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durée : 00:02:38 - Coupe de France : Le SC Abbeville prépare sans pression son 8e tour historique face à Dunkerque Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
On ne sait toujours pas qui se cache derrière le nom de Satoshi Nakamoto, le créateur mythique du Bitcoin. Mais une chose est certaine : son héritage, lui, est colossal. En ayant miné les tout premiers blocs de la blockchain, il est aujourd'hui crédité d'environ 1,1 million de bitcoins, disséminés sur plusieurs portefeuilles numériques. Une fortune fantôme, jamais touchée, devenue une véritable légende des marchés.Mais derrière ce mythe absolu, un autre nom s'est longtemps imposé comme la première grande figure connue du Bitcoin milliardaire : Owen Gunden. Un pionnier discret, entré dans la danse dès 2011, à une époque où le Bitcoin ne valait encore que quelques dollars. Cette année-là, il met la main sur 11 000 bitcoins. Il les garde, patiemment, pendant quatorze ans. Jusqu'à aujourd'hui.Car Owen Gunden vient de tourner définitivement la page. Depuis octobre dernier, il a commencé à vendre, morceau par morceau, l'intégralité de ses avoirs. La liquidation est désormais achevée : ses 11 000 bitcoins se sont transformés en environ 1,3 milliard de dollars. Avec cette opération, il abandonne son statut de plus ancien milliardaire connu du Bitcoin encore actif. La symbolique est forte. Gunden faisait partie de cette toute première génération d'investisseurs apparue au moment même où Satoshi Nakamoto disparaissait de la scène. Un passage de relais historique, presque générationnel. D'autant que le calendrier interroge. Cette sortie intervient alors que le marché du Bitcoin traverse une phase de forte correction.Après avoir inscrit un sommet spectaculaire au début du mois d'octobre, au-dessus des 125 000 dollars, la cryptomonnaie a brutalement décroché. Elle est repassée sous la barre des 100 000 dollars, puis sous celle des 90 000, flirtant même avec les 80 000 dollars ces derniers jours. Une chute qui alimente toutes les spéculations. Dans l'écosystème, une question obsède désormais les investisseurs : les grandes “baleines”, ces acteurs détenant d'immenses volumes de bitcoins, anticipent-elles un retournement durable du marché ? Sommes-nous à l'aube d'un véritable bear market ? Avec la sortie d'Owen Gunden, ce n'est pas seulement une fortune qui change de mains. C'est un chapitre entier de l'histoire du Bitcoin qui se referme — celui des pionniers, des aventuriers de la première heure, qui avaient cru à l'or numérique bien avant le reste du monde. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:02:27 - Bientôt chez vous - Warner Music et Suno, une start-up qui génère des chansons grâce à l'intelligence artificielle viennent de conclure un accord pour rémunérer les artistes dont la production sera utilisée pour créer des morceaux. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Retour sur l'actualité sportive de ces derniers jours, l'Italie décroche sa troisième coupe Davis consécutive.
Le gouvernement du Québec reconnaît officiellement André « Dédé » Fortin comme personnage historique. Entrevue avec Nancy Guillemette, députée de Roberval pour la CAQ et whip adjointe du gouvernement. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radio Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Le sommet du G20 s'est tenu pour la première fois de son histoire sur le continent africain. Une occasion historique pour redéfinir les relations entre l'Afrique et les grandes puissances économiques mondiales face aux changements politiques et économiques. Pour décrypter le poids de l'Afrique dans le concert des nations, Daouda Sembene PDG d'Africatalyst, membre du panel d'experts africains pour le G20 était avec nous.
Retour sur la performance de Chancel Mbemba lors des qualifications au Mondial, lui qui a porté la République démocratique du Congo vers les barrages intercontinentaux. A 31 ans, le capitaine des Léopards retrouve son meilleur niveau après une saison blanche. Il symbolise la réussite de son pays, qui attend de retrouver la Coupe du monde depuis 1974. Un mois avant la CAN, la RDC de Sébastien Desabre a-t-elle changé de statut ? Un podcast présenté par Marie-Amélie Motte, avec Nabil Djellit et Hervé Penot. Enregistrement : Léa Leostic.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Plongez dans une aventure sonore inédite avec un podcast imaginé pour accompagner l'exposition « 1725 : Des alliés amérindiens à la cour de Louis XV » au château de Versailles en partenariat avec le Musée du Quai Branly Jacques Chirac. Ce podcast fiction vous emmène au cœur du voyage extraordinaire d'une délégation amérindienne venue rencontrer le jeune Louis XV en 1725. À travers une histoire captivante, accessible à tous de 7 à 77 ans, découvrez cette rencontre marquante entre deux cultures et les liens tissés entre la France et les nations autochtones d'Amérique du Nord au XVIIIe siècle. Conseil : écoutez ce podcast avant votre visite pour entrer dans l'ambiance… ou après l'exposition pour prolonger et enrichir l'expérience ! En 1725, quatre chefs amérindiens et une femme amérindienne de la vallée du Mississippi sont reçus en France dans le cadre d'un voyage diplomatique historique. Ce podcast offrira une occasion de découvrir l'histoire et la vie des nations amérindiennes de la vallée du Mississippi au XVIIIe siècle, leurs liens avec la France, l'extraordinaire traversée de l'Atlantique de leurs chefs, et la rencontre de ces derniers avec Louis XV, la Cour et la capitale.1725 - Des alliés amérindiens à la cour de Louis XV - Château de Versailles une exposition à découvrir au château de Versailles jusqu'au 3 mai 2026.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C'est son anniversaire ! Marc Bourreau retrace l'évolution de ce magazine arrivé comme un genre nouveau et devenu emblématique. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque jour, retrouvez le journal de 8h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu. Aujourd'hui, retour sur la nouvelle réforme portée sur le gouvernement britannique qui veut réduire l'accès au droit d'asile.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Une centaine d'avions rafales, des radars des drones et d'autres systèmes de défense, un contrat échelonnés sur 10 ans signé entre le président Zelensky et le président Macron
Volodymyr Zelensky a signé ce lundi 17 novembre avec Emmanuel Macron à Paris une "déclaration d'intention" en vue de l'achat futur d'avions de combat français Rafale, dont l'Ukraine se doterait ainsi pour la première fois, et de systèmes de défense aérienne nouvelle génération. Mais ils ne changeront pas l'issue de la guerre : car si cette commande est confirmée, il faudra du temps pour produire et livrer ces appareils. Dans cet épisode du Choix info, nous revenons sur cette accorde, qualifié d'"historique" par Kiev.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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durée : 00:18:57 - Le monde d'Elodie - par : Elodie SUIGO - Tous les jours, une personnalité s'invite dans le monde d'Élodie Suigo. Mardi 18 novembre 2025, l'historien, auteur et vidéaste Yann Bouvier. L'ouvrage qu'il a dirigé, "France Fictions - Histoire des idées reçues de l'histoire de France", est sorti le 25 septembre. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
En 1981, le cardinal Lustiger à Paris impulse une radio catholique, Radio Notre Dame. Parallèlement, dans l'euphorie des radios libres, en avril 1982, le père Emmanuel Payen fonde Radio Fourvière. Depuis, c'est une formidable aventure humaine et radiophonique, avec la constitution d'un grand réseau. L'invité de Pierre-Hugues Dubois a participé à cette aventure avec RCF : Pierre Maire, président fondateur RCF Jura (1991-2016), ancien vice-président de l'Union RCF, historien régional, animateur d'émissions sur le Jura et la Franche-Comté.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Patrick Cohen décrypte sur le plateau de “C à Vous” un point précis de l'actualité pour le replacer dans son contexte, l'analyser et le mettre en perspective, en écartant opinions et approximations.
C'était la neuvième visite du président ukrainien hier à Paris. Elle s'est conclue par une annonce très forte : l'achat d'une centaine de Rafale par l'Ukraine. Christian Makarian nous détaille les dessous de cet accord. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Entre l'explosion médiatique du concept, la concurrence croissante et les projets qui ferment, savoir si une Love Room est vraiment un bon plan en 2025 est devenu essentiel pour les investisseurs.Pourtant, avec une lecture honnête du marché et une approche centrée sur l'expérience, ce modèle peut rester extrêmement performant.Pour en discuter, Maxime reçoit Samuel, fondateur de Love'n'Spa, plateforme de réservation majeure du secteur avec plus de 800 logements et 2 millions de visiteurs annuels. Ensemble, ils décodent le vrai potentiel des love rooms : attractivité du marché, rentabilité, segments porteurs et erreurs qui coûtent cher.Bon Plan : bénéficiez d'une remise pour présenter votre Love Room sur lovenspa.frVous allez découvrir :Pourquoi les love rooms ont explosé puis atteint une maturité différente selon les zonesCe que recherchent vraiment les couples aujourd'hui : proximité, intimité et séjours courtsLe fonctionnement réel de la zone de chalandise (environ 1h30 autour du logement)Les trois segments du marché grâce à l'échelle de l'érotisme (0–10)Pourquoi plus de 70 % des réservations viennent des femmes et comment adapter sa communicationLa rentabilité réelle : revenus, charges, usure du matériel et enjeux opérationnelsCe qui crée une vraie expérience client au-delà d'un simple jacuzziVous allez également pouvoir découvrir les erreurs les plus fréquentes : marché saturé, concept copié, présence uniquement sur Airbnb...
Chaque jour, retrouvez le journal de 8h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu. Aujourd'hui, retour sur la nouvelle réforme portée sur le gouvernement britannique qui veut réduire l'accès au droit d'asile.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Volodymyr Zelensky et Emmanuel Macon ont signé à Paris une lettre d'intention pour l'achat futur par Kiev de cent avions Rafale, des systèmes de défense aériens nouvelle génération et des drones. Un accord "historique" a lancé le président ukrainien, qui se projette "sur un horizon d'une dizaine d'années". C'est en effet un accord important pour la France, qui réitère son soutien à Kiev, et pour l'Ukraine, ébranlée par un scandale de corruption et en difficulté sur le terrain près de Pokrovsk et de Zaporijia. Que contient cet accord ? Est-ce un succès pour Zelensky en proie à un scandale de corruption en Ukraine ? France-Ukraine, vers une alliance historique ?
Volodymyr Zelensky a signé lundi 17 novembre avec Emmanuel Macron une "déclaration d'intention" qu'il a qualifiée d'"historique" en vue de l'achat futur d'avions de combat français Rafale, dont l'Ukraine se doterait ainsi pour la première fois, et de systèmes de défense aérienne nouvelle génération. Le président français a accueilli son homologue sur la base de Villacoublay, au sud-ouest de Paris, où des industriels ont présenté ces fleurons de l'armement tricolore au dirigeant du pays en guerre depuis 2022 avec la Russie. Écoutez l'analyse de Frédéric Encel, docteur en géopolitique et maître de conférence à Science-po Paris.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Benoit St-Denis a choqué le monde contre Beneil Dariush lors de l'UFC 322 !
Emmanuel Macron reçoit le président ukrainien Volodymyr Zelensky ce lundi 17 novembre à Paris, pour une visite visant à « réaffirmer l'engagement de la France aux côtés de l'Ukraine ». Paris et Kiev devraient officialiser un accord visant à renforcer la défense aérienne de l'Ukraine. Pourquoi Volodymyr Zelensky évoque-t-il un « accord historique » avec la France ? On pose la question à Thierry Arnaud, éditorialiste de politique internationale à BFMTV.
Durant 43 jours, le gouvernement fédéral américain était pratiquement à l'arrêt à cause d'un désaccord politique concernant le budget. Cette période nommée le "shutdown" est récurrente, mais cette année, elle a été la plus longue de l'histoire du pays.... À cause de ce blocage, des centaines de milliers de fonctionnaires ont été mis au chômage technique, des aides sociales suspendues ou encore des milliers de vols annulés. Comment va se passer le déblocage du pays ? Quelles sont les conséquences de cette paralysie budgétaire ? Donald Trump en sort-il véritablement renforcé, comme il l'affirme ? Dans ce nouvel épisode de La Lettre d'Amérique, Arnaud Tousch et Cyrielle Stadler reviennent sur cette période d'instabilité politique.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Vendredi 14 novembre, le CAC 40 qui a réussi à battre jeudi 13 novembre 2025 un record historique (8 300 points), les résultats exceptionnels de Siemens Energy, le 30è anniversaire du plan Juppé, et le succès fulgurant des ETF en Europe et notamment en France, on été successivement abordés par Mary-Sol Michel, directrice de la gestion sous mandat chez Swiss Life Banque Privée, Louis de Montalembert, gérant chez Sunny Asset Management, Jean-Marc Daniel, éditorialiste BFM Business, et Emmanuel Lechypre, éditorialiste à BFM Business, reçus par Marc Fiorentino dans l'émission C'est Votre Argent sur BFM Business. Retrouvez l'émission le vendredi et réécoutez la en podcast.
Le Parlement de l'État du Victoria adopte une loi d'un traité avec les peuples aborigènes.
Ecoutez le nouvel épisode de SBS Easy French. Pour recevoir la transcription de ce podcast, abonnez-vous à notre newsletter.
durée : 00:57:22 - Very Good Trip - par : Michka Assayas - Voici quatre-vingts ans, jour pour jour, naissait le 12 novembre 1945 à Toronto, au Canada, un auteur, compositeur et interprète dont la voix et les chansons ont défié le temps et l'oubli, Neil Young. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Journée historique en Guinée. Ce mardi 11 novembre marquera le lancement de la mine de Simandou, cette immense réserve de deux milliards de tonnes de fer à haute teneur. Une mine dont les Guinéens attendaient l'exploitation depuis trente ans. Bientôt, les deux principaux opérateurs, Winning Consortium Simandou (WCS), un consortium d'entreprises chinoises, et Simfer, une filiale de l'anglo-australienne Rio Tinto associée à la chinoise Chinalco, exporteront 120 millions de tonnes de fer par an, générant des milliards de dollars de revenus pour l'État guinéen. Ce projet lèguera aussi un chemin de fer de plus de 600 km entre le port de Morebaya et la mine dans l'est du pays. Et prévoit la construction, dans un deuxième temps, d'un port en eau profonde et d'une usine de transformation du minerai. Le ministre des Mines Bouna Sylla répond aux questions de RFI. RFI : Ce mardi 11 novembre marque le lancement du projet Simandou. Cela fait presque trente ans que l'on parle de ce projet, qui se concrétise enfin. C'est un jour historique pour la Guinée. Est-ce une satisfaction pour vous ? Bouna Sylla: C'est plus qu'une satisfaction. C'est plutôt le passage du rêve à la réalité pour des millions de Guinéens. Depuis nos pères fondateurs, tous les dirigeants qui se sont succédé ont eu pour objectif de réaliser ce projet. Finalement, c'est grâce au leadership du président de la République, Mamadi Doumbouya, que ce projet voit le jour de manière concrète, avec les infrastructures que vous voyez devant vous. Ce gigantesque projet est le plus gros projet mine-infrastructures dans le monde, avec 20 milliards de dollars d'investissements. Comme vous le dites, ce sera un des plus grands projets miniers du monde. Les entreprises doivent produire et exporter à terme 120 millions de tonnes de fer par an. Cela va générer des revenus considérables pour l'État guinéen à travers des taxes et des impôts. À combien chiffrez-vous ces revenus ? Quand on atteindra les 120 millions de tonnes, ce sera environ deux milliards de dollars de revenus qui seront générés par le projet, sans compter les revenus indirects. Le projet ne sera pas uniquement pour l'exportation du minerai brut, comme on l'a connu par le passé, mais ce minerai sera également transformé sur place pour plus de valeur ajoutée. Les premières années, les entreprises bénéficieront d'exonérations d'impôts relativement importantes. Les dix premières années, Winning Consortium Simandou (WCS) ne payera pas d'impôts sur les sociétés et Simfer bénéficiera d'une exonération de 50 % les huit premières années. Pourquoi ces exonérations aux entreprises ? Dans l'industrie minière, les revenus les plus sûrs sont les royalties, c'est-à-dire les taxes minières. Il n'y a pas d'exonération sur les taxes minières. Dans le cas de Simfer, les impôts sur les sociétés sont remplacés par le pilier deux de l'OCDE pour que, dès les premières années de profits, il y a 15 % de profits qui sont partagés avec l'État. À la fin de la période de l'impôt minimum forfaitaire de l'OCDE, on passera au droit commun qui est de 30 %. Dans combien de temps atteindra-t-on la production de 120 millions de tonnes de fer ? Dans les accords, c'est trois ans. Mais avec l'avance qui a été prise par les partenaires industriels dans la réalisation du projet, nous atteindrons ces 120 millions de tonnes au bout de deux ans. Simandou en phase d'exploitation représente environ combien d'emplois directs et indirects ? En phase de construction, c'est plus de 50 000 emplois. En phase d'exploitation, c'est entre 10 000 et 15 000 emplois directs, sans compter tous les emplois indirects. Quand vous mettez tout ça ensemble, cela sera au moins plus de 20 000 emplois. On est en train de passer de la phase de construction de la mine à la phase d'exploitation. Ces prochains mois, on va vers une perte de 30 000 emplois à peu près. Justement, dans le cadre du comité stratégique du projet Simandou, on a une task force qui s'appelle la « Task force de mobilisation » afin d'éviter que les 50 000 personnes qui travaillent sur ce projet ne se retrouvent pas au chômage. C'est pour cela que nous travaillons pour créer de nouveaux projets dans le cadre du programme Simandou 2040. Dans le secteur minier, on a un projet de raffinerie qu'on a lancé au mois de mars dernier, qui va absorber une partie de ces employés. D'ici à la fin de l'année, on va lancer un nouveau projet de raffinerie de transformation de bauxite en alumine. Tous ces projets que nous allons lancer permettront d'absorber, dans le cadre de la remobilisation des démobilisés du projet, ces 50 000 personnes et leur trouver des perspectives. Ce qui va permettre de réduire la pauvreté dans le pays. Les conventions ont été renégociées en 2022 et 2023 sous le Comité national du rassemblement pour le développement (CNRD). Qu'est-ce qui a changé à la suite de ces renégociations ? Au niveau fiscal, on a amélioré substantiellement les revenus attendus par l'État dans le projet de plus de 20 % par rapport aux conventions initiales. Mais aussi, chose extrêmement importante, les infrastructures telles que renégociées vont faire du transport marchandises, passagers et minerais. Il y aura un train de passagers par jour dans chaque direction et trois trains marchandises par semaine, ce qui permettra d'augmenter encore plus l'impact économique du projet pour l'ensemble du pays. Les conventions ont été renégociées en 2022 et 2023. Une partie des résultats de ces négociations ont été publiés, mais pas tout. Notamment, la convention de codéveloppement, qui crée la Compagnie du Transguinéen (CTG) et qui encadre la gestion des infrastructures du projet, n'a pas été publiée. Certains observateurs estiment que c'est un manque de transparence. Quand est-ce que cette convention sera publiée ? Il faut se rendre compte que c'est un projet complexe. Il entre en production aujourd'hui, mais il y avait quelques documents qui étaient en cours d'ajustement. Après la construction des infrastructures, il faut six mois de mise en service pour s'assurer que l'ensemble de l'infrastructure est robuste. C'est après tout cela que l'on peut entrer dans les questions de publication des documents. On ne va pas publier quelque chose alors qu'on a six mois de mise en service. À la fin de la mise en service, c'est validé par les certificateurs indépendants internationaux qui sont recrutés, qui disent : « Tout est ok. Voici le coût des investissements. Le chemin de fer fonctionne bien, la signalisation fonctionne bien. Les boucles ferroviaires, etc. » C'est à la fin de tout cela que l'on pourra publier. Mais une fois que la mise en service du projet est finalisée, c'est-à-dire pas avant six mois, vers juin 2026. Puisque cette convention, pour l'heure, n'est pas publiée, on a peu de précisions encore sur la CTG qui sera l'opérateur des infrastructures. Quel est le statut de cette entreprise ? Les entreprises minières vont-elles, par exemple, devoir payer une redevance pour utiliser les infrastructures ? Qu'est-ce que va rapporter à l'État guinéen ? C'est une société anonyme, privée, de droit guinéen, qui est propriétaire des infrastructures et qui est opérateur de ces infrastructures pour les 35 prochaines années. Le modèle économique du projet, c'est que les principaux clients de la CTG, ce sont les mines. Les mines vont faire transporter leurs minerais sur le chemin de fer et l'exporter via le port. Ce n'est pas gratuit, ils vont payer des redevances d'utilisation de l'infrastructure. Ce sont ces redevances qui permettent à la CTG de fonctionner, mais également de rembourser les dettes contractées pour le financement de la réalisation de l'infrastructure. Certains responsables guinéens ont affirmé à plusieurs reprises que les entreprises minières construisaient un port en eau profonde pour accueillir les minéraliers, qui sont les bateaux servant à exporter le fer. Pourtant, sur les sites Internet de Simfer et de Winning Consortium Simandou, il est indiqué qu'ils construisent des ports de barges qui, elles, iront en haute mer pour déposer le fer sur des minéraliers. Finalement, quel type de ports aura-t-on pour ce projet ? À la fin de l'atteinte des 120 millions de tonnes, au bout de deux ou trois ans, on va engager les études de faisabilité pour l'extension de la capacité du port, pour passer à un port en eau profonde. Il faut d'abord faire les études de faisabilité qui nous diront combien de temps prendra la construction de l'infrastructure. Les conventions prévoient que les entreprises fassent une étude de faisabilité dans les deux ans, soit pour une aciérie d'une capacité de 500 000 tonnes par an, soit d'une usine de pellets - un produit intermédiaire entre le fer et l'acier - d'une capacité de deux millions de tonnes par an. En Guinée, l'un des problèmes majeurs pour l'industrialisation, c'est le manque d'énergie. Avec quelles solutions énergétiques peut-on construire de telles usines en Guinée ? Déjà, il y a une capacité aujourd'hui hydroélectrique qui permet de fournir de l'énergie à ce projet d'aciérie ou d'usines de pellets de 2 millions de tonnes. Il y a un barrage en construction de 300 mégawatts, qui est à plus de 45 % terminé. Il y a d'autres projets thermiques qui sont également en construction. Il y a une planification énergétique aujourd'hui du pays pour aligner les besoins énergétiques et industriels du pays avec le développement de nouveaux projets. Ce projet Simandou, avec les flux de revenus que cela va générer pour l'État, permettra également d'avoir plus de capacités de financement pour de nouvelles capacités énergétiques. En Guinée, il y a un autre grand gisement de fer, c'est la mine de fer du mont Nimba, qui n'est pas très loin de Simandou d'ailleurs. Ce projet reste bloqué parce que jusque là, les entreprises privilégiaient de faire sortir le minerai par le Liberia qui est plus proche, alors que l'État guinéen privilégiait une sortie par un port guinéen. Aujourd'hui, l'option que vous privilégiez, c'est de faire un raccordement entre le chemin de fer de Simandou et le mont Nimba ? La volonté du gouvernement, c'est de faire une boucle ferroviaire sur l'ensemble du pays. Le gisement du mont Nimba est à 130 kilomètres du chemin de fer de Simandou, ce n'est pas très loin. La question de capacité ne se pose pas, car il y a une capacité disponible sur l'infrastructure ferroviaire. Cela augmente aussi la viabilité du projet de Nimba, du fait de la disponibilité de l'infrastructure du Simandou. Il y a d'autres projets miniers de moindre envergure qui sont aussi en souffrance depuis un moment. Notamment la bauxite à Dabola-Tougué et le fer à Kalia, dans la région de Faranah. Envisagez-vous aussi de faire des raccordement de chemin de fer pour relancer ces projets miniers ? Tout le mérite de ce projet Simandou tel qu'il est pensé, conçu et réalisé, c'est d'être une infrastructure multi utilisateurs. Cela veut dire qu'il y a un droit d'accès des tiers qui sont le long du corridor. Vous avez parlé du projet de bauxite de Dabola-Tougué, du projet de minerai de fer de Kalia, et on vient de parler du mont Nimba. Tous ces projets négocieront des accords d'accès ferroviaire pour pouvoir transporter leurs minerais vers les ports qui se trouvent sur la côte. L'avantage du co-développement, c'est que ça permet d'avoir une infrastructure qui est économiquement viable parce que ça réduit les dépenses d'investissement de capital (Capex) pour tous les investisseurs. Cela permet aussi aux mines de pouvoir transporter leurs minerais à des prix compétitifs et devenir beaucoup plus viables. Le minerai de Kalia, s'il n'y avait pas la disponibilité de cette infrastructure, est difficile à sortir, car il est piégé dans l'arrière-pays. Mais du fait de la disponibilité de cette infrastructure et du droit d'accès qu'elle offre, avec des principes tarifaires extrêmement transparents pour tous les utilisateurs, c'est une chance pour tous les projets qui se trouvent le long du corridor d'être sur le marché. Une chance aussi pour la Guinée d'avoir à réaliser ces infrastructures conformément à cette vision. Sinon, on allait se retrouver avec une infrastructure dédiée uniquement au minerai de fer de Simandou, ce qui n'avait aucun sens. Malheureusement, sur les chantiers, il y a eu un certain nombre d'accidents et de morts. Winning Consortium a déclaré en octobre qu'il y avait eu deux morts chez eux. Nos confrères de Reuters ont publié en mars une enquête dévoilant qu'il y avait eu une dizaine de morts chez Winning Consortium. Au mois d'août, il y a eu un mort chez Rio Tinto. Quel est votre bilan du nombre de morts sur les chantiers ? Je ne commente pas les chiffres, mais ce que je peux vous dire que pour tous ces accidents, on a recruté des firmes indépendantes pour des enquêtes. Les résultats de ces enquêtes vont être révélés. Mais votre bilan, combien y a-t-il eu de morts sur la phase de construction en tout ? Comme je vous ai dit, il y a des enquêtes qui sont en cours. Quelqu'un peut aller au travail et il rentre le soir, il a la malaria, il meurt. On va déterminer si c'est à cause de son travail ou non. C'est pour cela que l'on met en place des enquêtes indépendantes. Il y a des firmes internationales qui ont été recrutées, qui font ces enquêtes dont les résultats seront communiquées ultérieurement. Les questions d'accident et de santé-sécurité pour les travailleurs du secteur minier sont un sujet extrêmement important pour nous. Nous travaillons avec tous les partenaires internationaux afin de prendre des mesures afin que ce type d'accident ne puisse se reproduire. Dans les conventions, il est prévu que 5 % des revenus induits par le projet Simandou aillent dans l'éducation. Pourriez-vous préciser ce projet ? 5 % des revenus de chacune des mines, en termes d'impôts et taxes, que l'État guinéen va percevoir, vont être affectés au financement du système éducatif à l'intérieur du pays. Construire des écoles, des bibliothèques, des enseignants pour augmenter le niveau de l'éducation, le niveau d'alphabétisation. Ensuite 20 % des impôts et taxes que l'État va percevoir provenant de la CTG pour amener aux meilleurs lycéens guinéens, des 33 préfectures du pays pendant les 35 prochaines années, des bourses d'études en France, aux États-Unis, en Chine, au Japon, dans le monde entier pour former les générations futures. L'argent pour les générations futures, c'est l'investissement sur le capital humain. Avec les 5 % de revenus induits par Simandou et les 20 % de la CTG, combien tablez-vous pour le budget de ce programme ? Pas moins de 200 à 300 millions de dollars par an. Il faut préciser que toutes ces bourses seront pour les filières scientifiques et techniques, parce que il faut former plus de gens pour la production que pour la gestion. Ce qui ferait à peu près combien de bourses d'études par an ? Je ne peux pas vous dire aujourd'hui avec certitude combien de personnes on pourrait envoyer, mais c'est des milliers de jeunes qui vont en profiter. 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Un édito aiguisé d'Arthur Chevallier, chaque matin à 7h20. Un parti-pris assumé sur une question d'actualité. D'accord ou pas, vous ne resterez pas indifférent. La chronique qui permet de réfléchir et aide à forger son opinion chaque matin du lundi au vendredi sur RMC et RMC Story.
durée : 00:12:29 - Journal de 7 h - Jamais un président syrien n'avait été accueilli à la Maison Blanche. Une image qui fera date, et une avancée pour le président syrien qui parachève la réintégration de son pays sur la scène internationale.
durée : 00:03:09 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Ahmed al-Charah est le premier président syrien à se rendre en visite officielle aux États-Unis, mais surtout le premier ex-membre d'Al Qaeda à pénétrer dans la Maison-Blanche. Certains Républicains et Israël se méfient encore de cet ancien djihadiste, mais Donald Trump a décidé de miser sur lui. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:05:39 - La Revue de presse internationale - par : Catherine Duthu - L'Iran est confronté à sa pire sécheresse depuis des décennies. A Téhéran, le faible niveau des précipitations est quasiment sans précédent depuis un siècle. Des barrages sont pratiquement à sec. En cause : le dérèglement climatique et une mauvaise gestion de l'eau dans le pays.
durée : 00:03:09 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Ahmed al-Charah est le premier président syrien à se rendre en visite officielle aux États-Unis, mais surtout le premier ex-membre d'Al Qaeda à pénétrer dans la Maison-Blanche. Certains Républicains et Israël se méfient encore de cet ancien djihadiste, mais Donald Trump a décidé de miser sur lui. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:06:42 - L'invité de 6h20 - par : Mathilde MUNOS - Anna Kiefer de l'association Sherpa, dont l'objet est de protéger et de défendre les populations victimes de crimes économiques, salue le caractère "historique" de l'ouverture du procès Lafarge, accusé d'avoir financé des groupes djihadistes pour maintenir son activité en Syrie. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:14:53 - Journal de 7 h - L'établissement de Seine-Saint-Denis ferme ses portes ce vendredi 31 octobre après des années de lutte pour sa survie. L'ARS a décidé de ne pas reconduire son soutien financier.
Invité : Jean-Philippe Tanguy, député Rassemblement national de la Somme et président délégué du groupe RN à l'Assemblée nationale Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Un édito aiguisé d'Arthur Chevallier, chaque matin à 7h20. Un parti-pris assumé sur une question d'actualité. D'accord ou pas, vous ne resterez pas indifférent. La chronique qui permet de réfléchir et aide à forger son opinion chaque matin du lundi au vendredi sur RMC et RMC Story.
durée : 00:14:53 - Journal de 7 h - L'établissement de Seine-Saint-Denis ferme ses portes ce vendredi 31 octobre après des années de lutte pour sa survie. L'ARS a décidé de ne pas reconduire son soutien financier.
Chaque matin, à 8h50, l'imitateur rejoindra Apolline de Malherbe. Au programme : un débrief impertinent et sur-mesure de l'actualité politique, juste après le face-à-face avec l'invité du jour. À l'approche des municipales et de la présidentielle et dans un contexte politique en pleine effervescence, Nicolas Canteloup apportera sa voix unique, son regard affûté, et surtout une dose d'humour bien placée pour réveiller les auditeurs.
Chaque matin, l'équipe de la matinale vous offre un cadeau exceptionnel ! Pour ça, il vous faut jouer avec nos animatrices et animateurs et trouver un maximum de mots avec eux.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
HISTORIQUE ! Les Broncos ont signé ce dimanche l'un des comebacks les plus dingues de l'histoire. 33 points marqués dans le dernier quart-temps face aux Giants pour une victoire à la dernière seconde. Sean Payton et ses hommes ne lâchent rien.On revient également sur la masterclass des Rams et la mise sur le banc, chez les Jets, de Justin Fields.Victor Roullier et Raphael Masmejean sont au micro.Bonne écoute Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Abel Boyi, éducateur et président de l'association "Tous Uniques Tous Unis", Barbara Lefebvre, professeure d'histoire-géographie, et Jérôme Marty, médecin généraliste,, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
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