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Cliquez ici pour accéder gratuitement aux articles lus de Mediapart : https://m.audiomeans.fr/s/P-UmoTbNLs De la Macronie au RN, une alliance délétère s'est formée sur tous les textes de loi environnementaux du moment. Dans la perspective des élections à venir, l'objectif est de s'afficher comme le moins-disant écologique, quitte, pour le gouvernement, à renoncer aux timides avancées qu'il a portées sur le sujet. Un article de Lucie Delaporte et Amélie Poinssot publié mercredi 29 mai, lu par Jeremy Zylberberg. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L'Église catholique peut-elle être un soutien aux idées d'extrême-droite ? De puissants hommes d'affaires à la foi catholique revendiquée financent…
Cliquez ici pour accéder gratuitement aux articles lus de Mediapart : https://m.audiomeans.fr/s/P-UmoTbNLs L'élection de Bruno Retailleau à la tête du parti Les Républicains a réveillé tous les partisans d'une grande alliance de la droite à l'extrême droite pour prendre le pouvoir. Une hypothèse qui se heurte au refus du Rassemblement national et aux querelles de partis. Un article de Youmni Kezzouf publié dimanche 25 mai 2025, lu par Jeremy Zylberberg. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:59:03 - Le Cours de l'histoire - par : Xavier Mauduit, Maïwenn Guiziou - Le gaullisme désigne à la fois la pensée et l'action du général de Gaulle. Incarnation d'une “certaine idée de la France”, il n'a eu de cesse d'adapter sa ligne politique au gré des circonstances. À partir des années 1970, le gaullisme devient un héritage disputé au sein de la droite française. - réalisation : Thomas Beau - invités : Pierre Manenti Historien, spécialiste du gaullisme et de la Cinquième République.; Brigitte Gaïti Professeure de sciences politique à l'université Paris I
durée : 00:37:56 - France Culture va plus loin (l'Invité(e) des Matins) - par : Guillaume Erner, Isabelle de Gaulmyn - Après sa nette victoire face à Laurent Wauquiez, Bruno Retailleau a assumé vouloir engager la droite dans la bataille culturelle et dessiner un projet politique face à une gauche envisagée comme le seul véritable ennemi. - réalisation : Félicie Faugère - invités : Frédéric Rouvillois Professeur de droit public à l'Université Paris Descartes; Aziliz Le Corre Journaliste française
durée : 00:58:24 - Le Cours de l'histoire - par : Xavier Mauduit, Maïwenn Guiziou - En 1888, le boulangisme fait vaciller la Troisième République. À la tête de ce grand mouvement de contestation, Georges Boulanger, souvent surnommé “Général Revanche”, critique les institutions et la Constitution du régime. Un an plus tard, le mouvement n'est pourtant presque qu'un souvenir... - réalisation : Thomas Beau - invités : Bertrand Joly Historien, professeur émérite d'histoire contemporaine à l'Université de Nantes; Marie-Hélène Baylac Historienne spécialiste de l'histoire politique du 19ᵉ siècle
durée : 00:03:16 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Contre toute attente, le candidat d'extrême droite George Simion, arrivé largement en tête du premier tour de la présidentielle roumaine, a perdu au second tour face au libéral Nicusor Dan. Un scrutin qui faisait figure de test entre démocratie libérale et nationalisme d'extrême droite.
« Ma vie a été très belle, je voudrais bien que ma mort le soit aussi. » Charles Bietry, 81 ans, a interpellé Emmanuel Macron mardi 13 mai sur TF1. L'ancien journaliste sportif souffre d'une maladie dégénérative et se bat, comme bien d'autres, pour légaliser l'aide à mourir en France. Un premier pas a été franchi quelques jours plus tard à l'Assemblée nationale : les députés ont voté le samedi 17 mai un article pour la création d'un « droit à l'aide à mourir ». Une avancée significative pour tous ceux qui attendent depuis des années une évolution de la loi, promise par le chef de l'Etat. Un vote sur l'ensemble du texte relatif au droit à l'aide à mourir est prévu le 27 mai, ainsi que sur la proposition de loi qui concerne les soins palliatifs.Dans cet épisode de Code Source, Bérangère Lepetit, journaliste au service société du Parisien et Véronique Hunsinger, journaliste au service santé du Parisien, font le point sur le contenu du texte et les dissensions rencontrées.Écoutez Code source sur toutes les plates-formes audio : Apple Podcast (iPhone, iPad), Amazon Music, Podcast Addict ou Castbox, Deezer, Spotify.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Reporter : Barbara Gouy - Production : Clémentine Spiler, Pénélope Gualchierotti, Orianne Gendreau, Thibault Lambert - Réalisation et mixage : Pierre Chaffanjon - Musiques : François Clos, Audio Network - Archives : TF1, Europe 1. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:05:45 - La Revue de presse internationale - par : Catherine Duthu - Le Premier ministre portugais de droite modérée, Luis Montenegro, remporte les législatives anticipées, mais n'obtient pas de majorité suffisante. Le parti d'extrême droite Chega ("Assez") frôle les 23% et menace de dépasser le Parti socialiste en tant que principale force d'opposition.
durée : 00:58:20 - Le Cours de l'histoire - par : Xavier Mauduit, Maïwenn Guiziou - La Révolution française est un séisme qui transforme la société, notamment son organisation politique. La droite est-elle née en 1789 ? Quel héritage de l'imaginaire contre-révolutionnaire se trouve dans la constitution des différents mouvements de droite au 19e siècle ? - réalisation : Thomas Beau - invités : Baptiste Roger-Lacan Historien
Le ministre de l'Intérieur Bruno Retailleau a été élu hier dimanche (18 mai 2025) président du parti Les Républicains. Avec 74.3% des voix des adhérents, il devance nettement le député de Haute-Loire Laurent Wauquiez. Bruno Retailleau s'affirme ainsi comme le nouvel homme fort de la droite française en vue de la prochaine élection présidentielle. Jusqu'où peut-il rassembler ? Comment continuer à être membre d'un gouvernement Macron tout en prônant « la rupture » ? À quelle stratégie faut-il s'attendre dans l'optique de 2027 ? Pour en débattre :- Émilie Zapalski, communicante politique et fondatrice de l'agence Émilie Conseil- Jean-Philippe Moinet, auteur et fondateur de la Revue Civique, ancien président de l'Observatoire de l'extrémisme, auteur du livre Un journal sous influence, éditions AliRibelli- Raphaël Delvolve, journaliste du service politique de RFI.
Aujourd'hui, Charles Consigny, Zohra Bitan et Frédéric Farah débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Aujourd'hui, Charles Consigny, Zohra Bitan et Frédéric Farah débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
durée : 00:03:16 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Contre toute attente, le candidat d'extrême droite George Simion, arrivé largement en tête du premier tour de la présidentielle roumaine, a perdu au second tour face au libéral Nicusor Dan. Un scrutin qui faisait figure de test entre démocratie libérale et nationalisme d'extrême droite.
Aujourd'hui, dans "Punchline", Laurence Ferrari et ses invités débattent des suites à l'élection du ministre de l'Intérieur, Bruno Retailleau à la présidence des Républicains. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, dans "Punchline", Laurence Ferrari et ses invités débattent de la large victoire à la présidence des Républicains, du ministre de l'Intérieur Bruno Retailleau, et du projet qu'il porte visant à rassembler la Droite en vue de la prochaine présidentielle.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:04:06 - Le Billet politique - par : Jean Leymarie - Chez Les Républicains, Bruno Retailleau écrase le match. Face à Laurent Wauquiez, le ministre de l'Intérieur prend la tête de son parti, avec près de 75% des voix. Mais pour la droite, la Présidentielle sera une autre affaire.
durée : 00:20:15 - Journal de 12h30 - Au lendemain de l'élection de Bruno Retailleau à la tête des Républicains, la liste s'allonge des candidats putatifs à droite pour la course à l'Elysée.
Un point complet sur l'actualité à 7h.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, dans "Punchline", Laurence Ferrari et ses invités débattent de la large victoire à la présidence des Républicains, du ministre de l'Intérieur Bruno Retailleau, et du projet qu'il porte visant à rassembler la Droite en vue de la prochaine présidentielle.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le ministre de l'Intérieur Bruno Retailleau a été élu hier dimanche (18 mai 2025) président du parti Les Républicains. Avec 74.3% des voix des adhérents, il devance nettement le député de Haute-Loire Laurent Wauquiez. Bruno Retailleau s'affirme ainsi comme le nouvel homme fort de la droite française en vue de la prochaine élection présidentielle. Jusqu'où peut-il rassembler ? Comment continuer à être membre d'un gouvernement Macron tout en prônant « la rupture » ? À quelle stratégie faut-il s'attendre dans l'optique de 2027 ? Pour en débattre :- Émilie Zapalski, communicante politique et fondatrice de l'agence Émilie Conseil- Jean-Philippe Moinet, auteur et fondateur de la Revue Civique, ancien président de l'Observatoire de l'extrémisme, auteur du livre Un journal sous influence, éditions AliRibelli- Raphaël Delvolve, journaliste du service politique de RFI.
Son parti, La Libertad Avanza, s'est placé en tête d'une élection locale à Buenos aires, bousculant les formations conservatrices qui y régnaient depuis 20 ans. Ce scrutin local d'hier représentait un premier test pour Javier Milei depuis son élection à la présidence. Car s'il a remporté le scrutin suprême fin 2023 grâce aux voix de la droite traditionnelle, il avait jusqu'ici eu du mal à transformer l'adhésion à sa personne en suffrages au bénéfice de son parti.Hier, son candidat, Manuel Adorni, qui est aussi le porte-parole du gouvernement, est arrivé en tête avec 30% des voix. Il devance le candidat de l'opposition péroniste de gauche de 3 points, mais surtout, il écrase la candidate de la droite traditionnelle qui n'a recueilli que 16% des suffrages.En tant que tel, le résultat de cette élection qui visait à renouveler la moitié du Parlement local de Buenos Aires ne va pas changer la dynamique communale, mais il envoie un message fort, résumé par Manuel Adorni dans son discours de victoire : « Nous sommes l'instrument du changement. Nous invitons tous ceux qui veulent soutenir ce projet d'un réel changement pour notre pays à rejoindre La Libertad Avanza, qui est l'instrument que la société a choisi pour transformer l'Argentine ».Victoire politique, succès personnelÀ titre individuel, le président argentin jouait gros car il avait fait le pari de « nationaliser » ce scrutin local. Avec pour objectif d'asseoir son hégémonie sur la droite argentine, incarnée depuis 20 ans par le PRO, le parti de l'ancien président Mauricio Macri. Et de phagocyter son électorat dans la perspective des élections législatives nationales qui auront lieu au mois d'octobre.Pour cela, Javier Milei s'est impliqué personnellement dans la campagne, accompagnant son candidat à plusieurs reprises sur le terrain et renonçant même à la messe inaugurale du Pape Léon XIV à Rome, afin de se trouver à Buenos Aires au moment des résultats.Pari gagnant, puisque sur la carte de Buenos Aires, le violet de sa formation, La Libertad Avanza, a totalement remplacé le jaune de la droite traditionnelle qui régnait sans partage depuis près de 20 ans sur la capitale argentine. À l'annonce des résultats hier, Javier Milei a voulu y voir le signe d'un changement d'époque.« Il est important de prendre conscience qu'aujourd'hui est un jour charnière pour les idées de la liberté. Aujourd'hui le bastion jaune a été peint en violet, et bientôt c'est tout le pays qui va se teindre de violet ! »Les élections législatives au bout du cheminLe scrutin d'octobre reste l'enjeu majeur de cette bataille, car depuis son élection à la présidence, Javier Milei est ultra-minoritaire au Parlement, ne pouvant compter que sur 15% des députés et 10% des sénateurs. Ce qui l'oblige à négocier en permanence avec la droite traditionnelle et à faire des concessions, ce qui n'est pas vraiment dans sa nature. Avec cette victoire hier, Javier Milei espère que son parti deviendra le vote « utile » à droite au mois d'octobre, condition nécessaire pour avoir une majorité propre qui lui donnera les coudées franches pour approfondir son plan « tronçonneuse » de dérégulation et de réduction des dépenses publiques. Joe Biden atteint d'une forme agressive de cancer de la prostateCe cancer a métastasé et s'est propagé à la structure osseuse de l'ancien président américain. La tumeur maligne a été découverte la semaine dernière, après que Joe Biden s'est plaint de douleurs urinaires. Un nodule logé sur sa prostate est apparu lors des examens médicaux, qui ont mis en évidence une maladie ayant déjà atteint un stade avancé. Ses équipes indiquent que ce cancer est hormono-dépendant, ce qui signifie que les hormones sexuelles jouent un rôle dans la prolifération des cellules cancéreuses. Il est dans ce cas possible de ralentir leur développement, par le biais de l'hormonothérapie, qui consiste à bloquer la testostérone produite par le corps de Joe Biden pour lui faire gagner du temps.Les médecins interrogés par le New York Times soulignent que, dans les années 1980, il n'y avait d'autre option pour y parvenir que de pratiquer une ablation des testicules. Ce n'est plus le cas de nos jours, avec l'apparition de traitements par injection ou par voie orale qui coupent la production de testostérone.Chances de survie ?Ses chances de survie sont impossibles à quantifier sans accès à son dossier médical, mais la recherche a beaucoup progressé ces dernières années. Là où, il y encore 20 ans, Joe Biden n'aurait eu que quelques mois à vivre, les thérapies modernes peuvent lui permettre de survivre 5, 7, voire 10 ans. « Il a encore des chances de mourir de cause naturelle, avant que le cancer n'ait raison de lui », juge un oncologue interrogé par le New York Times, selon lequel le taux de survie a presque triplé en l'espace d'une dizaines d'années.Ces progrès doivent d'ailleurs beaucoup à Joe Biden lui-même, qui a fait de la lutte contre le cancer l'un des thèmes-clé de sa vie politique. Elle figurait déjà parmi ses dossiers prioritaires lorsqu'il était encore le vice-président de Barack Obama. Le Guardian note que Joe Biden a déjà subi dans le passé une intervention en février 2023, pour une lésion cancéreuse au niveau de la poitrine. Mais c'est surtout le décès en 2015 de son fils Beau Biden d'un cancer du cerveau qui a provoqué la mobilisation de l'ancien président. Pendant son mandat, il s'était fixé comme objectif de réduire de 50% d'ici à 2047 le taux de mortalité dû au cancer aux États-Unis, et il n'a pas jamais lâché ce dossier. Encore six mois avant de quitter le pouvoir, il a débloqué une enveloppe de 150 millions de dollars sur les fonds fédéraux pour accompagner les travaux de huit instituts spécialisés. Revers pour la politique migratoire de Donald TrumpLa Cour suprême refuse d'entériner à nouveau l'usage d'une loi d'exception pour expulser des étrangers, celle que Donald Trump avait mise en avant au moment de l'envoi spectaculaire de plus de 200 personnes au Salvador au mois de mars. Décryptage avec Fanny Lauby, professeure associée en Science politique à l'Université d'État de Montclair, dans le New Jersey. L'actualité des Outre-mer avec nos confrères de la 1èreLe ministre français de la Justice, Gérald Darmanin, propose d'ouvrir un quartier de haute sécurité dans la prison de Saint-Laurent-du-Maroni, à l'ouest de la Guyane, où il est en déplacement. Réactions indignées aussi bien dans les états-majors des partis politiques que sur les réseaux sociaux.
Aujourd'hui, dans "Punchline", Laurence Ferrari et ses invités débattent des suites à l'élection du ministre de l'Intérieur, Bruno Retailleau à la présidence des Républicains. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Cliquez ici pour accéder gratuitement aux articles lus de Mediapart : https://m.audiomeans.fr/s/P-UmoTbNLs Largement élu face à Laurent Wauquiez (74 %), le ministre de l'intérieur est désormais le leader incontesté de son camp, avec une mission simple : lui redonner une chance de remporter l'élection présidentielle. À moins que LR ne soit condamné au statut de force d'appoint, pour le centre-droit comme pour l'extrême droite ? Un article d'Ilyes Ramdani publié dimanche 19 mai et lu par Jérémy Zylberberg. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:02:24 - Le brief politique - Le ministre de l'Intérieur a remporté l'élection interne des LR avec 74,3% des voix contre son adversaire Laurent Wauquiez.
durée : 00:20:15 - Journal de 12h30 - Au lendemain de l'élection de Bruno Retailleau à la tête des Républicains, la liste s'allonge des candidats putatifs à droite pour la course à l'Elysée.
Un point complet sur l'actualité à 7h.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Vendredi, samedi et dimanche dans Europe 1 Soir Week-end, Pascale de La Tour du Pin reçoit un invité au cœur de l'actualité politique.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:02:34 - L'Humeur du matin par Guillaume Erner - par : Guillaume Erner - Le "wokisme de droite", incarné par l'administration Trump, consiste à adopter une posture symétrique au wokisme de gauche en valorisant l'excès inverse : immoralité revendiquée, provocations écologiques ou défense symbolique des Blancs soi-disant discriminés. - réalisation : Félicie Faugère
Le Portugal est appelé aux urnes ce dimanche 18 mai pour les troisièmes élections législatives en trois ans. Si l'avantage semble être du côté de l'alliance démocratique sortante, celle-ci pourrait ne pas atteindre la majorité absolue. La troisième force politique, le parti d'extrême droite Chega, devrait conforter ses scores précédents. De notre envoyée spéciale à Elvas,Dans la jolie ville d'Elvas, au Portugal, près de la frontière espagnole, André Ventura est venu à la rencontre d'une foule acquise à ses idées. Accolades, selfies et tapes dans le dos, Ventura aime se livrer à cet exercice obligé d'une campagne. « La circonscription de Portalegre nous a donné des résultats incroyables en 2024. Ici, c'est la plus grande victoire du pays. Je me devais de dire aux électeurs que je ne les oublie pas. Je sais ce qu'ils vivent. Mais il y a un candidat et un parti, le Chega, qui va les défendre contre une véritable brutalisation territoriale de la part des communautés tziganes », ose le candidat d'extrême droite.En 2024, la ville d'Elvas avait voté à 36,5% pour le Chega, un score record que le parti veut répéter. Les discours politiques du Chega convoquent des thèmes récurrents : l'immigration, la corruption et les « tziganes subventionnés ». Les militants sont conquis par le passage de leur candidat. « Tant d'années passées à cotiser pour ces gens qui ne veulent rien faire. Nos retraites sont misérables. Nous, on veut vivre aussi bien qu'eux, les tziganes. Le gouvernement soutien ceux qui ne travaillent pas. Alors moi, je vais voter Ventura », raconte Lourdes Cabeço, venue avec sa fille et sa petite fille, conquise par la visite de son candidat menée au pas de charge.« On a vu apparaître quelqu'un qui annonce avoir trouvé des remèdes à tous les maux de la société. André Ventura se sert du mécontentement des gens. Il dit ce que les gens ont envie d'entendre pour attirer leurs voix », estime le maire d'Elvas, José Rondão Almeida, sous étiquette indépendante après avoir été longtemps membre du parti socialiste, qui dénonce l'opportunisme du Chega.Crédité de 18 à 20% des voix pour le scrutin du 18 mai, le parti antisystème et populiste, consoliderait sa position de troisième force politique du pays. Une ascension fulgurante pour un parti créé en 2019. Alors que le Chega a dû finir la campagne électorale privé de son leader, victimes de malaises, les sondages montrent une avancée du Premier ministre sortant, Luis Montenegro, mais sans majorité absolue. À lire aussiPortugal: à deux semaines des élections, l'économie du pays passe au rouge
Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque matin dans son édito, Vincent Trémolet de Villers revient sur l'actualité politique du jour. Ce vendredi, il s'intéresse au duel entre Bruno Retailleau et Laurent Wauquiez pour la la présidence des Républicains et à l'avenir du parti. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:04:29 - Le Reportage de la rédaction - Ce dimanche 18 mai, les Roumains votent au second tour de l'élection présidentielle. Le scrutin oppose George Simion, candidat ultranationaliste en tête au premier tour avec 41 %, à Nicusor Dan, centriste pro-européen, arrivé second avec 21 % des voix.
Roi de la muscu sur Internet, Tibo InShape s'est imposé comme un des premiers youtubeurs français et cumule plus de 26 millions d'abonnés. Sur les réseaux sociaux, il a patiemment construit son personnage : celui d'un garçon sympathique, un peu rustre, toujours débordant d'enthousiasme. Mais derrière les barres de muscu et les encouragements criés face caméra, transparaît aussi un attachement marqué aux valeurs d'ordre, de nation, de patrie. Un tropisme qui alimente, depuis plusieurs années, les soupçons : Tibo InShape serait-il le parfait cheval de Troie d'une extrême droite encore marginale dans le monde de l'internet mainstream ? Programme B est un podcast de Binge Audio présenté par Thomas Rozec. Réalisation : Paul Bertiaux. Production et édition : Charlotte Baix. Générique : François Clos et Thibault Lefranc. Identité sonore Binge Audio : Jean-Benoît Dunckel (musique) et Bonnie El Bokeili (voix). Identité graphique : Sébastien Brothier et Thomas Steffen (Upian). Direction des programmes : Joël Ronez.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Il est le troisième homme dans la course à la présidentielle polonaise, mais le premier chez les jeunes électeurs. Le candidat du parti d'extrême droite Konfederacja Sławomir Mentzen combine une vision sociétale très conservatrice à un programme économique très libéral. Sa vision devrait attirer près d'un jeune électeur sur trois ce dimanche 18 mai. De notre correspondant à Varsovie,Il fait partie de ces hommes politiques qui savent soigner leurs apparitions. Émergeant d'un nuage de fumée rouge et blanche, Slawomir Mentzen salue les centaines de Varsoviens massés sur la place de la Cour suprême polonaise. Au milieu de la foule, Krystian est déjà conquis par le candidat : « En tant que citoyen, je veux pouvoir rouler dans la voiture que je veux, je veux pouvoir porter une arme à ma ceinture, et je ne veux pas qu'un quelconque politique essaie de m'en empêcher. »C'est avant tout le côté libertarien du candidat qui a su convaincre le jeune étudiant en marketing. Agata, elle, ne sait pas encore pour qui elle va voter, mais elle est déjà convaincue par le personnage : « C'est le candidat le plus puissant en termes de caractère, il est sûr de lui et de ce qu'il dit, et si les jeunes veulent quelque chose de nouveau, ils vont vouloir quelqu'un qui a un fort caractère et qui n'a pas peur de s'affirmer. »La jeune indécise serait presque prête à sauter le pas, quitte à fermer les yeux sur la vision très conservatrice et nationaliste de Mentzen sur les questions sociétales : « Ce n'est pas le candidat dont je me sens le plus proche en termes de questions sociétales, mais son discours sur les questions économiques et financières me parlent davantage. Et je pense que c'est important, car les jeunes veulent pouvoir monter des entreprises et gagner de l'argent. »À lire aussiPologne: dernier débat très vif avant la présidentielle du 18 maiDésillusion des jeunes À 18 ans, Weronika s'apprête à voter pour la première fois, et pourrait se laisser tenter par lassitude, alors qu'elle s'oppose frontalement à certaines de ses promesses : « Je ne soutiens pas tous les points du programme de Mentzen. Par exemple, le fait qu'il veuille rendre les études payantes. Mais je veux aussi qu'il y ait d'autres alternatives qu'un gouvernement PO ou PiS, et que quelqu'un de nouveau puisse entrer dans la course. »Un sentiment de désillusion partagé par la plupart des Polonais d'une vingtaine d'années qui n'ont connu toute leur vie que l'alternance entre les gouvernements de Tusk et de Kaczynski. Alors chez Konfederacja, on a fait place nette à l'approche des élections, en prenant ses distances avec son fondateur. Il était notamment connu pour avoir déclaré que les femmes faisaient partie du patrimoine de leur mari, ou encore qu'il faudrait leur retirer le droit de vote. À 17 ans, Oliwia assure n'avoir rejoint les jeunesses du parti qu'après son éviction : « Je ne suis pas d'accord avec la majorité de ce qu'il a pu dire. Et en venant ici, je me suis rendu compte que la majorité des politiciens avec lesquels je parlais, n'ont absolument pas la même opinion. Maintenant, on a des députées et des eurodéputées chez Konfederacja. »Au mois d'avril, la moitié des jeunes électeurs comptait donner leur voix à Mentzen. Une proportion aujourd'hui divisée par deux, depuis que le candidat a qualifié le viol de simple « désagrément ».À écouter aussiLa sécurité en toile de fond de l'élection présidentielle en Pologne
durée : 00:04:28 - Le Zoom de France Inter - L'extrême droite arrivera-t-elle au pouvoir ce dimanche en Roumanie ? Son candidat George Simion fait figure de favori au second tour. À 38 ans, ce souverainiste critique de Bruxelles et admirateur de Trump est arrivé en tête au premier tour, avec près de 41% des voix, 20 de plus que son adversaire.
Jamais les élections présidentielles en Roumanie n'auront autant suscité l'attention internationale. De l'Europe aux États-Unis, tous les projecteurs sont braqués sur la possible victoire du candidat d'extrême droite George Simion. Le scrutin a été bousculé, par l'invalidation d'un premier scrutin et pour manipulation des réseaux sociaux en faveur d'un autre candidat lui aussi souverainiste et populiste... Calin Georgescu. Climat tendu donc, alors qu'en toile de fond de la campagne, on a vu ressurgir des attaques à la fois contre la communauté rom et juive. À l'origine de ces menaces, des mouvements néo-légionnaires qui s'inspirent directement des partis fascistes de l'entre-deux guerres. Reportage à Bucarest de Marine Leduc. L'analyse de Traian Sandu, historien spécialiste de la Roumanie, enseignant à l'Université Sorbonne nouvelle. La revue de presse sonore de Franceline Beretti Un livre blanc sur la politique migratoire, c'est par ce biais que le Premier ministre britannique Keir Starmer a annoncé un durcissement drastique de sa politique. Le chef du gouvernement travailliste veut réduire significativement l'immigration légale dans son pays. C'est le premier sujet qui a retenu votre attention dans votre revue de presse de la semaine, et on peut dire que la presse de gauche ne pardonne pas vraiment ce tournant à 180 degrés. Kalymnos et les éponges disparues C'est une petite île grecque qui concentre sur ses côtes l'histoire du réchauffement climatique et de la mondialisation. Tout près de la Turquie, Kalymnos a longtemps été appelée l'île des pêcheurs d'éponges mais, dans les années 80, une maladie a ravagé les éponges sous-marines. Aujourd'hui, le commerce se maintient, mais les éponges sont presque toutes importées du continent américain... Pendant la période de Pâques, Kalymnos continue tout de même à célébrer une tradition presque disparue... Reportage à Kalymnos signé Joël Bronner.
Jamais les élections présidentielles en Roumanie n'auront autant suscité l'attention internationale. De l'Europe aux États-Unis, tous les projecteurs sont braqués sur la possible victoire du candidat d'extrême droite George Simion. Le scrutin a été bousculé, par l'invalidation d'un premier scrutin et pour manipulation des réseaux sociaux en faveur d'un autre candidat lui aussi souverainiste et populiste... Calin Georgescu. Climat tendu donc, alors qu'en toile de fond de la campagne, on a vu ressurgir des attaques à la fois contre la communauté rom et juive. À l'origine de ces menaces, des mouvements néo-légionnaires qui s'inspirent directement des partis fascistes de l'entre-deux guerres. Reportage à Bucarest de Marine Leduc. L'analyse de Traian Sandu, historien spécialiste de la Roumanie, enseignant à l'Université Sorbonne nouvelle. La revue de presse sonore de Franceline Beretti Un livre blanc sur la politique migratoire, c'est par ce biais que le Premier ministre britannique Keir Starmer a annoncé un durcissement drastique de sa politique. Le chef du gouvernement travailliste veut réduire significativement l'immigration légale dans son pays. C'est le premier sujet qui a retenu votre attention dans votre revue de presse de la semaine, et on peut dire que la presse de gauche ne pardonne pas vraiment ce tournant à 180 degrés. Kalymnos et les éponges disparues C'est une petite île grecque qui concentre sur ses côtes l'histoire du réchauffement climatique et de la mondialisation. Tout près de la Turquie, Kalymnos a longtemps été appelée l'île des pêcheurs d'éponges mais, dans les années 80, une maladie a ravagé les éponges sous-marines. Aujourd'hui, le commerce se maintient, mais les éponges sont presque toutes importées du continent américain... Pendant la période de Pâques, Kalymnos continue tout de même à célébrer une tradition presque disparue... Reportage à Kalymnos signé Joël Bronner.
En Roumanie, le second tour de la présidentielle dimanche 18 mai opposera le candidat de centre-droit Nicusor Dan au nationaliste George Simion. Cette poussée de l'extrême droite dans les urnes s'est accompagnée d'une augmentation des menaces envers la minorité rom et la communauté juive. De notre correspondant à Bucarest, Marine LeducDans un quartier périphérique de Bucarest, Alin Banu entre avec précaution au siège de l'association Roma for Democracy, une association de droit des Roms dont il est le directeur. « Nous avons des caméras vidéo, un accès avec une carte magnétique à l'entrée comme à la sortie, et nous avons un bouton d'urgence. Si on l'active, la police peut arriver en cinq à huit minutes. On a mis ça en place quand les menaces ont commencé pour notre sécurité », explique-t-il.Preuve à l'appui. Sur son téléphone, Alin Banu fait défiler les messages que lui et ses collègues ont reçus ces dernières semaines : « Je vais m'assurer que je vais avoir vos têtes et les mettre sur des pales comme Vlad l'empaleur faisait avec les Turcs et on va vous torturer un par un » ; « Vous avez mis Cosmin en prison et moi je vais vous mettre dans un cercueil » ; « Que les Juifs et les Tsiganes soient éliminés, et toutes les races impures. » « Bien sûr qu'on est inquiets », admet Alin Banu.Ces intimidations qui touchent aussi bien les Roms, les Juifs que les communautés LGBTQ+ sont proférées par des factions néo-nazies, mais aussi néo-légionnaires, mouvement inspiré des légionnaires, groupuscules fascistes roumains de l'entre-deux-guerres. Ce mouvement est à l'origine de la Shoah en Roumanie.À lire aussiPrésidentielle en Roumanie : pourquoi la diaspora a voté massivement pour l'extrême droiteUn pays au passé difficile à assumerDans le centre-ville, une répétition en yiddish a lieu au Théâtre national juif de Bucarest. En février, des commentaires antisémites ont été diffusés sur TikTok avec des menaces de mettre le feu au théâtre ou d'y poser une bombe. La police a dû protéger la bâtisse pendant quelques jours. Le directeur Andrei Munteanu préfère garder son calme et rappelle l'importance de la diversité culturelle en Roumanie : « L'État roumain s'est préoccupé, et pas seulement maintenant, du développement des minorités nationales, du développement de la culture nationale, parce que la principale richesse de la Roumanie est sa diversité. Mais il faut aider cette diversité, la conserver, la soutenir. Chacun fait partie du patrimoine humain de ce pays. »Les liens entre les groupes néo-légionnaires et les candidats d'extrême droite ne sont pas dissimulés. George Simion a certes lissé son discours, mais plusieurs membres de son parti Aur (Alliance pour l'unité des Roumains) font la glorification des dirigeants de la Garde de fer, autre nom du mouvement des légionnaires. La Roumanie a été durant les années 1940 un pays allié de l'Allemagne nazie et a encore des difficultés à regarder son passé. Le pays n'a reconnu son rôle actif dans la Shoah qu'en 2003, alors qu'environ 300 000 Juifs et 12 000 Roms y ont péri.Aujourd'hui, la Roumanie compte près de 570 000 Roms, selon le recensement de 2021, mais ils seraient au moins deux fois plus nombreux. Les Juifs, eux, ne sont plus que quelques milliersÀ lire aussiPrésidentielle en Roumanie : George Simion, le candidat d'extrême droite, en tête du premier tour
Invité: Sylvie Laurent. La Silicon Valley - berceau de lʹinformatique - est souvent présentée comme issue dʹune culture marginale, qui aurait éclos dans une Californie progressiste. Or, rien nʹest moins juste, selon Sylvie Laurent. La Tech sʹest développée dans la ligne du projet néolibéral de Reagan, dans une Californie qui a vu incuber de nombreuses idées conservatrices. Pourquoi ce malentendu? Comment expliquer la centralité de la Tech dans le projet néolibéral, et ce dès les débuts? Quels sont les conséquences pour nos démocraties? Tribu reçoit Sylvie Laurent, historienne et américaniste, enseignante à Sciences Po. Elle publie "La Contre-révolution californienne", aux éditions du Seuil.
"Les bobos, c'est de droite ou de gauche ?". Retrouvez le podcast des GG où l'on débat de sujets du quotidien. Toujours avec des coups de gueule et du second degré.Avec Bruno Poncet, Barbara Lefebvre, Jean-Loup Bonnamy et Pierre Rey.
durée : 00:02:18 - Le vrai ou faux - Une rumeur affirmant que le président français Emmanuel Macron et le chancelier allemand Friedrich Merz ont pris de la cocaïne ensemble enflamme les réseaux sociaux depuis plusieurs jours.
Le duel Bruno Retailleau – Laurent Wauquiez est engagé chez LR avec en point de mire le vote des militants. Au RN, l'avenir de Marine Le Pen reste suspendu à une décision de justice. Dans « La Story », le podcast d'actualité des « Echos », Pierrick Fay et Jacques Paugam s'interrogent sur les forces de la Droite dans la perspective des élections 2027.« La Story » est un podcast des « Echos » présenté par Pierrick Fay. Cet épisode a été enregistré en mai 2025. Rédaction en chef : Clémence Lemaistre. Invité : Jacques Paugam (journaliste au service politique des « Echos »). Réalisation : Willy Ganne et Nicolas Jean. Chargée de production et d'édition : Michèle Warnet. Musique : Théo Boulenger. Identité graphique : Upian. Photo : Jeanne Accorsini/SIPA. Sons : Extrait «Le combat des chefs», France Info, extrait «Les Guignols de l'info», Facebook «Laurent Wauquiez», BFM TV, Facebook «Rassemblement National», Facebook «Bruno Retailleau».Retrouvez l'essentiel de l'actualité économique grâce à notre offre d'abonnement Access : abonnement.lesechos.fr/lastory Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Aujourd'hui, c'est au tour de Louis Sarkozy, auteur de "Napoléon Bonaparte : L'Empire des Livres" (Éd. Passés Composés), de faire face aux GG. - L'émission de libre expression sans filtre et sans masque social… Dans les Grandes Gueules, les esprits s'ouvrent et les points de vue s'élargissent. 3h de talk, de débats de fond engagés où la liberté d'expression est reine et où l'on en ressort grandi.
La fête des Mères d’un rockeur. Repenser le mariage. Grève des élèves pour leur cell. Dans cet épisode intégral du 8 mai, en entrevue : Éric Lapointe et sa mère Doris Lapointe Anne-Marie Barbeau-Pelletier et Marie-Ève Pichette-Myre, co fondatrices de Label Mariage Une production QUB Mai 2025Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
durée : 00:03:15 - Géopolitique - par : Pierre Haski - L'Europe est tiraillée entre les défenseurs de la démocratie libérale réagissant au « trumpisme », et l'extrême droite qui attend en embuscade. L'investiture de Friedrich Merz en Allemagne, et la victoire de l'extrême droite au premier tour de la présidentielle roumaine, en sont l'illustration.
durée : 00:03:15 - Géopolitique - par : Pierre Haski - L'Europe est tiraillée entre les défenseurs de la démocratie libérale réagissant au « trumpisme », et l'extrême droite qui attend en embuscade. L'investiture de Friedrich Merz en Allemagne, et la victoire de l'extrême droite au premier tour de la présidentielle roumaine, en sont l'illustration.
durée : 00:42:28 - Signes des temps - par : Marc Weitzmann - Avec pour point de départ Philippe Ariès, "Le Roi, une autre histoire de la droite" de Baptiste-Roger Lacan, dessine une histoire culturelle de l'imaginaire royaliste français, entre nostalgie anti-moderne, guerre culturelle et tentation fasciste, étrangement proche d'aujourd'hui - réalisation : Luc-Jean Reynaud - invités : Baptiste Roger-Lacan Historien
Si un tiers des Australiens a déjà voté, la majorité du corps électoral se retrouvera samedi autour des traditionnelles ‘Democracy Sausages' pour départager le Labor d'Albanese et la Coalition emmenée par Dutton. Grosse panne de courant en Espagne et au Portugal fin avril : le réseau a disjoncté, laissant des millions de foyers et même le sud-ouest de la France dans le noir.