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Tout nouveau team manager du projet Macif, Thierry Douillard raconte dans Into The Wind comment il a basculé d'une vie de marin et de coach à un rôle de chef d'orchestre. Succédant à Jean-Luc Nélias à la tête d'une équipe qui a beaucoup gagné avec Charlie Dalin, il découvre un poste où se mêlent technicité, management et relation partenaires. Une fonction à la fois sportive et stratégique, au cœur de MerConcept, la structure qui gère plusieurs projets, dont ceux de Massif, SVR-Lazartigue ou UpWind.Navigateur d'expérience, Douillard revient sur un parcours nourri d'équipages plus que de solitaire, entre Tour de France à la voile, match racing et grandes campagnes internationales. Champion du monde de match racing en 2006 aux côtés de Peter Gilmour, il a longtemps évolué dans le cercle fermé des spécialistes, avant de s'engager dans deux campagnes de Coupe de l'America, à Auckland et à Valence, au sein des défis français.Il raconte aussi son long compagnonnage avec Thomas Coville et Sodebo, au sein de la cellule météo, où il participe à toutes les tentatives de record autour du monde, jusqu'au succès de 2016 en 49 jours. Une expérience marquante, où se mêlent pression technique, décisions lourdes de conséquences et une relation d'amitié indéfectible avec le skipper. De Spindrift aux Extreme Sailing Series en passant par Oman Sail, son itinéraire s'est construit au fil de collaborations multiples, toujours au plus haut niveau.Avec SailGP, Thierry Douillard franchit une nouvelle étape en devenant coach de l'équipe de France en 2020. Au contact direct de Quentin Delapierre et de ses équipiers, il plonge dans l'univers ultra-technologique des F50, où la data et l'analyse en temps réel redéfinissent le rôle de l'entraîneur. Une école d'exigence et de précision, proche de la Formule 1, qui le marque autant humainement que professionnellement.Aujourd'hui, à 50 ans passés, il continue de se réinventer en plongeant dans une nouvelle classe - l'Imoca -, apportant à la fois son regard de marin, son expérience internationale et une culture de la gagne acquise sur tous les circuits.Diffusé le 3 octobre 2025Générique : In Closing – Days PastPost-production : Grégoire LevillainHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce 228e épisode de Pos. Report refait le match de la 56e édition de la Solitaire du Figaro Paprec en compagnie des trois marins qui ont terminé sur les trois premières marches du podium, dans l'ordre Alexis Loison (Groupe Réel), Charlotte Yven (Skipper Macif 2023) et Arno Biston (Article.1).Tous les trois commencent d'ailleurs par commenter ce résultat, avec forcément beaucoup de satisfaction pour le vainqueur, qui disputait sa 19e Solitaire, sa dauphine, qui obtient le meilleur classement d'une navigatrice dans l'histoire de la course, et le troisième, pas forcément attendu sur le podium dans la foulée d'un début de saison difficile, même si, comme il le confie, il avait des arguments à faire valoir, lui qui avait terminé premier bizuth (et 11e au général) en 2024.Nous entrons ensuite dans le vif du sujet de cette 56e édition, chacun revenant dans le détail des trois étapes, avec d'entrée un bon résultat à Roscoff (victoire d'Alexis Loison, deuxième place pour Charlotte Yven, cinquième pour Arno Biston) qui les a mis dans une bonne dynamique. La deuxième s'est jouée en plusieurs temps, avec un passage de dorsale au milieu du golfe de Gascogne qui a vu Skipper Macif 2023 prendre les commandes, avant “un nouveau départ” au cap Finisterre, comme le raconte Arno Biston. Synonyme de regroupement général, il a notamment permis à Alexis Loison, qui a compté à un moment 11 milles de retard sur Charlotte Yven, de remonter pour finir deuxième à Vigo derrière le bizuth Hugo Cardon et devant cette dernière.Sur le podium au général à l'issue de cette deuxième étape, nos trois invités racontent dans quel état d'esprit ils étaient avant de quitter l'Espagne, entre volonté de ne pas se laisser perturber ces considérations de classement, mais forcément un oeil à garder sur leurs concurrents principaux.Au final, tous ont conservé leurs positions respectives pour décrocher un résultat marquant, Alexis Loison donnant au passage quelques clés de sa réussite sur cette édition. Et tous comptent bien revenir sur la Solitaire, dès l'an prochain pour Arno Biston, “dans deux ou trois ans” pour Alexis Loison qui vise une 20e participation, mais avant cela la Route du Rhum 2026 en Class40, tandis que Charlotte Yven veut prendre le temps de la réflexion, elle qui dispute sa dernière saison au sein du dispositif Skipper Macif.Diffusé le 30 Septembre 2025Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Grégoire LevillainHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
DARKNIGHT | SESSION LIVE Welcome to the real world ! Produit par JÜJÜ sur MAX FM 94.5 (Entre 2004 et 2005). DARKNIGHT est maintenant en podcast tous les lundis, sur darknight.fr. Programmée sur Max FM de septembre 2004 à juillet 2005, DARKNIGHT était une émission fait référence à la tentative d'un genre de se transmettre dans un nouveau domaine intellectuel de curiosité musicale. Qui partait du principe que les musiques électroniques ne sont pas uniquement destinées à être diffusées le week-end ! Diffusée sur la région de Grenoble. (avec plus de 500 000 auditeurs potentiels), DARKNIGHT te proposait un programme varié hors du commun.
Rythmologie fait le pont entre les musiques dont la rythmique puise ses origines dans les musiques primitives africaines. Diffusés depuis mai 2003 à Montréal, nous avons reçu des invités tels que Robert Glasper, Nomadic Massive, Kokolo, Philarmonix, Nu-Mark, Marc De Clive-Lowe, PPP, Atach Tatuq, John Arnold, Miles Clerett, Quantic, Kobal, Andy Williams, Scott C, Jneiro Jarel, Robert Strauss, Tom Tom, Moonstarr, Dessy Dilauro et Ric'key Pageot, Ghislain Poirier et Roots Manuva, Jurassic 5, Voice, Nomadic Massive, Divine Brown et Sa-Ra Creative Partners.
On se rappelle tous des vacances de Noël, sous un plaid avec un chocolat chaud devant un "Astérix" ou un "Maman, j'ai raté l'avion". Des films devenus une madeleine de Proust pour plusieurs générations grâce à leurs multiples rediffusions par les chaînes de télévision françaises. Mais seriez-vous capable de citer ceux qui sont passés le plus de fois sur nos petits écrans ? C'est ce qu'on va décrypter dans cet épisode. Mais pourquoi diffuser autant de fois les mêmes films à la télévision ? Et quel est le grand gagnant ? Écoutez la suite dans cet épisode de "Maintenant vous savez ". Un podcast écrit et réalisé par Jonathan Aupart. Date de première diffusion : 15/10/2021 À écouter aussi : Pourquoi faut-il s'inquiéter du vol de nos données personnelles ? Qu'est-ce que la consanguinité de l'IA ? Pourquoi la santé mentale des étudiants se dégrade-t-elle ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez". Suivez Bababam sur Instagram. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Ce 227e épisode de Pos. Report reçoit une invitée unique, Amélie Grassi, pour une heure d'échange sur son année 2025 chargée, puisque la navigatrice de 31 ans passe d'un projet à l'autre, entre Ultim, Imoca et Class40.Elle commence par évoquer son hiver dernier passé, avec l'équipe SVR Lazartigue, à enchaîner les départs et retours au port sur le Trophée Jules Verne, projet qui, s'il n'a pu être mené à bien, a permis à l'équipage d'enchaîner environ 40 jours de navigation et de beaucoup progresser sur l'Ultim qui sera mené sur la prochaine Transat Café L'Or par Tom Laperche et Franck Cammas. Un Ultim qui n'a désormais plus beaucoup de secrets pour Amélie Grassi, au point qu'elle confie se sentir aujourd'hui en capacité de mener un tel bateau en double ou en solo.Nous ouvrons ensuite la page Imoca, notre invitée raconte comment, après une première expérience en 2023 sur trois étapes de The Ocean Race, elle a été rappelée à son retour du Vendée Globe par Paul Meilhat dans un rôle de co-skippeuse du projet en vue de The Ocean Race Europe. Ce qui lui a permis d'étoffer encore son panel de compétences puis de disputer l'intégralité du tour de l'Europe, avec la victoire et un quasi grand chelem à la clé. Elle détaille les ingrédients de ce succès, entre projet arrivé à maturité, ambiance au sein de l'équipe et sorte d'état de grâce qui a connu son apothéose lors d'une ultime victoire marquante samedi dernier au Monténégro.Amélie Grassi raconte ensuite comment Paul Meilhat lui a proposé de poursuivre l'aventure avec lui et le bateau, avec dans le viseur The Ocean Race en 2027 en équipage et le Vendée Globe 2028 pour elle, ce qui passe, bien évidemment, par la quête de sponsors, puisque le partenariat avec Biotherm arrive à échéance. Nous terminons avec la Globe40, la navigatrice explique pourquoi elle a accepté d'accompagner Ian Lipinski et Antoine Carpentier sur cette course certes moins relevée d'un point de vue sportif, mais qui va lui permettre de découvrir les mers du Sud et de nouvelles destinations.Diffusé le 23 Septembre 2025Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Grégoire LevillainHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le 22 septembre 1994, un jeudi soir, les téléspectateurs de la chaîne NBC découvraient un nouveau sitcom. Personne ne se doutait alors que ce premier épisode allait lancer l'une des séries les plus emblématiques de l'histoire de la télévision. Cette série, c'était Friends.Trente-et-un ans plus tard, Friends reste un phénomène mondial. Plus qu'une simple comédie, c'est une série qui a traversé les générations, marqué l'imaginaire collectif et défini une façon de représenter New York. Car oui, si Monica, Chandler, Ross, Rachel, Joey et Phoebe sont les héros… le décor, c'est New York. Et New York est bien plus qu'une toile de fond : c'est presque un personnage.Retrouvez tous les liens des réseaux sociaux et des plateformes du podcast ici : https://linktr.ee/racontemoinewyorkHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Vous ne trouverez pas de page Wikipedia pour Hervé Le Quilliec. Il est plutôt du genre homme de l'ombre, spécialiste des opérations à terre, des logistiques impossibles quand un bateau démâte à l'autre bout du monde ou des villages de course montés dans les temps, loin à l'étranger. Avec trois décennies d'expérience dans ce monde jusqu'ici très anglo-saxon, il est l'un des meilleurs experts du sujet... et a beaucoup de bonnes histores à raconter.Né à Vannes, élevé en Guadeloupe puis formé à l'école hôtelière de Bordeaux, il découvre la régate à La Rochelle. Il trouve sa voie aux côtés de Lionel Péan à Saint-Malo, avant de passer près de dix ans comme navigant au sein d'une des plus belles équipes de course des années 1990 : le Corum Sailing Team.La trentaine venue, il rentre dans le rang et pose sac à terre : une famille, un master dans une école de commerce et un job au siège du Club Med à Paris. Mais il est rattrapé par le destin chez son employeur qui se lance dans The Race avec Grant Dalton, dont il va coordonner le projet victorieux.Il suit le skipper kiwi et vit sa première Volvo Ocean Race avec l'équipe Amer Sports. Cette course autour du monde deviendra son fil rouge, de Brasil 1 en 2005-2006 à Ericsson Racing Team en 2008-2009, puis avec Groupama Sailing Team sur la victoire de Franck Cammas en 2011-2012. Au total, il compte huit participations, toujours dans des fonctions d' "operations manager", un job stratégique sur ces évènements itinérants sur cinq continents.Hervé Le Quilliec goûte aussi à la Coupe de l'America toujours chez Groupama Team France aux Bermudes et Luna Rossa en Nouvelle-Zélande, mettant aussi son expertise au service de projets comme Energy Observer Art Explora, le catamaran-musée imaginé par Frédéric Jousset, qu'il accompagne dans ses escales méditerranéennes. Partout, le même savoir-faire : trouver les sites, organiser les flux, sécuriser les opérations.A 62 ans, il vient de boucler The Ocean Race Europe et prépare activement son neuvième tour du monde, avec The Ocean Race 2027. Une épreuve devenue, au fil de sa longue carrière, un "style de vie".Diffusé le 19 septembre 2025Générique : In Closing – Days PastPost-production : Grégoire LevillainHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Rythmologie fait le pont entre les musiques dont la rythmique puise ses origines dans les musiques primitives africaines. Diffusés depuis mai 2003 à Montréal, nous avons reçu des invités tels que Robert Glasper, Nomadic Massive, Kokolo, Philarmonix, Nu-Mark, Marc De Clive-Lowe, PPP, Atach Tatuq, John Arnold, Miles Clerett, Quantic, Kobal, Andy Williams, Scott C, Jneiro Jarel, Robert Strauss, Tom Tom, Moonstarr, Dessy Dilauro et Ric'key Pageot, Ghislain Poirier et Roots Manuva, Jurassic 5, Voice, Nomadic Massive, Divine Brown et Sa-Ra Creative Partners.
Plongez dans le tout premier talk-show en direct sur le net ! Diffusé sur plusieurs plateformes (Netradio, Radio Actu, et même sur TPS canal 51).
A 31 ans, Thaïs Le Cam va prendre le départ, le dimanche 21 septembre aux Sables d'Olonne, de sa deuxième Mini Transat consécutive en proto, elle qui avait terminé 9e en 2023.Fille de Jean Le Cam, celle qui a fait du bateau toute sa vie a préféré couper avec la compétition à l'adolescence, "j'en avais marre de n'être que la fille de", explique-t-elle. Elle suit alors des études dans le management sportif et l'événementiel international et se découvre une passion pour le sport automobile, qui l'amènera notamment à travailler pour la FIA.Et puis en 2021, après 15 jours au large, seule, l'envie enfouie, mais jamais totalement éteinte, de devenir skippeuse lui fait franchir le pas. Elle fonde l'écurie Frérots Sailing avec Julien Letissier et Valentin Noël et se lance dans l'aventure de la classe Mini 6.50, tout en gardant une activité dans l'événementiel. Quatre ans plus tard, au moment de repartir à l'assaut de l'Atlantique en solitaire, Thaïs Le Cam se sent parfaitement à sa place.Navigantes est animé par Hélène Cougoule et produit par Tip & Shaft.Diffusé le 17 Septembre 2025Post production : Grégoire LevillainGénérique : All the summer girlsHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce 226e épisode de Pos. Report est consacré à la classe Imoca au moment où s'ouvre à Lorient La base la 15e édition du Défi Azimut Lorient Agglomération auquel nos deux invités du jour participent - c'est d'ailleurs leur première course de la saison -, Armel Tripon (Les P'tits Doudous) et Nicolas d'Estais (Café Joyeux).Ce dernier commence par revenir sur le parcours qui l'a conduit à se lancer en Imoca, guidé par l'objectif depuis des années de courir un jour le Vendée Globe. Pour être présent au départ de la prochaine édition, il a réuni un pool de partenaires - certains l'accompagnaient déjà en Class40 - et racheté l'ancien Monnoyeur-For a Job de Benjamin Ferré, le tout pour un budget annuel qu'il estime à 1,5-2 millions d'euros par an, “tout compris”, précise-t-il.Armel Tripon revient quant à lui sur la genèse de son projet Les P'tits Doudous, né après le Vendée Globe 2020 qu'il a terminé à la 11e place, avec la volonté affichée de construire un Imoca moins impactant, ce qu'il a réussi à faire, avec l'aide de VPLP, grâce à l'emploi, à hauteur de 65% sur l'ensemble du bateau, de carbone déclassé de l'aéronautique. Il raconte comment il a dû surmonter un certain nombre d'embûches, notamment budgétaires, pour mener à bien ce projet qui se concrétise sur le Défi Azimut, première course de son 60 pieds.Les deux marins évoquent ensuite les causes respectives qu'ils soutiennent, puis leurs premières navigations cet été, avec des sensations peu à peu retrouvées pour Armel Tripon qui n'avait plus navigué en Imoca depuis son Vendée Globe 2020, et la découverte d'une nouvelle échelle pour Nicolas d'Estais.Ils poursuivent en expliquant leurs choix respectifs de co-skippers pour les 48 heures du Défi Azimut puis la Transat Café L'Or - Tanguy Leglatin pour le premier, le Suisse Simon Koster pour le second -, leurs attentes sur ces deux épreuves et leur programme à venir, d'ici le départ pour Le Havre puis lors des saisons suivantes.Diffusé le 16 Septembre 2025Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Grégoire LevillainHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Rythmologie fait le pont entre les musiques dont la rythmique puise ses origines dans les musiques primitives africaines. Diffusés depuis mai 2003 à Montréal, nous avons reçu des invités tels que Robert Glasper, Nomadic Massive, Kokolo, Philarmonix, Nu-Mark, Marc De Clive-Lowe, PPP, Atach Tatuq, John Arnold, Miles Clerett, Quantic, Kobal, Andy Williams, Scott C, Jneiro Jarel, Robert Strauss, Tom Tom, Moonstarr, Dessy Dilauro et Ric'key Pageot, Ghislain Poirier et Roots Manuva, Jurassic 5, Voice, Nomadic Massive, Divine Brown et Sa-Ra Creative Partners.
Rythmologie fait le pont entre les musiques dont la rythmique puise ses origines dans les musiques primitives africaines. Diffusés depuis mai 2003 à Montréal, nous avons reçu des invités tels que Robert Glasper, Nomadic Massive, Kokolo, Philarmonix, Nu-Mark, Marc De Clive-Lowe, PPP, Atach Tatuq, John Arnold, Miles Clerett, Quantic, Kobal, Andy Williams, Scott C, Jneiro Jarel, Robert Strauss, Tom Tom, Moonstarr, Dessy Dilauro et Ric'key Pageot, Ghislain Poirier et Roots Manuva, Jurassic 5, Voice, Nomadic Massive, Divine Brown et Sa-Ra Creative Partners.
DARKNIGHT | SESSION LIVE Welcome to the real world ! Produit par JÜJÜ sur MAX FM 94.5 (Entre 2004 et 2005). DARKNIGHT est maintenant en podcast tous les lundis, sur darknight.fr. Programmée sur Max FM de septembre 2004 à juillet 2005, DARKNIGHT était une émission fait référence à la tentative d'un genre de se transmettre dans un nouveau domaine intellectuel de curiosité musicale. Qui partait du principe que les musiques électroniques ne sont pas uniquement destinées à être diffusées le week-end ! Diffusée sur la région de Grenoble. (avec plus de 500 000 auditeurs potentiels), DARKNIGHT te proposait un programme varié hors du commun.
Au menu de la troisième heure des GG du mardi 9 septembre 2025 : "Le film Barbie finalement diffusé dans une école du 93" avec Joëlle Dago-Serry, coach de vie, Jérôme Marty, médecin généraliste, et Jean-Loup Bonnamy, professeur de philosophie.
Ce 225e épisode de Pos. Report est consacré au circuit SailGP avant le Grand Prix de France, qui se dispute les vendredi 12 et samedi 13 septembre à Saint-Tropez, nos deux invités étant le skipper et l'entraîneur de l'équipe de France, Quentin Delapierre et Philippe Mourniac.Le premier commence par raconter en quoi la semaine précédant le Grand Prix de France est particulière, entre déplacement à Monza avec une équipe de Canal+ pour le Grand Prix de F1 d'Italie et passage par Paris. Philippe Mourniac explique de son côté comment, après avoir dirigé l'équipe de France de voile olympique, il a accepté de relever un nouveau challenge auprès de France SailGP Team, il évoque sa découverte du circuit et ses spécificités, et notamment la possibilité d'échanger en direct avec le skipper du F50 pendant les régates.Ce dernier revient sur le bilan qu'il a fait de la saison 4 de SailGP, nous revenons ensuite avec nos deux invités sur la saison en cours. Philippe Mourniac détaille la feuille de route fixée en début de saison qui, si elle a été perturbée par des éléments extérieurs - problème d'aile à Auckland, casse à Portsmouth -, a finalement abouti à la victoire à Sassnitz (Allemagne) en août, la troisième de l'histoire de l'équipe de France. Quentin Delapierre raconte en détail le spectaculaire “planter” lors d'une régate d'entraînement, au cours duquel il a été projeté en avant, puis la victoire en finale.Nous finissons par nous projeter sur le Grand Prix de Saint-Tropez et la fin de la saison, avant d'évoquer la future Coupe de l'America, Quentin Delapierre ne cachant pas ses attentes de voir le défi français recruter des experts dans plusieurs domaines clés pour lui permettre de performer à Naples en 2027.Diffusé le 9 Septembre 2025Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Grégoire LevillainHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
De l'achat de son mini 6.50 à l'arrivée de son deuxième Vendée Globe fin janvier 2025, il s'est écoulé... à peine une décennie.Quel parcours que celui de Clarisse Crémer : marqué par des succès sportifs (victoires et podiums sur le circuit Mini, double finisheuse du Vendée Globe) mais aussi des épreuves personnelles et médiatiques qui l'ont profondément transformée. À 35 ans, elle parle avec beaucoup de sincérité de sa vie de navigatrice, de femme et de mère, entre passion de la mer et quête d'équilibre.Ses débuts sont atypiques : issue d'une famille parisienne aisée, passée par HEC, cofondatrice d'une start-up, elle découvre la course au large presque par hasard, dans le sillage de son compagnon Tanguy Le Turquais, avant de s'y engouffrer avec une énergie impressionnante. Mini-Transat, Figaro, puis le Vendée Globe : en dix ans, sa trajectoire fulgurante l'amène au plus haut niveau d'un sport où la légitimité se construit souvent dès l'enfance.Clarisse revient ensuite sur son premier tour du monde en solitaire, bouclé en 2021 à la 12ᵉ place, sous les couleurs de Banque Populaire. Un immense défi, vécu avec des doutes et un sentiment d'imposture, mais aussi comme une révélation intime : la compétition, dit-elle, n'efface jamais sa relation « presque spirituelle » avec la mer. C'est ce mélange de fragilité et de combativité qui la pousse à vouloir repartir, malgré les obstacles.Elle aborde sans détour les épisodes plus sombres, les "affaires" qui la touchent : la rupture avec son ancien sponsor au moment de sa grossesse, les polémiques qui s'ensuivent, puis les accusations de triche un an plus tard, dont elle sera blanchie avec Tanguy Le Turquais. Autant de tempêtes médiatiques qui ont failli la faire renoncer, mais qu'elle décrit comme autant d'occasions d'apprendre à s'affirmer, à dire non et à tracer sa voie.Enfin, elle raconte son second Vendée Globe à bord de L'Occitane, vécu cette fois avec une forme de sérénité. Malgré les avaries et la fatigue, elle savoure le simple fait d'être seule en mer, dans une vie réduite à l'essentiel. À l'arrivée, confie-t-elle, c'est la première fois qu'elle s'est sentie vraiment fière d'elle.Une fierté forgée par l'expérience, les coups encaissés, et le choix assumé de continuer à naviguer, coûte que coûte.Diffusé le 5 septembre 2025Générique : In Closing – Days PastPost-production : Grégoire LevillainHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le Premier ministre, qui engagera la responsabilité de son gouvernement lundi prochain, va continuer de faire entendre sa petite musique via un documentaire dont l'existence était jusqu'ici restée secrète. Michèle Cotta et Patrice Duhamel ont rencontré François Bayrou, évoqué le budget et la difficulté pour lui de convaincre la classe politique de faire des économies. Ce testament politique sera diffusé sur France 2 ou France 3, probablement dans les prochains joursMention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans la famille Mettraux, je demande la grande soeur ! A 41 ans, la talentueuse Elodie-Jane est en effet l'aînée d'une fratrie suisse dédiée à la voile. Si elle a commencé un peu tard la compétition, le bateau a toujours été une évidence pour la navigatrice qui explique, à propos de sa soeur Justine et de ses frères : "Il y avait un peu de saine concurrence entre nous."Elodie-Jane a vite rattrapé son retard en matière de compétition, avec notamment deux participations à la Volvo Ocean Race à son actif (2014-15 avec Team SCA et 2018-19 avec Turn The Tide on Plastic) et un parcours impressionnant en multicoques. Cette année, elle a été nommée co-skippeuse d'Anne-Claire Le Berre sur l'Ocean 50 Upwind by Merconcept, "un projet qui fait sens" dit celle qui disputera fin octobre la Transat Café L'Or.Maman d'une petite fille, la navigatrice suisse n'hésite pas à s'engager en faveur de la parité et la mixité dans la voile, confiant : "On doit se faire respecter et avoir plus d'opportunités d'apprendre pour engranger de l'expérience."Navigantes est animé par Hélène Cougoule et produit par Tip & Shaft.Diffusé le 3 Septembre 2025Post production : Grégoire LevillainGénérique : All the summer girlsHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce 224e épisode de Pos. Report reçoit trois invités qui prendront le dimanche 7 septembre le départ de la 56e édition de la Solitaire du Figaro Paprec, à savoir le tenant du titre Tom Dolan (Kingspan), Chloé Le Bars (Endobreizh) et Romain Bouillard (Décrochons la lune).Tous commencent par raconter comment la Solitaire du Figaro est entrée en dans leur vie et devenue un objectif, Tom Dolan se souvenant notamment l'avoir découverte sur YouTube. Ils expliquent ensuite comment cet objectif est peu à peu devenu réalité au gré de leurs parcours respectifs, avec une entrée en Figaro plus tardive pour Romain Bouillard qui a quitté un job à Paris il y a trois ans pour se lancer.Ils évoquent leurs premiers pas sur le circuit et leurs souvenirs de leur première Solitaire, puis détaillent comment ils ont préparé la 56e édition, avec un budget très restreint pour Chloé Le Bars, qui, faute de partenaires, court cette saison avec seulement 20 000 euros. Ils finissent par parler de leurs objectifs respectifs à quelques jours du départ et de leurs aspirations à plus long terme, le Vendée Globe pour Romain Bouillard et Tom Dolan, rester en Figaro pour Chloé Le Bars, très attachée à ce circuit.Diffusé le 2 Septembre 2025Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Grégoire LevillainHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Diffusé pour la première fois en 1962, Intervilles a fait son grand retour cet été sur France 2, avec quatre émissions en direct !Habituée aux missions périlleuses, Bourgoin-Jallieu n'a pas hésité à envoyer son équipe affronter l'une des villes hôtes, Gap, le 10 juillet dernier.L'occasion de recroiser Bruno Guillon, de faire connaissance avec Camille Cerf… et de vivre une soirée inoubliable.Une aventure humaine intense, malgré une défaite au pied du mur des Champions.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce 223e épisode de Pos. Report, consacré à The Ocean Race Europe, dont le départ de la troisième étape est donné ce mardi 26 août de Carthagène, reçoit l'actuel leader au classement général, Paul Meilhat, vainqueur des deux premières étapes sur Biotherm, le skipper de Paprec Arkéa Yoann Richomme, deuxième au général, et Nicolas Lunven, membre de l'équipage de Holcim-PRB mené par la Néerlandaise Rosalin Kuiper.Déjà présents en 2021 sur la première édition, mais en VOR65, Yoann Richomme et Nicolas Lunven, qui l'avaient emporté sous les couleurs portugaises de The Mirpuri Foundation, racontent comment la course a beaucoup grandi depuis, avec un décorum et une scénographie proches de The Ocean Race, mais également un gros engouement populaire.Nous refaisons ensuite le match des deux premières étapes, Nicolas Lunven revenant sur la collision au départ de Kiel entre Allagrande Mapei et Holcim-PRB qui a conduit les deux équipes à renoncer à disputer cette étape, menée quasiment de bout en bout par Biotherm. Son skipper Paul Meilhat explique comment il a réussi à faire la différence et à quel point il a savouré cette victoire, sa première à la barre de son plan Verdier. Yoann Richomme raconte quant à lui comment il s'est fait souffler la deuxième place en fin de parcours par Malizia.Place ensuite à la deuxième étape, composée de deux tronçons, le premier jusqu'au port commercial de Porto, le second à destination de Carthagène. Les trois marins détaillent les différentes parties de ce double parcours qui aura été riche en rebondissements, mais s'est à chaque fois terminé par la victoire de Biotherm, parvenu notamment au sud de l'Espagne à mieux sortir d'une bulle anticyclonique dans laquelle s'est englué Paprec Arkéa, alors leader.Nous finissons par évoquer la situation au classement général et la troisième étape vers Nice, à laquelle Yoann Richomme, très sollicité depuis la remise à l'eau de son plan Finot-Koch au printemps, a préféré renoncer pour se reposer un peu, remplacé par Yann Eliès.Diffusé le 26 Août 2025Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Grégoire LevillainHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Rejoignez la communauté iWeek et soutenez-nous sur patreon.com/iweek !Voici l'épisode 243 d'iWeek (la semaine Apple), le premier de la saison 6 !Mark Gurman (Bloomberg), notre interview exceptionnelle avant la keynote iPhone 17.Diffusé en Premiere sur YouTube, mardi 26 août 2025 à 18h30. Les enregistrements accessibles en direct sur X, YouTube, et LinkedIn Live reprendront mardi 2 septembre 2025 à 18h30. Un épisode châpitré : profitez-en !Présentation : Benjamin Vincent avec la participation de Gilles Dounès (ex-rédacteur en chef de MacPlus et co-auteur de “iPod backstage“ chez Dunod), Elie Abitbol (ex-président des Apple Premium Resellers en France) et Fabrice Neuman (consultant auprès des petites entreprises et contributeur à "Comment ça marche“).Au sommaire de cet épisode 243 : Mark Gurman (Bloomberg), le journaliste le mieux informé sur Apple et ses projets, est de retour dans iWeek pour une 3ème interview exceptionnelle, à un moment de l'année crucial, maintenant que la keynote iPhone 17 est confirmée officiellement pour le mardi 9 septembre prochain, à 19 heures (heure française).Cette demi-heure avec Mark Gurman est l'occasion pour Benjamin Vincent de passer en revue tous les grands sujets du moment pour Apple : gamme iPhone 17 avec notamment l'iPhone 17 Air, iPhone pliant dans un an, iPhone du 20è anniversaire dans deux ans, retard d'Apple Intelligence et du nouveau Siri, Apple Hub domotique, AirPods Pro avec caméra, incursion d'Apple dans la robotique, avenir du Vision Pro, Apple Glasses, et intérêt pour Perplexity AI et Mistral AI.Ils reviennent évidemment sur le contenu probable de la keynote du 9 septembre avec les nouvelles Apple Watch Series 11, Ultra 3 et SE et l'éventualité de l'annonce des AirPods Pro 3 et d'un nouvel Apple TV.Pas de bonus hebdo exclusif, cette semaine, pour cause d'épisode exceptionnel mais, après le générique de fin, profitez de l'interview de Mark Gurman en version originale (anglaise sans doublage).Merci à tous nos soutiens Patreon, rejoignez-les et aidez-nous à démarrer au mieux cette 6è saison en allant sur patreon.com/iweek.Rendez-vous mardi 2 septembre 2025 à partir de 18h30 (nouvel horaire) pour le 2è épisode de la saison 6 dont l'enregistrement sera à suivre en direct sur X, YouTube et LinkedIn Live.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
À 41 ans, Louis Duc a bouclé le dernier Vendée Globe au terme d'une aventure marquée par la ténacité. De cette expérience fondatrice, le skipper normand confie sans détour la difficulté de s'en remettre, l'amnésie étrange des premières semaines après l'arrivée, et ce besoin irrépressible d'y retourner : « J'ai vécu un truc extraordinaire… mais pas fini ».La carrière de Louis Duc ne ressemble à aucune autre. Né à Cherbourg, élevé à Carteret, il découvre la mer dans un doris de récréation et construit ses rêves dans les pages des magazines. L'école, très peu pour lui : il arrête à 17 ans pour apprendre le composite chez JMV à Cherbourg, puis chez Foncia aux côtés d'Alain Gautier. Il multiplie ensuite les embarquements, achète un mini en épave, le retape, prend le départ de la MiniTransat en 2005, démâte en mer, regrée, arrive à Dakar et revient… embarqué par la Marine nationale ! L'histoire est rocambolesque, mais fonde un style : celui d'un artisan, déterminé et passionné.Ce goût pour les aventures hors-normes le conduit ensuite en Class40, où il monte avec trois associés un projet basé en Normandie avec un bateau d'occasion pendant 3 saisons. Ensemble, ils construisent ensuite en 2017 un bateau neuf et innovant signé Marc Lombard - le premier Lift - , et Louis Duc se retrouve pour la première fois à la tête d'un projet financé et compétitif. Malgré des hauts et des bas – abandon sur la Route du Rhum 2018, 5e place avec Aurélien Ducroz lors de la Transat Jacques Vabre 2019 –, "P'tit Louis", comme on l'appelle, est devenu grand. Malheureusement, lors du convoyage retour, dans un coup de vent proche des Açores, lui et son équipier sont doivent abandonner le bateau...Une épreuve marquante, mais Louis Duc est tenace et se lance ensuite dans son premier Vendée Globe, sur un bateau reconstruit à partir d'une coque incendiée. Louis boucle l'épreuve, malgré les avaries de voile et les moyens limités. Il en tire un mélange de fierté – "je l'ai fini" – et aussi de frustration – "je pouvais faire mieux". Depuis, il prépare la suite, avec l'envie de passer sur un foiler, mais sans illusion sur la difficulté à financer un projet à 4 ou 5 millions d'euros.Le Vendée Globe 2028 en ligne de mire, Louis Duc incarne une autre voie : celle d'un marin d'artisanat et de convictions, enraciné en Normandie, attaché au collectif, et toujours avide d'apprendre. Un skipper "normal", comme il aime à le dire, mais dont le parcours, lui, ne l'est décidément pas.Diffusé le 22 août 2025Générique : In Closing – Days PastPost-production : Grégoire LevillainHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
A 52 ans, Carolijn Brouwer est une figure emblématique de la course au large et de la voile légère. Actuellement membre de l'équipage Holcim-PRB engagé dans The Ocean Race Europe, elle compte en effet à son actif trois participations à la Volvo Ocean Race (désormais The Ocean Race), dont une victoire avec Dongfeng Race Team en 2018 aux côtés de Charles Caudrelier, un moment "inoubliable". La Belgo-Néerlandaise, qui, auparavant, a disputé trois fois les Jeux Olympiques sur trois supports et pour deux pays différents et a été élue deux fois Marin féminine de l'année par World Sailing, à vingt ans d'intervalle (1998 et 2018), raconte que c'est sa participation à la Volvo 2014-2015 avec l'équipe 100% féminine de Team SCA qui lui a "ouvert beaucoup de portes" et permis aujourd'hui d'être une navigatrice aussi expérimentée que convoitée lorsqu'il s'agit de monter des équipages de large. Une belle récompense pour celle qui a grandi au Brésil et tiré ses premiers bords dans la baie de Rio, et parle six langues, dont le français, parfaitement. La preuve dans ce premier épisode de la saison 4 de Navigantes.Navigantes est animé par Hélène Cougoule et produit par Tip & Shaft.Diffusé le 20 Août 2025Post production : Grégoire LevillainGénérique : All the summer girlsHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque mercredi, du 23 juillet au 13 août, Navigantes vous propose sa série estivale baptisée Un été Figaro. L'occasion d'écouter ou de réécouter quatre épisodes dont les invitées sont des actrices du circuit Figaro Beneteau, dont le grand rendez-vous de la saison, la Solitaire du Figaro Paprec, s'élancera début septembre. Deuxième invitée : Jeanne Grégoire. Écoutez-la dans Navigantes #54, enregistré le 8 janvier 2025.--Pendant plus de dix ans, dans les années 2000, Jeanne Grégoire a marqué l'histoire du circuit Figaro, d'abord parce qu'à l'époque, les femmes étaient rares sur les pontons, ensuite parce qu'elle a longtemps signé la meilleure performance féminine sur la Solitaire, 5e en 2008."J'étais très fière", reconnaît-celle qui se réjouit aujourd'hui de ne plus être la seule, rejointe depuis par Charlotte Yven, également 5e en 2024. "Je suis contente parce que Charlotte, en plus de finir 5e l'an dernier, a fait un podium d'étape, ce que je n'ai jamais réussi à faire."A 48 ans, Jeanne Grégoire est aujourd'hui la directrice du pôle Finistère course au large de Port-la-Forêt, dont elle porte les valeurs et qu'elle fait avancer comme "une micro société", prenant à bras le corps les défis qui s'offrent à elle.Navigantes est animé par Hélène Cougoule et produit par Tip & Shaft.Rediffusé le 30 juillet 2025 Diffusé le 8 janvier 2025Post production : Grégoire LevillainGénérique : All the summer girlsHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Alors que la Grande Boucle s'achève ce week-end, le Tour de France confirme son statut d'événement sportif majeur et de levier économique d'envergure. Marques, collectivités et tourisme : chacun y trouve son compte dans une mécanique bien rodée. Décryptage. Si vous regardez une étape du Tour de France, ne serait-ce qu'une minute, vous serez frappé par la densité de marques à l'écran. Entre les sponsors affichés sur les maillots des coureurs, les logos diffusés en direct ou les produits portés par les spectateurs, ce sont des dizaines de noms qui s'invitent dans le paysage. À cela s'ajoutent les coupures publicitaires et les commentaires des journalistes, eux aussi ponctués de mentions de partenaires. Diffusé dans 190 pays, le Tour est une vitrine de choix pour les marques, qui profitent d'une exposition exceptionnelle. Sur les routes également, la visibilité est maximale grâce à la célèbre caravane publicitaire. Il s'agit là d'un cortège de 150 véhicules représentant plus de 35 enseignes, distribuant des dizaines de milliers de goodies. Symbole de ce phénomène, Cochonou écoule chaque année sept tonnes de saucisson pendant la course, et voit son chiffre d'affaires bondir de 25 % à cette occasion. Un investissement rentable pour les sponsors Certaines entreprises vont encore plus loin en associant leur image aux maillots distinctifs. Leclerc, sponsor du maillot à pois, investit plusieurs millions d'euros chaque année pour figurer sur le Tour. Pourquoi ? Parce que cette présence renforce leur proximité avec le public français, et donc leur base de clients potentiels. L'événement représente une opportunité unique de communication de masse, avec une image positive, familiale et populaire. La logique est simple, plus de visibilité, plus d'adhésion, et in fine, plus de ventes. À écouter aussiVélos, sponsors et soft power : l'économie sur la route du Tour de France Les villes aussi y gagnent Accueillir une étape du Tour de France a un coût : 65 000 euros pour un départ, plus de 100 000 euros pour une arrivée. Mais cela ne décourage pas les communes, bien au contraire. Chaque année, plus de 200 d'entre elles postulent. Car si l'investissement est conséquent, les retombées économiques sont réelles. Exemple à Brest, ville de départ en 2021, où chaque euro investi aurait généré trois euros de bénéfices : hébergements complets, restaurants remplis, animations locales et surtout, une exposition médiatique mondiale. Le Tour agit ainsi comme un moteur de tourisme, avec des visiteurs qui consomment, dorment sur place, et font tourner l'économie locale bien après le passage des coureurs. Le Tour de France est ainsi bien plus qu'un événement sportif. Il s'agit d'un véritable phénomène économique itinérant, qui profite autant aux entreprises qu'aux collectivités. Grâce à lui, c'est tout un pays qui se vend et se montre, chaque été, aux yeux du monde entier.
Sur le papier, c'est le parcours idéal ; dans les faits, des trajectoires comme les siennes sont rares, et il le rappelle : "Voile olympique et course au large sont deux disciplines différentes". Pierre Leboucher a longtemps été un pur produit du 470, qu'il a pratiqué pendant plus de dix ans avec Vincent Garos. Ensemble, ils remportent plusieurs titres de champion de France, des étapes de Coupe du monde, des médailles européennes et mondiales, et décrochent leur sélection pour les Jeux olympiques de Londres en 2012. Ils y terminent à la 7e place, frustrés de ne pas avoir concrétisé leur potentiel, mais fiers du chemin accompli.En 2016, Pierre Leboucher change de cap. Ingénieur au bureau d'études d'AG+ Spars, il plaque tout et fait "all in" pour se consacrer à la course au large et entame une nouvelle vie de figariste, d'abord sur ses fonds propres, puis sous les couleurs de Guyot Environnement pendant quatre saisons. Dans cette discipline exigeante, il se forge une solide réputation, jusqu'à remporter une étape de la Solitaire du Figaro en 2021 et signer plusieurs tops 10 au général.Depuis, le Nantais explore tous les supports : Figaro, Class40, Ocean Fifty, Ultim. Équipier aussi discret qu'efficace, il enchaîne les embarquements, avec Fabien Delahaye sur le circuit Class40 cette année, mais aussi avec Thomas Coville sur Sodebo Ultim 3, avec qui il a tenté le Trophée Jules Verne à l'hiver 2024-2025.Dans cet épisode, il raconte sans détour la vie d'un marin embarqué sur les projets des autres, souvent dans l'incertitude, toujours avec l'envie de progresser. Il partage aussi son envie de retrouver un projet personnel, pour la Route du Rhum 2026, voire pour le Vendée Globe 2028 - lui qui serait le premier ancien olympien français à prendre le départ du tour du monde en solitaire.Diffusé le 11 juillet 2025Générique : In Closing – Days PastPost-production : Grégoire LevillainHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
A 39 ans, Mathilde Géron a un parcours riche de nombreuses expériences au plus haut niveau, elle qui est passée de la voile olympique en 470 – elle a terminé 4e des JO de Londres avec Camille Lecointre - à l'Ocean Fifty, du match racing au Diam 24 à la tête d'un équipage 100% féminin, d'équipière à skippeuse, de team manager à coach..."Je n'aime pas la routine et je suis curieuse, j'ai envie de faire plein de choses ; rester dans mon canapé ou dans un bureau, ce n'est pas mon truc", reconnaît celle qui est par ailleurs officier de la Marine marchande, ce qui l'a amenée à beaucoup voyager. La Normande, mère de deux filles, a aussi disputé la Transat Paprec cette année avec Martin Le Pape, sa première transat en course, terminée à la cinquième place.Si sa boulimie de navigation et de compétition ne la quitte pas, elle se réjouit également d'entraîner : "Je vais coacher le groupe de ma fille pour le National Optimist, j'ai beaucoup de plaisir à transmettre. Pendant vingt ans, tu coches tes cases à toi, le fait de partager le savoir, c'est génial."Diffusé le 09 Juillet 2025Post production : Grégoire LevillainGénérique : All the summer girlsHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le Tour de France, ce n'est pas seulement du sport… C'est aussi un immense enjeu économique et marketing. À l'occasion du Grand Départ 2025 à Lille, capitale des Flandres et terre de cyclisme, Eco d'ici Eco d'ailleurs pose ses micros au cœur de l'événement pour décrypter les stratégies des sponsors et les mutations économiques du cyclisme mondial. Présentation : Bruno Faure.
Le Tour de France, ce n'est pas seulement du sport… C'est aussi un immense enjeu économique et marketing. À l'occasion du Grand Départ 2025 à Lille, capitale des Flandres et terre de cyclisme, Eco d'ici Eco d'ailleurs pose ses micros au cœur de l'événement pour décrypter les stratégies des sponsors et les mutations économiques du cyclisme mondial. Présentation : Bruno Faure.
SBS On Demand renforce son offre d'actualités internationales en accueillant la chaîne France 24 au format FAST (télévision en streaming gratuite financée par la publicité). Diffusée en anglais, cette chaîne d'information continue offre une perspective française sur l'actualité mondiale. Avec ce partenariat, SBS confirme sa volonté de proposer un accès gratuit, fiable et diversifié à l'information pour tous les Australiens.
Ce 219e épisode de Pos. Report reçoit Alexia Barrier, qui, en fin d'année, s'attaquera au Trophée Jules Verne à la tête d'un équipage 100% féminin. Elle commence par revenir sur la naissance de The Famous Project, lancé après sa participation au Vendée Globe 2020. Un projet qui a réellement démarré lorsque, lors d'une conférence, le CIC a souhaité s'embarquer à ses côtés, rejoint ensuite par Idec, qui lui a “prêté” le trimaran Idec Sport, détenteur du Trophée Jules Verne depuis janvier 2017 en 40 jours 23 heures et 30 minutes.Elle raconte ensuite les premières navigations sur le MOD70 Limosa, utilisé comme plateforme d'entraînement, expliquant que passer d'un monocoque à un trimaran, c'est comme passer “de la motoGP à la F1”. Elle explique également comment elle s'est entourée, notamment de Dee Caffari, sa co-skippeuse, mais également des Britanniques Brian Thompson et Jonny Malbon, personnages centraux du projet, même s'ils ne feront pas partie de l'équipage du Jules Verne.Elle détaille les modifications apportées à Idec Sport au cours de l'hiver 2024-2024 et revient sur le coup d'arrêt subi par le projet suite au retrait d'un partenaire au printemps 2024, qui l'a conduit à se concentrer sur la recherche de nouveaux sponsors. Une quête qui a fini par aboutir récemment, avec la montée en gamme du CIC, désormais partenaire titre du projet, et l'arrivée notamment de Sopra Steria. Ce qui a permis à l'équipage d'enfin naviguer sur le plan VPLP mi-juin, Alexia Barrier terminant par donner les grandes lignes du programme jusqu'au départ autour du monde prévu en fin d'année.Diffusé le 1er Juillet 2025Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Grégoire LevillainHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cet épisode hors normes, Sidney Gavignet revient sur une trajectoire aussi dense qu'introspective. Equipier réputé et engagé, il a sillonné les océans au plus haut niveau pendant plus de 25 ans : la Whitbread dès 1993 avec Tabarly, trois Volvo Ocean Race entre 2001 et 2009 (dont une victoire avec ABN Amro One), une Route du Rhum sur un MOD70 ou encore plusieurs Transats AG2R et Jacques Vabre. Formé dans la filière olympique, passé par le Figaro, Gavignet a aussi marqué les esprits comme le premier Français à intégrer durablement des équipes anglo-saxonnes.Mais derrière la performance, l'homme a peu à peu ouvert un autre chapitre. La disparition d'un équipier en 2015 et une succession d'accidents ont conduit Sidney à un virage personnel. Il quitte Oman Sail en 2017, entame un MBA et amorce une transformation intérieure nourrie de coaching, d'équitation, de yoga et de spiritualité. Une bascule marquée par une prise de recul sur la brutalité du sport de haut niveau, et un regard plus apaisé sur la vie, le leadership et la compétition.Aujourd'hui, Sidney Gavignet navigue toujours - mais autrement. À bord du Cigare Rouge, ketch de légende autrefois skippé par VDH et Catherine Chabaud, il accompagne des particuliers et des sportifs en mer dans des stages de croisière, de transmission ou de développement personnel. “Apprendre à se mouvoir dans l'incertitude avec les moyens du bord” : sa nouvelle définition du large devient un art de vivre.À travers cette parole rare, on découvre un homme de contraste. Bourreau de travail devenu guide bienveillant, barreur surentraîné reconverti en passeur, à 55 ans, Sidney Gavignet incarne une trajectoire singulière, marquée par l'intensité, le doute, l'introspection et une forme de résilience lucide.Diffusé le 27 Juin 2025Générique : In Closing – Days PastPost-production : Grégoire LevillainHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Du lundi au vendredi, Julien Pichené fait le point sur l'actualité des médias. Aujourd'hui, Anne-Sophie Lapix a présenté son dernier JT de 20h sur France 2, Cyril Hanouna a présenté sa dernière d'On marche sur la tête sur Europe 1, le dispositif d'M6 pour la Coupe du monde 2026 se précise, Benjamin Duhamel quittera BFM TV d'ici quelques jours, Radio France est perturbée par une grève et Hervé Mathoux arrive sur Europe 1 dès demain pour présenter une nouvelle émission diffusée tout l'été. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Du lundi au vendredi, Julien Pichené fait le point sur l'actualité des médias. Aujourd'hui, Anne-Sophie Lapix a présenté son dernier JT de 20h sur France 2, Cyril Hanouna a présenté sa dernière d'On marche sur la tête sur Europe 1, le dispositif d'M6 pour la Coupe du monde 2026 se précise, Benjamin Duhamel quittera BFM TV d'ici quelques jours, Radio France est perturbée par une grève et Hervé Mathoux arrive sur Europe 1 dès demain pour présenter une nouvelle émission diffusée tout l'été. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
A 24 ans, Lucie de Gennes a déjà un palmarès impressionnant, notamment trois fois championne du monde junior de 470 avec Matisse Pacaud. En 2022, ils réussissent même l'exploit de doubler titre mondial chez les jeunes et quatrième place au championnat du monde senior, ce qui leur vaut d'être élus Marins Espoirs de l'année.L'an dernier, le duo a été partenaire d'entraînement de Camille Lecointre et Jérémie Mion pour les JO de Paris 2024. "On a tellement appris, tout était transparent avec eux, ils étaient dans le partage", commente Lucie de Gennes, à propos de cette expérience qui leur a permis de préparer leur entrée cette année dans la cour des grands, marquée par une médaille de bronze au championnat d'Europe à Split et une toute récente sixième place au championnat du monde de Gdynia."Chez les seniors, une des grosses différences avec les jeunes, c'est que personne ne fait d'erreur", note celle qui a débuté lavoile en Suisse à l'âge de 12 ans et qui, du haut de son mètre 88, a développé un sens aigu de la compétition. En parallèle, la pensionnaire du Yacht Club de Cannes est étudiante à l'EM Lyon, attachée à concilier sport de haut niveau et études. Avec Matisse Pacaud, le duo vise les Jeux de Los Angeles, une échéance qui fait dire à Lucie de Gennes : "La route est encore longue et en même temps, ça va arriver vite."Diffusé le 25 Juin 2025Post production : Grégoire LevillainGénérique : All the summer girlsHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce 218e épisode de Pos. Report est consacré à la classe Ocean Fifty avec deux navigatrices qui disputeront de mercredi à dimanche l'Act 2 des Ocean Fifty Series à Concarneau, Anne-Claire Le Berre, qui a succédé cette année à Francesca Clapcich à la barre de Upwind by MerConcept, et Audrey Ogereau, qui fait partie depuis 2023 de l'équipage de Koesio aux côtés d'Erwan Le Roux.L'une comme l'autre commencent justement par raconter comment elles sont arrivées en Ocean Fifty, la première après avoir postulé à la sélection organisée par MerConcept pour constituer en 2024 un équipage 100% féminin, la seconde dès 2022 lorsqu'Erwan Le Roux lui a proposé d'assurer des RP sur son trimaran en Méditerranée.Toutes les deux issues de la filière olympique - 470 pour Anne-Claire Le Berre, Nacra 17 pour Audrey Ogereau -, elles expliquent comment la course au large est peu à peu devenue un objectif, ce qui les a poussées à quitter un poste bien établi - directrice technique du team Initiatives Coeur et ingénieure d'affaires dans un cabinet de conseil en informatique - pour se lancer dans ce nouveau challenge.Elles racontent ensuite leur apprentissage de l'Ocean Fifty, mais également leurs autres expériences, en Class40 pour Anne-Claire Le Berre avec Amélie Grassi, en AC40 sur la première Women's America's Cup pour Audrey Ogereau. Cette dernière s'est aussi mise au Figaro cette année - elle a terminé 8e de la récente Transat Paprec avec Quentin Vlamynck et disputera la Fig'Armor en août -, histoire de se familiariser avec l'exercice du large en solitaire.Car si le principal objectif de leur saison 2025 sera la Transat Café L'Or, qu'elles disputeront avec Erwan Le Roux pour cette dernière, Elodie-Jane Mettraux pour la première, elles enchaîneront en 2026 avec la Route du Rhum-Destination Guadeloupe, premières femmes à s'élancer en Ocean Fifty sur la transat entre Saint-Malo et Pointe-à-Pitre.Diffusé le 24 Juin 2025Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Grégoire LevillainHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce 217e épisode de Pos. Report reçoit Arnaud Boissières et Benjamin Dutreux, skippers de l'Imoca 4CAD – La Mie-Câline. Les deux marins s'alignent au départ de la Course des Caps le 29 juin prochain puis sur la Transat Café l'Or. S'ils partagent la barre de leur monocoque, celui-ci deviendra la propriété d'Arnaud Boissières d'ici la fin de l'année.Juste avant d'enfiler le ciré pour une troisième navigation sur ce bateau construit par Alex Thomson - pour le Vendée Globe 2016 - ils reviennent sur la relation qui les unit depuis près de 10 ans : Arnaud avait alors embarqué Benjamin pour la découverte d'un Imoca, les rôles s'inversent aujourd'hui. Les deux Sablais se confient sur la notion de partage plutôt que de transmission.Si Benjamin révèle à Arnaud tous les secrets de son futur ex-bateau, il sera heureux de compter sur l'expérience de son aîné pendant la Course des Caps : Arnaud Boissières avait déjà participé au Tour des îles britanniques dans le cadre de la Calais Round Britain Race en 2007. Damien Seguin sera aussi de la partie à leurs côtés pour cette course de 2 000 milles en équipage mixte. Axelle Pillain et Muriel Vandenbempt complètent l'équipage.L'épreuve marquera leur retour à la compétition après le Vendée Globe 2024 : Benjamin Dutreux y avait accroché le Top 10 tandis qu'Arnaud Boissières avait été contraint à l'abandon dans la remontée de l'Atlantique de son cinquième tour du monde. Suite à cette désillusion, l'Aquitain de naissance change ses habitudes et met en place une préparation physique et mentale calquée sur celle de son coéquipier.Alors que leurs chemins se sépareront en 2026, leur Graal reste le Vendée Globe 2028. Pour y jouer les premiers rôles, Benjamin Dutreux vise un Imoca génération 2024 ou plutôt la construction d'un nouveau monocoque. Il raconte ses démarches pour y parvenir, la recherche d'un deuxième partenaire titre et le besoin de « se mettre en danger » pour aller plus loin. Arnaud Boissières confesse qu'il pourrait s'agir de sa dernière campagne en tant que skipper. Avant de se voir, peut-être, dans un rôle « à la Alain Gautier ».Diffusé le 17 Juin 2025Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Grégoire LevillainHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
On peut passer plus de deux décennies au coeur de la voile de haut niveau et n'avoir accordé qu'une poignée d'interviews : à 44 ans, Erwan Israël, marin recherché, est aussi, c'est peu de le dire, un homme de l'ombre. Formé à Brest puis à Hyères, il suit d'abord la filière olympique en laser, avant de bifurquer vers la course en équipage. Dès 2001, il découvre le Tour de France à la voile, qu'il remportera à plusieurs reprises avec l'équipe TPM–COYCH (2005, 2007), tout en développant ses compétences de tacticien et de navigateur.Entre 2006 et 2009, il s'essaye au Figaro, devient vice-champion du monde de match racing, navigue en Class America. En 2010, il intègre le Groupama Sailing Team et participe à la légendaire et victorieuse Volvo Ocean Race 2011–2012 à bord de Groupama 4, avec Franck Cammas. Il rejoint en suite Spindrift Racing. Navigateur à bord du plus grand trimaran de course du monde, Spindrift 2, il participe à plusieurs tentatives du Trophée Jules Verne et remporte notamment la Route de la Découverte (2013) et la Fastnet Race (2015). C'est aussi là qu'il bascule vers des fonctions de routage et de performance à terre.Depuis 2019, il évolue au sein du Gitana Team, dont il est devenu une pièce maîtresse, en tant que navigateur, routeur et responsable de la cellule performance. Il accompagne la victoire sur la Brest Atlantiques (2019) et la Transat Jacques Vabre (2021), puis devient co-skipper de Charles Caudrelier sur celle de 2023. Il éclate à l'écran dans son rôle de routeur, menant son skipper à la victoire dans la Route du Rhum (2022) et l'Arkea Ultim Challenge (2024). Ces derniers mois, il est accaparé par la conception de Gitana 18, dont la mise à l'eau est attendue en septembre. Des heures derrière l'écran, encore ; mais la promesse d'heures à voler prochainement...Diffusé le 13 Juin 2025Générique : In Closing – Days PastPost-production : Grégoire LevillainHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce 216e épisode de Pos. Report reçoit deux marins qui, du 14 au 22 juin, disputeront le Tour de Bretagne à la voile entre Perros-Guirec et Quiberon, Alexis Loison (Groupe Réel) et Alexis Thomas (Wings of the Ocean).Nos deux invités commencent par évoquer cette épreuve qui fête cette année sa 15e édition, avec toujours le même format, à savoir qu'elle se court en double et par étapes. Alexis Loison, qui y a participé huit fois et l'a gagnée à deux reprises, avec Fred Duthil en 2029 puis Guillaume Pirouelle il y a deux ans, explique que la clé est la régularité, tandis qu'Alexis Thomas se souvient d'une première participation, en 2021, qui s'était terminée sur un caillou de l'Aber Wrac'h.Ils expliquent ensuite le choix de leurs co-skippers respectifs, Corentin Horeau pour le Normand, Malo Wessely pour le Rochelais, qui raconte au passage comment il est venu à la voile de compétition et au Figaro en particulier, sa famille étant très proche de celle des Levaillant père et fils (Jean-Baptiste et Arthur).Nous évoquons ensuite avec eux leur début de saison, marqué par une première victoire sur le circuit Figaro lors de la Solo Guy Cotten pour Alexis Thomas, qui l'explique notamment par un budget enfin à la hauteur de ses ambitions et l'arrivée de Romen Richard comme entraîneur du pôle de La Rochelle. Et même si la Transat Paprec s'est avérée frustrante (9e avec Pauline Courtois après avoir fait une partie de la course aux avant-postes), il estime avoir trouvé quelque chose en termes de vitesse, notamment au portant.Quant à Alexis Loison, il explique comment il “jongle” entre son travail à la voilerie Incidence et les navigations, notamment sur le nouveau JPK 1050 qu'il met actuellement au point. Nous enchaînons sur leur grand objectif de la saison, la Solitaire du Figaro, la 19e d'Alexis Loison, la 5e d'Alexis Thomas. Le premier présente le parcours et revient sur quelques souvenirs marquants, entre son unique victoire d'étape à Plymouth et la première du Figaro 3, en 2019.Diffusé le 10 Juin 2025Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Grégoire LevillainHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce 215e épisode de Pos. Report est consacré à la classe Mini 6.50 avant le départ, le jeudi 5 juin de Douarnenez, du Trophée Marie-Agnès Péron, auquel participent, en catégorie proto, les deux invités, Benoît Marie (Nicomatic-Petit Bateau) et Basile Gautier (Nass&Wind/les EDG).L'un comme l'autre commencent par raconter comment ils sont venus à la classe Mini, un projet né après son entrée en alternance chez North Sails à l'âge de 16 ans pour Basile Gautier (23 ans aujourd'hui), également très jeune chez Benoît Marie, passionné de voile et de technique depuis longtemps, et qui est arrivé sur le circuit en 2012, avant de remporter un an plus tard la Mini Transat en proto.Quand Caroline Boule lui a parlé de relancer un projet sur un proto à foils signé Sam Manuard, ce dernier, passé depuis ses débuts au large par de nombreux supports (Ultim, Ocean Fifty, Moth…), a “repiqué” avec enthousiasme il y a trois ans. Il raconte l'apprentissage parfois compliqué du foil sur un bateau de 6,50 mètres, tandis que Basile Gautier explique de son côté pourquoi, après deux premières années sur le 802 (il n'a pas réussi à se qualifier pour la Mini Transat 2023), il a jeté son dévolu sur le 945, le fameux Tartine, lancé en 2018 par Axel Tréhin, puis équipé de foils en 2022 par Fabio Muzzolini, copropriétaire du plan Lombard.Après avoir détaillé les spécificités de leurs protos respectifs et comment ils financent leur projet, les deux skippers évoquent leurs ambitions pour la suite de la saison, avec en ligne de mire la Mini Transat. Et après ? Basile Gautier se verrait bien poursuivre en course au large, sans doute pas en Mini, Benoît Marie veut “voir le cap Horn”, que ce soit sur The Ocean Race, le Vendée Globe ou son rêve ultime, le Trophée Jules Verne.Diffusé le 03 Juin 2025Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Grégoire LevillainHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Il a découvert la voile à l'adolescence, entre Toulouse et Gruissan, dans une famille baignée par l'aéronautique - loin des capitales de la régate. C'est aux côtés de son père Ortwin, pionnier d'Airbus, que Stephan Kandler fait ses premières armes, en croisière puis en course, avant de professionnaliser cette passion au sein de K Yachting. Très actif dans les années 1990 sur les circuits ILC 40, Mumm 30 ou Corel 45, il construit des programmes ambitieux en équipage, repère de futurs grands noms (Juan Kouyoumdjian, Guillaume Verdier) et attire les meilleurs navigateurs français des circuits inshore.En 2001, à 30 ans, il se lance dans l'aventure Coupe de l'America avec la création de K-Challenge. Six ans plus tard, son équipe représente la France à Valence sous le nom Areva Challenge, après avoir frôlé la banqueroute. Le défi français se classe sixième de la Louis Vuitton Cup et parvient à rivaliser avec des écuries bien mieux dotées. L'avenir s'annonce prometteur - Stephan Kandler assure avoir alors réuni un budget de 60 millions d'euros grâce à un mécène et un partenaire -, mais le conflit judiciaire entre Oracle et Alinghi gèle tout projet de suite et tout s'effondre.Il rebondit en TP52 avec All4One durant trois saisons, sans parvenir à revenir dans la Coupe et prend ce qu'il pense être sa retraite de la voile pour se tourner vers les vignes pendant près de huit ans. Kandler revient à la voile en 2021, motivé par l'évolution technologique des supports et l'essor de SailGP. Il s'associe à Bruno Dubois et relance K-Challenge, avec l'objectif de concourir à la 37e America's Cup à Barcelone. C'est le groupe Accor, via sa marque Orient Express, qui relance définitivement la machine fin 2022. En deux ans à peine, un AC75 est construit chez Multiplast, issu du design package des Kiwis et l'équipe s'aligne dans les délais.Sur le plan sportif, Quentin Delapierre et les siens créent la surprise en remportant la première régate officielle à Villanova en AC40. Mais le manque d'entraînement sur l'AC75 et l'inexpérience de ce type de support pénalisent la suite du parcours. Malgré une victoire symbolique contre Alinghi, le défi tricolore ne se qualifie pas pour les demi-finales. Une "déception" sportive, Kandler ne s'en cache pas.Aujourd'hui, K-Challenge poursuit l'aventure à travers sa présence en SailGP, où elle aligne le même équipage qu'en America's Cup. L'équipe s'est ancrée à Lorient, via des activités technologiques (hydrogène, software embarqué, simulateur) qui nourrissent à la fois la performance et des débouchés industriels.Alors que la 38e édition de la Coupe se profile à Naples en 2027, Stéphane Kandler affiche son ambition : capitaliser sur l'expérience de Barcelone pour construire une équipe encore plus compétitive. La France a (re)pris pied dans la Coupe. Il reste désormais à s'y imposer. Et Stephan Kandler en est sûr : jamais cela n'a été aussi possible.Diffusé le 30 Mai 2025Générique : In Closing – Days PastPost-production : Grégoire LevillainHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le 15 mai 2025, l'artiste et producteur Passi a réalisé sa carte blanche pour France TV. Un concert capté devant le public de la Machine du Moulin Rouge, à Paris, avec de nombreux invités : Calogero, Bisso Na Bisso, Stomy Bugsy, Neg Marrons, K-Reen, Stavo et Julie Zenatti entre autres. Accompagné de son invité, le rappeur NDO Layams, il répond aux questions de Claudy Siar, Laura Mbakop et Stéphane Linon. Passi feat Stavo et Athaya - MarionnettesPassi feat K-Reen - Hold upPassi feat. J. Mi Sissoko & Jacky Brown - 79 à 97Passi feat NDO Layams - KoalaRetrouvez notre playlist sur Deezer.
Le 15 mai 2025, l'artiste et producteur Passi a réalisé sa carte blanche pour France TV. Un concert capté devant le public de la Machine du Moulin Rouge, à Paris, avec de nombreux invités : Calogero, Bisso Na Bisso, Stomy Bugsy, Neg Marrons, K-Reen, Stavo et Julie Zenatti entre autres. Accompagné de son invité, le rappeur NDO Layams, il répond aux questions de Claudy Siar, Laura Mbakop et Stéphane Linon. Passi feat Stavo et Athaya - MarionnettesPassi feat K-Reen - Hold upPassi feat. J. Mi Sissoko & Jacky Brown - 79 à 97Passi feat NDO Layams - KoalaRetrouvez notre playlist sur Deezer.
Il fût longtemps un technicien de haut vol ; il occupe désormais une place centrale dans l'écosystème de la course au large. Président de l'Imoca depuis 2017, Antoine Mermod, 48 ans, élu par les coureurs, dirige la classe phare des monocoques de 60 pieds. Il a commencé par l'habitable à La Trinité-sur-Mer où la famille passe ses vacances, alors véritable Mecque de la voile dans les années 1990-2000. Étudiant en école d'ingénieur, il se forme au contact de Bruno Peyron, multiplie les coups de main et les expériences avant de plonger dans l'univers des Orma. Avec Karine Fauconnier chez Sergio Tacchini puis au sein du Gitana Team, il vit de l'intérieur l'âge d'or des trimarans de 60 pieds, à une époque où peu d'équipes disposent de bureaux d'études intégrés.Il a à peine 30 ans et déjà beaucoup d'expérience quand il vit son premier Vendée Globe avec Gitana 80 : il dissèque la jauge et découvre les émotions puissantes d'un tour du monde. Il renouvellera l'expérience en 2016-2017 en construisant No Way Back et en gérant le projet de Pieter Heerema. Entre-temps, il est directeur technique des 5 Imoca de la Fnob sur la Barcelona World Race, 2011 puis rejoint les frères Peyron pour participer à l'aventure Energy Team dans la Coupe de l'America.Il est élu président de l'Imoca au printemps 2017, à l'issue du premier Vendée Globe des foilers, lorsque partisans et opposants à la monotypie s'affrontent : l'ingénieur passionné par les protos se retrouve président d'une association de coureurs. Sous sa houlette, l'Imoca va se transformer en une véritable ligue professionnelle (une dizaine de collaborateurs, 1,7 million d'euros de budget), profitant de l'engouement pour le Vendée Globe 2020-2021 et du choix par The Ocean Race - sur sa proposition - de faire des Imoca le support de ses épreuves en équipage.Prochain objectif : faire en sorte que les coureurs, qui prennent tous les risques, vivent mieux de leur sport. Et continuer à vivre les émotions si uniques d'un tour du monde...Diffusé le 21 Mai 2025Générique : In Closing – Days PastPost-production : Grégoire LevillainHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:47:06 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - Adapté du roman culte d'Alfred Döblin, "Berlin Alexanderplatz" reste l'œuvre la plus monumentale et pourtant méconnue de Fassbinder. Diffusé à la télévision en 1980, restauré en 2007, ce film-fleuve de quatorze heures rappelle qu'il est rare, mais possible, de faire d'un grand roman un grand film. - réalisation : Emily Vallat - invités : Stéphane Döblin; Juliane Lorenz Présidente de la Fondation Fassbinder; Sylvie Rollet Maître de conférence; Lionel Richard Professeur, auteur de nombreux ouvrages consacrés notamment à la littérature allemande.
Il disposait probablement du plus petit budget de cette édition du Vendée Globe : 900 000 € au total pour les trois saisons et la course, qu'il termine en 27e position, après un peu plus de 91 jours de mer. Pas question pour Sébastien Marsset, malgré ces bouts de ficelles, de renoncer à la régate : d'où le concept de "sobriété performante" revendiqué par le Nantais, né à Paris voilà un peu plus de 40 ans.Formé sur le tas, à l'école de l'habitable et du convoyage, d'abord, à l'Ecole nationale de voile où il passe son brevet d'Etat, ensuite, il se lance, après de nombreuses régates en équipage, dans le circuit mini : 4 saisons d'apprentissage, avant d'être recruté comme petite main chez Groupama, pour des coups de main techniques ponctuels. Toujours dispo, toujours candidat, il finit par être embarqué comme technicien et navigateur de moins de 30 ans remplaçant d pour la Volvo Ocean Race 2011-2012 remportée par l'équipe de Franck Cammas.Le solide gaillard, connu pour son impact physique et son engagement, change de dimension, le téléphone se met à sonner : l'équipe Spindrift l'appelle pour naviguer sur l'ex Maxi Trimaran Banque Populaire, puis c'est Alvimedica qui l'engage pour la Volvo 2014-2015 - où il court, cette fois, toutes les étapes sauf une - avant de retourner boucler un Trophée Jules Verne avec Spindrift, sans parler des circuits GC32 et match racing avec l'équipage de Yann Guichard.Il passe ensuite au solo en Claass40 mais doit abandonner le Rhum 2018, enchaîne avec la Solitaire l'année suivante avant d'être recruté par Romain Attanasio sur son projet Imoca. C'est là que son projet de Vendée Globe prend corps, un peu ralenti par le Covid l'année suivante. En 2021, il accomplit une nouvelle saison avec Romain Attanasio, sur l'ex-Malizia, goûtant au foiler, mais il est temps de voler de ses propres ailes en Imoca : en 2022, il achète l'ancien Delta Dore à Erik Nigon et se lance dans les qualifs du Vendée Globe, montant une petite équipe commando qui l'emmène au départ avec le plus vieux bateau de la flotte.Un Vendée Globe où il prend du plaisir, malgré une remontée de l'Atlantique difficile, et qui lui donne immédiatement envie de recommencer ! Mais pas à n'importe quel prix, lui qui sait les sacrifices que demande cette épreuve : pour 2028, Sébastien veut jouer avec les foilers, visant un bateau d'occasion de la génération 2020 et un budget largement redimensionné. Trois mois après son retour, il y travaille déjà - "le large me manque".Diffusé le 5 Mai 2025Générique : In Closing – Days PastPost-production : Grégoire LevillainHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Rares sont les marins à avoir goûté à autant de supports, si jeune : à 35 ans, Sam Goodchild, qui vient de boucler le Vendée Globe à la 9e position après 76 jours de course, n'a que le mot "apprendre" à la bouche. Alors, depuis qu'à 15 ans il s'est mis en tête de boucler le tour du monde en solitaire, le jeune Anglais multiplie les expériences.Après une jeunesse vécue aux Antilles sur le bateau familial, il rentre en Angleterre en pension puis intègre le circuit habitable et goûte au match racing, toujours partant pour filer un coup de main pour bricoler. C'est comme ça qu'il rencontre Alex Thomson et Mike Golding et vit le Vendée Globe 2008 de l'intérieur, après des premières transatlantiques et transpacifiques. Il a à peine 18 ans et arrête ses études : il sera marin.Il entre à l'Artemis Offshore Academy, et se lance en Figaro, pour quatre saisons : un apprentissage rude mais précieux, d'autant que, déjà, à côté, il multiplie les piges en Class40, gagnant la Normandy Channel Race en 2012. Quelques mois plus tard, il tombe à la mer lors de la deuxième étape de la Global Ocean Race, récupéré après 40 minutes à l'eau par son équipier Conrad Colman.Pendant ces riches années, il navigue en VOR65, en MOD70, en Imoca, désormais reconnu par les marins français, qui apprécient sa polyvalence... et son français parfait ! Habitué aux projets des autres, il se lance en Class40 pour le Rhum 2018, soutentu par Netflix, mais il démâte quelques jours après le départ. L'année suivante, il fait la rencontre de Leyton, qui lui confie la barre du Figaro, puis celle de l'Ocean Fifty.Cette fois, il a son propre projet, deux saisons complètes - dont une 3e place sur la Transat Jacques Vabre - et un statut de favori au départ de la Route du Rhum 2022 ; malheureusement, il est gravement blessé par sa colonne de winch dès le départ et doit renoncer.La suite était déjà écrite : à peine remis, il prend la barre de l'ancien Imoca de Thomas Ruyant et intègre la structure du Nordiste pour préparer le Vendée Globe, enfin ! En deux saisons, il accumule les places de 3e et décroche un titre de champion du monde Imoca, participe à The Ocean Race avec Holcim PRB, démâte quelques semaines avant le départ mais prend le départ de son tour du monde en solo serein et heureux.Il avait deux objectifs : terminer classé et prendre du plaisir. Objectifs atteints, et maintenant ? Sam Goodchild reconnaît que se remettre en selle n'est pas forcément évident et que réaliser son rêve est un peu vertigineux. Mais, désormais, courir autour du monde n'est plus un rêve, c'est son métier, et il a bien l'intention de continuer à le pratiquer.Diffusé le 22 Avril 2025Générique : In Closing – Days PastPost-production : Grégoire LevillainHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.