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AvecMère Marie Maximilien prieure et Bruno
Et si marcher devenait aussi un temps de prière ? De plus en plus de personnes découvrent une autre manière de randonner : allier l'effort physique à la méditation et à la spiritualité. Ces "randonnées prière" offrent l'occasion de se reconnecter à la nature, à soi-même et à Dieu, le temps d'une marche. Avec : - Xavier de Bénazé, jésuite, coordinateur du Centre spirituel du Châtelard (69) avec l'application Prie en chemin- Frère Olivier-Marie Corre, directeur de l'École de vie du Sanctuaire de la Sainte-Baume (83)- Mahaut Bernard, animatrice et accompagnatrice des retraites “Prier, Marcher, Partager" au Centre Saint-Hugues de Biviers (38)Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Avec Père Antoine Boucheron Chanoine
Avec le Père Olivier Artus, recteur de la Basilique de Vézelay https://www.basiliquedevezelay.org/ Colloque "Osons l'espérance" du 20 au 22/07/2025: https://openagenda.com/fr/jerusalem-vezelay/events/colloque-les-intervenants
Avec les Père Michel Magdeleine et Bruno
Avec Frère Silouane, Samantha et Victor https://www.stjean-esperance.net/
L'émission 28 minutes du 11/06/2025 Araignées : ces bestioles mal-aimées qui sont pourtant nos amies !En Europe, un quart des adultes ressentent de la peur face aux araignées, et entre 5 et 10 % se disent arachnophobes. Raphaël Jeanson, éthologue et directeur de recherches au CNRS, avoue aimer "travailler avec une bestiole que personne n'aime". Il publie donc "Dans la tête d'une araignée" (aux éditions HumenSciences) pour démystifier ces insectes à 8 pattes. L'auteur y explique notamment l'aversion occidentale vis-à-vis des araignées, héritée de la mythologie grecque et transmise par les parents. Pourtant, elles jouent un inestimable "rôle dans la régulation des écosystèmes terrestres", en consommant entre 400 et 800 millions de tonnes de proies chaque année, "soit l'équivalent de une à deux fois la masse de l'humanité". Raphaël Jeanson explore aussi la sociabilité des araignées et leurs moyens de communication, qui passent par la détection des "vibrations émises par les congénères qui se propagent sur la toile". Surveillante mortellement poignardée : l'école est-elle toujours un sanctuaire ?Mardi 10 juin, une surveillante a été mortellement poignardée par un élève de son collège, à Nogent (Haute-Marne) lors d'un contrôle des sacs. Face à la sidération et au traumatisme provoqués par ce drame, Élisabeth Borne, la ministre de l'Éducation nationale, a annoncé une minute de silence dans les établissements scolaires le 12 juin. Emmanuel Macron a dénoncé "un déferlement de violence insensé" qu'il a notamment expliqué par “l'explosion des familles”, pointant aussi du doigt les réseaux sociaux qu'il souhaiterait “interdire au moins de 15 ans”, si l'Union européenne n'agit pas dans ce sens d'ici “quelques mois”. Le Premier ministre a, quant à lui, annoncé dans la soirée sur TF1 l'interdiction immédiate de la vente d'armes blanches aux mineurs pour se battre contre la “culture du couteau” qui est en train de se répandre “comme une épidémie”. Ce meurtre fait suite à une série d'événements similaires : en avril, un lycéen nantais tuait une camarade en lui assénant 57 coups de couteau. En mars, un adolescent de 17 ans était tué devant un lycée, poignardé au cours d'une rixe en Essonne. Face à cette violence, quelles réponses peuvent être apportées ? Enfin, à l'aune d'une recrudescence des cas de diphtérie en Europe, Xavier Mauduit nous raconte l'histoire de cette maladie que l'on pensait éradiquée. Marie Bonnisseau nous emmène en Chine, où un homme refuse la démolition de sa maison ; pour protester, il ne cesse d'y ajouter des étages. 28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 11 juin 2025 Présentation Élisabeth Quin Production KM, ARTE Radio
L'émission 28 minutes du 11/06/2025 Surveillante mortellement poignardée : l'école est-elle toujours un sanctuaire ?Mardi 10 juin, une surveillante a été mortellement poignardée par un élève de son collège, à Nogent (Haute-Marne) lors d'un contrôle des sacs. Face à la sidération et au traumatisme provoqués par ce drame, Élisabeth Borne, la ministre de l'Éducation nationale, a annoncé une minute de silence dans les établissements scolaires le 12 juin. Emmanuel Macron a dénoncé "un déferlement de violence insensé" qu'il a notamment expliqué par “l'explosion des familles”, pointant aussi du doigt les réseaux sociaux qu'il souhaiterait “interdire au moins de 15 ans”, si l'Union européenne n'agit pas dans ce sens d'ici “quelques mois”. Le Premier ministre a, quant à lui, annoncé dans la soirée sur TF1 l'interdiction immédiate de la vente d'armes blanches aux mineurs pour se battre contre la “culture du couteau” qui est en train de se répandre “comme une épidémie”. Ce meurtre fait suite à une série d'événements similaires : en avril, un lycéen nantais tuait une camarade en lui assénant 57 coups de couteau. En mars, un adolescent de 17 ans était tué devant un lycée, poignardé au cours d'une rixe en Essonne. Face à cette violence, quelles réponses peuvent être apportées ? On en débat avec Antoine Pelissolo, psychiatre, Olivier Beaufrère, proviseur, secrétaire national du Syndicat national des personnels de direction-UNSA et Marie-Estelle Pech, rédactrice en chef du service Société de “Marianne”.28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 11 juin 2025 Présentation Élisabeth Quin Production KM, ARTE Radio
Pélerinage spirituel de la World Family au sanctuaire Notre Dame de Csiksomlyo. Mystères douleureux du Rosaire
Aujourd'hui, Fatima Aït Bounoua, Antoine Diers et Emmanuel de Villiers débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Chaque année, des milliers de pèlerins affluent vers le sanctuaire d'Ars, attirés par la figure du saint curé Jean-Marie Vianney. Ce lieu de prière et de recueillement, niché au cœur de la Dombes, offre un accueil chaleureux et spirituellement riche à ceux qui viennent y chercher réconfort, inspiration ou renouveau intérieur. Avec Margaret Dufief et Chantal Priquet, membres bénévoles à l'accueil du Sanctuaire d'Ars.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Avec le Père Remi Griveaux
Soirée de louanges au Sanctuaire Notre dame de la Consolation (Hyères ). Avec la communauté Recado
Les mystères douleureux du Rosaire en araméen et arabe au sanctuaire de Marymane en Irak
Avec le Frère François
Dreaming of a bougie homesteading lifestyle? Tune in to this week's Atlanta Real Estate Forum Radio podcast as host Carol Morgan chats with Jennifer and Rob Beecham of Folia Group about Sanctuaire Farms — a modern farmstead living community in Ball Ground, Georgia, offering 5- to 15-acre homesites designed for sustainable, regenerative living. A Modern Take on Homesteading Located in Cherokee County, Sanctuaire Farms features 54 homesites across 461 acres. Each home includes five to 15 acres of land, ready to be transformed with residents' agricultural visions. Natural, rolling hills and creek-front lots offer scenic views from your front door, while onsite agricultural amenities provide ample opportunities to engage with neighbors and connect as a family. Sanctuaire Farms is thoughtfully designed by Atlanta architect, Steven Kemp. Rob Beecham said, “We are conservationists and we are developing a sustainable, regenerative community that is very green-centered.” After the COVID-19 pandemic, the Beecham family purchased a 122-acre plot in Ball Ground and decided to start fresh. They quickly realized they didn't need as much land and subdivided the acreage into a five-track community with friends. The connectivity of this community inspired them to create a central farm where residents could learn farming techniques together and grow as individuals. “What we found is most people moved off the farm several generations ago, and we all lost all those skills, and it's much easier to learn them in a kind of corporate community environment,” said Rob Beecham. “From that experience, we envisioned a much larger adaptation of what we were doing on our farm, and that's how Sanctuaire Farms was kind of birthed.” Agrarian Learning at The Grange In addition to its homesites, Sanctuaire Farms also showcases a 50-acre store and agrarian learning center known as The Grange, where residents can learn helpful farming and gardening practices from professionals. Currently, the Grange includes a community garden, six Highland cows and two horses. At completion, residents will enjoy a fully functioning farm with a dairy and farmer's market. “What we tell people is, you don't have to do everything on your own farm,” said Rob Beecham. “You can do the things you're passionate about and then supplement the other things you don't necessarily need to do. You can supplement by participating in our community farm. It gives you the ability to be a part-time farmer if you want.” Jennifer Beecham will oversee community events at The Grange, such as dinners, social clubs and learning opportunities. “The unique thing is we'll be open to the public,” said Jennifer Beecham. “This is not just something for the community itself; it's also for the whole community and surrounding areas, and so that other people get to enjoy the Grange itself too.” A Focus on Sustainability Sanctuaire Farms is a fully regenerative community, from its produce and animal maintenance to the construction of homesites. Residents will be expected to utilize pesticide- and chemical-free practices and invest in organic farming techniques. "We've changed our complete lifestyle of how we eat, where we shop, and where we buy our food,” said Rob Beecham. “More and more people are coming on board to understand how important this is, and we see that playing a vital role in our community and people's lives.” Life at Sanctuaire Farms When pre-sales began a few months ago, homesites at Sanctuaire Farms went quickly. The Beechams estimate that 30 homes are already accounted for, proving that homebuyers are seeking this lifestyle. The development stage will begin shortly, with sales anticipated to start at the end of this year. “We've got people that are coming in and building smaller homes that are more focused on the farming side,” said Rob Beecham. “And we have a number of folks that have purchased multiple lots and plan on building much larger, kind of grander estates.
Le Journal en français facile du vendredi 18 avril 2025, 18 h 00 à Paris.Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/Bb02.A
Aujourd'hui, je te propose une rediffusion de l'épisode #5, avec le témoignage de Lucie, qui travaillait alors au Refuge GroinGroin ! ✨- - -Dans cet épisode, j'ai eu le plaisir de rencontrer Lucie Nayak, chargée de sensibilisation et de développement au Refuge GroinGroin
Dimanche des Rameaux (13 avril 2025) : Procession : « Béni soit celui qui vient au nom du Seigneur » (Lc 19, 28-40) En ce temps-là, Jésus partit en avant pour monter à Jérusalem. Lorsqu'il approcha de Bethphagé et de Béthanie, près de l'endroit appelé mont des Oliviers, il envoya deux de ses disciples, en disant : « Allez à ce village d'en face. À l'entrée, vous trouverez un petit âne attaché, sur lequel personne ne s'est encore assis. Détachez-le et amenez-le. Si l'on vous demande : ‘Pourquoi le détachez-vous ?' vous répondrez : ‘Parce que le Seigneur en a besoin.' » Les envoyés partirent et trouvèrent tout comme Jésus leur avait dit. Alors qu'ils détachaient le petit âne, ses maîtres leur demandèrent : « Pourquoi détachez-vous l'âne ? » Ils répondirent : « Parce que le Seigneur en a besoin. » Ils amenèrent l'âne auprès de Jésus, jetèrent leurs manteaux dessus, et y firent monter Jésus. À mesure que Jésus avançait, les gens étendaient leurs manteaux sur le chemin. Alors que déjà Jésus approchait de la descente du mont des Oliviers, toute la foule des disciples, remplie de joie, se mit à louer Dieu à pleine voix pour tous les miracles qu'ils avaient vus, et ils disaient : « Béni soit celui qui vient, le Roi, au nom du Seigneur. Paix dans le ciel et gloire au plus haut des cieux ! » Quelques pharisiens, qui se trouvaient dans la foule, dirent à Jésus : « Maître, réprimande tes disciples ! » Mais il prit la parole en disant : « Je vous le dis : si eux se taisent, les pierres crieront. » Passion de notre Seigneur Jésus Christ (Lc 22, 14 – 23, 56) : En ce temps-là, L. L'assemblée tout entière se leva, et on l'emmena chez Pilate. On se mit alors à l'accuser : F. « Nous avons trouvé cet homme en train de semer le trouble dans notre nation : il empêche de payer l'impôt à l'empereur, et il dit qu'il est le Christ, le Roi. » L. Pilate l'interrogea : A. « Es-tu le roi des Juifs ? » L. Jésus répondit : X « C'est toi-même qui le dis. » L. Pilate s'adressa aux grands prêtres et aux foules : A. « Je ne trouve chez cet homme aucun motif de condamnation. » L. Mais ils insistaient avec force : F. « Il soulève le peuple en enseignant dans toute la Judée ; après avoir commencé en Galilée, il est venu jusqu'ici. » L. À ces mots, Pilate demanda si l'homme était Galiléen. Apprenant qu'il relevait de l'autorité d'Hérode, il le renvoya devant ce dernier, qui se trouvait lui aussi à Jérusalem en ces jours-là. À la vue de Jésus, Hérode éprouva une joie extrême : en effet, depuis longtemps il désirait le voir à cause de ce qu'il entendait dire de lui, et il espérait lui voir faire un miracle. Il lui posa bon nombre de questions, mais Jésus ne lui répondit rien. Les grands prêtres et les scribes étaient là, et ils l'accusaient avec véhémence. Hérode, ainsi que ses soldats, le traita avec mépris et se moqua de lui : il le revêtit d'un manteau de couleur éclatante et le renvoya à Pilate. Ce jour-là, Hérode et Pilate devinrent des amis, alors qu'auparavant il y avait de l'hostilité entre eux. Alors Pilate convoqua les grands prêtres, les chefs et le peuple. Il leur dit : A. « Vous m'avez amené cet homme en l'accusant d'introduire la subversion dans le peuple. Or, j'ai moi-même instruit l'affaire devant vous et, parmi les faits dont vous l'accusez, je n'ai trouvé chez cet homme aucun motif de condamnation. D'ailleurs, Hérode non plus, puisqu'il nous l'a renvoyé. En somme, cet homme n'a rien fait qui mérite la mort. Je vais donc le relâcher après lui avoir fait donner une correction. » L. Ils se mirent à crier tous ensemble : F. « Mort à cet homme ! Relâche-nous Barabbas. » L. Ce Barabbas avait été jeté en prison pour une émeute survenue dans la ville, et pour meurtre. Pilate, dans son désir de relâcher Jésus, leur adressa de nouveau la parole. Mais ils vociféraient : F. « Crucifie-le ! Crucifie-le ! » L. Pour la troisième fois, il leur dit : A. « Quel mal a donc fait cet homme ? Je n'ai trouvé en lui aucun motif de condamnation à mort. Je vais donc le relâcher après lui avoir fait donner une correction. » L. Mais ils insistaient à grands cris, réclamant qu'il soit crucifié ; et leurs cris s'amplifiaient. Alors Pilate décida de satisfaire leur requête. Il relâcha celui qu'ils réclamaient, le prisonnier condamné pour émeute et pour meurtre, et il livra Jésus à leur bon plaisir. L. Comme ils l'emmenaient, ils prirent un certain Simon de Cyrène, qui revenait des champs, et ils le chargèrent de la croix pour qu'il la porte derrière Jésus. Le peuple, en grande foule, le suivait, ainsi que des femmes qui se frappaient la poitrine et se lamentaient sur Jésus. Il se retourna et leur dit : X « Filles de Jérusalem, ne pleurez pas sur moi ! Pleurez plutôt sur vous-mêmes et sur vos enfants ! Voici venir des jours où l'on dira : ‘Heureuses les femmes stériles, celles qui n'ont pas enfanté, celles qui n'ont pas allaité !' Alors on dira aux montagnes : ‘Tombez sur nous', et aux collines : ‘Cachez-nous.' Car si l'on traite ainsi l'arbre vert, que deviendra l'arbre sec ? » L. Ils emmenaient aussi avec Jésus deux autres, des malfaiteurs, pour les exécuter. Lorsqu'ils furent arrivés au lieu dit : Le Crâne (ou Calvaire), là ils crucifièrent Jésus, avec les deux malfaiteurs, l'un à droite et l'autre à gauche. Jésus disait : X « Père, pardonne-leur : ils ne savent pas ce qu'ils font. » L. Puis, ils partagèrent ses vêtements et les tirèrent au sort. Le peuple restait là à observer. Les chefs tournaient Jésus en dérision et disaient : F. « Il en a sauvé d'autres : qu'il se sauve lui-même, s'il est le Messie de Dieu, l'Élu ! » L. Les soldats aussi se moquaient de lui ; s'approchant, ils lui présentaient de la boisson vinaigrée, en disant : F. « Si tu es le roi des Juifs, sauve-toi toi-même ! » L. Il y avait aussi une inscription au-dessus de lui : « Celui-ci est le roi des Juifs. » L'un des malfaiteurs suspendus en croix l'injuriait : A. « N'es-tu pas le Christ ? Sauve-toi toi-même, et nous aussi ! » L. Mais l'autre lui fit de vifs reproches : A. « Tu ne crains donc pas Dieu ! Tu es pourtant un condamné, toi aussi ! Et puis, pour nous, c'est juste : après ce que nous avons fait, nous avons ce que nous méritons. Mais lui, il n'a rien fait de mal. » L. Et il disait : A. « Jésus, souviens-toi de moi quand tu viendras dans ton Royaume. » L. Jésus lui déclara : X « Amen, je te le dis : aujourd'hui, avec moi, tu seras dans le Paradis. » L. C'était déjà environ la sixième heure (c'est-à-dire : midi) ; l'obscurité se fit sur toute la terre jusqu'à la neuvième heure, car le soleil s'était caché. Le rideau du Sanctuaire se déchira par le milieu. Alors, Jésus poussa un grand cri : X « Père, entre tes mains je remets mon esprit. » L. Et après avoir dit cela, il expira. (Ici on fléchit le genou et on s'arrête un instant) À la vue de ce qui s'était passé, le centurion rendit gloire à Dieu : A. « Celui-ci était réellement un homme juste. » L. Et toute la foule des gens qui s'étaient rassemblés pour ce spectacle, observant ce qui se passait, s'en retournaient en se frappant la poitrine. Tous ses amis, ainsi que les femmes qui le suivaient depuis la Galilée, se tenaient plus loin pour regarder. Cet enregistrement est proposé bénévolement pour répandre la Parole de Dieu
Avec Sylvie Bernay, auteur du livre "Estelle Faguette - La voyante de Pellevoisin" (éditions du Cerf)
Avec Bruno Maurin et le P. Bernard Keradec
Avec Bruno et le père Mario Doyle
Avec le Père Bergier, recteur
Par le Père Jean-Pierre Gatete, chapelain du Sanctuaire de Kibeho
Avec Sylvie Bernay
Aujourd'hui en France, les établissements scolaires tendent à se refermer sur eux-mêmes. Selon le chercheur Pascal Clerc, l'institution cloisonne et enferme au lieu de s'ouvrir aux différents horizons et environnements. La logique du contrôle prime sur l'émancipation des élèves. L'école est perçue comme un lieu de discipline alors qu'elle pourrait devenir un espace d'ouverture et de créativité. Cependant, cette transformation nécessite une remise en question des structures et des mentalités en place. Comment concilier le besoin de sécurité et de contrôle avec l'ambition d'une éducation véritablement émancipatrice et ouverte sur le monde ? Avec :• Pascal Clerc, géographe, chercheur au Laboratoire EMA (École, Mutations, Apprentissages) rattaché à Cergy Paris Université et auteur d'Émanciper ou contrôler ? Les élèves et l'école au XXIem siècle (Éditions Autrement, 2024.En ouverture d'émission L'école autour du monde : l'actualité de l'éducation avec un reportage de Tom Malki, l'accueil des enfants mahorais dans les écoles sur l'île de La Réunion, depuis le cyclone Chido à Mayotte. En fin d'émission, Un parent, une question et les conseils du psychologue Ibrahima Giroux, professeur à l'Université Gaston Berger de Saint-Louis du Sénégal. Il répond à la question de Clarisse. Programmation musicale :► Commerce Sale – SCPNCQ (Si c'est pas nous c'est qui ?) ► Grateful – Ana.
Aujourd'hui en France, les établissements scolaires tendent à se refermer sur eux-mêmes. Selon le chercheur Pascal Clerc, l'institution cloisonne et enferme au lieu de s'ouvrir aux différents horizons et environnements. La logique du contrôle prime sur l'émancipation des élèves. L'école est perçue comme un lieu de discipline alors qu'elle pourrait devenir un espace d'ouverture et de créativité. Cependant, cette transformation nécessite une remise en question des structures et des mentalités en place. Comment concilier le besoin de sécurité et de contrôle avec l'ambition d'une éducation véritablement émancipatrice et ouverte sur le monde ? Avec :• Pascal Clerc, géographe, chercheur au Laboratoire EMA (École, Mutations, Apprentissages) rattaché à Cergy Paris Université et auteur d'Émanciper ou contrôler ? Les élèves et l'école au XXIem siècle (Éditions Autrement, 2024.En ouverture d'émission L'école autour du monde : l'actualité de l'éducation avec un reportage de Tom Malki, l'accueil des enfants mahorais dans les écoles sur l'île de La Réunion, depuis le cyclone Chido à Mayotte. En fin d'émission, Un parent, une question et les conseils du psychologue Ibrahima Giroux, professeur à l'Université Gaston Berger de Saint-Louis du Sénégal. Il répond à la question de Clarisse. Programmation musicale :► Commerce Sale – SCPNCQ (Si c'est pas nous c'est qui ?) ► Grateful – Ana.
L'île française d'Amsterdam a subi de violents incendies, mettant en péril son écosystème fragile et sa faune endémique rare.Traduction : France's Amsterdam Island has been ravaged by severe wildfires, threatening its delicate ecosystem and rare endemic wildlife. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Ecoutez Le 2ème œil de Philippe Caverivière avec Alex Vizorek du 20 février 2025.
Avec le Père Frédéric Marc Balde et Elise Rubal
Avec Sylvie Bernay
Avec le Père Hervé Benoît
Avec l'Abbé Jean-Pierre Roussel, recteur
Le 20 janvier, Donald Trump sera de retour à la Maison Blanche, et sa promesse de lancer dès le premier jour de son mandat une vaste opération d'expulsions de « sans-papiers » pourrait toucher des millions de personnes. La Californie et Los Angeles, la plus grande ville de l'État, ont déjà prévenu qu'elle n'assisterait pas le nouveau président américain dans sa tâche et qu'elles feraient de leur mieux pour protéger les quelque 1,8 million de « sans-papiers » qui vivent dans le Golden State. De notre correspondant à Los Angeles,Maria garde un œil sur son adorable petit-fils de 2 ans, elle fait partie des « abuelitas », ces grand-mères, « sans-papiers » et « sans histoire », loin du stéréotype du « dangereux migrant » véhiculé par certains politiques. Et quand Donald Trump parle d'expulsions de masse, il ne cible pas que les criminels endurcis. « Je n'ai jamais eu de problèmes avec la loi, affirme Maria. J'ai toujours essayé de bien me comporter justement pour les éviter. »Arrivée il y a 31 ans du Chili avec un visa touriste, Maria attend sa régularisation. La procédure est bien enclenchée, mais la fermeté affichée par Trump sur l'immigration pourrait tout changer. Il n'exclut pas d'expulser des familles entières. « Il dit tellement de choses qu'on ne sait plus que croire. Il dit que oui, il va expulser tout le monde, puis non. Donc, on vit dans l'incertitude. Qu'est-ce qu'il va se passer ?, s'inquiète Maria. Est-ce qu'il va faire tout ce qu'il annonce ? Est-ce qu'il aura le pouvoir de faire tout ce qu'il annonce ? On vit tous avec ces doutes. »La fille de Maria, Jennifer, est une « Dreamer », une protection spéciale créée par l'administration Obama pour les « sans-papiers » entrés enfants aux États-Unis. Un statut lui aussi incertain. « Il n'y a rien de nouveau avec ce statut. On le renouvelle encore et encore, mais on ne sait pas jusqu'à quand on pourra le faire, explique Jennifer. Trump veut apparemment s'en débarrasser, mais ce serait pour nous trouver une solution permanente. On n'a pas vraiment plus de détails, donc on attend de voir ce qui va se décider. »À lire aussiÉtats-Unis: la Cour suprême valide le statut de 700 000 «dreamers»La Californie, un bastion de la résistance anti-TrumpDans leur situation, la chance de Maria et Jennifer, c'est qu'elles vivent en Californie, un bastion de la résistance anti-Trump. Mi-décembre, des centaines de personnes ont défilé dans le centre de Los Angeles avec des pancartes clamant, en espagnol : « Les immigrés sont bienvenus ». Le Conseil municipal a formalisé le statut de ville-sanctuaire de Los Angeles.« On ne peut pas ignorer les menaces de Trump. Elles ont pour but de faire peur. Ce qu'une ville-sanctuaire veut dire, c'est que Los Angeles ne mettra pas d'argent, de personnel ou de ressources à disposition des agents fédéraux pour mener leurs expulsions, indique Jorge-Mario Cabrera, qui travaille avec Chirla, une association d'aide aux migrants. C'est très simple, mais ça aidera à éviter, ou en tout cas aidera à ralentir, le travail de ces agents à Los Angeles. »Roxanne Hoge, porte-parole du Parti républicain de Los Angeles, dénonce de vaines gesticulations : « L'immigration relève de la compétence du gouvernement, pas d'un Conseil municipal. Est-ce qu'on vit dans un État de droit ou pas ?, interroge-t-elle. C'est très décevant de voir des élus censés défendre la loi faire exactement le contraire. Ils préfèrent qu'on parle d'eux pour montrer qu'ils s'opposent à Donald Trump. »En 2024, l'administration Biden a expulsé 270 000 personnes. Donald Trump vise cinq fois plus chaque année.À écouter dans Grand reportageTrump, le retour : au Mexique sur les rails de la crise migratoire
Avec Marie-Christine Lefèvre et Jean-François Leost
Sœur Louisette Soazandry et Père François-Marie
Avec Frère François
Avec Mme Thouez et Josiane Berney
Avec Bernard et Christine Storm
Avec Frère François
Avec le Père Fabrice Douérin, recteur du sanctuaire de l'Ile Bouchard
Avec le Père Rémi Lepage https://www.sanctuaire-ndc.ca/
" Il parlait du sanctuaire de son corps "Méditation de l'évangile (Jn 2, 13-22) par le Pasteur Nicole FabreChant final : "Jésus s'est consumé d'amour" par les Bénédictines du Sacré-Coeur de Montmartre
Chapelet présidé par le Frère Pedro Garcia Présenté en italien par Sara Langues: italien, anglais, arabe, espagnol, français
Avec Sœur Mismare, de la congrégation des Sœurs Servantes de Sainte Thérèse de l'Enfant Jésus https://www.therese-de-lisieux.catholique.fr/
Separated from her local guide by a patrol of enemy soldiers, Minerva Damson finds herself in the company of another knight who also claims to be pursuing The Beast of Gevaudan. Despite their shared mission and its urgency, one question presses heavily on Minnie's mind: Where is Bisclavret? Did he escape, too? Or by helping her, has he been doomed to a fate worse than what might have awaited him in Sanctuaire-a-la-Grotte? Get bonus content on PatreonSupport this show http://supporter.acast.com/the-harrowing-of-minerva-damson. Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.
Avec Philippe Auserve
Avec Frère Laurent, recteur du sanctuaire de Pellevoisin
Avec Père Tom Kerger, recteur
Avec Frère François