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Aujourd'hui, Jean-Loup Bonnamy, prof de philo, Flora Ghebali, militante dans la transition écologique, et Charles Consigny, avocat, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
La situation des immigrés mexicains aux États-Unis est de plus en plus précaire. Entre le harcèlement des agents de l'ICE, qui pratiquent des descentes musclées dans les villes américaines, et les discours hostiles de Donald Trump à l'encontre de l'immigration, le climat est de plus en plus tendu. Deux millions de personnes auraient quitté le pays selon le Département américain de la sécurité intérieure : 400 000 expulsés et 1,6 million de départs volontaires. Même si cette dernière estimation est compliquée à vérifier, beaucoup de Mexicains rentrent effectivement au Mexique. Sauf que le retour n'est pas une chose simple. « Je n'ai pas pleuré. J'ignore pourquoi. J'ai longtemps vu ma fille uniquement au téléphone, et de la voir en vrai là... Je ne pouvais rien dire. J'étais juste capable de la regarder et de l'embrasser. Mais tous les deux, on avait envie de pleurer, d'être restés si longtemps sans se voir et d'être ensemble à nouveau », raconte José Luis. Après 26 ans passés aux États-Unis, il a retrouvé sa ville natale d'Acapulco et sa fille devenue adulte. Il a choisi de s'auto-expulser. De retour dans son pays d'origine, le Mexique, il est pris par des sentiments mélangés et « la nostalgie de ne plus voir tes proches que tu as aimés. Je suis parti et j'ai laissé ma grand-mère, mes oncles, ma mère. Tout est revenu d'un coup. C'est pour cela, je crois, que je n'ai pas pu pleurer. J'avais ce nœud dans ma gorge, je ne pouvais même plus parler », ajoute-t-il. La famille de José Luis est éclatée entre les deux pays. Il a été attrapé par les services de l'immigration américaine. Sans papiers, il n'a pas eu d'autre choix que de rentrer. Depuis le retour de Donald Trump à la Maison Blanche, il s'inquiète pour ses proches et raconte comment la vie est devenue infernale en Arizona : « Ça a été rapide et catastrophique. Avant, tu pouvais quand même aller au parc, au cinéma, ou manger dans la rue. Maintenant non, tu ne peux plus. Tu fais tes courses et tu rentres chez toi, à cause de la peur qu'ils t'attrapent. » À lire aussiLe Mexique se prépare à accueillir les migrants expulsés des Etats-Unis À son retour, José Luis a été accueilli par le programme consulaire Mexico te Abraza, lancé en janvier, qui lui a payé son transport jusqu'à sa ville d'origine. Pour Israel Concha, fondateur d'une association de Mexicains revenus des États-Unis, ce n'est pas à la hauteur des difficultés qu'ils rencontrent. « Nous ne sommes pas des migrants de passage. C'est très triste qu'il n'y ait pas de vrai accompagnement pour nous, qu'il n'y ait pas réellement d'aides. Pas seulement au moment de l'expulsion, mais pour nous permettre de nous réinsérer dans la société mexicaine », déplore-t-il. Il dénonce les obstacles de l'administration mexicaine pour réaliser certaines démarches au moment de l'installation. Après de longues années loin du pays, de nombreux Mexicains vivent un choc culturel et émotionnel. Parfois même, ils sont victimes de discrimination quand ils ont grandi de l'autre côté et ne maîtrisent pas, ou plus parfaitement, la langue espagnole. « Nous, ce qu'on voit, c'est un exode des Mexicains qui rentrent dans leur pays. C'est une crise humanitaire. Imagine devoir vivre dans l'ombre aux États-Unis, être persécuté. Puis se sentir rejeté par notre propre pays qui nous tourne le dos... La présidente Claudia Sheinbaum nous appelle héros et héroïnes de la nation, mais où est le soutien ? », interroge Israel Concha. Environ 11 millions de Mexicains vivent aux États-Unis. Au moins 75 000 personnes seraient rentrées ainsi depuis le début de l'ère Trump. À lire aussiAu Mexique, une loterie nationale pour aider les migrants mexicains aux États-Unis
La situation des immigrés mexicains aux États-Unis est de plus en plus précaire. Entre le harcèlement des agents de l'ICE, qui pratiquent des descentes musclées dans les villes américaines, et les discours hostiles de Donald Trump à l'encontre de l'immigration, le climat est de plus en plus tendu. Deux millions de personnes auraient quitté le pays selon le Département américain de la sécurité intérieure : 400 000 expulsés et 1,6 million de départs volontaires. Même si cette dernière estimation est compliquée à vérifier, beaucoup de Mexicains rentrent effectivement au Mexique. Sauf que le retour n'est pas une chose simple. « Je n'ai pas pleuré. J'ignore pourquoi. J'ai longtemps vu ma fille uniquement au téléphone, et de la voir en vrai là... Je ne pouvais rien dire. J'étais juste capable de la regarder et de l'embrasser. Mais tous les deux, on avait envie de pleurer, d'être restés si longtemps sans se voir et d'être ensemble à nouveau », raconte José Luis. Après 26 ans passés aux États-Unis, il a retrouvé sa ville natale d'Acapulco et sa fille devenue adulte. Il a choisi de s'auto-expulser. De retour dans son pays d'origine, le Mexique, il est pris par des sentiments mélangés et « la nostalgie de ne plus voir tes proches que tu as aimés. Je suis parti et j'ai laissé ma grand-mère, mes oncles, ma mère. Tout est revenu d'un coup. C'est pour cela, je crois, que je n'ai pas pu pleurer. J'avais ce nœud dans ma gorge, je ne pouvais même plus parler », ajoute-t-il. La famille de José Luis est éclatée entre les deux pays. Il a été attrapé par les services de l'immigration américaine. Sans papiers, il n'a pas eu d'autre choix que de rentrer. Depuis le retour de Donald Trump à la Maison Blanche, il s'inquiète pour ses proches et raconte comment la vie est devenue infernale en Arizona : « Ça a été rapide et catastrophique. Avant, tu pouvais quand même aller au parc, au cinéma, ou manger dans la rue. Maintenant non, tu ne peux plus. Tu fais tes courses et tu rentres chez toi, à cause de la peur qu'ils t'attrapent. » À lire aussiLe Mexique se prépare à accueillir les migrants expulsés des Etats-Unis À son retour, José Luis a été accueilli par le programme consulaire Mexico te Abraza, lancé en janvier, qui lui a payé son transport jusqu'à sa ville d'origine. Pour Israel Concha, fondateur d'une association de Mexicains revenus des États-Unis, ce n'est pas à la hauteur des difficultés qu'ils rencontrent. « Nous ne sommes pas des migrants de passage. C'est très triste qu'il n'y ait pas de vrai accompagnement pour nous, qu'il n'y ait pas réellement d'aides. Pas seulement au moment de l'expulsion, mais pour nous permettre de nous réinsérer dans la société mexicaine », déplore-t-il. Il dénonce les obstacles de l'administration mexicaine pour réaliser certaines démarches au moment de l'installation. Après de longues années loin du pays, de nombreux Mexicains vivent un choc culturel et émotionnel. Parfois même, ils sont victimes de discrimination quand ils ont grandi de l'autre côté et ne maîtrisent pas, ou plus parfaitement, la langue espagnole. « Nous, ce qu'on voit, c'est un exode des Mexicains qui rentrent dans leur pays. C'est une crise humanitaire. Imagine devoir vivre dans l'ombre aux États-Unis, être persécuté. Puis se sentir rejeté par notre propre pays qui nous tourne le dos... La présidente Claudia Sheinbaum nous appelle héros et héroïnes de la nation, mais où est le soutien ? », interroge Israel Concha. Environ 11 millions de Mexicains vivent aux États-Unis. Au moins 75 000 personnes seraient rentrées ainsi depuis le début de l'ère Trump. À lire aussiAu Mexique, une loterie nationale pour aider les migrants mexicains aux États-Unis
Quelles solutions face à la crise du logement que traverse la France ? Alors que de nombreux jeunes en particulier ne parviennent plus à se loger dans les grandes villes, une nouvelle forme d'habitat partagé se développe de plus en plus ces dernières années : le coliving. Il s'agit, comme la colocation, d'un même appartement dont plusieurs personnes louent les chambres. Sauf que chacun a ici son propre bail, pour une chambre, et un accès partagé à des services. Face à ce que les détracteurs de ce système qualifient de « machine à cash », la ville de Paris a agi : en octobre, elle a adopté une délibération pour refuser tout nouveau projet immobilier de coliving. Nous sommes dans un coliving. Ici, chacun loue sa chambre meublée, et les 600m² de cuisine, salon et salle de sport communes. Ce n'est pas vraiment une colocation traditionnelle, car les baux sont individuels et gérés par une société qui vend un logement clé en main. Victor Augais, le gérant, défend son modèle : « Le modèle habituel de la Casa, c'est de racheter des grandes maisons qui logeaient quatre, six personnes, et puis en fin de vie, deux personnes âgées. Nous, après réaménagement, on va faire une douzaine de chambres. Ça me semble plutôt positif, dans un cadre de pénurie de logements, que négatif. » Le loyer est de 675 euros, auxquels s'ajoutent 275 euros de charges et services, dont un petit-déjeuner quotidien. « On loue chambre et une partie des parties communes. Une douzaine de m² pour la chambre et la salle de bain, et à peu 11m² de part de partie commune », poursuit-il. Payer 950 euros par mois, n'est-ce pas un peu cher pour 10m² de partie individuelle ? Il répond : « Les pratiques de loyer sont conformes au marché. Si vous voulez avoir juste une partie privative et rien d'autres, louez un studio. » Vers une régulation du marché du coliving ? Un discours trompeur selon Ian Brossat, sénateur communiste de Paris et membre du conseil municipal. Son groupe a rédigé la délibération du 8 octobre 2025 pour rejeter tout nouveau projet de coliving dans la capitale. « Non, ça ne se justifie que le prix d'une chambre de 9m² s'élève à 950 euros de loyer, même si on a la possibilité de fréquenter des espaces communs. Comme nous avons encadré Airbnb, eh bien, les mêmes acteurs se tournent vers un nouveau produit qui doit leur permettre d'atteindre les mêmes niveaux de rentabilité qu'ils n'atteignent plus aujourd'hui sur Airbnb. C'est ça, la réalité », analyse Ian Brossat. Une expérience qu'a vécue Julia, étudiante argentine arrivée à Paris il y a deux ans. Elle a loué pendant un an une chambre dans un coliving du 15e arrondissement de Paris : 10m² meublés pour 990 euros par mois. « C'est hyper cher », précise-t-elle. Les garants argentins de Julia étaient presque systématiquement refusés par les bailleurs. « À ce moment-là, c'est la seule solution que j'avais trouvée pour pouvoir vivre ici à Paris. Ils profitent de la situation des étrangers désespérés. J'avais surtout de l'argent de côté. J'ai payé le loyer pendant six mois, et après, j'ai trouvé un travail ici en France. C'est devenu un peu plus facile. » Ian Brossat et le groupe communiste au Sénat ont déposé une proposition de loi pour réguler le marché du coliving à l'échelle nationale. D'autres villes, comme Lyon ou Montreuil, envisagent aussi d'encadrer ce type d'habitat. À lire aussiPourquoi les prix des logements s'envolent ?
durée : 00:05:21 - La Revue de presse internationale - par : Catherine Duthu - Les dépenses vertigineuses des géants de la tech pour développer des centres de données, des puces électroniques, s'accumulent, quitte à s'endetter. Sauf que les profits dans l'IA sont insuffisants. Cette bulle financière pourrait éclater, sur le modèle de celle des chemins de fer au XIXe siècle. - invités : Yamina Tadjeddine économiste et professeure d'économie à l'Université de Lorraine
Ces oiseaux parcourent plusieurs centaines de kilomètres pour rejoindre leur pigeonnier, à plus de 70km/h de moyenne. Leurs capacités d'orientation sont aussi exceptionnelles. « Voilà, c'est parti ! » Rémi Seimpère est colombophile, éleveur de pigeons voyageurs, et il vient de lâcher l'un de ses 130 oiseaux qui logent dans le pigeonnier situé au fond de son jardin de la banlieue sud de Paris. « C'est parti, il va faire son petit sport quotidien, et les autres ont compris que c'est l'heure du petit entraînement, donc ça va partir comme des fusées ! », s'exclame-t-il. Les pigeons trépignent dans le pigeonnier, agitent leurs ailes, jusqu'à ce que Rémi Seimpère ouvre la trappe. Alors les uns après les autres, à la queue leu leu, les oiseaux s'envolent dans le ciel. Sauf une femelle, qui préfère rester sur le toit de l'autre pigeonnier, celui où sont placés les mâles. « Elle a été séparée, il n'y a pas très longtemps, de son mâle qui se trouve dans le pigeonnier d'à côté. Elle a moins envie de voler que de rejoindre son conjoint », rigole Rémi Seimpère. Voyageur et sédentaire Les pigeons voyageurs, aux pattes beaucoup plus musclées que les pigeons biset – ceux qu'on rencontre en ville –, sont de véritables sportifs. À chaque course, l'oiseau est lâché loin de son pigeonnier, à 500, 600 ou même 1 000 kilomètres, et il rentre à toute vitesse, à 70 km/h au moins, avec des pointes qui peuvent atteindre les 120km/h pour les plus performants quand le vent est favorable. C'est le paradoxe du pigeon voyageur, comme le souligne le colombophile : « Il est voyageur avant tout parce qu'il est sédentaire. Il est attaché à son pigeonnier. Il ne faut pas croire que le pigeon voyageur part de son pigeonnier, va quelque part et revient. Ce n'est pas un migrateur. » Mais comme les oiseaux migrateurs, le pigeon possède quelques qualités d'endurance et des capacités pour se repérer dans l'espace et s'orienter. Les sens de l'orientation Au-dessus de nos têtes, les pigeons libérés tout à l'heure continuent leur vol groupé. Ils se dégourdissent les ailes, et ça fait partie de leur entraînement. « Ils vont tourner autour de leur pigeonnier pendant 30, 40, 50 minutes, voire une heure, et c'est ainsi qu'ils repèrent les lieux autour de leur pigeonnier. Donc on peut supposer qu'ils ont une mémoire visuelle, détaille Rémi Seimpère. Ensuite, quand on les éloigne à un ou deux kilomètres, pour les premiers entraînements, on suppose qu'ils ont une bonne vue qui leur permet de revenir. Certainement qu'ensuite, ils repèrent les lieux par leur odorat, par d'autres moyens, avec des entraînements qui se déroulent à dix, vingt, trente ou cinquante kilomètres. Le pigeon s'oriente alors avec le champ magnétique terrestre, grâce à une sorte de boussole qui se trouve sous les narines. C'est le cumul de plusieurs sens qui leur permet de revenir chez eux. » Pigeons dopés Longtemps, dans l'armée, les pigeons voyageurs ont été utilisés pour transmettre des messages. Un pigeon héroïque avait même été décoré de la Croix de guerre 14-18. La technologie les a supplantés, mais la colombophilie perdure, avec 8 300 éleveurs en France. « Je compare souvent notre passion aux chevaux de course : le fait de faire de l'élevage, d'améliorer continuellement la race et de les faire participer à des concours ou des courses. » Mais la passion peut rendre fou. En 2020, un colombophile chinois a acheté un pigeon belge plus d'1,5 million d'euros. Et il y a même des cas de dopage, avec « de l'EPO, de la cortisone, des choses qui permettent au pigeon d'aller au-delà de ses capacités naturelles », regrette Rémi Seimpère. Si un jour, un pigeon remporte l'ascension de l'Alpe d'Huez à vélo, on se sera vraiment fait pigeonner ! À lire aussiInde: un pigeon voyageur, soupçonné d'être un «espion chinois», relâché après huit mois d'enquête
On a bientôt fait la moitié du mois de novembre! Le CH n’est pas sur une bonne séquence… Un chalet saccagé par des locataires. Tour de table entre Isabelle Perron, Alexandre Dubé et Mario Dumont. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Le scénario est souvent celui-ci : Il pleure. Sa voix tremble. On devine les sanglots étouffés d'un jeune homme en détresse. Il dit s'appeler Lucas, il dit avoir eu un accident. Il a besoin d'aide. Et vous, à l'autre bout du fil, vous n'avez aucun doute : c'est bien la voix de votre neveu. Vous la reconnaissez. Sauf que… Lucas n'a jamais décroché son téléphone. Ce n'est pas lui. C'est une IA.Autre scénario, et qui a vraiment eu lieu celui-ci, en 2023, Jennifer DeStefano, une mère de famille américaine, reçoit un appel paniqué : sa fille de 15 ans, Briana, pleure, supplie qu'on vienne la sauver. En arrière-plan, des voix masculines hurlent qu'ils vont lui faire du mal si elle ne paie pas une rançon. Jennifer est tétanisée : la voix est celle de sa fille, les intonations, les sanglots, tout y est. Mais la police découvrira plus tard qu'il s'agissait d'une copie vocale générée par IA à partir de quelques secondes de vidéos postées sur TikTok. L'arnaque n'a duré que quelques minutes, mais elle a suffi à plonger une famille entière dans la terreur. Depuis, les experts en cybersécurité tirent la sonnette d'alarme : les IA vocales émotionnelles savent désormais imiter non seulement la voix, mais aussi la peur, la douleur, la tendresse. Bref les émotions ! En moins d'une minute d'enregistrement, un logiciel peut ainsi créer une fausse conversation chargée émotionnellement et d'une authenticité glaçante.C'est ce qu'on appelle des “arnaques émotionnelles IA” et elles se multiplient : faux appels d'urgence, fausses vidéos de proches, voire faux amoureux numériques sur des sites de rencontre, capables de vous parler des heures avant de réclamer une aide financière.Le danger, vous l'avez compris, et c'est là toute la nouveauté, c'est l'émotion. Ces IA savent exactement où frapper : dans le réflexe humain de compassion. Pourquoi ? Parce que ace à une voix qui pleure, notre cerveau perd en rationalité. Il baisse la garde. Une étude neuro-cognitives publiée en 2024 dans Nature Communications montre ainsi que lorsqu'une voix émotive (pleurs, détresse) parvient à un auditeur, la réponse cérébrale de celui-ci priorise le signal affectif plutot que la rationnalité— ce qui réduit la vigilance et favorise une décision impulsive.La solution ? La protection numérique.Toujours vérifier, toujours rappeler via un autre canal. Et s'équiper d'outils capables de repérer les signaux d'alerte : comme les antivirus et les solutions de protection contre les arnaques d'Avast, qui soutient cet épisode. La version payante d'Avast identifie et bloque les appels frauduleux, permettant aux utilisateurs de choisir entre répondre, ou ignorer ses appels.D'ailleurs faites particulièrement attention aux arnaques liées aux achats de fin d'année. Une récente étude d'Avast révèle que 22 % des consommateurs français affirment en avoir été victimes pendant les fêtes l'année dernière. A cette période, nous avons tendance à baisser la garde en ligne et les escros le savent. Les arnaques vont donc se multiplier et seront toujours plus sophistiquées.Aussi je vous invite à tester l'Antivirus Gratuit d'Avast qui offre une protection complète contre les virus, les malwares et les escroqueries en ligne sur PC, Mac, et smartphones (iOS et Android). A télécharger depuis depuis Google Play et l'App Store d'Apple ou en cliquant directement sur le lien suivant:https://www.avast.com/fr-fr/lp-free-av?full_trSrc=mmm_ava_tst_008_470_g&utm_source=codesource&utm_medium=referral&utm_campaign=mid-funnel_mmm_ava_tst_008_470_g&utm_content=mid_audio Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Martin veut faire construire une piscine. Sauf que son terrain n'est pas pisciniste. Heureusement, son voisin, lui, a un terrain pisciniste. Donc Martin veut faire construire sa piscine sur le terrain de son voisin, qui a un garage automobile. Bon, ça coince un peu.
Une chance que le 6h20 est à 6h20 ... À quelle date les médias meurent ? Le vin de la semaine avec Phil !
Martin veut faire construire une piscine. Sauf que son terrain n'est pas pisciniste. Heureusement, son voisin, lui, a un terrain pisciniste. Donc Martin veut faire construire sa piscine sur le terrain de son voisin, qui a un garage automobile. Bon, ça coince un peu.
En marge de la COP30, le SPF Environnement a publié un premier état des lieux des plans de transition climatique des banques belges. Résultat: le secteur financier a encore beaucoup de mal à intégrer le risque climatique dans ses activités en raison du manque de données fiables, mais aussi de vision politique. Côté fiscalité, pas de répit pour les investisseurs. Sauf surprise de dernière minute, la taxe sur les plus-values devrait bien entrer en vigueur dès le 1er janvier 2026, malgré les incertitudes qui entourent encore le bouclage du budget fédéral. Et pendant ce temps, l’Europe veut accélérer sur le rail à grande vitesse. La Commission européenne prépare un plan d’investissement colossal, de plusieurs centaines de milliards d’euros d’ici 2040, pour faire du train la véritable alternative à l’avion sur les courtes et moyennes distances. > Finance Avenue 2025, le salon de l'argent pour toutes vos questions financières. > Inscrivez-vous au Rallye Boursier de L'Echo! Présentation: Ondine Werres Le Brief, le podcast matinal de L'Echo Ce que vous devez savoir avant de démarrer la journée, on vous le sert au creux de l’oreille, chaque matin, en 7 infos, dès 7h. Le Brief, un podcast éclairant, avec l’essentiel de l’info business, entreprendre, investir et politique. Signé L’Echo. Abonnez-vous sur votre plateforme d'écoute favorite Apple Podcast | Spotify | Podcast Addict l Castbox | Deezer | Google PodcastsSee omnystudio.com/listener for privacy information.
durée : 00:20:12 - Journal de 18h - Sonné par des revers électoraux, le président américain sort le carnet de chèques avant les élections de mi-mandat en novembre 2026. Donald Trump compte utiliser le produit de ses droits de douane pour distribuer un "dividende" à la population américaine, à l'exception des "gens à haut revenu".
durée : 00:20:12 - Journal de 18h - Sonné par des revers électoraux, le président américain sort le carnet de chèques avant les élections de mi-mandat en novembre 2026. Donald Trump compte utiliser le produit de ses droits de douane pour distribuer un "dividende" à la population américaine, à l'exception des "gens à haut revenu".
Il y a des noms d'acteurs qui convoque tout de suite une forme de nostalgie des samedis soirs en famille dans les années 90, devant ces films d'action avec une légère tension érotique, typique de ces années-là, qui faisait qu'on était tous un peu gênés sur le canapé. Michael Douglas fait partie de ceux qui incarnent tout de suite ça, vous trouvez pas ? Avec Liaison fatale, Basic Instinct, Harcèlement, ce genre de films, il a longtemps été cet homme viril et un peu brut qui se laisse entraîner par ses pulsions - très souvent sexuelles. Et je sais pas vous, mais moi je me suis un peu arrêtée là, sur un bon acteur de thriller érotique. Sauf que si j'avais creusé un peu plus, j'aurais réalisé que tout était un peu plus compliqué que ça. Et plus intéressant, du coup. Parce que Michael Douglas, il n'a pas été ce personnage qu'à l'écran, il a vraiment été ce type-là, à vif, ultra vulnérable, très enclin aux addictions en tout genre. Des problèmes qui trouvent leurs origines dans l'enfance dorée mais malheureuse de l'acteur, et qu'il a dû faire soigner tout au long de sa vie… Des problèmes qui ont représenté des obstacles énormes dans sa vie amoureuse. Vous vous souvenez peut-être de toute l'histoire autour de son cancer de la langue, dû à une pratique excessive du…cunnilingus. Dans cet épisode, au micro de Scandales se succèdent :Marc Eliot, biographe américain, qui a signé la bible sur la vie de Michael DouglasJessa Crispin, critique culture, rédactrice en chef de The Culture We Deserve et auteure de What is Wrong With MenChris Donahue, thérapeute et sexologue américain Scandales est un podcast de Madame Figaro, écrit et présenté par Marion Galy-Ramounot, et produit par Lucile Rousseau-Garcia. Camille Lamblaut a été chargée d'enquête. Océane Ciuni est la responsable éditoriale de Scandales, un podcast produit par Louie Créative, l'agence de contenus audios de Louie Média. Cet épisode est à retrouver sur toutes les plateformes d'écoutes : Apple Podcast, Spotify, Deezer et Amazon Music.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, prof d'histoire-géo, Laura Warton Martinez, sophrologue, et Charles Consigny, avocat, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
C'est un couple mythique de la pop culture : le duo Ross et Rachel de la série Friends. Ils ont flirté, se sont aimés, déchirés, jalousés… Mais que cache cette relation pour le moins tumultueuse ? Quelle vision de l'amour le couple Ross et Rachel nous donne-t-il à voir ? Découvrez la face cachée de cette histoire d'amour emblématique de la pop culture. Rencontre à Central Perk Au café de Central Perk, dans le quartier de Greenwich Village, à New York. Cinq amis sont des habitués du lieu. Plusieurs fois par semaine, Ross, Monica, Chandler, Joey et Phoebe s'affalent les uns contre les autres sur le canapé rouge et le fauteuil vert en velours, une tasse de chocolat chaud en main. Sauf que ce jour-là, ce n'est pas la grande forme autour de la table basse : Ross, le frère de Monica, est déprimé. Il vient de se faire quitter par sa femme. Carole est partie avec une autre. Un podcast Bababam Originals Ecriture : Anaïs Koopman Voix : François Marion, Lucrèce Sassella Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Après le succès tonitruant du premier Tomb Raider, Eidos et Core Design ont très vite resservi le couvert avec un deuxième opus plein de grandes ambitions : cette fois-ci, la franchise lorgnera du côté de James Bond avec des séquences hollywoodiennes, des véhicules, une grande panoplie d'armes et des ennemis humains à n'en plus finir. Avec ses environnements contemporains, la série s'éloigne d'une partie de ce qui avait fait son succès. Pour le meilleur ou pour le pire ? C'est ce que nous allons voir dans cette longue vidéo qui retrace toute l'histoire de sa conception, avec au programme le départ des créateurs de Lara, l'avidité maximale de Core Design et un crunch à n'en plus finir ! Que du fun ! » SOMMAIRE (00:00:00) Introduction (00:09:17) Développement : Le départ des créateurs (00:34:07) Développement : Nouvelle équipe, nouvelles intentions ? (00:47:47) Développement : Une production éreintante (00:55:21) Développement : Marketing et Succès tonitruant (01:15:06) Scénario : Histoire et cinématiques (01:38:25) Scénario : L'évolution de Lara Croft (01:53:32) Scénario : Inspirations historiques et mythologiques (02:15:52) Scénario : Avis global sur l'histoire (02:18:52) Game Design : Un massacre dans la ville (02:45:56) Game Design : Les autres évolutions de la formule (03:02:19) Level Design : Les changements structurels (03:23:55) Level Design : Des niveaux plus clivants (04:49:54) Level Design : Conclusion (04:54:56) Les évolutions techniques (05:10:16) Audio : Un sound design toujours aussi efficace (05:14:10) Audio : Des musiques toujours aussi belles (05:36:35) Conclusion
Partons à la rencontre d'un enfant du pays bamiléké qui se rêvait Magellan, voyageant tout autour du monde ; un Camerounais d'origine et lyonnais d'adoption, qui a traversé la grande histoire en vivant la sienne. Il s'appelle Boniface Magellan Nguelo. Cet homme, aujourd'hui âgé de plus de 80 ans, aura mené une vie intrépide et férocement curieuse, de ses collines natales de l'Ouest camerounais à l'époque coloniale à l'Andalousie en passant par la Guinée équatoriale et enfin la France où il a posé ses valises depuis plus de quarante ans. Une vie exemplaire aussi à plus d'un titre, de toute une génération, trop longtemps restée dans l'ombre, d'aventuriers africains de la migration qui aurait pu rester anonyme… Sauf qu'un jour, au cœur du vieux Lyon et de l'automne, Boniface, artiste dans l'âme, a croisé le chemin de l'écrivain voyageur et ethnologue français Jean-Yves Loude, qui s'est fait connaître pour ses enquêtes sur les mémoires assassinées des Afriques et ses traversées du monde portugais. Ainsi, après trois décennies d'amitié curieuse, mais pudique, entre les deux hommes, Jean-Yves Loude a entrepris de raconter de sa plume alerte l'histoire de son ami peintre et grand voyageur, dans un livre «L'enfant voyageur» paru en France aux Éditions Magellan. En rédigeant les mémoires de ce passe-frontières, en célébrant l'ouverture et l'altérité qui a présidé à leur rencontre comme à leurs existences respectives, Jean-Yves Loude fait de Boniface un «explorateur des temps modernes», un «nouveau découvreur». Car «combien d'Africains sont-ils admis dans le cercle des voyageurs prestigieux, partis de leur plein gré pour enrichir, à leur retour, la connaissance des communautés humaines?» Rencontre avec Boniface Magellan Nguelo et Jean-Yves Loude, à l'occasion du Festival du Grand Bivouac qui s'est tenu à Albertville en octobre 2025. À lire : - «L'enfant voyageur, une histoire camerounaise», de Jean-Yves Loude. Éditions Magellan. 2025- «Le chemin des vierges enceintes», de Jean-Yves Loude, avec Viviane Lièvre. Éditions Chandeigne. 2022- «Un cargo pour les Açores», de Jean-Yves Loude, avec Viviane Lièvre. Éditions Actes Sud. 2018.
Partons à la rencontre d'un enfant du pays bamiléké qui se rêvait Magellan, voyageant tout autour du monde ; un Camerounais d'origine et lyonnais d'adoption, qui a traversé la grande histoire en vivant la sienne. Il s'appelle Boniface Magellan Nguelo. Cet homme, aujourd'hui âgé de plus de 80 ans, aura mené une vie intrépide et férocement curieuse, de ses collines natales de l'Ouest camerounais à l'époque coloniale à l'Andalousie en passant par la Guinée équatoriale et enfin la France où il a posé ses valises depuis plus de quarante ans. Une vie exemplaire aussi à plus d'un titre, de toute une génération, trop longtemps restée dans l'ombre, d'aventuriers africains de la migration qui aurait pu rester anonyme… Sauf qu'un jour, au cœur du vieux Lyon et de l'automne, Boniface, artiste dans l'âme, a croisé le chemin de l'écrivain voyageur et ethnologue français Jean-Yves Loude, qui s'est fait connaître pour ses enquêtes sur les mémoires assassinées des Afriques et ses traversées du monde portugais. Ainsi, après trois décennies d'amitié curieuse, mais pudique, entre les deux hommes, Jean-Yves Loude a entrepris de raconter de sa plume alerte l'histoire de son ami peintre et grand voyageur, dans un livre «L'enfant voyageur» paru en France aux Éditions Magellan. En rédigeant les mémoires de ce passe-frontières, en célébrant l'ouverture et l'altérité qui a présidé à leur rencontre comme à leurs existences respectives, Jean-Yves Loude fait de Boniface un «explorateur des temps modernes», un «nouveau découvreur». Car «combien d'Africains sont-ils admis dans le cercle des voyageurs prestigieux, partis de leur plein gré pour enrichir, à leur retour, la connaissance des communautés humaines?» Rencontre avec Boniface Magellan Nguelo et Jean-Yves Loude, à l'occasion du Festival du Grand Bivouac qui s'est tenu à Albertville en octobre 2025. À lire : - «L'enfant voyageur, une histoire camerounaise», de Jean-Yves Loude. Éditions Magellan. 2025- «Le chemin des vierges enceintes», de Jean-Yves Loude, avec Viviane Lièvre. Éditions Chandeigne. 2022- «Un cargo pour les Açores», de Jean-Yves Loude, avec Viviane Lièvre. Éditions Actes Sud. 2018.
Bonus & Recap : https://linktw.in/aUegqQDepuis quelques mois, quand je regarde un Podcast ...J'ai une impression de déjà-vu.Les formats sont bien produits, les invités brillants…Mais il manque quelque chose.Cette énergie du début, quand tout était brut, sincère, audacieux.Alors, j'ai décidé de faire évoluer Marketing Square.Décor mobile. Face-cam. Communauté aux commandes.Une nouvelle ère commence.Prêts ?Rejoignez la communauté The Square → https://www.carolinemignaux.com/communaute
Eh oui, après un an de pause, Allô 213 est de retour. Et j'ai très hâte de vous montrer ce qu'on a en réserve pour cette cinquième saison! Qu'on se le dise avec ce gouvernement et cette Assemblée nationale, ce ne sont pas les sujets sur l'Algérie qui manquent. À ce niveau, chaque semaine est accompagnée de son débat sur l'Algérie dans l'hémicycle. Le dernier en date? Le 30 octobre dernier, et pour la première fois de son histoire, une proposition de loi portée par le Rassemblement national a été votée d'une voix. Celle-ci dénonce l'accord franco-algérien de 1968, obsession de la droite et de l'extrême droite française depuis des décennies. Sauf que lorsque l'on creuse, on se rend vite compte que les premiers détracteurs n'ont aucune idée de ce que renferme cet accord.Est-ce que l'accord de 1968 favorise les Algériens? Est-il vraiment ce que la droite appelle “droit automatique à l'immigration” ”? Pourquoi une telle obsession?Pour répondre à ces questions, j'ai rencontré Maître Magda El Haitem, avocate au barreau de Paris travaillant aux questions du droit des étrangers.
En Ukraine, la situation est très compliquée pour la défense ukrainienne à Pokrovsk. Assiégée par l'armée russe depuis plus d'un an, cette ville en ruine figure comme l'épicentre des combats sur le front est. L'offensive des soldats de Moscou s'intensifie sur le terrain, mais aussi en ligne, à coups d'infox générées par intelligence artificielle. À en croire une série de vidéos mensongères diffusées sur les réseaux sociaux ces derniers jours, des milliers de soldats ukrainiens « se seraient rendus à l'armée russe dans la région de Pokrovsk ». L'une d'entre-t-elle montre des dizaines d'hommes, désarmés, abandonnant leur tranchée. Une autre met en scène des centaines de combattants ukrainiens, alignés dans un champ, les mains sur la tête. Ces vidéos cumulent des millions de vues sur X, TikTok et Facebook. Vérification faite, ces clips ne sont pas réels. Ils ont tous ont été générés par Sora 2, le générateur de vidéos artificielles développé par Open AI, la start-up derrière Chat GPT. Plusieurs éléments le prouvent, à commencer par le petit logo Sora, apposé sur les images. Visuellement, on remarque aussi plusieurs incohérences, notamment au niveau des visages et des tenues portées par les soldats. De plus, ces vidéos durent chacune dix secondes. C'est, à ce jour, la durée standard des clips générés par Sora 2. Dans les faits, des milliers de soldats ukrainiens n'ont pas déposé les armes dans la région de Pokrovsk. L'armée russe elle-même n'a jamais communiqué sur un tel événement. À lire aussiSora 2: le générateur de vidéos par IA qui a tout pour devenir une usine à infox De jeunes soldats ukrainiens en pleurs ? Une autre vidéo mensongère censée montrer un soldat ukrainien en pleurs a également fait le tour des réseaux sociaux cette semaine. On y voit un jeune homme, dans un véhicule blindé, demander de l'aide en ukrainien. « J'ai été mobilisé, je me rends à Tchassiv Yar. Aidez-moi. Je ne veux pas mourir. Je n'ai que 23 ans », dit-il, les larmes aux yeux. Les comptes qui diffusent cette vidéo affirment que l'Ukraine forcerait les jeunes à aller à l'abattoir. Sauf qu'une nouvelle fois, tout est faux puisque cette vidéo a aussi été générée via Sora 2. Ce clip provient d'un compte TikTok, récemment supprimé, qui publiait quotidiennement ce type de contenu. C'est un cas particulier, car le visage du jeune homme visible dans ce clip correspond à celui d'un véritable influenceur russe, bel et bien vivant. Quelqu'un a donc détourné son identité. Dans les faits, la conscription en Ukraine ne concerne pas les moins de 25 ans. Désinformer et détourner l'attention Cette campagne de désinformation vise à dénigrer l'armée ukrainienne et affaiblir le soutien occidental à l'Ukraine. L'objectif, c'est aussi de détourner l'attention des difficultés rencontrées par l'armée russe depuis le lancement de son invasion à grande échelle en février 2022.
Écoutez l'histoire consacrée à Léon Trotski, intellectuel et figure des révolutions russes de 1917, racontée par l'historienne Virginie Girod dans un récit inédit en deux parties. Lev Davidovitch Bronstein, alias Léon Trotski, fréquente des cercles révolutionnaires dès son adolescence, à la fin du XIXe siècle. La Russie est alors un pays gouverné par le tsar Nicolas II, où les pénuries se mêlent à la misère. Sauf pour l'élite, établie à Saint-Pétersbourg. Léon Trotski, inspiré par l'œuvre de Karl Marx, rêve d'un monde communiste. À 23 ans, alors que le jeune homme parcourt l'Europe, il fait la rencontre de Lénine, à Londres. Les deux hommes se rapprochent. Quelques années plus tard, la Première Guerre mondiale éclate et en 1917, les Russes se révoltent face au tsar. Portés par Lénine, les bolcheviques s'imposent au pouvoir. Trotski, de son côté, sillonne le pays pour enrôler la population dans le mouvement révolutionnaire, quitte à user de la force. Entre Staline et lui, une concurrence s'installe pour succéder à Lénine. Et pour arriver à ses fins, Staline n'hésite pas à tendre un piège à Trotski.Au Cœur de l'Histoire est un podcast Europe 1. - Ecriture et présentation : Virginie Girod - Production : Camille Bichler (avec Florine Silvant)- Direction artistique : Adèle Humbert et Julien Tharaud - Réalisation : Clément Ibrahim - Musique originale : Julien Tharaud - Musiques additionnelles : Julien Tharaud et Sébastien Guidis - Visuel : Sidonie ManginHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Cela peut sembler absurde, mais c'est vrai : Apple a un jour recommandé de laisser tomber son ordinateur pour résoudre un problème technique. L'histoire remonte au début des années 1980, à l'époque de l'Apple III, l'un des plus grands échecs commerciaux de la marque — et un épisode fascinant de l'histoire de l'informatique.En 1980, Apple vient de connaître un immense succès avec l'Apple II. L'entreprise veut donc frapper encore plus fort avec une machine professionnelle, plus puissante et plus élégante. Le résultat : l'Apple III, présenté comme un ordinateur haut de gamme, conçu sans ventilateur (jugé trop bruyant) et sans ouvertures visibles, pour un design sobre et silencieux. Sauf que ce choix esthétique allait causer la perte de la machine.Rapidement après son lancement, les utilisateurs se plaignent de pannes étranges : l'ordinateur se fige, le texte à l'écran devient illisible, ou la machine refuse tout simplement de démarrer. Après enquête, les ingénieurs découvrent la cause : sans ventilation, la chaleur interne fait se dilater les composants. Or, les puces électroniques de la carte mère n'étaient pas soudées, mais simplement enfichées dans leurs supports. En chauffant, elles se soulevaient légèrement et perdaient le contact électrique.La solution officielle, consignée dans certains documents techniques d'Apple, a de quoi surprendre : pour rétablir la connexion, il suffisait de soulever l'ordinateur d'une dizaine de centimètres et de le laisser retomber sur une surface plane. Ce choc léger permettait de replacer les puces dans leur logement… jusqu'à la prochaine surchauffe.Cette “réparation par gravité” est devenue légendaire dans l'histoire de la marque. Elle symbolise à la fois l'audace et les excès d'Apple à ses débuts : vouloir un produit parfait sur le plan esthétique, quitte à en négliger la fiabilité technique.Malgré plusieurs révisions matérielles, l'Apple III resta un fiasco. Apple le retira discrètement du marché en 1984, après avoir vendu à peine 120 000 unités — bien loin du succès de son prédécesseur.Aujourd'hui encore, l'épisode de l'Apple III est cité dans les écoles d'ingénierie comme un cas d'école du compromis entre design et fonctionnalité. Et il rappelle qu'avant de devenir le géant du design technologique, Apple a aussi connu des débuts où la solution la plus “innovante” pouvait littéralement… tomber du ciel. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Pour ce rôle, Samuel L. Jackson avait passé un premier casting. Alors quand il est rappelé pour la deuxième audition, il s'y rend confiant, pensant que c'est une formalité. Sauf qu'en déboulant au casting, il y a un autre acteur dans la salle d'attente qui lui aussi a été convoqué. Il a donc un concurrent... Dans "Ah Ouais ?", Florian Gazan répond en une minute chrono à toutes les questions essentielles, existentielles, parfois complètement absurdes, qui vous traversent la tête. Un podcast RTL Originals.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Podcast Méditer l'Évangile, le Psaume ou la Lecture du jour en audio ¦ Prie en chemin
Aujourd'hui, nous sommes le mercredi 5 novembre.Je viens écouter la Parole de Dieu et par avance je remercie le Seigneur pour ce temps qui s'ouvre avec Lui. Je Lui demande de pouvoir goûter ce temps... Chaque jour, retrouvez 12 minutes une méditation guidée pour prier avec un texte de la messe ! A retrouver sur l'application et le site www.prieenchemin.org. Musiques : Gintzler - Pater Noster de Josquin des Prez interprété par Jacob Heringman - Josquin des Prez Lute Settings © Creative Commons by-nc-sa license from Magnatunes ; Je ne puis craindre un Dieu de Hélène Goussebayle interprété par Hélène Goussebayle et l'ensemble Esher - Comme le père m'ai aimé © Creative Commons Youtube Audio Library.
Le salon Acces organisé par la plateforme «Music in Africa» rassemble, chaque année, les acteurs continentaux du monde de la musique. Et la semaine dernière, c'est à Pretoria, en Afrique du Sud, qu'ils ont pu échanger, pendant trois jours, pour analyser les modèles économiques possibles et les solutions pour que les artistes africains bénéficient davantage de leur musique. De notre correspondante de retour de Pretoria, Bien qu'il reste encore de taille modeste par rapport au reste du monde, le secteur musical africain connaît une forte progression : selon la dernière étude de la Fédération internationale de l'industrie phonographique (IFPI), les revenus de la musique enregistrée en Afrique subsaharienne se sont accrus de plus de 22% en 2024, dépassant pour la première fois les 100 millions de dollars. Mais pour le chanteur et producteur sud-africain, Zakes Bantwini, les artistes n'obtiennent pas forcément de retombées financières : « C'est magnifique de voir que, dans différentes régions du monde, les gens apprécient désormais la musique africaine. Mais il faut que cela se reflète dans nos comptes bancaires. Pour l'instant, ça ne se traduit pas vraiment comme ça, mais comme je le dis souvent, c'est à nous d'essayer de changer les choses. » Le manque d'infrastructures Sur place, le secteur est encore trop peu structuré et développé, et les artistes africains doivent continuer à dépendre des marchés mondiaux, comme l'explique Dolapo Amusat, créateur et directeur de la plateforme nigériane We Talk Sound : « Même si on observe un véritable boom, le manque d'infrastructures sur le continent empêche cette croissance de bénéficier pleinement aux artistes. Prenons l'exemple du Nigeria : comment voulez-vous organiser une tournée ? Il n'y a pas toujours d'infrastructures adéquates, les problèmes de sécurité persistent. De plus, du côté des plateformes de streaming, beaucoup de gens continuent à consommer la musique illégalement ou n'ont pas les moyens de payer les abonnements. Résultat : les artistes gagnent très peu d'argent sur leur marché local, et finissent donc par privilégier l'Europe ou les États-Unis, là où se trouvent les revenus — ce qui affaiblit l'écosystème africain. » Et pour la chanteuse Solange Cesarovna, co-fondatrice de la Société cap-verdienne de musique (SCM), il est aussi primordial que les artistes s'informent sur leurs droits : « Je pense que la chose la plus importante qu'il faut viser, pour devenir professionnel, c'est d'acquérir les connaissances. Et bien souvent, nous, les créateurs, nous sommes fascinés par notre processus créatif, et tout le travail autour de la musique en elle-même. Sauf que pour être professionnel, il faut aussi comprendre l'autre versant, la façon dont les affaires fonctionnent, même si on n'a pas l'âme d'un entrepreneur : c'est vital afin de conclure des contrats. » Solange Cesarovna soutient d'ailleurs la plateforme CLIP qui veut justement aider les créateurs à mieux comprendre les droits de propriété intellectuelle, pour réclamer leur dû. À lire aussiÀ Pretoria, le continent cherche à récolter les fruits de sa révolution musicale
Depuis plus de 17 ans, une famille installée en Moselle, se bat pour obtenir une réponse simple à une question qui l'est tout autant: de quoi est mort au printemps 2006 leur fils, frère et oncle Ismaël Abdelkader, 26 ans à l'époque des faits ? Une disparition, un corps, des témoins directs du drame, des scénarios possibles, crime ou accident. La résolution de l'affaire semblait à portée de main. Sauf que dans cette histoire, rien ne va être entrepris pour savoir qui a fait quoi.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
En 1983, quand Luc Tangorre, un jeune étudiant en sport à Marseille, est condamné à 15 ans de réclusion pour dix viols et plusieurs agressions sexuelles, Pierre Vidal-Naquet, Robert Badinter ou encore Marguerite Duras s'élèvent pour crier à l'erreur judiciaire. L'affaire bascule alors dans une autre dimension. On compare cette affaire à celle d'Albert Dreyfus. Tangorre est même gracié par le président François Mitterrand. Sauf qu'il n'est pas exempt de tout reproche... Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Fruit ou légume ? Il est parfois difficile de faire le distinguo. Spontanément, on a tendance à se dire que tout ce qui est sucré (pommes, pêches, cerises) est un fruit alors que tout ce qu'on mange plutôt salé est un légume. Sauf que petit problème : dans le monde, on ne mange pas toujours les fruits et légumes de la même façon. Par exemple l'avocat, grand classique des entrées salées, peut aussi se manger en dessert sucré, au Brésil... Dans "Ah Ouais ?", Florian Gazan répond en une minute chrono à toutes les questions essentielles, existentielles, parfois complètement absurdes, qui vous traversent la tête. Un podcast RTL Originals.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, professeur d'histoire-géographie, Bruno Poncet, cheminot, et Didier Giraud, agriculteur de Saône-et-Loire, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, professeur d'histoire-géographie, Bruno Poncet, cheminot, et Didier Giraud, agriculteur de Saône-et-Loire, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Alors que Moody's s'apprête à rendre son verdict sur la note de la France, la question du pouvoir des agences de notation refait surface. Redoutées par les États, observées par les marchés, parfois critiquées pour leur opacité, ces institutions financières privées influencent toujours la confiance des investisseurs. Mais leur pouvoir est-il aussi grand qu'on le dit ? Imaginons un bulletin scolaire. Sauf qu'au lieu d'élèves, ce sont des entreprises, des collectivités ou des États qui y figurent. Les agences de notation, un peu comme des professeurs, attribuent une note de confiance : AAA pour les plus fiables, C pour ceux proches du défaut de paiement. Leur mission est simple, évaluer la capacité d'un emprunteur à rembourser sa dette. En clair, est-ce qu'on peut lui prêter sans prendre trop de risque ? Une bonne note, c'est un taux d'intérêt plus bas. Une mauvaise, un crédit plus cher. Pour les entreprises, c'est souvent une question de survie. Pour les États, c'est plus symbolique, mais pas toujours sans conséquence. Des notes médiatisées, mais souvent anticipées À chaque dégradation de note, comme celle que pourrait subir la France, les médias s'en emparent aussitôt. Mais dans les faits, les marchés financiers anticipent souvent ces décisions. La dernière baisse de la note française par Moody's n'a eu aucun effet visible sur les taux d'intérêt. Les investisseurs avaient déjà intégré la dégradation et relevé les taux bien avant l'annonce. Pourquoi alors tout ce bruit ? Parce que ces notes sont devenues un rituel médiatique. Faciles à comprendre – comme un bulletin d'école –, elles traduisent en une lettre la complexité d'une économie nationale. Cependant, si un pays change de catégorie de risque, les effets peuvent être beaucoup plus concrets : certains investisseurs institutionnels, contraints par leurs règles internes, cessent alors de prêter. Et c'est là que le cercle vicieux s'installe. Plus les taux montent, plus la dette coûte cher, et plus la note risque d'être encore abaissée. Un pouvoir réel, mais de plus en plus contesté Depuis la crise financière de 2008, la réputation des agences de notation a été sérieusement écornée. On leur reproche une opacité persistante, des méthodes contestées, et une tendance à amplifier les crises plutôt qu'à les prévenir, comme lors du cas grec au début des années 2010. Leur approche, souvent jugée trop marquée par des standards occidentaux, pose aussi problème. Sur le continent africain, plusieurs pays dénoncent des notations qui ne reflètent pas la réalité de leurs économies, tout en conditionnant leur accès aux marchés internationaux. Malgré ces critiques, le pouvoir des agences demeure. Elles continuent d'influencer les perceptions des investisseurs, des médias et parfois des politiques. Un pouvoir fondé moins sur la contrainte que sur la crédibilité qu'on leur accorde. Car dans la finance mondiale, la confiance reste la meilleure des notes.
L'or reste la star des métaux précieux, mais depuis quelques mois, un autre métal attire toutes les lumières : l'argent. Longtemps resté dans l'ombre, il connaît aujourd'hui un véritable retour en grâce sur les marchés. En octobre 2025, son prix a dépassé les 50 dollars l'once, un niveau qu'on n'avait plus vu depuis plus de trente ans. En un an, sa valeur a bondi de plus de 70 %.Ce réveil s'explique par une conjonction rare : un monde en tension, un dollar affaibli et une demande industrielle en plein essor. Les investisseurs, échaudés par la volatilité des marchés boursiers et les incertitudes géopolitiques, se replient sur les métaux refuges. L'argent, plus abordable que l'or, offre un compromis séduisant : il protège en période de crise tout en profitant de la croissance technologique.Mais l'argent n'est pas qu'un placement : c'est aussi un métal d'avenir. Près de 60 % de la production mondiale sert désormais à l'industrie. On le retrouve dans les circuits électroniques, les voitures électriques, les batteries, les téléphones et surtout dans les panneaux solaires. Sa conductivité électrique exceptionnelle en fait un matériau indispensable à la transition énergétique. La demande photovoltaïque a doublé en quatre ans, tirant les cours vers le haut.Côté offre, en revanche, la situation est tendue. L'argent est souvent extrait comme sous-produit du cuivre ou du zinc ; on ne peut donc pas en augmenter la production facilement. Ce déséquilibre structurel alimente la flambée des prix. À Londres, le marché physique montre des signes de rareté, et les taux de prêt de métal s'envolent.Les experts parlent d'un « rattrapage » : pendant des années, l'argent a sous-performé face à l'or, mais il retrouve aujourd'hui un rôle central dans les portefeuilles. Il reste toutefois plus volatil : un marché plus petit, plus nerveux, et donc plus risqué.Reste que pour les investisseurs, le message est clair : dans un monde incertain et technologique, l'argent est le métal qui cartonne. Sa double identité – valeur refuge et ressource industrielle – lui donne un éclat particulier. Et si l'or symbolise la prudence, l'argent, lui, incarne désormais le mouvement : celui d'une économie qui cherche à se protéger tout en préparant l'avenir. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Le gouverneur de la Banque d'Angleterre s'inquiète de la montée en puissance des fonds d'investissement dans l'économie mondiale. Ces acteurs non bancaires, de plus en plus présents dans le financement des entreprises, pourraient représenter un risque systémique pour la stabilité financière. Le gouverneur de la Banque d'Angleterre tire la sonnette d'alarme. Les fonds d'investissement prennent une place grandissante dans l'économie mondiale. Ces structures, grands acteurs non bancaires de la finance, occupent désormais un rôle central dans le financement des entreprises. Et ce n'est pas sans risque. Pour bien comprendre, il faut revenir au lendemain de la crise financière de 2008. À l'époque, les entreprises se finançaient essentiellement auprès des banques, en contractant un crédit. C'était le modèle classique de l'intermédiation financière : un prêteur, un emprunteur et une banque au milieu. Mais depuis, un troisième acteur est apparu : les fonds d'investissement. Ces sociétés collectent de l'argent auprès d'investisseurs – particuliers fortunés, compagnies d'assurances, ou même d'autres fonds – en leur promettant un rendement attractif. Ces fonds prêtent ensuite cet argent directement à des entreprises, sans passer par le circuit bancaire traditionnel. Autrement dit, ils deviennent eux-mêmes des sources de financement alternatives. Aujourd'hui, ces structures occupent une part croissante du financement des entreprises. On estime qu'environ 9 % des expositions de crédit des grandes banques concernent ce marché de la dette privée. Un chiffre en constante progression. Des acteurs moins régulés… et plus risqués Moins régulés que les banques, les fonds d'investissement attirent par les gains potentiellement élevés qu'ils peuvent offrir. Pour les entreprises, c'est un mode de financement rapide, souvent plus souple, et parfois plus généreux qu'un prêt bancaire classique. Mais cette liberté a un prix. Ces fonds peuvent être tentés de prêter à des entreprises fragiles, en échange de taux d'intérêt élevés. Le pari est simple : plus le risque est grand, plus le rendement est élevé. Sauf qu'en cas de défaillance, le fonds qui a prêté peut lui-même se retrouver en difficulté. Et l'effet boule de neige peut être rapide. Ces fonds empruntent parfois eux-mêmes à d'autres investisseurs, qui peuvent à leur tour se retrouver exposés. De proche en proche, une simple défaillance peut se transformer en réaction en chaîne. Pour reprendre une image familière, c'est un peu comme un ver dans un fruit : le problème est invisible au départ, mais il peut fragiliser tout l'ensemble. Un risque de contagion pour tout le système financier C'est précisément ce scénario que redoutent les banques centrales. Car ces fonds non bancaires ne sont pas isolés : les banques traditionnelles investissent, elles aussi, dans ces structures ou leur prêtent de l'argent. Si un fonds tombe, la secousse peut donc atteindre directement les établissements financiers classiques. L'exemple récent de First Brands, un groupe industriel américain lourdement endetté sur le marché de la dette privée, l'a rappelé. Sa faillite a provoqué des pertes chez plusieurs grandes banques, dont JP Morgan et UBS. Un cas concret qui illustre ce risque d'effet domino : chute des prix, pertes pour les investisseurs, tensions sur les banques exposées, et, finalement, menace sur l'ensemble du système financier. Les fonds d'investissement ne sont pas des banques, mais ils en ont pris une partie du rôle, sans en avoir les mêmes garde-fous. Or, la régulation actuelle reste largement pensée pour le monde bancaire, celui d'avant 2008. Face à un système financier désormais beaucoup plus interconnecté, les régulateurs – à commencer par la Banque d'Angleterre – appellent à adapter la surveillance et les règles. Car si ces acteurs offrent de nouvelles opportunités de financement, ils portent aussi en eux une vulnérabilité : celle d'un risque qui, s'il est mal maîtrisé, pourrait se propager à toute l'économie. À lire aussi2. Banques : attention, danger !
En inédit, un cas supplémentaire abordé dans la suite de l'émission sur M6 de 12h à 12h30 : Brigitte, la mère de Robin, est propriétaire d'une maison. Après un litige avec un locataire, elle fait appel à une entreprise pour changer sa serrure. Problème, l'ouvrier présent démonte le système, puis se rend compte derrière que l'équivalent ne serait plus sur le marché. Résultat, il multiplie par 6 le devis initial. Dépourvue, Brigitte règle 2.286€ d'acompte. Sauf qu'en échange, l'artisan se contente de remonter l'ancienne serrure... avant de ne plus donner de nouvelles ! Mais aussi, les rebondissements des cas du jour abordés de 10h à 12h ! Tous les jours, retrouvez en podcast les meilleurs moments de l'émission "Ça peut vous arriver", sur RTL.fr et sur toutes vos plateformes préférées. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C'était à la fin du printemps 2002. Mickaël Jouis, 25 ans, footballeur amateur et jeune homme plein de projets, était retrouvé mort dans une petite commune du Maine-et-Loire. Un malheureux accident après une soirée festive trop arrosée va conclure la justice. Sauf que les incohérences, les mystères, ne vont cesser de se succéder dans cette affaire. Les parents de Mickaël vont être les premiers à énumérer ces zones d'ombres et à s'interroger sur des détails troublants: une simple chute d'un talus a t-il pu entraîner la mort ? Pourquoi leur fils était-il en partie dénudé ?Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C'est la journée "J'aime Ma Boîte" aujourd'hui ! C'est bien de se sentir bien ou comme à la maison au boulot….Sauf qu'il y a des tubes, a ne surtout pas dire à son patron ou à ne surtout pas lui chanter en le regardant dans les yeux ? Lesquels d'après vous
EXCLU PODCAST – Aujourd'hui, autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot : Zohra Bitan, Didier Giraud et Charles Consigny
durée : 00:15:09 - Journal de 8 h - Les chefs de partis sont tous invités à l'Elysée à 14h30 ce vendredi, sauf le RN et LFI. Est-ce bientôt la fin du suspense ? Le président devrait nommer d'ici ce soir un chef de gouvernement, alors que même au sein du bloc central, certains se disent honteux et sidérés par la situation.
durée : 00:15:09 - Journal de 8 h - Les chefs de partis sont tous invités à l'Elysée à 14h30 ce vendredi, sauf le RN et LFI. Est-ce bientôt la fin du suspense ? Le président devrait nommer d'ici ce soir un chef de gouvernement, alors que même au sein du bloc central, certains se disent honteux et sidérés par la situation.
Au menu de la troisième heure des GG du vendredi 10 octobre 2025 : "Macron a convié les chefs de partis pour une réunion consultative en excluant le RN et LFI", avec Didier Giraud, agriculteur, Jérôme Marty, médecin généraliste, et Laura Warton Martinez, sophrologue.
durée : 00:15:09 - Journal de 8 h - Les chefs de partis sont tous invités à l'Elysée à 14h30 ce vendredi, sauf le RN et LFI. Est-ce bientôt la fin du suspense ? Le président devrait nommer d'ici ce soir un chef de gouvernement, alors que même au sein du bloc central, certains se disent honteux et sidérés par la situation.
durée : 00:02:43 - Regarde le monde - En apparence, le personnage peut sembler fantasque. Avec sa longue moustache blanche, son crâne lisse, ses yeux rieurs, Wladyslaw Grochowski a des allures d'artiste un peu bohème. Sauf qu'à 73 ans, cet homme est un très riche promoteur immobilier, très inquiet pour l'avenir de son pays. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:02:43 - Regarde le monde - En apparence, le personnage peut sembler fantasque. Avec sa longue moustache blanche, son crâne lisse, ses yeux rieurs, Wladyslaw Grochowski a des allures d'artiste un peu bohème. Sauf qu'à 73 ans, cet homme est un très riche promoteur immobilier, très inquiet pour l'avenir de son pays. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Il est l'homme qui a inspiré le film Psychose et la figure détraquée de Norman Bates. Il est aussi celui qui a donné l'idée de Massacre à la Tronçonneuse. et du Silence des Agneaux. Sauf que Ed Gein n'a jamais été une créature d'Hollywood. Il était bien un tueur- psychopathe, fétichiste et nécrophile, retiré dans une ferme désolée du Wisconsin.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Martin a trouvé quelqu'un pour travailler dans une boulangerie le dimanche. Sauf que cette boulangerie n'est pas ouverte le dimanche. Donc, ça coince …