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durée : 00:29:15 - Les Pieds sur terre - par : Sonia Kronlund, Alain Lewkowicz - À Vézannes, village de l'Yonne où Alain Jollois a grandi, ils sont plusieurs à se souvenir de lui. Ils ont suivi ses hauts faits et le voient comme un héros qui vole les riches pour donner aux pauvres. Ils nous font aussi découvrir l'histoire surprenante de ses véritables parents. - réalisation : Anne-Laure Chanel, Eric Lancien
Mr. Gray, Nichols, and Sam Hendricks are back together to talk all things rugby! Well, Nichols and Same meet for the first time ever in this episode, but name another podcast that can cover Iowa High School Girls Rugby, National 7s Girls Rugby, an interview with Anna Degen from the Iowa Rugby Union Women's Development Committee, a full recap of college rugby across Iowa, updates from the Midwest Rugby Union, and deep discussion on how to keep improving the game in the heartland—all in one episode!Of course, the bois don't stop there. They dive into international rugby news, share plenty of laughs, and offer thoughtful insights along the way. Whether you're a player, coach, fan, or just rugby-curious—everyone's welcome in the B-Side Bois clubhouse.And don't forget: tune in to our livestream of the Kansas Jayhawks at the Iowa Hawkeyes on November 8th, presented by the Iowa Rugby Foundation, live on our YouTube channel!
durée : 00:28:43 - Les Pieds sur terre - par : Sonia Kronlund, Inès Bouffartigue Sebastia - Mike et Nawufal ont grandi à Clichy-sous-Bois et Montfermeil et avaient 16 et 22 ans lors de la mort de Zyed et Bouna. Mike n'a pas hésité à sortir venger les frères de ses amis. Nawufal n'osait pas participer directement aux affrontements. Vingt ans plus tard, ils reviennent sur cette période. - réalisation : Emmanuel Geoffroy
durée : 00:39:42 - L'Invité(e) des Matins - par : Astrid de Villaines, Yoann Duval - C'était il y a 20 ans : la mort de Zyed Benna et Bouna Traoré à Clichy-sous-Bois, entraînant une vague de colère dans les banlieues. Le reste de la France découvre alors la réalité des jeunes des quartiers populaires : pauvreté, inégalité d'accès aux services publics… Qu'en est-il aujourd'hui ? - réalisation : Félicie Faugère - invités : Fabien Truong Sociologue, auteur et réalisateur.; Gwénaël Bourdon Journaliste; Youssef Badr Magistrat, Premier vice-président adjoint au tribunal judiciaire de Bobigny, fondateur et président de l'association La Courte Échelle.; Héléna Berkaoui Journaliste
durée : 00:04:22 - Le Reportage de la rédaction - En 2005, trois semaines de violences embrasent la France. À l'époque, les habitants des quartiers se mobilisent pour tenter d'apaiser la situation. Une démarche politique, mais vingt ans plus tard, que reste-t-il de cet engagement citoyen dans les quartiers populaires ?
durée : 00:58:32 - Le Cours de l'histoire - par : Xavier Mauduit, Maïwenn Guiziou - Au Moyen Âge, le mauvais œil fait l'objet d'un important débat scientifique dans le monde savant. Théologiens et médecins pensent que des individus peuvent détruire leur voisin d'un simple regard. Du collier de corail aux recueils de charmes, comment se protéger du mauvais œil ? - réalisation : Cassandre Puel - invités : Béatrice Delaurenti Historienne, directrice d'études à l'EHESS
Banlieues Climat fête la première année de son école à Saint Ouen. Et dans quelques jours, plusieurs jeunes formateurs mais aussi des mamans passées par la formation iront à la COP 30 de Belem au Brésil. Avec Sanaa Saïtouli, la cofondatrice, nous évoquons ce beau parcours de l'association, les impacts de cette formation "par les pairs" qui parvient à embarquer : en 3 ans d'existence, l'association a formé plus de 1000 jeunes, dans 80 villes et est présente dans 4 pays outre la France. La co-fondatrice publie aussi un livre "Enracinée" aux Presses de la Cité. Elle y raconte son parcours, son engagement né après le décès de Zyed et Bouna il y a 20 ans à Clichy-sous-Bois, son travail de terrain constant sur son territoire, Cergy, dans le Val D'Oise et la place qu'elle a trouvé dans le monde. Dans ce livre, pas d'amertume ou de rage, plutôt l'envie de raconter la joie, la puissance des liens, la solidarité, et l'action. Bonne écoute avec Impact Positif. Une émission que vous pouvez aussi voir en replay sur tf1info.fr.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La Slovaquie en direct, Magazine en francais sur la Slovaquie
Actualités. Gros plan. International. La Slovaquie sans frontieres. La Vie comme elle va.Les tourneurs sur bois et autres sculpteurs étaient présents au plus grand festival d'artisanat de Bratislava. Nous allons parler d'une communauté appelée Spoločne.eu. Jeunes et moins jeunes peuvent créer divers projets et activités européennes. Nous parlerons de la Slovaquie et des Émirats arabes unis.
durée : 00:02:16 - France Inter sur le terrain - 20 ans après la mort de Zyed Benna et Bouna Traoré à Clichy-sous-Bois, en Seine-Saint-Denis, qui déclencha de violentes émeutes partout en France, un grand plan de rénovation urbaine a été lancé dans la ville, mais beaucoup reste encore à faire. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:01:24 - Le Reportage de la rédaction - Il y a vingt ans, Zyed et Bouna, deux adolescents de Clichy-sous-Bois mourraient lors d'une course poursuite avec des policiers. Ce drame avait provoqué la colère des jeunes des quartiers populaires et 3 semaines de violences, dans près de 300 villes de France. Cette colère n'a pas disparu.
durée : 00:04:22 - Le Reportage de la rédaction - En 2005, trois semaines de violences embrasent la France. À l'époque, les habitants des quartiers se mobilisent pour tenter d'apaiser la situation. Une démarche politique mais vingt ans plus tard, que reste-t-il de cet engagement citoyen dans les quartiers populaires ?
Cada primer domingo del mes, el Café du Village, en el distrito 13 de París, se llena del ritmo afro-uruguayo del candombe. "La Rueda de Candombe", inspirada en el fenómeno montevideano, reúne a músicos latinoamericanos y franceses que, entre tambores y guitarras, recrean una tradición que es al mismo tiempo celebración, memoria y resistencia. Reportaje de Mariana Rivera Ramírez para RFI. Es común en las familias candomberas de Uruguay que, después de un asado, la sobremesa termine entre guitarras y tambores. Esa atmósfera musical es la que se recrea en el Café du Village, en París, el primer domingo de cada mes desde mayo pasado. Situado en el distrito 13 de París, muy cerca de la Place d'Italie, un grupo de músicos hace los últimos ajustes en ese café, antes de iniciar la Rueda de Candombe uruguaya. Es el momento de acomodar cables, hacer las pruebas de sonido y todo ello, por supuesto, compartiendo el mate. Cuatro de ellos son uruguayos, hay dos franceses y una argentina. Cada quien tiene su propio proyecto musical o se dedica a otros oficios, pero el denominador común es el candombe. Joaquín Fernández es un músico itinerante que viaja con su proyecto solista de canciones, en cuyo repertorio el candombe ocupa un lugar central. Está de paso por París y, como acostumbra en cada ciudad que visita, se reúne con otros músicos para tocar. Allí organizó la Rueda de Candombe, inspirado por el éxito del formato en Montevideo. "Me fascina la estructura del candombe, la forma que adquiere (...) El formato del círculo, el canto en círculo, se ve en varias culturas afro-indígenas de Latinoamérica. Ver ese elemento incorporado al candombe me pareció algo muy bueno y muy efectivo, muy práctico de trabajar", expresa Fernández. La Rueda de Candombe en la capital uruguaya, a la que alude Joaquín, fue un verdadero fenómeno que estalló a fines de 2024. Todo comenzó en un bar, luego de que dos amigos —Caleb Amado y Rolando Fernández, alias Rolo— regresaran de un viaje a Río de Janeiro. Inspirados en las fervientes "Rodas de Samba" brasileñas, "se nos empezó a cruzar por la cabeza la idea de intentar hacer algo parecido con nuestra música", recuerda Rolo. Así decidieron adaptar ese formato y crear su propia Rueda de Candombe. "Teníamos más preguntas que certezas sobre si iba a funcionar. Por ejemplo, si habría repertorio suficiente. En las rodas de samba cariocas las canciones se encadenan durante mucho rato: hay un repertorio gigantesco. Por suerte, esa fue una de las dudas que tuvo una respuesta muy feliz. Se generó un fenómeno muy lindo", cuenta. Ese éxito los llevó a cruzar el Atlántico con su proyecto. Rolo Fernández habló con RFI durante una parada en París, tras la presentación de la Rueda de Candombe en el Festival de Cannes 2025. Allí animaron la fiesta charrúa de la delegación uruguaya participante en el certamen. La convocatoria fue tal que muchas personas de la comunidad uruguaya viajaron desde otras ciudades, como París o Barcelona, para unirse a la Rueda de Candombe en Niza, al pie de un yate en la Riviera francesa. Para Fernández, conceder una entrevista sobre el candombe en esa ciudad, tan lejos de Uruguay, “para cualquier uruguayo es una manera de llevarlo a casa”. Esa sensación de hogar de la que habla Rolo es quizás lo que hace que los tambores del candombe retumben también, a casi once mil kilómetros de Montevideo, en tierras francesas. "Lo amo desde lo más profundo de mi ser" El fenómeno de las Ruedas Candomberas resuena desde hace un tiempo en París, en el Café du Village, punto de encuentro musical el primer domingo de cada mes. RFI estuvo en la segunda rueda, en junio. Ese día, Joaquín y su grupo de amigos preparaban el espacio para el cierre de la tarde: una mesa central, los tambores, dos guitarras y un par de micrófonos. Jimena Laje dejó Buenos Aires hace más de veinte años huyendo de la crisis económica del Corralito. En París formó el grupo "La Milongón", con el que interpreta milongas, tangos y candombe. Gracias al ritmo de su país vecino, se reencontró con la música y hoy integra la Rueda de Candombe. Laje era mesera en un restaurante cuando conoció a Léo Melo, cantante de Los Maniseros: "Vivía enfrente mío, realmente enfrente. Fue una casualidad (...) Y empecé a aprender de a poquito el chico, el tambor. También sigo aprendiendo otros tambores, piano y repique. Pero el instrumento que prefiero es el tambor. Lo sigo eligiendo y lo amo desde lo más profundo de mi ser". Emmanuel Brun, alias Manu, es otro de los integrantes. Francés, creció en una zona multicultural de París. "Era 'Le Tour du Monde'. Una especie de vuelta al mundo en 80 edificios, porque en cada uno vivía gente de distintos lugares", bromea. Este francés se enganchó al candombe a los 15 años Gracias a ese entorno, Manu asumió una identidad plural. Se impregnó de la cultura uruguaya desde joven: "Me conecté con el candombe cuando tenía 15 años. Fui a la casa de un amigo uruguayo del liceo a comer tortas fritas. Puso un casete con música uruguaya y candombe. Desde ese día me volví loco con esa música". Esa pasión lo llevó a dejar el bajo y empezar a tocar tambor. Su historia remite a las décadas de 1970 y 1980, cuando la dictadura uruguaya forzó al exilio a unas 380 mil personas. La ciudad donde creció, Fontenay-sous-Bois, en el Val-de-Marne, acogió a muchas familias que huían de las dictaduras de Chile y Uruguay. El candombe, medio de expresión y resistencia de los esclavizados, sigue siendo un vínculo con la memoria para la comunidad uruguaya exiliada en Francia. Así lo expresa Manu: "Mi camino en este género tiene que ver con la militancia. El candombe es una herramienta política y cultural, ligada a formas de resistencia. Me acerqué a activistas afrouruguayos y trabajé con ellos para reescribir la historia del país, para visibilizar los aportes de las poblaciones africanas, afrodescendientes y afroamericanas en la identidad uruguaya. Es una militancia cultural, una lucha pacífica pero no pasiva". Sonidos de resistencia y herencia afrouruguaya Apostar por el formato circular aportó una novedad que generó el boom, pero el candombe se remonta al siglo XVIII, cuando Montevideo fue designada por la corona española como puerto de introducción de esclavos en el sur del Virreinato del Río de la Plata. A fines de ese siglo, un tercio de la población de la ciudad era afrodescendiente. Para sobrellevar la represión, las comunidades se reunían alrededor de los tambores, en las llamadas Salas de Nación, donde recreaban los rituales de sus tierras con música y danza. Con el tiempo, y debido a la estigmatización de la cultura negra, el valor ritual se fue perdiendo. El candombe quedó restringido a los antiguos conventillos, viviendas colectivas de inquilinato. Más adelante, las comparsas de candombe se integraron al carnaval nacional. Hoy los tambores alegran las angostas calles de los barrios Sur y Palermo. El candombe, con sus variaciones rítmicas, es la columna vertebral de muchas canciones uruguayas. Y la Rueda de Candombe es hoy otra plataforma para difundir ese cancionero. "Hace quizás 70 u 80 años, los compositores montevideanos comenzaron a crear canciones con este ritmo. En la Rueda de Candombe tocamos de corrido unas diez o doce canciones por vuelta, todas enlazadas mientras los tambores son el hilo conductor", explica Rolo. Para quienes nacieron en Uruguay, escuchar su música en el extranjero aporta un fuerte sentido de identidad y pertenencia. El candombe es de la calle, no de la universidad Vicente Pérez, conocido como "Vicho", vive en Francia desde hace más de cinco años. Para él, las nuevas Ruedas de Candombe en París lo reconectan con su impulso natural de tocar y cantar en comunidad: "En Uruguay, en mi tiempo libre, salía a la calle a tocar el tambor y a bailar con mis amigos. Eso en Francia es difícil de encontrar. Desde que llegué sentí que algo me faltaba. Con las Ruedas de Candombe encontré eso que me faltaba. También lo había sentido con las Ruedas de Samba, aunque no es lo mismo. Ambas crean un espacio de libertad, de música y de disfrute", comenta. En el agitado ritmo de París, la convocatoria a la segunda Rueda de Candombe, en junio, fue un éxito. Pasadas las siete de la tarde, la comunidad uruguaya y latina empezó a ocupar todas las sillas del colorido Café du Village. Esa convivencia musical rompe la famosa cuarta pared del escenario, un objetivo de los candomberos que idearon la rueda de Montevideo. Rolo se muestra complacido de que el fenómeno latinoamericano genere eco en París: "Me parece maravilloso y también necesario. Empezamos con la misión de mostrar nuestra música, pero con el tiempo entendimos que había otra misión: la del punto de encuentro", dice Rolo. Para Vicho, el candombe mantiene su esencia popular: "La escuela del candombe es la calle. Uno aprende porque tiene un amigo que toca, o porque en su familia hay tambores, o porque alguien le prestó uno. No es algo que se estudie en la facultad, aunque ojalá algún día sí. Se necesita la transmisión oral, compartir entre amigos y familia para que el conocimiento no se pierda", subraya. Comunión alrededor de los tambores En medio de la Rueda de Candombe en París, Manu explica al público, en francés, la función de los tres tambores que crean la polirritmia: "Hay tres tambores de tamaños distintos. El más grande, el más grave, se llama tambor piano y lleva la base. El del medio, el repique, es con el que más se improvisa. Y el más agudo, el chico, marca el tiempo y el norte. Eso es candombe". Los primeros tambores, construidos por los esclavos africanos, eran de troncos ahuecados o maderas recicladas de barriles, con un cuero clavado en la boca superior. Vicho explica que ese tambor tradicional sigue vivo y que el calor es esencial para su afinación: "El fuego tiene un lugar muy importante. Antes de tocar, hacemos un fuego y ponemos los tambores alrededor. El fuego sirve también para afinar el tambor". "Hoy tenemos tambores de todos los materiales, con parches y sonidos diversos. Pero hay algo que permanece. No sé si es la relación con el ritmo del cuerpo o algo del espíritu de los pueblos africanos que viajó por el mundo con esos tambores", agrega Vicho. Esa reflexión se hace palpable cuando los tambores inundan el local parisino y se forma un espacio de complicidad. El público, que al principio se mostraba tímido, terminó apartando las sillas para formar un trencito humano alrededor de los músicos. Tres amigas colombianas compartieron la sorpresa de asistir por primera vez a una rueda de candombe. "No me lo esperaba para nada", dijo una. "Estas son las fiestas a las que me tienen que invitar siempre", agregó otra. Un músico francés comentó que comprendió mejor la herencia afrouruguaya del ritmo gracias a las explicaciones. Para muchos —argentinos, mexicanos o costarricenses— fue su primer encuentro con el candombe; para la comunidad uruguaya, una cita con su patria. El candombe es bueno para la salud Aquella noche fue la segunda Rueda de Candombe en París. Más que un concierto, se sintió como un espacio de comunión, de unión y de pertenencia, en palabras de Joaquín: "Yo creo que la salud puede venir un poco desde ese lado: tocar, bailar, cantar y formar parte de un grupo”. Para Jimena Laje, las ruedas son un punto de encuentro sanador: "A mí lo que me pasa es que me cura; pase lo que pase, cualquier dolor o problema. Cuando toco el tambor me siento regenerada, como nueva". "La música es un impulso vital muy primitivo, algo que está muy dentro de uno", reflexiona Rolo. "El corazón está todo el tiempo percutiendo y marcando el ritmo de nuestras vidas. Lo que sucede en la rueda es casi mántrico: uno se deja llevar por ese maravilloso ritmo y trasciende, por un rato, este plano de lo real”. Cada Rueda de Candombe en París suena a Montevideo. La comunidad uruguaya en el exilio espera ya la próxima fecha. Mientras tanto, en la Plaza España de la Ciudad Vieja de Montevideo, el fenómeno sigue efervescente: donde haya un uruguayo, seguirán sonando los tambores y las canciones de Rubén Rada, Chabela Ramírez, Eduardo Da Luz o Jaime Roos.
En cette semaine de congé d'automne, à l'approche de la Toussaint, on se tourne souvent vers nos proches disparus. Mais aujourd'hui, on va aussi parler de l'avenir… de ce qui se passe après. Parce qu'en Belgique, il y a du nouveau : une première nationale autour d'un tout autre type d'inhumation.Une première et même une petite révolution silencieuse : l'aquamation. C'est ce qu'on appelle la crémation par l'eau. Le principe ? Le corps du défunt est plongé dans une eau chaude, sous pression, avec un peu d'hydroxyde de potassium. En quelques heures, les tissus se dissolvent naturellement, et il ne reste qu'une poudre blanche, comparable aux cendres d'une crémation classique.Sauf que et c'est là la différence il n'y a pas de flamme, pas de fumée, pas de CO₂. L'aquamation consomme jusqu'à cinq fois moins d'énergie qu'une crémation et ne libère pas de métaux lourds ni de particules dans l'air. C'est donc une méthode plus douce, plus propre et plus respectueuse de l'environnement.Le premier essai a lieu en ce moment même à Wilrijk, près d'Anvers, au crématorium Pontes. C'est un projet pilote, accompagné par le centre de recherche flamand VITO. On veut mesurer l'impact écologique réel avant de l'autoriser plus largement. Et ça, c'est une première. Mais il n'y a pas que l'aquamation, non ? On parle de plus en plus d'autres façons d'inhumer aussi ? Exactement ! Et c'est ça qui est intéressant. Aujourd'hui, les Belges ont plein de nouvelles options pour dire adieu autrement.Il y a bien sûr l'inhumation traditionnelle et la crémation, mais on voit apparaître des alternatives plus écologiques ou symboliques.Par exemple : Les forêts funéraires, comme celle du Bois de Soleilmont, près de Fleurus, dans le Hainaut. Là-bas, on peut disperser ou enterrer les cendres au pied d'un arbre, sans pierre tombale ni marbre. Le lieu s'appelle “Les Arbres du Souvenir”, et chaque arbre devient une sorte de monument vivant. On se promène dans les bois, on pense à la personne… C'est un espace de mémoire apaisant, naturel, vivant.Et il y a aussi ces urnes biodégradables qui permettent de planter un arbre avec les cendres d'un proche. L'urne contient une graine, ou un jeune plant, et au fil des mois, un arbre pousse symbole de vie qui continue.C'est quand même beaucoup plus poétique que les cimetières gris de nos souvenirs…C'est vrai. Et au-delà de la poésie, ces nouveaux modes d'inhumation ont des avantages très concrets :Écologiques, d'abord, moins de pollution, pas de produits chimiques, pas de pierre importée d'Asie ou de cercueil verni. Économiques, souvent : les coûts sont moindres, puisqu'il n'y a ni concession, ni monument à entretenir. Et puis symboliques : on ne parle plus seulement de fin, mais de cycle, de renouveau. Un arbre, une forêt, une trace dans la nature : c'est une autre façon d'être présent, autrement. C'est une belle manière de voir les choses, surtout à cette période de l'année. Oui, et c'est sans doute ce qui séduit de plus en plus de familles : l'idée que même dans le deuil, on peut faire un geste pour la planète… et pour la mémoire.Alors, que ce soit par l'eau, par la terre ou par les racines d'un arbre, on voit bien qu'en Belgique, nos adieux aussi deviennent durables.
C'était il y a 20 ans à Clichy-sous-Bois en banlieue parisienne. Le 27 octobre 2005, Zyed Benna, 17 ans, et Bouna Traoré, 15 ans, mouraient électrocutés après avoir été pourchassés par la police. Les adolescents s'étaient réfugiés dans un transformateur EDF pour tenter d'échapper à un contrôle d'identité. Le drame avait déclenché 21 nuits d'affrontements entre jeunes et forces de l'ordre en banlieue parisienne d'abord, puis partout en France. Des révoltes qui ont permis aux habitants de ces quartiers populaires de montrer les discriminations qu'ils vivaient au quotidien, sur le plan social, mais aussi géographique. 20 ans plus tard, RFI est retourné à Clichy-sous-Bois. Si les infrastructures de la ville se développent (le métro y fera d'ailleurs son arrivée en 2027), le poids de l'histoire tragique de Zyed et Bouna pèse toujours sur les Clichois. Depuis 2019, c'est un peu plus facile d'aller et venir à Clichy-sous-Bois, même si, à 15 kilomètres seulement de Paris, la ville reste mal desservie par les transports en commun. C'est ici que Mehdi Bigaderne a grandi. Il avait 23 ans en 2005 : « J'étais à l'université de Saint-Denis, je mettais trois heures, alors peut-être qu'on met un peu moins, je ne sais pas, aujourd'hui, mais on met quand même beaucoup de temps et, effectivement, on ne part pas de la même ligne de départ, ça, c'est certain. Et cette question des discriminations, elle n'est pas vraiment prise au sérieux. » Ce tramway, le T4, avait pourtant été annoncé en personne par le président Jacques Chirac dès 2006, au lendemain des violences urbaines, nées ici, dans un quartier fragile, mais tranquille, qui s'est brutalement retrouvé sous le feu des projecteurs : « Je m'en souviens comme si c'était hier, parce que c'est tellement marquant. Je suis un enfant de la ville et c'est la première fois que je voyais la ville dans cet état-là, avec des brigades de CRS pratiquement dans chaque immeuble. Et puis, après, on a vu arriver un hélicoptère – moi, j'avais l'impression d'être à Bagdad, à un moment donné – qui tournait autour des immeubles avec un projecteur, qui était pénétrant dans les appartements, déjà qu'ils n'étaient pas très grands… » À écouter aussiBanlieues 2005 : retour à Clichy-sous-Bois La mort de Zyed et Bouna a laissé des cicatrices profondes dans le quartier À l'époque, l'ampleur de la réponse sécuritaire choque les habitants qui pleuraient deux enfants du quartier : Zyed Benna, 17 ans, et Bouna Traoré, 15 ans. Ce qui n'arrange rien au rapport fragile entre police et population… Olivier Klein, maire actuel, était adjoint à la jeunesse et à la ville il y a 20 ans : « Quand les maires de l'époque ont vu le président de la République, il a demandé quelles seraient les urgences. Les deux maires, ensemble, ont dit : "Il nous faut un tramway – une des raisons de la popularisation, c'est l'enclavement, le temps pour aller bosser, le temps pour aller étudier, etcetera –, et on a besoin d'avoir un commissariat de plein exercice – pour que la police puisse être comme un poisson dans l'eau dans nos quartiers". » À lire aussiFrance: il y a 20 ans, la mort de Zyed Benna et Bouna Traoré à Clichy-sous-Bois Les discriminations, un enjeu majeur En 2012, un commissariat sort de terre à Clichy. Les cicatrices sont encore bien visibles, mais d'après Mehdi Bigaderne, qui a cofondé l'association ACLEFEU pour faire remonter la parole des quartiers populaires auprès des institutions, constate que les choses changent petit à petit : « Les commissaires qui ont dirigé ce commissariat étaient ouverts à travailler avec les associations, donc on voyait qu'il y avait une volonté de se dire, s'il y a des incidents, on peut s'en parler… En revanche, je pense qu'ils sont limités parce que, je ne crois pas me tromper en disant ça, c'est qu'on a aussi un problème qui est plutôt général. Moi, je suis content de pas avoir revécu un tel drame sur la ville, mais il y en a eu d'autres malheureusement, et il faut que l'État prenne à bras-le-corps ce sujet-là qui, aujourd'hui, peut être un fonds de commerce pour certains politiques. » En 20 ans, les visages enfantins de Zyed et Bouna ont été rejoints par des dizaines de sourires similaires dans les marches blanches. D'après le média Basta!, le nombre de décès annuels imputables aux forces de l'ordre françaises a doublé depuis les années 2000. À lire aussiIl y a dix ans, les banlieues s'embrasaient dans toute la France
durée : 00:19:37 - L'invité de 8h20 - C'était il y a 20 ans : trois semaines de violence après la mort des adolescents. Coursés par des policiers, Bouna Traoré, 15 ans, et Zyed Benna, 17 ans, se cachèrent dans un site EDF et y furent électrocutés. Ces décès ont déclenché une vague d'émeutes entrée dans l'Histoire. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Une course qui porte bien son nom. La Diagonale des Fous a encore accouché d'une édition exceptionnelle. Le Grand Raid 2025 a été remporté par Baptiste Chassagne chez les hommes en 23h31, et par Blandine L'Hirondel chez les femmes en 27h26. L'ultra-traileuse raconte à Benoit Boutron et Yohan Durand sa folle course, entre difficulté et émotion de la plus grande performance de sa carrière. Encore à la Réunion, la 8e du classement scratch évoque son chrono, son déclic de gagner une telle course et son lien très fort avec la Réunion... Blandine qui aura fait une partie de la Diagonale avec un certain Casquette Verte... 10e de cette édition 2025 ! Le plus célèbre des traileurs parisiens raconte avec humour son départ canon, son kiff de la course malgré une blessure et cette aventure partagée avec sa compagne. Dans le bon plan dossard de cet épisode, nous vous proposons de remporter votre dossard pour le Urgent Run Paris. Une course de 5 ou 10km dans le Bois de Boulogne, pour une cause humanitaire mondiale : l'amélioration des conditions sanitaires dans le monde.
It's been two decades since a wave of riots in France was sparked by the tragic death of two young men fleeing a police patrol in the Paris suburb of Clichy-sous-Bois. Have lessons been learnt, or could tensions over youth unemployment and police harassment easily explode again in France's underprivileged suburbs? FRANCE 24's Ségolène Malterre and Mélina Huet met residents to find out.
Le 27 octobre 2005, trois jeunes de Clichy-sous-Bois, en banlieue parisienne, fuient un contrôle de police. Zyed Benna et Bouna Traoré trouvent refuge dans un transformateur électrique... et n'en sortiront pas vivants. Leur ami, Muhittin Altun, est grièvement brûlé. Ce drame secoue les quartiers populaires de France, révélant le malaise profond des banlieues. Vingt ans plus tard, pour Billet Retour les équipes de "Pas 2 Quartier" sont allées à la rencontre des habitants d'une ville, à première vue, transformée. Clichy-sous-Bois est-elle sortie de l'urgence ? Reportage de Ségolène Malterre et Melina Huet.
Ce matin sur Skyrock, dans ses conseils pas chers, Romano livre du bois de chauffage aux français !
Send us a textWow! We have almost made it to the 100th episode of Dem Bois Podcast, and our producer Jasmine Gary aka Pink Lady has been rocking with us since episode one. In this episode we discuss the evolution of the podcast, the importance of amplifying marginalized voices, and the growth both the podcast and Shawn have experienced over time. Jasmine shares insights on the podcasting industry, the significance of community engagement, and the need for more representation of Black women in the podcasting world. We talk:09:19 - Reflections on growth and change16:23 - Understanding diverse perspectives in the trans community25:31 - The value of professional podcast production32:00 - Empowering Black women in podcasting35:27 - Random questions and personal insightsEpisode References:Afros and Audio Podcast FestivalShirlz Rejouis (The Millenni-HER Podcast)Nicole M. Young-Martin (Black Writers Read)Vena J. (The Konfessions Korner) Read more about Jasmine in her bio below:Jasmine Gary is the founder and lead producer of Pink Lady Productions, a production company specializing in podcasts, founded in 2019.Jasmine became an avid listener of podcasts in 2017. So in 2019, she began editing and producing them. While developing Pink Lady Productions, she realized a gap in the representation of queer entrepreneurs and women of color in the podcasting world. Both in front of the microphone and behind-the-scenes, queer entrepreneurs and women of color and their stories continue to be underrepresented. So Jasmine's mission is simple: close that gap!pinkladyprod.com Join us live! In honor of our 100th episode, Shawn Aaron and Jasmine from Pink Lady Production will be going live on Thursday, October 30th at 1:30pm PT / 4:30pm ET. So tune in to watch me answer questions about my personal journey, Dem Bois Podcast, and Dem Bois Inc. You will get the opportunity to ask questWe are looking for one individual who is committed to supporting trans men of color. Dem Bois seeks a trans leader of color, or other queer folks of color, along with allies who understand the importance of accessing medical transition-related care, and other trans related issues to join our Board. Email us at hello@dembois.org to learn more about board service. Learn how you can use your skills and talents to support the mission and vision of Dem Bois Inc. Donate today to support Transmasc Gender Affirming Grants and Community Wellness Packages for Trans Men of Color! The Visibility = Possibility™️ Merch is here! - Not just merch, but a movement! We're empowering trans men of color with creative freedom to design their interpretation of Visibility = Possibility™. Think of it like major brands collaborating with athletes, but this time, our community takes center stage. Every purchase supports our vital programs! Craving more Connection? Dem Bois Community Voices Facebook Group is a safe, moderated sanctuary where trans men of color can connect authentically, discuss podcast epis...
Le mercredi 17 septembre, une petite fille de 3 ans est rentrée seule chez elle depuis son centre de loisirs de Rosny-sous-Bois en Seine-Saint-Denis, où elle avait passé la journée. Soit un trajet de vingt minutes de marche. Elle aurait échappé à la surveillance des animateurs à la sortie. Depuis plusieurs mois, les cas de négligence, de maltraitance et les affaires d'abus sexuels impliquant des animateurs périscolaires se sont multipliés. En France, la loi permet qu'une équipe d'animateurs soit composée de 20% de personnes non qualifiées, et depuis plusieurs mois, le recrutement des animateurs est remis en cause. Cet épisode de Code Source revient sur les défaillances de recrutement et les abus dans le périscolaire avec Victoire Haffreingue-Moulart, journaliste au pôle fait-divers et Vincent Mongaillard, journaliste au pôle reportage du Parisien. Écoutez Code source sur toutes les plates-formes audio : Apple Podcast (iPhone, iPad), Amazon Music, Podcast Addict ou Castbox, Deezer, Spotify.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Reporter : Barbara Gouy - Production : Pénélope Gualchierotti, Clara Garnier-Amouroux, et Clara Grouzis - Réalisation et mixage : Julien Montcouquiol - Musiques : François Clos, Audio Network. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Cocottes FM est une émission musicale 100% féminine, consacrée aux femmes dans les musiques électroniques, tous les troisièmes vendredi de…
durée : 00:29:09 - Les Bonnes Choses - par : Caroline Broué - À la Ferme de Paris, l'ambition de 2015 prend racine : produire, former, préserver la biodiversité et ouvrir la ville aux pratiques agricoles durables. Dix ans après le début du projet, l'heure est au bilan du dispositif. - réalisation : Jean-Christophe Francis - invités : Audrey Pulvar Audrey Pulvar, adjointe à la Maire de Paris, candidate aux élections régionales en Île de France, tête de liste "Île de France en commun".; Sonia Sarmiento Responsable d'exploitation de la Ferme de Paris; Florie Gay Cheffe de culture au Potager du bois; Pierre-Alexandre Tostivint Animateur à la Ferme, cofondateur de la Ferme du Bout de la Rue à Vitry-sur-Seine
durée : 00:29:09 - Les Bonnes Choses - par : Caroline Broué - À la Ferme de Paris, l'ambition de 2015 prend racine : produire, former, préserver la biodiversité et ouvrir la ville aux pratiques agricoles durables. Dix ans après le début du projet, l'heure est au bilan du dispositif. - réalisation : Jean-Christophe Francis - invités : Audrey Pulvar Audrey Pulvar, adjointe à la Maire de Paris, candidate aux élections régionales en Île de France, tête de liste "Île de France en commun".; Sonia Sarmiento Responsable d'exploitation de la Ferme de Paris; Florie Gay Cheffe de culture au Potager du bois; Pierre-Alexandre Tostivint Animateur à la Ferme, cofondateur de la Ferme du Bout de la Rue à Vitry-sur-Seine
durée : 00:29:09 - Les Bonnes Choses - par : Caroline Broué - À la Ferme de Paris, l'ambition de 2015 prend racine : produire, former, préserver la biodiversité et ouvrir la ville aux pratiques agricoles durables. Dix ans après le début du projet, l'heure est au bilan du dispositif. - réalisation : Jean-Christophe Francis - invités : Audrey Pulvar Audrey Pulvar, adjointe à la Maire de Paris, candidate aux élections régionales en Île de France, tête de liste "Île de France en commun".; Sonia Sarmiento Responsable d'exploitation de la Ferme de Paris; Florie Gay Cheffe de culture au Potager du bois; Pierre-Alexandre Tostivint Animateur à la Ferme, cofondateur de la Ferme du Bout de la Rue à Vitry-sur-Seine
Ce nouvel épisode va vous faire dormir dans un sommeil profond et réparateur, en moins de 15 minutes !Texte :
Quand la magie d'Halloween devient un véritable moteur de rassemblement
Twilight Zone Topic of Terror from Trammin' Episode 285The villains have got quite the hold on the Trammin' Bois. How much of a hold do they have on Disneyland? We've got swashbucklers, witches, bullies, and... colonizers? Let's stand together and find out the true villains of Disneyland. Join Kirk & John as they seek a dark truth on a villainous new episode of Tramtober!Listen to full episodes every Windsday and topic-only uploads on Big Thunder Thursdays!InstagramTrammin' - https://instagram.com/TramminPodcastChristian Rainwater - https://instagram.com/imrainwaterMusicLocal Forecast - Elevator Kevin MacLeod (incompetech.com)Licensed under Creative Commons: By Attribution 3.0 Licensehttp://creativecommons.org/licenses/by/3.0/ Trammin' - The Disneylanders, Addy DaddyUsed with permission.Character Art & AnimationNadia Dar - https://nadsdardraws.carrd.co/Trammin.comTrammin' is written without the use of Artificial Intelligence.©Trammin' - A Disneyland Podcast
Cette semaine, je vous traîne avec moi pendant la Traversée des Montérégiennes. Enregistré autour de la table de la cuisine de notre AirBnB à Notre-Dame-des-Bois après notre 7ème journée, cet épisode (un brin cacophonique) se veut rassembleur et une petite intrusion dans notre quotidien pendant la Traversée. En vous souhaitant autant de plaisir à l'écouter que nous en avons eu à l'enregistrer. Pour supporter la levé de fonds : https://fondationsante.crowdchange.ca/92566 Bonne écoute
The villains have got quite the hold on the Trammin' Bois. How much of a hold do they have on Disneyland? We've got swashbucklers, witches, bullies, and... colonizers? Let's stand together and find out the true villains of Disneyland. Join Kirk & John as they seek a dark truth on a villainous new episode of Tramtober!Listen to full episodes every Windsday and topic-only uploads on Big Thunder Thursdays!InstagramTrammin' - https://instagram.com/TramminPodcastChristian Rainwater - https://instagram.com/imrainwaterMusicLocal Forecast - Elevator Kevin MacLeod (incompetech.com)Licensed under Creative Commons: By Attribution 3.0 Licensehttp://creativecommons.org/licenses/by/3.0/ Trammin' - The Disneylanders, Addy DaddyUsed with permission.Character Art & AnimationNadia Dar - https://nadsdardraws.carrd.co/Trammin.comTrammin' is written without the use of Artificial Intelligence.©Trammin' - A Disneyland Podcast
À compter d'aujourd'hui, les États-Unis imposent de nouveaux tarifs douaniers de 10 % sur les importations de bois d'œuvre.
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durée : 00:29:15 - Une histoire particulière - par : Adrien Morat - Après l'attentat, l'hommage national et les funérailles, les professeurs du collège du Bois d'Aulne doivent retourner enseigner. Très vite, ils apprennent que certains élèves ont aidé le terroriste à identifier Samuel Paty contre de l'argent. - réalisation : François Teste
durée : 00:29:15 - Une histoire particulière - par : Adrien Morat - Après l'attentat, l'hommage national et les funérailles, les professeurs du collège du Bois d'Aulne doivent retourner enseigner. Très vite, ils apprennent que certains élèves ont aidé le terroriste à identifier Samuel Paty contre de l'argent. - réalisation : François Teste
The Stiff Bois return from a hiatus to debut a new series. Opening with Josh providing some context for the new series, a few apologies to our Stiffies for the delays, and thank yous to PWA for their hospitality on his Bucks weekend, the episode includes a short solo preview of King of Pro Wrestling at the start, but ultimately marks a new way forward for WWS. A new series focusing on breaking down the young characters of NJPW according to a set, Stiff coded criteria, this bonus format will give Josh and Dave the scope to dive deeply into the things they love in NJPW with a focus that should encourage real dialogue with our Stiffies. We will still do preview and review shows – and cover the latest happenings weekly. But this format will give us the room to go good looking. Plus, this is just the pilot. The format will be expanded upon in the coming weeks. We are excited about this one and hope the coming months of content will make up for the previous ones absence.To join the Club or grab some merch to support the show.thestiff.club Or weworkstiff.comYou can find and follow the show:On X / twitter@weworkstiffOn Instagraminstagram.com/weworkstiff/On Redditreddit.com/r/WeWorkStiff/On Youtubeyoutube.com/@weworkstiffEmail us atweworkstiff@gmail.comPlease Listen. Like. Subscribe. Rate. Share. Review. Follow. Watch New Japan Pro Wrestling.#njpw #prowrestling #wrestling #newjapan #njpwworld #njkopw
durée : 00:30:19 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda, Mathias Le Gargasson, Antoine Dhulster - Par André Velter - Avec François Caradec (biographe et éditeur d'Alphonse Allais, les oeuvres anthumes comme les oeuvres posthumes, il publie "Par les bois du Djinn / Parle et bois du gin") - Lectures Claude Pieplu dans l'émission "Un poésie studio" (1998) - Réalisation Patrick Molinier - réalisation : Rafik Zénine, Vincent Abouchar, Emily Vallat
Send us a textDid you know that Dem Bois Podcast is an extension of Dem Bois Inc.? Well in this episode, I'm going to tell you all about it! Today I discuss the history and mission of Dem Bois, Inc. I reflect on the journey of the podcast, its impact on the community, and the importance of visibility and representation. I also highlight the significance of creating a supportive ecosystem for trans men of color, emphasizing the need for community support and strategic planning for the future.I talk:05:54 - Mission and vision of Dem Bois Inc.11:52 - Community impact and personal stories18:10 - Building a supportive ecosystem24:08 - Future directions and strategic planningEpisode References:30 Days of Black Trans Reflection: Abolition, Healing, LegacyMark Travis RiveraDem Bois Podcast EpisodesRead more about Shawn in his bio below:Shawn Aaron (he/him) is a Black queer trans man, nonprofit leader, and host of Dem Bois Podcast. He is the Founder + Executive Director of Dem Bois Inc., an organization dedicated to affirming and supporting trans men of color through access to gender-affirming care, health equity, and visibility. Drawing from his lived experience with homelessness, Shawn's mission is rooted in community care and systemic change. Whether through storytelling or advocacy, his work amplifies the voices of those too often unheard. His signature belief: Visibility = Possibility™https://www.instagram.com/demboisinc/https://www.instagram.com/shawnaaron81/Would you like to make a difference in the lives of trans men of color? Are you or someone you know interested in serving on a non-profit board? We are looking for one individual who is committed to supporting trans men of color. Dem Bois seeks a trans leader of color, or other queer folks of color, along with allies who understand the importance of accessing medical transition-related care, and other trans related issues to join our Board. Email us at hello@dembois.org to learn more about board service. Learn how you can use your skills and talents to support the mission and vision of Dem Bois Inc. Donate today to support Transmasc Gender Affirming Grants and Community Wellness Packages for Trans Men of Color! The Visibility = Possibility™️ Merch is here! - Introducing a groundbreaking collaboration crafted by Emilio Perdomo (featured on episode 37). This isn't just merch--it's a movement! We're empowering trans men of color with creative freedom to design their interpretation of Visibility = Possibility™. Think of it like major brands collaborating with athletes, but this time, our community takes center stage. Every purchase supports our vital programs! Craving more...
L'info du matin - Grégory Ascher et Justine Salmon ont tenté de répondre à une grande question : les hommes ronflent-ils vraiment plus que les femmes ? Le winner du jour - Il reçoit 330 fois son salaire par erreur, garde l'argent... et gagne son procès. Condamné, un homme change de sexe pour purger sa peine dans une prison pour femmes ! Le flashback du jour Mars 2004 : en tête des ventes, "Si demain (Turn Around)" de Kareen Antonn & Bonnie Tyler. Le film à succès "Les Choristes" sort en salle, révélant Jean-Baptiste Maunier et son célèbre "Vois sur ton chemin", repris par Beyoncé aux Oscars ! Les savoirs inutiles - Les chips seraient nées en 1853 à New York, à cause d'un client mécontent qui renvoyait ses frites trop épaisses. Le chef, excédé, les coupe ultra fines : les chips étaient nées ! La chanson du jour Elton John "Crocodile Rock" Les 3 choses à savoir sur Instagram Qu'est-ce qu'on teste ? - Arc, le vaisseau spatial de la start-up Inversion, pourrait livrer du matériel médical ou militaire n'importe où sur Terre en moins d'une heure ! Le jeu surprise (C'est qui le plus fort) - Guillaume de Chantonnay (vers La Roche-sur-Yon) gagne un bon d'achat de 2 000 € valable chez Belambra Clubs. La banque RTL2 - Julien du Manoir (vers Rouen) repart avec le vinyle "Zen" (édition 30e anniversaire) de Zazie. - Alexia de Saint-Geneviève-des-Bois (vers Paris) remporte 266 €. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Most everyone in our region knows that the Red River forms a border between North Dakota and Minnesota. However, it might surprise you that the Red River does not delineate the entire eastern border.
Full show https://revengeofthecis.locals.com/newsfeed
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Le 22 septembre dernier s'est ouvert le procès de Cédric Jubillar pour le meurtre de son épouse, Delphine Jubillar. Si l'accusé nie depuis le début toute implication dans le dossier, un faisceau d'indices le visent. Le fils aîné du couple, Louis, âgé de 6 ans au moment des faits, a notamment livré aux enquêteurs un témoignage important: il aurait vu ses parents se disputer dans la nuit du 15 au 16 décembre 2020, nuit durant laquelle sa mère a disparu.De quelle manière recueille-t-on la parole d'enfants très jeunes dans ce type de dossiers? Quelles questions leur poser, et dans quel cadre? Pauline Revenaz et Elisa Fernandez reçoivent l'adjudant-chef Laurent Kaiser, du Centre national de formation au renseignement et à l'investigation à Rosny-sous-Bois.
V celém Bruselu žije společně s lidmi zhruba devadesát tisíc psů. Ti aktivně a společensky založení se mohli minulý týden zúčastnit vůbec první psí olympiády v Belgii, kterou uspořádalo vedení hlavního města. V parku Bois de la Cambre se to proto minulou neděli hemžilo psy všech ras a velikostí. Kromě závodů v canicrossu, tedy běhu na vodítku, mohli také absolvovat překážkovou dráhu nebo psí masáž.
(00:00-35:52) Friend of the show, Matt Holliday joins us. Matt's take on Mike Gundy's firing at Oklahoma State. Coaching buyouts. The Sonny Gray no-trade situation. The front office's plans for the offseason going into 2026. Discussing his run with the Cardinals coming to an end. Nolan Arenado's decline. Matt's first big league hit. Taking questions from the audience. What he would try with Jordan Walker. Working with Aaron Judge when he was in New York. A little uniform talk.(36:00-50:22) Engagement farming thru music. We may have more radio wars on our hands. THAT'S JAMIE RIVERS music!! Rivers barges into the studio to take shots at Martin's earpiece. Jamie's tiff with Mizzou fans after the KU win. Carey Davis down bad after the Illinois loss. Rivers isn't high on Jackson's mustache. Translucent is my brand. Chairman says Jamie smelled fresh. Bama Beards for the Bois.(50:32-1:01:22) Shifting to jams for Tim. Sadie Hawkins, Doug. Audio of former LSU Coach Ed Orgeron leading a USA chant at Bethpage. Coach O likes to run topless. Fescue everywhere, Doug. Coach O and Iggy at Hedo.See Privacy Policy at https://art19.com/privacy and California Privacy Notice at https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.
This episode features only the BIGGEST and the BADDEST and the BOYEST boys around! It's another installment of BIG BOIS!
durée : 00:58:37 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - Au cœur des cathédrales gothiques, l'alliance entre pierre et bois donne naissance à des œuvres monumentales. Hommage est rendu aux maçons, tailleurs de pierre, charpentiers et forgerons, bâtisseurs parfois invisibles mais au savoir-faire inégalable, dans cette série sur les œuvriers de cathédrales. - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Philippe Plagnieux Professeur d'Histoire de l'art du Moyen-Âge à l'Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, vice-président de la Société des Amis de Notre-Dame.
World War II in Europe left both victorious and vanquished countries devastated; yet within weeks of the end of hostilities on September 9, 1945, an automobile race was held in Paris' Bois de Boulogne. This presentation addresses the questions: where did the financial and material resources for an active post-war racing program come from, and perhaps even more importantly, why were they expended in what many might regard as a non-essential- or perhaps even frivolous - activity? Skip McGoun is the William H. Dunkak Emeritus Professor of Finance at Bucknell University and was a long-term Visiting Professor at the University of Ljubljana in Slovenia and at the University of Donja Gorija in Montenegro. He has presented and published on the history and culture of finance as well as automobile history and culture and served as Area Chair of the Vehicle Culture Section of the Popular Culture Association. ===== (Oo---x---oO) ===== 00:00 Post-War Racing Revival 01:18 The State of Europe Post-WWII; Early Post-War Races 03:28 The Constructors: Britain vs. The Continent 05:29 Financial and Material Resources 13:14 The Influence of Nationalism and Sentiment 15:34 Adrenaline and the Need for Speed 18:53 Conclusion, Reflections and Q&A Session 27:48 Closing Remarks and Credits ==================== The Motoring Podcast Network : Years of racing, wrenching and Motorsports experience brings together a top notch collection of knowledge, stories and information. #everyonehasastory #gtmbreakfix - motoringpodcast.net More Information: https://www.motoringpodcast.net/ Become a VIP at: https://www.patreon.com/gtmotorsports Online Magazine: https://www.gtmotorsports.org/ This episode is part of our HISTORY OF MOTORSPORTS SERIES and is sponsored in part by: The International Motor Racing Research Center (IMRRC), The Society of Automotive Historians (SAH), The Watkins Glen Area Chamber of Commerce, and the Argetsinger Family.
Adam Silver was asked about the Clippers scandal and about the rising cost of literally watching his league's games and neither answer generated much confidence. But hey at least guys will shoot heaves now! To learn more about listener data and our privacy practices visit: https://www.audacyinc.com/privacy-policy Learn more about your ad choices. Visit https://podcastchoices.com/adchoices
What time of the day is best for sex? It depends on your age! Scrotox is a thing? We discuss the ins and outs of having a smooth set!
