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Conversamos con Carolina Pérez Stephens, educadora de párvulos, máster en Educación en la Universidad de Harvard y escritora, por los inhibidores de señal en colegios municipales de Lo Barnechea y el efecto de las pantallas en las salas de clases.
durée : 00:18:44 - 8h30 franceinfo - Othman Nasrou, secrétaire général des Républicains, et vice-président de la région Île-de-France était l'invité du "8h30 franceinfo", mercredi 23 juillet. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
« Jour de vote sous haute surveillance dans un climat calme, mais tendu », titre Ici Lomé. « Le pays ayant connu en juin une vague de manifestations réclamant le départ de Faure Gnassingbé, dont la famille règne depuis près de soixante ans sur le pays », poursuit le journal. Les Togolais étaient appelés aux urnes pour élire 1527 conseillers municipaux dans 117 communes. Jeudi, dans les rues, « les boutiques étaient ouvertes, les marchés animés (…), les activités économiques ne semblaient pas perturbées par le scrutin ». Aucune tension non plus dans les « anciens bastions de l'opposition », le calme ambiant contrastait avec « les appels à la mobilisation lancée par le Mouvement du 6 juin », rapporte toujours Ici Lomé. « Une ambiance sereine relevée aussi bien par les acteurs politiques que par les observateurs », note également Republic of Togo. « À Lomé comme dans d'autres centres urbains, la participation est restée timide », constate de son côté Togo Breaking News. Ce qui témoigne selon le titre d'un « désintérêt relatif ou d'un engouement discret malgré les enjeux liés à la gouvernance locale ». « La qualité d'une élection ne se mesure pas uniquement à son taux de participation, écrit Republic of Togo, mais aussi à sa transparence, sa régularité et sa capacité à refléter la volonté populaire ». Les résultats provisoires sont attendus dans les jours à venir. Au Sénégal, une page historique s'est tournée « L'armée française quitte officiellement le Sénégal », écrit Dakaractu. L'escale aéronautique militaire, située à l'aéroport et le camp Geille, ont été restitués aux autorités sénégalaises. « Le transfert de ce camp, haut lieu de la coopération franco-sénégalaise marque la fin de la dernière base militaire permanente dans le pays ». Un événement « chargé de symboles », poursuit le titre. Mais « derrière les discours protocolaires transparait une vérité amère : la France quitte l'Afrique de l'Ouest sous pression, contrainte d'admettre que sa présence militaire n'est plus la bienvenue », poursuit Dakaractu. « Ce retrait est bien plus qu'une simple reconfiguration militaire, analyse Afrik.com, il scelle la fin d'une époque où la France conservait un ancrage stratégique au cœur de l'Afrique de l'Ouest... Pour les autorités sénégalaises, c'est un acte de souveraineté retrouvé ; pour Paris, une volonté affichée de faire évoluer son rôle sur le continent ». « Il ne s'agit pas d'une rupture à l'image de celle intervenue dans l'espace de l'Alliance des États du Sahel » avec le Mali, le Burkina Faso et le Niger, pointe Aujourd'hui au Faso mais « ce départ voulu par les nouveaux dirigeants sénégalais va ouvrir la voie à un nouveau paradigme dans la coopération entre l'ancienne puissance coloniale et ses ex-colonies bien qu'il s'agisse d'un "partenariat rénové" comme l'a souhaité Diomaye Faye ». C'est aussi ce que retient à Paris Le Monde Afrique, « contrairement aux retraits français dans les autres pays du Sahel, ce départ se fait sans rupture entre les deux États ». Les ministres des Finances du G20 en Afrique du Sud « Les pays du Sud global plaident pour une réduction des inégalités », titre Africanews. « Les nations africaines appellent au changement. Les coûts d'emprunt élevés continuent de décourager les investissements et d'étouffer les dépenses publiques dans les domaines de la santé, de l'éducation et des programmes d'infrastructures », rapporte le site internet. « L'Afrique du Sud, qui préside le G20 cette année, a mis l'accent sur la nécessité d'aborder les causes profondes des inégalités économiques mondiales », note Afrik.com. Mais le pays doit composer avec un « contexte tendu, aggravé par les tensions avec les États-Unis », pointe Africaradio. Le secrétaire américain au Trésor, « Scott Bessent était absent, tout comme Marco Rubio, secrétaire d'État, lors des précédentes réunions (…) ce qui fragilise la coordination multilatérale à quelques mois du sommet des chefs d'État prévu à Johannesburg les 22 et 23 novembre.
Comment faire face au sentiment d'impuissance ? Au poids des normes administratives ? Aux contraintes budgétaires ?C'est la question que l'on explore avec notre invitée du jour, Camille Pouponneau. Élue à 30 ans maire de Pibrac (Haute-Garonne), elle démissionne après trois ans de mandat, épuisée — comme près de 2 200 maires depuis le début du mandat actuel.Dans son livre Maires : le Grand Gâchis (Robert Laffont, 2024), elle raconte cette expérience entre espoirs et désillusions, et en fait un manifeste pour réinventer l'action publique locale.
« Jour de vote sous haute surveillance dans un climat calme, mais tendu », titre Ici Lomé. « Le pays ayant connu en juin une vague de manifestations réclamant le départ de Faure Gnassingbé, dont la famille règne depuis près de soixante ans sur le pays », poursuit le journal. Les Togolais étaient appelés aux urnes pour élire 1527 conseillers municipaux dans 117 communes. Jeudi, dans les rues, « les boutiques étaient ouvertes, les marchés animés (…), les activités économiques ne semblaient pas perturbées par le scrutin ». Aucune tension non plus dans les « anciens bastions de l'opposition », le calme ambiant contrastait avec « les appels à la mobilisation lancée par le Mouvement du 6 juin », rapporte toujours Ici Lomé. « Une ambiance sereine relevée aussi bien par les acteurs politiques que par les observateurs », note également Republic of Togo. « À Lomé comme dans d'autres centres urbains, la participation est restée timide », constate de son côté Togo Breaking News. Ce qui témoigne selon le titre d'un « désintérêt relatif ou d'un engouement discret malgré les enjeux liés à la gouvernance locale ». « La qualité d'une élection ne se mesure pas uniquement à son taux de participation, écrit Republic of Togo, mais aussi à sa transparence, sa régularité et sa capacité à refléter la volonté populaire ». Les résultats provisoires sont attendus dans les jours à venir. Au Sénégal, une page historique s'est tournée « L'armée française quitte officiellement le Sénégal », écrit Dakaractu. L'escale aéronautique militaire, située à l'aéroport et le camp Geille, ont été restitués aux autorités sénégalaises. « Le transfert de ce camp, haut lieu de la coopération franco-sénégalaise marque la fin de la dernière base militaire permanente dans le pays ». Un événement « chargé de symboles », poursuit le titre. Mais « derrière les discours protocolaires transparait une vérité amère : la France quitte l'Afrique de l'Ouest sous pression, contrainte d'admettre que sa présence militaire n'est plus la bienvenue », poursuit Dakaractu. « Ce retrait est bien plus qu'une simple reconfiguration militaire, analyse Afrik.com, il scelle la fin d'une époque où la France conservait un ancrage stratégique au cœur de l'Afrique de l'Ouest... Pour les autorités sénégalaises, c'est un acte de souveraineté retrouvé ; pour Paris, une volonté affichée de faire évoluer son rôle sur le continent ». « Il ne s'agit pas d'une rupture à l'image de celle intervenue dans l'espace de l'Alliance des États du Sahel » avec le Mali, le Burkina Faso et le Niger, pointe Aujourd'hui au Faso mais « ce départ voulu par les nouveaux dirigeants sénégalais va ouvrir la voie à un nouveau paradigme dans la coopération entre l'ancienne puissance coloniale et ses ex-colonies bien qu'il s'agisse d'un "partenariat rénové" comme l'a souhaité Diomaye Faye ». C'est aussi ce que retient à Paris Le Monde Afrique, « contrairement aux retraits français dans les autres pays du Sahel, ce départ se fait sans rupture entre les deux États ». Les ministres des Finances du G20 en Afrique du Sud « Les pays du Sud global plaident pour une réduction des inégalités », titre Africanews. « Les nations africaines appellent au changement. Les coûts d'emprunt élevés continuent de décourager les investissements et d'étouffer les dépenses publiques dans les domaines de la santé, de l'éducation et des programmes d'infrastructures », rapporte le site internet. « L'Afrique du Sud, qui préside le G20 cette année, a mis l'accent sur la nécessité d'aborder les causes profondes des inégalités économiques mondiales », note Afrik.com. Mais le pays doit composer avec un « contexte tendu, aggravé par les tensions avec les États-Unis », pointe Africaradio. Le secrétaire américain au Trésor, « Scott Bessent était absent, tout comme Marco Rubio, secrétaire d'État, lors des précédentes réunions (…) ce qui fragilise la coordination multilatérale à quelques mois du sommet des chefs d'État prévu à Johannesburg les 22 et 23 novembre.
La Cour suprême s'est penchée, hier, jeudi 17 juillet, sur une affaire électorale sensible liée aux élections municipales du 4 mai dernier dans le Ward 3 de Vacoas–Phœnix. En toile de fond : un recomptage de voix réclamé et un tirage au sort controversé. Bhageeruth Mdhin, candidat de l'Alliance du Changement, conteste officiellement l'élection de Chetan (Ashwin) Dookun du Reform Party. Les deux hommes avaient obtenu exactement 1 930 voix, un cas d'égalité qui avait mené à un tirage au sort — procédure prévue par la loi électorale — pour départager les deux candidats. Un mécanisme aujourd'hui remis en cause devant la justice. Lors de l'audience préliminaire tenue le jeudi 17 juillet, Me Neelkanth Dulloo, avocat du plaignant, a fait état des arguments avancés par les parties adverses, notamment sur la nécessité du tirage au sort et le caractère jugé « vague ou spéculatif » de la pétition, entre autres. Les conclusions ont été soumises à la Cour suprêmes, qui devra désormais se prononcer sur la recevabilité de la requête. Si celle-ci est jugée fondée, le dossier sera examiné sur le fond ; dans le cas contraire, la contestation sera rejetée. Me Neelkanth Dulloo a également salué la réactivité du système judiciaire dans cette affaire.
Les Togolais sont appelés à renouveler leurs 1527 conseillers municipaux ce jeudi, mais l'attention est surtout concentrée sur le désormais nommé « Mouvement du 6-Juin » : il a appelé à la mobilisation, aujourd'hui et demain. C'est le dernier rendez-vous en date, rappelle Le Monde Afrique, d'un « mouvement de contestation qui, depuis début juin, défie le pouvoir de Faure Gnassingbé, » articulé autour du rappeur Aamron devenu « la figure de proue » de ce phénomène après avoir appelé à manifester puis avoir été interpellé dans la foulée. Désormais, détaille le Monde, les manifestants « dénoncent pêle-mêle l'arrestation du rappeur et d'autres personnalités critiques, la hausse du coût de la vie (en particulier de l'électricité), et surtout, la récente réforme constitutionnelle » grâce à laquelle Faure Gnassingbé, en lieu et place de président de la République, est devenu président du conseil… « la nouvelle plus haute fonction exécutive du pays, cette fois sans limite de mandats. » Cela fait vingt ans que le chef d'État est au pouvoir – et avant cela, son père, Gnassingbé Eyadema, a dirigé le Togo de 1967 à 2005. Le pays est donc « ballotté depuis presque 60 ans par un régime de terreur de père en fils, » calcule Ici Lomé, selon qui « les différents scrutins, présidentiels, législatifs et autres, ne furent jusqu'à ce jour que de pures mascarades. » Quant aux partis d'opposition, nés dans les années 1990, poursuit le titre, ils « n'ont connu que répressions faites d'arrestations arbitraires (…) dont les auteurs (…) courent toujours. » Pour le site togolais, il n'y a donc pas d'autre issue : « il faut une révolution de grande envergure, comme des jeunes Togolais nous en donnent l'exemple aujourd'hui, pour faire partir ce régime. » À lire aussiManifestations contre Faure Gnassingbé au Togo: le gouvernement crie à la «tentative de déstabilisation» Il faut dire que les précédentes journées de mobilisation ont été marquées par des violences et les autorités se sont montrées, « impitoyables, » « comme à leur habitude, » estime Le Monde : « la société civile, rappelle le titre, accuse [les forces de l'ordre] d'être responsables de la mort de sept personnes » alors que les autorités évoquent « cinq décès "par noyade" et dénonce[nt] des "tentatives de récupération malheureuses." » Ici Lomé, de son côté, va même jusqu'à parler d'une répression « sauvage. » On craint donc, dans le pays, que les manifestations des deux prochains jours ne soient encore entachées de sang. Togo Presse note que « le gouvernement, dans ses sorties, rassure la population » avec « des dispositions prises pour garantir des élections paisibles », par exemple la fermeture des frontières. Quant au ministre de la Fonction publique Gilbert Bawara, démissionnaire, mais en charge des Affaires courantes, il défend le gouvernement de toute action disproportionnée dans les colonnes du Point Afrique : « dans un État de droit, l'ordre public doit être préservé, » martèle-t-il, et il faut « préserver absolument cet acquis, » avec « rigueur et fermeté, » tout autant qu'avec « discernement et responsabilité. » Et le ministre appelle chacun à « respecte[r] les règle du jeu démocratique. » À lire aussiTogo: au moins trois morts et des dizaines de blessés dans les manifestations contre le pouvoir Un mouvement flambant neuf Et notamment par sa « structure, sans véritable organigramme » qui, selon Le Monde Afrique, « rend ce mouvement plus difficilement contrôlable. » C'est peut-être d'ailleurs ce que lui reproche le ministre Gilbert Bawara, selon qui « ce ne sont pas des manifestations » et qui assure qu'il y a toujours « de nombreuses activités politiques » dans le pays mais « dans un esprit de respect de cadre réglementaire. » Avec des campagnes sur les réseaux sociaux, des vidéos sur différentes plateformes, et un ton plus radical, le mouvement réussit à faire ce que les partis ne faisaient plus : « mobiliser une jeunesse souvent désabusée par les acteurs politiques traditionnels, » écrit Le Monde Afrique. Ces derniers n'ont donc plus qu'à s'y faire et « tenter de trouver leur place. » Même point de vue pour Ici Lomé qui constate que cette révolution née sur le numérique est « venue prendre de court une opposition togolaise divisée, vivant au jour le jour, et dont chaque leader essaie de tirer la couverture de son côté. » Un opposant interrogé par Le Monde l'assure : « si nous convergeons vers le même objectif, alors c'est tant mieux, » et qu'importe qu' « ils [aient] leur stratégie et nous la nôtre. » Mais Ici Lomé n'y croit pas vraiment : « pour l'opposition traditionnelle, (…) il n'est pas question que des opposants invisibles, ‘non professionnels,' (…) puissent lui damer le pion, en réussissant à mobiliser. » Il faudra bien pourtant, grimace le journal, que chacun y mette du sien pour, enfin, « remettre chacun et chaque institution à sa place, pour que le Togo renaisse pour de bon. » À lire aussiManifestations contre Faure Ganssingbé au Togo: le gouvernement lance des mandats d'arrêt contre le M66
Les Togolais sont appelés à renouveler leurs 1527 conseillers municipaux ce jeudi, mais l'attention est surtout concentrée sur le désormais nommé « Mouvement du 6-Juin » : il a appelé à la mobilisation, aujourd'hui et demain. C'est le dernier rendez-vous en date, rappelle Le Monde Afrique, d'un « mouvement de contestation qui, depuis début juin, défie le pouvoir de Faure Gnassingbé, » articulé autour du rappeur Aamron devenu « la figure de proue » de ce phénomène après avoir appelé à manifester puis avoir été interpellé dans la foulée. Désormais, détaille le Monde, les manifestants « dénoncent pêle-mêle l'arrestation du rappeur et d'autres personnalités critiques, la hausse du coût de la vie (en particulier de l'électricité), et surtout, la récente réforme constitutionnelle » grâce à laquelle Faure Gnassingbé, en lieu et place de président de la République, est devenu président du conseil… « la nouvelle plus haute fonction exécutive du pays, cette fois sans limite de mandats. » Cela fait vingt ans que le chef d'État est au pouvoir – et avant cela, son père, Gnassingbé Eyadema, a dirigé le Togo de 1967 à 2005. Le pays est donc « ballotté depuis presque 60 ans par un régime de terreur de père en fils, » calcule Ici Lomé, selon qui « les différents scrutins, présidentiels, législatifs et autres, ne furent jusqu'à ce jour que de pures mascarades. » Quant aux partis d'opposition, nés dans les années 1990, poursuit le titre, ils « n'ont connu que répressions faites d'arrestations arbitraires (…) dont les auteurs (…) courent toujours. » Pour le site togolais, il n'y a donc pas d'autre issue : « il faut une révolution de grande envergure, comme des jeunes Togolais nous en donnent l'exemple aujourd'hui, pour faire partir ce régime. » À lire aussiManifestations contre Faure Gnassingbé au Togo: le gouvernement crie à la «tentative de déstabilisation» Il faut dire que les précédentes journées de mobilisation ont été marquées par des violences et les autorités se sont montrées, « impitoyables, » « comme à leur habitude, » estime Le Monde : « la société civile, rappelle le titre, accuse [les forces de l'ordre] d'être responsables de la mort de sept personnes » alors que les autorités évoquent « cinq décès "par noyade" et dénonce[nt] des "tentatives de récupération malheureuses." » Ici Lomé, de son côté, va même jusqu'à parler d'une répression « sauvage. » On craint donc, dans le pays, que les manifestations des deux prochains jours ne soient encore entachées de sang. Togo Presse note que « le gouvernement, dans ses sorties, rassure la population » avec « des dispositions prises pour garantir des élections paisibles », par exemple la fermeture des frontières. Quant au ministre de la Fonction publique Gilbert Bawara, démissionnaire, mais en charge des Affaires courantes, il défend le gouvernement de toute action disproportionnée dans les colonnes du Point Afrique : « dans un État de droit, l'ordre public doit être préservé, » martèle-t-il, et il faut « préserver absolument cet acquis, » avec « rigueur et fermeté, » tout autant qu'avec « discernement et responsabilité. » Et le ministre appelle chacun à « respecte[r] les règle du jeu démocratique. » À lire aussiTogo: au moins trois morts et des dizaines de blessés dans les manifestations contre le pouvoir Un mouvement flambant neuf Et notamment par sa « structure, sans véritable organigramme » qui, selon Le Monde Afrique, « rend ce mouvement plus difficilement contrôlable. » C'est peut-être d'ailleurs ce que lui reproche le ministre Gilbert Bawara, selon qui « ce ne sont pas des manifestations » et qui assure qu'il y a toujours « de nombreuses activités politiques » dans le pays mais « dans un esprit de respect de cadre réglementaire. » Avec des campagnes sur les réseaux sociaux, des vidéos sur différentes plateformes, et un ton plus radical, le mouvement réussit à faire ce que les partis ne faisaient plus : « mobiliser une jeunesse souvent désabusée par les acteurs politiques traditionnels, » écrit Le Monde Afrique. Ces derniers n'ont donc plus qu'à s'y faire et « tenter de trouver leur place. » Même point de vue pour Ici Lomé qui constate que cette révolution née sur le numérique est « venue prendre de court une opposition togolaise divisée, vivant au jour le jour, et dont chaque leader essaie de tirer la couverture de son côté. » Un opposant interrogé par Le Monde l'assure : « si nous convergeons vers le même objectif, alors c'est tant mieux, » et qu'importe qu' « ils [aient] leur stratégie et nous la nôtre. » Mais Ici Lomé n'y croit pas vraiment : « pour l'opposition traditionnelle, (…) il n'est pas question que des opposants invisibles, ‘non professionnels,' (…) puissent lui damer le pion, en réussissant à mobiliser. » Il faudra bien pourtant, grimace le journal, que chacun y mette du sien pour, enfin, « remettre chacun et chaque institution à sa place, pour que le Togo renaisse pour de bon. » À lire aussiManifestations contre Faure Ganssingbé au Togo: le gouvernement lance des mandats d'arrêt contre le M66
La alcaldesa de Zaragoza, Natalia Chueca, abrirá el debate sobre el estado de la ciudad de Zaragoza con un discurso en el que anunciará nuevos proyectos de futuro y subrayará la inversión en los barrios durante su mandato: afirmará que la suma de los proyectos que ya están ejecutados y los que están en marcha asciende a 350 millones de euros. Hablamos con el portavoz del gobierno municipal, Ángel Lorén, y con la portavoz del principal partido de la oposición, la socialista Lola Ranera.
NotiMundo Estelar - John Reimberg, Nexos de 'Fito' y su familia con instituciones municipales; y custodia de Adolfo Macías en la cárcel by FM Mundo 98.1
Se trata de una empresa energética de Albacete, con más de 20 años de experiencia en el sector, comercializadora y productora de energía renovable. Y desde la próxima temporada se convierte en colaborador del Instituto Municipal de Deportes, patrocinando los Juegos Deportivos, en los que participan casi 8.000 personas
Au Togo, les tensions sont encore vives à moins de dix jours des élections municipales. Le pays a été marqué fin juin par des manifestations d'ampleur contre le régime de Faure Gnassingbé. Selon plusieurs partis d'opposition et des organisations de la société civile, la répression de ce mouvement de contestation a fait au moins sept morts et des dizaines de blessés. Sur les réseaux sociaux, de fausses déclarations de personnalités politiques africaines et européennes ajoutent à la confusion. Si vous suivez de près l'actualité au Togo, vous avez probablement vu passer cette déclaration attribuée, à tort, au capitaine burkinabè Ibrahim Traoré. Dans une vidéo mensongère devenue virale ces derniers jours, on pense l'entendre apporter son soutien aux mouvements de contestation au Togo. Cet audio, long d'une minute et dix-huit secondes, a été écouté plus de 3 millions de fois sur TikTok et Facebook. Les comptes qui partagent cet extrait évoquent un « discours historique ». Une déclaration fabriquée de toutes pièces En réalité, le capitaine Ibrahim Traoré n'a jamais prononcé ces mots. L'extrait en question a été entièrement généré par un outil d'intelligence artificielle. Plusieurs internautes burkinabés signalent que le timbre de la voix d'Ibrahim Traoré est trop grave. Malgré tout, le résultat est assez bluffant, à tel point que les détecteurs d'IA que nous avons utilisés se trompent. Il s'agit là d'une nouvelle preuve que les outils de génération progressent plus vite que les outils de détection. Pour vérifier cet audio, nous avons d'abord cherché l'origine de cette prétendue déclaration. Sur les divers canaux officiels de communication du pouvoir burkinabè, ainsi que dans les médias locaux, ce discours est introuvable. En multipliant les recherches par mots clés, nous avons fini par retrouver le primo-diffuseur, le compte à l'origine de cette bande son. Il s'agit d'une chaîne YouTube, active depuis plus d'un mois. L'auteur précise qu'il est question d'un discours fictif, généré par intelligence artificielle, dans le but « de soutenir le peuple togolais ». Ce message d'avertissement a été volontairement ignoré par des comptes mal intentionnés. L'IA s'en mêle Ce discours artificiel d'Ibrahim Traoré n'est pas le seul à circuler à propos de la situation en cours au Togo. Avant lui, c'est la voix d'Emmanuel Macron qui avait été détournée. Cette opération de désinformation usurpait l'identité de RFI avec notre logo apposé sur cette fausse déclaration du président français. Plus récemment, l'image de la cheffe de la diplomatie de l'Union européenne, Kaja Kallas, a également été manipulée. Dans une vidéo de huit secondes, on pense la voir mettre la pression sur le gouvernement togolais. Dans les faits, cette vidéo a été générée via l'outil d'intelligence artificielle de Google : Veo III. La durée, huit secondes, ainsi que le petit logo Veo en bas à droite de l'image le confirment. On remarque, de plus, plusieurs incohérences visuelles, comme les drapeaux du Togo et de l'Union européenne qui ne collent pas avec les originaux. Là encore, cette déclaration est introuvable sur les canaux de communication de l'UE et dans les médias, d'où l'importance de consulter des sources fiables.
En esta entrevista el Secretario de Seguridad Pública Municipal de Corregidora, Ángel Rangel Nieves nos habla el ataque armado a policías de Corregidora, donde un elemento perdió la vida y uno más resulto lesionado.
À Paris, Lyon ou Marseille, le vote va changer lors des prochaines municipales. L'Assemblée nationale a définitivement adopté ce jeudi la réforme du mode de scrutin dans les trois grandes villes françaises, après un parcours législatif chaotique. Alors quelles sont les conséquences de cette réforme? À quoi va servir votre vote aux prochaines municipales ? On pose la question à Edgar Becquet, journaliste politique à BFMTV.
Javier Rojas, Mar Alcalde y Eusebio Martín dialogan en ágora municipal sobre la apertura de las piscinas municipales de verano y la incertidumbre sobre la oferta formativa en Aranda
La réforme du mode de scrutin des villes de Paris, Lyon et Marseille vient d'être définitivement adoptée par le Parlement.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La réforme du mode de scrutin des villes de Paris, Lyon et Marseille vient d'être définitivement adoptée par le Parlement.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - François Pupponi, ancien député - Georges Fenech, ancien magistrat - Naïma M'Faddel, essayiste et chargée de mission politique de la ville - Michel Fayard, analyste politique et géopolitologue Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:09:35 - L'invité de 7h50 - par : Amélie Perrier - Emmanuel Grégoire, député PS de Paris, candidat à la mairie de Paris pour les élections municipales de 2026, était l'invité de 7h50. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:09:35 - L'invité de 7h50 - par : Amélie Perrier - Emmanuel Grégoire, député PS de Paris, candidat à la mairie de Paris pour les élections municipales de 2026, était l'invité de 7h50. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Invité : - Julien Odoul, député de l'Yonne et porte-parole du RN Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Vincent Roy, journaliste et écrivain - Jean-Claude Dassier, chroniqueur politique Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invité : - Augustin Dumas, Référent National du Syndicat Alliance Police Nationale Police Municipale Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:41:31 - Une semaine en France - par : Eric Delvaux - Trompettes, tambours, caisses claires… les fanfares sont de retour dans les villes et villages de France ! Comment expliquer ce nouvel amour pour ces formations musicales longtemps perçues comme ringardes ou folkloriques, mais toujours synonymes de culture populaire ? - réalisé par : Juliette GOUX Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:03:07 - Les Municipales de Laval 2026 - À Laval, une association s'est créée en vue des élections municipales de 2026 à Laval. "Laval, Objectif 2026" rassemble notamment des personnalités politiques du centre comme la députée européenne, Valérie Hayer et des élus de l'opposition lavalloise comme James Charbonnier et Vincent D'Agostino. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Plus de 400 démissions de maires par an depuis la dernière élection municipale : la mairie est un mandat de plus en plus repoussant pour nombre. Les conditions d'exercice du mandat se dégradent. Les violences contre les édiles augmentent et poussent les maires à pjeter l'éponge. Pour analyser le phénomène Jean Petaux, politologue, et Camille Pouponneau, ancienne maire de la commune de Pibrac.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Plusieurs débats au cœur de l'actualité, les Grandes gueules ont le choix, en débattre ou non : Municipales à Paris, gros camouflet pour Hidalgo ! Pub sur les lunettes et audioprothèses, bientôt interdite ? Faire un don à l'État pour alléger la dette, ça vous tente ?
Aujourd'hui, Antoine Diers, Joëlle Dago-Serry et Jérôme Marty débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Le Parti socialiste organise une primaire interne, ce lundi 30 juin, pour désigner son candidat aux prochaines municipales à Paris. Trois figures se démarquent dans la course : Rémi Féraud, Marion Waller, et Emmanuel Grégoire. Une compétition stratégique pour tenter de conserver la capitale. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ferrol ha encarado el fin de semana con dos incidentes significativos que ponen el foco en el estado de sus infraestructuras y la seguridad de sus trabajadores. Un importante socavón en la calle Rubalcava y la agresión a un operario de Urbaser mientras realizaba su trabajo han copado la atención del Concejal de Servicios, José Tomé. Un nuevo socavón abre una brecha en Rubalcava El centro de Ferrol amanecía este viernes con un preocupante hundimiento en la calzada de adoquín de la calle Rubalcava, entre Magdalena y Real. La Policía Local procedió de inmediato a acordonar la zona y cortar el tráfico. Hasta el lugar se desplazaron técnicos de Emafesa para evaluar la magnitud de los daños y coordinar las labores de reparación. El incidente cobra especial relevancia al haberse producido en un tramo donde, hace apenas dos meses, se realizaron trabajos en las redes de aguas residuales y suministro de agua potable, actuaciones que ya habían obligado a cerrar la calle al tráfico durante más de una semana. El Concello de Ferrol cuenta con un proyecto de reurbanización de la calle Rubalcava, con una primera fase de más de un millón de euros. Sin embargo, el tramo afectado por este último hundimiento no está incluido en esta fase inicial, quedando reservado para una segunda etapa aún sin fecha definida. A la preocupación por las infraestructuras se suma la indignación por la agresión sufrida por un operario de la empresa Urbaser en la madrugada del pasado sábado. El trabajador, de 52 años, fue agredido mientras realizaba sus labores de recogida de residuos en la calle Vilarrube, alrededor de las 03:00 horas.Según los primeros datos, un vecino de Narón de 38 años se acercó al operario y lo golpeó sin mediar palabra, provocándole una caída y un fuerte golpe en la cabeza. El trabajador permanece ingresado en la UCI del Chuac de A Coruña con pronóstico grave, aunque estable, debido a diversos golpes y contusiones. El presunto agresor fue detenido una hora después por la Policía Local y, tras pasar a disposición judicial, ha quedado en libertad, aunque está siendo investigado por un delito de agresión. Tanto el gobierno municipal de Ferrol como el comité de empresa de Urbaser han condenado enérgicamente los hechos, expresando su apoyo a la víctima y exigiendo que "todo el peso de la ley caiga sobre el agresor". Este incidente subraya la vulnerabilidad de los trabajadores de servicios esenciales y la necesidad de garantizar su seguridad en el desempeño de sus funciones.
Les Bouches-du-Rhône, le Gard, l'Hérault et les Pyrénées-Orientales sont en vigilance orange canicule. Face à cette chaleur écrasante, la ville de Marseille a décidé la gratuité de ses piscines municipales. Depuis la mi-journée, les Marseillais ne se font pas prier. Ils sont très nombreux à venir se rafraichir.... Ecoutez RTL inside avec Manon Meyer du 27 juin 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ecoutez l'émission du 27 juin 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
En partenariat avec Mag2Lyon, chaque jeudi soir à partir de 18h30 sur BFM LYON, une femme ou un homme politique la métropole lyonnaise est l'invité spécial de BFM LYON pour répondre aux questions d'Hugo Francé
Patrick Balkany prépare sa liste pour les élections municipales de 2026, il se dit prêt à virer la maire actuelle... Tous les jours, retrouvez le meilleur de Laurent Gerra en podcast sur RTL.fr, l'application et toutes vos plateformes. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Plusieurs débats au cœur de l'actualité, les Grandes gueules ont le choix, en débattre ou non : Biarritz, Bayrou fait un aller-retour express en jet privé ; Léa Salamé prend la tête du JT de 20H sur France 2 ; Municipales à Paris, Dati en tête, la gauche très forte.
durée : 00:25:36 - 8h30 franceinfo - Clémence Guetté, députée LFI du Val-de-Marne était l'invité du 8h30 franceinfo du mardi 10 juin 2025
Ereintés par les horaires, la traversée des crises du Covid ou budgétaire, la flambée des prix de l'énergie et la colère des citoyens, certains maires tirent la sonnette d'alarme et font craindre une crise des vocations pour les prochaines municipales de 2026. Dans « La Story », le podcast d'actualité des « Echos », Pierrick Fay et son invité Laurent Thévenin font le point.Retrouvez l'essentiel de l'actualité économique grâce à notre offre d'abonnement Access : abonnement.lesechos.fr/lastory« La Story » est un podcast des « Echos » présenté par Pierrick Fay. Cet épisode a été enregistré en mai 2025. Rédaction en chef : Clémence Lemaistre. Invité : Laurent Thévenin (journaliste spécialiste des collectivités locales aux « Echos »). Réalisation : Nicolas Jean. Chargée de production et d'édition : Michèle Warnet. Musique : Théo Boulenger. Identité graphique : Upian. Photo : Gile Michel/SIPA. Sons : franceinfo, France 24, Ville de Jouy-en-Josas, « Les Bronzés » (1978). Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Gobierno busca reforzar policías municipales con una "limpieza", la Ley de Obras se transforma con más requisitos y menos transparencia y EU pone la inteligencia artificial y el Toluca es el nuevo monarca del futbol mexicano, con Gonzalo Soto y Fernanda Hernández-> Politica y Otros Datos: Johnson, el soldado de Trump en México00:00 Introducción02:02 Gobierno busca reforzar policías municipales, empieza por "limpieza"07:42 La Ley de Obras se transforma con más requisitos y menos transparencia11:06 ¿Cómo es vivir la hambruna en Gaza? El diario de una familia palestina16:15 Estados Unidos pone la IA y el mundo árabe el dinero para desplegarla20:07 El Toluca es el nuevo monarca del futbol mexicano
«Si j’étais une citoyenne de Beauharnois, j’aurais le minou au travers de la gorge» Dépenses d’alcool et de carte de crédit sans surveillance: Beauharnois se fait rappeler à l’ordre par la Commission municipale du Québec. Entrevue avec Sarah-Maude Lefebvre, journaliste au Bureau d’Enquête de Québecor. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radio Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Mercredi, un Conseil de défense et de sécurité nationale s'est réuni à l'Elysée autour d'Emmanuel Macron pour se pencher sur un rapport concernant les Frères musulmans. Un sujet explosif qui a suscité un vif débat sur la scène politique. La gauche pointe du doigt un rapport stigmatisant pour les musulmans de France. Une émission présentée par Marc Perelman.
SE impulsa presencia de México en Japón A proceso a 16 policías municipales de Nacajuca, Tabasco Francia, Reino Unido y Canadá lanzan advertencia a IsraelMás información en nuestro Podcast
En el podcast hablamos de los titulares de la edición 2668 del 16 al 22 de mayo del 2025 del Semanario ZETA.Los Torres investigados en EEUU y México.Estatales y municipales en robos y secuestro. Los detalles en la edición impresa del Semanario ZETA y en nuestro portal www.zetatijuana.com
Los comentarios políticos de Emiliano Cotelo y Romina Androli.
Derrama económica superior a los 3 mil mdp por 10 de mayo para restauranterosContinúa la atención a afectados por el incendio la GAMInfancias migrantes enfrentan múltiples violaciones a sus derechosMás información en nuestro Podcast
En la Cámara de Diputados inscriben en Muro de Honor “a la Comunidad Mexicana Migrante”Aumentará el número de efectivos militares y policiales en TeocalticheEn Suecia mueren tres personas en tiroteoMás información en nuestro Podcast