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À seulement 27 ans, Elsa a fait de la mer sa maison. De l'Alsace aux expéditions polaires, elle nous raconte comment le hasard l'a menée à devenir naturaliste, et pourquoi elle choisit chaque jour l'aventure.Née dans des circonstances improbables, Elsa se décrit comme un « enfant paix ». Originaire d'Alsace, c'est presque par hasard qu'elle découvre la géologie à l'université, une passion qui va peu à peu la mener aux quatre coins du monde.De Berlin à la Suède (où elle n'a jamais vraiment trouvé sa place), du Danemark au Svalbard, en passant par l'Indonésie, Elsa se laisse guider par les opportunités sans jamais forcer le destin. Et c'est finalement lors d'un voyage entre amies en Turquie qu'une rencontre va changer sa vie et l'amener à embarquer avec Ponant en tant que naturaliste, il y a un an.Aujourd'hui, sa maison, c'est le bateau. Elle nous raconte son quotidien à bord, ses coups de cœur comme ses défis, son rapport à l'instabilité et ce besoin grandissant de fonder une famille, même en pleine mer.Un épisode inspirant sur le lâcher-prise, les hasards de la vie et la beauté d'un métier hors du commun.#ExpatLife #FemmesInspirantes #Aventurière #VieEnMer #PodcastVoyage
En France, entre 8 000 et 12 000 marchés forains se tiennent chaque semaine. Avec leurs étals bien garnis et leurs commerçants gouailleurs, ils font vivre les centres de nombreuses villes et villages, leur permettant de résister à la concurrence des zones d'activités commerciales ou à celle de la livraison à domicile. Et les marchés ne permettent pas seulement de s'approvisionner en produits frais, locaux et de saison, ils sont aussi des lieux de rencontre, favorisant le vivre-ensemble et la diversité dans nos villes. Célébrés par les élus et les citadins, les marchés sont pourtant rarement pris en compte dans les projets de revitalisation urbaine, et la mode des «halles gourmandes» ouvertes 6 jours sur 7 menace leur existence. Comment préserver nos marchés ? Comment les penser et les considérer pour qu'ils puissent jouer pleinement leur rôle de revitalisation urbaine, au-delà de leur seule fonction commerçante ? Cette émission est une rediffusion du 19 mai 2025. Avec : • Olivier Razemon, journaliste spécialiste des questions de mobilité et d'urbanisme, auteur de On n'a que du beau ! Le marché, ingrédient d'une société heureuse (Éditions Écosociété, 2025) • Romarick Atoke, architecte béninois, spécialiste des smart cities, président fondateur de l'association AFRIKArchi et ancien responsable Architecture & Design urbain de Sémé City au Bénin. En fin d'émission, le portrait Fawzia Koofi, ex-députée afghane réalisé par Charlie Dupiot. Fawzia Koofi a été l'une des rares femmes députées en Afghanistan. Originaire de la province du Badakhchanau nord-est du pays, elle a grandi à Kaboul. Son père, député, a été tué quand elle avait 3 ans. Plus jeune, elle se rêvait présidente de l'Afghanistan et sa mère lui disait : « Je ne veux pas que tu deviennes présidente, je préfère que tu restes en vie ». Aujourd'hui âgée de 50 ans, Fawzia Koofi publie Lettres à mes sœurs, la voix des afghanes, aux éditions Michel Lafon. Un livre dans lequel elle revient sur son parcours et entend livrer, tant bien que mal, un message d'espoir aux femmes de son pays, elle qui vit désormais en exil au Royaume-Uni. Notre reporter Charlie Dupiot l'a rencontrée à l'occasion de son passage à Paris. Programmation musicale : ► Kijan - Les freres Tima ► Jenipapo Robo – Hyldon.
En France, entre 8 000 et 12 000 marchés forains se tiennent chaque semaine. Avec leurs étals bien garnis et leurs commerçants gouailleurs, ils font vivre les centres de nombreuses villes et villages, leur permettant de résister à la concurrence des zones d'activités commerciales ou à celle de la livraison à domicile. Et les marchés ne permettent pas seulement de s'approvisionner en produits frais, locaux et de saison, ils sont aussi des lieux de rencontre, favorisant le vivre-ensemble et la diversité dans nos villes. Célébrés par les élus et les citadins, les marchés sont pourtant rarement pris en compte dans les projets de revitalisation urbaine, et la mode des «halles gourmandes» ouvertes 6 jours sur 7 menace leur existence. Comment préserver nos marchés ? Comment les penser et les considérer pour qu'ils puissent jouer pleinement leur rôle de revitalisation urbaine, au-delà de leur seule fonction commerçante ? Cette émission est une rediffusion du 19 mai 2025. Avec : • Olivier Razemon, journaliste spécialiste des questions de mobilité et d'urbanisme, auteur de On n'a que du beau ! Le marché, ingrédient d'une société heureuse (Éditions Écosociété, 2025) • Romarick Atoke, architecte béninois, spécialiste des smart cities, président fondateur de l'association AFRIKArchi et ancien responsable Architecture & Design urbain de Sémé City au Bénin. En fin d'émission, le portrait Fawzia Koofi, ex-députée afghane réalisé par Charlie Dupiot. Fawzia Koofi a été l'une des rares femmes députées en Afghanistan. Originaire de la province du Badakhchanau nord-est du pays, elle a grandi à Kaboul. Son père, député, a été tué quand elle avait 3 ans. Plus jeune, elle se rêvait présidente de l'Afghanistan et sa mère lui disait : « Je ne veux pas que tu deviennes présidente, je préfère que tu restes en vie ». Aujourd'hui âgée de 50 ans, Fawzia Koofi publie Lettres à mes sœurs, la voix des afghanes, aux éditions Michel Lafon. Un livre dans lequel elle revient sur son parcours et entend livrer, tant bien que mal, un message d'espoir aux femmes de son pays, elle qui vit désormais en exil au Royaume-Uni. Notre reporter Charlie Dupiot l'a rencontrée à l'occasion de son passage à Paris. Programmation musicale : ► Kijan - Les freres Tima ► Jenipapo Robo – Hyldon.
Originaire de Saint Jean le Vieux, Beñat grandit au sein d'une famille aimante avec ses parents et son grand frère, Mattin.En bon petit Basque, il s'essaie inévitablement à la pelote, mais c'est bien au rugby qu'il s'éclate le plus, d'abord à Garazi, avant de prendre la direction de l'US Dax après sa majorité.Miraculé à la suite d'un grave accident en 2003, il est toutefois éloigné des terrains durant un an et se remet en selle à Peyrehorade où il passera 5 belles saisons. En 2009, il rejoint l'élite amatrice du coté de Tyrosse et devient par la même international Espagnol.Ses excellentes performances avec le Club à la Fougère et Los Leones lui valent l'incroyable opportunité de parapher son premier contrat pro à 30 ans...et pas n'importe où car il s'engage en Top 14 à l'Union Bordeaux Bègles.Après 4 magnifiques saisons en Gironde, il file du coté de Grenoble où l'aventure tourne court. Il revient alors à Tyrosse puis prend sa retraite de joueur pro à Dax, à presque 40 ans !Auteur d'une dernière saison dans les rangs amateurs à Rion-Morcenx, Beñat raccroche définitivement les crampons en 2023 !Aujourd'hui pompier professionnel, il est installé dans les Landes avec sa petite famille.Vous allez l'entendre, Beñat est un personnage aussi simple qu'étonnant : quand on l'écoute, tout parait simple et fluide, presque normal ! Mais c'est un véritable modèle de persévérance qui a su se forger un destin hors du commun.Bonne écoute !-----------------------------
Le Vivant t'intéresse ? Ça tombe bien, nous avons 4 autres podcasts en plus de PPDP ! Clique ici pour retrouver tout notre contenu.___Les Poissons-globes ou -ballons, au sourire si doux et au corps si gonflable, sont de sympathiques célébrités des récifs. Ils font partie de la famille des tétraodontidés. Ce nom vient du grec tetra-odon: “quatres dents”. En effet, ces poissons semblent avoir quatre énormes dents soudées.Cette famille donne son nom à l'ordre des tétraodontiformes de nos épisodes. Cet ordre rassemble pas mal de célébrités des océans : les Balistes (Triggerfish), les Molidés (Poisson-lune), les Diodons (Poissons porc-épic) et les Poissons coffres…Les Poisson-ballons vivent dans les récifs dans les eaux tropicales et subtropicales. Ils y mangent des algues, du zooplancton et des coquillages.Les Poissons-globes sont loin d'être des F1. Avec leur étrange sourire, ils seraient même plutôt très droopy comme lascars. Mais pour se défendre, ils peuvent se gonfler en cas de danger. Ils avalent de l'eau très rapidement. C'est exactement le même principe que la Grenouille qui veut montrer qui c'est Raoul au Bœuf). Dissuasif pour un éventuel prédateur. Une membrane derrière leurs dents leur permet de retenir cette eau dans leur estomac extensible.Les Poissons-globes sont ceinture ET bretelles. La plupart possède une autre arme mortelle : la tétrodotoxine (TTX), un poison foudroyant qui neutralise les organes vitaux des gourmands.Ce poison est très dangereux voire mortel pour l'homme. Au Japon, on paye très cher le frisson : le traditionnel plat à base de Takifugu coûte un bras voire la vie s'il est mal préparé. Il faut des années pour apprendre à le faire. Quelques personnes meurent quand même chaque année… d'une erreur culinaire. Ce poison entraîne la paralysie du diaphragme, la victime ne peut plus respirer et s'étouffe.Parmi les célébrités bien connues des plongeurs, l'Arothron diadematus qui porte un masque noir, comme un Zorro obèse des récifs. Ou encore le Léonard de Vinci de la bande, le Torquigener albomaculosus ou Poisson-ballon bâtisseur. Il a été décrit seulement en 2014, après sa découverte au large du Japon. Son talent pour construire de sublimes rosaces sur le sable a fait de lui une star mondiale. Des vidéos de ce poisson ont fait des centaines de millions de vues sur YouTube. Les mastodontes des Poissons-ballons sont les Arothrons. Tel que l'Arothron stellatus, le Poisson-ballon géant ou Poisson-ballon étoilé. Une “montgolfière” de 1,20m max de long, capable de vous sectionner un doigt avec son bec. Gnac !Dans la famille Ballon, il y a même un invasif, Lagocephalus sceleratus. Il colonise petit à petit la Méditerranée à cause du réchauffement. Originaire de la Mer Rouge, Sceleratus a traversé le canal de Suez (migration lessepsienne).Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
À 27 ans, Antoine Charvolin a signé l'une des plus belles pages de sa jeune carrière en remportant la TDS 2025 (152 km / 9 000 D+), l'une des courses les plus techniques et redoutées de l'UTMB. Parti de Courmayeur lundi à 23h50, il a mené une âpre lutte avant de s'imposer en 18h22, au cœur d'une foule en liesse place du Triangle de l'Amitié à Chamonix.Originaire de Grenoble, ingénieur de formation, Antoine a choisi de se consacrer pleinement au haut niveau après avoir travaillé plusieurs années au sein de l'équipe testing chez On. Athlète discret mais redoutablement efficace, il enchaîne depuis deux saisons les performances de premier plan : victoire à la MaXi-Race (60km) cette année, 5e au Lavaredo Ultra Trail (120 km), 2e au Grand Raid du Ventoux, et désormais ce succès monumental sur la TDS.Dans cet épisode, Antoine revient sur :Sa préparation pour son tout premier 150 km.Les moments clés d'une course longtemps indécise face à des adversaires prestigieux.La gestion de ses émotions, entre lucidité, patience et sérénité.Ce que représente pour lui cette victoire et les enseignements qu'il en tire pour la suite de sa carrière.Un récit inspirant, à l'image d'un coureur qui a choisi de tracer sa voie avec simplicité, exigence et passion, et qui s'installe désormais parmi les références du trail international.Un épisode enregistré à la House of Mountains i-Run x Fraich Touch à Chamonix
LeChairman reçoit l'ancien footballeur Stéphane Dalmat. Originaire de Tours, Stephane voit le jour en 1979. Jeune, il n'avait qu'une seule passion: le football. Considéré dans sa ville comme étant l'un des meilleurs éléments, il a naturellement envoyé sa candidature dans différents clubs et a fini par atterrir à Châteauroux. Son talent l'a rapidement propulsé sur le devant de la scène et c'est naturellement qu'il a fini par rejoindre des plus grosses écuries. Au cours d'une carrière de près de 15 ans, Steph nous livre sa vérité, nous parle de ses embûches et n'hésite pas à distiller de précieux conseils.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
[Première diffusion le 30 avril 2024] Le 23 février 2024, Raphaël Quenard est sacré meilleure révélation masculine lors de la 49e cérémonie des César pour son rôle dans le film « Chien de la casse ». L'acteur de 32 ans était nommé dans trois catégories, un an à peine après s'être fait remarquer par le grand public.Originaire de Gières (Isère), Raphaël Quenard a eu plusieurs vies avant de devenir acteur. Il a notamment suivi une préparation aux écoles militaires, fait des études de chimie, et il a même été assistant parlementaire pour une députée savoyarde pendant quelques mois. En 2016, il déménage à Paris et décide de se lancer dans le cinéma. Il décroche un rôle dans la série « HP », et en mars 2023, il décolle enfin grâce à son rôle dans le film « Je verrai toujours vos visages », dans lequel il joue notamment aux côtés d'Adèle Exarchopoulos.Code source fait le portrait de Raphaël Quenard avec Renaud Baronian, journaliste au service culture du Parisien. Écoutez Code source sur toutes les plates-formes audio : Apple Podcast (iPhone, iPad), Google Podcast (Android), Amazon Music, Podcast Addict ou Castbox, Deezer, Spotify.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Reporter : Ambre Rosala - Production : Clara Garnier-Amouroux, Thibault Lambert, Raphaël Pueyo et Barbara Gouy - Réalisation et mixage : Pierre Chaffanjon - Musiques : François Clos, Audio Network - Archives : Canal +, France Inter. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Rediffusion du 132ème épisode avec Chris Marques, sorti le 20 décembre 2023.Originaire d'Alsace, Chris a grandi dans une famille d'immigrés portugais et espagnols, où il a appris la valeur du travail et l'importance de poursuivre ses passions. Malgré une maladie qui l'a suivi pendant près de dix ans, réduisant son temps utile à une heure et demie par jour, Chris a réussi à s'imposer comme champion du monde de danse et à se forger une carrière dans le monde de la télévision.Dans cette conversation d'1h30, Chris partage son parcours exceptionnel, de ses débuts en danse à son rôle de directeur artistique puis juge dans l'émission "Danse avec les Stars". Il nous révèle comment il a appris à optimiser son temps et son énergie pour atteindre ses objectifs. Chris insiste sur l'importance de la persévérance, de la visualisation mentale et de la capacité à rester debout face aux épreuves. Son histoire est une leçon de résilience et d'innovation, montrant que la passion et le travail acharné peuvent transformer les rêves en réalité
Un policier blessé à Strasbourg après un refus d'obtempérer. Lundi vers 15h30, le conducteur d'une Fiat 500 a percuté un fonctionnaire de police de la Brigade Motorisée Urbaine, en le traînant sur 5 mètres. Lors de l'interpellation, le chauffard était en possession de plusieurs pochons d'herbe de cannabis. Il a aussi été contrôlé positif aux stupéfiants et en défaut de permis de conduire. L'homme a été placé en garde à vue. De son côté, se plaignant de vives douleurs cervicales, le policier s'est vu prescrire 15 jours d'ITT.Des résultats encourageants en matière de sécurité à Colmar. En 2024, les forces de l'ordre ont enregistré 3 383 crimes et délits dans la cité de Bartholdi, contre 3 586 l'année précédente. Ce qui représente une baisse de 5,7 %. En matière de contrôles de vitesse, 13 000 véhicules ont été contrôlés depuis le mois de janvier et 751 infractions ont été relevées, dont 25 entraînant un retrait de permis. 79 PV ont aussi été dressés pour des infractions liées aux cycles et trottinettes. La lutte contre les dépôts sauvages se révèle aussi importante, avec 56 verbalisations depuis le début d'année, accompagnées de la facturation du retrait par la Ville. Un jeune homme de 26 ans en urgence absolue après un accident à Sélestat. Une voiture et un vélo se sont percutés lundi soir, vers 22h, route de Scherwiller. Originaire de Sélestat, le jeune homme a été transporté aux urgences de l'hôpital de Hautepierre.A quelques jours de la rentrée, les parkings de la gare de Sélestat reçoivent un petit coup de jeune. Des travaux d'entretien vont conduire à leur fermeture au courant de cette semaine. Après le parking Est hier, l'accès et le stationnement au parking Sud sont interdits aujourd'hui. Le Parking Ouest sera quant à lui fermé demain et vendredi.Et on termine ce journal par un mot de sport. En handball, dernier match de préparation pour les Violets. Le SAHB affronte ce soir Molsheim. Le coup d'envoi sera donné à 19h au CSI de Sélestat. L'entrée est libre.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans le cadre de notre semaine spéciale de replay [L'envers du verre], (re)écoutez l'épisode [#42 - Quels sont les impacts de notre consommation de thé ? avec Pierre Lebrun].Au niveau mondial, 25 000 tasses de thé sont consommées chaque seconde, soit 2,16 milliards de tasses par jour, ce qui en fait la deuxième boisson la plus consommée au monde, après l'eau. En France, deux tiers de la population en boit régulièrement. Thé vert, blanc ou noir, en sachet ou en vrac, en infusion ou en recette : le thé se décline en goût et en utilisation et se consomme tout au long de la journée.Or, en tant que produit exotique, sa consommation a des impacts aussi bien environnementaux que sociaux. Originaire d'Asie, le thé pousse essentiellement en Chine mais aussi en Inde, au Kenya ou au Sri Lanka. Impact carbone, déforestation, utilisation de pesticides, conditions de travail, surproduction : les enjeux autour de ce produit, consommé quotidiennement, sont nombreux. Est-il encore raisonnable de boire du thé ? Peut-on le consommer de manière écoresponsable ? Pour décrypter les enjeux autour du thé Fanny Giansetto reçoit, dans cet épisode, Pierre Lebrun, fondateur du Parti du thé.
Sujets traités : Un début de vendanges précoce. Annoncé hier par l'Association des Viticulteurs d'Alsace, les vendanges pour le crémant débutent aujourd'hui. Il faudra cependant attendre la semaine prochaine pour le début des récoltes des vins d'appellation d'origine contrôlée dit “vins d'Alsace”. A titre comparatif, en 2024, le crémant a été récolté à partir du 29 août et le 7 septembre pour les AOC, et cette année, la collecte s'annonce petite avec une estimation de 800 000 hectolitres, contre plus de 900 000 d'autres années. Pour rappel, la ligne Alsace vendange est ouverte au 03.89.20.80.75 si vous souhaitez travailler dans les vignes. Des Peugeots 308 rappelés ! L'annonce a été faite sur le site gouvernemental Rappel Conso, en raison d'un problème de ceinture de sécurité du siège arrière, un rappel des véhicules sortis d'usine entre le 12 octobre 2015 et le 1e février 2019 est actuellement en cours à l'échelle européenne. Pour savoir si votre véhicule est concerné, vous pouvez vous renseigner sur le site rappel.conso.gouv.frAlerte à la bombe à l'hôpital Pasteur de Colmar. Il y a 10 jours, l'hôpital colmarien avait été informé via un réseau social d'une bombe dans son enceinte. L'auteur de l'alerte a été interpellé en fin de semaine dernière. Originaire de Mulhouse, l'homme âgé d'une quarantaine d'années est déjà connu des services pour des faits similaires plus anciens. Relâché à l'issue de sa garde à vue, l'homme sera convoqué devant le tribunal pour avoir communiqué une fausse information de destruction, il encourt jusqu'à 2 ans de prison et 30 000€ d'amende.Autre faits divers à Colmar, où une rixe avait éclaté dans un hébergement d'urgence en fin de semaine dernière. Cette dernière opposait deux frères, résidants, face à un homme non résidant. Ce dernier a été blessé à la gorge avec une serpette. Les deux frères ont été mis en examens, l'auteur du coup de serpette pour tentative de meurtre, le second pour violences aggravées. Ils ont également été placés en détention provisoire. Les trois hommes impliqués sont déjà connus des services de police, les jours de la victime ne sont pas comptés. Prudence sur la route. Un employé de la Collectivité européenne d'Alsace a été percuté hier soir alors qu'il travaillait sur le chantier de voirie de la RD 87 aux abords de Beinheim. Heureusement, l'agent de la CEA s'en tire avec des blessures légères et n'a pas nécessité de transport à l'hôpital.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cet épisode, David Ordono reçoit une invitée qu'il espérait depuis longtemps : la cheffe étoilée Georgiana Viou. Figure énergique et inspirante, elle a accepté de prendre le temps de raconter son parcours, avec une sincérité et une énergie rares.Originaire du Bénin, révélée au grand public par l'émission Masterchef, Georgiana a connu un chemin singulier. Elle a appris la cuisine sur le tard, d'abord en autodidacte et elle a dû surmonter de nombreux obstacles avant de trouver sa voie. Aujourd'hui, elle dirige Rouge, son restaurant étoilé à Nîmes, guidée par une passion qui emporte tout et embarque tout le monde sur son passage !Avec son livre Oui cheffe – Du Bénin à l'étoile Michelin, itinéraire d'une battante, elle donne sa version de cette expression : les doutes, les chutes, les remises en question… et bien sûr les renaissances et les victoires.Un récit personnel, intense, tour à tour sombre et lumineux, préparez-vous à découvrir un tempérament et un récit hors du commun. Écartez vous, voici Georgiana Viou.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Originaire du Mali, elle dirige depuis cinq ans un lycée professionnel où se perpétue un art séculaire : celui du verre et du vitrail. En septembre 2020, elle prend la direction du lycée Lucas de Nehou, une école professionnelle et publique du verre et du vitrail en Île-de-France. Elle, c'est Maïmouna N'Daw Traoré, une femme au caractère bien trempé qui sait d'où elle vient et où elle va. Cette Française née au Mali a fait ses études universitaires à la Sorbonne, et quelques années plus tard, c'est dans ce quartier latin qu'elle est de retour pour devenir proviseure. Un poste qu'elle occupe avec fierté. « J'ai toujours su que je serais un jour proviseure », affirme-t-elle. Maïmouna N'daw, ou Mahi Traoré, son nom d'écrivaine, a un rire franc. Je suis noire mais je ne me plains pas, j'aurais pu être une femme est son tout premier roman autobiographique. Et il en dit long aussi sur sa personnalité. « Si on veut savoir où on veut aller, il faut savoir d'où on vient, et c'est pour cela que j'ai toujours voulu être aux commandes. Je suis exactement à la place que je voulais avoir et je suis à la bonne place », avoue-t-elle sans complexe. Enracinée à Paris depuis les années 1990, Mahi Traoré est donc aux commandes du lycée Lucas de Néhou, un établissement professionnel très particulier. Dans ces murs où se perpétue un art séculaire, celui du verre et du vitrail, on ne s'attendrait pas à y voir une Française d'origine malienne : « Moi, je m'attendais à tout de toute façon, parce que j'ai toujours voulu être proviseure, et j'ai toujours travaillé durement, ardemment pour pouvoir le devenir, explique Mahi Traoré. J'ai passé le concours de chef d'établissement trois fois. Je l'ai raté deux fois, mais ça a été deux échecs constructifs. Mais oui, j'ai toujours su que je serais un jour proviseure et à Paris, parce que c'était mon souhait, mon envie. C'est une nomination, on est beaucoup à candidater, et il faut être en capacité d'administrer à la fois une institution scolaire, publique, et républicaine. » À lire aussiLe Journal d'une proviseure de Lycée atypique Rien ne l'arrête. Alors, une Française d'origine malienne proviseure, c'est donc possible ? Absolument. « Je suis noire, donc il y a certaines choses que je ne m'autorise pas, qui ne sont pas possibles. Eh bien moi, je suis la preuve vivante qu'on peut y arriver », lance Maïmouna N'daw Traoré. Et elle est prête à tout pour défendre cette école et ce patrimoine : « Je suis extrêmement opiniâtre. Je ne renonce jamais. Si on me dit non par la porte, je passe par la cave. Si on me dit non par la cave, je passe par la fenêtre. Si on me dit non par la fenêtre, je ferai un trou dans un mur. Je ne lâche jamais rien quand je suis convaincue de ce que je défends. Et moi, je me bats pour mon école, pour mes professeurs, pour mes parents d'élèves, mais encore une fois pour mes élèves, parce que c'est vraiment eux qui me donnent l'énergie. » Un état d'esprit qui a conquis les élèves prêts à s'engager comme elle. Rien n'arrête Madame la proviseure. Elle milite pour revaloriser l'enseignement professionnel en France. Au Mali, elle veut bâtir une école destinée aux jeunes filles – orphelines ou victimes de violences – pour les encourager à concrétiser leurs rêves. À lire aussiCrises multiples: quels impacts sur le bien être des filles et des femmes du Sahel?
Chaque mercredi, du 23 juillet au 13 août, Navigantes vous propose sa série estivale baptisée Un été Figaro. L'occasion d'écouter ou de réécouter quatre épisodes dont les invitées sont des actrices du circuit Figaro Beneteau, dont le grand rendez-vous de la saison, la Solitaire du Figaro Paprec, s'élancera début septembre. Quatrième et dernière invitée : Julie Royer-Coutts. Écoutez-la dans Navigantes #65, enregistré le 11 juin 2025.--Julie Royer-Coutts occupe depuis un an le poste de directrice générale d'OC Sport Pen Duick, un groupe auquel elle est très attachée puisqu'elle y a débuté professionnellement, au moment de sa création.Originaire de Troyes, c'est lors de ses études de commerce international à La Rochelle qu'elle a fait ses gammes en marketing et communication, travaillant sur le projet étudiant de son école pour le Tour de France à la voile.Depuis elle a beaucoup oeuvré à l'étranger, souvent guidée par deux mentors, la regrettée Isabel Genis et Mark Turner. Après la voile, elle a notamment découvert le cyclisme en prenant la direction de la Haute Route, confiant : "L'opérationnel c'est vraiment mon truc, j'ai besoin d'être sur le terrain."Après cette expérience internationale et variée, elle a donc fait son retour à la voile, gérant aujourd'hui les six grandes courses au portefeuille d'OC Sport Pen Duick, dont la Route du Rhum-Destination Guadeloupe. "Tous les jours, je mesure la chance que nous avons de faire ce métier", explique-t-elle.Navigantes est animé par Hélène Cougoule et produit par Tip & Shaft.Rediffusé le 13 août 2025Diffusé le 11 Juin 2025Post production : Grégoire LevillainGénérique : All the summer girlsHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
À première vue, Mo Hailong n'avait rien du profil d'un espion agricole. Originaire du Sichuan, en Chine, docteur en génie mécanique de l'université du Kansas, il s'installe aux États-Unis à la fin des années 90. Après avoir enseigné en Floride, il rejoint DBN, un géant chinois des semences, comme directeur des affaires internationales. Sa mission officielle : développer le marché agricole chinois en acquérant des semences de pointe.Mais en 2011, une scène inattendue change tout. Dans l'Iowa, un agent de sécurité de DuPont Pioneer surprend Mo Hailong en train de creuser près d'un champ expérimental de maïs. L'homme prétend se rendre à une conférence. Sceptique, l'agent note sa plaque d'immatriculation. Quelques semaines plus tard, Mo est repéré près d'un autre champ… celui de Monsanto. Cette fois, le FBI s'en mêle. L'opération “Purple Maze” mobilisera pendant deux ans soixante agents, avec filatures au sol et en avion, GPS, écoutes, drones et analyses de données massives. Les enquêteurs découvrent un réseau d'espionnage économique orchestré depuis la Chine. Objectif : voler des semences hybrides ultraperformantes, fruits de décennies de recherche et d'investissements colossaux.Plus de 100 kilos de maïs, codés et emballés avec soin, sont retrouvés. Leur valeur est stratégique : résistance accrue, rendements exceptionnels… Des atouts qui auraient permis à la Chine de combler rapidement son retard technologique dans l'agriculture. Les graines devaient transiter par Hong Kong avant d'être reproduites à grande échelle. En décembre 2013, Mo Hailong est arrêté. Il sera condamné à trois ans de prison avant d'être expulsé. Pour le FBI, ce vol n'est pas un simple délit commercial : il menace directement la sécurité économique des États-Unis. Cette affaire illustre un fait souvent méconnu : les secrets agricoles peuvent être aussi précieux – et convoités – que les secrets militaires. Dans un monde où l'alimentation est un enjeu stratégique, la bataille pour la graine la plus performante se joue aussi dans l'ombre. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Suite de notre série qui vous emmène à la découverte des délices du continent, ces plats qui font saliver rien qu'à l'évocation de leur nom. Pour le cinquième épisode, nous allons ce matin en Éthiopie. Au menu : le ti'hilo. Originaire de la région du Tigré, ce plat familial n'est pas le plus connu du pays, mais il est de plus en plus populaire. On peut désormais le trouver dans l'intégralité de l'Éthiopie, y compris dans la capitale, Addis-Abeba. De notre correspondante à Addis-Abeba, Au cœur du quartier de Haya Huwlet, le restaurant Kiros détonne. Sur les tables, pas de traditionnel shiro, cette purée de pois cassés dégustée au quotidien par les Éthiopiens. Ici, le ti'hilo est à l'honneur. « On a décidé de faire du ti'hilo car il y a encore peu d'établissements qui proposent ce plat ici », explique Melka, charlotte blanche sur la tête, qui officie en cuisine. Le restaurant fait le bonheur de Bisrat, un client occasionnel est né à Mekelle, mais habite à Addis-Abeba depuis quelques années. « Le ti'hilo est un plat traditionnel, particulièrement dans la région d'Adigrat, dans le Tigré. Mais aujourd'hui, on peut trouver le ti'hilo ici, dans quelques bons restaurants d'Addis. Ce sont devenus des endroits très reconnus », estime-t-il. Les mains plongées dans la farine d'orge qui sert de base aux petites boulettes beiges, l'un des éléments principaux du plat, Melka détaille la recette : « Une fois qu'on a pétri la pâte, on fait le selsi, un mélange d'oignons, de tomates, d'huile et de poivrons. À côté, on prépare le sejo, une purée de pois cassés. Ça, c'est le ti'hilo qu'on fait pendant le jeûne, sans viande. » En salle, le ti'hilo est servi avec une petite touche cérémoniale : une serveuse se charge de confectionner les boulettes et les dépose ensuite sur un grand plateau en métal recouvert d'injira, galette éthiopienne présente à chaque repas. Les clients piquent ensuite les boulettes avec un bâtonnet en bois, avant de les tremper dans le selsi. Une tradition qui réveille à chaque fois, chez Bisrat, un peu de nostalgie. « Manger du ti'hilo, surtout quand je suis à Addis, me rappelle ma région, le Tigré, sa culture et plein d'autres choses. Quand je commence à goûter le ti'hilo, cela me ramène là-bas, chez moi », confie-t-il. En dehors des périodes de jeûne végétarien, très suivi par les chrétiens orthodoxes en Éthiopie, le ti'hilo se déguste aussi avec de la viande de bœuf. À écouter aussiÉthiopie, aux limites de la terre nourricière
Cette semaine LeChair reçoit la créatrice de contenus Sophia Griss Bembe. Originaire de Tours, Sophia voit le jour au milieu des années 80. Bonne élève, elle gravit les échelons sans encombre et c'est à ses 18 ans qu'elle décide de rejoindre Paris. Elle est le fruit d'une union entre une mère marocaine et un papa centrafricain. Ce métissage culturel a provoqué en elle une soif d'apprendre, de se cultiver et d'informer... Des années plus tard, c'est sur les réseaux sociaux sous le pseudonyme de "Maghribantou" qu'elle se fera connaître par le grand public. Ses histoires passionnantes et son goût prononcé pour l'histoire font le plus grand bonheur de son auditoire.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque mercredi, du 23 juillet au 13 août, Navigantes vous propose sa série estivale baptisée Un été Figaro. L'occasion d'écouter ou de réécouter quatre épisodes dont les invitées sont des actrices du circuit Figaro Beneteau, dont le grand rendez-vous de la saison, la Solitaire du Figaro Paprec, s'élancera début septembre. Première invitée : Lola Billy. Écoutez-la dans Navigantes #53, enregistré le 11 décembre 2024.--A 27 ans, Lola Billy vient de remporter le challenge Océane, devenant ainsi la nouvelle skippeuse, à partir de janvier 2025, du Figaro Beneteau Région Bretagne–Crédit Mutuel de Bretagne Océane au côté de Victor Le Pape. Elle succède ainsi à Elodie Bonafous, Chloé Le Bars et Louise Acker, les précédentes lauréates de ce challenge destiné à ouvrir le circuit Figaro à des jeunes navigatrices.Originaire de l'Aber Wrac'h, Lola a hérité de ses parents, tous les deux sportifs de haut niveau, son appétit pour la compétition. "Ils n'étaient pas du tout dans la voile, mais en étant dans ce coin de la Bretagne, nous avons développé un goût pour tous les sports de plein air".Son parcours aurait pu la mener à une préparation olympique, "mais je n'étais pas une barreuse top gun", explique celle qui choisit alors de saisir toutes les opportunités pour naviguer beaucoup et sur tous les supports. Un éclectisme qui lui apporte énormément, et notamment une grande capacité d'adaptation.Lola en aura bien besoin pour s'attaquer à sa première saison en Figaro, un circuit réputé pour son exigence. "Je vais pouvoir mener mon projet pleinement, j'ai hâte, j'ai encore plein de choses à découvrir."Navigantes est animé par Hélène Cougoule et produit par Tip & Shaft.Rediffusé le 23 juillet 2025Diffusé le 11 décembre 2024Post production : Grégoire LevillainGénérique : All the summer girlsHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Depuis près de dix ans, la galerie d'art Addis Fine Art expose les œuvres des artistes éthiopiens, mais aussi de toute l'Afrique de l'Est. Un véritable tremplin pour ces peintres, plasticiens ou encore sculpteurs qui, grâce à la galerie, bénéficient d'une visibilité internationale. Mesai Haileleul déambule dans la vaste salle de sa galerie d'art. Sur les murs immaculés sont accrochées les toiles de l'artiste éthiopien Dereje Demissie, l'exposition du moment. Durant près de 30 ans, c'est à Los Angeles que Mesai Haileleul exerçait son métier de galeriste. Et c'est aux États-Unis, aussi, qu'il a pris conscience du manque de représentativité des artistes éthiopiens à l'international. « La présence des artistes éthiopiens dans les foires artistiques ou les institutions était très très faible. Et on avait remarqué que les galeries locales, aussi bien qu'elles soient, ne permettaient pas vraiment de se faire connaître en dehors de l'Éthiopie. On a réalisé qu'il manquait un lien, alors qu'il y a des artistes de talent ici. Ailleurs sur le continent, beaucoup d'artistes ont des galeries qui travaillent avec l'étranger. Alors, on s'est dit "ce sera peut-être une première, mais on doit se lancer" », explique-t-il. « On croit beaucoup au potentiel des artistes éthiopiens » En 2016, Mesai Haileleul rentre en Éthiopie et fonde Addis Fine Art avec sa collaboratrice Rakeb Sile. « L'idée est de créer un pont entre ici et le marché international. Car on croit beaucoup au potentiel des artistes éthiopiens. Leur travail mérite d'être vu par le plus grand nombre. Nous voulons qu'ils prennent part à ce qu'il se passe dans le monde de l'art en dehors de l'Éthiopie. C'est ça qui est derrière Addis Fine Art Gallery », dit-il. Tizta Berhanu fait partie des artistes promues par la galerie. La jeune femme de 34 ans peint ses œuvres dans le sous-sol de sa maison, à Addis-Abeba. « J'ai toujours voulu être une artiste. C‘était mon rêve d'enfance. Pour moi ce n'est pas naturel d'exprimer mes pensées et mes émotions avec des mots. Je préfère le faire par la peinture », raconte-t-elle. Mettre en lumière des artistes de toute l'Afrique de l'Est Devant une toile plus grande qu'elle, représentant un petit groupe de femmes, Tizta Berhanu reconnaît que vivre de son art est quasiment impossible en Éthiopie. « Avant que je rencontre Addis Fine Art, je travaillais de manière indépendante. Pour être honnête, c'était difficile. Car je vendais mes œuvres ici en Éthiopie, à des particuliers. Mais je n'avais pas cette connexion avec le marché international. Les galeries d'art comme celles-ci sont très importantes, car la plupart des artistes ne savent faire que peindre, ils ne savent pas comment faire leur publicité et promouvoir leur travail ». Dès ses débuts, Addis Fine Art a également mis un point d'honneur à mettre en lumière des artistes de toute l'Afrique de l'Est, comme Amel Bashier. Originaire du Soudan, elle vit aujourd'hui en exil en France. « Au Soudan et ici, j'arrivais à vendre mes œuvres. Mais je sens que j'ai franchi une étape avec Addis Fine Art. J'ai plus de succès maintenant. Ils mettent en valeur les artistes et leur travail ». En dix ans, 50 artistes au total ont été exposés dans la galerie d'Addis Fine Art.
« La nudité, c'est une question de présence à soi, aux sensations. Dans notre monde moderne, on est coupés de nos sensations corporelles. Le naturisme permet de se reconnecter à soi, à cette grande intensité du moment présent »Originaire de Toulon, Brigite a découvert l'île du Levant il y a 25 ans en vacances avec son mari. Ils séjournent alors à l'hôtel restaurant Le Ponant. En 2004, ils acquièrent un terrain sur l'île où ils construisent leur maison qui sera achevée en 2010. Brigite vit depuis maintenant 3 ans à l'année sur l'île, date à laquelle elle a été élue en tant que présidente de l'Association Syndicale Libre (l'ASL), mandat qui venait d'être renouvelé quand je l'ai interviewée. Depuis, Brigite a quitté ses fonctions à la présidence de l'ASL mais elle reste investie dans la vie de l'île. Avec Brigite on a parlé des missions de l'Association Syndicale Libre, de la gestion de l'eau et des déchets sur l'île, des enjeux immobiliers, de vibrations, de vulnérabilité, de présence à soi et de sensations…L'article complet et toutes les notes et références citées dans l'épisode sont à retrouver sur https://fragileporquerolles.com/brigite-gelman/Support the show Me suivre sur instagram : https://www.instagram.com/fragile_porquerolles/ Me soutenir sur Tipeee : https://fr.tipeee.com/fragile-porquerolles-1 Vous pouvez me laisser des étoiles et un avis sur Apple Podcasts et Spotify, ça aide ! Si vous souhaitez m'envoyer un mail: fragileporquerolles@gmail.com
durée : 00:03:55 - Comme personne - Imane Ayissi présentait lundi 7 juillet sa 12e collection en tant que maison haute couture. Premier et unique couturier subsaharien à avoir décroché cette distinction, il met aujourd'hui en avant la richesse des matériaux africains au travers de ses créations.
durée : 00:03:55 - Comme personne - Imane Ayissi présentait lundi 7 juillet sa 12e collection en tant que maison haute couture. Premier et unique couturier subsaharien à avoir décroché cette distinction, il met aujourd'hui en avant la richesse des matériaux africains au travers de ses créations.
Dans cet épisode, Amal Madibbo, membre du CREFO, rencontre Sandra Kemzang, étudiante en droit à l'Université d'Ottawa.Sandra Kemzang est une étudiante de première année en droit à la Section de common law en français de l'Université d'Ottawa, inscrite dans le programme combiné JD-BSc.Soc avec une spécialisation en science politique. Originaire du Cameroun, elle a grandi dans une région francophone où elle a su cultiver un profond attachement à sa culture d'origine. Déjà au secondaire, elle s'était démarquée en tant que major de promotion et lauréate du Prix du leadership, une reconnaissance de son engagement exceptionnel. Aujourd'hui, elle poursuit son parcours en alliant excellence académique et implication communautaire. Représentante de sa cohorte 1L au sein du Regroupement étudiant de common law en français (RÉCLEF), mentor en chef au Centre de mentorat régional, et vice-présidente aux communications de Jeunesse Yemba — un organisme valorisant la culture camerounaise — Sandra incarne un leadership enraciné dans la culture et le service à la communauté. Elle conçoit le droit comme un levier d'équité, une manière de comprendre et de transformer les règles du jeu social pour mieux défendre les droits de chacun. Par son travail au RÉCLEF, elle milite pour un meilleur accès à la justice en français et souhaite contribuer à renforcer l'offre de services juridiques dans les deux langues officielles. Engagée, rigoureuse et profondément ancrée dans ses valeurs, elle œuvre aussi à rendre la profession juridique plus inclusive en encourageant les jeunes femmes noires et les étudiants francophones à poursuivre des études en droit. Résolument tournée vers l'avenir, Sandra Kemzang représente une voix forte pour un droit plus juste, plus accessible et plus représentatif de la diversité canadienne.
Ils sont 600 millions dans le monde et sont les stars de vidéos sur internet. Les chats, ces petites boules de poils moustachues, dont les propriétaires sont accros, occupent le top 1 des animaux préférés des Français. Originaire du nord de l'Afrique, du Proche-Orient et d'Anatolie, le chat domestique a traversé les siècles pour se prélasser sur les canapés et gagner son statut de membre de la famille. Mais qu'en est-il sur d'autres continents où les animaux domestiques passent rarement le seuil des maisons ? Si le chat est aujourd'hui choyé en Occident, les humains ne vont-ils pas trop loin dans leur attachement ? Entre les déguisements douteux dont ils sont accoutrés, les bars à chat ou les croisements entre races, nos animaux de compagnie préférés subissent aussi les excentricités humaines. Cette émission est une rediffusion du 22/09/2023. Avec : Jérôme Attal, écrivain, compositeur et interprète. Auteur de Petit éloge des chats (Éditions Les Pérégrines, 2023) Éric Baratay, historien et professeur de l'Université Jean-Moulin de Lyon, spécialiste de l'histoire de l'animal, auteur notamment de Cultures félines (XVIIIè-XXIè siècle) : Les chats créent leur histoire (Seuil, 2021) Anne Andlauer, correspondante de RFI en Turquie, nous parle d'Istanbul, surnommée la ville des chats. En fin d'émission, un reportage de Charlie Dupiot à Beyrouth au Liban. C'est un lieu à part dans lequel nous emmène notre reporter. Au cœur d' «Aaliyah's Books», une librairie indépendante où se retrouve depuis 2016 une partie de la jeunesse de la capitale. À l'origine, deux amis passionnés de littérature et installés au Liban : William Dobson, Britannique, et Niamh, Fleming Farrell, Irlandaise. 7 ans après l'ouverture, dans ce café-bar-librairie, l'équipe est à l'image de la population libanaise.
Ils sont 600 millions dans le monde et sont les stars de vidéos sur internet. Les chats, ces petites boules de poils moustachues, dont les propriétaires sont accros, occupent le top 1 des animaux préférés des Français. Originaire du nord de l'Afrique, du Proche-Orient et d'Anatolie, le chat domestique a traversé les siècles pour se prélasser sur les canapés et gagner son statut de membre de la famille. Mais qu'en est-il sur d'autres continents où les animaux domestiques passent rarement le seuil des maisons ? Si le chat est aujourd'hui choyé en Occident, les humains ne vont-ils pas trop loin dans leur attachement ? Entre les déguisements douteux dont ils sont accoutrés, les bars à chat ou les croisements entre races, nos animaux de compagnie préférés subissent aussi les excentricités humaines. Cette émission est une rediffusion du 22/09/2023. Avec : Jérôme Attal, écrivain, compositeur et interprète. Auteur de Petit éloge des chats (Éditions Les Pérégrines, 2023) Éric Baratay, historien et professeur de l'Université Jean-Moulin de Lyon, spécialiste de l'histoire de l'animal, auteur notamment de Cultures félines (XVIIIè-XXIè siècle) : Les chats créent leur histoire (Seuil, 2021) Anne Andlauer, correspondante de RFI en Turquie, nous parle d'Istanbul, surnommée la ville des chats. En fin d'émission, un reportage de Charlie Dupiot à Beyrouth au Liban. C'est un lieu à part dans lequel nous emmène notre reporter. Au cœur d' «Aaliyah's Books», une librairie indépendante où se retrouve depuis 2016 une partie de la jeunesse de la capitale. À l'origine, deux amis passionnés de littérature et installés au Liban : William Dobson, Britannique, et Niamh, Fleming Farrell, Irlandaise. 7 ans après l'ouverture, dans ce café-bar-librairie, l'équipe est à l'image de la population libanaise.
Originaire de la Réunion, Loup arrive en métropole pour ses études. S'interrogeant sur son identité de genre, iel découvre le milieu queer et matche avec des filles et des garçons sur une app… Jusqu'à LA rencontre avec Johann, ce garçon déjà croisé à la supérette où iel travaille. Mais très vite une épreuve vient bouleverser leur histoire naissante. Leur relation en ressortira-t-elle plus forte ? Et si cette rencontre redéfinissait sa vision de l'amour ?
Dans cet épisode, Fabrice Lafitte nous plonge dans l'univers du groupe Imagine Dragons et de leur titre à succès 'Believer'. Originaire de Las Vegas, le chanteur Dan Reynolds s'inspire de sa propre lutte contre la dépression et une maladie chronique pour créer cette chanson puissante. Découvrez les coulisses de la création de ce tube mondial, de sa percée lors du Super Bowl à sa performance vocale impressionnante. Un épisode captivant qui révèle les secrets derrière le succès d'Imagine Dragons.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Amad Diallo, le nouveau joyau de Manchester United, a traversé un parcours semé d'embûches avant de briller sur les terrains de football. Originaire de Côte d'Ivoire, il a failli tomber dans un terrible piège lié au trafic de joueurs mineurs en Afrique. C'est grâce à l'intervention de Didier Drogba et à son amour inébranlable pour le football que ce jeune talent a échappé au pire. Un véritable coup de chance, mais aussi le fruit d'une détermination sans faille.Pour plus d'anecdotes sur tes joueurs préférés abonne-toi à Colinterview !Aujourd'hui, Amad Diallo éclaire l'Old Trafford de ses performances impressionnantes avec Manchester United. Après avoir surmonté les épreuves de sa jeunesse, il continue de prouver que son potentiel n'a pas de limites. L'histoire d'Amad, digne d'un film, est un exemple inspirant de résilience, de courage et de talent pur. Découvrez son incroyable parcours et ses exploits sur le terrain dans cet épisode spécial de Colinterview.
Après les lourdes pertes dues au Covid-19, le tourisme mondial a retrouvé des niveaux records partout dans le monde. Cette croissance exponentielle suscite des interrogations : comment attirer les visiteurs sans dénaturer les lieux et en maîtrisant les impacts environnementaux ? Quelles stratégies pour les professionnels et les pouvoirs publics ? Quels nouveaux outils pour mieux raconter un territoire et séduire les voyageurs ?
Après les lourdes pertes dues au Covid-19, le tourisme mondial a retrouvé des niveaux records partout dans le monde. Cette croissance exponentielle suscite des interrogations : comment attirer les visiteurs sans dénaturer les lieux et en maîtrisant les impacts environnementaux ? Quelles stratégies pour les professionnels et les pouvoirs publics ? Quels nouveaux outils pour mieux raconter un territoire et séduire les voyageurs ?
Originaire de Suède, le SNUS est un type de tabac également très consommé en Norvège et aux États-Unis. Près d'1 million de personnes en consommerait régulièrement selon les autorités suédoises. Illégal en France depuis 1992, le SNUS circule aussi dans l'hexagone. Il a notamment été popularisé par Marcus Thuram, joueur de l'équipe de France de football, qui s'est affiché avec un sachet de SNUS dans l'avion l'emmenant au Qatar le 17 novembre 2022. Que veut dire Snus ? Pourquoi est-il si populaire chez les jeunes ? Le Snus est-il une drogue ? Écoutez la suite de cet épisode de "Maintenant vous savez". Un podcast Bababam Originals, écrit et réalisé par Samuel Lumbroso. À écouter aussi : Qu'est-ce que le Buddha blue, la nouvelle drogue qui fait ravage chez les jeunes ? Qu'est-ce que la 3MMC, cette drogue de synthèse de plus en plus consommée ? Gaz hilarant : quelle est cette mode qui fait des ravages chez les jeunes ? Date de première publication : 10 avril 2023 Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez". Suivez Bababam sur Instagram. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Rendez-vous avec l'un des plus grands chanteurs de reggae africains Takana Zion à l'occasion de son Olympia de Paris du samedi 14 juin 2025. Originaire de Conakry, cet artiste a su imposer sa voix reconnaissable entre mille à travers le monde entier. Reconnu pour ses messages de paix, il fédère en chantant en anglais, français, peul, malenke et sousou. Dans cet épisode, Black M et Tiwony offrent les vidéos surprises.
Julie Royer-Coutts occupe depuis un an le poste de directrice générale d'OC Sport Pen Duick, un groupe auquel elle est très attachée puisqu'elle y a débuté professionnellement, au moment de sa création.Originaire de Troyes, c'est lors de ses études de commerce international à La Rochelle qu'elle a fait ses gammes en marketing et communication, travaillant sur le projet étudiant de son école pour le Tour de France à la voile.Depuis elle a beaucoup oeuvré à l'étranger, souvent guidée par deux mentors, la regrettée Isabel Genis et Mark Turner. Après la voile, elle a notamment découvert le cyclisme en prenant la direction de la Haute Route, confiant : "L'opérationnel c'est vraiment mon truc, j'ai besoin d'être sur le terrain."Après cette expérience internationale et variée, elle a donc fait son retour à la voile, gérant aujourd'hui les six grandes courses au portefeuille d'OC Sport Pen Duick, dont la Route du Rhum-Destination Guadeloupe. "Tous les jours, je mesure la chance que nous avons de faire ce métier", explique-t-elle.Diffusé le 11 Juin 2025Post production : Grégoire LevillainGénérique : All the summer girlsHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pourquoi est-on si attachés à la Bretagne ? Comment se passe la vie d'agriculteur sur une île bretonne ? On vous emmène à Ouessant, à la rencontre de Thomas et Marie Richaud, agriculteurs et producteurs laitiers sur l'île. Originaire de la Drôme, Thomas nous raconte l'installation de sa ferme familiale sur l'île, son quotidien d'éleveur, et ses lieux préférés en Bretagne. Prêts à découvrir l'agriculture à la bretonne ? On vous emmène avec nous ! Demi-sel est un podcast proposé par la Région Bretagne. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pourquoi est-on si attachés à la Bretagne ? Comment la Bretagne peut devenir une source d'inspiration ? On vous emmène à la rencontre de Gwénola Morizur, autrice et scénariste de bandes dessinées, installée à Iffendic, aux portes de la forêt de Brocéliande. Originaire du Finistère, Gwénola nous raconte son parcours, de son enfance dans le Finistère à sa vie d'artiste en pleine nature. Elle partage avec nous ce qui l'inspire au quotidien (l'enfance, la nature, la culture...) et ses lieux préférés en Bretagne. Prêts à découvrir l'inspiration à la bretonne ? On vous emmène avec nous ! Demi-sel est un podcast proposé par la Région Bretagne. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pourquoi est-on si attachés à la Bretagne ? Comment peut-elle devenir une terre d'accueil ? Pour répondre à ces questions, on vous emmène à Saint-Brieuc pour faire la rencontre de Williams Kemadjou, qui a construit sa vie en Bretagne et a noué de fortes amitiés. Originaire du Cameroun, il nous raconte son parcours, de son enfance en Afrique à son arrivée en France, à l'âge de 16 ans. Williams a trouvé en Bretagne une terre d'accueil, et surtout une famille de cœur, avec Françoise qui l'a accueilli chez elle. Il partage avec nous son histoire (l'exil, les rencontres, sa participation à la compétition des métiers…) et ses lieux préférés en Bretagne. Prêts à découvrir son parcours inspirant ? On vous emmène avec nous ! Demi-sel est un podcast proposé par la Région Bretagne. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pourquoi est-on si attachés à la Bretagne ? Comment peut-elle devenir un terrain d'aventure pour les sportifs ? Pour répondre à ces questions, on vous emmène à Kervignac, à la rencontre de Warren Barguil, cycliste professionnel, vainqueur de deux étapes et meilleur grimpeur sur le Tour de France 2017. Originaire du Morbihan et breton « pur beurre », Warren partage avec nous ses souvenirs, des premiers coups de pédales sur les routes bretonnes aux victoires sur les grandes courses cyclistes. Il nous parle de sa famille, de ses lieux préférés en Bretagne, de sa carrière de sportif, du Tour de France et de ses projets. Prêts à découvrir le cyclisme à la bretonne ? On vous emmène avec nous ! Demi-sel est un podcast proposé par la Région Bretagne. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pourquoi est-on si attachés à la Bretagne ? Comment peut-elle devenir un lieu de rencontres, de solidarité et de partage ?On vous emmène au cœur du quartier Gumenen à Auray, à la rencontre de Josiane Ndiaye, présidente du Lieu-Dit, une association qui tisse du lien à travers des ateliers intergénérationnels et interculturels.Originaire du Niger, Josiane nous parle de ses racines touarègues et bretonnes, de ses « mille vies », de sa volonté d'aider les autres au quotidien et de ses lieux préférés en Bretagne. Prêts à découvrir la solidarité à la bretonne ? On vous emmène avec nous !Demi-sel est un podcast proposé par la Région Bretagne. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
ll n'est jamais trop tard pour commencer à jardiner.Dans cet épisode de Basilic, Jeane reçoit Pierre le Cultivateur, passionné de jardinage devenu l'un des vulgarisateurs les plus suivis sur les réseaux sociaux. Originaire de Lille et aujourd'hui installé en Normandie, Pierre cultive un potager de 200m², une forêt comestible, des haies fruitières et une passion contagieuse pour le monde vivant.Pierre partage ses conseils pour démarrer facilement un potager : choisir les bonnes graines, pailler intelligemment et cultiver en ville comme à la campagne. L'épisode est aussi l'occasion de parler de transmission, d'écologie concrète et de l'impact positif que peut avoir le jardinage sur notre bien-être mental.Que vous ayez un grand jardin ou un simple rebord de fenêtre, cet épisode vous donnera sûrement envie de semer, de tester et de vous reconnecter au vivant.Un grand merci à l'Académie du climat d'avoir rendu possible cet enregistrement de podcast.Ressources et initiatives évoquées dans l'épisode :Pierre Le Cultivateur : https://www.youtube.com/@lecultivateurSes ouvrages : https://lecultivateur.fr/collections/allMerci pour votre écoute ! Pour soutenir le podcast, n'hésitez pas à laisser un commentaire, partager l'épisode, ou vous abonner à Basilic sur votre plateforme préférée.Soutenir Basilic :instagram.com/basilicpodcast/ basilicpodcast.comProduction : Jeane ClesseMusique : @KleinGraphisme : Mahaut Clément & Coralie ChauvinMix : Jeane ClesseSi cet épisode vous a plu, n'hésitez pas à laisser plein d'étoiles et un commentaire sur la plateforme Apple Podcasts et surtout à vous abonner grâce à votre application de podcasts préférée ! Cela m'aide énormément à faire découvrir Basilic à de nouveaux auditeurs et de nouvelles auditrices.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Entrepreneur social, Anthony Babkine est cofondateur et délégué général de Diversidays, association nationale d'égalité des chances qui œuvre en faveur des talents sous-représentés dans l'emploi et l'entrepreneuriat dans la Tech.Originaire d'Evry-Courcouronnes dans l'Essonne, il connaît l'échec scolaire avant d'être épaulé par sa famille, sa ville et d'association d'égalité des chances.Nommé Directeur Général adjoint de l'agence TBWACorporate en charge du numérique à l'âge de 30 ans, il constate rapidement le manque de diversité dans les métiers du numérique et cofonde avec Mounira Hamdi, l'association Diversidays en 2017. Sa vocation : faire du numérique l'ascenseur social du 21ème siècle et permettre à tous de profiter des opportunités qu'il offre en accompagnant les talents de la diversité vers les métiers et l'entrepreneuriat Tech et numérique.En 8 ans, son association a accéléré plus de 500 entrepreneurs à impact et tech sous-représentés du secteur et plus de 15 000 personnes sous-représentés ou discriminées dans la Tech dans leurs reconversions professionnelles. Plus de 70 entreprises privées et publiques soutiennent les actions de Diversidays.En 2022, Anthony rejoint la nouvelle promotion des leaders européens de la Fondation Obama et arrive en tête du classement des 35 jeunes leaders positifs de - de 35 ans, dressé par Les Echos et Positiv et rejoint le TOP 100 des leaders économiques de l'Institut Choiseul.En 2023, Anthony fait partie des 7 leaders à suivre dans le monde d'après par Google.org et des 100 personnalités qui ont marqué la décennie d'après le Magazine EcoRéseaux.En parallèle de son activité associative, Il lance également son podcast “Prends ta place”, qui vise à valoriser des modèles inspirants, qui ont pris leur place dans la société, malgré les obstacles. En 2024, ce rendez-vous cumule + de 12 000 000 vues de par an.Soutenez ce podcast http://supporter.acast.com/happy-work. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Mon invitée d'aujourd'hui a un parcours fascinant au Club Med, qui s'étend sur plusieurs décennies. Elle a rejoint l'entreprise en 1992 en tant que costumière et y a travaillé jusqu'en 1994. Vingt-trois ans plus tard, elle est revenue au Club Med, cette fois en tant que responsable des excursions à Columbus Isle en 2017. Sa toute première saison s'est déroulée au Club Med de Sainte-Lucie, où elle a vécu l'expérience inoubliable d'habiller nul autre que le légendaire guitariste de Queen, Sir Brian May, pour le spectacle G.M., sans même savoir qui il était à l'époque ! Elle a étudié la scénographie, la conception de costumes et l'éclairage au Collège Lionel-Groulx, et c'est une simple annonce dans un journal avec un numéro 1-800 qui l'a mise sur cette voie incroyable. Originaire de Joliette, au Québec, nous vous invitons à accueillir chaleureusement Izzy Chartier! Dans cet épisode, nous nous plongeons dans tous les détails du parcours d'Izzy au Club Med - de ses saisons mémorables à ses rencontres avec des célébrités, en passant par la transition de l'animation aux excursions après une pause de vingt-trois ans. Elle nous fait également part de ce qui lui manque le plus au Club Med. Tout cela et bien d'autres choses encore vous attendent - il vous suffit d'appuyer sur le bouton « play »! Installez-vous confortablement, détendez-vous et profitez de ce merveilleux voyage dans le passé avec Izzy! **Le podcast My First Season a toujours été gratuit et sans publicité et peut être téléchargé sur: Apple Podcasts, Google Podcasts, Samsung Podcasts, Podbean App, Podchaser, Spotify, Amazon Music/Audible, TuneIn + Alexa, iHeartRadio, PlayerFM, Pandora et Listen Notes. Et si vous aimez ce que vous entendez, n'hésitez pas à laisser un commentaire sur les podcasts Apple.
En France, entre 8 000 et 12 000 marchés forains se tiennent chaque semaine. Avec leurs étals bien garnis et leurs commerçants gouailleurs, ils font vivre les centres de nombreuses villes et villages, leur permettant de résister à la concurrence des zones d'activités commerciales ou à celle de la livraison à domicile. Et les marchés ne permettent pas seulement de s'approvisionner en produits frais, locaux et de saison, ils sont aussi des lieux de rencontre, favorisant le vivre-ensemble et la diversité dans nos villes. Célébrés par les élus et les citadins, les marchés sont pourtant rarement pris en compte dans les projets de revitalisation urbaine, et la mode des «halles gourmandes» ouvertes 6 jours sur 7 menace leur existence. Comment préserver nos marchés ? Comment les penser et les considérer pour qu'ils puissent jouer pleinement leur rôle de revitalisation urbaine, au-delà de leur seule fonction commerçante ? Avec :• Olivier Razemon, journaliste spécialiste des questions de mobilité et d'urbanisme, auteur de On n'a que du beau ! Le marché, ingrédient d'une société heureuse (Éditions Écosociété, 2025)• Romarick Atoke, architecte béninois, spécialiste des smart cities, président fondateur de l'association AFRIKArchi et ancien responsable Architecture & Design urbain de Sémé City au Bénin. En fin d'émission, le portrait Fawzia Koofi, ex-députée afghane réalisé par Charlie Dupiot.Fawzia Koofi a été l'une des rares femmes députées en Afghanistan. Originaire de la province du Badakhchanau nord-est du pays, elle a grandi à Kaboul. Son père, député, a été tué quand elle avait 3 ans. Plus jeune, elle se rêvait présidente de l'Afghanistan et sa mère lui disait : « Je ne veux pas que tu deviennes présidente, je préfère que tu restes en vie ». Aujourd'hui âgée de 50 ans, Fawzia Koofi publie Lettres à mes sœurs, la voix des afghanes, aux éditions Michel Lafon. Un livre dans lequel elle revient sur son parcours et entend livrer, tant bien que mal, un message d'espoir aux femmes de son pays, elle qui vit désormais en exil au Royaume-Uni. Notre reporter Charlie Dupiot l'a rencontrée à l'occasion de son passage à Paris. Programmation musicale :► Kijan - Les freres Tima► Jenipapo Robo – Hyldon
Dans cet épisode, on plonge dans l'histoire incroyable de Dorian Ciavarella, un entrepreneur serial, discret mais redoutablement efficace.Originaire de Forbach, dans l'Est de la France, Dorian se lance à 20 ans en créant sa première boîte... pendant un stage. Une ceinture de pantalon capable de résister à 2 200 kg. Pas banal. Mais ce n'est qu'un début.À 25 ans, il fonde Hivency, la première plateforme au monde à connecter les marques et les instagrammeurs. En 5 ans : 130 salariés, 6,5 M€ levés, une revente à un fonds américain pour plusieurs dizaines de millions. Ironie du sort ? Il n'est même pas fan des réseaux sociaux.À 31 ans, le jour de la vente, il se retrouve face à la question qui change une vie : "Et maintenant ?". Plus besoin de travailler. Et pourtant, il décide de remonter sur le ring.Il crée Zeliq, une solution de prospection B2B pensée pour les commerciaux. Une plateforme tout-en-un qui combine :De la data ultra enrichie (450 millions de contacts pro avec emails, téléphones, etc.)Une orchestration multicanale de la prospection
C dans l'air du 24 avril 2025 - Affaire Bétharram : scandales en sérieC'est un livre choc qui parait ce jeudi. Dans Le silence de Bétharram, Alain Esquerre dépeint le système de violences mis en place au sein de l'institution catholique privée pendant des décennies. Avec la journaliste Clémence Badault, ils ont rassemblé les témoignages de dizaines de victimes qui décrivent les sévices physiques et sexuelles subis pendant leur scolarité dans l'établissement. A ce jour, plus de 200 plaintes ont été déposées contre l'institution béarnaise après un an et demi de combat pour faire éclater la vérité.Parmi ces témoignages, figure celui de la fille du Premier ministre François Bayrou, Hélène Perlant. Elle révèle avoir été victime, adolescente, de violences lors d'un camp d'été organisé par la congrégation à laquelle appartient l'établissement privé catholique au cœur du scandale. "Je voulais me faire recenser comme victime, une victime parmi d'autres et fille du Premier ministre", a-t-elle déclaré sur France Inter. Hélène Perlant assure que son père François Bayrou "ne savait pas" les violences dont elle a été victime. "J'ai été obligée de lui dire parce que Le Canard enchaîné l'a contacté. On avait l'intention de ne pas le dire", a-t-elle poursuivi."En tant que père de famille, ça me poignarde le cœur (…). Qu'on ne l'ait pas su et que des dérives de cet ordre aient eu lieu, pour moi, c'est presque insupportable", a répondu le Premier ministre. François Bayrou a également affirmé que sa fille ne lui avait "jamais parlé" de violences. Toutefois, "elle n'est pas le centre de l'affaire" et "ce n'est pas une affaire personnelle", selon lui. "En tant que responsable public (…), c'est aux victimes que je pense" et "je ne veux pas les abandonner", a-t-il déclaré. François Bayrou doit être entendu le 14 mai par la commission d'enquête parlementaire née du scandale de Bétharram. "Je ne dis depuis le premier jour que ce que je sais de cette affaire, que la vérité de ce que je découvre, et je n'ai, de ce point de vue-là, aucun problème à répondre", a dit le Premier ministre, interrogé sur cette convocation. Plus tôt dans le mois, un ancien gendarme et un ancien juge qui ont enquêté sur la première plainte pour viol ayant visé un religieux de cet établissement scolaire catholique ont fait savoir que François Bayrou était intervenu dans cette affaire. Des propos démentis par le Premier ministre. Originaire de la région, l'actuel maire de Pau et ancien député et président du conseil départemental des Pyrénées-Atlantiques, ex-ministre de l'Éducation nationale entre 1993 et 1997, nie plus largement avoir eu connaissance, dans le passé, des violences qui se déroulaient dans l'établissement.Nos journalistes ont recueilli le témoignage de plusieurs victimes de Bétharram. Ils ont également interviewé le juge Edouard Durand, magistrat spécialiste du droit des enfants, ancien président de la Ciivise qui continue à incarner la lutte contre les violences sexuelles sur mineurs. LES EXPERTS : - Christophe BARBIER - Éditorialiste politique, conseiller de la rédaction - Franc-Tireur - Audrey GOUTARD - Grand reporter - France Télévisions, spécialiste des faits de société- Solène PODEVIN-FAVRE - Membre du collège directeur de la CIIVISe – Commission Indépendante sur l'Inceste et les Violences Sexuelles faites aux Enfants - Antton ROUGET - Journaliste – Médiapart
Avec plus de 9 millions d'abonnés sur le réseau social Snapchat, Nasser Sari, alias Nasdas, est une des personnalités les plus suivies en France, particulièrement chez les jeunes. Originaire d'un des quartiers les plus pauvres de France à Perpignan (Pyrénées-Orientales), l'influenceur de 28 ans se dit aujourd'hui millionnaire grâce à des vidéos diffusées sur Snapchat et sur Twitch, dans lesquelles il montre la vie de son quartier, et le quotidien de jeunes très vulnérables qu'il loge dans une villa pour les filmer.Nasdas est régulièrement la cible de critiques : il n'hésite pas à se moquer des personnes qu'il filme, et il a pris l'habitude de distribuer de l'argent dans la rue à tous ceux qui le lui demandent. Résultat, de plus en plus de jeunes en difficulté fuguent de chez eux pour rejoindre l'influenceur à Perpignan afin de lui demander de l'aide.Code source dresse le portrait de Nasdas avec deux journalistes du Parisien : Elsa Mari, du service société qui l'a rencontré à Perpignan, et Enzo Guérini, journaliste au pôle actualité du Parisien.Écoutez Code source sur toutes les plates-formes audio : Apple Podcast (iPhone, iPad), Amazon Music, Podcast Addict ou Castbox, Deezer, Spotify.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Reporter : Barbara Gouy - Production : Pénélope Gualchierotti, Clara Garnier-Amouroux et Clara Grouzis - Réalisation et mixage : Julien Montcouquiol - Musiques : François Clos, Audio Network - Archives : Nasdas, Konbini. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.