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La compétition s'est tenue du 23 au 26 juillet au Nigeria, rassemblant les meilleurs athlètes du continent. Engagé dans la catégorie des 100-110 kg, tant pour le bras gauche que pour le bras droit, Javed Bhunnoo a décroché deux médailles de bronze, une pour chaque bras. Un exploit inédit pour le pays. C'est en effet la première fois qu'un athlète mauricien remporte deux médailles lors d'un même Championnat.
Invités : - Arthur Delaporte, député PS du Calvados - Sarah Saldmann, avocate - Raphael Stainville, directeur adjoint de la rédaction du JDD Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:03:28 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Avec Ingrid Therwath, retour sur l'annonce hier soir d'Emmanuel Macron qui va reconnaître l'État de Palestine en septembre à l'ONU... Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
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Reconnaître l'État de Palestine. C'est l'annonce faite hier par Emmanuel Macron. La France officialisera cette reconnaissance lors de la conférence de l'ONU en septembre. Et les réactions sont nombreuses ce matin dans la presse internationale. The Times of Israel ouvre le bal avec les mots de Marco Rubio, secrétaire d'État américain. Il dénonce une décision « imprudente. Une gifle aux victimes du 7-Octobre », peut-on lire dans les colonnes du quotidien. The New York Times parle d'« une déclaration surprise », après « des mois d'allusions et d'hésitations ». The Washington Post y voit « une initiative diplomatique audacieuse dans un contexte de colère mondiale croissante face à la famine à Gaza ». La BBC relève la réaction de l'adjoint de Mahmoud Abbas, Hussein Al-Cheikh. Pour lui, cette décision reflète « l'attachement de la France au droit international ». Même tonalité du côté du mouvement terroriste du Hamas, qui parle d'une décision « allant dans la bonne direction pour rendre justice à notre peuple palestinien opprimé ». Et d'un appel à d'autres États pour « en faire autant ». À l'opposé, Benyamin Netanyahu prévient : « un État palestinien serait un tremplin pour anéantir Israël, et non pour vivre en paix à ses côtés ». The Times of Israel raconte comment la déclaration de Macron est tournée en dérision par plusieurs membres du gouvernement israélien. « Alors qu'Israël est susceptible de prendre des mesures punitives contre la France », écrit le quotidien, « certains ministres ont estimé que la réponse la plus appropriée serait d'annexer le territoire sur lequel les Palestiniens espèrent établir leur futur État ». Le ministre des Finances d'extrême droite, Bezalel Smotrich, remercie Macron d'avoir « fourni une nouvelle raison convaincante pour enfin appliquer la souveraineté israélienne sur les régions historiques de Judée et de Samarie ». Le ministre de la Justice, Yariv Levin, affirme, lui, que « la terre d'Israël appartient au peuple d'Israël ». D'autres vont plus loin encore. Le ministre de la Diaspora, Amichai Chikli, relaie la vidéo virale de la prétendue gifle de Brigitte Macron à son mari, expliquant que « c'est la réponse du gouvernement israélien » aux déclarations du président. La ministre de la Protection de l'environnement, Idit Silman, poste sur le réseau social X une image générée par IA de Macron embrassant le chef du Hamas, Yahya Sinwar [tué le 17 octobre 2024 à Gaza, NDLR]. Dans l'opposition, le ton est moins provocateur. Ayman Odeh, président du parti Hadash-Ta'al, parle d'une « étape nécessaire pour un peuple qui a tant souffert ». Gilad Kariv, député travailliste, fustige une « course puérile entre ministres pour attaquer le président français », au lieu de travailler à une stratégie de long terme. Il conclut : « une bande de bébés trop grands dirige notre pays ». À lire aussiConflit israélo-palestinien: «Reconnaître l'État de Palestine, c'est changer de prisme» Mais ces réactions israéliennes tranchent avec d'autres lectures dans la presse internationale. Arab News rapporte que l'Arabie saoudite « salue cette décision », la qualifiant de « prise de position historique ». De Riyad au Caire, en passant par Amman et Beyrouth, la France est saluée pour avoir « enfin franchi le pas » – aux côtés de 147 pays déjà favorables à la reconnaissance de la Palestine, selon le site argentin Todo Noticias. Et au Royaume-Uni, c'est le Guardian qui observe une onde de choc à Westminster. Un « comité multipartite de députés », appelle le gouvernement britannique à reconnaître à son tour l'État de Palestine, « immédiatement ». Le Premier ministre Keir Starmer, « confronté à une pression croissante pour tenir la promesse du Parti travailliste », convoque une réunion d'urgence avec la France et l'Allemagne. Objectif : discuter de la crise humanitaire à Gaza. Une crise qualifiée de « famine indéfendable » par le chef du gouvernement britannique. Et les bilans continuent de s'alourdir. Au moins quarante morts jeudi dans des frappes israéliennes, selon la défense civile locale. Parmi eux, des enfants et des personnes venues recevoir de l'aide. Quarante-cinq autres sont mortes de faim en quatre jours. Dans un communiqué glaçant, Philippe Lazzarini, commissaire général de l'UNRWA, parle d'« habitants de Gaza transformés en cadavres ambulants ». Il décrit des jeunes « émaciés, faibles, et courant un risque élevé de mourir s'ils ne reçoivent pas le traitement dont ils ont besoin de toute urgence ». Et rappelle que les médecins de l'agence survivent eux-mêmes avec « un petit repas par jour », selon Sky News Australia. Car, reconnaissance ou pas, ce sont bien la guerre et la famine qui se poursuivent sur le terrain. À lire aussi«Historique», «inutile»: le monde réagit à la future reconnaissance française de l'État de Palestine
Aujourd'hui dans "Punchline", Thierry Cabannes et ses invités débattent de la chute de la démographie en France. Pour la première fois depuis 1945, il y a eu davantage de décès que de naissances en 2024.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, avec Pierre, on se pose la question des bûches, des log flumes, des attractions a-feur-tiques, aquatiques, bref, des BÛCHES quoi !De quand ça date ? Pourquoi ? Pourquoi c'est trop bien ? Pourquoi c'est ptet un peu ringard ? Surfait ? C'est quoi qu'est bien dans les bûches, c'est quoi qu'est raté ? Pourquoi y a une certaine compagnie qui semble avoir du mal à les amener là où elles devraient être ? Est-ce que ça a un avenir, des évolutions ? Est-ce que le roi lion c'est une bonne nouvelle que ce soit des bûches ? Est-ce que c'est vraiment des bûches ? Et puis les bouées dans tout ça ? Et les water coasters ? Bref plein de CHOSES ! Soutenez-nous sur Patreon ! https://www.patreon.com/c/rienquedypenser
durée : 00:51:43 - Le Cours de l'histoire - par : Xavier Mauduit, Sophie-Catherine Gallet, Maïwenn Guiziou - L'Iliade et L'Odyssée. Le premier raconte un épisode de la guerre de Troie. L'autre les dix ans de périple d'Ulysse pour retourner à Ithaque. Quelle est la part de mythe et de réalité de ces deux épopées antiques ? Homère, le poète aveugle, a-t-il seulement existé ? - réalisation : Milena Aellig - invités : François Hartog Historien, directeur d'études émérite de l'EHESS; Pierre Judet de La Combe Helléniste, directeur d'études à l'EHESS et directeur de recherche émérite au CNRS
L'attaquant camerounais de 26 ans signe pour 5 ans à Manchester United. Montant du transfert : 80 millions d'euros.
L'attaquant camerounais de 26 ans signe pour 5 ans à Manchester United. Montant du transfert : 80 millions d'euros.
Aujourd'hui dans le podcast, nous sommes à une journée de connaître les sentences de Tamara Lich et de Chris Barber, deux des organisateurs du convoi des camionneurs à Ottawa en 2022. La Couronne a demandé une peine de prison de 7 ans pour chacun des individus pour une accusation de méfait, alors que plusieurs autres cas plus graves ont entraîné des sentences plus légères. Sommes-nous à la veille de voir les tout premiers prisonniers politiques de l'histoire moderne du Canada ?DANS LA PARTIE PATREON, on commence en écoutant un succès souvenir du président américain Donald Trump avec le président serbe, suivi d'un extrait de la première intervention publique d'Hunter Biden, le fils de Joe Biden depuis l'élection. Ensuite, on écoute l'ancienne co-porte-parole de Québec Solidaire Françoise David qui tente d'expliquer pourquoi la gauche est en recul en Occident. On termine en écoutant un extrait du podcast de Rémi Villemure Il reste du monde où il demande à l'ethnonationaliste Alexandre Cormier-Denis s'il est un agent provocateur payé de près ou de loin par le fédéral.0:00 Intro1:26 Invitation importante !3:04 De longues listes des candidatures7:15 Tamara Lich : future prisonnière politique ?19:11 Historique du procès21:35 Comparaisons d'autres cas24:39 Le cas d'Akashkumar Khant34:53 On est toujours les méchants de l'histoire37:32 À venir dans le Patreon
PODCASTChaque jour, en moins de 10 minutes, un résumé de l'actualité du jour. Rapide, facile, accessible.
Il avait battu le record de la Hardrock 100 l'an dernier, détenu par le GOAT Kilian Jornet. Mais ce n'était pas suffisant pour Ludovic Pommeret : le français de 49 ans s'est imposé pour la deuxième année consécutive ! Un doublé devant Mathieu Blanchard et Germain Grangier, dans le sens anti-horaire. L'ultra-traileur raconte au micro de Benoit Boutron et Yohan Durand sa course folle dans le Colorado, sa préparation pour ce monument de 100 miles et la suite de sa saison.
Revivez le célèbre combat de boxe du 30 octobre 1974 entre Mohamed Ali et George Foreman, qui a marqué l'histoire de la boxe et la géopolitique du sport.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.En 2025, Europe 1 célèbre ses 70 ans. 70 ans d'histoire, de rires, de partages et d'émotions.Pour marquer cet anniversaire, découvrez une collection inédite de podcasts : "70 ans d'Europe 1".Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
En Bolivie, la presse couvre la réouverture du procès contre les abus sexuels sur mineurs commis au sein de la Compagnie de Jésus. Cette congrégation catholique est mêlée à de nombreuses affaires d'abus sexuels sur mineurs dans le monde, particulièrement sur le continent américain. En Bolivie, le scandale a éclaté en 2023 après la publication d'un rapport sur le journal intime d'Alfonso Pedrajas, dit Père Pica décédé en 2009. Dans ce document, le prêtre jésuite avouait avoir abusé d'au moins 85 mineurs entre 1972 et 2000, la plupart à Cochabamba, où se déroule le procès. Aujourd'hui sur le banc des accusés, deux anciens dirigeants espagnols de l'ordre, Ramón Alaix et Marcos Recolons. Selon l'accusation, durant leur mandat, ils ont choisi de couvrir Alfonso Pedrajas rapporte la Patria. Le journal bolivien précise que Marcos Recolons occupait à cette époque le deuxième poste le plus élevé de la Compagnie de Jésus au niveau mondial. Le procès a été reporté à deux reprises comme le rappelle el Opinion. Les victimes espèrent donc qu'il ne le sera pas une troisième fois. Parmi les dix-huit personnes qui ont porté plainte se trouve Wilder Flores, le porte-parole des victimes a été interviewé par notre collègue Carlos Pizarro : «Certaines victimes se sont déclarées, mais nous sommes sûrs qu'en réalité, il ne s'agit pas de dizaines ni de centaines, mais de milliers de victimes d'abus sexuels perpétrés par des jésuites. Alfredo Pedrajas n'est pas le seul. Nous avons identifié bien d'autres violeurs en série, mais ils ne passent pas devant la justice parce que les victimes ne sont pas là pour les dénoncer». Le journal bolivien El Deber souligne la facette historique du procès. C'est la première fois que ces deux anciens dirigeants jésuites sont jugés sur le sol bolivien. C'est aussi un moment historique après des dizaines d'années d'impunités offertes par les autorités boliviennes à la congrégation jésuite rappelle Wilder Flores : «D'après les expériences passées, les autorités boliviennes témoignent publiquement d'une volonté à collaborer, mais en même temps, ils travaillent en coulisses. Dans le cas du procès en cours, le ministère des Affaires a demandé le réexamen de l'accord avec le Saint-Siège et le gouvernement bolivien, qui établit clairement une voie d'impunité avec l'inviolabilité des archives de l'Église. Ça prive les victimes de la vérité. Nous espérons vraiment que les appels publics à la collaboration et à condamner ces actes se traduisent en fait. C'est lamentable que le gouvernement sortant agisse de cette manière.» En effet, comme le rapporte El Pais, un accord mis en place en début d'année entre l'État bolivien et le Sant-Siège prévoit de protéger l'intégralité des documents de l'Église. Sous cet accord, le journal intime qui a révélé les agissements du père Pedrajas n'aurait, par exemple, jamais été révélé. Haïti : l'école et le football au cœur de la crise Comme tous les jeudis, nous retrouvons Frantz Duval, rédacteur en chef du Nouvelliste quotidien francophone haïtien. Dans son édito, il revient sur la situation de «l'école et du football pris en otage par un pays en chute libre». L'école est une machine à produire l'échec national, dit-il. Beaucoup d'argent est également dépensé dans le football. Pourtant, il est fréquent que des équipes de la Fédération haïtienne de football ne puissent pas participer à des tournois internationaux. Pérou : la découverte d'une ville vieille de 3 500 ans Au Pérou, les archéologues viennent de sortir de terre une ville vieille de plus de 3.500 ans, la cité de Peñico, au nord du pays. Une ville d'échange entre deux vallées fertiles, et point de rencontre entre l'océan Pacifique, les Andes et l'Amazonie. C'est une découverte majeure pour le Pérou qui héberge donc, la plus ancienne des civilisations connues jusqu'ici sur le continent. Reportage sur place de Martin Chabal. Porto Rico : concerts de Bad Bunny, une opportunité économique pour l'île À Porto Rico, le chanteur de reggaeton Bad Bunny enflamme la scène du Coliseo pour une résidence de 30 concerts. Une actualité culturelle qui a une haute valeur économique, voire politique. Le chanteur portoricain a déclaré son amour à son île natale, ce week-end, avec le début 30 concerts dans la plus grande salle de spectacle de l'île. Le nom de cette résidence artistique veut tout dire : «No me quiero ir de aqui», «Je ne veux pas partir d'ici». Selon le journal El Vocero, c'est une opportunité historique qui pourrait rapporter 377 millions d'euros à l'île avec la création de 3 600 emplois et l'arrivée de 600 00 visiteurs durant les onze semaines de résidence. Porto Rico souffre d'une importante crise économique. L'île caribéenne étant un «État libre associé» des États-Unis, elle pourrait être directement affectée par les projets de coupes budgétaires du président américain, Donald Trump. Le premier week-end a dépassé les attentes d'après el Nuevo Dia, avec près de 50 000 participants aux trois premiers concerts, un record sur l'île. En septembre, Bad Bunny enchaînera avec une tournée mondiale dont les grands absents sont les États-Unis, souligne el Diario AS qui y voit une prise de position politique. Le chanteur qui habite aux États-Unis s'est affiché publiquement en détracteur du président Donald Trump et de sa politique anti-immigration.
Le billet d'humeur d'Aurélien Veil
Après dix jours de discussions à Bougival, indépendantistes et loyalistes ont trouvé un terrain d'entente. Le territoire du Pacifique s'oriente vers un nouveau statut : celui d'un « Etat » autonome au sein de la République française. Un tournant historique. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque jour, retrouvez le journal de 8hde la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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durée : 00:14:34 - Journal de 18h - Ce samedi marque une journée historique pour la Nouvelle-Calédonie : les principales forces politiques ont signé un projet d'accord. Un Etat calédonien devrait être créé au sein de la République Française, plus d'un après les violentes émeutes qui ont fait 14 morts dans l'archipel.
durée : 00:14:34 - Journal de 18h - Ce samedi marque une journée historique pour la Nouvelle-Calédonie : les principales forces politiques ont signé un projet d'accord. Un Etat calédonien devrait être créé au sein de la République Française, plus d'un après les violentes émeutes qui ont fait 14 morts dans l'archipel.
durée : 00:15:03 - Journal de 12h30 - Après dix jours de discussions à huis clos entre les principales forces politiques de l'archipel, un projet d'accord historique a été trouvé ce samedi matin. Le texte doit désormais être validé par la population calédonienne.
Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:15:03 - Journal de 12h30 - Après dix jours de discussions à huis clos entre les principales forces politiques de l'archipel, un projet d'accord historique a été trouvé ce samedi matin. Le texte doit désormais être validé par la population calédonienne.
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Aujourd'hui, Jean-Loup Bonnamy, Bruno Poncet et Barbara Lefebvre débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Assurances, conso, nouvelles technologies… "On en parle" vous oriente dans tout ce qui fait votre quotidien. Au programme aujourd'hui: 1. Compagnies aériennes: le greenwashing persiste 2. Une bibliothèque d'instruments de musique à Vevey 3. Série "au quotidien dans un autre temps" (4/5): se nourrir à l'âge de glace 4. Best-of guichet: la procrastination
Vidéo produite par HugoDécrypteEntretien écrit et mené par Hugo TraversAvec la participation d'Emilien Journalistes : Benjamin Aleberteau, Hugo TraversDirectrice de production : Marie DelvalléeChargé de production : Clément ChauletAssistant de production : Noé PériquetCadreurs : Noé Périquet, Vanon Borget Ingénieure du son : Inês Dos SantosMaquilleuse : Kim DesnoyersMonteur : Anthony Ochoa Étalonnage : Toutes voiles dehors - Hugues DardartMiniature : Oncle Sid Mixage : Arthaud VersaveaudCrédits musiques : Artlist Crédits images : Endemol France, 12 Coups de Midi HD MEDIA / UNFOLD PRODUCTION 2025 Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Assurances, conso, nouvelles technologies… "On en parle" vous oriente dans tout ce qui fait votre quotidien. Au programme aujourd'hui: 1. En danger à l'étranger? Nos conseils 2. Attention à la reconduction automatique de certains abonnements 3. Série "au quotidien dans un autre temps" (1/5): reconstituer le passé 4. Best-of guichet: le langage inclusif, mode d'emploi
Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur le procès de Benyamin Netanyahu pour corruption et les mutineries de soldats au Niger. Accord de paix RDC-Rwanda : vers la neutralisation des FDLR ? Après trois décennies d'insécurité à l'est de la RDC, Kinshasa et Kigali ont signé un accord de paix à Washington, sous l'égide des États-Unis. Le texte prévoit le désengagement des forces rwandaises et la neutralisation des FDLR. Quand peut-on espérer le désarmement effectif de ce groupe de rebelles rwandais ? RDC-Rwanda : qui surveillera la bonne application de l'accord de paix ? Malgré les engagements signés entre la RDC et le Rwanda, la mise en œuvre de l'accord de paix reste incertaine dans une région marquée par la méfiance et les enjeux géostratégiques. Quels mécanismes sont prévus pour s'assurer que l'accord sera respecté ? Pourquoi les rebelles de l'AFC/M23 ne sont-ils pas mentionnés dans le document conclu à Washington ? RDC-Rwanda : à quand un accord avec le M23 ? La signature de l'accord de la paix entre Kinshasa et Kigali a eu lieu à Washington, sous la médiation américaine. Parallèlement, des négociations sont en cours au Qatar entre les autorités congolaises et les rebelles du M23, soutenus par le Rwanda. Où en sont les discussions ? Avec Patient Ligodi, journaliste au service Afrique de RFI. Israël : Benyamin Netanyahu gagne un sursis dans son procès pour corruption Alors qu'il devait comparaître cette semaine dans son procès pour corruption, fraude et abus de confiance, le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahu a obtenu un nouveau sursis judiciaire avec le report des audiences. De son côté, Donald Trump a déclaré qu'il ne « tolérerait pas » la poursuite du procès. Le président américain a-t-il pu influencer la décision du tribunal de Jérusalem ? Avec Michel Paul, correspondant de RFI à Jérusalem. Niger : pourquoi des soldats se rebellent-ils ? La semaine dernière, deux unités de l'armée nigérienne se sont mutinées à Filingué et Tera. Depuis le mois de mars, quatre mouvements de colère ont été recensés au sein des forces armées. Quelles sont les revendications de ces soldats ? Ces soulèvements risquent-ils de se propager ? Quel sort est réservé aux mutins ? Avec Seidik Abba, président du Centre international de réflexions et d'études sur le Sahel. Auteur de l'ouvrage « Crise interne au conseil militaire suprême du Niger » (éditions L'Harmattan).
Après trois décennies d'insécurité dans l'est de la RDC, après de multiples cessez-le-feu jamais respectés, l'accord de paix signé entre la RDC et le Rwanda sous l'égide des États-Unis sera-t-il le bon ? Quels sont les points forts et les faiblesses de cet accord ? Vos réactions nous intéressent.
durée : 00:14:42 - Journal de 18h - Le thermomètre s'affole sur l'Hexagone, il frôle les 40 degrés à Paris alors que presque tout le territoire est en vigilance rouge ou orange. La Fondation pour le Logement des défavorisés demande des mesures contre les "logements bouilloires".
durée : 00:14:42 - Journal de 18h - Le thermomètre s'affole sur l'Hexagone, il frôle les 40 degrés à Paris alors que presque tout le territoire est en vigilance rouge ou orange. La Fondation pour le Logement des défavorisés demande des mesures contre les "logements bouilloires".
Premier Major de la saison d'ultra-trail, la Western states a été suffocante et spectaculaire : victoire surprise de lAméricain Caleb Olson, troisième place du Goat Kilian Jornet, abandon de Vincent Bouillard... RMC Running vous propose un grand débrief de cette course mythique avec Yohan Durand, Benoit Boutron et Robin Schmitt des genoux dans le Gif.
Le tirage au sort des tableaux de Wimbledon a livré son verdict. Jannik Sinner, tête de série N°1 a hérité d'un parcours corsé. Il partage le haut tableau avec Draper, Musetti et Djokovic. Carlos Alcaraz, tête de série N°2 et double tenant du titre, est en bas avec Zverev, Fritz et Rune. L'Espagnol est-il le grand favori à sa propre succession ? Peut-il réaliser un triplé historique ? Sinner peut-il décrocher un premier titre à Londres ? La dernière chance pour le 25e de Novak Djokovic ? L'équipe de Sans Filet analyse en détails le tableau masculin sans oublier de livrer ses prédictions sur cette édition 2025 de Wimbledon. Débats, tactiques et pronostics avec Marie, Frédéric Verdier et Benoit Maylin.
Champion NBA, MVP de la saison régulière, MVP des Finals, MVP de la finale de conférence Ouest, All-Star, All-NBA First Team, All-In-Season Tournament Team et meilleur marqueur de la ligue. Le canadien Shai Gilgeous-Alexander a roulé sur la saison NBA pour apporter le premier titre de l'histoire d'OKC ! Est-il le meilleur joueur de l'histoire de la franchise devant Kevin Durant et Russell Westbrook ?
Tous les matins, l'oeil malicieux de Charles Magnien se pose sur un sujet tabou ou gênant. Le rendez-vous pour débattre autour de la machine à café.
Carlos Alcaraz continue de briller sur le circuit ATP. Pour son premier tournoi après sa victoire à Paris, l'Espagnol a remporté le Queen's en battant Jiri Lehecka au terme d'une finale très disputée. C'est son 5e titre de la saison, le 21e en carrière. Avec cette victoire, il abordera Wimbledon dans la peau du grand favori ! Peut-il réaliser le difficile triplé "Paris-Queen's-Wimbledon" ? Seul Rafael Nadal a réussi cette prouesse en 2008...
ANGELA'S SYMPOSIUM 📖 Academic Study on Witchcraft, Paganism, esotericism, magick and the Occult
In this special episode—presented for the first time in Italian with (ala, literal and not always accurate) English subtitles—Dr Angela Puca is joined by Emanuele Viotti, founder of Ad Maiora Vertite, for a discussion on the religion of ancient Rome.Emanuele Viotti is a respected educator and independent scholar in the field of Roman traditional religion. Since founding Ad Maiora Vertite in 2012, he has authored and curated numerous publications—often in collaboration with academics—on Roman religiosity. Viotti lectures on Roman religion at the Centro Nazionale di Studi Classici GrecoLatinoVivo, where his courses are recognised by Italy's Ministry of Education. He has presented at academic conferences, contributes to the rediscovery of Italian heritage through historically themed guided tours, and was awarded the Rimini–Europa in the World international culture prize in 2023 for his work on Roman tradition and historical outreach.Topics explored include:– The distinction between orthopraxy and orthodoxy in Roman religiosity– The numinous and the function of sacra privata vs. sacra publica– Ritual precision, priesthoods, and everyday cultic practice– The transmission of religious knowledge in domestic and civic spaces– Local religious variation across the Roman world– Misconceptions surrounding figures like Diana and “Lucifer”– The challenges and potentials of reconstructing Roman religion todayThis episode also critically examines how Roman religion functioned as a pragmatic, ritual-based system without imposed theological dogma, contrasting sharply with post-Nicene Christianity. Emanuele Viotti offers rare insights into original Latin sources, epigraphic evidence, and the ritual economy of the Roman world, while discussing how Roman traditionalism is interpreted and lived in contemporary contexts.CONNECT & SUPPORT
« Ce soir, je peux annoncer au monde que ces frappes ont été un succès militaire spectaculaire. (…) L'Iran, le tyran du Moyen-Orient, doit maintenant faire la paix » a déclaré Donald Trump, samedi 21 juin, après le bombardement de trois sites nucléaires iraniens, Natanz, Ispahan et Fordo.Après s'être livré à une escalade verbale, puis s'être donné un délai de réflexion de deux semaines, le président américain a fait le choix de la force, sans autorisation du Congrès et malgré ses promesses faites durant la campagne présidentielle d'être le président des « deals », des accords diplomatiques et de la paix.Cette opération militaire aérienne d'ampleur contre l'Iran comble les attentes d'Israël, engagé dans une guerre ouverte contre Téhéran depuis le 13 juin 2025, et plonge tout le Moyen-Orient dans l'incertitude.Pourquoi Donald Trump a-t-il décidé de frapper l'Iran ? Que reste-t-il des installations nucléaires iraniennes ? Et jusqu'où pourrait aller l'escalade ? Dans cet épisode du podcast « L'Heure du Monde », Piotr Smolar, correspondant du Monde à Washington, décrypte les conséquences de cette bascule historique.Un épisode de Garance Muñoz. Réalisation : Quentin Tenaud. Présentation et rédaction en chef : Adèle Ponticelli. Dans cet épisode : extrait de déclarations du président des Etats-Unis Donald Trump, le 21 juin 2025 ; du premier ministre israélien Benyamin Nétanyahou, le 21 juin 2025 ; et de Abbas Araghtchi, ministre des affaires étrangères iranien, le 22 juin 2025.Episode publié le dimanche 22 juin 2025. Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
Retour sur ce vote historique aux États-Unis. Le Sénat a adopté cette semaine, et pour la première fois, un texte régulant les stablecoins. Les stablecoins, ce sont des cryptomonnaies adossées à une devise ordinaire. Ce vote est considéré comme une étape importante pour le développement de cet actif. Avant tout, un petit point de vocabulaire. Alors une stablecoin c'est quoi ? C'est une cryptomonnaie dont la valeur ne varie presque pas, elle reste stable, d'où cette appellation « stablecoin », « une pièce de monnaie stable » si l'on traduit en français. Mais la particularité de cette monnaie virtuelle, d'où sa stabilité, c'est qu'elle est adossée à une devise traditionnelle, le plus souvent le dollar américain. Concrètement, si vous détenez un jeton de stablecoin, vous détenez un dollar. Chaque jeton étant censé être couvert par un vrai dollar ou un actif très sûr. Quel intérêt d'avoir un stablecoin ? En fait cette cryptomonnaie facilite les échanges. Elle permet d'acheter, de vendre, d'envoyer de l'argent à l'autre bout du monde en quelques secondes, 24h/24h, et c'est important, sans passer par une banque. C'est donc rapide, gratuit, car il n'y a pas de taux de change ni de frais bancaires étant donné qu'on paie et qu'on achète en cryptomonnaie. C'est une valeur sûre, donc pour les entreprises, c'est un outil pour réduire leurs coûts de paiement à l'international. D'ailleurs, Amazon ou Walmart envisagent de lancer leurs propres stablecoins. Et pour les particuliers, c'est plus anecdotique mais c'est une façon de protéger leurs économies contre l'inflation ou les crises bancaires. Un marché stratégique désormais encadré aux États-Unis Aujourd'hui, les stablecoins constituent un marché colossal de 250 milliards de dollars. Et la croissance de ces stablecoins est fulgurante. Il y a à peine cinq ans, cela représentait seulement 20 milliards de dollars. Huit transactions sur dix en cryptomonnaies passent par elles. Et plus impressionnant encore, d'après la Deutsche Bank, leur volume de transaction a dépassé l'année dernière ceux de Visa et de Mastercard réunis. Un intérêt croissant des banques, géants de la tech et États Notamment avec cette régulation aux États-Unis. Puisqu'il faut voir un peu plus loin que la simple transaction. Comme les stablecoins sont généralement basés sur le dollars, et bien ça renforce la domination américaine dans le commerce mondial, domination du dollar même. Et à l'heure où différentes économies entendent s'éloigner du billet vert, cette étape revêt une importance stratégique pour les États-Unis. Mais attention, ce n'est pas sans risque. Les stablecoins sont aussi utilisées pour des activités illégales comme le blanchiment d'argent ou le financement du crime organisé. Et si tout le monde se met à utiliser ces stablecoins au lieu des banques, ça pourrait fragiliser le système financier actuel. C'est précisément pour ces raisons que le Sénat américain a voté cette loi qui impose un cadre clair à cette cryptomonnaie. Avec un double objectif : protéger les consommateurs, et renforcer la place du dollar dans l'économie numérique mondiale. À lire aussiPourquoi les cryptomonnaies attirent-elles la convoitise des criminels?
Dans la nuit du 12 au 13 juin, l'aviation israélienne a lancé une série de frappes contre l'ennemi juré du pays : l'Iran, dirigé par le guide suprême Ali Khamenei. Celui qui promettait de détruire l'Etat hébreux d'ici 2040.À travers cette opération de grande ampleur, dans laquelle des sites stratégiques, des commandants mais aussi des scientifiques iraniens ont été tués, Israël cherche à mettre hors d'état de nuire son rival historique, qu'il soupçonne d'être en voie d'obtenir la bombe atomique. Depuis, les bombardements des deux côtés sont quotidiens. Pourquoi l'Etat d'Israël est-il passé à l'offensive ? Quelle est l'histoire des relations entre les deux pays ? Pourquoi sont-ils devenus ennemis ? Réponse, dans Code source aujourd'hui, avec trois journalistes du service international du Parisien : Ariane Riou, Robin Korda, et Charles de Saint Sauveur, chef de ce service. Écoutez Code source sur toutes les plates-formes audio : Apple Podcast (iPhone, iPad), Amazon Music, Podcast Addict ou Castbox, Deezer, Spotify.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Reporter : Barbara Gouy - Production : Thibault Lambert, Clémentine Spiler et Anaïs Godard - Réalisation et mixage : Julien Montcouquiol, Pierre Chaffanjon - Musiques : François Clos, Audio Network - Archives : BFMTV, France Inter. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
La Banque mondiale alerte sur un recul historique des investissements directs étrangers dans les pays émergents. L'Afrique n'est pas épargnée, avec des chutes marquées en Égypte, en Angola ou en Afrique centrale. Un phénomène inquiétant qui menace la croissance et les infrastructures. Décryptage. Les investissements directs étrangers (IDE) vers les pays émergents et en développement ont atteint en 2023 leur plus bas niveau depuis 2005. C'est le constat dressé par la Banque mondiale dans son dernier rapport. Ces flux de capitaux — injectés par des entreprises pour implanter usines, services ou projets — se sont limités à 435 milliards de dollars l'an dernier, soit à peine 2 % du PIB de ces pays. Un effondrement spectaculaire quand on sait qu'ils représentaient plus de 5 % du PIB en 2008. La tendance n'épargne pas les économies plus avancées, mais elle frappe avec particulièrement les pays en développement, qui dépendent fortement de ces flux pour financer leur croissance, leurs infrastructures ou leur transition énergétique. L'Afrique, première victime de la chute Le continent africain illustre à lui seul cette dynamique globale. L'Afrique du Nord a vu ses IDE chuter de 12 % en 2023, et l'Afrique centrale de 17 %. L'Égypte, longtemps l'un des plus gros récipiendaires d'IDE sur le continent, a connu une baisse brutale après un pic en 2022. Et l'Angola affiche un signal encore plus inquiétant : les flux d'IDE y sont devenus négatifs, c'est-à-dire que les filiales étrangères retirent plus de capitaux qu'elles n'en investissent. Malgré ce tableau sombre, quelques exceptions subsistent. La Mauritanie, par exemple, continue d'attirer de grands projets liés à l'hydrogène vert. Mais ce sont des cas isolés dans un contexte global de désengagement. Des causes multiples : incertitude, dette et inertie politique Pourquoi une telle désaffection ? La Banque mondiale identifie plusieurs freins majeurs. D'abord, l'incertitude géopolitique, qui a atteint son niveau le plus élevé depuis le début du siècle, refroidit considérablement les investisseurs. Ensuite, la montée du protectionnisme sape les fondements du commerce international. À cela s'ajoute la dette publique élevée dans de nombreux pays en développement, qui réduit la marge de manœuvre pour accueillir et sécuriser des investissements. Enfin, la stagnation des réformes structurelles dans plusieurs économies émergentes empêche toute amélioration durable du climat des affaires. Face à ces défis, la Banque mondiale propose une série de recommandations. Premièrement, améliorer le climat des affaires et lever les obstacles réglementaires afin de restaurer l'attractivité des pays concernés. Deuxièmement, favoriser les projets qui génèrent une forte valeur ajoutée locale et de l'emploi. Mais surtout, l'institution insiste sur la nécessité de renforcer la coopération internationale : relancer les traités commerciaux, réduire les barrières aux échanges et accompagner les réformes à travers une aide technique et financière. Car derrière ces flux de capitaux, il y a plus qu'un enjeu économique. Attirer les investissements, c'est donner une chance au développement, à la transition énergétique, et à la stabilité sociale de ces pays.
Les Pistons de Chauncey Billups, Le Heat de Lebron, Les Celtics de Tatum... Quelle équipe est passée à côté d'une dynastie ?
Dans le cadre du partenariat du magazine IDÉES avec la revue Esprit, Pierre-Édouard Deldique reçoit Anne-Lorraine Bujon, la directrice de la revue et l'anthropologue Véronique Nahoum-Grappe, membre de son comité de rédaction, de retour d'un voyage à Damas qu'elle raconte dans l'émission. Le dossier est dirigé par deux spécialistes de la région, Joseph Bahout, professeur à l'Université américaine de Beyrouth et Hamit Bozarslan, directeur d'études à l'École des Hautes études en Sciences sociales, spécialiste des Kurdes (son dernier livre, Histoire des Kurdes. Des origines à nos jours, Cerf, 2025), plusieurs fois invité dans IDÉES. Dans leur introduction, ils s'interrogent sur les conséquences de la guerre de Benyamin Netanyahu à Gaza et ses interventions dans le sud-Liban contre le Hezbollah. Sur les conséquences aussi du changement de régime à Damas après la chute de Bachar al-Assad. Ils soulignent d'autre part l'importance de l'année 1975 qui vit le début de la guerre civile au Liban. La page est-elle en train de se refermer ? Au cours de l'émission, Anne-Lorraine Bujon détaille ce dossier et, en tant que spécialiste des États-Unis, revient aussi sur l'éditorial de ce numéro intitulé « Trump first » autrement le mélange des genres chez le président américain, entre affaires publiques et affaires privées. De retour de Damas, Véronique Nahoum-Grappe, évoque, quant à elle, au micro de l'émission, le voyage qu'elle vient de faire parmi la population de Damas, la capitale syrienne. Elle en fait un compte-rendu humain et plein de couleurs qui nous permet de mieux comprendre l'état d'esprit des Syriens aujourd'hui. Programmation musicale : Naïssam Jalal & Rhythms Of Resistance - Lente impatience.
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Le 13 Novembre 1974, le leader de l'O.L.P Yasser Arafat est invité pour la première fois à la tribune de l'ONU où il prononce le discours historique qui va faire basculer l'opinion publique internationale en faveur de la reconnaissance de la cause palestinienne. « Aujourd'hui, je suis venu porteur d'un rameau d'olivier et d'un fusil de combattant de la liberté. Ne laissez pas le rameau d'olivier tomber de ma main. Je vous le répète : ne le laissez pas tomber de ma main. » Pointant du doigt l'assemblée de l'Onu, Yasser Arafat va en réalité répéter trois fois sa dernière phrase et déclencher un tonnerre d'applaudissements. Quel leader est Yasser Arafat, coiffé du keffieh noir et blanc, symbole du nationalisme palestinien lorsqu'il est invité à l'ONU ? Quels sont les arguments du représentant de l'OLP ? Et que représente ce discours dans l'histoire et la mémoire du peuple palestinien ? Plus de 50 ans après la reconnaissance du droit des Palestiniens à l'auto-détermination votée le 22 Novembre 1974 par l'ONU à une majorité écrasante, RFI et MCD s'associent pour donner accès à une archive essentielle pour la compréhension de l'histoire du conflit israélo-palestinien. De larges extraits du discours traduits en français s'articulent avec les témoignages de Anwar Abou Aïsha, ancien ministre palestinien de la Culture ; Hala Qodmani, journaliste spécialiste du Proche-Orient ; Elias Sanbar, historien ettraducteur ; Leïla Shahid, ex-déléguée générale de la Palestine en France et Yousef Zayed, musicien et professeur de oud. Un documentaire signé Valérie Nivelon RFI avec la collaboration de Tarik Hamdan MCD. Réalisation : Sophie Janin avec Adrien Landivier, Nicolas Falez et Nicolas Pichon-Loevenbruck. Émission initialement diffusée le 9 novembre 2024. À lire : - « La dernière guerre ? » Palestine, 7 octobre 2023-2 avril 2024 par Elias Sanbar. Collection Tracts (no56) Gallimard - « Comment la Palestine fut perdue et pourquoi Israël n'a pas gagné, Histoire d'un conflit », de Jean-Pierre Filiu aux éditions Seuil - « Israël/Palestine Anatomie d'un conflit », de Vincent Lemire et Thomas Snégaroff aux éditions Les Arènes - « Les grands discours à l'ONU. De Harry Truman à Greta Thunberg », par Chloé Maurel, aux éditions du Croquant.
5-0 ! Le samedi 31 mai, le Paris Saint-Germain (PSG) s'offre une victoire écrasante en Ligue des Champions face à l'Inter Milan. L'équipe parisienne est championne d'Europe pour la première fois de son histoire. Dès la mi-temps, les joueurs de Luis Enrique mènent 2-0. Pourtant, le début de saison ne présageait pas de cette victoire. L'équipe du PSG s'est imposée petit à petit jusqu'à arracher ce trophée, remporté une seule fois par un club français, l'Olympique de Marseille, en 1993.Stéphane Bianchi et Dominique Séverac, journalistes au service sports du Parisien, étaient dans les tribunes de l'Allianz Arena, à Munich. Pour Code Source, ils racontent comment ils ont vécu ce match historique.Écoutez Code source sur toutes les plates-formes audio : Apple Podcast (iPhone, iPad), Amazon Music, Podcast Addict ou Castbox, Deezer, Spotify.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Reporter : Barbara Gouy - Production : Clara Grouzis et Thibault Lambert- Réalisation et mixage : Julien Montcouquiol - Musiques : François Clos, Audio Network - Archives : Canal +, Bein Sport. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Au programme de Radio Foot Internationale ce lundi 2 juin 2025 (16h10 TU & 21h10 TU) : - Historique, le PSG grand vainqueur de la Ligue des Champions 2025. ; - Ligue des Champions en Afrique : le Pyramids FC entre aussi dans l'histoire... Historique, le PSG grand vainqueur de la Ligue des Champions 2025Une victoire écrasante 5 buts à 0, face à l'Inter Milan, le plus grand écart de but lors d'une finale.48 heures après, retour sur ce PSG spectaculaire qui restera dans l'histoire de cette compétition.Ligue des Champions en Afrique : le Pyramids FCLe Pyramids FC entre aussi dans l'histoire en reportant sa première LDC de la CAF, en battant le Mamelodi Sundowns en finale. On évoque ce match dans Radio Foot. Présentation : Olivier Pron. Consultants : Salim Baungally, Nabil Djellit, et Eric Rabesandratana — Édition : Saliou Diouf — Technique/Réalisation : Laurent Salerno.