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Au Japon, les autorités sont en état d'alerte : le ministère de l'Éducation, des directions d'écoles, des parents d'élèves et des associations de prévention du suicide sont mobilisés, car tous les ans, au moment de la rentrée scolaire, l'archipel déplore une envolée du nombre d'enfants et d'adolescents qui commettent l'irréparable en mettant fin à leurs jours. De notre correspondant à Tokyo, L'an dernier, 514 Japonais âgés de moins de 18 ans se sont suicidés. Depuis que les statistiques en la matière existent, en 1980, jamais ce bilan macabre n'avait été aussi élevé. Mais c'est une tendance lourde dans ce pays. Année après année, le nombre de mineurs qui font le choix de mourir augmente alors que dans le même temps, on compte de moins en moins de petits Japonais en raison de la dénatalité.Depuis la fin août, Yukisei Ozora et ses collègues d'une association de prévention du suicide distribuent des tracts dans les grandes gares du pays. « L'an dernier, début septembre, une soixantaine d'enfants et d'adolescents se sont suicidés tellement ils avaient peur de retourner en classe à cause du harcèlement scolaire ou parce qu'ils craignaient de ne pas être à la hauteur en termes de résultats, explique Yukisei Ozora. Ce cauchemar se reproduisant tous les ans, il faut à tout prix sensibiliser les parents et leur rappeler combien, à cette période de l'année, ils doivent vraiment être attentifs à leurs enfants. »Les enfants qui, au Japon, quand ils ne vont pas bien, peinent à verbaliser leur mal-être. Pour Junko Sakaï, qui est conseillère pédagogique, c'est un des nœuds du problème : « Les études montrent qu'un jeune Japonais sur trois qui broie du noir n'en parle à personne. Au lieu de demander de l'aide, il se replie sur lui-même. C'est culturel pour ainsi dire. Au Japon, où le collectif prime toujours sur l'individu, se confier n'est pas facile, car parler de soi est souvent mal vu. C'est considéré comme se mettre en avant. »Dans l'archipel, le réflexe qui est attendu quand on est confronté à des difficultés, c'est de serrer les dents, à l'image de ces deux écoliers : « L'école, je n'adore pas. Je l'avoue. Mais bon, j'essaie de m'accrocher et de garder le sourire. » « Quand je n'en peux plus à l'école, je me dis : "Allez, mon gars, sois un grand garçon et ça finira par aller mieux". »La peur d'échouerPour cet assistant social qui intervient dans les écoles, le système éducatif nippon manque terriblement d'humanité : « Cette obligation de perfection qui pèse en permanence sur nos enfants est déraisonnable. On devrait aussi, et davantage, leur dire qu'ils ne sont pas des robots, qu'ils ont le droit, à la fois, d'être à bout et de commettre des erreurs. »La peur d'échouer. Cette explication revient en boucle dans les lettres laissées par les enfants et les adolescents japonais qui ont mis fin à leurs jours. Selon les spécialistes, cette hantise de ne pas incarner l'excellence qui est exigée de tous dans le pays, et y compris les plus petits, explique aussi en grande partie pourquoi près de 250 000 mineurs sont en refus de scolarisation, l'idée même d'aller en classe leur étant insupportable.À lire aussiAu Japon, le taux de suicide grimpe en période de rentrée scolaire
1er épisode de la saison 5, mes premières impressions suite à mon arrivée au Japon. Je vais être assistante d'anglais dans une école mais je partagerai mon expérience en français dans le podcast. Transcription disponible: francais.mypolyglotlife.com --- Support this podcast: https://podcasters.spotify.com/pod/show/mypolyglotlife/support
durée : 00:03:04 - Les histoires du monde - par : Anthony BELLANGER - Depuis l'assassinat du Premier ministre Shinzo Abe en juillet 2022, l'Eglise de l'Unification est sur la sellette au Japon. Au point que des rumeurs de dissolution circulent.
durée : 00:03:04 - Les histoires du monde - par : Anthony BELLANGER - Depuis l'assassinat du Premier ministre Shinzo Abe en juillet 2022, l'Eglise de l'Unification est sur la sellette au Japon. Au point que des rumeurs de dissolution circulent.
Série : “Le monde du futur” - Episode 4/5Dragon Ball Z, Naruto ou encore l'Attaque des Titans. Derrière chacun de ces mangas mondialement connus, se cache un mangaka (auteur de manga). Début mars, un nouveau manga de science-fiction intitulé “Cyberpunk Peach John” est apparu au Japon, avec un profil particulier: son auteur, “Rootport”, n'a pas eu à lever le crayon pour donner vie à ses personnages. Il a fait appel à l'intelligence artificielle. Comment cette innovation est-elle accueillie par les professionnels du manga au pays du soleil levant ? Sur le terrain: Tomohiro OSAKI, Harumi OzawaRéalisation: Mario Lawson Sur le Fil est le podcast quotidien de l'AFP. Vous avez des commentaires ? Ecrivez-nous à podcast@afp.com ou sur notre compte Instagram. Vous pouvez aussi nous envoyer une note vocale par Whatsapp au + 33 6 79 77 38 45. Si vous aimez ce genre de sujet, n'hésitez pas à écouter notre playlist "Tech" . Et pour nous encourager, abonnez-vous, parlez de nous autour de vous et laissez-nous plein d'étoiles sur votre plateforme de podcasts préférée
Au Japon, la situation de centaines de milliers d'immigrés s'est terriblement compliquée ces six derniers mois. Car depuis l'automne dernier, le yen s'est effondré sur le marché des changes. Or, leurs salaires peu élevés ne leur permettent pas d'envoyer davantage d'argent à leurs proches pour compenser ce manque à gagner. Au Népal, aux Philippines ou au Vietnam, donc, quantité de familles souffrent de cette chute du yen. De notre correspondant à Tokyo,Le yen a chuté sur le marché des changes en raison du différentiel des taux directeurs. La Réserve fédérale américaine et la Banque centrale européenne ont augmenté ces taux. Pour calmer leurs économies en surchauffe – comme en témoigne l'inflation. Les investisseurs délaissent la monnaie japonaise en raison des taux d'intérêt plus élevés en Occident. Ils se tournent donc vers des devises plus rentables comme le dollar ou l'euro. Car le Japon pratique toujours une politique de taux d'intérêt négatifs à cause de son économie qui tarde à redécoller.Le yen au niveau plancher, cela n'arrange pas ces deux clients d'un bureau de change du centre-ville. Elle Philippine, lui Népalais, et qui, comme tous les étrangers peu qualifiés expatriés dans l'archipel, n'ont pas le droit d'y faire venir leurs familles. Les yens que ces expatriés envoient à leurs familles restées au pays valent beaucoup moins qu'avant, convertis en dollars.« Là, je vais envoyer de l'argent à ma sœur pour les cadeaux de Noël de mes filles. C'est un peu tôt, mais si, en décembre, le yen vaut encore moins qu'aujourd'hui, le montant que je lui virerai vaudra moins en dollars, donc elle devra leur offrir moins de cadeaux. Je ne veux pas faire une telle peine à mes enfants », explique la jeune femme.« Moi, je suis venu faire un virement à mon frère, qui est à l'université. J'ai toujours voulu qu'il se concentre sur ses études mais, dernièrement, il a dû prendre un petit boulot. Car le yen ayant tellement baissé, malgré tous ses efforts, il n'arrive plus à joindre les deux bouts avec l'argent que je lui envoie », témoigne l'expatrié népalais.Pénurie de main-d'œuvre étrangèreLa dégringolade du yen complique aussi la donne des entreprises qui emploient des immigrés ou aimeraient en embaucher. « J'aimerais recruter des étrangers, mais je n'y parviens pas à cause de la chute du yen. Beaucoup préfèrent aller travailler à Taïwan ou en Corée du Sud plutôt qu'au Japon. Ils jugent cela plus sécurisant pour leurs familles, à qui ils prévoient d'envoyer une partie de leur salaire », raconte le directeur d'un établissement pour personnes âgées.La responsable du bureau de recrutement de cet établissement le confirme également : « On n'arrive plus à embaucher et, en plus, un nombre grandissant d'immigrés en viennent à quitter le Japon. Car avec un yen aussi bas, ce n'est plus intéressant, pour eux, de travailler ici. »C'est le cas de Titsugaï, qui est Vietnamienne et envisage de poursuivre sa carrière dans un autre pays : « Mes parents me disent que ça devient compliqué pour eux à gérer, financièrement. Vu que, désormais, les yens que je leur envoie valent 20% de moins en dollars que l'an dernier. Et je n'ai pas les moyens de leur verser plus d'argent. J'aimerais bien rester au Japon, mais je ne suis pas sûre que ce sera possible si ça continue. »La moindre attractivité du Japon en raison de la chute du yen est une catastrophe pour le gouvernement. Car l'archipel est confronté à une grave pénurie de main-d'œuvre, due à la fois au vieillissement de sa population et à la dénatalité : 70% des entreprises sont en sous-effectifs. Le pays ne peut donc pas se passer de travailleurs immigrés.À lire aussiFace à la pénurie de main-d'œuvre, le Japon recherche des travailleurs étrangers qualifiés
Europe 1 vous propose tous les matins d'analyser, de décrypter, et même de commenter l'actualité sportive. Et le tout avec le sourire !
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Bienvenue sur le replay du live Twitch du 4ème DFW L'hebdo ! Dans cette émission, nous avons parlé de l'actualité du catch FR ainsi que du dernier show de la HCP et du voyage de Tristan Archer et Aigle Blanc au Japon avec Cody McWild. Pour suivre le travail de Cody vous pouvez suivre sa chaîne YouTube : https://www.youtube.com/@ChezCodyMcwild Suivez-moi sur Twitter pour suivre toutes l'actualités du catch Français et des contenus exclusifs : https://twitter.com/_DFWrestling_ Découvrez la version vidéo de DFW L'Hebdo sur YouTube : https://youtu.be/AhPb5ZfHJwE Et n'oubliez pas de rejoindre ma chaîne Twitch pour des live interactifs et des discussions en direct, je suis en live tout les jeudi à 20h30 : https://www.twitch.tv/enzo_dfw Merci à tous d'avoir participé à ce live. Restez connectés pour plus de contenus passionnants sur le monde du catch ! #DFW Soutenez-nous sur PayPal !
Au Japon, on suffoque plus encore que les étés précédents. La température oscille entre 35 et 40 degrés à l'ombre, soit, en fait, une dizaine de degrés de plus, en termes de « chaleur ressentie ». Les hôpitaux ne désemplissent plus. Le taux d'humidité est très élevé ce qui fait énormément transpirer, donc accélère la déshydratation. Résultat : les hôpitaux ne désemplissent plus. Avec l'inflation et la flambée des tarifs de l'électricité, l'utilisation du climatiseur devient un luxe pour les Japonais les plus démunis. De notre correspondant à Tokyo,Le Samu et les hôpitaux sont sur les dents au Japon depuis le début de la vague de chaleur. Rien que dans la capitale, chaque semaine, plusieurs milliers de personnes sont conduites aux urgences en état d'hyperthermie : victimes de « coups de chaleur ». Et dans près d'un cas sur deux, on les a retrouvées très affaiblies, voire inanimées, non pas dans la rue, mais chez elles : à leur domicile, car elles n'avaient pas ou pas assez utilisé leur climatiseur en raison de l'inflation.Début juin, tout comme l'an dernier, les tarifs de l'électricité ont augmenté de 20% en moyenne à l'échelle du pays et même de 40% dans certaines régions. Les salaires et les pensions de retraite étant assez peu élevés dans l'archipel, beaucoup de Japonais peinent à boucler leurs fins de mois.À l'image de ces Tokyoïtes, qui en sont réduits à rogner sur la climatisation. « Avec une telle inflation, mon petit budget n'arrive plus à suivre. Donc le climatiseur, c'est le moins souvent possible. Je compense en m'hydratant du matin au soir », explique une Japonaise. « Je coupe la clim' la nuit : ça me coûterait trop cher. Mais vivant dans un studio mansardé, je dors très mal tellement il fait chaud. Ça va finir par m'épuiser », craint un autre Japonais. « Il n'y pas que le gaz et l'électricité qui ont augmenté : les denrées alimentaires, c'est +10% et les produits frais +20%. C'est difficile de s'en sortir dans de telles conditions... », abonde un autre.« Si la clim' tournait en permanence, je ne pourrais plus manger que deux fois par jour »Vingt millions de Japonais vivent seuls, dont 8 millions de personnes âgées – soit près d'un senior sur cinq. Cela inquiète particulièrement les autorités sanitaires, car il n'est pas sûr que les services de secours seraient prévenus rapidement s'ils faisaient un malaise à la maison en raison de la chaleur.Un risque que mesurent cette veuve et ce célibataire. Pour autant, ils se passent de climatiseur ou l'utilisent avec parcimonie. « Je ne touche que 100 000 yens de retraite [650 euros environ, NDLR]. Chez moi, dès lors, c'est le ventilateur et rien d'autre. Je suis déjà assez stressée comme cela avec les factures impayées et les intérêts de retard... », dit la Japonaise. « Si la clim' tournait en permanence, je ne pourrais plus manger que deux fois par jour. Trois repas, ce serait l'assurance de ne pas pouvoir payer ma facture d'électricité à la fin du mois... », lâche ce Tokyoïte.Cet été, bon nombre de municipalités ont décidé d'allouer une indemnité exceptionnelle aux ménages qui n'arrivent pas à payer leurs factures de gaz ou d'électricité. Ce « chèque énergie » se monte généralement à 30 000 yens par foyer, soit 200 euros environ. Mais vu la lourdeur et la lenteur proverbiales de l'administration au Japon, cette aide ne sera sans doute pas versée avant septembre.D'ici là, beaucoup de Japonais continueront à ne pas assez utiliser leur climatiseur, au risque de mettre leur santé en danger...
Au Japon, on suffoque plus encore que les étés précédents. La température oscille entre 35 et 40 degrés à l'ombre, soit, en fait, une dizaine de degrés de plus, en termes de « chaleur ressentie ». Les hôpitaux ne désemplissent plus. Le taux d'humidité est très élevé ce qui fait énormément transpirer, donc accélère la déshydratation. Résultat : les hôpitaux ne désemplissent plus. Avec l'inflation et la flambée des tarifs de l'électricité, l'utilisation du climatiseur devient un luxe pour les Japonais les plus démunis. De notre correspondant à Tokyo,Le Samu et les hôpitaux sont sur les dents au Japon depuis le début de la vague de chaleur. Rien que dans la capitale, chaque semaine, plusieurs milliers de personnes sont conduites aux urgences en état d'hyperthermie : victimes de « coups de chaleur ». Et dans près d'un cas sur deux, on les a retrouvées très affaiblies, voire inanimées, non pas dans la rue, mais chez elles : à leur domicile, car elles n'avaient pas ou pas assez utilisé leur climatiseur en raison de l'inflation.Début juin, tout comme l'an dernier, les tarifs de l'électricité ont augmenté de 20% en moyenne à l'échelle du pays et même de 40% dans certaines régions. Les salaires et les pensions de retraite étant assez peu élevés dans l'archipel, beaucoup de Japonais peinent à boucler leurs fins de mois.À l'image de ces Tokyoïtes, qui en sont réduits à rogner sur la climatisation. « Avec une telle inflation, mon petit budget n'arrive plus à suivre. Donc le climatiseur, c'est le moins souvent possible. Je compense en m'hydratant du matin au soir », explique une Japonaise. « Je coupe la clim' la nuit : ça me coûterait trop cher. Mais vivant dans un studio mansardé, je dors très mal tellement il fait chaud. Ça va finir par m'épuiser », craint un autre Japonais. « Il n'y pas que le gaz et l'électricité qui ont augmenté : les denrées alimentaires, c'est +10% et les produits frais +20%. C'est difficile de s'en sortir dans de telles conditions... », abonde un autre.« Si la clim' tournait en permanence, je ne pourrais plus manger que deux fois par jour »Vingt millions de Japonais vivent seuls, dont 8 millions de personnes âgées – soit près d'un senior sur cinq. Cela inquiète particulièrement les autorités sanitaires, car il n'est pas sûr que les services de secours seraient prévenus rapidement s'ils faisaient un malaise à la maison en raison de la chaleur.Un risque que mesurent cette veuve et ce célibataire. Pour autant, ils se passent de climatiseur ou l'utilisent avec parcimonie. « Je ne touche que 100 000 yens de retraite [650 euros environ, NDLR]. Chez moi, dès lors, c'est le ventilateur et rien d'autre. Je suis déjà assez stressée comme cela avec les factures impayées et les intérêts de retard... », dit la Japonaise. « Si la clim' tournait en permanence, je ne pourrais plus manger que deux fois par jour. Trois repas, ce serait l'assurance de ne pas pouvoir payer ma facture d'électricité à la fin du mois... », lâche ce Tokyoïte.Cet été, bon nombre de municipalités ont décidé d'allouer une indemnité exceptionnelle aux ménages qui n'arrivent pas à payer leurs factures de gaz ou d'électricité. Ce « chèque énergie » se monte généralement à 30 000 yens par foyer, soit 200 euros environ. Mais vu la lourdeur et la lenteur proverbiales de l'administration au Japon, cette aide ne sera sans doute pas versée avant septembre.D'ici là, beaucoup de Japonais continueront à ne pas assez utiliser leur climatiseur, au risque de mettre leur santé en danger...
PSG : une tournée au JAPON qui va rapporter TRÈS GROS ! MLS : Messi est enfin arrivé à Miami, la revue de presse... Le journal du foot et du mercato N°1343 est en ligne ! Abonnez-vous !
durée : 00:03:11 - Le monde est à nous - L'hygiaphone avait déjà recouvré son rôle premier de barrière à virus, avec la pandémie de Covid-19. Il a désormais une nouvelle vocation : interprète multilingue.
durée : 00:53:28 - Le temps d'un bivouac - C'est un pays déroutant pour les occidentaux que nous sommes. L'écrivain Richard Collasse nous emmène à la découverte du Japon. Après y avoir vécu de nombreuses années, il vient nous raconter ce qu'il a saisi de ce pays, de ses codes et de sa culture. - invités : Richard Collasse - Richard Collasse : Auteur et chef d'entreprise Chanel Japon
durée : 00:53:28 - Le temps d'un bivouac - C'est un pays déroutant pour les occidentaux que nous sommes. L'écrivain Richard Collasse nous emmène à la découverte du Japon. Après y avoir vécu de nombreuses années, il vient nous raconter ce qu'il a saisi de ce pays, de ses codes et de sa culture. - invités : Richard Collasse - Richard Collasse : Auteur et chef d'entreprise Chanel Japon
Double excuses pour commencer : 1 : je suis mega en retard !!! ca m'était jamais arrivé mais vous le savez j'ai du mal à trouver du temps pour enregistrer et en plus c'était les vacances !2: problème avec le micro parfois il y a un son de fond assez agaçant malheureusement j'espère que ça vous embêtera pas trop pour l'écoute ! j'ai hésité à le poster mais bon sachant que j'aurai pas le temps d'enregistrer avant la fin de semaine et que je suis déjà très très à la bourre..Si vous trouvez ça inaudible dite moi je décalerai le prochain podcast et referait celui la ^^En tout cas c'est le dernier épisode FAQ les prochains épisodes j'ai plein de balade à vous proposer !pour ceux qui veulent aller voir les vidéos ma chaine youtube se trouve ici : https://www.youtube.com/@KitsuneDandyou retrouvez moi sur instagram : https://www.instagram.com/ngeeet sur twitter : https://www.twiter.com/KitsuneDandyet pour ceux qui voudraient soutenir le podcast et accéder à du contenu bonus il y a le Patreon : https://www.patreon.com/explorejaponet il y a toujours le site https://www.explorejapon.com bien entendu Voir le contenu bonus sur Patreon ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Au Japon, où la baisse de la natalité inquiète les autorités publiques, la recherche de l'amour, est un sujet évidemment important. Pourtant, selon une enquête de 2019, près de 50% des célibataires du pays ne parviendraient pas à trouver un partenaire. Une impasse amoureuse qui s'expliquerait par un manque d'opportunités et des ressources financières jugées insuffisantes pour la vie à deux. Ce constat interroge sur les mécanismes de l'amour et de la recherche de l'âme sœur au pays du Soleil levant. Car le Japon ne fait pas exception, les applications de rencontres ou agences matrimoniales sont bien présentes. Le business de l'amour, de la séduction est lui aussi lucratif. Comment s'aime-t-on au Japon ? Avec :- Vanessa Montalbano, Française expatriée au Japon depuis 2017. Autrice de Tokyo crush (Les Arènes, Komon, 2023)- Jean-Michel Butel, anthropologue, chercheur à l'Institut Français de Recherche sur l'Asie de l'Est (IFRAé) et maître de conférences à l'Institut National des Langues et Civilisations Orientales, INALCO, spécialisé dans l'histoire de l'amour, du couple et de la famille au Japon. Et un entretien avec Bruno Duval, correspondant de RFI à Tokyo sur la face cachée du business de l'amour au Japon. Programmation musicale :► Hageshiku - Juliette Armanet ► One – Stuts & Tofubeats.
Au Japon, où la baisse de la natalité inquiète les autorités publiques, la recherche de l'amour, est un sujet évidemment important. Pourtant, selon une enquête de 2019, près de 50% des célibataires du pays ne parviendraient pas à trouver un partenaire. Une impasse amoureuse qui s'expliquerait par un manque d'opportunités et des ressources financières jugées insuffisantes pour la vie à deux. Ce constat interroge sur les mécanismes de l'amour et de la recherche de l'âme sœur au pays du Soleil levant. Car le Japon ne fait pas exception, les applications de rencontres ou agences matrimoniales sont bien présentes. Le business de l'amour, de la séduction est lui aussi lucratif. Comment s'aime-t-on au Japon ? Avec :- Vanessa Montalbano, Française expatriée au Japon depuis 2017. Autrice de Tokyo crush (Les Arènes, Komon, 2023)- Jean-Michel Butel, anthropologue, chercheur à l'Institut Français de Recherche sur l'Asie de l'Est (IFRAé) et maître de conférences à l'Institut National des Langues et Civilisations Orientales, INALCO, spécialisé dans l'histoire de l'amour, du couple et de la famille au Japon. Et un entretien avec Bruno Duval, correspondant de RFI à Tokyo sur la face cachée du business de l'amour au Japon. Programmation musicale :► Hageshiku - Juliette Armanet ► One – Stuts & Tofubeats.
Un lundi par mois, à 19h, Un « Tours » au Japon vous emmène à la découverte du pays du soleil levant, de ses traditions les plus anciennes à sa culture pop actuelle. Ce mois-ci, l’émission vous embarquait au restaurant Nobuki, à la rencontre du chef franco-japonais Jean-Nobuki Rémon. Playlist du mois : Jingle : Sei Mutsuki […] L'article Un « Tours » au Japon – Interview de Jean-Nobuki Rémon, patron du restaurant Nobuki est apparu en premier sur Radio Campus Tours - 99.5 FM.
durée : 00:02:27 - Grand angle - Depuis plus d'un an, des habitants de Tokyo sont vent debout contre un vaste projet immobilier au cœur de la capitale. Un rare mouvement d'opposition qui vient de trouver un soutien de poids, celui du romancier Haruki Murakami.
A l'autre bout du monde, au Japon, se renseigner sur le type A, B, O ou AB d'une personne c'est très banal, comme connaître son signe astrologique. Et la raison elle est toute simple : les Japonais déterminent votre personnalité en fonction de votre groupe sanguin ! Découvrez la page Facebook Officielle des "Grosses Têtes" : https://www.facebook.com/lesgrossestetesrtl/ Retrouvez vos "Grosses Têtes" sur Instagram : https://bit.ly/2hSBiAo Découvrez le compte Twitter Officiel des "Grosses Têtes" : https://bit.ly/2PXSkkz Toutes les vidéos des "Grosses Têtes" sont sur YouTube : https://bit.ly/2DdUyGg
A l'autre bout du monde, au Japon, se renseigner sur le type A, B, O ou AB d'une personne c'est très banal, comme connaître son signe astrologique. Et la raison elle est toute simple : les Japonais déterminent votre personnalité en fonction de votre groupe sanguin ! Dans "Ah Ouais ?", Florian Gazan répond en une minute chrono à toutes les questions essentielles, existentielles, parfois complètement absurdes, qui vous traversent la tête. Un podcast RTL Originals.
Chaque année, 80 000 à 90 000 Japonais disparaissent. Ce phénomène y est fréquent et la langue japonaise dispose même d'un terme pour qualifier ces départs mystérieux, les "Johatsu" qui signifie évaporation. Les "évaporés" planifient leur disparition et, un jour subitement, coupent tout lien avec leurs proches et partent reconstruire leur vie ailleurs. La plupart sont retrouvés ou finissent pas revenir chez eux, mais des milliers ne réapparaissent jamais. Que font-ils ? Où vont-ils ? Pourquoi partent-ils ?
durée : 00:20:38 - Journal de 12h30 - Au Japon, un rapport parlementaire vient dresser un état des lieux de la loi eugénique en vigueur jusqu'en 1996. Mais sans pour autant en imputer la responsabilité au seul coupable : l'État. - invités : Violette Spillebout Députée Renaissance de la 9e circonscription du Nord et porte-parole du groupe à l'Assemblée
durée : 00:20:38 - Journal de 12h30 - Au Japon, un rapport parlementaire vient dresser un état des lieux de la loi eugénique en vigueur jusqu'en 1996. Mais sans pour autant en imputer la responsabilité au seul coupable : l'État. - invités : Violette Spillebout Députée Renaissance de la 9e circonscription du Nord et porte-parole du groupe à l'Assemblée
Au Japon, c'est son surnom qui l'a rendu immédiatement célèbre: l'assassin aux mille visages. Tout simplement parce que Tatsuya Ichihaschi avait le don du travestissement. Des tenues les plus diverses, des maquillages et aussi de la chirurgie esthétique. Nouvelles lèvres, nouvelles joues, paupières redessinées qui lui ont permis d'échapper pendant plus de deux ans à la police. Retrouvez tous les jours en podcast le décryptage d'un faits divers, d'un crime ou d'une énigme judiciaire par Jean-Alphonse Richard, entouré de spécialistes, et de témoins d'affaires criminelles. Ecoutez L'heure du Crime du 21 juin 2023 avec Jean-Alphonse Richard.
Au Japon, c'est son surnom qui l'a rendu immédiatement célèbre: l'assassin aux mille visages. Tout simplement parce que Tatsuya Ichihaschi avait le don du travestissement. Des tenues les plus diverses, des maquillages et aussi de la chirurgie esthétique. Nouvelles lèvres, nouvelles joues, paupières redessinées qui lui ont permis d'échapper pendant plus de deux ans à la police. Retrouvez tous les jours en podcast le décryptage d'un faits divers, d'un crime ou d'une énigme judiciaire par Jean-Alphonse Richard, entouré de spécialistes, et de témoins d'affaires criminelles. Ecoutez L'heure du Crime du 21 juin 2023 avec Jean-Alphonse Richard.
Bonjour à tous ! On continue cette semaine avec les questions / réponses et la suite de la FAQ on approche de la fin même s'il reste encore quelques questions pour un prochain épisode ! Je vous fait aussi le traditionnel 3615 ma vie où je vous parle d'ancienne rencontre et de balade ! pour ceux qui veulent aller voir les vidéos ma chaine youtube se trouve ici : https://www.youtube.com/@KitsuneDandyou retrouvez moi sur instagram : https://www.instagram.com/ngeeet sur twitter : https://www.twiter.com/KitsuneDandyet pour ceux qui voudraient soutenir le podcast et accéder à du cotenu bonus il y a le Patreon : https://www.patreon.com/explorejaponet il y a toujours le site https://www.explorejapon.com bien entendu Voir le contenu bonus sur Patreon ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Au Japon, c'est imminent : le Parlement s'apprête à approuver définitivement un projet de loi extrêmement controversé. Car il durcit les modalités d'octroi du statut de réfugié politique. Quand cette réforme entrera en vigueur, la situation des demandeurs d'asile va donc encore un peu plus se compliquer. Des milliers d'ordres de quitter le territoire vont être délivrés. Et le gouvernement a déjà prévenu qu'il veillera scrupuleusement à ce que tous soient exécutés. De notre correspondant à Tokyo,La nouvelle loi prévoit l'expulsion immédiate des demandeurs d'asile dont le dossier a été rejeté deux fois : en première instance, puis en appel. Auparavant, les candidats réfugiés déboutés étaient autorisés à introduire une troisième requête. La plupart, dès lors, retentaient leur chance en produisant de nouveaux témoignages attestant du danger qu'ils courraient s'ils étaient renvoyés dans leur pays d'origine ou des rapports actualisés sur les atteintes aux libertés ou la répression des opposants.Ce que fit Sai Musenbura. En 2010, il a fui la République démocratique du Congo et s'est établi au Japon où, depuis treize ans, il tente en vain d'obtenir le statut de réfugié politique. Sa demande ayant été rejetée trois fois, il fait partie des 4 000 à 5 000 demandeurs d'asile déboutés qui, dans les semaines à venir, vont être expulsés : « J'ai imploré l'administration, mais ils n'ont rien voulu entendre. Ils m'ont donné l'impression de considérer les demandeurs d'asile comme des cibles à abattre et non comme des gens qui ont besoin d'aide. J'ai trois enfants qui sont nés ici. Leur mère étant Japonaise, ils ne seront sans doute pas expulsés. Mais, donc, ça veut dire qu'ils vont voir leur père partir à jamais, qu'on va briser notre famille ? Cette perspective me déchire le cœur. Je ne demande qu'une chose : un peu d'humanité. »► À lire aussi : Le Japon connaît le taux de natalité le plus faible de son histoireDes familles séparées brutalement On estime que la réforme va séparer plus de 200 mineurs de leurs parents. Ces enfants sont nés au Japon de demandeurs d'asile dont le dossier a été rejeté à deux reprises et qui devront donc quitter le territoire national.Les sondages l'indiquent : cette réforme divise les Japonais. À l'image des Tokyoïtes, comme cette femme, qui préfère faire confiance au gouvernement, qui « soutient qu'accueillir davantage d'immigrés ou de réfugiés, cela ferait du Japon un pays moins sûr et moins homogène. Donc, il vaut mieux y réfléchir à deux fois. ». D'autres sont plus sceptiques. Cet homme y voit un excès de zèle de la part de son gouvernement : « Qu'on "n'accueille pas toute la misère du monde", comme on dit, je peux le comprendre. Mais de là à renvoyer dans leurs pays des demandeurs d'asile venus de Syrie ou du Myanmar… Ça me paraît de la non-assistance à personne en danger. » Une autre femme n'en pense pas moins : « Cet argument du ''péril migratoire'', c'est n'importe quoi. Le Japon, 125 millions d'habitants, ne compte que 2 à 3 millions d'étrangers, pas plus. Il pourrait et devrait se montrer plus accueillant. »► À lire aussi : Japon: «Il faut s'inscrire dans un rapport de force avec la Chine»Un souci d'image à l'internationalMais la priorité du gouvernement, c'est de désengorger les centres de rétention, où les conditions de détention sont notoirement épouvantables. Rien que ces quinze dernières années, une vingtaine d'étrangers y ont trouvé la mort faute de soins médicaux adéquats, à l'issue de grèves de la faim ou de tentatives de suicide.Cet enfer des centres de rétention japonais vaut à Tokyo d'être régulièrement rappelé à l'ordre par les Nations unies et les ONG de défense des droits humains. Soucieux de son image internationale, l'archipel en a déduit qu'il valait mieux expulser les demandeurs d'asile déboutés plutôt que de continuer à les enfermer.► À écouter aussi : Le Japon et la Corée du Sud confirment leur rapprochement stratégique
Bonjour à tous ! On continue cette semaine avec les questions / réponses et la suite de la FAQ, un autre épisode popera la semaine prochaine avec la suite et peut être fin de cette série de FAQ (bha oui vous m'avez posé beaucoup de question les amis !) pour ceux qui veulent aller voir les vidéos ma chaine youtube se trouve ici : https://www.youtube.com/@KitsuneDandyou retrouvez moi sur instagram : https://www.instagram.com/ngeeet sur twitter : https://www.twiter.com/KitsuneDandyet pour ceux qui voudraient soutenir le podcast et accéder à du cotenu bonus il y a le Patreon : https://www.patreon.com/explorejaponet il y a toujours le site https://www.explorejapon.com bien entendu Voir le contenu bonus sur Patreon ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Kevin et Pat reçoivent en entrevue le Québécois Mike Bailey, qui revient tout juste du Japon, où il a participé au Best of the Super Juniors, le plus gros tournoi de mi-lourds au monde. Aussi, les deux animateurs reviennent sur AEW Double or Nothing, WWE Night of Champions, PCO à Impact, et bien plus, dans un autre épisode à ne pas manquer! Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Cet épisode est rediffusé exceptionnellement ici pour vous faire découvrir Petit Poisson deviendra Podcast (PPDP), le petit frère “aquatique” de Baleine sous Gravillon. Avec Combats et Nomen, ces podcasts forment "les 4 MousqueTERREs du Vivant". _______ Les Poissons-globes ou -ballons, au sourire si doux et au corps si gonflable, sont de sympathiques célébrités des récifs. Ils font partie de la famille des tétraodontidés. Ce nom vient du grec tetra-odon: “quatres dents”. En effet, ces poissons semblent avoir quatre énormes dents soudées, un peu comme des enfants. Cette famille donne son nom à l'ordre des tétraodontiformes de nos épisodes. Cet ordre rassemble pas mal de célébrités des océans : les Balistes (Triggerfish), les Molidés (Poisson-lune), les Diodons (Poissons porc-épic) et les Poissons coffres… Les Poisson-ballons vivent dans les récifs dans les eaux tropicales et subtropicales. Ils y mangent des algues, du zooplancton et des coquillages. Les Poissons-globes sont loin d'être des F1. Avec leur étrange sourire, ils seraient même plutôt très mouligasses. Mais pour se défendre, ils peuvent se gonfler en cas de danger. Ils avalent de l'eau très rapidement. C'est exactement le même principe que la Grenouille qui veut montrer qui c'est Raoul au Bœuf;) Dissuasif pour un éventuel prédateur. Une membrane derrière leurs dents leur permet de retenir cette eau dans leur estomac extensible. Les Poissons-globes sont ceinture ET bretelles. La plupart possède une autre arme mortelle : la tétrodotoxine (TTX), un poison plus ou moins foudroyant qui neutralise les organes vitaux de celui qui l'avalera un peu trop précipitamment. Ce poison est très dangereux voire mortel pour l'homme. Au Japon, on paye très cher le frisson : le traditionnel plat à base de Takifugu coûte un bras voire la vie s'il est mal préparé. Il faut des années pour apprendre à le faire. Quelques personnes meurent quand même chaque année… d'une erreur culinaire. Ce poison entraîne la paralysie du diaphragme, la victime ne peut plus respirer et s'étouffe. Parmi les célébrités bien connues des plongeurs, l'Arothron diadematus qui porte un masque noir, comme un Zorro obèse des récifs. Ou encore le Léonard de Vinci de la bande, le Torquigener albomaculosus ou Poisson-ballon bâtisseur. Il a été décrit seulement en 2014, après sa découverte au large du Japon. Son talent pour construire de sublimes rosaces sur le sable a fait de lui une star mondiale. Des vidéos de ce poisson ont fait des centaines de millions de vues sur YouTube. Les mastodontes des Poissons-ballons sont les Arothrons. Tel que l'Arothron stellatus, le Poisson-ballon géant ou Poisson-ballon étoilé. Une “montgolfière” de 1,20m max de long, capable de vous sectionner un doigt avec son bec. Gnac ! Dans la famille Ballon, il y a même un invasif, Lagocephalus sceleratus. Il colonise petit à petit la Méditerranée à cause du réchauffement. Originaire de la Mer Rouge, Sceleratus a traversé le canal de Suez (migration lessepsienne). À part les TétraodontiNés précédemment évoqués, l'autre sous-famille est celle des Canthigastérinés. Ces minis ultra choupis ne peuvent pas se gonfler d'eau mais sont tout aussi toxiques que leurs cousins. Vous connaissez l'un deux ! Puff, la vedette du film “Wonders of the reef” sorti en 2021 sur Netflix. Puff, ce bébé Poisson-ballon (Pufferfish en anglais) s'aventure dans la Grande Barrière de corail pour se trouver une maison. _______
Bonjour à tous ! cette semaine je vais répondre à vos questions, que vous m'avez posé via les réseaux sociaux, patreon, voir email ! 2 autres épisodes vont suivre car vous m'avez posé beaucoup de question divers et variés si d'ici là vous avez envie de me poser une question n'hésitez pas il y aura un peu de place je pense dans l'épisode 3 FAQ !Et dans le 3615 ma vie on va parler de changement de nom au Japon, de double code pin pour votre carte bancaire et de balade avec un auditeur ! pour ceux qui veulent aller voir les vidéos ma chaine youtube se trouve ici : https://www.youtube.com/@KitsuneDandyou retrouvez moi sur instagram : https://www.instagram.com/ngeeet sur twitter : https://www.twiter.com/KitsuneDandyet pour ceux qui voudraient soutenir le podcast il y a le Patreon : https://www.patreon.com/explorejaponet il y a toujours le site https://www.explorejapon.com bien entendu Voir le contenu bonus sur Patreon ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Installée au Japon depuis 2016, Vanessa Montalbano résume dans le livre Tokyo crush ses expériences de dating, ses observations sur les relations amoureuses dans la société japonaise, mais aussi son point de vue sur la façon dont les masculinités évoluent. Sur le marché tokyoïte de l'amour, les injonctions sont nombreuses, les codes aussi, et les surprises ne manquent pas. Un mercredi sur deux, Mansplaining observe les masculinités à travers des œuvres culturelles et des faits d'actualité. Parce que la parole masculine est archi-dominante, sauf lorsqu'il s'agit de remettre en question les privilèges des hommes. Référence: Tokyo crush, Vanessa Montalbano, éditions Les Arènes, 2023. Mansplaining est un podcast de Thomas Messias produit par Slate Podcasts. Direction éditoriale: Christophe Carron Production éditoriale: Nina Pareja Montage, réalisation et mixage: Mona Delahais Musique: «Warm Sea», Savvier Si vous aimez Mansplaining, pensez à l'exprimer en lui donnant la note maximale sur votre plateforme de podcast préférée, en en parlant autour de vous et en laissant plein de commentaires bienveillants sur les réseaux sociaux. Suivez Slate Podcasts sur Facebook et Instagram (retrouvez-y aussi le compte de Mansplaining). Pour échanger et découvrir de nouveaux podcasts, rejoignez le Slate Podcast Club sur Facebook.
durée : 00:14:13 - Journal de 12h30 - Au menu des discussions du G7 : leurs relations avec la Chine dont ils s'inquiètent du rôle prépondérant dans les chaînes d'approvisionnement et l'Ukraine. Volodymyr Zelensky est arrivé ce matin à bord d'un avion du gouvernement français.
Le Premier ministre Anthony Albanese est actuellement au sommet du G7 a Hiroshima au Japon
durée : 00:14:13 - Journal de 12h30 - Au menu des discussions du G7 : leurs relations avec la Chine dont ils s'inquiètent du rôle prépondérant dans les chaînes d'approvisionnement et l'Ukraine. Volodymyr Zelensky est arrivé ce matin à bord d'un avion du gouvernement français.
À l'occasion du vendredi thématique "Le grand malaise des Élus", les correspondants d'Europe 1 Anne Toulouse et Bernard Delattre s'intéressent à la situation des Élus américains et japonais.
durée : 00:16:01 - Journal de 8 h - Le président ukrainien serait attendu au sommet du G7, qui se tient au Japon à Hiroshima. Tout un symbole, les détails dans cette édition avec notre envoyé spécial sur place
durée : 00:16:01 - Journal de 8 h - Le président ukrainien serait attendu au sommet du G7, qui se tient au Japon à Hiroshima. Tout un symbole, les détails dans cette édition avec notre envoyé spécial sur place
Xavier Martel, historien de formation, revient sur ses 5 années au Musée français départemental de la Photographie à Bièvres, l'exposition sur la photographie japonaise qu'il a réalisé pour le patrimoine photographique en 2004 et sa participation à araGo, le portail français de la photo. Habitant au Japon depuis 10 ans, nous avons aussi parlé de photographie japonaise et en particulier du statut d'artisan des photographes japonais. Bonne écoute !02' – Xavier Martel, une formation polyvalente à l'ENSP à Arles.7'45 – Durant 5 ans, il fut responsable des collections protéiformes du Musée français départemental de la Photographie à Bièvres pas les tirages et les photos numériques, mais tout le reste : matériels de laboratoire, sacoches d'appareils photo, etc.13' – Il a commencé une thèse sur l'iconographie touristique comme propagande nationale et il nous parle des photographies de l'association du Touring club de France.15'40 – Sa première rencontre avec la photo japonaise : il a participé à un recollement de la Société Française de Photographie et a découvert des tirages de photographes japonais. Puis il a travaillé au Centre Île-de-France en tant que chargé des publics quand Sylvain Lisson était directeur avec une expo inaugurale sur les collections japonaises dans les collections publiques. Il a alors proposé un complément de photographies venant de la FSP.21'40 – Il a travaillé pour le patrimoine photographique sur l'expo photo : Japon 1945-1975 Un renouveau photographique et a fait une résidence de six mois dans une résidence d'artiste (la Villa Kujoyama) au Japon à Kyoto.25' – Son retour en France fut compliqué, car les institutions n'étaient pas intéressées par une exposition sur la photographie japonaise.29' – Il a travaillé sur un projet mené par le ministère de la Culture déléguée à la Réunion des Musées Nationaux et du Grand Palais : le portail français de la photo, araGo. Le but était de présenter un portail avec toutes les photos des collections publiques (archives, musées et bibliothèques) et privées (galeries, etc.). Projet mené pendant deux ans, lancé à Arles en 2011, préfiguration à Paris Photo en 2011, ouverture du portail en 2012 alors qu'il écrivait des textes pour le portail depuis le japon puis le projet a été mis en pause.34' – En venant vivre au Japon, en parallèle du projet Arago il souhaitait écrire une histoire de la photo japonaise. Sa question de départ : on parle des images faites par des Japonais ou des étrangers qui font de la photo au japon ? Les liens entre les territoires et les photos sont très forts.41'30 – Peu de galeries de photographie (il apprécie la Galerie MEM créée par Katsuya Ishida) au Japon. Importance du livre, car le Japon est un pays de l'écrit et moins de l'exposition.45' – Des photographes japonais qui ne se considèrent pas comme des artistes (Shōmei Tōmatsu, Shōji Ueda). Les photographes reconnus comme des artistes au japon ont fait carrière à l'international comme Hiroshi Sugimoto.48'- Très peu de collectionneurs au Japon d'art contemporain. Le travail de valorisation de la photographie et de la structuration du marché de l'art fut initié aux EU.50' – Les images photo ne pas sacralisées, les photographies sont moins des objets, mais plus consommables. Production d'images et non pas d'objets. Au Japon, il n'y a pas de différence entre artisan et artiste. Le photographe japonais Shōmei Tōmatsu disait : un photographe est uniquement un œil. Comme le photographe Eugène Atget, il disait qu'il faisait uniquement des documents pour les personnes qu'il prenait en photo et qu'il était un artisan au service des artistes.Pour suivre l'actualité du podcast vous pouvez vous inscrire à la newsletter ici : https://beacons.ai/lesvoixdelaphoto et retrouvez le podcast sur Instagram, Facebook et LinkedIn @lesvoixdelaphoto Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Au Japon, jour après jour, les témoignages accablants se succèdent, relatifs aux mauvais traitements que de nombreux adeptes des Témoins de Jéhovah, mouvement religieux d'obédience chrétienne, infligent à leurs propres enfants. Les récits terribles de ces violences physiques et psychologiques choquent les Japonais. De notre correspondant à Tokyo, Le ministère des Affaires sociales a convoqué en urgence les plus hauts dirigeants de l'aile japonaise des Témoins de Jéhovah qui revendiquent quelque 250 000 fidèles dans l'archipel. La Direction de la protection de l'enfance a sommé l'organisation religieuse de rappeler à tous ses membres que les traitements inhumains, cruels et dégradants sont interdits et passibles de lourdes peines de prison. Ce sont les témoignages de ces personnes, notamment, qui ont conduit les autorités à réagir. « J'ai été maltraité tout au long de mon enfance et de mon adolescence. Chaque jour, mes parents me donnaient des coups de martinet sur les fesses pour me punir de ne pas être assez pieux », raconte un premier témoin. « Ils me forçaient aussi à me gargariser avec de l'eau de Javel. Cela me purifiait, disaient-ils. À l'époque, je connaissais un petit garçon dont les parents étaient également des croyants fervents. Eh bien, régulièrement, ils gravaient dans son dos, à même la peau, le mot Jéhovah écrit en lettres capitales à l'aide d'une aiguille à coudre. Sur laquelle ils appuyaient bien fort afin que cela fasse très mal. » « Ma mère me dénudait puis me fessait sous le regard de mes frères et de mon père » Une femme explique à son tour : « Tous les jours quasiment, ma mère me déculottait et me donnait la fessée avec une ceinture cloutée ou des câbles électriques. C'était terrible. Après, j'avais si mal que c'était un cauchemar, en classe, de rester assise pendant toute la journée à mon pupitre. » Puis, elle ajoute : « Le pire, ce fut pendant ma puberté. Mon corps changeait, j'en avais honte, et ma mère me dénudait puis me fessait sous le regard de mes frères et de mon père. J'en étais traumatisée. Au point de n'avoir qu'une envie : me suicider. » « Après la classe, tous les enfants du quartier allaient jouer au base-ball ou s'amuser au parc mais, moi, ma mère me l'interdisait. Dès l'âge de 6 ou 7 ans, j'ai dû faire du porte-à-porte avec elle dans le voisinage afin de “l'évangéliser”, comme elle disait », se rappelle un troisième témoin. « La Bible à la main, en chemise blanche et costume-cravate, je sonnais chez les gens puis récitais tout un laïus ésotérique que j'avais dû apprendre par cœur et auquel je ne comprenais pas grand-chose. De retour à la maison, ma mère me fouettait quand elle jugeait que je ne m'étais pas montré assez persuasif ou souriant. Et puis, elle hurlait très fort que j'allais brûler en enfer à force d'être un aussi mauvais croyant. Cette perspective de mourir dans de telles souffrances a hanté toute mon enfance. » Un collectif de victimes réunis pour faire réagir les autorités Les Témoins de Jéhovah assurent ne pas cautionner les châtiments corporels infligés aux enfants et dénoncent une campagne de désinformation orchestrée. Mais 200 victimes de mauvais traitements se sont déjà fait connaître. Avec l'aide de ténors du barreau, elles ont constitué un collectif et réclament que les autorités prennent des mesures afin que de telles pratiques éducatives cessent dans ce mouvement religieux.
durée : 00:04:26 - Sous les radars - par : Sébastien LAUGENIE - Le Japon compte près d'un million et demi de reclus sociaux ou "hikikomori", comme ils sont appelés dans le pays, selon une étude du gouvernement nippon.
durée : 00:04:26 - Sous les radars - par : Sébastien LAUGENIE - Le Japon compte près d'un million et demi de reclus sociaux ou "hikikomori", comme ils sont appelés dans le pays, selon une étude du gouvernement nippon.
Ce vendredi, Gavin's Clemente Ruiz se rend au Japon pour découvrir une collection de kimonos peints selon une technique du 14ème siècle remise au goût du jour par Ichiku Kubota.
Dragon Ball Z, Naruto ou encore l'Attaque des Titans. Derrière chacun de ces mangas mondialement connus, se cache un mangaka (auteur de manga). Début mars, un nouveau manga de science-fiction intitulé “Cyberpunk Peach John” est apparu au Japon, avec un profil particulier: son auteur, “Rootport”, n'a pas eu à lever le crayon pour donner vie à ses personnages. Il a fait appel à l'intelligence artificielle. Comment cette innovation est-elle accueillie par les professionnels du manga au pays du soleil levant ? Sur le terrain: Tomohiro OSAKI, Harumi Ozawa Réalisation: Mario Lawson Sur le Fil est le podcast quotidien de l'AFP. Vous avez des commentaires ? Ecrivez-nous à podcast@afp.com ou sur notre compte Instagram. Vous pouvez aussi nous envoyer une note vocale par Whatsapp au + 33 6 79 77 38 45. Si vous aimez ce genre de sujet, n'hésitez pas à écouter notre playlist "Tech" . Et pour nous encourager, abonnez-vous, parlez de nous autour de vous et laissez-nous plein d'étoiles sur votre plateforme de podcasts préférée
durée : 00:04:01 - Sous les radars - par : Sébastien LAUGENIE - Un tribunal japonais a ordonné aujourd'hui la révision du procès d'un homme de 87 ans considéré comme le plus ancien condamné à mort au monde, près de 60 ans après sa condamnation pour meurtre.
durée : 00:02:20 - La chronique d'Anthony Bellanger - par : Anthony BELLANGER - Lécher la bouteille de sauce soja commune ou cracher sur des sushis avant de les reposer sur les tapis roulants de présentation peut-il être qualifié de terrorisme ? Au Japon, oui ! Et ça conduit même en prison.