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Tous les matins, à 7h10, RMC s'engage pour vous. Amélie Rosique et la rédaction de RMC trouvent des solutions aux questions et problèmes du quotidien des auditeurs. Envoyez vos messages par e-mail: rmcpourvous@rmc.fr. La matinale 100% opinions et auditeurs 3ème saison pour Apolline de Malherbe aux commandes d'Apolline Matin. Cette année, de nouvelles voix viennent rejoindre l'équipe. L'humoriste Arnaud Demanche viendra chaque matin dialoguer avec les auditeurs à 7h20 (le « 3216 d'Arnaud Demanche ») et proposera un billet d'humeur grinçant et piquant à 8h20 (« Vivement Demanche ») ! Marguerite Dumont aux journaux et Amélie Rosique pour la chronique « RMC s'engage pour vous » rejoindront également l'équipe d'Apolline Matin pour une matinale 100% info, engagée et d'opinions.
durée : 00:14:47 - Journal de 22h - Selon l'AFP, le Secrétaire général de l'Élysée est soupçonné d'avoir participé à des réunions concernant l'armateur MSC. - invités : Maxime Guesnon doctorant à l'EHESS, au Centre Alexandre-Koyré
durée : 00:14:47 - Journal de 22h - Selon l'AFP, le Secrétaire général de l'Élysée est soupçonné d'avoir participé à des réunions concernant l'armateur MSC. - invités : Maxime Guesnon doctorant à l'EHESS, au Centre Alexandre-Koyré
La rencontre Gibeault-Dutrizac avec Nicole Gibeault : crise généralisée du système judiciaire. Appel de la décision sur l'interpellation policière. Hydro-Québec et l'espionnage.Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
C'est une réalité insupportable. Depuis le début de l'année, dans notre pays, 118 femmes ont été tuées par leurs conjoints ou ex-conjoint, chiffre terrifiant fourni par le collectif « Féminicide par Compagnon ou Ex ». Dans la Maison des maternelles, nous avons voulu savoir ce que deviennent les enfants de ces femmes, des enfants souvent témoins et victimes d'une violence inouïe… Virginie a 45 ans et est maman de 2 enfants, Camille (19 ans) et Arthur (17 ans). En 1993, son père a assassiné sa mère Marie-Noëlle ainsi que sa sœur aînée Stéphanie. Elle avait 15 ans au moment des faits et sa petite sœur 11 ans, elles ont été séparées, placées chez des oncles lointains, sans repères et sans aucune prise en charge psychologique. Mélanie Dupont, psychologue à l'Unité Médico Judiciaire de l'Hôtel-Dieu à Paris et également la présidente de l'association Contre les Violences sur Mineurs (CVM) répond aux questions sur le sujet.
Comédie, Thriller, Judiciaire
Comment racheter une entreprise en redressement judiciaire ? - Retrouvez la chronique Conseils de Famille avec Century 21
durée : 00:28:45 - Le Feuilleton - Profitant des faux billets signés à paris par Lucien, les frères Cointet lancent une poursuite judiciaire contre David Séchard et le poussent à la faillite.
Le corps de la jeune Angélique Dumetz est retrouvé au fond d'un fossé à Compiègne en 1996. Elle venait de fêter son 19ème anniversaire dans une boîte de nuit avant de se faire violer puis égorger. À l'époque, les fichiers d'empreintes génétiques n'existent pas en France, à contrario des Etats-Unis et de l'Angleterre. Ainsi débute quinze années de combat pour la mère d'Angélique, Marie-Pierre, qui compte bien changer le système d'investigation policier français. Interviews, manifestations, rencontres avec des spécialistes judiciaires et politiques, Marie-Pierre tente tout. En 1998, le fichier national automatisé des empreintes génétiques, renforçant à jamais le système judiciaire.
De mémoire de flic, c'est une contestation jamais vue. Rarement les policiers, magistrats, avocats n'ont été vent debout d'une manière aussi catégorique et unitaire contre une réforme. Il faut dire que le projet du ministre de l'Intérieur et de Macron, provoque de vives inquiétudes : ils prévoient de placer tous les services de police d'un département sous l'autorité d'un seul directeur départemental de la police nationale. Un “DDPN” qui dépendrait directement du préfet. Donc de l'exécutif et de sa politique du chiffre. En tête de la mobilisation, les enquêteurs de la PJ - la police judiciaire. Si ce texte a comme objectif affiché de “désengorger les commissariats”, la PJ craint d'en être réduite à des affaires de délinquance quotidienne : rodéos urbains, petits larcins, etc… Elle qui, héritée de l'esprit des Brigades du Tigre instaurées par Georges Clemenceau en 1907, doit s'occuper de la criminalité organisée, des délinquants en col-blanc. Bref, sur le fond, la réforme ne passe pas. Mais la fronde contre Darmanin est d'autant plus grande que la forme pose elle aussi problème : les policiers dénoncent un manque de “concertation”, pire une réforme “autoritaire”. Il faut dire que le récent mais néanmoins très brutal limogeage d'Eric Arella, patron de la Police Judiciaire du Sud, reste en travers de la gorge de nombreux policiers. Coupable selon sa hiérarchie de « déloyauté », après une “haie de déshonneur” dans les couloirs du siège de la PJ de Marseille, durant laquelle 200 enquêteurs, bras croisés, têtes baissées, ont réservés un accueil glaciale à Frédéric Veaux, grand patron de la police nationale (DGPN) et promoteur de cette réforme. Pour évoquer cette fronde, nous recevons Anthony Caillé, secrétaire de la CGT- Intérieur-police. ▶ Soutenez Le Média :
Thomas Prouteau est le chef du service Police Justice de RTL Ecoutez L'invité de RTL Midi avec Céline Landreau et Pascal Praud du 11 octobre 2022
Bienvenue dans ce nouvel épisode de podcast présenté par ANAIS et qui concerne le divorce judiciaire !
Thomas Prouteau est le chef du service Police Justice de RTL Ecoutez L'invité de RTL Midi avec Céline Landreau et Pascal Praud du 11 octobre 2022
Retrouvez l'actualité et les débats de nos Vraies Voix, Philippe Bilger, Françoise Degois et Guillaume Rivalland
durée : 00:04:28 - Le Billet politique - par : Jean Leymarie - La réforme de la police judiciaire s'enlise. Au sein de la PJ, la colère monte. Le ministre de l'Intérieur défend sa réforme. Au risque d'écorner son image ?
La grogne des policiers et magistrats monte contre la réforme de la police judiciaire. Le ministre de l'Interieur Gérald Darmanin qualifie la réforme de difficile, indispensable et courageuse. Cela fait plusieurs semaines que la grogne monte. Dernier épisode en date, le limogeage du chef de la PJ marseillaise. Ses équipes avaient manifesté leur mécontentement lors de la visite du directeur général de la police nationale la veille.
Avec Thomas, vice President de l'association Nationale de la Police Judiciaire et Frédéric Macé, secrétaire général de l'AFMI, association française des magistrats instructeurs. Retrouvez Bercoff dans tous ses états avec André Bercoff et Hala Oukili, [...]
Tous les matins à 7h55, Nicolas Poincaré propose sur RMC une chronique pédagogique mais personnelle sur une actualité du jour. La matinale 100% opinions et auditeurs 3ème saison pour Apolline de Malherbe aux commandes d'Apolline Matin. Cette année, de nouvelles voix viennent rejoindre l'équipe. L'humoriste Arnaud Demanche viendra chaque matin dialoguer avec les auditeurs à 7h20 (le « 3216 d'Arnaud Demanche ») et proposera un billet d'humeur grinçant et piquant à 8h20 (« Vivement Demanche ») ! Marguerite Dumont aux journaux et Amélie Rosique pour la chronique « RMC s'engage pour vous » rejoindront également l'équipe d'Apolline Matin pour une matinale 100% info, engagée et d'opinions.
durée : 00:15:12 - Journal de 8 h - La colère monte au sein de la police judiciaire. Plusieurs manifestations étaient organisées vendredi, après l'éviction du patron de la PJ dans le sud Eric Arella. L'institution s'indigne et rejette aussi le projet de réforme voulu que lui réserve Beauvau.
Le patron de la police judiciaire (PJ) de la zone sud, Éric Arella, a été démis de ses fonctions, au lendemain d'une manifestation des policiers de la PJ à Marseille. Le 6 octobre, Frédéric Veaux, le directeur général de la police nationale, est à Marseille pour présenter le projet de réforme de la police. À l'issue d'une réunion avec les chefs de service, dont Éric Arella, 200 à 250 fonctionnaires de la PJ ont fait une haie silencieuse et inquisitrice. Vendredi 7 octobre, la réponse est froidement tombée, Éric Arella est démis de ses fonctions et placardisé comme chargé de mission à la direction de la police nationale. À l'origine de ces manifestations, l'opposition des membres de la police judiciaire à une réforme voulue par le ministère de l'Intérieur, leur autorité de tutelle.
durée : 00:15:12 - Journal de 8 h - La colère monte au sein de la police judiciaire. Plusieurs manifestations étaient organisées vendredi, après l'éviction du patron de la PJ dans le sud Eric Arella. L'institution s'indigne et rejette aussi le projet de réforme voulu que lui réserve Beauvau.
durée : 00:55:58 - franceinfo: Les informés - par : Jean-François ACHILLI, Olivier Delagarde - Autour de Jean-François Achilli, les informés débattent de l'actualité du vendredi 7 octobre.
durée : 00:15:18 - FOCUS. La crise à la police judiciaire
L'arrestation, en 1976, de Jean-Louis Jeanmaire, un ancien haut-gradé de l'armée, crée un choc en Suisse. L'homme est accusé d'avoir livré durant seize ans des renseignements militaires à l'Union Soviétique. Dès lors, la justice militaire se met en branle. Après un procès à huis-clos, Jean-Louis Jeanmaire est condamné à dix-huit ans de prison. Mais, même derrière les barreaux, l'ex-brigadier n'a pas fini de faire parler de lui. Recherches et écriture : Sophie Meyer Réalisation : Thierry Châtel Narration : Sophie Richard Production : Grégoire Molle
Hier, relate Sud-Ouest, « les Français ont appris que le ministre de la Justice, Eric Dupont-Moretti était renvoyé devant la Cour de justice de la République, puisque le très fidèle et irremplaçable bras droit du chef de l'État, Alexis Kohler, avait été mis en examen la semaine dernière, lui aussi pour prise illégale d'intérêts. Deux premières d'un coup. » Finalement, pour ce qui concerne le garde des Sceaux, « pas de surprise, relève Libération, mais toujours une forme d'incompréhension et même de l'inquiétude. Le renvoi d'Éric Dupond-Moretti devant la Cour de justice de la République était attendu. Son pourvoi en cassation l'était tout autant. Comme la confirmation du côté de l'Élysée que la jurisprudence qui a longtemps voulu qu'un ministre mis en examen quitte ses fonctions appartient bel et bien au passé. Pas de surprises, donc, mais à l'arrivée une situation inédite, s'exclame Libération : jamais un ministre de la Justice n'avait fait l'objet d'un renvoi devant la CJR. Avouez que c'est plus que baroque, pointe encore le journal, et assez peu en phase avec le concept de sérénité qu'on accole normalement à l'idée de justice et à ceux qui la représentent. C'est d'ailleurs le vrai problème de cette histoire et l'objet de l'inquiétude de beaucoup. Le niveau de tensions et de défiance entre les magistrats, leur ministre et le pouvoir exécutif n'a jamais atteint un tel niveau. » Vent mauvais ? « République exemplaire : le serment d'hypocrites », dénonce pour sa part La Charente Libre. « C'est l'histoire d'un ministre de la Justice et d'un vice-président. Ils devaient régner sur une République exemplaire promise par leur patron. Ce lundi, la République exemplaire annoncée en 2017 s'effrite tel un bloc submergé par les vents mauvais, marées judiciaires et rafales de mises en examen. (…) On ne mesure pas l'effet de ce poison lent qui gangrène notre démocratie, fulmine encore La Charente Libre, avec l'appui assumé d'Emmanuel Macron. À son arrivée en 2017, les mis en examen devaient renoncer à leur poste au sein de l'exécutif. (…) À partir de 2021, changement de pied du Président : quand la justice s'intéresse de trop près à ses proches, c'est parce qu'elle veut s'attaquer à lui à travers eux. » Alors, attention, prévient le quotidien charentais, « à force de présenter la justice comme un adversaire et non un pilier de la République, pourquoi les Français ne reprendraient pas l'exemple d'en haut pour suivre les politiques les plus extrêmes qui font d'autres piliers républicains des dangers, à commencer par l'État de droit ? » Prendre ses distances avec le travail : un luxe ? À la Une du Figaro, ce constat : « les Français et le travail : le grand bouleversement » « Quête de sens, rejet de la hiérarchie, volonté de privilégier sa vie personnelle… Depuis le début de la crise sanitaire et l'émergence du télétravail, un salarié sur trois, selon une enquête Ipsos, a changé son plan de carrière. Et un salarié sur quatre, révèle un autre sondage, envisage de démissionner prochainement. » C'est vrai, reconnait Le Figaro, « la valeur travail, que Macron et la droite veulent réhabiliter, n'a plus la cote. Elle la retrouvera d'autant moins, commente le journal, que gauche et syndicats réunis, qui la défendaient bec et ongles, y sont désormais quasiment tous foncièrement hostiles, lui préférant le droit à la paresse. » Et Le Figaro de prévenir : « il faut tout le confort de notre société d'abondance et de notre modèle social sans équivalent pour s'autoriser cette prise de distance avec l'effort et les contraintes professionnelles. Mais la France et l'Occident ne sont pas seuls au monde. Ailleurs, d'autres n'ont pas ce luxe. Sans états d'âme, ils accélèrent et nous défient. Il faudra bien se réveiller avant qu'il soit trop tard. » Brésil : le populisme a de beaux jours devant lui… Enfin, la présidentielle au Brésil, avec finalement un second tour entre Lula et Bolsonaro… « Le populisme a de beaux jours devant lui, relève La Croix. Coriace, il engage ceux qui le combattent dans une guerre totale et asymétrique. Comme Donald Trump, Jair Bolsonaro ne recule devant aucun bobard, aucune foucade, il joue sans vergogne des failles du système informationnel pour installer ses supporteurs dans des réalités parallèles, où l'Amazonie ne brûle pas, où le climat ne se réchauffe pas, où le Covid ne tue pas. Où les élections perdues sont gagnées. Cela fonctionne auprès d'une part importante de la population brésilienne. Ce qui n'augure rien de bon, conclut La Croix, pour le lendemain du second tour, quel qu'en soit le résultat. »
durée : 00:58:41 - Avec philosophie - par : Géraldine Muhlmann - Le mouvement #MeToo a révélé certaines insuffisances du droit pénal. La sanction pénale ne suffit pas à encadrer les délits et crimes sexuels et sexistes. Comment donc repenser et transformer le droit pénal ? - invités : Philippe Audegean professeur de philosophie à l'université de Nice; Emeline Fourment Maîtresse de conférence en science politique à l'Université de Rouen, et co-coordinatrice du réseau de recherche VisaGe sur les violences fondées sur le genre
durée : 00:28:45 - Le Feuilleton - Profitant des faux billets signés à paris par Lucien, les frères Cointet lancent une poursuite judiciaire contre David Séchard et le poussent à la faillite.
Ce mercredi 28 septembre dans cette nouvelle "Règle d'or", l'avocate de l'émission Anne-Claire Moser explique quelles sont les conditions pour percevoir son salaire lorsque son entreprise est placée sous liquidation judicaire. Tous les jours, retrouvez en podcast les meilleurs moments de l'émission "Ça peut vous arriver", sur RTL.fr et sur toutes vos plateformes préférées.
D'où vient l'argent avec lequel l'opposant gabonais Guy Nzouba-Ndama a traversé la frontière entre le Congo et le Gabon ? L'affaire déchaîne les passions à Libreville, mais aussi à Brazzaville. Des voix s'élèvent au sein de la société civile congolaise pour demander des explications aux autorités. Parmi ces voix, celle de Joe Washington Ebina qui estime que « c'est un scandale, une indifférence à la misère des Congolais ». Il est ce matin notre invité, au téléphone avec Laurent Correau. RFI : Qu'avez-vous ressenti en voyant l'opposant gabonais Guy Nzouba-Ndama quitter le territoire congolais avec l'équivalent de 2 millions d'euros en petites coupures ? Joe Washington Ebina : J'ai pensé à une population qui souffrait. J'ai pensé à une réalité congolaise qui est désastreuse. C'est incroyable de concevoir que les autorités congolaises nous parlent au quotidien d'une crise financière. Ils nous disent entreprendre des accords avec la Banque mondiale et autres pour chercher des fonds. Il n'y a même pas d'ambulances dans les villages. Il n'y a même pas de centre de dialyse qui coûte à peine 150 à 200 millions. Et l'on voit un individu qui sort, comme ça, sans explications. Pour nous, c'est un scandale. Finalement, c'est une indifférence à la misère des Congolais. Qu'est-ce qui vous fait penser que Guy Nzouba Ndama a pu toucher cet argent des autorités congolaises ? Cet argent est une somme très importante. Aujourd'hui, être capable de sortir autant d'argent et sans être inquiété, parce qu'il faut aussi avoir aussi une certaine assurance de sortir avec autant d'argent, avec des valises d'argent. Donc c'est justement le transfert d'argent qui pose problème. Dans le fond, nous sommes sûrs que les banques congolaises font ce genre de transaction surement régulièrement, presque au moins tous les jours. Mais cette manière de sortir de l'argent, avec des valises d'argent, sur des routes, comme ça. Avec quelle sécurité ? Avec quelle assurance ? Cela pose problème. D'où vient cet argent ? Si ça sort du Trésor Public congolais, nous devons le savoir Guy Nzouba Ndama a été entendu par le procureur de Franceville au Gabon. Il est notamment accusé d'intelligence avec une puissance étrangère. Y a-t-il des choses qui doivent être clarifiées côté congolais ? Obligatoirement, cet argent vient du Congo. Cela fait déjà quatre jours, mais le gouvernement congolais n'a pas donné d'explication. Nous demandons qu'il y ait une explication du gouvernement. Parce qu'il faut expliquer à ces pauvres Congolais, à ces retraités qui ne touchent pas leur pension pourquoi il y a autant d'argent qui circule pendant qu'eux n'arrivent pas à vivre correctement. C'est un scandale pour nous. Et nous demandons qu'il y ait une explication judiciaire à ce sujet. Je crois que les Congolais, qui sont d'abord les premiers concernés, doivent savoir d'où vient cet argent. Au niveau du Gabon, ils ont leur travail à faire, mais cela nous importe très peu parce que, la vérité doit venir de l'origine de l'argent. D'où vient cet argent ? Si ça sort du Trésor Public congolais, nous devons le savoir. Guy Nzouba Ndama, lui, dit qu'il s'agit d'argent qu'il aurait gagné pendant l'époque où il était aux affaires au Gabon. La manière de transférer cet argent est une manière qui n'est pas crédible, qui est floue. Pour nous, si cette justification doit être légale, elle doit donc passer par des institutions financières reconnues. À ce moment-là, il n'y a aucun problème. Mais conduire de l'argent de la sorte, transporter de l'argent sur les routes des deux pays de la sorte, pour nous, cela montre justement qu'il y a un problème. Nous voulons que les autorités de Brazzaville nous expliquent pourquoi et comment. Il faut donner des explications à notre peuple qui souffre au quotidien. Vous savez, au Congo-Brazzaville, il y a beaucoup de gens qui n'arrivent pas à obtenir des passeports, simplement des cartons de passeports. Parce que l'on dit qu'il n'y a pas d'argent. Parce que l'on dit qu'il n'y a pas les machines. Mais cet argent aurait pu servir à énormément de situations, ici, au Congo. Mais qu'est-ce qui aurait pu pousser le président Sassou-Nguesso à financer un opposant gabonais ? Quelles sont les relations entre les deux chefs d'État ? Le climat a-t-il changé depuis les liens familiaux qui étaient forts entre le président Sassou-Nguesso et Omar Bongo ? Nous n'avons évidement pas les informations, je crois qu'il faudrait lui demander. Les relations internes entre les deux présidents ou entre la famille présidentielle et tout le reste, ce sont des relations, malheureusement, qui ne nous concernent pas à l'heure actuelle. Dans cette affaire, la surprise de certains n'est-elle pas hypocrite ? La circulation des valises pour financer les oppositions des pays voisins n'est-elle pas une vieille histoire dans la région ? Oui, les populations ne sont pas dupes. Tout le monde sait que c'est une vieille histoire, mais il y a une fin à toute chose. Nous sommes heureux de constater que, pour la première fois, il y a une visibilité sur un scandale. Les populations arrivent aujourd'hui à constater qu'il y a un jeu qui se fait, qu'il y a une réalité que nous ne voyons pas. Je crois que c'est aujourd'hui, une réalité qui est visible. Le président de la République est en fonction depuis plus de 40 ans donc, imaginez ce genre de trafic qui existe depuis de longues années. C'est inadmissible, incompréhensible. Donc, des explications doivent être fournies pour au moins apaiser et faire comprendre à tous ces étudiants congolais qui sont à Cuba, qui n'arrivent même pas à toucher plus qu'un peu d'argent pour survivre. Le Monde a beaucoup changé, les règles de transparence ne sont plus les mêmes.
C'est un document exceptionnel que « Faites entrer l'accusé » livre, avec cet opus, puisqu'il réunit tous les hommes qui ont, à la tête de la police judiciaire, du renseignement, de l'antiterrorisme ou de la magistrature, conduit la traque éclair qui a permis d'arrêter Mohamed Merah. En mars 2012, le terroriste a réveillé une peur que la France avait oubliée, depuis les derniers attentats du GIA, en 1995. Vêtu de noir, monté sur un scooter, il a tué 7 fois, à Toulouse et à Montauban. Trois militaires, trois enfants et un père de famille juifs ont succombé sous ses balles. Des crimes que Merah a filmés intégralement, pour mieux les revendiquer. Cet épisode retrace une traque de 10 jours, et 30 heures de siège, que les plus hautes instances de la police judicaire, du renseignement et de l'antiterrorisme ont accepté de raconter, heure par heure avec le récit de Amaury de Hauteclocque, chef du RAID entre 2007 et 2012. Mais aussi les témoignages de Me Samia Maktouf et de Me Béatrice Dubreuil, respectivement avocates des familles, de deux victimes militaires, Ibn-Ziaten et Chennouf. La parole sera donnée aux proches des victimes, avec Samuel et Myriam Sandler qui ont perdu leur fils Jonathan, assassiné avec ses deux jeunes enfants devant l'école juive Ozar Hatorah.
C'est un document exceptionnel que « Faites entrer l'accusé » livre, avec cet opus, puisqu'il réunit tous les hommes qui ont, à la tête de la police judiciaire, du renseignement, de l'antiterrorisme ou de la magistrature, conduit la traque éclair qui a permis d'arrêter Mohamed Merah. En mars 2012, le terroriste a réveillé une peur que la France avait oubliée, depuis les derniers attentats du GIA, en 1995. Vêtu de noir, monté sur un scooter, il a tué 7 fois, à Toulouse et à Montauban. Trois militaires, trois enfants et un père de famille juifs ont succombé sous ses balles. Des crimes que Merah a filmés intégralement, pour mieux les revendiquer. Cet épisode retrace une traque de 10 jours, et 30 heures de siège, que les plus hautes instances de la police judicaire, du renseignement et de l'antiterrorisme ont accepté de raconter, heure par heure avec le récit de Amaury de Hauteclocque, chef du RAID entre 2007 et 2012. Mais aussi les témoignages de Me Samia Maktouf et de Me Béatrice Dubreuil, respectivement avocates des familles, de deux victimes militaires, Ibn-Ziaten et Chennouf. La parole sera donnée aux proches des victimes, avec Samuel et Myriam Sandler qui ont perdu leur fils Jonathan, assassiné avec ses deux jeunes enfants devant l'école juive Ozar Hatorah.
C'est un document exceptionnel que « Faites entrer l'accusé » livre, avec cet opus, puisqu'il réunit tous les hommes qui ont, à la tête de la police judiciaire, du renseignement, de l'antiterrorisme ou de la magistrature, conduit la traque éclair qui a permis d'arrêter Mohamed Merah. En mars 2012, le terroriste a réveillé une peur que la France avait oubliée, depuis les derniers attentats du GIA, en 1995. Vêtu de noir, monté sur un scooter, il a tué 7 fois, à Toulouse et à Montauban. Trois militaires, trois enfants et un père de famille juifs ont succombé sous ses balles. Des crimes que Merah a filmés intégralement, pour mieux les revendiquer. Cet épisode retrace une traque de 10 jours, et 30 heures de siège, que les plus hautes instances de la police judicaire, du renseignement et de l'antiterrorisme ont accepté de raconter, heure par heure avec le récit de Amaury de Hauteclocque, chef du RAID entre 2007 et 2012. Mais aussi les témoignages de Me Samia Maktouf et de Me Béatrice Dubreuil, respectivement avocates des familles, de deux victimes militaires, Ibn-Ziaten et Chennouf. La parole sera donnée aux proches des victimes, avec Samuel et Myriam Sandler qui ont perdu leur fils Jonathan, assassiné avec ses deux jeunes enfants devant l'école juive Ozar Hatorah.
C'est un document exceptionnel que « Faites entrer l'accusé » livre, avec cet opus, puisqu'il réunit tous les hommes qui ont, à la tête de la police judiciaire, du renseignement, de l'antiterrorisme ou de la magistrature, conduit la traque éclair qui a permis d'arrêter Mohamed Merah. En mars 2012, le terroriste a réveillé une peur que la France avait oubliée, depuis les derniers attentats du GIA, en 1995. Vêtu de noir, monté sur un scooter, il a tué 7 fois, à Toulouse et à Montauban. Trois militaires, trois enfants et un père de famille juifs ont succombé sous ses balles. Des crimes que Merah a filmés intégralement, pour mieux les revendiquer. Cet épisode retrace une traque de 10 jours, et 30 heures de siège, que les plus hautes instances de la police judicaire, du renseignement et de l'antiterrorisme ont accepté de raconter, heure par heure avec le récit de Amaury de Hauteclocque, chef du RAID entre 2007 et 2012. Mais aussi les témoignages de Me Samia Maktouf et de Me Béatrice Dubreuil, respectivement avocates des familles, de deux victimes militaires, Ibn-Ziaten et Chennouf. La parole sera donnée aux proches des victimes, avec Samuel et Myriam Sandler qui ont perdu leur fils Jonathan, assassiné avec ses deux jeunes enfants devant l'école juive Ozar Hatorah.
Frédéric Veaux, directeur général de la Police nationale, répond aux questions de Dimitri Pavlenko. Ensemble, ils reviennent sur la réforme de l'organisation de la Police nationale.
Avec : Christophe Korell, ancien enquêteur de la PJ et auteur de "La PJ est-elle morte ?". - Chaque matin, RMC reçoit un invité au cœur de l'actualité. Hommes et femmes de la classe politique et économique répondent aux questions sans détour du journaliste. Chaque jour, Apolline de Malherbe accompagnée de Charles Magnien, donne rendez-vous aux auditeurs RMC et téléspectateurs de RMC Story pour une matinale d'information, de débat et d'opinion unique. Avec une équipe de journalistes, elle apporte son regard quotidien sur l'information et reçoit chaque matin les acteurs de l'actualité. Les auditeurs et téléspectateurs sont plus que jamais au cœur des échanges. RMC est une radio généraliste, essentiellement axée sur l'actualité et sur l'interactivité avec les auditeurs, dans un format 100% parlé, inédit en France. La grille des programmes de RMC s'articule autour de rendez-vous phares comme Apolline Matin (6h-9h), les Grandes Gueules (9h-12h), Estelle Midi (12h-15h), Super Moscato Show (15h-18h), Rothen s'enflamme (18h-20h), l'After Foot (20h-minuit).
Cliquez ici pour accéder gratuitement aux articles lus de Mediapart : https://m.audiomeans.fr/s/P-UmoTbNLs Une enquête préliminaire a été ouverte par le parquet de Lyon dans l'affaire du chantage à la vidéo intime dont a été victime l'adjoint de Saint-Étienne Gilles Artigues. À la suite des révélations de Mediapart, son avocat avait déposé une plainte visant plusieurs personnalités, dont le maire Gaël Perdriau (LR). Un article d'Antton Rouget, publié sur Mediapart le 30 août 2022, lu par Christine Pâris.
Cet été, (re)découvrez les affaires de meurtres en famille de Home(icides) en intégralité, racontées par Caroline Nogueras. Une affaire digne d'un film d'horreur Dans le Nord de la France, à Outreau, un énorme réseau pédophile, où se mêlaient personnes défavorisées et notables, aurait abusé pendant des années de nombreux enfants. Cette histoire a fait la une de tous les journaux au début des années 2000. Chaque jour apportait son lot d'informations tragiques, ses révélations macabres. Un podcast écrit et raconté par Caroline Nogueras Réalisé par Julien Roussel En partenariat avec upday. Vous pouvez réagir à cet épisode sur notre page Twitter. Les 4 épisodes de Home(icides) sont disponibles en avant première pour les abonnées à la chaîne Bababam+ sur Apple Podcasts. Pour celles et ceux qui ne sont pas abonné(es), les nouveaux épisodes restent évidemment disponibles gratuitement chaque jeudi sur Apple Podcasts, Spotify, Deezer, Castbox, Podcast Addict, Amazon Music, Podinstall. Si vous souhaitez écouter les épisodes en avant-première et sans interruption, rendez-vous sur la chaîne Bababam+ d'Apple Podcasts : https://apple.co/3NQHV3I Abonnement Home(icides) : https://apple.co/3Nqr1Jp Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Interview d'Emilie Wouters, psychologue et experte judiciaire.
Dans cet épisode, Jacques Pradel revient sur les origines de la Brigade de Recherche et d'Intervention, créée par le policier François Le Mouël, en 1964. Cette année-là, plus de 500 braquages se déroulent en seulement quelques mois à Paris. Pour mettre fin à ce phénomène et intercepter les voleurs au plus tôt, le commissaire Le Mouël, décédé en 2015, va fonder l'unité criminelle qui va révolutionner la police.
C'est une histoire infernale. Résumée en une citation d'Eugène Labiche: "Les chanceux sont ceux qui arrivent à tout... Les malchanceux, ceux à qui tout arrive".
C'est une histoire infernale. Résumée en une citation d'Eugène Labiche: "Les chanceux sont ceux qui arrivent à tout... Les malchanceux, ceux à qui tout arrive".
Chaque soir, Olivier Delacroix vous ouvre la Libre antenne. Pas de jugements ni de tabous, une conversation franche mais aussi des réponses aux questions que les auditeurs se posent. Un moment d'échange et de partage propice à la confidence pour repartir le cœur plus léger.
durée : 00:16:43 - ADN et "cartes mentales" : dans les coulisses du nouveau pôle judiciaire chargé des "cold cases" - Ils vont tenter de résoudre des affaires criminelles vieilles de plusieurs décennies : dans le Quart d'Heure on vous explique les méthodes du nouveau pôle judiciaire chargé des cas non élucidés. On vous raconte aussi pourquoi les soignants alertent sur l'état des urgences "au bord de la rupture". Et puis, ils traversent la France en vélo pour sensibiliser à l'urgence climatique : on vous emmène en Bretagne à la rencontre des participants du "relais jeune".