Salut à tous ! Je suis Clarisse, et vous êtes actuellement sur Fréquence Tournesol. J’ai créé ce podcast avec pour première envie d’être inspirée par des gens du quotidien, qui pouvaient témoigner de leurs expériences de vie, et voir comment ces expériences les avaient construits. Puis en m’intéres…
Cécile Grès est une figure connue du journalisme rugby et elle nous offre une plongée passionnante dans cet univers. Dans cette interview elle nous raconte l'évolution du rugby avec sa professionnalisation, son amour du rugby, mais aussi son parcours dans un contexte de féminisation du journalisme sportif. L'écouter c'est aussi comprendre ce qu'est la culture rugby comme la relation forte entre de petites villes et leur club de rugby, ainsi que la culture de la gagne. On parle aussi des défis de ce sport et en particulier de la lassitude physique des joueurs, et des dangers physiques qu'ils courent. Après cette interview, on comprend toute la valeur du rugby qui permet de renforcer le sentiment d'unité et la cohésion d'une communauté. Contexte : - Cécile Grès est aujourd'hui journaliste sur France Télévisions et présente Stade 2. - Article de Cécile Grès - "Le blues du rugbyman" : https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Le-blues-du-rugbyman/825910 - Article de Cheek - "Le commentateur sportif pourrait-il être une femme?" : https://cheekmagazine.fr/societe/commentateur-sportif-femme/ - Voilà un état des lieux datant de 2018 de la pratique du rugby féminin en France : https://rugbyaufeminin.com/chiffres-cles-rugby-feminin-avenir/ Cette interview a été réalisée en 2018. Focus : - Pro D2 : un jeu plus libre et joli à regarder : 5:23 - Les spécificités et les difficultés du rugby à 7 : 13:26 - Les conséquences de la professionnalisation du rugby : 15:10 - La lassitude physique des joueurs de rugby : 17:41 - Etre sur le terrain et au stade : une addiction : 24:10 - La différence entre la presse sportive écrite et télévisuelle : 28:30 - Qu'est-ce qu'une bonne interview? : 33:22 - Le journalisme sportif s'adresse à un public très divers qui à des attentes différentes : 35:46 - La féminisation du journalisme sportif : 39:18 - Le courage plus valorisé que la victoire en France : 43:51 - Les joueurs de rugby professionnels : la culture de la gagne forcément : 46:08 - Marquer l'histoire : un rêve chez tous les sportifs professionnels : 47:46 - Le sport, une des seules choses qui permet des émotions collectives fortes : 51:50
Rencontrer Joëlle Le Vourc'h, c'est rencontrer une femme qui a été audacieuse tout au long de sa vie professionnelle. Première femme à entrer à l'ESCP en 1968, elle a aussi participé à la création de Deloitte en France, ainsi qu'à la création de la filière apprentissage à l'ESCP. Définitivement entreprenante, elle devient directrice de l'École Supérieure des Affaires de 2009 à 2012 et participe à l'association Wintegreat, créée en 2015 qui vient en aide aux étudiants réfugiés. Je vous laisse écouter les expériences d'une femme qui a été une pionnière. Contexte : - Joëlle Le Vour'ch est toujours professeur à l'ESCP, qui est aujourd'hui devenue ESCP Business School. - Wintegreat est une startup sociale qui a pour mission de redonner vie aux projets professionnels des personnes réfugiées. Wintegreat a développé une solution simple et innovante pour permettre aux grandes écoles et universités de s’engager en ayant un double impact : sur les personnes réfugiées, qui révèlent leur potentiel en reprenant un parcours professionnel à la hauteur de leurs exigences et sur les étudiants, faisant l’expérience de leur citoyenneté. En même temps, c’est un écosystème unique permettant un replacement fiable et crédible de personnes réfugiées pour les entreprises cherchant à diversifier leur recrutement et trouver des talents qu’elles ne trouveront pas ailleurs. - WERO est le premier cabinet de chasseurs de tête spécialisé dans le replacement des personnes réfugiées, pour les entreprises qui cherchent à diversifier leur sourcing, trouver des candidats motivés et engagés, et envoyer un message positif à la société en permettant à nos candidats de révéler leur potentiel ! - Vous pouvez retrouver l'article Le Figaro étudiant sur Joëlle Le Vourc'h ici. Cette interview a été réalisée en 2018. Focus : - Le mélange de culture à la banque mondiale : 11:07 - Une nouvelle expérience : la direction de l'Ecole Supérieure des Affaires Algérienne (ESAA) : 23:29 - Wintegreat : une nouvelle aventure entrepreneuriale : 26:20 - Un éloge des cultures du Sud : 32:56 - 1968 : une année particulière : 35:51 - Non pas le complexe de la bonne élève, mais une réticence à dénigrer les autres : 41:08 - Gérer le sexisme à l'école et dans le milieu professionnel 45:18 - Se mélanger, se confronter à l'altérité même si elle est hostile : 48:50 - Être dans des réseaux mixtes, et pas dans des réseaux de femmes : 51:18 - Des progrès importants ont déjà eu lieu pour faire avancer les droits de femmes : 53:18 - La reconnaissance ne dure pas longtemps : 58:54 - Réussir sa vie : faire ce qu'on a envie de faire en respectant les autres : 1:00:05
Christophe Guillaumot est à la fois policier et romancier, position originale qui lui permet de dresser un portrait plus réaliste de la police, en sortant du cliché du flic de 40 ans, divorcé et un peu alcoolique. Il nous parle aussi de son métier d'écrivain, du processus d'écriture ainsi que du héros principal de ses romans, le Kanak, personnage hors normes. Pour les amateurs de polars, lire les romans de Christophe Guillaumot, c'est l'occasion d'en savoir davantage sur les gardiens de la paix, acteurs principaux souvent oubliés des romans policiers classiques. Contexte : Christophe Guillaumot est toujours policier à Toulouse. Son nouveau roman sorti en janvier, "Que tombe le silence", met de nouveau en scène le Kanak dans une contre-enquête sur l'assassinat d'un baron de la drogue. Cette interview a été réalisée en 2018. Photo de Christophe Guillaumot - © Patrick Gaillardin Références : Voilà les quatre romans sortis par Christophe Guillaumot : - Chasse à l'homme (2008) Série Renato Donatelli, dit le Kanak - Abattez les grands arbres (2015) - La Chance du perdant (2017) - Que tombe le silence (2020) Focus: - Sortir du cliché du flic 40 ans, divorcé et qui boit trop : 12:32 - Le policier au caractère tranché, nécessaire mais pas forcément reconnu : 14:57 - Ce qui est mal raconté dans les séries policières françaises : 27:13 Montrer que tout n'est pas noir dans le quotidien des policier : 34:11
Avec le festival Pint of Science, Elodie veut moderniser la communication et la vulgarisation scientifique auprès du grand public. Elle nous parle de ce projet, Pint of Science dont l'objectif est de réunir dans un contexte décontracté, autour d'une boisson, des scientifiques et le grand public. L'idée est bien sûr de permettre à tous de passer un moment chaleureux de partage autour d'un verre, mais aussi de convaincre les gens que la recherche scientifique est une cause qu'il faut supporter. Elodie évoque aussi son parcours personnel de chercheuse, son travail sur l'épilepsie ainsi que les obstacles qu'elle a rencontrés dans sa vie de scientifique. Contexte : Pint of Sciences en France c'est en 2020, des événements toute l'année ainsi que le festival prévu du 7 au 9 septembre. En 2019, le festival Pint of Science en France c'était : 380 soirées, 53 villes, 600 bénévoles et 14 000 participants. Le site de Pint of Science : https://pintofscience.fr Le site personnel de Elodie Chabrol: https://www.elodiechabrol.com SpaceBus France : vous pouvez retrouver l'interview de Tabatha Sauvaget sur Fréquence Tournesol: https://soundcloud.com/frequencetournesol/tabatha-sauvaget-creatrice-de-spacebus-france Focus : • Un nouvel exercice aussi pour les chercheurs : 21:36 • L'épilepsie : un exemple de vulgarisation : 33:03 • La vocation scientifique l'intérêt pour les neurosciences : 40:13 • La recherche sur le cerveau : un challenge particulier : 43:25 • Mettre de l'humilité dans la vulgarisation scientifique : 46:05 • Ce que partir à l'étranger pour travailler apporte : 48:50 • La recherche scientifique : un travail parfois frustrant : 55:15 • La place des femmes et le sexisme dans la recherche : 57:53 Abonnez vous à Fréquence Tournesol ! Disponible sur Soundcloud et Apple Podcast ! Abonnez vous à la page Facebook de Fréquence Tournesol pour suivre la sortie de nouveaux épisodes!
Quelqu'un de passionné et passionnant. Rencontrer Tabatha Sauvaget c'est se laisser bercer par le son de sa voix et l'écouter raconter sa passion pour l'astronomie, qu'elle a concrétisée en fondant SpaceBus France en 2017. SpaceBus France est un événement itinérant qui va à la rencontre des vacanciers et locaux en France pour leur faire découvrir l'astronomie. Elle nous parle de l'immensité de l'univers, du petit miracle qu'est la Terre et donc l'importance qu'il y a à la préserver, ainsi que l'intérêt d'avoir une culture générale scientifique pour comprendre ces enjeux. Elle partage aussi les difficultés de la recherche scientifique, de la solitude qui va parfois avec, ainsi que de la difficulté à s'affirmer dans un milieu d'hommes souvent plus âgés. Le SpaceBus France parcourt toujours la France tout au long de l'année. Cette interview a été réalisée en 2018. Contexte : Tabatha Sauvaget est aujourd'hui cheffe de projet chez Event Catalyst. Elle a été présidente de SpaceBus France en 2018, et trésorière de SpaceBus France en 2019. Focus : • Favoriser la place des femmes dans les sciences, une des volontés du SpaceBus France : 11:34 • La vulgarisation scientifique est valorisante pour les chercheurs : 20:24 • Est-ce qu'on va se faire écraser par un astéroïde, est-ce que nous terriens sommes en danger? 43:16 • La découverte de la difficulté du travail de chercheur avec la thèse : 52:49 • Son point de vue philosophique sur la petitesse de la planète Terre en tant que thésarde, en tant que scientifique. 1:00:00 • L'humilité face à l'immensité de la terre et la nécessité de protéger de petit miracle : 1:03:39 • Apprendre à s'affirmer dans un milieu d'hommes avec des différences générationnelles : 1:10:06 • Devenir astronaute : un rêve mais aussi un moment contraire à nos instincts d'humains. : 1:18:18 Références : Le site de SpaceBus France : https://spacebusfr.wixsite.com/spacebusfrance. Vous pouvez retrouver les prochaines dates de rencontres avec le SpaceBus France sur leur site. Pint of Science : https://pintofscience.fr Le camion-poubelle de l'espace! • Un premier satellite de test nommé RemoveDEBRIS avait été lancé en 2018 depuis la Station Spatiale Internationale. Ce projet est dirigé par le Surrey Space Center au Royaume-Uni et mené avec d'autres partenaires européens. • Une autre mission dans le giron de l'Agence Spatiale Européenne (ESA) avec la start-up ClearSpace a démarré en décembre 2019.
Quand on rencontre Sara Paubel et Stéphanie Merran, on retrouve ce qui fait l’essence de leur projet, Ce Que Mes Yeux Ont Vu. En effet, cette volonté de créer du lien social, de valoriser les gens, se retrouvent dans la chaleur qu’elles donnent à la discussion. Ces amoureuses de la culture, loin de penser leur passion comme un loisir réservé aux penseurs abstraits, ont bien les pieds sur terre. En permettant la rencontre entre salariés d’entreprise et marginaux de notre société, elles participent non seulement à la cohésion social, mais aussi à la revalorisation des êtres en les rendant actifs dans leur rapport à la culture. Nous parlons ensemble de vraies rencontres, de bienveillance et de culture non comme source d’ennui mais bien comme possibilité de plaisir. Focus - 9’59 : Contre la déshumanisation, la génération de lien social par la culture - 27’19 : Des ateliers culturels qui changent la hiérarchie professionnelle pour un temps - 46’31 : Le regard bienveillant des gens sur notre choix de devenir entrepreneuses - 54’54 : La culture quand on est jeune, c’est jongler entre ennui et fascination Références - Ce Que Mes Yeux Ont Vu : http://www.cequemesyeuxontvu.com - Centre d’hébergement d’urgence Aurore : http://aurore.asso.fr/pole-urgence-sociale-et-hebergement - Projets évoqués : . L’Œil et la Voix - Artothèque sonore : http://www.cequemesyeuxontvu.com/artotheque/ . Café Pop : http://www.cequemesyeuxontvu.com/pour-vos-usagers/cafe-pop/ . Faîtes le Mur – Anamorphose : http://www.cequemesyeuxontvu.com/salaries/faites-le-mur/coloriser-lhorizon/ - Responsib’ALL Day : Journée mondiale chez Pernod-Ricard où les salariés cessent le travail, pour avoir une action responsable autour d’eux. https://www.pernod-ricard.com/fr/medias/articles/responsiball-day-2018/ - La Ruche – Incubateur - Centre National des Arts Plastiques - Grand Palais
Quand on rencontre Sara Paubel et Stéphanie Merran, on retrouve ce qui fait l’essence de leur projet, Ce Que Mes Yeux Ont Vu. En effet, cette volonté de créer du lien social, de valoriser les gens, se retrouvent dans la chaleur qu’elles donnent à la discussion. Ces amoureuses de la culture, loin de penser leur passion comme un loisir réservé aux penseurs abstraits, ont bien les pieds sur terre. En permettant la rencontre entre salariés d’entreprise et marginaux de notre société, elles participent non seulement à la cohésion social, mais aussi à la revalorisation des êtres en les rendant actifs dans leur rapport à la culture. Nous parlons ensemble de vraies rencontres, de bienveillance et de culture non comme source d’ennui mais bien comme possibilité de plaisir. Focus - 9’59 : Contre la déshumanisation, la génération de lien social par la culture - 27’19 : Des ateliers culturels qui changent la hiérarchie professionnelle pour un temps - 46’31 : Le regard bienveillant des gens sur notre choix de devenir entrepreneuses - 54’54 : La culture quand on est jeune, c’est jongler entre ennui et fascination Références - Ce Que Mes Yeux Ont Vu : http://www.cequemesyeuxontvu.com - Centre d’hébergement d’urgence Aurore : http://aurore.asso.fr/pole-urgence-sociale-et-hebergement - Projets évoqués : . L’Œil et la Voix - Artothèque sonore : http://www.cequemesyeuxontvu.com/artotheque/ . Café Pop : http://www.cequemesyeuxontvu.com/pour-vos-usagers/cafe-pop/ . Faîtes le Mur – Anamorphose : http://www.cequemesyeuxontvu.com/salaries/faites-le-mur/coloriser-lhorizon/ - Responsib’ALL Day : Journée mondiale chez Pernod-Ricard où les salariés cessent le travail, pour avoir une action responsable autour d’eux. https://www.pernod-ricard.com/fr/medias/articles/responsiball-day-2018/ - La Ruche – Incubateur - Centre National des Arts Plastiques - Grand Palais
Quand on rencontre Sara Paubel et Stéphanie Merran, on retrouve ce qui fait l’essence de leur projet, Ce Que Mes Yeux Ont Vu. En effet, cette volonté de créer du lien social, de valoriser les gens, se retrouvent dans la chaleur qu’elles donnent à la discussion. Ces amoureuses de la culture, loin de penser leur passion comme un loisir réservé aux penseurs abstraits, ont bien les pieds sur terre. En permettant la rencontre entre salariés d’entreprise et marginaux de notre société, elles participent non seulement à la cohésion social, mais aussi à la revalorisation des êtres en les rendant actifs dans leur rapport à la culture. Nous parlons ensemble de vraies rencontres, de bienveillance et de culture non comme source d’ennui mais bien comme possibilité de plaisir. Focus - 9’59 : Contre la déshumanisation, la génération de lien social par la culture - 27’19 : Des ateliers culturels qui changent la hiérarchie professionnelle pour un temps - 46’31 : Le regard bienveillant des gens sur notre choix de devenir entrepreneuses - 54’54 : La culture quand on est jeune, c’est jongler entre ennui et fascination Références - Ce Que Mes Yeux Ont Vu : http://www.cequemesyeuxontvu.com - Centre d’hébergement d’urgence Aurore : http://aurore.asso.fr/pole-urgence-sociale-et-hebergement - Projets évoqués : . L’Œil et la Voix - Artothèque sonore : http://www.cequemesyeuxontvu.com/artotheque/ . Café Pop : http://www.cequemesyeuxontvu.com/pour-vos-usagers/cafe-pop/ . Faîtes le Mur – Anamorphose : http://www.cequemesyeuxontvu.com/salaries/faites-le-mur/coloriser-lhorizon/ - Responsib’ALL Day : Journée mondiale chez Pernod-Ricard où les salariés cessent le travail, pour avoir une action responsable autour d’eux. https://www.pernod-ricard.com/fr/medias/articles/responsiball-day-2018/ - La Ruche – Incubateur - Centre National des Arts Plastiques - Grand Palais
Quand on rencontre Sara Paubel et Stéphanie Merran, on retrouve ce qui fait l’essence de leur projet, Ce Que Mes Yeux Ont Vu. En effet, cette volonté de créer du lien social, de valoriser les gens, se retrouvent dans la chaleur qu’elles donnent à la discussion. Ces amoureuses de la culture, loin de penser leur passion comme un loisir réservé aux penseurs abstraits, ont bien les pieds sur terre. En permettant la rencontre entre salariés d’entreprise et marginaux de notre société, elles participent non seulement à la cohésion social, mais aussi à la revalorisation des êtres en les rendant actifs dans leur rapport à la culture. Nous parlons ensemble de vraies rencontres, de bienveillance et de culture non comme source d’ennui mais bien comme possibilité de plaisir. Focus - 9’59 : Contre la déshumanisation, la génération de lien social par la culture - 27’19 : Des ateliers culturels qui changent la hiérarchie professionnelle pour un temps - 46’31 : Le regard bienveillant des gens sur notre choix de devenir entrepreneuses - 54’54 : La culture quand on est jeune, c’est jongler entre ennui et fascination Références - Ce Que Mes Yeux Ont Vu : http://www.cequemesyeuxontvu.com - Centre d’hébergement d’urgence Aurore : http://aurore.asso.fr/pole-urgence-sociale-et-hebergement - Projets évoqués : . L’Œil et la Voix - Artothèque sonore : http://www.cequemesyeuxontvu.com/artotheque/ . Café Pop : http://www.cequemesyeuxontvu.com/pour-vos-usagers/cafe-pop/ . Faîtes le Mur – Anamorphose : http://www.cequemesyeuxontvu.com/salaries/faites-le-mur/coloriser-lhorizon/ - Responsib’ALL Day : Journée mondiale chez Pernod-Ricard où les salariés cessent le travail, pour avoir une action responsable autour d’eux. https://www.pernod-ricard.com/fr/medias/articles/responsiball-day-2018/ - La Ruche – Incubateur - Centre National des Arts Plastiques - Grand Palais
Aujourd’hui, je vous présente Arnaud Poissonnier, créateur de Babyloan. Arnaud, c’est un serial entrepreneur, qui a commencé par l’aventure du micro-crédit. Arnaud nous parle du micro-crédit, de son fonctionnement, mais aussi de son impact et de son intérêt pour le développement de certains pays, ainsi que pour de petites affaires en France, où certains micro-entrepreneurs n’ont pas accès au système de crédit bancaire classique. En dehors du micro-crédit, Arnaud créé d’autres projets comme la Societ’all Company, pour conseiller les entrepreneurs sociaux mais aussi Tonbooktoo, plateforme collaborative d’échanges de livres. Mais ce qui caractérise Arnaud, c’est aussi sa manière de parler de ses différentes aventures, avec honnêteté. Honnêteté quand il évoque les difficultés propres au social business : alors qu’il faut généralement 4 à 5 ans pour une start-up pour être rentable, on se rapproche plus de 10 ou 12 ans pour une start-up sociale. Honnêteté quant au taux de réussite du financement participatif, qui n’est que de 30%. Et enfin, honnêteté lorsqu’il évoque les conséquences de la multiplication des aventures entrepreneuriales sur sa vie personnelle. Focus : - Pourquoi le micro-crédit est pertinent : 09’38’’ - Il faut avoir les reins solides pour se lancer dans le social business : 40’14’’ - L’importance d’être transparent dans le business : 45’13’’ Références - Babyloan : https://www.babyloan.org - Tonbookto: https://www.tonbooktoo.com - Societ’All Company : http://www.societallcompany.com - Muhammad Yunus et la Grameen Bank : Né au Bangladesh en 1946, Muhammad Yunus est l’inventeur du microcrédit tel qu’on le connaît aujourd’hui. Ses travaux ont été récompensés en 2006 par le Prix Nobel de la paix. Pour en savoir plus sur lui et sur la Grameen Bank : https://www.babyloan.org/fr/muhammad-yunus# - Microcrédit : Le microcrédit est un crédit de faible montant, avec intérêts, accordé à des micro-entrepreneurs qui n’ont pas accès aux services financiers traditionnels. En savoir plus : https://www.babyloan.org/fr/le-microcredit-un-outil-d-emancipation Autres références évoquées : Kiva, ADIE Association pour le droit à l’initiative économique et Maria Nowak, Ashoka, L’Aide Fatale de Dambisa Moyo, Association pour le Progrès du Management, Simplon, MicroDON
Aujourd’hui, je vous présente Arnaud Poissonnier, créateur de Babyloan. Arnaud, c’est un serial entrepreneur, qui a commencé par l’aventure du micro-crédit. Arnaud nous parle du micro-crédit, de son fonctionnement, mais aussi de son impact et de son intérêt pour le développement de certains pays, ainsi que pour de petites affaires en France, où certains micro-entrepreneurs n’ont pas accès au système de crédit bancaire classique. En dehors du micro-crédit, Arnaud créé d’autres projets comme la Societ’all Company, pour conseiller les entrepreneurs sociaux mais aussi Tonbooktoo, plateforme collaborative d’échanges de livres. Mais ce qui caractérise Arnaud, c’est aussi sa manière de parler de ses différentes aventures, avec honnêteté. Honnêteté quand il évoque les difficultés propres au social business : alors qu’il faut généralement 4 à 5 ans pour une start-up pour être rentable, on se rapproche plus de 10 ou 12 ans pour une start-up sociale. Honnêteté quant au taux de réussite du financement participatif, qui n’est que de 30%. Et enfin, honnêteté lorsqu’il évoque les conséquences de la multiplication des aventures entrepreneuriales sur sa vie personnelle. Focus : - Pourquoi le micro-crédit est pertinent : 09’38’’ - Il faut avoir les reins solides pour se lancer dans le social business : 40’14’’ - L’importance d’être transparent dans le business : 45’13’’ Références - Babyloan : https://www.babyloan.org - Tonbookto: https://www.tonbooktoo.com - Societ’All Company : http://www.societallcompany.com - Muhammad Yunus et la Grameen Bank : Né au Bangladesh en 1946, Muhammad Yunus est l’inventeur du microcrédit tel qu’on le connaît aujourd’hui. Ses travaux ont été récompensés en 2006 par le Prix Nobel de la paix. Pour en savoir plus sur lui et sur la Grameen Bank : https://www.babyloan.org/fr/muhammad-yunus# - Microcrédit : Le microcrédit est un crédit de faible montant, avec intérêts, accordé à des micro-entrepreneurs qui n’ont pas accès aux services financiers traditionnels. En savoir plus : https://www.babyloan.org/fr/le-microcredit-un-outil-d-emancipation Autres références évoquées : Kiva, ADIE Association pour le droit à l’initiative économique et Maria Nowak, Ashoka, L’Aide Fatale de Dambisa Moyo, Association pour le Progrès du Management, Simplon, MicroDON
Aujourd’hui, je vous présente Arnaud Poissonnier, créateur de Babyloan. Arnaud, c’est un serial entrepreneur, qui a commencé par l’aventure du micro-crédit. Arnaud nous parle du micro-crédit, de son fonctionnement, mais aussi de son impact et de son intérêt pour le développement de certains pays, ainsi que pour de petites affaires en France, où certains micro-entrepreneurs n’ont pas accès au système de crédit bancaire classique. En dehors du micro-crédit, Arnaud créé d’autres projets comme la Societ’all Company, pour conseiller les entrepreneurs sociaux mais aussi Tonbooktoo, plateforme collaborative d’échanges de livres. Mais ce qui caractérise Arnaud, c’est aussi sa manière de parler de ses différentes aventures, avec honnêteté. Honnêteté quand il évoque les difficultés propres au social business : alors qu’il faut généralement 4 à 5 ans pour une start-up pour être rentable, on se rapproche plus de 10 ou 12 ans pour une start-up sociale. Honnêteté quant au taux de réussite du financement participatif, qui n’est que de 30%. Et enfin, honnêteté lorsqu’il évoque les conséquences de la multiplication des aventures entrepreneuriales sur sa vie personnelle. Focus : - Pourquoi le micro-crédit est pertinent : 09’38’’ - Il faut avoir les reins solides pour se lancer dans le social business : 40’14’’ - L’importance d’être transparent dans le business : 45’13’’ Références - Babyloan : https://www.babyloan.org - Tonbookto: https://www.tonbooktoo.com - Societ’All Company : http://www.societallcompany.com - Muhammad Yunus et la Grameen Bank : Né au Bangladesh en 1946, Muhammad Yunus est l’inventeur du microcrédit tel qu’on le connaît aujourd’hui. Ses travaux ont été récompensés en 2006 par le Prix Nobel de la paix. Pour en savoir plus sur lui et sur la Grameen Bank : https://www.babyloan.org/fr/muhammad-yunus# - Microcrédit : Le microcrédit est un crédit de faible montant, avec intérêts, accordé à des micro-entrepreneurs qui n’ont pas accès aux services financiers traditionnels. En savoir plus : https://www.babyloan.org/fr/le-microcredit-un-outil-d-emancipation Autres références évoquées : Kiva, ADIE Association pour le droit à l’initiative économique et Maria Nowak, Ashoka, L’Aide Fatale de Dambisa Moyo, Association pour le Progrès du Management, Simplon, MicroDON
Aujourd’hui, je vous présente Arnaud Poissonnier, créateur de Babyloan. Arnaud, c’est un serial entrepreneur, qui a commencé par l’aventure du micro-crédit. Arnaud nous parle du micro-crédit, de son fonctionnement, mais aussi de son impact et de son intérêt pour le développement de certains pays, ainsi que pour de petites affaires en France, où certains micro-entrepreneurs n’ont pas accès au système de crédit bancaire classique. En dehors du micro-crédit, Arnaud créé d’autres projets comme la Societ’all Company, pour conseiller les entrepreneurs sociaux mais aussi Tonbooktoo, plateforme collaborative d’échanges de livres. Mais ce qui caractérise Arnaud, c’est aussi sa manière de parler de ses différentes aventures, avec honnêteté. Honnêteté quand il évoque les difficultés propres au social business : alors qu’il faut généralement 4 à 5 ans pour une start-up pour être rentable, on se rapproche plus de 10 ou 12 ans pour une start-up sociale. Honnêteté quant au taux de réussite du financement participatif, qui n’est que de 30%. Et enfin, honnêteté lorsqu’il évoque les conséquences de la multiplication des aventures entrepreneuriales sur sa vie personnelle. Focus : - Pourquoi le micro-crédit est pertinent : 09’38’’ - Il faut avoir les reins solides pour se lancer dans le social business : 40’14’’ - L’importance d’être transparent dans le business : 45’13’’ Références - Babyloan : https://www.babyloan.org - Tonbookto: https://www.tonbooktoo.com - Societ’All Company : http://www.societallcompany.com - Muhammad Yunus et la Grameen Bank : Né au Bangladesh en 1946, Muhammad Yunus est l’inventeur du microcrédit tel qu’on le connaît aujourd’hui. Ses travaux ont été récompensés en 2006 par le Prix Nobel de la paix. Pour en savoir plus sur lui et sur la Grameen Bank : https://www.babyloan.org/fr/muhammad-yunus# - Microcrédit : Le microcrédit est un crédit de faible montant, avec intérêts, accordé à des micro-entrepreneurs qui n’ont pas accès aux services financiers traditionnels. En savoir plus : https://www.babyloan.org/fr/le-microcredit-un-outil-d-emancipation Autres références évoquées : Kiva, ADIE Association pour le droit à l’initiative économique et Maria Nowak, Ashoka, L’Aide Fatale de Dambisa Moyo, Association pour le Progrès du Management, Simplon, MicroDON
Lucie, c’est l’incarnation du dynamisme. Et Too Good To Go, à l’image de sa créatrice reflète ce dynamisme : Too Good To Go existe depuis presque 2 ans, et a déjà 30 salariés. Lucie nous parle de la croissance de Too Good To Go, de l’importance d’unir ses forces quand on a une bonne idée en commun. Elle évoque aussi sa conviction que l’industrie agro-alimentaire doit changer pour s’adapter à la prise de conscience collective qu’il faut changer nos modes de production, au risque de mourir. Sur une note plus personnelle, elle nous parle de son expérience en Norvège, qui lui a permis bien sûr de connaître une autre culture, mais aussi de comprendre les spécificités de la culture française. Rectifications : - Too Good To Go Norvège a été lancé à deux : Lucie Basch et un associé - En 2018, Too Good To Go est présent dans 60 villes en France, plus de 1 million de personnes on téléchargé l’appication. Plus de 3000 commerçants sont partenaires et plus de 800 000 repas ont été sauvés. Focus : - L’entreprise libérée, une réponse à une croissance très rapide : 7’29’’ - Vivre à l’étranger nous en apprend aussi sur notre culture : 30’19’’ - Une idée n’est rien tant qu’elle ne sort pas de notre tête : 32’21’’ Références: - Site de Too Good To Go : https://toogoodtogo.fr Blog: https://toogoodtogo.fr/blog - PHENIX aide les entreprises à réduire le gaspillage en réveillant le potentiel de leurs déchets. En savoir plus : http://www.wearephenix.com - Make Sense est d’abord communauté créée en 2011 dont le but est de résoudre les défis sociaux et environnementaux de notre époque, notamment en aidant les entrepreneurs sociaux par le partage de leurs connaissances. Make Sense a désormais un incubateur, Sense Cube, qui accompagne les entrepreneurs sociaux. En savoir plus : https://makesense.org - Smart Food Paris : Incubateur créé en 2016 qui aide les start-ups de la foodtech, lancé par la mairie de Paris et soutenu par notamment Carrefour et Danone. - Entreprise libérée: entreprise où les salariés sont libres et responsables d’entreprendre toutes les actions qui sont bonnes pour l’entreprise. L’objectif c’est que les salariés, soient plus heureux dans l’entreprise, plus responsabilisés et plus efficaces. Cela passe souvent par une organisation avec moins de contrôle interne et plus plate. En savoir plus : Liberté & Cie de Isaac Getz et Brian Carney - Quelques chiffres sur le gaspillage alimentaire : Chaque année, ce sont 1,3 milliards de tonnes de nourritures qui sont jetées ou perdues sur l’ensemble du globe : cette masse correspond à 1/3 des aliments que l’on produit sur la planète. En France, on gaspille 10 millions de tonnes chaque année si l’on additionne la production, la distribution, la restauration et les foyers. À la maison et en moyenne, on parvient à gaspiller 29 kg par personne, dont 7kg de produits toujours emballés. 33% du gaspillage alimentaire a lieu lors de l'étape consommation. - Quelques chiffres sur les entrepreneuses : 36% des entrepreneurs sont des femmes. Elles sont souvent à la tête de TPE. Les entreprises ont en moyenne 1,9 salariés. En 2015, 18 % des start-up sont dirigées par une femme, contre 10 % en 2012. Autres références : Produit en vrac, circuit court
Lucie, c’est l’incarnation du dynamisme. Et Too Good To Go, à l’image de sa créatrice reflète ce dynamisme : Too Good To Go existe depuis presque 2 ans, et a déjà 30 salariés. Lucie nous parle de la croissance de Too Good To Go, de l’importance d’unir ses forces quand on a une bonne idée en commun. Elle évoque aussi sa conviction que l’industrie agro-alimentaire doit changer pour s’adapter à la prise de conscience collective qu’il faut changer nos modes de production, au risque de mourir. Sur une note plus personnelle, elle nous parle de son expérience en Norvège, qui lui a permis bien sûr de connaître une autre culture, mais aussi de comprendre les spécificités de la culture française. Rectifications : - Too Good To Go Norvège a été lancé à deux : Lucie Basch et un associé - En 2018, Too Good To Go est présent dans 60 villes en France, plus de 1 million de personnes on téléchargé l’appication. Plus de 3000 commerçants sont partenaires et plus de 800 000 repas ont été sauvés. Focus : - L’entreprise libérée, une réponse à une croissance très rapide : 7’29’’ - Vivre à l’étranger nous en apprend aussi sur notre culture : 30’19’’ - Une idée n’est rien tant qu’elle ne sort pas de notre tête : 32’21’’ Références: - Site de Too Good To Go : https://toogoodtogo.fr Blog: https://toogoodtogo.fr/blog - PHENIX aide les entreprises à réduire le gaspillage en réveillant le potentiel de leurs déchets. En savoir plus : http://www.wearephenix.com - Make Sense est d’abord communauté créée en 2011 dont le but est de résoudre les défis sociaux et environnementaux de notre époque, notamment en aidant les entrepreneurs sociaux par le partage de leurs connaissances. Make Sense a désormais un incubateur, Sense Cube, qui accompagne les entrepreneurs sociaux. En savoir plus : https://makesense.org - Smart Food Paris : Incubateur créé en 2016 qui aide les start-ups de la foodtech, lancé par la mairie de Paris et soutenu par notamment Carrefour et Danone. - Entreprise libérée: entreprise où les salariés sont libres et responsables d’entreprendre toutes les actions qui sont bonnes pour l’entreprise. L’objectif c’est que les salariés, soient plus heureux dans l’entreprise, plus responsabilisés et plus efficaces. Cela passe souvent par une organisation avec moins de contrôle interne et plus plate. En savoir plus : Liberté & Cie de Isaac Getz et Brian Carney - Quelques chiffres sur le gaspillage alimentaire : Chaque année, ce sont 1,3 milliards de tonnes de nourritures qui sont jetées ou perdues sur l’ensemble du globe : cette masse correspond à 1/3 des aliments que l’on produit sur la planète. En France, on gaspille 10 millions de tonnes chaque année si l’on additionne la production, la distribution, la restauration et les foyers. À la maison et en moyenne, on parvient à gaspiller 29 kg par personne, dont 7kg de produits toujours emballés. 33% du gaspillage alimentaire a lieu lors de l'étape consommation. - Quelques chiffres sur les entrepreneuses : 36% des entrepreneurs sont des femmes. Elles sont souvent à la tête de TPE. Les entreprises ont en moyenne 1,9 salariés. En 2015, 18 % des start-up sont dirigées par une femme, contre 10 % en 2012. Autres références : Produit en vrac, circuit court
Lucie, c’est l’incarnation du dynamisme. Et Too Good To Go, à l’image de sa créatrice reflète ce dynamisme : Too Good To Go existe depuis presque 2 ans, et a déjà 30 salariés. Lucie nous parle de la croissance de Too Good To Go, de l’importance d’unir ses forces quand on a une bonne idée en commun. Elle évoque aussi sa conviction que l’industrie agro-alimentaire doit changer pour s’adapter à la prise de conscience collective qu’il faut changer nos modes de production, au risque de mourir. Sur une note plus personnelle, elle nous parle de son expérience en Norvège, qui lui a permis bien sûr de connaître une autre culture, mais aussi de comprendre les spécificités de la culture française. Rectifications : - Too Good To Go Norvège a été lancé à deux : Lucie Basch et un associé - En 2018, Too Good To Go est présent dans 60 villes en France, plus de 1 million de personnes on téléchargé l’appication. Plus de 3000 commerçants sont partenaires et plus de 800 000 repas ont été sauvés. Focus : - L’entreprise libérée, une réponse à une croissance très rapide : 7’29’’ - Vivre à l’étranger nous en apprend aussi sur notre culture : 30’19’’ - Une idée n’est rien tant qu’elle ne sort pas de notre tête : 32’21’’ Références: - Site de Too Good To Go : https://toogoodtogo.fr Blog: https://toogoodtogo.fr/blog - PHENIX aide les entreprises à réduire le gaspillage en réveillant le potentiel de leurs déchets. En savoir plus : http://www.wearephenix.com - Make Sense est d’abord communauté créée en 2011 dont le but est de résoudre les défis sociaux et environnementaux de notre époque, notamment en aidant les entrepreneurs sociaux par le partage de leurs connaissances. Make Sense a désormais un incubateur, Sense Cube, qui accompagne les entrepreneurs sociaux. En savoir plus : https://makesense.org - Smart Food Paris : Incubateur créé en 2016 qui aide les start-ups de la foodtech, lancé par la mairie de Paris et soutenu par notamment Carrefour et Danone. - Entreprise libérée: entreprise où les salariés sont libres et responsables d’entreprendre toutes les actions qui sont bonnes pour l’entreprise. L’objectif c’est que les salariés, soient plus heureux dans l’entreprise, plus responsabilisés et plus efficaces. Cela passe souvent par une organisation avec moins de contrôle interne et plus plate. En savoir plus : Liberté & Cie de Isaac Getz et Brian Carney - Quelques chiffres sur le gaspillage alimentaire : Chaque année, ce sont 1,3 milliards de tonnes de nourritures qui sont jetées ou perdues sur l’ensemble du globe : cette masse correspond à 1/3 des aliments que l’on produit sur la planète. En France, on gaspille 10 millions de tonnes chaque année si l’on additionne la production, la distribution, la restauration et les foyers. À la maison et en moyenne, on parvient à gaspiller 29 kg par personne, dont 7kg de produits toujours emballés. 33% du gaspillage alimentaire a lieu lors de l'étape consommation. - Quelques chiffres sur les entrepreneuses : 36% des entrepreneurs sont des femmes. Elles sont souvent à la tête de TPE. Les entreprises ont en moyenne 1,9 salariés. En 2015, 18 % des start-up sont dirigées par une femme, contre 10 % en 2012. Autres références : Produit en vrac, circuit court
Lucie, c’est l’incarnation du dynamisme. Et Too Good To Go, à l’image de sa créatrice reflète ce dynamisme : Too Good To Go existe depuis presque 2 ans, et a déjà 30 salariés. Lucie nous parle de la croissance de Too Good To Go, de l’importance d’unir ses forces quand on a une bonne idée en commun. Elle évoque aussi sa conviction que l’industrie agro-alimentaire doit changer pour s’adapter à la prise de conscience collective qu’il faut changer nos modes de production, au risque de mourir. Sur une note plus personnelle, elle nous parle de son expérience en Norvège, qui lui a permis bien sûr de connaître une autre culture, mais aussi de comprendre les spécificités de la culture française. Rectifications : - Too Good To Go Norvège a été lancé à deux : Lucie Basch et un associé - En 2018, Too Good To Go est présent dans 60 villes en France, plus de 1 million de personnes on téléchargé l’appication. Plus de 3000 commerçants sont partenaires et plus de 800 000 repas ont été sauvés. Focus : - L’entreprise libérée, une réponse à une croissance très rapide : 7’29’’ - Vivre à l’étranger nous en apprend aussi sur notre culture : 30’19’’ - Une idée n’est rien tant qu’elle ne sort pas de notre tête : 32’21’’ Références: - Site de Too Good To Go : https://toogoodtogo.fr Blog: https://toogoodtogo.fr/blog - PHENIX aide les entreprises à réduire le gaspillage en réveillant le potentiel de leurs déchets. En savoir plus : http://www.wearephenix.com - Make Sense est d’abord communauté créée en 2011 dont le but est de résoudre les défis sociaux et environnementaux de notre époque, notamment en aidant les entrepreneurs sociaux par le partage de leurs connaissances. Make Sense a désormais un incubateur, Sense Cube, qui accompagne les entrepreneurs sociaux. En savoir plus : https://makesense.org - Smart Food Paris : Incubateur créé en 2016 qui aide les start-ups de la foodtech, lancé par la mairie de Paris et soutenu par notamment Carrefour et Danone. - Entreprise libérée: entreprise où les salariés sont libres et responsables d’entreprendre toutes les actions qui sont bonnes pour l’entreprise. L’objectif c’est que les salariés, soient plus responsabilisés, plus efficaces et plus investis dans l'entreprise. Cela passe souvent par une organisation avec moins de contrôle interne et plus plate. En savoir plus : Liberté & Cie de Isaac Getz et Brian Carney - Quelques chiffres sur le gaspillage alimentaire : Chaque année, ce sont 1,3 milliards de tonnes de nourritures qui sont jetées ou perdues sur l’ensemble du globe : cette masse correspond à 1/3 des aliments que l’on produit sur la planète. En France, on gaspille 10 millions de tonnes chaque année si l’on additionne la production, la distribution, la restauration et les foyers. À la maison et en moyenne, on parvient à gaspiller 29 kg par personne, dont 7kg de produits toujours emballés. 33% du gaspillage alimentaire a lieu lors de l'étape consommation. - Quelques chiffres sur les entrepreneuses : 36% des entrepreneurs sont des femmes. Elles sont souvent à la tête de TPE. Les entreprises ont en moyenne 1,9 salariés. En 2015, 18 % des start-up sont dirigées par une femme, contre 10 % en 2012. Autres références : Produit en vrac, circuit court
Je rencontre aujourd’hui Sophie Lawson, créatrice du restaurant solidaire Mam’Ayoka. Quand elle parle de son métier de restauratrice, Sophie parle avec son cœur et ça s’entend. Elle nous raconte son coup de cœur pour ses cuisinières, femmes éloignées de l’emploi, immigrées avec un vrai talent culinaire. Son métissage qui a construit son rapport à l’altérité et son envie d’aller vers l’étranger. Elle nous explique aussi sa quête de sens dans sa vie professionnelle qui l’a mené à créer Mam’Ayoka, son sentiment d’être en train de réaliser l’ Œuvre au sens noble et artisanale du terme. A cause d’un petit problème technique, le qualité du son n’est pas toujours optimale. Je me suis réenregistrée pour reposer certaines questions ce qui donne un patchwork assez sympathique. J’espère que ça ne vous empêchera pas de vous laisser bercer par la voix de Sophie. Références - Site de Mam’Ayoka : https://mamayoka.fr - Reportage télé de Partage Social Club sur Mam’Ayoka : https://www.youtube.com/watch?v=Y7J5iG7SETc - Restaurant « Un Monde Gourmand » : Restaurant solidaire situé à Paris dans le IIème arrondissement fondé par https://www.mondegourmand.com - Conservatoire National des Arts et Métiers (CNAM) : Créé pendant la révolution française, en 1794, le CNAM donne principalement aujourd’hui des cours du soir pour les personnes engagées dans la vie active. Le CNAM a des centres partout en France. - Equoevento : Association à but non lucratif, créée en décembre 2013 à Rome par quatre jeunes professionnels qui, se rendant compte de l’énorme gaspillage alimentaire causé par les événements (Mariages, Diners de Gala, congrès..) ont voulu s’organiser pour y remédier. - Les investisseurs solidaires sont des investisseurs qui mettent au même niveau la rentabilité et la pérennité économiques du projet que l’impact social qui en découle. Exemple : Groupe SOS Pulse (anciennement Comptoir de l’Innovation). - Test du RIASEC : théorie sur les carrières et les choix vocationnels qui s'appuie sur les types psychologiques. Il identifie 6 types de personnalités dans le milieu professionnel. - Responsabilité Sociale de l’Entreprise (RSE) : concept dans lequel les entreprises intègrent les préoccupations sociales, environnementales, et économiques dans leurs activités et dans leurs interactions avec leurs parties prenantes sur une base volontaire. - Développement durable : Notion créée en 1987 avec le rapport Brundtland, qui le définit ainsi : Le développement durable est un développement qui répond aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures de répondre aux leurs. Deux concepts sont inhérents à cette notion : le concept de « besoins », et plus particulièrement des besoins essentiels des plus démunis, à qui il convient d'accorder la plus grande priorité, et l'idée des limitations que l'état de nos techniques et de notre organisation sociale impose sur la capacité de l'environnement à répondre aux besoins actuels et à venir.
Première entreprenEUSE que j’interviewe, je rencontre cette fois Clémence Souquet, fondatrice joyeuse de Freesia, qui crée des « bulles de beauté » pour les personnes âgées, les personnes malades dans les maisons de retraite ou dans les hôpitaux. Elle nous parle de son rapport à la vieillesse, à la maladie, mais aussi à la beauté, et de l’importance d’offrir des soins de qualité aux personnes âgées. Elle nous raconte aussi son parcours d’entrepreneuse, et l’importance pour elle d’avoir une entreprise utile qui a du sens, qui est un sacerdoce pour elle mais qui doit aussi faire sens auprès de ses salariés dans l’organisation. A travers cette interview, on peut entendre la joie et le force de vivre, l’humanité et la ténacité de Clémence. J’espère que l’interview vous plaira autant que ma rencontre avec Clémence. Références - Le site de Freesia : https://www.freesia.fr et le blog sur la silver beauté : https://www.freesia.fr/blog/ - Paris Initiative Entreprise : plate-forme de financement à vocation d’impact social unique à Paris. Elle donne la possibilité d’obtenir un premier financement des banques grâce au levier des prêts à la personne ou à l’entreprise. En savoir plus : https://www.pie.paris/decouvrir-pie/ - Reportage de France 3 sur Freesia : https://www.francetvinfo.fr/sante/senior/emploi-freesia-une-entreprise-au-service-des-personnes-agees_1467501.html - La course La Parisienne : Course à pied de 7km dont le parcours se trouve au milieu de monuments parisiens, et réservée aux femmes. - La Silver Economie : Ensemble des produits et des services destinés aux personnes âgées de plus de 60 ans. - Le Mouves : Mouvement des entrepreneurs sociaux, c’est un réseau d’entrepreneurs sociaux et solidaire. En savoir plus : http://mouves.org
Nouvel épisode et nouvelle découverte ! Découverte d’un entrepreneur autant que d’un sujet que je connaissais seulement de loin : la lutte contre la « diplomïte ». David nous parle ici de la façon dont l’accompagnement à la Validation des Acquis d’Expérience (VAE) permet de changer positivement des vies, par la revalorisation de qu’elle permet, chez les chômeurs et les anciens décrocheurs scolaires. Il nous redonne de l’espoir quand il nous fait comprendre à quel point la VAE peut être un outil important pour lutter contre le chômage et aider chaque salarié dans sa vie professionnelle. Mais il nous raconte aussi l’histoire de son entreprise VAE Les 2 Rives, les changements que le cabinet a vécu : la gestion de la décroissance et de la décroissance selon les aléas économiques, la découverte de l’économie sociale et solidaire, et l’importance pour lui d’avoir un impact social. Références de l’interview - VAE Les 2 Rives : http://les2rives.fr - Le Social Bar : http://www.social-bar.org - La Validation des Acquis de l’Experience, plus facilement appelée VAE est une démarche accessible à toute personne, sans condition d’âge, de nationalité, de statut ou de niveau de formation, qui désire valider son expérience professionnelle en un diplôme ou une certification. En savoir plus : http://les2rives.fr/validation-des-acquis-experience/ - Le bilan de compétences permet d’analyser ses compétences professionnelles et personnelles, ses aptitudes et ses motivations en appui d’un projet d’évolution professionnelle et, le cas échéant, de formation. En savoir plus : http://travail-emploi.gouv.fr/formation-professionnelle/evoluer-professionnellement/article/le-bilan-de-competences - Le rapport de Terra Nova « Libérez la VAE » auquel David a participé : http://tnova.fr/system/contents/files/000/001/516/original/Terra-Nova_Liberer-la-VAE_070218.pdf?1517936605 - Une entreprise sociale et solidaire met autant en avant la pertinence du modèle économique que l’impact social. - Le Mouves : Mouvement des entrepreneurs sociaux, c’est un réseau d’entrepreneurs sociaux et solidaire. En savoir plus : http://mouves.org - Groupe SOS Pulse (anciennement Comptoir de l’Innovation) : GROUPE SOS Pulse (anciennement "Le Comptoir de l’Innovation") est le programme de soutien à la nouvelle économie et à l'entrepreneuriat du GROUPE SOS. Composé d’un réseau international d’incubateurs et d'accélérateurs, il est présent sur tous les continents et s’appuie sur une expérience de plus de 30 ans dans la mise en œuvre d’activités à fort impact social et économiquement pérennes. - Le décrochage scolaire en France, un petit bilan avec cet article : https://www.lesechos.fr/08/12/2017/lesechos.fr/030995919087_decrocheurs-scolaires---la-france-en-net-progres.htm
Deuxième invité de la saison, et premier entrepreneur social, Louis-Xavier Leca ! Une rencontre qui m’a permis de mieux comprendre le secteur de la solidarité. Avec cette interview, on en apprend beaucoup sur le secteur mais aussi sur notre rapport à la pauvreté, à la marginalisation et surtout sur la manière d’agir à notre échelle. Nous avons fait l’interview au milieu de la Place de la République à Paris. La qualité sonore est un peu moins bonne et j’en suis désolée, mais même si on m’entend un peu moins bien, les réponses de Louis-Xavier sont tout à fait audibles ! Né dans un onzième arrondissement de Paris encore populaire, de parents indignés, sensibilisés à la cause des plus démunis, Louis-Xavier Leca grandit près de la Bastille, dans un quartier marqué par la pauvreté. Le bac en poche, il étudie l’économie et se spécialise dans le développement économique et social. Pendant ses années d’études et de stage, il voyage et rencontre la même précarité à Santiago au Chili, et devient bénévole auprès des sans-abris. Il découvre aussi les problématiques de développement économique au Sénégal en travaillant avec l’ONG de micro crédit Planet Finance. Et là, quelque chose marque profondément Louis-Xavier : l’inévitable déséquilibre dans la relation aidant/aidé. Comment aider à la lutte contre la marginalisation sociale, tout en étant dans une relation plus égale avec celui qu’on aide, pour respecter sa dignité et établir une relation de confiance ? Après un certificat en économie sociale et solidaire à HEC, Louis-Xavier part faire ses premières armes entrepreneuriales en tant que bras droit de Charles Edouard Vincent , en lançant avec lui Lulu dans ma Rue : conciergerie solidaire qui propose des services de proximité aux particuliers, grâce à des personnes éloignées de l’emploi. Mais Louis-Xavier lance finalement sa propre association avec Le Carillon en 2014, réseau national de commerçants solidaires en ville, qui propose des services simples aux SDFs : aller aux toilettes, boire un verre d’eau, faire un brin de causette… Dans ce même esprit de lien social et de respect de la dignité des personnes : plusieurs autres projets naissent au sein de La Cloche : Les Clochettes qui organise des activités réunissant SDFs et habitants du quartier, pour par exemple embellir Paris par la végétalisation. Ou encore La Cloche à Biscuits, nouveau chantier de réinsertion qui propose des premières heures de travail pour les personnes fortement éloignées de l’emploi. En un mot : La Cloche permet d’étoffer un peu plus le maillage associatif social : car si on a la chance de ne pas mourir de faim en France, on meurt plus souvent d’isolement ! La Cloche et Le Carillon : Site : https://www.lacloche.org Interview de La Causerie : https://soundcloud.com/user-494321289/la-causerie-x-louis-xavier-leca Pour en savoir un peu plus sur les références évoquées et certains des mots qu'utilise Louis-Xavier, vous pouvez visiter mon site: frequencetournesol.fr
Salut, salut ! Premier épisode de la première série consacrée à des invités qui veulent changer le monde à leur échelle, et qui globalement recherchent du sens dans leurs vies. Des entrepreneurs sociaux et solidaires mais pas que ! Mon premier invité Cyril Bruyelle , créateur du projet « 20 Questions to the World » en est ainsi un exemple : Fils d’un directeur commercial et d’une mère au foyer, le parcours de Cyril est on ne peut plus classique. Il grandit paisiblement à Chantilly puis, bon élève, rentre en classes préparatoires aux écoles de commerce dans le Nord. Il intègre finalement l’ESCP Europe. Après avoir bien profité de la vie étudiante, vient alors le moment de faire des choix décisifs pour le futur. Et patatraaaas ! Les incertitudes sur le futur commencent. Qu’est-ce que j’ai envie de faire plus tard ? Faut-il que je suive la trajectoire classique du diplômé d’école de commerce : finance comme mon frère ? ou conseil en stratégie ? Mais en même temps je veux voir le monde, faire des rencontres. Et ne pas oublier : je veux faire quelque chose qui a du sens. Voilà alors les hésitations de Cyril, si typiques de la génération Y ! Après avoir eu son diplôme, Cyril se lance finalement dans l’aventure entrepreneuriale avec Robin Food, une start-up qui lutte contre le gaspillage alimentaire. Ca n’accroche alors plus avec ses associés. Cyril se tourne vers le conseil en stratégie, mais ça ne colle pas non plus avec sa personnalité. Après une désillusion dans l’industrie musicale, la situation devient enfin claire pour Cyril : quand était-il le plus heureux ? Lorsqu’il a entrepris. Avec l’envie de rencontrer les humains qui peuplent la Terre, de voir le monde de ses propres yeux et de faire quelque chose qui a du sens, Cyril décide finalement de créer « 20 Questions to the World ». Le but est d’interroger le maximum de gens, de classes sociales différentes, de cultures différentes avec une liste de 20 questions. Si vous deviez écrire un livre sur le monde actuel, quel en serait le titre ? Quelle est la plus belle chose que vous ayez jamais vu de votre vie. Voilà quelques-unes de ses questions ! C’est donc dans un esprit d’ouverture aux autres et de bienveillance que Cyril a parcouru le monde avec ses questions et sa caméra. Cyril vient de rentrer de son tour du monde et vient ici discuter avec nous de son parcours. Voilà les références évoquées ainsi que les infos de Cyril ! - Voilà le lien vers son site : https://www.20questionstotheworld.com - Pour en savoir un peu plus sur la polarisation politique, l’effet bulle filtrante qu’a entraîné l’algorithme de recommandation de Facebook: https://www.lejdd.fr/politique/lalgorithme-de-facebook-a-lepreuve-de-la-presidentielle-3446585 - Pour en savoir un peu plus sur la campagne américaine en particulier (article en anglais) : https://mobile.nytimes.com/2016/08/28/magazine/inside-facebooks-totally-insane-unintentionally-gigantic-hyperpartisan-political-media-machine.html - Voilà le lien de la vidéo de Dorjee : https://www.youtube.com/watch?v=RvyMfBhOk-U - On parle à un moment de Sebastião Salgado : voilà un portrait de lui : http://www.telerama.fr/scenes/sebastiao-salgado-dans-mes-photos-j-essaie-de-montrer-que-la-planete-forme-un-tout,102716.php Le film est Le Sel de la Terre de Wim Wenders et Juliano Ribeiro Salgado - Le projet de JR, Face2Face : voilà le lien du site de JR sur le projet : http://www.jr-art.net/fr/projets/face-2-face