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Au menu de la troisième heure des GG du mardi 9 septembre 2025 : "Le film Barbie finalement diffusé dans une école du 93" avec Joëlle Dago-Serry, coach de vie, Jérôme Marty, médecin généraliste, et Jean-Loup Bonnamy, professeur de philosophie.
Ce 225e épisode de Pos. Report est consacré au circuit SailGP avant le Grand Prix de France, qui se dispute les vendredi 12 et samedi 13 septembre à Saint-Tropez, nos deux invités étant le skipper et l'entraîneur de l'équipe de France, Quentin Delapierre et Philippe Mourniac.Le premier commence par raconter en quoi la semaine précédant le Grand Prix de France est particulière, entre déplacement à Monza avec une équipe de Canal+ pour le Grand Prix de F1 d'Italie et passage par Paris. Philippe Mourniac explique de son côté comment, après avoir dirigé l'équipe de France de voile olympique, il a accepté de relever un nouveau challenge auprès de France SailGP Team, il évoque sa découverte du circuit et ses spécificités, et notamment la possibilité d'échanger en direct avec le skipper du F50 pendant les régates.Ce dernier revient sur le bilan qu'il a fait de la saison 4 de SailGP, nous revenons ensuite avec nos deux invités sur la saison en cours. Philippe Mourniac détaille la feuille de route fixée en début de saison qui, si elle a été perturbée par des éléments extérieurs - problème d'aile à Auckland, casse à Portsmouth -, a finalement abouti à la victoire à Sassnitz (Allemagne) en août, la troisième de l'histoire de l'équipe de France. Quentin Delapierre raconte en détail le spectaculaire “planter” lors d'une régate d'entraînement, au cours duquel il a été projeté en avant, puis la victoire en finale.Nous finissons par nous projeter sur le Grand Prix de Saint-Tropez et la fin de la saison, avant d'évoquer la future Coupe de l'America, Quentin Delapierre ne cachant pas ses attentes de voir le défi français recruter des experts dans plusieurs domaines clés pour lui permettre de performer à Naples en 2027.Diffusé le 9 Septembre 2025Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Grégoire LevillainHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
De l'achat de son mini 6.50 à l'arrivée de son deuxième Vendée Globe fin janvier 2025, il s'est écoulé... à peine une décennie.Quel parcours que celui de Clarisse Crémer : marqué par des succès sportifs (victoires et podiums sur le circuit Mini, double finisheuse du Vendée Globe) mais aussi des épreuves personnelles et médiatiques qui l'ont profondément transformée. À 35 ans, elle parle avec beaucoup de sincérité de sa vie de navigatrice, de femme et de mère, entre passion de la mer et quête d'équilibre.Ses débuts sont atypiques : issue d'une famille parisienne aisée, passée par HEC, cofondatrice d'une start-up, elle découvre la course au large presque par hasard, dans le sillage de son compagnon Tanguy Le Turquais, avant de s'y engouffrer avec une énergie impressionnante. Mini-Transat, Figaro, puis le Vendée Globe : en dix ans, sa trajectoire fulgurante l'amène au plus haut niveau d'un sport où la légitimité se construit souvent dès l'enfance.Clarisse revient ensuite sur son premier tour du monde en solitaire, bouclé en 2021 à la 12ᵉ place, sous les couleurs de Banque Populaire. Un immense défi, vécu avec des doutes et un sentiment d'imposture, mais aussi comme une révélation intime : la compétition, dit-elle, n'efface jamais sa relation « presque spirituelle » avec la mer. C'est ce mélange de fragilité et de combativité qui la pousse à vouloir repartir, malgré les obstacles.Elle aborde sans détour les épisodes plus sombres, les "affaires" qui la touchent : la rupture avec son ancien sponsor au moment de sa grossesse, les polémiques qui s'ensuivent, puis les accusations de triche un an plus tard, dont elle sera blanchie avec Tanguy Le Turquais. Autant de tempêtes médiatiques qui ont failli la faire renoncer, mais qu'elle décrit comme autant d'occasions d'apprendre à s'affirmer, à dire non et à tracer sa voie.Enfin, elle raconte son second Vendée Globe à bord de L'Occitane, vécu cette fois avec une forme de sérénité. Malgré les avaries et la fatigue, elle savoure le simple fait d'être seule en mer, dans une vie réduite à l'essentiel. À l'arrivée, confie-t-elle, c'est la première fois qu'elle s'est sentie vraiment fière d'elle.Une fierté forgée par l'expérience, les coups encaissés, et le choix assumé de continuer à naviguer, coûte que coûte.Diffusé le 5 septembre 2025Générique : In Closing – Days PastPost-production : Grégoire LevillainHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans la famille Mettraux, je demande la grande soeur ! A 41 ans, la talentueuse Elodie-Jane est en effet l'aînée d'une fratrie suisse dédiée à la voile. Si elle a commencé un peu tard la compétition, le bateau a toujours été une évidence pour la navigatrice qui explique, à propos de sa soeur Justine et de ses frères : "Il y avait un peu de saine concurrence entre nous."Elodie-Jane a vite rattrapé son retard en matière de compétition, avec notamment deux participations à la Volvo Ocean Race à son actif (2014-15 avec Team SCA et 2018-19 avec Turn The Tide on Plastic) et un parcours impressionnant en multicoques. Cette année, elle a été nommée co-skippeuse d'Anne-Claire Le Berre sur l'Ocean 50 Upwind by Merconcept, "un projet qui fait sens" dit celle qui disputera fin octobre la Transat Café L'Or.Maman d'une petite fille, la navigatrice suisse n'hésite pas à s'engager en faveur de la parité et la mixité dans la voile, confiant : "On doit se faire respecter et avoir plus d'opportunités d'apprendre pour engranger de l'expérience."Navigantes est animé par Hélène Cougoule et produit par Tip & Shaft.Diffusé le 3 Septembre 2025Post production : Grégoire LevillainGénérique : All the summer girlsHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce 224e épisode de Pos. Report reçoit trois invités qui prendront le dimanche 7 septembre le départ de la 56e édition de la Solitaire du Figaro Paprec, à savoir le tenant du titre Tom Dolan (Kingspan), Chloé Le Bars (Endobreizh) et Romain Bouillard (Décrochons la lune).Tous commencent par raconter comment la Solitaire du Figaro est entrée en dans leur vie et devenue un objectif, Tom Dolan se souvenant notamment l'avoir découverte sur YouTube. Ils expliquent ensuite comment cet objectif est peu à peu devenu réalité au gré de leurs parcours respectifs, avec une entrée en Figaro plus tardive pour Romain Bouillard qui a quitté un job à Paris il y a trois ans pour se lancer.Ils évoquent leurs premiers pas sur le circuit et leurs souvenirs de leur première Solitaire, puis détaillent comment ils ont préparé la 56e édition, avec un budget très restreint pour Chloé Le Bars, qui, faute de partenaires, court cette saison avec seulement 20 000 euros. Ils finissent par parler de leurs objectifs respectifs à quelques jours du départ et de leurs aspirations à plus long terme, le Vendée Globe pour Romain Bouillard et Tom Dolan, rester en Figaro pour Chloé Le Bars, très attachée à ce circuit.Diffusé le 2 Septembre 2025Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Grégoire LevillainHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Diffusé pour la première fois en 1962, Intervilles a fait son grand retour cet été sur France 2, avec quatre émissions en direct !Habituée aux missions périlleuses, Bourgoin-Jallieu n'a pas hésité à envoyer son équipe affronter l'une des villes hôtes, Gap, le 10 juillet dernier.L'occasion de recroiser Bruno Guillon, de faire connaissance avec Camille Cerf… et de vivre une soirée inoubliable.Une aventure humaine intense, malgré une défaite au pied du mur des Champions.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce 223e épisode de Pos. Report, consacré à The Ocean Race Europe, dont le départ de la troisième étape est donné ce mardi 26 août de Carthagène, reçoit l'actuel leader au classement général, Paul Meilhat, vainqueur des deux premières étapes sur Biotherm, le skipper de Paprec Arkéa Yoann Richomme, deuxième au général, et Nicolas Lunven, membre de l'équipage de Holcim-PRB mené par la Néerlandaise Rosalin Kuiper.Déjà présents en 2021 sur la première édition, mais en VOR65, Yoann Richomme et Nicolas Lunven, qui l'avaient emporté sous les couleurs portugaises de The Mirpuri Foundation, racontent comment la course a beaucoup grandi depuis, avec un décorum et une scénographie proches de The Ocean Race, mais également un gros engouement populaire.Nous refaisons ensuite le match des deux premières étapes, Nicolas Lunven revenant sur la collision au départ de Kiel entre Allagrande Mapei et Holcim-PRB qui a conduit les deux équipes à renoncer à disputer cette étape, menée quasiment de bout en bout par Biotherm. Son skipper Paul Meilhat explique comment il a réussi à faire la différence et à quel point il a savouré cette victoire, sa première à la barre de son plan Verdier. Yoann Richomme raconte quant à lui comment il s'est fait souffler la deuxième place en fin de parcours par Malizia.Place ensuite à la deuxième étape, composée de deux tronçons, le premier jusqu'au port commercial de Porto, le second à destination de Carthagène. Les trois marins détaillent les différentes parties de ce double parcours qui aura été riche en rebondissements, mais s'est à chaque fois terminé par la victoire de Biotherm, parvenu notamment au sud de l'Espagne à mieux sortir d'une bulle anticyclonique dans laquelle s'est englué Paprec Arkéa, alors leader.Nous finissons par évoquer la situation au classement général et la troisième étape vers Nice, à laquelle Yoann Richomme, très sollicité depuis la remise à l'eau de son plan Finot-Koch au printemps, a préféré renoncer pour se reposer un peu, remplacé par Yann Eliès.Diffusé le 26 Août 2025Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Grégoire LevillainHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Rejoignez la communauté iWeek et soutenez-nous sur patreon.com/iweek !Voici l'épisode 243 d'iWeek (la semaine Apple), le premier de la saison 6 !Mark Gurman (Bloomberg), notre interview exceptionnelle avant la keynote iPhone 17.Diffusé en Premiere sur YouTube, mardi 26 août 2025 à 18h30. Les enregistrements accessibles en direct sur X, YouTube, et LinkedIn Live reprendront mardi 2 septembre 2025 à 18h30. Un épisode châpitré : profitez-en !Présentation : Benjamin Vincent avec la participation de Gilles Dounès (ex-rédacteur en chef de MacPlus et co-auteur de “iPod backstage“ chez Dunod), Elie Abitbol (ex-président des Apple Premium Resellers en France) et Fabrice Neuman (consultant auprès des petites entreprises et contributeur à "Comment ça marche“).Au sommaire de cet épisode 243 : Mark Gurman (Bloomberg), le journaliste le mieux informé sur Apple et ses projets, est de retour dans iWeek pour une 3ème interview exceptionnelle, à un moment de l'année crucial, maintenant que la keynote iPhone 17 est confirmée officiellement pour le mardi 9 septembre prochain, à 19 heures (heure française).Cette demi-heure avec Mark Gurman est l'occasion pour Benjamin Vincent de passer en revue tous les grands sujets du moment pour Apple : gamme iPhone 17 avec notamment l'iPhone 17 Air, iPhone pliant dans un an, iPhone du 20è anniversaire dans deux ans, retard d'Apple Intelligence et du nouveau Siri, Apple Hub domotique, AirPods Pro avec caméra, incursion d'Apple dans la robotique, avenir du Vision Pro, Apple Glasses, et intérêt pour Perplexity AI et Mistral AI.Ils reviennent évidemment sur le contenu probable de la keynote du 9 septembre avec les nouvelles Apple Watch Series 11, Ultra 3 et SE et l'éventualité de l'annonce des AirPods Pro 3 et d'un nouvel Apple TV.Pas de bonus hebdo exclusif, cette semaine, pour cause d'épisode exceptionnel mais, après le générique de fin, profitez de l'interview de Mark Gurman en version originale (anglaise sans doublage).Merci à tous nos soutiens Patreon, rejoignez-les et aidez-nous à démarrer au mieux cette 6è saison en allant sur patreon.com/iweek.Rendez-vous mardi 2 septembre 2025 à partir de 18h30 (nouvel horaire) pour le 2è épisode de la saison 6 dont l'enregistrement sera à suivre en direct sur X, YouTube et LinkedIn Live.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
À 41 ans, Louis Duc a bouclé le dernier Vendée Globe au terme d'une aventure marquée par la ténacité. De cette expérience fondatrice, le skipper normand confie sans détour la difficulté de s'en remettre, l'amnésie étrange des premières semaines après l'arrivée, et ce besoin irrépressible d'y retourner : « J'ai vécu un truc extraordinaire… mais pas fini ».La carrière de Louis Duc ne ressemble à aucune autre. Né à Cherbourg, élevé à Carteret, il découvre la mer dans un doris de récréation et construit ses rêves dans les pages des magazines. L'école, très peu pour lui : il arrête à 17 ans pour apprendre le composite chez JMV à Cherbourg, puis chez Foncia aux côtés d'Alain Gautier. Il multiplie ensuite les embarquements, achète un mini en épave, le retape, prend le départ de la MiniTransat en 2005, démâte en mer, regrée, arrive à Dakar et revient… embarqué par la Marine nationale ! L'histoire est rocambolesque, mais fonde un style : celui d'un artisan, déterminé et passionné.Ce goût pour les aventures hors-normes le conduit ensuite en Class40, où il monte avec trois associés un projet basé en Normandie avec un bateau d'occasion pendant 3 saisons. Ensemble, ils construisent ensuite en 2017 un bateau neuf et innovant signé Marc Lombard - le premier Lift - , et Louis Duc se retrouve pour la première fois à la tête d'un projet financé et compétitif. Malgré des hauts et des bas – abandon sur la Route du Rhum 2018, 5e place avec Aurélien Ducroz lors de la Transat Jacques Vabre 2019 –, "P'tit Louis", comme on l'appelle, est devenu grand. Malheureusement, lors du convoyage retour, dans un coup de vent proche des Açores, lui et son équipier sont doivent abandonner le bateau...Une épreuve marquante, mais Louis Duc est tenace et se lance ensuite dans son premier Vendée Globe, sur un bateau reconstruit à partir d'une coque incendiée. Louis boucle l'épreuve, malgré les avaries de voile et les moyens limités. Il en tire un mélange de fierté – "je l'ai fini" – et aussi de frustration – "je pouvais faire mieux". Depuis, il prépare la suite, avec l'envie de passer sur un foiler, mais sans illusion sur la difficulté à financer un projet à 4 ou 5 millions d'euros.Le Vendée Globe 2028 en ligne de mire, Louis Duc incarne une autre voie : celle d'un marin d'artisanat et de convictions, enraciné en Normandie, attaché au collectif, et toujours avide d'apprendre. Un skipper "normal", comme il aime à le dire, mais dont le parcours, lui, ne l'est décidément pas.Diffusé le 22 août 2025Générique : In Closing – Days PastPost-production : Grégoire LevillainHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
A 52 ans, Carolijn Brouwer est une figure emblématique de la course au large et de la voile légère. Actuellement membre de l'équipage Holcim-PRB engagé dans The Ocean Race Europe, elle compte en effet à son actif trois participations à la Volvo Ocean Race (désormais The Ocean Race), dont une victoire avec Dongfeng Race Team en 2018 aux côtés de Charles Caudrelier, un moment "inoubliable". La Belgo-Néerlandaise, qui, auparavant, a disputé trois fois les Jeux Olympiques sur trois supports et pour deux pays différents et a été élue deux fois Marin féminine de l'année par World Sailing, à vingt ans d'intervalle (1998 et 2018), raconte que c'est sa participation à la Volvo 2014-2015 avec l'équipe 100% féminine de Team SCA qui lui a "ouvert beaucoup de portes" et permis aujourd'hui d'être une navigatrice aussi expérimentée que convoitée lorsqu'il s'agit de monter des équipages de large. Une belle récompense pour celle qui a grandi au Brésil et tiré ses premiers bords dans la baie de Rio, et parle six langues, dont le français, parfaitement. La preuve dans ce premier épisode de la saison 4 de Navigantes.Navigantes est animé par Hélène Cougoule et produit par Tip & Shaft.Diffusé le 20 Août 2025Post production : Grégoire LevillainGénérique : All the summer girlsHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:02:21 - Le billet sciences - Ils sont des centaines de milliers à suivre les pérégrinations du sous-marin "Bastian" dans les profondeurs de l'océan Atlantique sud. Il s'agit pourtant d'une opération scientifique assez classique. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Chaque mercredi, du 23 juillet au 13 août, Navigantes vous propose sa série estivale baptisée Un été Figaro. L'occasion d'écouter ou de réécouter quatre épisodes dont les invitées sont des actrices du circuit Figaro Beneteau, dont le grand rendez-vous de la saison, la Solitaire du Figaro Paprec, s'élancera début septembre. Deuxième invitée : Jeanne Grégoire. Écoutez-la dans Navigantes #54, enregistré le 8 janvier 2025.--Pendant plus de dix ans, dans les années 2000, Jeanne Grégoire a marqué l'histoire du circuit Figaro, d'abord parce qu'à l'époque, les femmes étaient rares sur les pontons, ensuite parce qu'elle a longtemps signé la meilleure performance féminine sur la Solitaire, 5e en 2008."J'étais très fière", reconnaît-celle qui se réjouit aujourd'hui de ne plus être la seule, rejointe depuis par Charlotte Yven, également 5e en 2024. "Je suis contente parce que Charlotte, en plus de finir 5e l'an dernier, a fait un podium d'étape, ce que je n'ai jamais réussi à faire."A 48 ans, Jeanne Grégoire est aujourd'hui la directrice du pôle Finistère course au large de Port-la-Forêt, dont elle porte les valeurs et qu'elle fait avancer comme "une micro société", prenant à bras le corps les défis qui s'offrent à elle.Navigantes est animé par Hélène Cougoule et produit par Tip & Shaft.Rediffusé le 30 juillet 2025 Diffusé le 8 janvier 2025Post production : Grégoire LevillainGénérique : All the summer girlsHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Die zweite Folge in der Musikjournalist Yannick Niang zu Gast ist. In der ersten Folge hat er erzählt, wie er als Musikjournalist gestartet ist, jetzt geht es um seinen Weg zu "Das ist Deutschrap" und warum er den Vollzeit-Job beim DIFFUS-Magazin aufgegeben hat. Außerdem erzählt er vom Umgang mit Kritik und wie er mit Rassismus und Tokenismus umgeht. [Musikbusiness-News im Newsletter](https://www.thematakt.de/newsletter) [ThemaTakt per PayPal unterstützen](https://www.paypal.me/thematakt) [Yannick auf TikTok ](https://www.tiktok.com/@yallah.san) **Highlights der Folge: ** Mut zur Sichtbarkeit: „Schämt euch nicht für eure Kunst. Klopft an Türen und geht Leuten auf die Nerven!“ – Warum es wichtig ist, als Künstler*in aktiv zu sein und sich selbst weniger im Weg zu stehen. Yannicks Weg in den Musikjournalismus: Von ersten Vorbildern bis zum zehnjährigen Werdegang zwischen Social Media Management („Das ist Deutschrap“-Stickeralbum), Moderation bei Diffus und eigenen Projekten wie dem Podcast Gang Gang. Tokenism & Diversität in Medien: Was bedeutet Tokenismus wirklich? Wie fühlt es sich an, wenn man wegen seiner Hautfarbe oder anderen Merkmalen gefragt wird? Reflexion über Unsicherheiten (Impostor-Syndrom) und Verantwortung marginalisierter Gruppen. Appell: Ihr müsst euch nicht politisch äußern – beschäftigt euch auch einfach mit euren Themen! Arbeiten im Musikbusiness: Einblicke ins Scouting für Chapter One Label. Bewertung von Musik abseits von Zahlen & Verkaufswert. Die Bedeutung einer eigenen Plattform für kreative Freiheit. Work-Life-Balance & Nebenjobs: Warum ein sicherer Job außerhalb der Kreativbranche helfen kann, kreativen Kopf freizuhalten (und warum E-Mails manchmal das Schlimmste sind). Kapitel: 0:00 Start 1:57 Dadjoke-Feuerwerk 5:03 Gang Gang-Podcast 10:00 Umgang mit Kritik & Tokenismus 30:40 A&R Scouting für den Vertrieb Chapter One 36:21 Vollzeit arbeiten bei Diffus 39:20 Tipps für Artists 43:20 Wünsche für die Musikbranche Intro-Voice: [Henrike Möller](https://www.instagram.com/henrike_moeller/?hl=de) Musik: [Benethy](https://www.instagram.com/benethy777/?hl=de) Interview & Produktion: [Tobias Wilinski](https://www.instagram.com/tobias_wilinski/) Genannte Namen und Begriffe: Maliiik Zartmann Kendrick Lamar Diffus Gang Gang Fish56Octagon Rooz Lee Visa Vie 16bars Freunde von Niemand Timeless Halt die Fresse OG Keemo Shindy Sportfreunde Stiller Peter Schilling Isaiah Rashad HipHop.de Torben Hodan Splash-Festival Andre Zimpel Unknown Basics Casper Drangsal Mit Verachtung Daniela Ammermann Majan Lara Loca Panini MC Smook The Clipse (Pusha T & Malice) Baran Kok DCVDNS Taktloss Falk Schacht Essow Jp DonDada Steph Karl Stompy Backspin BüV (Bandübernahme-Vertrag) Anthony Fantano Apsilon Pia Schneider Micha Wagner Kein Land für Niemand (Film) Converse The Studio (Apple TV-Serie)
Alors que la Grande Boucle s'achève ce week-end, le Tour de France confirme son statut d'événement sportif majeur et de levier économique d'envergure. Marques, collectivités et tourisme : chacun y trouve son compte dans une mécanique bien rodée. Décryptage. Si vous regardez une étape du Tour de France, ne serait-ce qu'une minute, vous serez frappé par la densité de marques à l'écran. Entre les sponsors affichés sur les maillots des coureurs, les logos diffusés en direct ou les produits portés par les spectateurs, ce sont des dizaines de noms qui s'invitent dans le paysage. À cela s'ajoutent les coupures publicitaires et les commentaires des journalistes, eux aussi ponctués de mentions de partenaires. Diffusé dans 190 pays, le Tour est une vitrine de choix pour les marques, qui profitent d'une exposition exceptionnelle. Sur les routes également, la visibilité est maximale grâce à la célèbre caravane publicitaire. Il s'agit là d'un cortège de 150 véhicules représentant plus de 35 enseignes, distribuant des dizaines de milliers de goodies. Symbole de ce phénomène, Cochonou écoule chaque année sept tonnes de saucisson pendant la course, et voit son chiffre d'affaires bondir de 25 % à cette occasion. Un investissement rentable pour les sponsors Certaines entreprises vont encore plus loin en associant leur image aux maillots distinctifs. Leclerc, sponsor du maillot à pois, investit plusieurs millions d'euros chaque année pour figurer sur le Tour. Pourquoi ? Parce que cette présence renforce leur proximité avec le public français, et donc leur base de clients potentiels. L'événement représente une opportunité unique de communication de masse, avec une image positive, familiale et populaire. La logique est simple, plus de visibilité, plus d'adhésion, et in fine, plus de ventes. À écouter aussiVélos, sponsors et soft power : l'économie sur la route du Tour de France Les villes aussi y gagnent Accueillir une étape du Tour de France a un coût : 65 000 euros pour un départ, plus de 100 000 euros pour une arrivée. Mais cela ne décourage pas les communes, bien au contraire. Chaque année, plus de 200 d'entre elles postulent. Car si l'investissement est conséquent, les retombées économiques sont réelles. Exemple à Brest, ville de départ en 2021, où chaque euro investi aurait généré trois euros de bénéfices : hébergements complets, restaurants remplis, animations locales et surtout, une exposition médiatique mondiale. Le Tour agit ainsi comme un moteur de tourisme, avec des visiteurs qui consomment, dorment sur place, et font tourner l'économie locale bien après le passage des coureurs. Le Tour de France est ainsi bien plus qu'un événement sportif. Il s'agit d'un véritable phénomène économique itinérant, qui profite autant aux entreprises qu'aux collectivités. Grâce à lui, c'est tout un pays qui se vend et se montre, chaque été, aux yeux du monde entier.
In dieser ThemaTakt-Folge ist Musikjournalist Yannick Niang zu Gast – bekannt für seine starken und humorvollen Interviews und seinen teils kritischen Blick auf die HipHop-Szene. Im Gespräch mit Host Tobias Wilinski erzählt er, wie er in den Musikjournalismus gestartet ist, wie er die Zeit bei Diffus erlebt hat und was ihn an guter Interviewführung reizt. [Musikbusiness-News im Newsletter](https://www.thematakt.de/newsletter) [ThemaTakt per PayPal unterstützen](https://www.paypal.me/thematakt) Yannick spricht über seine ersten Schritte in der Branche, das Schreiben, Filmen und produzieren. Außerdem diskutieren die beiden, wie sich Musikjournalismus verändert – zwischen TikTok-Schnipseln und langen Interviews. Eine Folge für alle, die wissen wollen, wie gute Gespräche entstehen – und wie man als junger Journalist seinen eigenen Stil findet. 0:00 Intro 3:37 Yannicks Projekt - A Track a Day 5:53 Arbeits- und Produktionsweise 11:43 Unterschied: TikTok, Podcast, geschriebener Artikel 13:04 Verwässerter Journalismus durch TikTok und Instagram 15:00 TikTok-Tipp 16:46 Start als Musikjournalist 20:21 Interviews mit gefeierten Artists wie Peter Fox 21:50 Gute Interviews & Interviewvorbereitung 29:50 Yannicks Karriereplanung: Wege in die Musikindustrie 31:44 Start bei Diffus 38:07 Interview-Tipps Intro-Voice: [Henrike Möller](https://www.instagram.com/henrike_moeller/?hl=de) Musik: [Benethy](https://www.instagram.com/benethy777/?hl=de) Interview & Produktion: [Tobias Wilinski](https://www.instagram.com/tobias_wilinski/) Genannte Namen und Begriffe: Maliiik Zartmann Kendrick Lamar Diffus Gang Gang Fish56Octagon Rooz Lee Visa Vie 16bars Freunde von Niemand Timeless Halt die Fresse OG Keemo Shindy Sportfreunde Stiller Peter Schilling Isaiah Rashad HipHop.de Torben Hodan Splash-Festival Andre Zimpel Unknown Basics Casper Drangsal Mit Verachtung Daniela Ammermann Majan Lara Loca Panini MC Smook The Clipse (Pusha T & Malice) Baran Kok DCVDNS Taktloss Falk Schacht Essow Jp DonDada Steph Karl Stompy Backspin BüV (Bandübernahme-Vertrag) Anthony Fantano Apsilon Pia Schneider Micha Wagner Kein Land für Niemand (Film) Converse The Studio (Apple TV-Serie)
Radio Bitume - Les personnes sans domicile prennent la paroleÉmission n°60, diffusée depuis la fête des 10 ans de La Cloche à Césure, le 26 juin 2025À la régie et en animation : Jeanne et AmélieLes bénévoles, salarié-e-s et habitué-e-s de La Cloche sont venu-e-s de toute la France pour fêter les 10 ans et nous raconter une anecdote sur La Cloche.Au programme de cette émission :Retrouver les témoignages de Stefano, Ludovic, Hayat, Marie-Hélène, Pascal, Ramata, Sajjad, Yvan, Elissa, Agathe, Mike, Sébastien dit OCB, Anne-Laure, Hassan et Junior — Bonne écoute !Le prochain épisode de la radio sera enregistré dans les locaux de Makesense, le 22 septembre 2025 à 17h. Inscrivez-vous
DARKNIGHT | SESSION LIVE Welcome to the real world ! Produit par JÜJÜ sur MAX FM 94.5 (Entre 2004 et 2005). DARKNIGHT est maintenant en podcast tous les lundis, sur darknight.fr. Programmée sur Max FM de septembre 2004 à juillet 2005, DARKNIGHT était une émission fait référence à la tentative d'un genre de se transmettre dans un nouveau domaine intellectuel de curiosité musicale. Qui partait du principe que les musiques électroniques ne sont pas uniquement destinées à être diffusées le week-end ! Diffusée sur la région de Grenoble. (avec plus de 500 000 auditeurs potentiels), DARKNIGHT te proposait un programme varié hors du commun.
Sur le papier, c'est le parcours idéal ; dans les faits, des trajectoires comme les siennes sont rares, et il le rappelle : "Voile olympique et course au large sont deux disciplines différentes". Pierre Leboucher a longtemps été un pur produit du 470, qu'il a pratiqué pendant plus de dix ans avec Vincent Garos. Ensemble, ils remportent plusieurs titres de champion de France, des étapes de Coupe du monde, des médailles européennes et mondiales, et décrochent leur sélection pour les Jeux olympiques de Londres en 2012. Ils y terminent à la 7e place, frustrés de ne pas avoir concrétisé leur potentiel, mais fiers du chemin accompli.En 2016, Pierre Leboucher change de cap. Ingénieur au bureau d'études d'AG+ Spars, il plaque tout et fait "all in" pour se consacrer à la course au large et entame une nouvelle vie de figariste, d'abord sur ses fonds propres, puis sous les couleurs de Guyot Environnement pendant quatre saisons. Dans cette discipline exigeante, il se forge une solide réputation, jusqu'à remporter une étape de la Solitaire du Figaro en 2021 et signer plusieurs tops 10 au général.Depuis, le Nantais explore tous les supports : Figaro, Class40, Ocean Fifty, Ultim. Équipier aussi discret qu'efficace, il enchaîne les embarquements, avec Fabien Delahaye sur le circuit Class40 cette année, mais aussi avec Thomas Coville sur Sodebo Ultim 3, avec qui il a tenté le Trophée Jules Verne à l'hiver 2024-2025.Dans cet épisode, il raconte sans détour la vie d'un marin embarqué sur les projets des autres, souvent dans l'incertitude, toujours avec l'envie de progresser. Il partage aussi son envie de retrouver un projet personnel, pour la Route du Rhum 2026, voire pour le Vendée Globe 2028 - lui qui serait le premier ancien olympien français à prendre le départ du tour du monde en solitaire.Diffusé le 11 juillet 2025Générique : In Closing – Days PastPost-production : Grégoire LevillainHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
A 39 ans, Mathilde Géron a un parcours riche de nombreuses expériences au plus haut niveau, elle qui est passée de la voile olympique en 470 – elle a terminé 4e des JO de Londres avec Camille Lecointre - à l'Ocean Fifty, du match racing au Diam 24 à la tête d'un équipage 100% féminin, d'équipière à skippeuse, de team manager à coach..."Je n'aime pas la routine et je suis curieuse, j'ai envie de faire plein de choses ; rester dans mon canapé ou dans un bureau, ce n'est pas mon truc", reconnaît celle qui est par ailleurs officier de la Marine marchande, ce qui l'a amenée à beaucoup voyager. La Normande, mère de deux filles, a aussi disputé la Transat Paprec cette année avec Martin Le Pape, sa première transat en course, terminée à la cinquième place.Si sa boulimie de navigation et de compétition ne la quitte pas, elle se réjouit également d'entraîner : "Je vais coacher le groupe de ma fille pour le National Optimist, j'ai beaucoup de plaisir à transmettre. Pendant vingt ans, tu coches tes cases à toi, le fait de partager le savoir, c'est génial."Diffusé le 09 Juillet 2025Post production : Grégoire LevillainGénérique : All the summer girlsHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le Tour de France, ce n'est pas seulement du sport… C'est aussi un immense enjeu économique et marketing. À l'occasion du Grand Départ 2025 à Lille, capitale des Flandres et terre de cyclisme, Eco d'ici Eco d'ailleurs pose ses micros au cœur de l'événement pour décrypter les stratégies des sponsors et les mutations économiques du cyclisme mondial. Présentation : Bruno Faure.
Le Tour de France, ce n'est pas seulement du sport… C'est aussi un immense enjeu économique et marketing. À l'occasion du Grand Départ 2025 à Lille, capitale des Flandres et terre de cyclisme, Eco d'ici Eco d'ailleurs pose ses micros au cœur de l'événement pour décrypter les stratégies des sponsors et les mutations économiques du cyclisme mondial. Présentation : Bruno Faure.
SBS On Demand renforce son offre d'actualités internationales en accueillant la chaîne France 24 au format FAST (télévision en streaming gratuite financée par la publicité). Diffusée en anglais, cette chaîne d'information continue offre une perspective française sur l'actualité mondiale. Avec ce partenariat, SBS confirme sa volonté de proposer un accès gratuit, fiable et diversifié à l'information pour tous les Australiens.
Ce 219e épisode de Pos. Report reçoit Alexia Barrier, qui, en fin d'année, s'attaquera au Trophée Jules Verne à la tête d'un équipage 100% féminin. Elle commence par revenir sur la naissance de The Famous Project, lancé après sa participation au Vendée Globe 2020. Un projet qui a réellement démarré lorsque, lors d'une conférence, le CIC a souhaité s'embarquer à ses côtés, rejoint ensuite par Idec, qui lui a “prêté” le trimaran Idec Sport, détenteur du Trophée Jules Verne depuis janvier 2017 en 40 jours 23 heures et 30 minutes.Elle raconte ensuite les premières navigations sur le MOD70 Limosa, utilisé comme plateforme d'entraînement, expliquant que passer d'un monocoque à un trimaran, c'est comme passer “de la motoGP à la F1”. Elle explique également comment elle s'est entourée, notamment de Dee Caffari, sa co-skippeuse, mais également des Britanniques Brian Thompson et Jonny Malbon, personnages centraux du projet, même s'ils ne feront pas partie de l'équipage du Jules Verne.Elle détaille les modifications apportées à Idec Sport au cours de l'hiver 2024-2024 et revient sur le coup d'arrêt subi par le projet suite au retrait d'un partenaire au printemps 2024, qui l'a conduit à se concentrer sur la recherche de nouveaux sponsors. Une quête qui a fini par aboutir récemment, avec la montée en gamme du CIC, désormais partenaire titre du projet, et l'arrivée notamment de Sopra Steria. Ce qui a permis à l'équipage d'enfin naviguer sur le plan VPLP mi-juin, Alexia Barrier terminant par donner les grandes lignes du programme jusqu'au départ autour du monde prévu en fin d'année.Diffusé le 1er Juillet 2025Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Grégoire LevillainHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cet épisode hors normes, Sidney Gavignet revient sur une trajectoire aussi dense qu'introspective. Equipier réputé et engagé, il a sillonné les océans au plus haut niveau pendant plus de 25 ans : la Whitbread dès 1993 avec Tabarly, trois Volvo Ocean Race entre 2001 et 2009 (dont une victoire avec ABN Amro One), une Route du Rhum sur un MOD70 ou encore plusieurs Transats AG2R et Jacques Vabre. Formé dans la filière olympique, passé par le Figaro, Gavignet a aussi marqué les esprits comme le premier Français à intégrer durablement des équipes anglo-saxonnes.Mais derrière la performance, l'homme a peu à peu ouvert un autre chapitre. La disparition d'un équipier en 2015 et une succession d'accidents ont conduit Sidney à un virage personnel. Il quitte Oman Sail en 2017, entame un MBA et amorce une transformation intérieure nourrie de coaching, d'équitation, de yoga et de spiritualité. Une bascule marquée par une prise de recul sur la brutalité du sport de haut niveau, et un regard plus apaisé sur la vie, le leadership et la compétition.Aujourd'hui, Sidney Gavignet navigue toujours - mais autrement. À bord du Cigare Rouge, ketch de légende autrefois skippé par VDH et Catherine Chabaud, il accompagne des particuliers et des sportifs en mer dans des stages de croisière, de transmission ou de développement personnel. “Apprendre à se mouvoir dans l'incertitude avec les moyens du bord” : sa nouvelle définition du large devient un art de vivre.À travers cette parole rare, on découvre un homme de contraste. Bourreau de travail devenu guide bienveillant, barreur surentraîné reconverti en passeur, à 55 ans, Sidney Gavignet incarne une trajectoire singulière, marquée par l'intensité, le doute, l'introspection et une forme de résilience lucide.Diffusé le 27 Juin 2025Générique : In Closing – Days PastPost-production : Grégoire LevillainHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Du lundi au vendredi, Julien Pichené fait le point sur l'actualité des médias. Aujourd'hui, Anne-Sophie Lapix a présenté son dernier JT de 20h sur France 2, Cyril Hanouna a présenté sa dernière d'On marche sur la tête sur Europe 1, le dispositif d'M6 pour la Coupe du monde 2026 se précise, Benjamin Duhamel quittera BFM TV d'ici quelques jours, Radio France est perturbée par une grève et Hervé Mathoux arrive sur Europe 1 dès demain pour présenter une nouvelle émission diffusée tout l'été. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Du lundi au vendredi, Julien Pichené fait le point sur l'actualité des médias. Aujourd'hui, Anne-Sophie Lapix a présenté son dernier JT de 20h sur France 2, Cyril Hanouna a présenté sa dernière d'On marche sur la tête sur Europe 1, le dispositif d'M6 pour la Coupe du monde 2026 se précise, Benjamin Duhamel quittera BFM TV d'ici quelques jours, Radio France est perturbée par une grève et Hervé Mathoux arrive sur Europe 1 dès demain pour présenter une nouvelle émission diffusée tout l'été. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
A 24 ans, Lucie de Gennes a déjà un palmarès impressionnant, notamment trois fois championne du monde junior de 470 avec Matisse Pacaud. En 2022, ils réussissent même l'exploit de doubler titre mondial chez les jeunes et quatrième place au championnat du monde senior, ce qui leur vaut d'être élus Marins Espoirs de l'année.L'an dernier, le duo a été partenaire d'entraînement de Camille Lecointre et Jérémie Mion pour les JO de Paris 2024. "On a tellement appris, tout était transparent avec eux, ils étaient dans le partage", commente Lucie de Gennes, à propos de cette expérience qui leur a permis de préparer leur entrée cette année dans la cour des grands, marquée par une médaille de bronze au championnat d'Europe à Split et une toute récente sixième place au championnat du monde de Gdynia."Chez les seniors, une des grosses différences avec les jeunes, c'est que personne ne fait d'erreur", note celle qui a débuté lavoile en Suisse à l'âge de 12 ans et qui, du haut de son mètre 88, a développé un sens aigu de la compétition. En parallèle, la pensionnaire du Yacht Club de Cannes est étudiante à l'EM Lyon, attachée à concilier sport de haut niveau et études. Avec Matisse Pacaud, le duo vise les Jeux de Los Angeles, une échéance qui fait dire à Lucie de Gennes : "La route est encore longue et en même temps, ça va arriver vite."Diffusé le 25 Juin 2025Post production : Grégoire LevillainGénérique : All the summer girlsHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce 218e épisode de Pos. Report est consacré à la classe Ocean Fifty avec deux navigatrices qui disputeront de mercredi à dimanche l'Act 2 des Ocean Fifty Series à Concarneau, Anne-Claire Le Berre, qui a succédé cette année à Francesca Clapcich à la barre de Upwind by MerConcept, et Audrey Ogereau, qui fait partie depuis 2023 de l'équipage de Koesio aux côtés d'Erwan Le Roux.L'une comme l'autre commencent justement par raconter comment elles sont arrivées en Ocean Fifty, la première après avoir postulé à la sélection organisée par MerConcept pour constituer en 2024 un équipage 100% féminin, la seconde dès 2022 lorsqu'Erwan Le Roux lui a proposé d'assurer des RP sur son trimaran en Méditerranée.Toutes les deux issues de la filière olympique - 470 pour Anne-Claire Le Berre, Nacra 17 pour Audrey Ogereau -, elles expliquent comment la course au large est peu à peu devenue un objectif, ce qui les a poussées à quitter un poste bien établi - directrice technique du team Initiatives Coeur et ingénieure d'affaires dans un cabinet de conseil en informatique - pour se lancer dans ce nouveau challenge.Elles racontent ensuite leur apprentissage de l'Ocean Fifty, mais également leurs autres expériences, en Class40 pour Anne-Claire Le Berre avec Amélie Grassi, en AC40 sur la première Women's America's Cup pour Audrey Ogereau. Cette dernière s'est aussi mise au Figaro cette année - elle a terminé 8e de la récente Transat Paprec avec Quentin Vlamynck et disputera la Fig'Armor en août -, histoire de se familiariser avec l'exercice du large en solitaire.Car si le principal objectif de leur saison 2025 sera la Transat Café L'Or, qu'elles disputeront avec Erwan Le Roux pour cette dernière, Elodie-Jane Mettraux pour la première, elles enchaîneront en 2026 avec la Route du Rhum-Destination Guadeloupe, premières femmes à s'élancer en Ocean Fifty sur la transat entre Saint-Malo et Pointe-à-Pitre.Diffusé le 24 Juin 2025Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Grégoire LevillainHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce 217e épisode de Pos. Report reçoit Arnaud Boissières et Benjamin Dutreux, skippers de l'Imoca 4CAD – La Mie-Câline. Les deux marins s'alignent au départ de la Course des Caps le 29 juin prochain puis sur la Transat Café l'Or. S'ils partagent la barre de leur monocoque, celui-ci deviendra la propriété d'Arnaud Boissières d'ici la fin de l'année.Juste avant d'enfiler le ciré pour une troisième navigation sur ce bateau construit par Alex Thomson - pour le Vendée Globe 2016 - ils reviennent sur la relation qui les unit depuis près de 10 ans : Arnaud avait alors embarqué Benjamin pour la découverte d'un Imoca, les rôles s'inversent aujourd'hui. Les deux Sablais se confient sur la notion de partage plutôt que de transmission.Si Benjamin révèle à Arnaud tous les secrets de son futur ex-bateau, il sera heureux de compter sur l'expérience de son aîné pendant la Course des Caps : Arnaud Boissières avait déjà participé au Tour des îles britanniques dans le cadre de la Calais Round Britain Race en 2007. Damien Seguin sera aussi de la partie à leurs côtés pour cette course de 2 000 milles en équipage mixte. Axelle Pillain et Muriel Vandenbempt complètent l'équipage.L'épreuve marquera leur retour à la compétition après le Vendée Globe 2024 : Benjamin Dutreux y avait accroché le Top 10 tandis qu'Arnaud Boissières avait été contraint à l'abandon dans la remontée de l'Atlantique de son cinquième tour du monde. Suite à cette désillusion, l'Aquitain de naissance change ses habitudes et met en place une préparation physique et mentale calquée sur celle de son coéquipier.Alors que leurs chemins se sépareront en 2026, leur Graal reste le Vendée Globe 2028. Pour y jouer les premiers rôles, Benjamin Dutreux vise un Imoca génération 2024 ou plutôt la construction d'un nouveau monocoque. Il raconte ses démarches pour y parvenir, la recherche d'un deuxième partenaire titre et le besoin de « se mettre en danger » pour aller plus loin. Arnaud Boissières confesse qu'il pourrait s'agir de sa dernière campagne en tant que skipper. Avant de se voir, peut-être, dans un rôle « à la Alain Gautier ».Diffusé le 17 Juin 2025Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Grégoire LevillainHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
On peut passer plus de deux décennies au coeur de la voile de haut niveau et n'avoir accordé qu'une poignée d'interviews : à 44 ans, Erwan Israël, marin recherché, est aussi, c'est peu de le dire, un homme de l'ombre. Formé à Brest puis à Hyères, il suit d'abord la filière olympique en laser, avant de bifurquer vers la course en équipage. Dès 2001, il découvre le Tour de France à la voile, qu'il remportera à plusieurs reprises avec l'équipe TPM–COYCH (2005, 2007), tout en développant ses compétences de tacticien et de navigateur.Entre 2006 et 2009, il s'essaye au Figaro, devient vice-champion du monde de match racing, navigue en Class America. En 2010, il intègre le Groupama Sailing Team et participe à la légendaire et victorieuse Volvo Ocean Race 2011–2012 à bord de Groupama 4, avec Franck Cammas. Il rejoint en suite Spindrift Racing. Navigateur à bord du plus grand trimaran de course du monde, Spindrift 2, il participe à plusieurs tentatives du Trophée Jules Verne et remporte notamment la Route de la Découverte (2013) et la Fastnet Race (2015). C'est aussi là qu'il bascule vers des fonctions de routage et de performance à terre.Depuis 2019, il évolue au sein du Gitana Team, dont il est devenu une pièce maîtresse, en tant que navigateur, routeur et responsable de la cellule performance. Il accompagne la victoire sur la Brest Atlantiques (2019) et la Transat Jacques Vabre (2021), puis devient co-skipper de Charles Caudrelier sur celle de 2023. Il éclate à l'écran dans son rôle de routeur, menant son skipper à la victoire dans la Route du Rhum (2022) et l'Arkea Ultim Challenge (2024). Ces derniers mois, il est accaparé par la conception de Gitana 18, dont la mise à l'eau est attendue en septembre. Des heures derrière l'écran, encore ; mais la promesse d'heures à voler prochainement...Diffusé le 13 Juin 2025Générique : In Closing – Days PastPost-production : Grégoire LevillainHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Julie Royer-Coutts occupe depuis un an le poste de directrice générale d'OC Sport Pen Duick, un groupe auquel elle est très attachée puisqu'elle y a débuté professionnellement, au moment de sa création.Originaire de Troyes, c'est lors de ses études de commerce international à La Rochelle qu'elle a fait ses gammes en marketing et communication, travaillant sur le projet étudiant de son école pour le Tour de France à la voile.Depuis elle a beaucoup oeuvré à l'étranger, souvent guidée par deux mentors, la regrettée Isabel Genis et Mark Turner. Après la voile, elle a notamment découvert le cyclisme en prenant la direction de la Haute Route, confiant : "L'opérationnel c'est vraiment mon truc, j'ai besoin d'être sur le terrain."Après cette expérience internationale et variée, elle a donc fait son retour à la voile, gérant aujourd'hui les six grandes courses au portefeuille d'OC Sport Pen Duick, dont la Route du Rhum-Destination Guadeloupe. "Tous les jours, je mesure la chance que nous avons de faire ce métier", explique-t-elle.Diffusé le 11 Juin 2025Post production : Grégoire LevillainGénérique : All the summer girlsHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce 216e épisode de Pos. Report reçoit deux marins qui, du 14 au 22 juin, disputeront le Tour de Bretagne à la voile entre Perros-Guirec et Quiberon, Alexis Loison (Groupe Réel) et Alexis Thomas (Wings of the Ocean).Nos deux invités commencent par évoquer cette épreuve qui fête cette année sa 15e édition, avec toujours le même format, à savoir qu'elle se court en double et par étapes. Alexis Loison, qui y a participé huit fois et l'a gagnée à deux reprises, avec Fred Duthil en 2029 puis Guillaume Pirouelle il y a deux ans, explique que la clé est la régularité, tandis qu'Alexis Thomas se souvient d'une première participation, en 2021, qui s'était terminée sur un caillou de l'Aber Wrac'h.Ils expliquent ensuite le choix de leurs co-skippers respectifs, Corentin Horeau pour le Normand, Malo Wessely pour le Rochelais, qui raconte au passage comment il est venu à la voile de compétition et au Figaro en particulier, sa famille étant très proche de celle des Levaillant père et fils (Jean-Baptiste et Arthur).Nous évoquons ensuite avec eux leur début de saison, marqué par une première victoire sur le circuit Figaro lors de la Solo Guy Cotten pour Alexis Thomas, qui l'explique notamment par un budget enfin à la hauteur de ses ambitions et l'arrivée de Romen Richard comme entraîneur du pôle de La Rochelle. Et même si la Transat Paprec s'est avérée frustrante (9e avec Pauline Courtois après avoir fait une partie de la course aux avant-postes), il estime avoir trouvé quelque chose en termes de vitesse, notamment au portant.Quant à Alexis Loison, il explique comment il “jongle” entre son travail à la voilerie Incidence et les navigations, notamment sur le nouveau JPK 1050 qu'il met actuellement au point. Nous enchaînons sur leur grand objectif de la saison, la Solitaire du Figaro, la 19e d'Alexis Loison, la 5e d'Alexis Thomas. Le premier présente le parcours et revient sur quelques souvenirs marquants, entre son unique victoire d'étape à Plymouth et la première du Figaro 3, en 2019.Diffusé le 10 Juin 2025Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Grégoire LevillainHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce 215e épisode de Pos. Report est consacré à la classe Mini 6.50 avant le départ, le jeudi 5 juin de Douarnenez, du Trophée Marie-Agnès Péron, auquel participent, en catégorie proto, les deux invités, Benoît Marie (Nicomatic-Petit Bateau) et Basile Gautier (Nass&Wind/les EDG).L'un comme l'autre commencent par raconter comment ils sont venus à la classe Mini, un projet né après son entrée en alternance chez North Sails à l'âge de 16 ans pour Basile Gautier (23 ans aujourd'hui), également très jeune chez Benoît Marie, passionné de voile et de technique depuis longtemps, et qui est arrivé sur le circuit en 2012, avant de remporter un an plus tard la Mini Transat en proto.Quand Caroline Boule lui a parlé de relancer un projet sur un proto à foils signé Sam Manuard, ce dernier, passé depuis ses débuts au large par de nombreux supports (Ultim, Ocean Fifty, Moth…), a “repiqué” avec enthousiasme il y a trois ans. Il raconte l'apprentissage parfois compliqué du foil sur un bateau de 6,50 mètres, tandis que Basile Gautier explique de son côté pourquoi, après deux premières années sur le 802 (il n'a pas réussi à se qualifier pour la Mini Transat 2023), il a jeté son dévolu sur le 945, le fameux Tartine, lancé en 2018 par Axel Tréhin, puis équipé de foils en 2022 par Fabio Muzzolini, copropriétaire du plan Lombard.Après avoir détaillé les spécificités de leurs protos respectifs et comment ils financent leur projet, les deux skippers évoquent leurs ambitions pour la suite de la saison, avec en ligne de mire la Mini Transat. Et après ? Basile Gautier se verrait bien poursuivre en course au large, sans doute pas en Mini, Benoît Marie veut “voir le cap Horn”, que ce soit sur The Ocean Race, le Vendée Globe ou son rêve ultime, le Trophée Jules Verne.Diffusé le 03 Juin 2025Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Grégoire LevillainHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Il a découvert la voile à l'adolescence, entre Toulouse et Gruissan, dans une famille baignée par l'aéronautique - loin des capitales de la régate. C'est aux côtés de son père Ortwin, pionnier d'Airbus, que Stephan Kandler fait ses premières armes, en croisière puis en course, avant de professionnaliser cette passion au sein de K Yachting. Très actif dans les années 1990 sur les circuits ILC 40, Mumm 30 ou Corel 45, il construit des programmes ambitieux en équipage, repère de futurs grands noms (Juan Kouyoumdjian, Guillaume Verdier) et attire les meilleurs navigateurs français des circuits inshore.En 2001, à 30 ans, il se lance dans l'aventure Coupe de l'America avec la création de K-Challenge. Six ans plus tard, son équipe représente la France à Valence sous le nom Areva Challenge, après avoir frôlé la banqueroute. Le défi français se classe sixième de la Louis Vuitton Cup et parvient à rivaliser avec des écuries bien mieux dotées. L'avenir s'annonce prometteur - Stephan Kandler assure avoir alors réuni un budget de 60 millions d'euros grâce à un mécène et un partenaire -, mais le conflit judiciaire entre Oracle et Alinghi gèle tout projet de suite et tout s'effondre.Il rebondit en TP52 avec All4One durant trois saisons, sans parvenir à revenir dans la Coupe et prend ce qu'il pense être sa retraite de la voile pour se tourner vers les vignes pendant près de huit ans. Kandler revient à la voile en 2021, motivé par l'évolution technologique des supports et l'essor de SailGP. Il s'associe à Bruno Dubois et relance K-Challenge, avec l'objectif de concourir à la 37e America's Cup à Barcelone. C'est le groupe Accor, via sa marque Orient Express, qui relance définitivement la machine fin 2022. En deux ans à peine, un AC75 est construit chez Multiplast, issu du design package des Kiwis et l'équipe s'aligne dans les délais.Sur le plan sportif, Quentin Delapierre et les siens créent la surprise en remportant la première régate officielle à Villanova en AC40. Mais le manque d'entraînement sur l'AC75 et l'inexpérience de ce type de support pénalisent la suite du parcours. Malgré une victoire symbolique contre Alinghi, le défi tricolore ne se qualifie pas pour les demi-finales. Une "déception" sportive, Kandler ne s'en cache pas.Aujourd'hui, K-Challenge poursuit l'aventure à travers sa présence en SailGP, où elle aligne le même équipage qu'en America's Cup. L'équipe s'est ancrée à Lorient, via des activités technologiques (hydrogène, software embarqué, simulateur) qui nourrissent à la fois la performance et des débouchés industriels.Alors que la 38e édition de la Coupe se profile à Naples en 2027, Stéphane Kandler affiche son ambition : capitaliser sur l'expérience de Barcelone pour construire une équipe encore plus compétitive. La France a (re)pris pied dans la Coupe. Il reste désormais à s'y imposer. Et Stephan Kandler en est sûr : jamais cela n'a été aussi possible.Diffusé le 30 Mai 2025Générique : In Closing – Days PastPost-production : Grégoire LevillainHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Secrétaire générale de la classe Figaro Beneteau, Eléonore Jeudi de Grissac a suivi un parcours pas toujours rectiligne, fait de rencontres et de métiers variés, mais jamais bien loin de la mer. Aux Antilles, où elle a vécu vingt ans, puis en Bretagne où le monde de la course au large lui a ouvert les bras.Généreuse et sincère, elle se décrit comme « facilitatrice», toujours aux petits soins pour les skippers de la classe, qu'ils soient bizuths ou présents sur le circuit depuis des années. A 56 ans, cette maman a le sentiment d'être bien où elle est et tient à rendre hommage à sa famille, pour l'amour et la bienveillance dont elle a fait preuve à son égard et lui a permis de se construire.Diffusé le 28 Mai 2025Post production : Grégoire LevillainGénérique : All the summer girlsHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce 214e épisode de Pos. Report est consacré à la voile olympique et aux bateaux volants, avec une invitée unique, Camille Lecointre, avant le coup d'envoi du Grand Prix de l'École Navale à laquelle elle participe en ETF26.Cette dernière commence par revenir sur ses quatrièmes Jeux olympiques en 470, disputés l'été dernier à Marseille avec Jérémie Mion, une belle aventure humaine, mais une déception sportive qui l'a laissée sur sa faim, elle qui visait une nouvelle médaille olympique, après celles de bronze décrochées à Rio avec Hélène Defrance et à Tokyo avec Aloïse Retornaz.Même s'il “ne faut jamais dire jamais”, la page de l'olympisme est désormais tournée pour la navigatrice de 40 ans qui ne gardera que de bons souvenirs de ses presque vingt ans de 470, avec en point d'orgue la medal race des Jeux de Rio. Elle se verrait en revanche bien transmettre son expérience, elle qui se félicite de voir que la relève est assurée en 470 avec Matisse Pacaud et Lucie de Gennes, troisièmes du récent championnat d'Europe de Split.Camille Lecointre explique que comme elle n'avait rien prévu à l'avance, elle a eu une longue phase de réflexion sur son avenir après les Jeux, au point de songer à changer radicalement d'univers, avant de recevoir un coup de fil de Bruno Dubois qui lui a proposé de rejoindre l'équipe de France de SailGP pour la saison 5. Elle raconte la découverte de ce nouvel univers du foil et du F50 et son rôle de tacticienne remplaçante (pour l'instant) de Manon Audinet.Elle explique également comment elle s'est mise à l'ETF26 avec K-Challenge, l'objectif étant de former des femmes aux supports à foil dans la perspective de la prochaine édition de la Women's America's Cup, clairement un objectif pour la Normande. Qui sera donc à partir de mercredi en presqu'île de Crozon pour participer sur ce support au Grand Prix de l'École Navale, avec un équipage composé de Lou Mourniac, Enzo Ballanger et Manon Peyre.Diffusé le 27 Mai 2025Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Grégoire LevillainHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le 15 mai 2025, l'artiste et producteur Passi a réalisé sa carte blanche pour France TV. Un concert capté devant le public de la Machine du Moulin Rouge, à Paris, avec de nombreux invités : Calogero, Bisso Na Bisso, Stomy Bugsy, Neg Marrons, K-Reen, Stavo et Julie Zenatti entre autres. Accompagné de son invité, le rappeur NDO Layams, il répond aux questions de Claudy Siar, Laura Mbakop et Stéphane Linon. Passi feat Stavo et Athaya - MarionnettesPassi feat K-Reen - Hold upPassi feat. J. Mi Sissoko & Jacky Brown - 79 à 97Passi feat NDO Layams - KoalaRetrouvez notre playlist sur Deezer.
Le 15 mai 2025, l'artiste et producteur Passi a réalisé sa carte blanche pour France TV. Un concert capté devant le public de la Machine du Moulin Rouge, à Paris, avec de nombreux invités : Calogero, Bisso Na Bisso, Stomy Bugsy, Neg Marrons, K-Reen, Stavo et Julie Zenatti entre autres. Accompagné de son invité, le rappeur NDO Layams, il répond aux questions de Claudy Siar, Laura Mbakop et Stéphane Linon. Passi feat Stavo et Athaya - MarionnettesPassi feat K-Reen - Hold upPassi feat. J. Mi Sissoko & Jacky Brown - 79 à 97Passi feat NDO Layams - KoalaRetrouvez notre playlist sur Deezer.
Il fût longtemps un technicien de haut vol ; il occupe désormais une place centrale dans l'écosystème de la course au large. Président de l'Imoca depuis 2017, Antoine Mermod, 48 ans, élu par les coureurs, dirige la classe phare des monocoques de 60 pieds. Il a commencé par l'habitable à La Trinité-sur-Mer où la famille passe ses vacances, alors véritable Mecque de la voile dans les années 1990-2000. Étudiant en école d'ingénieur, il se forme au contact de Bruno Peyron, multiplie les coups de main et les expériences avant de plonger dans l'univers des Orma. Avec Karine Fauconnier chez Sergio Tacchini puis au sein du Gitana Team, il vit de l'intérieur l'âge d'or des trimarans de 60 pieds, à une époque où peu d'équipes disposent de bureaux d'études intégrés.Il a à peine 30 ans et déjà beaucoup d'expérience quand il vit son premier Vendée Globe avec Gitana 80 : il dissèque la jauge et découvre les émotions puissantes d'un tour du monde. Il renouvellera l'expérience en 2016-2017 en construisant No Way Back et en gérant le projet de Pieter Heerema. Entre-temps, il est directeur technique des 5 Imoca de la Fnob sur la Barcelona World Race, 2011 puis rejoint les frères Peyron pour participer à l'aventure Energy Team dans la Coupe de l'America.Il est élu président de l'Imoca au printemps 2017, à l'issue du premier Vendée Globe des foilers, lorsque partisans et opposants à la monotypie s'affrontent : l'ingénieur passionné par les protos se retrouve président d'une association de coureurs. Sous sa houlette, l'Imoca va se transformer en une véritable ligue professionnelle (une dizaine de collaborateurs, 1,7 million d'euros de budget), profitant de l'engouement pour le Vendée Globe 2020-2021 et du choix par The Ocean Race - sur sa proposition - de faire des Imoca le support de ses épreuves en équipage.Prochain objectif : faire en sorte que les coureurs, qui prennent tous les risques, vivent mieux de leur sport. Et continuer à vivre les émotions si uniques d'un tour du monde...Diffusé le 21 Mai 2025Générique : In Closing – Days PastPost-production : Grégoire LevillainHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Du lundi au vendredi, Julien Pichené fait le point sur l'actualité des médias. Aujourd'hui, Tomer Sisley devrait être remplacé dans "Notre histoire de France", le nouveau jeu d'Arthur intitulé "Le dernier cercle" diffusé le samedi 7 juin en prime sur TF1, Secret Story reviendra le mardi 10 juin pour une treizième saison, M6 a annoncé son dispositif pour la finale de la Ligue des Champions diffusée le samedi 31 mai et le casting de la prochaine saison des Traîtres a fuité. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce 213e épisode de Pos. Report est consacré à la CIC Normandy Channel Race, dont la 16e édition s'élance le dimanche 25 mai de Caen-Ouistreham, avec trois invités qui seront sur la ligne de départ et ont tous la particularité d'être normands : Guillaume Pirouelle, qui fera équipe avec Cédric Chateau sur Sogestran-Seafrigo, Sophie Faguet, associée à Nicolas Jossier sur Défi Solidaire avec Ellye et l'Arche, et le tenant du titre, Fabien Delahaye, qui sera accompagné sur Legallais par Pierre Leboucher.Chacun revient d'abord sur des derniers mois bien occupés, entre la direction de course du Vendée Globe pour Fabien Delahaye, qui explique que cette expérience lui a permis de voir l'envers du décor d'une telle “machine” ; la Transat Paprec avec Jules Ducelier pour Sophie Faguet, qui revient sur leur abandon à mi-course à bord de Région Normandie ; le Trophée Jules Verne à bord de Sodebo Ultim 3 pour Guillaume Pirouelle, qui raconte une tentative interrompue au bout de 16 jours.Nos trois invités détaillent ensuite comment ils ont repris leur préparation en Class40 en vue de cette saison, une préparation minimale pour Sophie Faguet, puisque sa dernière navigation, avant le convoyage du bateau à Caen, remonte à… la CIC Normandy Channel Race 2024 en septembre dernier. Ils expliquent également à quel point, en tant que Normands, cette course a une importance particulière pour eux et leurs partenaires, et en exposent les particularités, Guillaume Pirouelle la comparant à une “grande étape de Solitaire du Figaro en double en Class40”.Ils finissent par expliquer quels sont leurs objectifs respectifs sur cette CIC Normandy Channel Race, avec des ambitions de victoire pour Fabien Delahaye (qui y participe pour la septième fois, quatre podiums, dont une victoire) et Guillaume Pirouelle (4e l'an dernier), l'envie de retrouver ses repères avec Nicolas Jossier pour Sophie Faguet, en vue du grand rendez-vous de la saison pour tous, la Transat Café L'Or (départ le 26 octobre du Havre).Diffusé le 20 Mai 2025Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Grégoire LevillainHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:47:06 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - Adapté du roman culte d'Alfred Döblin, "Berlin Alexanderplatz" reste l'œuvre la plus monumentale et pourtant méconnue de Fassbinder. Diffusé à la télévision en 1980, restauré en 2007, ce film-fleuve de quatorze heures rappelle qu'il est rare, mais possible, de faire d'un grand roman un grand film. - réalisation : Emily Vallat - invités : Stéphane Döblin; Juliane Lorenz Présidente de la Fondation Fassbinder; Sylvie Rollet Maître de conférence; Lionel Richard Professeur, auteur de nombreux ouvrages consacrés notamment à la littérature allemande.
Pour sa troisième saison, Arnaud Demanche vient tous les matins à 8h20 pour poser son oeil sur l'actualité du jour. Cinq minutes de rire, pour se réveiller avec le sourire !
Ce 212e épisode de Pos. Report revient sur la Transat Paprec 2025 avec deux navigatrices qui ont terminé sur le podium, Charlotte Yven (Skipper Macif), victorieuse pour la deuxième fois consécutive, cette fois avec Hugo Dhallenne, et la “locale de l'étape”, Cindy Brin, qui vit à Saint-Barthélémy et a créé une grosse surprise en prenant la troisième place sur Cap St Barth avec Thomas André.Cette dernière commence par raconter les émotions de l'arrivée, confiant n'avoir pris conscience de l'effervescence autour d'elle qu'une fois la ligne franchie, tant elle était concentrée. Elle explique également comment elle a monté ce projet, challengée il y a deux ans à Concarneau par un élu de la collectivité de Saint-Barth, et aidée par Eric Péron.Charlotte Yven confie quant à elle qu'elle a encore du mal à réaliser qu'elle a remporté la Transat Paprec pour la deuxième fois, rejoignant ainsi le seul double vainqueur à ce jour, Armel Le Cléac'h, elle revient sur la manière dont elle a préparé la course avec Hugo Dhallenne, sélectionné en fin d'année dernière pour succéder à Loïs Berrehar au sein du dispositif Skipper Macif.Nous refaisons ensuite le match de la course, Cindy Brin racontant notamment l'émotion d'un parcours côtier bouclé en tête puis “la peur de sa vie” au passage de La Palma (Canaries), lorsque le Figaro 3, surtoilé, s'est couché plusieurs fois sur l'eau. Les deux navigatrices détaillent les derniers jours de course, avec un regroupement général à l'approche des Antilles dans une bulle sans vent qui a nécessité une certaine stabilité émotionnelle, ce qui, selon Cindy Brin, n'a pas été évident à gérer.Charlotte Yven raconte comment elle et Hugo Dhallenne sont finalement parvenus à creuser un petit écart à une demi-journée de l'arrivée pour finalement s'imposer dans quasiment le même temps que deux ans plus tôt (un quart d'heure d'écart !). Nous finissons par évoquer la suite du programme, avec la Solitaire du Figaro Paprec comme objectif prioritaire pour la skippeuse de Macif, l'envie de continuer en Figaro pour Cindy Brin, qui va toutefois reprendre dès mercredi son poste de monitrice de voile au Yacht-Club de Saint-Barth.Diffusé le 13 Mai 2025Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Grégoire LevillainHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce 211e épisode de Pos. Report reçoit Paul Meilhat, skipper de l'Imoca Biotherm, à bord duquel il a pris fin janvier la cinquième place de la dixième édition du Vendée Globe.Il commence d'ailleurs par raconter comment il a vécu son après-Vendée Globe, entre vacances scolaires en famille et retour assez rapide au chantier pour préparer la saison 2025. Il revient ensuite sur la course, qu'il aura démarrée un peu en retrait, le temps d'apprivoiser ses nouveaux foils, installés peu avant le départ, et terminée en mode régate au sein d'un groupe de six-sept concurrents.Avec à l'arrivée une cinquième place qu'il considère comme une “réussite” au regard de l'ensemble d'un projet qui n'aura pas été de tout repos, entre enchaînement des courses, dont The Ocean Race 2023, contraintes budgétaires et pépins techniques.Nous évoquons ensuite avec lui la suite du programme, qui, cette année, va se concentrer pour Biotherm sur The Ocean Race Europe, avec des objectifs affichés de performance et un équipage dont le skipper nous dévoile la composition. Paul Meilhat travaille parallèlement sur le montage de son projet prioritaire pour la suite, la participation à la prochaine édition de The Ocean Race (en 2027), confiant avoir fait le choix de ne pas lancer de nouvelle construction, pour des raisons de coût, d'impact écologique et de temps de mise au point.Quid du Vendée Globe 2028 ? Le cinquième de la dernière édition n'a pour l'instant pas la réponse, mais confie que s'il doit y retourner, ce sera pour vivre une histoire différente.Diffusé le 6 Mai 2025Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Grégoire LevillainHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Il disposait probablement du plus petit budget de cette édition du Vendée Globe : 900 000 € au total pour les trois saisons et la course, qu'il termine en 27e position, après un peu plus de 91 jours de mer. Pas question pour Sébastien Marsset, malgré ces bouts de ficelles, de renoncer à la régate : d'où le concept de "sobriété performante" revendiqué par le Nantais, né à Paris voilà un peu plus de 40 ans.Formé sur le tas, à l'école de l'habitable et du convoyage, d'abord, à l'Ecole nationale de voile où il passe son brevet d'Etat, ensuite, il se lance, après de nombreuses régates en équipage, dans le circuit mini : 4 saisons d'apprentissage, avant d'être recruté comme petite main chez Groupama, pour des coups de main techniques ponctuels. Toujours dispo, toujours candidat, il finit par être embarqué comme technicien et navigateur de moins de 30 ans remplaçant d pour la Volvo Ocean Race 2011-2012 remportée par l'équipe de Franck Cammas.Le solide gaillard, connu pour son impact physique et son engagement, change de dimension, le téléphone se met à sonner : l'équipe Spindrift l'appelle pour naviguer sur l'ex Maxi Trimaran Banque Populaire, puis c'est Alvimedica qui l'engage pour la Volvo 2014-2015 - où il court, cette fois, toutes les étapes sauf une - avant de retourner boucler un Trophée Jules Verne avec Spindrift, sans parler des circuits GC32 et match racing avec l'équipage de Yann Guichard.Il passe ensuite au solo en Claass40 mais doit abandonner le Rhum 2018, enchaîne avec la Solitaire l'année suivante avant d'être recruté par Romain Attanasio sur son projet Imoca. C'est là que son projet de Vendée Globe prend corps, un peu ralenti par le Covid l'année suivante. En 2021, il accomplit une nouvelle saison avec Romain Attanasio, sur l'ex-Malizia, goûtant au foiler, mais il est temps de voler de ses propres ailes en Imoca : en 2022, il achète l'ancien Delta Dore à Erik Nigon et se lance dans les qualifs du Vendée Globe, montant une petite équipe commando qui l'emmène au départ avec le plus vieux bateau de la flotte.Un Vendée Globe où il prend du plaisir, malgré une remontée de l'Atlantique difficile, et qui lui donne immédiatement envie de recommencer ! Mais pas à n'importe quel prix, lui qui sait les sacrifices que demande cette épreuve : pour 2028, Sébastien veut jouer avec les foilers, visant un bateau d'occasion de la génération 2020 et un budget largement redimensionné. Trois mois après son retour, il y travaille déjà - "le large me manque".Diffusé le 5 Mai 2025Générique : In Closing – Days PastPost-production : Grégoire LevillainHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Rares sont les marins à avoir goûté à autant de supports, si jeune : à 35 ans, Sam Goodchild, qui vient de boucler le Vendée Globe à la 9e position après 76 jours de course, n'a que le mot "apprendre" à la bouche. Alors, depuis qu'à 15 ans il s'est mis en tête de boucler le tour du monde en solitaire, le jeune Anglais multiplie les expériences.Après une jeunesse vécue aux Antilles sur le bateau familial, il rentre en Angleterre en pension puis intègre le circuit habitable et goûte au match racing, toujours partant pour filer un coup de main pour bricoler. C'est comme ça qu'il rencontre Alex Thomson et Mike Golding et vit le Vendée Globe 2008 de l'intérieur, après des premières transatlantiques et transpacifiques. Il a à peine 18 ans et arrête ses études : il sera marin.Il entre à l'Artemis Offshore Academy, et se lance en Figaro, pour quatre saisons : un apprentissage rude mais précieux, d'autant que, déjà, à côté, il multiplie les piges en Class40, gagnant la Normandy Channel Race en 2012. Quelques mois plus tard, il tombe à la mer lors de la deuxième étape de la Global Ocean Race, récupéré après 40 minutes à l'eau par son équipier Conrad Colman.Pendant ces riches années, il navigue en VOR65, en MOD70, en Imoca, désormais reconnu par les marins français, qui apprécient sa polyvalence... et son français parfait ! Habitué aux projets des autres, il se lance en Class40 pour le Rhum 2018, soutentu par Netflix, mais il démâte quelques jours après le départ. L'année suivante, il fait la rencontre de Leyton, qui lui confie la barre du Figaro, puis celle de l'Ocean Fifty.Cette fois, il a son propre projet, deux saisons complètes - dont une 3e place sur la Transat Jacques Vabre - et un statut de favori au départ de la Route du Rhum 2022 ; malheureusement, il est gravement blessé par sa colonne de winch dès le départ et doit renoncer.La suite était déjà écrite : à peine remis, il prend la barre de l'ancien Imoca de Thomas Ruyant et intègre la structure du Nordiste pour préparer le Vendée Globe, enfin ! En deux saisons, il accumule les places de 3e et décroche un titre de champion du monde Imoca, participe à The Ocean Race avec Holcim PRB, démâte quelques semaines avant le départ mais prend le départ de son tour du monde en solo serein et heureux.Il avait deux objectifs : terminer classé et prendre du plaisir. Objectifs atteints, et maintenant ? Sam Goodchild reconnaît que se remettre en selle n'est pas forcément évident et que réaliser son rêve est un peu vertigineux. Mais, désormais, courir autour du monde n'est plus un rêve, c'est son métier, et il a bien l'intention de continuer à le pratiquer.Diffusé le 22 Avril 2025Générique : In Closing – Days PastPost-production : Grégoire LevillainHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le véritable post-partum, c'est un corps qu'on n'a plus envie de regarder dans la glace et qu'on n'a pas le choix d'exhiber à son mec et à une sage-femme au milieu de son salon. C'est un vagin douloureux et recousu, un ventre mou et bas et des cernes jusqu'aux oreilles. La réalité du post-partum c'est une maison en état de délabrement et des cafés angoissés avalés après une nuit blanche. La réalité du post-partum c'est une grande solitude face aux questions qu'on se pose en permanence : vomi, régurgitations, stérilisation, selles, urines, pleurs, coliques, douleurs. La vérité du post-partum c'est d'être angoissée parce que personne n'a de réponses à vos questions, ni ne vous dit que c'est bien ce que vous faites ou « va te reposer je prends le relais ». C'est comme ça, pour tout le monde. Voilà le message précieux de ce documentaire, « Naître mère » diffusé sur France 3 et disponible en replay sur la plateforme France TV. On a rencontré l'une des deux réalisatrices, Armelle de Rocquigny, pour parler de ce qu'on ne dit pas assez sur la naissance d'une mère.Naître mère, écrit et réalisé par Cécile Khindria et Armelle de Rocquigny, coproduction Les beaux docs/ASLC Productions avec France Télévisions. Diffusé en novembre 2024 sur France 3 Bourgogne-Franche-Comté et disponible sur la plateforme france.tv.Mères, un podcast produit et réalise par le magazine Les Louves, présenté par Marine Deffrennes, journaliste, co-fondatrice des Louves et mère de deux enfants.Pour réagir, proposer un sujet ou un témoignage, écrivez-nous sur contact@leslouves.com. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:28:15 - Les musiciens d'orchestres baroques IX : hautbois et bassons (2/4) : hautboïstes français - par : Christian Merlin - En raison d'un appel à la grève déposé par les syndicats CFDT, CGT, FO, SNJ, SUD et UNSA de Radio France contre le projet de holding de l'Audiovisuel Public, nous ne sommes pas en mesure de diffuser l'intégralité de nos programmes habituels. Nous vous prions de nous en excuser. - réalisé par : Marie Grout
Il parle d'une voix calme et tranquille, mais sous chaque intonation percent les convictions et une passion pour son métier, qu'il Sur le papier un destin de cadre sup à La Défense l'attendait à la sortie de son école de commerce. Mais tout ne s'est pas passé comme prévu. Et 10 ans plus tard, Benjamin Ferré s'est retrouvé au départ du Vendée Globe, bouclé en un peu moins de 85 jours, premier bateau à dérives.En retraçant son parcours, on comprend que la route initiale n'était pas aussi tracée que cela. Pas beaucoup de bateau pendant sa jeunesse, mais beaucoup de sport ; un tour du monde en stop pendant son année de césure - quand ses camarades de promo enchaînaient les stages - dont il revient changé ; une traversée de l'Atlantique au sextant avec des copains ; une expérience en start-up et très vite le goût de l'entrepreneuriat, puisqu'il crée sa boîte et multiplie les projets.Et puis, un jour à Paris, un dîner avec un concurrent de la Mini Transat, rencontré par hasard, va tout changer. Il se lance dans la préparation de l'édition 2019 en rachetant le bateau de Clarisse Crémer. Tout aurait pu s'arrêter en 2018 avec une double hernie discale, mais il surmonte l'obstacle, progresse à vitesse grand V pour finir par décrocher un podium en bateau de série.S'il se fait plus discret ensuite, c'est qu'il réfléchit avec beaucoup de méthode au Vendée Globe. En est-il capable ? Un dîner avec Jean Le Cam va faire tomber la dernière barrière et sceller entre les deux hommes une relation forte et durable. Après des mois de travail, il trouve de quoi acheter l'ancien Banque Populaire avec lequel Clarisse Crémer vient de terminer son premier Vendée Globe et signe avec Monnoyeur.La marche est haute, mais comme pour la Mini Transat, Benjamin Ferré va beaucoup travailler et beaucoup naviguer, enchaînant les courses et les performances pendant les 2 années de préparation. Résultat : un Vendée Globe marqué par une bataille homérique avec Tanguy Le Turquais, qu'il devance de 16 minutes pour la première place des "dériveurs".Et maintenant ? Priorité aux proches, la famille, les amis. Mais l'homme de projets, devenu marin, a beaucoup d'envies, et pas que dans la voile...Diffusé le 21 Mars 2025Générique : In Closing – Days PastPost-production : Grégoire LevillainHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.