Podcasts about rassemblement

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C dans l'air
Bayrou allume la mèche budgétaire - L'intégrale -

C dans l'air

Play Episode Listen Later Jul 16, 2025 67:26


C dans l'air du 16 juillet 2025 : Bayrou allume la mèche budgétaireDépenser moins et travailler plus. Le Premier ministre a dévoilé mardi son plan pour réaliser 43,8 milliards d'économies en 2026 et enrayer la hausse de la dette. Pour ce faire, François Bayrou propose de supprimer deux jours fériés, le lundi de Pâques et le 8 mai, une année blanche avec un grand gel sur les dépenses de l'État — prestations sociales, pensions de retraite — mais aussi sur le barème de l'impôt, la fin de l'abattement de 10 % pour les retraités, remplacé par un forfait de 2 000 euros, la suppression de 3 000 postes de fonctionnaires, l'augmentation de la franchise sur les médicaments à 100 euros par an et une moindre prise en charge des affections de longue durée (ALD)…Une potion amère qui suscite déjà de vives réactions de plusieurs figures politiques, syndicales et associatives. Si Emmanuel Macron estime que le budget présenté par François Bayrou a « la vertu du courage, de l'audace et de la lucidité », le Rassemblement national, La France insoumise, les écologistes et les socialistes demandent au Premier ministre de "revoir sa copie", sans quoi il sera censuré.Ce mercredi matin, la secrétaire générale de la CGT a, de son côté, appelé à la mobilisation à la rentrée et demandé aux parlementaires de "tout faire pour que ces mesures ne s'appliquent pas, parce qu'elles sont non seulement injustes, mais dangereuses pour le pays". Sophie Binet dénonce ce qu'elle appelle une "honte".Impôts, retraites, jours fériés, année blanche… Quelles sont les principales pistes détaillées par François Bayrou pour le budget 2026 ? Qui pourrait être le plus impacté ? Les retraités sont-ils en première ligne ? Menacé de censure, François Bayrou peut-il faire adopter son plan ? Enfin, le RN, rattrapé par de nouvelles affaires, est-il fragilisé ?LES EXPERTS : - Dominique SEUX - Directeur délégué de la rédaction - Les Echos- Nathalie SAINT-CRICQ - Editorialiste politique - France Télévisions - Lou FRITEL - Journaliste politique - Paris Match - Jérôme FOURQUET - Directeur du département Opinion - Institut de sondages IFOP, auteur de Metamorphoses francaises

Le sept neuf
Budget : pour éviter la censure, "il faut changer à peu près toute la copie", lance le député RN Jean-Philippe Tanguy

Le sept neuf

Play Episode Listen Later Jul 16, 2025 21:12


durée : 00:21:12 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Simon Le Baron - Jean-Philippe Tanguy, député et conseiller régional Rassemblement national de la Somme, est l'invité du Grand entretien, mercredi, sur France Inter. - invités : Jean-Philippe Tanguy - Jean-Philippe Tanguy : Député Rassemblement national de la Somme Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

RTL Matin
BUDGET - Thomas Ménagé, porte-parole du RN, est l'invité de Stéphane Carpentier

RTL Matin

Play Episode Listen Later Jul 16, 2025 4:19


Le Premier ministre François Bayrou a annoncé mardi des mesures drastiques pour réduire le déficit public et faire 43,8 milliards d'euros d'économies en 2026. Ecoutez le sentiment de Thomas Ménagé, porte-parole du Rassemblement national et député du Loiret.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

L'invité de RTL
BUDGET - Thomas Ménagé, porte-parole du RN, est l'invité de Stéphane Carpentier

L'invité de RTL

Play Episode Listen Later Jul 16, 2025 4:19


Le Premier ministre François Bayrou a annoncé mardi des mesures drastiques pour réduire le déficit public et faire 43,8 milliards d'euros d'économies en 2026. Ecoutez le sentiment de Thomas Ménagé, porte-parole du Rassemblement national et député du Loiret.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Les interviews d'Inter
Budget : pour éviter la censure, "il faut changer à peu près toute la copie", lance le député RN Jean-Philippe Tanguy

Les interviews d'Inter

Play Episode Listen Later Jul 16, 2025 21:12


durée : 00:21:12 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Simon Le Baron - Jean-Philippe Tanguy, député et conseiller régional Rassemblement national de la Somme, est l'invité du Grand entretien, mercredi, sur France Inter. - invités : Jean-Philippe Tanguy - Jean-Philippe Tanguy : Député Rassemblement national de la Somme Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

Apolline Matin
L'interview RMC : Laurent Jacobelli - 16/07

Apolline Matin

Play Episode Listen Later Jul 16, 2025 8:42


Laurent Jacobelli, député de Moselle, porte-parole du Rassemblement national. - L'invité de l'actu, tous les jours au micro de Sébastien Krebs dans Apolline Matin sur RMC.

Signé Giltay
Signé Giltay - le plan d'économie de François Bayrou

Signé Giltay

Play Episode Listen Later Jul 16, 2025 3:06


Après la présentation de son plan d'économie sévère pour 2026, le Premier ministre Français François Bayrou s'est retrouvé sous le feu des critiques de part et d'autre de l'échiquier politique. Comme vous le pressentiez hier, le Rassemblement national et La France insoumise menacent de voter une motion de censure dés la rentrée.

RTL Matin
BUDGET - Louis Aliot est l'invité de Agnès Bonfillon après les annonces de François Bayrou

RTL Matin

Play Episode Listen Later Jul 15, 2025 8:36


Le Premier ministre François Bayrou a présenté mardi ses pistes pour économiser plusieurs dizaines de milliards d'euros et stopper la dérive des comptes publics pour 2026. Il a notamment proposé la suppression de "deux jours fériés", citant "comme exemple" le "lundi de Pâques" et "le 8-Mai" tout en se disant "prêt à en accepter ou en examiner d'autres", lors de la présentation de son plan pour le budget 2026. Écoutez la réaction de Louis Aliot, , maire RN de Perpignan et premier vice-président du Rassemblement national. Ecoutez L'invité événement avec Agnès Bonfillon du 15 juillet 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

L'invité de RTL
BUDGET - Louis Aliot est l'invité de Agnès Bonfillon après les annonces de François Bayrou

L'invité de RTL

Play Episode Listen Later Jul 15, 2025 8:36


Le Premier ministre François Bayrou a présenté mardi ses pistes pour économiser plusieurs dizaines de milliards d'euros et stopper la dérive des comptes publics pour 2026. Il a notamment proposé la suppression de "deux jours fériés", citant "comme exemple" le "lundi de Pâques" et "le 8-Mai" tout en se disant "prêt à en accepter ou en examiner d'autres", lors de la présentation de son plan pour le budget 2026. Écoutez la réaction de Louis Aliot, , maire RN de Perpignan et premier vice-président du Rassemblement national. Ecoutez L'invité événement avec Agnès Bonfillon du 15 juillet 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Appels sur l'actualité
[Vos questions] Sénégal : un chroniqueur arrêté après une critique d'Ousmane Sonko

Appels sur l'actualité

Play Episode Listen Later Jul 14, 2025 19:30


Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur l'impact des douanes américaines au Lesotho, un accord sur l'aide humanitaire à Gaza et une perquisition au siège du Rassemblement national. Sénégal : un chroniqueur arrêté après une critique d'Ousmane Sonko  Au Sénégal, le chroniqueur Badara Gadiaga a été placé en garde à vue après des propos tenus sur un plateau télévisé, perçus comme une allusion critique visant le Premier ministre Ousmane Sonko. Pourquoi a-t-il été arrêté par la division spéciale de la cybersécurité sénégalaise ? Que risque le journaliste si des poursuites judiciaires sont engagées ? Avec Léa-Lisa Westerhoff, correspondante permanente de RFI à Dakar. Lesotho : état de catastrophe nationale décrété après la surtaxe américaine de 50%  Confronté à une crise sans précédent, le Lesotho a décrété l'état de catastrophe nationale après l'imposition par les États-Unis de droits de douane de 50% sur ses exportations textiles. Pourquoi Donald Trump a-t-il autant taxé ce petit pays enclavé ? Quel est aujourd'hui l'impact de ces droits de douane au Lesotho ? Avec Joséphine Kloeckner, correspondante de RFI à Johannesburg.  Gaza : un accord israélo-européen pour étendre l'aide humanitaire  L'Union européenne a annoncé un accord avec Israël pour faciliter et élargir l'acheminement de l'aide humanitaire vers Gaza, confrontée à une situation dramatique après des mois de conflit. Que contient cet accord ? Quelles sont les urgences humanitaires dans l'enclave palestinienne ? Avec Jean Saslawsky, directeur des programmes de CARE France. France : le Rassemblement national dans le viseur de la justice  Le siège du Rassemblement national a été perquisitionné ce mardi 9 juillet, dans le cadre d'une enquête sur des soupçons de financement illégal de campagne. Quels éléments ont été saisis ? Doit-on s'attendre à des poursuites judiciaires ? Avec Victorien Willaume, journaliste au service politique de RFI.

Politique, le choix de la semaine
François Bayrou et son budget : été calme avant un automne meurtrier ?

Politique, le choix de la semaine

Play Episode Listen Later Jul 13, 2025 2:43


Ce mardi François Bayrou présentera les orientations choisies par son gouvernement pour le budget 2026. Un moment forcément très attendu car le Premier ministre a d'ores et déjà annoncé que 40 milliards d'euros d'économie devront être trouvés. Pour l'instant, le mystère est total sur les intentions d'arbitrages du chef du gouvernement. Tous les partis ont été reçus ces derniers jours au ministère de l'Économie et tous sont sortis en n'ayant à peu près aucune idée de la teneur des annonces de mardi. « Logique », selon un sénateur centriste, « François Bayrou a travaillé en cercle restreint et les ministres de l'Économie et des Comptes Publics ne sont pas au courant de tout. » Interviewé sur LCI jeudi soir, François Bayrou s'est également bien gardé de toute annonce précise. À lire aussiBudget 2026 en France: la piste d'une «année blanche» sur la table Le Premier ministre compte sur l'effet de surprise : « ce 15 juillet doit être son 18 juin », ironise un élu, référence à l'appel à la résistance lancé aux Français depuis Londres par le Général de Gaulle en 1940. Mais c'est peu dire que le scepticisme règne dans la classe politique. « C'est de la communication, on ne voit pas arriver les choix drastiques nécessaires », grince un député Les Républicains. Un de ses collègues socialistes estime de son côté que François Bayrou n'est pas « structuré » et que les annonces risquent de partir dans tous les sens, si tant est qu'il en ait réellement la primeur. Emmanuel Macron en mouche du coche ? Certains élus du socle commun s'attendent à ce qu'Emmanuel Macron devance son Premier ministre. Le chef de l'État prononce ce dimanche son traditionnel discours aux armées. Et il pourrait être tenté de divulguer certaines décisions. Ce ne serait pas étonnant, juge un dirigeant socialiste, tant le président se démène depuis des mois pour affirmer son influence. Le risque est toutefois que cela affaiblisse encore le gouvernement, déjà très impopulaire. Le cabinet Bayrou est toute façon destiné à tomber lors des discussions budgétaires, estiment la plupart de nos interlocuteurs. Le gouvernement est en effet soumis à des pressions contradictoires. Trop de coupes et c'est la censure assurée venue de la gauche et de l'extrême droite, majoritaires en cas de vote commun à l'Assemblée. Pas assez, ou de nouveaux impôts et c'est l'alliance avec les Républicains qui implose. François Bayrou y croit encore « Gouverner c'est faire des choix », tempête-t-on à LR, « on ne peut pas faire plaisir à tout le monde ». LR où l'on prédit une équation quasi impossible à résoudre. « On a dit à François Bayrou qu'il ne fallait pas trop qu'il compte sur son socle commun », sourit-on à gauche. Un automne funeste donc pour François Bayrou ? À lire aussiBudget: le suspense selon Bayrou Le Premier ministre continue de croire en sa bonne étoile et en sa capacité de négociation : d'abord avec le Parti socialiste, qui lui avait permis au printemps d'éviter la censure ou avec le Rassemblement national qui avait longuement hésité à faire tomber son prédécesseur Michel Barnier l'hiver passé. Le chef du gouvernement a d'ailleurs adressé des clins d'œil appuyés au RN dans sa dernière interview. Il a ainsi relancé l'idée de scrutins législatifs à la proportionnelle, mais aussi d'une banque de la démocratie destinée à financer les partis politiques. Un peu tard toutefois pour le parti d'extrême droite, cerné par des procédures judiciaires liées à des malversations supposées concernant son fonctionnement. 

Le vrai du faux
Perquisitions au RN : le Syndicat de la magistrature a-t-il appelé à lutter contre le parti "par tous les moyens" ?

Le vrai du faux

Play Episode Listen Later Jul 11, 2025 2:07


durée : 00:02:07 - Le vrai ou faux - Plusieurs représentants du Rassemblement national ont dénoncé les perquisitions au siège parisien du parti, accusant le Syndicat de la magistrature – de gauche – d'être à la manœuvre. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

Les Podcasts du Droit et du Chiffre
[#39] Un an après la dissolution, quel bilan politique et social ?

Les Podcasts du Droit et du Chiffre

Play Episode Listen Later Jul 11, 2025 10:53


Depuis la décision d'Emmanuel Macron de dissoudre l'Assemblée nationale le 9 juin 2024, au soir des Européennes qui ont vu le Rassemblement national arriver en tête, quel bilan politique et social peut-on dresser de l'année écoulée ? C'est l'échange que nous vous proposons dans ce nouvel épisode du Micro social, le podcast de Lefebvre Dalloz sur le travail et le droit du travail.En dix minutes, Marie-Aude Grimont et Bernard Domergue, journalistes à actuEL-CSE, le journal en ligne destiné aux représentants du personnel, passent en revue les conséquences de cette dissolution : instabilité gouvernementale, travail parlementaire, suivi des dossiers sociaux, démocratie sociale avec plusieurs accords nationaux interprofessionnels (seniors, CSE, transitions, chômage), dossier des retraites, perspectives économiques, politiques et sociales, etc. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Politique
Perquisition au siège du RN : le parti dénonce un "acharnement judiciaire"

Politique

Play Episode Listen Later Jul 10, 2025 40:08


Une perquisition a eu lieu mercredi au siège parisien du Rassemblement national (RN) dans le cadre d'une enquête pour des soupçons de financement illégal de ses campagnes électorales, le parti dénonçant un "acharnement judiciaire". Pendant ce temps, Emmanuel Macron prépare-t-il son retour pour la présidentielle de 2032 ? Il donne en tout cas rendez-vous dans 5 ou 10 ans… Avant cela, se tiendront les élections municipales : Mathilde Panot propose de désarmer la police municipale ce qui provoque un tollé dans la classe politique.

L'info en intégrale - Europe 1
Europe 1 Nuit - 08/07/2025

L'info en intégrale - Europe 1

Play Episode Listen Later Jul 10, 2025 30:54


Invité : - Fabrice Leggeri, eurodéputé, porte-parole du Rassemblement national et ancien directeur exécutif de l'agence FRONTEX. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

L'invité de RTL
RN - Sébastien Chenu est l'invité de Olivier Bost

L'invité de RTL

Play Episode Listen Later Jul 10, 2025 9:46


Une perquisition a eu lieu au siège du RN dans le cadre d'une enquête sur des soupçons de financement illicite. La justice s'intéresse aux prêts accordés par de riches militants au parti d'extrême droite et à ses candidats dans le cadre d'une information judiciaire ouverte pour des soupçons de financement illicite des dernières campagnes électorales en 2022 et 2024. Ecoutez les explications de Sébastien Chenu, vice-président du Rassemblement national, député du Nord. Ecoutez L'invité RTL de 7h40 avec Olivier Bost du 10 juillet 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

8.30 franceinfo:
Perquisition au RN, budget 2026... Le 8h30 de Thomas Ménagé

8.30 franceinfo:

Play Episode Listen Later Jul 10, 2025 20:22


durée : 00:20:22 - 8h30 franceinfo - Le député RN du Loiret et porte-parole du groupe Rassemblement national à l'Assemblée nationale, était l'invité du "8h30 franceinfo", jeudi 10 juillet 2025. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

Le journal - Europe 1
Europe 1 Nuit - 08/07/2025

Le journal - Europe 1

Play Episode Listen Later Jul 10, 2025 30:54


Invité : - Fabrice Leggeri, eurodéputé, porte-parole du Rassemblement national et ancien directeur exécutif de l'agence FRONTEX. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

L'Edito Politique
Encore une mauvaise affaire pour le Rassemblement national

L'Edito Politique

Play Episode Listen Later Jul 10, 2025 3:49


Une perquisition a eu lieu au siège du Rassemblement national mercredi 9 juillet, dans le cadre d'une enquête sur de possibles financements illicites des dernières campagnes électorales. Le parti adopte une stratégie de défense similaire à celle utilisée dans l'affaire des assistants parlementaires européens. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Les journaux de France Culture
Le siège parisien du Rassemblement national perquisitionné

Les journaux de France Culture

Play Episode Listen Later Jul 9, 2025 15:27


durée : 00:15:27 - Journal de 18h - En lien avec une affaire qui concerne le financement de plusieurs campagnes électorales.

24H Pujadas - Les partis pris
Les Partis Pris : "RN, les nouvelles affaires financières", "F1, les plateformes s'en mêlent !" et "Qui veut la peau de von der Leyen ?"

24H Pujadas - Les partis pris

Play Episode Listen Later Jul 9, 2025 18:36


Mercredi 9 juillet, le parquet de Paris voulait déterminer si les campagnes du Rassemblement national de 2022 et de 2024 ont été financées grâce à des prêts illégaux. Jordan Bardella, extrêmement agacé ce soir, réagit très fortement et compare la France à la Russie. Pour Ruth Elkrief, la pratique de la perquisition n'est pas inédite : c'est déjà arrivé. C'est une procédure complètement légale. Apple a annoncé qu'elle allait candidater pour acheter les droits de diffusion de la Formule 1, actuellement détenus par Disney. Pour la regarder désormais, il faudrait passer par une plateforme. Selon François Lenglet, c'est un signe que le sport automobile est en plein renouveau. Aujourd'hui, ces droits coûtent 80 millions de dollars, mais on estime qu'ils pourraient grimper de 50 % en 2026. Michel Barnier a publié un livre dans lequel il décrit Ursula von der Leyen. Il sait de quoi il parle : il a été député, commissaire européen et vice-président de la Commission européenne. Ce qui a été passionnant pour les débats qui ont eu lieu lundi 7 juillet, au moment de la présentation de la motion de censure, on a vu à quel point elle était mal aimée, a souligné Abnousse Shalmani. Du lundi au vendredi, à partir de 18h, David Pujadas apporte toute son expertise pour analyser l'actualité du jour avec pédagogie.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

24H Pujadas - Les partis pris
Les Partis Pris : "Tour de France : deux gauches irréconciliables", "Pourquoi j'aurais voté la loi Duplomb", et "Pékin et 'ses commissariats' en France"

24H Pujadas - Les partis pris

Play Episode Listen Later Jul 8, 2025 21:34


Le Tour de France est aussi l'occasion d'observer l'existence de deux gauches irréconciliables. La députée de La France insoumise, Sophia Chikirou s'est moquée de l'image de Fabien Roussel au passage de la voiture Cochonou dans la caravane publicitaire du Tour de France. La Grande Boucle réunit la France rurale et la France des périphéries, explique Ruth Elkrief. Pour elle, Fabien Roussel cherche à renouer le dialogue avec cette France-là. Sophia Chikirou la regarde de haut parce qu'elle a choisi un autre dialogue avec d'autres catégories sociologiques. Or, d'après Ruth, ces Français-là votent pour le Rassemblement national parce qu'ils ont l'impression de ne pas être considérés. Le Parlement a adopté définitivement la loi Duplomb qui fait couler tant d'encres. Pascal Perri affirme que s'il avait été parlementaire, il aurait voté la loi Duplomb, une loi sur l'agriculture. D'après lui, l'agriculture a besoin d'au moins trois choses : des semences de qualité, des traitements contre les nuisibles et de la ressource en eau. L'alternative au productivisme, c'est une agriculture potagère, des rendements faibles et une réponse inférieure à la demande. La DGSI a officiellement reconnu l'existence de neuf clandestins en France, dont plusieurs à Paris, qualifiés de station de police. Abnousse Shalmani précise qu'elles sont utilisées par des agents chinois pour contrôler, surveiller et intimider la diaspora chinoise, notamment les dissidents Ouïghours. Ils collectent aussi des renseignements et organisent des rapatriements forcés. Du lundi au vendredi, à partir de 18h, David Pujadas apporte toute son expertise pour analyser l'actualité du jour avec pédagogie.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Le Billet politique
L'union des droites a-t-elle commencé ?

Le Billet politique

Play Episode Listen Later Jul 7, 2025 4:30


durée : 00:04:30 - Le Billet politique - par : Jean Leymarie - Ecologie, immigration, Etat de droit... De plus en plus, Les Républicains et le Rassemblement national partagent les mots et les votes. Finiront-ils par s'unir ?

Le journal de 18h00
Rassemblement à Paris en soutien à Cécile Kohler et Jacques Paris emprisonnés en Iran depuis trois ans

Le journal de 18h00

Play Episode Listen Later Jul 6, 2025 15:06


durée : 00:15:06 - Journal de 18h - Le comité de soutien de Cécile Kohler et Jacques Paris appellent à leur libération d'urgence et insistent pour privilégier le droit international plutôt que les menaces à l'encontre de Téhéran.

Les journaux de France Culture
Rassemblement à Paris en soutien à Cécile Kohler et Jacques Paris emprisonnés en Iran depuis trois ans

Les journaux de France Culture

Play Episode Listen Later Jul 6, 2025 15:06


durée : 00:15:06 - Journal de 18h - Le comité de soutien de Cécile Kohler et Jacques Paris appellent à leur libération d'urgence et insistent pour privilégier le droit international plutôt que les menaces à l'encontre de Téhéran.

8.30 franceinfo:
Mobilisation anti-A69 : "Si on écoutait les Verts et les militants extrémistes, on ne ferait rien dans notre pays", estime le député RN Julien Odoul

8.30 franceinfo:

Play Episode Listen Later Jul 6, 2025 16:06


durée : 00:16:06 - 8h30 franceinfo - Le député de l'Yonne, porte-parole du Rassemblement national, était l'invité du "8h30 franceinfo", dimanche 6 juillet 2025. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

Le débat des grandes voix
Chantier de l'A69 - Tensions lors du rassemblement de militants écologistes radicaux qui ont «basculé dans la sédition et l'ultra-violence», d'après Bruno Retailleau

Le débat des grandes voix

Play Episode Listen Later Jul 5, 2025 14:26


Tous les vendredis, samedis et dimanches soirs, Guillaume Lariche reçoit deux invités pour des débats d'actualité. Avis tranchés et arguments incisifs sont au programme.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Le grand journal du week-end - Philippe Vandel
Chantier de l'A69 - Tensions lors du rassemblement de militants écologistes radicaux qui ont «basculé dans la sédition et l'ultra-violence», d'après Bruno Retailleau

Le grand journal du week-end - Philippe Vandel

Play Episode Listen Later Jul 5, 2025 14:26


Tous les vendredis, samedis et dimanches soirs, Guillaume Lariche reçoit deux invités pour des débats d'actualité. Avis tranchés et arguments incisifs sont au programme.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

C dans l'air
Retraites, impôts, santé : bientôt l'austérité ? - L'intégrale -

C dans l'air

Play Episode Listen Later Jul 4, 2025 65:06


C dans l'air du 4 juillet 2025 - Retraites, impôts, santé : bientôt l'austérité ?Le Premier ministre a choisi le lendemain de la Fête nationale pour dévoiler son plan pluriannuel de redressement des finances publiques et tracer les grandes lignes du budget 2026. Invité hier sur BFM, François Bayrou a assuré vouloir tenir les engagements de réduction du déficit "en abandonnant des crédits en cours d'année" et "en fermant les robinets quand il le faut". Une première étape qui demandera, selon ses mots, "un effort considérable" alors que la Cour des comptes a une nouvelle fois mis en garde, mercredi, contre la dégradation des finances publiques.Après des années 2023 et 2024 "noires", marquées par d'importants dérapages budgétaires, l'institution des Sages de la rue Cambon estime désormais, dans un rapport, à près de 105 milliards d'euros les efforts d'ajustement budgétaire nécessaires pour ramener le déficit public sous le seuil de 3 % du produit intérieur brut (PIB) en 2029, comme l'ambitionne le gouvernement.Mais comment y parvenir ? Plusieurs pistes sont évoquées : année blanche, baisse des remboursements de médicaments, contrôle accru des affections de longue durée, jour de carence pour les arrêts maladie, coupes dans les niches fiscales, plafonnement des avantages pour l'emploi à domicile ou encore réduction des déductions pour les dons aux associations. Des mesures à l'étude, mais qui ne suffiront probablement pas.Pour 2026, l'exécutif vise 40 milliards d'euros d'économies. François Bayrou ne devrait en annoncer que la moitié, voire les deux tiers, dans une dizaine de jours, et pour les 10 -20 milliards restant laisser vivre le débat cet été et au Parlement à la rentrée.Un débat qui s'annonce électrique. Les tensions montent déjà dans les services publics, notamment dans les hôpitaux en pleine période de canicule. Et les divisions au sein même de la majorité se font de plus en plus visibles. Ce vendredi, malgré un double rappel à l'ordre la veille d'Emmanuel Macron et de François Bayrou, la ministre de l'Écologie, Agnès Pannier-Runacher, a de nouveau vertement critiqué le ministre de l'Intérieur, Bruno Retailleau. Elle a jugé sa position sur les énergies renouvelables "absurde et dangereuse", l'accusant même de vouloir "faire des chèques à l'Algérie pour importer du gaz" et de "courir derrière le Rassemblement national". "C'est de la petite politique", a-t-elle lancé. LES EXPERTS :- CHRISTOPHE BARBIER - Éditorialiste politique, conseiller de la rédaction - Franc-Tireur - ALIX BOUILHAGUET - Éditorialiste politique - Franceinfo TV - LAURE SALVAING - Directrice générale de l'Institut de sondage Verian - MATHIEU PLANE - Économiste, directeur adjoint du Département Analyse et Prévision - OFCE

Politique
Dérapage des finances publiques : à l'approche du budget, l'alerte de la Cour des comptes

Politique

Play Episode Listen Later Jul 3, 2025 40:27


François Bayrou échappe à la censure. Les députés Rassemblement national disent se réserver sur le budget à l'automne. Dans un rapport, la Cour des comptes alerte : le report des efforts n'est plus possible. Dans l'actualité de la semaine, il y a aussi cette rencontre entre Nicolas Sarkozy et Jordan Bardella qui a irrité une partie de la droite, tandis que la gauche se réunissait en vue de la présidentielle de 2027 – sans Jean-Luc Mélenchon ni Raphaël Glucksmann.

Revue de presse Afrique
À la Une: le projet de nouvelle Constitution en Guinée

Revue de presse Afrique

Play Episode Listen Later Jul 3, 2025 2:53


« Le flou entourant les conditions d'éligibilité à la présidence de la République de Guinée se dissipe, peu à peu », écrit Guinéenews. Le mandat présidentiel sera fixé à sept ans, renouvelable une seule fois. Une « avancée majeure », selon Oyé Béavogui, ancien secrétaire général par intérim du Parti démocratique de Guinée – Rassemblement démocratique africain (PDG-RDA), proche du pouvoir. Selon lui, cet allongement du mandat présidentiel « offre aux dirigeants le temps nécessaire pour se consacrer aux vraies priorités du pays », rapporte Guinéematin. « Un mandat de cinq ans ne sert pas à grand-chose », renchérit Alhoussein Maganera Kaké, le coordinateur général de la Synergie GDM 2025, lui aussi proche du pouvoir. « Vous avez deux ans de campagne, puis, une fois élu, un an pour identifier les cadres et les nommer. Il vous reste à peine deux ans pour travailler. Et en deux ans, on ne peut rien faire », précise-t-il dans le Djely. Africaguinée retient, de son côté, que l'un des aspects cruciaux de ces dispositions réside « dans l'immunité civile et pénale accordée aux anciens présidents pour les actes commis durant l'exercice régulier de leurs fonctions ». Mamadi Doumbouya, candidat ? Il s'était engagé à ne pas se représenter, mais la perspective inquiète Ibrahima Diallo, membre du Front national pour la défense de la Constitution. Elle remettrait « en cause la crédibilité et la légitimité de tout le processus, quelle que soit la qualité du texte proposé. Notre énergie collective doit désormais être dirigée vers un seul objectif : empêcher la candidature » du président de la transition, explique-t-il dans un entretien à Guinée7. Dans son éditorial, le site d'informations burkinabè Wakat Sera ironise : « Ainsi donc, sauf tsunami, Mamadi Doumbouya se présentera à la prochaine élection présidentielle », tout en rappelant que le président de la transition s'est engagé à ne pas se présenter. Jeune Afrique se montre tout aussi dubitatif sur la position qu'adoptera le général, « ce mandat allongé servira-t-il à Mamadi Doumbouya, très probable candidat », s'interroge le magazine. Inquiétude après la disparition de l'USAID « Le désengagement américain fait craindre une résurgence des épidémies » au Libéria. Reportage dans le Point dans ce pays qui détient « désormais le titre de pays africain le plus touché par ces coupes budgétaires liées à la disparition de l'Agence américaine pour le développement. Tous financements confondus, elles représentaient 3% du revenu national brut, « les professionnels de santé redoutent en l'état une détérioration de la situation épidémique ». Et le VIH est « loin de constituer le seul objet de préoccupation », précise le Point, le Mpox est « en arrière-plan ». « Bien que le centre épidémique de la variole du singe demeure en Afrique centrale, la transmission du virus s'est récemment accélérée au Liberia, où les autorités publiques ont recensé près de 900 cas suspectés depuis janvier 2025. » « Les Africains sommés d'être des grands garçons responsables », titre Aujourd'hui au Faso dans son éditorial. L'avenir de l'aide humanitaire en Afrique s'écrit en pointillé, selon Le Pays qui met en exergue cette citation de Cicéron qui « a traversé les âges depuis la Rome antique » : « L'argent est le nerf de la guerre. » Le site rappelle que faute d'argent, le Programme alimentaire mondial « menace de fermer des camps de réfugiés au Soudan où l'organisation onusienne est très active en raison du conflit armé qui déchire le pays depuis plus de deux ans ». Mais le Pays appelle « l'Afrique à prendre ses responsabilités en travaillant à éviter les situations de conflit qui contribuent à retarder le développement du continent, en plus de plonger les populations dans la précarité et la tourmente », conclut le site burkinabè.

Le Billet politique
Affaire Parmentier : le Rassemblement national a-t-il changé ?

Le Billet politique

Play Episode Listen Later Jul 3, 2025 4:27


durée : 00:04:27 - Le Billet politique - par : Jean Leymarie - Du journal "Présent" au Rassemblement national. Avant de devenir députée, Caroline Parmentier écrivait sur le "lobby juif", le "lobby LGBT", les "bohémiens galeux" ou l'avortement comparé à un "génocide". "Mediapart" a exhumé ses articles. Le RN défend cette amie de Marine Le Pen. Pourquoi ?

L’Heure du Monde
Le grand renoncement écologique mondial

L’Heure du Monde

Play Episode Listen Later Jul 2, 2025 24:40


Limiter le réchauffement climatique à + 1,5 °C est désormais impossible. Pour ne pas dépasser les 2 °C et espérer tenir le second objectif de l'accord de Paris, il faut agir vite. Or, depuis début 2025, la transition climatique et les questions environnementales se trouvent piétinées dans le chaos géopolitique créé par l'administration Trump.En France, plusieurs camps politiques – du parti présidentiel Renaissance jusqu'à l'extrême droite – s'en prennent aux normes environnementales en vigueur : suppression des zones à faibles émissions (ZFE), loi Duplomb sur l'agriculture, volonté de plusieurs figures du parti Les Républicains (LR) et du Rassemblement national (RN) de supprimer l'Agence de la transition écologique (Ademe), entre autres. Ces initiatives s'inscrivent dans un contexte global de recul de l'action climatique et écologique, qui s'est accéléré avec la réélection de Donald Trump aux Etats-Unis, mais qui avait commencé dès l'irruption de la guerre en Ukraine, en février 2022.Comment mesurer ce ralentissement de la lutte climatique ? Quelles en sont les causes ? Et quel avenir ce renoncement dessine-t-il ? Dans cet épisode du podcast « L'Heure du Monde », Mathieu Goar, journaliste au service Planète du Monde, répond à ces questions.Un épisode d'Adélaïde Tenaglia, réalisé par Quentin Tenaud. Présentation et rédaction en chef : Adèle Ponticelli. Dans cet épisode : extrait du discours d'investiture de Donald Trump, le 20 janvier 2025, extrait du discours de politique générale de François Bayrou à l'Assemblée nationale, le 14 janvier 2025, extrait du discours d'Emmanuel Macron à l'ouverture du Sommet des océans, le 9 juin 2025.Cet épisode a été publié le 2 juillet 2025. Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.

Les journaux de France Culture
La chaleur s'installe pour plusieurs jours en France avec des températures toujours plus élevées

Les journaux de France Culture

Play Episode Listen Later Jun 28, 2025 15:16


durée : 00:15:16 - Journal de 12h30 - Les températures atteindront 38 degrés cette après-midi en France avec même des pics à 40 degrés localement. Et ce n'est que le début d'un nouvel épisode caniculaire qui doit durer jusqu'à mercredi. Une vague de chaleur plus chaude que d'autres dans le passé. En cause : les activités humaines. - invités : Laurent Jacobelli Porte-parole du Rassemblement national

Le journal de 12h30
La chaleur s'installe pour plusieurs jours en France avec des températures toujours plus élevées

Le journal de 12h30

Play Episode Listen Later Jun 28, 2025 15:16


durée : 00:15:16 - Journal de 12h30 - Les températures atteindront 38 degrés cette après-midi en France avec même des pics à 40 degrés localement. Et ce n'est que le début d'un nouvel épisode caniculaire qui doit durer jusqu'à mercredi. Une vague de chaleur plus chaude que d'autres dans le passé. En cause : les activités humaines. - invités : Laurent Jacobelli Porte-parole du Rassemblement national

C dans l'air
Fabrice Leggeri - 2027: Marine Le pen prête à passer la main

C dans l'air

Play Episode Listen Later Jun 27, 2025 11:21


C dans l'air l'invité du 26 juin 2025 avec Fabrice Leggeri, député européen du Rassemblement National et membre du groupe Les Patriotes pour l'Europe.Il réagira aux propos de Marine le Pen, qui a déclaré hier dans Valeurs Actuelles avoir "intégré l'hypothèse qu'[elle] ne puisse pas [se] présenter", selon l'issue de son procès en appel. L'hypothèse Jordan Bardella se précise et elle affirme d'ailleurs lui avoir demandé de se "préparer" pour une éventuelle candidature. Ces dernières semaines, le tandem Le Pen-Bardella semblait pourtant moins uni qu'à l'accoutumée, laissant à penser qu'il y aurait des tensions sous-jacentes. Il reste la question de la ligne politique : sera-t-elle la même si l'incarnation change ? Fabrice Leggeri réagira également à la crise géopolitique actuelle et précisera le positionnement du parti. Marine Le Pen a "salué la manière dont le Président Trump est intervenu" en Iran. Le RN serait-il devenu favorable à l'ingérence dans les affaires intérieures des Etats ? La président du RN à l'Assemblée dit aussi avoir "perdu la confiance de ses amis" après "les propos peu amènes du Premier ministre israélien envers le président Macron tout comme ceux du président américain qui ne peuvent qu'attrister la patriote [qu'elle est]" . Dès lors se pose la question de savoir qui sont les alliés du Rassemblement national aujourd'hui, mais aussi quel rôle veulent-ils donner à la France au sein de l'OTAN et de l'Union européenne. Fabrice Leggeri est député européen du Rassemblement National et membre du groupe Les Patriotes pour l'Europe. Il a également été directeur de l'agence Frontex entre 2015 et 2022.

Le grand journal du soir - Matthieu Belliard
Rassemblement en hommage à Nahel à Nanterre : « En réalité, ils ne veulent pas la justice mais la vengeance» estime Louis de Raguenel

Le grand journal du soir - Matthieu Belliard

Play Episode Listen Later Jun 27, 2025 16:49


Aujourd'hui dans "Punchline", Thierry Cabannes et ses invités débattent du rassemblement à Nanterre en hommage à Nahel. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Le sept neuf
Sébastien Chenu : "Le rendez-vous de la censure, c'est à l'automne, au moment du budget"

Le sept neuf

Play Episode Listen Later Jun 25, 2025 24:27


durée : 00:24:27 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé - Sébastien Chenu, député du Nord et vice-président du Rassemblement national, était l'invité du Grand entretien de la matinale, ce mercredi. - invités : Sébastien CHENU - Sébastien Chenu : Député du Nord et porte-parole du Rassemblement national Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

Les interviews d'Inter
Sébastien Chenu : "Le rendez-vous de la censure, c'est à l'automne, au moment du budget"

Les interviews d'Inter

Play Episode Listen Later Jun 25, 2025 24:27


durée : 00:24:27 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé - Sébastien Chenu, député du Nord et vice-président du Rassemblement national, était l'invité du Grand entretien de la matinale, ce mercredi. - invités : Sébastien CHENU - Sébastien Chenu : Député du Nord et porte-parole du Rassemblement national Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

L'entretien de Sonia Mabrouk
Rejet de la proposition de loi Gremillet sur la programmation énergétique : «la facture d'électricité va doubler», estime Jean-Philippe Tanguy

L'entretien de Sonia Mabrouk

Play Episode Listen Later Jun 25, 2025 16:45


Jean-Philippe Tanguy, député Rassemblement national de la Somme et président délégué du groupe RN à l'Assemblée nationale, répond aux questions de Sonia Mabrouk au sujet de de la facture d'électricité des Français et du rejet de l'Assemblée nationale de la proposition de loi sur la programmation énergétique "Gremillet", de l'échec du conclave sur les retraites, du risque de censure du gouvernement Bayrou et de l'insécurité en France. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

L'invité de RTL
RETRAITES - Michel Picon, Marine Tondelier et Louis Aliot sont les invités de Thomas Sotto

L'invité de RTL

Play Episode Listen Later Jun 24, 2025 9:54


Conclave des retraites : François Bayrou annonce vouloir rencontrer les partenaires sociaux en urgence. Dans un discours de quatre minutes prononcé ce mardi 24 juin à 7h, le Premier ministre Fa annoncé qu'il allait rencontrer les organisations ayant participé au conclave sur les retraites. Écoutez les réactions de Michel Picon, président de l'U2P, Marine Tondelier, secrétaire nationale des Écologistes, et Louis Aliot, premier vice-président du Rassemblement national.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

L'opinion de Nicolas Beytout
Rassemblement national : opération «dégauchisation»

L'opinion de Nicolas Beytout

Play Episode Listen Later Jun 24, 2025 3:50


Chaque matin dans son édito, Alexis Brezet, directeur des rédactions du Figaro, revient sur l'actualité politique du jour. Ce mardi, il s'intéresse à l'opération "dégauchisation" menée par le Rassemblement national. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Journal de l'Afrique
Côte d'Ivoire : Alassane Ouattara désigné candidat à la présidentielle par le RHDP

Journal de l'Afrique

Play Episode Listen Later Jun 23, 2025 18:53


En Côte d'Ivoire, le deuxième congrès ordinaire du Rassemblement des houphouëtistes pour la démocratie et la paix (RHDP) s'est ouvert ce samedi à Abidjan et le président sortant, Alassane Ouattara, a été désigné candidat à la présidentielle du 25 octobre par son parti. Il n'a pas encore officiellement confirmé s'il allait briguer ou non un quatrième mandat. Les activités se poursuivront jusqu'à dimanche, avec un grand meeting au Stade d'Ebimpé.

Les Grandes Gueules
Le laxisme du jour - Didier Giraud : "Il ne peut pas y avoir un rassemblement sans des coups de couteau, des bagarres, la soûlographie. Il y a un ensauvagement de la société." - 23/06

Les Grandes Gueules

Play Episode Listen Later Jun 23, 2025 0:52


Aujourd'hui, Joëlle Dago-Serry, Antoine Diers et Didier Giraud débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.

aujourd peut avoir coups la soci rassemblement couteau olivier truchot dago serry didier giraud
Invité Afrique
Côte d'Ivoire: «Ouattara s'inscrit dans une stratégie qui consiste à court-circuiter l'opposition»

Invité Afrique

Play Episode Listen Later Jun 23, 2025 6:41


En Côte d'Ivoire, Alassane Ouattara fait durer le suspense... Hier, à l'issue du congrès du parti au pouvoir RHDP, le président ivoirien a répondu ni « oui » ni « non » aux militants qui lui avaient demandé la veille, à l'unanimité, d'être candidat à un quatrième mandat présidentiel le 25 octobre prochain. Il a simplement dit qu'il prendrait sa décision « dans les jours qui viennent ». Pourquoi cette stratégie de l'attente ? Le chercheur ivoirien Geoffroy-Julien Kouao a publié récemment deux ouvrages, Faut-il désespérer de la Côte d'Ivoire ? et Côte d'Ivoire : une démocratie sans démocrate ?, aux éditions Kamit. En ligne d'Abidjan, il répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : Ce 22 juin, tous les militants du Rassemblement des houphouëtistes pour la démocratie et la paix (RHDP) attendaient qu'Alassane Ouattara leur dise tout simplement : « Oui, j'accepte d'être votre candidat. » Mais le chef de l'État n'a répondu ni oui ni non et s'est donné quelques jours de réflexion. Comment expliquez-vous cette non-réponse ? Geoffroy-Julien Kouao : Je m'y attendais un peu parce que le président de la République s'inscrit dans une stratégie qui consiste à voir la réaction de ses principaux opposants qui sont Tidjane Thiam et Laurent Gbagbo. Dans tous les cas de figure et selon toute vraisemblance, il est fort possible que le président Ouattara accède à la requête de ses militants. Mais si Alassane Ouattara n'a fait que reporter de quelques jours l'annonce de sa candidature, pourquoi n'a-t-il pas profité dimanche de ce grand rassemblement de plusieurs dizaines de milliers de ses militants pour galvaniser son parti ? C'est vrai que les rencontres du samedi et du dimanche étaient une véritable démonstration de force politique pour le RHDP. Mais le président de la République a d'autres occasions. Souvenez-vous que, en 2020, c'est à l'occasion de son discours pendant la fête nationale, le 7 août, qu'il a annoncé qu'il serait candidat. Il peut rester dans cette logique. Alors, quand vous dites qu'Alassane Ouattara ne dévoile pas tout de suite son jeu parce qu'il attend les réactions de ses principaux adversaires, que voulez-vous dire par rapport notamment à Laurent Gbagbo et à Tidjane Thiam ? Vous savez très bien que Monsieur Laurent Gbagbo et Monsieur Tidjane Thiam sont pour l'instant disqualifiés de la course présidentielle. Et ils se sont mis ensemble en créant un front commun pour leur réinscription sur la liste électorale. Et dans la foulée, Monsieur Laurent Gbagbo a annoncé qu'il s'opposerait à un quatrième mandat du président Ouattara. Donc, si le président avait annoncé sa candidature hier dimanche, cela aurait donné du temps à Monsieur Thiam et à Monsieur Gbagbo pour mettre en place une stratégie politique consistant à faire pression sur le régime d'Abidjan. Vous savez que le front commun entre Monsieur Thiam et Monsieur Gbagbo obéit à une logique, celle de leur réinscription sur la liste électorale. Et s'ils arrivent à mobiliser assez d'Ivoiriens autour de leur combat, cela pourrait peut-être influencer le régime d'Abidjan. Voulez-vous dire qu'Alassane Ouattara attend éventuellement le dernier moment pour dévoiler son jeu et pour annoncer sa candidature afin d'empêcher ses adversaires de mobiliser leurs partisans ? Monsieur Alassane Ouattara, il est évident qu'il connaît la capacité de mobilisation de Laurent Gbagbo et aussi de Tidjane Thiam. Et évidemment, devant la démonstration de force opérée par son parti le samedi et le dimanche dernier, il s'inscrit dans une stratégie qui consiste à court-circuiter l'opposition sur ses propres bases. C'est-à-dire qu'en n'annonçant pas tout de suite sa candidature, il laisse l'opposition dans l'incertitude, c'est ça ? Oui. Ça lui permet de voir quelle stratégie celle-ci va mettre en place, puisque bientôt ce sera le début des parrainages. Pour qu'il y ait parrainage, il faut qu'il y ait des noms proposés. Or, pour l'instant, l'opposition ne veut pas présenter de plan B. Et si les parrainages commencent, si l'ouverture des dépôts de candidatures débute, peut-être que l'opposition serait dans l'obligation de proposer d'autres noms que ceux de Monsieur Thiam et de Monsieur Laurent Gbagbo. Ce qui permettrait à Monsieur Ouattara d'apprécier objectivement la situation et peut-être lui aussi de proposer un plan B. Alors ce plan B, justement, est-ce qu'un autre cadre du RHDP pourrait porter les couleurs du parti le 25 octobre prochain ? Et qui pourrait être cet autre responsable ? Oui, il y a d'autres cadres et le premier que je vois en tant qu'analyste politique et observateur, c'est le vice-président de la République, Monsieur Tiémoko Meyliet Koné. Il y a aussi d'autres personnalités comme l'ancien Premier ministre Patrick Achi. On peut aussi penser au gouverneur de la Banque centrale des États de l'Afrique de l'Ouest (BCEAO) [Jean-Claude Kassi Brou, NDLR]. Mais vous avez vu aussi le samedi et le dimanche à l'applaudimètre, on a vu que le ministre de la Défense Téné Birahima reste très populaire auprès des militants.   Le frère du président ? Oui, le frère cadet du président de la République. Alors, si demain le président Ouattara propose un autre candidat pour le RHDP, il n'y aura pas des risques de divisions internes au RHDP ? Non, je ne le pense pas. Le congrès l'a montré, il y a une certaine cohésion autour des idéaux du parti et surtout de la personne d'Alassane Ouattara. Tant que la figure tutélaire d'Alassane Ouattara sera présente, je ne pense pas qu'il y ait des voix discordantes.

Le Nouvel Esprit Public
Situation des ex-partis dominants français / Guerre Israël-Iran

Le Nouvel Esprit Public

Play Episode Listen Later Jun 22, 2025 61:32


Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 20 juin 2025.Avec cette semaine :Jean-Louis Bourlanges, essayiste.Béatrice Giblin, directrice de la revue Hérodote et fondatrice de l'Institut Français de Géopolitique.Nicole Gnesotto, vice-présidente de l'Institut Jacques Delors.Marc-Olivier Padis, directeur des études de la fondation Terra Nova.SITUATION DES EX-PARTIS DOMINANTS (LR-PS) APRÈS L'ÉLECTION DE LEURS DIRIGEANTSLe 18 mai Bruno Retailleau a été élu à la tête du parti Les Républicains avec une majorité de 74,31% des voix. Dans la foulée, le nouveau dirigeant de LR a pris trois engagements : rendre le parti à tous les militants via des référendums. Remettre le parti « au travail ». Enfin, reconstruire pour « gagner des élections ». « Je veux faire se lever une vague bleue », a-t-il lancé en pensant aux municipales de mars 2026. À droite, la victoire de Bruno Retailleau signe le retour d'un espoir après plus de dix années dans l'opposition et une succession de revers électoraux dont LR ne s'est jamais vraiment remis. Les bons scores obtenus dans différentes élections législatives partielles, à Villeneuve-Saint-Georges, dans le Jura ou les Hauts-de-Seine, sont un signe, veulent croire les cadres du parti, qu'un espace existe entre une Macronie jugée finissante et un Rassemblement national privé de sa « candidate naturelle » si la peine d'inéligibilité de Marine Le Pen se confirme en appel. Si sa large victoire installe Bruno Retailleau comme le nouveau candidat naturel de la droite pour la prochaine présidentielle, il doit toutefois composer avec les ambitions de ses soutiens de campagne. Dans un sondage Toluna Harris Interactive pour LCI, le nouveau patron de LR reste largement distancé par Edouard Philippe au premier tour de l'élection présidentielle.Au Parti Socialiste, si la victoire sur le fil d'Olivier Faure, reconduit le 5 juin avec 50,9% des suffrages au détriment du maire de Rouen, Nicolas Mayer-Rossignol, à 250 voix près, ne fait pas débat, aucune synthèse n'a cependant été possible entre les deux fractions lors du 81ème congrès réuni du 13 au 15 juin, à Nancy. En cause : la place de La France Insoumise au sein de l'union de la gauche. Trois ans après la Nouvelle Union populaire écologique et sociale en 2022, un an après le Nouveau Front Populaire en 2024, la relation des socialistes à Jean-Luc Mélenchon et LFI a empoisonné le congrès du PS. Nicolas Mayer-Rossignol, estimant qu'il ne fallait « plus d'accord national et programmatique aux législatives pour gouverner ensemble avec La France Insoumise », a demandé solennellement à son parti de « dire et écrire et affirmer unanimement qu'il n'y aura pas, sous aucun prétexte, ni au plan national ni local, même en cas de dissolution, d'alliance avec LFI ». Le Premier secrétaire a refusé cet amendement au texte final, estimant qu'il « ne faut pas qu'on sorte de l'ambiguïté stratégique vis-à-vis de LFI ». L'état de division dans lequel se trouve l'ancien parti dominant de la gauche, aujourd'hui réduit à moins de 40.000 militants revendiqués, l'expose à de grandes déconvenues : en désaccord sur la ligne, les socialistes vont avoir le plus grand mal à se doter d'un projet susceptible de renouveler leur identité. Les deux camps visent un accord avant le premier conseil national du PS prévu le 1er juillet.GUERRE ISRAËL-IRAN, SITUATION STRATÉGIQUE, TRANSFORMATIONS INDUITES SUR LA SCÈNE INTERNATIONALELe 12 juin, Israël a déclenché une guerre préventive contre les infrastructures nucléaires de l'Iran et ses cadres. Le lendemain l'Iran ne pouvant plus compter sur ses alliés au Liban, en Irak et au Yémen, affaiblis depuis le 7 octobre, a lancé seul sa riposte contre Israël. Ses alliés au sein de l'« axe de la résistance » à Israël, Hamas, Hezbollah notamment sont restés atones, à l'exception d'un tir isolé de missile par les houthistes yéménites qui a manqué sa cible et s'est abattu sur Hébron, en Cisjordanie occupée. L'Irak, la Jordanie et les monarchies du Golfe, qui accueillent des bases américaines sur leur sol, sont tétanisées à la perspective de représailles de Téhéran contre l'Etat hébreu et son allié américain.En Israël, dans une étude publiée lundi par l'Université hébraïque de Jérusalem, 70% des sondés soutiennent l'opération. Avec une approche très divisée selon les populations : 83% chez les juifs israéliens, contre 12% chez les Palestiniens de citoyenneté israélienne.Même si elle a fait capoter les négociations qu'il avait rouvertes avec Téhéran, et en dépit de la déclaration de la coordinatrice du renseignement américain selon qui l'Iran n'était pas engagé dans la fabrication d'une arme nucléaire, Donald Trump a soutenu publiquement l'opération israélienne contre l'Iran, et ordonné l'envoi de renforts, notamment navals, pour aider à la défense d'Israël. Le porte-avions nucléaire Nimitz a été dépêché depuis la mer de Chine vers le Moyen-Orient. Mais le président américain s'est jusqu'à présent abstenu d'engager directement les forces américaines dans des actions offensives. Il a mis en garde l'Iran contre la tentation d'attaquer les intérêts américains dans la région. Il continue à prétendre qu'une négociation peut reprendre. Rentré précipitamment du sommet du G7 au Canada, le président américain a réuni mardi un conseil de sécurité consacré à la guerre aérienne entre Israël et l'Iran. La perspective d'une participation américaine aux raids contre l'Iran a créé une fracture au sein du mouvement MAGA, où l'aile isolationniste critique dorénavant ouvertement le président.La Russie a été la seule, parmi les puissances qui comptent dans le monde, à condamner très clairement l'attaque israélienne. Moscou ne pouvait pas faire moins à l'égard d'un pays qui lui fournit en grande quantité les drones utilisés contre l'Ukraine. Les critiques de la Chine ont été plus discrètes. L'ensemble des pays Européens a affiché sa solidarité avec Israël, tout en invitant les deux partis à la désescalade. Les guerres préventives occidentales en terre d'islam du début du XXIème siècle, celle d'Irak en 2003, et celle de Libye en 2011, ont abouti à des catastrophes régionales, qui ne sont toujours pas résolues.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Les interviews d'Inter
Iran : Jean-Philippe Tanguy salue l'opération américaine, mais alerte sur les conséquences d'une "guerre d'ampleur"

Les interviews d'Inter

Play Episode Listen Later Jun 22, 2025 54:53


durée : 00:54:53 - Questions politiques - par : Carine BECARD, Fabienne Le Moal - Jean-Philippe Tanguy, "salue" une opération militaire "très impressionnante" des États-Unis, après le bombardement en Iran. Mais le député RN de la Somme souhaite qu'elle "s'arrête là" et que ce ne soit "pas le préambule à une guerre plus grave et surtout plus durable". - invités : Jean-Philippe Tanguy - Jean-Philippe Tanguy : Député Rassemblement national de la Somme Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

Questions politiques
Iran : Jean-Philippe Tanguy salue l'opération américaine, mais alerte sur les conséquences d'une "guerre d'ampleur"

Questions politiques

Play Episode Listen Later Jun 22, 2025 54:53


durée : 00:54:53 - Questions politiques - par : Carine BECARD, Fabienne Le Moal - Jean-Philippe Tanguy, "salue" une opération militaire "très impressionnante" des États-Unis, après le bombardement en Iran. Mais le député RN de la Somme souhaite qu'elle "s'arrête là" et que ce ne soit "pas le préambule à une guerre plus grave et surtout plus durable". - invités : Jean-Philippe Tanguy - Jean-Philippe Tanguy : Député Rassemblement national de la Somme Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

C dans l'air
Santé,habitat: alerte aux canicules - L'intégrale -

C dans l'air

Play Episode Listen Later Jun 21, 2025 64:43


C dans l'air du 21 juin 2025 - CaniculeLe jour le plus long de l'année s'annonce comme l'un des plus chauds. Après une nuit tropicale, les températures grimpaient déjà très haut ce matin. A midi, plusieurs régions ont dépassé les 35 °C et des pointes allant jusqu'à 39 °C sont attendues dans l'Ouest. Pas moins de seize départements sont maintenus en vigilance orange canicule.Cet épisode de fortes chaleurs intervient alors que de nombreuses manifestations sportives et culturelles sont organisées ces jours-ci : festivals, kermesses, fêtes des écoles, compétitions sportives. Entre les concerts en extérieur et foule massée dans les rues, la Fête de la musique, qui se tient ce soir, sera également un rendez-vous particulièrement à risque.Les autorités et organisateurs de événements sont contraints de prendre certaines mesures de précaution. A Clisson, en Loire-Atlantique, plus de 200 000 personnes sont attendues au célèbre festival de métal Hellfest jusqu'à demain. Et le thermomètre s'affole. Il pourrait même grimper jusqu'à 37 °C. Pour faire face à ces conditions extrêmes, des brumisateurs, des murs d'eau géants et des fontaines à eau ont été installées sur le site. Les gourdes vides seront aussi exceptionnellement autorisées à l'entrée.Le dérèglement climatique, que l'on perçoit en ce moment par une intense vague de chaleur, se manifeste également par la multiplication des inondations.La ville de Blendecques, dans le nord du Pas-de-Calais, près de Saint-Omer, a ainsi subit une série d'inondations en novembre 2023 et janvier 2024. Des sinistres très durs à encaisser pour les habitants. Un an après ces inondations, une impasse entière de la ville et sa quinzaine de maisons, vont être rasées pour laisser la place à un bassin de rétention d'eau. Si certains habitants avaient déjà pris la difficile décision de quitter les lieux, d'autres refusent de quitter leur domicile. Ce cas de déplacés climatiques sont amenés à se multiplier dans les années à venir. Et ces derniers doivent parfois batailler avec leurs assurances, qui souhaitent de moins en moins indemniser ce type de sinistre.Les épisodes de fortes chaleurs, comme celui que l'on observe actuellement favorise la survenue de pics de pollution atmosphérique. Ce phénomènes tue près de 40.000 personnes tous les ans en France.Afin d'améliorer la qualité de l'air, le dispositif des zones à faible émission (ZFE) avait été adopté sous Emmanuel Macron en 2019 dans la loi d'orientation sur les mobilités, avant d'être étendu en 2021. Or, l'Assemblée nationale a voté ce mardi 17 juin un texte qui prévoit la suppression des ZFE. Les Républicains et le Rassemblement national se sont prononcés main dans la main pour cette disparition. Reste désormais aux sénateurs et aux députés à se mettre d'accord, à voter à nouveau ce projet de loi et à passer sous les fourches caudines du Conseil constitutionnel.La macronie, elle, s'est profondément divisée en dépit des consignes de vote données par le président des députés Renaissance Gabriel Attal et d'Emmanuel Macron qui a expliqué "ne pas être content" de ce détricotage.Comment s'adapter pour tenir face aux vagues de chaleur ? Comment indemniser les déplacés climatiques ? Comment lutter contre la pollution de l'air, alors que les ZFE pourraient être supprimées ?LES EXPERTS :- Marc LOMAZZI - Journaliste spécialiste des questions environnementales - Auteur de « France 2050. Le scénario noir du climat »- Christine PENA - Journaliste météo – France info- Émilie TORGEMEN - Journaliste chargée des questions d'environnement - « Le Parisien - Aujourd'hui en France »- Nicolas CHATEAUNEUF - Rédacteur en chef adjoint Sciences et Environnement - France Télévisions- DR Faïza BOSSY - Médecin généraliste, nutritionniste (via Skype)

Invité Afrique
«Les années Biya»: l'écrivain camerounais Haman Mana décrypte le parcours présidentiel de Paul Biya

Invité Afrique

Play Episode Listen Later Jun 17, 2025 7:57


Les années Biya, c'est le titre du livre qui vient de paraître aux Éditions du Schabel. Dans cette enquête de 700 pages, bâtie sur des confidences et des archives inédites, l'essayiste camerounais Haman Mana raconte en détail les 42 années et demie du président Paul Biya à la tête du Cameroun. Les succès comme les échecs. Tour à tour journaliste à Cameroon Tribune, puis directeur de publication au journal Mutations, puis patron du journal Le Jour, Haman Mana a été le témoin de beaucoup d'évènements sous la présidence de Paul Biya. À quatre mois de la présidentielle, il répond aux questions de Christophe Boisbouvier.  RFI : Haman Mana, l'un des temps forts de votre livre, c'est la présidentielle d'octobre 1992. Paul Biya a dû accorder le multipartisme. Dans le pays d'à côté, le Congo-Brazzaville, le président Denis Sassou Nguesso vient d'être battu par Pascal Lissouba. C'est le vent du changement. Et pourtant, Paul Biya est officiellement réélu, mais avec seulement quatre points d'avance sur John Fru Ndi, un score très serré. Est-ce à dire que le parti au pouvoir RDPC était moins aguerri, moins fort qu'aujourd'hui ? Haman Mana : Le parti RDPC était moins sophistiqué dans sa capacité à manipuler les chiffres. À l'époque, je pense qu'il y a une grande mobilisation autour du Social Democratic Front. De John Fru Ndi ? De John Fru Ndi et il y a ce raz-de-marée vers les urnes qui fait que tout le monde est d'accord là-dessus aujourd'hui. C'est John Fru Ndi qui a remporté ces élections, mais ce n'est qu'en dernière minute, à la Commission nationale de recensement des votes, avec un afflux de votes venant tardivement de l'Extrême Nord, qu'on a dû corriger les résultats. J'en parle parce que je suis un témoin oculaire. J'étais jeune journaliste à Cameroun Tribune et c'est moi qui ai couvert non-stop. On a appelé ça la Commission nationale de recensement des votes. Non, je pense que le pouvoir n'était pas encore aguerri dans ces techniques de modification des résultats de vote. Voilà. Vous rappelez aussi qu'en octobre 1992, le Nordiste Bello Bouba Maigari arrive troisième avec 19 % des voix. Est-ce que l'opposition aurait gagné si Fru Ndi et Bello n'avaient pas été divisés ? Si l'opposition avait été unie, peut-être que John Fru Ndi aurait gagné. Mais maintenant, c'est sans compter avec la volonté absolue, la volonté claire du Rassemblement démocratique du peuple camerounais et de Paul Biya de rester au pouvoir. Alors John Fru Ndi est décédé, mais Paul Biya et Bello Bouba Maigari sont toujours là. Est-ce que vous pensez qu'on va les revoir tous les deux comme candidats en octobre prochain ? Ecoutez, ça dépend de l'arithmétique. À l'heure actuelle, on sait que Bello Bouba, politiquement peut-être, n'est plus ce qu'il était à cette époque-là. Donc cela fera partie des calculs. Maintenant, il y a l'inconnue Maurice Kamto. Est ce qu'on acceptera sa candidature ? À ce qu'il me semble, peut-être que Bello Bouba Maigari n'est pas un protagoniste décisif dans l'élection de 2025, sauf s'il adoube Maurice Kamto. Autre temps fort dans votre livre, la querelle territoriale entre le Cameroun et le Nigeria sur la presqu'île de Bakassi. On est en 1994 et vous dites que là, c'est une réussite pour le régime de Paul Biya ? Oui, bien sûr. Mon livre est là pour rendre compte de ce qui s'est passé. Mon livre n'est pas là pour peindre en noir un régime. Non. Et ce qui me semble, tout le monde est d'accord là-dessus, Paul Biya a bien joué. C'est une carte qu'il a bien jouée par une forme de pondération, par une forme d'utilisation de ses relais internationaux et également par l'expertise juridique locale. C'est là où on retrouve Maurice Kamto. On savait déjà que Maurice Kamto n'était pas forcément quelqu'un de favorable au régime en place, mais compte tenu de son expertise, il était l'une des figures de proue de l'équipe et, après avoir remporté sur le plan juridique, Paul Biya a engagé une négociation politique pour pouvoir obtenir ce qu'il avait gagné juridiquement. Là, c'était bien joué. Pendant ces 43 années de présidence de Paul Biya, il y a dans votre livre plusieurs fils conducteurs, la corruption, la répression. Vous parlez notamment des plus de 100 jeunes émeutiers de la faim qui sont tués à Douala en février 2008. Pourquoi avez-vous tenu à faire le portrait de l'ancien Secrétaire général de la présidence, Marafa Hamidou Yaya, qui est en prison depuis 2012 ? Oui, c'est pour dire l'absurdité qui entoure la question de la succession de Monsieur Biya et ceci depuis le début des années 2000. C'est-à-dire qu'il est question de couper en réalité toutes les têtes qui dépassent. Voilà ! Oui, vous citez l'ambassadeur des États-Unis à Yaoundé qui dit que « Marafa est en prison parce qu'il a pensé au pouvoir ». Exactement. Ça, ce sont les fuites de Wikileaks qui ont mis cela dehors. Et voilà ce qu'il est advenu. Et puis, dans votre livre, vous dites : « Je raconte le long chemin sur lequel Paul Biya a mené le Cameroun au bord de l'abîme, non sans la complicité de ce peuple qui, paresseusement, s'est laissé choir. » Oui, je pense que c'est trop facile de dire que Paul Biya a fait ci, Paul Biya a fait ça. La société civile camerounaise, le peuple camerounais, se lie lui-même les mains dans un pacte de paresse, de corruption. Non, en réalité, chez moi, il est plus question de piquer l'orgueil des uns et des autres afin qu'ils se ressaisissent. En réalité, c'est un appel à la réappropriation du Cameroun par les Camerounais. À lire aussiCameroun: à 92 ans, Paul Biya investit les réseaux sociaux à cinq mois de la présidentielle