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Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée en public à l'École alsacienne le 5 octobre 2025.Avec cette semaine :Jean-Louis Bourlanges, essayiste, ancien président de la Commission des Affaires étrangères de l'Assemblée nationale.David Djaïz, entrepreneur et essayiste.Antoine Foucher, consultant, spécialiste des questions sociales, auteur de Sortir du travail qui ne paie plus.Lucile Schmid, présidente de La Fabrique écologique et membre du comité de rédaction de la revue Esprit.LE PROJET DE BUDGET DE LECORNUUne première version du projet de loi de finances pour 2026 a été transmise jeudi pour avis au Haut conseil des finances publiques. La transmission de ce projet de loi marque le coup d'envoi du processus de discussion du budget. Le Haut conseil, un organisme indépendant placé auprès de la Cour des comptes, disposera ensuite de sept jours pour rendre son avis, destiné à être rendu public lors de la présentation formelle du budget par le gouvernement. Le texte devrait être déposé à l'Assemblée nationale au plus tard le 13 octobre, de façon que le Parlement dispose des 70 jours prévus par la Constitution pour en débattre.Le même jour, à la veille des rencontres organisées à Matignon avec le Parti socialiste et le Rassemblement national, l'entourage de Sébastien Lecornu a laissé fuiter quatre pistes de soutien au pouvoir d'achat en précisant toutefois que « rien n'est arbitré ». Il s'agirait de favoriser davantage les heures supplémentaires par une défiscalisation et un allègement des charges sociales ;d'alléger l'impôt sur le revenu des couples modestes : en améliorant le mécanisme de « décote », afin de l'aligner sur l'avantage accordé aux célibataires touchant des montants équivalents. De défiscaliser à nouveau les «primes Macron » les primes des salariés gagnant moins de trois fois le SMIC en 2026. D'encourager les dons familiaux en direction des jeunes générations.Selon le journal Les Échos, le projet de budget inclurait une « année blanche » comprenant le gel du barème de l'impôt sur le revenu et de toutes les pensions de retraite, ainsi que le relèvement du taux du « prélèvement forfaitaire unique » sur les revenus du capital. L'augmentation de la flat tax jusqu'à 36%, rapporterait 1,5 milliard d'euros. Le texte devrait comporter une mesure anti-optimisation centrée sur les holdings, certains contribuables très aisés y stockant de l'argent afin d'échapper à l'impôt. Des mesures seraient également en préparation pour lutter contre l'optimisation des Pactes Dutreil, cet outil fiscal conçu pour réduire la fiscalité des transmissions et donations des entreprises afin de préserver l'outil productif. Quant à la surtaxe d'impôt sur les sociétés, elle serait reconduite d'un an, mais son taux serait divisé par deux par rapport à celui appliqué en 2025. Son rendement attendrait ainsi de l'ordre de 4 milliards d'euros.Vendredi, le Premier ministre s'est engagé à ne pas utiliser l'article 49 alinéa 3 de la Constitution pour faire adopter son budget. L'idée n'est pas nouvelle : entre 1997 et 2002, le premier ministre Lionel Jospin, à la tête d'une « majorité plurielle », avait renoncé à son usage. Si les débats budgétaires s'enlisaient à l'Assemblée, faute de majorité, la méthode Lecornu pourrait dès lors aboutir à l'élaboration d'une loi spéciale ou par le passage du budget par voie d'ordonnances, une première sous la Ve République.SÉCURITÉ EUROPÉENNE FACE AUX MENACES RUSSES APRÈS COPENHAGUEL'Europe est soumise, ces derniers jours, à une série de défis : la Russie teste la capacité de plusieurs pays du nord de l'Europe à faire face à des envois de drones sur leurs aéroports. Elle viole régulièrement l'espace aérien de certains membres de l'Otan afin de mesurer leurs capacités de défense antiaérienne. Oslo, Copenhague, Munich ont été victimes des mêmes survols de drones non identifiés, contraignant les autorités danoises, norvégiennes et allemandes à fermer provisoirement leur espace aérien au-dessus de certains aéroports. Contrairement aux Ukrainiens, les Européens n'ont guère d'expérience dans le domaine de la lutte contre les drones.Dans ce contexte, lundi, Ursula von der Leyen, la présidente de la Commission, a dévoilé, une première cartographie de la « préparation 2030 », date à laquelle l'Europe doit être prête à se défendre par elle-même en cas d'agression russe. Les analyses des services de renseignement européens convergent : dans les trois à cinq prochaines années, la Russie pourrait être en mesure d'attaquer un pays de l'Union européenne ou de l'Otan si une paix en Ukraine lui permettait de se réarmer, et si l'Europe ne pouvait pas compter sur le soutien américain. Les États membres ont identifié neuf domaines capacitaires prioritaires dans lesquels l'Europe doit combler ses lacunes d'ici à 2030 : défense aérienne et antimissile, systèmes d'artillerie, missiles et munitions, cyber et guerre électronique, drones et anti-drones, combat terrestre, capacités maritimes, mobilité militaire et « capacités stratégiques habilitantes ».En vue de renforcer la défense du continent face à la menace russe, les dirigeants des 27 pays de l'Union européenne se sont retrouvés mercredi à Copenhague. Les discussions ont porté principalement sur trois axes : le développement capacitaire conjoint, les « projets phares » - comme le mur de drones ou la surveillance du flanc oriental - et la montée en puissance de l'industrie de défense européenne. Afin d'accélérer la montée en puissance militaire du continent, l'Union européenne a adopté en juin dernier le Security Action For Europe (SAFE), un instrument financier de prêts de 150 milliards d'euros. Environ 100 milliards sont alloués au flanc oriental de l'Europe : 43,7 milliards pour la Pologne, 16,7 milliards pour la Roumanie, 16,2 milliards pour la Hongrie. Cette concentration géographique reflète une réalité diverse. Chaque pays défend actuellement sa portion de frontière d'une manière légèrement différente, à l'aide de systèmes qui vont du plus sophistiqué au moins élaboré. Cette réunion sans conclusion écrite a permis de décanter des sujets qui seront finalisés les 23 et 24 octobre prochains lors du Conseil européen à Bruxelles. Objectif : combler les lacunes et favoriser des acquisitions conjointes pour lutter contre « la fragmentation de nos efforts à travers des initiatives nationales non coordonnées ».Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La promulgation de la nouvelle Constitution le 4 octobre 1958 marque une rupture fondamentale : la France adopte la Ve République. François Vantomme explique les motifs qui ont conduit à ce changement majeur et décrit les transformations concrètes qu'elle entraîne.
L'émission 28 minutes du 29/09/2025 Le romancier du réel qui raconte le quotidien éprouvant des surveillants de prisonUne dizaine de surveillants et de surveillantes pour des centaines de prisonniers, une prison française surpeuplée, un système carcéral au bord du gouffre et, au milieu de tout cela, un écrivain pour en décrire les rouages. Guillaume Poix, nous raconte dans son dernier roman, "Perpétuité" (éditions Gallimard), les innombrables nuits, ordinaires et extraordinaires, de ces "prolétaires de la sécurité" que sont les surveillants de prison. L'auteur s'est plongé pendant trois ans dans le quotidien d'une maison d'arrêt du sud de la France avec un objectif précis en tête : comprendre le travail de ces hommes et femmes souvent oubliés et dévalorisés. Pendant les 12 heures du service nocturne, Guillaume Poix suit les pas des geôliers dans les miradors, les coursives et rondes, dans un monde complexe fait de solidarité, de comportements parfois violents, mais aussi d'attention et de soins à l'égard des détenus. Un Premier ministre faible et sous tutelle : la France est-elle en train de changer de régime ?Nommé le 9 septembre dernier par Emmanuel Macron, Sébastien Lecornu détient le record du Premier ministre qui aura mis le plus de temps à choisir un gouvernement. L'ancien ministre des Armées est déjà sous la menace d'une motion de censure brandie par la gauche, ainsi qu'une poursuite du mouvement social avec une prochaine date de manifestation prévue le 2 octobre. Par ailleurs, Sébastien Lecornu n'a que jusqu'au 13 octobre pour déposer son projet de loi de finances à l'Assemblée. Dans une interview publiée par Le Parisien, vendredi 26 septembre, le Premier ministre ne semble pas changer de cap sur la suppression de la réforme des retraites, sur la taxe Zucman ou encore l'ISF. Marine Le Pen, cheffe de file des députés RN, a quant à elle fait savoir qu'elle attendrait le discours de politique générale du Premier ministre avant de se prononcer. La motion de censure qui devrait être déposée ce mercredi 1er octobre s'avère, pour le moment, arithmétiquement impossible à adopter. Pour autant, le nouvel hôte de Matignon se considère comme un "Premier ministre faible", avec un gouvernement "sous tutelle du Parlement". Cet aveu de faiblesse est-il le signe d'un changement de régime sans passer par un changement de Constitution ?Enfin, Xavier Mauduit nous emmène à Arras où un Néerlandais décroche le titre de champion du monde de la frite. Marie Bonnisseau revient, quant à elle, sur ces chasseurs à l'arc appelés pour réguler, en sécurité, des populations d'animaux en zone périurbaine. 28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 29 septembre 2025 Présentation Élisabeth Quin Production KM, ARTE Radio
L'émission 28 minutes du 29/09/2025 Un Premier ministre faible et sous tutelle : la France est-elle en train de changer de régime ?Nommé le 9 septembre dernier par Emmanuel Macron, Sébastien Lecornu détient le record du Premier ministre qui aura mis le plus de temps à choisir un gouvernement. L'ancien ministre des Armées est déjà sous la menace d'une motion de censure brandie par la gauche, ainsi qu'une poursuite du mouvement social avec une prochaine date de manifestation prévue le 2 octobre. Par ailleurs, Sébastien Lecornu n'a que jusqu'au 13 octobre pour déposer son projet de loi de finances à l'Assemblée. Dans une interview publiée par Le Parisien, vendredi 26 septembre, le Premier ministre ne semble pas changer de cap sur la suppression de la réforme des retraites, sur la taxe Zucman ou encore l'ISF. Marine Le Pen, cheffe de file des députés RN, a quant à elle fait savoir qu'elle attendrait le discours de politique générale du Premier ministre avant de se prononcer. La motion de censure qui devrait être déposée ce mercredi 1er octobre s'avère, pour le moment, arithmétiquement impossible à adopter. Pour autant, le nouvel hôte de Matignon se considère comme un "Premier ministre faible", avec un gouvernement "sous tutelle du Parlement". Cet aveu de faiblesse est-il le signe d'un changement de régime sans passer par un changement de Constitution ?On en débat avec Astrid de Villaines, journaliste politique, présentatrice et écrivaine, Mathieu Souquière, essayiste, expert associé à la Fondation Jean Jaurès et Julien Jeanneney, constitutionnaliste, professeur de droit public à l'Université de Strasbourg.28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 29 septembre 2025 Présentation Élisabeth Quin Production KM, ARTE Radio
Invité : Franz-Olivier Giesbert, journaliste et auteur de "Histoire intime de la Ve République" Tome 3 Tragédie française aux éditions Gallimard Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:27:59 - Journal de 18h - La rencontre entre le Premier ministre et l'intersyndicale n'a rien donné ce matin à Matignon. Sébastien Lecornu aurait même reconnu une forme d'impuissance politique face à ses interlocuteurs. Les syndicats appellent à une nouvelle journée d'action le deux octobre.
durée : 00:27:59 - Journal de 18h - La rencontre entre le Premier ministre et l'intersyndicale n'a rien donné ce matin à Matignon. Sébastien Lecornu aurait même reconnu une forme d'impuissance politique face à ses interlocuteurs. Les syndicats appellent à une nouvelle journée d'action le deux octobre.
Face aux syndicats, Sébastien Lecornu est démuni. Le Premier ministre a reçu, ce mercredi 24 septembre, les organisations syndicales et patronales à Matignon. Objectif : trouver un compromis afin d'éviter de nouvelles grèves. Cette consultation s'est soldée par un échec pour le chef du gouvernement. À peine sortis de Matignon, les organisations ont annoncé une nouvelle journée de mobilisation dans 8 jours, le 2 octobre. Mais surtout, le Premier ministre est apparu plus fragilisé que jamais. "Vous êtes devant le Premier ministre le plus faible de la Ve République. Tout ne peut pas venir de moi, je n'ai pas 350 députés sur lesquels m'appuyer", a-t-il notamment concédé aux organisations présentes. Un aveu de faiblesse étonnant, mais surtout tactique de la part de Sébastien Lecornu. En effet, car le Premier ministre ne peut, par exemple, pas décider tout seul de mettre la réforme des retraites en pause. Il renvoie également la responsabilité vers l'Assemblée nationale et les députés. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L'Histoire a connu de grands fraudeurs, arnaqueurs, escrocs ou encore manipulateurs… En se faisant passer pour ceux qu'ils n'étaient pas, en créant leur propre système économique frauduleux ou encore en vendant des choses qui ne leur appartenaient pas, nombreux ont été ceux qui ont cherché à se faire de l'argent illégalement.Et c'est leur malice qui a fait leur renommée. Ce sont leurs destins que l'on a souhaité vous raconter dans cette série de podcast appelée Une Fraude Presque Parfaite, imaginée par Finovox. Embarquez donc pour une dizaine de minutes et retracez les grandes histoires de fraudeurs avec Justine Gaget, Content Manager et Podcasteuse. Aujourd'hui, pour cette nouvelle saison, plongez dans l'une des plus grandes escroqueries d'État de la Ve République : l'affaire des avions renifleurs.Deux individus improbables, un comte belge désargenté et un réparateur de télévisions italien, réussissent à convaincre Elf Aquitaine et les plus hautes sphères politiques de croire en une technologie miracle supposée détecter le pétrole depuis le ciel. Promesses révolutionnaires, démonstrations truquées et appuis de figures respectées donnent à la supercherie une crédibilité inattendue. Des centaines de millions de francs sont engloutis ... Un scandale national qui soulève encore aujourd'hui une question : où est passé l'argent disparu ?⭐ Si cet épisode vous plaît, n'hésitez pas à le partager sans modération !
Depuis les élections législatives de juin 2022, il n'y a plus de majorité absolue à l'Assemblée nationale. Les trois grandes forces présentes dans l'hémicycle (les partis du Nouveau Front Populaire, le camp présidentiel, et le Rassemblement national et ses alliés) comptent chacune moins de députés que le nombre requis (288 sur 577) pour gouverner seules.Cette situation est en rupture avec les habitudes de la chambre basse depuis le début de la Ve République en 1958. Pendant des décennies, l'Assemblée nationale s'est structurée autour d'un bloc qui disposait de la majorité absolue, donnant ainsi toute la latitude à l'exécutif pour appliquer sa politique, et un bloc d'opposition homogène qui cherchait l'alternance.Pourquoi cette nouvelle donne plonge-t-elle le pays dans une instabilité politique ? Faut faire le deuil de cette majorité absolue pour tenter d'en sortir ? Eléments de réponse avec Jean Garrigues, historien, professeur émérite à l'université d'Orléans, et spécialiste de l'histoire parlementaire.Écoutez Code source sur toutes les plates-formes audio : Apple Podcast (iPhone, iPad), Amazon Music, Podcast Addict ou Castbox, Deezer, Spotify.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Reporter : Barbara Gouy - Production : Thibault Lambert, Pénélope Gualchierotti et Clara Grouzis - Réalisation et mixage : Pierre Chaffanjon. - Musiques : François Clos, Audio Network. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Alors même qu'elle est censée porter la voix du peuple, l'Assemblée Nationale est un haut lieu de performance d'un pouvoir viriliste, incarné par une masculinité hégémonique blanche, bourgeoise et hétérosexuelle. Que ce soit à travers le faste des lieux, la façon de mener les débats ou l'humour sexiste qui s'y déploie, tout dans cette institution clé de la Ve République tend à valoriser un mode de gouvernance violent et dominateur, où seule une petite part de la population se voit réellement représentée. De quelle manière le fonctionnement quotidien de l'Assemblée nationale s'imprègne-t-il du virilisme ? Comment se mettent en place les violences sexistes et sexuelles en politique ? La réelle parité femmes-hommes dans les institutions suffirait-elle à changer les choses ? Pourrait-on fonctionner sans “Père de la Nation” ? Pour en parler, Victoire Tuaillon reçoit Mathilde Viot, juriste en droit public et ancienne collaboratrice d'élu·es. Dans son essai « L'homme politique, moi j'en fais du compost » (éd. Stock, 2022), notre invitée revient sur ses 7 ans passés au Palais Bourbon. Elle interroge à travers une analyse acérée la valeur démocratique des lois qui régissent notre quotidien. Après avoir fondé le collectif Chair collaboratrice et participé au lancement du #MeTooPolitique, elle propose de composter le virilisme mortifère de nos institutions politiques pour faire advenir une démocratie féministe, écologiste et antiraciste.Un épisode initialement diffusé le 22 septembre 2022.RÉFÉRENCES CITÉES DANS L'ÉMISSION Retrouvez toutes les références citées à la page https://www.binge.audio/podcast/les-couilles-sur-la-table/composter-lhomme-politique Binge Audio fête ses 10 ans au Mazette ! Prenez vos places sur Shotgun ou Dice CRÉDITS Les couilles sur la table est un podcast de Victoire Tuaillon produit par Binge Audio. Cet entretien a été enregistré dans les studios de Binge Audio (Paris, 19e). Générique : Théo Boulenger. Identité graphique : Sébastien Brothier (Upian). Prise de son, réalisation et mixage : Elisa Grenet et Paul Bertiaux. Chargée de production et d'édition : Naomi Titti et Marie Foulon. Marketing et communication : Jeanne Longhini, Lise Niederkorn et Justine Taverne. Direction des programmes : Joël Ronez. Direction de la rédaction : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C dans l'air l'invité du 15 septembre 2025 avec Jean-Pierre Jouyet, ancien Secrétaire général de l'Elysée, auteur de "L'ombre du général", paru aux éditions Albin Michel.Dans son ouvrage Dans l'ombre du général à paraître chez Albin Michel, le 11 septembre, l'ancien secrétaire général de l'Elysée sous François Hollande analyse comment la présidentialisation de notre régime a paradoxalement affaibli la capacité réelle d'action de nos dirigeants. Les présidents successifs ont cherché progressivement à tout contrôler – gouvernement, nominations, agenda législatif – mais cette hypertrophie du pouvoir a favorisé la prolifération de structures intermédiaires – agences, autorités indépendantes, comités – censées incarner des contre-pouvoirs à cet État tout puissant.C'est là tout le paradoxe de la Ve : la présidentialisation de notre régime n'a pas renforcé la capacité d'action de nos dirigeants. Au contraire, elle a limité leur aptitude à prendre des décisions fermes et à défendre efficacement les intérêts du pays. Cette impuissance, perçue par les citoyens, a nourri la défiance à l'égard des gouvernants. Jean-Pierre Jouyet, ancien secrétaire général de l'Elysée, et auteur de "L'Ombre du général", aux éditions Albin Michel, est notre invité. Il nous livrera son analyse de l'évolution de la fonction présidentielle, et de la crise, souvent décrite, de la Ve République. Faut-il faire évoluer nos institutions ? Et comment répondre à la crise politique actuelle ? Il répondra à ces questions, lui qui, durant sa carrière, a "servi cinq présidents", comme il aime à le rappeler.
durée : 00:01:21 - Les 80'' - par : Nicolas Demorand - Nicolas Demorand nous invite à plonger dans une page d'histoire de la Ve République à l'occasion de la chute de François Bayrou et de la nomination de Sébastien Lecornu à Matignon. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Cinq Premiers ministres en vingt mois, sept depuis l'entrée d'Emmanuel Macron à l'Élysée. Du jamais vu sous la Ve République. La France, longtemps vantée comme un modèle de stabilité, est désormais scrutée de près par les démocraties voisines. Ses partenaires européens redoutent un risque "systémique". La France est-elle le nouveau malade de l'Europe ? Pour en parler, notre invité : Éric Le Boucher, journaliste à L'Opinion et aux Échos.
Dans cette édition :Le Premier ministre François Bayrou a été renversé par l'Assemblée nationale, une première dans l'histoire de la Ve République, laissant le pays dans une crise politique.Emmanuel Macron doit nommer un nouveau Premier ministre dans les prochains jours, mais la situation budgétaire est incertaine avec l'adoption du budget 2026 qui risque d'être compromise.Une journée de mobilisation et de blocages est prévue le 10 septembre, avec la crainte des commerçants de subir à nouveau les conséquences des violences.La pétition de Philippe de Villiers pour réclamer un référendum sur l'immigration approche les 400 000 signatures, reflétant les préoccupations de certains Français sur le sujet.Malgré la transition vers l'électrique, le moteur thermique n'a pas dit son dernier mot dans l'industrie automobile, avec des constructeurs proposant des solutions hybrides pour accompagner les consommateurs.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :Le Premier ministre François Bayrou a remis sa démission à Emmanuel Macron après un vote de défiance à l'Assemblée Nationale, un fait historique dans la Ve République.Les partis d'opposition, de la gauche au Rassemblement National, réclament soit la nomination d'un nouveau Premier ministre, soit la dissolution de l'Assemblée.À Marseille, l'insécurité persiste dans le quartier de la faculté Colbert, avec des points de deal, des dégradations de caméras de surveillance et un climat de peur chez les étudiants.Malgré les objectifs de décarbonation, le salon automobile de Munich montre que le moteur thermique n'a pas dit son dernier mot, avec des solutions hybrides qui séduisent encore les consommateurs.La Cour d'appel a fixé les dates du procès en appel de Marine Le Pen dans l'affaire des assistants parlementaires du Front National, ce qui pourrait impacter les élections municipales de 2026.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :Le Premier ministre François Bayrou a été renversé par l'Assemblée nationale, une première dans l'histoire de la Ve République, laissant le pays dans une crise politique.Emmanuel Macron doit nommer un nouveau Premier ministre dans les prochains jours, mais la situation budgétaire est incertaine avec l'adoption du budget 2026 qui risque d'être compromise.Une journée de mobilisation et de blocages est prévue le 10 septembre, avec la crainte des commerçants de subir à nouveau les conséquences des violences.La pétition de Philippe de Villiers pour réclamer un référendum sur l'immigration approche les 400 000 signatures, reflétant les préoccupations de certains Français sur le sujet.Malgré la transition vers l'électrique, le moteur thermique n'a pas dit son dernier mot dans l'industrie automobile, avec des constructeurs proposant des solutions hybrides pour accompagner les consommateurs.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :Le Premier ministre François Bayrou a remis sa démission à Emmanuel Macron après un vote de défiance à l'Assemblée Nationale, un fait historique dans la Ve République.Les partis d'opposition, de la gauche au Rassemblement National, réclament soit la nomination d'un nouveau Premier ministre, soit la dissolution de l'Assemblée.À Marseille, l'insécurité persiste dans le quartier de la faculté Colbert, avec des points de deal, des dégradations de caméras de surveillance et un climat de peur chez les étudiants.Malgré les objectifs de décarbonation, le salon automobile de Munich montre que le moteur thermique n'a pas dit son dernier mot, avec des solutions hybrides qui séduisent encore les consommateurs.La Cour d'appel a fixé les dates du procès en appel de Marine Le Pen dans l'affaire des assistants parlementaires du Front National, ce qui pourrait impacter les élections municipales de 2026.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
« Cette question est sur toutes les lèvres en France, s'exclame le New York Times, après que le gouvernement a perdu hier la confiance à l'Assemblée nationale, forçant le Premier ministre, François Bayrou, et son équipe, à démissionner. » Nommer bientôt un nouveau Premier ministre comme il l'a annoncé, mais qui ? Et avec quelle majorité à l'Assemblée ? Convoquer de nouvelles élections ? Emmanuel Macron l'a d'ores et déjà exclu. Une démission du président ? Niet, a aussi répondu l'intéressé. « Quoi qu'il en soit, soupire le New York Times, la route à venir s'annonce semée d'embûches. » Le nécessaire compromis Pour Le Temps à Genève, le président français n'a pas le choix : « dos au mur, Emmanuel Macron va devoir faire ce qu'il exige des autres. » À savoir : « renoncer à des points centraux de son programme pour faire avancer un compromis avec des forces opposées. Ce n'est qu'ensemble que ces partis centraux pourront sortir la France de son ornière. » En effet, renchérit Le Soir à Bruxelles, « s'entendre n'est plus une option. C'est un devoir. S'entendre, non pas forcément pour former un improbable gouvernement d'union nationale, mais s'entendre à tout le moins sur l'indispensable : l'adoption d'un budget pour faire tourner le pays en 2026. La France a décidément un problème avec le compromis. Il ne s'agit pas de couper une poire au milieu. Mais de sortir de ses dogmes pour faire du chemin vers les autres. » Pour Le Figaro à Paris, la balance doit pencher à droite. « Emmanuel Macron doit affronter un mélange de déception, d'impatience, d'exaspération qui prend des proportions préoccupantes. Il ne peut plus se permettre de procrastiner, ni de rejouer la même partie en dérivant un peu plus à gauche. Tout - l'opinion, les marchés, son intérêt - l'oblige à trancher dans le vif. Nomination éclair sur sa droite, s'exclame Le Figaro, pour repousser de quelques mois le coup de tonnerre d'une nouvelle dissolution : c'est la prévision la moins défavorable. » Un « homme de passerelles » En tout cas, affirme La Croix, « quelle que soit la personnalité retenue, il lui faudra trouver une méthode nouvelle. Peut-on imaginer un gouvernement de coalition qui irait d'une partie de la droite à la gauche ? » Pas sûr, répond le journal. « Une perspective d'autant plus incertaine que l'extrême droite et l'extrême gauche attendent des actes beaucoup plus radicaux. » Démission, dissolution avec le risque de l'arrivée de l'extrême-droite au pouvoir ? « Emmanuel Macron doit trouver le bon candidat pour éviter un tel scénario, estime La Croix. Un homme de passerelles comme Xavier Bertrand ou l'ex-socialiste Éric Lombard, à Bercy dans le gouvernement sortant, ou bien un technicien comme Jean Castex. Mais, prévient le journal, si un nouveau Premier ministre sitôt nommé était rejeté, pour la troisième fois en un an, l'impasse politique pourrait déboucher sur une crise de régime. » Justement, rebondit le Washington Post, « il est de plus en plus difficile de savoir si la Ve République pourra perdurer sans réformes majeures ». Du beurre et des armes Le Washington Post qui élargit le débat en affirmant que cette impasse politique en France est aussi une « mauvaise nouvelle pour l'Ukraine ». En effet, pointe le quotidien américain, dans les conditions actuelles, « atteindre pour l'Europe l'autonomie stratégique (en matière de défense), comme le souhaite Emmanuel Macron, ne sera pas facile. (…) La France consacre 2,1 % de son PIB à la défense, et Macron s'est engagé à doubler ce montant pour atteindre 75 milliards de dollars d'ici 2027. Mais le déficit budgétaire national atteint déjà environ 6 % du PIB et la dette publique s'élève à 114 % du PIB. » Bref, conclut le Washington Post, « on ne voit pas bien comment le président français pourrait offrir à ses concitoyens à la fois du beurre et des armes sans creuser encore le déficit ».
Aujourd'hui, Antoine Diers, consultant, Jérôme Marty, médecin généraliste, et Barbara Lefebvre, professeur d'histoire-géo, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Invité : Frédéric Dabi, directeur-général opinion de l'Ifop Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pays démocratique et républicain, la France nourrit un paradoxe : dans la mémoire collective des Français, la figure de l'homme providentiel a une place de choix. Parmi ces hommes et femmes surgissant dans des circonstances souvent exceptionnelles, se trouve Charles De Gaulle. Incarnation de la France libre pendant la Seconde Guerre mondiale, instigateur de la Ve République en 1958, le Général de Gaulle a, par deux fois, fait figure de sauveur dans notre pays. Comment s'est construit le mythe gaullien de l'homme providentiel ? Pour répondre à cette question, Virginie Girod reçoit l'historien Jean Garrigues. Fin connaisseur de l'histoire de nos institutions, il est président de la commission internationale d'histoire des assemblées, et auteur, notamment, des livres "A la plage avec Charles de Gaulle, l'homme providentiel dans un transat" (Dunod) et "Les Hommes providentiels: Histoire d'une fascination française" (Payot).Au Cœur de l'Histoire est un podcast Europe 1.Présentation : Virginie GirodProduction : Armelle ThibergeRéalisation : Clément IbrahimDiffusion : Estelle LafontComposition du générique : Julien TharaudVisuel : Sidonie ManginHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invité : Franz-Olivier Giesbert, journaliste et auteur de "Histoire intime de la Ve République" Tome 3 Tragédie française aux éditions Gallimard Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invité : Franz-Olivier Giesbert, journaliste et auteur de "Histoire intime de la Ve République" Tome 3 Tragédie française aux éditions Gallimard Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Nous avons eu le grand plaisir de recevoir notre amie Maryève, ancienne répartitrice 911 et animatrice du balado 911 Behind The Scene. Dans cet épisode, elle répond à toutes nos questions sur ce métier intense et souvent méconnu, tout en nous partageant son expérience et ses anecdotes.Dans la première partie de l'épisode, Catherine nous plonge dans les détails sordides du Bucket Murder.L'épisode a été enregistré et filmé au Studio Bien Entendu. Vous pouvez le visionner sur Youtube :https://youtu.be/7O3HcUfVT-kAPPLE 911 COMPLEThttps://www.youtube.com/watch?v=qnSgw6QZ3_8INSTAGRAM - MARYÈVEhttps://www.instagram.com/maryevesocial/?hl=enINSTAGRAM - 911 BEHIND THE SCENEhttps://www.instagram.com/911behindthescene/?hl=enPOUR NOUS ENVOYER VOS HISTOIRESlespetitesfrousses@gmail.comMERCHhttps://www.baladosclubsocial.ca/boutiqueSITE WEBhttps://www.baladosclubsocial.ca/NOS RÉSEAUX SOCIAUXhttps://linktr.ee/Lespetitesfrousses.podPour supporter LES PETITES FROUSSES sur Patreon https://patreon.com/user?u=74511634&utm_medium=unknown&utm_source=join_link&utm_campaign=creatorshare_creator&utm_content=copyLink Pour nous envoyer vos histoires de frousses lespetitesfrousses@gmail.com Pour nous suivre sur les réseaux @lespetitesfrousses.podSupport this podcast at — https://redcircle.com/les-petites-frousses/donationsAdvertising Inquiries: https://redcircle.com/brandsPrivacy & Opt-Out: https://redcircle.com/privacy
durée : 00:03:26 - Géopolitique - par : Pierre Haski - On fêtait le 20 juillet le 10ème anniversaire du rétablissement des relations entre Cuba et les États-Unis. On pourrait s'en réjouir, mais l'île est en pleine crise. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:03:26 - Géopolitique - par : Pierre Haski - On fêtait le 20 juillet le 10ème anniversaire du rétablissement des relations entre Cuba et les États-Unis. On pourrait s'en réjouir, mais l'île est en pleine crise. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Plusieurs débats au cœur de l'actualité, les Grandes gueules ont le choix, en débattre ou non : États-Unis, la "kiss cam" qui vire au drame ! Emmanuel Macron et François Bayrou, couple exécutif le plus impopulaire de la Ve République
Lancée le 10 juillet par une étudiante de 23 ans, une pétition contre la loi Duplomb a franchi le cap du million de signatures ce dimanche 20 juillet, du jamais-vu sous la Ve République. En cause : la réintroduction à titre dérogatoire d'un néonicotinoïde, insecticide interdit depuis 2020 pour sa toxicité sur les pollinisateurs. Jean-François Colosimo et Olivier Beaumont reviennent sur cette mobilisation inédite et sur sa portée politique. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L'émission 28 minutes du 21/07/2025 C'est une première sous la Ve République : un débat pourrait être organisé à l'Assemblée nationale dès la rentrée parlementaire, déclenché non pas par les élus, mais par une pétition citoyenne. À l'origine de cette mobilisation inédite, une étudiante de 23 ans, dont la pétition a réuni plus d'un million de signatures réclamant l'abrogation de la loi Duplomb. Très controversé, ce texte autorise notamment le retour de l'acétamipride, un pesticide interdit en France depuis 2018. Le retentissement de cette pétition suffira-t-il à infléchir la trajectoire politique en marche ? Ce moment marque-t-il un tournant dans la manière dont les citoyens se réapproprient le débat démocratique ? On en débat avec Véronique Le Floc'h, présidente de la Coordination rurale, Marie Bellan, journaliste aux "Échos" en charge des sujets environnement et climat, et Philippe Grandcolas, écologue, directeur de recherche au CNRS.28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 21 juillet 2025 Présentation Jean-Mathieu Pernin Production KM, ARTE Radio
L'émission 28 minutes du 21/07/2025 Auteur à succès, grâce aux enquêtes du commissaire Franck Sharko et de l'inspectrice Lucie Henebelle, Franck Thilliez s'impose comme l'une des figures majeures du polar et du thriller en France. Avec “À retardement”, son dernier en date paru chez Fleuve Éditions et écoulé à plus de 200 000 exemplaires, il tisse une intrigue dense autour d'un thème brûlant d'actualité : la santé mentale et sa prise en charge. Pour nourrir son récit, l'écrivain a souhaité une immersion dans une unité pour malades difficiles (UMD), celle de l'hôpital de Rouvray, afin de mieux cerner la réalité de ces lieux souvent fantasmés. Une démarche qui vise à briser les stéréotypes persistants sur les troubles psychiatriques.C'est une première sous la Ve République : un débat pourrait être organisé à l'Assemblée nationale dès la rentrée parlementaire, déclenché non pas par les élus, mais par une pétition citoyenne. À l'origine de cette mobilisation inédite, une étudiante de 23 ans, dont la pétition a réuni plus d'un million de signatures réclamant l'abrogation de la loi Duplomb. Très controversé, ce texte autorise notamment le retour de l'acétamipride, un pesticide interdit en France depuis 2018. Le retentissement de cette pétition suffira-t-il à infléchir la trajectoire politique en marche ? Ce moment marque-t-il un tournant dans la manière dont les citoyens se réapproprient le débat démocratique ? On en débat avec Véronique Le Floc'h, présidente de la Coordination rurale, Marie Bellan, journaliste aux "Échos" en charge des sujets environnement et climat, et Philippe Grandcolas, écologue, directeur de recherche au CNRS.Enfin Théophile Cossa nous parle du futur de la chirurgie : se faire opérer par un robot, et Marjorie Adelson revient sur la banane la plus chère du monde, dévorée – de nouveau – au Centre Pompidou-Metz.28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 21 juillet 2025 Présentation Jean-Mathieu Pernin Production KM, ARTE Radio
Vous l'avez forcément oublié... Ou alors vous êtes trop jeune pour connaitre le nom de Jean-Pierre Fourcade. Le ministre de l'Économie de Valérie Giscard-d 'Estaing est le dernier ministre sous la Ve République à avoir rendu un budget à l'équilibre. Ecoutez L'angle éco de Pierre Herbulot du 16 juillet 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Vous l'avez forcément oublié... Ou alors vous êtes trop jeune pour connaitre le nom de Jean-Pierre Fourcade. Le ministre de l'Économie de Valérie Giscard-d 'Estaing est le dernier ministre sous la Ve République à avoir rendu un budget à l'équilibre. Ecoutez L'angle éco de Pierre Herbulot du 16 juillet 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Carl Meeus analyse les enjeux de la conférence de presse du Premier ministre François Bayrou, qui doit annoncer aujourd'hui son plan d'économies de 40 milliards d'euros d'ici 2026. Bayrou, surnommé "l'Alfred Hitchcock de la politique", a soigneusement mis en scène cette séquence, laissant planer le doute sur les mesures qu'il compte prendre. Carl Meeus s'interroge sur la capacité du Premier ministre à engager de véritables réformes de structure, alors que sa cote de confiance est l'une des plus basses de la Ve République. L'enjeu est de taille pour Bayrou, qui doit convaincre les Français de la nécessité de ces efforts budgétaires.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Mémoire de la Ve République, Alain Duhamel apporte son expérience et se confronte dans BFM Story à une duelliste de choc différente chaque soir.
Mémoire de la Ve République, Alain Duhamel apporte son expérience et se confronte dans BFM Story à une duelliste de choc différente chaque soir.
Les Français ne se seraient pas remis de la mort de Louis XVI. En 2015, Emmanuel Macron expliquait que le roi était «l'absent» du «processus démocratique». Cette absence justifierait le renforcement de l'exécutif sous la Ve République. Paradoxalement, la monarchie n'a jamais été en position d'être restaurée depuis les années 1870, et pourtant le roi n'a pas disparu. Alors comment ce spleen a-t-il été entretenu?? Il se diffuse sous la IIIe République, lorsque les droites doivent composer avec la fin des espoirs de Restauration. Face à ce vide, elles entretiennent des récits et des théories contre-révolutionnaires. Au coeur de ce dispositif, on trouve la figure du roi, alternative à une république libérale. Jusqu'à la Seconde Guerre mondiale, cet imaginaire est mobilisé dans le débat public. Il survit dans des lieux aussi différents que le château de Versailles, devenu un musée à la gloire de l'Ancien Régime, mais aussi des institutions comme l'Académie française. Il se diffuse grâce à d'immenses succès de librairie, qui nourrissent la nostalgie. Bref, la France ne se comprend pas sans son roi.L'auteur, Baptiste Roger-Lacan, est avec nous en studioDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Mémoire de la Ve République, Alain Duhamel apporte son expérience et se confronte dans BFM Story à une duelliste de choc différente chaque soir.
Mémoire de la Ve République, Alain Duhamel apporte son expérience et se confronte dans BFM Story à une duelliste de choc différente chaque soir.
Aujourd'hui, Bruno Poncet, Joëlle Dago-Serry et Antoine Diers débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Dans cet épisode, Caroline Ithurbide analyse le rêve récurrent d'Isabelle, qui se sent dans une situation d'incertitude et de perte de contrôle. Elle explore les thèmes d'anxiété et de préoccupation qui peuvent se cacher derrière ce type de rêve.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Mémoire de la Ve République, Alain Duhamel apporte son expérience et se confronte dans BFM Story à une duelliste de choc différente chaque soir.
Avec Morgane Cadignan, Benjamin Tranié et Mister MV.Enregistré le 21 juin 2025 à la Salle Pleyel. Présenté par Florent Bernard et Adrien Ménielle. On en parle de choses dans cet épisode : de problème dans le train, d'opération médicale douloureuse, de chansons paillardes, d'Omar Sy et son chien, de bretons, de livres de records et du restaurant de Francky Vincent.C'EST LE RETOUR DU MERCH : https://traphic.fr/collections/floodcast !Bises,Flo. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
C'est aujourd'hui le début des épreuves de philo du baccalauréat pour les terminales, l'occasion pour Florian Gazan de vous expliquer pourquoi, niveau baccalauréat, Emmanuel Macron est le meilleur Président de la Ve République... Dans "Ah Ouais ?", Florian Gazan répond en une minute chrono à toutes les questions essentielles, existentielles, parfois complètement absurdes, qui vous traversent la tête.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Mémoire de la Ve République, Alain Duhamel apporte son expérience et se confronte dans BFM Story à une duelliste de choc différente chaque soir.
Mémoire de la Ve République, Alain Duhamel apporte son expérience et se confronte dans BFM Story à une duelliste de choc différente chaque soir.
Pays démocratique et républicain, la France nourrit un paradoxe : dans la mémoire collective des Français, la figure de l'homme providentiel a une place de choix. Parmi ces hommes et femmes surgissant dans des circonstances souvent exceptionnelles, se trouve Charles De Gaulle. Incarnation de la France libre pendant la Seconde Guerre mondiale, instigateur de la Ve République en 1958, le Général de Gaulle a, par deux fois, fait figure de sauveur dans notre pays. Comment s'est construit le mythe gaullien de l'homme providentiel ? Pour répondre à cette question, Virginie Girod reçoit l'historien Jean Garrigues. Fin connaisseur de l'histoire de nos institutions, il est président de la commission internationale d'histoire des assemblées, et auteur, notamment, des livres "A la plage avec Charles de Gaulle, l'homme providentiel dans un transat" (Dunod) et "Les Hommes providentiels: Histoire d'une fascination française" (Payot).Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
ll est entré dans l'Histoire en appelant les Français à la Résistance le 18 juin 1940, puis il a été l'instigateur de la Ve République et sa figure tutélaire. Mais vous a-t-on déjà raconté la jeunesse de Charles de Gaulle ? Quel homme était-il avant de devenir le Général que chaque Français connaît ? La semaine prochaine, dans Au cœur de l'Histoire, découvrez les jeunes années de Charles de Gaulle, de son action pendant la Première Guerre mondiale à la veille de l'appel du 18 juin, alors qu'il chérissait déjà un rêve de grandeur pour la France. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.