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Championne du monde de judo. Championne d'Europe. Championne Olympique. Une carrière hors norme.Et pourtant… elle ne se rend pas toujours compte de tout ce qu'elle a accompli.Née prématurée, elle surprend vite par sa vitalité.À 9 ans, ses parents l'inscrivent au judo.Une enfant turbulente, qui se battait sans cesse avec son frère.Un sport de combat pour canaliser son énergie.Très vite, le tatami devient sa place. Là où elle se sent elle-même. Là où son rêve d'ado prend forme : devenir championne. Elle se fait sa place dans un milieu exigeant. Elle enchaîne les titres, tout en poursuivant ses études jusqu'à HEC.Preuve qu'organisation et discipline sont ses alliées depuis toujours. Puis elle devient maman. Un moment que certains auraient vu comme une pause, voire une fin. Mais pour Clarisse, c'était surtout le bon moment. Celui de construire aussi une vie heureuse, au-delà des médailles.Aujourd'hui, elle jongle entre les podiums, son rôle de gendarme et sa vie de maman. Toujours humble, toujours courageuse, toujours joueuse.Prendre du plaisir, même dans l'échec : c'est ça, sa vraie philosophie. Clarisse, c'est la rigueur d'une sportive de haut niveau, la force tranquille d'une maman, et l'humilité d'une femme qui ne réalise pas qu'elle inspire déjà des milliers de personnes.
De l'achat de son mini 6.50 à l'arrivée de son deuxième Vendée Globe fin janvier 2025, il s'est écoulé... à peine une décennie.Quel parcours que celui de Clarisse Crémer : marqué par des succès sportifs (victoires et podiums sur le circuit Mini, double finisheuse du Vendée Globe) mais aussi des épreuves personnelles et médiatiques qui l'ont profondément transformée. À 35 ans, elle parle avec beaucoup de sincérité de sa vie de navigatrice, de femme et de mère, entre passion de la mer et quête d'équilibre.Ses débuts sont atypiques : issue d'une famille parisienne aisée, passée par HEC, cofondatrice d'une start-up, elle découvre la course au large presque par hasard, dans le sillage de son compagnon Tanguy Le Turquais, avant de s'y engouffrer avec une énergie impressionnante. Mini-Transat, Figaro, puis le Vendée Globe : en dix ans, sa trajectoire fulgurante l'amène au plus haut niveau d'un sport où la légitimité se construit souvent dès l'enfance.Clarisse revient ensuite sur son premier tour du monde en solitaire, bouclé en 2021 à la 12ᵉ place, sous les couleurs de Banque Populaire. Un immense défi, vécu avec des doutes et un sentiment d'imposture, mais aussi comme une révélation intime : la compétition, dit-elle, n'efface jamais sa relation « presque spirituelle » avec la mer. C'est ce mélange de fragilité et de combativité qui la pousse à vouloir repartir, malgré les obstacles.Elle aborde sans détour les épisodes plus sombres, les "affaires" qui la touchent : la rupture avec son ancien sponsor au moment de sa grossesse, les polémiques qui s'ensuivent, puis les accusations de triche un an plus tard, dont elle sera blanchie avec Tanguy Le Turquais. Autant de tempêtes médiatiques qui ont failli la faire renoncer, mais qu'elle décrit comme autant d'occasions d'apprendre à s'affirmer, à dire non et à tracer sa voie.Enfin, elle raconte son second Vendée Globe à bord de L'Occitane, vécu cette fois avec une forme de sérénité. Malgré les avaries et la fatigue, elle savoure le simple fait d'être seule en mer, dans une vie réduite à l'essentiel. À l'arrivée, confie-t-elle, c'est la première fois qu'elle s'est sentie vraiment fière d'elle.Une fierté forgée par l'expérience, les coups encaissés, et le choix assumé de continuer à naviguer, coûte que coûte.Diffusé le 5 septembre 2025Générique : In Closing – Days PastPost-production : Grégoire LevillainHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
François est le major des écrits 2025 : dans cet épisode, il nous partage les méthodes qui lui ont permis de réaliser cette performance, lui qui était un "bon élève, sans plus" au lycée. C'est aussi pendant le tournage de l'épisode que les résultats d'admission HEC sont tombés !
Connaissez-vous notre site ? www.lenouvelespritpublic.frUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 30 juin 2023.Avec cette semaine :Julien Damon, sociologue, enseignant à Sciences Po et à HEC.Lucile Schmid, vice-présidente de La Fabrique écologique et membre du comité de rédaction de la revue Esprit. Lionel Zinsou, ancien Premier ministre du Bénin et président de la fondation Terra Nova.Émission originellement diffusée le 16 juillet 2023.LES COMMODITES URBAINESJulien Damon, vous êtes sociologue, enseignant à Sciences Po et à HEC. Vous venez de publier, aux Presses de SciencesPo, un essai intitulé « Toilettes publiques » où vous réhabilitez dans le débat public, avec science et humour, ces lieux auxquels nous consacrons en moyenne 6 mois de notre vie.Alors que les toilettes publiques se raréfient dans les villes et qu'une partie d'entre elles sont devenus payantes, vous défendez l'idée d'un « droit aux toilettes » qui garantisse à tous l'accès à des commodités gratuites, propres et sécurisées. Cette question est essentielle pour les sans-abris, mais elle concerne plus largement chacun des usagers de la ville, habitué ou de passage, lors ses mobilités quotidiennes. Pour relever ce défi, vous proposez notamment de rémunérer les bars, cafés, restaurants et fast-foods mettant à disposition leurs toilettes gratuitement et de façon indifférenciée, sur le modèle de l'Allemagne ou du Royaume-Uni.Le « droit aux toilettes » suppose par ailleurs de garantir un accès égal aux commodités pour les hommes et pour les femmes, qui y passent en moyenne une minute de plus. Il implique également de considérer l'offre sanitaire de l'ensemble des espaces collectifs, comme les entreprises ou les écoles, alors qu'un sondage de l'IFOP en date d'avril 2022 indique que 55% des employés jugent les toilettes de leurs entreprises sales et que 45% d'entre eux les trouvent trop peu éloignées du reste des locaux.A l'échelle internationale, le sujet est porté par l'ONU qui a fait de l'accès à l'eau et à l'assainissement un droit de l'homme en 2010. Des progrès notables en matière d'installations sanitaires ont été observés depuis 20 ans, tirés notamment par les « plans toilette » de la Chine et de l'Inde. Ainsi, si environ un tiers de l'humanité ne disposait d'aucun assainissement basique en 2015, la proportion est descendue à un humain sur cinq en 2020. Ces investissements sont particulièrement rentables car ils diminuent les frais de santé, limitent les hospitalisations, réduisent le nombre de jours non travaillés, améliorent les capacités des enfants à l'école et la productivité des travailleurs. Mais d'importantes lacunes persistent dans certaines régions et plombent les perspectives de développement économique et social. A titre d'exemple, plus de la moitié des établissements en Afrique subsaharienne ne disposent d'aucune installation sanitaire. Cette carence pénalise particulièrement les filles et compte parmi les raisons de leur sous-scolarisation persistante.Il ne s'agit pourtant pas seulement d'augmenter l'offre de toilettes publiques, mais aussi de repenser son modèle : au XXIème siècle, la croissance mondiale des toilettes doit être « durable ». Le modèle occidental, fondé sur les toilettes à chasses connectés à des réseaux centralisés d'assainissement, est très gourmand en eau. L'ensemble des Français destinent à cet usage l'équivalent de 500.000 piscines olympiques chaque année. De nombreux modèles plus écologiques ont été proposés, le plus souvent décentralisés, fondés sur le recyclage des eaux plutôt que sur leur évacuation. Des urinoirs secs, les « uritrottoirs », ont même été installés à Paris à l'été 2018 ; mais l'expérience s'est rapidement soldée par un échec, qui montre la force des habitudes en la matière et l'ampleur des travaux à accomplir.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Florence est productrice éditoriale de l'émission Les rencontres du papotin sur France 2. Elle a récemment publié un livre aux éditions du Cherche Midi, Des gens comme il faut, que j'ai trouvé passionnant.Dans cet épisode, Florence nous raconte son parcours professionnel, riche mais loin d'être linéaire. Elle nous rappelle l'importance de s'écouter et de se faire confiance pour que le chemin choisi mène à la destination qui nous rendra heureux.Aujourd'hui à l'âge de 48 ans, Florence nous parle de cet équilibre de vie si difficile à trouver mais qui vient peut-être en vieillissant finalement Nous parlons d'éducation, de son expérience à New York où elle a vécu huit ans avec ses trois enfants.On parle de l'influence des frustrations de nos parents sur nos parcours, et sur nos vie, et de comment permettre à nos enfants de trouver leur voixJ'ai adoré, enregistrer cet épisode avec Florence, car j'y ai beaucoup appris et j'ai adoré sa personnalité. J'ai surtout été impressionné par la richesse de son parcours, à la fois professionnel et personnel, qui fait d'elle une femme passionnante et passionnée.Je me tais et vous laisse découvrir ma conversation avec Florence.Musique : Stolen Heart - Henry and the WaiterRetrouvez l'épisode complet Dimanche soir.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Florence est productrice éditoriale de l'émission Les rencontres du papotin sur France 2. Elle a récemment publié un livre aux éditions du Cherche Midi, Des gens comme il faut, que j'ai trouvé passionnant.Dans cet épisode, Florence nous raconte son parcours professionnel, riche mais loin d'être linéaire. Elle nous rappelle l'importance de s'écouter et de se faire confiance pour que le chemin choisi mène à la destination qui nous rendra heureux.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
HEC academics Pauline Asmar, Matteo Winkler, Lisa Baudot and Olivier Sibony share with Breakthroughs the books which sustained or transformed their approach to research. For, as the 19th century Scottish philosopher Thomas Carlyle once said: "What we become depends on what we read after all of the professors have finished with us. The greatest university of all is a collection of books." Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.
Quand j'ai écrit mon livre "100 jours pour révéler votre leadership", il était essentiel pour moi de recueillir le regard de Charles-Henri Besseyre des Horts. Professeur émérite à HEC, expert reconnu du leadership et du management, il a un talent rare : celui de déconstruire les idées reçues et d'aller à l'essentiel.Nous avons enregistré cette conversation lors de la rédaction de mon ouvrage, et j'ai eu envie de la partager avec vous aujourd'hui. Parce que le leadership n'est pas une question de statut ou de charisme, mais de posture. Parce qu'il ne s'oppose pas au management, il l'enrichit. Parce que, dans un monde en perpétuel mouvement, la vraie question n'est pas tant ‘comment être un leader', mais plutôt ‘quel leader ai-je envie d'être ?'Dans cet épisode, on parle d'authenticité, d'impact et de cette capacité à entraîner sans contraindre. Une discussion sans langue de bois, qui, je l'espère, vous donnera des clés puissantes pour penser (et vivre) votre leadership autrement.Bonne écoute ! Lien d'inscription vers la newsletter gratuite : Le cercle des leaders de demain : https://lecercledesleadersdedemain.substack.com/?r=1t1xsv&utm_campaign=pub-share-checklist2 minutes – 7 questions expressPour mieux comprendre vos attentes et vous proposer un podcast encore plus utile.https://tally.so/r/npYXlB
Sommet sur le plastique à Genève, réchauffement de la Méditerranée, canicule... Écoutez l'analyse de François Gemenne, professeur à HEC, président du conseil scientifique de la FNH, auteur principal du 6ᵉ rapport du GIEC.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Fuel Her Awesome: Food Freedom, Body Love, Intuitive Eating & Nutrition Coaching
Welcome to my Summer Throwback Playlist—a handpicked collection of the most downloaded episodes of the podcast. These are listener favorites, packed with insights, laughs, and empowered eating encouragement to keep you fueled all summer long. A quick heads up: since these are throwbacks, you might hear old references to programs or events that are no longer active—but the heart of each episode still hits. You can find all the new resources and ways to connect with me in the show notes. I hope you are having the best summer! Enjoy! Let's dive in and revisit the best of the best!
Dans son dernier livre, l'essayiste, observateur critique et amusé de son époque s'interroge avec pertinence sur le rôle des intellectuels et surtout sur leur lucidité. Il est l'invité de Pierre-Édouard Deldique dans un numéro estival du magazine IDÉES. Samuel Fitoussi est un essayiste français, diplômé de HEC et de l'Université de Cambridge, qui s'est imposé comme une voix singulière dans le paysage intellectuel contemporain. Chroniqueur au Figaro, il s'est fait remarquer par son ton incisif et son goût pour la controverse argumentée. Il est, sans nul doute, un des meilleurs observateurs du monde des idées en France aujourd'hui. Après Woke Fiction (2023), où il dénonçait l'influence de l'idéologie de la diversité dans les œuvres culturelles, il revient en 2025 avec un essai percutant : Pourquoi les intellectuels se trompent (Éditions de l'Observatoire) qui est au cœur de notre conversation cette semaine. Dans ce livre, Samuel Fitoussi explore les raisons pour lesquelles les intellectuels, malgré leur intelligence, adhèrent parfois à des idées absurdes ou nuisibles. Nourri par les pensées de George Orwell, Raymond Aron ou Jean-François Revel, il s'appuie sur des études en psychologie cognitive pour démontrer que l'intelligence ne protège pas de l'erreur — elle peut même y prédisposer. Programmation musicale : Gogo Penguin - Umbra
Dans son dernier livre, l'essayiste, observateur critique et amusé de son époque s'interroge avec pertinence sur le rôle des intellectuels et surtout sur leur lucidité. Il est l'invité de Pierre-Édouard Deldique dans un numéro estival du magazine IDÉES. Samuel Fitoussi est un essayiste français, diplômé de HEC et de l'Université de Cambridge, qui s'est imposé comme une voix singulière dans le paysage intellectuel contemporain. Chroniqueur au Figaro, il s'est fait remarquer par son ton incisif et son goût pour la controverse argumentée. Il est, sans nul doute, un des meilleurs observateurs du monde des idées en France aujourd'hui. Après Woke Fiction (2023), où il dénonçait l'influence de l'idéologie de la diversité dans les œuvres culturelles, il revient en 2025 avec un essai percutant : Pourquoi les intellectuels se trompent (Éditions de l'Observatoire) qui est au cœur de notre conversation cette semaine. Dans ce livre, Samuel Fitoussi explore les raisons pour lesquelles les intellectuels, malgré leur intelligence, adhèrent parfois à des idées absurdes ou nuisibles. Nourri par les pensées de George Orwell, Raymond Aron ou Jean-François Revel, il s'appuie sur des études en psychologie cognitive pour démontrer que l'intelligence ne protège pas de l'erreur — elle peut même y prédisposer. Programmation musicale : Gogo Penguin - Umbra
Joining us today is Dr. Mukhtar Ahmed, the current Chairman of the Higher Education Commission (HEC) Pakistan, with decades of experience leading Pakistan's education reform. Dr. Mukhtar offers an unfiltered view on the gaps in our current system and what needs to change.In this episode, we dive deep into why Pakistan's degrees are becoming irrelevant, how outdated policies are killing innovation, and what steps HEC is taking to fix this broken system. We also explore future plans for AI, local internet infra, EdTech, and what a truly skilled youth could look like by 2050.This episode answers:Why are our degrees not helping us build careers?How does HEC plan to bridge the talent gap?What's the future of higher education in Pakistan?Is EdTech the answer?Stay till the end to understand how Pakistan's education system can evolve and what's holding it back.Don't forget to subscribe and press the bell icon to catch more unfiltered conversations like this!#thoughtbehindthings #muzamilhasan #hecpakistan #pakistanieducation #degrees Socials:TBT's Official Instagram: https://www.instagram.com/thoughtbehindthings/TBT's Official TikTok: https://www.tiktok.com/@tbtbymuzamilTBT's Official Facebook: https://www.facebook.com/thoughtbehindthingsMuzamil's Instagram: https://www.instagram.com/muzamilhasan/Muzamil's LinkedIn: https://www.linkedin.com/in/muzamilhasan/Dr. Mukhtar's LinkedIn: https://www.linkedin.com/in/dr-mukhtar-ahmed-046408247/
durée : 00:13:44 - La Question du jour - par : Astrid de Villaines - Mercredi dernier, un rapport de l'Insee (Institut national de la statistique et des études économiques) a révélé que l'âge moyen de la première maternité en France continue d'augmenter sur l'année 2023. - réalisation : Félicie Faugère - invités : Julien Damon Sociologue, enseignant à Sciences-Po, HEC et l'École nationale supérieure de sécurité sociale
durée : 02:00:03 - Les Matins d'été - par : Astrid de Villaines, Stéphanie Villeneuve, Sarah Masson - . - réalisation : Félicie Faugère - invités : Olivier Mannoni Traducteur, essayiste, directeur de l'École de Traduction Littéraire; Hélène Miard-Delacroix Professeure d'histoire et de civilisation de l'Allemagne contemporaine à Sorbonne Université; Nicolas Lebourg Historien français; Vincent Delerm Auteur, compositeur, interprète; Julien Damon Sociologue, enseignant à Sciences-Po, HEC et l'École nationale supérieure de sécurité sociale
Le consensus scientifique est clair : l'activité humaine a un impact direct sur le climat. En émettant des gaz à effet de serre, l'humanité réchauffe la planète. Nous ressentons tous les effets de ce réchauffement avec la hausse des températures, le bouleversement du cycle des saisons, les inondations qui alternent avec les sécheresses, elles-mêmes à la base d'incendies gigantesques ! La racine de tout cela, ce sont donc les gaz à effet de serre que nous émettons : dioxyde de carbone, méthane, protoxyde d'azote, gaz fluorés… Essentiellement en brûlant du bois, du charbon, du pétrole et du gaz et en coupant les forêts. Alors OUI il faut réduire ces émissions mais comment s'y prendre. Il y a plusieurs stratégies et pour résumer, nous avons besoin de tout le monde ! Mais c'est évidemment bien plus compliqué et si l'effort est immense, il peut être enthousiasmant comme vont vous l'expliquer nos invités : Avec Pierre Gilbert, prospectiviste spécialisé sur les sujets environnementaux et climatiques pour son livre Les nouvelles voies du géomimétisme, paru chez Odile Jacob François Gemmene spécialiste des questions de géopolitique de l'environnement, professeur à HEC, spécialiste de la gouvernance du climat, directeur de l'Observatoire Hugo à l'Université de Liège, enseignant à Sciences-Po et à la Sorbonne Julie Gosalvez présidente de l'AFEN, L'Association Française pour les Émissions Négatives. Musiques diffusées dans l'émission Isaac Gill - Take two stones (or love is not geology) Daara J Family - Cosaan.
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I love referring to the HBO show Succession, it's one of the greatest dramas, I would go as far as to compare it with my all-time favourite, “The Sopranos”.And… it truly is a masterclass in how NOT to handle estate planning. Family feuds, intense legal battles, and being reckless with your assets are great for drama, but you don't want any of that in real life.Estate planning is an(other) area where the advice model is broken; it's a wealth management issue that lawyers typically handle. So, it doesn't receive the holistic approach to wealth, tax, and family-specific considerations it deserves.I spoke with Gene Farrell, the CEO and President of Vanilla, a company that has raised $84 million to build the technology that changes that.This episode is from a new Wealthtech series.LINKSVanilla website: https://www.justvanilla.com/Related Wealthtech episode: Wealth Engineered - Quantifeed
durée : 00:58:22 - Cultures Monde - par : Julie Gacon, Mélanie Chalandon - Les toilettes publiques sont largement sous-investies en Europe et les inégalités d'accès persistent. Si leur usage est intime, les enjeux qu'elles soulèvent, en matière de santé publique, d'égalité de genre, mais aussi de dignité humaine, sont éminemment collectifs. - réalisation : Vivian Lecuivre - invités : Julien Damon Sociologue, enseignant à Sciences-Po, HEC et l'École nationale supérieure de sécurité sociale; Benjamin Moron-Puech Professeur de droit à l'université Lumière Lyon 2 et spécialiste en études juridiques de genre
Ce vendredi 27 juin, les méthodes de remboursement de la dette, qui s'envole, ont été abordées par Augustin Landier, professeur à HEC, Benjamin Coriat, professeur de sciences économiques à Paris 13, et Jean-Marc Daniel, professeur émérite à l'ESCP, dans l'émission Les Experts, présentée par Nicolas Doze sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Ce vendredi 27 juin, la question de la dette américaine et la question de la suprématie du dollar ont été abordées par Augustin Landier, professeur à HEC, Benjamin Coriat, professeur de sciences économiques à Paris 13, et Jean-Marc Daniel, professeur émérite à l'ESCP, dans l'émission Les Experts, présentée par Nicolas Doze sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Ce vendredi 27 juin, Nicolas Doze a reçu Augustin Landier, professeur à HEC, Benjamin Coriat, professeur de sciences économiques à Paris 13, et Jean-Marc Daniel, professeur émérite à l'ESCP, dans l'émission Les Experts sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
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I spoke with Leyla Kunimoto, the writer behind the Accredited Investor Insights Substack, and I finally got what it takes to “democratize private assets”.One approach is to incentivize financial advisors to distribute evergreen funds and enroll them in a 'university' established by one of the dominant firms in the market.Alternatively, you can empower individuals by offering case studies and tools to help them conduct due diligence and select deals to join as Limited Partners (LPs), and it takes a lot of commitment and effort on their side.We mainly used private real estate examples, but we covered a broad range:* The information imbalance in private assets* Who are the retail LPs?* How they can try to achieve some Alpha* The critical advice to get started* How the value of private investing goes beyond returns* Why AI is the biggest unlock for democratization* The power of memes!LINKSAccredited Investor Insights: https://www.accreditedinsight.com/Leyla on LinkedIn: https://www.linkedin.com/in/lkunimoto/
Dans cet épisode, Clarisse nous raconte comment la voile, qui n'était qu'un loisir, est devenue un jour une véritable vocation.Elle nous parle de son enfance, de son éducation, et de cette passion qui, un jour, a pris le dessus sur tout le reste.Clarisse aborde sans détour les défis rencontrés avec les sponsors, la pression médiatique, les accusations,mais elle nous livre aussi les grandes joies et tous les petits instants de grâce si présents dans les grands défis.Merci Clarisse pour ton authenticité, ton regard si lucide et inspirant sur la vie.Et merci de nous prouver que tout est possible, tout en nous rappelant que les grands projets sont souvent semés d'obstacles, mais que ce n'est pas une raison pour ne pas y aller !Musique : Stolen Heart - Henry and the WaiterRetrouvez l'épisode complet Dimanche soir.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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George Aliferis talks to Andrea Carnelli Dompe, the founder of Tamarix Technologies about the intersection of private market investing and AI technology. Andrea, whose background is in quantitative finance and machine learning, discusses the capabilities of his AI agents, which help institutional investors, family offices, and ultra-high net worth individuals optimize their operations using AI agents. These agents streamline data extraction, normalization, and processing, allowing investors to make better decisions with greater efficiency.USEFUL LINKSTamarix: https://tamarix.tech/ Andrea on LinkedIn: https://www.linkedin.com/in/andrea-carnelli-dompe-phd-2668b63b/?originalSubdomain=uk
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In this episode, George Aliferis hosts Ross Milward, CTO and co-founder of Quantifeed, to discuss the transformative impact of digitization and automation in the financial sector. They delve into Ross's career journey from Deutsche Bank to co-founding Quantifeed, and how their platform leverages software engineering and quantitative finance to improve wealth management. They explore technological advancements, the shift towards more automated and customer-centric financial solutions, and the future impacts of AI and the democratization of private assets. This conversation provides a deep dive into the evolving landscape of wealth management and the vital role of technology in facilitating better investment outcomes.LINKSQuantifeed: https://www.quantifeed.com/
C dans l'air du 29 mai 2025 : ZFE, A69, pesticides : l'écologie, c'est fini ?Les députés ont voté mercredi soir la suppression des zones à faibles émissions (ZFE), ces périmètres mis en place pour interdire l'accès aux véhicules les plus polluants dans les centres-villes. Cet amendement, porté par les groupes Les Républicains (LR) et le Rassemblement national (RN), a été soutenu par les insoumis et certains députés macronistes.En ligne de mire : l'impact social des ZFE, accusées de pénaliser les ménages modestes, qui n'ont pas les moyens d'acheter un véhicule moins polluant. Malgré les alertes des défenseurs de la santé publique, le texte a été adopté, au grand dam des partisans du dispositif, qui dénoncent un vote " grave" aux "lourdes conséquences sanitaires" à quelques mois des élections municipales. Ils regrettent également l'absence d'un accompagnement du dispositif pour permettre la transition (aide aux plus modestes, dérogations).Présentes dans une quarantaine d'agglomérations, les ZFE ont été lancées en 2019 pour limiter les émissions de particules fines, responsables de maladies respiratoires et de 40 000 décès par an selon Santé publique France. Mais leur mise en œuvre a varié d'un territoire à l'autre, créant confusion et tensions. Ces derniers mois, les contestations locales s'étaient multipliées.Ce vote ne signifie toutefois pas la fin immédiate des ZFE. Le projet de loi de "simplification", auquel est rattaché cet amendement, doit encore être adopté dans son ensemble. Il passera ensuite en commission mixte paritaire. Le Conseil constitutionnel pourrait également censurer cette mesure, jugée trop éloignée de l'objet initial du texte.Autre dossier brûlant : l'autoroute A69, entre Toulouse et Castres. Mercredi, la cour administrative de Toulouse a autorisé la reprise du chantier, stoppé depuis février. Elle a répondu favorablement à un recours en urgence déposé par l'État, malgré l'absence de "raison impérative d'intérêt public majeur" invoquée par la justice pour suspendre les travaux en février dernier.Le fond du dossier sera examiné lors d'un procès en appel prévu dans plusieurs mois. Mais les opposants craignent que les travaux soient terminés avant. Ils dénoncent un passage en force et prévoient de nouvelles mobilisations, alors qu'un texte controversé, reconnaissant un "intérêt public majeur" au projet, doit être examiné la semaine prochaine à l'Assemblée nationale, après son adoption par le Sénat.La suppression des ZFE et la relance de l'A69 s'inscrivent dans un contexte plus large de remises en cause des politiques environnementales. Ces derniers jours, les parlementaires ont aussi voté des mesures détricotant le principe de "zéro artificialisation nette", qui vise à lutter contre la bétonisation des sols, ou encore décidé de réintroduire un pesticide jusqu'alors interdit.Face à cette dynamique, de nombreuses voix s'élèvent. François Gemenne, professeur à HEC, membre du GIEC et spécialiste des migrations climatiques, alerte depuis plusieurs mois sur la montée d'un "populisme anti-écolo" en France et en Europe. Il déplore une tendance à faire de l'écologie un bouc émissaire et appelle à un changement de ton chez les écologistes eux-mêmes. Selon lui, leur discours moralisateur aurait contribué à braquer une partie de l'opinion publique.LES EXPERTS :- Soazig QUÉMÉNER, rédactrice en chef - La Tribune Dimanche - Nathalie SAINT-CRICQ, éditorialiste politique - France Télévisions - Frédéric DENHEZ, journaliste spécialiste des questions environnementales - Marianne - Caroline BRUNEAU, journaliste Industrie - Aerospatium
C dans l'air du 29 mai 2025 : ZFE, A69, pesticides : l'écologie, c'est fini ?Les députés ont voté mercredi soir la suppression des zones à faibles émissions (ZFE), ces périmètres mis en place pour interdire l'accès aux véhicules les plus polluants dans les centres-villes. Cet amendement, porté par les groupes Les Républicains (LR) et le Rassemblement national (RN), a été soutenu par les insoumis et certains députés macronistes.En ligne de mire : l'impact social des ZFE, accusées de pénaliser les ménages modestes, qui n'ont pas les moyens d'acheter un véhicule moins polluant. Malgré les alertes des défenseurs de la santé publique, le texte a été adopté, au grand dam des partisans du dispositif, qui dénoncent un vote " grave" aux "lourdes conséquences sanitaires" à quelques mois des élections municipales. Ils regrettent également l'absence d'un accompagnement du dispositif pour permettre la transition (aide aux plus modestes, dérogations).Présentes dans une quarantaine d'agglomérations, les ZFE ont été lancées en 2019 pour limiter les émissions de particules fines, responsables de maladies respiratoires et de 40 000 décès par an selon Santé publique France. Mais leur mise en œuvre a varié d'un territoire à l'autre, créant confusion et tensions. Ces derniers mois, les contestations locales s'étaient multipliées.Ce vote ne signifie toutefois pas la fin immédiate des ZFE. Le projet de loi de "simplification", auquel est rattaché cet amendement, doit encore être adopté dans son ensemble. Il passera ensuite en commission mixte paritaire. Le Conseil constitutionnel pourrait également censurer cette mesure, jugée trop éloignée de l'objet initial du texte.Autre dossier brûlant : l'autoroute A69, entre Toulouse et Castres. Mercredi, la cour administrative de Toulouse a autorisé la reprise du chantier, stoppé depuis février. Elle a répondu favorablement à un recours en urgence déposé par l'État, malgré l'absence de "raison impérative d'intérêt public majeur" invoquée par la justice pour suspendre les travaux en février dernier.Le fond du dossier sera examiné lors d'un procès en appel prévu dans plusieurs mois. Mais les opposants craignent que les travaux soient terminés avant. Ils dénoncent un passage en force et prévoient de nouvelles mobilisations, alors qu'un texte controversé, reconnaissant un "intérêt public majeur" au projet, doit être examiné la semaine prochaine à l'Assemblée nationale, après son adoption par le Sénat.La suppression des ZFE et la relance de l'A69 s'inscrivent dans un contexte plus large de remises en cause des politiques environnementales. Ces derniers jours, les parlementaires ont aussi voté des mesures détricotant le principe de "zéro artificialisation nette", qui vise à lutter contre la bétonisation des sols, ou encore décidé de réintroduire un pesticide jusqu'alors interdit.Face à cette dynamique, de nombreuses voix s'élèvent. François Gemenne, professeur à HEC, membre du GIEC et spécialiste des migrations climatiques, alerte depuis plusieurs mois sur la montée d'un "populisme anti-écolo" en France et en Europe. Il déplore une tendance à faire de l'écologie un bouc émissaire et appelle à un changement de ton chez les écologistes eux-mêmes. Selon lui, leur discours moralisateur aurait contribué à braquer une partie de l'opinion publique.LES EXPERTS :- Soazig QUÉMÉNER, rédactrice en chef - La Tribune Dimanche - Nathalie SAINT-CRICQ, éditorialiste politique - France Télévisions - Frédéric DENHEZ, journaliste spécialiste des questions environnementales - Marianne - Caroline BRUNEAU, journaliste Industrie - Aerospatium
InvestOrama - Separate Investment Facts from Financial Fiction
Tom McHugh, the CEO and co-founder of Finbourne, shares how they are transforming financial data management to deliver better outcomes. Tom shares the complexities of managing diverse financial data sources and how Finbourne's technology aims to simplify this landscape. He explains how their unique approach helps firms maintain gross margins, reduce fees, and enhance efficiency without overhauling existing systems. Learn about the core infrastructure of Finbourne, the role of AI and data virtualization, and the significant social impact Finbourne's solutions can bring to both investors and financial services.LINKSFinbourne: https://www.finbourne.com/
Polytechnicien, sur le banc d'HEC entrepreneurs, passé par BCG, Renaud Pestre ne suit pas une trajectoire toute tracée.Il hésite entre la physique quantique et le monde des startups avant de rejoindre PJX10, l'antichambre d'entrepreneurs lancée par Pierre Kosciusko-Morizet, où il affine son instinct business et rencontre son futur associé. Puis, il cofonde Pretto.Tout part d'un constat simple : obtenir un crédit immobilier reste une démarche opaque, longue, et souvent décourageante.En 2017, Renaud Pestre et Pierre Chapon décident de s'attaquer au problème. Leur idée ? Tester la faisabilité d'un accompagnement 100 % en ligne, sans agence, mais avec un vrai courtier en coulisses. Ils lancent une première expérimentation sous le nom Mr. Crédit, avec une landing page, quelques campagnes d'acquisition et un partenaire prêt à traiter les dossiers manuellement. Le prototype est sommaire, mais l'intérêt est immédiat.Confortés par ces premiers signaux, ils lèvent 800 000 € avec le soutien de Pierre Kosciusko-Morizet, recrutent une première équipe tech et développent les fondations de Pretto : un simulateur intelligent, capable d'estimer précisément un budget empruntable, en quelques clics.Aujourd'hui, Pretto c'est :
Chaque jour jusqu'au début des oraux, retrouve une colle de géopo réalisée par la rédaction de Major Prépa ! Idéal pour préparer les oraux de HEC et d'ESCP. Colle n°5 : Les industries culturelles États-Uniennes dans la Guerre Froide 1986. Alors que le chant du cygne soviétique annonce la fin imminente de la Guerre Froide (GF), sort un film qui bouleverse le paysage cinématographique mondial et l'imaginaire collectif : Top Gun. Une superproduction qui, en plus de glorifier la puissance militaire américaine, a agi comme un outil de soft power en démultipliant les inscriptions volontaires dans l'armée américaine. Les industries culturelles peuvent se trouver au centre du jeu géopolitique de la GF. Par industries culturelles, nous entendrons l'ens des industries regroupant les producteurs de contenu culturel, à savoir films, comics, documentaires, émissions radio ou télévisées, monde de l'art. Ces industries ont acquis une importance particulière au cours du XXI siècle, importance que la GF a profondément renforcé. Ce terme de Guerre Froide est forgé par Walter Lippmann qui l'emprunte au grand George Orwell pour désigner la période d'extension des tensions entre EU et URSS dès la fin de la 2GM et en particulier à partir de 1947 jusqu'à 1991. Alors que la « paix semble impossible et la guerre improbable » selon la formule de Raymond Aron, les rivalités se déplacent sur d'autres front. Est-ce assez pour en conclure que les industries culturelles états-uniennes ont été la carte maîtresse de la victoire américaine dans la guerre froide ? Nous verrons que les industries culturelles occupent une place centrale dans la guerre froide qui en fait des facteurs d'influence pour plusieurs raisons. Ainsi les industries culturelles étasuniennes sont au cœur de la guerre froide en tant que facteur de puissance mais aussi reflet des rivalités et des inflexions de la guerre froide. Pourtant les industries culturelles états-uniennes ne sont pas l'élément central de la victoire américaine et ont même pu parfois desservir les États-Unis.
Et si on écoutait ceux que l'on n'entend jamais ?Cette semaine, le podcast PAUSE se met aux couleurs d'@Infinite avec une édition spéciale consacrée à ces étudiants brillants et résilients que l'on soutient : des jeunes issus de milieux modestes, qui n'ont pas les bons réseaux, les bons codes, mais une volonté hors du commun.Premier invité : Ilyan Berradi, passé par Sciences Po et HEC, qui incarne cette jeunesse trop souvent ignorée. Il nous raconte son parcours, ce qu'il doit à celles et ceux qui lui ont tendu la main, les portes qu'on ne lui ouvrait pas et qu'il a dû forcer, comment Infinite a tout changé pour lui. Et surtout : pourquoi il veut réussir non pas pour lui, mais pour redonner et aider à son tour. Combien de talents sont enterrés parce qu'ils viennent de banlieues ?Combien de jeunes brillants baissent les bras parce qu'on ne leur a jamais dit qu'ils en valaient la peine ?Et si on décidait enfin de miser sur celles et ceux qui n'ont pas les bons codes postaux mais les bonnes valeurs ?Un témoignage brut, inspirant, nécessaire et un véritable shot de motivation qui redonne foi en ce que la réussite pourrait et devrait être. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Quel est le quotidien d'un ingénieur français chez Meta à New York ? Jeune ingénieur au parcours international, Tommy Tran partage son expérience dans l'univers ultra-compétitif de la tech américaine, entre réalité augmentée, intelligence artificielle et culture d'entreprise.Passé par Dauphine, Polytechnique et HEC, Tommy a d'abord rejoint Meta à Londres, avant de poser ses valises à New York. Il revient sur son parcours, ses missions chez Meta – de Reality Labs à l'infrastructure IA – et sa brève incursion dans une startup en hypercroissance, Ramp. Il évoque également la vie à New York, la dynamique entre ingénieurs français expatriés, et ce que la culture tech américaine permet qu'on ne trouve pas (encore) en France.-----------
durée : 00:06:40 - Nouvelles têtes - par : Mathilde Serrell - Antonin Bergeaud, spécialiste des systèmes d'innovation, de la productivité, et des effets de l'intelligence artificielle sur le travail, vient de recevoir le prix du Meilleur jeune économiste 2025 ! Il est ce matin l'invité de Mathilde Serrell. - invités : Antonin Bergeaud - Antonin Bergeaud : Professeur d'économie à HEC Paris
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How technology enables new investment strategies, the role of trustees, the impact of ESG considerations, and the role of private markets in pension portfolios. A comprehensive conversation with James Lawrence of Smart Pension about the future of pensions and how smart technologies and innovative investment practices are shaping better outcomes for millions of pensioners.LINKSJames on Linkedin: https://www.linkedin.com/in/jameslawrencecfa/Smart Pension: https://www.smartpension.co.uk/Related episodes on Pensions: https://www.youtube.com/playlist?list=PLbJ1012cgPCAy2NXMIob3W30DXM3rF3OM
Martial You vous présente la nouvelle patronne d'OpenAI, l'entreprise qui commercialise ChatGPT. Ce qui caractérise d'abord Fidji Simo, née en 1985 à Sète, c'est son intelligence... naturelle : Bac à 16 ans, puis HEC, c e qui la conduit en Californie sur les bancs de la prestigieuse université de Los Angeles, UCLA. Et c'est là qu'elle tombe dans la marmite des nouvelles technologies. Un stage chez eBay dans le e-commerce puis une candidature spontanée au siège de Facebook en 2011...Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Martial You vous présente la nouvelle patronne d'OpenAI, l'entreprise qui commercialise ChatGPT. Ce qui caractérise d'abord Fidji Simo, née en 1985 à Sète, c'est son intelligence... naturelle : Bac à 16 ans, puis HEC, c e qui la conduit en Californie sur les bancs de la prestigieuse université de Los Angeles, UCLA. Et c'est là qu'elle tombe dans la marmite des nouvelles technologies. Un stage chez eBay dans le e-commerce puis une candidature spontanée au siège de Facebook en 2011...Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:46:43 - On n'arrête pas l'éco - par : Alexandra Bensaid, Valentin Pérez - Au menu ce samedi : un débat sur la retraite par capitalisation, les portraits des détonants nouveaux ministres allemands, un reportage sur la transidentité en entreprise et un entretien avec Olivier Sibony. Au travail, la diversité est-elle un requis pour le succès ou un simple enjeu moral ? - invités : Olivier Sibony - Olivier Sibony : Professeur Affilié au sein du Département Stratégie d'HEC Paris et Associate Fellow de la Saïd Business School (Université d'Oxford). - réalisé par : Etienne BERTIN, Matthias Volant
"On a tous des traumas, mais il faut apprendre à les gérer."Quand on est passionnée d'art culinaire, on est pas obligé de monter un restaurant.Vidéo disponible iciConversation passionnante avec Jennifer Taïeb, qui a fondé seule son traiteur de luxe La Mesure.Pour Jennifer, le luxe ne se résume pas à l'argent, mais à une quête de perfection et de belles expériences.De sa participation à Top Chef à la création de son propre traiteur haut de gamme - la Mesure - elle m'explique comment elle a bâti sa réputation dans le milieu exigeant du luxe, en solo.Et elle nous révèle sa secret sauce : mettre l'émotion dans une assiette :)On parle aussi de l'équilibre entre sa maternité et son entreprise, ses ambitions futures pour s'attaquer à l'hôtellerie, et l'importance de s'écouter soi-même.Bonne écoute !
DEMAIN je reçois une passionnée d'art culinaire, et entrepreneure.Conversation passionnante avec Jennifer Taïeb, qui a fondé seule, sans aucun employé, son traiteur de luxe La Mesure.Pour Jennifer, le luxe ne se résume pas à l'argent, mais à une quête de perfection et de belles expériences.De sa participation à Top Chef à la création de son propre traiteur haut de gamme - la Mesure - elle m'explique comment elle a bâti sa réputation dans le milieu exigeant du luxe, sans jamais avoir de salarié - en misant sur une équipe freelance talentueuse.La suite demain :)Bonne écoute !
En ce 1er-Mai, journée internationale des droits des travailleurs, focus sur l'essor discret mais puissant de l'intelligence artificielle dans le monde professionnel. Si elle promet des gains de productivité impressionnants, son usage reste encore largement dissimulé dans les entreprises, par crainte des jugements. Décryptage. Selon plusieurs études, l'intelligence artificielle permettrait de réduire de 30 à 40% le temps passé sur certaines tâches précises. En clair, plus de productivité pour les salariés, plus de valeur ajoutée, et, au final, davantage de richesse. D'après des travaux menés par des chercheurs de HEC, et selon Google, l'usage de l'IA générative permettrait d'économiser 122 heures de travail par an, soit plus de trois semaines, notamment sur des tâches administratives ou créatives comme la rédaction d'e-mails ou la création de synthèses.Des gains de productivité, mais dans l'ombreMais cette amélioration ne profite pas toujours pleinement aux entreprises : près de 7 salariés sur 10 qui utilisent l'IA préfèrent ne pas le dire à leur hiérarchie. Ce phénomène, baptisé « shadow adoption » (« adoption cachée», en anglais) s'explique par la peur d'être jugé comme paresseux. Une défiance renforcée par le fait que 73 % des managers sous-estiment l'effort fourni lorsqu'une IA est utilisée et sont parfois incapables de détecter si un travail est réalisé seul ou avec assistance, allant jusqu'à suspecter l'usage d'IA même lorsqu'il n'y en a pas.Vers une reconnaissance positive de l'usage de l'IAFace à cette situation, plusieurs pistes émergent pour changer les mentalités. D'abord, réviser la perception de l'intelligence artificielle : un salarié plus productif grâce à l'IA, c'est aussi un bénéfice pour l'entreprise. Encourager la transparence est également essentiel. Par exemple, un cabinet d'avocats en Angleterre a décidé de récompenser les collaborateurs qui utilisent ouvertement des IA génératives en créant des « prompts » efficaces, leur offrant ainsi des bonus sur salaire.L'idée principale est donc de ne plus considérer l'IA comme un substitut au travail, mais comme un outil au service du collectif. Former les managers à évaluer la qualité du travail plutôt que le temps passé et mettre en place des incitations pourraient permettre d'intégrer durablement l'IA dans les pratiques professionnelles, pour renforcer à la fois productivité et compétitivité.
Nous répondons à vos questions et vos réactions sur les trois premiers mois du second mandat de Donald Trump. Depuis son retour à la Maison Blanche, Donald Trump a multiplié les déclarations fracassantes et les mesures choc. Remise en cause du droit du sol, coupes budgétaires dans la santé, l'éducation et l'aide internationale au développement, projet de transformer la bande de Gaza en «Riviera du Moyen-Orient», velléités expansionnistes au Canada, Groenland, droits de douane... Avec- Romuald Sciora, directeur de l'Observatoire politique et géostratégique des États-Unis de l'Iris. Auteur de l'ouvrage L'Amérique éclatée, plongée au cœur d'une nation en déliquescence (éditions Armand Colin)- Jérémy Ghez, professeur d'Économie et d'Affaires internationales à HEC. Auteur de l'ouvrage États-Unis : déclin improbable, rebond impossible (éditions VA).
Nous répondons à vos questions et vos réactions sur les trois premiers mois du second mandat de Donald Trump. Depuis son retour à la Maison Blanche, Donald Trump a multiplié les déclarations fracassantes et les mesures choc. Remise en cause du droit du sol, coupes budgétaires dans la santé, l'éducation et l'aide internationale au développement, projet de transformer la bande de Gaza en «Riviera du Moyen-Orient», velléités expansionnistes au Canada, Groenland, droits de douane... Avec- Romuald Sciora, directeur de l'Observatoire politique et géostratégique des États-Unis de l'Iris. Auteur de l'ouvrage L'Amérique éclatée, plongée au cœur d'une nation en déliquescence (éditions Armand Colin)- Jérémy Ghez, professeur d'Économie et d'Affaires internationales à HEC. Auteur de l'ouvrage États-Unis : déclin improbable, rebond impossible (éditions VA).
I grew up in one of North America's great snow belts…and started my career in Buffalo NYSo, that background and my fascination with sediment transport primes curiosity in ice transport.I'm sure my ice friends would cringe at this, but I sometimes call ice transport as upside down sediment transport.But despite the symmetry of ice and sediment transport, they are separate, complicated, disciplines with little overlapping expertise.Which is why its remarkable, that this episode's guest is not only is not only world class in both disciplines, but unquestionably the go-to global expert in how they interact.It is fair to say that just about everything I know about how ice effects sediment transport and river morphology, I learned from Dr. Rob EttemaSo I wanted to have Rob on the podcast to talk about the interactions between ice and the other river processes we tend to talk about in this feed. But recognizing that maybe not everyone who listens to this podcast, is initiated into the wild world of fluvial ice dynamics, we start out with some basics of river ice-formation and transport.But then we not only dove into the differences between ice-affected and ice-free rivers, but also how ice affects rivers of different latitudes, depths, and even flow directions.Dr. Rob Ettema retired Colorado State University last year, where he has been a professor since 2015 and continues to work as a research scientist. Before that he taught (and served as Engineering Dean) at the Universities of Iowa and Wyoming.He has edited ASCE's cold regions journal, and won that society's Rouse and Einstein (2015) Awards, which is particularly apt as he has written biographical works on the scientists both of those awards are named after.He is well know for his work on ice and scour; the former we talked about at length and the latter we barely touched. But Dr. Ettema, is also one of those researchers, that has multiple self-contained, bodies of work, which have each influenced me enough, that I would have invited him on the podcast for either topic.So in the second half of the conversation, we explore Dr Ettema's interest in the history of the hydraulic and sediment disciplines, and a genre of literature in which he is second to none: sediment science biography.We talk about lessons from the characters he has written about, including names like Rouse, Einstein, and Radkivi.This will wrap up our Colorado State trilogy.Kind of…we are also releasing some remarkable bonus content with this episode.Jennifer Bountry (Bureau of Reclamation) invited Dr. Ettema and Dr Julien down to the Bureau's technical service center to teach a short course together. She provided the zoom footage.So I edited a little bit and we are releasing the whole short course on the HEC sediment Youtube channel. If you found the last two episodes interesting, we have about 8 hours, of formal technical content for you to dig into.We'll link to the playlist in the episode notes and post the This series was funded by the Regional Sediment Management (RSM) program.Mike Loretto edited the first three seasons and created the theme music.Tessa Hall is editing most of Season 4.Stanford Gibson (HEC Sediment Specialist) hosts.Video shorts and other bonus content are available at the podcast website:https://www.hec.usace.army.mil/confluence/rasdocs/rastraining/latest/the-rsm-river-mechanics-podcast...but most of the supplementary videos are available on the HEC Sediment YouTube channel:https://www.youtube.com/user/stanfordgibsonIf you have guest recommendations or feedback you can reach out to me on LinkedIn or ResearchGate or fill out this recommendation and feedback form: https://forms.gle/wWJLVSEYe7S8Cd248
durée : 00:05:49 - Le Journal de l'éco - par : Anne-Laure Chouin - L'Intelligence artificielle augmente-t-elle vraiment la productivité des entreprises ? C'est le sujet d'une étude menée par une équipe d'enseignants chercheurs de HEC. Et au moment où l'IA s'installe peu à peu dans le monde professionnel, leur conclusion pourrait se résumer à : "Non, pas encore !".
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Redefining Retirement Income: Insights from Chancery Lane's CEODoug Brodie, CEO of Chancery Lane, a firm specializing in retirement income planning, discusses the evolving landscape of pension schemes. Brody critiques the industry's focus on pension pots rather than sustainable income and offers an outcome-driven approach. We also explore the mechanics of investment trusts, a lesser-known instrument that could bypass complex asset allocation challenges for retirees.LINKSDoug Brodie on Linkedin: https://www.linkedin.com/in/doug-brodie-income-investment-plannersChancery Lane: https://www.chancerylane.net/Related episodes on Pensions: https://www.youtube.com/playlist?list=PLbJ1012cgPCAy2NXMIob3W30DXM3rF3OM
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Bill Kelly, CAIA former CAIA CEO, returns to discuss his new venture, Educational Alpha. Bill and George explore the importance of financial education, the perils of democratizing investment products, and the role of long-term thinking in retirement planning. Bill also shares insights into his podcasting journey and highlights the significance of due diligence and critical thinking for investors.My interview by Bill on Educational Alpha: https://podcasts.apple.com/us/podcast/educational-alpha/id1675164756My previous interview with Bill in 2021: https://podcasts.apple.com/gb/podcast/improving-capital-allocation-outcomes-bill-kelly-ceo/id1511595070?i=1000540736905RESOURCESWilliam J. Kelly, CAIA on Linkedin: https://www.linkedin.com/in/william-j-kelly-caia-ab50a947/Educational Alpha: https://educationalalpha.com/CAIA: https://caia.org/
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How to address the pressing challenges facing the pension industry with technology. George Aliferis and Eve Read from Smart Pension explore the technological advancements and practical policy recommendations to improve pension outcomes. From UX, to education, communication, or "micro interventions" tune in to understand how Smart Pension is helping to achieve better retirement outcomes for all.LINKSEve Read on Linkedin: https://www.linkedin.com/in/everead/Smart Pension: https://www.smartpension.co.uk/Related episodes on Pensions: https://www.youtube.com/playlist?list=PLbJ1012cgPCAy2NXMIob3W30DXM3rF3OM
Fuel Her Awesome: Food Freedom, Body Love, Intuitive Eating & Nutrition Coaching