au Stade de France. Les Bleus rencontreront le 5 juin l'Espagne, qui a éliminé de la même manière les Pays-Bas. Le Portugal s'est aussi qualifié ce dimanche à Lisbonne en s'imposant 5 à 2 contre le Danemark après prolongation.
Radio Foot, avec au sommaire de ce mardi 11 mars 2025 : La Ligue des Champions à l'heure des 8ᵉˢ de finale retour ; Les autres matches du jour : Barcelone/Benfica... La Ligue des Champions à l'heure des 8è de finale retour- L'exploit est-il possible pour Paris à Anfield ? Les Reds de Slot reçoivent le onze de Luis Enrique dans une enceinte où aucune équipe française ne l'a jamais emporté. Les leaders de Premier League seront portés par les chants des Scousers de la 1ʳᵉ à la dernière seconde du match. Liverpool va-t-il confisquer le ballon ? Alisson sera-t-il impérial comme mercredi dernier ? Les joueurs du Merseyside restent sur une série de 19 matches d'invincibilité à domicile !- État de forme des équipes ? Reds et Parisiens ont gagné en championnat ce week-end, les Liverpuldiens ont même renversé Southampton. Ambiance sur place avec Cédric De Oliveira. Intégrale sur RFI à partir de 19h40 T.U.Autres matches du jour : Barcelone/Benfica- Forts de leur (court) succès de l'aller, les Catalans visent les quarts. L'émotion sera grande à Montjuïc après la disparition brutale du médecin de l'équipe. Les Aigles de Lisbonne vont-ils tout donner ?- Du côté de Feyenoord, on espère bien marquer au moins 2 buts à l'Inter et l'emporter dans un stade où Rotterdam avait réussi à sortir l'AC Milan le 18 février dernier.- Leverkusen au pied du mur. Le Werkself de Xabi Alonso peut-il faire doter un Bayern implacable, vainqueur 3 à 0 mercredi dernier. Les Rouge et Noir seront privés de Florian Wirtz, blessé pour plusieurs semaines.- Demain, le LOSC arrivera-t-il à se sublimer pour passer enfin le stade des quarts ? Les joueurs de « Pep » Genesio auront fort à faire face au BVB Dortmund. Les finalistes de la C1 la saison passée voudront bien faire déchanter les Dogues.Avec Annie Gasnier : Marco Martins, Nabil Djellit, Éric Rabeandratana et Bruno Constant. Technique/réalisation : Laurent Salerno - David Fintzel/Pierre Guérin.
Radio Foot, avec au sommaire de ce mardi 11 mars 2025 : La Ligue des Champions à l'heure des 8ᵉˢ de finale retour ; Les autres matches du jour : Barcelone/Benfica... La Ligue des Champions à l'heure des 8è de finale retour- L'exploit est-il possible pour Paris à Anfield ? Les Reds de Slot reçoivent le onze de Luis Enrique dans une enceinte où aucune équipe française ne l'a jamais emporté. Les leaders de Premier League seront portés par les chants des Scousers de la 1ʳᵉ à la dernière seconde du match. Liverpool va-t-il confisquer le ballon ? Alisson sera-t-il impérial comme mercredi dernier ? Les joueurs du Merseyside restent sur une série de 19 matches d'invincibilité à domicile !- État de forme des équipes ? Reds et Parisiens ont gagné en championnat ce week-end, les Liverpuldiens ont même renversé Southampton. Ambiance sur place avec Cédric De Oliveira. Intégrale sur RFI à partir de 19h40 T.U.Autres matches du jour : Barcelone/Benfica- Forts de leur (court) succès de l'aller, les Catalans visent les quarts. L'émotion sera grande à Montjuïc après la disparition brutale du médecin de l'équipe. Les Aigles de Lisbonne vont-ils tout donner ?- Du côté de Feyenoord, on espère bien marquer au moins 2 buts à l'Inter et l'emporter dans un stade où Rotterdam avait réussi à sortir l'AC Milan le 18 février dernier.- Leverkusen au pied du mur. Le Werkself de Xabi Alonso peut-il faire doter un Bayern implacable, vainqueur 3 à 0 mercredi dernier. Les Rouge et Noir seront privés de Florian Wirtz, blessé pour plusieurs semaines.- Demain, le LOSC arrivera-t-il à se sublimer pour passer enfin le stade des quarts ? Les joueurs de « Pep » Genesio auront fort à faire face au BVB Dortmund. Les finalistes de la C1 la saison passée voudront bien faire déchanter les Dogues.Avec Annie Gasnier : Marco Martins, Nabil Djellit, Éric Rabeandratana et Bruno Constant. Technique/réalisation : Laurent Salerno - David Fintzel/Pierre Guérin.
durée : 00:03:07 - Charline explose les faits - par : Charline Vanhoenacker - Emmanuel Macron consacre 100% de son temps à l'international : ces derniers jours, il était à Washington, Lisbonne, Londres, pour parler de l'Ukraine. Il passe d'un sommet à l'autre… Maintenant quand il met un pied en France c'est pour choper un pyjama propre avant de repartir.
durée : 00:03:07 - Charline explose les faits - par : Charline Vanhoenacker - Emmanuel Macron consacre 100% de son temps à l'international : ces derniers jours, il était à Washington, Lisbonne, Londres, pour parler de l'Ukraine. Il passe d'un sommet à l'autre… Maintenant quand il met un pied en France c'est pour choper un pyjama propre avant de repartir.
durée : 00:03:46 - Les P'tits Bateaux - par : Camille Crosnier - C'est la question posée sur le répondeur de l'émission par Macéo, 7 ans, qui précise qu'il appelle depuis Lisbonne au Portugal... C'est la lexicographe, une personne qui écrit le dictionnaire, Géraldine Moinard, qui lui répond. - réalisé par : Stéphanie TEXIER
durée : 00:03:46 - Les P'tits Bateaux - par : Camille Crosnier - C'est la question posée sur le répondeur de l'émission par Macéo, 7 ans, qui précise qu'il appelle depuis Lisbonne au Portugal... C'est la lexicographe, une personne qui écrit le dictionnaire, Géraldine Moinard, qui lui répond. - réalisé par : Stéphanie TEXIER
(00:00:37) Le réveil d'une Europe post-Amérique (00:05:27) "Depuis 15 ans, la menace ne cesse de se rapprocher de nous": Jean-Noël Barrot, ministre français des affaires étrangères (00:08:49) Jusqu'où le fossé politique entre jeunes hommes et jeunes femmes se creusera-t-il ? (00:16:12) Lisbonne se rebiffe à son tour contre le surtourisme
Aujourd'hui dans "On marche sur la tête", Cyril Hanouna et ses invités reçoivent Philippe De Villiers pour débattre de la fermeture de C8.
Argentine : Javier Milei empêtré dans le scandale du « crypto-gate » Située sur une zone sismique très active, Lisbonne est-elle prête en cas de tremblement de terre majeur ? François Bayrou dans la tourmente Le torchon brûle entre Jean-Luc Mélenchon et le Parti socialiste La culture, victime de la politique de rigueur budgétaire
Il est rare qu'une colonie devienne la capitale d'un empire. Pourtant, entre 1808 et 1821, Rio de Janeiro fut la capitale du Royaume-Uni de Portugal, du Brésil et des Algarves. Cet épisode unique de l'histoire trouve son origine dans les guerres napoléoniennes et marqua un tournant décisif dans le destin du Brésil.La fuite de la cour portugaiseÀ la fin du XVIIIe siècle, l'Europe est en pleine tourmente. En 1807, Napoléon Ier, en quête d'expansion, envahit le Portugal, fidèle allié de la Grande-Bretagne. Face à la menace, le prince régent Jean VI prend une décision inédite : transférer la cour royale portugaise au Brésil. Avec l'aide de la flotte britannique, 15 000 nobles, militaires et fonctionnaires embarquent précipitamment pour traverser l'Atlantique.Le 22 janvier 1808, la flotte accoste à Salvador de Bahia avant de gagner Rio de Janeiro, qui devient la nouvelle capitale du royaume. Jamais une métropole européenne n'avait déplacé son siège impérial vers une colonie.Rio, centre du pouvoir impérialAvec l'arrivée de la cour, Rio de Janeiro change radicalement. La ville jusque-là modeste voit la construction de palais, académies et institutions. Le prince régent ouvre les ports brésiliens au commerce international, mettant fin au monopole colonial portugais. Des imprimeries, des théâtres et des universités émergent, transformant Rio en un véritable centre administratif et culturel.Le Brésil gagne en autonomie. En 1815, pour légitimer cette situation, Jean VI élève le pays au rang de royaume, créant ainsi le "Royaume-Uni de Portugal, du Brésil et des Algarves". Cette décision marque un tournant : le Brésil n'est plus une simple colonie, mais un royaume à part entière.Le retour au Portugal et l'indépendance du BrésilEn 1821, sous la pression des libéraux portugais, Jean VI retourne à Lisbonne, laissant son fils Pierre Ier régner sur le Brésil. Mais les Brésiliens refusent de redevenir une colonie. En 1822, Pierre Ier proclame l'indépendance du Brésil, mettant un terme définitif à la domination portugaise.Ainsi, en devenant temporairement capitale d'un empire, Rio de Janeiro a amorcé l'émancipation du Brésil, ouvrant la voie à son indépendance et à sa montée en puissance sur la scène internationale. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Radio Foot 16h10-21h10 T.U., au sommaire de ce mardi 18 février 2025... La Ligue des champions à l'heure des barrages retourMonaco peut-il se qualifier à Lisbonne ? Le 11 du Rocher condamné à l'exploit dans un Estadio Da Luz chauffé à blanc par les supporteurs des Águias. Les Rouge et Blanc et leur canonnier Pavlidis ont un but d'avance sur leurs adversaires, ont des blessés également, mais vont tout faire pour finir le travail à domicile. Les Monégasques vont-ils éviter une nouvelle exclusion ? Ils ont déjà pris trois cartons rouges dans la compétition, dont deux face aux Lisboètes, et n'ont jamais remporté le moindre match au Portugal dans un tournoi européen ! Atouts d'Adi Hütter : les jeunes (Akliouche, Ben Seghir, Camara).Autres barrages retour du jour : Bayern/Celtic, les Roten s'étaient imposés en Écosse, les « Hoops » peuvent-ils faire douter les Bavarois chez eux ? Atalanta/Club Bruges, situation tendue pour la Dea, battue mercredi dernier en Belgique, mais qui récupère Ademola Lookman ! Les Blauw en Zwart vont-ils conserver leur avantage ?Real Madrid/Manchester City, les projecteurs braqués sur la deuxième manche de ce sommet prématuré, RFI en retransmettra demain l'intégralité, Cédric De Oliveira est notre envoyé spécial sur place.Liga : le FC Barcelone reprend les commandes !Les Blaugranas se sont imposés 1-0 contre le Rayo Vallecano. Vainqueurs symboliques, ils devancent les Merenges à la différence de buts, cap symbolique pour Lamine Yamal (100ᵉ match en pro), et un Barça invaincu depuis 12 rencontres. Un trio de tête dans un mouchoir, une lutte pour le titre pleine de suspense alors qu'il reste 14 journées à disputer !Sortie cinéma : Mercato de Tristan Séguéla, avec Jamel DebbouzeIl incarne Driss Berzane, agent de joueurs aux abois, qui lutte contre-la-montre pour effectuer un gros transfert. Notre consultant Nabil Djellit a indirectement collaboré au film !Autour d'Annie Gasnier, Nabil Djellit donc, mais aussi Chérif Ghemmour, David Lortholary et Marco Martins, de la rédaction lusophone. Technique/réalisation : Laurent Salerno - Coordination David Fintzel/Pierre Guérin.
Radio Foot 16h10-21h10 T.U., au sommaire de ce mardi 18 février 2025... La Ligue des champions à l'heure des barrages retourMonaco peut-il se qualifier à Lisbonne ? Le 11 du Rocher condamné à l'exploit dans un Estadio Da Luz chauffé à blanc par les supporteurs des Águias. Les Rouge et Blanc et leur canonnier Pavlidis ont un but d'avance sur leurs adversaires, ont des blessés également, mais vont tout faire pour finir le travail à domicile. Les Monégasques vont-ils éviter une nouvelle exclusion ? Ils ont déjà pris trois cartons rouges dans la compétition, dont deux face aux Lisboètes, et n'ont jamais remporté le moindre match au Portugal dans un tournoi européen ! Atouts d'Adi Hütter : les jeunes (Akliouche, Ben Seghir, Camara).Autres barrages retour du jour : Bayern/Celtic, les Roten s'étaient imposés en Écosse, les « Hoops » peuvent-ils faire douter les Bavarois chez eux ? Atalanta/Club Bruges, situation tendue pour la Dea, battue mercredi dernier en Belgique, mais qui récupère Ademola Lookman ! Les Blauw en Zwart vont-ils conserver leur avantage ?Real Madrid/Manchester City, les projecteurs braqués sur la deuxième manche de ce sommet prématuré, RFI en retransmettra demain l'intégralité, Cédric De Oliveira est notre envoyé spécial sur place.Liga : le FC Barcelone reprend les commandes !Les Blaugranas se sont imposés 1-0 contre le Rayo Vallecano. Vainqueurs symboliques, ils devancent les Merenges à la différence de buts, cap symbolique pour Lamine Yamal (100ᵉ match en pro), et un Barça invaincu depuis 12 rencontres. Un trio de tête dans un mouchoir, une lutte pour le titre pleine de suspense alors qu'il reste 14 journées à disputer !Sortie cinéma : Mercato de Tristan Séguéla, avec Jamel DebbouzeIl incarne Driss Berzane, agent de joueurs aux abois, qui lutte contre-la-montre pour effectuer un gros transfert. Notre consultant Nabil Djellit a indirectement collaboré au film !Autour d'Annie Gasnier, Nabil Djellit donc, mais aussi Chérif Ghemmour, David Lortholary et Marco Martins, de la rédaction lusophone. Technique/réalisation : Laurent Salerno - Coordination David Fintzel/Pierre Guérin.
Le FC Barcelone a repris la tête de la Liga hier soir grâce à sa victoire face au Rayo Vallecano. Pour autant, les joueurs d'Hansi Flick ont montré quelques signes d'inquiétude face à une des belles surprises de cette saison en Liga. Qu'avez-vous pensé de cette rencontre ? Qui vous émerveille côté Blaugrana ? Pensez-vous le Barça capable de tenir la cadence et de remporter le titre ? L'effectif est-il trop limité pour enchainer la Liga avec la Coupe du Roi et la Ligue des champions ? Monaco se déplace à Lisbonne ce soir pour le match retour de son barrage de Ligue des champions. Serait-ce un exploit de se qualifier sur la pelouse du Benfica ? Pensez-vous l'équipe d'Adi Hütter capable de ce genre de performances ? Mika Biereth peut-il guider cette équipe vers la qualification ?
Roman Doduik a été passer un weekend à Lisbonne avec sa copine. Et visiblement, il a apprécié... Retrouvez tous les jours le meilleur des Grosses Têtes en podcast sur RTL.fr et l'application RTL.
Bienvenue dans Radio Foot 16h10-21h10 T.U. nous discutons de : - Ligue des Champions, à l'issue des premiers matches aller des barrages : les Cityzens renversés par les Merengues. ; - Les autres rencontres de la soirée : Paris remet ça 10 jours après avoir corrigé Brest, le Onze de Luis Enrique a éteint la ferveur bretonne à Guingamp. - Ligue des Champions, à l'issue des premiers matches aller des barrages : les Cityzens renversés par les Merengues. Les Mancuniens se sont encore sabordés en fin de match (2 buts encaissés en 6 minutes). Mais les SkyBlues ont su profiter du deséquilibre collectif des Blancos, qui ont connu des temps forts en début de rencontre, sans parvenir à imposer leur jeu. 12 défaites en 38 rencontres toutes compétitions confondues, le champion d'Europe 2023 méconnaissable, le vainqueur de la dernière édition a gardé son calme, mais pris des buts. Ce court succès met-il les Madrilène à l'abri avant la 2e manche à domicile mercredi prochain?- Les autres rencontres de la soirée : Paris remet ça 10 jours après avoir corrigé Brest, le Onze de Luis Enrique a éteint la ferveur bretonne à Guingamp. 3 buts inscrits, difficile d'imaginer les hommes d'Éric Roy retourner les Parisiens comme des crèpes le 19 février. Dembélé, arme fatale du coach
Monaco s'est incliné mercredi au Stade Louis-II contre le Benfica Lisbonne (0-1) en barrages aller de la Ligue des champions après avoir disputé plus de 40 minutes à 10 contre 11, et devra l'emporter mardi au Portugal pour passer. Déjà battu par la formation portugaise à domicile (3-2), le 27 novembre dernier lors de la 5e journée de la phase de ligue de la compétition, Monaco devra réaliser un exploit au Stade de la Luz de Lisbonne pour espérer être le troisième club français en 8e de finale de la compétition.
La nouvelle loi restreint désormais la prise en charge des sans papiers aux urgences vitales. Immigration et santé publique À Lisbonne, le gouvernement supprime l'accès au système de santé publique des immigrés en situation irrégulière. Le texte résulte d'un rapprochement politique entre la droite et l'extrême droite. Dans le corps médical, de nombreux praticiens dénoncent les conséquences d'une telle décision pour les intéressés, mais aussi pour la santé publique en général. Reportage à Lisbonne, Marie-Line Darcy.À Madrid, le gouvernement suit le chemin inverse. Il a rétabli l'aide médicale aux étrangers - sous certaines conditions - dès 2018. Cette aide avait été supprimée par le gouvernement conservateur de Mariano Rajoy. Mais le socialiste Pedro Sanchez est allé encore plus loin avec l'adoption au printemps dernier (2024) de la loi d'universalité de l'accès aux soins. Elle permet à tout résident du pays d'avoir accès aux services de santé publique. Les explications de Diane Cambon. Intelligence artificielleAlors que la conférence internationale sur l'intelligence artificielle a ouvert ses portes à Paris, nous partons en Irlande, où l'Université de Dublin forme à l'usage de l'IA des enseignants bien décidés à ne pas se laisser dépasser par leurs élèves. Reportage Clémence Pénard.L'Union européenne en pointe sur l'encadrement de l'Intelligence artificielle : les premières dispositions de l'IA Act, le règlement IA, sont appliquées depuis le 2 février. Les explications de Frédérique Lebel. Allemagne : les turbulences de Friedrich MerzL'immigration est au cœur la campagne électorale en Allemagne, où le 1er débat télévisé entre le chef des conservateurs et le chancelier sortant s'est dimanche soir à deux semaines des législatives du 23 février. Olaf Scholz, dont le parti est en mauvaise posture dans les sondages, y a critiqué les projets de son très probable successeur, Friedrich Merz. Le chancelier a même déclaré avoir «perdu confiance» depuis que le chef de la CDU s'est appuyé sur l'extrême droite au Parlement. Friedrich Merz a bien affirmé qu'une alliance avec l'AFD n'aurait pas lieu, mais ses positions créent des turbulences. Portrait signé Anastasia Becchio.
La nouvelle loi restreint désormais la prise en charge des sans papiers aux urgences vitales. Immigration et santé publique À Lisbonne, le gouvernement supprime l'accès au système de santé publique des immigrés en situation irrégulière. Le texte résulte d'un rapprochement politique entre la droite et l'extrême droite. Dans le corps médical, de nombreux praticiens dénoncent les conséquences d'une telle décision pour les intéressés, mais aussi pour la santé publique en général. Reportage à Lisbonne, Marie-Line Darcy.À Madrid, le gouvernement suit le chemin inverse. Il a rétabli l'aide médicale aux étrangers - sous certaines conditions - dès 2018. Cette aide avait été supprimée par le gouvernement conservateur de Mariano Rajoy. Mais le socialiste Pedro Sanchez est allé encore plus loin avec l'adoption au printemps dernier (2024) de la loi d'universalité de l'accès aux soins. Elle permet à tout résident du pays d'avoir accès aux services de santé publique. Les explications de Diane Cambon. Intelligence artificielleAlors que la conférence internationale sur l'intelligence artificielle a ouvert ses portes à Paris, nous partons en Irlande, où l'Université de Dublin forme à l'usage de l'IA des enseignants bien décidés à ne pas se laisser dépasser par leurs élèves. Reportage Clémence Pénard.L'Union européenne en pointe sur l'encadrement de l'Intelligence artificielle : les premières dispositions de l'IA Act, le règlement IA, sont appliquées depuis le 2 février. Les explications de Frédérique Lebel. Allemagne : les turbulences de Friedrich MerzL'immigration est au cœur la campagne électorale en Allemagne, où le 1er débat télévisé entre le chef des conservateurs et le chancelier sortant s'est dimanche soir à deux semaines des législatives du 23 février. Olaf Scholz, dont le parti est en mauvaise posture dans les sondages, y a critiqué les projets de son très probable successeur, Friedrich Merz. Le chancelier a même déclaré avoir «perdu confiance» depuis que le chef de la CDU s'est appuyé sur l'extrême droite au Parlement. Friedrich Merz a bien affirmé qu'une alliance avec l'AFD n'aurait pas lieu, mais ses positions créent des turbulences. Portrait signé Anastasia Becchio.
Aujourd'hui je reçois Baptiste Landais afin de parler de son rôle en tant qu'entraineur adjoint de l'équipe de France CFJJB, de son club la Moka Team et de son projet Build For Future. Baptiste a un rôle central dans le développement du JJB en France aujourd'hui et il nous partage sa vision de la préparation mentale, du haut niveau et du futur du Jiu Jitsu dans l'hexagone. Nous sommes d'abord revenus sur son parcours et ses débuts en tant que compétiteur dans le JJB, ainsi que sur les moments difficiles qui l'ont forgé en tant que combattant. Nous avons ensuite longuement échangé sur les Championnats d'Europe IBJJF qui ont eu lieu à Lisbonne et sur son rôle en tant qu'entraineur de l'équipe de France CFJJB lors de cette compétition. Nous avons parlé des résultats, des erreurs, des axes d'amélioration et surtout de la dimension mentale et psychologique qui est au coeur des combats lors d'une compétitions de ce niveau là. Baptiste a partagé des anecdotes marquantes sur les performances des athlètes et sur le challenge d'être entraineur durant cette compétition. Enfin nous avons abordé la question du futur du Jiu Jitsu Brésilien en France et de l'importance qu'aura la préparation mentale dans son développement. Un épisode à coeur ouvert ou Baptiste partage sa philosophie en tant qu'entraineur, nous livre de précieux conseils et nous transmet un message plein d'honnêteté et d'optimisme pour l'avenir !Baptiste Landais : https://www.instagram.com/baptiste_stitulibjj/https://www.instagram.com/moka.team443/https://www.instagram.com/projet_buildforfutur/Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Bienvenue dans Radio Foot, deux émissions en direct ce mercredi 16h10-21h10 T.U. : - Ligue des champions, suite et la fin de la 7è journée. ; - Les rencontres d'hier : Belle affiche à Lisbonne entre Benfica et le Barça. - Ligue des Champions, suite et la fin de la 7è journée. PSG/Manchester City, un match qui vaut cher, 2 équipes en danger, qui veulent rester dans la compétition ! Des Parisiens souverains en championnat, mais au parcours européen chaotique. Des Mancuniens mal lotis aussi, qui semblent redresser la barre, après un gros passage à vide ! - Un face à face entre deux entraîneurs espagnols aux principes affirmés, une rencontre tactique ? - Shakhtar Donetsk/Brest, autre match crucial à Gelsenkirchen, entre un mal classé avec une grosse expérience européenne, et des Bretons en confiance, bien meilleurs en C1 qu'en championnat. – Objectif : 3 points pour le Real Madrid. Les Merengues restent sur 2 victoires (Coupe et Liga) et ne doivent pas se louper au stade Bernabeu face à Salzbourg. Ils se rendront à Brest dans une semaine, vont-ils accrocher la qualification directe ?- Les rencontres d'hier : belle affiche à Lisbonne entre Benfica et le Barça. Le triplé de Pavlidis n'a pas suffi aux Aigles. Les Catalans ont souffert avant de s'imposer au bout des arrêts de jeu. Doublé de Lewandowski, doublé de Raphinha, pluie de buts sous un déluge ! L'Europe convient mieux aux Blaugranas que le championnat ! - Autres gagnants sur le fil, les Madrilènes de l'Atlético. La rencontre promettait du spectacle, ce fut un match sous tension avec deux exclusions. Les Colchoneros ont réussi à renverser Leverkusen ! - Sursaut de Monaco ! Les joueurs du Rocher ont pris 3 points très importants contre Aston Villa (8è), la défense monégasque a su contenir Ollie Watkins ! Singo et ses coéquipiers se rassurent avant de rencontrer l'Inter - Lille tombe avec les honneurs à Anfield ! Mo Salah et Harvey Eliott ont mis fin à l'invincibilité lilloise. Liverpool a su attendre le bon moment, et réalise un sept sur sept !Avec Annie Gasnier ! Manu Terradillos, Ludovic Duchesne et Bruno Constant. - Technique/réalisation : Laurent Salerno. -- David Fintzel/Pierre Guérin.
Bienvenue dans Radio Foot, deux émissions en direct ce mercredi 16h10-21h10 T.U. : - Ligue des champions, suite et la fin de la 7è journée. ; - Les rencontres d'hier : Belle affiche à Lisbonne entre Benfica et le Barça. - Ligue des Champions, suite et la fin de la 7è journée. PSG/Manchester City, un match qui vaut cher, 2 équipes en danger, qui veulent rester dans la compétition ! Des Parisiens souverains en championnat, mais au parcours européen chaotique. Des Mancuniens mal lotis aussi, qui semblent redresser la barre, après un gros passage à vide ! - Un face à face entre deux entraîneurs espagnols aux principes affirmés, une rencontre tactique ? - Shakhtar Donetsk/Brest, autre match crucial à Gelsenkirchen, entre un mal classé avec une grosse expérience européenne, et des Bretons en confiance, bien meilleurs en C1 qu'en championnat. – Objectif : 3 points pour le Real Madrid. Les Merengues restent sur 2 victoires (Coupe et Liga) et ne doivent pas se louper au stade Bernabeu face à Salzbourg. Ils se rendront à Brest dans une semaine, vont-ils accrocher la qualification directe ?- Les rencontres d'hier : belle affiche à Lisbonne entre Benfica et le Barça. Le triplé de Pavlidis n'a pas suffi aux Aigles. Les Catalans ont souffert avant de s'imposer au bout des arrêts de jeu. Doublé de Lewandowski, doublé de Raphinha, pluie de buts sous un déluge ! L'Europe convient mieux aux Blaugranas que le championnat ! - Autres gagnants sur le fil, les Madrilènes de l'Atlético. La rencontre promettait du spectacle, ce fut un match sous tension avec deux exclusions. Les Colchoneros ont réussi à renverser Leverkusen ! - Sursaut de Monaco ! Les joueurs du Rocher ont pris 3 points très importants contre Aston Villa (8è), la défense monégasque a su contenir Ollie Watkins ! Singo et ses coéquipiers se rassurent avant de rencontrer l'Inter - Lille tombe avec les honneurs à Anfield ! Mo Salah et Harvey Eliott ont mis fin à l'invincibilité lilloise. Liverpool a su attendre le bon moment, et réalise un sept sur sept !Avec Annie Gasnier ! Manu Terradillos, Ludovic Duchesne et Bruno Constant. - Technique/réalisation : Laurent Salerno. -- David Fintzel/Pierre Guérin.
En amont de la saison France-Brésil 2025, la session live reçoit deux artistes de la diaspora brésilienne : Momo et Rio 77. Notre 1er invité est Momo pour la sortie de son 7e album GiraLondres compte un nouveau talent brésilien : Momo ! Il fait partie de la récente génération d'artistes influencés par les classiques brésiliens, du tropicalisme des années 70 à Os Mutantes, en passant pas Milton Nascimenton. L'album a été enregistré dans l'est de Londres au Total Refreshment Center, avec des musiciens brésiliens et anglais, issus de la foisonnante scène jazz londonienne.Après une odyssée musicale qui l'a mené de Rio de Janeiro à l'Angola, au Michigan, à l'Espagne et à Lisbonne, Momo vit à Londres depuis trois ans.Son premier album A Estética do Rabisco, sorti en 2006, est désigné comme l'un des meilleurs albums de l'année par le Chicago Reader et lui ouvre la voie. Ses fans s'appellent Patti Smith, David Byrne…Gira signifie bouger, c'est un album pour danser, donc enregistré dans les conditions du direct au Total Refreshment Center, un centre créatif qui est à la fois un espace de concert, un atelier d'artiste et un studio depuis sa création en 2012.Titres interprétés au grand studioPára (Feat. Jessica Lauren) Live RFIRio, extrait de l'album Joao Live RFILine Up : Marcelo Frota (voix, guitare acoustique), Caetano Malta (basse)Traduction : Eva MassySon : Jérémie Besset, Mathias Taylor, Camille Roch► Album Gira (Batov Rd 2024)Site internet - YouTube - FacebookPuis nous recevons Rio 77 #SessionLive pour la sortie de l'EP Cultura e CivilizaçãoRio 77 provient directement du Brésil et de la MPB, la Música Popular Brasileira. Un répertoire riche et immense dans lequel Rio 77, métissage de musiciens brésiliens, français et anglais, a puisé pour construire Cultura e Civilização.En ramenant en 2024 cette sélection 70s', Rio 77 a laissé le curseur temporel à sa place, pour agir uniquement sur celui de l'esthétique. Funk et jazz sont au service de la chanteuse Paula Mirhan, de Thomas Renwick, guitariste de la scène jazz funk parisienne, du trompettiste Rubinho Antunes (Hermeto Pascoal, Marcos Valle, Milton Nascimiento, Gilberto Gil, Criollo), de Rui Barossi (Tom Zé). Le groupe Rio 77 est complété par deux soufflants parisiens, Matthieu Huteau et François Morin, le pianiste londonien Dave O'Brien et Mauro Martins, batteur brésilien qui accompagne régulièrement Toquinho et Tania Maria.Bref, c'est la classe décontractée d'un costume en lin par une chaude soirée carioca, toujours pieds nus pour danser sur le sable.Titres interprétés au grand studioTantas Mães Live RFIPara Lennon e McCartney (Milton Nascimento), extrait de l'albumDisse me Disse Live RFILine Up : Paula Mirhan (chant), Rui Barossi (basse électrique), Thomas Renwick (guitare électrique), Dave O'Brien (claviers), Mauro Martins (batterie), Rubinho Antunes (trompette), François Morin (trombone) et Matthieu Huteau (saxophone).Son : Mathias Taylor, Jérémie Besset.► EP Cultura e Civilização (Cie Mamaya 2024)Site internet - YouTube Opéra Lyon 2024 - Facebook
En amont de la saison France-Brésil 2025, la session live reçoit deux artistes de la diaspora brésilienne : Momo et Rio 77. Notre 1er invité est Momo pour la sortie de son 7e album GiraLondres compte un nouveau talent brésilien : Momo ! Il fait partie de la récente génération d'artistes influencés par les classiques brésiliens, du tropicalisme des années 70 à Os Mutantes, en passant pas Milton Nascimenton. L'album a été enregistré dans l'est de Londres au Total Refreshment Center, avec des musiciens brésiliens et anglais, issus de la foisonnante scène jazz londonienne.Après une odyssée musicale qui l'a mené de Rio de Janeiro à l'Angola, au Michigan, à l'Espagne et à Lisbonne, Momo vit à Londres depuis trois ans.Son premier album A Estética do Rabisco, sorti en 2006, est désigné comme l'un des meilleurs albums de l'année par le Chicago Reader et lui ouvre la voie. Ses fans s'appellent Patti Smith, David Byrne…Gira signifie bouger, c'est un album pour danser, donc enregistré dans les conditions du direct au Total Refreshment Center, un centre créatif qui est à la fois un espace de concert, un atelier d'artiste et un studio depuis sa création en 2012.Titres interprétés au grand studioPára (Feat. Jessica Lauren) Live RFIRio, extrait de l'album Joao Live RFILine Up : Marcelo Frota (voix, guitare acoustique), Caetano Malta (basse)Traduction : Eva MassySon : Jérémie Besset, Mathias Taylor, Camille Roch► Album Gira (Batov Rd 2024)Site internet - YouTube - FacebookPuis nous recevons Rio 77 #SessionLive pour la sortie de l'EP Cultura e CivilizaçãoRio 77 provient directement du Brésil et de la MPB, la Música Popular Brasileira. Un répertoire riche et immense dans lequel Rio 77, métissage de musiciens brésiliens, français et anglais, a puisé pour construire Cultura e Civilização.En ramenant en 2024 cette sélection 70s', Rio 77 a laissé le curseur temporel à sa place, pour agir uniquement sur celui de l'esthétique. Funk et jazz sont au service de la chanteuse Paula Mirhan, de Thomas Renwick, guitariste de la scène jazz funk parisienne, du trompettiste Rubinho Antunes (Hermeto Pascoal, Marcos Valle, Milton Nascimiento, Gilberto Gil, Criollo), de Rui Barossi (Tom Zé). Le groupe Rio 77 est complété par deux soufflants parisiens, Matthieu Huteau et François Morin, le pianiste londonien Dave O'Brien et Mauro Martins, batteur brésilien qui accompagne régulièrement Toquinho et Tania Maria.Bref, c'est la classe décontractée d'un costume en lin par une chaude soirée carioca, toujours pieds nus pour danser sur le sable.Titres interprétés au grand studioTantas Mães Live RFIPara Lennon e McCartney (Milton Nascimento), extrait de l'albumDisse me Disse Live RFILine Up : Paula Mirhan (chant), Rui Barossi (basse électrique), Thomas Renwick (guitare électrique), Dave O'Brien (claviers), Mauro Martins (batterie), Rubinho Antunes (trompette), François Morin (trombone) et Matthieu Huteau (saxophone).Son : Mathias Taylor, Jérémie Besset.► EP Cultura e Civilização (Cie Mamaya 2024)Site internet - YouTube Opéra Lyon 2024 - Facebook
Dix ans après l'attentat jihadiste contre l'hebdomadaire satirique Charlie Hebdo, qu'en est-il de la liberté d'expression et des caricatures ? Au Danemark, le délit de blasphèmeC'est au Danemark que le journal Jyllands-Posten avait en premier publié en 2005 les caricatures de Mahomet. Reprises ensuite par Charlie Hebdo. Les deux publications entretenaient donc des liens très particuliers. Mais suite à des autodafés du Coran, le gouvernement danois a rétabli en 2023 le délit de blasphème. Aske Munck, journaliste danois correspondant à Paris du Weekendavisen, a suivi de très près ce dossier emblématique pour les deux pays.À lire aussiAu Danemark, l'esprit Charlie n'est plusAu Portugal, la caricature se porte bienEn témoigne le dessinateur multiprimé de l'Expresso Antonio. À 71 ans, il est une référence dans la profession et il a eu pour règle de toujours faire le dos rond en cas de polémique, y compris lorsqu'un de ses dessins publié dans le New York Times avait suscité un tollé. À Lisbonne, Marie-Line Darcy.Les fake news de l'Antiquité à nos joursLes réseaux sociaux, incroyable caisse de résonance pour les polémiques et les fake news... Mais les fausses nouvelles sont-elles contemporaines d'internet ? Sûrement pas, répond une exposition que vient d'ouvrir à Budapest la Maison européenne de l'Histoire. On y apprend que la falsification des faits, des documents et les montages de faux évènements remontent à l'Antiquité ! Le nouveau musée a pour ambition d'explorer le passé partagé des Européens en partenariat, et ce n'est pas un détail, avec l'Open Society du philanthrope américain George Soros, bête noire du régime hongrois. Visite à Budapest avec Florence Labruyère.Bulgarie, la fin des contrôles aux frontièresC'est effectif depuis ce mois-ci, la Bulgarie tout comme la Roumanie ont accédé pleinement à l'espace Schengen, soit l'espace européen sans frontières et sans contrôles. Il aura fallu attendre 18 ans après leur adhésion à l'Union européenne pour que cette ouverture soit effective. L'impact sur le commerce et les transports routiers a déjà été évalué, mais les particuliers aussi se réjouissent de cette mesure qui n'est pas que symbolique, car elle leur évitera de longues heures d'attente aux postes frontières. Reportage en Bulgarie de Damian Vodenitcharov.À lire aussiLa Roumanie et la Bulgarie dans l'espace Schengen: un coup de pouce bienvenu pour leurs économies
Du blues burkinabè de Soba à l'afro-latin tropical d'Ayom. (Rediffusion) Nos 1ers invités : le trio Soba pour la sortie du 1er album FimanFormé par le chanteur-guitariste Moussa Koita, l'harmoniciste Vincent Bucher et le batteur Émile Biayenda, Soba renoue les liens entre la chanson mandingue et le blues du Mississippi. Soit un afro-blues aussi rustique que lumineux, au moyen duquel le trio explore les recoins de l'âme humaine. Pour remonter aux racines du blues, il faut rejoindre le Mississippi depuis Chicago, naviguer vers le Sud jusqu'à la Nouvelle-Orléans via Memphis, puis embarquer pour les Caraïbes et finalement traverser l'Atlantique jusqu'aux rivages d'Afrique de l'Ouest depuis lesquels le rhizome se ramifie via les fleuves Niger et Congo. On peut lire Le pays où naquit le blues, d'Alan Lomax, ou regarder «Du Mali au Mississippi : Feel Like Going Home», de Martin Scorsese. On peut se plonger dans les enregistrements historiques, du pionnier américain W. C. Handy jusqu'au maître malien Ali Farka Touré. Pour tout comprendre des voyages qui forment l'éternelle jeunesse du blues, on peut enfin écouter un album lumineux grâce auquel tout s'éclaire : Fiman, du trio franco-burkinabè Soba. Soba désigne «la grande maison» en dioula, le parler mandingue notamment pratiqué au Burkina Faso. Foyer des retrouvailles amicales et des complicités musicales, Soba est le toit sous lequel se rencontrent Moussa Koita, Vincent Bucher et Émile Biayenda. La formation s'est échafaudée au fil des six dernières années, depuis que ses membres ont fait connaissance dans les projets des autres, jusqu'à vouloir ériger leur groupe sur les fondations du blues qu'ils ont en commun.Entre Moussa Koita et Vincent Bucher, la collaboration s'est ainsi nouée dans le groupe d'Abou Diarra, le maître malien du kamele n'goni qui creuse la source du blues mandingue. L'intuition s'est vite confirmée qu'ils étaient faits pour jouer ensemble. Guitariste et chanteur burkinabè, né dans une famille de griots de Bobo-Dioulasso, Moussa Koita a écumé l'underground parisien où sa réputation est élogieuse dans les domaines des musiques traditionnelles ouest-africaines, du reggae et de la soul, en plus de travailler avec le groupe Rivière noire et la chanteuse Kady Diarra. De vingt-deux ans son aîné, l'harmoniciste Vincent Bucher s'est d'abord passionné pour le blues originel. Immergé dans la « sono mondiale » parisienne du début des années 1980, puis complice de CharlElie Couture, Bill Deraime, Patrick Verbecke et du Heritage Blues Orchestra nommé aux Grammy Awards en 2013, il a noué des compagnonnages fructueux avec le polyinstrumentiste franco-malgache Tao Ravao et l'éminent guitariste malien Boubacar Traoré. À l'époque où les deux musiciens épaulent Abou Diarra, Moussa Koita développe déjà, avec une créativité prolixe, ses propres projets de chanson mandingue contemporaine sur lesquels Vincent Bucher pose parfois des parties d'harmonica. L'idée germe bientôt de jeter un pont avec le blues mississippien, dans son essence la plus rustique. Le duo vérifie rapidement que la connexion fonctionne. Pour bien faire, il ne manque plus qu'un batteur-percussionniste qui indiquerait la rythmique inhérente au genre. Musicien parmi les plus prisés de la diaspora subsaharienne, explorateur des hybridations entre le jazz et les rituels ancestraux, au point de s'immerger pendant six mois avec les pygmées Mbenga, Émile Biayenda est tout indiqué. Après avoir côtoyé Vincent Bucher avec Tao Ravao et les Tambours de Brazza, il a fait la connaissance de Moussa Koita dans le groupe de Sam Mangwana, légende de la rumba congolaise. Moussa, Vincent, Émile : les astres sont alignés. Le trio est né.Titres interprétés au grand studio- Fiman Live RFI- Horonke, extrait de l'album- Tounga Live RFILine Up : Moussa Koita (chant, guitare), Vincent Bucher (harmonica) et Emile Biayenda (batterie, cajon).Son : Mathias Taylor, Benoît Letirant et Camille Roch► Album Fiman (MDC/Pias Integral 2024)YouTube - facebook - instagramPuis nous recevons le groupe Ayom pour la sortie de l'album SaLiVa.Ayom est un groupe de 6 voyageurs : Jabu, une Brésilienne ; Alberto, un Italien résidant en Espagne ; Timoteo, d'origine grecque et italienne ; Francesco, également Italien, Ricardo et Walter, tous deux Angolais. Ils se sont réunis autour d'une passion commune pour la musique de la diaspora africaine et lusophone en particulier (Brésil, Angola, Cap-Vert), et trouvé à Lisbonne, une sorte de patrie.Après avoir joué avec le Black Atlantic Tour dans le monde entier, Ayom sort l'album Sa.Li.Va, un acronyme représentant 3 impulsions : « SA-grado » (sacralité), « LI-berdade » (liberté et amour) et « VA-lentia » (courage).L'album est une trilogie, avec 3 titres reliés au Sacré, 3 autres qui célèbrent la liberté, l'amour et la vie, et les 3 dernières qui abordent les thèmes de lutte contre les injustices, le racisme, la machisme et la colonisation. Sur cet album, on chante en italien, en portugais ou en yoruba.Titres interprétés au grand studio- Filhos da Seca Live RFI- Vestido de Fogo, extrait de l'album- Eu Me Quero Mais Live RFILine Up : Jabu Morales (chant, percussions), Timoteo Grignani (percussions), Alberto Becucci (accordéon) et Ricardo Quinteira (guitare électrique)Son : Mathias Taylor, Benoît Letirant et Camille Roch► Album Sa Li Va (Ayom music, l'Autre Dist. 2024)Site - facebook - YouTubeÀ lire dans The GuardianRéalisation : Donatien Cahu
Du blues burkinabè de Soba à l'afro-latin tropical d'Ayom. (Rediffusion) Nos 1ers invités : le trio Soba pour la sortie du 1er album FimanFormé par le chanteur-guitariste Moussa Koita, l'harmoniciste Vincent Bucher et le batteur Émile Biayenda, Soba renoue les liens entre la chanson mandingue et le blues du Mississippi. Soit un afro-blues aussi rustique que lumineux, au moyen duquel le trio explore les recoins de l'âme humaine. Pour remonter aux racines du blues, il faut rejoindre le Mississippi depuis Chicago, naviguer vers le Sud jusqu'à la Nouvelle-Orléans via Memphis, puis embarquer pour les Caraïbes et finalement traverser l'Atlantique jusqu'aux rivages d'Afrique de l'Ouest depuis lesquels le rhizome se ramifie via les fleuves Niger et Congo. On peut lire Le pays où naquit le blues, d'Alan Lomax, ou regarder «Du Mali au Mississippi : Feel Like Going Home», de Martin Scorsese. On peut se plonger dans les enregistrements historiques, du pionnier américain W. C. Handy jusqu'au maître malien Ali Farka Touré. Pour tout comprendre des voyages qui forment l'éternelle jeunesse du blues, on peut enfin écouter un album lumineux grâce auquel tout s'éclaire : Fiman, du trio franco-burkinabè Soba. Soba désigne «la grande maison» en dioula, le parler mandingue notamment pratiqué au Burkina Faso. Foyer des retrouvailles amicales et des complicités musicales, Soba est le toit sous lequel se rencontrent Moussa Koita, Vincent Bucher et Émile Biayenda. La formation s'est échafaudée au fil des six dernières années, depuis que ses membres ont fait connaissance dans les projets des autres, jusqu'à vouloir ériger leur groupe sur les fondations du blues qu'ils ont en commun.Entre Moussa Koita et Vincent Bucher, la collaboration s'est ainsi nouée dans le groupe d'Abou Diarra, le maître malien du kamele n'goni qui creuse la source du blues mandingue. L'intuition s'est vite confirmée qu'ils étaient faits pour jouer ensemble. Guitariste et chanteur burkinabè, né dans une famille de griots de Bobo-Dioulasso, Moussa Koita a écumé l'underground parisien où sa réputation est élogieuse dans les domaines des musiques traditionnelles ouest-africaines, du reggae et de la soul, en plus de travailler avec le groupe Rivière noire et la chanteuse Kady Diarra. De vingt-deux ans son aîné, l'harmoniciste Vincent Bucher s'est d'abord passionné pour le blues originel. Immergé dans la « sono mondiale » parisienne du début des années 1980, puis complice de CharlElie Couture, Bill Deraime, Patrick Verbecke et du Heritage Blues Orchestra nommé aux Grammy Awards en 2013, il a noué des compagnonnages fructueux avec le polyinstrumentiste franco-malgache Tao Ravao et l'éminent guitariste malien Boubacar Traoré. À l'époque où les deux musiciens épaulent Abou Diarra, Moussa Koita développe déjà, avec une créativité prolixe, ses propres projets de chanson mandingue contemporaine sur lesquels Vincent Bucher pose parfois des parties d'harmonica. L'idée germe bientôt de jeter un pont avec le blues mississippien, dans son essence la plus rustique. Le duo vérifie rapidement que la connexion fonctionne. Pour bien faire, il ne manque plus qu'un batteur-percussionniste qui indiquerait la rythmique inhérente au genre. Musicien parmi les plus prisés de la diaspora subsaharienne, explorateur des hybridations entre le jazz et les rituels ancestraux, au point de s'immerger pendant six mois avec les pygmées Mbenga, Émile Biayenda est tout indiqué. Après avoir côtoyé Vincent Bucher avec Tao Ravao et les Tambours de Brazza, il a fait la connaissance de Moussa Koita dans le groupe de Sam Mangwana, légende de la rumba congolaise. Moussa, Vincent, Émile : les astres sont alignés. Le trio est né.Titres interprétés au grand studio- Fiman Live RFI- Horonke, extrait de l'album- Tounga Live RFILine Up : Moussa Koita (chant, guitare), Vincent Bucher (harmonica) et Emile Biayenda (batterie, cajon).Son : Mathias Taylor, Benoît Letirant et Camille Roch► Album Fiman (MDC/Pias Integral 2024)YouTube - facebook - instagramPuis nous recevons le groupe Ayom pour la sortie de l'album SaLiVa.Ayom est un groupe de 6 voyageurs : Jabu, une Brésilienne ; Alberto, un Italien résidant en Espagne ; Timoteo, d'origine grecque et italienne ; Francesco, également Italien, Ricardo et Walter, tous deux Angolais. Ils se sont réunis autour d'une passion commune pour la musique de la diaspora africaine et lusophone en particulier (Brésil, Angola, Cap-Vert), et trouvé à Lisbonne, une sorte de patrie.Après avoir joué avec le Black Atlantic Tour dans le monde entier, Ayom sort l'album Sa.Li.Va, un acronyme représentant 3 impulsions : « SA-grado » (sacralité), « LI-berdade » (liberté et amour) et « VA-lentia » (courage).L'album est une trilogie, avec 3 titres reliés au Sacré, 3 autres qui célèbrent la liberté, l'amour et la vie, et les 3 dernières qui abordent les thèmes de lutte contre les injustices, le racisme, la machisme et la colonisation. Sur cet album, on chante en italien, en portugais ou en yoruba.Titres interprétés au grand studio- Filhos da Seca Live RFI- Vestido de Fogo, extrait de l'album- Eu Me Quero Mais Live RFILine Up : Jabu Morales (chant, percussions), Timoteo Grignani (percussions), Alberto Becucci (accordéon) et Ricardo Quinteira (guitare électrique)Son : Mathias Taylor, Benoît Letirant et Camille Roch► Album Sa Li Va (Ayom music, l'Autre Dist. 2024)Site - facebook - YouTubeÀ lire dans The GuardianRéalisation : Donatien Cahu
Pour cet épisode 88, je suis parti à la rencontre de Crapule 2000, le sulfureux trublion du graffiti et des réseaux sociaux.Enregistrée dans les rues de Lisbonne, lors de son escapade au Portugal, cette conversation sincère et intense nous plonge, sans détour, dans son univers : une aventure où se mêlent lifestyle, amitié, passion pour le graffiti et stratégie marketing.Bonne écoute!Fuzi Merci à Maodea pour le mixage. Si vous aimez ce podcast, merci de nous soutenir via Patreon !Engagez-vous pour protéger notre indépendance et bénéficiez d'épisodes exclusifs, d'un accès anticipé aux nouveaux épisodes, ainsi que des coulisses et secrets de leur création. C'est à nous, par nous, pour nous ! --- Support this podcast: https://podcasters.spotify.com/pod/show/fuzi/support
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