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C'est une première réalisée par le paléontologue Antoine Balzeau : recréer en 3D le cerveau de Neandertal et de Cro-Magnon. Le projet Paléo-brain ou comment se mettre dans la tête de nos ancêtres pour mieux comprendre ce qui se passe dans la nôtre ? (Rediffusion du 11/02/2025) Mettons-nous dans la tête de nos ancêtres préhistoriques, pour mieux comprendre ce qui se passe dans la nôtre ! Sauf qu'il y a un sacré problème : le cerveau ne se fossilise pas. Comment à partir du crâne de Néandertal Cro-Magnon ou Homo Erectus, reconstituer le contenu c'est-à-dire le cerveau de nos ancêtres ? Un défi de taille, relevé par notre invité le paléontologue Antoine Balzeau. Avec Antoine Balzeau, chargé de recherche au CNRS et chercheur au Muséum national d'Histoire naturelle. Il consacre ses travaux à l'étude des transformations morphologiques des premiers hommes, en s'intéressant surtout à l'évolution du crâne et du cerveau. Son ouvrage Dans la tête de nos ancêtres vient de paraître aux Éditions Belin. Reportage de Raphaëlle Pluskwa sur la pièce Néandertal au Théâtre du Rond-Point. Musiques diffusées - Serge Reggiani - L'homme fossile - Thomas Fersen, Trio SR9 – Blasé [Playlist RFI].
C'est une première réalisée par le paléontologue Antoine Balzeau : recréer en 3D le cerveau de Neandertal et de Cro-Magnon. Le projet Paléo-brain ou comment se mettre dans la tête de nos ancêtres pour mieux comprendre ce qui se passe dans la nôtre ? (Rediffusion du 11/02/2025) Mettons-nous dans la tête de nos ancêtres préhistoriques, pour mieux comprendre ce qui se passe dans la nôtre ! Sauf qu'il y a un sacré problème : le cerveau ne se fossilise pas. Comment à partir du crâne de Néandertal Cro-Magnon ou Homo Erectus, reconstituer le contenu c'est-à-dire le cerveau de nos ancêtres ? Un défi de taille, relevé par notre invité le paléontologue Antoine Balzeau. Avec Antoine Balzeau, chargé de recherche au CNRS et chercheur au Muséum national d'Histoire naturelle. Il consacre ses travaux à l'étude des transformations morphologiques des premiers hommes, en s'intéressant surtout à l'évolution du crâne et du cerveau. Son ouvrage Dans la tête de nos ancêtres vient de paraître aux Éditions Belin. Reportage de Raphaëlle Pluskwa sur la pièce Néandertal au Théâtre du Rond-Point. Musiques diffusées - Serge Reggiani - L'homme fossile - Thomas Fersen, Trio SR9 – Blasé [Playlist RFI].
durée : 00:01:19 - Les 80'' - par : Nicolas Demorand - Comment ne pas être en empathie avec Julian Alaphilippe ? Il sprinte, passe la ligne, il lève les bras... Le coureur français vient de remporter la 15e étape du Tour de France ! Sauf que pas du tout : il est troisième... Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Je clôture la saison 1 pour prendre le temps d'améliorer le podcast et préparer comme il se doit la prochaine saison.Il me reste encore des enregistrements datant de l'année dernière. Sauf refus des invité(e)s, leur diffusion se fera dans la saison 2.Une saison qui se termine, marquée par beaucoup de travail, de fatigue et d'imprévus.J'avais un plan… mais tout ne s'est pas passé comme prévu.Merci à toi, qui es toujours là, et qui continues à nous soutenir à travers tes écoutes, partages et messages d'encouragement.
Plusieurs titres du continent s'interrogent, après une prise de parole remarquée du Premier ministre Ousmane Sonko durant le conseil national du Pastef, le parti des deux hommes. Dans cette déclaration, rapporte L'Observateur Paalga, « il accuse le chef de l'État de ne pas avoir suffisamment d'autorité et de ne pas le protéger, lui », face aux critiques dont il a été la cible. Le Premier ministre, poursuit le journal, « appelle donc [le président] à prendre ses responsabilités et à le laisser gouverner. » C'est la première fois, note le Pays, que l'un des deux membres de ce tandem « bris[e] le pacte tacite de retenue » qui les liait, « en exposant publiquement ses frustrations face à ce qu'il considère comme une passivité présidentielle. » À tout le moins, il y a donc « de l'eau dans le gaz », renchérit L'Observateur Paalga, qui se demande « si l'explosion aura lieu » mais constate surtout « que les deux têtes de l'exécutif ne sont pas sur la même longueur d'onde sur bien des sujets. » À lire aussiSénégal: Ousmane Sonko s'en prend à Bassirou Diomaye Faye dans un discours Des différends sur le fond plutôt que sur la forme C'est en tout cas l'analyse de SenePlus, qui fonde son raisonnement sur les propos, il y a quelques mois, du poète Amadou Lamine Sall : selon lui, puisque « Senghor avait dit que pour être président au Sénégal, il faut être un saint ou un héros. » Sous ce prisme, Diomaye Faye serait le saint et Sonko, « le rebelle, l'orage et l'ouragan », et donc « le héros. » Un chef de gouvernement « volcanique », véritable « tribun », abonde le Pays, face à un chef d'État qui serait « l'incarnation d'une alternance apaisée. » Sauf que, tout calme qu'il soit, Bassirou Diomaye Faye « est loin d'être une caisse de résonance des désirs de son Premier ministre », pointe SenePlus, et c'est peut-être bien ce qui agace Ousmane Sonko : il est le patron du PASTEF, et pourtant ; « il n'est pas le maître du jeu dans le gouvernement », estime le journal sénégalais. L'Observateur Paalga va un cran plus loin : « pour un peu, on croirait que Sonko n'a toujours pas digéré le fait d'avoir cédé sa place à Diomaye Faye », option à laquelle il s'est résolu après ses déboires judiciaires. Depuis, c'est comme si, juge le journal, « il trainait cela comme une blessure narcissique dont il n'arrive pas à guérir. » Dans ces conditions, difficile d'imaginer jusqu'où ira ce duo, d'autant que, rappelle enfin le journal burkinabè, « le fauteuil présidentiel n'est pas un banc où tout le monde peut s'asseoir », et « il est toujours plus facile de prendre le pouvoir à deux que de gouverner » de cette manière. À lire aussi[Vos réactions] Sénégal : des tensions au sommet de l'État ? Le Tigré éthiopien à la Une de la presse également La guerre entre les rebelles de cette région du nord du pays et le gouvernement central s'est achevée il y a près de trois ans, mais le Tigré en porte encore les cicatrices. Prêtes à se rouvrir, à en croire Afrique XXI : sur le papier, le conflit est fini ; sur le terrain pourtant, relate un ancien membre des TPLF, « il y a des soldats partout, même si on ne les voit pas. » Et pour cause, précise le journal : « les forces amharas n'ont pas quitté l'ouest de la région, tandis que l'armée érythréenne a élu domicile dans le nord-est, » et c'est sans compter, donc, les soldats tigréens. Un climat qui empêche la population de prendre le chemin du retour : « plus de 1 million de déplacés et des dizaines de milliers de réfugiés n'ont toujours pas pu rentrer chez eux. » De nombreuses femmes parmi ces déplacés Le Monde Afrique s'intéresse ainsi aux 120.000 femmes victimes de viol pendant le conflit, « soit une femme tigréenne sur dix. » Ces violences ont eu lieu, parfois, raconte la fondatrice d'un centre d'aide, « dans des églises, avec l'assentiment du prêtre », de sorte que les victimes « sont persuadées que leur viol a été commis selon la volonté de Dieu. » Parfois, aussi, les témoignages relatent « des actes de torture » qu'on ne détaillera pas à l'antenne, mais dont le but est clair, selon une chercheuse citée : « rendre les femmes stériles, donc empêcher la communauté tigréenne de s'agrandir », le tout dans « un esprit de revanche, toujours intact plus de vingt ans après la fin de la guerre entre l'Ethiopie et l'Erythrée » - entre 2020 et 2022, les soldats érythréens se sont battus aux côtés de l'armée fédérale. Et maintenant que la guerre est finie, il faut, pour les victimes, faire face à « la réticence des autorités (…) à ouvrir les yeux sur ce fléau » car, dénonce une activiste, « ce serait reconnaître l'implication de leurs soldats » dans ces violences. Alors, malgré le manque de reconnaissance, malgré surtout le manque de fonds, les associations d'aide aux victimes poursuivent, sans relâche, leur travail. Après tout, soupire l'une d'elle : « si on s'arrête, qui s'occupera des survivantes ? » À lire aussiEn Éthiopie, la difficile reconstruction de milliers de femmes victimes de viols au Tigré: «je n'ai plus rien pour vivre»
Plusieurs titres du continent s'interrogent, après une prise de parole remarquée du Premier ministre Ousmane Sonko durant le conseil national du Pastef, le parti des deux hommes. Dans cette déclaration, rapporte L'Observateur Paalga, « il accuse le chef de l'État de ne pas avoir suffisamment d'autorité et de ne pas le protéger, lui », face aux critiques dont il a été la cible. Le Premier ministre, poursuit le journal, « appelle donc [le président] à prendre ses responsabilités et à le laisser gouverner. » C'est la première fois, note le Pays, que l'un des deux membres de ce tandem « bris[e] le pacte tacite de retenue » qui les liait, « en exposant publiquement ses frustrations face à ce qu'il considère comme une passivité présidentielle. » À tout le moins, il y a donc « de l'eau dans le gaz », renchérit L'Observateur Paalga, qui se demande « si l'explosion aura lieu » mais constate surtout « que les deux têtes de l'exécutif ne sont pas sur la même longueur d'onde sur bien des sujets. » À lire aussiSénégal: Ousmane Sonko s'en prend à Bassirou Diomaye Faye dans un discours Des différends sur le fond plutôt que sur la forme C'est en tout cas l'analyse de SenePlus, qui fonde son raisonnement sur les propos, il y a quelques mois, du poète Amadou Lamine Sall : selon lui, puisque « Senghor avait dit que pour être président au Sénégal, il faut être un saint ou un héros. » Sous ce prisme, Diomaye Faye serait le saint et Sonko, « le rebelle, l'orage et l'ouragan », et donc « le héros. » Un chef de gouvernement « volcanique », véritable « tribun », abonde le Pays, face à un chef d'État qui serait « l'incarnation d'une alternance apaisée. » Sauf que, tout calme qu'il soit, Bassirou Diomaye Faye « est loin d'être une caisse de résonance des désirs de son Premier ministre », pointe SenePlus, et c'est peut-être bien ce qui agace Ousmane Sonko : il est le patron du PASTEF, et pourtant ; « il n'est pas le maître du jeu dans le gouvernement », estime le journal sénégalais. L'Observateur Paalga va un cran plus loin : « pour un peu, on croirait que Sonko n'a toujours pas digéré le fait d'avoir cédé sa place à Diomaye Faye », option à laquelle il s'est résolu après ses déboires judiciaires. Depuis, c'est comme si, juge le journal, « il trainait cela comme une blessure narcissique dont il n'arrive pas à guérir. » Dans ces conditions, difficile d'imaginer jusqu'où ira ce duo, d'autant que, rappelle enfin le journal burkinabè, « le fauteuil présidentiel n'est pas un banc où tout le monde peut s'asseoir », et « il est toujours plus facile de prendre le pouvoir à deux que de gouverner » de cette manière. À lire aussi[Vos réactions] Sénégal : des tensions au sommet de l'État ? Le Tigré éthiopien à la Une de la presse également La guerre entre les rebelles de cette région du nord du pays et le gouvernement central s'est achevée il y a près de trois ans, mais le Tigré en porte encore les cicatrices. Prêtes à se rouvrir, à en croire Afrique XXI : sur le papier, le conflit est fini ; sur le terrain pourtant, relate un ancien membre des TPLF, « il y a des soldats partout, même si on ne les voit pas. » Et pour cause, précise le journal : « les forces amharas n'ont pas quitté l'ouest de la région, tandis que l'armée érythréenne a élu domicile dans le nord-est, » et c'est sans compter, donc, les soldats tigréens. Un climat qui empêche la population de prendre le chemin du retour : « plus de 1 million de déplacés et des dizaines de milliers de réfugiés n'ont toujours pas pu rentrer chez eux. » De nombreuses femmes parmi ces déplacés Le Monde Afrique s'intéresse ainsi aux 120.000 femmes victimes de viol pendant le conflit, « soit une femme tigréenne sur dix. » Ces violences ont eu lieu, parfois, raconte la fondatrice d'un centre d'aide, « dans des églises, avec l'assentiment du prêtre », de sorte que les victimes « sont persuadées que leur viol a été commis selon la volonté de Dieu. » Parfois, aussi, les témoignages relatent « des actes de torture » qu'on ne détaillera pas à l'antenne, mais dont le but est clair, selon une chercheuse citée : « rendre les femmes stériles, donc empêcher la communauté tigréenne de s'agrandir », le tout dans « un esprit de revanche, toujours intact plus de vingt ans après la fin de la guerre entre l'Ethiopie et l'Erythrée » - entre 2020 et 2022, les soldats érythréens se sont battus aux côtés de l'armée fédérale. Et maintenant que la guerre est finie, il faut, pour les victimes, faire face à « la réticence des autorités (…) à ouvrir les yeux sur ce fléau » car, dénonce une activiste, « ce serait reconnaître l'implication de leurs soldats » dans ces violences. Alors, malgré le manque de reconnaissance, malgré surtout le manque de fonds, les associations d'aide aux victimes poursuivent, sans relâche, leur travail. Après tout, soupire l'une d'elle : « si on s'arrête, qui s'occupera des survivantes ? » À lire aussiEn Éthiopie, la difficile reconstruction de milliers de femmes victimes de viols au Tigré: «je n'ai plus rien pour vivre»
Riposter ou ne pas riposter ? Telle est la question que se posent les 27 face à un Donald Trump débridé. Ce n'est pourtant pas l'envie qui manque à la Commission… « Une première salve de représailles était prête à entrer en vigueur dans la nuit » de ce soir à demain, écrit Le Soir en Belgique, mais l'instance « se retient, espérant donner une dernière chance à une ‘solution négociée.' » C'est le mot d'ordre donné par Ursula von der Leyen : « on continue à négocier jusqu'au dernier jour ! » Même si, maugrée le titre belge, « la plupart des observateurs sont convaincus que Donald Trump reste fermement décidé à frapper la quasi-totalité des partenaires commerciaux des États-Unis » avec ses fameux « tariffs. » Au Brésil aussi, face à la menace de droits de douane de 50%, le président Lula se dit ouvert à la négociation ; et surtout, analyse O Globo, il « mise sur le discours de la souveraineté nationale » pour au moins « contourner la crise » en interne. À lire aussiDonald Trump annonce 30% de droits de douane pour le Mexique et l'UE à partir du 1er août Un échec politique Depuis son arrivée au pouvoir, Donald Trump épargne bien peu de partenaires. Conclusion, estime un analyste dans les colonnes du South China Morning Post, « les États-Unis se mettent à dos leurs propres alliés, que ce soit en Europe ou ailleurs. » Au Brésil, par exemple : Donald Trump y a imposé des droits de douane pour forcer les magistrats qui jugent Jair Bolsonaro à relâcher la pression. Sauf que, constate El Pais, cette manœuvre « a causé des dommages collatéraux qui ont échappé au calcul du magnat, » puisqu'elle a « isolé le bolsonarisme au lieu de le renforcer. » Et ce n'est pas mieux au Canada, où, écrit, le New York Times, « il est difficile de ne pas ressentir la colère et l'incrédulité que Donald Trump a générées avec ses droits de douane, » particulièrement dans un pays « qui était jusque-là le voisin le plus amical dont un État puisse rêver. » Le tout avec un impact positif qui reste à prouver : le South China Morning Post juge que « certes, la question des droits de douane met la pression à Pékin, mais il y a d'autres problèmes bien plus importants, du point de vue du pouvoir chinois. » Un éditorialiste du Soir juge quant à lui « cette arme commerciale de moins en moins efficace. » En réalité, se moque le quotidien, « Trump finit toujours par se dégonfler, » et ses menaces aux airs « d'épouvantail brandi à chaque fois que le besoin se fait sentir, » ne sont peut-être qu'un « écran de fumée face à toutes les situations potentiellement embarrassantes. » Comme l'affaire Jeffrey Epstein, qui se rapproche dangereusement du cercle Trump. À lire aussiÉtats-Unis: Donald Trump déclare la guerre commerciale au monde Des remous au sein du camp MAGA « Au sein de l'aile radicale et populiste du camp républicain, raconte le Soir, on s'égosille devant le mutisme soudain du ministère de la Justice dans cette affaire. » La procureure générale devait déclassifier des documents confidentiels sur le cas du milliardaire pédocriminel, mais elle a fait machine arrière, malgré ce que le New York Times appelle « l'obsession du clan 'Make America Great Again' avec Epstein. » Que l'administration Trump puisse empêcher les Epstein Files de sortir du placard, « met le camp MAGA très en colère. » Et même plus : « les influenceurs MAGA ont explosé » raconte le quotidien de New York. Au-delà de la simple affaire Epstein, « ce moment est signifiant : il nous permet d'apercevoir le futur du camp Trump, et voir ses potentielles fissures. » Car, dénonce le titre, « l'existence même de ce mouvement est fondée sur une série d'assertions fantasmagoriques au sujet de l'Amérique et du gouvernement américain. » Dit plus clairement : plus qu'un camp politique adossé à des valeurs et des opinions, c'est « un écosystème qui opère dans un état constat de crise et de griefs, » articulé autour d'un seul homme, Donald Trump. « Enlevez cet homme, et il ne vous reste plus que les griefs. » Or, beaucoup de ces derniers concernent d'autres républicains. Bref, « les républicains ont créé une culture du conflit constant » … qui pourrait bien se retourner contre eux.
La route départementale qui relie La Turbie à Cap-D'ail aux marches de Monaco, porte le numéro 37. La route départementale qui relie La Turbie à Cap-D'ail aux marches de Monaco, porte le numéro 37. Cette route, entre l'été 1954 et le treize septembre 1982, la princesse Grâce va l'emprunter à des centaines de reprises. La première fois, c'était lors du tournage de « La main au collet », son troisième film avec Alfred Hitchcock. La dernière, ce sera lors de l'accident qui lui coutera la vie, vingt-six ans plus tard. Entre ces deux dates, on pourrait presque parler d'un banal « american dream » avec riches self-made men issus de l'immigration misérable et d'un traditionnel conte de fées, un peu poussiéreux, à l'européenne. Sauf que cette histoire-là, précisément, est exemplaire. Elle nous parle de liberté, de manque d'amour, de rébellion, de déracinement, de déterminisme ou de non-déterminisme, de dérapage médiatique et de rumeur persistante. C'est l'histoire de Grâce Kelly. Avec Bertrand Tessier « Grace, la princesse déracinée" aux éditions de l'Archipel Sujets traité : Grace de Monaco, Grace Kelly, princesse , Alfred Hitchcock, princesse Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Sur l'état civil, c'est Camille mais, sur scène, c'est Gildaa. Voilà ce que je lis sur le dossier de presse très très paillettes de Gildaa, une tragi-comédie musicale à voir en courant, du 21 au 30 janvier 2025, au Théâtre du Rond-Point à Paris. D'accord, mais alors si l'une c'est aussi l'autre, sur scène qui est Gildaa ? C'est une meneuse de revue dans un cabaret brésilien qui, un soir, avant d'entrer en scène, essaye de se suicider. Sauf que l'esprit d'un ancêtre passe une tête… (Rediffusion) Ou comment se libérer du poids de l'héritage avec les outils de l'héritage lui-même. D'accord, d'accord, ça c'est Gildaa. Mais alors dans la vie, qui est Camille Constantin Da Silva ? On dira que c'est une artiste multiple (comédienne, musicienne, danseuse) passée par le Conservatoire national supérieur d'art dramatique de Paname, née à Paname, mais dont le corps est diablement traversé par un frisson ancestral brésilien.
Sur l'état civil, c'est Camille mais, sur scène, c'est Gildaa. Voilà ce que je lis sur le dossier de presse très très paillettes de Gildaa, une tragi-comédie musicale à voir en courant, du 21 au 30 janvier 2025, au Théâtre du Rond-Point à Paris. D'accord, mais alors si l'une c'est aussi l'autre, sur scène qui est Gildaa ? C'est une meneuse de revue dans un cabaret brésilien qui, un soir, avant d'entrer en scène, essaye de se suicider. Sauf que l'esprit d'un ancêtre passe une tête… (Rediffusion) Ou comment se libérer du poids de l'héritage avec les outils de l'héritage lui-même. D'accord, d'accord, ça c'est Gildaa. Mais alors dans la vie, qui est Camille Constantin Da Silva ? On dira que c'est une artiste multiple (comédienne, musicienne, danseuse) passée par le Conservatoire national supérieur d'art dramatique de Paname, née à Paname, mais dont le corps est diablement traversé par un frisson ancestral brésilien.
Ce 13.07.2025, je m'élance pour le défi ultime de toute ma vie : courir un 100 km pour la Croix-Rouge.Sauf que je pars avec un couteau planté dans la cuisse. Depuis 7 jours je suis blessé, ce qui m'a dissuadé de tout annuler. Mais j'ai pris la décision de m'envoler sur la ligne de départ, avec le risque de ne pas y arriver. C'est donc à la fois ma responsabilité mais aussi ma crédibilité qui sont mises en jeux. Mais n'oublions pas « pourquoi » je le fais. Non pas pour une question d'égo. Mais pour soutenir la Croix-Rouge (lien en description & en commentaire). Ils ont besoin de nous, donc allons au bout de cette course, ensemble. Pas de Time Code exceptionnellement cette semaine. Sans plus de BLA-BLA : allume ta radio, ton enceinte, prends ta meilleure paire d'écouteurs breeeef assieds-toi confortablement, appuie sur "PLAY" & laisse-toi embarquer avec moi pendant environ 20 minutes.Bonne écoute !
Mes chers camarades, bien le bonjour ! On va pas se mentir, les guerres napoléoniennes, il y a beaucoup d'archives qui en parlent. Sauf que pour les connaître aujourd'hui, on ne s'y limite pas : il y a aussi l'archéologie ! Et il n'y a pas à dire, des sites il y en a : des champs de bataille bien sûr, mais aussi des lieux de vie comme des camps semi-permanents pour les soldats, ou même des lieux d'emprisonnement comme l'île de Cabrera. Et ça tombe bien, parce que l'invité de l'entretien du jour a fouillé sur ces trois types de site ! Il s'agit de Frédéric Lemaire, un archéologue spécialisé dans les conflits récents, et vous l'aurez compris en particulier napoléoniens ! Alors que trouve-t-on sur ces sites, et que nous permet d'apprendre l'archéologie sur ce sujet ? On va le découvrir avec Frédéric ! Je vous souhaite une bonne écoute sur Nota Bene !➤ Pour aller plus loin, jetez un œil…➜ …au dossier “Archéologie des Guerres de Napoléon” dans le n°639 d'Archéologia : https://www.faton.fr/archeologia/numero-639/archeologie-guerres-napoleon.54687.php➜ …au site de l'AASCAR : https://www.aascar.org/
La music story du jour c'est celle d'Adam Port…On va refaire notre trio, on va créer un morceau ensemble et ça va marcher comme l'année dernière. Sur le papier, on ne serait pas nombreuses et nombreux à mettre de l'argent sur cette stratégie. Sauf que si ça marche c'est le jackpot !
C'est le titre choisi par le New York Times ce matin, après les pluies diluviennes de la semaine dernière. Le bilan des crues meurtrières qui ont suivi ne cesse d'augmenter : « près de 120 morts dans tout l'État », recense le Dallas Morning News, auxquels il faut ajouter les 173 personnes toujours portées disparues. « Les eaux ont monté, et monté, et monté encore ; (…) beaucoup ont péri dans l'obscurité, dans les eaux rageuses, entraînés hors de leurs voitures, de leurs cabines, maisons ou mobile-homes ». Dans les débris, les secours poursuivent leurs recherches : « à des kilomètres à la ronde, (…) les autorités (...), ainsi que des bandes de volontaires, fouillent la rivière, (…) retournant des gravats à la main, jetant des coups d'œil dans des voitures froissées pour trouver le moindre signe des disparus », raconte le Washington Post. Mais, comme l'explique un volontaire, l'espoir est mince : « on cherche surtout des dépouilles ou des parties de corps. (…) N'importe quoi pour permettre à ces familles de tourner la page ». Les habitants en quête de réponses « Qu'est-ce qui aurait pu être fait de plus, au niveau des alertes et des évacuations ? » Le Dallas Morning News s'interroge, car, relate-t-il, « les cadres locaux ont, de manière répétée, esquivé les questions sur le suivi de la météo et les mesures prises en avance ». Pire encore, dans certains comtés, il n'y a tout simplement pas de système d'alarme, malgré « des discussions, depuis des années, sur la nécessité d'un tel dispositif ». Surtout, l'absence d'une personne a peut-être tout changé, révèle le New York Times : « l'employé du service météo chargé de s'assurer de la diffusion des alertes, (…) a récemment pris sa retraite anticipée, sur fond de coupes budgétaires voulues par le Doge », le département chapeauté à l'époque par Elon Musk. Cet employé n'a pas été remplacé. « Pour un gratte-papier de Washington, cette perte avait peut-être l'air d'une soustraction minime, mais bienvenue, sur une feuille Excel géante ». Mais le résultat concret, « dans une région si propice à ces événements qu'elle est surnommée l'Allée des crues éclair » est, assène le quotidien, que, « alors que les eaux montaient, une voix, indispensable, restait silencieuse ». Le Texas est sous les eaux, et pendant ce temps, tout aussi violemment, les flammes ravagent le reste du monde : le Canada, l'Espagne, le sud de la France. Certains pays sont encore épargnés, mais en Belgique, Le Soir ne s'y trompe pas : « c'est ce qui nous attend », titre le quotidien. « Toute l'Europe sera bientôt touchée, explique un climatologue : avec des étés "très secs" et des forêts très malades, parce que les arbres ne sont plus adaptés aux fortes chaleurs ». Cette perspective est maintenant inévitable, alors, une seule solution pour cet expert : « cartographier les zones à risques », « équiper les pompiers », bref, « investir ». L'événement musical du moment La tournée du groupe britannique Oasis, réunion inespérée après 15 ans de brouille pour le moins rock'n'roll entre les frères Gallagher. Et cette série de concerts fait couler beaucoup d'encre… au Royaume-Uni, les journaux se gargarisent du retour de ce pur produit anglais ; en France, Libération se désole plutôt de « ces images des vieux crabes revenus faire "un tour de piste" et "du passé qui refuse de mourir" » Mais il y a une dimension, « moins commentée et plus douloureuse », grimace le titre : Oasis, c'est, au départ, surtout « des gamins issus de familles modestes et dysfonctionnelles parquées dans cités-dortoirs, promis à un non-avenir total ». Ces racines, aussi lointaines soient-elles, « ont eu de l'importance dans la construction du groupe », qui a « joué jusqu'à l'outrance de son image prolo ». Sauf que ces origines précaires n'existent plus sur la scène musicale actuelle. D'après Libé, « la proportion de musiciens issus de la classe ouvrière a été divisée par deux depuis les années 1970 ». Oasis se reforme parce que cela représente une manne commerciale, c'est certain ; parce que les fans le réclament à cor et à cri depuis 15 ans, sans doute ; mais surtout, conclut Libération amèrement, « Oasis se reforme parce qu'on vit dans un monde où les possibilités qu'émerge un nouvel Oasis sont minces ».
Pour gagner du temps dans ta communication, tu as opté pour des templates de contenus à trous.C'est simple et rapide. Tu copies/colles un texte déjà prêt et tu n'as qu'à remplir les blancs. Gain de temps assuré.Sauf qu'il y a toujours un revers à une médaille.Utiliser des templates à trous pour l'essentielle de tes contenus te fait peut-être gagner du temps mais ça te fait perdre d'autres choses.Ton unicitéTa cohérence globaleTon indépendanceTa créativitéJe ne renies pas totalement cette option. Avec modération, pourquoi pas.Pour la majorité de tes contenus : ça ne me semble pas être la meilleure des idées.Je te donne mon point de vue sans filtre sur les templates à trous dans cet épisode.
Le président français se rend à Londres aujourd'hui, pour une visite d'État de trois jours. Une façon de mettre sur pied « une entente cordiale renouvelée » se réjouit le Guardian, après cinq ans marqués par les tensions post-Brexit, durant lesquels, rappelle le site « pas le moindre sommet bilatéral France-Royaume-Uni n'a eu lieu ». Soupir de soulagement pour le Guardian : « heureusement, c'est du passé ». Et à en croire le journal, il faut pour cela remercier le Premier ministre Keir Starmer, qui a forgé avec Emmanuel Macron « une relation de travail rapprochée, afin de renforcer la défense et la sécurité européennes ». Cette collaboration a jusque-là essentiellement concerné le soutien à l'Ukraine et l'organisation face à la menace russe, mais pas uniquement : le Times britannique indique ainsi que Keir Starmer devrait « exhorter le président français à accepter un accord migratoire "un dedans, un dehors" » : en clair, ramener en France de petits bateaux de migrants pour permettre l'arrivée sur le sol britannique de demandeurs d'asile ayant de la famille au Royaume-Uni. Ce texte pourrait même, veut croire le quotidien, « être la pièce maîtresse » d'un nouvel accord entre les deux pays. Quoi qu'il en soit, cette visite (la première d'un président français depuis Nicolas Sarkozy en 2008), est « d'abord une façon de célébrer, grâce aux fastes de la monarchie, une amitié retrouvée entre les deux vieux voisins », pointe le Monde, mais aussi, pour Londres, de « renouer avec l'Union européenne sans pour autant relancer le psychodrame d'une adhésion ». Le tout avec un « sous-texte transatlantique » évident, après le « choc » du « retour de Donald Trump à la Maison Blanche (…) particulièrement douloureux pour le Royaume-Uni, » croit savoir le journal, puisque le pays « s'est toujours considéré comme l'héritier d'une "relation spéciale" avec Washington ». Dans ce contexte, reprend le Guardian, « une entente restaurée est, de façon écrasante, dans les intérêts des deux pays, et plus largement de l'Europe toute entière ». Le spectre des droits de douane « Donald Trump recommence à jouer les Monsieur Taxes », s'agace d'ailleurs le Wall Street Journal tandis que le Figaro s'interroge : est-ce par « goût du suspense » ou dans l' « espoir d'obtenir toujours plus en multipliant les décisions arbitraires » que le président américain « continue son jeu visant à faire plier » ses partenaires ? Quelles que soient ses raisons, il « sait très bien ruiner une bonne humeur économique » juge le Wall Street Journal. Car le chef d'État a décidé, lundi, d'imposer de nouveaux droits de douane, de 25%, contre une douzaine de pays, dont le Japon et la Corée du Sud. « Belle manière de traiter deux proches alliés », ironise le journal, surtout lorsqu'ils sont « dans l'arrière-cour chinoise ». Cette décision va crisper des amis ; mais il est aussi « facile de constater de quelle manière les droits de douane vont faire du mal aux entreprises et consommateurs américains », juge le titre économique. Sauf que la méthode de Donald Trump pourrait être payante, sans mauvais jeu de mots : à force d'allers-retours, l'Union européenne se montre moins catégorique qu'avant, et la France aussi, constate le Monde, qui rappelle que pour certains ministres, « une augmentation faible des droits de douane peut être acceptée, si et seulement si, sur certains secteurs clés d'exportation français, ils peuvent être réduits ». D'autres préoccupations en France La « malédiction » de la « dissolution » comme le dit le Figaro, car à partir d'aujourd'hui, le délai constitutionnel d'un an est passé, et Emmanuel Macron peut de nouveau faire tomber le couperet sur l'Assemblée nationale. « Dans l'entourage [du président], on appelle ça pompeusement le "réarmement institutionnel" » raconte le quotidien. Et même si le chef d'État « n'exclut pas totalement de repousser sur le bouton », croit savoir le Soir en Belgique, cette perspective est « la hantise de nombre de députés, qui labourent leur circonscription en cas de nouveau coup de tonnerre, ce qui vide un peu plus les bancs » d'un hémicycle déjà rendu inefficace par sa division. Bref, la sentence du Figaro est sans appel : une dissolution 2.0 n'est « souhaitable pour personne » : sur une scène politique française « dispersée façon puzzle, qui serait assez fou pour en rajouter ? ».
Bonjour à tous,Dans ce nouvel épisode de prospection, j'ai décidé de parler de feelingLa prospection, c'est tout sauf du feeling.50% d'entre vous tombent dans le piège ↓Etape 1 : Un bon feeling pendant le call.Etape 2 : 1h de call pour se raconter sa vieEtape 3 : Des points d'accord entre vousEtape 4 : Une présentation de votre serviceEtape 5 : Un prospect qui semble convaincuEtape 6 : Un prospect qui reparle de luiEtape 7 : Un prospect qui dit qu'il réfléchitEtape 8 : Vous le laissez réfléchirEtape 9 : 10 jours plus tard, pas de réponsesEtape 10 : Vous lui demandez pourquoi Etape 11 : « après mure réflexion », il ne partira pas avec vousEtape 12 : Vous demandez pourquoi ?Etape 13 : Problème de budget, « c'est pas le moment », « j'ai pas le temps »Et voila.Vous êtes frustrés, vous êtes dégoutés, vous pensez que c'était good.Et non.Ce scénario, on l'a tous connu.Mais vous pouviez l'éviter.Aujourd'hui, j'ai décidé de vous expliquer pourquoi la prospection, c'est tout sauf du feeling ⤷ Pourquoi 50% d'entre vous tombent dans ce piège ?⤷ Quelles sont les étapes clés pour ne pas se faire avoir ⤷ Comment changer le rapport de force avec votre cibleBonne écoute !Pour aller plus loin :⭐️☑️ Abonnez-vous pour ne rien manquer
Le Premier ministre israélien se déplace à Washington pour la première rencontre entre les deux hommes depuis la guerre lancée par Israël contre l'Iran. Un événement porteur d'espoirs, et dont une grande partie de la presse se fait donc le relais. Les deux hommes parleront du dossier iranien, mais aussi de la guerre à Gaza. Car, écrit le Figaro, le président américain est « déterminé à arracher un cessez-le-feu » dans l'enclave palestinienne. Après sa victoire contre Téhéran, le président américain veut poursuivre sur sa lancée et « faire progresser la paix au Moyen-Orient », juge le quotidien français. Une perspective envisageable seulement « si les armes se taisent dans la bande de Gaza. » Le Washington Post lui aussi, faisant référence aux lubies pour le moins changeantes du chef d'État américain, estime que ce dernier « semble être d'humeur à faire la paix ». Il faut dire, ironise El Pais, que Donald Trump « a promis lors de la campagne qui l'a ramené à la Maison Blanche qu'il parviendrait à la paix dans le monde dès son premier jour au pouvoir », et le voilà donc, certes, « 168 jours plus tard, » prêt à avancer vers son objectif. Sauf que la « volonté de fer » du président américain va rencontrer celle d'un Benyamin Netanyahu très attaché au pouvoir, et dépendant, rappelle le Figaro, d'une « coalition va-t-en-guerre ». Mais justement, pointe le Washington Post : « Politiquement, le Premier ministre n'aura pas de meilleure opportunité que celle qui se présente après la réussite sur le terrain iranien, qui va s'estomper avec le temps. » De toute façon, abonde le Soir en Belgique, « dans les faits, les deux hommes ont intérêt à conclure cette trêve », l'un pour concrétiser l'image de faiseur de paix qu'il cherche à se donner depuis le début de son mandat, l'autre pour « ménager son opinion publique, » qui attend toujours « le retour d'une cinquantaine d'otages retenus dans Gaza ». Les négociateurs israéliens, eux aussi, en déplacement Les négociateurs israéliens se rendent à Doha, au Qatar, et ont décollé quelques heures à peine après Benyamin Netanyahu. Cette « synchronicité » n'a « rien d'une coïncidence », souligne Haaretz en Israël : « Le président américain a indiqué à plusieurs reprises qu'il perd patience au sujet des combats en Israël », et « sous la pression américaine », aussi bien Israël que le Hamas, « ont rapidement fait savoir leur disponibilité ». Une ébauche d'accord a déjà été rédigée, dont El Pais rappelle le point de départ : « Un cessez-le-feu de 60 jours » qui serait l'occasion d'un échange de prisonniers et d'otages. Mais ce premier jet, critique Haaretz, laisse de côté certains « point essentiels » comme « la fin de la guerre ou la gestion de Gaza une fois que les forces israéliennes se seront retirées ». La question du départ des soldats israéliens a toujours été l'un des points les plus sensibles des négociations et il l'est probablement toujours : un expert interrogé par Le Soir se dit ainsi « extrêmement dubitatif sur le fait que Benyamin Netanyahu l'accepte », d'autant que ces derniers mois, « Washington avait validé l'idée que la bande de Gaza telle qu'elle a existé jusqu'à présent pouvait disparaître ». Mais si cela doit arriver, ce sera, juge Le Soir, « par étapes » car « aujourd'hui, ce qui compte pour Israël, c'est de rester dans Gaza ». L'intelligence artificielle et les menaces qu'elle fait peser sur Internet Si vous utilisez encore Google, alors la sentence du Monde est irrévocable : vous êtes un « cyberboomer ». Car les plus jeunes, eux, utilisent ChatGPT, Claude, Perplexity ou un autre agent conversationnel pour leurs recherches en ligne. Une « tendance », voire une « révolution » qui aura, entrevoit déjà le quotidien français, « des conséquences vertigineuses pour l'avenir du Web ». Pour les moins convaincus, difficile d'imaginer quitter Google ou un autre moteur de recherche quand on y a passé plus de vingt ans. Pourtant, le Monde en est certain : « Demain, qu'ils le veuillent ou non, tous les utilisateurs de Google franchiront le pas », et le géant américain en a conscience, puisqu'il a « déjà mis en place deux solutions de recherche par IA ». En fait, ces moteurs de recherche par intelligence artificielle (IA), « qui n'impliquent plus de cliquer sur des liens », remettent en cause « tout le modèle économique du web, qui risque de s'écrouler », prédit le Monde. Et s'il n'y a plus de motivation financière, s'il n'y a plus de visites sur les sites, questionne le Monde, « pourquoi s'acharner à publier du contenu ? » D'où cette question : à force de systèmes d'IA qui « ringardisent les moteurs de recherche et rendent facultative la consultation de sites Internet », « que va-t-il rester [de ce fameux] World Wide Web » tel qu'on le connaît ?
Surnommé «le spiderman français», ce grimpeur de légende, adepte du solo intégral, sans corde ni assurage, revient à 62 ans sur sa fascinante trajectoire à la verticale. Quand on se penche sur la vie d'Alain Robert, le vertige n'est jamais très loin. À son actif, plus de 250 ascensions urbaines sur 170 buildings à travers le monde, sans aucun système d'assurage ; sans parler des innombrables voies qu'il a gravies en falaises, là aussi en solo intégral. Cette pratique de puriste, de danseur du rocher, qui, à chaque instant, chaque mouvement, tutoie le vide et la mort, est l'apanage d'une infime élite de grimpeurs à travers le monde, des téméraires disent certains, des fous disent d'autres. Celles et ceux qui d'en bas, ont pu un jour voir Alain Robert gravir les plus hautes tours du monde, des Tours Pétronas en Malaisie à la Tour Taipei 101, en passant par la Tour Burj Khalifa de Dubaï à plus de 828 mètres de haut, l'ont donc parfois rangé parmi les fous. Un fou, pas tant que ça, quand on l'écoute raconter avec lucidité sa philosophie de vie, les risques certes vertigineux qu'il prend pour grimper mais qu'il mesure à chaque instant, ainsi que le long chemin qui l'a amené, à sa manière, au sommet du monde. Au Chamonix Film Festival, qui s'est tenu à la mi-juin dans la capitale mondiale de l'alpinisme, Alain Robert était le grand invité de cet événement de grimpeurs et d'amoureux de la montagne ; une famille à laquelle appartient sans aucun doute Alain Robert. Mais, comme toujours dans les familles, les plus excentriques font souvent figure de doux-dingues, de marginaux qu'on dit avoir du mal à suivre ou à comprendre, les artistes de la famille en somme… Sauf qu'à 62 ans, Alain Robert n'a plus rien à prouver. Sa trajectoire parle d'elle-même. Autodidacte de la grimpe, il fait à 19 ans une chute dramatique, qui va le laisser lourdement handicapé des mains, des avant-bras, pris aussi par un vertige médical persistant. Pourtant, après cela, il enchaînera les solos les plus audacieux, à Cornas ou dans le Verdon ; des exploits en falaises éclipsés par près de 30 ans d'ascensions urbaines, plus spectaculaires et émaillées d'innombrables arrestations, car ces ascensions étaient le plus souvent illégales. Achevant de faire d'Alain Robert un marginal inclassable, en pantalon python et cheveux longs : une rock-star des gratte-ciels. Aujourd'hui, l'élite actuelle des grimpeurs solo comme Alex Honnold ou Alexander Huber, sait ce qu'elle lui doit. Et lui rend hommage en préface d'une biographie parue aux Éditions du Mont-Blanc qui vient rappeler son héritage de prodige de falaises. À 60 ans, Alain Robert a récemment renoué avec le rocher dans le Verdon. En savoir plus : - Sur Alain Robert et suivre son actualité sur fb - Sur «L'homme araignée. Alain Robert. Libre et sans attache», une biographie écrite par David Chambre et Laurent Belluard. 2024. Éditions du Mont-Blanc Catherine Destivelle - La série d'articles consacrée à Alain Robert dans Vertige Media - Sur le Chamonix Film Festival qui, pour sa 5è édition, mettait Alain Robert à l'honneur.
Surnommé «le spiderman français», ce grimpeur de légende, adepte du solo intégral, sans corde ni assurage, revient à 62 ans sur sa fascinante trajectoire à la verticale. Quand on se penche sur la vie d'Alain Robert, le vertige n'est jamais très loin. À son actif, plus de 250 ascensions urbaines sur 170 buildings à travers le monde, sans aucun système d'assurage ; sans parler des innombrables voies qu'il a gravies en falaises, là aussi en solo intégral. Cette pratique de puriste, de danseur du rocher, qui, à chaque instant, chaque mouvement, tutoie le vide et la mort, est l'apanage d'une infime élite de grimpeurs à travers le monde, des téméraires disent certains, des fous disent d'autres. Celles et ceux qui d'en bas, ont pu un jour voir Alain Robert gravir les plus hautes tours du monde, des Tours Pétronas en Malaisie à la Tour Taipei 101, en passant par la Tour Burj Khalifa de Dubaï à plus de 828 mètres de haut, l'ont donc parfois rangé parmi les fous. Un fou, pas tant que ça, quand on l'écoute raconter avec lucidité sa philosophie de vie, les risques certes vertigineux qu'il prend pour grimper mais qu'il mesure à chaque instant, ainsi que le long chemin qui l'a amené, à sa manière, au sommet du monde. Au Chamonix Film Festival, qui s'est tenu à la mi-juin dans la capitale mondiale de l'alpinisme, Alain Robert était le grand invité de cet événement de grimpeurs et d'amoureux de la montagne ; une famille à laquelle appartient sans aucun doute Alain Robert. Mais, comme toujours dans les familles, les plus excentriques font souvent figure de doux-dingues, de marginaux qu'on dit avoir du mal à suivre ou à comprendre, les artistes de la famille en somme… Sauf qu'à 62 ans, Alain Robert n'a plus rien à prouver. Sa trajectoire parle d'elle-même. Autodidacte de la grimpe, il fait à 19 ans une chute dramatique, qui va le laisser lourdement handicapé des mains, des avant-bras, pris aussi par un vertige médical persistant. Pourtant, après cela, il enchaînera les solos les plus audacieux, à Cornas ou dans le Verdon ; des exploits en falaises éclipsés par près de 30 ans d'ascensions urbaines, plus spectaculaires et émaillées d'innombrables arrestations, car ces ascensions étaient le plus souvent illégales. Achevant de faire d'Alain Robert un marginal inclassable, en pantalon python et cheveux longs : une rock-star des gratte-ciels. Aujourd'hui, l'élite actuelle des grimpeurs solo comme Alex Honnold ou Alexander Huber, sait ce qu'elle lui doit. Et lui rend hommage en préface d'une biographie parue aux Éditions du Mont-Blanc qui vient rappeler son héritage de prodige de falaises. À 60 ans, Alain Robert a récemment renoué avec le rocher dans le Verdon. En savoir plus : - Sur Alain Robert et suivre son actualité sur fb - Sur «L'homme araignée. Alain Robert. Libre et sans attache», une biographie écrite par David Chambre et Laurent Belluard. 2024. Éditions du Mont-Blanc Catherine Destivelle - La série d'articles consacrée à Alain Robert dans Vertige Media - Sur le Chamonix Film Festival qui, pour sa 5è édition, mettait Alain Robert à l'honneur.
Nier: Automata n'a plus de secret pour personne, tous les indices, tous les easter eggs et les secrets ont été percés. Sauf un. Un mystère inattendu, une église perdue qu'aucun joueur n'a jamais vu. Impossible de la retrouver, et pourtant, elle existe obligatoirement dans le jeu. L'enquête commence...En juin 2022, un utilisateur nommé Sadfutago poste sur Reddit qu'il a trouvé une église secrète dans NieR: Automata. Personne ne le croit, jusqu'à ce qu'il partage des images et des vidéos. La communauté est en émoi : est-ce un easter egg oublié, un mod, ou quelque chose de plus grand ? Alors que les théories fusent, Yoko Taro, le créateur du jeu, reste mystérieux. Découvrez l'histoire incroyable de ce secret qui a captivé les fans et mené à une révélation surprenante.Retrouvez tous les JV LEGENDS sur Youtube ou sur JV ! Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
J-7 avant mon 100 km : je suis anéantie par la situation. J'ai comme l'impression que toutes les galères qui auraient dû tomber ces dernières années, arrivent maintenant. Sauf qu'étant en pleine préparation de mon objectif ultime de toute ma vie : ce n'est pas possible. Je ne peux pas me réjouir d'une bonne condition avec tout ça. Et pourtant je n'ai pas le choix.Je suis responsable de ce qu'il m'arrive. Je me dois de récolter le plus de dons possible pour l'association avec la Croix-Rouge avec qui j'ai collaboré.La seule chose à faire est d'avancer & d'aboutir à ce projet. Sans quoi, je me décevrais pour l'éternité. ▶ Je te mets un petit Time Code (pour te retrouver plus facilement) ⏱️ : 0:00 à 1:40 : Pourquoi je suis à bout ? 1:40 à 9:45 : Mon défi ultime (& la pression) des 100 km avec la Croix-Rouge. 9:45 à 21:00 : Mes problèmes de santé & coup de gue*le. 21:00 à 24:10 : Garde ton jardin secret s'il te plaît. 24:10 à 30:35 : Imagine je n'y arrive pas (je doute) ? 30:35 à 37:30 : Je me blesse avant la course & les haters. 37:30 à 45:05 : Je jète une bouteille à la mer. 45:05 à 48:00 : Bisous.Sans plus de BLA-BLA : allume ta radio, ton enceinte, prends ta meilleure paire d'écouteurs breeeef assieds-toi confortablement, appuie sur "PLAY" & laisse-toi embarquer avec moi pendant environ 50 minutes.Bonne écoute !
Avec : Jérôme Lavrilleux, propriétaire de gîtes en Dordogne. Yael Mellul, ancienne avocate. Et Périco Légasse, journaliste. - Toujours accompagnée de Rémy Barret et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs, sexo… En simultané sur RMC Story.
Elle a racheté une boîte… En pleine pandémie. À 30 ans.Déborah Guillotin est aujourd'hui CEO de My English School France.→ Une franchise qu'elle a reprise en 2020.→ En pleine crise sanitaire.→ Avec une vision claire : faire de l'anglais un lien social.Tout commence à Lyon. Elle y dirigeait le premier centre à l'international. Mais en coulisses, la maison-mère italienne vacille.Pas de PGE pour un dirigeant étranger. Elle, en tant que résidente française, peut le débloquer.Elle décide alors de racheter la société. Et d'y embarquer ses 6 collaborateurs. Toujours à ses côtés aujourd'hui.Pourquoi ce pari ? Parce qu'elle croit au pouvoir de l'anglais. Mais surtout à celui des rencontres.→ Une directrice de banque qui devient amie avec une femme de ménage.→ Deux mondes que rien ne reliait. Sauf un niveau A2 en commun.→ Et un centre où tout le monde parle… la même langue.Chez My English School, on apprend l'anglais. Mais on brise aussi les barrières sociales. Et ça, c'est plus qu'un business. C'est une mission.Site web : https://www.myes.school/fr/Linkedin : https://www.linkedin.com/in/deborahguillotin/Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les Comores célèbrent ce dimanche 6 juillet le cinquantième anniversaire de leur indépendance. Les Comores, c'est historiquement un archipel de quatre îles : Grande Comore, Anjouan, Mohéli et Mayotte. Sauf que cette dernière île est restée un département français, que l'État comorien revendique encore et toujours. Les Comoriens les plus engagés pour le retour de Mayotte estiment que leur gouvernement, malgré sa position officielle, est trop complaisant avec Paris. De notre envoyé spécial à Moroni, On pourrait poser la question mille fois dans les rues de Moroni sans que la réponse varie : le retour de Mayotte au sein de l'État comorien est une cause nationale. En 1974, la France demande aux Comoriens par referendum s'ils veulent l'indépendance. Près de 95% répondent « oui », mais à Mayotte, le « non » l'emporte à plus de 63%. Les indépendantistes considérant que le scrutin vaut pour l'ensemble de l'archipel, Paris décide de le prendre en compte île par île. L'année suivante, Paris reconnaît l'indépendance des Comores, à l'exclusion de l'île de Mayotte. Depuis, les gouvernements comoriens successifs ne cessent de le marteler : « Mayotte est comorienne. » Aujourd'hui encore, Houmed Msaïdié, ancien ministre et conseiller spécial à la présidence en charge des questions politiques, parle d'un « objectif stratégique » : « Cet abus de la part des autorités françaises à un moment donné de notre histoire fait qu'aujourd'hui, il y a des Mahorais qui ne connaissent pas les Comores. Ça fait 50 ans qu'on s'est séparés. Maintenant, c'est le moment. On est pour des discussions sérieuses avec la France, mais surtout, on est pour la discussion directe entre nos frères de Mayotte et les autres îles. Il faut qu'on essaie d'identifier ce qui peut nous rassembler. L'objectif des Comores est clair et net : c'est l'intégrité territoriale. » À lire aussiAux Comores, des manifestants s'opposent à l'entrée de Mayotte à la Commission de l'océan Indien Mais cette position officielle ne convainc pas tous les Comoriens. Depuis 50 ans, l'Union africaine et les Nations unies reconnaissent l'appartenance de Mayotte aux Comores, contre la position française. Mais le sujet s'est progressivement effacé, car Moroni et Paris, loin de s'affronter sur la scène internationale, sont des alliés : échanges économiques, programmes de développement... Le docteur Mohamed Monjoin est le président du Comité Maore, qui milite pour « la fin de l'occupation coloniale française à Mayotte ». Il affirme : « Il est temps d'arrêter le dialogue bilatéral, il n'a rien apporté de bien. Notre force, c'est le soutien international. Moroni doit mettre Mayotte à l'ordre du jour de l'Assemblée générale des Nations unies. Il faut qu'il y ait une discussion et un vote sur la question de Mayotte, cela n'a pas été fait depuis 30 ans par les différents gouvernements successifs. C'est le bâton et la carotte. Le gouvernement comorien craint un coup d'État. Aux Comores, il y a eu beaucoup de coup d'État fomentés par la France, qui vous dit que c'est fini ? Et il reste bien sûr la petite carotte : l'aide au développement. » Cinquante ans après, les Comoriens célèbrent donc une indépendance que tous jugent inachevée. À lire aussiMayotte et les Comores, fragments d'une histoire partagée
Rediffusion d'un des épisodes les plus écoutés du Podcast du Marketing.J'ai commencé ma carrière dans un grand groupe qui avait beaucoup d'argent.On dépensait des fortunes en tests consommateurs.J'en ai fait des dizaines.A prendre des notes derrière une vitre teintée, comme dans les films policiers. Sauf que là je ne cherchais pas le coupable idéal, mais le client idéal…J'adorais ça. Et j'ai appris énormément de choses sur mes consommateurs. J'ai construit des marques entières sur ce qui se disaient dans ces tests consommateurs. Les informations qui en ressortaient n'avaient pas de prix.Ou plutôt si, elles avaient un prix. Le prix fort. Un cabinet d'études, ça coûte bonbon…Bon mais comment fait-on quand on n'est pas une multinationale riche à millions?Et bien on fait des tests consommateurs…Cette semaine je reçois Camille Jullien, la co-fondatrice des champagnes EPC, et elle m'explique comment elle a fait pour construire toute sa marque sur des tests consommateurs alors qu'elle n'avait pas de budget… Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C dans l'air du 27 juin 2025 - Retraites, santé : coup de chaud pour Bayrou La porte-parole du gouvernement avait prévenu : le prochain budget sera un "cauchemar". Ces derniers jours, les contours de ce budget 2026 se précisent, et le signal est clair : les économies seront douloureuses, notamment pour la santé.Catherine Vautrin, ministre du Travail et de la Santé, a annoncé lors d'une audition à l'Assemblée nationale que 1,7 milliard d'euros d'économies seraient réalisés dès 2025 sur les dépenses de santé. Parmi les premières victimes : les revalorisations tarifaires promises aux kinésithérapeutes et médecins libéraux, vont être reportées au 1er janvier 2026. Le gouvernement cible aussi l'hôpital, les arrêts de travail, les affections de longue durée (ALD) et envisage de nouveaux déremboursements de médicaments.Autre front sensible : le transport sanitaire. L'exécutif entend maintenir la pression dans les négociations avec les chauffeurs de taxi, sur fond de réforme des tarifs. "Nous n'avons pas d'autre solution que cette réforme du modèle de tarification", a martelé Catherine Vautrin. Autrement dit : il n'y aura pas de recul.Sur les retraites, le climat reste tout aussi tendu. Après quatre mois de concertation sans accord entre partenaires sociaux, le Premier ministre a tenté jeudi de reprendre la main. Refusant de parler d'"échec" du conclave, François Bayrou a vanté plusieurs "avancées", à commencer par un consensus sur l'objectif de retour à l'équilibre en 2030 et le maintien du départ à 64 ans, tel que fixé par la loi Borne. Le chef du gouvernement a également proposé a proposé aux "experts et négociateurs des organisations de se remettre au travail" "15 jours, 10 jours" convaincu qu'un accord était à portée de main pour améliorer la réforme des retraites de 2023.Mais le premier syndicat de France a refusé de participer à "de nouvelles séances de négociations". Pour la CFDT, les deux derniers points de blocage dans les négociations, que sont la pénibilité et le financement du système de retraites, sont "deux éléments extrêmement importants et structurants des discussions"."Si, à un moment, le gouvernement veut trouver une voie d'équilibre, il faut qu'il comprenne que, pour mon organisation, il n'y a pas de voie de passage sans la réparation sur la pénibilité, avec le dispositif qu'on a proposé", a-t-elle ajouté, précisant que le bureau national de la CFDT avait rendu un avis "unanime" en ce sens vendredi matin."Si les organisations considèrent que ce n'est plus leur heure et qu'il faut trancher, on tranchera", a répondu ce vendredi le Premier ministre. L'échec du conclave sur les retraites est un coup dur pour le locataire de Matignon, et s'annonce lourd de conséquences. Le Parti socialiste, qui réclame un projet de loi "sans délai" pour reparler des retraites et mettre au menu du Parlement toutes les mesures qui fâchent, y compris l'âge légal de départ à la retraite porté à 64 ans en 2023, a annoncé en début de semaine le dépôt d'une motion de censure. Sauf coup de théâtre le RN ne devrait pas la voter, mais le Premier ministre se retrouve dans une position encore plus compliquée avant la présentation du budget. Le gouvernement s'avance vers un automne parlementaire à hauts risques.LES EXPERTS :- Gaël SLIMAN - Président et co-fondateur de l'institut de sondage ODOXA - Stéphanie VILLERS - Economiste, conseillère économique de PwC France - Philippe MABILLE - Directeur éditorial la Tribune et la Tribune Dimanche - Sylvie PIERRE-BROSSOLETTE - Editorialiste politique au Point
durée : 00:29:49 - Les Pieds sur terre - par : Sonia Kronlund, Karine Le Loët - Le Marineland d'Antibes a fermé ses portes sous la pression de l'opinion publique et poussé par une loi qui interdit bientôt les spectacles de cétacés. Les animaux sont envoyés dans d'autres zoos. Sauf que douze dauphins et deux orques, Wikie et Keijo, sont bloqués dans leur bassin depuis six mois… - réalisation : Eric Lancien
durée : 00:29:49 - Les Pieds sur terre - par : Sonia Kronlund, Karine Le Loët - Le Marineland d'Antibes a fermé ses portes sous la pression de l'opinion publique et d'une loi qui interdit bientôt les spectacles de cétacés. Les animaux sont envoyés dans d'autres zoos. Sauf que douze dauphins et deux orques, Wikie et Keijo, sont bloqués dans leur bassin depuis six mois… - réalisation : Eric Lancien
Le 7 août 2024, Rémi signe une promesse de vente pour céder sa voiture au gérant d'une société de parkings. À partir de cette date, l'homme s'engage à verser 2000€ par semaine pour atteindre la somme de 40.000€. L'acheteur paye bien la première traite. Sauf que derrière, il ne verse plus rien... JB Nicolle, rédacteur en chef adjoint de l'émission, revient sur son enquête et ses espoirs pour l'évolution du dossier ! Au micro de Chloé Lacrampe, un membre de l'équipe de "Ça peut vous arriver" revient sur les négociations difficiles et les moments off de ces 2h d'antenne !Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Vous qui êtes de fidèles auditeurs de EX…, vous connaissez la recette d'une bonne histoire par cœur : il faut une rencontre extraordinaire, il faut quelques rebondissements, il faut parfois des différences, des oppositions, des obstacles, et tant qu' à faire… l'amour qui triomphe à la fin. Il y a presque tout ça dans l'histoire de Pauline. Sauf que souvent, la banalité a du bon, et cette histoire va vous prouver que le bonheur réside parfois dans la sérénité et l'équilibre.Clémentine De La Grange a réalisé cet épisode, Stéphane Bidart l'a monté et mis en musique. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Vous avez sans doute vu circuler il y a quelques années, l'histoire de Noémie et Raphaël, jeunes parents qui se sont vus enlever leurs deux filles par les services sociaux. Mais alors comment tout cela a commencé ?Noémie a juste la vingtaine quand elle tombe enceinte et pour elle c'est tout à fait clair, elle accouchera à la maison. Aucune envie de suivre le schéma classique alors elle fait les échographies de routine pendant sa grossesse, tout se passe bien et elle va bientôt pouvoir atteindre son but. Sauf qu'on le sait, rien ne se passe jamais comme prévu et après son terme, Noémie n'a toujours pas accouché. Les médecins lui annoncent alors qu'ils vont la déclencher dans l'après-midi mais c'est mal connaître Noémie.Alors si pour ce premier bébé, elle a finalement accouché à la maternité, pour sa deuxième grossesse, Noémie est encore plus déterminée à avoir son accouchement à la maison. Mission réussie, tout se passe à merveille, jusqu'à que les services sociaux s'en mêlent et retirent aux jeunes parents la garde de leurs deux filles.Dans cet épisode Noémie nous raconte comment elle a vécu cette épreuve en plein postpartum, en plein allaitement et comment toute la machine des services sociaux s'est mise en route sans qu'elle ne puisse rien faire.Bonne écoute !---------------------------------------------Pour soutenir HelloMammas, il vous suffit de mettre cinq étoiles et un avis sur votre application podcast. Parlez-en aussi autour de vous !Rejoins la communauté sur Instagram : @hello.mammas Become a member at https://plus.acast.com/s/le-tourbillon. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
La consigne des bouteilles est de retour . Sauf que Martin s'installe dans une boulangerie
La compétition débute ce week-end aux États-Unis. C'est la FIFA qui a voulu ce nouveau grand rendez-vous alléchant sur le papier les 32 meilleures équipes du monde venant de tous les championnats et qui s'affrontent. Le PSG joue ce dimanche 15 juin par exemple contre l'Atlético Madrid. Sauf que le succès n'est pas au rendez-vous, le match d'ouverture en Floride, entre l'Inter Miami de Lionel Messi et les Egyptiens d'Al-Ahly risque de se jouer devant un stade qui sonne creux. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Au Mali, Wagner, c'est fini. Les troupes russes vont maintenant faire la guerre sous le nom d'Africa Corps. Pourquoi ce nouveau nom ? Est-ce seulement un changement de casquette ? « Pas si simple », répond Arthur Banga, qui est spécialiste des questions de défense à l'université Félix-Houphouët-Boigny d'Abidjan, en Côte d'Ivoire. L'enseignant-chercheur veut espérer qu'Africa Corps commettra moins d'exactions que Wagner contre les civils maliens. Arthur Banga répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : « Bravo à Wagner qui en trois ans a bouté les terroristes de nombreuses zones du Mali et reconquis la capitale régionale de Kidal », disent les médias pro-russes. Est-ce que c'est vrai ? Est-ce que le bilan militaire de Wagner est positif ? Arthur Banga : Il est très mitigé ce bilan. Il y a quand même la victoire de Kidal qui est importante pour l'image déjà de la reconquête mais importante aussi pour la stratégie du gouvernement malien. Mais depuis justement cette victoire significative en novembre 2023, il n'y a plus rien. Il y a plutôt des défaites : Tinzaouatène... Tout récemment, des attaques qui se multiplient. Et je pense que, quelque part, l'action de Wagner est mitigée, sinon peut-être même négative quand on fait la balance. Alors, en effet, en juillet 2024, plus de 80 mercenaires de Wagner auraient été tués par les rebelles touaregs du FLA lors de la bataille de Tinzaouatène. Est-ce que cette défaite militaire a pu porter atteinte au moral des troupes russes ? Est-ce l'une des raisons du changement de nom aujourd'hui ? Oui, ça a été une défaite beaucoup commentée. Et puis, on a encore les images de prisonniers qui ont été faits par ces groupes. Et qui sont toujours aux mains des rebelles... Voilà. Et ces images diffusées ont vraiment porté atteinte parce que l'idée, c'est que Wagner venait de réussir le job que, par exemple, l'armée française ou Takuba n'avait pas pu faire. Et là malheureusement pour les Maliens, le constat est amer et cette défaite a marqué les esprits. Et a surtout décrédibilisé un peu Wagner, surtout après leur victoire à Kidal. Alors, justement, si on compare le bilan Wagner au bilan Barkhane, qu'est-ce qu'on peut dire ? Je pense que l'on peut tirer les mêmes enseignements de ces deux opérations : soit vous vous trouvez dans le cas de Barkhane, vous devenez perçu comme une force d'occupation, vous perdez votre statut de force de libération pour une force d'occupation. Soit comme Wagner, vous comprenez que l'on peut avoir des victoires tactiques, mais au final, le bilan est mitigé. Est-ce que Wagner faisait de la protection rapprochée des officiers supérieurs de la junte malienne ? Et est-ce qu'Africa Corps va continuer cette mission ? La mission ne va pas changer. Et on l'a bien vu sur certaines images très claires, authentifiées, que Wagner faisait souvent de la surveillance de personnalité. De la protection en fait ? De la protection, oui. Sur le plan opérationnel, Wagner jouissait d'une certaine autonomie, surtout du vivant d'Evgueni Prigojine. Est-ce qu'Africa Corps sera plus sous le contrôle direct du ministère russe de la Défense à Moscou ? Oui, ça, ça sera l'un des grands changements, parce que justement Prigojine s'est autorisé des largesses au nom de cette autonomie. Donc, clairement, la plus grande différence sera à ce niveau-là, ça sera l'impact direct des autorités russes, le contrôle direct sur l'action que va mener Africa Corps. Et ça, ça va changer de l'autonomie de Wagner. Sur le plan des droits de l'Homme, Wagner a commis plusieurs massacres, notamment dans la communauté peule du Mali. À Moura près de Mopti, en mars 2022, plus de 500 civils ont été tués par les Russes de Wagner. Est-ce que les Russes d'Africa Corps sont prêts à continuer les mêmes exactions à votre avis ou pas ? On verra. Si Wagner faisait le job entre guillemets et même sur le front ukrainien, recruter des prisonniers etc, c'est parce qu'on ne voulait pas mêler directement la Russie officielle à ces aspects-là, les massacres et cetera. Ça peut donc avoir un impact positif dans ce sens-là parce que le fait d'être lié directement au Kremlin peut avoir la conséquence d'être un peu plus regardant sur ces aspects-là, parce que ça peut remonter directement sur la réputation du Kremlin et de la Russie. On peut donc espérer qu'il y aurait moins d'exactions, même s'il faut rester vigilant et prudent. Parce qu'Africa Corps, ça responsabilise directement Vladimir Poutine ? Beaucoup plus que Wagner. Sur le plan économique, Wagner crée des compagnies minières pour exploiter les ressources locales aussi bien au Mali qu'en République centrafricaine. Que va-t-il en être maintenant avec Africa Corps ? Je pense que la logique va se perpétuer, peut-être pas avec les mêmes acteurs, peut-être pas directement avec Africa Corps, qui va sans doute se concentrer sur ses aspects militaires. Mais il faut bien voir que l'on est dans une opération stratégique dans le sens large du terme, c'est-à-dire qu'on fait à la fois du politique, du militaire, du diplomatique, mais aussi de l'économie. Et donc, la Russie n'entend pas perdre les gains économiques de Wagner. Ce n'est pas possible. « Notre présence en Afrique s'accroît, nous allons nous concentrer principalement sur l'interaction économique et l'investissement », affirme Dmitri Peskov, le porte-parole du Kremlin. Ça va se traduire comment sur le terrain économique ? Aujourd'hui, l'un des reproches que l'on fait justement à la Russie, c'est de n'apporter sur le continent que son savoir-faire militaire. Aujourd'hui, elle va aussi essayer de montrer qu'elle sait être un partenaire économique fiable au même titre que la Chine, les pays occidentaux. Wagner, c'était pour trois ans, Africa Corps, c'est pour 30 ans ? Sauf changement de régime, je pense que la Russie est encore pour le moment au Mali, au Niger et au Burkina, dans un cadre plus durable, dans un cadre plus global. Et vous avez rappelé les mots de Peskov : c'est, aujourd'hui, asseoir à la fois du militaire, du diplomatique, de l'économique et même du culturel.
Imaginez : Monaco, le célèbre Rocher, paradis des milliardaires, haut lieu de la finance internationale…Mais aujourd'hui, cette image de place sûre et prestigieuse est en train de vaciller. La Commission européenne s'apprête à placer la principauté sur sa liste noire des juridictions à haut risque en matière de blanchiment d'argent et de financement du terrorisme.Tout commence il y a un an, en juin 2024. Le Groupe d'action financière, ou FATF — le grand gendarme mondial de la lutte contre le blanchiment — inscrit Monaco sur sa liste grise. Une liste qui signale des lacunes sérieuses dans le dispositif anti-blanchiment du pays.Le message est clair : malgré des lois adoptées en urgence fin 2022, la mise en œuvre sur le terrain reste insuffisante. Trop peu de contrôles, un suivi lacunaire des transactions suspectes, et des failles dans la traçabilité des fonds.Or, en Europe, cette inscription sur la liste grise du FATF a une conséquence automatique : Bruxelles doit examiner l'opportunité d'inscrire Monaco sur sa propre liste noire, celle des juridictions dites "à haut risque" pour le système financier de l'Union.Et c'est exactement ce qui est en train de se jouer. Les services de la Commission viennent de finaliser leur évaluation. Sauf coup de théâtre, le Parlement européen devrait valider cette inscription d'ici quelques semaines.Les conséquences ? Elles seraient lourdes pour Monaco.D'abord en termes d'image : la principauté rejoindrait des pays comme le Panama ou le Zimbabwe sur cette liste noire, un coup dur pour son prestige.Ensuite, en pratique : toutes les banques et institutions financières européennes seraient tenues de renforcer drastiquement leurs contrôles sur les transactions avec Monaco. Résultat probable : un net ralentissement des flux financiers, un risque de fuite des clients fortunés vers des places perçues comme plus sûres.Pour Monaco, l'enjeu est désormais vital : il faut démontrer, preuves à l'appui, que les réformes ne sont pas seulement cosmétiques mais bel et bien efficaces. Le gouvernement princier accélère les recrutements d'enquêteurs, renforce les capacités de sa cellule de renseignement financier, tente de convaincre Bruxelles qu'il peut encore éviter l'infamie.Mais le temps presse. Et l'Europe, dans un contexte international marqué par la guerre en Ukraine et la multiplication des réseaux criminels transnationaux, entend durcir le ton.Pour le Rocher, le compte à rebours a commencé. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Le PSG a gagné la Ligue des Champions ! Champions mon frère !!!Sauf que Donald Trump s'en foutCe qui l'intéresse, lui, c'est la Coupe du monde de footballElle aura lieu en 2026 aux Etats-Unis, pour le plus grand plaisir du président américainQui a carrément installé une réplique du trophée dans le Bureau OvaleUne Coupe du monde, c'est un évènement planétaire, idéal pour le businessProblème : le soccer n'est pas hyper populaire en AmériqueMême si les choses sont en train de changerGrace notamment à l'équipe FÉMININE des Etats-UnisUne équipe qui déteste Donald Trump, et que Donald Trump déteste Dans cet épisode, on reviendra sur l'histoire du soccer aux États-Unis, l'occasion de croiser le roi Pelé, des crampons, des sifflets, des ballons, des shorts et un soutien-gorge noir.Pour en savoir plus, une seule adresseLe podcast FIFTY STATESDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce lundi, vous vous êtes levé pour aller au travail. Un lundi comme un autre me direz-vous ! Sauf que celui-ci est un jour férié : le lundi de Pentecôte. Pour certains de vos amis, c'est un jour chômé. Le lundi de Pentecôte n'est pas un jour férié comme les autres, c'est aussi la journée de solidarité. Jour férié ne signifie pas nécessairement jour chômé. Cela dépend de votre convention collective ! Seul le 1ᵉʳ mai, la fête du travail est un jour férié obligatoirement chômé, même si certaines entreprises, en raison de la nature de leurs activités, font exception. On pense par exemple aux hôpitaux, aux transports publics, et même à certains médias. Pour en revenir à la journée de solidarité, elle a traditionnellement lieu le lundi de Pentecôte, mais ce n'est pas obligatoire. Votre employeur peut très bien choisir un autre jour férié, de fractionner vos sept heures de travail au long de l'année ou encore de supprimer une journée de RTT, ou de congés. Mais je ne suis pas censé travailler un jour férié, si ? Comment fonctionne cette journée ? Je suis vraiment obligé d'aller travailler ? Écoutez la suite de cet épisode de "Maintenant vous savez". Un podcast Bababam Originals, écrit et réalisé par Joanne Bourdin. À écouter aussi : Qu'est-ce que le R-Bombing, cette tendance amoureuse toxique ? [SPÉCIAL 5 ANS] 2023 : Est-ce bientôt la fin de la maladie d'Alzheimer ? Qu'est-ce que la tendance CoreCore, ces vidéos étranges qui fascinent TikTok ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez". Suivez Bababam sur Instagram. première diffusion le 01/06/2024 Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
C'était à la fin du printemps 2002. Mickaël Jouis, 25 ans, footballeur amateur et jeune homme plein de projets, était retrouvé mort dans une petite commune du Maine-et-Loire. Un malheureux accident après une soirée festive trop arrosée va conclure la justice. Sauf que les incohérences, les mystères, ne vont cesser de se succéder dans cette affaire. Les parents de Mickaël vont être les premiers à énumérer ces zones d'ombres et à s'interroger sur des détails troublants: une simple chute d'un talus a t-il pu entraîner la mort ? Pourquoi leur fils était-il en partie dénudé ?Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le « travel ban », mesure dévoilée mercredi par Washington, prévoit l'interdiction temporaire d'entrer sur le territoire américain à partir de lundi aux ressortissants de 12 pays, sept en Afrique, et ce, pour des raisons de sécurité ou parce qu'il est reproché à ces États de ne pas coopérer suffisamment dans la gestion des flux migratoires.Le Tchad fait partie des cibles. Interrogé par le site Tchadinfos, le politologue Yamingué Betinbaye estime que « du point de vue de l'administration américaine, [...] le Tchad souffre de sa position géographique avec des pays en crise, comme le Soudan et la Libye, qui le rend vulnérables aux mouvements de terroristes en provenance de ces pays. »Le président tchadien Mahamat Idriss Déby a immédiatement réagi annonçant suspendre l'octroi de visas aux ressortissants américains. « Le Tchad, en adoptant une posture de résistance, envoie un message clair sur la scène internationale, décrypte Tchad Vision. Malgré ses ressources limitées, il valorise son autonomie et sa fierté nationale ».Les citoyens du Congo-Brazzaville eux aussi seront désormais bloqués à l'entrée aux États-Unis Une « annonce rocambolesque », s'étonnent Les Echos du Congo-Brazzaville. « De nombreux congolais se demandent s'il ne s'agit pas d'une erreur nominative, interroge le site, à moins que les services de l'administration Trump n'aient produit des rapports erronés, en toute méconnaissance des bases sociologiques congolaises ». Le média du Congo-Brazzaville tient à rappeler que « le christianisme se pratique majoritairement dans le pays et que les musulmans du Congo sont loin de verser dans l'islamisme radical, encore moins le jihadisme ».Le gouvernement congolais s'est exprimé parlant d'un malentendu qui devrait se régler par des discussionsJour de fête dans le monde musulmanLa Tabaski, comme elle est appelée en Afrique de l'Ouest, est marquée traditionnellement par le sacrifice d'un mouton. Sauf que cette année,« cette célébration se déroule dans un contexte économique extrêmement tendu » au Sénégal « où l'achat d'un mouton est devenu un luxe que de nombreuses familles ne peuvent plus se permettre », s'alarme Afrik.com. Sur les marchés de Dakar, Thiès ou Kaolack, le prix d'un mouton« digne de la Tabaski oscille entre 150 000 et 350 000 francs CFA alors que le salaire moyen peine à dépasser les 90 000 », écrit le site.« Un luxe difficilement accessible », c'est aussi une réalité pour de nombreux Maliens écrit le site Maliweb. Les sommes à débourser pour acheter un ovin sont jugées« excessives », dans un contexte de « pouvoir d'achat en baisse », de « chômage persistant » et où les denrées alimentaires de base ont augmenté de 30 % à 50 % depuis le début d'année. « On fait avec les moyens du bord », souffle Mariam Maïga, une enseignante interrogée, qui compte partager l'achat d'un mouton avec sa sœur. Certains « optent pour des moutons plus petits, tandis que d'autres se tournent vers les chèvres ». « Les familles s'adaptent, et dans l'épreuve, elles prouvent une fois de plus leur capacité à célébrer avec dignité et résilience. ».Un Aïd à la « tournure particulière » au MarocC'est Le Matinqui rappelle que l'Aïd sera différent des autres années. Le royaume a en effet recommandé d'annuler le sacrifice rituel pour « préserver le cheptel national » mal en point après des années de sécheresse, mais aussi pour « soulager les foyers à revenus modestes ».En dépit de cela, explique le journal marocain, « de nombreux citoyens se ruent sur les boucheries ». Mais une fois en boutique, le prix de la viande d'agneau alimente le mécontentement de ces consommateurs : Le Matin cite une députée de la fédération de gauche démocratique qui accuse certains grossistes et bouchers de limiter « volontairement l'abattage pour créer une rareté artificielle, ce qui accentue mécaniquement la pression sur les prix. Un phénomène aggravé, selon elle, par l'absence d'un contrôle rigoureux » de l'État.
Voyagez à plusieurs pour ne pas mourir seuls...Pour écouter le 5ème Quarts d'Heure, abonnez-vous à Supercast comme ceci :Téléchargez une application de podcasts (Apple Podcasts, Podcast Addict, Castbox, Spotify, Deezer, Amazon Music...) : elles sont toutes gratuites ! Cliquez sur le lien suivant : https://4quartsdheure.supercast.com/Attention, les formules d'abonnement proposées sont hors TVA.Abonnez-vous à 4 Quarts d'Heure sur :Apple PodcastsSpotifyDeezerPodcast AddictSuivez-nous sur Instagram :Louise : @petrouchka_Kalindi : @kalramphulAlix : @alixmrtnCamille : @camille.lorente Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Phénix est un jeune renard-mage qui éternue fort. Très fort. Et dans son monde, l'éternuement est puissant, plus la magie fonctionne. Sauf qu'il n'a le droit que d'utiliser des sorts de trois rien. Mais lorsqu'un vieux grimoire sacré disparaît, Phénix n'a d'autre choix que de partir à l'aventure avec ses petits sorts et ses éternuements super-puissants.Une histoire pleine d'inventions loufoques et de magie pas comme les autres. Pour les enfants dès 7 ans — et tous les allergiques à l'ennui.Crédits : cette p'tite histoire a été écrite par Mathieu Genelle grâce à la liste d'ingrédients de Tuupon2. Racontée par Karine Texier. Enregistrement, montage et générique : Studio Module. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
On passe 90% de notre temps à l'intérieur. Autant dire qu'on a tous intérêt à s'y sentir bien. Et que l'on vive dans un studio ou une grande maison, on peut vite se sentir à l'étroit. Quand ça déborde, on empile, on entasse… et on étouffe. Sauf que parfois, ce n'est pas la taille du logement le problème, mais plutôt la manière dont on l'a organisé. Le plus important c'est d'observer son quotidien. Où est-ce que vous accumulez ? Qu'est-ce qui traîne toujours ? Si chaque logement est différent, chaque façon de vivre l'est aussi. Il faut donc adapter votre intérieur à vos véritables besoins. Côté meubles, quelles sont les astuces ? Et si on ne peut pas faire de travaux ? Ecoutez la suite de cet épisode de "Maintenant vous savez" Un podcast Bababam Orginals écrit et réalisé par Joanne Bourdin A écouter ensuite : À quoi sert la petite voix dans notre tête ? Comment lutter contre la procrastination avec la méthode du “task snacking” ? Qu'est-ce que la médecine quantique, cette arnaque qui envahit les réseaux sociaux ? Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
durée : 00:03:39 - Le monde à 18h50 - par : Franck MATHEVON - Dans son dernier rapport annuel, l'institut de recherche suédois V-Dem dresse un tableau précis et étayé de l'autocratisation du monde. Son constat rejoint les aspirations d'une partie des citoyens des pays démocratiques, tentés par l'autoritarisme.
Aujourd'hui, Jean-Loup Bonnamy, Charles Consigny et Flora Ghebali débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Au programme :Résultats de Sony: tout va mieux que bienLa presse se rebelle contre Nvidia, explication du scandaleNos jeux du momentDeliver At All CostsDoom The Dark AgesClair obscur : Expedition 33Le reste de l'actualité---Infos :Animé par Patrick Beja (Bluesky, Instagram, Twitter, TikTok)Co-animé par Cassim Montilla (Bluesky).Co-animé par Valentin Cebo (Noddus) (Bluesky).Produit par Patrick Beja (LinkedIn) et Fanny Cohen Moreau (LinkedIn).Musique libre de droit par Daniel Beja.Le Rendez-vous Jeux épisode 400 – Tout le monde y gagne, sauf nous – Résultats Sony, scandale Nvidia, Deliver At All Costs, Doom The Dark Ages, Expedition 33---Liens :
Martin veut aider les élèves, à se déconnecter pendant la journée, avec un brouilloteur. Sauf que le brouilloteur déborde jusque chez un fleuriste. Et là, ça coince.
A la toute fin du printemps 2002, Mickaël Jouis, 25 ans, était retrouvé mort au pied d'une petite falaise, dans un village du Maine-et-Loire. Un décès sans cause officielle, sans explication médicale, sans trace de coup apparente. Pour les autorités, l'explication était vite trouvée. Une mauvaise chute après une soirée trop arrosée avec la jeunesse locale. Les parents, Marc et Marie-Josèphe devaient se faire une raison, se résoudre à la fatalité d'un non-lieu. Sauf que dans cette affaire, des indices, des déclarations des témoignages ne vont jamais cesser d'émerger. Retrouvez tous les jours en podcast le décryptage d'un faits divers, d'un crime ou d'une énigme judiciaire par Jean-Alphonse Richard, entouré de spécialistes, et de témoins d'affaires criminelles.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
A la toute fin du printemps 2002, Mickaël Jouis, 25 ans, était retrouvé mort au pied d'une petite falaise, dans un village du Maine-et-Loire. Un décès sans cause officielle, sans explication médicale, sans trace de coup apparente. Pour les autorités, l'explication était vite trouvée. Une mauvaise chute après une soirée trop arrosée avec la jeunesse locale. Les parents, Marc et Marie-Josèphe devaient se faire une raison, se résoudre à la fatalité d'un non-lieu. Sauf que dans cette affaire, des indices, des déclarations des témoignages ne vont jamais cesser d'émerger. Retrouvez tous les jours en podcast le décryptage d'un faits divers, d'un crime ou d'une énigme judiciaire par Jean-Alphonse Richard, entouré de spécialistes, et de témoins d'affaires criminelles.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Elle avait la vie dont beaucoup rêvent à Paris, une vie bien réglée. Mais en quête de sens, au terme de voyages en Inde et en Australie, Pauline part enseigner le yoga dans un surf camp au sud du Maroc, pensant n'y rester que quelques semaines. Sauf que le voyage prend une autre tournure. Là-bas, elle rencontre Youssef, guide de montagne originaire des vallées de l'Atlas. Le coup de foudre est immédiat. Très vite, elle lâche tout de sa vie d'avant. Et ensemble, ils créent une petite entreprise "Amazigh Hike & Yoga" qui mêle randonnées, yoga et immersion dans la culture amazighe. Aujourd'hui, Pauline vit entre l'océan et les montagnes, dans un quotidien simple mais profondément aligné. Une histoire d'amour, de déracinement choisi, et d'un nouveau chemin tracé loin des sentiers battus.Un témoignage croisé de Pauline et Youssef.Pour retrouver l'entreprise de Pauline et Youssef : https://amazighhikeandyoga.com/French Expat est un podcast de French Morning qui raconte les parcours de vie des Français établis hors de France. Retrouvez-le sur toutes les plateformes d'écoute : Spotify, Apple Podcast, Deezer, Google Podcast, Podcast Addict, Amazon Music. Cet épisode est raconté, produit et réalisé par Anne-Fleur Andrle, habillé et mixé par Alice Krief. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.