Podcasts about gravures

Pour cette semaine du 25 mars : le Japon menacé par une bactérie mangeuse de chair, la création d'un sanctuaire lunaire, une IA capable de détecter vos émotions, un fruit qui améliorerait les performances sportives et une découverte préhistorique unique au monde. Bonne écoute et bon week-end !

durée : 00:02:45 - Les histoires du monde - par : Anthony BELLANGER - Le parc archéologique de Vingen dans le sud de la Norvège est menacé dans son intégrité par un énorme projet minier et industriel. Deux visions de l'avenir du pays s'affrontent.

durée : 00:02:45 - Les histoires du monde - par : Anthony BELLANGER - Le parc archéologique de Vingen dans le sud de la Norvège est menacé dans son intégrité par un énorme projet minier et industriel. Deux visions de l'avenir du pays s'affrontent.

En Amazonie brésilienne, la sécheresse historique du fleuve rio Negro a permis la découverte de gravures rupestres jusqu'ici ignorées. Le site de Ponta das Lajes se trouve dans une région archéologiquement riche, où les experts ont daté les fouilles de 1 000 à 2 000 ans d'ancienneté. Avec notre envoyée spéciale de retour de Manaus,« Ici, on commence à voir des ateliers de taille de pierre. »L'archéologue Iberê Martins montre du doigt des creux dans la roche. Ils étaient utilisés par les populations pré-colombiennes pour réaliser des outils en pierre taillée : « Cette forme ronde est due au long processus de poliment des pierres, pour faire par exemple des marteaux ».Un peu plus loin, on peut voir des gravures qui représentent des visages humains qui ont parfois un air joyeux ou triste... Certains sont en relief dans la pierre. Mais le site a déjà été vandalisé : « Ici, ils ont surligné le pétroglyphe en creusant à nouveau la pierre. Sauf qu'ils ont aussi ajouté une paire d'oreilles et de cornes… »Un afflux de touristes qui menace le siteDès l'apparition de ces gravures, les habitants de Manaus ont commencé à affluer. En une demi-heure sur le site, quatre barques d'agences touristiques ont débarqué des personnes sur les rochers : « Malheureusement, il y a un flux de curieux qui viennent visiter les lieux. Je dis malheureusement, car nous n'avons pas la structure pour ça ».Le site archéologique se trouve à la rencontre des eaux des fleuves rio Negro et Solimões, un endroit sacré pour les indigènes. Ivan est du peuple Tukano : « Pour nous, c'est un endroit très important qui fait partie de nos origines. Il y a des entités, des êtres qui prennent soin de ce lieu. Ces invasions sont très dangereuses et elles auront des conséquences ».Cette découverte permet d'émettre plusieurs hypothèses, selon l'archéologue Jaime Oliveira de l'Institut du patrimoine historique et artistique national : « La première, c'est qu'il y a un ou deux milliers d'années, ces peuples vivaient aussi des périodes de sécheresse, tout comme nous. On ne peut pas non plus écarter la possibilité que le cours du fleuve rio Negro était plus étroit qu'aujourd'hui ».Selon l'archéologue, la communauté scientifique de la région doit se tenir prête, car de nouvelles gravures seront susceptibles d'apparaître dans les prochaines années avec l'accélération de phénomènes climatiques extrêmes.À lire aussiL'Amazonie brésilienne vit la pire sécheresse de son histoire

En Amazonie brésilienne, la sécheresse historique du fleuve rio Negro a permis la découverte de gravures rupestres jusqu'ici ignorées. Le site de Ponta das Lajes se trouve dans une région archéologiquement riche, où les experts ont daté les fouilles de 1 000 à 2 000 ans d'ancienneté. Avec notre envoyée spéciale de retour de Manaus,« Ici, on commence à voir des ateliers de taille de pierre. »L'archéologue Iberê Martins montre du doigt des creux dans la roche. Ils étaient utilisés par les populations pré-colombiennes pour réaliser des outils en pierre taillée : « Cette forme ronde est due au long processus de poliment des pierres, pour faire par exemple des marteaux ».Un peu plus loin, on peut voir des gravures qui représentent des visages humains qui ont parfois un air joyeux ou triste... Certains sont en relief dans la pierre. Mais le site a déjà été vandalisé : « Ici, ils ont surligné le pétroglyphe en creusant à nouveau la pierre. Sauf qu'ils ont aussi ajouté une paire d'oreilles et de cornes… »Un afflux de touristes qui menace le siteDès l'apparition de ces gravures, les habitants de Manaus ont commencé à affluer. En une demi-heure sur le site, quatre barques d'agences touristiques ont débarqué des personnes sur les rochers : « Malheureusement, il y a un flux de curieux qui viennent visiter les lieux. Je dis malheureusement, car nous n'avons pas la structure pour ça ».Le site archéologique se trouve à la rencontre des eaux des fleuves rio Negro et Solimões, un endroit sacré pour les indigènes. Ivan est du peuple Tukano : « Pour nous, c'est un endroit très important qui fait partie de nos origines. Il y a des entités, des êtres qui prennent soin de ce lieu. Ces invasions sont très dangereuses et elles auront des conséquences ».Cette découverte permet d'émettre plusieurs hypothèses, selon l'archéologue Jaime Oliveira de l'Institut du patrimoine historique et artistique national : « La première, c'est qu'il y a un ou deux milliers d'années, ces peuples vivaient aussi des périodes de sécheresse, tout comme nous. On ne peut pas non plus écarter la possibilité que le cours du fleuve rio Negro était plus étroit qu'aujourd'hui ».Selon l'archéologue, la communauté scientifique de la région doit se tenir prête, car de nouvelles gravures seront susceptibles d'apparaître dans les prochaines années avec l'accélération de phénomènes climatiques extrêmes.À lire aussiL'Amazonie brésilienne vit la pire sécheresse de son histoire

durée : 00:02:55 - Fier de mon 37 France Bleu Touraine - Il y a plus de 57 000 ans dans la grotte de la Roche-Cotard à Langeais chez nous en Touraine, des gravures ont été réalisées sur les parois d'une cavité avec les doigts, par Néandertal

durée : 00:29:57 - Carbone 14, le magazine de l'archéologie - par : Vincent Charpentier - Dans la grotte de la Roche-Cotard (Indre-et-Loire), des gravures pariétales, réalisées avec les doigts par l'Homme de Neandertal, viennent d'être datées de plus de 57 000 ans. - invités : Jean-Claude Marquet Chercheur associé au Laboratoire Archéologie et Territoires (CNRS) de l'Université de Tours.; Jacques Jaubert Préhistorien et archéologue, professeur de préhistoire à l'Université de Bordeaux-I.; Éric Robert Archéologue, préhistorien, spécialiste de l'art rupestre préhistorique, maître de conférences au Muséum national d'histoire naturelle (MNHN).

Depuis la fin du XVe siècle, les grands voyages "d'exploration", notamment celui de Magellan, ouvrent le monde à l'Europe et vont susciter une curiosité sans précédent. L'explosion de la production de littérature géographique au XVIe siècle en témoigne. La collection de Bry – du nom du graveur-éditeur de l'époque – constituera une étape décisive dans la représentation visuelle de l'ailleurs. La fondation Bodmer, à Genève, possède l'intégralité de cette collection exceptionnelle. Laurent Huguenin-Elie reçoit Matthieu Bernhardt, spécialiste de littérature géographique à la Renaissance et chargé d'enseignement à l'Université de Genève. Illustration: détail d'une gravure réalisée en 1592 par Theodor de Bry. A l'arrière-plan, on peut voir les trois bateaux de la flotte de Christophe Colomb. Protestant en exil, de Bry semble dénoncer la "catholisation forcée" des indigènes - représentés nus et vulnérables - par des colons espagnols armés et dominateurs. La croix chrétienne et la lance, tenue par Colomb, annoncent l'appropriation d'un territoire et sa conversion.

Depuis la fin du XVe siècle, les grands voyages "d'exploration", notamment celui de Magellan, ouvrent le monde à l'Europe et vont susciter une curiosité sans précédent. L'explosion de la production de littérature géographique au XVIe siècle en témoigne. La collection de Bry – du nom du graveur-éditeur de l'époque – constituera une étape décisive dans la représentation visuelle de l'ailleurs. La fondation Bodmer, à Genève, possède l'intégralité de cette collection exceptionnelle. Laurent Huguenin-Elie reçoit Matthieu Bernhardt, spécialiste de littérature géographique à la Renaissance et chargé d'enseignement à l'Université de Genève. Dimanche 4 septembre à 20h55 sur RTS Deux, vous pourrez voir le documentaire "L'incroyable périple de Magellan", réalisé par François de Riberolles (France, 2022). Disponible dès aujourd'hui en cliquant sur le lien ci-contre. Illustration:

L'association Les Moyens du Bord de Morlaix a été dans l’obligation d’annuler la 15ème édition de Multiples, son salon de la petite édition d’artiste. Une décision qui a été un coup dur. Mais pour permettre aux artistes de faire découvrir le travail qu’ils devaient exposer, l'association a souhaité lancer un salon virtuel. Gravures, sérigraphies, livres d’artiste… il y en a pour tous les goûts et toutes les bourses. Soutenir les artistes en offrant de l’art à Noël, c’est possible ! On évoque ce salon avec Jessica Ropars, chargée de communication aux Moyens du Bord. Pratique. Rendez-vous jusqu'au 31 décembre sur www.salon-multiples.fr.

L'association Les Moyens du Bord de Morlaix a été dans l’obligation d’annuler la 15ème édition de Multiples, son salon de la petite édition d’artiste. Une décision qui a été un coup dur. Mais pour permettre aux artistes de faire découvrir le travail qu’ils devaient exposer, l'association a souhaité lancer un salon virtuel. Gravures, sérigraphies, livres d’artiste… il y en a pour tous les goûts et toutes les bourses. Soutenir les artistes en offrant de l’art à Noël, c’est possible ! On évoque ce salon avec Jessica Ropars, chargée de communication aux Moyens du Bord. Pratique. Rendez-vous jusqu'au 31 décembre sur www.salon-multiples.fr.

durée : 00:03:11 - Circuit court France Bleu Besançon - Direction Damparis dans le Jura pour découvrir le travail artisanal de Pascal Delagarde, graveur sur bois et sur verre.

Les Britanniques, des eurosceptiques ? Demain, ils sont invités à se prononcer sur le sort du maintien de la Grande-Bretagne dans l'Union Européenne. Mais en fait, pourquoi David Cameron a-t-il organisé ce référendum ? Quels sont les enjeux  à l'échelle britannique et européenne ? Pour en parler, nous recevons Ophélie Siméon, maître de conférence en civilisation britannique à l'Université Sorbonne Nouvelle, ainsi que Jérôme Quéré, président des Jeunes Européens.Faut-il parler de reconquête de la souveraineté ou d'isolement au sein de l'Union Européenne ? En tout cas, les difficultés autour de questions économiques ou encore les problématiques migratoires ont conduit à la question du Brexit. Néanmoins, le sort de la Grande-Bretagne n'est pas encore sellé et sera déterminé par le résultat du référendum du 23 juin. L'assassinat de la député Jo Cox pourra aussi décider les indécis. Brexit or not brexit, la Grande-Bretagne restera soumise aux lois du marché unique. L'impact sur les autres États membres est encore incertain.Il n'y a pas de majorité claire, les opinions sont divisées. Il faudra surement attendre le lendemain du référendum pour connaître le sort de la Grande-Bretagne. En seconde partie, on reçoit Milena Charbi, commissaire de l'exposition "Iles de la Seine" au Pavillon de l'Arsenal, qui nous dévoilera quelques unes des histoires qui entourent les îles de la Seine. Gravures, dessins ou encore photos nous font découvrir les différentes îles, à travers les temps, du Moyen-Âge en passant par l'Ancien Régime, jusqu'à aujourd'hui. L'île Corbières, située au Pecq, a été classée monument naturel, c'est un petit joyau qui permet de rêver au mythe de Robinson CrusoéCôté chroniques, Léa nous parle de la manifestation du 23 juin, interdite puis finalement autorisée dans un petit périmètre, et Maureen revient avec sa chronique télé, dans laquelle elle décortiquera le clip No me miras mas de Kenji Girac.Présentation : Victor Audubert / Réalisation : Remy Dussart / Co-interviews : Dania Kaddur et Farah Zaoui  / Chronique : Léa Capuano et Maureen Lepers / Coordination : Elsa Landard et Camille Regache / Web : Léa Capuano

Les Britanniques, des eurosceptiques ? Demain, ils sont invités à se prononcer sur le sort du maintien de la Grande-Bretagne dans l'Union Européenne. Mais en fait, pourquoi David Cameron a-t-il organisé ce référendum ? Quels sont les enjeux  à l'échelle britannique et européenne ? Pour en parler, nous recevons Ophélie Siméon, maître de conférence en civilisation britannique à l'Université Sorbonne Nouvelle, ainsi que Jérôme Quéré, président des Jeunes Européens. Faut-il parler de reconquête de la souveraineté ou d'isolement au sein de l'Union Européenne ? En tout cas, les difficultés autour de questions économiques ou encore les problématiques migratoires ont conduit à la question du Brexit. Néanmoins, le sort de la Grande-Bretagne n'est pas encore sellé et sera déterminé par le résultat du référendum du 23 juin. L'assassinat de la député Jo Cox pourra aussi décider les indécis. Brexit or not brexit, la Grande-Bretagne restera soumise aux lois du marché unique. L'impact sur les autres États membres est encore incertain. Il n'y a pas de majorité claire, les opinions sont divisées. Il faudra surement attendre le lendemain du référendum pour connaître le sort de la Grande-Bretagne. En seconde partie, on reçoit Milena Charbi, commissaire de l'exposition "Iles de la Seine" au Pavillon de l'Arsenal, qui nous dévoilera quelques unes des histoires qui entourent les îles de la Seine. Gravures, dessins ou encore photos nous font découvrir les différentes îles, à travers les temps, du Moyen-Âge en passant par l'Ancien Régime, jusqu'à aujourd'hui. L'île Corbières, située au Pecq, a été classée monument naturel, c'est un petit joyau qui permet de rêver au mythe de Robinson Crusoé Côté chroniques, Léa nous parle de la manifestation du 23 juin, interdite puis finalement autorisée dans un petit périmètre, et Maureen revient avec sa chronique télé, dans laquelle elle décortiquera le clip No me miras mas de Kenji Girac. Présentation : Victor Audubert / Réalisation : Remy Dussart / Co-interviews : Dania Kaddur et Farah Zaoui  / Chronique : Léa Capuano et Maureen Lepers / Coordination : Elsa Landard & Camille Regache / Web : Léa Capuano

Titre : De la terre à la lune, trajet direct en 97 heures 20 minutes, par Jules Verne... Dessins... par de Montaut. [Gravures par Pannemaker.] Auteur : Verne, Jules (1828-1905) Éditeur : J. Hetzel (Paris) Date d'édition : 1868 Format : Gr. in-8° , 171 p., fig., carte, fig. au titre, couv. ill. Source : Bibliothèque nationale de France, département Réserve des livres rares, RES M-Y2-994

Titre : De la terre à la lune, trajet direct en 97 heures 20 minutes, par Jules Verne... Dessins... par de Montaut. [Gravures par Pannemaker.] Auteur : Verne, Jules (1828-1905) Éditeur : J. Hetzel (Paris) Date d'édition : 1868 Format : Gr. in-8° , 171 p., fig., carte, fig. au titre, couv. ill. Source : Bibliothèque nationale de France, département Réserve des livres rares, RES M-Y2-994

Titre : A rebours / J.-K. Huysmans ; 220 gravures sur bois en coul. de Auguste Lepère Auteur : Huysmans, Joris-Karl (1848-1907) Éditeur : pour les cent bibliophiles (Paris) Date d'édition : 1903 Contributeur : Lepère, Auguste (1849-1918). Graveur Format : 1 vol. (XVIII-219 p.) : ill. ; in-8 Source : Bibliothèque nationale de France, département Réserve des livres rares, RES M-Y2-64

Durant sa période d'enseignement au Bauhaus, Paul Klee s'est beaucoup penché sur la question du mouvement en milieu statique lié à la gravité d'une part, et en milieu dynamique d'autre part. Les possibilités de déplacement des oiseaux et des poissons ainsi que leurs éléments, l'air et l'eau, l'intéressaient particulièrement. Klee qualifiait l'eau de royaume intermédiaire, d'intermonde où les lois de la pesanteur n'ont plus cours et où une nouvelle liberté de mouvement devient possible. Dans l'oeuvre de Klee, nous trouvons une soixantaine de travaux ayant le »poisson« pour sujet, et environ autant dont le titre contient le terme »eau«.

L'oeuvre » Zwei Männer, einander in höherer Stellung vermutend, begegnen sich«, 1903 [Deux hommes se rencontrent, pensant chacun que l'autre lui est supérieur] fait partie de la série des »Inventionen« [Inventions], onze eaux-fortes exécutées entre 1903 et 1905, qui, par leur technique minutieuse et le travail du détail pour restituer le relief, rappellent les gravures des maîtres anciens. Dans son journal, Paul Klee désigne les »Inventionen« sous le terme d'»Opus I«, donc comme les premiers exemples valables d'une création bien à lui. Inspiré par des modèles tels que Francisco de Goya et Honoré Daumier, l'artiste étudie dans les »Inventionen« l'homme dominé par ses pulsions, et leur déformation par la morale sexuelle bourgeoise. D?autres feuillets, comme »Zwei Männer, einander in höherer Stellung vermutend, begegnen sich«, 1903, [Deux hommes, se croyant l'un l'autre en position supérieure, se rencontrent] relèvent de la critique sociale et politique.