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Le Nouvel Esprit Public
Le projet de budget de Lecornu / La sécurité européenne face aux menaces russes après Copenhague

Le Nouvel Esprit Public

Play Episode Listen Later Oct 5, 2025 64:14


Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée en public à l'École alsacienne le 5 octobre 2025.Avec cette semaine :Jean-Louis Bourlanges, essayiste, ancien président de la Commission des Affaires étrangères de l'Assemblée nationale.David Djaïz, entrepreneur et essayiste.Antoine Foucher, consultant, spécialiste des questions sociales, auteur de Sortir du travail qui ne paie plus.Lucile Schmid, présidente de La Fabrique écologique et membre du comité de rédaction de la revue Esprit.LE PROJET DE BUDGET DE LECORNUUne première version du projet de loi de finances pour 2026 a été transmise jeudi pour avis au Haut conseil des finances publiques. La transmission de ce projet de loi marque le coup d'envoi du processus de discussion du budget. Le Haut conseil, un organisme indépendant placé auprès de la Cour des comptes, disposera ensuite de sept jours pour rendre son avis, destiné à être rendu public lors de la présentation formelle du budget par le gouvernement. Le texte devrait être déposé à l'Assemblée nationale au plus tard le 13 octobre, de façon que le Parlement dispose des 70 jours prévus par la Constitution pour en débattre.Le même jour, à la veille des rencontres organisées à Matignon avec le Parti socialiste et le Rassemblement national, l'entourage de Sébastien Lecornu a laissé fuiter quatre pistes de soutien au pouvoir d'achat en précisant toutefois que « rien n'est arbitré ». Il s'agirait de favoriser davantage les heures supplémentaires par une défiscalisation et un allègement des charges sociales ;d'alléger l'impôt sur le revenu des couples modestes : en améliorant le mécanisme de « décote », afin de l'aligner sur l'avantage accordé aux célibataires touchant des montants équivalents. De défiscaliser à nouveau les «primes Macron » les primes des salariés gagnant moins de trois fois le SMIC en 2026. D'encourager les dons familiaux en direction des jeunes générations.Selon le journal Les Échos, le projet de budget inclurait une « année blanche » comprenant le gel du barème de l'impôt sur le revenu et de toutes les pensions de retraite, ainsi que le relèvement du taux du « prélèvement forfaitaire unique » sur les revenus du capital. L'augmentation de la flat tax jusqu'à 36%, rapporterait 1,5 milliard d'euros. Le texte devrait comporter une mesure anti-optimisation centrée sur les holdings, certains contribuables très aisés y stockant de l'argent afin d'échapper à l'impôt. Des mesures seraient également en préparation pour lutter contre l'optimisation des Pactes Dutreil, cet outil fiscal conçu pour réduire la fiscalité des transmissions et donations des entreprises afin de préserver l'outil productif. Quant à la surtaxe d'impôt sur les sociétés, elle serait reconduite d'un an, mais son taux serait divisé par deux par rapport à celui appliqué en 2025. Son rendement attendrait ainsi de l'ordre de 4 milliards d'euros.Vendredi, le Premier ministre s'est engagé à ne pas utiliser l'article 49 alinéa 3 de la Constitution pour faire adopter son budget. L'idée n'est pas nouvelle : entre 1997 et 2002, le premier ministre Lionel Jospin, à la tête d'une « majorité plurielle », avait renoncé à son usage. Si les débats budgétaires s'enlisaient à l'Assemblée, faute de majorité, la méthode Lecornu pourrait dès lors aboutir à l'élaboration d'une loi spéciale ou par le passage du budget par voie d'ordonnances, une première sous la Ve République.SÉCURITÉ EUROPÉENNE FACE AUX MENACES RUSSES APRÈS COPENHAGUEL'Europe est soumise, ces derniers jours, à une série de défis : la Russie teste la capacité de plusieurs pays du nord de l'Europe à faire face à des envois de drones sur leurs aéroports. Elle viole régulièrement l'espace aérien de certains membres de l'Otan afin de mesurer leurs capacités de défense antiaérienne. Oslo, Copenhague, Munich ont été victimes des mêmes survols de drones non identifiés, contraignant les autorités danoises, norvégiennes et allemandes à fermer provisoirement leur espace aérien au-dessus de certains aéroports. Contrairement aux Ukrainiens, les Européens n'ont guère d'expérience dans le domaine de la lutte contre les drones.Dans ce contexte, lundi, Ursula von der Leyen, la présidente de la Commission, a dévoilé, une première cartographie de la « préparation 2030 », date à laquelle l'Europe doit être prête à se défendre par elle-même en cas d'agression russe. Les analyses des services de renseignement européens convergent : dans les trois à cinq prochaines années, la Russie pourrait être en mesure d'attaquer un pays de l'Union européenne ou de l'Otan si une paix en Ukraine lui permettait de se réarmer, et si l'Europe ne pouvait pas compter sur le soutien américain. Les États membres ont identifié neuf domaines capacitaires prioritaires dans lesquels l'Europe doit combler ses lacunes d'ici à 2030 : défense aérienne et antimissile, systèmes d'artillerie, missiles et munitions, cyber et guerre électronique, drones et anti-drones, combat terrestre, capacités maritimes, mobilité militaire et « capacités stratégiques habilitantes ».En vue de renforcer la défense du continent face à la menace russe, les dirigeants des 27 pays de l'Union européenne se sont retrouvés mercredi à Copenhague. Les discussions ont porté principalement sur trois axes : le développement capacitaire conjoint, les « projets phares » - comme le mur de drones ou la surveillance du flanc oriental - et la montée en puissance de l'industrie de défense européenne. Afin d'accélérer la montée en puissance militaire du continent, l'Union européenne a adopté en juin dernier le Security Action For Europe (SAFE), un instrument financier de prêts de 150 milliards d'euros. Environ 100 milliards sont alloués au flanc oriental de l'Europe : 43,7 milliards pour la Pologne, 16,7 milliards pour la Roumanie, 16,2 milliards pour la Hongrie. Cette concentration géographique reflète une réalité diverse. Chaque pays défend actuellement sa portion de frontière d'une manière légèrement différente, à l'aide de systèmes qui vont du plus sophistiqué au moins élaboré. Cette réunion sans conclusion écrite a permis de décanter des sujets qui seront finalisés les 23 et 24 octobre prochains lors du Conseil européen à Bruxelles. Objectif : combler les lacunes et favoriser des acquisitions conjointes pour lutter contre « la fragmentation de nos efforts à travers des initiatives nationales non coordonnées ».Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

C dans l'air
La semaine cruciale de Lecornu - L'intégrale -

C dans l'air

Play Episode Listen Later Oct 4, 2025 64:17


C dans l'air du 4 octobre 2025 - La semaine cruciale de LecornuIl renonce à utiliser le 49.3. Sébastien Lecornu a pris la parole ce vendredi depuis l'hôtel de Matignon pour tenter de convaincre les oppositions de ne pas le censurer à la suite de son discours de politique générale (prévu ce 7 octobre). Mais si Marine Le Pen salue « un geste respectueux », Jean-Luc Mélenchon met en doute sa sincérité, « On te croit pas . Tu n'as pas l'intention de gouverner sans nous forcer le moment venu » a déclaré le leader insoumis.Alors que le nouveau gouvernement n'a toujours pas été annoncé, et que le projet de budget 2026 reste « peu précis » pour le Rassemblement national, « insuffisant » pour les socialistes, le risque est réel que la gauche et le RN fasse tomber le Premier ministre dès la semaine prochaine. Pendant ce temps, la colère sociale s'intensifie, cette attente ne faisant qu'alimenter l'exaspération des Français.Le pouvoir d'achat, lui, est une des préoccupations principales des Français, qui sont de plus en plus nombreux à avoir des fins de mois difficiles. Un secteur en pâtit : l'immobilier. 30% du budget des ménages est consacré au logement et en un an, le nombre de ventes immobilières a baissé de 17 %. Si acheter est difficile, louer n'est pas plus aisé, avec de lourdes conséquences sur tout un secteur.Au moment des Gilets jaunes, la colère sociale avait été consignée dans 20.000 cahiers de doléances, regroupant plus de 200.000 contributions qui n'ont jamais été publiées dans leur intégralité. Leur contenu reste pourtant d'actualité. C dans l'air est allé à la rencontre d'une archiviste indignée par le « mépris » avec lequel ces cahiers ont été traités.Alors, Lecornu peut-il éviter la censure ? Pourquoi le secteur immobilier est-il en crise ? Que sont devenus les cahiers de doléances des Français ?LES EXPERTS :- Olivier BEAUMONT - Chef-adjoint au service politique du Parisien/Aujourd'hui en France - Nathalie SAINT-CRICQ - Éditorialiste politique à France Télévisions - Béatrice MATHIEU - Grand reporter à L'Express - Gaël SLIMAN - Président et cofondateur - Institut de sondages Odoxa

Politique
Budget, consultations avec les partis... Sébastien Lecornu peut-il réussir ?

Politique

Play Episode Listen Later Oct 2, 2025 40:12


Sébastien Lecornu poursuit ses consultations pour tenter de décrocher un compromis. Trouvera-t-il un terrain d'entente avec les socialistes ? Peut-il réussir là où les autres ont échoué ? Un sondage bouscule le jeu, avec un Rassemblement national donné largement en tête et l'émergence de Raphaël Glucksmann.

Le témoin de l'actu dans les Landes
Nicolas Leregle, tête de liste Rassemblement National pour les élections municipales de mars 2026 à Mont-de-Marsan

Le témoin de l'actu dans les Landes

Play Episode Listen Later Oct 1, 2025 5:44


durée : 00:05:44 - L'invité de 8h15 de "ici Gascogne" Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

L'info en intégrale - Europe 1
Face au RN, le socle commun décroche et l'interview du patron de CNews en réponse à Delphine Ernotte

L'info en intégrale - Europe 1

Play Episode Listen Later Sep 30, 2025 4:09


Tous les jours dans la matinale d'Europe 1, Olivier de Lagarde scrute et analyse la presse du jour. Aujourd'hui, les intentions de vote pour le Rassemblement national dominent largement le socle commun, l'élection de Michel Barnier souligne la réalité de l'union des droites électorales, l'interview du patron de CNews en réponse à Delphine Ernotte, le début du procès de l'ancien patron du groupe Casino, Jean-Charles Naouri et les propos du rugbyman Fred Quercy. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

La revue de presse
Face au RN, le socle commun décroche et l'interview du patron de CNews en réponse à Delphine Ernotte

La revue de presse

Play Episode Listen Later Sep 30, 2025 4:09


Tous les jours dans la matinale d'Europe 1, Olivier de Lagarde scrute et analyse la presse du jour. Aujourd'hui, les intentions de vote pour le Rassemblement national dominent largement le socle commun, l'élection de Michel Barnier souligne la réalité de l'union des droites électorales, l'interview du patron de CNews en réponse à Delphine Ernotte, le début du procès de l'ancien patron du groupe Casino, Jean-Charles Naouri et les propos du rugbyman Fred Quercy. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

L'édito du Figaro
«La mission impossible de Sébastien Lecornu»

L'édito du Figaro

Play Episode Listen Later Sep 29, 2025 2:02


Acheter à prix d'or le silence d'une soixante de députés socialistes entraînerait automatiquement la révolte des LR. Elle ne ferait pas, non plus, changer l'humeur massacrante des Insoumis et des élus du Rassemblement national.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

ACTUALITES - AZUR FM
Nathalie Aubert, candidate du Rassemblement national

ACTUALITES - AZUR FM

Play Episode Listen Later Sep 29, 2025 6:32


A six mois des élections municipales prévues les 15 et 22 mars 2026, la campagne électorale colmarienne prend forme avec cinq candidats déjà officiellement déclarés.Ancienne militaire, aujourd'hui coache sportive et conseillère régionale Grand-Est, Nathalie Aubert représente le Rassemblement national après avoir été candidate aux élections législatives de 2022 et 2024 sur la deuxième circonscription du Haut-Rhin. Habitante de Colmar depuis 20 ans, elle justifie son engagement : "A l'issue de l'armée, j'ai décidé de poursuivre mon engagement au service de mes concitoyens, non plus par les armes mais plutôt par les urnes." Son objectif : "remettre les Colmariens au centre des préoccupations". La sécurité constitue l'axe prioritaire de son programme. "Le taux de criminalité à Colmar a augmenté entre 2022 et 2024 de 52,9% à 57,6%, ce qui correspond à peu près entre 9 et 10 infractions par jour." En outre, son programme intègre l'amélioration du cadre de vie, le tourisme, les transports, le sport ou encore l'environnement avec des propositions comme la mise en place d'îlots de fraîcheur pour l'été ou le développement du verdissement de Colmar. Une thématique lui tient particulièrement à coeur : le bien-être animal. Bénévole à la SPA de Colmar, elle projette la création d'un dispensaire pour animaux, destiné notamment aux personnes à faibles revenus "qui n'ont pas les moyens d'aller chez le vétérinaire". Sa candidature se caractérise par trois maîtres-mots : le courage politique, l'écoute et l'esprit d'équipe. Lien vers l'article complet : Les interviews sont également à retrouver sur les plateformes Spotify, Deezer, Apple Podcasts, Podcast Addict ou encore Amazon Music.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Politique, le choix de la semaine
Bureau de l'Assemblée nationale: le RN en passe de prendre sa revanche

Politique, le choix de la semaine

Play Episode Listen Later Sep 28, 2025 2:58


Quels députés de quels partis vont réussir à s'emparer des postes clés à l'Assemblée nationale ? L'élection du bureau de l'Assemblée est prévue les 1er et 2 octobre. Et contrairement à l'an dernier, le parti d'extrême droite Rassemblement national (RN) pourrait y faire son apparition.  Le RN est en passe de prendre sa revanche. Il y un an, la formation d'extrême droite n'avait obtenu aucun poste au bureau de l'Assemblée nationale, sorte de « conseil d'administration » qui décide de l'organisation interne de la Chambre basse. Le RN n'avait eu aucune vice-présidence, pas non plus de poste de secrétaire ou de questeur.  Cette année, c'est un autre scénario vers lequel on se dirige. Exit le front républicain, les macronistes plaident désormais pour laisser de la place au parti de Jordan Bardella. Concrètement, la présidente de l'Assemblée Yaël Braun-Pivet propose un accord pour que chacun des trois blocs politiques ait deux vice-présidences : deux pour le socle commun, deux pour la gauche et deux pour le RN. À lire aussiLe Rassemblement national, de plus en plus populaire chez les femmes, est-il une menace pour leurs droits? Une stratégie sévèrement critiquée à gauche Évidemment, tous les partis ne sont pas d'accord avec ce changement de cap. La gauche sait qu'elle n'a pas intérêt à y adhérer et se montre sévère : « Si ça se concrétise, les députés macronistes devront assumer d'avoir glissé dans l'urne un bulletin RN » peste un cadre Insoumis.  Même tonalité au PS : « Si certains macronistes sont tentés par l'idée de faire élire le RN pour les notabiliser, c'est leur responsabilité » assure un député du parti de la rose pour qui « la répartition du bureau doit se faire dans un respect des équilibres de l'Assemblée. Mais en tenant compte du front républicain ».  Attention, au sein même des macronistes, quelques voix ne goutent pas beaucoup l'idée de Yaël Braun-Pivet. « Je ne suis pas favorable à ce qu'on laisse rentrer le RN, je n'étais déjà pas très heureuse en 2022 quand Sébastien Chenu est devenu vice-président », soupire une députée Renaissance.  « Un élu RN est aussi légitime que moi » Pour faire avaler la pilule, le bloc central essaye de dédramatiser. « Le bureau de l'Assemblée ne prend pas de décision sur l'avenir des Français, se justifie un député Modem. Cet accord permet juste de faire vivre la démocratie dans l'enceinte de notre Assemblée. Je déteste le Rassemblement national, mais un élu RN est aussi légitime que moi ». Le bloc central rappelle que le parti dirigé par Jordan Bardella est le premier parti de l'hémicycle.  L'élection des six vice-présidents et des trois questeurs prendra place mercredi et jeudi. Et le plus probable, si les macronistes confirment leur changement de cap, c'est que la gauche va perdre de l'influence sur le bureau de l'Assemblée. Le RN, au contraire, devrait faire son entrée. « On l'espère », écrit un député du Rassemblement national qui estime que « cela reviendrait simplement à respecter le règlement intérieur ». L'élu fait référence à l'article 10 du règlement : « L'élection des vice-présidents, des questeurs et des secrétaires a lieu en s'efforçant de reproduire au sein du bureau la configuration politique de l'Assemblée ». On sera fixés lundi.

Les interviews d'Inter
Annonces de Lecornu : "On a l'impression d'être dans le jour de la marmotte", affirme Thomas Ménagé

Les interviews d'Inter

Play Episode Listen Later Sep 27, 2025 8:48


durée : 00:08:48 - L'invité de 7h50 du week-end - par : Ali Baddou, Marion L'hour - Le député Rassemblement national du Loiret, Thomas Ménagé, réagit aux annonces du nouveau Premier ministre Sébastien Lecornu. Il critique les premières prises de positions, notamment sur le budget. L'élu ne dit pas si le RN compte voter la censure à l'Assemblée nationale. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

C dans l'air
Jean-Philippe Tanguy - Nicolas sarkozy condamné à 5 ans de prison

C dans l'air

Play Episode Listen Later Sep 26, 2025 10:41


C dans l'air l'invité du 25 septembre 2025 avec Jean-Philippe Tanguy, député de la Somme et président délégué du groupe RN à l'AssembléePour la première fois de l'histoire de la République, un ex-président derrière les barreaux : le tribunal de Paris a condamné jeudi Nicolas Sarkozy à cinq ans de prison avec incarcération prochaine pour avoir "laissé ses proches" démarcher la Libye de Mouammar Kadhafi, une lourde peine dont l'intéressé a dénoncé la "haine".A la sortie de la salle d'audience aujourd'hui, Nicolas Sarkozy a redit son "innocence" et aussitôt annoncé son intention de faire appel. Cela n'empêchera cependant pas son incarcération au cours des prochaines semaines. "La haine n'a donc décidément aucune limite (...) J'assumerai mes responsabilités, je déférerai aux convocations de justice et s'ils veulent absolument que je dorme en prison, je dormirai en prison. Mais la tête haute", a déclaré Nicolas Sarkozy face aux caméras.La cheffe de file du Rassemblement national, Marine Le Pen, condamnée elle aussi à une peine avec exécution provisoire au procès des assistants européens, a peu après le jugement dénoncé "la généralisation" de l'exécution provisoire, "un grand danger, au regard des grands principes de notre droit" selon elle.Jean-Philippe Tanguy, député de la Somme et président délégué du groupe RN à l'Assemblée, est notre invité. Il réagira à la condamnation de l'ancien président de la République, alors même que Marine Le Pen est condamnée à une peine avec exécution provisoire. Il reviendra aussi sur la situation politique française, alors que Sébastien Lecornu est nommé Premier ministre depuis quinze jours, et que la constitution du gouvernement n'a toujours pas été annoncée.

Revue de presse internationale
À la Une: la condamnation de Nicolas Sarkozy à 5 ans de prison

Revue de presse internationale

Play Episode Listen Later Sep 26, 2025 4:04


« Le séisme », titre le Figaro, avec une photo que l'on retrouve ce matin dans tous les journaux français : Nicolas Sarkozy, blême, à la sortie du tribunal. Le quotidien conservateur qui prend fait et cause pour l'ancien président. Dans son éditorial, Yves Thréard parle d'un jugement « absurde et incompréhensible », estimant « que l'appareil judiciaire français s'est surpassé », « envoyant Nicolas Sarkozy pour 5 ans ferme, derrière les barreaux, dans un dossier qui ne tient pas debout ». « La haine n'a pas de limite », conclut Yves Threard, reprenant les propos de Nicolas Sarkozy. « L'ancien président a des raisons de le penser. La gauche peut ricaner, l'image de la patrie des droits de l'homme n'en sort pas grandie ». « La Taule » Eh bien non, justement, le quotidien Libération (marqué à gauche) affirme « ne pas se réjouir », estimant en effet que « derrière la condamnation de Nicolas Sarkozy, c'est le "Tous pourris" qui progresse ». En Une, le visage de Nicolas Sarkozy, derrière un gros titre « La Taule » dont les lettres forment les barreaux d'une prison. « Nicolas Sarkozy peut dire ce qu'il veut, remarque Libération. Il est évident que cette affaire de financement libyen de sa campagne électorale de 2007 n'aura pu que contribuer, comme d'autres affaires politico-financières qui ont concerné la gauche, l'extrême droite ou l'extrême gauche, à creuser ce fossé entre les Français et leurs représentants. Fossé dans lequel la démocratie française s'embourbe avec, à terme, un seul gagnant : l'extrême droite, qui n'a jamais été aussi proche du pouvoir. » L'un des secrets les mieux gardés de la République Le média en ligne Mediapart, qui est à l'origine de l'enquête sur l'affaire libyenne, commente, lui aussi, la condamnation de Nicolas Sarkozy. « S'attaquer enfin à la délinquance d'État ! » « Plus que jamais, estime-t-il, les citoyens et les citoyennes ont besoin d'être éclairé·es sur les pratiques de leurs représentants et sur les décisions prises en leur nom. » Médiapart qui rejoint Libération dans son analyse : « La délinquance politico-financière est l'un des secrets les mieux gardés de la République. Elle l'empoisonne à bas bruit, au détriment des citoyennes et des citoyens qui en paient le prix. C'est pourquoi le jugement rendu ce jeudi dans l'affaire libyenne est d'une importance capitale ». Douze ans d'enquête Mediapart salue le rôle de la justice : « Le tribunal de Paris laisse éclater au grand jour des pratiques inacceptables dans un État de droit, qui ont bien failli rester enfouies dans les caves obscures de la République ». Le journal revient d'ailleurs sur son propre rôle dans cette affaire, rappelant « que ses premières révélations remontent à l'été 2011 ». « C'est après la publication de plusieurs articles de Médiapart que la justice commence à enquêter en 2013 », « alors qu'entre 2016 et en 2018, le travail judiciaire s'accélère : les auditions et perquisitions se multiplient en France et à l'étranger ». « Puis viendront les mises en examen de Nicolas Sarkozy, en 2018 et en 2020, et un "procès hors-norme" en janvier 2025. Douze ans après le début de l'enquête menée par la justice ». Grâce présidentielle ? Enfin, le Parisien se demande si Emmanuel Macron peut gracier l'ancien président de la République. « S'il n'a pas commenté la décision de justice », remarque le quotidien, « Emmanuel Macron a déjà été sollicité par des sénateurs les Républicains qui lui ont demandé de gracier son prédécesseur ». Réponse de Christophe Boutin, professeur de droit public : « Je ne vois rien juridiquement qui s'oppose à la possibilité d'une grâce présidentielle du président Macron sur l'ancien président Sarkozy », déclare-t-il au Parisien. Le même professeur ajoute toutefois « qu'il juge "très improbable" la possibilité qu'Emmanuel Macron le fasse. » « Politiquement, dit-il, ce serait sulfureux, et ça poserait la question de la grâce de Marine le Pen », la cheffe du Rassemblement national, elle aussi condamnée par la justice.

RTL Soir
Nicolas Sarkozy bientôt en prison : "Ce qui pose fortement question, c'est l'exécution provisoire", insiste Thomas Ménagé, député RN du Loiret

RTL Soir

Play Episode Listen Later Sep 25, 2025 4:13


Après la condamnation de Nicolas Sarkozy à 5 ans de prison avec exécution provisoire, écoutez la réaction de Thomas Ménagé, député Rassemblement national du Loiret.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

L'entretien de Sonia Mabrouk
«Madame Ernotte a ruiné l'audiovisuel public avec son idéologie», estime Sébastien Chenu

L'entretien de Sonia Mabrouk

Play Episode Listen Later Sep 24, 2025 16:16


Invité : Sébastien Chenu, vice-président du Rassemblement national et député RN du Nord Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

L'entretien de Sonia Mabrouk
«Donald Trump met le doigt où ça fait mal», souligne Sébastien Chenu

L'entretien de Sonia Mabrouk

Play Episode Listen Later Sep 24, 2025 1:25


Invité : Sébastien Chenu, vice-président du Rassemblement national et député RN du Nord Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Programme B
Éric Ciotti | Ils ont tué la droite

Programme B

Play Episode Listen Later Sep 23, 2025 28:07


Longtemps resté dans l'ombre d'Estrosi, Eric Ciotti, a patiemment gravi tous les échelons en jouant des fidélités et des trahisons. Toujours plus à droite que ses concurrents, il a fini par précipiter l'implosion de sa propre famille politique en tentant l'alliance avec le Rassemblement national lors des législatives anticipées de 2024. Portrait du fossoyeur d'une droite déjà à l'agonie.Binge Audio fête ses 10 ans au Mazette le 11 octobre ! Prenez vos places sur Shotgun ou Dice Programme B est un podcast de Binge Audio présenté par Thomas Rozec. Réalisation : Paul Bertiaux. Production et édition : Charlotte Baix. Générique : François Clos et Thibault Lefranc. Identité sonore Binge Audio : Jean-Benoît Dunckel (musique) et Bonnie El Bokeili (voix). Identité graphique : Sébastien Brothier et Thomas Steffen (Upian). Direction des programmes : Joël Ronez.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Du grain à moudre
Qui veut vraiment taxer les riches ?

Du grain à moudre

Play Episode Listen Later Sep 23, 2025 37:54


durée : 00:37:54 - Questions du soir : le débat - par : Quentin Lafay, Stéphanie Villeneuve - La taxe Zucman, qui propose de taxer de 2 % les foyers ayant un patrimoine supérieur à 100 millions d'euros, continue de faire débat. Bernard Arnault s'en est pris à l'économiste, le qualifiant de "militant d'extrême gauche", cherchant à s'en prendre à l'économie française. - invités : Anne-Laure Delatte Économiste, chercheuse au CNRS, membre du laboratoire LEDa de l'université Paris-Dauphine, spécialiste de la finance, des paradis fiscaux et de la zone euro; Edwige Diaz Députée Rassemblement national de la 11e circonscription de Gironde

Le sept neuf
Reconnaissance de l'État de Palestine : de "la communication" qui "ne réglera rien" pour le RN Louis Aliot

Le sept neuf

Play Episode Listen Later Sep 23, 2025 22:09


durée : 00:22:09 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Nicolas Demorand, Benjamin Duhamel - Louis Aliot, maire Rassemblement national de Perpignan et vice-président du parti estime que la reconnaissance de l'État de Palestine par la France "ne réglera rien". - invités : Louis ALIOT - Louis Aliot : Homme politique français Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

Les interviews d'Inter
Reconnaissance de l'État de Palestine : de "la communication" qui "ne réglera rien" pour le RN Louis Aliot

Les interviews d'Inter

Play Episode Listen Later Sep 23, 2025 22:09


durée : 00:22:09 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Nicolas Demorand, Benjamin Duhamel - Louis Aliot, maire Rassemblement national de Perpignan et vice-président du parti estime que la reconnaissance de l'État de Palestine par la France "ne réglera rien". - invités : Louis ALIOT - Louis Aliot : Homme politique français Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

France Culture physique
Qui veut vraiment taxer les riches ?

France Culture physique

Play Episode Listen Later Sep 23, 2025 37:54


durée : 00:37:54 - Questions du soir : le débat - par : Quentin Lafay, Stéphanie Villeneuve - La taxe Zucman, qui propose de taxer de 2 % les foyers ayant un patrimoine supérieur à 100 millions d'euros, continue de faire débat. Bernard Arnault s'en est pris à l'économiste, le qualifiant de "militant d'extrême gauche", cherchant à s'en prendre à l'économie française. - invités : Anne-Laure Delatte Économiste, chercheuse au CNRS, membre du laboratoire LEDa de l'université Paris-Dauphine, spécialiste de la finance, des paradis fiscaux et de la zone euro; Edwige Diaz Députée Rassemblement national de la 11e circonscription de Gironde

Pascal Praud et vous
Hommage à Charlie Kirk : «On a une veuve qui pardonne l'assassin de son mari, et la gauche raconte que c'est un rassemblement nazi» s'énerve Christophe Bordet

Pascal Praud et vous

Play Episode Listen Later Sep 22, 2025 9:59


Chroniqueurs : - Gauthier le Bret, journaliste politique CNews - Caroline Ithurbide, journaliste et animatrice - Christophe Bordet, rédacteur en chef - Gérard Carreyrou, journaliste Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

On marche sur la tête
Hommage à Charlie Kirk : «On a une veuve qui pardonne l'assassin de son mari, et la gauche raconte que c'est un rassemblement nazi» s'énerve Christophe Bordet

On marche sur la tête

Play Episode Listen Later Sep 22, 2025 9:59


Chroniqueurs : - Gauthier le Bret, journaliste politique CNews - Caroline Ithurbide, journaliste et animatrice - Christophe Bordet, rédacteur en chef - Gérard Carreyrou, journaliste Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Les interviews d'Inter
Taxe Zucman : "Prendre 2 % aux plus riches, c'est une solution simpliste, un slogan", pour Jean-Philippe Tanguy

Les interviews d'Inter

Play Episode Listen Later Sep 21, 2025 54:14


durée : 00:54:14 - Questions politiques - Jean-Philippe Tanguy, député Rassemblement national de la Somme est l'invité de Questions politiques ce dimanche. Il évoque la taxe Zucman, au cœur des débats avec l'arrivée du nouveau Premier ministre Sébastien Lecornu, et vertement critiquée ce week-end par Bernard Arnault. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

Questions politiques
Taxe Zucman : "Prendre 2 % aux plus riches, c'est une solution simpliste, un slogan", pour Jean-Philippe Tanguy

Questions politiques

Play Episode Listen Later Sep 21, 2025 54:14


durée : 00:54:14 - Questions politiques - Jean-Philippe Tanguy, député Rassemblement national de la Somme est l'invité de Questions politiques ce dimanche. Il évoque la taxe Zucman, au cœur des débats avec l'arrivée du nouveau Premier ministre Sébastien Lecornu, et vertement critiquée ce week-end par Bernard Arnault. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

8.30 franceinfo:
Reconnaissance de la Palestine à l'ONU : "Mauvais timing", dénonce le député RN Thomas Ménagé

8.30 franceinfo:

Play Episode Listen Later Sep 20, 2025 19:56


durée : 00:19:56 - 8h30 franceinfo - Thomas Ménagé, député du Loiret, porte-parole du Rassemblement national, était l'invité du “8h30 franceinfo”, samedi 20 septembre 2025 Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

24H Pujadas - Les partis pris
Les Partis Pris : "Budget : il va falloir sortir du bois", "Grand ménage administratif : la vraie liste" et "État de Palestine : un symbole... et après ?"

24H Pujadas - Les partis pris

Play Episode Listen Later Sep 19, 2025 14:21


On dit du Premier ministre, Sébastien Lecornu, qu'il est silencieux, discret, secret, modeste, prudent, à l'écoute... Pour l'instant, il a écouté, mais n'a rien dit. C'est ce qu'ont dit notamment les Socialistes et les responsables du Rassemblement national à leur sortie de Matignon. D'après Arlette Chabot, il va falloir qu'il sorte de son trou. C'est une avancée très concrète de quelque chose de symbolique. Cela prend la suite de la suppression des avantages pour les anciens ministres. Des organismes sont susceptibles d'être supprimés par le Premier ministre, Sébastien Lecornu. Dominique Seux affirme avoir la liste des délégations concernées. A priori, la reconnaissance d'un État palestinien part d'un bon sentiment. En plus, c'est une grande victoire diplomatique de la France. Mais Isabelle Lasserre a peur que cela ne change pas grand-chose, car les deux parties principales de cette histoire, les États-Unis et Israël, sont vent debout contre cette initiative. Du lundi au vendredi, à partir de 18h, David Pujadas apporte toute son expertise pour analyser l'actualité du jour avec pédagogie.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

France Culture physique
Jean-Philippe Tanguy, président délégué du RN à l'Assemblée nationale : "Pierre-Edouard Stérin est un exilé fiscal"

France Culture physique

Play Episode Listen Later Sep 19, 2025 43:22


durée : 00:43:22 - Sens politique - par : Astrid de Villaines - Jean-Philippe Tanguy est député de la Somme et président délégué du groupe RN à l'Assemblée nationale : "En tant que patriote, je ne vois pas comment on peut accepter de l'argent d'exilés fiscaux", a-t-il vertement déclaré à propos du milliardaire controversé Pierre-Edouard Stérin. - réalisation : Peire Legras - invités : Jean-Philippe Tanguy Député Rassemblement national de la Somme

Politique !
Jean-Philippe Tanguy, président délégué du RN à l'Assemblée nationale : "Pierre-Edouard Stérin est un exilé fiscal"

Politique !

Play Episode Listen Later Sep 19, 2025 43:22


durée : 00:43:22 - Sens politique - par : Astrid de Villaines - Jean-Philippe Tanguy est député de la Somme et président délégué du groupe RN à l'Assemblée nationale : "En tant que patriote, je ne vois pas comment on peut accepter de l'argent d'exilés fiscaux", a-t-il vertement déclaré à propos du milliardaire controversé Pierre-Edouard Stérin. - réalisation : Peire Legras - invités : Jean-Philippe Tanguy Député Rassemblement national de la Somme

Code source
Crise politique : faut-il arrêter de rêver de majorité absolue à l'Assemblée ?

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Play Episode Listen Later Sep 18, 2025 34:24


Depuis les élections législatives de juin 2022, il n'y a plus de majorité absolue à l'Assemblée nationale. Les trois grandes forces présentes dans l'hémicycle (les partis du Nouveau Front Populaire, le camp présidentiel, et le Rassemblement national et ses alliés) comptent chacune moins de députés que le nombre requis (288 sur 577) pour gouverner seules.Cette situation est en rupture avec les habitudes de la chambre basse depuis le début de la Ve République en 1958. Pendant des décennies, l'Assemblée nationale s'est structurée autour d'un bloc qui disposait de la majorité absolue, donnant ainsi toute la latitude à l'exécutif pour appliquer sa politique, et un bloc d'opposition homogène qui cherchait l'alternance.Pourquoi cette nouvelle donne plonge-t-elle le pays dans une instabilité politique ? Faut faire le deuil de cette majorité absolue pour tenter d'en sortir ? Eléments de réponse avec Jean Garrigues, historien, professeur émérite à l'université d'Orléans, et spécialiste de l'histoire parlementaire.Écoutez Code source sur toutes les plates-formes audio : Apple Podcast (iPhone, iPad), Amazon Music, Podcast Addict ou Castbox, Deezer, Spotify.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Reporter : Barbara Gouy - Production : Thibault Lambert, Pénélope Gualchierotti et Clara Grouzis - Réalisation et mixage : Pierre Chaffanjon. - Musiques : François Clos, Audio Network. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

L'info en intégrale - Europe 1
Le journal de 20h - 17/09/2025

L'info en intégrale - Europe 1

Play Episode Listen Later Sep 17, 2025 9:58


Dans cette édition :Inquiétude des autorités face à la mobilisation prévue de 600 000 à 900 000 personnes dans toute la France le 18 septembre, avec la crainte de la présence de plusieurs centaines d'éléments radicaux dans les cortèges.Vive polémique entre le député LFI Mathilde Panot et les syndicats de police, après ses déclarations accusant la police de 'tuer partout'.Rassemblement à Paris pour protester contre la décision du président Macron de reconnaître l'État palestinien, malgré l'opposition de 78% des Français.Offensive israélienne se poursuivant à Gaza et accueil royal réservé à Donald Trump à Londres.Ajustement du dispositif sécuritaire avec 80 000 policiers et gendarmes mobilisés, face aux risques de débordements et d'actions de sabotage.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Le vrai du faux
Vrai ou faux. La France peut-elle diminuer sa contribution au budget européen, comme l'affirme le RN ?

Le vrai du faux

Play Episode Listen Later Sep 16, 2025 2:23


durée : 00:02:23 - Le vrai ou faux - C'est une revendication récurrente du Rassemblement national. Pour faire des économies en 2026, le parti de Marine le Pen propose de réduire la contribution française au budget de l'Union européenne. Mais est-ce juridiquement et politiquement possible ? Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

8.30 franceinfo:
Suppression des "avantages à vie" des ex-ministres, abandon de la suppression des deux jours fériés... Le "8h30 franceinfo" de Sébastien Chenu

8.30 franceinfo:

Play Episode Listen Later Sep 16, 2025 23:43


durée : 00:23:43 - 8h30 franceinfo - Le député Rassemblement national du Nord et vice-président du parti était l'invité du "8h30 franceinfo", mardi 16 septembre. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

La chronique de Benaouda Abdeddaïm
Annalisa Cappellini : Extrême droite, mobilisation géante à Londres - 15/09

La chronique de Benaouda Abdeddaïm

Play Episode Listen Later Sep 15, 2025 3:09


Ce lundi 15 septembre, le rassemblement anti-immigration qui s'est tenu à Londres samedi dernier et les objectifs de cette manifestation ont été abordés par Annalisa Cappellini dans sa chronique, dans l'émission Good Morning Business, présentée par Laure Closier, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.

Apolline Matin
Le choix d'Apolline : Laurent Jacobelli - 15/09

Apolline Matin

Play Episode Listen Later Sep 15, 2025 7:01


Avec : Laurent Jacobelli, député de Moselle, porte-parole du Rassemblement national. - Tous les matins à 7h40, l'invité qui fait l'actualité. Un acteur incontournable, un expert renseigné... 10 minutes d'interview sans concession avec Apolline de Malherbe et les témoignages des auditeurs de RMC au 3216.

Le journal de 18h00
Jordan Bardella au centre de la rentrée du Rassemblement national

Le journal de 18h00

Play Episode Listen Later Sep 14, 2025 10:40


durée : 00:10:40 - Journal de 18h - Le parti d'extrême droite a fait sa rentrée aujourd'hui à Bordeaux : référendum sur l'immigration, privatisation de l'audiovisuel public, critique de la censure gouvernementale. Des idées applaudies et saluées par le public, qui ont suivi une réunion aux allures de meeting électoral présidentiel.

Les journaux de France Culture
Jordan Bardella au centre de la rentrée du Rassemblement national

Les journaux de France Culture

Play Episode Listen Later Sep 14, 2025 10:40


durée : 00:10:40 - Journal de 18h - Le parti d'extrême droite a fait sa rentrée aujourd'hui à Bordeaux : référendum sur l'immigration, privatisation de l'audiovisuel public, critique de la censure gouvernementale. Des idées applaudies et saluées par le public, qui ont suivi une réunion aux allures de meeting électoral présidentiel.

VA+ en podcasts
Le RN dans les STARTING-BLOCKS - Grand Entretien

VA+ en podcasts

Play Episode Listen Later Sep 12, 2025 21:41


Après cinq gouvernements en cinq ans, l'offre politique d'Emmanuel Macron continue de s'épuiser. Face a cette crise de régime inédite, le Rassemblement national se prépare à retourner en campagne. Julien Odoul, député du RN décrypte avec nous la séquence.

24H Pujadas - Les partis pris
Les Partis Pris : "Le RN jamais aussi proche du pouvoir", "Note de Fitch, ne paniquons pas !" et "Trump se met toujours ses alliés à dos !"

24H Pujadas - Les partis pris

Play Episode Listen Later Sep 12, 2025 16:31


En cas de dissolution, le Rassemblement national est largement en tête dans les sondages. Le camp présidentiel, quant à lui, est loin derrière. Pour Arlette Chabot, il y a une fenêtre d'opportunité politique pour le RN. C'est le moment où il peut espérer s'approcher du pouvoir, ajoute-t-elle. L'agence de notation américaine Fitch a dégradé la note de la France. En cause, l'état des finances publiques et le contexte politique depuis la dissolution. Pascal Perri affirme que nous sommes déjà considérés par les marchés comme un pays moins sûr que par le passé. Le 4 septembre, une razzia dans une usine automobile de Géorgie a conduit à l'arrestation de 450 ouvriers. Parmi eux, 350 sont sud-coréens. Pour Isabelle Lasserre, le président Trump est gentil avec ses ennemis et méchant avec ses amis. Du lundi au vendredi, à partir de 18h, David Pujadas apporte toute son expertise pour analyser l'actualité du jour avec pédagogie. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

C dans l'air
Blocages, grèves...et maintenant, l'épreuve de la rue - L'intégrale -

C dans l'air

Play Episode Listen Later Sep 9, 2025 64:06


C dans l'air du 9 septembre 2025 - Après la crise, le spectre du blocageFrançois Bayrou a remis sa démission ainsi que celle de son gouvernement à Emmanuel Macron ce mardi en milieu de journée, au lendemain d'un vote sans appel à l'Assemblée nationale. Lundi, 364 députés ont voté contre la confiance, y compris au sein du bloc commun.Face à ce désaveu, tous les regards se tournent désormais vers le chef de l'État, confronté à nouveau à la tâche de nommer un nouveau Premier ministre capable d'éviter une censure rapide. Cette équation s'avère d'autant plus délicate que la popularité du président de la République est au plus bas dans les sondages et que le climat politique est électrique.Du côté des partis, les socialistes se disent « disponibles », tandis que les écologistes souhaitent un Premier ministre issu du Nouveau Parti écologiste (NFP). Marine Le Pen, pour le Rassemblement national, réclame une « dissolution ultra rapide ». Chez les Insoumis, Jean-Luc Mélenchon appelle à la démission d'Emmanuel Macron.Parallèlement, le mouvement « Bloquons tout » se prépare. Des pots de départ de François Bayrou ont été organisés partout en France, comme un avant-goût de la journée du 10 septembre où l'on annonce blocages, boycotts et grèves. Difficile néanmoins de mesurer l'ampleur du mouvement qui s'organise et dont l'un des enjeux sera la participation de la jeunesse. Plusieurs syndicats étudiants ont, ce dernier jour, décidé de rejoindre le mouvement « Bloquons tout ». Ils alertent notamment sur la précarité des étudiants. Nos journalistes sont allés à leur rencontre. Alors, qui pour succéder à François Bayrou à Matignon ? Blocages des axes routiers, grèves… À quoi faut-il s'attendre le 10 septembre ? Les étudiants vont-ils rejoindre le mouvement « Bloquons tout » ?LES EXPERTS :- Jérôme JAFFRÉ - Politologue - Chercheur associé au CEVIPOF- Anne-Charlène BEZZINA - Constitutionnaliste et politologueMaître de conférences en droit public - Université de Rouen et Sciences Po- Sylvie PIERRE-BROSSOLETTE - Éditorialiste politique - Le Point - Jérôme FOURQUET - Directeur du département Opinion - Institut de sondages IFOP- Aline LECLERC (en duplex) - Reporter – Le Monde

L’Heure du Monde
Après la chute du gouvernement Bayrou, quelles options pour Emmanuel Macron ?

L’Heure du Monde

Play Episode Listen Later Sep 9, 2025 16:32


Pour la première fois de l'histoire de la Vᵉ République, un gouvernement tombe lors d'un vote de confiance : 364 députés ont voté contre, 194 pour, ce lundi 8 septembre. Le premier ministre François Bayrou doit désormais remettre la démission de son gouvernement au président Emmanuel Macron, qui a promis de nommer son successeur « dans les tout prochains jours ».Si cette issue était largement attendue, le flou demeure quant aux choix à venir du président. Une nouvelle dissolution de l'Assemblée nationale, comme le demande le Rassemblement national, ou bien sa propre démission, comment le demande La France insoumise, sont-elles sur la table ? Quelles sont les prochaines étapes pour retrouver un gouvernement ?Dans cet épisode du podcast « L'Heure du Monde », Abel Mestre, chef adjoint au service Politique du Monde et Robin Richardot, chargé du suivi de l'Assemblée nationale, examinent cette séquence politique historique.Un épisode d'Adélaïde Tenaglia et Garance Muñoz. Réalisation : Amandine Robillard. Présentation et rédaction en chef : Claire Leys. Dans cet épisode : extrait du discours du premier ministre François Bayrou, le 8 septembre 2025 à l'Assemblée nationale.Cet épisode a été publié le 9 septembre 2025.---Pour soutenir "L'Heure du Monde" et notre rédaction, abonnez-vous sur abopodcast.lemonde.frPour assister à un enregistrement de L'Heure du Monde en direct, inscrivez-vous ici. Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.

Le Top de L'After foot
Le Top de l'After Foot : L'After fait le bilan du rassemblement des Bleus – 09/09

Le Top de L'After foot

Play Episode Listen Later Sep 9, 2025 11:09


Chaque jour, écoutez le Best-of de l'Afterfoot, sur RMC la radio du Sport !

Rothen s'enflamme
Di Meco : "Dembele a un statut tel qu'il aurait pu dire qu'il ne se sentait pas pour ce rassemblement" – 08/09

Rothen s'enflamme

Play Episode Listen Later Sep 8, 2025 7:34


Le sujet fort de l'actualité foot du jour vu par Jérôme Rothen et la Dream Team.

L’Heure du Monde
François Bayrou : comment expliquer son coup de poker ?

L’Heure du Monde

Play Episode Listen Later Sep 8, 2025 19:40


François Bayrou sera-t-il encore premier ministre lundi 8 septembre au soir ? Rien n'est moins sûr, tant le vote de confiance qu'il a demandé et qui engage la responsabilité de son gouvernement est sous le feu des critiques.En recourant à l'article 49 alinéa 1 de la Constitution, le chef du gouvernement lie le sort de son gouvernement au plan d'économies de 44 milliards d'euros qu'il a présenté aux Français le 15 juillet. Si le premier ministre demande aux députés de se prononcer sur l'urgence d'agir face à la dette publique et non sur les mesures proposées, les oppositions, qui se sentent peu considérées par Matignon, devraient tout de même ne pas voter la confiance, comme l'ont annoncé le Rassemblement national et le Parti socialiste.Pourquoi François Bayrou a-t-il opté pour cette stratégie si risquée pour son avenir politique et pour la stabilité du pays, de nouveau menacé de se retrouver sans gouvernement, un an après la dissolution ? Nathalie Segaunes, qui couvre l'exécutif au service politique du Monde, nous explique les raisons du coup de poker du premier ministre.Un épisode de Cyrielle Bedu, réalisé par Amandine Robillard. Présentation et suivi éditorial : Jean-Guillaume Santi. Dans cet épisode : extrait d'une vidéo de François Bayrou sur sa chaîne YouTube, publiée le 5 août 2025 ; extrait de la conférence de rentrée de François Bayrou, le 25 août 2025.Cet épisode a été publié le 8 septembre 2025.---Pour soutenir "L'Heure du Monde" et notre rédaction, abonnez-vous sur abopodcast.lemonde.fr Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.

Le Nouvel Esprit Public
Après le 8 septembre, la valse des pantins ? / La Chine et les divisions occidentales

Le Nouvel Esprit Public

Play Episode Listen Later Sep 7, 2025 67:42


Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée en public à l'École alsacienne le 7 septembre 2025.Avec cette semaine :Jean-Louis Bourlanges, essayiste, ancien président de la Commission des Affaires étrangères de l'Assemblée nationale.David Djaïz, entrepreneur et essayiste.Antoine Foucher, consultant, spécialiste des questions sociales, auteur de Sortir du travail qui ne paie plus.Lucile Schmid, présidente de La Fabrique écologique et membre du comité de rédaction de la revue Esprit.LA VALSE DES PANTINS : COMPORTEMENT DU PERSONNEL POLITIQUE À LA VEILLE DU 8 SEPTEMBREAprès sa présentation mi-juillet, le Premier ministre a de nouveau défendu, le 25 août, son plan de rigueur de 44 milliards d'euros pour le budget 2026, et annoncé qu'il « engagera(it) la responsabilité de son gouvernement[…] pour une clarification » lundi 8 septembre, avec un vote de confiance à l'Assemblée nationale convoquée en session extraordinaire. La France insoumise, le Parti communiste, les Ecologistes, le Rassemblement national et les Ciottistes ont annoncé leur volonté de faire tomber l'actuel gouvernement. Le Parti socialiste ne compte pas non plus voter la confiance. Depuis 1958, ce sont 41 Premiers ministres qui ont sollicité la confiance de l'Assemblée nationale, et qui ont obtenu à chaque fois la majorité absolue des suffrages exprimés.Si François Bayrou veut croire possible ce vote de confiance, le décompte des forces hostiles ne va guère dans son sens : en additionnant les voix du Rassemblement national (RN) et de ses alliés (138), de la gauche (192) et du groupe Libertés, indépendants et outre-mer (LIOT, 23), il existe une majorité de suffrages largement suffisante pour faire chuter le gouvernement. Un tel échec poussera-t-il Emmanuel Macron à demander, lui aussi, une « clarification », en opérant un retour aux urnes avec une nouvelle dissolution de l'Assemblée nationale, quatorze mois après la précédente ? C'est ce que réclame le Rassemblement national, tandis que LFI se prononce pour la destitution du président lequel appelle les siens à se mettre d'accord avec les socialistes et n'apparaît donc pas prêt ni à dissoudre ni à se démettre. On voit d'ailleurs que les candidats à la succession de François Bayrou ne manquent pas. L'échec de son Premier ministre placera Emmanuel Macron en première ligne, désormais dépourvu de paratonnerre. Les appels à sa démission pourraient se multiplier, en particulier lors du mouvement de blocage du 10 septembre.François Bayrou, qui veut éviter l'instabilité, risque-t-il de l'aggraver ? Cette hypothèse est partagée par 63 % des Français, selon un sondage Odoxa-Backbone Consulting pour Le Figaro. Selon le baromètre de la confiance politique 2025 du Centre de recherches politiques de Sciences Po (Cevipof) publié en février dernier, 74 % des Français ne font pas confiance à la politique (+ 4 points par rapport à 2024).COMMENT LA CHINE TIRE PARTI DE L'INSTABILITÉ MONDIALE ET DES DIVISIONS OCCIDENTALESLe 25ème sommet de l'Organisation de coopération de Shanghai (OCS) a réuni à l'invitation du président chinois plus de 20 chefs d'État et de gouvernement. Parmi eux : le Russe Vladimir Poutine, l'Indien Narendra Modi (pour sa première visite en Chine en sept ans), le Turc Recep Tayyip Erdogan, leprésident iranien, les Premiers ministres du Pakistan, de la Malaisie, du Cambodge et du Vietnam, ainsi que les dirigeants de toute l'Asie centrale. Soit les représentants de la moitié de la population terrestre et un quart de la richesse mondiale. Le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, s'est aussi rendu à Pékin. Dans son discours d'ouverture, Xi a appelé les États membres à s'opposer à la mentalité de guerre froide, à l'hégémonisme, à la confrontation entre blocs et aux manœuvres d'intimidation, sans citer pour autant les États-Unis. Il a une nouvelle fois poussé en avant son « autre » modèle, censé refléter les nouveaux équilibres internationaux. Xi Jinping entend faire de la Chine un pôle de stabilité dans un contexte mondial instable, alors que les Occidentaux sont divisés. Les promesses militaires mal tenues faites à l'Ukraine par l'Union européenne ont révélé ses faiblesses, quand certains pays de l'axe de la contestation, comme la Corée du Nord, ont joint le geste à la parole en envoyant des armes ou des troupes combattre aux côtés des Russes. Les divisions entre les États-Unis de Trump et les pays européens, dont les valeurs et les visions de la politique s'éloignent, fournissent un nouveau levier à la Chine et à ses amis.Pour le trio Inde-Chine-Russie, les enjeux sont aussi économiques. En raison de la guerre commerciale menée par Trump et des sanctions occidentales visant la Russie, les trois pays ambitionnent de s'affranchir de l'Occident en approfondissant leurs échanges. L'Inde le fait déjà en continuant d'importer massivement du pétrole russe qu'elle paie en roupies et non en dollars. Donald Trump a imposé 50 % de droits de douane sur les produits indiens.La Chine s'affiche comme une puissance stable et raisonnable, garante d'un nouvel ordre mondial plus favorable aux émergents que celui construit par les Occidentaux il y a 80 ans, après la Seconde Guerre mondiale. Son « coup » diplomatique s'est prolongé le 3 septembre à Pékin avec une grande parade militaire à laquelle a assisté le chef suprême nord-coréen, Kim Jong-un. Parmi ceux que la Chine veut présenter au monde comme ses alliés stratégiques en faveur d'un ordre du monde alternatif sous son égide, se trouvaient également deux États de l'Union européenne et deux États de l'Otan : la Slovaquie, et la Hongrie. Deux pays qui blâment l'Occident pour le déclenchement et la poursuite de la guerre en Ukraine, critiquent les sanctions européennes contre la Russie et réclament la normalisation des relations avec Moscou.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Focus economia
La Francia è sull orlo del fallimento: il debito, la crisi politica, lo spread

Focus economia

Play Episode Listen Later Sep 3, 2025


Il detonatore della crisi francese sarà il voto di fiducia all'Assemblea nazionale, previsto per l'8 settembre. Il primo ministro François Bayrou si gioca le ultime carte per far passare misure finanziarie che dovrebbero consentire un taglio della spesa per circa 44 miliardi. Misure osteggiate sia a destra, sia a sinistra. Un fuoco di sbarramento che isola sempre più il presidente Emmanuel Macron, erode la sua già esigua compagine parlamentare e potrebbe portare per la seconda volta in pochi mesi ad elezioni anticipate, senza escludere peraltro le dimissioni dello stesso presidente. Gli esponenti più moderati della sinistra, così come il Rassemblement national, hanno già detto chiaramente che non sosterranno il governo. Gli investitori temono un ennesimo crollo del governo. Il CAC 40, l'indice di riferimento di Parigi, ha registrato già diverse cadute nei giorni scorsi. Il tasso di interesse dei titoli di Stato francesi a dieci anni è ora tra i più alti dell'eurozona. Ha già superato quelli di Grecia e Portogallo, due paesi al centro dell'ultima crisi finanziaria, e si avvicina a quello dell'Italia. Ma il nostro Paese oggi è visto con maggiore favore dai mercati, in compagnia di Grecia e Spagna. Ne parliamo con Paolo Guerrieri, docente di Economia alla Paris School of International Affairs, Sciences-Po (Parigi).Da Venerdì la cinquantunesima edizione del Forum Teha La cinquantunesima edizione del Forum Teha (The European House Ambrosetti) si apre venerdì, fino a domenica, e cercherà di mettere a fuoco gli scenari geopolitici, economici, tecnologici e sociali non solo dell'Italia, con la presenza di 9 Governi (Albania, Arabia Saudita, Irlanda, Italia, Portogallo, Qatar, Spagna, Stati Uniti, Turchia), dei principali ministri del Governo italiano, di 5 Commissari Europei e l'EU Rapporteur per il Single Market. Ad aprire i lavori, subito dopo i saluti di Valerio De Molli, è previsto un intervento del Presidente dell'Ucraina Volodymyr Zelensky in videoconference. Ad ascoltarlo in sala ci sarà, tra gli altri, Antonio Tajani, vice Presidente del Consiglio dei Ministri dell'Italia e Ministro degli Affari Esteri e della Cooperazione Internazionale dell'Italia. Il messaggio del Presidente della Repubblica Italiana, Sergio Mattarella, arriverà sabato mattina, nella giornata dedicata all'Europa, durante la quale si parlerà anche di difesa e sicurezza; domenica, nella tradizionale sessione dell'Agenda per l'Italia dedicata alle opposizioni, interverranno Elly Schlein, Giuseppe Conte, Angelo Bonelli, Carlo Calenda e Matteo Renzi. Tra i ministri presenti alla tre giorni, oltre a Tajani, Maria Chiara Carrozza, Giuseppe Valditara, Marina Calderone, Matteo Salvini, Paolo Zangrillo, Carlo Nordio e Adolfo Urso per concludere con l'intervento di Giancarlo Giorgetti. Approfondiamo il tema con Valerio De Molli, Managing Partner & CEO di The European House - Ambrosetti.

Le sept neuf
"On censurera tout Premier ministre qui ne rompt pas avec le macronisme", affirme le RN Jean-Philippe Tanguy

Le sept neuf

Play Episode Listen Later Sep 3, 2025 25:02


durée : 00:25:02 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Nicolas Demorand, Benjamin Duhamel - Le député RN Jean-Philippe Tanguy, élu de la Somme, assume la stratégie de son parti qui consistera à censurer "tout Premier ministre qui ne rompt pas, politiquement et moralement, avec le macronisme". - invités : Jean-Philippe Tanguy - Jean-Philippe Tanguy : Député Rassemblement national de la Somme Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

C dans l'air
Dette: les "boomers" doivent-ils payer? - L'intégrale -

C dans l'air

Play Episode Listen Later Sep 1, 2025 64:07


C dans l'air du 1er septembre 2025 - Dette : la faute aux séniors ?À une semaine du vote de confiance à l'Assemblée nationale, qu'il a lui-même sollicité autour de la question budgétaire et qui pourrait sceller le sort de son gouvernement, François Bayrou multiplie les initiatives. Dimanche soir, il a accordé un long entretien télévisé en direct de Matignon aux journalistes des quatre chaînes d'information — LCI, Franceinfo, BFMTV et CNews. Et ce lundi, il entame une série d'entretiens avec les différents partis politiques. Objectif : trouver un compromis sur le budget 2026 et sauver sa tête. Mais le peut-il encore ?Si le Premier ministre fait mine d'y croire, en se disant "ouvert à la discussion", il a une nouvelle fois défendu ses choix budgétaires et balayé les propositions du PS, qui se dit "volontaire" pour lui succéder à Matignon. François Bayrou a également affirmé n'avoir « jamais dit qu'il fallait cibler les boomers, dont [il est]". Tout en appelant les retraités à aider les plus jeunes, qu'il juge pour une partie "sacrifiés" et "sans destin", il a ajouté : "Je veux réveiller les aînés parce que je suis sûr qu'ils sont solidaires avec ce que je dis. Ce sont leurs enfants et leurs petits-enfants". Le Premier ministre a par ailleurs écarté l'hypothèse d'une suppression de l'abattement de 10 % pour frais professionnels dont bénéficient les retraités.Une semaine après avoir pris de court toute la classe politique en convoquant un vote de confiance à l'Assemblée, le chef du gouvernement a justifié sa démarche : "Si je n'ai pas l'assentiment minimal des Français et de ceux qui les représentent, il n'y a aucune politique courageuse possible. Vous êtes obligé de battre en retraite sur chaque mesure, et après, vous vous retrouvez censuré". Mais c'est un euphémisme de dire que le Premier ministre n'a pas réussi à convaincre l'opposition… ni même son propre camp. La présidente de l'Assemblée nationale, Yaël Braun-Pivet, n'a en effet pas épargné le chef du gouvernement. Au micro de France Inter, ce lundi matin, elle a critiqué "les mots maladroits" de François Bayrou sur les oppositions ou les "boomers". Elle a aussi appelé, en cas de chute du gouvernement, les forces politiques à se réunir pour se mettre d'accord sur une coalition jusqu'en 2027.À l'extrême droite, les réactions sont tout aussi critiques du côté du Rassemblement national."On a vu un mélange d'adieu pitoyable… Il a compris que c'était fini. Il va profiter de ses derniers moments d'interview avec le syndrome Dalida pour mourir sur scène", a fustigé le porte-parole Laurent Jacobelli dimanche soir sur BFMTV, à l'unisson des cadres du parti.Le vice-président du RN, Sébastien Chenu, a parlé d'un Premier ministre "naufragé, au bout du rouleau". Invités mardi matin à Matignon par François Bayrou, dont ils souhaitent la chute, Marine Le Pen et Jordan Bardella ont également décidé de réunir ce lundi après-midi un "bureau de campagne" du Rassemblement national, pour anticiper une possible dissolution et de nouvelles élections législatives.À gauche, plusieurs partis — dont La France insoumise et les Écologistes — ont déjà indiqué qu'ils ne répondront pas présents à l'invitation de François Bayrou."Pathétique et crépusculaire", a cinglé dimanche le patron du PS, Olivier Faure. Alors que François Bayrou affirmait que le socialiste n'était pas "disponible" pour parler du budget pendant ses vacances, Olivier Faure a démenti sur X (ex-Twitter) : "Je suis parti 10 jours, j'ai toujours été joignable, et je suis rentré en Seine-et-Marne le 30 juillet". Clémentine Autain, députée NFP de Seine-Saint-Denis, s'est également indignée sur X :"Est-il possible d'arrêter de raconter que ce sont les générations futures qui vont payer la dette ?"Elle poursuit : "Ce sont les classes populaires qui vont payer tout de suite, par les coupes budgétaires qui s'abattent sur les protections sociales et les services publics."Le principal syndicat représentatif dans la fonction publique, la CGT, appelle désormais à "tout bloquer" et à la grève les 10 et 18 septembre, selon un communiqué publié ce lundi. Les deux autres principales organisations syndicales, quant à elles, concentrent leurs efforts sur la mobilisation du 18 septembre.Et vous, qu'avez-vous retenu de l'interview de François Bayrou ? Vous a-t-il convaincu ?Les "boomers" sont-ils responsables de la dette ?LES EXPERTS :- Jérôme JAFFRÉ - Politologue - Chercheur associé au CEVIPOF- Philippe DESSERTINE - Directeur de l'Institut de Haute Finance, auteur de "L'horizon des possibles"- Nathalie MAURET - Reporter politique - Groupe de presse régionale Ebra- Anne ROSENCHER - Directrice déléguée de la rédaction – L'Express

Revue de presse Afrique
À la Une: la Guinée, avec le lancement de la campagne pour le référendum constitutionnel

Revue de presse Afrique

Play Episode Listen Later Sep 1, 2025 4:21


Dans trois semaines, le 21 septembre, très exactement 6 millions 768 mille 458 électeurs, incluant les résidents à l'étranger, seront appelés aux urnes pour se prononcer sur le projet de nouvelle Constitution. Ce chiffre définitif du fichier électoral biométrique permanent a été donné par la Direction générale des Élections, précise le site Guinée 7, « après les opérations de vérification et de correction des listes électorales. » Hier, rapporte le site Guinée News, pour marquer le lancement de la campagne, une marche a été organisée dans les rues de Kaloum (l'une des communes de Conakry), « en soutien total au CNRD » au pouvoir, le Comité National du Rassemblement et du Développement. « Des milliers de participants, vêtus de blanc, se sont rassemblés sur l'esplanade du Palais du Peuple avant de défiler calmement en direction du boulevard Telly Diallo. Cette marche blanche symbolise, pointe Guinée News, la volonté de promouvoir la paix, l'unité, et le développement, en s'inscrivant dans la vision et les réformes engagées par le CNRD. Le choix de la couleur blanche n'est pas anodin ; il représente la pureté des intentions et l'espoir d'un avenir radieux pour la nation guinéenne, loin des clivages politiques du passé. » Parallèlement, certains poids-lourds du gouvernement ont commencé à donner de la voix : « les Ministres Djami Diallo et Bouna Sylla ont appelé à voter largement en faveur du oui », rapporte AfricaGuinée. L'opposition muselée… Reste que « cette campagne pour le référendum constitutionnel du 21 septembre s'ouvre dans un climat tendu. » C'est ce que souligne Afrik.com. « La suspension des principaux partis réduit le pluralisme et renforce les soupçons d'un passage en force du général Doumbouya. L'opposition et la société civile appellent à manifester, malgré les risques de violences. Sous pression, les médias dénoncent des restrictions qui limitent le débat public. » C'est le cas du site d'information guinéen Ledjely : « l'UFDG de Cellou Dalein Diallo et le RPG d'Alpha Condé, suspendus depuis le 22 août, (…) annoncent des manifestations à partir de vendredi prochain (5 septembre, date symbolique, puisque ce sera le 4e anniversaire de la prise de pouvoir de Mamadi Doumbouya). Mais il ne faut guère se faire d'illusions, soupire Ledjely : en l'absence de leurs leaders respectifs, contraints à l'exil depuis des années, il est peu probable que les militants répondent massivement à l'appel. D'autant plus que le ministre de l'Administration du territoire et de la Décentralisation a mis en garde contre toute tentative de semer le trouble, et que les partis suspendus se sont vu interdire toute activité. » Quelle participation ? Alors, « dans les faits, constate Ledjely, les partisans du oui règneront donc en maîtres sur le terrain durant les deux prochaines semaines. Mais, prévient le site guinéen, cela pourrait se traduire par un faible engouement populaire, notamment de la part de ceux dont les opinions n'auront pas eu d'espace pour s'exprimer. (…) Le texte adopté pourrait (donc) symboliquement porter la marque de la fracture qui traverse le pays. (…) Et se traduire par un faible taux de participation au référendum du 21 septembre. (…) Et ce serait une tare congénitale, s'exclame Ledjely, que certains pourraient toujours lui reprocher. Il faut rappeler qu'en la matière, le référendum fondateur de septembre 1958 avait enregistré un taux de participation de plus de 85 %, tandis que celui de décembre 1990 — comparable à celui attendu le 21 septembre prochain — avait mobilisé un peu plus de 97 % des électeurs inscrits. » Doumbouya : « une forme d'exercice solitaire du pouvoir » Jeune Afrique, pour sa part, fait le point sur la garde rapprochée de Mamadi Doumbouya. Jeune Afrique répertorie les proches du général, militaires ou civils, officiels ou dans l'ombre, « politiciens dévoués et conseillers du soir. » Ils sont moins d'une vingtaine. Principalement rassemblés au sein d'une nouvelle institution. En effet, précise le site panafricain, « pour “sécuriser“ le vote référendaire et “répondre avec efficacité à tous les défis sécuritaires“, Mamadi Doumbouya s'est doté d'un Conseil supérieur de défense et de sécurité nationale. Tous ses membres ont posé, le 18 août dernier, pour la photo de famille à l'issue de sa première réunion. En première ligne, quelques figures civiles bien connues devant un parterre d'hommes en tenue, parmi lesquels les indéboulonnables du CNRD. Qu'ils soient ministres ou militaires, plusieurs de ces hommes sont au cœur du dispositif du général pour se maintenir au pouvoir après l'avoir conquis par la force. Mais Mamadi Doumbouya semble plus méfiant que jamais, relève encore Jeune Afrique. “Il est difficile de s'y retrouver, tant le président s'enferme de plus en plus dans une forme d'exercice solitaire du pouvoir“, remarque un observateur à Conakry. “Doumbouya, glisse un ancien ministre, souffre de la complotite aiguë guinéenne, qui explique aussi qu'il s'est refermé sur lui-même. »

Le zoom de la rédaction
Vote de confiance : "J'espère que vous allez le faire tomber", le député RN de la Somme au contact de ses électeurs

Le zoom de la rédaction

Play Episode Listen Later Sep 1, 2025 4:21


durée : 00:04:21 - Le Grand reportage de France Inter - Dans une semaine, François Bayrou se soumettra au vote de confiance. Toutes les oppositions s'apprêtent à le faire tomber. Le Grand Reportage avec le député Rassemblement national de la Somme, Matthias Renault, auprès d'électeurs qui comptent sur lui pour en finir avec ce gouvernement. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

Vlan!
[HORS-SERIE] Réinventer l'art de se rassembler avec Priya Parker

Vlan!

Play Episode Listen Later Aug 28, 2025 48:37


Priya Parker, facilitatrice de conflits est coach très recherchée à New York, animatrice d'un podcast pour le New York Times, et autrice du best-seller The Art of Gathering, nous invite à repenser en profondeur la manière dont nous nous rassemblons.D'autant que le livre est sorti en français cet été au moment ou nous avons enregistré.@L'épisode est en anglais malheureusement pour ceux qui ne parlent pas suffisamment bien.Dans cet épisode, nous parlons de quelque chose d'aussi fondamental qu'oublié : l'art de se retrouver. Pourquoi se marie-t-on ? Pourquoi organisons-nous un baby shower, un dîner, une réunion ? Et surtout : comment faire en sorte que ces moments comptent vraiment ?Avec Priya, on explore les mille manières dont nos rassemblements peuvent (et doivent) être réinventés. Elle explique à quel point nos rencontres sociales, personnelles ou professionnelles sont souvent pilotées en pilote automatique, sans intention réelle. Pourtant, avec un peu de conscience et beaucoup de cœur, il est possible de transformer un simple dîner entre amis en moment inoubliable. Ce que j'ai adoré, c'est à quel point Priya replace le besoin collectif, la joie et le sens au centre de nos rassemblements.J'ai questionné Priya sur les rituels, sur la polarisation de nos sociétés, sur l'illusion de la connexion numérique, et sur le rôle politique de nos manières de nous réunir. Car oui, se rassembler peut être un acte de résistance dans un monde optimisé, hyperconnecté mais souvent déshumanisé.Son approche est à la fois intime et profondément transformatrice. Vous n'organiserez plus jamais une réunion ou une fête de la même manière.5 citations marquantes« Show me how you gather and I'll tell you what your values are. »« The biggest mistake we make when we gather is skipping the question: why are we doing this? »« Gathering is an act of resistance in an age of hyper-efficiency. »« A gathering begins the moment someone discovers it exists. »« You can be in the same room as people and feel very alone. »10 questions structurées posées dans l'interviewPourquoi as-tu voulu écrire un livre sur l'art de se rassembler ?Quel est le plus grand piège dans nos manières de nous réunir aujourd'hui ?Comment donner une intention forte à un simple dîner entre amis ?Pourquoi les rituels ont-ils disparu, et pourquoi sont-ils essentiels ?Quel est l'impact des différences culturelles sur notre manière de créer des rituels ?Que révèle la manière dont une société se rassemble sur ses valeurs ?Le rassemblement peut-il être un levier contre la polarisation ?Quel rôle joue la technologie dans la perte de la vraie connexion ?Comment accueillir la légèreté et la joie dans nos moments collectifs ?À quoi veux-tu ouvrir ou fermer la porte dans notre société actuelle ? Timestamps clés (optimisés pour YouTube)00:00 – Introduction de Gregory Pouy et présentation de Priya Parker02:00 – Pourquoi écrire un livre sur le rassemblement ?04:00 – L'importance de poser une intention claire pour toute réunion10:00 – Exemples concrets : réinventer un baby shower15:00 – Créer de nouveaux rituels pour marquer les transitions21:00 – Repenser les institutions à travers leurs objectifs : exemple de tribunal et New York Times26:00 – Le besoin humain de rituel dans un monde globalisé32:00 – La différence entre proximité et vraie connexion35:00 – Se rassembler, un acte politique face à l'efficacité et à l'IA40:00 – Comment regénérer l'amour au sein de communautés divisées44:00 – L'importance de la joie, du jeu et de l'expérience partagée Suggestion d'autres épisodes à écouter : #287 Les rouages complexes de la famille avec Sophie Galabru (https://audmns.com/PusbPpV) [HORS SERIE] Rethinking parenting to raise you child with conscience with Dr Shefali (https://audmns.com/GkKZzIl)Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.