Interference pattern
POPULARITY
Categories
Biomimetic dentistry can be defined by three main principles: preserve pulp vitality, conserve critical tooth structure and fully connect the tooth at 30 MPa or more. Mimicking nature (biomimetic) is about scientific analysis of how natural teeth function and replicating those principles during the restorative process. This isn't art; this is science. In this episode Dr. David Alleman discusses the research behind understanding how a natural tooth functions and how practitioners can replicate that to improve clinical outcomes with biomimetic restorative dentistry.Article referenced in this episodeWang RZ, Weiner S. Stain-structure relations in human teeth using Moire fringes. J of Biomechanics. 1998;31:135-141.Alleman D, Magne P, A systematic approach to deep caries removal endpoints PSZ. Quintessence Intl. 2012;43(3):197-208.Send us a textNew 2025 training programs announced:Biomimetic Mastership - class starts February 10. Learn more and register at allemancenter.com/mastershipIn-Person SLA Workshop Dates:April 25-26August 8-9October 24-25December 12-13Learn more and register at allemancenter.com/trainingLearn more about Dr. Alleman's work at training programs at allemancenter.com.Instagram @david.alleman.dds@davey_alleman_dmd@allemancenter.comYouTube@allemancenter
Cédric Thiery et Jean-Marc Lequèvre partagent leur dévouement à soutenir les anciens combattants et à préserver leur mémoire.
J'ai une petite faveur à vous demander ! Si vous appréciez cette conversation, pensez à liker l'épisode et à vous abonner sur Spotify. C'est un geste simple qui nous aide énormément à continuer sur cette lancée. Un grand merci à vous !
durée : 00:21:43 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - Le créateur sonore Yann Paranthoën est l'invité de François-Régis Barbry pour un numéro de "La Mémoire en chantant" sur France Culture en 1994. Référence pour les amateurs de radio, ingénieur du son formé à Radio France, Yann Paranthoën nous en dit plus sur son univers musical. - réalisation : Emily Vallat - invités : Yann Paranthoën Réalisateur d'émissions radiophoniques, ingénieur du son et documentariste français
durée : 00:49:43 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda, Mathias Le Gargasson, Antoine Dhulster - Écrivain et collecteur infatigable, Henri Pourrat a consacré sa vie à préserver les traditions orales de l'Auvergne. À l'occasion du centenaire de sa naissance en 1987, cette émission revient sur son œuvre, son attachement aux récits paysans et son talent pour faire revivre la parole des anciens. - réalisation : Massimo Bellini, Vincent Abouchar
durée : 00:39:03 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda, Mathias Le Gargasson, Antoine Dhulster - Publié en 1975, "Le Cheval d'orgueil" de Pierre-Jakez Hélias est un témoignage précieux sur un monde paysan breton disparu. Cette émission revient sur ce récit emblématique de la collection "Terre Humaine", avec les éclairages de Jean Markale et des lectures de Julien Guiomar. - réalisation : Massimo Bellini - invités : Jean Markale
durée : 00:03:30 - Le Regard culturel - par : Lucile Commeaux - Des livres qui exhument le passé familial de leur auteur, il y en a pléthore ces derniers mois. Coup de projecteur sur deux d'entre eux : "Patronyme" de Vanessa Springora et "Quand la terre était plate" de Jean-Claude Grumberg.
durée : 00:04:56 - Le Billet politique - par : Jean Leymarie - Le Premier ministre se défend. Attaqué par la gauche, il répète qu'il ignorait les violences commises au collège-lycée Notre-Dame-de-Bétharram, un établissement catholique des Pyrénées-Atlantiques. La pression monte.
durée : 00:30:02 - Les Nuits de France Culture - par : Christine Goémé - - réalisation : Virginie Mourthé
We will review the beginning of experimental and theoretical studies of moire systems and their evolution up to present. We will show how thousands of p orbitals in a moire unit cell of graphene can create single Heavy fermion at moire scale, and how the interaction between such fermions can lead to a perfect quantum simulator of an Anderson model. We will then present a catalogue of possible twistable materials and show how a huge variety of strongly interacting models can be realized in twisted homo and hetero twiste bilayers and multilayers of these materials.
Wherever you may be in your journey this practice will meet you exactly where you are. Join Mary in a guided meditation that walks you through a powerful visualization to generate healing and empowering energy. This embodiment exercise will have you connected to your inner excellence and is an amazing way to create more love with exactly what you have right now.In any moment we can choose love.Copyright-free music titles: Meditation by Zimpzon and Clear Sky by Moire
durée : 00:25:16 - Les Grands entretiens - par : Judith Chaine - Le grand pianiste Alfred Brendel (né en 1931) a reçu France Musique dans sa maison londonienne. Il revient sur plus de 60 ans d'une immense carrière au micro de Philippe Cassard.
Didy : mémoire, exil et transmission des voix rwandaises entre héritage et identité The post Didy, à travers la mémoire, de Gaël Kamilindi first appeared on Radio Vostok.
Didy : mémoire, exil et transmission des voix rwandaises entre héritage et identité The post Didy, à travers la mémoire, de Gaël Kamilindi first appeared on Radio Vostok.
Connaissez-vous les ego-histoires ? Le travail d'écriture de mémoires n'est pas réservé aux personnalités publiques et historiques.À partir des années 80, certains historiens et historiennes ont eux aussi voulu retracer leurs propres parcour set se sont prêtés à l'exercice… Dans ce nouvel épisode des podcasts de Mondes Sociaux, Isabelle Lacoue-Labarthe nous raconte ses recherches sur les mémoires étonnantes d'une autre historienne : Annie Kriegel. Plongez au cœur de son travail et découvrez en quoi consiste l'écriture de ces mémoires particuliers ?
durée : 00:32:18 - Talmudiques - par : Marc-Alain Ouaknin - . - réalisation : Alexandra Malka
Près d'un sénior sur cinq déclare avoir des trous de mémoire de façon récurrente selon le Centre hospitalier universitaire vaudois. Peu importe notre âge, notre mémoire est à surveiller, car elle peut être le signe d'un déclin cognitif, d'autant plus important avec l'âge. En revanche, pas besoin de paniquer au moindre trou de mémoire ! Ils nous arrivent à tous d'en avoir. La mémoire peut parfois nous jouer des tours et c'est normal. Déjà, comment fonctionne un trou de mémoire ? Que se passe-t-il lorsqu'on a un trou de mémoire ? Écoutez la suite de cet épisode de "Maintenant vous savez". Un podcast Bababam Originals, écrit et réalisé par Joanne Bourdin. À écouter aussi : Comment la junk food agit-elle sur notre santé mentale ? Comment la canicule pèse-t-elle sur notre santé mentale ? Qu'est-ce que la règle 3-30-300, qui améliorerait notre santé mentale ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez". Suivez Bababam sur Instagram. Première diffusion le 13/09/24 Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
durée : 00:27:54 - L'Entretien archéologique - par : Vincent Charpentier, Antoine Beauchamp - Depuis quand et pour quelles raisons les sociétés humaines pratiquent-elles le tatouage ? La découverte récente de motifs cachés dans les tatouages d'une momie péruvienne nous invite à une plongée archéologique et anthropologique dans cette pratique ancestrale de modification corporelle. - réalisation : Olivier Bétard - invités : Franz Manni Maître de conférences en génétique au Musée de l'Homme
durée : 00:32:20 - Talmudiques - par : Marc-Alain Ouaknin - . - réalisation : Alexandra Malka
Le 27 janvier 1945, des soldats de l'Armée rouge pénètrent dans le complexe d'Auschwitz : Assemblage de camps de travail, de concentration et d'extermination nazi. Plus d'un million de personnes y ont péri, pour la plupart de confession juive, mais aussi des tsiganes, des résistants ou des homosexuels. Le premier camp libéré fut Majdanek, en juillet 1944. La chronologie de la libération va s'étendre sur une période de 9 mois, elle suit l'avancée des troupes alliés. Que savait-on de ces camps avant 44 ? De quelle manière le rapatriement des déportés est organisé ? Le retour dans les pays d'origine va constituer une nouvelle épreuve. Les horreurs sont si difficiles à accepter pour les civils que, parfois, l'opinion publique est tentée de nier les faits. Certains survivants choisissent alors le silence. Comment faire vivre la mémoire quand les témoins directes disparaissent ? Avec nous : Johan Puttemans, coordinateur pédagogique , ASBL Mémoire d'Auschwitz - Fondation Auschwitz. Et Evelyne Guzy, autrice « La Malédiction des Mots » ; éd. Meo. Sujets traités : libération, camps, nazis, silence, mémoire, juifs, extermination, Majdanek, Auschwitz Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
durée : 00:38:15 - France Culture va plus loin (l'Invité(e) des Matins) - par : Guillaume Erner, Isabelle de Gaulmyn - Le 27 janvier 1945, l'Armée rouge libère Auschwitz-Birkenau, révélant l'extermination industrielle nazie. Des millions de juifs et opposants y ont péri. 80 ans après, nous explorons la mémoire de la Shoah et la façon dont l'historiographie française l'a traitée. - réalisation : Félicie Faugère - invités : Laurent Joly Historien, directeur de recherches au CNRS, spécialiste de l'antisémitisme durant l'Occupation; David Teboul Réalisateur de films documentaires
C'était il y a tout juste 80 ans. Le 27 janvier 1945, le camp de concentration et d'extermination d'Auschwitz-Birkenau, situé en Pologne, était libéré par l'armée russe. La Shoah fera 6 millions de morts, dont un million dans ce camp, épicentre de la solution finale : l'extermination programmée, à l'échelle industrielle, des Juifs d'Europe par l'Allemagne Nazie. 80 ans après, le camp est devenu un musée et un mémorial visité chaque année par de nombreux étudiants, qui ont un rapport parfois distant avec l'histoire de la Shoah. Reportage avec de jeunes lycéens français originaires de Toulouse. De notre envoyé spécial à Auschwitz, C'est un marathon express en Pologne. Un aller-retour dans la journée et une visite de quelques heures pour se plonger dans un pan entier de l'histoire, concrétiser des mots, des récits et des images, étudiés en classe. Ces lycéens étudient au lycée Pierre-Paul Riquet de Saint-Orens-de-Gameville, dans l'agglomération de Toulouse. Parmi eux, Malack, 17 ans. La lycéenne doit bien l'admettre, elle ne connaissait pas l'histoire de la Shoah. « C'est grâce au professeur que j'en ai entendu parler. On m'a parlé des Juifs, de leur extermination, mais ce n'était jamais détaillé, ce n'était pas approfondi comme aujourd'hui », déroule-t-elle.La trentaine d'élèves s'est levée très tôt et a embarqué dans un avion depuis Toulouse, jusqu'à Cracovie, la seconde ville de Pologne, située à 70 kilomètres d'Auschwitz-Birkenau. Avant d'entamer la visite, l'ambiance est plutôt détendue, ponctuée de quelques batailles de boules de neige à la descente du car. Plusieurs élèves, dont Yann, avouent regarder avec un certain éloignement l'histoire de la Shoah. « C'est dans les livres d'histoire, plante le jeune homme. On en entend parler, on voit quelques photos, mais venir ici c'est une vraie opportunité de découvrir l'histoire de l'Europe et de la Seconde Guerre mondiale. » Le mot « guerre » lui évoque davantage celle en Ukraine, à 200 kilomètres à vol d'oiseau. Loann dresse une analyse similaire : « La guerre au Moyen-Orient, la guerre en Ukraine : Je me sens beaucoup plus proche de ces guerres aujourd'hui car on a des images, des vidéos, des reportages, sur ces guerres, et elles sont plus médiatisées qu'avant. Auparavant, on n'avait pas du tout conscience de ce qui se passait dans ces camps. »Bâtiments en ruinesEn ce mois de janvier 2025, 20 centimètres de neige recouvrent ce qu'il reste de Birkenau, le deuxième des trois camps d'Auschwitz, où débute la visite. Une grande partie des constructions en pierre sont détruites et Loann apparaît quelque peu déboussolé : « Le fait que les bâtiments soient en ruines, on a du mal à imaginer leur fonctionnement. Mais venir ici, ça permet de mettre en forme tout ce que l'on voit en cours. On comprend vraiment l'importance de ce camp dans la Seconde Guerre mondiale », insiste le lycéen.Une première visite permet de matérialiser les faits au-delà des mots de la guide qui accompagne les élèves : la visite d'un baraquement. En silence, les élèves arpentent la construction où s'entassaient et dormaient sur des planches en bois, les prisonniers du camp. « C'est à la fois triste et extrême, c'est angoissant, il y a une atmosphère pesante », commentent Anaïs et Mélanie. Malack, qui n'avait que très peu entendu parler de la Shoah, se plonge peu à peu dans le récit. « Je peux imaginer ces gens-là en train de vivre ces atrocités. J'arrive un peu à ressentir ce qu'ils ont dû ressentir à l'époque. » Le système concentrationnaire de Birkenau se concrétise aussi sous les yeux de Nina, 17 ans. « Déshumanisation », « humiliation » : peu à peu, la jeune lycéenne met des mots sur l'horreur et rapproche l'événement de sa propre histoire : « C'est vrai que ça me paraît un peu loin parce que ça date d'une époque où je n'étais pas née. D'un autre côté, c'est un combat qui me touche aussi car tout ce qui est racisme, antisémitisme, ce sont des choses que je peux encore vivre aujourd'hui. Je suis encore confrontée aux racistes. Et même si cette histoire est loin, ce sont des combats qui sont toujours actuels. »Des noms et des visages, la Shoah à hauteur d'hommes et de femmesLa Shoah se raconte aussi à hauteur d'hommes et de femmes. C'est le parti pris d'Auschwitz I, aujourd'hui musée et mémorial, que s'apprêtent à visiter les élèves. Et c'est aussi le choix réalisé par Mary Albagnac, l'enseignante d'histoire. Toute l'année, ces lycéens étudient les récits de déportés originaires de Toulouse et de ses environs et vont tenter de retrouver leurs traces dans les archives du musée. « En passant par la petite histoire, ça leur permet de mieux comprendre, on pense, la grande histoire, et aussi de connaître davantage le patrimoine et l'histoire locale, explique Mary Albagnac. On se rend compte qu'ils habitent pas très loin du camp d'internement sur lequel on a travaillé, mais qu'ils ne savaient pas du tout qu'il existait et qu'il s'était passé de tels événements sur leur territoire qu'ils pratiquent tous les jours. Ce projet permet de s'identifier plus facilement à ces personnes, à ces enfants, à leur destin, leur parcours, qui nous amènent à Auschwitz. »Des prénoms, des noms, des dates de naissance : plus de quatre millions de victimes connues de la Shoah sont répertoriées dans le livre des noms, dans lequel se plongent désormais les élèves. Romane part en quête du nom d'un déporté originaire des environs de Toulouse, un certain «Rosenwasser». La lycéenne interpelle sa professeure, « Je crois que je l'ai trouvé ». La professeure coupe court : « Il serait mort le 15 août 1942. Et bien non, ça ne marche pas, puisqu'il est censé être déporté le 26 août 1942. »Un peu plus loin, Loann et Roman se sont quelque peu écartés de la consigne initiale. « On cherche une personne que l'on a en commun et que l'on connaît, développe Loann. On essaye de voir s'il y a peut-être un de ses descendants qui est ici et s'il y a son nom de famille dans le livre. » Mais la quête se révèle fastidieuse, constate Roman. « Je cherche un nom de famille précis et je trouve quand même dix personnes qui ont ce nom de famille. C'est impressionnant, ça montre vraiment la diversité des personnes qui ont été touchées par le génocide. » Effets personnelsAux images d'archives se superposent désormais, plus seulement des noms, mais des visages et de nombreux effets personnels. La Shoah s'incarne à travers des lunettes, des cheveux, des milliers de paires de chaussures, rassemblées derrière une immense plaque de verre. « Là, on est sans voix, on est bouche bée face à cet amas d'objets, de prothèses. On se rend compte réellement du massacre que ça a été et du nombre de personnes qui ont été tuées. Je suis choqué de l'espace que ça prend et du nombre d'objets et de chaussures qu'il y a », explique Loann.À Auschwitz, ce sont un million de personnes qui ont été amenées en train, afin d'y être triées, gazées et incinérées. Pour les élèves qui le souhaitent, la visite s'achève par un passage devant un four crématoire. « Tout le monde rentre ? », interroge par précaution Mary Albagnac, l'enseignante. Tous les élèves pénètrent et découvrent le summum de l'horreur. « Cela fait peur, réagit immédiatement Yann. Parce que les bâtiments sont en assez bon état et en entrant dedans on s'imagine ce qu'il s'est passé auparavant. »Transmettre la mémoireFace aux preuves parfois crues et brutales de la Shoah, aucun élève ne reste insensible. Reste à savoir ce qu'ils feront de l'exigence de mémoire et de l'importance de la transmettre. Une mission plus difficile à mener aujourd'hui qu'il y a quelques années, à en croire l'enseignante d'histoire, Mary Albagnac : « Les derniers témoins disparaissent ou sont de plus en plus fragiles, donc on a du mal à les faire venir sur les événements. Et l'autre souci que j'identifie, c'est que la jeune génération a accès à tout, dans l'instantané, à tout moment et a parfois du mal à faire le tri. Avec ce projet, on veut les faire travailler sur les sources historiques, leur montrer comment on fait de l'histoire, comment avoir un regard critique. Et la professeure de poursuivre : «On sait que ça ne marchera pas avec tous, mais on se donne les moyens d'y arriver avec ce type de projet. »La mémoire de la Shoah demeure encore une mémoire incarnée, grâce au récit qu'en font encore les rescapés. Mais la force de ce récit est condamnée à s'amenuiser avec la disparition des derniers survivants, estime Alexandre Doulut, guide accompagnateur du mémorial de la Shoah : « Pour avoir vu dans les yeux des jeunes leurs réactions face à quelqu'un qui a été la victime d'Auschwitz, qui raconte quel a été son quotidien, je peux vous assurer que nous, si on passe derrière en tant qu'historien avec nos connaissances brutes, ça a une portée cent fois plus minime, c'est évident. » Cela signifie-t-il pour autant que l'on puisse un jour complètement oublier cette histoire ? « Oui, personne ne peut dire quel sera l'état de la mémoire, dans dix ans, dans vingt ans, c'est très versatile la mémoire, reprend Alexandre Doulut. Mais moi je suis plutôt optimiste. »Transmettre, un poids ou un défi ?Nina, 17 ans, doit bien le reconnaître, avant cette année, « elle n'aurait vraiment pas pensé parler de la Shoah. Cela me touchait, mais je n'étais pas sensibilisée au fait de devoir retranscrire. » À la question de savoir si la lycéenne se sent capable ou non de transmettre cette mémoire, elle hésite d'abord, puis se lance : « Moi, je ne m'en sens pas vraiment capable. Je raconterai à mon entourage proche, car eux, ils me connaîtront personnellement et c'est dans l'intimité que l'on raconte ces choses, puisque ce sont des traumatismes. » Nina ne se sent pas d'en parler car elle a peur, « peur de mal raconter, d'oublier des détails, d'offenser les petits enfants des familles ». Mais l'idée que l'on puisse totalement oublier cette histoire « l'effraie ».À ses côtés, Juliette lui oppose d'autres arguments. « C'est à nous de porter cela. Ce n'est pas un poids, c'est quelque chose que l'on va devoir faire et c'est à nous d'assumer ce rôle. Il ne faut pas se priver d'en parler, ça ne doit pas être tabou, on ne doit pas ne pas en parler parce que ça a été très grave. Il faut justement en parler. Ce n'est pas un défi qui doit faire peur. »Ginette Kolinka, passeuse de mémoireQuelques jours plus tard, au mémorial de la Shoah à Paris, des rires se font entendre dans l'auditorium. Sur scène, Ginette Kolinka houspille la modératrice de la conférence : « Posez-moi une question, mais une vraie ! Sinon je mélange tout, le départ et le retour ! » La mémoire fait parfois défaut, mais à presque 100 ans, Ginette Kolinka n'a rien perdu de sa répartie et de la force de son récit. « Hitler voulait nous humilier et il a su trouver tout ce qu'il y avait pour le faire », rappelle-t-elle. Infatigable passeuse de mémoire, c'est encore à la jeune génération qui l'écoute dans l'auditorium qu'elle s'adresse ce soir-là, avant d'entamer un dialogue plus direct entre deux dédicaces et de répondre à quelques questions de journalistes : « Aux jeunes, je le dis et le redis : qu'ils parlent au plus grand nombre de personnes possibles en leur spécifiant que ce n'est pas une fiction. Ce qui a été écrit, ça a été vécu, on en est les survivants », insiste la rescapée.Puis, Ginette Kolinka s'adresse à une jeune fille qui lui présente son ouvrage à dédicacer : « Toi, tu es une petite fille et j'espère que quand ça sera le moment de parler de ça dans ta classe, tu diras "moi j'ai vu quelqu'un qui l'a vécu, j'ai vu deux dames, tu peux dire âgées, ça ne fait rien, et qui l'ont vécu ! " »Reste une dernière interrogation : a-t-elle confiance dans la jeune génération pour porter cette mémoire ? La réponse fuse : « Qu'est-ce que ça veut dire confiance ou pas confiance ? Je ne suis pas obsédée par ce qu'il va se passer après. Moi, je vis le présent. Quand je vais dans les écoles, je m'aperçois qu'il y a beaucoup d'enfants qui m'écoutent, des plus jeunes et des moins jeunes. On vit le présent. Ils ont écouté. Cette petite fille a écouté. Peut-être que demain elle va le raconter à sa maîtresse. Et bien moi, ça, ça me suffit. »
durée : 00:38:13 - Questions du soir : le débat - par : Quentin Lafay, Stéphanie Villeneuve - Les 80 ans qui séparent notre époque de l'ouverture du camp d'Auschwitz soulèvent un enjeu majeur, celui de la transmission de la mémoire de la Shoah. À l'heure où la disparition de ses témoins directs progresse, comment maintenir le travail de mémoire ? - réalisation : François Richer - invités : Alexandre Bande historien, professeur d'histoire; Pierre-Jérôme Biscarat Historien, référent régional mémoire de l'Office national des combattants et victimes de guerre (ONaCVG), ancien directeur pédagogique à la Maison d'Izieu (Mémorial des enfants juifs exterminés)
durée : 00:04:22 - Le Zoom de France Inter - À quelques heures de la cérémonie organisée à Auschwitz pour marquer le 80eme anniversaire de la découverte du camp, la question de la mémoire se pose partout en Europe... Illustration dans le Loiret, dans un lycée agricole où l'on se pose souvent la question de la perpétuation de la mémoire.
Il y a 80 ans, le 27 janvier 1945, le camp d'Auschwitz était libéré. Les cérémonies de commémoration se sont tenues en présence d'une trentaine de chefs d'État, dont Emmanuel Macron, le chancelier Olaf Scholz, le président allemand Frank-Walter Steinmeier, mais aussi d'une cinquantaine de survivants du camps d'extermination. Les rescapés appellent à faire perdurer leur mémoire.
Cette année, sera commémoré le 80è anniversaire de la Libération des Camps d'Auschwitz-Birkenau. Alors que les derniers survivants disparaissent avec le temps, comment conserver la mémoire ? Invitées : Judith Elkan-Hervé, rescapée d'Auschwitz-Birkenau et Adeline Salmon, responsable adjointe du service pédagogique au Mémorial de la Shoah.Chronique Ailleurs en Pologne avec Cédric Peltier, consul général et directeur de l'Institut Français de Pologne, antenne de Cracovie.
Cette année, sera commémoré le 80è anniversaire de la Libération des Camps d'Auschwitz-Birkenau. Alors que les derniers survivants disparaissent avec le temps, comment conserver la mémoire ? Invitées : Judith Elkan-Hervé, rescapée d'Auschwitz-Birkenau et Adeline Salmon, responsable adjointe du service pédagogique au Mémorial de la Shoah.Chronique Ailleurs en Pologne avec Cédric Peltier, consul général et directeur de l'Institut Français de Pologne, antenne de Cracovie.
En France, dans le pays de Bernard Lazare, de Simone Weil et de Marc Chagall, où les actes antisémites ressurgissent, l'histoire doit toujours être une leçon de lucidité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:38:13 - Questions du soir : le débat - par : Quentin Lafay, Stéphanie Villeneuve - Les 80 ans qui séparent notre époque de l'ouverture du camp d'Auschwitz soulèvent un enjeu majeur, celui de la transmission de la mémoire de la Shoah. À l'heure où la disparition de ses témoins directs progresse, comment maintenir le travail de mémoire ? - réalisation : François Richer - invités : Alexandre Bande historien, professeur d'histoire; Pierre-Jérôme Biscarat Historien, référent régional mémoire de l'Office national des combattants et victimes de guerre (ONaCVG), ancien directeur pédagogique à la Maison d'Izieu (Mémorial des enfants juifs exterminés)
durée : 00:58:37 - LSD, la série documentaire - par : Béatrice Leca - Depuis le début du XXIe siècle, pour le monde entier, Auschwitz est le synonyme de l'extermination des Juifs d'Europe. Des visiteurs du monde entier affluent chaque année, toujours plus nombreux. Musée, cimetière : que voient-ils ? qu'emportent-ils de ce lieu ? - réalisation : Yaël Mandelbaum
durée : 00:58:45 - LSD, la série documentaire - par : Béatrice Leca - Plus de quarante ans après la fin de la guerre, et dans une Pologne qui s'ouvre à la démocratie, la mémoire se réconcilie lentement avec la vérité historique. Auschwitz est enfin le lieu où la parole des Juifs et des Tziganes commence à résonner. - réalisation : Yaël Mandelbaum
durée : 00:58:33 - LSD, la série documentaire - par : Béatrice Leca - À partir des années 1970, un adversaire au régime communiste se fait entendre en Pologne : l'Église. Jean-Paul II, premier pape polonais, marquera son territoire, notamment à Birkenau. - réalisation : Yaël Mandelbaum
durée : 00:59:04 - LSD, la série documentaire - par : Béatrice Leca - Dans la Pologne communiste d'après-guerre, le musée d'Auschwitz répond avant tout à une mission : unir les peuples dans la lutte antifasciste portée par l'idéologie communiste. Au prix de certains arrangements avec la vérité historique. - réalisation : Yaël Mandelbaum
Les herbes, forcément, elles se déclinent et à chaque bouchée offrent un nouvel univers. Puis viennent les soupes, les pâtes fermentées, la sauce Nuoc Man, les épices - la badiane, la cannelle, la cardamome, le gingembre ou le tamarin - les légumes marinés, une touche d'acidité : le vocabulaire est là, la langue hésite. Quel est ce goût ? Est-ce le vrai goût ? In situ/ex situ : l'apprentissage d'une langue étrangère, et d'une culture familière, de goûts et de saveurs connues. Une forme de transmission par procuration. La langue du cuisinier, qui mitonne ses racines et les souvenirs de ses aînés, est ainsi : tendre, aimante, maladroitement fidèle, extraordinairement vivante, et touchante. Une langue nouvelle, née d'ici et d'ailleurs.Avec Thierry Heinz, cuisinier, chef cuisinier et fondateur de Rouge Do.« Ma grand-mère ne parlait que vietnamien et moi pas assez bien pour parler avec elle donc tout se passait par le geste finalement, par le sourire, par le regard, et ce sont mes tantes qui, derrière, pouvaient éventuellement traduire. C'était des moments chouettes, je revois encore sécher sur le radiateur des peaux d'orange, des fruits, je la revois couper ces légumes pour faire cet indispensable de la cuisine vietnamienne, ces légumes marinés, qui apporteront l'acidité aux plats. Ce sont des scènes empruntes de calme. Après avoir exploré les goûts de l'enfance, revenir sur place confronter le goût importé, celui qu'on a vécu, connu, qu'on a développé en famille ou à la maison et le confronter au dit « vrai goût », c'est à la fois enrichissant et parfois un peu déstabilisant également. » Thierry Heinz, Rouge Do.Rouge Do est situé au 3 rue Sainte Marthe à Paris, dans le 10ème arrondissement.Les sons diffusés au fil de l'émission ont été enregistrés par Thierry, lors de son dernier voyage au Vietnam en famille. Il s'est rendu à Sadec, Hué, Saïgon. Pour aller plus loin, en liens- La kitchenette de miss Tam- Le secret des Vietnamiennes, de Kim Thuy, aux éditions Marabout- Vietnam, plats incontournables et voyage culinaire, de Nathalie Nguyen.- Un orage par jour, d'André Deraine, éditions Keribus- Banmi le média- Tanh Binh Jeune : 18 rue Lagrange, Paris 5 ; ou 20 avenue de Verdun à Ivry-sur- Seine- Pho de vie avec Minh-Tâm Trân dans le Goût du monde sur RFI.La musique : MMS, de Asake et Wizkid. En images La Recette - BUN BO HUEDans l'émission, il est question de cette soupe de Hue, dont l'ingrédient incontournable est une pâte de crevettes fermentées. La recette est sur le site de Minh-Tâm Trân, Piliers culturels de la diaspora vietnamienne en France. Le lien pour la recette est ici : son site est riche, complet, passionnant comme son autrice.
durée : 00:02:11 - Le grand format - 80 ans après la libération des camps, comment continuer à faire exister la mémoire de la Shoah ? Reportage au lycée Camille Passaro à Pontoise, dans le Val-d'Oise, dans une classe de terminale.
L'ONU a institué en 2005 le 27 janvier comme « Journée de la mémoire des génocides et de la prévention des crimes contre l'humanité », mais l'édition de cette année prend une dimension particulière, puisque la question se pose de savoir si va y participer un représentant politique lui-même objet d'un mandat d'arrêt de la justice internationale pour crime contre l'humanité, le premier ministre d'Israël Benyamin Netanyhaou. C'est-à-dire le représentant de l'État qui se revendique dépositaire de la mémoire de la Shoah, tout en menant lui-même une entreprise de nettoyage ethnique en Palestine. Les trois invités en plateau sont Élie Duprey (Tsedek !), Béatrice Orès (porte-parole de l'UJFP) et Jonathan Ruff-Zahn (Tsedek ! et UJFP). Le colloque qu'ils organisent à Paris le week end prochain réunit des historiens et autres spécialistes non seulement de la Shoah, mais aussi d'autres génocides. Ils ont choisi de centrer la réflexion sur le fait génocidaire dans sa relation au racisme, et affirment : « tout en réfléchissant sur ses spécificités, nous refusons d'isoler l'antisémitisme des autres formes de racisme, le judéocide des autres génocides, l'antisémitisme nazi de l'histoire européenne du racisme, du colonialisme, de la suprémacie blanche ». Il s'agit aussi de « penser l'actualité du fait génocidaire » et « la manière dont le génocide perpétré par les nazis est mobilisé par les mémoires et les politiques en lien avec la situation en Palestine ». ▶ Soutenez Le Média :
Il y a cinq ans jour pour jour, le 23 janvier 2020, la Chine annonçait à Wuhan le premier confinement à cause d'une maladie à coronavirus, alors un virus inconnu, qui sera baptisée plus tard Covid-19. On ne fait mention nulle part en Chine de cet anniversaire. Mais à Wuhan, les stigmates demeurent. Avec notre correspondante à Wuhan, Clea Broadhurst avec la collaboration de Chi XiangyuanLa vie a repris son cours à Wuhan, dans la province du Hubei, au centre de la Chine. Mais, interrogés sur le premier confinement dû au Covid-19, les habitants se souviennent, parfois dans la douleur, « des mois les plus difficiles de [leur] vie », comme nous le dit Tang.« Au début, ce n'était pas grand-chose, mais plus les rumeurs se répandaient, plus elles devenaient exagérées et on se sentait tous à cran, se remémore l'homme, qui tient un petit magasin près du marché de fruits de mer Huanan. Dire que le marché est à l'origine de toutes ces infections, c'est complètement absurde. Des rumeurs circulaient même sur le fait que les gens d'ici mangeaient des chauves-souris ! Aucune preuve, juste leur imagination débordante. » Ils sont nombreux, parmi les passants interrogés par RFI, à dire que le marché de la ville a été blâmé à tort.À l'époque, ce qui comptait pour eux, c'était de survivre, explique Yue, un chauffeur de taxi. « À Wuhan, causer des ennuis, c'est comme demander la mort, se souvient-il. L'approche était la suivante : "Mieux vaut arrêter à tort que laisser passer quelqu'un." Sur TikTok, on regardait des vidéos de Pékin ou de Shanghai où des gens disaient : "Je veux sortir, je viens d'outre-mer, je veux juste faire un jogging", et la police restait là, à essayer de les raisonner. Mais des vidéos similaires à Wuhan ? Non. Si vous osiez faire quelque chose comme ça, c'était chercher les ennuis. »Le nombre de victimes est une incertitude qui demeure, souligne Li, qui affirme ne pas savoir « combien de personnes sont mortes, car il n'y a pas eu de bilan officiel. Les critères pour les statistiques étaient très stricts. Par exemple, on ne comptait que les personnes officiellement diagnostiquées et décédées à l'hôpital. Et encore, il fallait mourir dans un service spécifique ou dans une zone désignée pour être pris en compte. Les crématoriums fonctionnaient 24 heures sur 24, sans interruption. Wuhan comptait quatre crématoriums, qui fonctionnaient tous sans interruption. S'ils brûlaient un corps toutes les demi-heures… je vous laisse faire le calcul ».Aujourd'hui, les habitants de Wuhan veulent tourner la page, oublier à quel point leur ville a pu être silencieuse. Pour Dang, cela a aussi révélé la persévérance des habitants : « Tout le monde était uni dans la lutte contre la pandémie. Les personnes âgées, les jeunes, on faisait tous preuve de patience. L'esprit d'entraide, les bonnes actions sans se soucier du profit personnel se sont renforcés. C'est toujours le cas aujourd'hui. »Wuhan tente de reprendre du poil de la bête, voulant à tout prix laisser derrière elles les stigmates de cette période douloureuse.À lire aussiChine: cinq ans après l'annonce du premier mort du Covid-19 à Wuhan, les stigmates demeurent
Philippe Prost and Antoine Picon are two of France's leading architectural figures. Antoine Picon is an architect, engineer and architectural historian, and is currently Director of Doctoral Research Programs at Harvard University in the United States, at the prestigious Harvard Graduate School of Design. Philippe Prost is a French architect and winner of France's Grand Prix National de l'Architecture in 2022. His work is exhibited at the Cité de l'Architecture et du Patrimoine from October 18, 2024 to March 23, 2025. The exhibition is entitled “La Mémoire Vive”. His agency AAPP Atelier d'Architecture Philippe Prost is based in the 2nd arrondissement of Paris.In this new issue of Com d'Archi, we summarize the interview with our two exceptional guests. In resonance, they discuss the emergence of their respective careers, heritage, music, creation, projects, the exhibition, the notion of continuity, architecture of course, teaching, AI, current events that are struggling to be forgotten and more.Image teaser DR © Sound engineering : Ali Zogheib___If you like the podcast do not hesitate:. to subscribe so you don't miss the next episodes,. to leave us stars and a comment :-),. to follow us on Instagram @comdarchipodcast to find beautiful images, always chosen with care, so as to enrich your view on the subject.Nice week to all of you ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dans ce podcast, nous allons parler de viande rouge, mémoire alimentaire et l'heure idéale du café. Nouveau ! Les régimes rapides : Et s'ils étaient plus efficaces qu'on le pense ? Sommaire du podcast : Réduire la viande rouge pour protéger son cerveau Une étude publiée dans Neurology révèle un lien inquiétant entre la […] The post Viande rouge, mémoire alimentaire et l'heure idéale du café appeared first on Fitnessmith.
durée : 00:02:19 - Le grand format - À l'approche des commémorations du 80e anniversaire de la libération du camp d'Auschwitz, comment continuer à transmettre la mémoire, alors que les derniers survivants des camps sont quasi centenaires ?
Kev gets dewy-eyed over the music of Ralph McTell, remember the Streets of London, and Neale is feeling hopeful and buoyant about people and business in 2025. Questions today about the best camera for sports photography from the Fujifilm range, the quirks of Auto ISO, content insurance for kit away from home, more issues, photo challenges for 2025, content creators snapping your original ideas, and what software the boys use for editing video. Email the show with your questions: click@fujicast.co.uk Pic Time: https://www.pic-time.com/ - use FUJICAST when creating an account for discount offers to apply For links go to the showpage.
Philippe Prost et Antoine Picon sont deux personnalités de haut vol du monde de l'architecture en France. Antoine Picon est architecte, ingénieur, historien de l'architecture et aujourd'hui directeur des programmes de la recherche doctorale à l'Université Harvard aux Etats-Unis, à la très grande Harvard Graduate School of Design. Philippe Prost est un architecte français, Grand Prix national de l'Architecture en France en 2022, exposé à la Cité de l'Architecture et du Patrimoine du 18 octobre 2024 au 23 mars 2025. Cette formidable exposition qui lui est consacré est intitulée « La Mémoire Vive ». Son agence AAPP Atelier d'Architecture Philippe Prost est basée à Paris dans le 2e arrondissement de Paris.Dans ce numéro inédit de Com d'Archi, nos deux invités d'exception, en résonance, évoquent l'émergence de leurs carrières respectives, le patrimoine, la musique, la création, les projets, l'exposition, la notion de continuité, l'architecture bien sur, l'enseignement, l'IA, l'actualité qui peine aujourd'hui à se faire oublier et plus encore. Un épisode qui traite de sujets cruciaux avec beaucoup d'humour !Image © Com d'Archi PodcastIngénierie son : Ali Zogheib____Si le podcast COM D'ARCHI vous plaît n'hésitez pas :. à vous abonner pour ne pas rater les prochains épisodes,. à nous laisser des étoiles et un commentaire, :-),. à nous suivre sur Instagram @comdarchipodcast pour retrouver de belles images, toujours choisies avec soin, de manière à enrichir votre regard sur le sujet.Bonne semaine à tous ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Ce texte relate deux événements marqués par des « petites lâchetés ». Tout d'abord, des écoles d'Anderlecht refusent de participer à la pose de pavés de la mémoire, craignant des tensions liées au conflit israélo-palestinien, révélant une forme implicite d'antisémitisme. Ensuite, l'auteur partage l'histoire poignante de trois adolescents déportés, soulignant l'importance de la mémoire. Malgré ces lâchetés, des exemples de courage subsistent, comme celui de deux sœurs belges ayant sauvé un enfant juif durant l'occupation nazie, rappelant que le courage est rare mais essentiel. Merci pour votre écoute N'hésistez pas à vous abonner également aux podcasts des séquences phares de Matin Première: L'Invité Politique : https://audmns.com/LNCogwPL'édito politique « Les Coulisses du Pouvoir » : https://audmns.com/vXWPcqxL'humour de Matin Première : https://audmns.com/tbdbwoQRetrouvez tous les contenus de la RTBF sur notre plateforme Auvio.be Retrouvez également notre offre info ci-dessous : Le Monde en Direct : https://audmns.com/TkxEWMELes Clés : https://audmns.com/DvbCVrHLe Tournant : https://audmns.com/moqIRoC5 Minutes pour Comprendre : https://audmns.com/dHiHssrEt si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
durée : 00:32:20 - Talmudiques - par : Marc-Alain Ouaknin - À l'aube du deuxième quart du XXIᵉ siècle, la mémoire éclaire le passé et nourrit l'avenir. Historiens, archivistes et artistes s'y consacrent, dont un créateur contemporain, Anselm Kiefer. Il façonne l'histoire comme un matériau vivant, entre mémoire et compréhension. - réalisation : Alexandra Malka
Elle s'appelait Delphine Boulay. Elle avait dix ans à l'été 1988 quand elle a été enlevée et tuée par un pédophile et son histoire a changé le cours de la justice. A l'époque, les enquêteurs arrêtent le dénommé Gérard Lebourg, un cuisinier normand de 29 ans. Il décline effectivement la panoplie du parfait pédophile même si alors, ce mot est quasiment inconnu des tribunaux. A propos des enfants abusés et parfois tués, on continue à dire ballets roses quand il s'agit de petites filles, ou ballets bleus dès lors qu'on évoque des petits garçons.
durée : 00:09:26 - La Question du jour - par : Marguerite Catton - Alors qu'en 2018, Emmanuel Macron initiait une politique mémorielle autour des attentats terroristes, comprenant notamment la création d'un Musée national du terrorisme, quel est l'état de cette politique aujourd'hui ? Pourquoi et comment construire une politique mémorielle autour du terrorisme ? - réalisation : Félicie Faugère - invités : Henry Rousso Historien, directeur de recherche émérite au CNRS
durée : 02:29:09 - Les Matins - par : Guillaume Erner, Isabelle de Gaulmyn - Avec Virginie Collombier, politiste, professeure à l'Université “Luiss Guido Carli” à Rome / Henry Rousso, historien, directeur de recherche émérite au CNRS / Hugo Micheron, enseignant-chercheur maître de conférences à Sciences Po - réalisation : Félicie Faugère
durée : 00:58:49 - Le Cours de l'histoire - par : Xavier Mauduit - Le silence d'un père, l'accent d'une mère, l'écrivain Rachid Benzine met en dialogue les mémoires des parents immigrés. Une œuvre de reconnaissance pour des vies invisibilisées qui racontent pourtant l'histoire de la société française. - réalisation : Thomas Beau, Laurence Millet - invités : Rachid Benzine Islamologue, romancier et dramaturge
durée : 00:58:26 - Cultures Monde - par : Julie Gacon, Mélanie Chalandon - Dans ce roman inspiré d'histoires vraies, Inaam Kachachi raconte le destin de deux femmes irakiennes de générations différentes, toutes deux exilées à Paris et qui se sont liées d'amitié. À travers leurs souvenirs, la romancière raconte un pays en partie disparu depuis l'invasion américaine. - réalisation : Margot Page - invités : Inaam Kachachi Écrivain, journaliste et correspondante de presse pour les journaux arabes Asharq Al-Awsat et Kol Al-Usra,; Adel Bakawan Directeur du Centre Français de Recherche sur l'Irak, chercheur associé au Programme Turquie/Moyen-Orient de l'Institut Français des Relations Internationales (IFRI), membre de l'Institut de Recherche et d'Études Méditerranée Moyen-Orient (iReMMO)
durée : 00:32:11 - Talmudiques - par : Marc-Alain Ouaknin - . - réalisation : Alexandra Malka