Podcasts about rassemblement

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Le sept neuf
Sébastien Chenu : "Le rendez-vous de la censure, c'est à l'automne, au moment du budget"

Le sept neuf

Play Episode Listen Later Jun 25, 2025 24:27


durée : 00:24:27 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé - Sébastien Chenu, député du Nord et vice-président du Rassemblement national, était l'invité du Grand entretien de la matinale, ce mercredi. - invités : Sébastien CHENU - Sébastien Chenu : Député du Nord et porte-parole du Rassemblement national Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

Journal de l'Afrique
Côte d'Ivoire : Alassane Ouattara désigné candidat à la présidentielle par le RHDP

Journal de l'Afrique

Play Episode Listen Later Jun 23, 2025 18:53


En Côte d'Ivoire, le deuxième congrès ordinaire du Rassemblement des houphouëtistes pour la démocratie et la paix (RHDP) s'est ouvert ce samedi à Abidjan et le président sortant, Alassane Ouattara, a été désigné candidat à la présidentielle du 25 octobre par son parti. Il n'a pas encore officiellement confirmé s'il allait briguer ou non un quatrième mandat. Les activités se poursuivront jusqu'à dimanche, avec un grand meeting au Stade d'Ebimpé.

Les Grandes Gueules
Le laxisme du jour - Didier Giraud : "Il ne peut pas y avoir un rassemblement sans des coups de couteau, des bagarres, la soûlographie. Il y a un ensauvagement de la société." - 23/06

Les Grandes Gueules

Play Episode Listen Later Jun 23, 2025 0:52


Aujourd'hui, Joëlle Dago-Serry, Antoine Diers et Didier Giraud débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.

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Invité Afrique
Côte d'Ivoire: «Ouattara s'inscrit dans une stratégie qui consiste à court-circuiter l'opposition»

Invité Afrique

Play Episode Listen Later Jun 23, 2025 6:41


En Côte d'Ivoire, Alassane Ouattara fait durer le suspense... Hier, à l'issue du congrès du parti au pouvoir RHDP, le président ivoirien a répondu ni « oui » ni « non » aux militants qui lui avaient demandé la veille, à l'unanimité, d'être candidat à un quatrième mandat présidentiel le 25 octobre prochain. Il a simplement dit qu'il prendrait sa décision « dans les jours qui viennent ». Pourquoi cette stratégie de l'attente ? Le chercheur ivoirien Geoffroy-Julien Kouao a publié récemment deux ouvrages, Faut-il désespérer de la Côte d'Ivoire ? et Côte d'Ivoire : une démocratie sans démocrate ?, aux éditions Kamit. En ligne d'Abidjan, il répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : Ce 22 juin, tous les militants du Rassemblement des houphouëtistes pour la démocratie et la paix (RHDP) attendaient qu'Alassane Ouattara leur dise tout simplement : « Oui, j'accepte d'être votre candidat. » Mais le chef de l'État n'a répondu ni oui ni non et s'est donné quelques jours de réflexion. Comment expliquez-vous cette non-réponse ? Geoffroy-Julien Kouao : Je m'y attendais un peu parce que le président de la République s'inscrit dans une stratégie qui consiste à voir la réaction de ses principaux opposants qui sont Tidjane Thiam et Laurent Gbagbo. Dans tous les cas de figure et selon toute vraisemblance, il est fort possible que le président Ouattara accède à la requête de ses militants. Mais si Alassane Ouattara n'a fait que reporter de quelques jours l'annonce de sa candidature, pourquoi n'a-t-il pas profité dimanche de ce grand rassemblement de plusieurs dizaines de milliers de ses militants pour galvaniser son parti ? C'est vrai que les rencontres du samedi et du dimanche étaient une véritable démonstration de force politique pour le RHDP. Mais le président de la République a d'autres occasions. Souvenez-vous que, en 2020, c'est à l'occasion de son discours pendant la fête nationale, le 7 août, qu'il a annoncé qu'il serait candidat. Il peut rester dans cette logique. Alors, quand vous dites qu'Alassane Ouattara ne dévoile pas tout de suite son jeu parce qu'il attend les réactions de ses principaux adversaires, que voulez-vous dire par rapport notamment à Laurent Gbagbo et à Tidjane Thiam ? Vous savez très bien que Monsieur Laurent Gbagbo et Monsieur Tidjane Thiam sont pour l'instant disqualifiés de la course présidentielle. Et ils se sont mis ensemble en créant un front commun pour leur réinscription sur la liste électorale. Et dans la foulée, Monsieur Laurent Gbagbo a annoncé qu'il s'opposerait à un quatrième mandat du président Ouattara. Donc, si le président avait annoncé sa candidature hier dimanche, cela aurait donné du temps à Monsieur Thiam et à Monsieur Gbagbo pour mettre en place une stratégie politique consistant à faire pression sur le régime d'Abidjan. Vous savez que le front commun entre Monsieur Thiam et Monsieur Gbagbo obéit à une logique, celle de leur réinscription sur la liste électorale. Et s'ils arrivent à mobiliser assez d'Ivoiriens autour de leur combat, cela pourrait peut-être influencer le régime d'Abidjan. Voulez-vous dire qu'Alassane Ouattara attend éventuellement le dernier moment pour dévoiler son jeu et pour annoncer sa candidature afin d'empêcher ses adversaires de mobiliser leurs partisans ? Monsieur Alassane Ouattara, il est évident qu'il connaît la capacité de mobilisation de Laurent Gbagbo et aussi de Tidjane Thiam. Et évidemment, devant la démonstration de force opérée par son parti le samedi et le dimanche dernier, il s'inscrit dans une stratégie qui consiste à court-circuiter l'opposition sur ses propres bases. C'est-à-dire qu'en n'annonçant pas tout de suite sa candidature, il laisse l'opposition dans l'incertitude, c'est ça ? Oui. Ça lui permet de voir quelle stratégie celle-ci va mettre en place, puisque bientôt ce sera le début des parrainages. Pour qu'il y ait parrainage, il faut qu'il y ait des noms proposés. Or, pour l'instant, l'opposition ne veut pas présenter de plan B. Et si les parrainages commencent, si l'ouverture des dépôts de candidatures débute, peut-être que l'opposition serait dans l'obligation de proposer d'autres noms que ceux de Monsieur Thiam et de Monsieur Laurent Gbagbo. Ce qui permettrait à Monsieur Ouattara d'apprécier objectivement la situation et peut-être lui aussi de proposer un plan B. Alors ce plan B, justement, est-ce qu'un autre cadre du RHDP pourrait porter les couleurs du parti le 25 octobre prochain ? Et qui pourrait être cet autre responsable ? Oui, il y a d'autres cadres et le premier que je vois en tant qu'analyste politique et observateur, c'est le vice-président de la République, Monsieur Tiémoko Meyliet Koné. Il y a aussi d'autres personnalités comme l'ancien Premier ministre Patrick Achi. On peut aussi penser au gouverneur de la Banque centrale des États de l'Afrique de l'Ouest (BCEAO) [Jean-Claude Kassi Brou, NDLR]. Mais vous avez vu aussi le samedi et le dimanche à l'applaudimètre, on a vu que le ministre de la Défense Téné Birahima reste très populaire auprès des militants.   Le frère du président ? Oui, le frère cadet du président de la République. Alors, si demain le président Ouattara propose un autre candidat pour le RHDP, il n'y aura pas des risques de divisions internes au RHDP ? Non, je ne le pense pas. Le congrès l'a montré, il y a une certaine cohésion autour des idéaux du parti et surtout de la personne d'Alassane Ouattara. Tant que la figure tutélaire d'Alassane Ouattara sera présente, je ne pense pas qu'il y ait des voix discordantes.

Le Nouvel Esprit Public
Situation des ex-partis dominants français / Guerre Israël-Iran

Le Nouvel Esprit Public

Play Episode Listen Later Jun 22, 2025 61:32


Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 20 juin 2025.Avec cette semaine :Jean-Louis Bourlanges, essayiste.Béatrice Giblin, directrice de la revue Hérodote et fondatrice de l'Institut Français de Géopolitique.Nicole Gnesotto, vice-présidente de l'Institut Jacques Delors.Marc-Olivier Padis, directeur des études de la fondation Terra Nova.SITUATION DES EX-PARTIS DOMINANTS (LR-PS) APRÈS L'ÉLECTION DE LEURS DIRIGEANTSLe 18 mai Bruno Retailleau a été élu à la tête du parti Les Républicains avec une majorité de 74,31% des voix. Dans la foulée, le nouveau dirigeant de LR a pris trois engagements : rendre le parti à tous les militants via des référendums. Remettre le parti « au travail ». Enfin, reconstruire pour « gagner des élections ». « Je veux faire se lever une vague bleue », a-t-il lancé en pensant aux municipales de mars 2026. À droite, la victoire de Bruno Retailleau signe le retour d'un espoir après plus de dix années dans l'opposition et une succession de revers électoraux dont LR ne s'est jamais vraiment remis. Les bons scores obtenus dans différentes élections législatives partielles, à Villeneuve-Saint-Georges, dans le Jura ou les Hauts-de-Seine, sont un signe, veulent croire les cadres du parti, qu'un espace existe entre une Macronie jugée finissante et un Rassemblement national privé de sa « candidate naturelle » si la peine d'inéligibilité de Marine Le Pen se confirme en appel. Si sa large victoire installe Bruno Retailleau comme le nouveau candidat naturel de la droite pour la prochaine présidentielle, il doit toutefois composer avec les ambitions de ses soutiens de campagne. Dans un sondage Toluna Harris Interactive pour LCI, le nouveau patron de LR reste largement distancé par Edouard Philippe au premier tour de l'élection présidentielle.Au Parti Socialiste, si la victoire sur le fil d'Olivier Faure, reconduit le 5 juin avec 50,9% des suffrages au détriment du maire de Rouen, Nicolas Mayer-Rossignol, à 250 voix près, ne fait pas débat, aucune synthèse n'a cependant été possible entre les deux fractions lors du 81ème congrès réuni du 13 au 15 juin, à Nancy. En cause : la place de La France Insoumise au sein de l'union de la gauche. Trois ans après la Nouvelle Union populaire écologique et sociale en 2022, un an après le Nouveau Front Populaire en 2024, la relation des socialistes à Jean-Luc Mélenchon et LFI a empoisonné le congrès du PS. Nicolas Mayer-Rossignol, estimant qu'il ne fallait « plus d'accord national et programmatique aux législatives pour gouverner ensemble avec La France Insoumise », a demandé solennellement à son parti de « dire et écrire et affirmer unanimement qu'il n'y aura pas, sous aucun prétexte, ni au plan national ni local, même en cas de dissolution, d'alliance avec LFI ». Le Premier secrétaire a refusé cet amendement au texte final, estimant qu'il « ne faut pas qu'on sorte de l'ambiguïté stratégique vis-à-vis de LFI ». L'état de division dans lequel se trouve l'ancien parti dominant de la gauche, aujourd'hui réduit à moins de 40.000 militants revendiqués, l'expose à de grandes déconvenues : en désaccord sur la ligne, les socialistes vont avoir le plus grand mal à se doter d'un projet susceptible de renouveler leur identité. Les deux camps visent un accord avant le premier conseil national du PS prévu le 1er juillet.GUERRE ISRAËL-IRAN, SITUATION STRATÉGIQUE, TRANSFORMATIONS INDUITES SUR LA SCÈNE INTERNATIONALELe 12 juin, Israël a déclenché une guerre préventive contre les infrastructures nucléaires de l'Iran et ses cadres. Le lendemain l'Iran ne pouvant plus compter sur ses alliés au Liban, en Irak et au Yémen, affaiblis depuis le 7 octobre, a lancé seul sa riposte contre Israël. Ses alliés au sein de l'« axe de la résistance » à Israël, Hamas, Hezbollah notamment sont restés atones, à l'exception d'un tir isolé de missile par les houthistes yéménites qui a manqué sa cible et s'est abattu sur Hébron, en Cisjordanie occupée. L'Irak, la Jordanie et les monarchies du Golfe, qui accueillent des bases américaines sur leur sol, sont tétanisées à la perspective de représailles de Téhéran contre l'Etat hébreu et son allié américain.En Israël, dans une étude publiée lundi par l'Université hébraïque de Jérusalem, 70% des sondés soutiennent l'opération. Avec une approche très divisée selon les populations : 83% chez les juifs israéliens, contre 12% chez les Palestiniens de citoyenneté israélienne.Même si elle a fait capoter les négociations qu'il avait rouvertes avec Téhéran, et en dépit de la déclaration de la coordinatrice du renseignement américain selon qui l'Iran n'était pas engagé dans la fabrication d'une arme nucléaire, Donald Trump a soutenu publiquement l'opération israélienne contre l'Iran, et ordonné l'envoi de renforts, notamment navals, pour aider à la défense d'Israël. Le porte-avions nucléaire Nimitz a été dépêché depuis la mer de Chine vers le Moyen-Orient. Mais le président américain s'est jusqu'à présent abstenu d'engager directement les forces américaines dans des actions offensives. Il a mis en garde l'Iran contre la tentation d'attaquer les intérêts américains dans la région. Il continue à prétendre qu'une négociation peut reprendre. Rentré précipitamment du sommet du G7 au Canada, le président américain a réuni mardi un conseil de sécurité consacré à la guerre aérienne entre Israël et l'Iran. La perspective d'une participation américaine aux raids contre l'Iran a créé une fracture au sein du mouvement MAGA, où l'aile isolationniste critique dorénavant ouvertement le président.La Russie a été la seule, parmi les puissances qui comptent dans le monde, à condamner très clairement l'attaque israélienne. Moscou ne pouvait pas faire moins à l'égard d'un pays qui lui fournit en grande quantité les drones utilisés contre l'Ukraine. Les critiques de la Chine ont été plus discrètes. L'ensemble des pays Européens a affiché sa solidarité avec Israël, tout en invitant les deux partis à la désescalade. Les guerres préventives occidentales en terre d'islam du début du XXIème siècle, celle d'Irak en 2003, et celle de Libye en 2011, ont abouti à des catastrophes régionales, qui ne sont toujours pas résolues.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

C dans l'air
Santé,habitat: alerte aux canicules - L'intégrale -

C dans l'air

Play Episode Listen Later Jun 21, 2025 64:43


C dans l'air du 21 juin 2025 - CaniculeLe jour le plus long de l'année s'annonce comme l'un des plus chauds. Après une nuit tropicale, les températures grimpaient déjà très haut ce matin. A midi, plusieurs régions ont dépassé les 35 °C et des pointes allant jusqu'à 39 °C sont attendues dans l'Ouest. Pas moins de seize départements sont maintenus en vigilance orange canicule.Cet épisode de fortes chaleurs intervient alors que de nombreuses manifestations sportives et culturelles sont organisées ces jours-ci : festivals, kermesses, fêtes des écoles, compétitions sportives. Entre les concerts en extérieur et foule massée dans les rues, la Fête de la musique, qui se tient ce soir, sera également un rendez-vous particulièrement à risque.Les autorités et organisateurs de événements sont contraints de prendre certaines mesures de précaution. A Clisson, en Loire-Atlantique, plus de 200 000 personnes sont attendues au célèbre festival de métal Hellfest jusqu'à demain. Et le thermomètre s'affole. Il pourrait même grimper jusqu'à 37 °C. Pour faire face à ces conditions extrêmes, des brumisateurs, des murs d'eau géants et des fontaines à eau ont été installées sur le site. Les gourdes vides seront aussi exceptionnellement autorisées à l'entrée.Le dérèglement climatique, que l'on perçoit en ce moment par une intense vague de chaleur, se manifeste également par la multiplication des inondations.La ville de Blendecques, dans le nord du Pas-de-Calais, près de Saint-Omer, a ainsi subit une série d'inondations en novembre 2023 et janvier 2024. Des sinistres très durs à encaisser pour les habitants. Un an après ces inondations, une impasse entière de la ville et sa quinzaine de maisons, vont être rasées pour laisser la place à un bassin de rétention d'eau. Si certains habitants avaient déjà pris la difficile décision de quitter les lieux, d'autres refusent de quitter leur domicile. Ce cas de déplacés climatiques sont amenés à se multiplier dans les années à venir. Et ces derniers doivent parfois batailler avec leurs assurances, qui souhaitent de moins en moins indemniser ce type de sinistre.Les épisodes de fortes chaleurs, comme celui que l'on observe actuellement favorise la survenue de pics de pollution atmosphérique. Ce phénomènes tue près de 40.000 personnes tous les ans en France.Afin d'améliorer la qualité de l'air, le dispositif des zones à faible émission (ZFE) avait été adopté sous Emmanuel Macron en 2019 dans la loi d'orientation sur les mobilités, avant d'être étendu en 2021. Or, l'Assemblée nationale a voté ce mardi 17 juin un texte qui prévoit la suppression des ZFE. Les Républicains et le Rassemblement national se sont prononcés main dans la main pour cette disparition. Reste désormais aux sénateurs et aux députés à se mettre d'accord, à voter à nouveau ce projet de loi et à passer sous les fourches caudines du Conseil constitutionnel.La macronie, elle, s'est profondément divisée en dépit des consignes de vote données par le président des députés Renaissance Gabriel Attal et d'Emmanuel Macron qui a expliqué "ne pas être content" de ce détricotage.Comment s'adapter pour tenir face aux vagues de chaleur ? Comment indemniser les déplacés climatiques ? Comment lutter contre la pollution de l'air, alors que les ZFE pourraient être supprimées ?LES EXPERTS :- Marc LOMAZZI - Journaliste spécialiste des questions environnementales - Auteur de « France 2050. Le scénario noir du climat »- Christine PENA - Journaliste météo – France info- Émilie TORGEMEN - Journaliste chargée des questions d'environnement - « Le Parisien - Aujourd'hui en France »- Nicolas CHATEAUNEUF - Rédacteur en chef adjoint Sciences et Environnement - France Télévisions- DR Faïza BOSSY - Médecin généraliste, nutritionniste (via Skype)

Invité Afrique
«Les années Biya»: l'écrivain camerounais Haman Mana décrypte le parcours présidentiel de Paul Biya

Invité Afrique

Play Episode Listen Later Jun 17, 2025 7:57


Les années Biya, c'est le titre du livre qui vient de paraître aux Éditions du Schabel. Dans cette enquête de 700 pages, bâtie sur des confidences et des archives inédites, l'essayiste camerounais Haman Mana raconte en détail les 42 années et demie du président Paul Biya à la tête du Cameroun. Les succès comme les échecs. Tour à tour journaliste à Cameroon Tribune, puis directeur de publication au journal Mutations, puis patron du journal Le Jour, Haman Mana a été le témoin de beaucoup d'évènements sous la présidence de Paul Biya. À quatre mois de la présidentielle, il répond aux questions de Christophe Boisbouvier.  RFI : Haman Mana, l'un des temps forts de votre livre, c'est la présidentielle d'octobre 1992. Paul Biya a dû accorder le multipartisme. Dans le pays d'à côté, le Congo-Brazzaville, le président Denis Sassou Nguesso vient d'être battu par Pascal Lissouba. C'est le vent du changement. Et pourtant, Paul Biya est officiellement réélu, mais avec seulement quatre points d'avance sur John Fru Ndi, un score très serré. Est-ce à dire que le parti au pouvoir RDPC était moins aguerri, moins fort qu'aujourd'hui ? Haman Mana : Le parti RDPC était moins sophistiqué dans sa capacité à manipuler les chiffres. À l'époque, je pense qu'il y a une grande mobilisation autour du Social Democratic Front. De John Fru Ndi ? De John Fru Ndi et il y a ce raz-de-marée vers les urnes qui fait que tout le monde est d'accord là-dessus aujourd'hui. C'est John Fru Ndi qui a remporté ces élections, mais ce n'est qu'en dernière minute, à la Commission nationale de recensement des votes, avec un afflux de votes venant tardivement de l'Extrême Nord, qu'on a dû corriger les résultats. J'en parle parce que je suis un témoin oculaire. J'étais jeune journaliste à Cameroun Tribune et c'est moi qui ai couvert non-stop. On a appelé ça la Commission nationale de recensement des votes. Non, je pense que le pouvoir n'était pas encore aguerri dans ces techniques de modification des résultats de vote. Voilà. Vous rappelez aussi qu'en octobre 1992, le Nordiste Bello Bouba Maigari arrive troisième avec 19 % des voix. Est-ce que l'opposition aurait gagné si Fru Ndi et Bello n'avaient pas été divisés ? Si l'opposition avait été unie, peut-être que John Fru Ndi aurait gagné. Mais maintenant, c'est sans compter avec la volonté absolue, la volonté claire du Rassemblement démocratique du peuple camerounais et de Paul Biya de rester au pouvoir. Alors John Fru Ndi est décédé, mais Paul Biya et Bello Bouba Maigari sont toujours là. Est-ce que vous pensez qu'on va les revoir tous les deux comme candidats en octobre prochain ? Ecoutez, ça dépend de l'arithmétique. À l'heure actuelle, on sait que Bello Bouba, politiquement peut-être, n'est plus ce qu'il était à cette époque-là. Donc cela fera partie des calculs. Maintenant, il y a l'inconnue Maurice Kamto. Est ce qu'on acceptera sa candidature ? À ce qu'il me semble, peut-être que Bello Bouba Maigari n'est pas un protagoniste décisif dans l'élection de 2025, sauf s'il adoube Maurice Kamto. Autre temps fort dans votre livre, la querelle territoriale entre le Cameroun et le Nigeria sur la presqu'île de Bakassi. On est en 1994 et vous dites que là, c'est une réussite pour le régime de Paul Biya ? Oui, bien sûr. Mon livre est là pour rendre compte de ce qui s'est passé. Mon livre n'est pas là pour peindre en noir un régime. Non. Et ce qui me semble, tout le monde est d'accord là-dessus, Paul Biya a bien joué. C'est une carte qu'il a bien jouée par une forme de pondération, par une forme d'utilisation de ses relais internationaux et également par l'expertise juridique locale. C'est là où on retrouve Maurice Kamto. On savait déjà que Maurice Kamto n'était pas forcément quelqu'un de favorable au régime en place, mais compte tenu de son expertise, il était l'une des figures de proue de l'équipe et, après avoir remporté sur le plan juridique, Paul Biya a engagé une négociation politique pour pouvoir obtenir ce qu'il avait gagné juridiquement. Là, c'était bien joué. Pendant ces 43 années de présidence de Paul Biya, il y a dans votre livre plusieurs fils conducteurs, la corruption, la répression. Vous parlez notamment des plus de 100 jeunes émeutiers de la faim qui sont tués à Douala en février 2008. Pourquoi avez-vous tenu à faire le portrait de l'ancien Secrétaire général de la présidence, Marafa Hamidou Yaya, qui est en prison depuis 2012 ? Oui, c'est pour dire l'absurdité qui entoure la question de la succession de Monsieur Biya et ceci depuis le début des années 2000. C'est-à-dire qu'il est question de couper en réalité toutes les têtes qui dépassent. Voilà ! Oui, vous citez l'ambassadeur des États-Unis à Yaoundé qui dit que « Marafa est en prison parce qu'il a pensé au pouvoir ». Exactement. Ça, ce sont les fuites de Wikileaks qui ont mis cela dehors. Et voilà ce qu'il est advenu. Et puis, dans votre livre, vous dites : « Je raconte le long chemin sur lequel Paul Biya a mené le Cameroun au bord de l'abîme, non sans la complicité de ce peuple qui, paresseusement, s'est laissé choir. » Oui, je pense que c'est trop facile de dire que Paul Biya a fait ci, Paul Biya a fait ça. La société civile camerounaise, le peuple camerounais, se lie lui-même les mains dans un pacte de paresse, de corruption. Non, en réalité, chez moi, il est plus question de piquer l'orgueil des uns et des autres afin qu'ils se ressaisissent. En réalité, c'est un appel à la réappropriation du Cameroun par les Camerounais. À lire aussiCameroun: à 92 ans, Paul Biya investit les réseaux sociaux à cinq mois de la présidentielle

Le débat des grandes voix
Rassemblement pour Rima Hassan place de la République : la mairie de Saint-Denis hisse le drapeau palestinien sur sa façade

Le débat des grandes voix

Play Episode Listen Later Jun 14, 2025 10:45


Tous les vendredis, samedis et dimanches soirs, Pascale de la Tour du Pin reçoit deux invités pour des débats d'actualité. Avis tranchés et arguments incisifs sont au programme.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Le grand journal du week-end - Philippe Vandel
Rassemblement pour Rima Hassan place de la République : la mairie de Saint-Denis hisse le drapeau palestinien sur sa façade

Le grand journal du week-end - Philippe Vandel

Play Episode Listen Later Jun 14, 2025 10:45


Tous les vendredis, samedis et dimanches soirs, Pascale de la Tour du Pin reçoit deux invités pour des débats d'actualité. Avis tranchés et arguments incisifs sont au programme.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Les histoires de 28 Minutes
Trump face aux juges, Sommet sur l'Océan, Macron et l'Assemblée… : Le Club international

Les histoires de 28 Minutes

Play Episode Listen Later Jun 14, 2025 46:09


L'émission 28 minutes du 14/06/2025 Ce samedi, Renaud Dély décrypte l'actualité internationale avec nos clubistes : Meriem Amellal, journaliste à France 24, spécialiste du Moyen-Orient, Richard Werly, correspondant à Paris du quotidien suisse Blick.fr, Birgit Holzer, correspondante pour la presse régionale allemande à Paris et le dessinateur de presse, président de la Fondation Freedom Cartoonists, Patrick Chappatte.1 an après la dissolution : où en est la clarification promise par Emmanuel Macron ?Retour en juin 2024. Au lendemain de la victoire de la liste du Rassemblement national de Jordan Bardella aux élections européennes, Emmanuel Macron annonçait la dissolution de l'Assemblée nationale, suscitant une onde de choc et des réactions à la chaîne. Son objectif : permettre aux Français de redéfinir l'orientation parlementaire du pays via les urnes et, espérait-il, renforcer sa majorité. Un an plus tard, fort est de constater que le résultat demeure loin de ses attentes. Fragmentée, avec 11 groupes politiques et un Premier ministre qui peine à faire passer ses réformes, l'Assemblée nationale attire les regards des spéculateurs à l'approche du 8 juillet, date à partir de laquelle une nouvelle dissolution deviendrait juridiquement possible. Les juges américains, meilleur rempart face à l'autoritarisme de Donald Trump ?Le déploiement de la Garde nationale à Los Angeles décidé par Donald Trump vient d'être jugé illégal par le juge fédéral, Charles Breyer. Motif : le président aurait agi sans l'aval du Congrès, en violation de la procédure en vigueur. Le juge exige que le contrôle des troupes revienne au gouverneur californien, le démocrate Gavin Newsom. Du côté de la présidence, on pointe l'ingérence dans les prérogatives du président en tant que chef des armées. Ce bras de fer reflète les tensions croissantes entre le pouvoir exécutif et les juges, dans un climat où Trump, plus autoritaire que jamais, suscite des inquiétudes sur le respect de l'État de droit. Peut-on parler de dérive autocratique ?La journaliste pour “Arrêt sur images” et autrice Nassira El Moaddem publie “Et si on rentrait au bled en train ?” (Collection Voyages Gallimard), un guide de voyage à la fois personnel et incarné. Ce trajet entre la France et le Maroc, elle le connaît bien pour l'avoir effectué à de nombreuses reprises depuis son plus jeune âge. Mais en 2022, elle choisit d'opter pour un moyen de transport inédit — et plus écologique — : le train. Dans ce livre, elle partage cette traversée singulière, mêlant souvenirs d'enfance, réflexions intimes et chroniques de voyage.Valérie Brochard nous emmène au Royaume-Uni qui, en parallèle de la Conférence des Nations Unies sur l'Océan (cette semaine à Nice), a annoncé une initiative majeure : celle d'interdire le chalutage de fond sur plus de la moitié de ses zones marines protégées. Un modèle à suivre pour les autres grandes puissances maritimes ? Olivier Boucreux décerne le titre d'employé de la semaine à Christophe Castaner, ancien ministre de l'Intérieur et aujourd'hui lobbyiste pour le site de prêt-à-porter chinois : Shein. Le 10 juin, le Sénat a validé une proposition de loi visant à encadrer la fast fashion. En ligne de mire : Shein, connue pour ses milliers de nouveautés vestimentaires mises en ligne chaque jour. Au sein d'une Allemagne de plus en plus polarisée, Nius, une chaîne allemande sur YouTube qui revendique déjà plus de 330 000 abonnés, ne cesse de grandir. Jean-Mathieu Pernin en a profité pour zapper sur celle qui s'est inspirée du modèle de Fox News aux États-Unis et de CNews en France.Paola Puerari pose son regard sur le retour sur scène de Dorothée, icône télévisuelle de l'éponyme Club Dorothée, annoncé pour 2026. L'occasion de méditer sur la question de la nostalgie chez les adultes.Enfin, ne manquez pas la question très intéressante de David Castello-Lopes : comment les koalas ont-ils survécu ?28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 14 juin 2025 Présentation Renaud Dély Production KM, ARTE Radio

Les histoires de 28 Minutes
Israël attaque l'Iran, taxe Zucman, Greta Thunberg : Le Club 28'

Les histoires de 28 Minutes

Play Episode Listen Later Jun 13, 2025 45:23


L'émission 28 minutes du 13/06/2025 Ce vendredi, Renaud Dély décrypte l'actualité en compagnie de nos clubistes : Isabelle Saporta, essayiste et éditorialiste, Jean-Loup Bonnamy, essayiste, docteur en philosophie et spécialiste de géopolitique, Pierre Jacquemain, rédacteur en chef de l'hebdomadaire “Politis” ainsi que le dessinateur de presse et président de Cartooning for Peace, Kak.Taxe Zucman : l'impôt sur le patrimoine qui fait cauchemarder les riches ?Jeudi 12 juin, la proposition de loi sur la "taxe Zucman" a été refusée par le Sénat. Cette initiative, portée par le groupe écologiste et pensée par l'économiste Gabriel Zucman, ambitionne de créer un impôt plancher à hauteur de 2 % sur les patrimoines au-delà de 100 millions d'euros. Le projet de loi avait été adopté par l'Assemblée nationale le 20 février, grâce à un vote uni de la gauche, qui a pu s'imposer face aux députés du camp présidentiel et des Républicains grâce à l'abstention du Rassemblement national. Les partisans de cette taxe expliquent qu'elle pourrait rapporter jusqu'à 25 milliards d'euros, alors que le gouvernement est à la recherche de 40 milliards d'euros pour réduire le  déficit. Ce dernier dénonce une mesure "confiscatoire et inefficace" qui pourrait favoriser l'exil fiscal des plus riches. Israël attaque l'Iran : le point de non-retour est atteint au Moyen-Orient ?Dans la nuit du 12 au 13 juin, Israël a bombardé  l'Iran à plusieurs reprises afin  de mettre un terme au programme nucléaire iranien, et de tuer la chaîne de commandement militaire iranienne. Alors que Benyamin Netanyahu s'est félicité du "succès" de l'opération, Abbas Araghchi, ministre des Affaires étrangères iranien, a dénoncé "une déclaration de guerre". Cette attaque israélienne permet à Donald Trump d'accentuer la pression mise sur Téhéran dans le cadre des négociations sur le nucléaire iranien. "L'Iran doit conclure un accord avant qu'il ne reste plus rien", a-t-il tonné dans un post sur sa plateforme Truth Social.  L'escalade entre Israël et l'Iran a-t-elle atteint un point de non-retour ? Samia Lorrain-Djidar est commissaire de la série d'expositions "Machine arrière", qui se tient à la Cité des sciences et de l'industrie, à Paris, jusqu'au 2 novembre. Elles proposent de remonter le temps au travers de trois objets et technologies emblématiques de la communication. La première d'entre elles présente le radio-transistor. L'objectif de cette série d'expositions "intergénérationnelle" est de mettre en avant l'aspect "collectif" de ces objets.Le Madleen, un navire affrété pour apporter de l'aide humanitaire et dénoncer le blocus imposé à Gaza par Israël, a été arraisonné lundi 9 juin dans les eaux internationales par la marine israélienne. Ses passagers ont été placés en détention avant leur expulsion. Parmi eux figurent plusieurs Français mais également l'activiste suédoise Greta Thunberg qui a porté le projet à l'international. Donald Trump s'est saisi du cas de cette dernière, affirmant qu'elle "devrait prendre des cours de gestion de la colère". C'est le duel de la semaine de Frédéric Says. Suite au meurtre d'une surveillante d'un collège de Nogent (Haute-Marne), poignardée par un élève mardi 10 juin, les réseaux sociaux sont mis en cause par les responsbales politiques. Alors que la ministre de l'Éducation nationale, Élisabeth Borne, dénonce "la surexposition aux écrans" des jeunes, Emmanuel Macron a annoncé vouloir interdire les réseaux sociaux aux moins de 15 ans. C'est le Point com de Paola Puerari. Brian Wilson, leader du groupe de rock californien les Beach Boys, est décédé mercredi 11 juin. Dans les années 1960, ce chanteur et bassiste a constitué le fer de lance de la réponse américaine à la déferlante liverpuldienne des Beatles. C'est l'histoire de la semaine de Claude Askolovitch.Enfin, ne manquez pas la Une internationale sur les manifestations à Los Angeles contre les arrestations d'immigrés ; les photos de la semaine soigneusement sélectionnées par nos invités, ainsi que Dérive des continents de Benoît Forgeard !28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 13 juin 2025 Présentation Renaud Dély Production KM, ARTE Radio

radio-immo.fr, l'information immobilière
MaPrimeRenov' : la députée macroniste du Finistère Annaïg Le Meur s'exprime sur la reprise du dispositif le 15 septembre 2025 - A la Une des Quatre Colonnes

radio-immo.fr, l'information immobilière

Play Episode Listen Later Jun 13, 2025 9:54


Le dispositif d'aide à la rénovation énergétique MaPrimeRénov' lancé en 2020 par l'État et géré par l'Agence nationale de l'habitat (ANAH) reprendra le 15 septembre 2025 après une suspension cet été dans l'optique d'identifier les dossiers frauduleux, a déclaré, le 10 juin 2025, la ministre des Comptes publics, Amélie de Montchalin. Quelques jours après que le Président de la République Emmanuel Macron a demandé à son Gouvernement de « maintenir » le cap sur l'écologie, la ministre Amélie de Montchalin a précisé ce mardi sur la radio RTL que les propriétaires de logements pourront déposer leur dossier de demande d'aide « jusqu'à la fin du mois de juin 2025, avant la suspension du dispositif prévu au 1er juillet 2025. À la suite de plusieurs questions et interventions musclées autour de MaPrimeRenov' et du bilan écologique du Gouvernement lors de la séance des Questions au gouvernement ce mardi 10 et mercredi 11 juin, en l'occurrence de Vincent Descœur, député (Droite Républicaine) du Cantal, Annaïg Le Meur, députée (Ensemble pour la République), François Piquemal député (LFI) de Haute-Garonne, Sophie Mette, députée (Les Démocrates) de Gironde, Frédéric Falcon, député (Rassemblement national) de l'Aude, Pierre Cazeneuve, député (Ensemble pour la République) des Hauts-de-Seine, Valérie Létard, a affirmé et répété que le budget de 3,6 milliards d'euros pour 2025 serait « complété avec plusieurs centaines de millions d'euros de certificats d'économie d'énergie (CEE)», dispositif financé par les entreprises. Pour rappel, les certificats d'économies d'énergie (CEE) sont un dispositif basé sur le principe du pollueur-payeur, qui oblige les fournisseurs d'énergie à financer des actions de réduction de la consommation d'énergie et d'amélioration de l'efficacité énergétique. Annaïg Le Meur députée depuis 2017 du groupe (Ensemble pour La République) du Finistère (circonscription de Quimper, ville de 64 530 habitants) et présidente du Conseil national de l'habitat (CNH) depuis fin décembre 2024 le martèle ce mardi sur Radio.Immo : « MaPrimeRénov' est victime de son succès. La suspension temporaire permettra de mieux calibrer le dispositif : plus de rapidité, plus de lisibilité, plus de fiabilité, pour les ménages, les entreprises, les collectivités. »

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MaPrimeRenov' : la députée macroniste du Finistère Annaïg Le Meur s'exprime sur la reprise du dispositif le 15 septembre 2025 - A la Une des Quatre Colonnes

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Play Episode Listen Later Jun 13, 2025 9:54


Le dispositif d'aide à la rénovation énergétique MaPrimeRénov' lancé en 2020 par l'État et géré par l'Agence nationale de l'habitat (ANAH) reprendra le 15 septembre 2025 après une suspension cet été dans l'optique d'identifier les dossiers frauduleux, a déclaré, le 10 juin 2025, la ministre des Comptes publics, Amélie de Montchalin. Quelques jours après que le Président de la République Emmanuel Macron a demandé à son Gouvernement de « maintenir » le cap sur l'écologie, la ministre Amélie de Montchalin a précisé ce mardi sur la radio RTL que les propriétaires de logements pourront déposer leur dossier de demande d'aide « jusqu'à la fin du mois de juin 2025, avant la suspension du dispositif prévu au 1er juillet 2025. À la suite de plusieurs questions et interventions musclées autour de MaPrimeRenov' et du bilan écologique du Gouvernement lors de la séance des Questions au gouvernement ce mardi 10 et mercredi 11 juin, en l'occurrence de Vincent Descœur, député (Droite Républicaine) du Cantal, Annaïg Le Meur, députée (Ensemble pour la République), François Piquemal député (LFI) de Haute-Garonne, Sophie Mette, députée (Les Démocrates) de Gironde, Frédéric Falcon, député (Rassemblement national) de l'Aude, Pierre Cazeneuve, député (Ensemble pour la République) des Hauts-de-Seine, Valérie Létard, a affirmé et répété que le budget de 3,6 milliards d'euros pour 2025 serait « complété avec plusieurs centaines de millions d'euros de certificats d'économie d'énergie (CEE)», dispositif financé par les entreprises. Pour rappel, les certificats d'économies d'énergie (CEE) sont un dispositif basé sur le principe du pollueur-payeur, qui oblige les fournisseurs d'énergie à financer des actions de réduction de la consommation d'énergie et d'amélioration de l'efficacité énergétique. Annaïg Le Meur députée depuis 2017 du groupe (Ensemble pour La République) du Finistère (circonscription de Quimper, ville de 64 530 habitants) et présidente du Conseil national de l'habitat (CNH) depuis fin décembre 2024 le martèle ce mardi sur Radio.Immo : « MaPrimeRénov' est victime de son succès. La suspension temporaire permettra de mieux calibrer le dispositif : plus de rapidité, plus de lisibilité, plus de fiabilité, pour les ménages, les entreprises, les collectivités. »

Le vrai du faux
Y a-t-il vraiment 1 000 faits de violences chaque jour et 5 000 homicides ou tentatives par an, comme l'affirme Éric Ciotti?

Le vrai du faux

Play Episode Listen Later Jun 12, 2025 2:15


durée : 00:02:15 - Le vrai ou faux - Le député des Alpes-Maritimes et allié du Rassemblement national Éric Ciotti a donné plusieurs chiffres sur la délinquance et la criminalité, après le meurtre d'une surveillante de collège. Le Vrai ou Faux les passe en revue.

C dans l'air
Marc Lazar - Marine Le Pen dans les pas d'Orban?

C dans l'air

Play Episode Listen Later Jun 10, 2025 11:10


C dans l'air l'invité du 9 juin 2025 avec Marc Lazar, historien et sociologue, professeur émérite à Sciences Po, et à l'université Luiss de Rome. Un an après les élections européennes, et deux ans avant la présidentielle, Marine Le Pen et Jordan Bardella s'affichent ensemble lundi dans le Loiret lors d'un meeting avec plusieurs de leurs partenaires européens. L'événement a été baptisé "La fête de la victoire": celle remportée ce 9 juin 2024, il y a un an jour pour jour, par le Rassemblement national lorsque sa liste est arrivée en tête du scrutin européen en recueillant 31,37 % des suffrages, à l'époque le meilleur score de l'histoire du parti d'extrême droite lors d'un premier tour.Sont présents le vice-président du Conseil des ministres italien Matteo Salvini, le leader du parti espagnol Vox Santiago Abascal, ainsi que le Premier ministre hongrois Viktor Orban, qui s'est déjà fendu dimanche sur Facebook d'un message évoquant Montargis, théâtre de violences urbaines il y a deux ans et selon lui "un exemple à petite échelle de ce (...) qui se passe lorsque les patriotes perdent le contrôle".L'anniversaire des Européennes du 9 juin coïncide également avec celui de la dissolution. Le RN a depuis fait élire 120 députés. Un an après, Jordan Bardella a changé de statut, à présent candidat possible à la présidentielle si l'inéligibilité de Marine Le Pen devait être confirmée par la Cour d'appel à l'été 2026.Marc Lazar, historien et sociologue, professeur émérite à Sciences Po, et à l'université Luiss de Rome, reviendra avec nous sur cette "Fête de la victoire", organisée dans le Loiret. Quelle est la tendance en Europe concernant les partis populistes, notamment après l'élection du président Karol Nawrocki en Pologne ? Quels sont les points communs entre Marine Le Pen et d'autres leaders européens, notamment Viktor Orban ? Aussi, quelles sont leurs différences, et leurs relations avec le président américain Donald Trump ?

La Revue de Presse
Le RN rassemble l'extrême droite européenne pour afficher son soutien à Marine Le Pen

La Revue de Presse

Play Episode Listen Later Jun 10, 2025 6:50


Un an après leurs résultats aux élections européennes, le Rassemblement national a organisé, ce lundi 9 juin, une réunion dans le Loiret afin de revivre cet événement. Une démonstration de force entachée par les divisions internes, notamment depuis la peine d'inéligibilité de Marine Le Pen en avril. Viktor Orban, Matteo Salvini, ou encore Santiago Abascal, étaient de la partie. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Dans la presse
RN : "Un rassemblement d'europhobes financé... par l'UE"

Dans la presse

Play Episode Listen Later Jun 10, 2025 6:49


À la une de la presse, ce mardi 10 juin, l'échec, en Italie, d'un référendum proposant de faciliter les naturalisations et d'abroger des mesures de libéralisation du marché du travail, faute de participation. Un rassemblement, en France, autour du RN, de l'extrême-droite européenne. Un meeting europhobe financé par l'UE. La guerre des tondeuses à gazon et une bataille rangée entre otaries.

Débat du jour
Jusqu'où ira la vague populiste en Europe ?

Débat du jour

Play Episode Listen Later Jun 9, 2025 29:30


Une partie de l'extrême-droite européenne était rassemblée ce lundi dans le Loiret (sud de Paris) à l'invitation du Rassemblement national. Aux côtés de Marine Le Pen et Jordan Bardella se trouvaient également le Premier ministre hongrois Viktor Orban ou encore le vice-président du Conseil des ministres italien Matteo Salvini. Objectif affiché : montrer l'union entre les droites populistes européennes après plusieurs scrutins qui ont vu se poursuivre leur montée en puissance.Les raisons du vote populiste sont-elles les mêmes selon les pays d'Europe ? De futures victoires en Europe de l'ouest sont-elles inéluctables ? Qu'est-ce qui pourrait endiguer cette vague ? Beatrice Giblin, géographe, professeure émérite à l'Institut Français de Géopolitique Université Paris 8, et directrice de la revue de géographie et de géopolitique Hérodote  Tristan Guerra, responsable de la recherche pour le Think tank Destin Commun, politologue, spécialiste des comportements électoraux, de l'opinion et la polarisation politique en Europe  Lukas Macek, politiste, chercheur et chef du centre Grande Europe de l'institut Jacques Delors 

Rothen s'enflamme
Le procureur Rothen accuse Mbappé d'avoir loupé son rassemblement – 09/06

Rothen s'enflamme

Play Episode Listen Later Jun 9, 2025 5:43


Un acteur du monde du foot est l'accusé du soir. Il est ensuite défendu avant le verdict du juge.

Débat du jour
Jusqu'où ira la vague populiste en Europe ?

Débat du jour

Play Episode Listen Later Jun 9, 2025 29:30


Une partie de l'extrême-droite européenne était rassemblée, ce lundi 9 juin 2025, dans le Loiret (sud de Paris) à l'invitation du Rassemblement national. Aux côtés de Marine Le Pen et Jordan Bardella se trouvaient également le Premier ministre hongrois Viktor Orban ou encore le vice-président du Conseil des ministres italien Matteo Salvini. Objectif affiché : montrer l'union entre les droites populistes européennes après plusieurs scrutins qui ont vu se poursuivre leur montée en puissance. Les raisons du vote populiste sont-elles les mêmes selon les pays d'Europe ? De futures victoires en Europe de l'Ouest sont-elles inéluctables ? Qu'est-ce qui pourrait endiguer cette vague ? Avec : Béatrice Giblin, géographe, professeure émérite à l'Institut français de Géopolitique, Université Paris 8, et directrice de la revue de géographie et de géopolitique Hérodote Tristan Guerra, responsable de la recherche pour le think tank Destin Commun, politologue, spécialiste des comportements électoraux, de l'opinion et de la polarisation politique en Europe  Lukas Macek, politiste, chercheur et chef du centre Grande Europe de l'Institut Jacques Delors. 

Le retour de Mario Dumont
Feux de forêt: l'Ontario maintenant touché

Le retour de Mario Dumont

Play Episode Listen Later Jun 9, 2025 2:47


Manifestations à Los Angeles. Les feux de forêt se propagent rapidement dans l’Ouest. Carney fera une annonce importante à 10h. Abolition du prix plancher de l’essence. Rassemblement autour de l’IA aujourd’hui. Tour de table entre Isabelle Perron, Audrey Gagnon et Mario Dumont. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radio Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr

Le Billet politique
TVA sociale : qui s'y frotte s'y pique ?

Le Billet politique

Play Episode Listen Later Jun 5, 2025 4:10


durée : 00:04:10 - Le Billet politique - par : Jean Leymarie - Et si le gouvernement instaurait la TVA sociale ? Pour la gauche et le Rassemblement national, un chiffon rouge.

8.30 franceinfo:
"Climat de haine" en France, propos racistes sur Facebook, suspension de MaPrimRénov'... Le "8h30 franceinfo" de Sébastien Chenu

8.30 franceinfo:

Play Episode Listen Later Jun 5, 2025 25:54


durée : 00:25:54 - 8h30 franceinfo - Le vice-président du Rassemblement national et député du Nord était l'invité du "8h30 franceinfo", jeudi 5 juin 2025.

Les histoires de 28 Minutes
Sommet de l'ONU sur l'Océan / Ultradroite, la nouvelle menace terroriste ?

Les histoires de 28 Minutes

Play Episode Listen Later Jun 5, 2025 46:22


L'émission 28 minutes du 05/06/2025 Sommet de l'ONU sur l'Océan : le plancton, sauveur de l'humanité ? L'UNOC, la conférence des Nations Unies sur l'océan, co-organisée par la France et le Costa Rica, prendra place du 9 au 13 juin à Nice. Depuis le 3 juin, des scientifiques du monde entier se réunissent en congrès avant celui de l'ONU. Nous recevons Vincent Doumeizel, conseiller pour les océans au Pacte mondial des Nations Unies et spécialiste des algues. Il a publié “Le manifeste du plancton” (aux éditions Équateurs) et une BD, “La révolution des algues” (aux éditions Futuropolis). Selon lui, le plancton et les algues vont sauver l'humanité. Le plancton comprend tout ce qui dérive dans les océans, du virus microscopique aux méduses, en passant par les siphonophores, les organismes vivants les plus longs du monde. Vincent Doumeizel rappelle que le plancton est à l'origine du vivant et compose 90 % de la biomasse de l'océan. Grâce à lui, les océans absorbent 30 % des gaz à effet de serre, un pourcentage supérieur à celui des forêts. Pourtant, il reste le grand oublié de la COP Biodiversité. Meurtre de Puget-sur-Argens : ultradroite, la nouvelle menace terroriste ?Le Parquet national antiterroriste s'est saisi le 2 juin du meurtre de Hichem Miraoui, un coiffeur tunisien de 45 ans, tué par balles le 31 mai à Puget-sur-Argens, dans le Var. Une enquête pour “assassinat et tentative d'assassinat en relation avec une entreprise terroriste, commis en raison de la race ou la religion” a été ouverte. Le principal suspect est le voisin de la victime, un Français de 53 ans, qui est également soupçonné d'avoir tiré sur un ressortissant turc de 25 ans. Il a revendiqué son geste, avant et après son passage à l'acte, avec la publication de cinq vidéos sur Facebook qui s'apparentent à un manifeste raciste où il appelle “les Français” à “se réveiller” et à l'imiter en s'en prenant aux “islamiques”. Il fait également allégeance au drapeau “bleu-blanc-rouge” et fait clairement référence au Rassemblement national. Cette saisie est une première pour le parquet national anti-terroriste dans le cadre d'un homicide raciste, inspiré par l'ultradroite, depuis sa création en 2019. Les magistrats ne s'étaient par exemple pas saisis de l'assassinat d'Aboubakar Cissé en avril dans une mosquée du Gard. On en débat avec Magali Lafourcade, magistrate et secrétaire générale de la CNCDH, Paul Conge, journaliste spécialiste police-justice à  BFMTV et Erwan Lecoeur, sociologue, spécialiste de l'extrême droite.Xavier Mauduit nous raconte une vraie-fausse histoire de Napoléon, issue d'une œuvre de fiction écrite par Louis Geoffroy au 19e siècle dans laquelle l'empereur finit par régner sur le monde entier. Marie Bonnisseau s'intéresse aux messages vocaux qui envahissent nos téléphones et sont devenus un mode de communication à part entière. 28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 5 juin 2025 Présentation Élisabeth Quin Production KM, ARTE Radio

Les histoires de 28 Minutes
[Débat] Ultradroite, la nouvelle menace terroriste ?

Les histoires de 28 Minutes

Play Episode Listen Later Jun 5, 2025 22:47


L'émission 28 minutes du 05/06/2025 Meurtre de Puget-sur-Argens : ultradroite, la nouvelle menace terroriste ?Le Parquet national antiterroriste s'est saisi le 2 juin du meurtre de Hichem Miraoui, un coiffeur tunisien de 45 ans, tué par balles le 31 mai à Puget-sur-Argens, dans le Var. Une enquête pour “assassinat et tentative d'assassinat en relation avec une entreprise terroriste, commis en raison de la race ou la religion” a été ouverte. Le principal suspect est le voisin de la victime, un Français de 53 ans, qui est également soupçonné d'avoir tiré sur un ressortissant turc de 25 ans. Il a revendiqué son geste, avant et après son passage à l'acte, avec la publication de cinq vidéos sur Facebook qui s'apparentent à un manifeste raciste où il appelle “les Français” à “se réveiller” et à l'imiter en s'en prenant aux “islamiques”. Il fait également allégeance au drapeau “bleu-blanc-rouge” et fait clairement référence au Rassemblement national. Cette saisie est une première pour le parquet national anti-terroriste dans le cadre d'un homicide raciste, inspiré par l'ultradroite, depuis sa création en 2019. Les magistrats ne s'étaient par exemple pas saisis de l'assassinat d'Aboubakar Cissé en avril dans une mosquée du Gard. On en débat avec Magali Lafourcade, magistrate et secrétaire générale de la CNCDH, Paul Conge, journaliste spécialiste police-justice à  BFMTV et Erwan Lecoeur, sociologue, spécialiste de l'extrême droite.28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 5 juin 2025 Présentation Élisabeth Quin Production KM, ARTE Radio

Les histoires de 28 Minutes
[Débat] A69, suppression des ZFE, pesticides : sale temps pour l'écologie ?

Les histoires de 28 Minutes

Play Episode Listen Later Jun 3, 2025 23:16


L'émission 28 minutes du 03/06/2025 A69, suppression des ZFE, pesticides : sale temps pour l'écologie ?Reprise du chantier controversé de l'A69 dans le sud-ouest, suppression des zones à faibles émissions (ZFE) ou encore dérogations à l'objectif fixé par le ZAN (Zéro artificialisation nette) pour éviter la bétonisation : les revers se sont multipliés depuis la semaine dernière pour les écologistes, au niveau judiciaire comme à l'Assemblée nationale. “Une semaine noire pour l'écologie”, s'est désolée Marine Tondelier le 2 juin. Elle dénonce une “coalition anti-écologie” formée par le bloc central, Les Républicains et le Rassemblement national. À l'inverse, la cheffe de file des députés RN, Marine Le Pen, a salué la suppression des ZFE (également votée par La France insoumise) qui serait la “défaite de l'écologie punitive”. Ces revers sanctionnent-ils une écologie jugée trop contraignante ou font-ils primer l'économie sur l'écologie ? On en débat avec Léa Falco, co-fondatrice du collectif “Construire l'écologie” ; Philippe Manière, essayiste et président de Vae Solis communication et Théodore Tallent, chercheur et enseignant en Science politique à Sciences Po.28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 3 juin 2025 Présentation Élisabeth Quin Production KM, ARTE Radio

Les histoires de 28 Minutes
Ré(é)crire les œuvres ? / Sale temps pour l'écologie ?

Les histoires de 28 Minutes

Play Episode Listen Later Jun 3, 2025 45:57


L'émission 28 minutes du 03/06/2025 Sexisme, racisme : la tentation de ré(é)crire les œuvres !“Faut-il réécrire les classiques de la littérature pour les adapter à leur époque ?” est l'une des questions que pose l'historienne et écrivaine Laure Murat dans son dernier essai “Toutes les époques sont dégueulasses” (éditions Verdier). Elle convoque notamment les débats autour du sexisme de James Bond ou encore l'antisémitisme de Roald Dahl dans “Sacrées sorcières”. Elle passe en revue les différentes façons d'accéder à des textes supposés problématiques à cause d'éléments racistes, misogynes ou dérangeants selon les sensibilités contemporaines. Laure Murat ne veut pas s'insurger contre une “réécriture de l'histoire” sous la pression d'une minorité ni porter aux nues le mythe d'un texte original qui ne souffrirait aucun changement. Elle distingue “réécriture” et “récriture”, l'une qui relève de l'adaptation, l'autre qui se débarrasse des mots qui fâchent et heurtent notre sensibilité. A69, suppression des ZFE, pesticides : sale temps pour l'écologie ?Reprise du chantier controversé de l'A69 dans le sud-ouest, suppression des zones à faibles émissions (ZFE) ou encore dérogations à l'objectif fixé par le ZAN (Zéro artificialisation nette) pour éviter la bétonisation : les revers se sont multipliés depuis la semaine dernière pour les écologistes, au niveau judiciaire comme à l'Assemblée nationale. “Une semaine noire pour l'écologie”, s'est désolée Marine Tondelier le 2 juin. Elle dénonce une “coalition anti-écologie” formée par le bloc central, Les Républicains et le Rassemblement national. À l'inverse, la cheffe de file des députés RN, Marine Le Pen, a salué la suppression des ZFE (également votée par La France insoumise) qui serait la “défaite de l'écologie punitive”. Ces revers sanctionnent-ils une écologie jugée trop contraignante ou font-ils primer l'économie sur l'écologie ? L'historien Pierre Nora est mort le 2 juin à l'âge de 93 ans. Xavier Mauduit revient sur son ouvrage incontournable “Lieux de mémoire”, qui a contribué à réveiller les débats sur la question mémorielle. Marie Bonnisseau nous présente le dessin animé “Tuttle Twins” : venu des États-Unis il cartonne en Argentine mais est dénoncé par l'opposition comme une “tentative d'endoctrinement des petits Argentins”. 28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 3 juin 2025 Présentation Élisabeth Quin Production KM, ARTE Radio

L'entretien de Sonia Mabrouk
Débordements en marge de la victoire du PSG : «Ces barbares nous volent tout», dénonce Jean-Philippe Tanguy

L'entretien de Sonia Mabrouk

Play Episode Listen Later Jun 2, 2025 16:06


Jean-Philippe Tanguy, député Rassemblement national de la Somme et président délégué du groupe RN à l'Assemblée nationale, répond aux questions de Sonia Mabrouk au sujet des débordements en marge de la victoire du PSG en Ligue des champions, "des barbares" évoqués par Bruno Retailleau dont les propos ont été dénoncés par l'extrême gauche, de la réaction d'Emmanuel Macron sur X, de nouvelles dégradations sur fond d'antisémitisme, du budget et de la menace de censure du RN. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Estelle Midi
Guillaume Farde, consultant sécurité BFMTV : "Ça fait 5 à 7 ans que chaque rassemblement s'accompagne de pillages" - 02/06

Estelle Midi

Play Episode Listen Later Jun 2, 2025 5:02


Avec : Emmanuelle Dancourt, journaliste indépendante. Périco Legasse, journaliste. Et Frédéric Hermel, journaliste RMC. - Toujours accompagnée de Rémy Barret et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs, sexo… En simultané sur RMC Story.

Revue de presse française
A la Une, le Paris Saint-Germain en rêvait, il l'a fait !

Revue de presse française

Play Episode Listen Later Jun 1, 2025 6:15


On connaissait le fameux « À jamais les premiers » de l'Olympique de Marseille… Le Parisien Dimanche rétorque ce matin d'un « À jamais les meilleurs » après la victoire sans conteste et sans pitié du Paris Saint-Germain hier en finale de la Ligue des Champions. 5-0 face à l'Inter Milan, véritable « démonstration » de force qui, écrit La Tribune Dimanche, « se hisse parmi les moments majeurs de l'histoire du sport tricolore ». Face à une équipe aussi jeune que talentueuse, les Milanais « faisaient leur âge (30 ans de moyenne sur le terrain) » plutôt que de « faire étalage de leur expérience » écrit l'hebdo un brin cruellement. Un club quasi-invisible pendant tout le match, qui a légitimé une bonne fois pour toutes « le nouveau projet » du PSG, sans Messi, sans Neymar, sans Mbappé, bref « plus jeune » et « plus français ». Un joueur a brillé Un joueur particulièrement Doué, vous me passerez le jeu de mots de piètre qualité… Désiré Doué donc, que Le Parisien Dimanche porte aux nues. Le titre, fasciné par ce « phénomène de 19 ans », auteur hier d'un doublé et d'une passe décisive. « Bien avant le coup de sifflet final, se délecte l'hebdo, il ne faisait de doute pour personne au cœur du peuple parisien que Désiré Doué n'a jamais mieux porté, mieux honoré » son patronyme. « À trois jours de son anniversaire, le vingtième, poursuit Le Parisien Dimanche, l'attaquant s'est offert le cadeau dont rêvent tous les footballeurs de la planète (…) : celui de (…) devenir l'idole de tout un club pour l'éternité ». Un exploit qui relègue le reste au second plan Notamment la présidentielle. Il faut dire que pour les votants, c'est encore dans deux ans… alors que pour les politiques, ce n'est que dans deux ans ! Candidats assumés ou présidentiables imaginés, une partie des revues s'y penche cette semaine… Parmi eux, Le Point, dont la une est consacrée à l'ancien Premier ministre Edouard Philippe. À l'occasion de la sortie de son dernier ouvrage, Le Prix de nos mensonges, celui qui fourbit ses armes depuis 2020 développe ses idées. À commencer par ce « déni français » dont souffrirait la population dans son ensemble. « Notre exceptionnelle aptitude à nous raconter des histoires m'agace » maugrée-t-il dans les colonnes du Point, jugeant que « si nous voulons avancer, nous devons arrêter de nous mentir ». Autre thème sur lequel il rejette toute discussion : « le culte de la transparence » à bannir selon lui, et « la verticalité » qu'il appelle de ses vœux car « dans une démocratie, on a besoin de gens qui sont élus, et on a besoin de chefs qui prennent des décisions ». Sur le reste, l'art de la nuance Il faut dire, comme l'analyse un politologue dans les colonnes du Point toujours, que « pour redevenir majoritaire, la droite devra faire le grand écart » c'est-à-dire à la fois « reconquérir les électeurs du Rassemblement national et convaincre les ralliés au macronisme ». Une forme de « en même temps » 2.0 dont Edouard Philippe refuse d'être l'héritier : « mon objectif n'est pas de me positionner par rapport à une étiquette, (...) à un parti, (...) à un créneau » assène-t-il. Malgré tout, Edouard Philippe prend soin de nuancer, notamment sur les questions identitaires et migratoires. « Je ne crois pas, dit-il, que la fermeté se démontre par des postures et des surenchères permanentes sur les chaînes d'info »; « il serait dangereux, affirme-t-il enfin, de créer un droit spécifique - il faut ici comprendre "droit" au sens de "loi" - pour une religion, et je ne crois pas que la laïcité impose la négation totale de la liberté religieuse dans l'espace public ». Une rupture avec les autres cadors de la droite française Et particulièrement avec Bruno Retailleau, le très droitier ministre de l'Intérieur. À son sujet, Edouard Philippe s'accorde une pique : il n'est « pas sûr » ironise-t-il, que Bruno Retailleau y verrait  « une critique » si on le rangeait dans la « droite Trocadéro », une droite embourgeoisée, catholique, et vieille-France.Droite Trocadéro on ne sait pas, droite à gogo c'est certain pour Marianne, qui n'hésite pas à qualifier le ministre de « moine-soldat de la droite » qui a « souvent croisé la route d'élus de l'extrême-droite, sans leur tourner le dos ». Va-t-il pour autant « réaliser l'union en 2027 ? » … Marianne s'interroge. Le titre pointe que « Retailleau bénéficie des faveurs de la presse de droite et d'extrême-droite » à la télé ou sur papier, où il « déroule ses saillies anti-immigration, multiplie les annonces chocs (…), et affiche une grande fermeté à l'encontre de l'Algérie ».   Le ministre de l'Intérieur le dit d'ailleurs lui-même : interrogé sur sa proximité, ou ses différences, avec le Rassemblement national, il le concède : ce qui le « distingue » de Marine le Pen ou Jordan Bardella, c'est « le programme économique » … pas un mot en revanche sur d'éventuelles divergences idéologiques. Un mot aussi de la situation internationale Que ce soit dans L'Express ou dans Le Point, une préoccupation : les liens entre l'Europe et Donald Trump. Dans le second, on parle plutôt défense et armement; dans le premier, c'est surtout de politique qu'il est question. L'Express fait ainsi le constat d'un trumpisme devenu une « franchise » voire un « label » qui « galvanise les politiques » propulsant les Giorgia Meloni et Viktor Orban de ce monde au sommet grâce à une « boîte à outils » dans laquelle « ils peuvent piocher à l'envi des "punchlines" » comme autant de coups gagnants.Le phénomène n'est en réalité pas nouveau, analyse L'Express, le trumpisme n'a fait que donner un coup d'accélérateur à une idéologie « enracin[é]e dans une colère profonde ». Car il ne faut pas sous-estimer le poids des émotions dans le contexte actuel, souligne de son côté L'Obs. Interrogée par le magazine, la sociologue franco-israélienne Eva Illouz estime ainsi que « le désenchantement et la peur sont devenus le spectre permanent de la démocratie » et que l'extrême droite « capte et organise cette émotionnalité excédentaire ». Auparavant, l'espoir était selon elle l'émotion principale, mais voilà : « la modernité tardive (…) [a] écrasé cette espérance dans le futur ». Faut-il pour autant se lamenter de toute cette colère ? Pas forcément nuance L'Obs… « les émotions fortes permettent d'évaluer ce qui est important pour soi » mais elles sont aussi une « brèche » pour peut-être, enfin, sortir de « la sur-socialisation, le fait de s'identifier totalement à un rôle ». De là à rêver au retour de l'espoir, il n'y a qu'un pas. 

France Culture physique
Jean-Philippe Tanguy, président délégué du RN à l'Assemblée nationale : "Pierre-Edouard Stérin est un exilé fiscal"

France Culture physique

Play Episode Listen Later May 31, 2025 43:22


durée : 00:43:22 - Sens politique - par : Astrid de Villaines - Jean-Philippe Tanguy est député de la Somme et président délégué du groupe RN à l'Assemblée nationale : "En tant que patriote, je ne vois pas comment on peut accepter de l'argent d'exilés fiscaux", a-t-il vertement déclaré à propos du milliardaire controversé Pierre-Edouard Stérin. - réalisation : Peire Legras - invités : Jean-Philippe Tanguy Député Rassemblement national de la Somme

Politique !
Jean-Philippe Tanguy, président délégué du RN à l'Assemblée nationale : "Pierre-Edouard Stérin est un exilé fiscal"

Politique !

Play Episode Listen Later May 31, 2025 43:22


durée : 00:43:22 - Sens politique - par : Astrid de Villaines - Jean-Philippe Tanguy est député de la Somme et président délégué du groupe RN à l'Assemblée nationale : "En tant que patriote, je ne vois pas comment on peut accepter de l'argent d'exilés fiscaux", a-t-il vertement déclaré à propos du milliardaire controversé Pierre-Edouard Stérin. - réalisation : Peire Legras - invités : Jean-Philippe Tanguy Député Rassemblement national de la Somme

C dans l'air
ZFE, A69, pesticides : l'écologie, c'est fini ? - Vos questions sms -

C dans l'air

Play Episode Listen Later May 29, 2025 7:19


C dans l'air du 29 mai 2025 : ZFE, A69, pesticides : l'écologie, c'est fini ?Les députés ont voté mercredi soir la suppression des zones à faibles émissions (ZFE), ces périmètres mis en place pour interdire l'accès aux véhicules les plus polluants dans les centres-villes. Cet amendement, porté par les groupes Les Républicains (LR) et le Rassemblement national (RN), a été soutenu par les insoumis et certains députés macronistes.En ligne de mire : l'impact social des ZFE, accusées de pénaliser les ménages modestes, qui n'ont pas les moyens d'acheter un véhicule moins polluant. Malgré les alertes des défenseurs de la santé publique, le texte a été adopté, au grand dam des partisans du dispositif, qui dénoncent un vote " grave" aux "lourdes conséquences sanitaires" à quelques mois des élections municipales. Ils regrettent également l'absence d'un accompagnement du dispositif pour permettre la transition (aide aux plus modestes, dérogations).Présentes dans une quarantaine d'agglomérations, les ZFE ont été lancées en 2019 pour limiter les émissions de particules fines, responsables de maladies respiratoires et de 40 000 décès par an selon Santé publique France. Mais leur mise en œuvre a varié d'un territoire à l'autre, créant confusion et tensions. Ces derniers mois, les contestations locales s'étaient multipliées.Ce vote ne signifie toutefois pas la fin immédiate des ZFE. Le projet de loi de "simplification", auquel est rattaché cet amendement, doit encore être adopté dans son ensemble. Il passera ensuite en commission mixte paritaire. Le Conseil constitutionnel pourrait également censurer cette mesure, jugée trop éloignée de l'objet initial du texte.Autre dossier brûlant : l'autoroute A69, entre Toulouse et Castres. Mercredi, la cour administrative de Toulouse a autorisé la reprise du chantier, stoppé depuis février. Elle a répondu favorablement à un recours en urgence déposé par l'État, malgré l'absence de "raison impérative d'intérêt public majeur" invoquée par la justice pour suspendre les travaux en février dernier.Le fond du dossier sera examiné lors d'un procès en appel prévu dans plusieurs mois. Mais les opposants craignent que les travaux soient terminés avant. Ils dénoncent un passage en force et prévoient de nouvelles mobilisations, alors qu'un texte controversé, reconnaissant un "intérêt public majeur" au projet, doit être examiné la semaine prochaine à l'Assemblée nationale, après son adoption par le Sénat.La suppression des ZFE et la relance de l'A69 s'inscrivent dans un contexte plus large de remises en cause des politiques environnementales. Ces derniers jours, les parlementaires ont aussi voté des mesures détricotant le principe de "zéro artificialisation nette", qui vise à lutter contre la bétonisation des sols, ou encore décidé de réintroduire un pesticide jusqu'alors interdit.Face à cette dynamique, de nombreuses voix s'élèvent. François Gemenne, professeur à HEC, membre du GIEC et spécialiste des migrations climatiques, alerte depuis plusieurs mois sur la montée d'un "populisme anti-écolo" en France et en Europe. Il déplore une tendance à faire de l'écologie un bouc émissaire et appelle à un changement de ton chez les écologistes eux-mêmes. Selon lui, leur discours moralisateur aurait contribué à braquer une partie de l'opinion publique.LES EXPERTS :- Soazig QUÉMÉNER, rédactrice en chef - La Tribune Dimanche - Nathalie SAINT-CRICQ, éditorialiste politique - France Télévisions - Frédéric DENHEZ, journaliste spécialiste des questions environnementales - Marianne - Caroline BRUNEAU, journaliste Industrie - Aerospatium

C dans l'air
ZFE, A69, pesticides : l'écologie, c'est fini ? - L'intégrale -

C dans l'air

Play Episode Listen Later May 29, 2025 63:53


C dans l'air du 29 mai 2025 : ZFE, A69, pesticides : l'écologie, c'est fini ?Les députés ont voté mercredi soir la suppression des zones à faibles émissions (ZFE), ces périmètres mis en place pour interdire l'accès aux véhicules les plus polluants dans les centres-villes. Cet amendement, porté par les groupes Les Républicains (LR) et le Rassemblement national (RN), a été soutenu par les insoumis et certains députés macronistes.En ligne de mire : l'impact social des ZFE, accusées de pénaliser les ménages modestes, qui n'ont pas les moyens d'acheter un véhicule moins polluant. Malgré les alertes des défenseurs de la santé publique, le texte a été adopté, au grand dam des partisans du dispositif, qui dénoncent un vote " grave" aux "lourdes conséquences sanitaires" à quelques mois des élections municipales. Ils regrettent également l'absence d'un accompagnement du dispositif pour permettre la transition (aide aux plus modestes, dérogations).Présentes dans une quarantaine d'agglomérations, les ZFE ont été lancées en 2019 pour limiter les émissions de particules fines, responsables de maladies respiratoires et de 40 000 décès par an selon Santé publique France. Mais leur mise en œuvre a varié d'un territoire à l'autre, créant confusion et tensions. Ces derniers mois, les contestations locales s'étaient multipliées.Ce vote ne signifie toutefois pas la fin immédiate des ZFE. Le projet de loi de "simplification", auquel est rattaché cet amendement, doit encore être adopté dans son ensemble. Il passera ensuite en commission mixte paritaire. Le Conseil constitutionnel pourrait également censurer cette mesure, jugée trop éloignée de l'objet initial du texte.Autre dossier brûlant : l'autoroute A69, entre Toulouse et Castres. Mercredi, la cour administrative de Toulouse a autorisé la reprise du chantier, stoppé depuis février. Elle a répondu favorablement à un recours en urgence déposé par l'État, malgré l'absence de "raison impérative d'intérêt public majeur" invoquée par la justice pour suspendre les travaux en février dernier.Le fond du dossier sera examiné lors d'un procès en appel prévu dans plusieurs mois. Mais les opposants craignent que les travaux soient terminés avant. Ils dénoncent un passage en force et prévoient de nouvelles mobilisations, alors qu'un texte controversé, reconnaissant un "intérêt public majeur" au projet, doit être examiné la semaine prochaine à l'Assemblée nationale, après son adoption par le Sénat.La suppression des ZFE et la relance de l'A69 s'inscrivent dans un contexte plus large de remises en cause des politiques environnementales. Ces derniers jours, les parlementaires ont aussi voté des mesures détricotant le principe de "zéro artificialisation nette", qui vise à lutter contre la bétonisation des sols, ou encore décidé de réintroduire un pesticide jusqu'alors interdit.Face à cette dynamique, de nombreuses voix s'élèvent. François Gemenne, professeur à HEC, membre du GIEC et spécialiste des migrations climatiques, alerte depuis plusieurs mois sur la montée d'un "populisme anti-écolo" en France et en Europe. Il déplore une tendance à faire de l'écologie un bouc émissaire et appelle à un changement de ton chez les écologistes eux-mêmes. Selon lui, leur discours moralisateur aurait contribué à braquer une partie de l'opinion publique.LES EXPERTS :- Soazig QUÉMÉNER, rédactrice en chef - La Tribune Dimanche - Nathalie SAINT-CRICQ, éditorialiste politique - France Télévisions - Frédéric DENHEZ, journaliste spécialiste des questions environnementales - Marianne - Caroline BRUNEAU, journaliste Industrie - Aerospatium

8.30 franceinfo:
TVA sociale, suppression des ZFE, tacle de Marine Le Pen à Jordan Bardella... Le "8h30 franceinfo" de Laurent Jacobelli

8.30 franceinfo:

Play Episode Listen Later May 29, 2025 24:00


durée : 00:24:00 - 8h30 franceinfo - Laurent Jacobelli, député de Moselle, porte-parole du Rassemblement national, était l'invité du "8h30 franceinfo", jeudi 29 mai 2025.

Les lectures de Mediapart

Cliquez ici pour accéder gratuitement aux articles lus de Mediapart : https://m.audiomeans.fr/s/P-UmoTbNLs L'élection de Bruno Retailleau à la tête du parti Les Républicains a réveillé tous les partisans d'une grande alliance de la droite à l'extrême droite pour prendre le pouvoir. Une hypothèse qui se heurte au refus du Rassemblement national et aux querelles de partis. Un article de Youmni Kezzouf publié dimanche 25 mai 2025, lu par Jeremy Zylberberg. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Les interviews d'Europe 1
Rapport sur les Frères Musulmans : « Il faut dissoudre, interdire et renvoyer » affirme Laurent Jacobelli

Les interviews d'Europe 1

Play Episode Listen Later May 24, 2025 7:46


Chaque samedi et dimanche, Lénaïg Monier reçoit un invité au cœur de l'actualité politique pour une interview sans concession. Aujourd'hui, Laurent Jacobelli, porte-parole du Rassemblement national et député de Moselle, pour évoquer notamment Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

C dans l'air
Retailleau/Villepin : la guerre est déclarée! - L'intégrale -

C dans l'air

Play Episode Listen Later May 22, 2025 63:29


C dans l'air du 22 mai 2025 : Retailleau/Villepin : la guerre est déclarée !Il est depuis dimanche le nouveau chef de la droite française. Avec près de 74 % des suffrages des adhérents, Bruno Retailleau a été élu à la présidence du parti Les Républicains. Une large victoire pour le ministre de l'Intérieur, face à son rival Laurent Wauquiez (25,7%) saluée ces dernières heures dans son camp. Néanmoins dans le concert de louanges, une voix détonne : celle de Dominique de Villepin. L'ancien Premier ministre de Jacques Chirac a fustigé sur Franceinfo "une dérive tragique dans l'évolution de ce parti politique que l'on appelait la droite républicaine, qui est en fait une droite réactionnaire, ultraconservatrice, identitaire, qui fait la course avec le Rassemblement national. Quand j'entends Bruno Retailleau sur bon nombre de sujets, j'ai du mal à faire la différence avec le RN". Malgré le nom de la formation aujourd'hui présidée par Bruno Retailleau, l'ex-ministre des Affaires étrangères affirme "ne pas voir beaucoup de République" dans les idées défendues. Et d'enfoncer le clou : "J'attends toujours les premiers résultats de Bruno Retailleau au ministère de l'Intérieur. Je vois beaucoup de rodomontades, de déclarations, de 20 heures, mais je ne vois pas de résultats (…) M. le ministre, au boulot ! Au boulot pour les Français ! La politique, ça ne se fait pas dans les antichambres. Ça ne se fait pas avec des doubles casquettes. Ça se fait à plein temps. Pas en amateur. Et là, nous sommes devant des amateurs" a affirmé Dominique de Villepin.Ancien dauphin de Philippe de Villiers, soutien de François Fillon à la présidentielle de 2017, le ministre de l'Intérieur multiplie depuis son arrivée place Beauvau, les sorties médiatiques et les phrases chocs. Sur l'État de droit qu'il juge ni "intangible ni sacré", l'immigration et la lutte contre la drogue, ses thèmes favoris, il ne renie rien de son passé villieriste et souverainiste, dénonçant "l'ensauvagement", un "chaos migratoire" ou un processus de "décivilisation"- concept emprunté au théoricien d'extrême droite Renaud Camus - qui serait, selon lui, à l'œuvre dans la société française. Et ces derniers jours il a fait fuiter un rapport classé secret-défense sur "l'entrisme" des Frères musulmans dans Le Figaro, avant un Conseil de défense. Ce qui lui a valu un rappel à l'ordre du président de la République. Agacé, Emmanuel Macron a retoqué hier ses premières propositions et lui a demandé d'en proposer d'autres, plus efficaces, lors d'un prochain Conseil de défense début juin. Qu'à cela ne tienne, dans une longue interview dans les colonnes du Parisien-Aujourd'hui France, Bruno Retailleau a avancé ses propositions contre l'islamisme et prévenu que les ministres LR quitteront le gouvernement "si leurs convictions ne sont plus respectées".Alors quelles sont les ambitions de Bruno Retailleau ? Inconnu du grand public il n'y a pas si longtemps, que sait-on de lui, de sa pensée, de son projet ? Quelle est son idéologie ? Son élection à la tête des LR marque-t-elle un tournant pour la droite française ? Et que contient le rapport sur l'entrisme des Frères musulmans ? LES EXPERTS :- Jérôme JAFFRÉ - Politologue - Chercheur associé au CEVIPOF- Christophe BARBIER - Éditorialiste politique, conseiller de la rédaction - Franc-Tireur - Sylvie PIERRE-BROSSOLETTE - Éditorialiste au Point - Brice TEINTURIER - Directeur général délégué - Institut de sondages IpsosPRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.frFACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5TWITTER : https://twitter.com/cdanslairINSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/

L'entretien de Sonia Mabrouk
Sébastien Chenu : «Il faut interdire les Frères musulmans»

L'entretien de Sonia Mabrouk

Play Episode Listen Later May 22, 2025 14:58


Sébastien Chenu, vice-président du Rassemblement national et député RN du Nord, répond aux questions de Sonia Mabrouk au sujet des deux membres de l'ambassade d'Israël aux Etats-Unis tués dans une fusillade prés du musée juif de Washington, de la colère froide hier d'Emmanuel Macron en conseil de défense qui dit attendre des propositions très fermes après l'examen du rapport sur les Fréres Musulmans et d'une police du vêtement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Le sept neuf
"Si demain nous arrivons à la tête de l'État, nous interdirons les Frères musulmans", assure Jordan Bardella

Le sept neuf

Play Episode Listen Later May 21, 2025 25:12


durée : 00:25:12 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé - "Nous interdirons les Frères musulmans", affirme le président du RN et eurodéputé Jordan Bardella alors qu'un rapport sur ce mouvement, commandé par le gouvernement, est présenté ce mercredi matin en conseil de Défense et de Sécurité nationale. - invités : Jordan Bardella - Jordan Bardella : Président du Rassemblement national et député européen

Les interviews d'Inter
"Si demain nous arrivons à la tête de l'État, nous interdirons les Frères musulmans", assure Jordan Bardella

Les interviews d'Inter

Play Episode Listen Later May 21, 2025 25:12


durée : 00:25:12 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé - "Nous interdirons les Frères musulmans", affirme le président du RN et eurodéputé Jordan Bardella alors qu'un rapport sur ce mouvement, commandé par le gouvernement, est présenté ce mercredi matin en conseil de Défense et de Sécurité nationale. - invités : Jordan Bardella - Jordan Bardella : Président du Rassemblement national et député européen

Le surf de l'info
Landerneau organise le plus grand rassemblement de Schtroumpfs au monde !

Le surf de l'info

Play Episode Listen Later May 16, 2025 2:19


Ecoutez Vous allez en entendre parler avec Tom Lefevre du 16 mai 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

La libre antenne
Libre antenne - Dans toute la France Eric organise un rassemblement de motards au profit de la lutte contre le cnacer de la prostate : La Distinguished Gentlman's Ride

La libre antenne

Play Episode Listen Later May 15, 2025 12:08


Au cœur de la nuit, les auditeurs se livrent en toute liberté aux oreilles attentives et bienveillantes d'Olivier Delacroix. Pas de jugements ni de tabous, une conversation franche, mais aussi des réponses aux questions que les auditeurs se posent. Un moment d'échange et de partage propice à la confidence pour repartir le cœur plus léger.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Reportage Afrique
La bibliothèque nationale de Guinée: «C'est son ancienneté qui fait la qualité de ses fonds»

Reportage Afrique

Play Episode Listen Later May 15, 2025 2:19


La bibliothèque nationale de Guinée connaît une nouvelle vie après des années de difficultés. Située à proximité du lycée de Donka, à Conakry, elle reste cependant méconnue, malgré l'intérêt des fonds qu'elle héberge. Elle dispose notamment d'une riche documentation concernant la période coloniale et la Première République de Sékou Touré. Visite guidée de la BNG, la plus ancienne institution de recherche et de documentation De notre correspondant à Conakry, Les escaliers de la bibliothèque montés, Syra Cissé, responsable de la documentation, ouvre la porte d'une grande pièce : « Nous sommes dans la deuxième salle de lecture, située au deuxième étage de la bibliothèque. Ici sont disposés les anciens journaux de l'indépendance. »Parmi les journaux rangés sur les étagères, ceux de la Première République : Horoya, le grand quotidien national du parti-État. Mais aussi des titres moins connus comme la Gine Ginè, qui signifie « femme guinéenne », « Giné » voulant dire « femme » en langue soussou : « La Gine Ginè, c'est le journal féminin de l'époque, qui paraissait quotidienne, qui parlait des femmes, des premières dames, des femmes de Guinée et d'ailleurs. »Parmi les archives de presse figurent également des titres plus anciens, datant des années 1950, comme Le Réveil, le journal du Rassemblement démocratique africain, le RDA, le grand parti de la décolonisation. Daouda Tamsir Niane, le directeur de la BNG, feuillète un numéro contenant un article de Sékou Touré, alors chef de la branche guinéenne du RDA.C'est l'ancienneté de la bibliothèque qui fait la qualité de ses fonds, explique le directeur : « La bibliothèque nationale est la plus ancienne institution de recherche et de documentation en République de Guinée. Elle existe depuis 1944, elle a été créée sous la colonisation. C'était l'antenne de l'Ifan, l'Institut français d'Afrique noire, devenu Institut fondamental d'Afrique Noire, basé à l'université de Dakar. »Numériser les documents de la BNGAprès une série de réformes, elle est devenue l'actuelle BNGDaouda Tamsir Niane veut en valoriser les fonds anciens : « À notre avis, aujourd'hui, les bibliothèques évoluent vers les médiathèques. De plus en plus de dématérialisation et de numérisation se font. Notre grand projet aujourd'hui, c'est de numériser les documents de la bibliothèque nationale. »Parmi les documents à numériser, l'important fonds de mémoires de fin d'études. Ils portent sur des sujets aussi divers que l'exploitation minière ou la grammaire de la langue maninka. Syra Cissé tire un volume d'une étagère : « Vous avez là un mémoire de fin d'études de la faculté des sciences sociales, qui a pour thème : "Amilcar Cabral, théoricien et praticien de lutte de libération nationale". » Ce mémoire a été soutenu en 1978, cinq ans après l'assassinat en plein Conakry du héros de l'indépendance de la Guinée-Bissau.Un autre grand combat mené par le directeur est de faire respecter le dépôt légal par les maisons d'édition guinéennes pour valoriser, aussi, le patrimoine contemporain.À lire aussiConakry, capitale mondiale du livre: quel avenir pour le numérique en Guinée?

C dans l'air
Pompiers, tribunaux...violences sans limite - L'intégrale -

C dans l'air

Play Episode Listen Later May 13, 2025 65:15


C dans l'air du 13 mai 2025 : Pompiers, tribunaux...violences sans limiteDepuis plusieurs années, la société française est secouée par une série de faits de violence, qui se traduit par des agressions envers les représentants de l'État (enseignants et personnels scolaires, policiers…) des harcèlements avec menaces de mort, des rixes entre bandes rivales ou des lynchages. Et les exemples s'accumulent. Rien que sur ces dernières heures on a appris que la fille du PDG d'une grande plateforme d'achat de cryptomonnaies a échappé ce mardi à une tentative d'enlèvement en pleine rue à Paris. Ce week-end, deux violentes agressions de sapeurs-pompiers ont eu lieu en Haute-Savoie. Et hier soir, c'est une violente bagarre qui a éclaté dans l'enceinte de la cour d'assises de la Gironde lors du procès de trois jeunes hommes, jugés pour la mort de Lionel, 16 ans, mortellement blessé lors d'une fusillade, sur fond de rivalités entre quartiers bordelais. Les parents de l'adolescent tué ont fait part de leur "colère" contre ceux "qui ne respectent pas la mémoire" de leur fils. "Il faut leur faire comprendre qu'on n'est pas dans un pays sans lois (…) On compte sur la justice pour que le verdict qui sera prononcé fasse écho dans les quartiers, pour qu'il n'y ait pas d'autre Lionel", a dit son père. "Il n'y a plus un seul territoire où les Français sont à l'abri de cette violence et de cet ensauvagement partout dans notre pays. (…) Même dans un palais de justice, ces bandes de jeunes qui créent le trouble ne craignent même plus l'autorité", a de son côté réagi Jordan Bardella, président du Rassemblement national (RN) sur TF1. Appelant à "un tournant", il a accusé le gouvernement, y compris le ministre de l'Intérieur, Bruno Retailleau, "d'inaction".Le débat sur l'insécurité dans le pays est relancé. Une question qui occupe une place centrale depuis plusieurs semaines dans la campagne opposant Bruno Retailleau à Laurent Wauquiez pour la présidence du parti Les Républicains. À une semaine du vote, les deux rivaux multiplient leur présence dans les médias et sur le terrain, pour tenter de convaincre les plus de 121 000 adhérents à jour de cotisation, avec un thème de prédilection : la sécurité.Mais quel est leur programme ? Quelle est la réalité de la violence en France ? Pourquoi les magnats de la cryptomonnaie et leurs proches sont-ils des nouvelles cibles pour les gangs ? Comment lutter contre l'insécurité ? Nos journalistes se sont rendus dans l'Oise où il y a deux ans, le 29 mars 2023, une violente rixe a opposé des jeunes de deux villes, Montataire et Villers-Saint-Paul. Depuis les élus et médiateurs ont développé un programme pour empêcher que des tensions ne débouchent sur de nouveaux affrontements.LES EXPERTS : - Alain BAUER, professeur de criminologie au Conservatoire national des Arts et Métiers, auteur de Menace sur Taïwan et Opération Zelensky publiés chez First- Audrey GOUTARD, grand reporter à France Télévision, spécialiste des faits de société- Christophe BARBIER, éditorialiste politique, Conseiller de la rédaction de Franc-tireur - Evelyne SIRE-MARIN, magistrate honoraire, vice-présidente de la Ligue des Droits de l'Homme

C dans l'air
Blanche Leridon - vers un candidat hors système?

C dans l'air

Play Episode Listen Later May 8, 2025 10:55


C dans l'air l'invitée du 7 mai 2025 : Blanche Leridon est directrice éditoriale de l'institut Montaigne, spécialiste des questions démocratiques et institutionnelles.Une récente étude Ifop pour l'observatoire Hexagone révélait que les intentions de vote pour la présidentielle 2027 montrent que le Rassemblement national reste puissant malgré la condamnation de sa cheffe de file. Le Rassemblement national confirme son leadership au premier tour quel que soit son représentant. Au second, Marine Le Pen et Jordan Bardella semblent, selon l'étude, très haut, au point d'être en mesure de l'emporter dans de nombreux scénarios. Sauf face à Edouard Philippe, qui ferait jeu égal avec Jordan Bardella, mais l'emporterait de peu face à Marine Le Pen.Un autre sondage, cette fois de l'institut Odoxa-Backbone consulting pour Le Figaro, analyse révèle les attentes à deux ans de l'élection présidentielle. Une majorité de Français (58%) n'ont toujours pas de candidat idéal. Un même pourcentage trouverait "une bonne idée" d'avoir des candidatures de personnalités hors des partis traditionnels. Des personnalités ont récemment émergé dans l'opinion, comme Michel-Edouard Leclerc, ou Cyril Hanouna. De quoi ces hypothèses "hors système" sont-elles le nom ? Notre invitée, Blanche Leridon, directrice éditoriale de l'institut Montaigne, spécialiste des questions démocratiques et institutionnelles, répondra à nos questions.

Les matins
Mon nouvel ami du Rassemblement national

Les matins

Play Episode Listen Later May 5, 2025 2:40


durée : 00:02:40 - L'Humeur du matin par Guillaume Erner - par : Guillaume Erner - Pour des raisons personnelles, j'avais besoin de pédaler et je suis parti sur les routes de France — ou plutôt d'Île-de-France — m'arrêtant dans une petite ville de la périphérie parisienne, municipalité de droite. C'est là que j'ai rencontré un nouveau camarade : Gilbert. - réalisation : Félicie Faugère

Revue de presse Afrique
À la Une: la célébration du 1er-Mai, fête du Travail

Revue de presse Afrique

Play Episode Listen Later May 2, 2025 4:06


C'est tout d'abord la Presse en Tunisie, qui nous rappelle « qu'en 1904, des travailleurs tunisiens, maltais, italiens et français réunis, descendirent dans la rue et marchèrent sur Tunis, revendiquant, pour la première fois, leur droit syndical. Leurs revendications étaient d'ordre professionnel et matériel, mais concernaient aussi l'accès à la santé et les heures de travail », explique la Presse. Des slogans qui restent d'actualité, « aux quatre coins du globe », nous dit le journal tunisien, « ceux qui voudraient gagner leur pain à la sueur de leur front, n'ont jamais eu gain de cause ». « Leurs efforts, durement consentis, ne sont pas justement récompensés », ajoute la Presse, qui évoque notamment « le fléau du chômage endémique, dans lequel s'enlisent de nombreux postulants, avec ou sans diplôme ». RegretsAu Burkina Faso, on a également célébré hier le 1er mai. « L'Unité d'Action Syndicale remet sa plateforme revendicative au ministre en charge de la Fonction publique », titre LeFaso.net qui met en avant les regrets exprimés par l'Unité d'action syndicale… elle s'est vue refuser le droit d'organiser une marche, pour la remise de sa plateforme, en raison « du contexte sécuritaire ». L'UAS n'en réitère pas moins ses principales revendications qui portent notamment sur « la libération des personnes arrêtées, l'augmentation des pensions de retraite [...] ou encore la révision de la nouvelle grille salariale des travailleurs des sociétés d'état ». PatriotismeEn République Démocratique du Congo, une fête du Travail célébrée sur fond de guerre dans l'est du pays. « Pour la journée internationale du travail », nous dit Actualité.cd, « la célébration met en avant les FARDC (les forces armées congolaises) pour leur rôle dans la situation sécuritaire dans l'Est [...] une façon de rendre hommage à ceux qui combattent notamment les rebelles de l'AFC/M23, et ceux qui sont déjà tombés sur le champ de bataille pour la cause nationale. » Actualité.cd, qui cite les propos du ministère de l'emploi, selon lequel ce premier mai «  donne une occasion de sensibiliser, de mobiliser et d'aiguiser le patriotisme de la masse laborieuse sur l'impérieuse nécessité de défendre notre patrimoine commun, contre les velléités des ennemis de tout bord ». Liberté de la presseAu Sénégal, c'est sur fond de protestation des médias que s'est déroulée la fête du Travail. « Lors de la remise des cahiers de doléances, au Palais de la République, Moustapha Cissé, le secrétaire général du Syndicat des professionnels de l'information et de la communication, a vivement interpellé le chef de l'État Bassirou Diomaye Faye » indique Sénégo, qui rappelle que « 381 organes de presse ont reçu l'ordre du gouvernement de cesser toute diffusion ou parution. « Nous vous demandons solennellement de sursoir à cette décision qui plonge toute une corporation dans le désarroi », a déclaré Moustapha Cissé, qui ajoute : « la création d'emploi commence par la préservation de l'existant » ». Selon DakarActu, le secrétaire général du Syndicat des professionnels de l'information et de la communication, a également déclaré : « une presse libre ne peut exister si elle est soumise à des pressions économiques ou politiques ».  LicenciementsToujours au Sénégal, le Quotidien a décidé de son côté de donner la parole « à des personnes licenciées dans le secteur public-parapublic », tel Boubacar, dont le contrat a été rompu le 31 décembre dernier. « J'ai tout perdu », dit-il. « Selon le Rassemblement des Travailleurs du Sénégal », « plus de trente mille personnes sont concernées « par les licenciements décidés par les nouvelles autorités, dans les structures publiques et parapubliques ».  Babacar, lui, se désespère. « Si j'ai la possibilité de partir », dit-il, « je quitterai le pays, peu importe la manière. Diomaye-Sonko m'a tout retiré : mon emploi et ma dignité ». 

Le Nouvel Esprit Public
La France et le contrôle de ses finances publiques / Bilan de l'action diplomatique du pape

Le Nouvel Esprit Public

Play Episode Listen Later Apr 27, 2025 64:48


Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 25 avril 2025.Avec cette semaine :Nicolas Baverez, essayiste et avocat.Nicole Gnesotto, vice-présidente de l'Institut Jacques Delors.Marc-Olivier Padis, directeur des études de la fondation Terra Nova.Michaela Wiegel, correspondante à Paris de la Frankfurter Allgemeine Zeitung.LA FRANCE ET LE CONTRÔLE DE SES FINANCES PUBLIQUES Après une séquence de dérive des comptes publics « préoccupante », la Cour des comptes dans son rapport publié mi-février, chiffrait à 110 milliards d'euros l'effort à fournir pour ramener le déficit public à 3%. Les causes de ce déficit sont connues : des recettes fiscales inférieures de 40 milliards aux prévisions de la loi de finances et des dépenses plus élevées de 13 milliards, notamment du côté des collectivités locales. Selon le rapport de la Cour, la situation est due à des choix politiques. Tout d'abord, les experts reprochent au gouvernement des « hypothèses de croissance optimistes qu'il a fallu plusieurs fois réviser à la baisse ». Par ailleurs, ce dérapage est à mettre sur le compte de la mise en place, jusqu'en 2023, de baisses d'impôts « non financées » et de « l'absence d'économies structurelles sur le cœur de la dépense publique ». Ces facteurs combinés se sont traduits, selon le gendarme des comptes, par une « perte de contrôle de la dépense publique ». Face à ce constat, le premier président de la Cour des comptes Pierre Moscovici menace : « Nous pourrions ne pas certifier les comptes 2025. »Fin mars, l'Insee a annoncé que l'écart entre les recettes et les dépenses publiques a atteint 5,8% du PIB en 2024. Il s'agit du déficit public le plus massif depuis la guerre en valeur absolue, à l'exception de celui de l'année 2020, au pic de la pandémie de Covid-19. En atteignant 3.305 milliards d'euros, l'endettement public est monté à 113% du PIB fin 2024, a annoncé l'Insee. La dette publique française avait passé le cap des 100 milliards d'euros en 1981, celui des 1.000 milliards en 2003, puis celui des 3.000 milliards en 2023.Dans son rapport sur le dérapage des finances publiques publié le 15 avril,la commission d'enquête de l'Assemblée nationale rappelle que pour 2024, la prévision initiale de déficit public du gouvernement Borne était de 4,4% du PIB, revue à 5,1% en avril dernier par le gouvernement Attal, puis à 6,1% par celui de Barnier. Au final, ce déficit public pour 2024 s'est établi à 5,8% du PIB. Les deux rapporteurs, le macroniste Mathieu Lefèvre et le président de l'Union des droites pour la République, allié du Rassemblement national, Éric Ciotti, ont des visions opposées sur ces chiffres. Le premier attribue ces erreurs aux services de Bercy, le deuxième les lie à des dissimulations politiques.Malgré les discours, et même si le déficit budgétaire s'atténue peu à peu, la dette ne va pas diminuer de sitôt. Dans le budget 2025, il est prévu qu'elle monte à 115,5% du PIB en fin d'année. Dans un scénario jugé réaliste par la Cour des comptes, le ratio d'endettement pourrait dépasser 125% du PIB en 2029 et s'approcher des 130% dès 2031. D'autres économistes évoquent des ratios de 160% voire 170%, si l'État choisit d'investir massivement, notamment dans la transition énergétique ou l'armement. « Il est plus que temps de freiner et de reprendre le contrôle de nos finances publiques. Faute de quoi, nous risquons la paralysie, puis l'accident », met en garde Pierre Moscovici.BILAN DE L'ACTION DIPLOMATIQUE DU PAPEPape « du bout du monde », contrairement à ses prédécesseurs européens, Jorge Mario Bergoglio a déplacé l'axe diplomatique du Vatican vers les pays du Sud. De la dénonciation du système économique mondial, à la défense des migrants en passant par ses plaidoyers pour l'écologie, la paix, le dialogue avec l'islam, ou la lutte contre l'arme nucléaire, le pape François a été porté par une vision, inspirée de celui dont il avait choisi le nom, François d'Assise. À l'échelle internationale, appuyé sur un solide réseau diplomatique, ce dont rêvait François, c'était, « le renforcement du multilatéralisme, expression d'une coresponsabilité mondiale renouvelée, d'une solidarité fondée sur la justice et sur la réalisation de la paix et de l'unité de la famille humaine, projet de Dieu sur le monde ». Lui-même issu d'une famille de migrants - ses parents ont quitté l'Italie pour l'Argentine - François, dès le début de son pontificat, a pointé avec vigueur les drames de la migration. Son premier déplacement a eu lieu en juillet 2013, à Lampedusa, où il s'est indigné de la « mondialisation de l'indifférence », un thème clef de ce pontificat. Ce qui lui valu de sérieuses tensions avec l'Occident et en particulier les États-Unis.Partisan de la paix à tout prix et de la politique de l'apaisement, le pape considérait que « toute guerre est une défaite ». Même les guerres de libération ou de légitime défense. Car « il n'existe pas de guerre juste ». Pas même en Ukraine où François n'a eu de cesse jusqu'en mai 2022, d'appeler à l'arrêt des combats, se refusant à reconnaître la responsabilité de Vladimir Poutine et de la Russie, avançant que la « colère » du Kremlin avait pu être « facilitée » par « les aboiements de l'OTAN à la porte de la Russie ». Au Moyen-Orient, depuis le massacre du 7 octobre 2023, les relations entre le Saint-Siège et Israël étaient devenues de plus en plus difficiles. Le pape s'est vu notamment reprocher d'avoir tardé à exprimer son horreur face au massacre perpétré par le Hamas.Dans le droit fil de la tradition jésuite, le pape François a porté une attention très particulière aux 12 millions de catholiques de la République populaire de Chine. Sous son autorité, un accord secret a été signé en 2018 avec Pékin sur la nomination des évêques. Un accord qui a fait débat. Au chapitre des avancées diplomatiques, François a œuvré au rapprochement historique entre les États-Unis et Cuba et joué un rôle dans la réconciliation en Colombie ainsi que dans la libération d'enfants ukrainiens capturés par les Russes, tandis que le dialogue interreligieux aura progressé, notamment avec l'université al-Azhar du Caire.En revanche, bousculant l'Europe, « grand-mère stérile » et égoïste à ses yeux, le pape n'a réalisé aucune visite officielle dans les grands pays européens de tradition catholique, comme la France, l'Espagne ou l'Allemagne.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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Marine Le Pen inéligible : trois semaines de tâtonnements au RN

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Play Episode Listen Later Apr 17, 2025 21:33


Depuis la condamnation en première instance de Marine Le Pen pour détournement de fonds publics, le 31 mars dernier, le Rassemblement national a du mal à choisir sa stratégie. Condamnée à une amende de 100 000 euros, 4 ans de prison dont 2 fermes, sous bracelet électronique, et à une peine d'inéligibilité de 5 ans effective immédiatement, Marine Le Pen pourrait ne pas être en mesure de se présenter à la présidentielle de 2027. Elle a rapidement fait appel, et un nouveau procès doit avoir lieu début 2026. En attendant, le RN parle d'une « décision politique » et refuse d'évoquer publiquement un plan B. Mais depuis quelques jours, le parti d'extrême droite modère sa position et tente de remettre en scène le duo Marine Le Pen-Jordan Bardella.Cet épisode de Code source est raconté par Alexandre Sulzer, journaliste politique au Parisien, il couvre l'actualité de l'extrême droite.Écoutez Code source sur toutes les plates-formes audio : Apple Podcast (iPhone, iPad), Amazon Music, Podcast Addict ou Castbox, Deezer, Spotify.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Reporter : Barbara Gouy - Production : Pénélope Gualchierotti, Clara Garnier-Amouroux et Clara Grouzis - Réalisation et mixage : Julien Montcouquiol - Musiques : François Clos, Audio Network - Archives : AFP, Huffington Post, France TV, C NEWS, TF1, BFM TV. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.