Ruins of architecture constructed in the recent past
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Nous recevons deux musiciennes, compositrices et interprètes, Kyrie Kristmanson pour l'album Floralia et Dom La Nena pour Léon, album instrumental du nom de son violoncelle. Un peu de Canada et de Brésil à Paris. (Rediffusion) Notre première invitée est Kyrie Kristmanson pour la sortie de l'album Floralia.Kyrie Kristmanson est une aventurière des musiques qui aime naviguer entre le folk nord- américain et la lointaine mémoire du Moyen-Âge européen. Son premier album, Origin of Stars, s'inspire des vibrations des paysages canadiens qui l'ont vus grandir. Récompensé aux Canadian Folk Music Awards, l'album est sorti mondialement chez NØ FØRMAT!/Universal France en 2010. Elle saisit les spectateurs du Printemps de Bourges et elle séduit Emily Loizeau qui l'invite à assurer ses premières parties. La tournée qui suivra l'amènera à travers l'Asie et l'Europe jusqu'au sud de la France où, intriguée par l'histoire portée par les pierres, elle visite les ruines des châteaux médiévaux. Ces vestiges l'inciteront à retracer le répertoire lacunaire des premières compositrices : les trobairitz. Après avoir complété une thèse à leur sujet à La Sorbonne, c'est en prenant la liberté de s'approprier ces poèmes d'amour qu'elle compose un second opus : Modern Ruin. Arrangé pour quatuor à cordes et voix par Clément Ducol, son hommage à ces compositrices méconnues est sorti chez Naïve en février 2015. Fascinée également par les découvertes de la physique quantique, Kyrie s'est ensuite interrogée sur l'hypothèse d'une tradition musicale venue d'un monde parallèle. Le résultat de ce questionnement est l'album Lady Lightly, un folk-cosmique qui semblerait avoir voyagé des années-lumière à travers des cieux stellaires. Enregistré dans une aile abandonnée du Château de Versailles et réalisé par Saint Michel, la tournée se fait aux côtés d'Étienne Klein, philosophe des sciences. Kyrie Kristmanson ne cesse d'explorer et d'expérimenter avec sa guitare et ses chansons habitées par de très anciennes et très puissantes énergies.Personnalité excentrique à l'univers singulier, l'aventurière canadienne Kyrie Kristmanson est une artiste folk-pop baroque dont l'univers musical s'inscrit dans la famille des grandes chanteuses insolites telles que Kate Bush ou plus récemment Jeanne Added, avec qui elle a partagé la scène.Après avoir sillonné les scènes de France et au-delà avec ses précédents albums —du Printemps de Bourges aux Primeurs de Massy, en passant par les Folles Journées de Nantes— Kyrie Kristmanson nous dévoile Floralia, un cycle de chansons dédié à Flora, déesse de la nature et de la féminité. À travers des mélodies folk éthérées ainsi qu'un lyrisme sensuel et mystique, l'artiste nous propose un spectacle verdoyant éclairé à la bougie : un manifeste d'une sensualité et poésie inédites.Floralia s'assemble tel un bouquet de fleurs baroque où la country s'entremêle librement à la musique traditionnelle japonaise ou encore à une sorte de folk dylanesque à l'ère du Rolling Thunder Review. Pendant trente-trois minutes, la chanteuse-compositrice-guitariste nous propose une promenade concise mais foisonnante à travers son univers kaléidoscopique. Enregistré la nuit entre les murs quasi-millénaires de l'Abbaye de Noirlac, Floralia nous fait entendre l'écho hanté de la réverb naturelle des pierres et le souffle des bandes qui semblent sur le point de nous livrer le secret de leur mystère. En effet, la chanteuse nous révèle : « Je voulais que Floralia sonne comme un album découvert dans le grenier d'une maison abandonnée, comme la musique d'une ère révolue ou d'une civilisation oubliée… ». Des berceuses aux doux parfums du passé, oui, mais celles qui rêvent d'utopies futures.Titres interprétés au grand studio- Hummingbird Heart Live RFI- Le Jardin, extrait de l'album Floralia- Night's Refrain, solo de Kyrie K. Live RFI. Line up : Kyrie Kristmanson, chant, guitare ; Anne Berry, chant, alto ; Mathilde Vrech, chant, violon.Son : Mathias Taylor & Benoît Letirant. ► Album Floralia (Iki Records 2023) Puis nous recevons la violoncelliste Dom la Nena, à l'occasion de la sortie de Léon.Après l'excellent Tempo en 2021 encensé par la critique et qui a su autant toucher Iggy Pop que Britney Spears, Dom La Nena est de retour avec un nouvel et quatrième album solo intitulé Leon, d'après le doux surnom de son violoncelle. Un écrin instrumental, intime, hanté et transcendantal. Une déclaration d'amour à son complice de toujours, un retour aux sources d'une grande sensibilité.Leon est un véritable chef-d'œuvre de musique de chambre composé dans une quête de simplicité, d'émotion et de beauté, ne répondant qu'à l'intuition, l'improvisation et à une seule contrainte : composer uniquement avec et pour le violoncelle. Un exercice inédit pour Dom La Nena qui renoue avec son instrument, reprenant le cours de leur dialogue intérieur. La compositrice se recentre sur son son, sa matière, ses textures, ses nuances, sa capacité à créer des mondes et à les habiter. Enfin, le soliste, c'est lui.Motifs répétitifs, orchestrations épurées, bourdons tenus comme un om̐… Dom La Nena déploie une approche minimale très proche du mantra, dont elle connaît par cœur le principe actif en répétant chaque jour les mêmes exercices lorsqu'elle travaille son instrument. Un état d'oubli de soi, de concentration, d'apaisement, d'instant présent pur. Leon apporte à l'oreille sa musique, mais aussi une collection d'histoires, un monde en soi, peuplé de textures soignées, de voix spectrales et de silences contemplatifs.De disque en disque, Dom La Nena a reçu les plus beaux éloges de la presse internationale comme The Wall Street Journal (« Un jeune Brian Wilson »), The New Yorker (« Chacune de ses chansons est sacrée »), BBC (« Brillant et beau»), NPR (« Une musique à la fois douce et envoûtante ») ou encore The Guardian (« Un enchantement »).Elle a chanté à propos du temps, de ses rêves et de ses peurs, sous la forme de ritournelles tendres et poétiques, toujours appuyées par son violoncelle. Du besoin de se renouveler, du plaisir de revenir à la source, du désir de rendre grâce à son plus fidèle compagnon… Aujourd'hui, naît Leon.Un disque conçu et enregistré seule, en deux mois, à domicile, avec un seul micro — avant d'être mixé par Noah Georgeson, connu pour ses collaborations avec Rodrigo Amarante ou Devendra Banhart.Titres interprétés au grand studio- Last Day, Live RFI- Universo, extrait de l'album Léon voir le clip avec le quatuor Momentum- Dulac, Live RFI. Line Up : Dom la Nena, violoncelle.Son : Jérémie Besset.► Album Leon (Sabia/ Big Wax/Alter K 2023).
Kyrie Kristamnson Cd Lady Lightly / Iki records Son premier album, Origin of Stars, explore les vibrations du passé des terres du Grand Nord canadien qui l’ont vue grandir et a été composé au Canada et sorti mondialement chez NØ FØRMAT!/Universal France en 2010. La tournée qui suivra l’amènera jusqu’en Europe et dans le Sud de la France où, intriguée par l’histoire portée par les pierres, elle visite les ruines des châteaux médiévaux.Ces vestiges médiévaux, anciennes demeures d’une noblesse Occitane, l’inciteront à retracer le répertoire lacunaire des premières compositrices : les trobairitz. Après avoir complété une thèse à leur sujet à la Sorbonne, c’est en prenant la liberté de s’approprier ces poèmes d’amour profane qu’elle compose un second opus : Modern Ruin. Arrangé pour quatuor à corde et voix par Clément Ducol et co-réalisé par Maxime le Guil, cette extrapolation fantastique de ces chants perdus est sortie chez Naïve en février 2015.Aujourd’hui, fascinée par les découvertes de la physique quantique, Kyrie s'interroge sur l'hypothèse d'une tradition musicale venue d’un monde parallèle … De ce questionnement, naît une sorte de folk-cosmique qui semblerait avoir voyagé des années lumières à travers des cieux stellaires. Enregistré dans une aile abandonnée du Château de Versailles et réalisé par Saint Michel, ce nouvel album sortira début 2019.Avec son nouvel album, Kyrie Kristmanson s’interroge sur l’hypothèse d’une tradition musicale venue d’un monde parallèle.En utilisant des instruments inventés ou préparés ainsi que des « samples », l’album évoque une réalité où le hip-hop aurait côtoyé le folk, où des traditions chamaniques se seraient développées aux côtés de la musique baroque, où le bruit blanc du cosmos serait joué comme instrument à part entière, où les machines seraient organiques.Réalisé avec Saint Michel dans une aile abandonnée du Château de Versailles, l’album s’imprègne de ce cadre mystérieux pour développer un langage inédit. Le résultat musical de ce questionnement est une sorte de folk-cosmique qui semblerait avoir voyagé des années lumières à travers des cieux stellaires, des sons à la fois terrestres et célestes, nous rappelant que notre réalité, lorsqu'on l'observe de près, est infiniment multiple. → Site Kyrie Kristmanson → Vidéo Kyrie Kristmanson "Gateway Sin" Clara Ysé EP Le monde s’est dédoublé / Tomboy Lab, concert 11 février 2020, Boule Noire, ParisClara Ysé commence la musique à l’âge de 4 ans, en étudiant le violon. C’est à l’âge de 8 ans qu’elle découvre le chant, par l’intermédiaire d’une professeur qui la prend sous son aile. Les grandes voix lyriques, puis celles de la chanson, française ou latino-américaine, la bercent depuis l’enfance. De Maria Callas à Mercedes Sosa, en passant par Janis Joplin et Barbara, elle aime écouter ce que les voix, la particularité des timbres, racontent. La musique est un langage dans lequel elle trouve un espace de liberté inaltérable.C’est à l’adolescence que sa mère lui offre sa première guitare. Clara Ysé sort alors des sentiers du chant lyrique et de la musique classique. Son amour de l’écriture, et de la poésie, la poussent d’abord à mettre en musique des poèmes. Élevée en partie par une femme colombienne et des grands-parents madrilènes, elle écrit en français, mais ne compose qu’en espagnol.Clara Ysé perd sa mère, Anne Dufourmantelle, en juillet 2017. Elle écrit alors ses premières chansons dans sa langue maternelle.C’est une façon pour elle de réapprendre à parler. Son premier EP, – Le monde s’est dédoublé – est une renaissance.Clara Ysé est accompagnée par des instrumentistes virtuoses, qui viennent chacun d’univers très distincts, et dont le point de rencontre est leur familiarité avec le bassin méditerranéen. Yulian Malaj, co-compositeur et co-auteur de deux titres de l’EP, chante également des secondes voix tout au long des titres de l’EP. D’origine albanaise, ayant vécu toute sa vie en Grèce, il est bercé depuis sa jeunesse par les polyphonies arméniennes. Naghib Shanbehzadeh, batteur et percussionniste d’origine iranienne, joue avec son père, depuis son enfance, dans les plus grands festivals de jazz et de world music. Camille El Bacha, pianiste concertiste et compositeur, donne des concerts dans des festivals renommés de musique classique. Il finit ses études au CNSM de Paris dans la classe de Jean-François Zygel, tout comme Marc Karapétian, le bassiste de l’EP.Cet EP est une façon pour elle de réapprivoiser le monde, de le réenchanter. Le lyrisme de son univers, la fête et la joie qui se dégagent des morceaux, en font un objet follement vivant.Musicalement, et poétiquement, cet EP est le témoignage intime d’une naissance. Les six titres de l’EP sont écrits l’année suivant la mort de sa mère. Ils sont, pour Clara Ysé, un hymne à la vie libre et vivante. Traversé par la perte, et la nuit, cet EP est un cri d’Amour qui rend grâce aux aubes nouvelles.Le monde s’est dédoublé est aussi une ode à l’Amitié. Celle qu’elle partage avec les instrumentistes qui l’accompagnent. Celle qui permet d’unir les êtres dans la tempête, et de faire danser la mer. → Vidéo Clara Ysé "Le Monde s’est Dédoublé" → Clara Ysé page Facebook Titres interprétésLive1 Kyrie Kristmanson "Mon Héroïne"Live2 Clara Ysé "Le Monde s’est dédoublé" Cd Nick Cave/G pl.2 "Bright Horses" Cd GhosteenCd Kyrie Kristmanson "Songe d’un Ange" feat. Brendan PerryLive3 Clara Ysé "La Libertad"Live4 Kyrie Kristmanson "Andromeda Star" Cd Clara Ysé "Mama" Musicien.nesKyrie Kristmanson, voixPhilippe Thuillier, claviers, machines (St Michel)Marc-Antoine Perrio, guitareNicolas Charlier, batterie Clara Ysé, voix guitareRobby Marshall, clarinetteMatthias Bourre, pianoNaghib Shanbezadeh, batterie (Rediffusion du 19 janvier 2020)
In a world before the internet, World’s Fairs were the killer app of the 19th and most of the 20th centuries. Countries would assemble at a central place for about 6 months and build pavilions, each sharing their nation’s technology, culture, and national sources of pride, symbols, heroes, and achievements. If you’ve ever been to Epcot at Disney World, you get the idea. There were two World's Fairs in New York about 25 years apart. Much of the World’s fair architecture was forward-thinking and Modernist, but only a few buildings on the New York fairgrounds survive today, some of them barely. We welcome two superfans who’ve been working over ten years to restore what’s left, Mitch Silverstein and Stephanie Bohn, both featured in the documentary Modern Ruin, produced by past podcast guest Matt Silva, detailing the site’s post-fair use, deterioration, and growing advocacy efforts.
Featuring music from Ivy Lab, Dub Phizix, Samurai Breaks, Itti, Moresounds, Traxman, DJ Manny & more HYC 064 welcomes Austrian based producer Sun People in for a guest mix on a 160bpm vibe that takes in modern jungle / rave sounds in a juke / footwork styling. He has released a brand new ep on Modern Ruin records entitled "Serenity EP" that dropped last week, go give it a check https://modernruinrecords.bandcamp.com/album/serenity-ep please share the link if you enjoy the sounds. Safe
Emmy-winning filmmaker Jake Gorst is the Steven Spielberg of design documentaries, capturing mid-century modern architecture in at least 12 films on modern design, including a great series on Palm Springs architects such as E. Stewart Williams, Donald Wexler, and Bill Krisel - plus Modern Tide, Modern Ruin with past guest Matthew Silva, Beyond the Beach: The Life and Death of Norman Jaffe, and the upcoming film Frey. Architect Kyle Bergman is director of the upcoming Architecture & Design Film Festival in New York, which he started in 2008 and has expanded to cities all over the world. In 1994 he created and moderated an architectural lecture series about the design/build process for the Smithsonian Institute. An entrepreneur at heart, Mr. Bergman founded Alt Spec in 1999, a publishing company that produced a visual resource of unique and alternative products for architects and designers. Our first musical guests! Peter Lamb and the Wolves stopped by the studio to perform "Mess Around" and "Night Witches." Peter Lamb, sax; Pete Kimosh, bass; Carl Blackwell, drums; Paul Rogers, trumpet; Mark Wells, vocals and keyboard.
One of the problems with preserving futuristic-looking Modernist buildings is that they just don’t look that old. They aren’t universally loved, in fact some of them weren’t that popular when they were built. The World Monuments Fund (WMF) is a private nonprofit organization to decelerate the destruction of important artistic treasures throughout the world. You might have heard of the Leaning Tower of Pisa? They helped fix it. Well, they helped stop the extra leaning. We'll talk with Joshua David, President and CEO of the WMF about the fund's latest focus on Modernist buildings around the world. Filmmaker and high school teacher Matthew Silva produced the acclaimed documentary “Modern Ruin” about one highly endangered Modernist site, the New York State Pavilion in Queens New York, or if you’re under 40, the Men In Black headquarters. As a kid. Matthew would ride past the ruined, hulking New York State Pavilion, built for the 1964 World’s Fair, and wonder what it was. Years later while studying architecture, he could not believe such a visible building by Philip Johnson could be left to ruin. His film charted the up and down history of the complex and has led to new public funding for its preservation.
This is Frank Carter! Frank was the lead vocalist for a hardcore punk band called Gallows, you may have seen them on the Vans Warped Tour a few years ago when they played. Since then, Frank has gone on to pursue an incredible new solo venture, and was currently out on the road supporting his newest record, Modern Ruin. We’re going to tag on the track, Vampires, at the end of this episode. This was recorded at the end of April, a couple of hours before Frank took the stage at 924 Gilman Street, an infamous punk club in Berkeley, CA. This episode was sponsored by Vinyl Me, Please! Visit joinvmp.com/fortherecord to sign up. SUBSCRIBE TO THE PODCAST ON iTUNES: https://itunes.apple.com/us/podcast/for-record-podcast-shameless/id1028876625?mt=2 This has been another Shameless Promotion.
In Episode 53 Angelo and Brandon talk to Frank from Frank Carter & the Rattlesnakes! Topics: The new album "Modern Ruin", their current US headlining tour, the upcoming UK tour, a brand new segment called Feedback Sandwich, and much more! Find out more about Frank Carter & the Rattlesnakes: www.andtherattlesnakes.com Intro: Frank Carter & the Rattlesnakes — Lullaby Full: Frank Carter & the Rattlesnakes — Wild Flowers Outro: Frank Carter & the Rattlesnakes — Vampires Follow us on Twitter @SpinThoughts. Follow Angelo @AVGargaro and Brandon @BRobSpin. Subscribe to the show on iTunes, Google Play, and more. Visit our website: www.thespinningthoughts.com
This weeks guest is Frank Carter of Frank Carter and The Rattlesnakes. Frank takes us through the ups and downs of his career and the events that changed his perspective on music and ultimately changed the direction of his life. More on Frank Carter and The Rattlesnakes English band formed in 2015 by former Gallows and Pure Lovefrontman Frank Carter, they released one EP in May 2015 called Rotten and launched their debut album Blossom in August 2015. They revealed their second studio album, entitled Modern Ruin, on 28 September 2016, which was released in January 2017 via International Death Cult. Frank Carter – vocals (2015–present) Dean Richardson – guitars (2015–present) Tom 'Tank' Barclay – bass guitar (2016–present) Gareth Grover – drums (2016–present) Find Frank Carter and The Rattlesnakes Online: Facebook Twitter Instagram Frank Carter and The Rattlesnakes Listen & Subscribe on iTunes | Stitcher | Google Play | on Jabber Jaw #mikeherrerahour airs on @IDOBIradio -Friday and Sunday Nights and Tuesday Days - Live on IDOBI Radio Thanks to this week's sponsors: MERCH ARSENAL MIKE Online: Website | YouTube | Facebook | Twitter | Instagram SHOW NOTES What's going on Frank? [3:45] Building The Rattlesnakes [7:00] Frank escapes the Gallows [13:30] The grind for music [20:00] The highs and lows create the drive [24:30] Rattlesnake Tone [26:30] The warped tour sucker punch [31:00] The Rattlesnakes next move [38:00] If Frank were king of the land [40:00] The vanilla people [43:00] Learn more than what you're taught [46:00] The first boy band [48:30] Find your place [52:45] The Robot King Kong [54:30] Jackals [59:30] Notable Links Discussed: Gallows Pure Love Blossom
ABOG takes a deep dive with Abzu and discovers fresh air in an unlikely place. They follow the light of Free Sun Rising to the surface and spin Modern Ruin by Frank Carter and The Rattlesnakes. 0:01:20 Video Game | Abzu 0:25:32 Record | Modern Ruin by Frank Carter & The Rattlesnakes https://www.andtherattlesnakes.com 0:43:04 Song | "Brad Pitt" by Free Sun Rising https://freesunrising.bandcamp.com 0:49:13 Post Game For Honor Beta MGC Music '17 Blind Melon Soup Quiet Records Music Played In This Episode With permission Intro by Tiny Rockets --> https://tinyrockets.bandcamp.com Free Sun Rising "Brad Pitt" --> https://freesunrising.bandcamp.com Via fair use Short clip of Frank Carter & The Rattlesnakes "Vampires" before album critique of Modern Ruin Join The Community Discord Facebook Group Links Subscribe To Podcast (RSS Feed) Website ABandofGamers.com Twitter @ ABandofGamers Instagram.com/ABandofGamers Email ABOGpod@gmail.com Thank you for listening! If you ejoy the show and would like to support ABOG, please tell a friend and share it on social media.
Welcome to episode 18 of the Wonder Junkie Podcast featuring Frank Carter. Delighted to have Frank on the podcast, he’s someone I’ve bumped into over the years and done the odd festival interview with here n there but never had a chance to speak properly until now. From his new album Modern Ruin to Gallows, Pure Love, living in New York, coming back to London and tattooing, this is Frank being very open and honest. http://petebailey.net/podcast