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C dans l'air l'invité du 16 décembre 2025 avec Éric Ciotti, député UDR des Alpes-Maritimes.Emmanuel Macron a entamé mardi une visite à Marseille en se rendant sur la tombe de Mehdi Kessaci, assassiné il y a un mois, sans doute pour intimider son frère Amine, militant qui dénonce l'emprise des réseaux de trafic drogue. A cette occasion, le président a promis de mener une "guerre aux réseaux qui tuent des jeunes innocents pour intimider, pour faire peur", promettant qu'il "n'y a aucune chance qu'ils (les réseaux) gagnent". Il a affiché sa volonté d'aller "chercher dans les pays où sont les têtes de réseau de la coopération, pour pouvoir saisir leurs biens, pour pouvoir arrêter les têtes de réseau, nous les restituer". Concernant les consommateurs, dont il fustige régulièrement la responsabilité, le chef d'Etat a annoncé un passage à 500 euros, contre 200 actuellement, de l'amende forfaitaire délictuelle.Au Parlement, le casse-tête budgétaire continue. Alors que le budget de la Sécurité sociale revient à l'assemblée pour un ultime vote, le PLF va être envoyé en commission mixte paritaire vendredi. Le gouvernement a déjà appelé à des «concessions» pour réduire le déficit, jugé trop élevé en l'état. En commission mixte paritaire, le compromis promet d'être difficile à trouver.La position ferme de LR et de son patron Bruno Retailleau, se heurte actuellement aux demandes des socialistes, en quête d'une concession sur la taxation des entreprises ou des hauts patrimoines. «La droite sénatoriale a karchérisé les apports de l'Assemblée nationale. Ce n'est pas avec cela qu'on réussira à aboutir à un accord», a quant à lui attaqué le président des sénateurs socialistes, Patrick Kanner.
EXCLU PDOCAST - Aujourd'hui, autour de la table : Barbara Lefebvre, Jérôme Marty et Jean-Loup Bonnamy.
À quel point le mouvement MAGA, pour Make America Great Again, peut-il influencer des formations politiques chez nous? Le mouvement de Donald Trump a déjà plusieurs points communs idéologiques avec des partis d'extrême droite en Europe. Ils poursuivent les mêmes obsessions....mais l'influence pourrait se muer en soutien bien plus organisé.. Comment pourrait se matérialiser ce soutien ? Quels sont les partis concernés? Et que serait l'intérêt des uns et des autres? C'est ce qu'on va voir avec la cheffe du pôle Idées, Véronique Lamquin.« À propos », c'est notre sélection de l'actualité, du lundi au vendredi dès 5 heures sur Le Soir et votre plateforme de podcasts préférée. Retrouvez tous les podcasts du journal « Le Soir » sur https://podcasts.lesoir.be
Partie 1/2 - Après la diabolisation : Patronat, médias, RN, cartographie d'une porositéUn face-à-face sur un angle brûlant de la vie publique française: le rapprochement entre une partie des milieux d'affaires et le Rassemblement National.À partir de son enquête « Collaboration », Laurent Mauduit, cofondateur de Mediapart, retrace la fin progressive du barrage républicain, l'influence des médias détenus par de grands groupes, et les calculs d'intérêt qui redessinent les liens entre pouvoir politique, patronat et opinion. On questionne la compatibilité réelle du RN avec un agenda pro business, les parallèles utiles et les limites avec les années 1930, le poids des acteurs médiatiques, et les garde-fous encore opérationnels en France et en Europe.
Partie 2/2 - Après la diabolisation : Patronat, médias, RN, cartographie d'une porositéUn face-à-face sur un angle brûlant de la vie publique française: le rapprochement entre une partie des milieux d'affaires et le Rassemblement National.À partir de son enquête « Collaboration », Laurent Mauduit, cofondateur de Mediapart, retrace la fin progressive du barrage républicain, l'influence des médias détenus par de grands groupes, et les calculs d'intérêt qui redessinent les liens entre pouvoir politique, patronat et opinion. On questionne la compatibilité réelle du RN avec un agenda pro business, les parallèles utiles et les limites avec les années 1930, le poids des acteurs médiatiques, et les garde-fous encore opérationnels en France et en Europe.
durée : 00:15:50 - Journal de 8 h - Avec environ 58% des voix, le leader d'extrême droite José Antonio Kast a été élu dimanche président du Chili, battant sa rivale de gauche Jeannette Jara qui obtient 42% des suffrages.
durée : 00:13:50 - L'invité d'un jour dans le monde - José Antonio Kast, leader d'extrême droite, a remporté les élections présidentielles avec près de 60 % des voix ce dimanche. On en parle avec Franck Gaudichaud, Professeur des universités en histoire et études des Amériques latines contemporaines à l'Université Toulouse Jean Jaurès. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:36:57 - Le 18/20 · Un jour dans le monde - Une victoire haut la main du candidat José Antonio Kast. Une victoire qui marque aussi, au Chili, 35 ans après la fin de la dictature, le retour d'un Pinochisme revendiqué. Le résultat des urnes montre que ce sont notamment les jeunes hommes avec un sentiment de déclassement qui ont voté pour Kast. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:15:50 - Journal de 8 h - Avec environ 58% des voix, le leader d'extrême droite José Antonio Kast a été élu dimanche président du Chili, battant sa rivale de gauche Jeannette Jara qui obtient 42% des suffrages.
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durée : 00:36:57 - Le 18/20 · Un jour dans le monde - Une victoire haut la main du candidat José Antonio Kast. Une victoire qui marque aussi, au Chili, 35 ans après la fin de la dictature, le retour d'un Pinochisme revendiqué. Le résultat des urnes montre que ce sont notamment les jeunes hommes avec un sentiment de déclassement qui ont voté pour Kast. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Ce lundi 15 décembre, le nouveau président du Chili, qui est le dirigeant le plus à droite jamais connu depuis la fin de la dictature Pinochet, et surtout un nouvel allié pour Donald Trump, a été abordé par Annalisa Cappellini dans sa chronique, dans l'émission Good Morning Business, présentée par Laure Closier, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
durée : 00:15:50 - Journal de 8 h - Avec environ 58% des voix, le leader d'extrême droite José Antonio Kast a été élu dimanche président du Chili, battant sa rivale de gauche Jeannette Jara qui obtient 42% des suffrages.
Retrouvez les partis pris de Louis Sarkozy le Lundi et le Mercredi dans votre chronique "Voix de droite" sur RMC.
À quel point le mouvement MAGA, pour Make America Great Again, peut-il influencer des formations politiques chez nous? Le mouvement de Donald Trump a déjà plusieurs points communs idéologiques avec des partis d'extrême droite en Europe. Ils poursuivent les mêmes obsessions....mais l'influence pourrait se muer en soutien bien plus organisé.. Comment pourrait se matérialiser ce soutien ? Quels sont les partis concernés? Et que serait l'intérêt des uns et des autres? C'est ce qu'on va voir avec la cheffe du pôle Idées, Véronique Lamquin.
À Santiago au Chili, où les bureaux de vote sont ouverts, le second tour de l'élection présidentielle se joue entre la candidate de gauche, Jeannette Jara, arrivée en tête au premier tour et le candidat d'extrême droite, José Antonio Kast. Celui-ci est favori puisqu'il pourrait bénéficier du report des voix de la droite. José Antonio Kast sera-t-il le prochain président du Chili ? Antoine Maillet, professeur à la faculté de gouvernement de l'université du Chili et chercheur au Centre d'études du conflit et de la cohésion sociale, est l'Invité international de ce dimanche 14 décembre. À lire aussiAu Chili, l'extrême droite part favorite du second tour de la présidentielle
durée : 00:55:02 - Le Grand Face-à-face - Comment est née l'extrême droite en France ? Et l'union des droites est-elle possible ? Débat avec l'historien du politique, spécialiste des droites, Baptiste Roger-Lacan. Il vient de diriger une "Nouvelle Histoire de l'Extrême Droite" aux éditions du Seuil. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:55:02 - Le Grand Face-à-face - Comment est née l'extrême droite en France ? Et l'union des droites est-elle possible ? Débat avec l'historien du politique, spécialiste des droites, Baptiste Roger-Lacan. Il vient de diriger une "Nouvelle Histoire de l'Extrême Droite" aux éditions du Seuil. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
« Tout le monde doit se réveiller ! » alerte Cécile Duflot face au risque de victoire de l'extrême droite en 2027. Elle plaide pour une coalition autour d'un « pacte collectif » pour pouvoir gagner dans les urnes.Cécile Duflot est directrice d'Oxfam France, après avoir été secrétaire nationale d'Europe Écologie-Les Verts et ministre du Logement. Elle publie Gagnons ! (ed. Les Petits matins). Face au RN, « la bagarre va être difficile, mais il faut la mener avec l'idée de la possibilité d'une victoire dans les urnes ». Et pour ce faire, elle propose d'élargir le débat au-delà du cercle des partis de gauche, bloqués dans une impasse, pour élaborer un socle commun répondant aux enjeux quotidiens des classes moyennes et populaires.Elle est interviewée par Hervé Kempf, directeur de la publication de Reporterre, dans la série "Le Monde d'après", qui dessine comment on va vivre écologiquement et dans la justice sociale.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Une femme demande une aide à mourir mais doit débourser une grosse somme d’argent | Peter Pan pour la première fois au Québec | Un homme commandite des incendie depuis sa cellule | Les 20 ans de la légalité des clubs échangistes | Bilan de l’année 2025 avec les auditeurs Dans cet épisode intégral du 10 décembre, en entrevue : Luc Guérin, metteur en scène Andrée Allard et Matéo Lapointe, co-propriétaires du Club L Une production QUB Décembre 2025Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Hausse des loyers: Montréal figure en tête de liste | Pablo Rodriguez pourra-t-il tenir le coup? | C’est le début du 24h Tremblant! | Un député conservateur change de camp: Pierre Poilievre lui lance une petite flèche… | Une performance incroyable de Fowler avec le CH de Montréal Dans cet épisode intégral du 10 décembre, en entrevue : Francis Cortellino, économiste du marché immobilier à la Société canadienne d’hypothèques et de logement (SCHL). Simon St-Arnaud, producteur exécutif du 24h Tremblant. Pierre Poilievre, chef du Parti Conservateur du Canada. Une production QUB Décembre 2025Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
L'organisme est devenu la bête noire de l'extrême droite et risque de disparaître si elle arrive au pouvoir. Marcelo Wesfreid nous détaille les raisons de ces critiques permanentes.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C dans l'air l'invité du 10 décembre 2025 avec Michel Barnier, député LR de Paris, ancien Premier ministre, également ancien vice-président de la Commission européenne, et commissaire européen au Marché intérieur.Sébastien Lecornu a salué l'adoption hier du budget de la Sécurité sociale en nouvelle lecture à l'Assemblée, "après un débat exigeant, sans 49.3" et grâce à une "majorité de responsabilité" qui "montre que le compromis n'est pas un slogan". Il a "remercié" les députés qui soutiennent son gouvernement et ont voté le texte "parfois éloigné de leurs propres convictions", alors que les députés Horizons se sont majoritairement abstenus, ne soutenant pas la suspension de la réforme des retraites concédée aux socialistes, ainsi que les Républicains bien que plus partagés.Les députés ont donc voté ce mardi pour le budget de la Sécurité sociale, à 13 voix près, offrant un soulagement certain au gouvernement. De son côté, le Projet de loi de finances (PLF), rejeté à l'Assemblée nationale le 21 novembre, est encore en discussion au Sénat. La France a un budget 2026, ou presque. L'Assemblée nationale a voté la partie dépenses du Projet de loi de finances de la Sécurité sociale (PLFSS) par treize voix d'écart. Cela devrait se traduire par un déficit de la "Sécu" limité à 19,6 milliards d'euros en 2026. Parmi les mesures phares du projet, il y a effectivement la suspension de la réforme des retraites, le congé de naissance, qui sert l'objectif de "réarmement démographique" d'Emmanuel Macron, ou encore une surtaxe exceptionnelle sur les mutuelles.Dans une récente tribune aux Echos, Michel Barnier avait indiqué qu'il ne voterait pas ce budget. "On ne doit jamais marchander l'équilibre et la pérennité de notre modèle social au prix de petits calculs politiques irresponsables et de courte vue", estime-t-il. "L'esprit de compromis ne doit pas conduire à tout céder, à tout brader", a-t-il ajouté. Dans C dans l'air l'invité, il réagira au vote du budget de la Sécurité sociale, survenu hier soir à l'Assemblée.
C dans l'air l'invité du 10 décembre 2025 avec Michel Barnier, député LR de Paris, ancien Premier ministre, également ancien vice-président de la Commission européenne, et commissaire européen au Marché intérieur.Sébastien Lecornu a salué l'adoption hier du budget de la Sécurité sociale en nouvelle lecture à l'Assemblée, "après un débat exigeant, sans 49.3" et grâce à une "majorité de responsabilité" qui "montre que le compromis n'est pas un slogan". Il a "remercié" les députés qui soutiennent son gouvernement et ont voté le texte "parfois éloigné de leurs propres convictions", alors que les députés Horizons se sont majoritairement abstenus, ne soutenant pas la suspension de la réforme des retraites concédée aux socialistes, ainsi que les Républicains bien que plus partagés.Les députés ont donc voté ce mardi pour le budget de la Sécurité sociale, à 13 voix près, offrant un soulagement certain au gouvernement. De son côté, le Projet de loi de finances (PLF), rejeté à l'Assemblée nationale le 21 novembre, est encore en discussion au Sénat. La France a un budget 2026, ou presque. L'Assemblée nationale a voté la partie dépenses du Projet de loi de finances de la Sécurité sociale (PLFSS) par treize voix d'écart. Cela devrait se traduire par un déficit de la "Sécu" limité à 19,6 milliards d'euros en 2026. Parmi les mesures phares du projet, il y a effectivement la suspension de la réforme des retraites, le congé de naissance, qui sert l'objectif de "réarmement démographique" d'Emmanuel Macron, ou encore une surtaxe exceptionnelle sur les mutuelles.Dans une récente tribune aux Echos, Michel Barnier avait indiqué qu'il ne voterait pas ce budget. "On ne doit jamais marchander l'équilibre et la pérennité de notre modèle social au prix de petits calculs politiques irresponsables et de courte vue", estime-t-il. "L'esprit de compromis ne doit pas conduire à tout céder, à tout brader", a-t-il ajouté. Dans C dans l'air l'invité, il réagira au vote du budget de la Sécurité sociale, survenu hier soir à l'Assemblée.
Pour débuter l'émission de ce jeudi 11 décembre 2025, les GG : Emmanuel de Villiers, chef d'entreprise, Joëlle Dago-Serry, coache de vie, et Mourad Boudjellal, éditeur de BD, débattent du sujet du jour : Laurent Wauquiez, le fossoyeur de la droite ?
La droite, qui a trop souvent changé de nom ces dernières années, doit rester elle-même : intraitable sur les sujets régaliens et imbattable sur le fonctionnement de l'économie.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque matin dans son édito, Alexis Brezet, directeur des rédactions du Figaro, revient sur l'actualité politique du jour. Ce jeudi, il revient sur le vote de la droite concernant le PLFSS. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:03:15 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Dans une interview à Politico, qui survient au lendemain de la publication de la Stratégie de sécurité nationale, Donald Trump redouble de critiques pour l'Europe, « faible » et « déclinante » ; contre l'Ukraine qui n'a aucune chance car la Russie est la plus grande… Pourquoi tant de haine ? Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
C dans l'air du 10 décembre 2025 - Lecornu dompte l'Assemblée, Sarkozy dynamite la droiteÀ 13 voix près, le budget de la Sécurité sociale a été adopté hier soir à l'Assemblée nationale. Jusqu'au bout, l'issue du vote semblait incertaine. Finalement, la stratégie adoptée par le Premier ministre s'est, sur ce texte, révélée payante : Sébastien Lecornu a tenu son engagement de ne pas utiliser l'article 49-3 et d'obtenir le soutien ou la neutralité des groupes d'opposition socialistes et écologistes, à coups de concessions accordées jusqu'au dernier moment. Nommé il y a trois mois à Matignon, le Premier ministre sort provisoirement renforcé de ce scrutin à haut risque qui a révélé une Assemblée nationale profondément éclatée, où les alliances habituelles se sont brouillées.Si les groupes Renaissance et MoDem ont serré les rangs, les LR ont majoritairement choisi l'abstention, suivant la ligne de Laurent Wauquiez. Du côté du Parti socialiste, où 63 députés sur 69 ont voté pour ce budget de la Sécurité sociale, on assume une volonté « d'être utile » et l'on défend des victoires : suspension de la réforme des retraites, pas de gel des pensions ni de doublement des franchises médicales, ou encore rehaussement de l'enveloppe allouée à l'Ondam à 3 %.La France insoumise, de son côté, dénonce un « changement d'alliance » des socialistes et une trahison. Les députés du groupe présidé par Mathilde Panot ont unanimement rejeté le PLFSS, pointant « une aberration budgétaire ». Même unanimité du côté du RN, qui jugeait très probable un rejet du texte et appelait depuis plusieurs jours à une nouvelle dissolution.Et maintenant ? Le budget de la Sécu va repartir au Sénat, puis revenir à l'Assemblée nationale en vue d'une dernière lecture qui pourrait intervenir le 16 décembre. Après cette étape décisive pour le budget de la Sécurité sociale, le budget de l'État pour 2026 va de nouveau faire l'objet de toutes les attentions. Sébastien Lecornu a réaffirmé ce mercredi en Conseil des ministres que son « objectif » était « de doter la France d'un budget de l'État d'ici au 31 décembre », jugeant que c'était « possible », a rapporté la porte-parole du gouvernement. Mais « si un accord est impossible entre l'Assemblée nationale et le Sénat », qui doivent se réunir en « commission mixte paritaire » le 19 décembre, « nous poursuivrons probablement ces discussions en janvier », a déclaré Maud Bregeon sur France 2. Aussi, pour éviter un blocage des finances publiques, Matignon et Bercy ont déjà commencé à préparer une « loi spéciale », comme l'a indiqué le ministre des Relations avec le Parlement, Laurent Panifous, lors d'une réunion au Sénat.Alors que l'examen des textes budgétaires pour l'an prochain va continuer à animer les discussions parlementaires, un rapport publié ce lundi 8 décembre pour le think tank Terra Nova, intitulé « Comptes publics : en finir avec le n'importe quoi (qu'il en coûte) », fait parler de lui. Dans ce document, l'économiste Guillaume Hannezo préconise deux mesures pour enrayer l'élargissement de la dette : réduire le taux d'épargne des retraités et relever la taxe sur la valeur ajoutée. Il a accordé une interview à nos journalistes.Alors, quelles sont les principales mesures du PLFSS pour 2026 ? Quelles sont les leçons de ce vote sur le budget de la Sécurité sociale à l'Assemblée nationale ? Enfin, que contient le dernier livre de Nicolas Sarkozy, Le Journal d'un prisonnier ?Nos experts :- Jérôme JAFFRÉ - Politologue, chercheur associé au CEVIPOF - Cécile CORNUDET - éditorialiste politique aux Échos - Soazig QUEMENER - Rédactrice en chef à la Tribune Dimanche - Sylvie PIERRE BROSSOLETTE - Editorialiste politique au Point
C dans l'air du 10 décembre 2025 - Lecornu dompte l'Assemblée, Sarkozy dynamite la droiteÀ 13 voix près, le budget de la Sécurité sociale a été adopté hier soir à l'Assemblée nationale. Jusqu'au bout, l'issue du vote semblait incertaine. Finalement, la stratégie adoptée par le Premier ministre s'est, sur ce texte, révélée payante : Sébastien Lecornu a tenu son engagement de ne pas utiliser l'article 49-3 et d'obtenir le soutien ou la neutralité des groupes d'opposition socialistes et écologistes, à coups de concessions accordées jusqu'au dernier moment. Nommé il y a trois mois à Matignon, le Premier ministre sort provisoirement renforcé de ce scrutin à haut risque qui a révélé une Assemblée nationale profondément éclatée, où les alliances habituelles se sont brouillées.Si les groupes Renaissance et MoDem ont serré les rangs, les LR ont majoritairement choisi l'abstention, suivant la ligne de Laurent Wauquiez. Du côté du Parti socialiste, où 63 députés sur 69 ont voté pour ce budget de la Sécurité sociale, on assume une volonté « d'être utile » et l'on défend des victoires : suspension de la réforme des retraites, pas de gel des pensions ni de doublement des franchises médicales, ou encore rehaussement de l'enveloppe allouée à l'Ondam à 3 %.La France insoumise, de son côté, dénonce un « changement d'alliance » des socialistes et une trahison. Les députés du groupe présidé par Mathilde Panot ont unanimement rejeté le PLFSS, pointant « une aberration budgétaire ». Même unanimité du côté du RN, qui jugeait très probable un rejet du texte et appelait depuis plusieurs jours à une nouvelle dissolution.Et maintenant ? Le budget de la Sécu va repartir au Sénat, puis revenir à l'Assemblée nationale en vue d'une dernière lecture qui pourrait intervenir le 16 décembre. Après cette étape décisive pour le budget de la Sécurité sociale, le budget de l'État pour 2026 va de nouveau faire l'objet de toutes les attentions. Sébastien Lecornu a réaffirmé ce mercredi en Conseil des ministres que son « objectif » était « de doter la France d'un budget de l'État d'ici au 31 décembre », jugeant que c'était « possible », a rapporté la porte-parole du gouvernement. Mais « si un accord est impossible entre l'Assemblée nationale et le Sénat », qui doivent se réunir en « commission mixte paritaire » le 19 décembre, « nous poursuivrons probablement ces discussions en janvier », a déclaré Maud Bregeon sur France 2. Aussi, pour éviter un blocage des finances publiques, Matignon et Bercy ont déjà commencé à préparer une « loi spéciale », comme l'a indiqué le ministre des Relations avec le Parlement, Laurent Panifous, lors d'une réunion au Sénat.Alors que l'examen des textes budgétaires pour l'an prochain va continuer à animer les discussions parlementaires, un rapport publié ce lundi 8 décembre pour le think tank Terra Nova, intitulé « Comptes publics : en finir avec le n'importe quoi (qu'il en coûte) », fait parler de lui. Dans ce document, l'économiste Guillaume Hannezo préconise deux mesures pour enrayer l'élargissement de la dette : réduire le taux d'épargne des retraités et relever la taxe sur la valeur ajoutée. Il a accordé une interview à nos journalistes.Alors, quelles sont les principales mesures du PLFSS pour 2026 ? Quelles sont les leçons de ce vote sur le budget de la Sécurité sociale à l'Assemblée nationale ? Enfin, que contient le dernier livre de Nicolas Sarkozy, Le Journal d'un prisonnier ?Nos experts :- Jérôme JAFFRÉ - Politologue, chercheur associé au CEVIPOF - Cécile CORNUDET - éditorialiste politique aux Échos - Soazig QUEMENER - Rédactrice en chef à la Tribune Dimanche - Sylvie PIERRE BROSSOLETTE - Editorialiste politique au Point
C dans l'air du 10 décembre 2025 - Lecornu dompte l'Assemblée, Sarkozy dynamite la droiteNos experts :- Jérôme JAFFRÉ - Politologue, chercheur associé au CEVIPOF - Cécile CORNUDET - éditorialiste politique aux Échos - Soazig QUEMENER - Rédactrice en chef à la Tribune Dimanche - Sylvie PIERRE BROSSOLETTE - Editorialiste politique au Point
C dans l'air du 10 décembre 2025 - Lecornu dompte l'Assemblée, Sarkozy dynamite la droiteNos experts :- Jérôme JAFFRÉ - Politologue, chercheur associé au CEVIPOF - Cécile CORNUDET - éditorialiste politique aux Échos - Soazig QUEMENER - Rédactrice en chef à la Tribune Dimanche - Sylvie PIERRE BROSSOLETTE - Editorialiste politique au Point
durée : 00:03:15 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Dans une interview à Politico, qui survient au lendemain de la publication de la Stratégie de sécurité nationale, Donald Trump redouble de critiques pour l'Europe, « faible » et « déclinante » ; contre l'Ukraine qui n'a aucune chance car la Russie est la plus grande… Pourquoi tant de haine ? Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Retrouvez les partis pris de Louis Sarkozy le Lundi et le Mercredi dans votre chronique "Voix de droite" sur RMC.
Selon un sondage Toluna Harris Interactive pour RTL ce mercredi 10 décembre, deux tiers des sympathisants de droite interrogés se disent favorables à une candidature commune entre Les Républicains et le Rassemblement national pour les élections municipales et législatives ou la présidentielle.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:05:27 - La Revue de presse internationale - par : Catherine Duthu - Deux ans après le début de son mandat, l'heure est au bilan pour Javier Milei. Malgré une victoire inattendue aux législatives d'octobre, l'ultra-libéral doit faire face à de nombreux défis.
Si la candidate de gauche, Jeannette Jara, est arrivée en tête du premier tour de l'élection présidentielle chilienne, le report des voix devrait favoriser José Antonio Kast, le candidat d'extrême droite, arrivé second. Admirateur assumé du dictateur Augusto Pinochet (1973-1990), fils d'un ancien soldat ayant servi dans l'armée d'Hitler et émigré au Chili après la seconde guerre mondiale, l'avocat de 59 ans devrait vraisemblablement être élu président, dimanche 14 décembre.José Antonio Kast a fait campagne sur un programme conservateur et sécuritaire, liant la hausse de l'immigration à celle de la criminalité. Il promet des expulsions massives, la construction d'un mur à la frontière et des coupes budgétaires massives.Comment expliquer la défaite promise à la candidate de la gauche, malgré le bilan plutôt positif de l'actuel président de gauche, Gabriel Boric ? Et que réserve José Antonio Kast au Chili ?Un épisode de Garance Munoz. Réalisation : Amandine Robillard. Présentation et rédaction en chef : Claire Leys. Dans cet épisode : extraits d'un débat télévisé entre les candidats à l'élection présidentielle, le 10 novembre 2025 ; prises de parole de José Antonio Kast, candidat de l'extrême droite, le 12 et le 14 décembre 2025 ; archives (INA) des manifestations au Chili, le 19 novembre 2019, de l'élection de Gabriel Boric, le 19 décembre 2021 et du plébiscite qui a mis fin à la dictature d'Augusto Pinochet, le 6 octobre 1988.Cet épisode a été publié le 9 décembre 2025. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Retrouvez les partis pris de Louis Sarkozy le Lundi et le Mercredi dans votre chronique "Voix de droite" sur RMC.
Pascal Praud revient pendant deux heures, sans concession, sur tous les sujets qui font l'actualité. Vous voulez réagir ? Appelez le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur les grandes thématiques développées dans l'émission du jour. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Bruno Poncet, cheminot, Antoine Diers, consultant auprès des entreprises, et Fatima Ait Bounoua, professeure de Français, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Aujourd'hui, Bruno Poncet, cheminot, Antoine Diers, consultant auprès des entreprises et Fatima Ait Bounoua, professeure de Français, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Aujourd'hui, Bruno Poncet, cheminot, Antoine Diers, consultant auprès des entreprises, et Fatima Ait Bounoua, professeure de Français, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
A 10h, ce mardi 2 décembre 2025, les GG : Barbara Lefebvre, professeure d'histoire-géographie, Laura Warton Martinez, sophrologue, et Yves Camdeborde, cuisinier, débattent de : Municipales, la droite doit-elle s'allier avec le RN ?
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, professeure d'histoire-géographie, Laura Warton Martinez, sophrologue, et Yves Camdeborde, cuisinier, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Au Danemark, au Royaume-Uni et, à présent, au sein des instances de l'UE, le principe d'une politique migratoire hyperrestrictive s'impose sous la pression des partis nationalistes. Immigrations : Au Royaume-Uni, depuis son arrivée au pouvoir en juillet 2024, le Labour de Keir Starmer déplace sa ligne politique vers la droite, dans un paysage plus morcelé que jamais avec la montée en puissance d'acteurs comme les LibDem au centre, les Verts et surtout l'extrême droite de Reform UK. Parmi les décisions de ce gouvernement Labour qui ont surpris à gauche - y compris au sein du parti - figure la récente réforme des politiques d'immigration. Elle durcit l'accès au droit d'asile et met fin au regroupement familial. Reportage à Londres, Marie Billon. Au Danemark, les sociaux démocrates ont doté le pays de l'une des politiques les plus restrictives d'Europe en matière d'immigration et de conditions d'accueil des réfugiés, soutenue par un consensus politique. Le pays se présente par ailleurs comme un modèle de défense des droits humains et du bien-être de l'individu. Les explications d'Ottilia Ferey À Bruxelles, sous l'impulsion de la présidence danoise du Conseil, les représentants des instances européennes ont décidé de lier les aides commerciales aux pays du Sud à la réadmission de migrants déboutés de l'asile. Ce tournant majeur vient rappeler que le visage politique de l'UE change. Est-il en train de basculer vers l'extrême droite ? Éléments de réponse avec la journaliste Sophie Dupuy. Une chronique en partenariat avec Contexte, média européen numérique indépendant sur les institutions et les politiques de l'Union européenne. Transition énergétique : En Slovaquie, le charbon a joué un rôle économique considérable après la Seconde Guerre mondiale, mais l'heure de la reconversion a sonné. Dans le nord du pays, la région de la Haute Nitra a décidé d'abandonner la production. La centrale électrique est en cours de fermeture, et la mine a cessé d'extraire le minerai, il y a deux ans. Grâce à un fonds de transition de l'UE, de 226 millions, la Haute Nitra doit devenir une région pilote de l'économie post-fossile. Mais les projets d'énergie verte ont du mal à avancer. Frédérique Lebel nous emmène sur le site de la mine désaffectée de Novaky. Reportage en Slovaquie réalisé avec le soutien de la Direction générale de la politique régionale et urbaine de la Commission Européenne.
LA BELLE EXPERIENCE ( Telle voie paraît droite à un homme ) 30-11-2025
durée : 00:55:25 - Affaires sensibles - par : Fabrice Drouelle, Christophe Barreyre - Aux élections législatives de 1956, le mouvement de Pierre Poujade entre à l'Assemblée nationale et le jeune Jean-Marie Le Pen devient député. Récit de cette première victoire électorale sur fond de renaissance de l'extrême-droite française. - réalisé par : Stéphane COSME Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:39:37 - Questions du soir : le débat - par : Quentin Lafay, Stéphanie Villeneuve - La croyance en Dieu est aujourd'hui devenue minoritaire en France. D'après l'Ifop, qui a dévoilé une enquête en juin 2025, quatre Français sur 10 (41%) affirment croire en Dieu, et près d'un Français sur deux se déclare catholique. - invités : Elisabeth Geffroy Professeur de philosophie, rédactrice-en-chef de la revue La Nef ; Paul Piccarreta Journaliste et essayiste, co-fondateur du Cri, mensuel chrétien, ancien directeur de la revue d'écologie Limite, éditeur