Les 15 derniers podcasts de 'Newsroom, l'entrée des artistes à Ouest-France'
L'acteur et comédien Jean-Paul Rouve était en visite chez Ouest France à l'occasion de la sortie du 5ème opus de la saga à succès "Les Tuche". Il a répondu aux questions de Philippe Lemoine.
La comédienne et réalisatrice sort Les femmes au balcon. Un film jubilatoire et trash où les violences faites aux femmes et leur désir de s'en libérer sont montrés crûment. Rencontre avec une militante.
La vieillesse, un tabou ? Pas pour Antoine de Caunes, 71 ans, qui incarne un nouveau magazine, « Vieux », dont le troisième numéro sort en kiosque ce jeudi 5 décembre. Un titre tout trouvé pour ce vétéran des médias.Temps qui passe, époque Canal+, Bolloré, rapport à l'Ouest... l'animateur et journaliste s'est livré avec humour à Ouest-France.
Le directeur de Charlie Hebdo, rescapé de l'attentat qui a fait douze morts dont huit de la rédaction de son journal le 7 janvier 2015, souhaite que les dix ans de ce drame soient placés sous le signe de la combativité. Il est venu nous raconter la vie de ses camarades décédés lors de l'attentat, qui font l'objet d'un livre intitulé : « Charlie Liberté, le journal de leur vie » disponible en librairie à partir du 5 décembre.
Après l'art dramatique dans « The Artist » et les comédies cultissimes d'OSS 117, Michel Hazanavicius s'essaye au film d'animation avec « La plus précieuse des marchandises » en salles ce 20 novembre. Dans ce podcast présenté par Philippe Lemoine, le réalisateur revient sur le processus de création de ce long-métrage d'animation. Un film tiré du conte de Jean-Claude Grumberg qui évoque la Shoah à travers l'histoire d'un couple de bûcherons qui sauve un bébé de la déportation. Florilège de citations.
Cécile Bois joue, depuis 2013, la très populaire commandante de police Candice Renoir. Visage familier du petit écran, elle est à l'affiche d'un nouveau téléfilm diffusé mercredi 20 novembre 2024 sur France 2.Tiré d'une histoire vraie, « Signalements » retrace le parcours de la Rennaise Laurence Brunet-Jambu (incarnée par Cécile Bois), qui va se battre pour sauver sa nièce Karine, victime de ses parents. Elle obtiendra gain de cause après plus de dix ans d'une lutte acharnée.L'actrice revient sur sa carrière au micro d'Anaïs Berno.Bonne écoute.
Philippe Katerine est de retour avec un nouveau disque appelé "Zouzou". Son apparition nue (ou presque), en homme bleu, à la cérémonie d'ouverture des JO de Paris, cet été, a été remarquée dans le monde entier, avec des réactions variées... Une prestation qui lui a valu un regain de notoriété (+ 240 % d'écoute de ses chansons le lendemain sur Spotify, + 600 % sur YouTube).Philippe Katerine s'en amuse et nous amuse. Comédien (une quarantaine de longs-métrages), auteur, compositeur et chanteur, il vient de publier un nouvel album appelé « Zouzou » du nom de son toutou, qui apparaît sur la pochette du disque.Sur des ballades ou des airs entrainants, il raconte son quotidien, son intimité, ses angoisses. Des sujets parfois très sérieux mais toujours présentés d'un ton décalé… Rencontre avec un artiste unique.
José Garcia est l'invité de l'émission Newsroom à l'occasion du film "À toute allure". Il revient sur son parcours au micro de Philippe Lemoine.Bonne écoute.
Le réalisateur Nicolas Vanier et l'actrice Valérie Bonneton étaient de passage au siège d'Ouest-France à l'occasion de la sortie du film C'est le monde à l'envers ! Dans cette comédie dramatique, le réalisateur (Belle et Sébastien, Le Dernier Trappeur…) s'attaque cette fois à « l'urgence écologique, parce que c'est une réalité ».On y suit les pérégrinations d'une famille parisienne, contrainte par la crise climatique de rejoindre une exploitation du Morvan. Valérie Bonneton, fermière ancrée dans ses bottes en caoutchouc, donne la réplique à Michaël Youn, François Berléand ou encore Yannick Noah. Un tournage en pleine campagne synonyme d'aventure que les deux artistes racontent au micro de Philippe Lemoine.Bonne écoute.
Le chef Norbert Tarayre, trublion de la cuisine française, est l'invité de Newsroom au micro de la journaliste Anaïs Berno. Révélé par l'émission Top Chef, le cuisinier désormais à la tête d'un restaurant de palace parisien et de plusieurs émissions culinaires se confie sans filtre sur son parcours atypique. Bonne écoute.
Gaëtan Roussel et la Bretagne, une histoire qui dure depuis plus de vingt ans. Le chanteur n'a jamais oublié l'accueil enthousiaste du public breton lors des débuts de Louise Attaque dans les années 90. Programmé à l'époque dans de nombreux festivals de l'Ouest, certains penseront même que le groupe est 100% armoricain. « Neuf de nos concerts sur dix étaient en Bretagne. Les premières personnes à nous soutenir étaient bretonnes. Et puis, à nos débuts, le son de Louise Attaque était très acoustique avec notamment du violon donc l'association avec la Bretagne était vite faite mais ça ne nous déplaisait pas ! » plaisante le leader du groupe originaire de Paris. Le chanteur qui a depuis une belle carrière solo raconte son parcours au micro du journaliste Philippe Mathé. Dans ce nouveau podcast de Newsroom, Gaëtan Roussel revient sur le succès phénoménale du premier album de Louise Attaque, sa rencontre déterminante avec Alain Bashung ou encore ses nouveaux projets...Bonne écoute.
Du journalisme et ses débuts dans la presse automobile, à la présentation de Top Chef, Pékin Express ou Le Golden Bachelor, en passant par l'ouverture de restaurants et la production d'émissions, Stéphane Rotenberg raconte son parcours et les coulisses de son succès. Il confie notamment sa peur d'être "débranché", remplacé, du jour au lendemain, et la nécessité de penser l'après.
Recevoir Daniel Auteuil c'est faire défiler toute une partie du patrimoine cinématographique français. Des comédies au drame, cet homme nous a fait rire et pleurer, endossant tous les costumes, jouant des partitions symphoniques et des envolées de soliste. Lui, préfère parler au présent et au futur.Il est arrivé au journal en toute décontraction. Sur son tee-shirt de grand pêcheur devant l'éternel, une inscription : « Proche des truites, loin des cons ». Le ton est donné. À 74 ans, l'homme ne s'embarrasse plus la vie avec les emmerdeurs évitables. Cela fait de lui un interlocuteur sincère, conscient de son parcours, mais très simple d'abord.
On savait qu'elle pouvait tournoyer en faisant des claquettes dans The Artist, on ignorait qu'elle était aussi capable d'affronter un requin tueur dans Sous la Seine. Bérénice Bejo revient sur les tournages marquants de sa carrière et leurs coulisses.
La demi-finaliste de la Star Academy est venue rencontrer nos lecteurs dans les locaux de Ouest-France. Après un showcase privé, la jeune Belge s'est confiée sur sa vie et sa carrière depuis la fin du télécrochet de TF1.
Le comédien est à l'affiche d'Et plus si affinités, un film hilarant où l'on parle avec légèreté et élégance de sexualité et de vie de couple. L'occasion de revenir sur la grande époque des Inconnus, avec Didier Bourdon et Pascal Légitimus, mais aussi sur sa carrière au cinéma dans des rôles plus dramatiques.
Le comédien est à l'affiche de Hors Saison, le dernier film de Stéphane Brizé. Il joue le rôle d'un acteur qui se pose des questions sur sa vie professionnelle et sentimentale et qui part se reposer dans une thalasso en Bretagne. Sur place, il va renouer avec une femme qu'il a quittée 15 ans plus tôt. L'occasion pour l'acteur d'évoquer sa carrière, les doutes que lui même a connu dans sa vie, le besoin de se ressourcer. Il revient aussi sur les scandales qui touchent en ce moment le milieu du cinéma.
Le Chat fête ses 40 ans ! Pour l'occasion, le dessinateur Philippe Geluck a sorti un 24e album intitulé "Le Chat et les 40 bougies". Invité à la rédaction d'Ouest-France, l'auteur livre quelques anecdotes sur son personnage fétiche.Bonne écoute.
Le très populaire astronaute était l'invité du journal, mercredi 22 novembre 2023, pour la sortie de son autobiographie Ma vie sans gravité (Flammarion). A cette occasion, et pendant une bonne heure, il a pu échanger avec les élèves de CM2 de l'école Toni Morrison, à Rennes. Intrigué, fasciné, le joyeux groupe de bambins a interrogé l'homme aux deux voyages spatiaux sur sa vie, son quotidien dans l'ISS mais aussi sur l'espace et ses étrangetés, ou encore sur le futur. Des demandes les plus pragmatiques – « Comment on fait ses besoins dans la station ? » – aux plus insolites – « C'est vrai que quand on a une carie on ne peut pas être astronaute ? " – Thomas Pesquet s'est prêté au jeu d'un questions-réponses rafraîchissant.
L'actrice internationale incarne l'écrivaine et photographe Carole Achache dans un film hybride entre fiction et documentaire. Réalisé par sa fille Mona Achache, Little Blue Girl a mis Marion Cotillard au défi technique de réaliser un playback sur des enregistrements, pour faire revivre l'héroïne le temps d'une projection.Celle-ci raconte son expérience du tournage à notre micro et revient sur son parcours, de ce qui lui a donné envie de devenir actrice à son Oscar, en passant par son rapport à la célébrité. Une interview de Philippe Lemoine.Bonne écoute.Crédit Photo : Marc Ollivier /Ouest-France
Depuis 2003, l'aventurier à la chemise rouge sillonne le monde, harnaché de son étrange attirail vidéo qui lui permet de filmer toutes ses rencontres. L'esprit taquin et l'œil malicieux, il poursuit inlassablement son défi de s'inviter chez les habitants des pays qu'il traverse. La star de l'émission culte J'irai dormir chez vous est notre invité, à l'occasion de la sortie d'un épisode spécial, le 10 novembre : J'irai dormir chez les Gaulois (Diffusé sur RMC Découverte). Anecdotes, souvenirs et coulisses, Antoine de Maximy fait le bilan de ses vingt ans d'aventures filmées dans le monde entier.Une interview de Sarah Caillaud.Bonne écoute.Photo : Mathis Harpham / Ouest-France
Le comédien Benjamin Lavernhe incarne L'Abbé Pierre dans le nouveau film de Frédéric Tellier qui plonge au cœur de la vie si intense du fondateur d'Emmaüs. La ressemblance est frappante. À tout âge, l'équipe de maquillage a fait un travail remarquable. Benjamin Lavernhe a aussi beaucoup travaillé les mimiques, le parler de l'Abbé Pierre. Mais cela n'aurait jamais été suffisant. Il a surtout cherché à percer le secret de sa personnalité, afin que cela transparaisse dans son interprétation.Pour cela, il a pu s'appuyer sur une solide expérience de comédien. Le 534e sociétaire de la Comédie française a déjà joué dans de nombreux films, du Sens de la fête à Jeanne du Barry.Une interview de Florence Pitard.Bonne écoute.
Elle est chouette Cécile de France. Vraiment. En plus d'être la grande comédienne que l'on connaît au ton juste et percutant, elle est aussi une femme à l'abord facile et au sourire accueillant. L'école belge – elle originaire de Namur — où, dit-elle, « le star-system est beaucoup moins développé qu'en France ».Nous l'avons reçue mercredi, au siège rennais de Ouest-France, à l'occasion de la sortie, mercredi prochain, du dernier film de et avec Albert Dupontel : Second tour. Dans cette fable politique drôle, profonde et mordante contre les puissances financières et les chaînes d'informations inféodées au pouvoir en place et aux injonctions des actionnaires, Cécile de France incarne une journaliste. Reléguée au football pour avoir réalisé un reportage sur un des financeurs de la chaîne, elle se retrouve bombardée à la politique pour réaliser l'interview de Pierre-Henry Mercier le favori du second tour de la présidentielle.Journaliste d'investigation dans l'âme, elle va creuser et découvrir d'étonnantes révélations que nous ne vous dévoilerons pas ici. Cécile de France qui avoue ne pas trop regarder les médias pour se protéger de la folie du monde campe une journaliste tout à fait crédible, emportée dans une histoire qui va la dépasser. Si le film aborde des sujets lourds, il est aussi très drôle. Le rire vient dégoupiller les moments de tension en grande partie grâce à la formidable prestation de Nicolas Marié en cameraman fan de foot.
Yves Camdeborde, 58 ans, est un enfant précoce de la cuisine et du rugby. Licencié à Pau dès ses 6 ans, à la Section paloise, il a aussi commencé à travailler aux fourneaux dès l'âge de 13 ans et demi. En tenue couleur bleu de chauffe et espadrilles, il nous a livré, mercredi 13 septembre 2023, sa vision de la restauration et du jeu à XV: «La cuisine est un travail d'équipe et comme au rugby, met en harmonie des gens très différents au service du collectif», a-t-il confié au micro de Claire Thevenoux.
Le chef triplement étoilé est notre invité. Après la mort de son fils, il se bat contre les délinquants routiers. Quand il parle de cuisine, Yannick Alléno, 54 ans, a des étoiles dans les yeux. Il a en accroché quelques unes aux portes de ses restaurants : trois au Pavillon Ledoyen à Paris, trois au 1947 à Courchevel, deux à la table de Pavie à Saint-Emilion… Un palmarès éblouissant. Quand il parle de son fils, Antoine, mort à 24 ans, le 8 mai 2022, fauché par un délinquant de la route qui roulait sous l'emprise de la drogue et l'alcool dans une voiture volée, le regard se fait noir. « Il était à l'arrêt en scooter, au feu rouge, le type est arrivé par-derrière au volant d'une voiture très puissante. Il a forcé le passage. Mon fils a été projeté contre le feu. » Il est mort, sa passagère a été blessée mais a survécu. Depuis ce funeste jour, Yannick Alléno se bat. Avec la même énergie qu'il a déployée dans son travail, il a créé une association qui porte le nom de son fils. Le but aider les familles endeuillées à passer l'épreuve psychologiquement mais aussi financièrement. Des fonds ont été collectés pour payer les frais qui s'accumulent au moment d'un tel drame. Yannick Alléno veut aller encore plus loin. « C'est inadmissible, quand une famille est touchée par un tel drame, d'entendre dire qu'il s'agit d'un homicide involontaire. Celui qui prend le volant de sa voiture alcoolisé et drogué sait qu'il peut mettre la vie des autres en danger. Il transforme son véhicule en arme par destination. Nous nous battons pour qu'existe le délit d'homicide routier. » Yannick Alléno ne lâchera pas. Il mène au nom de son fils et « des 700 jeunes morts tous les ans dans des conditions similaires » le même combat que lorsqu'il va chercher une étoile. Une sorte de rapport au ciel. Bonne écoute.
Le chef triplement étoilé est notre invité. Après la mort de son fils, il se bat contre les délinquants routiers. Quand il parle de cuisine, Yannick Alléno, 54 ans, a des étoiles dans les yeux. Il a en accroché quelques unes aux portes de ses restaurants : trois au Pavillon Ledoyen à Paris, trois au 1947 à Courchevel, deux à la table de Pavie à Saint-Emilion… Un palmarès éblouissant.Quand il parle de son fils, Antoine, mort à 24 ans, le 8 mai 2022, fauché par un délinquant de la route qui roulait sous l'emprise de la drogue et l'alcool dans une voiture volée, le regard se fait noir. « Il était à l'arrêt en scooter, au feu rouge, le type est arrivé par-derrière au volant d'une voiture très puissante. Il a forcé le passage. Mon fils a été projeté contre le feu. » Il est mort, sa passagère a été blessée mais a survécu.Depuis ce funeste jour, Yannick Alléno se bat. Avec la même énergie qu'il a déployée dans son travail, il a créé une association qui porte le nom de son fils. Le but aider les familles endeuillées à passer l'épreuve psychologiquement mais aussi financièrement. Des fonds ont été collectés pour payer les frais qui s'accumulent au moment d'un tel drame.Yannick Alléno veut aller encore plus loin. « C'est inadmissible, quand une famille est touchée par un tel drame, d'entendre dire qu'il s'agit d'un homicide involontaire. Celui qui prend le volant de sa voiture alcoolisé et drogué sait qu'il peut mettre la vie des autres en danger. Il transforme son véhicule en arme par destination. Nous nous battons pour qu'existe le délit d'homicide routier. »Yannick Alléno ne lâchera pas. Il mène au nom de son fils et « des 700 jeunes morts tous les ans dans des conditions similaires » le même combat que lorsqu'il va chercher une étoile. Une sorte de rapport au ciel.Bonne écoute.
Présentateur du 13 h de la première chaîne (qui n'était pas encore TF1) en 1975 aux côtés d'Yves Mourousi, animateur d'émissions à succès sur Canal + puis directeur de la chaîne, président du PSG, avec lequel il remporte la Coupe d'Europe, réalisateur de films… Stop n'en jetez plus ! Le parcours de Michel Denisot, 78 ans, est spectaculaire presque autant que sa simplicité. Dans cet univers où la tête se dilate facilement au contact des étoiles, il a su durer en gardant les pieds sur terre. « Quand il a pu m'arriver d'être un peu trop content de moi, ma femme et mes filles étaient là pour me ramener au bon niveau. » Originaire d'un petit village de l'Indre, Michel Denisot a fait ses classes à l'école de la presse quotidienne régionale. « À 15 ans, j'ai poussé la porte de la rédaction du journal local, Centre presse. J'ai tout de suite su que c'était ça que je voulais faire. » Il en a un peu oublié le lycée et n'a jamais décroché son bac. « C'était une autre époque. On pouvait réussir différemment. J'ai la chance d'avoir fait toute ma vie un métier de passion. » Ainsi va Michel Denisot avec une envie de découvrir les autres et un apparent détachement. Et surtout, un véritable sens de l'humour. « Rire de blagues, c'est mon antidépresseur à moi. » Il vient de publier chez Plon, un recueil de ce qui l'a fait le plus rire sur Instagram. Un florilège baptisé : « On peut rire de tout, sauf en mangeant de la semoule ». Au fil des années, ce grand copain de Coluche a vu la société changer et son sens de l'humour aussi. Il s'est adapté avec son sens de l'élégance. Ce mec est classe on vous dit. Premier de la classe même. Bonne écoute.
Présentateur du 13 h de la première chaîne (qui n'était pas encore TF1) en 1975 aux côtés d'Yves Mourousi, animateur d'émissions à succès sur Canal + puis directeur de la chaîne, président du PSG, avec lequel il remporte la Coupe d'Europe, réalisateur de films… Stop n'en jetez plus !Le parcours de Michel Denisot, 78 ans, est spectaculaire presque autant que sa simplicité. Dans cet univers où la tête se dilate facilement au contact des étoiles, il a su durer en gardant les pieds sur terre. « Quand il a pu m'arriver d'être un peu trop content de moi, ma femme et mes filles étaient là pour me ramener au bon niveau. »Originaire d'un petit village de l'Indre, Michel Denisot a fait ses classes à l'école de la presse quotidienne régionale. « À 15 ans, j'ai poussé la porte de la rédaction du journal local, Centre presse. J'ai tout de suite su que c'était ça que je voulais faire. » Il en a un peu oublié le lycée et n'a jamais décroché son bac. « C'était une autre époque. On pouvait réussir différemment. J'ai la chance d'avoir fait toute ma vie un métier de passion. »Ainsi va Michel Denisot avec une envie de découvrir les autres et un apparent détachement. Et surtout, un véritable sens de l'humour. « Rire de blagues, c'est mon antidépresseur à moi. » Il vient de publier chez Plon, un recueil de ce qui l'a fait le plus rire sur Instagram. Un florilège baptisé : « On peut rire de tout, sauf en mangeant de la semoule ».Au fil des années, ce grand copain de Coluche a vu la société changer et son sens de l'humour aussi. Il s'est adapté avec son sens de l'élégance. Ce mec est classe on vous dit. Premier de la classe même.Bonne écoute.
Quand elle vient quelque part, Roselyne Bachelot ne passe pas inaperçu. A 76 ans, celle qui a traversé la Ve République en étant quatre fois ministre sous trois Présidents différents n'a toujours pas raccroché les gants. « Je suis passée à travers l'histoire politique de la France en rencontrant des hommes, des situations auxquelles je n'étais pas forcément prédestinée.» Son franc parler n'a pas d'égal dans le monde politique. « C'est drôle, mon nom de jeune fille, c'est Narquin, en vieux français, ça veut dire archer. Ou narquois, celui qui tire les flèches de l'ironie. C'est ce qui m'a permis de survivre dans cette cruauté du monde politique. J'étais une combattante indépendante, en regardant les choses un peu de travers pour les voir bien droites. » Dans ce podcast, elle raconte un épisode inédit de sa carrière, ce jour où elle est sollicitée par une famille dont le fils a été pris en otage par les Iraquiens. « Et je vais aller participer à la négociation de sa libération à Bagdad, en compagnie d'une semi-barbouze diplomate, après avoir rencontré le Premier ministre de Sadam Hussein dans un hôtel à Paris. » Elle répond aux questions de Arnaud Wajdzik. Bonne écoute.
Quand elle vient quelque part, Roselyne Bachelot ne passe pas inaperçu. A 76 ans, celle qui a traversé la Ve République en étant quatre fois ministre sous trois Présidents différents n'a toujours pas raccroché les gants. « Je suis passée à travers l'histoire politique de la France en rencontrant des hommes, des situations auxquelles je n'étais pas forcément prédestinée.»Son franc parler n'a pas d'égal dans le monde politique. « C'est drôle, mon nom de jeune fille, c'est Narquin, en vieux français, ça veut dire archer. Ou narquois, celui qui tire les flèches de l'ironie. C'est ce qui m'a permis de survivre dans cette cruauté du monde politique. J'étais une combattante indépendante, en regardant les choses un peu de travers pour les voir bien droites. »Dans ce podcast, elle raconte un épisode inédit de sa carrière, ce jour où elle est sollicitée par une famille dont le fils a été pris en otage par les Iraquiens. « Et je vais aller participer à la négociation de sa libération à Bagdad, en compagnie d'une semi-barbouze diplomate, après avoir rencontré le Premier ministre de Sadam Hussein dans un hôtel à Paris. »Bonne écoute.
C'est l'un des écrivains français les plus populaires. Marc Levy a quitté New York où il vit depuis quinze ans, pendant quelques jours en fin de semaine dernière, pour venir au Salon du livre de Paris à l'occasion de la sortie en poche de son dernier roman "Noa", qui clôturait une trilogie consacrée à des lanceurs d'alerte défendant la démocratie. Il en a profité pour faire un crochet par Rennes, lundi, à Ouest-France. L'auteur s'est confié sur sa façon de travailler et son rapport à l'actualité. Bonne écoute.
C'est l'un des écrivains français les plus populaires. Marc Levy a quitté New York où il vit depuis quinze ans, pendant quelques jours en fin de semaine dernière, pour venir au Salon du livre de Paris à l'occasion de la sortie en poche de son dernier roman "Noa", qui clôturait une trilogie consacrée à des lanceurs d'alerte défendant la démocratie.Il en a profité pour faire un crochet par Rennes, lundi, à Ouest-France. L'auteur s'est confié sur sa façon de travailler et son rapport à l'actualité.Bonne écoute.
Le réalisateur et comédien Dany Boon était notre invité mercredi 12 avril. À l'occasion de la sortie de son dernier film La vie pour de vrai, il a échangé avec la rédaction et des lecteurs. Un retour sur une carrière faite de succès dans les comédies populaires. Avec en point d'orgue Bienvenue chez les Ch'tis qui a enregistré 26 millions d'entrées dans le monde. Bonne écoute.
Le réalisateur et comédien Dany Boon était notre invité mercredi 12 avril. À l'occasion de la sortie de son dernier film La vie pour de vrai, il a échangé avec la rédaction et des lecteurs. Un retour sur une carrière faite de succès dans les comédies populaires. Avec en point d'orgue Bienvenue chez les Ch'tis qui a enregistré 26 millions d'entrées dans le monde.Bonne écoute.
Dans le monde aussi pailleté que parfois cruel des actrices et acteurs de cinéma, certaines personnalités dénotent par leur joie de vivre et leur authenticité. C'est le cas d'Alexandra Lamy. Dès les premières minutes, on a envie de l'avoir comme meilleure copine, grande sœur… Elle dégage une énergie débordante, carbure au sourire et ce qu'elle donne, elle le reçoit en retour. Mercredi, les couloirs du siège rennais de Ouest-France étaient remplis de salariés de l'entreprise venus faire un selfie avec la comédienne. Une cote de popularité rarement atteinte par les invités du journal. Elle ne dit jamais non, prend le temps, apprécie le compliment, renvoie un mot gentil. Dans La Chambre des merveilles, le dernier film de Lisa Azuelos, au cinéma le 15 mars, elle joue le rôle d'une mère qui se bat pour aider son jeune fils à sortir du coma. Pour lui, elle va réaliser des défis et les lui raconter dans sa chambre d'hôpital en espérant qu'il entende ses récits.Un film plein d'émotion mais aussi d'espoir porté par la comédienne qui s'y révèle sensible et vraie. Depuis Un Gars, une fille, Alexandra Lamy tient une place à part dans le cœur des Français. Au fil des 4 500 sketches filmés et toujours diffusés à la télévision « c'est génial d'être dans une série culte ! », puis des films dans lesquels elle a joué dont le joli Tout le monde debout de Franck Dubosc, elle apporte sa touche profondément humaine. Bonne écoute.
Dans le monde aussi pailleté que parfois cruel des actrices et acteurs de cinéma, certaines personnalités dénotent par leur joie de vivre et leur authenticité. C'est le cas d'Alexandra Lamy. Dès les premières minutes, on a envie de l'avoir comme meilleure copine, grande sœur… Elle dégage une énergie débordante, carbure au sourire et ce qu'elle donne, elle le reçoit en retour. Mercredi, les couloirs du siège rennais de Ouest-France étaient remplis de salariés de l'entreprise venus faire un selfie avec la comédienne. Une cote de popularité rarement atteinte par les invités du journal. Elle ne dit jamais non, prend le temps, apprécie le compliment, renvoie un mot gentil.Dans La Chambre des merveilles, le dernier film de Lisa Azuelos, au cinéma le 15 mars, elle joue le rôle d'une mère qui se bat pour aider son jeune fils à sortir du coma. Pour lui, elle va réaliser des défis et les lui raconter dans sa chambre d'hôpital en espérant qu'il entende ses récits.Un film plein d'émotion mais aussi d'espoir porté par la comédienne qui s'y révèle sensible et vraie.Depuis Un Gars, une fille, Alexandra Lamy tient une place à part dans le cœur des Français. Au fil des 4 500 sketches filmés et toujours diffusés à la télévision « c'est génial d'être dans une série culte ! », puis des films dans lesquels elle a joué dont le joli Tout le monde debout de Franck Dubosc, elle apporte sa touche profondément humaine. Bonne écoute.
Quand on reçoit Laurent Mariotte au siège rennais de Ouest-France, on ne va pas lui faire manger de la choucroute ! Luc Rivau, le chef du restaurant d'entreprise, lui a donc concocté un Kig ha farz, le pot-au-feu breton à la farine de blé noir.« Bravo pour ce plat, il vient du Finistère ! » On ne la fait pas à Laurent Mariotte. L'homme est un passionné de la cuisine des terroirs « Je connais bien votre région. Vous avez des produits magnifiques ! » Dans le cadre de ses émissions, il est souvent venu sur les terres de l'Ouest, « à la rencontre de chef ou de producteurs locaux ».Que ce soit dans sa pastille quotidienne sur TF1, Petits plats en équilibre, dans son émission du samedi matin sur Europe 1, A La Table des Bons Vivants !, dans son magazine bimestriel Les petits plats de Laurent Mariotte, dans ses livres aux éditions Solar (ouf tout ça !), il n'a de cesse de promouvoir une cuisine de qualité, pas trop compliquée et surtout abordable. Un mantra chez cet homme issu d'une famille d'agriculteurs dans les Vosges. « Je suis venu à Paris pour faire de la radio. J'ai ensuite travaillé comme animateur télé pour Canal J puis TF1. » Puis à l'approche de la quarantaine, l'envie de tout changer le taraude. « J'ai passé un CAP de cuisine à l'école Ferrandi ». Il voulait ouvrir un restaurant avec des potes, finalement il va lier comme une sauce ses deux savoirs : l'animation et la cuisine.« Il existe a une forme de sagesse de vie dans la cuisine : un lien avec la nature quand on mange des produits locaux ; du partage avec les gens que l'on aime. Et puis, cuisiner cela fait du bien à l'âme. Quand ça ne va pas fort, préparez-vous un plat que vous aimez. C'est un merveilleux remède. » Voilà une belle ordonnance !
Quand on reçoit Laurent Mariotte au siège rennais de Ouest-France, on ne va pas lui faire manger de la choucroute ! Luc Rivau, le chef du restaurant d'entreprise, lui a donc concocté un Kig ha farz, le pot-au-feu breton à la farine de blé noir.« Bravo pour ce plat, il vient du Finistère ! » On ne la fait pas à Laurent Mariotte. L'homme est un passionné de la cuisine des terroirs « Je connais bien votre région. Vous avez des produits magnifiques ! »Dans le cadre de ses émissions, il est souvent venu sur les terres de l'Ouest, « à la rencontre de chef ou de producteurs locaux ».Que ce soit dans sa pastille quotidienne sur TF1, Petits plats en équilibre, dans son émission du samedi matin sur Europe 1, A La Table des Bons Vivants !, dans son magazine bimestriel Les petits plats de Laurent Mariotte, dans ses livres aux éditions Solar (ouf tout ça !), il n'a de cesse de promouvoir une cuisine de qualité, pas trop compliquée et surtout abordable.Un mantra chez cet homme issu d'une famille d'agriculteurs dans les Vosges. « Je suis venu à Paris pour faire de la radio. J'ai ensuite travaillé comme animateur télé pour Canal J puis TF1. » Puis à l'approche de la quarantaine, l'envie de tout changer le taraude. « J'ai passé un CAP de cuisine à l'école Ferrandi ». Il voulait ouvrir un restaurant avec des potes, finalement il va lier comme une sauce ses deux savoirs : l'animation et la cuisine.« Il existe a une forme de sagesse de vie dans la cuisine : un lien avec la nature quand on mange des produits locaux ; du partage avec les gens que l'on aime. Et puis, cuisiner cela fait du bien à l'âme. Quand ça ne va pas fort, préparez-vous un plat que vous aimez. C'est un merveilleux remède. » Voilà une belle ordonnance !
Certains le décrivent comme un excentrique à l'allure étrange. D'autres lui prêtent un humour décalé, une polyvalence artistique et une qualité d'acteur évidente. Philippe Katerine c'est un peu tout ça à la fois. Un acteur-chanteur-réalisateur-écrivain au style singulier, et qui en plus vient de chez nous. A l'affiche de Voyage en Italie, l'artiste a passé une journée au sein de la rédaction de Ouest-France. L'occasion d'évoquer son enfance en Vendée ou encore sa difficile intégration dans la vie étudiante, sur les bancs de Rennes 2 :« je mettais les meubles devant la porte d'entrée de mon appartement, je flippais à mort ». L'acteur est également sur son apparition dans le dernier Astérix et Obélix :« C'est une sacrée expérience d'être ligoté et bâillonné, j'ai aimé ça ». Bonne écoute
Certains le décrivent comme un excentrique à l'allure étrange. D'autres lui prêtent un humour décalé, une polyvalence artistique et une qualité d'acteur évidente. Philippe Katerine c'est un peu tout ça à la fois. Un acteur-chanteur-réalisateur-écrivain au style singulier, et qui en plus vient de chez nous.A l'affiche de Voyage en Italie, l'artiste a passé une journée au sein de la rédaction de Ouest-France. L'occasion d'évoquer son enfance en Vendée ou encore sa difficile intégration dans la vie étudiante, sur les bancs de Rennes 2 :« je mettais les meubles devant la porte d'entrée de mon appartement, je flippais à mort ». L'acteur est également sur son apparition dans le dernier Astérix et Obélix :« C'est une sacrée expérience d'être ligoté et bâillonné, j'ai aimé ça ».Bonne écoute
Cali, connu pour sa musique fait aussi dans le cinéma. L'artiste sera bientôt à l'affiche du film "Monsieur Constant" réalisé par le compositeur-réalisateur Alan Simon. Vieux bonhomme, Constant vit seul sur une île bretonne, toujours obnubilé par le souvenir de son amour disparu il y a cinquante ans. Il ne répond jamais aux appels de son fils Sergio jusqu'à son arrivée chez lui accompagné de sa fille... Ce long-métrage tourné à l'île aux Moines (Morbihan) compte notamment Jean-Claude Drouot, Danièle Évenou et Jean-Yves Lafesse, tous épatants. Cali et Alan Simon reviennent sur cette belle aventure au micro de Michel Troadec. Bonne écoute.
Cali, connu pour sa musique fait aussi dans le cinéma. L'artiste sera bientôt à l'affiche du film "Monsieur Constant"réalisé par le compositeur-réalisateur Alan Simon. Vieux bonhomme, Constant vit seul sur une île bretonne, toujours obnubilé par le souvenir de son amour disparu il y a cinquante ans. Il ne répond jamais aux appels de son fils Sergio jusqu'à son arrivée chez lui accompagné de sa fille...Ce long-métrage tourné à l'île aux Moines (Morbihan) compte notamment Jean-Claude Drouot, Danièle Évenou et Jean-Yves Lafesse, tous épatants. Cali et Alan Simon reviennent sur cette belle aventure au micro de Michel Troadec. Bonne écoute.