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durée : 00:42:43 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - Quelques jours après la chute du mur de Berlin, Serge Daney reçoit Yann Lardeau, critique de cinéma et auteur du premier livre en français sur Fassbinder. Le cinéaste n'a eu de cesse, tout au long de sa carrière, de revisiter l'histoire collective d'une partie de son pays à travers les époques. - réalisation : Emily Vallat
durée : 00:42:13 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - Le 3 juin 1990, Serge Daney reçoit Noël Simsolo pour défendre Clint Eastwood, trop souvent réduit à l'image de cowboy conservateur. À l'occasion de la sortie de "Chasseur blanc, cœur noir", ils révèlent un cinéaste sous-estimé, encore mal compris en France. - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Noël Simsolo Réalisateur, comédien, scénariste, historien du cinéma
durée : 00:47:02 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - Serge Daney, critique de cinéma, journaliste et producteur de radio raconte sa cinéphilie au micro d'Alain Veinstein alors que paraît le numéro 1 de "Trafic", sa revue de cinéma, dans un numéro de "Du jour au lendemain", une émission diffusée la première fois le 4 février 1992. - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Serge Daney Critique de cinéma
À l'occasion de la 8e édition du festival Un Week-End à l'Est, qui met cette année à l'honneur la scène artistique d'Erevan en Arménie, un dialogue inédit entre l'artiste visuel Melik Ohanian et le cinéaste Andrei Ujica met en lumière une figure majeure du 7e art, le cinéaste Artavazd Pelechian. Aussi rare que célébré, il est le « chainon manquant de la véritable histoire du cinéma », selon l'expression de Serge Daney qui fut, avec Jean-Luc Godard, l'un des plus ardents promoteurs de son œuvre en France au début des années 1990. Conversation modérée par la curatrice d'art contemporain Lilit Sokhakian. Melik Ohanian, artiste visuel français d'origine arménienne, adopte une approche multidisciplinaire et politiquement engagée dans sa pratique artistique. À travers la sculpture, la photographie, le cinéma et l'installation, son œuvre conceptuelle et poétique explore les notions de déplacement en tant que phénomènes politiques, sociaux et culturels, ainsi que les concepts de temps et de la nature de la mémoire individuelle et collective. Son travail a été présenté lors de nombreuses expositions personnelles en France et à l'étranger. Il a participé à de nombreuses expositions collectives notamment aux biennales de São Paulo (2004), Berlin (2004), Sydney (2004, 2016), Moscou (2005), Gwangju (2006), Séville (2006), Venise (2007, 2015), Sharjah (2011) et à la Biennale de Lyon (2005, 2017). En 2015, il est lauréat du Prix Marcel Duchamp, et participe au Pavillon de l'Arménie à la Biennale de Venise, qui est récompensé par le Lion d'Or du meilleur pavillon national. Son installation permanente dans le Parc Trembley à Genève, Les Réverbères de la Mémoire reçoit le Prix Visarte à Zurich en 2019. Après des études de littérature, Andrei Ujica décide en 1990 de se consacrer au cinéma et co-réalise avec Harun Farocki Vidéogrammes d'une Révolution (1992). Ce film, qui évoque la relation entre le pouvoir politique et les médias en Europe à la fin de la Guerre Froide, fait date. Son second film Out of the Present (1995) évoque l'histoire du cosmonaute Sergei Krikalev qui passa dix mois dans la station Mir, tandis que sur terre l'Union Soviétique cessait d'exister. L'Autobiographie de Nicolae Ceaușescu (2010) conclut sa trilogie dédiée à la fin du communisme. Avec TWST | Things We Said Today (2024) Ujica se tourne vers l'émergence de la culture de masse. Andrei Ujica a également réalisé deux films commandités par la Fondation Cartier pour l'art contemporain : 2 Pasolini (2000/2020) et Unknown Quantity avec Paul Virilio et Svetlana Alexievitch (2002-2005). Lilit Sokhakyan, curatrice d'art contemporain, s'est installée à Paris en 2012, où elle a commencé à collaborer avec la Fondation Cartier pour l'art contemporain sur diverses expositions et projets, notamment liés à l'artiste Artavazd Pelechian. Avec l'équipe de la Fondation Cartier, Lilit a assisté Pelechian dans la création de son dernier film La Nature, elle a assuré la création du site internet entièrement dédié à la vie et à la filmographie de Pelechian, ainsi que la distribution de ses œuvres dans plusieurs festivals internationaux, notamment à New York, Amsterdam, Milan et Venise. Elle continue d'accompagner Artavazd Pelechian dans ses projets européens et ses expositions, ainsi que dans le développement de son nouveau projet d'opéra. Amphithéâtre des Loges Jeudi 21 novembre 2024 Crédits photos : © mtetard © Hrair Hawk Khatcherian
The films of Robert Kramer blend fiction and documentary modes to engage with, and expand on, traditions of militant political cinema and subjective essay filmmaking. A founding member of the New Left activist film collective Newsreel in 1967, Kramer devoted himself to the group's radical ethos, but he also began to make his own hermetic and probing fiction films—like The Edge (1967) and Ice (1969)—which turned the camera back onto the mostly white middle-class milieu of his comrades, posing thorny questions about the nature of political commitment. This process reached its peak with the sprawling, 3-hour plus Milestones (1975, co-directed with John Douglas), a vast mosaic featuring a cast of over 50 fellow travelers, union organizers, dropouts, Free Vermont commune dwellers, and more, all navigating the demands of their personal and political lives in the wake of the Vietnam War. At the end of '70s, Kramer decamped to France, where his films had been championed by critics like Serge Daney, and proceeded to work in a wide variety of contexts across Europe and beyond, making films like Guns (1980), Our Nazi (1984), Doc's Kingdom (1988), Route One/USA (1989), and Walk the Walk (1996). Over the past several years, the French DVD company Re:Voir has been beautifully restoring and re-releasing his films, and Kramer, who passed away suddenly in 1999, is currently the subject of a major retrospective at the Viennale, running through the end of November. The retrospective is accompanied by a new book, Starting Places, published by the Austrian Film Museum, which reproduces a 1997 interview with Kramer by the French critic Bernard Eisenchitz alongside several essays written by Kramer himself. To mark the occasion, Film Comment's Clinton Krute and Michael Blair invited Erika Balsom and Benjamin Crais, two noted critics who each proudly own original Milestones posters, to discuss Kramer's life and work. A few short audio clips of Kramer talking about his films, sourced from the original 1997 interview tapes, are interspersed throughout the conversation, providing their own points of departure into this undersung filmmaker's richly heterogenous, and endlessly fascinating, body of work. Special thanks to Volker Pantenburg. Show Notes: “The Traveller” by Benjamin Crais (Sidecar, 2023): https://newleftreview.org/sidecar/posts/the-traveller “Milestones” by Erika Balsom (4Columns, 2020): https://4columns.org/balsom-erika/milestones Serge Daney on Milestones and Route One/USA (originally published in Cahiers du cinéma, 1975 and 1989): https://sergedaney.blogspot.com/2019/06/the-aquarium-milestones.html; https://sergedaney.blogspot.com/2014/05/murmur-of-world.html Robert Kramer: Notes de la forteresse (1967-1999) (edited by Cyril Béghin. Re:Voir, 2019):https://re-voir.com/shop/en/books/1101-robert-kramer-notes-de-la-forteresse-1967-1999.html
durée : 00:41:54 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - Dans le second numéro de "Microfilms" que Serge Daney consacre à la réalisatrice Chantal Akerman en 1989, elle fait un tour d'horizon du cinéma en cette fin des années 80. Elle évoque sa place, pas forcément marginale d'ailleurs, et comment elle se situe par rapport à Garrel, Godard ou Dreyer. - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Chantal Akerman Réalisatrice
durée : 00:39:53 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - En 1989, la cinéaste Chantal Akerman s'entretient avec Serge Daney à propos de son dernier film "Histoires d'Amérique". Ce film, sous-titré "food, family and philosophy", tisse dans la nuit de New York des récits qui s'entremêlent racontant une histoire juive de l'Europe aux États-Unis. - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Chantal Akerman Réalisatrice; Serge Daney Critique de cinéma
En ce début d'été ombrageux, nous vous proposons de faire une pause au gré de la cinéphilie d'Hélène Frappat.Écrivaine-enquêtrice, notre invitée jongle avec la fiction et la philosophie - et le cinéma est l'une des matières premières de son travail. On lui doit récemment l'essai Le gaslighting ou l'art de faire taire les femmes à partir d'un film de Cukor et Trois femmes disparaissent, belle enquête élégiaque autour de la lignée d'actrices Tippi Hedren-Melanie Griffith-Dakota Johnson. Mieux qu'une simple interview, nous vous proposons de remonter le temps au gré des réponses de notre invitée. Car pour elle, tous les films sont liés et, entrelacés ensemble, ils forment le tissu de sa mémoire, allant jusqu'à faire remonter des souvenirs bien enfouis, à l'instar de l'horloge à l'envers de Twixt (F. Coppola)N'ayez crainte et laissez-vous porter par notre invitée, du soleil Sicilien du Parrain à la pluie du film noir Follow me quietly (R. Fleischer). Vous y croiserez aussi la poésie de Tarkovski et la pugnacité d'Erin Brockovich (S. Soderbergh). Et qui sait, vous vous souviendrez peut-être de quelque chose en cours d'écoute ? Nous remercions notre invitée Hélène Frappat ainsi qu'Elodie Imbeau et Pierre Sénechal sans qui cet entretien n'aurait pu se faire. Inscrivez-vous à la newsletter en cliquant sur ce lien : https://forms.gle/HgDMoaPyLd6kxCS48 Pour nous soutenir, rendez-vous sur https://www.patreon.com/cinephilesdnt I.PORTRAIT 3'29 Une mère au cinéma : Erin Brockovich (S.Soderbergh, 2000) Une langue au cinéma : le russe que parle l'actrice blonde au début du Miroir (A. Tarkovski, 1975) - 5'54 Une détective au cinéma : la jeune journaliste dans Follow Me Quietly (R. Fleischer, 1949) - 12'14 II. CONDITIONS DE VISIONNAGE, MEMOIRE ET SOMMEIL - 18'22 Des films qu'Hélène Frappat a voulu fuir : ceux de Lars Von Trier - 18'22 Un film comme une séance d'hypnose : Le Parrain (F. Coppola, 1972) - 23'5 Un film qui a levé l'amnésie d'enfance d'Hélène Frappat : Twixt (F. Coppola, 2011) - 31'24 Un texte critique qui a changé la cinéphilie d'Hélène Frappat : ceux de Serge Daney sur l'enfance et Les Contrebandiers de Moonfleet - 40'23 III. CINEMA & TRANSMISSION - 48'38Le cinéma comme “affaire de point de vue” (male/female/queer gaze…) : Showgirls (P. Verhoeven, 1995) REFUGES - 54'07Tout film aimé par Hélène Frappat dès le générique EXTRAITS FILMSLe miroir - A. Tarkovski - 1975 - Potemkine FilmsCéline et Julie vont en bateau - J. Rivette - 1974 - Potemkine Films EXTRAITS MUSICAUXRichard Wagner - Tristan und Isolde, Prélude - Cond : W. Furtwangler - ℗ A Warner Classics release, ℗ 1953 Parlophone Records Limited. Remastered 2021 Parlophone Records LimitedNino Rota, Gofather Waltz (from The Godfather) - SONY ATV HARMONY, SONY MUSIC PUBLISHING (FRANCE) CRÉDITSPatreons : un grand merci à Mahaut, Paul et Clara pour leur soutien !Musique : Gabriel RénierGraphisme : Lucie AlvadoCréation & Animation : Phane Montet & Clément Coucoureux
durée : 00:46:59 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit - "Du jour au lendemain"… avec Serge Daney pour le numéro 1 de "Trafic", une émission diffusée la première fois le 4 février 1992 sur France Culture. - invités : Serge Daney Critique de cinéma
Emmanuel Burdeau et Matthias Chouquer profitent d'une faille spatio-temporelle pour dialoguer avec Serge Daney et l'emblématique directeur du Saint-André-des-Arts Roger Diamantis par émission interposées. Se dessine alors une brève histoire des salles Art & Essai, par ceux qui les font, et ceux qui s'y rendent. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
本期是「4.23世界读书日」特别节目,我们无望做最长的读书日节目,但我们可以做全网最晚上线的!电影巨辩筛选出129本有助于构建电影知识体系的电影书,分类详解每本书的内容和特点,优点和缺点。对大多数人来说,这些书无助于考研升学,无助于搞钱和自我提升,无助于我们每一天的生活,甚至无助于你从电影中享受到更多快乐。它是百分之百全然无用的。但我们聊书的过程中,却真的爽到了,是截至目前录得最爽的一期节目。为什么电影书会让我们这么爽?请谨慎收听。本次节目聊到的129本书(也有的是一套),具体书目详见下方。因为字数限制,部分英文书没有标注英文名。详细时间轴:04:23 防杠声明06:13 电影理论与美学《电影是什么》,安德烈·巴赞《当代电影分析》,雅克·奥蒙、米歇尔·玛利《电影艺术:形式与风格》,大卫·波德维尔、克里斯汀·汤普森《电影理论1945-1990》,弗朗西斯卡·卡塞蒂[Theories of Cinema, 1945-1990, by Francesco Casetti]《电影理论读本》,杨远婴编《电影理论与批评辞典》,雅克·奥蒙《电影研究关键词》,苏珊·海沃德《电影导演的电影理论》,雅克·奥蒙《电影实践理论》,诺埃尔·伯奇《电影声音:理论与实践》,伊丽莎白·维斯、约翰·贝尔顿编《声音》,米歇尔·希翁《作为媒介考古学的电影史》,托马斯·埃尔塞瑟《明星》,理查德·戴尔《电影中的表演》,詹姆斯·纳雷摩尔《宽忍的灰色黎明:法国哲学家论电影》,李洋编33:59 类型电影《电影/类型》,里克·奥特曼《好莱坞类型电影》,托马斯·沙茨《黑色电影:历史、批评与风格》,詹姆斯·纳雷摩尔《西部电影的发明:五十年文化史》,斯科特·西蒙《幻像电影:美国先锋电影1943-2000》,P·亚当斯·西特尼44:09 电影史与国族电影《电影史:理论与实践》,罗伯特·C·艾伦、道格拉斯·戈梅里《世界电影史》,克里斯汀·汤普森、大卫·波德维尔《牛津世界电影史》,杰弗里-诺维尔-史密斯 主编《日本电影史》,佐藤忠男《韩国电影史:从开化期到开花期》,金美贤、韩国电影振兴委员会《意大利电影:从新现实主义到现在》,彼得·邦达内拉《懊悔的迷雾:经典法国电影的文化与情感》,达德利·安德鲁《新浪潮》,米歇尔·玛利《当代法国电影指南》,福克斯、玛利、拉德纳《迷影:创发一种观看的方法,书写一段文化的历史 1944—1968》,安托万·德巴克《魏玛电影及之后:德国的历史想象》,托马斯·埃尔塞瑟《新德国电影史》,托马斯·埃尔塞瑟《闹鬼的银幕》,洛特·艾斯纳[The Haunted Screen: Expressionism in the German Cinema and the Influence of Max Reinhardt, by Lotte Eisner]64:53 好莱坞《美国电影史十卷本》[History of the American Cinema Volumes 1-10]《古典好莱坞电影:1960年之前的电影风格和制作模式》,大卫·波德维尔、珍妮特·斯泰格、克里斯汀·汤普森《巴别塔与巴比伦:美国无声电影的观众》,米莲姆·汉森《新好莱坞电影导论》,杰夫·金《逍遥骑士、愤怒公牛:新好莱坞的内幕》,彼得·比斯金《低俗电影:米拉麦克斯、圣丹斯和独立电影的兴起》,彼得·比斯金《电影战争:好莱坞和媒体如何限制我们观影》,乔纳森·罗森鲍姆《越战到里根时代的好莱坞》罗宾·伍德《岁月已逝》,凯文·布朗洛《体制的天才:好莱坞大片厂时期的电影制作》,托马斯·沙茨《史诗、奇观和大片:一种好莱坞历史》,谢尔顿·霍尔、史蒂夫·尼尔85:42 影人传记与研究《戈达尔:七十岁艺术家的肖像》,科林·麦凯布《侯麦传》,安托万·德巴克、诺尔·艾柏《帕索里尼传:安魂曲》,巴特·大卫·施瓦茨《罗西里尼的冒险》,泰格·加拉格[The Adventures Of Roberto Rossellini: HisLife and Film, Tag Gallagher]《铸就传奇:约翰·福特的生命与时光》,斯科特·埃曼《万里黄沙万里情:塞尔吉奥·莱昂内传》,克里斯托弗·弗雷林《卡赞自传》,伊利亚·卡赞[A Life, by Elia Kazan]《让·雷诺阿》,安德烈·巴赞《英格玛·伯格曼》,雅克·奥蒙《重访希区柯克》,罗宾·伍德《德莱叶的电影》,大卫·波德维尔《小津与电影诗学》,大卫·波德维尔[Ozu and the Poetics of Cinema, by David Bordwell]《爱森斯坦的电影》,大卫·波德维尔[The Cinema of Eisenstein, by David Bordwell]《弗里茨·朗的电影:视界与现代性的多重寓言》,汤姆·甘宁[The Films of Fritz Lang: Allegories of Vision and Modernity, by Tom Gunning]118:16 电影评论BFI经典电影解读系列《我生命中的电影》,弗朗索瓦·特吕弗《电影时代:宝琳·凯尔评论集》,宝琳·凯尔《美国电影:导演和导演之道,1929-1968》,安德鲁·萨里斯[The American Cinema: Directors And Directions, 1929–1968]《伟大的电影》系列,罗杰·伊伯特《电影精华:电影经典的必要性》,乔纳森·罗森鲍姆[Essential Cinema: On the Necessity of Film Canons, by Jonathan Rosenbaum]《庸俗的现代主义》,J·霍伯)[Vulgar Modernism: Writing on Movies and Other Media, by J. Hoberman]《艾吉论电影》,詹姆斯·艾吉[Agee on Film: Criticism and Comment on the Movies, by James Agee]《法伯论电影》,曼尼·法伯[Farber on Film: The Complete Film Writings of Manny Farber, by Manny Farber]《电影院与世界:二十年手册生涯》,塞尔日·达内[The Cinema House and the World: The Cahiers du Cinema Years, 1962–1981, by Serge Daney]《电影手册选集四卷本(1950-1978)》[Cahiers Du Cinéma: Volume 1-4, 1950-1978]《60风尚:中国学生周报影评十年》,罗卡编《淋漓影像馆》,李焯桃151:43 产业与制度《美国电影产业》,迪诺·巴里奥编[The American Film Industry, edited by Tino Balio]《好莱坞经济学:极端不确定性如何塑造电影产业》,阿瑟·德瓦尼[Hollywood Economics: How Extreme Uncertainty Shapes the Film Industry, by Arthur De Vany]《国家电影制度》,刘立行《银幕自由:国家电影审查的法律挑战,1915-1981》,劳拉·威腾-凯勒[Freedom of the Screen: Legal Challenges to State FilmCensorship, 1915-1981, by Laura Wittern-Keller]《电影节的历史、理论、方法、实践》,玛莉·德·法尔克158:02 创作与技术《故事:材质、结构、风格和银幕剧作的原理》,罗伯特·麦基《电影剧本写作基础》,悉德·菲尔德《编剧》,威廉·戈德曼《表演的艺术》,斯特拉·阿德勒《电影剪辑技巧》,卡雷尔·赖兹、盖文·米勒《眨眼之间:电影剪辑的奥秘》,沃尔特·默奇《欧洲剪辑大师访谈录》,罗杰·克里滕登《电影语言的语法》,丹尼艾尔·阿里洪《摄影师手记》,内斯托·阿尔曼德洛斯《制作电影:欧洲电影摄影百年史》,欧洲电影摄影师协会《如何拍电影:夏布罗尔导演札记》,克劳德·夏布洛尔《电影风格与技术:历史与分析》,巴里·索特173:38 访谈录《希区柯克与特吕弗对话录》,弗朗索瓦·特吕弗《对话比利·怀尔德》,卡梅伦·克罗《我是奥逊·威尔斯》,彼得·博格达诺维奇《究竟谁拍的这部电影:传奇导演谈话录》,彼得·博格达诺维奇《电影的节奏是心跳:罗贝尔·布列松谈话录》,米莲娜·布列松编《异端的影像:帕索里尼访谈录》,皮埃尔·保罗·帕索里尼《樱桃的滋味:阿巴斯谈电影》,阿巴斯·基阿鲁斯达米《胡金铨武侠电影作法》,山田宏一、宇田川幸洋《后台故事1-5:编剧访谈》[Backstory 1-5: Interviews with Screenwriters]188:48 华语电影研究《中国电影发展史》,程季华、李少白、邢祖文《电的影子》,陈力[Dianying/Electric Shadows, by Jay Leyda]《华语电影工业:方法与历史的新探索》,叶月瑜编《中国电影批评史》,李道新《北影纪事》,杨远婴编《中国电影:一个制度与观念的历史》,启之《银幕艳史:都市文化与上海电影1896-1937》,张真《回望纯真年代:中国著名电影导演访谈录(1981-1993)》,罗雪莹《北京电影学院故事:第五代电影前史》,倪震《看不见的影像》,张献民《台湾电影:政治、经济、美学(1949-1994)》,卢非易《台湾电影年鉴》《跨世纪台湾电影实录1898-2000》《台湾电影百年漂流:杨德昌、侯孝贤、李安、蔡明亮》,叶月瑜、戴乐为《杨德昌的电影世界》,让-米歇尔·付东《无人是孤岛:侯孝贤的电影世界》,詹姆斯·乌登《煮海时光:侯孝贤的光影记忆》,白睿文《三十年细说从头》,李翰祥《香港电影王国:娱乐的艺术》,大卫·波德维尔《香港电影:额外的维度》,张建德《冷战与香港电影》,李培德、黄爱玲编《香港的「中国」》,傅葆石、刘辉编《国泰故事》,黄爱玲编《风起潮涌:七十年代香港电影》,吴君玉编《超前与跨越:胡金铨与张爱玲》,卓伯棠编《乘风变化:嘉禾电影研究》,蒲锋、刘嵚《溜走的激情:80年代香港电影》,家明编《香港电影工业结构及市场分析》,陈清伟《新香港电影丛书》,阿克巴·阿巴斯编《王家卫:不只是拍电影》,约翰·鲍尔斯《银河映像,难以想像》,潘国灵编《光影言语:当代华语片导演访谈录》,白睿文推荐关注:电影巨辩的轻量版:电影巨辩5min联系:邮箱:dyjb1895@foxmail.com合作:dyjb1895(添加微信说明来意)
This week we're excited to present a panel of critics and programmers to discuss the significance of the late French film critic Serge Daney (1944–1992)'s thought today, with a particular emphasis on how his politically driven analysis and radical enthusiasms of the 1970s might speak to our contemporary moment. Film at Lincoln Center was proud to recently present Never Look Away: Serge Daney's Radical 1970s, a series that celebrated French film critic Serge Daney and the films he championed in his book La Rampe, occasioned by its long-awaited English translation under the title Footlights. Complementing this program was a panel that featured The New Yorker's Richard Brody, translator of Footlights and series co-programmer Nicholas Elliott, and moderator FLC Assistant Programmer Madeline Whittle. This discussion considered the relation between mise-en-scène and moral perspective, the cinema as an antidote to advertising, and the critic's role as an ally to filmmakers. Never Look Away: Serge Daney's Radical 1970 was sponsored by MUBI.
This week we're excited to present two conversations, the first with programmers Madeline Whittle and Nicholas Elliot about our upcoming retrospective, Never Look Away: Serge Daney's Radical 1970s, and the second with Kleber Mendonça Filho, director of the NYFF61 Main Slate selection Pictures of Ghosts, opening in our theaters on January 26th. Beginning Friday, Film at Lincoln Center presents a series celebrating French film critic Serge Daney and the films he championed, occasioned by the long-awaited English translation of the critic's first book La Rampe, now titled Footlights. The series runs from January 26 through February 4 and will feature a robust selection of works by master filmmakers, with many presented on 35mm or in digital restorations, accompanied by guest introductions. The programmers of the retrospective, Madline Whittle and Nicholas Elliot, spoke with Digital Marketing Manager Erik Luers about how they curated the lineup and the importance of Daney's writing and views on cinema. Get tickets at filmlinc.org/daney Never Look Away: Serge Daney's Radical 1970s is sponsored by MUBI. Learn more at mubi.com/en/flc The life of a true cinephile is one constantly haunted by the dead, as the history of the movies is a corridor of ghosts. Brazilian filmmaker and unrepentant cinema obsessive Kleber Mendonça Filho's new documentary—Brazil's official entry for Best International Feature Film at the 2024 Academy Awards—serves as a poignant testament to the liminal state of movie love. It tells, in three chapters, the story of his cinematic world—namely the city of Recife, where his youthful film education took place. At theaters like the Veneza and the São Luiz, Mendonça discovered a popular art form that would change his life; today, with the landscape of the city altering drastically, he surveys its empty rooms now pregnant with memories. This moving and playful film, as much about the architectural and social structures of a city as about the movies that inspire and haunt us, honors the personal spaces that are also the communal lifeblood of our urban centers. Enjoy the conversation from the New York Film Festival between Kleber Mendonça Filho and FLC Vice President of Programming, Florence Almozini. Get tickets to Pictures of Ghosts at filmlinc.org/ghosts.
durée : 00:44:59 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit - En mars 1988, le photographe et documentariste Raymond Depardon, et l'ingénieure du son Claudine Nougaret, racontent le tournage de leur documentaire "Urgences", réalisé aux urgences psychiatriques de l'Hôtel Dieu de Paris. - invités : Raymond Depardon Photographe, réalisateur, producteur, scénariste, journaliste; Claudine Nougaret Ingénieur du son, productrice
Emmanuel Burdeau décortique LA CHIMERE, dernier film en date de la cinéaste italienne Alice Rohrwacher. Au menu : Serge Daney, le peuplement des films, le prolétariat et bien d'autres choses. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:54:59 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit - Dans "Microfilms", Serge Daney recevait Sylvie Pierre auteur d'un livre sur le cinéaste brésilien Glauber Rocha, disparu en 1981.
durée : 02:57:53 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - En 1995, Jean-Luc Godard enregistre son "Bon plaisir" au micro de Jean Daive. Un long entretien illustré par des extraits de ses films et des interventions, grâce à des archives, d'Henri Langlois, François Truffaut, Serge Daney, parmi d'autres. - invités : Jean-Luc Godard Réalisateur; André S. Labarthe; Henri Langlois Conservateur, collectionneur, critique, co-fondateur de la Cinémathèque française (1914-1977); Serge Daney Critique de cinéma; Roman Polanski Réalisateur franco-polonais; François Truffaut
Dans ce neuvième épisode nous avons le plaisir de recevoir Philippe Duclos. Un épisode où nous recevons une Masterclass en direct.Philippe nous parle de son livre “Le juge et son fantôme” récit entremêlant le journal fictif de son personnage du juge Roban et son carnet d'acteur dans la série Engrenages, première série de Canal plus. Les différences de casting entre les français et les anglais, sa méthode de travail pour ses rôles, la vertu du texte, la vie intérieure du personnage...À retenir "qu'un peu de café, c'est du café"!Bonne écoute.Où nous retrouver :Pour suivre toutes nos actualités retrouvez nous sur instagram :@romain_francisco_@camillebizien@philippeduclosoffRecommandations :Philippe : Film “The Fabelmans” de Steven SpielbergRomain : Livre "Le parfum” de Patrick SüskindCamille: Podcast “Cerno” de Julien Cernobori Infos :Episode enregistré le 14 avril 2023 Merci aux studios de la SACD et Sylvain Teissier pour le mixage.Vous avez aimé ce podcast, pour nous soutenir n'hésitez pas à mettre 5 étoiles sur votre application de podcast préférée et en parler autour de vous.#17H17lepodcastBisousR&CCité dans le podcast :Livre “Le juge et son fantôme” de Philippe Duclos.Série “Engrenages” créée par Alexandra ClertFilm “L.627” réalisé par Bertrand Tavernier avec Philippe Torreton.Film “La Sentinelle” réalisé par Arnaud Desplechin.Serge Daney.Cary Grant dans “la mort au trousse” réalisé par Alfred Hitchcock.Film “Donnie Brasco” de Mike Newell avec Al Pacino.Livres de Howard Phillips Lovecraft.Livre le comédien désincarné de Louis Jouvet.Cours Jean Laurent Cochet.Film “Solaris” de Andreï Arsenievitch Tarkovski.Antoine Vitez.Film “Ma nuit chez Maud” d'Eric Rohmer.Lee Strasberg “Un peu de café c'est du café”Lev Koulechov “L'effet Koulechov”.Théâtre “Entre chien et loups” de Christiane Jatahy.Juge Nathalie Turquey Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 01:24:59 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - Par Noël Simsolo - Avec Serge Daney - Réalisation Marie-Andrée Armynot
durée : 00:59:59 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - Par Noël Simsolo - Avec Serge Daney - Réalisation Marie-Andrée Armynot
durée : 00:54:59 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - L'historien Jean-Paul Bled retrace le parcours singulier d'Elisabeth de Wittelsbach, princesse de Bavière, impératrice d'Autriche, personnalité extraordinaire, singulière, inclassable, qui suscita d'insondables passions, en son temps comme après sa mort en 1898. Elisabeth de Wittelsbach, princesse de Bavière, impératrice d'Autriche, Reine de Hongrie, plus connue sous le nom de Sissi, est une personnalité qui suscita d'insondables passions, en son temps, et bien après sa mort en 1898. Sur le trône de l'une des monarchies les plus autoritaires d'Europe, elle se disait démocrate, n'aimait que la rebelle Hongrie, et vécut la majeure partie de son existence loin de Vienne. Assignant son corps à une discipline faite de régimes et d'interminables séances de gymnastique, on l'a dite narcissique ou hystérique. Elle était solitaire, poète, amoureuse de sa liberté, et quoi qu'il en soit, loin, très loin de « l'émotion caramélisée » et des « sentiments choucrouteux » - pour reprendre les formules de Serge Daney, - qui caractérisaient la trilogie de films réalisé par Ernst Marishka dans les années 1950, ave Romy Schneider dans le rôle-titre. En 1991, Katharina Von Bulow lui consacrait une série d'émissions pour « Les chemins de la connaissance ». Dans trois des cinq volets de cette série, l'historien Jean-Paul Bled racontait l'extraordinaire singularité de cette personnalité inclassable. Par Katharina von Bulow Avec Jean-Paul Bled (historien) Les chemins de la connaissance - Sissi Impératrice : Parties 1, 3 et 5 (1ère diffusion : 30, 31/12/1991 et 03/01/1992 1er entretien : Elisabeth, jeune épouse et impératrice/2ème entretien : L'idole d'une époque/3ème entretien : L'éternelle absente
durée : 00:51:22 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - En mai 1987, alors que la Palme d'Or est sur le point d'être attribuée au film "Sous le soleil de Satan" de Maurice Pialat, l'émission "Microfilms" donne la parole au cinéaste lors de deux entretiens (donnés avant la cérémonie houleuse de clôture du Festival) menés par Serge Daney. - invités : Maurice Pialat réalisateur
durée : 01:27:00 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - Un numéro de l'émission "Ciné-Club" de 1998, dans lequel des cinéphiles se souviennent des films marquants de leur jeunesse, dans les années cinquante et soixante. Les Contrebandiers de Moonfleet de Fritz Lang (1955), La Nuit du chasseur de Charles Laughton (1955), Les Quatre Cents Coups de François Truffaut (1959), Fanny et Alexandre de Ingmar Bergman (1983). Voilà quelques-uns des films qui ont marqué l'enfance de grands cinéphiles que sont Jean-Louis Schefer, Charles Tesson, Antoine de Baecque, Noël Simsolo, Serge Daney ou Alain Corneau. Devenus critiques, réalisateurs, historiens et intellectuels du cinéma, ils témoignent dans cette émouvante émission, de leurs premiers émois cinématographiques. "Il y a des films qui ont regardé notre enfance" (Jean-Louis Schefer) Enfants spectateurs ou spectateurs de l'enfance, ils se souviennent de ces films emblématiques de la cinéphilie d'après-guerre, avec d'un côté les initiations et les épreuves vécues par les enfants de l'écran, et de l'autre, dans la salle, la découverte du monde par les films, avec ses enchantements ou ses arrachements. Avec en archives, la voix de Serge Daney - Avec des extraits des films : "Les Contrebandiers de Moonfleet" de Fritz Lang, "Sciuscià" de Vittorio De Sica, "La Nuit du chasseur" de Charles Laughton, "Fanny et Alexandre" de Ingmar Bergman, "Gloria" de John Cassavetes, "Allemagne, année zéro" de Roberto Rossellini, "Les Quatre cents coups" de François Truffaut, "Zéro de conduite" de Jean Vigo. Par Stéphane Bou Réalisation : Claude Giovannetti Ciné-club - des enfants au cinéma : l'apprentissage du monde (1ère diffusion le 25/02/1998) Rédaction web: Sylvain Alzial, Documentation sonore de Radio France Archive Ina-Radio France
Bembel & B-Movies: Rüdiger Suchsland und Philipp Stadelmeier erinnern sich im neuen Artechock-Podcast an frühe Filmerlebnisse und an längst geschlossene Kinos in Frankfurt, vergleichen die Filmkritiker Siegfried Kracauer und Serge Daney, und schildern nebenbei noch ein paar Eindrücke vom Kongreß „Zukunft deutscher Film“ und dem diesjährigen „Lichter Filmfest“ in Mainhattan, der Stadt ihrer Jugend.
En 1997, dans son livre L'écran post-moderne, un cinéma de l'allusion et du feu d'artifice, Laurent Jullier distingue deux formes de postmodernité au cinéma. D'un côté, il y aurait celle qui se définit par le recyclage. Il s'agit ici d'utiliser des formes pré-existantes de manière intelligente, en faisant comprendre que la citation est volontaire et de miser sur le fait que le spectateur saura reconnaître et apprécier. Le pillage culturel devient un clin d'œil, on parle alors de cinéma allusionniste. Aujourd'hui, la mode étant aux franchises qui se citent et se recyclent elles-mêmes, on pourrait aller plus loin que Jullier et parler de post-modernité cannibale. De l'autre côté, la postmodernité au cinéma pourrait également se définir par ce que Jullier appelle le « contournement des formes anciennes ». On renonce ainsi au récit d'une histoire complète, on mêle la réalité à la représentation. Ici, le cinéma se présente comme une suite de stimuli dispensant de pures sensations que l'on peut goûter sans trop réfléchir. Les films post-modernes correspondant à cette alternative mettraient l'accent sur le plaisir physique des formes et des couleurs (ce que Serge Daney appelait le « son et lumière). Le risque serait donc ici, pour le cinéma pyrotechnique ou le « film-concert », de régresser dans la pyramide des arts et de ne plus faire office de référence, esthétique ou économique. Et justement, la saga John Wick nous semble être particulièrement intéressante à réfléchir sous cette lumière. Avec la sortie d'un quatrième opus qui repousse encore plus loin le dépouillement scénaristique et qui mise au maximum sur la sensation, se pose la question de la relation qu'entretient la franchise de Chad Stahelski avec la postmodernité. Alors, Baba Yaga, parangon ou fossoyeur de la post-modernité ? L'ancien cascadeur devenu réalisateur correspond-il à ces artistes post-modernes qui, comme le disait Jean-Luc Chalumeau, sont des « dandys superficiels et désabusés, néo-conservateurs qui pillent au lieu de citer, exactement comme les tenants de l'art stalinien » ? Bienvenue dans Exposed épisode 22, consacré à JOHN WICK 4 de Chad Stahelski. --- Autres films évoqués : JOHN WICK (Chad Stahelski. 2014), JOHN WICK 2 (Chad Stahelski. 2017), JOHN WICK PARABELLUM (Chad Stahelski. 2019), BLADE 2 (Guillermo Del Toro, 2002), MINORITY REPORT (Steven Spielberg, 2002), THE VILLAINESS (Jeong Byeong-gil, 2017), CARTER (VILLAINESS (Jeong Byeong-gil, 2022), LE SENS DU DEVOIR 4 (Yuen Woo-ping, 1991), PROMARE (Hiroyuki Imaishi, 2019), REDLINE (Takeshi Koike, 2010), THE BLADE (Tsui Hark, 1995), SILENT NIGHT (John Woo, 202?), AVATAR: THE WAY OF WATER (James Cameron, 2022), REBEL MOON (Zack Snyder, 2023), ZACK SNYDER'S JUSTICE LEAGUE (Zack Snyder, 2021), 300 (Zack Snyder, 2006 ), MAN OF STEEL (Zack Snyder, 2013), SEVEN SWORDS (Tsui Hark, 2005), la trilogie INFERNAL AFFAIRS (Andrew Lau et Alan Mak) Titre d'outro : Destruction Babies, Shutoku Mukai Exposed est un podcast animé par l'équipe de www.filmexposure.ch : Thomas Gerber, Alexandre Rallo, Sébastien Gerber.
Roberto De Gaetano"Critica del visuale"Orthotes Editricehttps://orthotes.comLo sviluppo di un pensiero critico è la condizione per contrastare il pericolo del consenso generalizzato e totalizzante. Il rischio maggiore nelle democrazie attuali. La critica è la pratica che articola il campo della discussione pubblica in posizioni distinte, evitando uniformità e conformismi. L'eclissi oggi del pensiero critico è stata anticipata dalla crisi della critica in ambito artistico e cinematografico. Il presente volume, attraversando i momenti più alti della riflessione novecentesca sulla critica, sia in prospettiva filosofica (Walter Benjamin) che letteraria (Northrop Frye), giunge a pensare, attraverso due grandi critici cinematografici come André Bazin e Serge Daney, da un lato il rilievo e dall'altro l'attuale crisi della critica cinematografica, ritrovandone una delle ragioni maggiori nell'uso imperante e totalizzante di una nozione-mondo come quella di “visuale”. Che uniforma singolarità, empiricità, esteticità delle opere, trasformandole in meri indicatori di dinamiche sociali e culturali. L'eclissi della critica nel dominio del visuale non è un destino, ma è lo stato in cui è approdata una certa prospettiva ideologico-teorica. Il presente volume indica i segni e gli atti per una possibile inversione di tendenza, e per ricollocare il pensiero e la pratica della critica al centro della riflessione teorica, della discussione pubblica e dell'operato culturale.Roberto De Gaetano insegna Discipline Cinematografiche a "La Sapienza" - Università di Roma. Tra le sue più recenti pubblicazioni: La potenza delle immagini (2012), Lessico del cinema italiano. Forme di rappresentazione e forme di vita (3 volumi, 2014-2016), Il cinema e i film. Le vie della teoria in Italia (2017), Cinema italiano: forme, identità, stili di vita (2018, Premio Limina), Le immagini dell'amore (2022). Ha fondato nel 2006 il quadrimestrale «Fata Morgana» e nel 2017 la rivista di critica «Fata Morgana Web».IL POSTO DELLE PAROLEAscoltare fa Pensarehttps://ilpostodelleparole.it
durée : 02:57:53 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - En 1995, Jean-Luc Godard enregistre son "Bon plaisir" au micro de Jean Daive. Un long entretien illustré par des extraits de ses films et des interventions, grâce à des archives, d'Henri Langlois, François Truffaut, Serge Daney, parmi d'autres. - invités : Jean-Luc Godard Réalisateur; André S. Labarthe; Henri Langlois Conservateur, collectionneur, critique, co-fondateur de la Cinémathèque française (1914-1977); Serge Daney critique de cinéma; Roman Polanski Réalisateur; François Truffaut
durée : 00:40:43 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - En 1987, Serge Daney reçoit Jean-Luc Godard, dans "Microfilms" à l'occasion de la sortie de "Soigne ta droite". Un second entretien qui approfondit la comparaison entre le cinéma et la télévision. - invités : Jean-Luc Godard Réalisateur
durée : 00:40:49 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit - En 1987, pour la sortie de son film "Soigne ta droite", Serge Daney reçoit Jean-Luc Godard : l'occasion pour le cinéaste de parler de sa forme physique, du cinéma qui déserte les salles et d'analyser le rôle de la télévision. - invités : Jean-Luc Godard Réalisateur
“Cinema is never on time,” wrote the great critic Serge Daney. That statement never seemed to apply to Jean-Luc Godard, an auteur who was always of his time and ahead of it—a relentless interrogator of the present who also sought the horizons of a new future. This week, as we mourn the recent passing of one of our greatest artists, Film Comment Co-Deputy Editors Devika Girish and Clinton Krute invited two critics and Godard experts for a talk about the filmmaker's life and career. Richard Brody writes about movies for The New Yorker and is the author of the must-read Godard biography, Everything is Cinema, and Blair McClendon is a film editor, regular Film Comment contributor, and author of a beautiful remembrance of Godard published by n+1. The four discussed Godard's vast and protean filmography, from foundational works like Breathless and La Chinoise to masterful essay films like Goodbye to Language and The Image Book, and the ways in which Godard's films awakened them, in their formative cinephilic years, to the aesthetic and political potentialities of cinema.
durée : 01:24:59 - Les Nuits de France Culture - Par Noël Simsolo - Avec Serge Daney - Réalisation Marie-Andrée Armynot
durée : 00:59:59 - Les Nuits de France Culture - A voix nue - Serge Daney 1/2 : Partie 1 et 2 (1ère diffusion : 11 et 12/05/1992)
durée : 00:44:59 - Les Nuits de France Culture - Quand Serge Daney rencontrait Shinsuke Ogawa, maître du documentaire japonais
durée : 00:54:59 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit - Michel Piccoli, au micro de Serge Daney dans "Microfilms" en novembre 1986, revenait sur ses collaborations avec Leos Carax pour "Mauvais sang" et Jacques Doillon pour "La Puritaine". Il en profitait pour expliquer l'évolution de son tempérament d'acteur, nourrie par sa soif perpétuelle d'apprendre. - invités : Michel Piccoli acteur et réalisateur (1925-2020)
durée : 00:44:59 - Les Nuits de France Culture - Par Serge Daney - Avec Johan van der Keuken - Réalisation Pierrette Perrono En 1989, au moment des célébrations du bicentenaire de la Révolution française, le documentariste hollandais Johan van der Keuken tournait à Paris un film intitulé "Le Masque". * Il y suivait Philippe, un jeune homme de 23 ans sans domicile, dans son errance. "Quel est ton plus grand désir ?", lui demandait le cinéaste dans l'une des scènes centrales du film. "Mon plus grand désir, c'est de m'acheter une garde robe avec des costumes, pour paraître devant les gens, pour porter un masque", lui répondait Philippe, dans une formule qui donna son titre au film. Le 25 février 1990, à la veille de sa diffusion à la télévision, Serge Daney recevait Van der Keuken dans son émission « Microfilms ». Il était alors déjà un cinéaste reconnu, mais n'avait pas encore tourné son chef d'oeuvre, le magnifique et magistral Amsterdam Global Village, qui devait voir le jour six ans plus tard. Johan van der Keuken au micro de Serge Daney, une émission diffusée pour la première fois le 25 février 1990. Microfilms - Johan van der Keuken pour son film "Le masqu" 1ère diffusion : 25/02/1990) Par Serge Daney Avec Johan van der Keuken Réalisation Pierrette Perrono
Paolo Mereghetti"Il posto delle fragole"Ingmar BergmanIperborea Edizionihttps://iperborea.com/"Il posto delle fragole" il testo di Ingmar Bergman, diventato film, è stato chiuso il 31 maggio 1957, a Stoccolma.Sono 65 anni di un testo straordinario che fa scendere nella profondità dell'animo umano.Esiste forse per tutti un posto delle fragole, un luogo dove rimane intatto l'incanto dell'infanzia, l'io che eravamo, con la semplicità, l'autenticità e le speranze di quando la vita era davanti, un luogo, che forse c'è ancora dentro o fuori di noi, dove qualcuno può metterci davanti uno specchio e farci vedere quello che siamo diventati, quello che abbiamo perduto, quello che forse possiamo ancora ritrovare. Sono le fragole selvatiche colte nel giardino della casa d'infanzia la madeleine di Isak Borg, vecchio professore egoista e misantropo, in viaggio da Stoccolma a Lund per la celebrazione del suo giubileo all'Università, coronamento della carriera di medico e ricercatore. Da lì i ricordi prendono a intrecciarsi alla realtà, trasformando il viaggio verso Lund in una sorta di pellegrinaggio, in cui gli episodi, i sogni, gli incontri sono come tappe di un percorso catartico all'interno di se stesso. Il vedersi attraverso gli occhi degli altri, l'incidente con la coppia in eterno reciproco tormento, la visita alla madre gli lasciano intravedere i suoi fallimenti, il vuoto della sua solitudine e quella verità che sembrano volergli comunicare i suoi incubi: «Sono morto. Anche se sono vivo.» Mentre la presenza della nuora Marianne, la freschezza dei tre ragazzi cui offre un passaggio, Victor e Anders con i loro litigi su Dio, e Sara, così lieve e piena di voglia di vivere, così simile all'amata cugina Sara che ricompare nei suoi sogni, gli aprono la via verso una riconciliazione. La vecchiaia, l'infanzia, la giovinezza, l'esistenza di Dio, le occasioni perdute, la nostalgia, l'amore sono i temi intorno a cui si gioca ancora una volta la partita a scacchi tra la morte e la vita per il possesso di un'anima.Ingmar Bergman (1918-2007), è uno dei maestri indiscussi della cinematografia internazionale. Figlio di un pastore protestante della corte reale, debutta come drammaturgo negli anni Quaranta, dando espressione al clima angoscioso del periodo con una serie di drammi che si riallacciano alla tradizione di Strindberg, H. Bergman e Lagerkvist. Ma l'affermazione giunge a partire dagli anni Cinquanta, con l'attività di regista di cinema e di teatro, due ambiti che si intrecciano continuamente nella sua opera.Paolo Mereghetti (Milano 1949), giornalista e critico cinematografico per il Corriere della Sera e il magazine Io Donna, ha scritto su Ombre rosse, Positif, Linea d'ombra, Reset, Lo straniero e tiene una rubrica su Ciak. Ha pubblicato per i Cahiers du Cinéma e Le Monde un volume su Orson Welles, poi editato in Italia, Spagna e Gran Bretagna. Nel 2012 ha curato per Contrasto il volume Movie:Box, tradotto in sei lingue. E' stato consulente per la Mostra del cinema di Venezia durante le direzioni di Lizzani, Rondi e Barbera. Ha pubblicato, tra gli altri, saggi e volumi su Arthur Penn, Marco Ferreri, Bertrand Tavernier, Sam Peckinpah, Yervant Gianikian e Angela Ricci Lucchi, Serge Daney e Jacques Rivette. Nel 2001 ha vinto il Premio Flaiano per la critica cinematografica.IL POSTO DELLE PAROLEascoltare fa pensarehttps://ilpostodelleparole.it/
durée : 01:27:00 - Les Nuits de France Culture - Un numéro de l'émission "Ciné-Club" de 1998, dans lequel des cinéphiles se souviennent des films marquants de leur jeunesse, dans les années cinquante et soixante. - invités : Charles Tesson Critique et historien du cinéma; Serge Daney critique de cinéma; Jean-Louis Schefer Philosophe, écrivain, critique d'art; Noël Simsolo réalisateur, comédien, scénariste, historien du cinéma; Alain Corneau réalisateur
durée : 00:39:59 - Les Nuits de France Culture - Dans l'émission "Microfilms", Humbert Balsan racontait sa pratique, à la fois grave et enjouée, de son métier de producteur de cinéma (avec Youssef Chahine, Claire Denis, etc.). "Le métier d'un jeune producteur, Humbert Balsan", une émission diffusée pour la première fois le 25/10/1987. Son premier travail pour le cinéma, il l'exerça à l'âge de 19 ans, en incarnant le chevalier Gauvain dans le Lancelot du lac de Robert Bresson, dont il dit qu'il "a fait avancer le cinéma". Assistant du metteur en scène sur Le Diable probablement, sorti en 1977, il se lance ensuite dans la production. * Figure de cette profession qu'il exerçait en indépendant, producteur de 65 films en 25 ans, Humbert Balsan ouvra pour faire exister les films de Youssef Chahine, de Yousri Nasrallah, Elia Suleiman, Philippe Faucon, Claire Denis ou encore Sandrine Veysset. Humbert Balsan s'est donné la mort en février 2005. En 1987, à 33 ans, il avait déjà produit entre autres Adieu Bonaparte et Le Sixième jour de Youssef Chahine, au micro de Serge Daney il parlait longuement de son métier : La production il faut prendre cela au sérieux, la production cela va jusqu'à la mort, jusqu'au suicide. On a des exemples célèbres d'amis qui se sont perdus dans la production. Cela dit, je pense que la crise du cinéma a été un peu surestimée, ceux qui en parlent sont ceux qui ont été dans un grand confort et un grand luxe commercial. Ce n'est pas mon cas. Moi je suis dans un système de production qui est de faire des films auxquels je crois, le fait qu'un film marche ou qu'il ne marche pas me touche mais ne peut pas me mettre par terre car c'est déjà un miracle que de l'avoir fait. (...) Si un film ne marche pas en salle il y a d'autres possibilités de l'amortir. Le fait d'avoir un film qui ne marche pas est parfois plus dynamisant. Par Serge Daney Réalisation : Pierrette Perrono Microfilms - Le métier d'un jeune producteur, Humbert Balsan (1ère diffusion : 25/10/1987) Indexation web : Documentation Sonore de Radio France Archive Ina-Radio France
durée : 00:54:59 - Les Nuits de France Culture - Michel Piccoli, au micro de Serge Daney dans "Microfilms" en novembre 1986, revenait sur ses collaborations avec Leos Carax pour "Mauvais sang" et Jacques Doillon pour "La Puritaine". Il en profitait pour expliquer l'évolution de son tempérament d'acteur, nourrie par sa soif perpétuelle d'apprendre. En 1986 sortait Mauvais Sang, deuxième long métrage d'un réalisateur de 26 ans, Leos Carax. Au générique de Mauvais Sang, à côté des noms de Denis Lavant et de Juliette Binoche, on trouvait celui de Michel Piccoli que Serge Daney avait invité à venir parler de l'expérience qu'avaient été pour lui le tournage de ce film et la rencontre du cinéaste Leos Carax. * Carax est quelqu'un d'une extrême sensibilité, d'une autorité gigantesque, d'une volonté à vous couper le souffle, il a une puissance de travail incroyable. Mais au-delà de ce "moment Carax" du cinéma, dont le comédien et le critique s'accordaient pour dire combien il était important et réjouissant, ce numéro de Microfilms était aussi l'occasion de cerner la manière dont Michel Piccoli abordait son métier d'acteur, la manière qu'il avait, comme le disait Serge Daney, "d'être aux quatre coins du cinéma". Je ne veux pas sombrer dans une sorte de vedettariat, de confort ou de routine, je veux tout le temps retourner à l'école pour apprendre ce qu'est ce métier d'acteur. "Être aux quatre coins du cinéma", cela voulait dire jouer tout aussi bien dans un film de Lelouch que dans un film de Carax, dans un film de Michel Deville que dans un film de Jacques Doillon, pour ce comédien qui disait là avoir toujours besoin et envie d'apprendre et de découvrir. On peut dire que je sais jouer la comédie, mais ça ne suffit pas. Par Serge Daney Réalisation : Pierrette Perrono Microfilms - Michel Piccoli pour "Mauvais sang" de Leos Carax (1ère diffusion : 30/11/1986) Indexation web : Etienne Rouch, Documentation Sonore de Radio France Archive Ina-Radio France
durée : 00:53:00 - Les Nuits de France Culture - Pour "Microfilms", Eric Rohmer s'entretenait avec Serge Daney à propos du film "Le Rayon vert". Une histoire inspirée par un roman de Jules Verne. Cinquième du cycle "Comédies et Proverbes", primé Lion d'Or au Festival de Venise, le film connut un succès populaire. "Ah ! Que le temps vienne, où les cours s'éprennent !", cette citation d'Arthur Rimbaud, en exergue du film Le Rayon vert, annonçait l'errance solitaire de Delphine, pendant ses vacances d'été. "Lorsque l'on voit le rayon vert, écrivait Jules Verne, "on est capable de voir dans son cour et celui des autres". Ce quatorzième long-métrage était tourné avec une équipe réduite pour suivre Delphine, jouée par Marie Rivière, à la campagne, à la montagne et enfin à Biarritz, devant la Chambre d'Amour. Eric Rohmer avait fait confiance au hasard pour les personnages secondaires et laissé une grande liberté d'improvisation aux comédiens. * Dans Le Rayon vert, il y a un côté magique qui compense le côté terre à terre. Je n'aime pas les films qui n'ont pas de fin.ni ceux qui ont une fin trop précise, il faut un petit mystère. Le film avait été diffusé sur Canal Plus avant sa sortie au cinéma. Eric Rohmer se réjouissait de constater que cela n'avait pas réduit le nombre de spectateurs en salles. Mes maîtres en cinéma ont pensé tous les deux que l'avenir était dans la télévision. Rossellini et Renoir, ce sont deux cinéastes qui sont absolument modernes, pour reprendre un mot de Rimbaud. Eric Rohmer regrettait le manque de création à la télévision, estimant que les cinéastes devraient s'emparer de la télévision comme la Nouvelle Vague s'était emparée du cinéma. Il désirait que les jeunes ne boudent pas la télévision et qu'il y ait _"plus de va-et-vient entre le cinéma et la télévision". _ A propos de sa manière de composer ses films, il dit : Quand je compose mes films, je commence par le début, puis la fin, puis le milieu. L'idée du Rayon vert est venue tout de suite. On ne peut pas parler du contenu du film sans parler de sa forme. Par Serge Daney Réalisation : Pierrette Perrono Microfilms - Eric Rohmer pour "Le Rayon vert" (1ère diffusion : 07/09/1986) Indexation web : Véronique Vecten, Documentation Sonore de Radio France Archive Ina-Radio France
28/09, terça. Ao longo da história do cinema, as tecnologias da imagem e do som conceberam o olhar como um poder perverso de intervenção e controle sobre o real. O audiovisual testemunhou e tomou parte da construção de uma tríade em que imagem, controle e poder se tornaram elementos estruturais na sociedade da imagem e na “sociedade das telas”, como definia o crítico Serge Daney. Não por acaso, destacamos o trabalho do coletivo Forensic Architecture, que se dedica a realizar investigações audiovisuais que invertem os objetivos das tecnologias de monitoramento e vigilância para denunciar os crimes desses mesmos sistemas. De que maneira os aparatos tecnológicos se utilizam de cada indivíduo para formarem essas sociedades das telas? Como o poder se apropria dos dispositivos para impor interesses escusos aos rumos coletivos? E de que maneira se reapropriar dessas técnicas e estéticas para confrontá-las? Convidados: Paulo Tavares – arquiteto associado ao Forensic Architecture | DF Bernardo Oliveira – professor, crítico e pesquisador | RJ Patrícia Mourão – pesquisadora, professora e curadora |SP Mediador: Pedro Butcher – curador CineBH e colaborador Brasil CineMundi |RJ
durée : 00:45:00 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit, Catherine Liber, Albane Penaranda - En 1986 sortait "Le Sixième Jour" un film de Youssef Chahine d'après le roman d'Andrée Chédid, avec Dalida dans le rôle principal. L'occasion pour la chanteuse de donner un long entretien à Serge Daney dans l'émission "Microfilms". - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Dalida chanteuse
Anima Verde: Come funzione e come segnalare, ecco il primo sito in Italia per denunciare i maltrattamenti sugli animali + Lucie Medici: "Tag_ Closet Confidential" + "❤Vizi & Abitudini Maschili ❤_)" + Giorgio Cerquetti - IL POTERE DELLA MENTE POSITIVA + Antonietta Laterza: Due carrozzine sono troppe a Sanremo + Radionotizie. 50 + Per una storia della critica cinematografica in Italia: 20 novembre 2006 - QUESTIONE DI STILE Approcci alla critica cinematografica INCONTRI a cura di Rinaldo Censi Jean-Luc Godard: "Ai 'Cahiers' ci consideravamo tutti come futuri registi. Frequentare cine-club e la cineteca significava già pensare in termini di cinema e pensare al cinema. Scrivere significava già fare cinema: tra lo scrivere e il girare c'è solo una differenza quantitativa, e non qualitativa. Il solo vero critico è stato Andrè Bazin. Gli altri, Sadoul, Balàzs o Pasinetti, sono storici o sociologi, non critici". Un altro critico, caro allo stesso Godard, Serge Daney: "Il cinema non è immagini, ma inquadrature. L'inquadratura è un blocco indivisibile di immagine e tempo. (...) Forse un giorno sarà possibile dire: del cinema conservo solo il ricordo delle inquadrature. Del cinema mi hanno interessato solo le inquadrature. Il resto, che esiste e esisteva senza di me, può continuare senza di me ed io senza di lui". Ecco due dichiarazioni perentorie, che fanno problema. La 'critica cinematografica' dunque. Jean-Luc Godard, Serge Daney, Andrè Bazin, Franòois Truffaut, Jacques Rivette, ma anche Manny Farber, Jonas Mekas, Enzo Ungari, Herman G. Weinberg. La critica cinematografica? Una sua possibile storia lungo i cento anni di immagini in movimento. Fare critica pensando già di fare film. Oppure: di un film trattenere solo il respiro delle inquadrature. Ma insomma, la critica? Prevede un metodo, un breviario? No. Una disciplina? Come rendere il respiro delle inquadrature? Come trasferire ciò che vediamo, ciò che ci colpisce, ciò che ci indispone, là sulla carta? Cosa accade tra la ricezione e la scrittura? Una questione di produzione di forme. Questione di stile, soprattutto. E oggi tutto questo ha ancora senso? Tutti temi che verranno affrontati in compagnia di ospiti autorevoli. lun 20.11.06, h 19 - Auditorium Per una storia della critica cinematografica in Italia Presentazione del libro di Claudio Bisoni, La critica cinematografica. Metodo, storia e scrittura (Archetipo, 2006). Interviene Alberto Pezzotta (Corriere della Sera, ViviMilano, 'Brancaleone'). lun 27.11.06, h 19 - Auditorium Dialogo intorno a un dizionario del cinema: 'Il Mereghetti' Incontro con Paolo Mereghetti. Interverrà Giacomo Manzoli (Università di Bologna). gio 30.11.06, h 19 - Auditorium Conservare, mostrare: la cineteca come 'spazio critico' Incontro con Gian Luca Farinelli (direttore della Cineteca del Comune di Bologna), Stefano Boni (Museo Nazionale del Cinema, Torino). lun 11.12.06, h 17,30 - Auditorium Che cos'è un autore? Incontro con Guglielmo Pescatore (Università di Bologna), in occasione della pubblicazione del suo ultimo libro, L'ombra dell'autore (Carocci, 2006). Interverrà Franco La Polla (Università di Bologna). gio 14.12.06, h 19 - Auditorium Quale futuro per la critica cinematografica? Incontro con Roy Menarini (Università di Udine), Emiliano Morreale ('Brancaleone'), Vincenzo Buccheri (Universita di Pavia). lun 18.12.06, h 19 - Auditorium Tele-visioni: la critica cinematografica alla prova dei mezzi di comunicazione Incontro con Enrico Ghezzi e Donatello Fumarola ('fuoriorario' - Rai 3). + Il Libro di Krishna 09 --- Send in a voice message: https://anchor.fm/radiovrinda/message Support this podcast: https://anchor.fm/radiovrinda/support
durée : 00:53:00 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit, Albane Penaranda, Mathilde Wagman - Pour "Microfilms", Eric Rohmer s’entretenait avec Serge Daney à propos du film "Le Rayon vert". Une histoire inspirée par un roman de Jules Verne. Cinquième du cycle "Comédies et Proverbes", primé Lion d'Or au Festival de Venise, le film connut un succès populaire. - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Eric Rohmer
durée : 00:54:59 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit, Albane Penaranda, Mathilde Wagman - Michel Piccoli, au micro de Serge Daney dans "Microfilms" en novembre 1986, revenait sur ses collaborations avec Leos Carax pour "Mauvais sang" et Jacques Doillon pour "La Puritaine". Il en profitait pour expliquer l’évolution de son tempérament d’acteur, nourrie par sa soif perpétuelle d’apprendre. - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Michel Piccoli acteur et réalisateur (1925-2020)
“Artavazd Pelechian” La nature, Les saisons : deux films d'un cineaste légendaireà la Fondation Cartier pour l'art contemporain, Parisdu 24 octobre 2020 au 7 mars 2021Extrait du communiqué de presse :Commissaires de l'exposition : Hervé Chandès et Thomas Delamarre, assistés de Sidney GérardLa Fondation Cartier pour l'art contemporain est heureuse d'annoncer la présentation en première mondiale de La Nature, le nouveau film du légendaire cinéaste Artavazd Pelechian, fruit d'une commande passée en 2005 par la Fondation Cartier et le ZKM Filminstitut (*). Ce film est l'aboutissement de quinze années de travail d'un réalisateur à la filmographie aussi rare que célébrée.L'exposition propose un dialogue inédit entre La Nature (1h02 mn), son premier film depuis 27 ans, et une oeuvre historique du réalisateur, Les Saisons (29 mn), ode au monde paysan (1972-1975). Elle permet de mettre en lumière cet artiste majeur du septième art, encore trop méconnu du grand public, et de rendre justice à une oeuvre lyrique aux accents parfois prophétiques.La Fondation Cartier poursuit ainsi sa collaboration de longue date avec le cinéaste. Depuis près de vingt ans, elle a développé une profonde complicité avec Artavazd Pelechian dont elle a célébré l'oeuvre à de multiples reprises. Ses films ont notamment été présentés à l'occasion des expositions Un Art populaire (2001), Ce qui arrive (2002), Les Habitants, pour le trentième anniversaire de la Fondation Cartier (2014), ainsi que lors d'expositions de la collection de la Fondation Cartier à Buenos Aires (2017), Shanghai (2018) et prochainement à la Triennale de Milan (avril-septembre 2021).Né en Arménie, Artavazd Pelechian a créé l'essentiel de son oeuvre à Moscou entre 1964 et 1993. Pendant près de trente années, au coeur du système soviétique, il réalise neuf films, courts ou moyens métrages à la facture unique, presque exclusivement en noir et blanc, constitués d'images documentaires. Archives ou prises de vues réelles tournées par le cinéaste, ces images sont retravaillées (ralenties, recadrées, inversées) et montées ensemble pour aboutir à de véritables poèmes visuels qui échappent à la distinction classique entre fiction et documentaire. Prenant appui sur des thèmes universels, tels que la naissance, l'exil, ou la vie animale, chacun de ses films témoigne de la croyance d'Artavazd Pelechian en un langage propre au cinéma. Son écriture, qui se passe de toute narration, associe subtilement, et en leur accordant la même importance, l'image et la bande sonore. Ainsi qu'il l'explique en 1992 à Jean-Luc Godard : « Je cherche un montage qui créerait autour de lui un champ magnétique émotionnel. » (**)Cinéma de l'émotion, sans dialogue, sans acteur et sans histoire, son oeuvre emporte le spectateur par son lyrisme envoûtant et pose un regard tranchant, et néanmoins plein d'empathie, sur la condition humaine. Découvert avec saisissement en Occident au début des années 80 par le critique de cinéma Serge Daney d'abord, puis par Jean-Luc Godard, le cinéaste trouve dès lors sa place parmi les grandes figures du cinéma mondial. A propos de cette découverte, Serge Daney écrit alors : « J'ai soudain le sentiment (agréable) de me trouver face à un chaînon manquant de la véritable histoire du cinéma. » (***)Alors que l'on a longtemps cru sa filmographie achevée avec la réalisation du film La Vie en 1993, Artavazd Pelechian revient aujourd'hui avec un nouveau film, sobrement intitulé La Nature, à travers lequel il observe une nouvelle fois la précaire cohabitation des communautés humaines avec leur environnement, un thème central dans son oeuvre. Glanées sur internet, la plupart des images qui constituent ce film sont des témoignages fragiles tournés avec des moyens amateurs au coeur de la nature et de ses secousses, qui régulièrement bouleversent ces communautés. Éruptions volcaniques, tremblements de terre, tsunamis constituent ainsi la trame visuelle du film et sont mis en regard d'images de paysages naturels grandioses. Véritable élégie visuelle, le film dresse le constat sans appel de la supériorité de la nature, force implacable capable de surpasser toute ambition humaine. Le cinéaste semble ainsi nous rappeler que l'espèce humaine ne sortira pas victorieuse du désordre écologique qu'elle a créé.Pour dialoguer avec ce film-événement, la Fondation Cartier propose la redécouverte de l'un des joyaux de la filmographie d'Artavazd Pelechian : Les Saisons, datant de 1975. Il met en scène une communauté de paysans arméniens et témoigne du rapport humble qu'ils entretiennent avec l'environnement naturel au sein duquel ils vivent et travaillent. Au fil des saisons, on observe ces agriculteurs et bergers prendre soin de leurs champs et de leurs troupeaux, et faire littéralement corps avec le paysage. L'approche musicale du montage cinématographique chez Artavazd Pelechian atteint avec ce film des sommets d'intensité. Le lien symbiotique qui semble unir ces paysans à leur environnement offre un contrepoint saisissant aux visions de fin du monde du film La Nature.Ainsi réunies, ces deux oeuvres essentielles engagent un dialogue qui résonne profondément avec les enjeux du présent. Complétée par une salle consacrée à la vie et à l'oeuvre du cinéaste, enrichie d'images et de documents d'archives, l'exposition dresse un portrait unique de ce cinéaste dont la filmographie occupe une place à part dans l'histoire du cinéma.(*) Zentrum für kunst und medien (Centre d'art et de technologie des médias), Karslruhe (Allemagne).(**) « Un langage d'avant Babel », conversation entre Artavazd Pelechian et Jean-Luc Godard, propos recueillis par Jean-Michel Frodon, Le Monde, édition du 2 avril 1992.(***) Serge Daney, Libération, édition du 11 août 1983. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
durée : 00:44:59 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit, Albane Penaranda, Mathilde Wagman - Qu’est-ce que le cinéma quand on est aveugle ? Qu’est-ce que voir un film quand on est privé de la vue ? Que voit le non-voyant au cinéma ? Dans un entretien passionnant avec Serge Daney, Odile Converset décrit avec une grande finesse cette expérience. - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Serge Daney critique de cinéma; Odile Converset Enseignante en musique
durée : 00:44:59 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit, Albane Penaranda, Mathilde Wagman - En 1989, Serge Daney était au Japon pour "Microfilms", il rencontrait à cette occasion Shinsuke Ogawa au Festival du documentaire de Yamagata. - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Serge Daney critique de cinéma
durée : 00:55:00 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit, Christine Goémé, Albane Penaranda - En 1987, dans "Microfilms", Serge Daney recevait Wim Wenders pour son film "Les Ailes du désir" qui avait obtenu le Prix de la mise en scène à Cannes, trois ans après la Palme d'Or de "Paris, Texas". - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Wim Wenders Réalisateur, producteur, scénariste de cinéma et photographe allemand
durée : 00:39:59 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit, Albane Penaranda, Mathilde Wagman - Au micro de Serge Daney pour l'émission "Microfilms", Humbert Balsan racontait sa pratique, à la fois grave et enjouée, de son métier de producteur de cinéma. Sous le titre "Le métier d’un jeune producteur, Humbert Balsan", cette émission a été diffusée la 1ère fois le 25/10/1987. - réalisation : Virginie Mourthé
durée : 00:45:00 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit, Albane Penaranda, Mathilde Wagman - En 1989, Serge Daney recevait le cinéaste Jacques Rivette dans "Microfilms" à l'occasion de la sortie de son film "La Bande des quatre ". Deuxième émission d'une série de deux.En 1990, pour un film de la collection Cinéastes de notre temps, Serge Daney et Jacques Rivette était réunis dans Jacques Rivette : le veilleur le très beau documentaire réalisé par Claire Denis. Un an plus tôt, Daney recevait dans "Microfilms_"_ le réalisateur rouennais à l'occasion de la sortie de La Bande des quatre. * Rivette occupait, comme cinéaste et aussi comme critique, une place particulière dans la cinéphilie de Serge Daney. "Au fil des années, "le travelling de Kapo" fut mon dogme portatif, l'axiome qui ne se discutait pas, le point limite de tout débat - disait Daney à propos du fameux article de Rivette paru dans les Cahiers du cinéma en 1961 - Avec quiconque ne ressentirait pas immédiatement l'abjection du "travelling de Kapo" - poursuivait Daney - je n'aurais, définitivement, rien à voir, rien à partager."Par Serge Daney Réalisation : Pierrette Perrono Microfilms - Jacques Rivette 2/2 Avec Jacques Rivette 1ère diffusion : 12/03/1989 - réalisation : Virginie Mourthé
durée : 00:55:00 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit, Christine Goémé, Albane Penaranda - En 1987, dans "Microfilms", Serge Daney recevait Wim Wenders pour son film "Les Ailes du désir" qui avait obtenu le Prix de la mise en scène à Cannes, trois ans après la Palme d'Or de "Paris, Texas". - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Wim Wenders Réalisateur, producteur, scénariste de cinéma et photographe allemand
durée : 00:47:00 - Les Nuits de France Culture - "Du jour au lendemain"… avec Serge Daney pour le numéro 1 de "Trafic", une émission diffusée la première fois le 4 février 1992 sur France Culture.
durée : 00:30:01 - Les Nuits de France Culture - Par Merryl Moneghetti - Réalisation Christine Robert
Claire Denis, née à Paris le 21 avril 1946,, ou 1948,, selon les sources, est une scénariste et réalisatrice française. Poussée par ces expériences et encouragée par Wim Wenders, Claire Denis écrit et réalise son premier film, Chocolat, en 1988. Claire Denis a aussi réalisé des documentaires, notamment Man No Run sur des musiciens camerounais et Jacques Rivette, le veilleur, un entretien entre Serge Daney et Jacques Rivette, cinéaste avec qui elle a travaillé et avec qui elle est amie. N'oubliez pas de vous abonner !
Este cineasta armenio se hizo conocido fuera de la URSS gracias al crítico Serge Daney y a la hermandad espiritual y formal con Jean-Luc Godard, quienes vieron en él a un autor absolutamente singular: capaz de esculpir en imágenes, y prescindiendo de las palabras, "el movimiento de la materia" de una manera en que conversa con la filosofía, las ciencias y las artes. Autor de pocas películas –y muy breves la mayoría de ellas–, Pelechian es un director de culto con seguidores e imitadores que siguen renovando el cine actual aplicando sus postulados.
No PBX (parceria Expresso / Radar), assinalamos os 80 anos de Philip Glass e abrimos dois livros: o ensaio de Hannah Arendt, "Desobediência Civil" e "O Cinema que faz escrever" de Serge Daney. Pedro Mexia destaca ainda o regresso dos Slowdive
Le son chez Hitchcock Un cri dans un train L’inventivité visuelle d’Alfred Hitchcock est reconnue à juste titre, mais le son a aussi une importance considérable dans son cinéma. A travers des exemples précis, nous explorons cette facette essentielle de son travail sous forme de collage ludique commenté par Yves-Marie Mahé, cinéaste et cinéphile. On (re)découvre donc comment Hitch utilise le cri, de "Frenzy" aux "39 Marches". La chasse d'eau de "Psychose". L'électro avant-gardiste des "Oiseaux". Les bruits du dehors dans "La Corde" et "Fenêtre sur Cour". Serge Daney écrivait d'ailleurs à propos de ce dernier film : "La cour sur laquelle donne la fenêtre est avant tout un bain sonore, saturé, urbain, plein de rumeurs et de promiscuité, d'air chaud et de réverbération inavouable. Et dans ce magma sonore il y a une petite chanson qui fraie son chemin et dont finalement tout dépend. Ecoutez "Fenêtre sur cour" ». Hitchcock'n'roll (1) : le son. A suivre avec "La musique aux trousses" sur les rôles de la musique chez Hitchcock. Enregistrements : septembre 15 - Texte & voix : Yves-Marie Mahé - Montage & réalisation : Charlie Marcelet
Melvil Poupaud lit trois extraits des écrits de Serge Daney : Les Morfalous [00:00], À l'eau ! (Le Continent des hommes-poissons) [08:48] et les dernières pages de Persévérance [14:06].
La pensée de Serge Daney a été utile en son temps et à beaucoup de spectateurs. Vingt ans après sa disparition, il faut dire aussi comment et en quoi cette pensée peut servir aujourd'hui.
Patrice Rollet est membre du comité de rédaction de la revue Trafic depuis sa création, en 1991. Il mène l'édition la plus complète de l'œuvre de Serge Daney sous le titre La Maison cinéma et le monde, aux éditions P.O.L, dont le troisième volume est paru en juin 2012.
Patrice Rollet est membre du comité de rédaction de la revue Trafic depuis sa création, en 1991. Il mène l'édition la plus complète de l'œuvre de Serge Daney sous le titre La Maison cinéma et le monde, aux éditions P.O.L, dont le troisième volume est paru en juin 2012.
La pensée de Serge Daney a été utile en son temps et à beaucoup de spectateurs. Vingt ans après sa disparition, il faut dire aussi comment et en quoi cette pensée peut servir aujourd'hui.
Table ronde animée par Bernard Benoliel avec Stéphane Delorme, Jean-Marc Lalanne, Jean-François Rauger, Axelle Ropert, Olivier Séguret.
Melvil Poupaud lit trois extraits des écrits de Serge Daney : Les Morfalous [00:00], À l'eau ! (Le Continent des hommes-poissons) [08:48] et les dernières pages de Persévérance [14:06].
Table ronde animée par Serge Toubiana avec Hervé Gauville, Jean Hatzfeld, Françoise Huguier, Olivier Séguret.
Table ronde animée par Bernard Benoliel avec Stéphane Delorme, Jean-Marc Lalanne, Jean-François Rauger, Axelle Ropert, Olivier Séguret.
Table ronde animée par Serge Toubiana avec Hervé Gauville, Jean Hatzfeld, Françoise Huguier, Olivier Séguret.
Ambiance et poésie quotidiennes au Sénégal C'est la piqûre du moustique Un moment à Guedjawe, au Sénégal. Une citation de Serge Daney, un poème, un éloge de la mélancolie, l'emploi du temps d'un collégien et une chanson. Avec les voix de Nar Sene, Malik et Birane Diouf. Avec un saxophone et un violoncelle. Avec le temps, la chaleur et le bruit de l'ombre. Enregistrements : avril 03 - Musique : Christophe Monniot, Atsuchi Sakai - Mix : Irvic D'Olivier - Réalisation : Sylvie Gasteau