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Après les lourdes pertes dues au Covid-19, le tourisme mondial a retrouvé des niveaux records partout dans le monde. Cette croissance exponentielle suscite des interrogations : comment attirer les visiteurs sans dénaturer les lieux et en maîtrisant les impacts environnementaux ? Quelles stratégies pour les professionnels et les pouvoirs publics ? Quels nouveaux outils pour mieux raconter un territoire et séduire les voyageurs ?
Originaire de Suède, le SNUS est un type de tabac également très consommé en Norvège et aux États-Unis. Près d'1 million de personnes en consommerait régulièrement selon les autorités suédoises. Illégal en France depuis 1992, le SNUS circule aussi dans l'hexagone. Il a notamment été popularisé par Marcus Thuram, joueur de l'équipe de France de football, qui s'est affiché avec un sachet de SNUS dans l'avion l'emmenant au Qatar le 17 novembre 2022. Que veut dire Snus ? Pourquoi est-il si populaire chez les jeunes ? Le Snus est-il une drogue ? Écoutez la suite de cet épisode de "Maintenant vous savez". Un podcast Bababam Originals, écrit et réalisé par Samuel Lumbroso. À écouter aussi : Qu'est-ce que le Buddha blue, la nouvelle drogue qui fait ravage chez les jeunes ? Qu'est-ce que la 3MMC, cette drogue de synthèse de plus en plus consommée ? Gaz hilarant : quelle est cette mode qui fait des ravages chez les jeunes ? Date de première publication : 10 avril 2023 Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez". Suivez Bababam sur Instagram. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Rendez-vous avec l'un des plus grands chanteurs de reggae africains Takana Zion à l'occasion de son Olympia de Paris du samedi 14 juin 2025. Originaire de Conakry, cet artiste a su imposer sa voix reconnaissable entre mille à travers le monde entier. Reconnu pour ses messages de paix, il fédère en chantant en anglais, français, peul, malenke et sousou. Dans cet épisode, Black M et Tiwony offrent les vidéos surprises.
Originaire des montagnes pyrénéennes du Couserans, dont il fait résonner l'accent ensoleillé, Robert Redeker est agrégé de philosophie. Auteur de nombreux livres, il vient de publier chez Artège un « Éloge spirituel de l'attention ». Mieux qu'une démonstration, il opte pour une expérience, celle de l'attention, par laquelle son intériorité se dévoile à l'homme. Contre le mensonge de la réduction de l'homme à sa seule extériorité, se dresse le fait de l'attention spirituelle. Elle atteste l'existence de ce que notre siècle a cru devoir renier : la vérité, l'intériorité, l'âme, Dieu, l'homme, la beauté et la bonté. Sur le plateau de KTO, il partage les fruits et la source de cette vie intérieure ainsi que les conséquences concrètes d'une polémique liée à ses prises de position sur l'islam : depuis 2006, il vit sous protection policière à cause de ses idées.
Sujets traités : La PME alsacienne Guillet à nouveau à la manœuvre pour remonter la vasque olympique aux Tuileries à Paris. Originaire de Duppigheim, l'entreprise a contribué à la structure métallique couleur champagne de l'ensemble. Une trentaine de salariés a été mobilisée pour la mise en place de ce projet. La vasque olympique sera à observer dès le samedi 21 juin et pendant les deux étés suivants, avant les Jeux Olympiques de Los Angeles.Un exercice de sécurité civile à Cernay. Cela aura lieu cette après-midi sur le site de l'entreprise BIMA 83. A cette occasion, le système FR-Alert sera testé : les personnes proches de l'entreprise recevront une alerte sur leur téléphone, accompagné d'un signal sonore strident. Pas d'inquiétude, le message comportera bien la mention exercice. Aucune intervention réelle ni perturbation sont à prévoir. L'objectif est de tester l'efficacité des dispositifs d'alerte. Une journée pour rouler plus sûr. Le Village de la Moto revient ce dimanche à Châtenois. L'événement propose une journée complète de prévention et de démonstrations autour des deux-roues motorisés. Grégory Hanne, Major et Commandant la Brigade Motorisée de Strasbourg, nous parle du programme de cette journée. Retrouvez notre article complet sur notre site internet azur-fm.comLes métiers d'art à l'honneur à Turckheim. Pour la 4ème année, la Fédération des métiers d'Arts d'Alsace organise un salon avec pour ambition de mettre en lumière les savoir-faire artisanaux du territoire. Jusqu'à dimanche, les visiteurs ont rendez-vous avec le salon “De Toute Matière” qui se tiendra place de l'église à Turckheim. Célia Lacroix, chargée de projet pour la Frémaa, était à notre micro. L'entretien complet est à retrouver sur notre site dans l'onglet podcast actualité. Faits divers, avec un quinquagénaire condamné pour la soixantième fois mercredi à Colmar. Le récidiviste était cette fois-ci accusé de violences et de port d'arme, après avoir agressé deux adolescents, armé d'un couteau, au début du mois. Alcoolisé, il avait alors refusé tout dépistage. L'homme a été condamné à quatre mois de prison ferme et 200 euros de dommages-intérêts pour chacun des mineurs.Dans le Nord-Alsace, les inscriptions pour les formations d'aide soignant sont ouvertes. Ces dernières sont destinées aux personnes âgées de 17 ans ou plus, à la recherche d'une orientation ou réorientation professionnelle. Il est encore possible de s'inscrire jusqu'au 16 juin pour les IFAS de Haguenau et Wissembourg, et jusqu'au 20 juin pour l'IFAS de Bischwiller.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pourquoi est-on si attachés à la Bretagne ? Comment se passe la vie d'agriculteur sur une île bretonne ? On vous emmène à Ouessant, à la rencontre de Thomas et Marie Richaud, agriculteurs et producteurs laitiers sur l'île. Originaire de la Drôme, Thomas nous raconte l'installation de sa ferme familiale sur l'île, son quotidien d'éleveur, et ses lieux préférés en Bretagne. Prêts à découvrir l'agriculture à la bretonne ? On vous emmène avec nous ! Demi-sel est un podcast proposé par la Région Bretagne. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pourquoi est-on si attachés à la Bretagne ? Comment peut-elle devenir un terrain d'aventure pour les sportifs ? Pour répondre à ces questions, on vous emmène à Kervignac, à la rencontre de Warren Barguil, cycliste professionnel, vainqueur de deux étapes et meilleur grimpeur sur le Tour de France 2017. Originaire du Morbihan et breton « pur beurre », Warren partage avec nous ses souvenirs, des premiers coups de pédales sur les routes bretonnes aux victoires sur les grandes courses cyclistes. Il nous parle de sa famille, de ses lieux préférés en Bretagne, de sa carrière de sportif, du Tour de France et de ses projets. Prêts à découvrir le cyclisme à la bretonne ? On vous emmène avec nous ! Demi-sel est un podcast proposé par la Région Bretagne. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pourquoi est-on si attachés à la Bretagne ? Comment peut-elle devenir une terre d'accueil ? Pour répondre à ces questions, on vous emmène à Saint-Brieuc pour faire la rencontre de Williams Kemadjou, qui a construit sa vie en Bretagne et a noué de fortes amitiés. Originaire du Cameroun, il nous raconte son parcours, de son enfance en Afrique à son arrivée en France, à l'âge de 16 ans. Williams a trouvé en Bretagne une terre d'accueil, et surtout une famille de cœur, avec Françoise qui l'a accueilli chez elle. Il partage avec nous son histoire (l'exil, les rencontres, sa participation à la compétition des métiers…) et ses lieux préférés en Bretagne. Prêts à découvrir son parcours inspirant ? On vous emmène avec nous ! Demi-sel est un podcast proposé par la Région Bretagne. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pourquoi est-on si attachés à la Bretagne ? Comment la Bretagne peut devenir une source d'inspiration ? On vous emmène à la rencontre de Gwénola Morizur, autrice et scénariste de bandes dessinées, installée à Iffendic, aux portes de la forêt de Brocéliande. Originaire du Finistère, Gwénola nous raconte son parcours, de son enfance dans le Finistère à sa vie d'artiste en pleine nature. Elle partage avec nous ce qui l'inspire au quotidien (l'enfance, la nature, la culture...) et ses lieux préférés en Bretagne. Prêts à découvrir l'inspiration à la bretonne ? On vous emmène avec nous ! Demi-sel est un podcast proposé par la Région Bretagne. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dorian Ciavarella n'a jamais attendu qu'on lui ouvre des portes : il les a enfoncées lui-même. Originaire d'une cité défavorisée de l'Est de la France, il devient en quelques années un serial entrepreneur à succès. Après avoir revendu Hivency, sa première startup, à un fonds américain, il co-fonde Zeliq, une plateforme de prospection commerciale déjà propulsée par une levée de 15 millions d'euros. Dans cet épisode, il partage sans filtre son parcours, ses erreurs, ses intuitions — et sa rage de réussir. Au programme : D'une cité en Moselle à l'ESCP : un parcours bâti sur la débrouille, la détermination… et des ceintures de survie ; Le lancement d'Hivency, ses galères, ses pivots, ses recrutements ratés et son rachat stratégique de Lucette ; Pourquoi il a vendu Hivency à 30 ans et comment il a vécu l'intégration dans un groupe international ; Les leçons de Dorian sur l'association, le recrutement, les CTO et le timing d'un exit. Bonne écoute !
Pourquoi est-on si attachés à la Bretagne ? Comment peut-elle devenir un lieu de rencontres, de solidarité et de partage ?On vous emmène au cœur du quartier Gumenen à Auray, à la rencontre de Josiane Ndiaye, présidente du Lieu-Dit, une association qui tisse du lien à travers des ateliers intergénérationnels et interculturels.Originaire du Niger, Josiane nous parle de ses racines touarègues et bretonnes, de ses « mille vies », de sa volonté d'aider les autres au quotidien et de ses lieux préférés en Bretagne. Prêts à découvrir la solidarité à la bretonne ? On vous emmène avec nous !Demi-sel est un podcast proposé par la Région Bretagne. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
ll n'est jamais trop tard pour commencer à jardiner.Dans cet épisode de Basilic, Jeane reçoit Pierre le Cultivateur, passionné de jardinage devenu l'un des vulgarisateurs les plus suivis sur les réseaux sociaux. Originaire de Lille et aujourd'hui installé en Normandie, Pierre cultive un potager de 200m², une forêt comestible, des haies fruitières et une passion contagieuse pour le monde vivant.Pierre partage ses conseils pour démarrer facilement un potager : choisir les bonnes graines, pailler intelligemment et cultiver en ville comme à la campagne. L'épisode est aussi l'occasion de parler de transmission, d'écologie concrète et de l'impact positif que peut avoir le jardinage sur notre bien-être mental.Que vous ayez un grand jardin ou un simple rebord de fenêtre, cet épisode vous donnera sûrement envie de semer, de tester et de vous reconnecter au vivant.Un grand merci à l'Académie du climat d'avoir rendu possible cet enregistrement de podcast.Ressources et initiatives évoquées dans l'épisode :Pierre Le Cultivateur : https://www.youtube.com/@lecultivateurSes ouvrages : https://lecultivateur.fr/collections/allMerci pour votre écoute ! Pour soutenir le podcast, n'hésitez pas à laisser un commentaire, partager l'épisode, ou vous abonner à Basilic sur votre plateforme préférée.Soutenir Basilic :instagram.com/basilicpodcast/ basilicpodcast.comProduction : Jeane ClesseMusique : @KleinGraphisme : Mahaut Clément & Coralie ChauvinMix : Jeane ClesseSi cet épisode vous a plu, n'hésitez pas à laisser plein d'étoiles et un commentaire sur la plateforme Apple Podcasts et surtout à vous abonner grâce à votre application de podcasts préférée ! Cela m'aide énormément à faire découvrir Basilic à de nouveaux auditeurs et de nouvelles auditrices.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Originaire du Cap-Haïtien, John Karly Fils Ménard, est un jeune musicien talentueux qui s'est donné pour mission de redonner espoir à la jeunesse à travers les notes envoûtantes de la musique classique haïtienne et du folklore local. Loin de rechercher les feux de la rampe pour lui-même, il a choisi de mettre son art au service des enfants et des jeunes issus des quartiers les plus vulnérables de sa ville.En fondant des initiatives musicales à vocation éducative et sociale, il aspire à offrir à cette jeunesse une alternative tangible à la violence et au banditisme qui gangrènent le quotidien de tant de jeunes haïtiens en quête de repères.Pour John Karly, la musique est plus qu'un langage universel : c'est un outil de transformation sociale. Il est convaincu qu'en transmettant son savoir et sa passion, il peut contribuer à changer le destin de ceux que l'on croit perdus d'avance.
Entrepreneur social, Anthony Babkine est cofondateur et délégué général de Diversidays, association nationale d'égalité des chances qui œuvre en faveur des talents sous-représentés dans l'emploi et l'entrepreneuriat dans la Tech.Originaire d'Evry-Courcouronnes dans l'Essonne, il connaît l'échec scolaire avant d'être épaulé par sa famille, sa ville et d'association d'égalité des chances.Nommé Directeur Général adjoint de l'agence TBWACorporate en charge du numérique à l'âge de 30 ans, il constate rapidement le manque de diversité dans les métiers du numérique et cofonde avec Mounira Hamdi, l'association Diversidays en 2017. Sa vocation : faire du numérique l'ascenseur social du 21ème siècle et permettre à tous de profiter des opportunités qu'il offre en accompagnant les talents de la diversité vers les métiers et l'entrepreneuriat Tech et numérique.En 8 ans, son association a accéléré plus de 500 entrepreneurs à impact et tech sous-représentés du secteur et plus de 15 000 personnes sous-représentés ou discriminées dans la Tech dans leurs reconversions professionnelles. Plus de 70 entreprises privées et publiques soutiennent les actions de Diversidays.En 2022, Anthony rejoint la nouvelle promotion des leaders européens de la Fondation Obama et arrive en tête du classement des 35 jeunes leaders positifs de - de 35 ans, dressé par Les Echos et Positiv et rejoint le TOP 100 des leaders économiques de l'Institut Choiseul.En 2023, Anthony fait partie des 7 leaders à suivre dans le monde d'après par Google.org et des 100 personnalités qui ont marqué la décennie d'après le Magazine EcoRéseaux.En parallèle de son activité associative, Il lance également son podcast “Prends ta place”, qui vise à valoriser des modèles inspirants, qui ont pris leur place dans la société, malgré les obstacles. En 2024, ce rendez-vous cumule + de 12 000 000 vues de par an.Soutenez ce podcast http://supporter.acast.com/happy-work. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Laurent FebvayIl a attrapé le virus de l'humour devant la télé, entre deux éclats de rire provoqués par les Inconnus et les envolées délirantes d'Élie Kakou.Et depuis, Laurent Febvay n'a jamais décroché.Originaire des quartiers nord de Marseille — là où on apprend très tôt à avoir du répondant et à faire de l'autodérision une arme de survie — il monte sur scène dès son plus jeune âge. En 2007, il rafle son premier prix dans un festival d'humour marseillais. Première claque, premiers rires, première confirmation : il est fait pour ça.Mais il ne s'arrête pas là. Laurent débarque sur les plateaux télé, notamment dans « Vous avez du talent » sur IDF1, où il teste ses vannes face au grand public.Puis vient l'explosion sur les réseaux sociaux. Avec ses vidéos virales où il passe l'actualité au grill de son humour bien trempé, il cartonne. Il parle vrai, il parle fort, il parle cash — et surtout, il fait mouche. Qu'il s'agisse de politique, de société ou de situations absurdes du quotidien, Laurent sait pointer là où ça pique… et faire rire là où ça fait mal. Des shows à son image : sans filtre, sans langue de bois, mais avec un cœur gros comme ça. Il y parle de tout ce qui le dépasse — et Dieu sait que la liste est longue — avec une énergie qui emporte tout sur son passage.Laurent Febvay, c'est un peu comme si ton pote marseillais un peu grande gueule montait sur scène pour te raconter la vie… mais en plus drôle.Il parle des galères de tous les jours, de l'absurdité du monde, des trucs qui nous rendent fous — mais en riant avec nous, jamais contre nous.Un conseil : ne le rate pas sur scène.Parce qu'en vrai, Laurent Febvay, c'est ce mélange rare entre le franc-parler marseillais, la tendresse cachée derrière les vannes, et une énergie qui donne la patate pour trois jours.Rencontre avec un artiste qui ose tout… mais qui fait du bien.Episode 37Production exécutive du podcast : yumeegoProduction éditoriale : Véronique BarbeDirection artistique du podcast : Alexandre BréalMontage/Mixage : Alexandre BréalAvec les voix de Véronique Barbe & William Piletsites web : www.lezardurire.com Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Nouveauté : j'organise un stage, avec Natalia Pieczuro, de Fighting Monkey à Paris les 31 mai et 1er juin 2025.Je suis très heureux d'accueillir Tania SHYBKO, une femme au parcours incroyablement riche et multiculturel.Originaire de Biélorussie, Tania a parcouru le monde, étudiant l'intense langue chinoise en Chine – une expérience déjà très corporelle qui a façonné sa perception – avant de s'engager pendant huit ans dans l'humanitaire international. Dans des contextes de crise majeurs comme Haïti, le Liban, l'Irak ou l'Ukraine, elle a géré des projets complexes, cherchant à avoir un impact positif malgré les réalités difficiles et les contraintes.Cette vie intense et exigeante, bien que pleine de sens, l'a finalement menée au burnout. Un point de bascule qui l'a poussée à s'arrêter, à prioriser et prendre soin d'elle. C'est ainsi qu'elle s'est reconnectée à des pratiques comme la méditation de pleine conscience, qui l'a profondément aidée à gérer le stress et à cultiver la présence, l'équanimité et la bienveillance envers elle-même.Ce chemin l'a ensuite menée à l'Embodiment. Tania nous explique ce concept encore méconnu en France : une approche qui considère le corps non pas comme un simple outil, mais comme une source fondamentale d'information et une partie intégrante de notre être. Loin d'être uniquement basé sur le mouvement comme le yoga ou les arts martiaux, l'Embodiment utilise la posture, la respiration, le regard et l'attention pour explorer qui l'on est.Découvrez avec Tania la puissance de cette approche pour mieux se connaître, identifier ses patterns, réguler son système nerveux face au stress, et surtout, transformer sa relation à l'autre en étant plus conscient de son propre état corporel et de celui des autres (la "corrégulation"). Elle partage aussi des insights fascinants sur le "leadership incarné", qui passe par la présence et la conscience du corps.Tania incarne son discours, partageant son parcours avec vulnérabilité et sagesse. Cet épisode est une invitation sincère à revenir à son corps, à observer ses sensations, et à découvrir comment de petits ajustements posturaux ou respiratoires peuvent faire une immense différence pour se sentir, ne serait-ce qu'un peu, un pourcent, mieux.Ensemble, nous allons explorer la résilience, le pouvoir de l'Embodiment, et les clés concrètes pour habiter pleinement votre corps et votre vie.Merci pour votre fidélité !Pour aller plus loin, vous pouvez :Me suivre au quotidien sur Instagram ;Regarder ce podcast en vidéo sur Youtube ;Et me rejoindre dans mes prochains stages ici ou là !Retrouver toutes les actualités de Somatic Mind ;Soutenir ma création de contenu sur Patreon.Prenez soin de vous et à la semaine prochaine !Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Sujets traités : L'Ecomusée d'Alsace, situé à Ungersheim, blâmé par la Chambre régionale des comptes. Dans un rapport publié mardi concernant la période 2017-2023, cette dernière déplore une gouvernance inadaptée aux enjeux du musée, une gestion associative désorganisée et non professionnalisée ainsi que de graves manquements dans les ressources humaines, la gestion financière et la maintenance du patrimoine. Le conseil d'administration et l'absence de vision stratégique sont également pointés du doigt. Plusieurs irrégularités sont relevées : contrats non conformes, absence de contrôle des dépenses ou encore gestion hasardeuse des recettes. Malgré quelques améliorations sous le dernier directeur licencié en février 2024, la Chambre des Comptes appelle à une possible transformation de l'association en structure publique, dans un objectif de professionnalisation, alors que l'établissement génère un chiffre d'affaires de plus d'un million d'euros.Nouvelle réunion de conseil communautaire dans la vallée de Munster. Les élus de l'intercommunalité se sont réunis, l'occasion d'aborder la situation des déchets en 2024. Pour l'année écoulée, 8 938 tonnes de déchets ont été récoltées contre 9 040 en 2023. Cette baisse significative a été possible grâce à l'instauration des bio-déchets qui représentent 317 tonnes sur l'année 2024. Le centre de valorisation a également enregistré une hausse de sa fréquentation avec 45 925 usagers, contre 37 943 en 2023. Malgré ces bonnes notes, quelques soucis persistent dans le tri des déchets, comme l'explique Jean-François Kabucz, vice-président en charge de l'environnement. Le centre de valorisation devrait également voir une mutation dans les prochaines années avec l'ajout de nouvelles filières ainsi qu'une zone de réemploi. L'article complet est disponible sur notre site azur-fm.com.Une course contre la montre pour clôturer le Tour d'Espagne et du Portugal à vélo !Aujourd'hui, l'heure est au sprint final pour Geoffrey Feldner. Après un départ le dimanche 27 avril dernier, le Sélestadien relie ce jeudi Saragosse à Madrid. La dernière étape de ce projet caritatif se voudra corsée, avec pour objectif de parcourir les 360 kilomètres qui séparent les deux villes en 24h. Geoffrey, qui a pris le départ hier soir, revient sur cette dernière ligne droite. L'arrivée à Madrid est prévue en fin d'après-midi, et il est toujours possible de réaliser des dons en faveur de l'association Petits Princes. La cagnotte a d'ailleurs dépassé les records des précédentes éditions d'Itinérêve. Retrouvez toutes les informations dans notre article, sur azur-fm.com. Défi réussi pour Constance Schaerer. Originaire d'Eschau, l'Alsacienne est devenue en ce début de semaine à l'âge de 26 ans la Française la plus jeune à réussir l'ascension de l'Everest, qui culmine à plus de 8 848 mètres d'altitude. Fondatrice de l'association "7 sommets contre la maladie", qui soutient les enfants dont l'un des parents est atteint d'un cancer, Constance Schaerer a réalisé ce périple en hommage à son papa, décédé lorsqu'elle avait 9 ans.Donner son sang et apprécier la collation d'un chef. C'est ce qui sera proposé à Obernai demain. Dans la période des ponts de mai, l'Etablissement français du sang invite toutes celles et ceux qui le peuvent à donner leur sang. Des dons qui permettent de soigner chaque année un million de personnes. Après avoir donner leur sang, les donneurs pourront profiter d'une collation préparée par le chef Sacha Bender du restaurant le Freiberg d'Obernai. Le rendez-vous est donné demain, de 16h à 20h, à la salle des fêtes.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Cette semaine, LeChair reçoit Médine. Originaire du Havre, Médine voit le jour en 1983. D'origine algérienne, il est l'aîné d'une fratrie de trois enfants. Bon élève, il décroche le baccalauréat avant de se lancer dans le rap. Passionné de musique, il dévore les CDs de rap au point de venir sur Paris pour s'en procurer. Enfant du quartier de Mont-Gaillard au Havre, Médine se découvre une nouvelle passion, l'écriture. En compagnie de ses amis d'enfance, ils fondent le collectif indépendant Din records et à partir de là, ce sera le début d'un nouveau chapitre... Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le ski suisse, symbole d'excellence, continue de briller sur la scène internationale. Loïc Meillard, l'un des skieurs les plus prometteurs de sa génération, et Vincent Costet, journaliste spécialisé, exploreront les clés de ce succès. Quels sont les secrets d'une préparation physique et mentale optimale pour atteindre le sommet? Comment les skieurs suisses gèrent-ils la pression et l'intensité des compétitions? L'importance du matériel, souvent négligée, est également un facteur clé de ces performances exceptionnelles. Quelles innovations techniques influencent aujourd'hui les résultats? Cette rencontre offrira un éclairage sur la manière dont les champions suisses continuent de dominer les pistes. - Loïc Meillard commence le ski à l'âge de 2 ans, qui devient très vite une passion. Il a, depuis toujours, voulu dépasser ses limites et progresser, afin d'arriver au meilleur niveau possible. Originaire du canton de Neuchâtel, à l'âge de 12 ans il déménage à Hérémence en Valais dans le but de faciliter la pratique du ski. En parallèle de sa carrière, il réalise des études d'employé de commerce, tout en continuant les courses FIS. C'est en 2015 qu'il commence à briller en s'emparant du titre de Champion Suisse de Slalom. Il réalise également 3 podiums aux Championnats du Monde Junior, dont une première place en super-combiné. Il réitère cet exploit en 2017, en Super-combinée ainsi qu'en Slalom. Dès lors, il enchaîne les Top5 et les Top10 en Coupe du Monde, Championnats du Monde et régionaux. Et devient en 2023 vice-champion du monde en slalom géant. En 2025, il est champion du monde de slalom et de combiné par équipes, ainsi que médaillé de bronze en slalom géant. Enregistré au Club 44 le 13 mai 2025
Mon invitée d'aujourd'hui a un parcours fascinant au Club Med, qui s'étend sur plusieurs décennies. Elle a rejoint l'entreprise en 1992 en tant que costumière et y a travaillé jusqu'en 1994. Vingt-trois ans plus tard, elle est revenue au Club Med, cette fois en tant que responsable des excursions à Columbus Isle en 2017. Sa toute première saison s'est déroulée au Club Med de Sainte-Lucie, où elle a vécu l'expérience inoubliable d'habiller nul autre que le légendaire guitariste de Queen, Sir Brian May, pour le spectacle G.M., sans même savoir qui il était à l'époque ! Elle a étudié la scénographie, la conception de costumes et l'éclairage au Collège Lionel-Groulx, et c'est une simple annonce dans un journal avec un numéro 1-800 qui l'a mise sur cette voie incroyable. Originaire de Joliette, au Québec, nous vous invitons à accueillir chaleureusement Izzy Chartier! Dans cet épisode, nous nous plongeons dans tous les détails du parcours d'Izzy au Club Med - de ses saisons mémorables à ses rencontres avec des célébrités, en passant par la transition de l'animation aux excursions après une pause de vingt-trois ans. Elle nous fait également part de ce qui lui manque le plus au Club Med. Tout cela et bien d'autres choses encore vous attendent - il vous suffit d'appuyer sur le bouton « play »! Installez-vous confortablement, détendez-vous et profitez de ce merveilleux voyage dans le passé avec Izzy! **Le podcast My First Season a toujours été gratuit et sans publicité et peut être téléchargé sur: Apple Podcasts, Google Podcasts, Samsung Podcasts, Podbean App, Podchaser, Spotify, Amazon Music/Audible, TuneIn + Alexa, iHeartRadio, PlayerFM, Pandora et Listen Notes. Et si vous aimez ce que vous entendez, n'hésitez pas à laisser un commentaire sur les podcasts Apple.
En France, entre 8 000 et 12 000 marchés forains se tiennent chaque semaine. Avec leurs étals bien garnis et leurs commerçants gouailleurs, ils font vivre les centres de nombreuses villes et villages, leur permettant de résister à la concurrence des zones d'activités commerciales ou à celle de la livraison à domicile. Et les marchés ne permettent pas seulement de s'approvisionner en produits frais, locaux et de saison, ils sont aussi des lieux de rencontre, favorisant le vivre-ensemble et la diversité dans nos villes. Célébrés par les élus et les citadins, les marchés sont pourtant rarement pris en compte dans les projets de revitalisation urbaine, et la mode des «halles gourmandes» ouvertes 6 jours sur 7 menace leur existence. Comment préserver nos marchés ? Comment les penser et les considérer pour qu'ils puissent jouer pleinement leur rôle de revitalisation urbaine, au-delà de leur seule fonction commerçante ? Avec :• Olivier Razemon, journaliste spécialiste des questions de mobilité et d'urbanisme, auteur de On n'a que du beau ! Le marché, ingrédient d'une société heureuse (Éditions Écosociété, 2025)• Romarick Atoke, architecte béninois, spécialiste des smart cities, président fondateur de l'association AFRIKArchi et ancien responsable Architecture & Design urbain de Sémé City au Bénin. En fin d'émission, le portrait Fawzia Koofi, ex-députée afghane réalisé par Charlie Dupiot.Fawzia Koofi a été l'une des rares femmes députées en Afghanistan. Originaire de la province du Badakhchanau nord-est du pays, elle a grandi à Kaboul. Son père, député, a été tué quand elle avait 3 ans. Plus jeune, elle se rêvait présidente de l'Afghanistan et sa mère lui disait : « Je ne veux pas que tu deviennes présidente, je préfère que tu restes en vie ». Aujourd'hui âgée de 50 ans, Fawzia Koofi publie Lettres à mes sœurs, la voix des afghanes, aux éditions Michel Lafon. Un livre dans lequel elle revient sur son parcours et entend livrer, tant bien que mal, un message d'espoir aux femmes de son pays, elle qui vit désormais en exil au Royaume-Uni. Notre reporter Charlie Dupiot l'a rencontrée à l'occasion de son passage à Paris. Programmation musicale :► Kijan - Les freres Tima► Jenipapo Robo – Hyldon
En France, entre 8 000 et 12 000 marchés forains se tiennent chaque semaine. Avec leurs étals bien garnis et leurs commerçants gouailleurs, ils font vivre les centres de nombreuses villes et villages, leur permettant de résister à la concurrence des zones d'activités commerciales ou à celle de la livraison à domicile. Et les marchés ne permettent pas seulement de s'approvisionner en produits frais, locaux et de saison, ils sont aussi des lieux de rencontre, favorisant le vivre-ensemble et la diversité dans nos villes. Célébrés par les élus et les citadins, les marchés sont pourtant rarement pris en compte dans les projets de revitalisation urbaine, et la mode des «halles gourmandes» ouvertes 6 jours sur 7 menace leur existence. Comment préserver nos marchés ? Comment les penser et les considérer pour qu'ils puissent jouer pleinement leur rôle de revitalisation urbaine, au-delà de leur seule fonction commerçante ? Avec :• Olivier Razemon, journaliste spécialiste des questions de mobilité et d'urbanisme, auteur de On n'a que du beau ! Le marché, ingrédient d'une société heureuse (Éditions Écosociété, 2025)• Romarick Atoke, architecte béninois, spécialiste des smart cities, président fondateur de l'association AFRIKArchi et ancien responsable Architecture & Design urbain de Sémé City au Bénin. En fin d'émission, le portrait Fawzia Koofi, ex-députée afghane réalisé par Charlie Dupiot.Fawzia Koofi a été l'une des rares femmes députées en Afghanistan. Originaire de la province du Badakhchanau nord-est du pays, elle a grandi à Kaboul. Son père, député, a été tué quand elle avait 3 ans. Plus jeune, elle se rêvait présidente de l'Afghanistan et sa mère lui disait : « Je ne veux pas que tu deviennes présidente, je préfère que tu restes en vie ». Aujourd'hui âgée de 50 ans, Fawzia Koofi publie Lettres à mes sœurs, la voix des afghanes, aux éditions Michel Lafon. Un livre dans lequel elle revient sur son parcours et entend livrer, tant bien que mal, un message d'espoir aux femmes de son pays, elle qui vit désormais en exil au Royaume-Uni. Notre reporter Charlie Dupiot l'a rencontrée à l'occasion de son passage à Paris. Programmation musicale :► Kijan - Les freres Tima► Jenipapo Robo – Hyldon
durée : 00:30:09 - "… de bord d'attaque... " de Javier Munoz Bravo - par : Anne Montaron - Javier Muñoz Bravo est le compositeur de la semaine dans nos miniatures. Originaire de la Patagonie chilienne, il entretient une relation forte aux phénomènes naturels. Il explore cette semaine le vol des insectes. - réalisé par : Olivier Guérin
durée : 00:30:09 - "… de bord d'attaque... " de Javier Munoz Bravo - par : Anne Montaron - Javier Muñoz Bravo est le compositeur de la semaine dans nos miniatures. Originaire de la Patagonie chilienne, il entretient une relation forte aux phénomènes naturels. Il explore cette semaine le vol des insectes. - réalisé par : Olivier Guérin
Dans cet épisode, on plonge dans l'histoire incroyable de Dorian Ciavarella, un entrepreneur serial, discret mais redoutablement efficace.Originaire de Forbach, dans l'Est de la France, Dorian se lance à 20 ans en créant sa première boîte... pendant un stage. Une ceinture de pantalon capable de résister à 2 200 kg. Pas banal. Mais ce n'est qu'un début.À 25 ans, il fonde Hivency, la première plateforme au monde à connecter les marques et les instagrammeurs. En 5 ans : 130 salariés, 6,5 M€ levés, une revente à un fonds américain pour plusieurs dizaines de millions. Ironie du sort ? Il n'est même pas fan des réseaux sociaux.À 31 ans, le jour de la vente, il se retrouve face à la question qui change une vie : "Et maintenant ?". Plus besoin de travailler. Et pourtant, il décide de remonter sur le ring.Il crée Zeliq, une solution de prospection B2B pensée pour les commerciaux. Une plateforme tout-en-un qui combine :De la data ultra enrichie (450 millions de contacts pro avec emails, téléphones, etc.)Une orchestration multicanale de la prospection
Jean-Luc Calyel vient témoigner sur le plateau de KTO à l'occasion de la sortie de son livre « Du GIGN à la foi » (Mama). Il y explique comment la foi a pris naissance en lui, petit à petit, dès le début de sa carrière. Originaire d'Alsace, Jean-Luc est issu d'une famille avec une mère catholique et un père agnostique. Pendant son adolescence, le jeune alsacien a plutôt un caractère agité, il aime le challenge. C'est pourquoi, dès sa majorité, il décide de s'engager dans la gendarmerie avant d'intégrer cinq ans plus tard une unité d'élite. Après avoir été témoin de plusieurs phénomènes inexpliqués, il ressort quinze ans plus tard, chef de groupe opérationnel au GIGN et Dieu chevillé au corps.
Championne de France d'apnée dynamique, détentrice de records nationaux et professeure de breakdance, Hinatea Penilla y Perella Marere mène une vie à contre-courant, entre rigueur sportive et expression artistique. Originaire de Moorea, en Polynésie française, elle incarne un parcours singulier où la passion de l'eau, ancrée depuis l'enfance, devient le fil conducteur d'une vie bien remplie.Dans cet épisode, Hinatea revient sur son enfance au bord du lagon, entre Tahiti et Moorea, et raconte comment cette proximité permanente avec l'océan a façonné son lien à l'eau, entre jeux d'apnée improvisés et exploration du récif. Partie étudier en métropole pour devenir professeure d'EPS, c'est finalement la danse qui s'impose dans sa vie : compétitrice de haut niveau, vice-championne de France de breakdance, puis professeure de danse à Nice.Mais c'est à Nice, en 2015, qu'elle redécouvre l'apnée de manière structurée, au sein du club CIPA. Elle se passionne pour l'apnée dynamique, discipline dans laquelle elle excelle, jusqu'à intégrer l'équipe de France. Hinatea partage ici les coulisses de ses entraînements, ses sensations sous l'eau, sa gestion mentale des efforts extrêmes, ses routines respiratoires, ainsi que sa préparation pour les grandes compétitions comme les Championnats du monde d'Athènes en mai 2025.On parle également de son attachement profond à la Polynésie, de ses retours annuels pour se ressourcer, de sa relation étonnante avec Honuiti, une tortue verte rencontrée derrière la barrière de corail, et de son regard sur les menaces environnementales qui pèsent sur les lagons.Enfin, elle nous raconte comment elle parvient à concilier deux disciplines exigeantes – l'apnée et la danse – en trouvant un équilibre entre relâchement et intensité, introspection et performance, dans l'eau comme sur scène.Un épisode inspirant pour tous les passionnés d'apnée, de sport de haut niveau et d'océan.
Sujets traités : En cette journée de l'Europe, les contrôles renforcés aux frontières allemandes continuent de poser problème. Alors que le nouveau chancelier allemand Friedrich Merz a annoncé un renforcement de la lutte contre l'immigration illégale, sa politique a d'ores et déjà été mise en application avec des contrôles renforcés aux frontières, notamment entre Strasbourg et Kehl. Hier, beaucoup de bouchons ont été constatés en raison du jour férié du côté français mais surtout en raison de nombreux contrôles, en voiture comme dans les trams. La maire de Strasbourg Jeanne Barseghian et le maire de Kehl Wolfram Britz s'insurgent contre ces mesures. Selon eux, je cite, “Le fait qu'il le fasse le jour où nous commémorons le 80ème anniversaire de la fin de la Seconde Guerre mondiale et à la veille de la Journée de l'Europe, témoigne d'un manque de conscience historique et de tact”. Une Alsacienne représentera la France au sommet mondial de la jeunesse. Originaire d'Eckbolsheim dans le Bas-Rhin, Antoinette Ott est ingénieure en aéronautique et représentera la France en août, à Johannesbourg. Passionnée par le spatial et par les problématiques écologiques, elle y défend un accès durable et équitable à l'espace extra-atmosphérique. Elle propose notamment d'actualiser certains traités. À Sélestat, les enfants du Conseil Municipal des Enfants ont inauguré mercredi une boîte à livres. L'objectif est d'encourager la lecture chez les plus jeunes et de permettre à chacun d'avoir accès à des livres. Un projet qu'ils ont imaginé ensemble. Pour Laura, élève de CM2 et membre du CME, cette boîte à livres peut vraiment faire la différence. Les enfants la surnomment « bibliothèque magique ». Un projet salué par les élus locaux. Hugo Rapp, conseiller municipal délégué à la citoyenneté, insiste sur l'importance de ces initiatives autour des écoles. Si vous souhaitez découvrir ou même apporter des livres dans la boîte à livres, rendez-vous Allée Notre Dame de la Paix. Des propos recueillis par Sidonie Melchior.Une marche blanche sera organisée ce dimanche à Brumath. La mairie, en accord avec la famille, propose un hommage aux trois jeunes filles victimes de l'incendie de leur maison le 26 avril dernier. Âgées de 12, 10 et 6 ans, elles avaient été extraites du bâtiment en feu en arrêt cardio-respiratoire. La marche blanche débutera à 17 heures, place du Château et rejoindra le jardin du Tilleul. Un mot de sport pour clôturer ce journal. En football, avant dernier match de Ligue 1 pour les bleus et blanc du Racing Club de Strasbourg. Les hommes de Liam Rosenior se déplacent demain sur la pelouse d'Angers. Actuel 6ème au classement et à deux journées de la fin, une victoire conforte encore un peu plus leur rêve de coupe européenne pour la saison prochaine. Coup d'envoi sera donné au stade Raymond Kopa à 21h. De leur côté, les féminines ont achevé leur saison mercredi soir avec une victoire 2 buts à 1 face à Reims. Elles clôture ainsi leur deuxième saison dans l'elite à la 9ème place sur 12 équipe au classement.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
« En un instant, mon coeur fut touché et je crus ». Ces paroles de Paul Claudel résonnent dans le coeur de Frère Adrien Candiard, l'auteur du livre « Maman voudrait que je croie en Dieu » (Cerf). Originaire de Paris, le brillant Dominicain a étudié l'histoire et les sciences politiques avant d'entrer au noviciat à l'âge de vingt-trois ans. À l'issue de son cursus, il est missionné pour mener des travaux sur l'islam et intègre l'Institut dominicain d'études orientales, au Caire, où il est également curé de la paroisse francophone. Adrien Candiard est connu pour ses ouvrages à succès de méditation, de théologie, ses livres fins et pédagogiques ; accompagnant les jeunes dans leurs parcours de foi, il connait les parcours qui mènent à la foi adulte, et les mots qui touchent. Il nous plonge aujourd'hui, grâce à ce roman, dans le bouillonnement spirituel de l'adolescence, la recherche de la propre relation avec Dieu.
Spectacle-récit créé au moment des commémorations de la Première Guerre mondiale, Soldat Inconnu quinze-dix-huit met en scène le sort des soldats italiens qui, dans ce conflit d'une si grande ampleur, vont pour la première fois côtoyer leurs compatriotes dans une même zone de combat et apprendre à se connaître, alors que chacun parle un dialecte bien différent.Inspiré de lettres et de journaux de tranchées, il constitue le second volet d'un diptyque consacré par Mario Perrotta à la Grande Guerre. Perrotta choisit de mélanger plusieurs parlers d'Italie pour créer une langue qui soit la plus vivante mais aussi la plus étrange possible, et qui donne à voir la guerre dans toute son incompréhension, ses paradoxes et son horreur. La matérialité boueuse et crasseuse des tranchées se mêle au fracas des obus, à l'odeur du sang et des corps, dans une expérience multisensorielle où les sonorités langagières sont les vraies protagonistes, pour tisser un discours démystificateur qui remet en cause les propos officiels et le patriotisme des élites.Florence Courriol est née à Lyon en 1986. Docteure en études italiennes et traductologie à l'Université de Bourgogne (Dijon), elle travaille sur la langue vernaculaire dans la fiction italienne contemporaine et sa traduction en français. Elle s'occupe de traductologie et de multilinguisme littéraire et a publié divers articles sur le sujet. Parallèlement elle mène une carrière académique en enseignant la langue et la littérature italiennes dans diverses universités françaises (Dijon, Rennes, Avignon, Grenoble). Elle enseigne actuellement le français à la Sapienza, avec une mission de coopération universitaire à l'Institut français.Mario Perrotta est né en 1970. Originaire de Lecce, il est comédien, dramaturge et metteur en scène. Ses pièces ont été distinguées par de nombreux prix. Elles se fondent sur la figure des laissés-pour-compte : les spectacles-récits qu'il élabore, met en scène et interprète lui-même abordent les thèmes de l'émigration, de la marginalité et, avec Milite Ignoto quindicidiciotto, celui de la guerre. , Soldat Inconnu quinze-dix-huit Soldat huit est sa première pièce publiée en version bilingue italien-français.
Dans cet épisode, David Ordono reçoit une invitée qu'il espérait depuis longtemps : la cheffe étoilée Georgiana Viou. Figure énergique et inspirante, elle a accepté de prendre le temps de raconter son parcours, avec une sincérité et une énergie rares.Originaire du Bénin, révélée au grand public par l'émission Masterchef, Georgiana a connu un chemin singulier. Elle a appris la cuisine sur le tard, d'abord en autodidacte et elle a dû surmonter de nombreux obstacles avant de trouver sa voie. Aujourd'hui, elle dirige Rouge, son restaurant étoilé à Nîmes, guidée par une passion qui emporte tout et embarque tout le monde sur son passage !Avec son livre Oui cheffe – Du Bénin à l'étoile Michelin, itinéraire d'une battante, elle donne sa version de cette expression : les doutes, les chutes, les remises en question… et bien sûr les renaissances et les victoires.Un récit personnel, intense, tour à tour sombre et lumineux, préparez-vous à découvrir un tempérament et un récit hors du commun. Écartez vous, voici Georgiana Viou.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cet épisode, David Ordono reçoit une invitée qu'il espérait depuis longtemps : la cheffe étoilée Georgiana Viou. Figure énergique et inspirante, elle a accepté de prendre le temps de raconter son parcours, avec une sincérité et une énergie rares.Originaire du Bénin, révélée au grand public par l'émission Masterchef, Georgiana a connu un chemin singulier. Elle a appris la cuisine sur le tard, d'abord en autodidacte et elle a dû surmonter de nombreux obstacles avant de trouver sa voie. Aujourd'hui, elle dirige Rouge, son restaurant étoilé à Nîmes, guidée par une passion qui emporte tout et embarque tout le monde sur son passage !Avec son livre Oui cheffe – Du Bénin à l'étoile Michelin, itinéraire d'une battante, elle donne sa version de cette expression : les doutes, les chutes, les remises en question… et bien sûr les renaissances et les victoires.Un récit personnel, intense, tour à tour sombre et lumineux, préparez-vous à découvrir un tempérament et un récit hors du commun. Écartez-vous, voici Georgiana Viou.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cet épisode, David Ordono reçoit une invitée qu'il espérait depuis longtemps : la cheffe étoilée Georgiana Viou. Figure énergique et inspirante, elle a accepté de prendre le temps de raconter son parcours, avec une sincérité et une énergie rares.Originaire du Bénin, révélée au grand public par l'émission Masterchef, Georgiana a connu un chemin singulier. Elle a appris la cuisine sur le tard, d'abord en autodidacte et elle a dû surmonter de nombreux obstacles avant de trouver sa voie. Aujourd'hui, elle dirige Rouge, son restaurant étoilé à Nîmes, guidée par une passion qui emporte tout et embarque tout le monde sur son passage !Avec son livre Oui cheffe – Du Bénin à l'étoile Michelin, itinéraire d'une battante, elle donne sa version de cette expression : les doutes, les chutes, les remises en question… et bien sûr les renaissances et les victoires.Un récit personnel, intense, tour à tour sombre et lumineux, préparez-vous à découvrir un tempérament et un récit hors du commun. Écartez-vous, voici Georgiana Viou.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Originaire de Colombie, Silvia SANCHEZ est une ancienne étudiante du CUEFEE (Centre Universitaire d'Enseignement du Français aux Étudiants Étrangers) à l'Université de Tours. Elle nous raconte avec émotion comment elle a découvert l'amour de sa vie, l'impact que les réseaux sociaux ont aujourd'hui dans nos vies, ainsi que sa passion pour la langue et la […] L'article WINDECK TOURS – LES RÉSEAUX SOCIAUX SELON SILVIA SANCHEZ est apparu en premier sur Radio Campus Tours - 99.5 FM.
C dans l'air du 24 avril 2025 - Affaire Bétharram : scandales en sérieC'est un livre choc qui parait ce jeudi. Dans Le silence de Bétharram, Alain Esquerre dépeint le système de violences mis en place au sein de l'institution catholique privée pendant des décennies. Avec la journaliste Clémence Badault, ils ont rassemblé les témoignages de dizaines de victimes qui décrivent les sévices physiques et sexuelles subis pendant leur scolarité dans l'établissement. A ce jour, plus de 200 plaintes ont été déposées contre l'institution béarnaise après un an et demi de combat pour faire éclater la vérité.Parmi ces témoignages, figure celui de la fille du Premier ministre François Bayrou, Hélène Perlant. Elle révèle avoir été victime, adolescente, de violences lors d'un camp d'été organisé par la congrégation à laquelle appartient l'établissement privé catholique au cœur du scandale. "Je voulais me faire recenser comme victime, une victime parmi d'autres et fille du Premier ministre", a-t-elle déclaré sur France Inter. Hélène Perlant assure que son père François Bayrou "ne savait pas" les violences dont elle a été victime. "J'ai été obligée de lui dire parce que Le Canard enchaîné l'a contacté. On avait l'intention de ne pas le dire", a-t-elle poursuivi."En tant que père de famille, ça me poignarde le cœur (…). Qu'on ne l'ait pas su et que des dérives de cet ordre aient eu lieu, pour moi, c'est presque insupportable", a répondu le Premier ministre. François Bayrou a également affirmé que sa fille ne lui avait "jamais parlé" de violences. Toutefois, "elle n'est pas le centre de l'affaire" et "ce n'est pas une affaire personnelle", selon lui. "En tant que responsable public (…), c'est aux victimes que je pense" et "je ne veux pas les abandonner", a-t-il déclaré. François Bayrou doit être entendu le 14 mai par la commission d'enquête parlementaire née du scandale de Bétharram. "Je ne dis depuis le premier jour que ce que je sais de cette affaire, que la vérité de ce que je découvre, et je n'ai, de ce point de vue-là, aucun problème à répondre", a dit le Premier ministre, interrogé sur cette convocation. Plus tôt dans le mois, un ancien gendarme et un ancien juge qui ont enquêté sur la première plainte pour viol ayant visé un religieux de cet établissement scolaire catholique ont fait savoir que François Bayrou était intervenu dans cette affaire. Des propos démentis par le Premier ministre. Originaire de la région, l'actuel maire de Pau et ancien député et président du conseil départemental des Pyrénées-Atlantiques, ex-ministre de l'Éducation nationale entre 1993 et 1997, nie plus largement avoir eu connaissance, dans le passé, des violences qui se déroulaient dans l'établissement.Nos journalistes ont recueilli le témoignage de plusieurs victimes de Bétharram. Ils ont également interviewé le juge Edouard Durand, magistrat spécialiste du droit des enfants, ancien président de la Ciivise qui continue à incarner la lutte contre les violences sexuelles sur mineurs. LES EXPERTS : - Christophe BARBIER - Éditorialiste politique, conseiller de la rédaction - Franc-Tireur - Audrey GOUTARD - Grand reporter - France Télévisions, spécialiste des faits de société- Solène PODEVIN-FAVRE - Membre du collège directeur de la CIIVISe – Commission Indépendante sur l'Inceste et les Violences Sexuelles faites aux Enfants - Antton ROUGET - Journaliste – Médiapart
Avec plus de 9 millions d'abonnés sur le réseau social Snapchat, Nasser Sari, alias Nasdas, est une des personnalités les plus suivies en France, particulièrement chez les jeunes. Originaire d'un des quartiers les plus pauvres de France à Perpignan (Pyrénées-Orientales), l'influenceur de 28 ans se dit aujourd'hui millionnaire grâce à des vidéos diffusées sur Snapchat et sur Twitch, dans lesquelles il montre la vie de son quartier, et le quotidien de jeunes très vulnérables qu'il loge dans une villa pour les filmer.Nasdas est régulièrement la cible de critiques : il n'hésite pas à se moquer des personnes qu'il filme, et il a pris l'habitude de distribuer de l'argent dans la rue à tous ceux qui le lui demandent. Résultat, de plus en plus de jeunes en difficulté fuguent de chez eux pour rejoindre l'influenceur à Perpignan afin de lui demander de l'aide.Code source dresse le portrait de Nasdas avec deux journalistes du Parisien : Elsa Mari, du service société qui l'a rencontré à Perpignan, et Enzo Guérini, journaliste au pôle actualité du Parisien.Écoutez Code source sur toutes les plates-formes audio : Apple Podcast (iPhone, iPad), Amazon Music, Podcast Addict ou Castbox, Deezer, Spotify.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Reporter : Barbara Gouy - Production : Pénélope Gualchierotti, Clara Garnier-Amouroux et Clara Grouzis - Réalisation et mixage : Julien Montcouquiol - Musiques : François Clos, Audio Network - Archives : Nasdas, Konbini. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Plus de 10 000 réfugiés soudanais sont arrivés au camp de Gorom, près de Juba, la capitale du Soudan du Sud, depuis le début de la guerre au Soudan le 15 avril 2023. Un conflit qui semble loin de se terminer, notamment dans la région du Darfour, où les Forces de soutien rapides du général Hemedti sont accusées de commettre un génocide. Des femmes du Darfour réfugiées à Gorom se sont livrées à RFI sur leurs inquiétudes suite aux violences qui ont éclaté contre les Soudanais mi-janvier, après que des Sud-Soudanais ont été massacrés par l'armée soudanaise à Wad Madani. De notre correspondante à Juba, Coiffée d'un foulard rose pâle, Amira Adam Bashar, 20 ans, a fui l'enfer d'El Fasher, cette ville située au Darfour nord, assiégée par les paramilitaires FSR. Elle est arrivée à Juba une semaine seulement avant qu'éclatent les violences visant les Soudanais mi-janvier : « La police nous a protégés, puis nous avons été amenés ici à Gorom. Nous sommes enregistrés comme réfugiés urbains, donc nous ne recevons aucune aide. Nous n'avons presque rien à manger ni à boire, et mon frère qui vendait du charbon pour nous soutenir a été blessé dans les violences, maintenant, il ne peut plus travailler. Nous avons besoin d'aide. »L'histoire de Nuha Abdallah Mohammed, 34 ans, est tout aussi terrible. La mère de deux enfants a fui les attaques des FSR à El Geneina, au Darfour ouest, et rejoint son mari établi à Juba comme commerçant. Mais leur magasin a été complètement pillé lors des émeutes contre les Soudanais. La famille s'est réfugiée à Gorom, et a été à nouveau terrifiée par les combats entre forces sud-soudanaises qui ont eu lieu près du camp récemment : « J'aimerais pouvoir quitter le Soudan du Sud, mais je n'en ai pas la capacité. Car c'est insupportable de fuir une guerre, de venir à pied d'un pays à l'autre, pour ensuite se retrouver à vivre encore la même chose. À entendre à nouveau les mêmes sons de tirs et de bombes. Nous ressentons beaucoup de peur et d'insécurité. »À écouter aussiGuerre au Soudan: «L'urgence humanitaire est au nord Darfour»« Nous voulons vivre en sécurité, c'est tout. »Originaire de Nyala, dans le Darfour sud, Azza Haroun Nurein, 40 ans, a la lourde charge de s'occuper de sa fille Ikram, 16 ans, qui a perdu une jambe dans le conflit soudanais : « Avant le début de la guerre, nous vivions bien à Nyala. Quand le conflit a débuté, nous sommes restés enfermés chez nous. Mais un jour, une bombe est tombée sur la maison, tuant ma fille et mon neveu. Et Ikram a quant à elle été grièvement blessée. »La famille a fui en août 2023 et c'est à Juba qu'Ikram a été amputée de sa jambe gauche. L'adolescente garde de lourdes séquelles et a des cicatrices et des éclats d'obus un peu partout sous la peau. Elle ne peut être scolarisée : « Je ne peux pas aller à l'école parce que je ne peux pas marcher, même avec des béquilles. Donc, je reste tout le temps dans notre abri. Ce que je veux dire, c'est qu'il faut que la guerre s'arrête au Soudan et au Soudan du Sud. Et il faut penser à ceux qui ne peuvent pas fuir quand il y a du danger, comme moi qui ai perdu ma jambe, je ne peux aller nulle part. Nous voulons vivre en sécurité, c'est tout. »Cette semaine, Ikram a rendez-vous au centre de réhabilitation physique du Comité international de la Croix-Rouge à Juba, où elle espère apprendre à marcher à nouveau à l'aide d'une prothèse.À lire aussiGuerre au Soudan: après deux ans de chaos, le désastre humanitaire
Après quatre années passées chez Google à San Francisco, François de Halleux devient boulanger et écologiste à Barcelone, il sera en duplex avec Sacha Ferra, l'humoriste aux origines espagnoles qui cartonne avec son stand-up sur le génie belge Originaire de Plancenoit, François de Halleux étudie à l'UCLouvain. Après un échange à Johannesburg, il travaille à Dublin, en Australie et en Californie. A la recherche d'un projet alliant alimentation et écologie, il décide avec sa compagne de s'installer à Barcelone. Il lance Origo bakery et produit du pain artisanal au levain. Avec deux points de vente et quarante-cinq collaborateurs, il ravit les papilles gustatives des Catalans Jeune Bruxellois formé à l'IHECS, Sacha Ferra se passionne pour le stand-up. Dans sa famille, l'humour c'est un art de vivre. Peu avant la fin de son cursus, contrat en main, il décide de se lancer sans filet de sécurité sur les planches. Affichant un look de quarantenaire post-dépressif, il cartonne avec son spectacle ‘Plat Pays'. Fouillant dans son passé, il viendra nous révéler les résultats du test ADN visant à confirmer ses origines ibériques Chaque semaine, Adrien Joveneau vous emmène suivre les parcours inspirants de ceux qui ont tentés leur chance au bout du monde. Des aventures à suivre le dimanche à 9 heures sur La Première ou en podcast sur Auvio.be et toutes les autres plateformes de téléchargement Espagne - 13/04/25 Merci pour votre écoute Les Belges du bout du Monde, c'est également en direct tous les dimanches de 9h à 10h sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez l'ensemble des épisodes des Belges du bout du Monde sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/432Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cet épisode captivant d'"Une date, une histoire", la romancière Christine Orban nous plonge au cœur du mariage du prince Charles et de Lady Diana, célébré le 29 juillet 1981. Bien que surnommé "le mariage du siècle", Christine Orban révèle que Lady Diana a failli renoncer à cette union, tiraillée entre l'amour et le devoir.Invitée par Philippe Legrand, Christine Orban, auteure du roman "Mademoiselle Spencer", nous fait revivre les coulisses de ce mariage tant attendu. Originaire du Maroc, cette écrivaine à succès nous entraîne dans les pas de la future princesse de Galles, dévoilant les émotions et les doutes qui l'ont traversée ce jour-là.Alors que le monde entier attendait avec impatience de voir le prince Charles et Lady Diana se dire "oui", Christine Orban nous révèle que la jeune femme avait des soupçons sur les sentiments réels de son futur époux. En effet, Charles était secrètement amoureux d'une autre femme et a choisi d'obéir à sa famille plutôt que de suivre son cœur.Malgré ces tourments, Lady Diana a finalement franchi le pas, consciente que sa vie allait changer à jamais. Christine Orban nous plonge dans l'ambiance de cette journée historique, nous faisant ressentir l'émotion et la tension qui régnaient alors. Elle dévoile les coulisses de ce mariage, permettant de mieux comprendre le destin tragique qui attendait cette jeune femme.À travers ce récit passionnant, Christine Orban nous invite à revisiter un moment clé de l'histoire de la famille royale britannique, tout en offrant un aperçu inédit des sentiments et des doutes qui ont traversé Lady Diana. Cet épisode captivant nous rappelle que derrière les fastes et les apparences se cachent souvent des histoires complexes et poignantes.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
En inédit, un cas supplémentaire abordé dans la suite de l'émission sur M6 de 12h à 12h30 : Originaire de Toulouse, Florentine s'installe en région parisienne pour ses études de communication. En novembre 2023, elle loue auprès d'une agence immobilière un appartement en colocation avec une amie. Elle verse 3.000€ de dépôt de garantie. Après un an sans souci, elle quitte le logement en août 2024. Le délai légal de 2 mois pour rendre la caution a expiré sans qu'elle récupère son dû. Mais aussi, les rebondissements des cas du jour abordés de 10h à 12h ! Tous les jours, retrouvez en podcast les meilleurs moments de l'émission "Ça peut vous arriver", sur RTL.fr et sur toutes vos plateformes préférées.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Originaire d'un quartier populaire de Cleveland, Tracy Chapman a fait ses premiers pas dans la musique alors qu'elle était encore étudiante dans un prestigieux pensionnat du Connecticut. Isolée au milieu de camarades privilégiés, la jeune femme a puisé dans cette expérience un élan de révolte qui s'est traduit par l'écriture du titre emblématique "Talking About a Revolution". Avec ses paroles engagées et son style folk dépouillé, cette chanson a rapidement séduit un public en quête de sens et de mobilisation collective. Grâce à un concours de circonstances, la démo enregistrée par Tracy Chapman a atterri entre les mains du manager de Bob Dylan, ouvrant ainsi la voie à une carrière fulgurante.Vous découvrirez comment cette jeune artiste a saisi sa chance en enregistrant son premier album, et comment son interprétation live de "Talking About a Revolution" lors du concert hommage à Nelson Mandela l'a propulsée sur le devant de la scène internationale.
Nous débarquons à Taiwan avec Gilles Lorrain, cuisinier à Taipei, Flora Zelada, cheffe de cuisine chez Refoodgees, un projet d'insertion socio-professionnelle initié par Arthur Fogel à Saint-Gilles et à la Villa Empain. Originaire de Linkebeek, Gilles Lorrain est un bourlingueur dans l'âme. A trente-cinq ans, il a déjà vécu et travaillé en Belgique, en France, au Canada et en Australie avant de poser sa valise dans la capitale taiwanaise. Cela fait un an et demi que ce chef a ouvert le ‘Resto Nomade', il offre simplement à ses clients la découverte de notre culture culinaire. Flora Zelada fait des études d'hôtellerie au Brésil. Elle travaille à Sao Paulo mais elle désire élargir ses horizons et débarque à Bruxelles. A la recherche d'un poste avec du sens, elle croise la route de Arthur Fogel, véritable couteau-suisse de l'Horeca et son projet d'insertion ‘Refoodgees', elle lui emboite le pas. Dans deux restaurants, ils œuvrent au partage des cultures par la cuisine et forment les primo-arrivants aux métiers de l'Horeca. Chaque dimanche, Adrien Joveneau fait tomber les murs et jette des ponts entre les cultures à 9 heures sur La Première et en tous lieux et tout temps sur Auvio.be et les autres plateformes de téléchargement Taiwan - 30/03/25 Merci pour votre écoute Les Belges du bout du Monde, c'est également en direct tous les dimanches de 9h à 10h sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez l'ensemble des épisodes des Belges du bout du Monde sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/432Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Brut, Extra-brut...mais aussi Hors Catégorie, Solera...tel est le monde de Carine Bailleul, cheffe de cave du Champagne Castelnau.Originaire du Vercors, fille d'agriculteurs, Carine Bailleul voulait être infirmière mais découvre le vin lors d'un stage chez Jaillance qui produit la fameuse Clairette de Dié.Après une visite des caves de Tain-l'Hermitage, Carine décide de préparer le diplôme National d'œnologie à Reims. Elle rentre chez Castelnau lors d'un stage en 2003 où elle passe un entretien avec…Elizabeth Sarcelet qu'elle remplacera comme cheffe de cave en 2020 après plusieurs années de compagnonnage. Aujourd'hui, elle supervise également les cuveries du groupe Terroirs et Vignerons de Champagne auquel Castelnau appartient.La signature de la maison Castelnau ? Le vieillissement sur lies ou l'art de la délicatesse.A découvrir
« Ethnic chaos » avec les Ukrainiens DakhaBrakha et la fureur du Lagon Nwar #SessionLive. Nos premiers invités sont le quartet DakhaBrakha.DakhaBrakha est le quatuor de folk ukrainien qui transcende les frontières musicales et culturelles !Originaire de Kiev, ce groupe surnommé « ethnic chaos » nous emporte dans un voyage sonore inattendu où se rencontrent l'ancien et le moderne. Le nom même du groupe, « DakhaBrakha », qui signifie « donner/prendre » en ancien ukrainien, évoque le dialogue constant entre passé et présent.Créé en 2004 par Vladislav Troïtsky au Centre d'art contemporain de Kiev, le groupe porte en lui une âme théâtrale qui se reflète dans chacune de ses performances, spectaculaires et visuellement envoûtantes. DakhaBrakha ne se contente pas de jouer de la musique : ils offrent une véritable mise en scène où chaque son, chaque rythme est amplifié par des effets scéniques saisissants.Ayant déjà conquis les scènes internationales, de la France aux États-Unis en passant par l'Australie et la Colombie, le groupe fait vibrer les mélodies ukrainiennes dans le cœur de tous les publics...Entretien avec Marko Halanevych, traduction assurée par Kseniya Zhornokley, journaliste à la rédaction ukrainienne de RFI.Morceaux extraits du concert au Cabaret Sauvage, le 22 janvier 2025.- Sho s-pod duba- Dytyatochko- Shchedryi metal.Line Up : Marko Halanevych – chant, tambour à gobelet, tabla, didgeridoo, harmonica, accordéon, cajón, guimbarde, Olena Tsybulska – chant, percussions, Iryna Kovalenko – chant, djembé, flûte, buhay, piano, ukulélé, zgaleyka, accordéon et Nina Garenetska – chant, violoncelle.Mixage : Benoît Letirant.Mastering : Mathias Taylor. Site - YouTube - Facebook. Puis nous recevons le quartet Lagon Nwar pour la sortie du 1er album Lagon Nwar.À Lagon Nwar, on veille la fureur. On trouble les bordures. On joue une danse de feu. On aiguise son cri. On donne son âme au sentier.Lagon Nwar ne ressemble à nul autre lieu. On y est jamais allé. Pourtant, c'est chez nous. Tout de suite.Les berges de Lagon Nwar sont le contour de toutes nos terres.Le saxophoniste Quentin Biardeau et le bassiste Valentin Ceccaldi, tous deux issus du flamboyant Tricollectif, nous convient à une rencontre avec la chanteuse réunionnaise Ann O'aro et le batteur-percussionniste-chanteur burkinabè Marcel Balboné.Le quartet dessine des rivages sur lesquels se poser, au fond du temps. Un sourire étanche au coin des lèvres. Télescopage électrique, remous de synthétiseurs mourant sur la lie amère d'une basse fender, textes débrayés arguant son joual comme son créole, signant des doigts une poésie à défraîchir les coraux de laquelle s'envolent les mélodies bissa et la verve rageuse d'un saxophone arraché à la course vive du wet bimdé. La batterie de calebasses avec ou sans corde soulignant les contours d'un dialogue entre Burkina et Mascareignes, Paris et Ouaga. Lagon Nwar, c'est le goût salé de l'eau, les boucles alourdies de pluie, le port et ses armements, l'essoufflement des colonies.Titres interprétés au grand studio- Marée Live RFI- Liberté Connaître Oblige, extrait de l'album- Zaanbar Live RFI.Line Up : Ann O'aro / chant, Marcel Balbone / batterie, chant, Valentin Ceccaldi / basse, Quentin Biardeau / synthé, saxophone ténor.Son : Jérémie Besset, Camille Roch, Benoît Letirant.► Album Lagon Nwar (Airfono 2025).YouTube - Tri Collectif - Bandcamp Airfono - facebook. Release Party, 31 mars 2025, au Café de la Danse.
« Ethnic chaos » avec les Ukrainiens DakhaBrakha et la fureur du Lagon Nwar #SessionLive. Nos premiers invités sont le quartet DakhaBrakha.DakhaBrakha est le quatuor de folk ukrainien qui transcende les frontières musicales et culturelles !Originaire de Kiev, ce groupe surnommé « ethnic chaos » nous emporte dans un voyage sonore inattendu où se rencontrent l'ancien et le moderne. Le nom même du groupe, « DakhaBrakha », qui signifie « donner/prendre » en ancien ukrainien, évoque le dialogue constant entre passé et présent.Créé en 2004 par Vladislav Troïtsky au Centre d'art contemporain de Kiev, le groupe porte en lui une âme théâtrale qui se reflète dans chacune de ses performances, spectaculaires et visuellement envoûtantes. DakhaBrakha ne se contente pas de jouer de la musique : ils offrent une véritable mise en scène où chaque son, chaque rythme est amplifié par des effets scéniques saisissants.Ayant déjà conquis les scènes internationales, de la France aux États-Unis en passant par l'Australie et la Colombie, le groupe fait vibrer les mélodies ukrainiennes dans le cœur de tous les publics...Entretien avec Marko Halanevych, traduction assurée par Kseniya Zhornokley, journaliste à la rédaction ukrainienne de RFI.Morceaux extraits du concert au Cabaret Sauvage, le 22 janvier 2025.- Sho s-pod duba- Dytyatochko- Shchedryi metal.Line Up : Marko Halanevych – chant, tambour à gobelet, tabla, didgeridoo, harmonica, accordéon, cajón, guimbarde, Olena Tsybulska – chant, percussions, Iryna Kovalenko – chant, djembé, flûte, buhay, piano, ukulélé, zgaleyka, accordéon et Nina Garenetska – chant, violoncelle.Mixage : Benoît Letirant.Mastering : Mathias Taylor. Site - YouTube - Facebook. Puis nous recevons le quartet Lagon Nwar pour la sortie du 1er album Lagon Nwar.À Lagon Nwar, on veille la fureur. On trouble les bordures. On joue une danse de feu. On aiguise son cri. On donne son âme au sentier.Lagon Nwar ne ressemble à nul autre lieu. On y est jamais allé. Pourtant, c'est chez nous. Tout de suite.Les berges de Lagon Nwar sont le contour de toutes nos terres.Le saxophoniste Quentin Biardeau et le bassiste Valentin Ceccaldi, tous deux issus du flamboyant Tricollectif, nous convient à une rencontre avec la chanteuse réunionnaise Ann O'aro et le batteur-percussionniste-chanteur burkinabè Marcel Balboné.Le quartet dessine des rivages sur lesquels se poser, au fond du temps. Un sourire étanche au coin des lèvres. Télescopage électrique, remous de synthétiseurs mourant sur la lie amère d'une basse fender, textes débrayés arguant son joual comme son créole, signant des doigts une poésie à défraîchir les coraux de laquelle s'envolent les mélodies bissa et la verve rageuse d'un saxophone arraché à la course vive du wet bimdé. La batterie de calebasses avec ou sans corde soulignant les contours d'un dialogue entre Burkina et Mascareignes, Paris et Ouaga. Lagon Nwar, c'est le goût salé de l'eau, les boucles alourdies de pluie, le port et ses armements, l'essoufflement des colonies.Titres interprétés au grand studio- Marée Live RFI- Liberté Connaître Oblige, extrait de l'album- Zaanbar Live RFI.Line Up : Ann O'aro / chant, Marcel Balbone / batterie, chant, Valentin Ceccaldi / basse, Quentin Biardeau / synthé, saxophone ténor.Son : Jérémie Besset, Camille Roch, Benoît Letirant.► Album Lagon Nwar (Airfono 2025).YouTube - Tri Collectif - Bandcamp Airfono - facebook. Release Party, 31 mars 2025, au Café de la Danse.
S'installer dans un nouveau pays, apprendre une langue, s'intégrer professionnellement… Louise Ekland connaît bien ces défis. Originaire de Liverpool, elle vit à Paris depuis plus de vingt ans et s'est imposée comme une figure incontournable des médias français.
Partie 2 : Dorothée Gilbert est danseuse étoile de l'Opéra de Paris, un titre prestigieux qu'elle porte avec une élégance et une détermination qui forcent le respect. La détermination, c'est justement le sujet que j'avais envie d'aborder avec Dorothée.Cet épisode est particulier car nous nous connaissons bien avec Dorothée, je vous emmène donc dans une intimité particulière que vous ne retrouverez nulle part.Comme elle me l'a dit elle même "les questions sont différentes", vous allez pouvoir découvrir Dorothée autrement si vous la connaissez déjà.Originaire de Toulouse, Dorothée a gravi les échelons d'un monde impitoyable grâce à une discipline inébranlable et une passion débordante.Alors qu'elle approche de la fin de sa carrière, elle nous offre un regard rare sur les défis et les triomphes qui ont jalonné son parcours.Dans cet épisode en deux parties, j'ai eu l'immense plaisir d'échanger avec elle, qui nous ouvre les portes de son univers.Nous avons discuté de ses débuts, marqués par des échecs transformés en moteurs pour avancer, de son entrée dans la prestigieuse école de danse de l'Opéra de Paris, et des sacrifices qu'elle a consentis pour réaliser son rêve.Elle raconte avec sincérité et humilité comment, dès son plus jeune âge, le travail est devenu son allié le plus précieux, prouvant que le talent seul ne suffit pas pour briller au plus haut niveau.Dans la seconde partie, Dorothée se livre sur des sujets plus intimes : la gestion des blessures, le poids de l'héritage artistique et la fin de carrière qui approche.Nous avons parlé de ses rituels quotidiens, de son rapport à la perfection et de cette étrange alchimie qui transforme l'effort colossal des répétitions en une illusion de légèreté sur scène.Elle évoque également des thématiques plus larges, comme l'évolution nécessaire de l'univers du ballet pour devenir plus inclusif, tout en préservant ses traditions.Enfin, au-delà de l'artiste, nous découvrons la mère et la femme qu'est Dorothée.Elle partage son désir de transmettre à sa fille les valeurs du travail et de la curiosité, tout en s'interrogeant sur ce que l'avenir lui réserve après la danse.Une conversation riche et captivante, où se mêlent grâce, humanité et profondeur, qui illustre à merveille la passion et la résilience d'une étoile.Les questions que l'on traite :Comment décrirais-tu ton parcours à travers le prisme de la détermination ?Quels souvenirs gardes-tu de ton premier échec à l'école de danse, et comment as-tu rebondi ?Quel rôle tes parents ont-ils joué dans ton développement artistique et ta réussite ?Quels sacrifices as-tu dû faire pour devenir danseuse étoile ?Comment fais-tu pour transformer les critiques, parfois dures, en moteurs de progrès ?Quels rituels t'aident à gérer le stress avant de monter sur scène ?Comment gères-tu les blessures, autant physiquement qu'émotionnellement ?Quels sont les grands défis liés à l'approche de la fin de ta carrière ?Quelles sont les différences principales entre les écoles de danse française, russe et américaine ?En quoi la danse classique peut-elle encore évoluer pour être plus inclusive et progressiste ?Quels souvenirs te marquent le plus de ta carrière à l'Opéra de Paris ?Comment parviens-tu à équilibrer vie professionnelle et vie familiale, notamment en tant que mère ?Selon toi, quel est l'impact de l'expérience et de l'âge sur la discipline et la performance en danse ?Qu'est-ce qui te motive encore à danser avec passion après tant d'années ?Quels sont les rôles ou moments sur scène qui t'ont le plus marquée ?Que dirais-tu à une jeune fille ou un jeune garçon qui aspire à devenir danseur étoile ?Comment vis-tu le poids et la responsabilité d'être un modèle pour les jeunes générations ?Comment les relations entre danseurs se construisent-elles sur scène et en dehors ?Quelles différences vois-tu entre le travail personnel et la collaboration dans une troupe ?Quels enseignements et valeurs espères-tu transmettre aux nouvelles générations de danseurs ?Timelaps :00:00 – 02:00 : Introduction par Grégory – Présentation de Dorothée et du thème central de l'épisode : la détermination.02:00 – 08:00 : Les débuts de Dorothée : Échec à 11 ans, rebond et entrée à l'école de danse à 12 ans.08:00 – 13:00 : Gérer l'échec par le travail : L'importance des critiques constructives.13:00 – 18:00 : Les sacrifices personnels et familiaux : Le rôle crucial de ses parents.18:00 – 23:00 : Identifier et travailler sur ses défauts : La souplesse, le coup de pied et la beauté du geste.23:00 – 28:00 : Discipline et hygiène de vie d'une danseuse étoile : Alimentation, sommeil et rituels.28:00 – 33:00 : Ce que le public ne voit pas : Efforts en coulisses et collaboration avec les danseurs.33:00 – 38:00 : La gestion mentale et émotionnelle de la fatigue et du dépassement de soi.38:00 – 43:00 : Intégration de la mémoire corporelle dans l'apprentissage des ballets.43:00 – 45:00 : Conclusion et récapitulatif des points évoqués.
Dorothée Gilbert est danseuse étoile de l'Opéra de Paris, un titre prestigieux qu'elle porte avec une élégance et une détermination qui forcent le respect. La détermination, c'est justement le sujet que j'avais envie d'aborder avec Dorothée.Cet épisode est particulier car nous nous connaissons bien avec Dorothée, je vous emmène donc dans une intimité particulière que vous ne retrouverez nulle part.Comme elle me l'a dit elle même "les questions sont différentes", vous allez pouvoir découvrir Dorothée autrement si vous la connaissez déjà.Originaire de Toulouse, Dorothée a gravi les échelons d'un monde impitoyable grâce à une discipline inébranlable et une passion débordante. Alors qu'elle approche de la fin de sa carrière, elle nous offre un regard rare sur les défis et les triomphes qui ont jalonné son parcours.Dans cet épisode en deux parties, j'ai eu l'immense plaisir d'échanger avec elle, qui nous ouvre les portes de son univers. Nous avons discuté de ses débuts, marqués par des échecs transformés en moteurs pour avancer, de son entrée dans la prestigieuse école de danse de l'Opéra de Paris, et des sacrifices qu'elle a consentis pour réaliser son rêve. Elle raconte avec sincérité et humilité comment, dès son plus jeune âge, le travail est devenu son allié le plus précieux, prouvant que le talent seul ne suffit pas pour briller au plus haut niveau.Dans la seconde partie, Dorothée se livre sur des sujets plus intimes : la gestion des blessures, le poids de l'héritage artistique et la fin de carrière qui approche. Nous avons parlé de ses rituels quotidiens, de son rapport à la perfection et de cette étrange alchimie qui transforme l'effort colossal des répétitions en une illusion de légèreté sur scène. Elle évoque également des thématiques plus larges, comme l'évolution nécessaire de l'univers du ballet pour devenir plus inclusif, tout en préservant ses traditions.Enfin, au-delà de l'artiste, nous découvrons la mère et la femme qu'est Dorothée. Elle partage son désir de transmettre à sa fille les valeurs du travail et de la curiosité, tout en s'interrogeant sur ce que l'avenir lui réserve après la danse. Une conversation riche et captivante, où se mêlent grâce, humanité et profondeur, qui illustre à merveille la passion et la résilience d'une étoile.Les questions que l'on traite :Comment décrirais-tu ton parcours à travers le prisme de la détermination ?Quels souvenirs gardes-tu de ton premier échec à l'école de danse, et comment as-tu rebondi ?Quel rôle tes parents ont-ils joué dans ton développement artistique et ta réussite ?Quels sacrifices as-tu dû faire pour devenir danseuse étoile ?Comment fais-tu pour transformer les critiques, parfois dures, en moteurs de progrès ?Quels rituels t'aident à gérer le stress avant de monter sur scène ?Comment gères-tu les blessures, autant physiquement qu'émotionnellement ?Quels sont les grands défis liés à l'approche de la fin de ta carrière ?Quelles sont les différences principales entre les écoles de danse française, russe et américaine ?En quoi la danse classique peut-elle encore évoluer pour être plus inclusive et progressiste ?Quels souvenirs te marquent le plus de ta carrière à l'Opéra de Paris ?Comment parviens-tu à équilibrer vie professionnelle et vie familiale, notamment en tant que mère ?Selon toi, quel est l'impact de l'expérience et de l'âge sur la discipline et la performance en danse ?Qu'est-ce qui te motive encore à danser avec passion après tant d'années ?Quels sont les rôles ou moments sur scène qui t'ont le plus marquée ?Que dirais-tu à une jeune fille ou un jeune garçon qui aspire à devenir danseur étoile ?Comment vis-tu le poids et la responsabilité d'être un modèle pour les jeunes générations ?Comment les relations entre danseurs se construisent-elles sur scène et en dehors ?Quelles différences vois-tu entre le travail personnel et la collaboration dans une troupe ?Quels enseignements et valeurs espères-tu transmettre aux nouvelles générations de danseurs ?Timelaps :00:00 – 02:00 : Introduction par Grégory – Présentation de Dorothée et du thème central de l'épisode : la détermination.02:00 – 08:00 : Les débuts de Dorothée : Échec à 11 ans, rebond et entrée à l'école de danse à 12 ans.08:00 – 13:00 : Gérer l'échec par le travail : L'importance des critiques constructives.13:00 – 18:00 : Les sacrifices personnels et familiaux : Le rôle crucial de ses parents.18:00 – 23:00 : Identifier et travailler sur ses défauts : La souplesse, le coup de pied et la beauté du geste.23:00 – 28:00 : Discipline et hygiène de vie d'une danseuse étoile : Alimentation, sommeil et rituels.28:00 – 33:00 : Ce que le public ne voit pas : Efforts en coulisses et collaboration avec les danseurs.33:00 – 38:00 : La gestion mentale et émotionnelle de la fatigue et du dépassement de soi.38:00 – 43:00 : Intégration de la mémoire corporelle dans l'apprentissage des ballets.43:00 – 45:00 : Conclusion et récapitulatif des points évoqués. Suggestion d'autres épisodes à écouter : #318 La puissance de la vulnérabilité en action avec Melvine Deba (https://audmns.com/NjHrEpV) Vlan #62 Rendre possible l'entrepreneuriat en banlieues populaires avec Moussa Camara (https://audmns.com/cJXTgZH) #330 un navigateur du Vendée Globe nous montre comment faire de la peur une alliée avec Éric Bellion (https://audmns.com/mBEKCDf)
Virginie Girod raconte Robert Surcouf, marin breton devenu le roi des corsaires, dans un récit inédit d'Au cœur de l'Histoire. Originaire de Saint-Malo, Robert Surcouf (1773-1827) vibre pour la mer et sillonne les circuits commerciaux de l'océan Indien, avant de se muer en corsaire redoutable. Alors que la France et l'Angleterre entrent en guerre, il s'illustre par la prise de navires ennemis, dont le Kent, en 1800. Après avoir amassé une fortune considérable, Surcouf regagne la terre ferme où il meurt en 1827.