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Pour cette troisième idée de sortie estivale, direction le Vercors et l'un des plus rares espace naturel sensible du territoire !
Après l'effort, le réconfort ! Qui dit séjour ou week end dit forcément point de chute, hébergement. On a déniché pour vous un superbe gîte écoresponsable !
Ce soir nous prenons la direction des montagnes pour faire un peu de sport ! Découvrir ou redécouvrir une discipline qui se pratique été comme hiver par les experts comme les amateurs !
5300 kilomètres parcourus en 14 mois, c'est le défi que s'est lancé Marc Vieillefon, violoniste professionnel. Parti du village de Heudebouville, en Normandie, le 3 mars 2021, il y retournera à la fin de son périple le 8 juin 2022. En journée, ce "randoloniste" - contraction de randonneur et violoniste - marche sur les chemins et le soir, il joue dans des EHPAD, des conservatoires ou des écoles de musique. La nuit, il dort chez l'habitant. Un voyage qui a également un but humanitaire : lever des fonds pour l'association franco-malgache Zazakély. > Le site pour suivre en direct ce tour de France musical
C'est donc une triangulaire qui sera proposée aux électeurs en Auvergne-Rhône-Alpes dimanche 27 juin pour le second tour des élections régionales : face au président sortant LR Laurent Wauquiez, il y aura une liste du Rassemblement national avec Andréa Kotarac et une liste de gauche, rassemblée, résultat des fusions entre les listes écologiste, socialiste et communiste… Une liste menée par l'écologiste Fabienne Grébert puisque c'est elle qui a obtenu le meilleur score au premier tour avec 14,45 % des voix, devant Najat Vallaud-Belkacem (PS, 11,40 %) et Cécile Cukierman (PCF et LFI, 5,56 %). Après une longue nuit de négociations, Fabienne Grébert est l'invitée du 18/19 régional pour détailler les points d'entente entre les trois listes de gauche.
Faire de son handicap une force, c'est le moteur de Fiona Malagutti. La mucoviscidose dont elle est atteinte ne l'a pas empêchée de traverser l'Amérique Latine et de gravir une montagne bolivienne de la Cordillère des Andes culminant à plus de 6000 mètres d'altitude. Et la semaine dernière, avec l'association qu'elle a créée, « Muco sans frontières », elle a gravi le Mont-Blanc avec deux autres "mucos". Fiona Malagutti raconte tout ce voyage dans son livre « A couper le souffle, une vie de sommets avec la muco » publié aux Editions de la Martinière.
L'exposition créée par le Musée National de l'histoire de l'immigration est actuellement visible au CPA (Centre du Patrimoine Arménien) de Valence et ce jusqu'en août. Jean-Marie Portero vous présente cette semaine des chercheurs venus de toute la France pour une journée d'étude sur le thème de la frontière. L'éxposition "Frontières. Observer les marges pour questionner le monde" est visible jusqu'a 19 août au CPA.
Retrouvez "Je n'ai pas su voir ni entendre" aux éditions Hugo Doc
"J'avais un appareil relié à une clochette. Lui un autre appareil. Nous avons commencé à quelques mètres". Maurice Gay-Balmaz a 10 ans en 1895. Il habite à côté de Guglielmo Marconi, qui est venu passer quelques mois dans les Alpes, à Salvan. L'inventeur embauche le gamin comme assistant, pour porter son récepteiur. Marconi, lui, se poste sur un promontoire naturel du village, la pierre Bergère. MARCONI RÉUSSIT DANS LE VILLAGE SUISSE LA PREMIÈRE TRANSMISSION TÉLÉGRAPHIE SANS FIL D'UN MILE "Les scientifiques de l'époque ne connaissaient pas grand chose aux ondes. Et ils pensaient que si elles existaient, la zone de réception devait être visible depuis la zone d'émission" raconte Yves Fournier, président de la fondation Marconi de Salvan. En quelques semaines, à force d'expérimentations, Guglielmo Marconi réussit dans le village Suisse la première transmission Télégraphie Sans Fil d'un mile. Tout cela grâce à des inventions pré-existantes que lui, titulaire d'aucun diplôme, a eu l'idée d'associer. A LA DÉCOUVERTE DE MARCONI, DE LA TSF ET DE SON FORMIDABLE DÉVELOPPEMENT. C'est ainsi qu'un petit village des Alpes Suisses est entré dans la grande histoire des télécommunications. Une histoire à découvrir au musée de la fondation Marconi, à Salvan. C'est ce musée et ce joli village que nous visitons. A la découverte de Marconi, de la TSF et de son formidable développement.
"J'avais un appareil relié à une clochette. Lui un autre appareil. Nous avons commencé à quelques mètres". Maurice Gay-Balmaz a 10 ans en 1895. Il habite à côté de Guglielmo Marconi, qui est venu passer quelques mois dans les Alpes, à Salvan. L'inventeur embauche le gamin comme assistant, pour porter son récepteiur. Marconi, lui, se poste sur un promontoire naturel du village, la pierre Bergère. MARCONI RÉUSSIT DANS LE VILLAGE SUISSE LA PREMIÈRE TRANSMISSION TÉLÉGRAPHIE SANS FIL D'UN MILE "Les scientifiques de l'époque ne connaissaient pas grand chose des ondes. Et ils pensaient que si elles existaient, la zone de réception devait être visible depuis la zone d'émission" raconte Yves Fournier, président de la fondation Marconi de Salvan. En quelques semaines, à force d'expérimentations, Guglielmo Marconi réussit dans le village Suisse la première transmission Télégraphie Sans Fil d'un mile. Tout cela grâce à des inventions pré-existantes que lui, titulaire d'aucun diplôme, a eu l'idée d'associer. A LA DÉCOUVERTE DE MARCONI, DE LA TSF ET DE SON FORMIDABLE DÉVELOPPEMENT. C'est ainsi qu'un petit village des Alpes Suisses est entré dans la grande histoire des télécommunications. Une histoire à découvrir au musée de la fondation Marconi, à Salvan. C'est ce musée et ce joli village que nous découvrons toute cette semaine dans le feuilleton. A la découverte de Marconi, de la TSF et de son formidable développement.
"J'avais un appareil relié à une clochette. Lui un autre appareil. Nous avons commencé à quelques mètres". Maurice Gay-Balmaz a 10 ans en 1895. Il habite à côté de Guglielmo Marconi, qui est venu passer quelques mois dans les Alpes, à Salvan. L'inventeur embauche le gamin comme assistant, pour porter son récepteiur. Marconi, lui, se poste sur un promontoire naturel du village, la pierre Bergère. MARCONI RÉUSSIT DANS LE VILLAGE SUISSE LA PREMIÈRE TRANSMISSION TÉLÉGRAPHIE SANS FIL D'UN MILE "Les scientifiques de l'époque ne connaissaient pas grand chose des ondes. Et ils pensaient que si elles existaient, la zone de réception devait être visible depuis la zone d'émission" raconte Yves Fournier, président de la fondation Marconi de Salvan. En quelques semaines, à force d'expérimentations, Guglielmo Marconi réussit dans le village Suisse la première transmission Télégraphie Sans Fil d'un mile. Tout cela grâce à des inventions pré-existantes que lui, titulaire d'aucun diplôme, a eu l'idée d'associer. A LA DÉCOUVERTE DE MARCONI, DE LA TSF ET DE SON FORMIDABLE DÉVELOPPEMENT. C'est ainsi qu'un petit village des Alpes Suisses est entré dans la grande histoire des télécommunications. Une histoire à découvrir au musée de la fondation Marconi, à Salvan. C'est ce musée et ce joli village que nous découvrons toute cette semaine dans le feuilleton. A la découverte de Marconi, de la TSF et de son formidable développement.
"J'avais un appareil relié à une clochette. Lui un autre appareil. Nous avons commencé à quelques mètres". Maurice Gay-Balmaz a 10 ans en 1895. Il habite à côté de Guglielmo Marconi, qui est venu passer quelques mois dans les Alpes, à Salvan. L'inventeur embauche le gamin comme assistant, pour porter son récepteiur. Marconi, lui, se poste sur un promontoire naturel du village, la pierre Bergère. MARCONI RÉUSSIT DANS LE VILLAGE SUISSE LA PREMIÈRE TRANSMISSION TÉLÉGRAPHIE SANS FIL D'UN MILE "Les scientifiques de l'époque ne connaissaient pas grand chose des ondes. Et ils pensaient que si elles existaient, la zone de réception devait être visible depuis la zone d'émission" raconte Yves Fournier, président de la fondation Marconi de Salvan. En quelques semaines, à force d'expérimentations, Guglielmo Marconi réussit dans le village Suisse la première transmission Télégraphie Sans Fil d'un mile. Tout cela grâce à des inventions pré-existantes que lui, titulaire d'aucun diplôme, a eu l'idée d'associer. A LA DÉCOUVERTE DE MARCONI, DE LA TSF ET DE SON FORMIDABLE DÉVELOPPEMENT. C'est ainsi qu'un petit village des Alpes Suisses est entré dans la grande histoire des télécommunications. Une histoire à découvrir au musée de la fondation Marconi, à Salvan. C'est ce musée et ce joli village que nous découvrons toute cette semaine dans le feuilleton. A la découverte de Marconi, de la TSF et de son formidable développement.
"J'avais un appareil relié à une clochette. Lui un autre appareil. Nous avons commencé à quelques mètres". Maurice Gay-Balmaz a 10 ans en 1895. Il habite à côté de Guglielmo Marconi, qui est venu passer quelques mois dans les Alpes, à Salvan. L'inventeur embauche le gamin comme assistant, pour porter son récepteiur. Marconi, lui, se poste sur un promontoire naturel du village, la pierre Bergère. MARCONI RÉUSSIT DANS LE VILLAGE SUISSE LA PREMIÈRE TRANSMISSION TÉLÉGRAPHIE SANS FIL D'UN MILE" "Les scientifiques de l'époque ne connaissaient pas grand chose des ondes. Et ils pensaient que si elles existaient, la zone de réception devait être visible depuis la zone d'émission" raconte Yves Fournier, président de la fondation Marconi de Salvan. En quelques semaines, à force d'expérimentations, Guglielmo Marconi réussit dans le village Suisse la première transmission Télégraphie Sans Fil d'un mile. Tout cela grâce à des inventions pré-existantes que lui, titulaire d'aucun diplôme, a eu l'idée d'associer. A LA DÉCOUVERTE DE MARCONI, DE LA TSF ET DE SON FORMIDABLE DÉVELOPPEMENT. C'est ainsi qu'un petit village des Alpes Suisses est entré dans la grande histoire des télécommunications. Une histoire à découvrir au musée de la fondation Marconi, à Salvan. C'est ce musée et ce joli village que nous découvrons toute cette semaine dans le feuilleton. A la découverte de Marconi, de la TSF et de son formidable développement.
"J'avais un appareil relié à une clochette. Lui un autre appareil. Nous avons commencé à quelques mètres". Maurice Gay-Balmaz a 10 ans en 1895. Il habite à côté de Guglielmo Marconi, qui est venu passer quelques mois dans les Alpes, à Salvan. L'inventeur embauche le gamin comme assistant, pour porter son récepteiur. Marconi, lui, se poste sur un promontoire naturel du village, la pierre Bergère. Marconi réussit dans le village Suisse la première transmission Télégraphie Sans Fil d'un mile "Les scientifiques de l'époque ne connaissaient pas grand chose des ondes. Et ils pensaient que si elles existaient, la zone de réception devait être visible depuis la zone d'émission" raconte Yves Fournier, président de la fondation Marconi de Salvan. En quelques semaines, à force d'expérimentations, Guglielmo Marconi réussit dans le village Suisse la première transmission Télégraphie Sans Fil d'un mile. Tout cela grâce à des inventions pré-existantes que lui, titulaire d'aucun diplôme, a eu l'idée d'associer. A la découverte de Marconi, de la TSF et de son formidable développement. C'est ainsi qu'un petit village des Alpes Suisses est entré dans la grande histoire des télécommunications. Une histoire à découvrir au musée de la fondation Marconi, à Salvan. C'est ce musée et ce joli village que nous découvrons toute cette semaine dans le feuilleton. A la découverte de Marconi, de la TSF et de son formidable développement.
C'est un petit bijou émeraude, verdoyant, habité par quelques rares privilégiés et situé dans le 9e arrondissement de Lyon. Les lyonnais se promènent sur l'île Barbe le dimanche, les boulistes aiment profiter de la fraîcheur de ses arbres centenaires, tout cela dans la partie publique de l'île qui est accessible à tous. De l'autre côté des grilles, dans la partie privée, se cachent 2 000 ans d'histoire fascinante. Des Celtes, à l'implantation d'une des premières abbayes de Gaule. Notre journaliste Charlotte Mongibeaux visite l'île Barbe en compagnie d'un guide passionné, Gilles Berrodier, et d'une habitante de l'île propriétaire de la chapelle Notre-Dame, une chapelle fondée au XIIe siècle.
"Attention, vous marchez sur la frontière, vous avez votre passeport ?" sourit Jean Plançon, gardien du cimetière israélite de Veyrier. La ligne est en effet matérialisée par une petite borne, discrète, au milieu des sépultures. Pour comprendre cette singularité, retour en 1920. A cette époque, le cimetière juif de Carouge arrive à saturation. Et les lois sur la laïcité empêchent la construction de cimetières privés confessionnels : pas d'extension possible en Suisse. C'est en France que la communauté juive trouve une solution. Aujourd'hui, 70% de la surface du cimetière se trouve sur le sol français. L'architecte du palais des nations Le cimetière israélite : Un lieu de mémoire et de patrimoine ! Le centre funéraire, construit en 1930 côté helvétique, est imaginé par Julien Flegenheimer : architecte de la gare Cornavin et du Palais des Nations, à Genève. Son oratoire reçoit plus tard un sublime vitrail. Puis on ajoutera des pierres de Jérusalem à la façade. Un site qui va jouer un rôle dans l'histoire du XXème siècle. Et notamment pendant la Seconde Guerre mondiale. Bien des juifs passeront en Suisse après s'être cachés dans l'oratoire. "Passionné d'histoire, ce site me fascine. Et j'aime le faire partager!" témoigne Jean Plançon. Le gardien guide régulièrement les visiteurs qui souhaitent découvrir ce lieu, hors des sentiers battus.