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durée : 00:54:59 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - En 2010, Michel Ciment consacrait une "Projection privée" à Koji Wakamatsu à l'occasion de la sortie de son film "Le Soldat dieu" et de la rétrospective "Koji Wakamatsu - L'insurrection lyrique" que programmait la Cinémathèque Française. Pour parler du réalisateur de Sex Jack, Michel Ciment recevait Julien Sévéon, Jean-Baptiste Thoret et Mathieu Capel. " Je suis devenu réalisateur pour révéler comment le pouvoir peut exercer son autorité de manière brutale. Mais aussi parce que c'est un métier qui permet de tuer des policiers sans aller en taule ", dixit Wakamatsu. Une prime jeunesse de petit voyou, un passage par la case prison, un long parcours dans le "cinéma pink", sous-genre érotique japonais, des penchants politiques plus que radicaux et des films sans concession. On pourrait être tenté de résumer Wakamatsu, disparu en 2012, en le qualifiant de "Bad boy" du cinéma japonais. Cela ne dirait pourtant rien d'un cinéaste qui, pour le directeur de la programmation de la Cinémathèque Jean-François Rauger, aura " exemplairement incarné ce point de jonction, inaccessible et impensable dans la plupart des cinématographies, entre le cinéma d'exploitation et une forme d'avant-garde, à la fois esthétique et politique ". Retrouvez l'ensemble de la Nuit : "1960 et après, Nouvelle Vague et multiples visages du cinéma au Japon" Production : Michel Ciment Réalisation : Olivier Bétard Projection privée - Spéciale Koji Wakamatsu, avec Julien Sévéon, Jean-Baptiste Thoret et Mathieu Capel 1ère diffusion : 11/12/2010
Présenté par Murielle Joudet, avec Jérôme Momcilovic, Théo Ribeton et notre invité Jean-François Rauger, directeur de la programmation de la Cinémathèque française. Au programme : Voyages en Italie de Sophie Letourneur, John Wick : Chapitre 4 de Chad Stahelski. Enregistré le 24 mars 2023 à Paris.
Un triangle amoureux inattendu, une tentative de séduction qui tourne mal et une rencontre née d'un malentendu.La trajectoire de trois femmes qui vont devoir faire un choix…Avec : Kotone Furukawa, Ayumu Nakajima, Hyonri, Kiyohiko Shibukawa, Katsuki Mori, Kai Shoma, Fusako Urabe, Aoba KawaiFestival de Berlin 2021 : Grand Prix du Jury, Ours d'argentFestival des 3 continents, Nantes 2021 : Montgolfière d'or et Prix du publicBonus DVD :Regard sur le film par Clément Rauger, programmateur et critique (2022, 18'45")Audio : Japonais DD 5.1 & DD 2.0 - Sous-titrage : FrançaisFormat image : 1.85DVD Pal zone 2
durée : 01:47:29 - Le grand atelier - par : Vincent Josse - 57 films, 23 téléfilms. Véritable boulimique, il aimait les tournages. "Un cinéaste, ça tourne", disait-il avant de se remettre à écrire un nouveau scénario sur un cahier Clairefontaine. Bienvenue dans Le Grand Atelier Fantôme de Claude Chabrol... - invités : Antoine DE BAECQUE, Jean-François Rauger, Cécile Maistre, François Guérif, Ludivine SAGNIER, François Cluzet - Antoine de Baecque : critique de cinéma et de théâtre, historien de la littérature, éditeur, Jean-François Rauger : Programmateur de la Cinémathèque Française, Cécile Maistre : Assistante réalisation, actrice, François Guérif : Editeur, critique de cinéma, Ludivine Sagnier : Actrice française, François Cluzet : Acteur - réalisateur - réalisé par : Karen DEHAIS
Youngho cherche à se frayer un chemin entre son rêve de devenir acteur et les attentes de ses parents. Alors que sa petite amie part étudier à Berlin, le jeune homme y voit l'occasion d'un nouveau départ.Avec : Shin Seokho, Park Miso, Kim Youngho, Ki Joobong, Seo Younghwa, Kim Minhee, Cho Yunhee, Ye Jiwon, Ha SeonggukBerlinale 2021 : Ours d'argent du meilleur scénarioBonus DVD :Hong Sangsoo vu par :– Emmanuel Mouret, 17 min– Nicolas Pariser, 13 minAnalyse du film par Jean-François Rauger, 21 minAudio : Coréen DD 5.1 - Sous-titrage : FrançaisNoir & Blanc - Format cinéma 1:85 respectéDVD Pal Zone 2
durée : 00:22:54 - Le Réveil culturel - par : Tewfik Hakem - Le journaliste Jean-François Rauger évoque le cinéma du réalisateur japonais Hiroshi Shimizu (1903-1966) à propos de la Rétrospective qui lui est consacrée à la Cinémathèque à Paris, puis à La Maison de la Culture du Japon - réalisation : Vincent Abouchar - invités : Jean-François Rauger Critique et spécialiste du cinéma fantastique
durée : 00:22:54 - Le Réveil culturel - par : Tewfik Hakem - Le journaliste Jean-François Rauger évoque le cinéma du réalisateur japonais Hiroshi Shimizu (1903-1966) à propos de la Rétrospective qui lui est consacrée à la Cinémathèque à Paris, puis à La Maison de la Culture du Japon - réalisation : Vincent Abouchar - invités : Jean-François Rauger Critique et spécialiste du cinéma fantastique
Nouvelle diffusion de notre spéciale sur le réalisateur et scénariste italien Sergio Leone pour les 30 ans de sa disparition et les 50 ans de la sortie du film "Il était une fois dans l'Ouest" en 2018. À cette occasion, Gian Luca Farinelli et Christopher Frayling publiaient le livre "La révolution Sergio Leone" (La Table Ronde) et la Cinémathèque française organisait une exposition et rétrospective « Il était une fois Sergio Leone ». On en parle avec Jean-François Rauger, directeur de la programmation à la Cinémathèque française de Paris.
En 2018, on célébrait les 30 ans de la disparition du réalisateur et scénariste italien (Pour une poignée de dollars, Le Bon, la Brute et le Truand, Il était une fois dans l'Ouest, etc.), figure majeure du western spaghetti. On en parle avec Jean-François Rauger, directeur de la programmation à la Cinémathèque française de Paris. Les sorties BD avec Xavier Vanbuggenhout : - « Mes plus grands succès » de Stéphane Trapier (Casterman) - « L'Automne dans le pantalon » de Ralf König (Glénat) - Stanley Greene une vie à vif de JD Morvan et Tristan Fillaire (Delcourt) - Et puis la réédition de petits formats chez Casterman : « Blankets » de Craig Thompson, « Polina » de Bastien Vivès, « L'Autoroute du soleil » de Baru ou « Le piano oriental » de Zeina Abirached Nouvelle diffusion de notre spéciale sur le réalisateur et scénariste italien Sergio Leone pour les 30 ans de sa disparition et les 50 ans de la sortie du film "Il était une fois dans l'Ouest" en 2018. À cette occasion, Gian Luca Farinelli et Christopher Frayling publiaient le livre "La révolution Sergio Leone" (La Table Ronde) et la Cinémathèque française organisait une exposition et rétrospective « Il était une fois Sergio Leone ». On en parle avec Jean-François Rauger, directeur de la programmation à la Cinémathèque française de Paris. La « Bagarre » s'agrandit au cinéma et à la littérature et on vous propose aussi un petit quiz musical et de culture générale. Avec Xavier Vanbuggenhout et Sébastien Ministru. Le double "Boing Boum Tchak" de Sébastien Ministru : "Un mariage en dix actes" de Nick Hornby (Stock) et "Citizen. Ballade américaine" de Claudia Rankine (Éditions de l'Olivier). "Un mariage en dix actes" : Chaque semaine, Tom et Louise se retrouvent dans un pub londonien dix minutes avant leur session de thérapie de couple. Le choix du pub n'a rien d'anodin : il offre une vue imprenable sur la porte de la thérapeute et leur permet d'observer et de commenter allègrement les allées et venues des autres patients. Quarantenaires, mariés depuis des années, Tom et Louise pensaient leur couple stable et leur vie familiale sans vague... jusqu'à ce qu'un léger incident de parcours précipite le couple au bord de l'implosion. D'où leur décision de consulter, mais était-ce vraiment une bonne idée ? Autour d'un verre - ou deux - Tom et Louise n'esquivent aucun sujet (le mariage, le sexe, les enfants, la politique, le Brexit, le politiquement correct...) et rejouent en dix actes leur vie conjugale, faisant apparaître, avec humour et vivacité, les fissures de leur relation. "Citizen. Ballade américaine" : " À terre. À terre tout de suite. J'ai dû aller trop vite. Non, tu n'allais pas trop vite. Je n'allais pas trop vite ? Tu n'as rien fait de mal. Alors pourquoi me contrôlez-vous ? Pourquoi suis-je contrôlé ? Fais voir tes mains. Les mains en l'air. Lève les mains. " L'attaque est préméditée, assumée, d'une violence intolérable. Ou bien c'est simplement la langue qui fourche sans qu'on s'en rende compte, et le racisme parle à travers notre bouche. Citizen est un livre sur les agressions racistes. Pour dire cette réalité, Claudia Rankine choisit une forme qui n'appartient qu'à elle : tour à tour poésie, récit ou pamphlet, Citizen décrit les expériences les plus intimes, les plus ténues pour y greffer ce que dépose en nous le flux de la vie quotidienne - propos saisis dans le métro, conversations, blagues, coupures de journaux, captures d'écran -, dans un vaste collage d'images et de voix. Une symphonie parfois dissonante où les mots les plus simples sont portés par une extraordinaire énergie poétique.
durée : 00:59:03 - Plan large - par : Antoine Guillot - Plan large sur un irréductible et un inclassable, le cinéaste américain Robert Aldrich, auteur d'une oeuvre de la dissonance et de l'altérité, qui a su toucher tous les registres, pour mieux les subvertir et exploser la notion même de genre, en compagnie de Jean-François Rauger et Marcos Uzal. - réalisation : Somany Na - invités : Jean-François Rauger Critique et spécialiste du cinéma fantastique; Marcos Uzal Critiques de cinéma, réalisateur; N.T. Binh Journaliste, critique, enseignant de cinéma (Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne)
durée : 00:59:03 - Plan large - par : Antoine Guillot - Plan large sur un irréductible et un inclassable, le cinéaste américain Robert Aldrich, auteur d'une oeuvre de la dissonance et de l'altérité, qui a su toucher tous les registres, pour mieux les subvertir et exploser la notion même de genre, en compagnie de Jean-François Rauger et Marcos Uzal. - réalisation : Somany Na - invités : Jean-François Rauger Critique et spécialiste du cinéma fantastique; Marcos Uzal Critiques de cinéma, réalisateur; N.T. Binh Journaliste, critique, enseignant de cinéma (Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne)
À l'occasion de l'avant-première de son film The Assassin (Nie yin niang, 2014), Hou Hsiao-hsien dialogue avec Frédéric Bonnaud et Jean-François Rauger.
« Beaucoup des idées que vous voyez dans mes films sont très intuitives. Les choses s'expriment d'elles-mêmes par le simple fait que vous montrez dans un film, sans même le vouloir, la personne que vous êtes. Si on était entièrement conscient de toutes les décisions qu'on prend quand on fait un film, ça ne serait plus tout à fait de l'art. Ce serait un pur jeu intellectuel. Je n'essaie pas de prouver quoi que ce soit. La manière donc je procède est beaucoup plus organique. » (« L'Ironie est un art perdu », entretien avec Paul Verhoeven, Cahiers du cinéma n° 715, octobre 2015) Rencontre animée par Jean-François Rauger.
Il s'agit de faire un retour sur les origines de cette production, le fait historique qui a donné naissance au roman d'Alan Le May que Ford adapte, de revenir en détail sur le tournage d'un film qui n'acquit pas immédiatement le statut d'œuvre ultime et séminale à la fois qu'il incarne aujourd'hui. La Prisonnière du désert, un film qui ne pouvait sans doute pas être totalement compris en son temps.
Il s'agit de faire un retour sur les origines de cette production, le fait historique qui a donné naissance au roman d'Alan Le May que Ford adapte, de revenir en détail sur le tournage d'un film qui n'acquit pas immédiatement le statut d'œuvre ultime et séminale à la fois qu'il incarne aujourd'hui. La Prisonnière du désert, un film qui ne pouvait sans doute pas être totalement compris en son temps.
Master class de John McTiernan, animée par Bernard Benoliel et Jean-François Rauger. « Je suis cinéaste, donc à moitié ingénieur ! C'est ça le cinéma : la collision entre la technique, l'économie et l'esthétique. Vous pouvez avoir une vision, un rêve, mais il faut aussi pouvoir le réaliser... De même, vous pouvez être aussi doué que possible pour faire des plans, mais avez-vous quelque chose à y transmettre ? » John McTiernan (Cahiers du cinéma, mars 2003)
Kinji Fukasaku s'est d'abord affirmé comme le spécialiste du film de gangsters (yakusas) à la japonaise, dès le début des années 1960. La décennie suivante, il réalise des œuvres qui constitueront une véritable relecture critique (la série des Combat sans code d'honneur, Le Cimetière de la morale) où seront brocardées les mythologies traditionnelles. Sa mise en scène, souvent spectaculaire, est au service de la peinture d'un univers chaotique, dénué de règles, métaphore du capitalisme moderne. Fukasaku s'est, par ailleurs, illustré dans le cinéma dit « de sabre » et la science-fiction.
Dialogue avec Jean-François Rauger à la suite de la projection du film Some Call It Loving (Sleeping Beauty) (1972).
Invité d'honneur de l'édition 2013 du festival Toute la mémoire du monde, William Friedkin offre une leçon de cinéma autour de son film Sorcerer (Le Convoi de la peur). Animée par Jean-François Rauger.
Invité d'honneur de l'édition 2013 du festival Toute la mémoire du monde, William Friedkin offre une leçon de cinéma autour de son film Sorcerer (Le Convoi de la peur). Animée par Jean-François Rauger.
Table ronde animée par Bernard Benoliel avec Stéphane Delorme, Jean-Marc Lalanne, Jean-François Rauger, Axelle Ropert, Olivier Séguret.
Table ronde animée par Bernard Benoliel avec Stéphane Delorme, Jean-Marc Lalanne, Jean-François Rauger, Axelle Ropert, Olivier Séguret.
Table ronde avec Romain Blondeau, Gian Luca Farinelli, Alexander Horwath, Luc Lagier, Jean-François Rauger.
Table ronde avec Romain Blondeau, Gian Luca Farinelli, Alexander Horwath, Luc Lagier, Jean-François Rauger.
Leçon de cinéma animée par Jean-François Rauger.
De 1955 à 1962 sur CBS et NBC, Alfred Hitchcock a créé, produit et présenté presque 270 épisodes d'une série TV restée célèbre : « Alfred Hitchock Presents ». Comment Hitchcock est-il devenu une figure télévisuelle qui a construit son personnage ? Comment la télévision, révolution esthétique, est-elle entrée dans son cinéma ?
De 1955 à 1962 sur CBS et NBC, Alfred Hitchcock a créé, produit et présenté presque 270 épisodes d'une série TV restée célèbre : « Alfred Hitchock Presents ». Comment Hitchcock est-il devenu une figure télévisuelle qui a construit son personnage ? Comment la télévision, révolution esthétique, est-elle entrée dans son cinéma ?
Thu, 03 Sep 2009 00:00:00 +0000
Thu, 02 Apr 2009 00:00:00 +0000
Il s'agira de mettre en évidence ce qui, dans le cinéma hollywoodien des années 1970, a pu critiquer l'esprit dit de la "contre-culture". Car si celle-ci a simplement réaffirmé, par d'autres voies, une certaine tradition consolante et conformiste du cinéma américain, les films qui s'y sont opposé l'ont, plus subtilement et plus radicalement, marqué et transformé en profondeur. Il n'y a de mélancolie que dans la réaction.
Il s'agira de mettre en évidence ce qui, dans le cinéma hollywoodien des années 1970, a pu critiquer l'esprit dit de la "contre-culture". Car si celle-ci a simplement réaffirmé, par d'autres voies, une certaine tradition consolante et conformiste du cinéma américain, les films qui s'y sont opposé l'ont, plus subtilement et plus radicalement, marqué et transformé en profondeur. Il n'y a de mélancolie que dans la réaction.