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A l'occasion des Municipales 2020, Ouest-France vous propose une série de débats sur des villes à forts enjeux.Dans ce numéro, nous nous penchons sur la ville de Nantes, ville du département de la Loire-Atlantique, capitale de la région Pays de la Loire. Les chiffres de la ville, les forces en présence, les grands thèmes qui animeront la campagne...Pour en parler et répondre aux questions d'Edouard Reis Carona, rédacteur en chef délégué, on retrouve Claire Dubois, adjointe au chef de la rédaction Ouest-France à Nantes, Emmanuel Vautier, chef de service, attaché à la Rédaction en chef au journal Presse Océan, et enfin Arnauld Leclerc, professeur de Science Politique à l'UFR Droit et Sciences Politiques de Nantes.Les micros-trottoirs dans les rues de Nantes sont assurés par Claire Dubois.En début d'émission, Erwan Alix, data-journaliste à Ouest-France, dresse le portrait en chiffres de la ville de Nantes.Bonne écoute.Réalisation: Damien Le Délézir et Ronan Coquelin

A l'occasion des Municipales 2020, Ouest-France vous propose une série de débats sur des villes à forts enjeux.Dans ce numéro, nous nous penchons sur la commune de La Flèche, dans le département de la Sarthe, région Pays de la Loire. Les chiffres de la ville, les forces en présence, les grands thèmes qui animeront la campagne...Pour en parler et répondre aux questions d'Edouard Reis Carona, rédacteur en chef délégué, on retrouve Mathilde Leclerc, cheffe de la rédaction Ouest-France à La Flèche, et Yves-Marie Robin, journaliste en charge du réseau politique à Ouest-France.Les micros-trottoirs dans les rues de La Flèche sont assurés par Mathilde Leclerc.En début d'émission, Erwan Alix, datajournaliste à Ouest-France, dresse le portrait en chiffres de la ville de La Flèche.Bonne écoute.Réalisation technique: Maëliss Hennetier et Damien Le Délézir

A l'occasion des Municipales 2020, Ouest-France vous propose une série de débats sur des villes à forts enjeux.Dans ce numéro, nous nous penchons sur Cherbourg-en-Cotentin, ville située dans la Manche (Normandie). Les chiffres de la ville, les forces en présence, les grands thèmes qui animeront la campagne...Pour en parler et répondre aux questions d'Edouard Reis Carona, rédacteur en chef délégué, on retrouve Sarah Caillaud, cheffe de la rédaction Ouest-France à Cherbourg, et Julien Munoz, journaliste à La Presse de la Manche.Les micros-trottoirs dans les rues de Cherbourg sont assurés par Julien Munoz et Marie Gendron, journaliste à Ouest-France.En début d'émission, Erwan Alix, datajournaliste à Ouest-France, dresse le portrait en chiffres de la ville de Cherbourg.Bonne écoute.Réalisation technique: Maëliss Hennetier et Damien Le Délézir

A l'occasion des Municipales 2020, Ouest-France vous propose une série de débats sur des villes à forts enjeux.Dans ce numéro, nous nous penchons sur Granville, ville située dans la Manche (Normandie). Les chiffres de la ville, les forces en présence, les grands thèmes qui animeront la campagne...Pour en parler et répondre aux questions d'Edouard Reis Carona, rédacteur en chef délégué, on retrouve Fabien Jouatel, chef de la rédaction Ouest-France à Granville, et Nicolas Denoyelle, directeur départemental Ouest-France dans la Manche.Les micros-trottoirs dans les rues de Granville sont assurés par Fabien Jouatel.En début d'émission, Erwan Alix, datajournaliste à Ouest-France, dresse le portrait en chiffres de la ville de Granville.Bonne écoute.Réalisation technique: Maëliss Hennetier et Damien Le Délézir

A l'occasion des Municipales 2020, Ouest-France vous propose une série de débats sur des villes à forts enjeux.Dans ce numéro, nous nous penchons sur Quimper, ville préfecture du Finistère (Bretagne). Les chiffres de la ville, les forces en présence, les grands thèmes qui animeront la campagne...Pour en parler et répondre aux questions d'Edouard Reis Carona, rédacteur en chef délégué, on retrouve Christian Gouérou, directeur départemental du Finistère, et Yves-Marie Robin, journaliste au siège de Ouest-France en charge du réseau politique.Les micros-trottoirs dans les rues de Quimper sont assurés par Flora Chauveau.En début d'émission, Erwan Alix, datajournaliste à Ouest-France, dresse le portrait en chiffres de la ville de Quimper.Bonne écoute.Réalisation technique: Damien Le Délézir

A l'occasion des Municipales 2020, Ouest-France vous propose une série de débats sur des villes à forts enjeux.Dans ce numéro, nous nous penchons sur Brest, ville du Finistère (Bretagne). Les chiffres de la ville, les forces en présence, les grands thèmes qui animeront la campagne...Pour en parler et répondre aux questions d'Edouard Reis Carona, rédacteur en chef délégué, on retrouve Olivier Pauly, chef de la rédaction Ouest-France à Brest, Christian Gouérou, directeur départemental du Finistère, et Yves-Marie Robin, journaliste au siège de Ouest-France en charge du réseau politique.Les micros-trottoirs dans les rues de Brest sont assurés par Romain Fillon.En début d'émission, Erwan Alix, datajournaliste à Ouest-France, dresse le portrait en chiffres de la ville de Brest.Bonne écoute.Réalisation technique: Damien Le Délézir

A l'occasion des Municipales 2020, Ouest-France vous propose une série de débats sur des villes à forts enjeux.Dans ce numéro, nous nous penchons sur Pontivy, ville du Morbihan située en Centre Bretagne. Les chiffres de la ville, les forces en présence, les grands thèmes qui animeront la campagne...Pour en parler et répondre aux questions d'Edouard Reis Carona, rédacteur en chef délégué, on retrouve Julie Schittly, cheffe de la rédaction Ouest-France à Pontivy, Christel Marteel, directrice départementale du Morbihan, et Yves-Marie Robin, journaliste au siège de Ouest-France en charge du réseau politique.Les micros-trottoirs dans les rues de Pontivy sont assurés par Julie Schittly.En début d'émission, Erwan Alix, datajournaliste à Ouest-France, dresse le portrait en chiffres de la ville de Pontivy.Bonne écoute.Réalisation technique: Maëliss Hennetier et Damien Le Délézir

A l'occasion des Municipales 2020, Ouest-France vous propose une série de débats sur des villes à forts enjeux.Dans ce numéro, nous nous penchons sur Saint-Malo, ville située en Ille-et-Vilaine (Bretagne). Les chiffres de la ville, les forces en présence, les grands thèmes qui animeront la campagne...Pour en parler et répondre aux questions d'Edouard Reis Carona, rédacteur en chef délégué, on retrouve Nicolas Carnec, chef de la rédaction Ouest-France à Saint-Malo, Guillaume Robelet, journaliste à la rédaction Ouest-France de Saint-Malo et Yves-Marie Robin, journaliste au siège de Ouest-France en charge du réseau politique.Les micros-trottoirs dans les rues de Saint-Malo sont assurés par Guillaume Robelet de la rédaction Ouest-France à Saint-Malo.En début d'émission, Erwan Alix, datajournaliste à Ouest-France, dresse le portrait en chiffres de la ville de Saint-Malo.Bonne écoute.Réalisation technique: Maëliss Hennetier et Damien Le Délézir

A l'occasion des Municipales 2020, Ouest-France vous propose une série de débats sur des villes à forts enjeux.Dans ce numéro, nous nous penchons sur Lorient, ville aux cinq ports située dans le Morbihan (Bretagne). Norbert Métairie, maire depuis trois mandats, a décidé de ne pas se représenter. Les chiffres de la ville, les forces en présence, les grands thèmes qui animeront la campagne...Pour en parler et répondre aux questions d'Edouard Reis Carona, rédacteur en chef délégué, on retrouve Christel Marteel, directrice départementale du Morbihan, Yvan Duvivier, journaliste à la rédaction Ouest-France à Lorient, et Yves-Marie Robin, journaliste au siège de Ouest-France en charge du réseau politique.Les micros-trottoirs dans les rues de Lorient sont assurés par Yvan Duvivier.En début d'émission, Erwan Alix, datajournaliste, dresse le portrait en chiffres de la ville de Lorient.Bonne écoute.Réalisation technique: Maëliss Hennetier et Damien Le Délézir

A l'occasion des Municipales 2020, Ouest-France vous propose une série de débats sur des villes à forts enjeux. Dans ce numéro, nous nous penchons sur Dinard, ville de la Côte d'Emeraude située en Ille-et-Vilaine (Bretagne). Les chiffres de la ville, les forces en présence, les grands thèmes qui animeront la campagne... Pour en parler et répondre aux questions d'Edouard Reis Carona, rédacteur en chef délégué, on retrouve Nicolas Carnec, chef de la rédaction Ouest-France à Saint-Malo, et Yves-Marie Robin, journaliste au siège de Ouest-France en charge du réseau politique, qui a été reporter à Dinard. Les micro-trottoirs dans les rues de Dinard sont assurés par Guillaume Robelet de la rédaction Ouest-France à Saint-Malo.En début d'émission, Erwan Alix, datajournaliste, dresse le portrait en chiffres de la ville de Dinard.Bonne écoute.Réalisation technique: Maëliss Hennetier et Damien Le Délézir

A l'occasion des Municipales 2020, Ouest-France vous propose une série de débats sur des villes à forts enjeux. Dans ce numéro, nous nous penchons sur Vannes, préfecture du Morbihan. Les chiffres de la ville, les forces en présence, les grands thèmes qui animeront la campagne... Pour en parler et répondre aux questions d'Edouard Reis Carona, rédacteur en chef délégué, on retrouve Christel Marteel, directrice d'Ouest-France dans le Morbihan, Patrick Croguennec, chef de la rédaction Ouest-France à Vannes, et Yves-Marie Robin, journaliste au siège de Ouest-France en charge du réseau politique.En début d'émission, Erwan Alix, datajournaliste, dresse le portrait en chiffres de la ville de Vannes. Des Vannetais s'expriment également.Bonne écoute.Réalisation technique: Maëliss Hennetier et Damien Le Délézir

A l'occasion des Municipales 2020, Ouest-France vous propose une série de débats sur des villes à forts enjeux. Dans ce numéro, nous nous penchons sur Rennes, capitale de la Bretagne. Les chiffres de la ville, les forces en présence, les grands thèmes qui animeront la campagne... Pour en parler et répondre aux questions d'Edouard Reis Carona, rédacteur en chef délégué, on retrouve Thomas Frinault, maître de conférence à Rennes 2, Stéphane Vernay, directeur de la rédaction Ouest-France Paris, et Yann-Armel Huet, chef de la rédaction Ouest-France de Rennes. En début d'émission, Erwan Alix, datajournaliste, dresse le portrait en chiffres de la ville de Rennes. Des Rennais s'expriment également au micro de Damien Le Délézir et Maëliss Hennetier.Bonne écoute.

Naval Group. Ce nom vous dit peut-être quelque chose, mais reste énigmatique pour beaucoup d'entre nous. Pourtant, ce groupe industriel français spécialisé dans l'industrie navale de défense emploie près de 14 000 personnes répartis dans dix-huit pays. Naval Group s'est spécialisé dans la construction de sous-marins, de porte-avions et de navires militaires.Très discret et volontiers protecteur de son image, Naval s'est pourtant retrouvé au centre de l'actualité à la suite d'une enquête de Ouest-France parue le 25 octobre 2019. Un de ses anciens cadres aurait en effet vendu des documents concernant des sous-marins livrés au Pakistan à une société concurrente. Résultat : huit personnes ont été mises en examen et placées sous contrôle judiciaire.Dans ce podcast, nous allons revenir sur les coulisses de cette affaire qui pourrait avoir des répercussions aux plus hauts niveaux de l'Etat et de l'armée, mais nous allons également en apprendre plus sur les activités parfois mystérieuses de Naval group. Animé par Damien Le Délézir, avec Marie-Claudine Chaupitre, journaliste à Ouest-France Saint-Brieuc qui a mené l'investigation sur cette affaire, et Olivier Melennec, journaliste au service Bretagne de Ouest-France, et coauteur de l'enquête.Bonne écoute.

En avril 2019, Ronan, boulanger à côté de Lannion dans les Côtes d'Armor, a découvert l'existence de son père biologique. Depuis, les deux hommes sont inséparables. «Quand je suis arrivé, il était garé devant mon camion, et il m’a dit : «Je suis votre fils». Je lui ai dit : «Bon, et bien on va boire un café !» ​André Touarin, 76 ans, ne s’attendait certainement pas à la visite de Ronan, grand gaillard de 52 ans et boulanger à Ploumilliau. En mars dernier, Ronan avait découvert l’existence de son père biologique, âgé de 76 ans. «J’avais besoin de savoir d’où je venais, de connaître mes origines.» Quelques mois après leurs retrouvailles, nous sommes retournés voir les deux hommes et leur avons tendu notre micro. «Maintenant, on ne se quitte plus !» Dans ce podcast inédit, on peut entendre André, le père, raconter sa rencontre avec ce fils surgi de son passé, sous le chant des oiseaux (des inséparables...) qui volent dans sa véranda. On suit ensuite Ronan dans la boulangerie, avec sa femme Anne. Ils racontent leur quête, parfois éprouvante, pour tirer le fil de son passé et renouer avec ses origines. «Maintenant, on ne se quitte plus !» ​s’exclame André, qui déboule dans la boulangerie familiale, coiffé de son éternel bonnet rouge.  «Il était temps qu’il arrive, maintenant, il faut qu’il me garde en vie !» ​sourit André, tandis qu’Anne, la femme de Ronan, s’émerveille toujours de ce scénario improbable : «C’est mieux qu’un film... Il a vraiment de la chance de l’avoir trouvé, c’est une histoire très émouvante.» Un podcast réalisé par Damien Le Délézir et Maëliss Hennetier, avec l'aide de David Désille. Crédit musique (https://icones8.fr/) - Ilya Truhanov - Russian Soap Opera - Ilya Truhanov - Sleepless in gulustan - Dream machine - Ratatouille

Enfants allophones, quand le sport sert de tremplin pour apprendre le français A l’école primaire Paul Langevin, dans le quartier du Blosne à Rennes, le sport est un langage universel. En effet, dans une classe de CM1-CM2, certains élèves éprouvent quelques peines à suivre les cours. Et pour cause : ils sont allophones, en d’autres termes le français n’est pas leur langue maternelle. Ils apprennent et s’améliorent rapidement, mais quand il manque les mots, il n’est pas toujours facile d’établir le contact avec les petits camarades. Pour aider à l’intégration, l’école mise sur le sport, un espace de liberté où se gomment les différences. Tous les élèves s’entrainent deux fois par semaine depuis la rentrée pour préparer une course de 1 400 m, 1 800 m ou de 2 100 m, dans le cadre de Tout Rennes Court version scolaire, qui aura lieu dans le parc de Bréquigny. Notre journaliste Virginie Enée a assisté à un de leur entrainement. Un reportage audio à retrouver sur Le Mur des Podcasts d’Ouest-France et sur les différentes plateformes de streaming. Réalisation et montage : Damien Le Délézir et Maëliss Hennetier Crédit musique : Mon plaisir - "Stage 1, level 24"

De passage au siège d'Ouest-France, l'acteur Olivier Gourmet s'est confié au micro de Gilles Kerdreux. Il parle du travail d'acteur, de son pays la Belgique et de ses films engagés. Bonne écoute. Réalisation : Maëliss Hennetier & Damien Le Délézir Crédits : film "Ceux qui travaillent" de Antoine Russbach (2019) Photo de la couverture du podcast: Marc Ollivier

De passage au siège d’Ouest-France, l'acteur Olivier Gourmet s’est confié au micro de Gilles Kerdreux. Il parle du travail d'acteur, de son pays la Belgique et de ses films engagés. Bonne écoute. Réalisation : Maëliss Hennetier & Damien Le Délézir Crédits : film "Ceux qui travaillent" de Antoine Russbach (2019) Photo de la couverture du podcast: Marc Ollivier

Le 30 août 2004, Plus belle la vie débarquait à 20 h 20, sur France 3. Et progressivement dans les foyers des Français, qui sont encore aujourd'hui plus de trois millions à suivre le feuilleton chaque soir de la semaine. Le Breton Laurent Kerusoré a fait son apparition dans la série en mars 2005. Dans la peau du serveur Thomas Marci, jeune homme homosexuel et fils de Roland Marci, l'emblématique patron du bar « Le Mistral », il est devenu l'un des visages récurrents du programme au fil des années. Son personnage a marqué l'histoire de la télé française en devenant le premier à épouser un autre homme à une heure de grande écoute. Il a aussi changé la vie du comédien, aujourd'hui âgé de 45 ans. Celui-ci s'est confié à Ouest-France à l'occasion des 15 ans de « PBLV ». Bonne écoute ! Réalisation : Damien Le Délézir & Hugo Checinski Crédits : Génériques du feuilleton "Plus belle la vie" (France 3) Volver - Estrella Morente (film "Volver" de Pedro Almodovar, 2006) Episodes de Plus belle la vie / saison 1, arrivée de Thomas, saison 9 (mariage Thomas et Gabriel) Photo de la couverture du podcast: Nathalie Guyon / France télévision

Le 30 août 2004, Plus belle la vie débarquait à 20 h 20, sur France 3. Et progressivement dans les foyers des Français, qui sont encore aujourd’hui plus de trois millions à suivre le feuilleton chaque soir de la semaine. Le Breton Laurent Kerusoré a fait son apparition dans la série en mars 2005. Dans la peau du serveur Thomas Marci, jeune homme homosexuel et fils de Roland Marci, l’emblématique patron du bar « Le Mistral », il est devenu l’un des visages récurrents du programme au fil des années. Son personnage a marqué l’histoire de la télé française en devenant le premier à épouser un autre homme à une heure de grande écoute. Il a aussi changé la vie du comédien, aujourd’hui âgé de 45 ans. Celui-ci s’est confié à Ouest-France à l’occasion des 15 ans de « PBLV ». Bonne écoute ! Réalisation : Damien Le Délézir & Hugo Checinski Crédits : Génériques du feuilleton "Plus belle la vie" (France 3) Volver - Estrella Morente (film "Volver" de Pedro Almodovar, 2006) Episodes de Plus belle la vie / saison 1, arrivée de Thomas, saison 9 (mariage Thomas et Gabriel) Photo de la couverture du podcast: Nathalie Guyon / France télévision

Vous êtes-vous déjà demandé à quoi pouvaient ressembler les sons des créatures sous-marines ? Saviez-vous que les homards et les langoustes émettaient des sons, et qu'il était possible de les entendre ? C’est le travail de Youenn Jézéquel, un jeune chercheur de 25 ans originaire de Perros-Guirec. Avec un arsenal d'hydrophones perfectionnés, il remontent des profondeurs des sons inconnus émis par les crustacés. « Pour un homard, ce sont des muscles situés à l’intérieur de la carapace qui vont se contracter très rapidement, raconte le chercheur, qui écrit sa thèse à l’Institut européen de la mer, près de Brest. Cela produit un son basse fréquence, comme un bourdonnement. Les langoustes produisent un son plus métallique ». Damien Le Délézir est allé à sa rencontre et l'a suivi lors d'une plongée en mer d'Iroise. Il en a ramené des sons que peu ont entendu. Et qui pourraient faire progresser la science dans une direction inédite : l'acoustique marine. Crédits musique (Icons8.com) : Sea in me by Vermos (https://icones8.fr/music/author/vermos) Birds flying in the storm & Good tone by Nordgroove (https://icones8.fr/music/author/nordgroove) Think of you by Ilya Marfin (https://icones8.fr/music/author/ilya-marfin)

Ils pensaient passer des vacances reposantes... elles ont tourné au cauchemar ! Dans ce second volet de notre série d’été en podcast, découvrez l’histoire de Pierre et de son épouse. Ayant réservé à prix d’or une chambre dans une maison d’hôtes en Californie, leur déconvenue sera cruelle... « Elle a ouvert un tiroir plein de couteaux de cuisine ! » « Je voulais organiser quelque chose de sympa avec ma femme dans un endroit original », explique Pierre, 43 ans (tous les prénoms ont été changés). « Nous devions rendre visite à des membres de sa famille au Texas et en Californie. C’était l’occasion de nous accorder un petit moment à deux. » Sauf que ce petit moment de détente en amoureux va vite se transformer en vacances de cauchemar... Un podcast de Ouest-France Sur un texte de Gaëlle Legrand, lu par Emmanuel Guilbert. Réalisation : Damien Le Délézir Musiques : - Kevin MacLeod - Sneaky Snitch / Scheming Wease / Nervous

À Voix haute est un podcast qui propose de revivre, en audio avec du son d’ambiance et des témoignages, de belles histoires publiées dans les colonnes d’Ouest-France. Pour ce sixième épisode, nous vous proposons de partir à la rencontre de Guy Helbert. Âgé de 72 ans, il nous raconte son enfance au sein d’un orphelinat dans les années 1950. L’équipe du Mur des podcasts de Ouest-France vous propose en audio les belles histoires qui ont pris place dans les colonnes du journal. De belles rencontres, des projets novateurs, des initiatives positives, des témoignages forts. Des moments plus dramatiques également. Tous sont des « héros » du quotidien qui méritent que l’on s’attarde sur leur parcours. Des hommes, des femmes, des enfants qui prennent parfois eux-mêmes la parole. "À Voix Haute", c’est la ou les voix de nos territoires. Réalisé à partir d’un article de notre journaliste Jean-François Vallée, ce nouvel épisode propose de vous faire découvrir le quotidien d’un jeune orphelin dans les années 1950. C’est dans une institution religieuse, à Saint-Fraimbault-de-Prières en Mayenne qu’a grandi Guy Helbert. À la recherche de son passé, il nous raconte ce qu’il a vécu… Avec les voix de Guy Helbert, narration : Damien Le Délézir Montage : Maëliss Hennetier Crédits son : Mattias Westlund - Winter's Call (cc 4.0) Virgules sonores : Damien Le Délézir Bonne écoute.

Ouest-France revient sur la finale de la Coupe de France 1971, remportée par le Stade Rennais, avec Alain Cosnard. Deuxième volet de notre série « Le Stade Rennais et la Coupe de France ». Le 20 juin 1971, le Stade Rennais remporte la seconde coupe de France de son histoire face à Lyon. Alain Cosnard était défenseur latéral, il raconte ce jour historique en podcast. Un podcast réalisé par Damien Le Délézir Avec la participation d'Alain Cosnard. Crédits musiques : Synthwave Vibe de Meydän (cc 4.0) The Magic Ouverture de "C'est Magique!" du Lido de Paris

À Voix haute est un podcast qui propose de revivre, en audio avec du son d’ambiance et des témoignages, de belles histoires publiées dans les colonnes d’Ouest-France. Pour ce quatrième épisode, nous vous proposons de partir à la rencontre de Gilles Bomal, coupeur de feu et magnétiseur qui soigne à l’aide de ses mains. Ce don, souvent moqué, n’est pas reconnu par la médecine et ne s’enseigne pas. L’équipe du Mur des podcasts de Ouest-France vous propose en audio les belles histoires qui ont pris place dans les colonnes du journal. De belles rencontres, des projets novateurs, des initiatives positives, des témoignages forts. Des moments plus dramatiques également. Tous sont des « héros » du quotidien qui méritent que l’on s’attarde sur leur parcours. Des hommes, des femmes, des enfants qui prennent parfois eux-mêmes la parole. "À Voix Haute", c’est la ou les voix de nos territoires. Réalisé à partir d’un article de notre journaliste Jean-François Vallée, ce nouvel épisode propose de vous faire découvrir l’activité et le quotidien d’un magnétiseur. C’est en Mayenne que vit Gilles Bomal. À la fois coupeur de feu et magnétiseur, cet homme reçoit ses patients dans son cabinet, en plein cœur de Laval… Avec les voix de Gilles Bomal, narration : Maëliss Hennetier Montage : Maëliss Hennetier Crédits son : Mattias Westlund - Winter's Call (cc 4.0) Virgules sonores : Damien Le Délézir Bonne écoute.

À Voix haute est un podcast qui propose de revivre, en audio avec du son d’ambiance et des témoignages, de belles histoires publiées dans les colonnes d’Ouest-France. Pour ce quatrième épisode, nous vous proposons de partir à la rencontre de Marie-Hélène et Vincent Mellet, ce couple d’agriculteurs bretons qui produit du lait… de foin. L’équipe du Mur des podcasts de Ouest-France vous propose en audio les belles histoires qui ont pris place dans les colonnes du journal. De belles rencontres, des projets novateurs, des initiatives positives, des témoignages forts. Des moments plus dramatiques également. Tous sont des « héros » du quotidien qui méritent que l’on s’attarde sur leur parcours. Des hommes, des femmes, des enfants qui prennent parfois eux-mêmes la parole. "À Voix Haute", c’est la ou les voix de nos territoires. Réalisé à partir d’un article de notre journaliste Camille Mordelet, ce nouvel épisode propose de vous faire découvrir le quotidien d’un couple d’agriculteurs bretons producteurs de lait. C’est à Piré-Chancé en Ille-et-Vilaine que se trouve la ferme de Marie-Hélène et Vincent Mellet. Tous deux ont repris l’exploitation qui appartenait à la famille de Vincent depuis le début du XXe siècle. Après être passé au bio en 1996, le couple a commencé à utiliser du fourrage pour nourrir ses vaches, puis à produire du lait de foin, avant même que le terme n’existe… Avec les voix de Vincent Mellet, narration : Maëliss Hennetier Montage : Maëliss Hennetier Crédits son : Mattias Westlund - Winter's Call (cc 4.0) Virgules sonores : Damien Le Délézir Bonne écoute.

Rien ne marche comme prévu... Omaha Beach. 7km de sable entre Colleville-sur-Mer et Vierville-sur-Mer. En moins de dix minutes le débarquement prend des allures de catastrophe. Le pire des scénarios était bien en dessous de la réalité. Sur la plage, sans protection face aux canons, mortiers et mitrailleuses servis par des défenseurs aguerris, les GI’s tombent par dizaines, bientôt par centaines. Tout avait été prévu, mais rien ne marche ou n’est réalisé. Dans cet épisode, Ouest-France vous propose de revivre l'assaut sur Omaha Beach. Retrouvez également l'histoire des autres plages : Sword, Juno, Utah et Gold. Chacune a connu un débarquement radicalement, et les hommes qui les ont foulées, dans l’un ou l’autre des camps, ont vécu cinq journées bien différentes. Une série de podcasts réalisée par Damien Le Délézir & Maëliss Hennetier Avec la voix d'Hervé Hillard Crédits musicaux : Virgules sonores réalisées par Damien Le Délézir Sources : - Clément Horvath, Lettres de soldats alliés, Till Victory (éditions Ouest-France) - Jack Auger (Application 70e anniversaire du débarquement pour Ouest-France - lien : https://itunes.apple.com/fr/app/d-day-70eme-anniversaire-du/id853681783?mt=8https://itunes.apple.com/fr/app/d-day-70eme-anniversaire-du/id853681783?mt=8)

Faire la jonction avec Omaha Le secteur de Gold s’étend sur 7,5km, entre les deux communes de Ver-sur-Mer, à l’Est, et de Saint-Côme-de-Fresné, à l’Ouest ; précisément entre les hameaux de « La rivière » et du Hamel. Cette bande de littoral est défendue par de nombreux bunkers, canons et mitrailleuses, particulièrement devant « Le Hamel », où les Britanniques rencontrent une très forte résistance. Les combats durent toute la journée dans ce secteur, fermant la porte d’Arromanches et de Port-en-Bessin, objectifs de la 50e division, le Jour J. Dans cet épisode, Ouest-France vous propose de revivre l'assaut sur Gold Beach. Retrouvez également l'histoire des autres plages : Sword, Juno, Utah et Omaha. Chacune a connu un débarquement radicalement, et les hommes qui les ont foulées, dans l’un ou l’autre des camps, ont vécu cinq journées bien différentes. Une série de podcasts réalisée par Damien Le Délézir & Maëliss Hennetier Avec la voix de Paul Grisot Crédits musicaux : Virgules sonores réalisées par Damien Le Délézir Sources : - Clément Horvath, Lettres de soldats alliés, Till Victory (éditions Ouest-France) - Jack Auger (Application 70e anniversaire du débarquement pour Ouest-France - lien : https://itunes.apple.com/fr/app/d-day-70eme-anniversaire-du/id853681783?mt=8https://itunes.apple.com/fr/app/d-day-70eme-anniversaire-du/id853681783?mt=8)

Jeunes d'Europe : le podcast consacré à la génération Erasmus. Fabien Cazenave, journaliste à Ouest-France, a rencontré des jeunes européens issus de différents horizons. Dans cet épisode, découvrez un entretien avec Natalia, originaire de Pologne. « Le français est une langue romantique » Natalia Domanska vient du centre de la Pologne, Lodz. Elle est venue en France pour apprendre la langue qu'elle aime beaucoup. « J'aime bien le son, c'est la langue romantique », dit-elle, même si elle reconnaît que cela fait un peu cliché. Si on dit que le français est difficile à apprendre, elle rétorque que le polonais l'est également, voir encore plus. À la question de savoir si elle recommanderait à d'autres jeunes européens de venir étudier en France, elle répond sans hésiter « carrément :la France est un beau pays avec la nature, la culture, la nourriture française délicieuse ». Deux choses l'ont surprise en France : la forte présence du bio, « tous les magasins en ont alors que ce n'est pas le cas en Pologne ou au Royaume-Uni », explique-t-elle, et l'importance dans l'enseignement des professeurs français de l'aspect « formel », « plus qu'au Royaume-Uni » où la distance entre étudiants et professeurs est moins grande. Avec : Fabien Cazenave, Natalia Domanska Réalisé par : Damien Le Délézir En collaboration avec Ralitsa Dimitrova Racheva Crédit musique : Hymne Européen en romani de Yorgui Loeffler

Jeunes d'Europe : le podcast consacré à la génération Erasmus. Fabien Cazenave, journaliste à Ouest-France, a rencontré des jeunes européens issus de différents horizons. Dans cet épisode, découvrez un entretien avec Jack Mc Enery, originaire d'Irlande. Découvrir d'autres manières de penser Jack Mc Enery vient d'Irlande « à la campagne, à deux heures de Cork » dans le sud de l'Irlande. Il a décidé de passer son année Erasmus dans la ville de Rennes, « une ville vraiment pas chère », pour apprendre le français. Comme souvent dans un pays étranger, il a eu du mal à se faire comprendre quand il est arrivé. « C'est très difficile de comprendre le français au début, mais après deux-trois mois, ce n'était plus un problème pour moi », explique-t-il. Pour ne pas perdre tous ses repères, il travaille en plus de ses études dans un bar irlandais à Rennes. « C'était important de trouver un peu de chez moi en France pour être à l'aise », estime-t-il. Avec : Fabien Cazenave, Jack Mc Enery Réalisé par : Damien Le Délézir En collaboration avec Ralitsa Dimitrova Racheva Crédit musique : Hymne Européen en romani de Yorgui Loeffler

Jeunes d'Europe : le podcast consacré à la génération Erasmus.Fabien Cazenave, journaliste à Ouest-France, a rencontré des jeunes européens issus de différents horizons.Dans cet épisode, découvrez un entretien avec Jack Mc Enery, originaire d'Irlande.Découvrir d'autres manières de penserJack Mc Enery vient d'Irlande « à la campagne, à deux heures de Cork » dans le sud de l'Irlande. Il a décidé de passer son année Erasmus dans la ville de Rennes, « une ville vraiment pas chère », pour apprendre le français.Comme souvent dans un pays étranger, il a eu du mal à se faire comprendre quand il est arrivé. « C'est très difficile de comprendre le français au début, mais après deux-trois mois, ce n'était plus un problème pour moi », explique-t-il.Pour ne pas perdre tous ses repères, il travaille en plus de ses études dans un bar irlandais à Rennes. « C'était important de trouver un peu de chez moi en France pour être à l'aise », estime-t-il.Avec : Fabien Cazenave, Jack Mc EneryRéalisé par : Damien Le DélézirEn collaboration avec Ralitsa Dimitrova RachevaCrédit musique : Hymne Européen en romani de Yorgui Loeffler

Jeunes d'Europe : le podcast consacré à la génération Erasmus. Fabien Cazenave, journaliste à Ouest-France, a rencontré des jeunes européens issus de différents horizons. Dans cet épisode, découvrez un entretien avec Rosie Brichard, originaire d'Écosse. « Personne n'a regretté son Erasmus » Rosie Brichard est Écossaise et vit à Bruxelles. Elle travaille pour le programme phare de l'Union européenne : Erasmus +. « J'ai fait un Erasmus quand j'étais à l'université. Cela m'a tellement changé et bouleversé que j'ai souhaité travaillé dessus pour que plus de gens puissent y accéder. » Pourtant tout n'a pas été rose à son arrivée à Toulouse. « Malgré cinq ans d'études de français, je suis arrivée sans bien parler la langue… L'accent toulousain était vraiment très difficile à comprendre au début », explique-t-elle. Mais elle recommande de tenter l'expérience : « il faut aller. J'avais peur avant de partir concernant la langue ou pour des questions d'argent. Si tu as l'opportunité de partir, fais-le, je ne connais personne qui l'ait regretté », affirme-t-elle. Avec : Fabien Cazenave, Rosie Réalisé par : Damien Le Délézir En collaboration avec Ralitsa Dimitrova Racheva Crédit musique : Hymne Européen en romani de Yorgui Loeffler

Jeunes d'Europe : le podcast consacré à la génération Erasmus.Fabien Cazenave, journaliste à Ouest-France, a rencontré des jeunes européens issus de différents horizons.Dans cet épisode, découvrez un entretien avec Rosie Brichard, originaire d'Écosse.« Personne n'a regretté son Erasmus »Rosie Brichard est Écossaise et vit à Bruxelles. Elle travaille pour le programme phare de l'Union européenne : Erasmus +. « J'ai fait un Erasmus quand j'étais à l'université. Cela m'a tellement changé et bouleversé que j'ai souhaité travaillé dessus pour que plus de gens puissent y accéder. »Pourtant tout n'a pas été rose à son arrivée à Toulouse. « Malgré cinq ans d'études de français, je suis arrivée sans bien parler la langue… L'accent toulousain était vraiment très difficile à comprendre au début », explique-t-elle. Mais elle recommande de tenter l'expérience : « il faut aller. J'avais peur avant de partir concernant la langue ou pour des questions d'argent. Si tu as l'opportunité de partir, fais-le, je ne connais personne qui l'ait regretté », affirme-t-elle.Avec : Fabien Cazenave, RosieRéalisé par : Damien Le DélézirEn collaboration avec Ralitsa Dimitrova RachevaCrédit musique : Hymne Européen en romani de Yorgui Loeffler

Jeunes d'Europe : le podcast consacré à la génération Erasmus.Fabien Cazenave, journaliste à Ouest-France, a rencontré des jeunes européens issus de différents horizons.Dans cet épisode, découvrez un entretien avec Natalia, originaire de Pologne.« Le français est une langue romantique »Natalia Domanska vient du centre de la Pologne, Lodz. Elle est venue en France pour apprendre la langue qu'elle aime beaucoup. « J'aime bien le son, c'est la langue romantique », dit-elle, même si elle reconnaît que cela fait un peu cliché. Si on dit que le français est difficile à apprendre, elle rétorque que le polonais l'est également, voir encore plus.À la question de savoir si elle recommanderait à d'autres jeunes européens de venir étudier en France, elle répond sans hésiter « carrément :la France est un beau pays avec la nature, la culture, la nourriture française délicieuse ».Deux choses l'ont surprise en France : la forte présence du bio, « tous les magasins en ont alors que ce n'est pas le cas en Pologne ou au Royaume-Uni », explique-t-elle, et l'importance dans l'enseignement des professeurs français de l'aspect « formel », « plus qu'au Royaume-Uni » où la distance entre étudiants et professeurs est moins grande.Avec : Fabien Cazenave, Natalia DomanskaRéalisé par : Damien Le DélézirEn collaboration avec Ralitsa Dimitrova RachevaCrédit musique : Hymne Européen en romani de Yorgui Loeffler

Jeunes d'Europe : le podcast consacré à la génération Erasmus. Fabien Cazenave, journaliste à Ouest-France, a rencontré des jeunes européens issus de différents horizons. Dans cet épisode, découvrez un entretien avec Natalia, originaire de Pologne. « Le français est une langue romantique » Natalia Domanska vient du centre de la Pologne, Lodz. Elle est venue en France pour apprendre la langue qu’elle aime beaucoup. « J’aime bien le son, c’est la langue romantique », dit-elle, même si elle reconnaît que cela fait un peu cliché. Si on dit que le français est difficile à apprendre, elle rétorque que le polonais l’est également, voir encore plus. À la question de savoir si elle recommanderait à d’autres jeunes européens de venir étudier en France, elle répond sans hésiter « carrément :la France est un beau pays avec la nature, la culture, la nourriture française délicieuse ». Deux choses l’ont surprise en France : la forte présence du bio, « tous les magasins en ont alors que ce n’est pas le cas en Pologne ou au Royaume-Uni », explique-t-elle, et l’importance dans l’enseignement des professeurs français de l’aspect « formel », « plus qu’au Royaume-Uni » où la distance entre étudiants et professeurs est moins grande. Avec : Fabien Cazenave, Natalia Domanska Réalisé par : Damien Le Délézir En collaboration avec Ralitsa Dimitrova Racheva Crédit musique : Hymne Européen en romani de Yorgui Loeffler

Jeunes d'Europe : le podcast consacré à la génération Erasmus. Fabien Cazenave, journaliste à Ouest-France, a rencontré des jeunes européens issus de différents horizons. Dans cet épisode, découvrez un entretien avec Jack Mc Enery, originaire d'Irlande. Découvrir d’autres manières de penser Jack Mc Enery vient d’Irlande « à la campagne, à deux heures de Cork » dans le sud de l’Irlande. Il a décidé de passer son année Erasmus dans la ville de Rennes, « une ville vraiment pas chère », pour apprendre le français. Comme souvent dans un pays étranger, il a eu du mal à se faire comprendre quand il est arrivé. « C’est très difficile de comprendre le français au début, mais après deux-trois mois, ce n’était plus un problème pour moi », explique-t-il. Pour ne pas perdre tous ses repères, il travaille en plus de ses études dans un bar irlandais à Rennes. « C’était important de trouver un peu de chez moi en France pour être à l’aise », estime-t-il. Avec : Fabien Cazenave, Jack Mc Enery Réalisé par : Damien Le Délézir En collaboration avec Ralitsa Dimitrova Racheva Crédit musique : Hymne Européen en romani de Yorgui Loeffler

Jeunes d'Europe : le podcast consacré à la génération Erasmus. Fabien Cazenave, journaliste à Ouest-France, a rencontré des jeunes européens issus de différents horizons. Dans cet épisode, découvrez un entretien avec Rosie Brichard, originaire d'Écosse. « Personne n’a regretté son Erasmus » Rosie Brichard est Écossaise et vit à Bruxelles. Elle travaille pour le programme phare de l’Union européenne : Erasmus +. « J’ai fait un Erasmus quand j’étais à l’université. Cela m’a tellement changé et bouleversé que j’ai souhaité travaillé dessus pour que plus de gens puissent y accéder. » Pourtant tout n’a pas été rose à son arrivée à Toulouse. « Malgré cinq ans d’études de français, je suis arrivée sans bien parler la langue… L’accent toulousain était vraiment très difficile à comprendre au début », explique-t-elle. Mais elle recommande de tenter l’expérience : « il faut aller. J’avais peur avant de partir concernant la langue ou pour des questions d’argent. Si tu as l’opportunité de partir, fais-le, je ne connais personne qui l’ait regretté », affirme-t-elle. Avec : Fabien Cazenave, Rosie Réalisé par : Damien Le Délézir En collaboration avec Ralitsa Dimitrova Racheva Crédit musique : Hymne Européen en romani de Yorgui Loeffler

« Dix minutes, pas plus, pas moins » C’est ce que réclament les deux commandants des groupes d’assaut sur Juno. Le mauvais temps a retardé nombre d’embarcations et ils veulent toutes leurs forces pour l’heure H, fixée à 7h45. Mauvaise idée...Car la mer est mauvaise. Poussée par un vent assez fort, elle remonte déjà et, comme le raconte le commodore Oliver, « les embarcations atteignent le rivage parmi les obstacles plutôt que devant eux »​. Il n’est désormais plus possible de les enlever avant la marée descendante et leurs mines font des ravages parmi les péniches. Dans cet épisode, Ouest-France vous propose de revivre l'assaut sur Juno Beach. Retrouvez également l'histoire des autres plages : Sword, Juno, Utah et Omaha. Chacune a connu un débarquement radicalement, et les hommes qui les ont foulées, dans l’un ou l’autre des camps, ont vécu cinq journées bien différentes. Une série de podcasts réalisée par Damien Le Délézir & Maëliss Hennetier Avec la voix d'Hélaine Lefrançois Crédits musicaux : Virgules sonores réalisées par Damien Le Délézir Sources : - Clément Horvath, Lettres de soldats alliés, Till Victory (éditions Ouest-France) - Jack Auger (Application 70e anniversaire du débarquement pour Ouest-France - lien : https://itunes.apple.com/fr/app/d-day-70eme-anniversaire-du/id853681783?mt=8)

Jeunes d'Europe : le podcast consacré à la génération Erasmus. Fabien Cazenave, journaliste à Ouest-France, a rencontré des jeunes européens issus de différents horizons. Dans cet épisode, découvrez un entretien avec Ralitsa Dimitrova Racheva, originaire d'Allemagne. Plusieurs allers-retours entre France et Bulgarie. Ralitsa Dimitrova Racheva est arrivée en France quand elle avait quatre ans pour suivre son père, cycliste professionnel, venu dans l’Hexagone grâce à un jumelage avec la ville de Saint-Herblain. Elle a ainsi pu apprendre la langue française grâce à l’école. Trois ans plus tard, elle est retournée en Bulgarie pour suivre de nouveau son père. Mais « grâce à l’entrée de la Bulgarie dans l’Union européenne en 2007, nous avons pu revenir en France avec mes parents. » Avoir appris à comprendre l’alphabet latin et celui cyrillique lui a permis de pratique plus facilement d’autres langues. « Cela m’a donné une certaine aisance à l’oral », explique-t-elle. Elle ne se sent pas Bulgare en France ou Française d’origine bulgare. « J’ai la nationalité bulgare, mais pourtant j’ai cette double culture », estime-t-elle. Avec : Fabien Cazenave, Ralitsa Dimitrova Racheva Réalisé par : Damien Le Délézir En collaboration avec Ralitsa Dimitrova Racheva Crédit musique : Hymne Européen en romani de Yorgui Loeffler

Jeunes d'Europe : le podcast consacré à la génération Erasmus.Fabien Cazenave, journaliste à Ouest-France, a rencontré des jeunes européens issus de différents horizons.Dans cet épisode, découvrez un entretien avec Ralitsa Dimitrova Racheva, originaire d'Allemagne.Plusieurs allers-retours entre France et Bulgarie.Ralitsa Dimitrova Racheva est arrivée en France quand elle avait quatre ans pour suivre son père, cycliste professionnel, venu dans l'Hexagone grâce à un jumelage avec la ville de Saint-Herblain. Elle a ainsi pu apprendre la langue française grâce à l'école. Trois ans plus tard, elle est retournée en Bulgarie pour suivre de nouveau son père. Mais « grâce à l'entrée de la Bulgarie dans l'Union européenne en 2007, nous avons pu revenir en France avec mes parents. »Avoir appris à comprendre l'alphabet latin et celui cyrillique lui a permis de pratique plus facilement d'autres langues. « Cela m'a donné une certaine aisance à l'oral », explique-t-elle.Elle ne se sent pas Bulgare en France ou Française d'origine bulgare. « J'ai la nationalité bulgare, mais pourtant j'ai cette double culture », estime-t-elle.Avec : Fabien Cazenave, Ralitsa Dimitrova RachevaRéalisé par : Damien Le DélézirEn collaboration avec Ralitsa Dimitrova RachevaCrédit musique : Hymne Européen en romani de Yorgui Loeffler

Jeunes d'Europe : le podcast consacré à la génération Erasmus. Fabien Cazenave, journaliste à Ouest-France, a rencontré des jeunes européens issus de différents horizons. Dans cet épisode, découvrez un entretien avec Ralitsa Dimitrova Racheva, originaire d'Allemagne. Plusieurs allers-retours entre France et Bulgarie. Ralitsa Dimitrova Racheva est arrivée en France quand elle avait quatre ans pour suivre son père, cycliste professionnel, venu dans l'Hexagone grâce à un jumelage avec la ville de Saint-Herblain. Elle a ainsi pu apprendre la langue française grâce à l'école. Trois ans plus tard, elle est retournée en Bulgarie pour suivre de nouveau son père. Mais « grâce à l'entrée de la Bulgarie dans l'Union européenne en 2007, nous avons pu revenir en France avec mes parents. » Avoir appris à comprendre l'alphabet latin et celui cyrillique lui a permis de pratique plus facilement d'autres langues. « Cela m'a donné une certaine aisance à l'oral », explique-t-elle. Elle ne se sent pas Bulgare en France ou Française d'origine bulgare. « J'ai la nationalité bulgare, mais pourtant j'ai cette double culture », estime-t-elle. Avec : Fabien Cazenave, Ralitsa Dimitrova Racheva Réalisé par : Damien Le Délézir En collaboration avec Ralitsa Dimitrova Racheva Crédit musique : Hymne Européen en romani de Yorgui Loeffler

Jeunes d'Europe : le podcast consacré à la génération Erasmus.Fabien Cazenave, journaliste à Ouest-France, a rencontré des jeunes européens issus de différents horizons.Dans cet épisode, découvrez un entretien avec Stephan, originaire d'Allemagne.Stephan et le français du LotStephan Lutzenberger est originaire d'Augsburg en Bavière, la région la plus méridionale d'Allemagne. Il fait actuellement un doctorat à Sciences Po Rennes, pour faire des recherches à propos la directive « nitrates », sur la réglementation concernant la pollution de l'eau. Il est déjà venu en France lors de plusieurs séjours, notamment dans le Lot, « la France profonde » dit-il. Il a également réalisé un double cursus franco-allemand à Aix-en-Provence.Il avait « fait auparavant cinq ans de français à l'école, mais ce qui m'a le plus aidé, c'est le Lot », estime-t-il. « On n'avait pas le choix, on était obligé de parler la langue. Même s'il y a un petit accent qui n'est pas ce qu'on apprend », dit-il à propos de l'accent du Sud-Ouest.Avec : Fabien Cazenave, Stephan LutzenbergerRéalisé par : Damien Le DélézirEn collaboration avec Ralitsa Dimitrova RachevaCrédit musique : Hymne Européen en romani de Yorgui Loeffler

Jeunes d'Europe : le podcast consacré à la génération Erasmus. Fabien Cazenave, journaliste à Ouest-France, a rencontré des jeunes européens issus de différents horizons. Dans cet épisode, découvrez un entretien avec Stephan, originaire d'Allemagne. Stephan et le français du Lot Stephan Lutzenberger est originaire d’Augsburg en Bavière, la région la plus méridionale d’Allemagne. Il fait actuellement un doctorat à Sciences Po Rennes, pour faire des recherches à propos la directive « nitrates », sur la réglementation concernant la pollution de l’eau. Il est déjà venu en France lors de plusieurs séjours, notamment dans le Lot, « la France profonde » dit-il. Il a également réalisé un double cursus franco-allemand à Aix-en-Provence. Il avait « fait auparavant cinq ans de français à l’école, mais ce qui m’a le plus aidé, c’est le Lot », estime-t-il. « On n’avait pas le choix, on était obligé de parler la langue. Même s’il y a un petit accent qui n’est pas ce qu’on apprend », dit-il à propos de l’accent du Sud-Ouest. Avec : Fabien Cazenave, Stephan Lutzenberger Réalisé par : Damien Le Délézir En collaboration avec Ralitsa Dimitrova Racheva Crédit musique : Hymne Européen en romani de Yorgui Loeffler

En concert à Rennes, Patrick Bruel était de passage au sein de la newsroom d'Ouest-France. L'artiste qui vit une tournée triomphale en a profité pour revenir en podcast sur sa carrière, son lien avec le public, son amour pour la chanson... Il en a aussi profité pour pousser un coup de gueule sur l'absence à Rennes d'une salle "à la hauteur de cette ville musicale." Il parle aussi du Stade Rennais, lui le supporter du PSG. "Je n'en reviens pas, glisse le chanteur dans un entretien audio à retrouver sur Le Mur des Podcasts d'Ouest-France. C'est un rapport fusionnel avec le public, avec des sensations sur scène incroyables. Ce sont plusieurs générations de fans qui se retrouvent. C'est quelque chose d'unique entre un artiste et un public. J'ai rarement vu ça." Patrick Bruel parle de son envie d'aller un jour chanter en Algérie, sur la terre où il est né et qu'il a quittée à l'âge de 3 ans. "Je ne suis jamais retourné, regrette-t-il. Sans doute que le moment est désormais plus propice. Je l'espère en tout cas." Bonne écoute. Réalisation: Damien Le Délézir - Place des grands hommes : interprétée par Patrick Bruel dont les paroles sont de Bruno Garcin et la musique de Patrick Bruel, parue sur l'album Alors regarde le 9 novembre 1989 - L’aigle noir : L’Aigle noir est une chanson de Barbara parue en 1970 dans l’album Barbara. Interprété par P. Bruel. - « Pas eu le temps », écrit et composé par Felix Gray. - On partira, écrit et composée par Bruel et Vianney - La marseillaise, interprétée par Bruel et son public en concert

En concert à Rennes, Patrick Bruel était de passage au sein de la newsroom d'Ouest-France. L'artiste qui vit une tournée triomphale en a profité pour revenir en podcast sur sa carrière, son lien avec le public, son amour pour la chanson... Il en a aussi profité pour pousser un coup de gueule sur l'absence à Rennes d'une salle "à la hauteur de cette ville musicale." Il parle aussi du Stade Rennais, lui le supporter du PSG. "Je n'en reviens pas, glisse le chanteur dans un entretien audio à retrouver sur Le Mur des Podcasts d'Ouest-France. C'est un rapport fusionnel avec le public, avec des sensations sur scène incroyables. Ce sont plusieurs générations de fans qui se retrouvent. C'est quelque chose d'unique entre un artiste et un public. J'ai rarement vu ça." Patrick Bruel parle de son envie d'aller un jour chanter en Algérie, sur la terre où il est né et qu'il a quittée à l'âge de 3 ans. "Je ne suis jamais retourné, regrette-t-il. Sans doute que le moment est désormais plus propice. Je l'espère en tout cas." Bonne écoute. Réalisation: Damien Le Délézir - Place des grands hommes : interprétée par Patrick Bruel dont les paroles sont de Bruno Garcin et la musique de Patrick Bruel, parue sur l'album Alors regarde le 9 novembre 1989 - L'aigle noir : L'Aigle noir est une chanson de Barbara parue en 1970 dans l'album Barbara. Interprété par P. Bruel. - « Pas eu le temps », écrit et composé par Felix Gray. - On partira, écrit et composée par Bruel et Vianney - La marseillaise, interprétée par Bruel et son public en concert

Peaky Blinders. Le procès fictif de Thomas Shelby. #Episode3 Birmingham, 1919. La ville se relève péniblement de la grande guerre. La révolte ouvrière menace et les autorités vacillent. Les Peaky Blinders, des gangsters locaux font la loi sur la ville. A leur tête, Thomas Shelby, leader impitoyable dirige son clan familial d’une main de fer. Dans leur quête pour sortir de l’illégalité, les Peaky Blinders le savent : ils devront se salir les mains. Après avoir pris possession par erreur d’une cargaison d’armes, Thomas, voit une occasion d’étendre son business. Mais l’arrivée de Chester Campbell, policier chargé de purger la ville de ses gangs sanguinaires, compromet ses ambitions. À la suite d’une fusillade avec un gang rival, Thomas finit par tuer Billy Kimber, un autre parrain du crime de Birmingham. Rennes, 2019. Thomas Shelby est jugé par un tribunal pour recel d’armes volées, et meurtre sur la personne de Billy Kimber. Episode 3 : C’est l’heure de vérité pour Tommy. Après l’audition des témoins, il est temps pour les avocats et le ministère public de lancer leurs dernières forces dans la bataille, jusqu’au verdict final… Un podcast réalisé par Damien Le Délézir et Maëliss Hennetier pour Ouest-France, d’après un événement proposé par l’association étudiante S’éveiller le mercredi 12 février 2019, à Rennes. Crédits musicaux : Nick Cave & the Bad Seeds, Red Right Hand. Avec les voix de : Earvin Ekwalla, Nour Zourgui, Elie Hamady (juges), Jean Marie Bourreau et David Gonçalves (avocats du ministère public), Alice Poitevin et Ako Hamarash (avocats de la défense), Cloé Oksenhendler (Grace Burgess), Martin Bouchet (Chester Campbell) et Robin Frachon (Thomas Shelby).

Peaky Blinders. Le procès fictif de Thomas Shelby. #Episode2 Birmingham, 1919. La ville se relève péniblement de la grande guerre. La révolte ouvrière menace et les autorités vacillent. Les Peaky Blinders, des gangsters locaux font la loi sur la ville. A leur tête, Thomas Shelby, leader impitoyable dirige son clan familial d’une main de fer. Dans leur quête pour sortir de l’illégalité, les Peaky Blinders le savent : ils devront se salir les mains. Après avoir pris possession par erreur d’une cargaison d’armes, Thomas, voit une occasion d’étendre son business. Mais l’arrivée de Chester Campbell, policier chargé de purger la ville de ses gangs sanguinaires, compromet ses ambitions. À la suite d’une fusillade avec un gang rival, Thomas finit par tuer Billy Kimber, un autre parrain du crime de Birmingham. Rennes, 2019. Thomas Shelby est jugé par un tribunal pour recel d’armes volées, et meurtre sur la personne de Billy Kimber. Episode 2 : Après avoir écouté les plaidoiries des avocats, l’heure est à l’audition des témoins : l’espionne Grace Burgess, l’inspecteur Chester Campbell, et l’inévitable Thomas Shelby… Un podcast réalisé par Damien Le Délézir et Maëliss Hennetier pour Ouest-France, d’après un événement proposé par l’association étudiante S’éveiller le mercredi 12 février 2019, à Rennes. Crédits musicaux : Nick Cave & the Bad Seeds, Red Right Hand. Avec les voix de : Earvin Ekwalla, Nour Zourgui, Elie Hamady (juges), Jean Marie Bourreau et David Gonçalves (avocats du ministère public), Alice Poitevin et Ako Hamarash (avocats de la défense), Cloé Oksenhendler (Grace Burgess), Martin Bouchet (Chester Campbell) et Robin Frachon (Thomas Shelby).

Peaky Blinders. Le procès fictif de Thomas Shelby. #Episode1 Birmingham, 1919. La ville se relève péniblement de la grande guerre. La révolte ouvrière menace et les autorités vacillent. Les Peaky Blinders, des gangsters locaux font la loi sur la ville. A leur tête, Thomas Shelby, leader impitoyable dirige son clan familial d’une main de fer. Dans leur quête pour sortir de l’illégalité, les Peaky Blinders le savent : ils devront se salir les mains. Après avoir pris possession par erreur d’une cargaison d’armes, Thomas, voit une occasion d’étendre son business. Mais l’arrivée de Chester Campbell, policier chargé de purger la ville de ses gangs sanguinaires, compromet ses ambitions. À la suite d’une fusillade avec un gang rival, Thomas finit par tuer Billy Kimber, un autre parrain du crime de Birmingham. Rennes, 2019. Thomas Shelby est jugé par un tribunal pour recel d’armes volées, et meurtre sur la personne de Billy Kimber. Episode 1 : « So fucking close… » Thomas Shelby entre dans l’arène et fait face à son destin. Dans cette première partie, revivez les plaidoiries d’ouverture du ministère public et de la défense. Un podcast réalisé par Damien Le Délézir et Maëliss Hennetier pour Ouest-France, d’après un événement proposé par l’association étudiante S’éveiller le mercredi 12 février 2019, à Rennes. Crédits musicaux : Nick Cave & the Bad Seeds, Red Right Hand. Avec les voix de : Earvin Ekwalla, Nour Zourgui, Elie Hamady (juges), Jean Marie Bourreau et David Gonçalves (avocats du ministère public), Alice Poitevin et Ako Hamarash (avocats de la défense), Cloé Oksenhendler (Grace Burgess), Martin Bouchet (Chester Campbell) et Robin Frachon (Thomas Shelby).