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Emission spéciale du 15 juin 2025: Trump-Poutine: Ils veulent tuer l'EuropeEn humiliant Volodymir Zelensky devant les caméras du monde entier dans le bureau oval le 28 février dernier, Donald Trump a provoqué un séisme en Europe. Pour la première fois, le président américain menace de lâcher l'Ukraine. Washington et Moscou semblent parler d'une seule voix. Avec un objectif commun : mener le Vieux Continent à sa perte.Alors qu'à l'Est, Vladimir Poutine gagne du terrain en Ukraine et poursuit son entreprise de déstabilisation à coup de sabotages, d'assassinats ciblés, d'ingérences électorales et d'infiltration des partis extrémistes, à l'Ouest, Washington trahit les alliances historiques et encourage les populismes, semant la division en Europe.Au milieu, des européens hébétés, qui tentent de reprendre leur souffle dans ce nouvel ordre mondial.Jusqu'où iront Poutine et Trump ?Cette nouvelle enquête de C dans l'Air révèle comment l'appareil de propagande russe infiltre les médias conservateurs européens mais aussi américains, influence des figures politiques majeures et construit une alliance discrète mais toxique entre les extrêmes. A l'aide de témoignages et d'entretiens exclusifs menés par Caroline Roux, elle nous fait découvrir les dessous d'un nouveau conflit mondial qui ne dit pas son nom. Une guerre silencieuse mais implacable, où les lignes de front traversent les institutions, les alliances et les esprits. Et où l'Europe, plus que jamais, doit choisir : se soumettre ou se relever.Production : Maximal Productions, une société MediawanRéalisation : Gaëlle Schwaller et Alain PirotCommentaires et entretiens : Caroline RouxProduit par Stéphanie Gillon
A 10h, ce vendredi 13 juin 2025, les GG : Bruno Poncet, cheminot, Jean-Loup Bonnamy, professeur de philosophie, et Joëlle Dago-Serry, coach de vie, débattent de : "Canicule : les éboueurs de Niort veulent travailler en short !".
Son premier album, La Favorite, sorti en janvier, l'a positionnée comme l'une des figures montantes de la chanson française. En février, Yoa remportait le prix Révélation scène aux Victoires de la musique. Ses chansons mélangent des rythmes urbains et électroniques qui accompagnent des paroles nourries de littérature et évoquent sans détour les relations, les sentiments qui se délitent et les violences sexuelles – comme lorsqu'elle confronte son agresseur dans Le Collectionneur, dernier morceau de l'album.Elle nous reçoit dans son appartement, où elle vient d'emménager, une « petite grotte un peu chaleureuse » aux confins du 5e arrondissement de Paris. Un deux-pièces où cohabitent un grand canapé en velours blanc et un fauteuil livré sans notice de montage, des lampes Ikea et ses références culturelles : l'album How I'm Feeling Now de Charli XCX, un recueil de poèmes d'Arthur Tebou (vocaliste et parolier du groupe Feu ! Chatterton), Clôture de l'amour, de Pascal Rambert – un « livre de chevet » –, et « Guillaume Dustan, qui est là, dans [s]a chambre ».Dans cet épisode du « Goût de M », Yoa parle de son père, suisse, et de sa mère, camerounaise, qui l'ont fait grandir à Paris au milieu de films, de livres et de musique. A 26 ans, elle mêle allègrement références pop (« Lana del Rey, oh mon Dieu ! »), littérature féministe (Virginie Despentes, bell hooks, Valerie Solanas) et philosophie (Georges Bataille). Elle s'est d'ailleurs imaginée philosophe, puis actrice de théâtre, avant que ses chansons postées sur les réseaux sociaux ne soient repérées par des professionnels de la musique. Elle achève sa tournée cet été et annonce déjà un nouvel EP pour novembre. Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
Aucun parent n'est parfait…et c'est une bonne chose! Dans cette discussion, Chloé, Lory Zephyr, psychologue spécialisée en santé mentale maternelle, et Jessika Brazeau, journaliste et maman, abordent les effets que peuvent avoir l'abondance d'informations et le culte de la performance sur la parentalité. Comment faire pour reconnaître l'information pertinente sans toutefois devenir folle? Et quelles sont les pistes pour alléger cette culpabilité constante qui nous habite? Cet épisode s'adresse aux parents qui: Veulent bien faire, mais se sentent parfois dépassés; Ont besoin de gagner en perspective; Se comparent et se sentent inadéquats. Pour consulter la plateforme Ça va maman? Pour se procurer le livre Le mythe de la mère parfaite
Les zones d’ombre de l’industrie des croisières : pollution massive, conditions de travail abusives, crimes sous-déclarés et opacité systémique. Alors que des millions de passagers embarquent chaque année, l’expert Luc Renaud dévoile la face cachée de cette industrie en pleine expansion, où les paradis flottants reposent sur des pratiques inquiétantes. Entrevue avec Luc Renaud, professeur associé au Département d’études urbaines et touristiques de l’UQAM. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne Youtube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Comme tous les mardis, nous retrouvons Gotson Pierre, directeur de l'agence Alterpresse. Le site d'information haïtien revient notamment sur le « Travel ban » qui interdit aux Haïtiens d'entrer sur le territoire américain. Quelle marge de manœuvre pour les autorités haïtiennes ? Le Conseil présidentiel de transition affirme vouloir négocier avec l'administration américaine pour retirer Haïti du Travel ban, comme l'annonce Alterpresse. Les mesures de Donald Trump interdisant aux ressortissants de 12 pays - dont Haïti - d'entrer sur le territoire américain ont pris effet ce lundi (9 juin 2025). Les autorités haïtiennes affirment vouloir donner des gages sécuritaires aux autorités américaines afin d'être retirées de la liste. Elles ont également affirmé vouloir garder une bonne relation avec les autorités américaines. Mais les marges de manœuvre restent limitées, précise Gotson Pierre. Les provocations de Donald Trump à Los Angeles dénoncées par les médiasLa situation en Californie continue de faire la Une de la presse aux États-Unis. Donald Trump ne s'est pas arrêté à l'envoi de la Garde nationale. Malgré les critiques, le président américain a choisi de muscler un peu plus encore son intervention avec l'envoi de 700 Marines et 2 000 membres supplémentaires de la Garde nationale.Ces troupes n'étaient pourtant pas nécessaires, affirme le Washington Post dans son édito titré «La meilleure façon de mettre fin à l'escalade à Los Angeles».Dès le premier paragraphe, le journal fait un parallèle avec l'assaut du Capitole par des partisans de Donald Trump, le 6 janvier 2021. Premier constat : «Les violences contre les forces de l'ordre doivent être poursuivies qu'elles soient dirigées contre les services de l'Immigration et des Douanes de Los Angeles ou contre la police du Capitole à Washington.» Mais pour le Washington Post, l'envoi notamment d'un bataillon de Marines en service actif sur place en renfort est une nouvelle provocation qui ne fera que prolonger la violence. « Comment désamorcer la situation à Los Angeles ? » Le Washington Post ne fait pas que pointer la responsabilité de Donald Trump. Il pointe un couple, le gouverneur démocrate de Californie et le président des États-Unis, qui semblent tous deux voir un avantage à se battre. Pour sortir de ce combat politique, les Américains devraient se tourner vers les tribunaux, avance-t-il.La fédéralisation de la Garde nationale contre l'avis du gouverneur d'un État dépend de l'Insurrection Act de 1807. Si Donald Trump l'invoquait officiellement, il ferait face à une contestation judiciaire lourde qui pourrait amener à des questions plus profondes sur les pouvoirs du président. Des réformes, notamment celles de l'Insurrection act, nécessaires depuis longtemps, estime la Washington Post. « Un aperçu de l'autocratie »Pour l'instant, ce à quoi les Américains assistent à Los Angeles est un «aperçu de l'autocratie», selon le New York Times. C'est le titre de l'édito de Michelle Goldberg. Si le Washington Post appelle les manifestants à rentrer chez eux pour éviter d'être pris dans un engrenage qui les dépasse, le New York Times lui appelle au soulèvement. Michelle Goldberg confie à ses lecteurs que l'envoi de troupes militaires par Donald Trump contre des opposants à sa politique anti-immigration était l'une de ses plus grandes peurs depuis son élection en novembre dernier. Mais la journaliste ne s'était pas imaginé un tel scénario avant même que l'opposition au président ne tourne réellement à la crise. Il n'y avait pas à Los Angeles un risque de rébellion contre l'autorité du gouvernement des États-Unis, affirme Michelle Goldberg. Hier, la police de Los Angeles a d'ailleurs affirmé que l'«arrivée de la Garde nationale sans aucune coordination représentait un défi logistique et opérationnel pour conserver la sécurité dans la ville.»«Le jour où des manifestations contre le roi mobiliseront tout le pays. J'espère que la tentative de Trump d'étouffer la protestation finira par l'alimenter, conclut l'éditorialiste du New York Times. Ceux qui veulent vivre dans un pays libre peuvent avoir peur, mais ils ne doivent pas être intimidés.» « Trump contre la grande ville hispanique »De l'autre côté de la frontière, au Mexique, el Universal consacre également son éditorial à l'évènement. «Trump contre la grande ville hispanique», titre l'éditorialiste Léon Krauze. Selon lui, ce n'est pas un hasard si Donald Trump cible Los Angeles. Elle incarne l'idéal d'une société pluraliste. C'est également la plus grande ville hispanique des États-Unis. Près de 47% des habitants s'identifient hispaniques. 60% des habitants communiquent en espagnol, en coréen, en arménien ou dans une longue liste d'autres langues. Si la Californie était un pays, elle serait la cinquième économie mondiale, précise également el Universal. Une force due en grande partie aux immigrants. Ils méritent d'être protégés, pas persécutés. Un procès « historique » contre l'ancien président brésilien BolsonaroLa Cour suprême brésilienne a commencé lundi les interrogatoires des principaux accusés dans le cadre du procès contre l'ancien président Jair Bolsonaro. Le principal intéressé n'a pas encore été entendu. Mauro Cid, son ancien collaborateur a confirmé les velléités putschistes de l'ex-président. Il avait passé un accord avec la justice en change d'une réduction de peine. Selon l'ancien militaire, Jair Bolsonaro, qui avait perdu les élections de 2022 face à Lula, avait envisagé de décréter l'« état de siège » à Brasilia et de convoquer de nouvelles élections. L'ancien président aurait même lu et modifié un projet de décret présenté par ses conseillers, qui prévoyait aussi l'arrestation de personnalités politiques et judiciaires, comme le juge de la Cour suprême Alexandre de Morales, la bête noire des bolsonaristes, justement en charge des interrogatoires.Jair Bolsonaro lui-même était présent sur le banc des accusés. Il devrait être interrogé ce mardi ou mercredi. Mais sa ligne de défense n'a pas changé : il nie toutes les accusations, comme il l'a réaffirmé à un groupe de journalistes pendant une pause de l'audience. Il affirme être victime d'une persécution politique.Il faudra attendre quelques mois pour connaître le verdict, mais c'est d'ores et déjà un procès historique. Les faits reprochés – tentative de coup d'État – sont très graves. Jair Bolsonaro, qui a toujours fait l'éloge de la dictature, encourt plus de 40 ans de prison en cas de condamnation. Ce procès montre que la démocratie brésilienne, que la justice brésilienne, fonctionnent. Une affaire qui s'impose en parallèle de la situation aux États-Unis, avec l'assaut du Capitole en 2021, le refus de Donald Trump de reconnaître sa défaite. Pour l'instant, le président américain a été épargné par la justice. Colombie – Miguel Uribe était-il suffisamment protégé ? En Colombie, le sénateur Miguel Uribe et candidat déclaré à la présidentielle de l'année prochaine, se trouve toujours entre la vie et la mort. Il a reçu deux balles dans la tête dimanche dernier (8 juin 2025) lors d'une attaque menée lors d'un meeting électoral. Son avocat affirme aujourd'hui que le candidat ne bénéficiait pas d'un dispositif de sécurité suffisante et a porté plainte contre l'unité nationale de protection de la police. « En 2025, nous avons fait plus de 23 demandes de renforcement de la sécurité du sénateur, rapporte Miguel Uribe. La dernière a été déposée le 5 juin dernier, mais on nous l'a refusé en affirmant qu'il n'y avait pas de risque ».Le directeur de cette unité de protection soutient que trois de ses agents étaient sur place, mais que quatre policiers réguliers les auraient épaulés. La procureure, qui confirme que le sénateur Uribe recevait le même niveau de protection que les autres parlementaires, et qu'il n'avait pas fait l'objet de menaces de mort. De son côté, le président Gustavo Petro a dénoncé une «réduction étrange» du dispositif de sécurité le jour de l'attentat.
durée : 00:04:01 - Deux Saintais veulent faciliter l'installation de nouveaux commerces
Avec : Yael Mellul, ancienne avocate. Périco Légasse, journaliste. Et Emmanuelle Dancourt, journaliste indépendante. - Toujours accompagnée de Rémy Barret et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs, sexo… En simultané sur RMC Story.
Le Parlement européen a les yeux rivés sur Nice, où se tient la Conférence des Nations Unies sur la protection des océans, avec de nombreux enjeux. Les océans sont les poumons bleus de notre planète : ils couvrent 71 % de la surface du globe et absorbent près de 30 % du CO₂ mondial. Malgré ce rôle vital, ils subissent une pression croissante : 8 millions de tonnes de plastique y sont déversées chaque année, 34 % des stocks de poissons sont surexploités et seuls 3 % des océans bénéficient d'une protection stricte.
En France et dans le monde entier, le mois de juin, est celui des Fiertés. Un mois de célébration et de luttes pour les personnes LGBTQ+. Dans chaque pays, des Pride, des Marches des Fiertés sont ainsi organisées. C'est le cas en France, dans la ville de Saint-Denis avec, depuis 2019, la Pride des Banlieues. Son but : mettre en avant ces communautés des quartiers dits populaires dans lesquels se revendiquer LGBTQ+ est souvent plus difficile qu'ailleurs. Quelques jours avant le jour J, rencontre de bénévoles qui se préparent à la célébrer. « On est la semaine avant la Pride et on est tous exténués. » La Pride des Banlieues approche. L'équipe de bénévoles se retrouvent sur la terrasse d'un café à Saint-Denis pour les derniers préparatifs. Il y a deux amies, Fadi et Asma, elles sont Magrébines, nées dans des familles musulmanes. L'une est bisexuelle, l'autre lesbienne. La Pride des Banlieues, c'est le premier lieu queer où elles se sentent bien. « La communauté queer reste un milieu très blanc et donc elle va être raciste ou avoir des biais racistes. On ne m'acceptait pas en tant que Maghrébine dans la communauté LGBTQ+, on ne m'acceptait pas en tant que LGBTQ+ dans la communauté maghrébine. La Pride des Banlieues, je pense que c'est ça qui a servi, c'est de regrouper toutes ces personnes-là. » Fadi est de son avis : « Avec la Pride des Banlieues, tu arrives, tu n'as pas besoin de parler de ces sujets-là, on se comprend, sur la famille, sur la religion, sur le taff. »Ici, pas besoin du masque qu'elle porte en famille. Les proches de Fadi ne savent rien de son homosexualité : « Je pense, c'est un peu de la psychose, mais pour moi le risque, c'est qu'on me chope, qu'on me marie de force parce que mes parents sont attachés aux coutumes, il faut se marier tôt, avoir des enfants tôt. Ils sont très croyants, ils sont capables de me dire " Tu repars au bled, et tu te maries avec un mec " ou, je ne sais pas, me faire tabasser, un truc comme ça. »Asma et Fadi vivent toutes les deux en banlieue parisienne. Leur réalité n'a rien à voir avec celle des personnes LGBTQ+ qui habitent les grandes métropoles : « La manière d'aborder le sujet n'est pas le même, il y a trop de tabou. » D'où le besoin de créer une Pride qui les représente. Ce qui n'est malheureusement pas le cas de la Marche des fiertés de Paris, assure Tess, jeune queer, qui n'y participe plus : « C'est un festival, si son identité, c'est la vivre comme un festival, je comprends, mais il y a des personnes qui ont besoin d'autre chose et la Pride des Banlieues répond à ce besoin. »Après la marche, le travail continue pour les trois bénévoles. Tess veut visibiliser les identités queers à travers une série de photo. Asma et Fadi, elles, réalisent leur propre documentaire sur la Pride des Banlieues.
durée : 00:03:54 - Des élèves icaunais ont été récompensés lors de la 1ère édition du concours départemental "Non au harcèlement" - Des élèves de plusieurs établissements de l'Yonne ont reçu des prix "Non au harcèlement" ce mercredi 4 juin, à Auxerre. Ces jeunes ont réalisé, à l'occasion de ce concours, des vidéos et des affiches de prévention contre ce fléau.
Le ministre Jean-François Roberge dépose un cahier de consultation sur la baisse des seuils d’immigration permanente. Le Parti québécois crie victoire, les libéraux crient au mensonge et Québec solidaire dénonce une surenchère politique. Discussion sur les nouveaux scénarios proposés par Québec, le piège démographique, le rôle des temporaires, et la course aux seuils électoralistes. La rencontre Robitaille-Dutrizac avec Antoine Robitaille. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne Youtube QUB https://www.youtube.com/@qub_radio Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Les restaurateurs demandent au gouvernement Legault de les laisser gérer la répartition des pourboires pour mettre fin aux inégalités entre les employés de service et le personnel de cuisine. Entrevue avec Pierre Moreau, président-directeur général du Groupe Restos Plaisirs. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radio Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Aujourd'hui, Bruno Poncet, Jean-Loup Bonnamy et Joëlle Dago Serry débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Aujourd'hui, Bruno Poncet, Jean-Loup Bonnamy et Joëlle Dago Serry débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Au Congo-Brazzaville, le premier congrès des peuples autochtones et des populations locales des bassins forestiers se tient cette semaine du 26 au 30 mai à Brazzaville. Dirigeants autochtones, représentants de communautés et défenseurs de l'environnement sont déterminés à défendre les écosystèmes forestiers les plus vitaux de la planète. L'événement vise à obtenir une déclaration commune en amont de la COP30, prévue à Belém, au Brésil, au mois de novembre. Bonaventure Bondo, chargé de campagne Forêts pour le bassin du Congo à Greenpeace Afrique répond aux questions d'Alexandra Brangeon. RFI : Le premier Congrès des peuples autochtones issus des trois grands bassins forestiers de la planète, c'est-à-dire Amazone, Bornéo, Mékong et Bassin du Congo, s'est ouvert cette semaine à Brazzaville. Alors quand on parle des populations autochtones du Bassin du Congo, de qui s'agit-il exactement ? Bonaventure Bondo : Ces termes renvoient d'emblée aux communautés pygmées - même si le mot pygmées est en train de disparaître - qui vivent dans la forêt ou qui développent le lien étroit avec les forêts tropicales.Dans quels pays ?Ces communautés sont réparties dans presque tous les pays du Bassin du Congo. EnRDC, nous avons les Twa et les Aka. De même pour la République du Congo. Au Cameroun, nous avons les Baka qui s'étendent aussi au niveau du Cameroun et de la Guinée équatoriale.Alors ces populations, qu'elles soient de la RDC, de Centrafrique, partagent les mêmes problématiques, la reconnaissance de leurs terres ancestrales ? Oui, ils font face aux mêmes défis, surtout liés à la reconnaissance de leurs terroirs ancestraux. Parce qu'ils sont les premiers habitants, ils sont les détenteurs de ces forêts sur les plans traditionnels et avec l'expansion du développement, axé sur le néocolonialisme, dans le Bassin du Congo, notamment l'exploitation industrielle du bois, le développement de l'agriculture industrielle aussi avec la plantation de palmiers à huile, ces communautés ont été plusieurs fois exposées à certains abus liés à la violation de leurs droits, à l'accaparement de leurs terres. Et dès lors, ils ont commencé à relever cette nécessité pour eux d'être reconnus, d'avoir une reconnaissance légale sur leurs terres et d'avoir une reconnaissance aussi légale à gérer leurs terres comme ils le font depuis des années.Le premier pays à prendre cette décision a été le Congo-Brazzaville et ensuite la République démocratique du Congo avec sa loi sur la promotion et la protection des peuples autochtones pygmées. Il y a un peu d'avancées, mais il y a encore beaucoup à faire pour que nous puissions arriver à sécuriser légalement les terroirs de communautés locales partout dans le Bassin du Congo.Concrètement, quelles sont leurs revendications ? Ils revendiquent la reconnaissance de leurs terres, leur prise en compte dans le processus de décision, parce qu'ils sont pour la plupart du temps mis de côté lorsqu'il faut décider de l'avenir de leurs terres, que ce soit dans les projets d'exploitation du pétrole, d'exploitation des mines, d'exploitation du bois. Ils sont souvent mis de côté. Ils revendiquent aussi d'être associés, de prendre part aux instances de prise de décisions dans la gouvernance des ressources naturelles sur leurs terres.À lire aussiCongo-B: une ONG publie une enquête inquiétante sur l'exploitation pétrolière et minièreAlors, la ministre congolaise de l'Économie forestière Rosalie Matondo a regretté que moins d'1 % des financements disponibles ne leur parviennent. Et que, malgré leur expertise, ils sont peu impliqués dans les programmes de développement durable. Pourquoi est-ce le cas ? Le fait qu'ils sont toujours mis de côté se justifie par le fait qu'ils n'ont pas de capacités nécessaires, ils n'ont pas de connaissances, ils n'ont pas de compétences. Ce qui est vraiment faux. Ce que les communautés sont en train de revendiquer maintenant, c'est de dire, qu'ils ont aussi dans leur façon de faire les choses grâce aux savoirs traditionnels et connaissances endogènes, des initiatives très prometteuses, des initiatives très louables, qu'ils mettent en œuvre pour protéger les forêts. Et ces initiatives ou ces efforts doivent effectivement être reconnus à leur juste valeur pour qu'ils puissent aussi bénéficier de cette confiance. Il y a d'abord un problème de confiance dans la distribution des fonds. Il faut que les communautés autochtones aujourd'hui puissent être reconnues, capables de bien gérer ces fonds et de bien continuer à développer leurs initiatives. Et c'est vraiment la question qui est au cœur du débat, pour voir comment est-ce que dans tous les mécanismes financiers qui existent, qu'il y ait une part allouée directement aux communautés locales.Alors, justement, votre organisation Greenpeace a mis sur pied un projet Forest Solution pour voir comment rehausser le travail de ces communautés dans la préservation des forêts. L'objectif, effectivement, c'est promouvoir les initiatives locales dans la protection de nos forêts, mais non seulement le promouvoir, mais aussi pousser en sorte que les communautés locales puissent avoir accès aux connaissances, aux informations et à un partage d'expériences entre les autres peuples autochtones des autres bassins tropicaux qui sont, selon les constats, beaucoup plus avancés. Et à travers ces projets, nous voulons vraiment faire en sorte que ces communautés soient connectées, puissent partager l'expérience pour construire des recommandations fortes et communes, pour faire bouger les lignes dans les instances décisionnelles aux niveaux national, régional et international.Quand vous dites, ce sont les premiers gardiens des forêts qu'ils protègent depuis des générations. Est-ce que vous pouvez me donner un exemple concret ? L'expertise aujourd'hui qui est louable, c'est la foresterie communautaire que nous sommes en train de cibler comme l'une des solutions aux forêts. Dans ce processus, les communautés ont droit à avoir des titres, des concessions sur leurs forêts et aussi ont droit de développer des activités à caractère économique dans leur concession.Ils exploitent les concessions à leur manière de façon durable, pour à la fois protéger les forêts, conserver la biodiversité et aussi améliorer leurs conditions de vie socio-économique.À lire aussiCongo-B: premier congrès mondial des peuples autochtones des grands bassins forestiers
L'été 2024 restera une période-clé pour Thales et Orange Business. Tandis que les projecteurs du monde entier étaient braqués sur Paris et ses Jeux Olympiques, en coulisses, une révolution technologique discrète mais décisive prenait forme. Une alliance stratégique entre deux géants français, dont les effets pourraient bien redéfinir l'avenir sécuritaire des grands événements en France.Le défi était immense : sécuriser plus de 50 sites sensibles à travers l'Hexagone, et ce, en un temps record. Thales et Orange Business ont relevé ce pari grâce à la Smart Digital Platform, véritable tour de contrôle numérique conçue par Thales. Une plateforme capable de superviser des milliers de points simultanément, en croisant vidéosurveillance HD, capteurs intelligents, et algorithmes d'IA prédictifs. Résultat : une gestion proactive de la sécurité, capable de prévenir les incidents… avant même qu'ils ne surviennent.Ce partenariat express a permis de mutualiser des outils puissants : chez Orange Business, des solutions comme Flux Vision, pour analyser les flux de population grâce aux données mobiles, ou Live Objects, pour connecter l'Internet des objets, sont venus compléter les infrastructures de Thales. Ensemble, ils ont bâti un écosystème technologique souverain, résilient et parfaitement adapté aux exigences modernes. Mais l'ambition ne s'arrête pas aux JO. Ce socle technologique est désormais proposé à d'autres acteurs : collectivités, sites sensibles, entreprises privées. L'objectif ? Démocratiser l'accès à ces outils de pointe, jusque-là réservés à des projets exceptionnels.Pour Makrem Dridi, vice-président sécurité chez Thales, l'enjeu est clair : « Proposer une offre plus riche, souveraine et résiliente, adaptée aux besoins concrets du terrain. » La suite ? Elle se joue déjà autour de la cybersécurité quantique, de l'intelligence artificielle embarquée et de l'IoT avancé. Une chose est sûre : Orange Business et Thales entendent bien sécuriser l'avenir technologique de la France, main dans la main. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Emmanuel Macron songe à interroger les Français par référendum mais il prend son temps à se décider. Avec le souvenir de 2005 en tête ? Pour rappel, le "non" à la constitution européenne l'avait emporté contre toute attente. « pamphlet » d'Edouard Philippe, « demande d'efforts » du Premier ministre… Pour comprendre la séquence politique, on en parle avec Pascal Perrineau politologue, professeur des Universités associé au Cevipof.Tous les soirs du lundi au samedi à 19h sur France 5, Anne-Elisabeth Lemoine et toute son équipe accueillent celles et ceux qui font l'actualité du jour.
Aujourd'hui, Didier Giraud, Emmanuel de Villiers et Joëlle Dago-Serry débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
(00:00:30) Ce projet de barrage géant chinois au Tibet menace l'environnement et la stabilité régionale (00:07:31) Qui sont les Frères musulmans et que veulent-ils ? (00:16:05) Un espoir de retour à la vie normale pour les populations civiles après la dissolution du groupe armé kurde PKK
Si tu sens que t'as besoin de structure, de clarté, de vision… mais que t'as pas envie de sacrifier ta liberté, ta créativité, ou ta manière singulière de fonctionner…Alors franchement, ce que je vais te dire va pas te surprendre : c'est exactement pour ça que j'ai créé ma prochaine masterclass.Elle s'appelle :
Tous les vendredis, samedis et dimanches à 20h15, Pascale de la Tour du Pin reçoit un invité au cœur de l'actualité pour un moment d'échange franc sur les dossiers brûlants du moment. Ce soir, Didier Long, expert en stratégie numérique, ancien moine bénédictin, et théologien français et Dov Maïmon, chercheur au Jewish People Policy Institute à Jérusalem, docteur en islamologie et conseiller du gouvernement israélien sur les relations avec le monde musulman.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Un acteur du monde du foot est l'accusé du soir. Il est ensuite défendu avant le verdict du juge.
Aujourd'hui, Élina Dumont, Didier Giraud et Antoine Diers débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Aujourd'hui, Élina Dumont, Didier Giraud et Antoine Diers débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, Mourad Boudjellal et Jean-Loup Bonnamy débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
« Le Lesotho, un pays dont personne n'a jamais entendu parler », disait Donald Trump en mars dernier au moment de passer en revue les aides internationales américaines pour y mettre fin. Si les décisions du président américain, commerciales et humanitaires, font craindre le pire pour ce petit royaume de 2 millions d'habitants enclavé dans l'Afrique du Sud, les habitants veulent utiliser cette moquerie pour justement faire connaître leur pays et sa culture. Parce que le Lesotho, ce n'est pas seulement un pays pauvre frappé par le VIH, c'est aussi un royaume indépendant avec une histoire riche et une jeunesse urbaine dynamique. De notre envoyé spécial de retour de Maseru,Dans un café de Maseru, trois hommes partagent un verre sous un grand parasol. Ils ont évidemment entendu la phrase du président américain : « Le Lesotho est devenu viral sur les réseaux sociaux, et j'étais très heureux. Je me suis dit, "nous ne sommes pas responsables de la naïveté de Trump, mais nous serons responsables si nous n'utilisons pas cette vitrine médiatique". »La course contre-la-montre est lancée pour surfer sur cet extrait devenu viral et parler du Lesotho. Mais ici, il y a peu de musées pour raconter son histoire. Tseli Motsoane a donc lancé son propre projet d'archivage : « Nous avons des coupures de presse. Là, c'est une ancienne carte de Maseru, ici vous avez Maseru-Ouest, où nous irons plus tard. Regardez, c'est indiqué : "Refuges des militants de l'ANC". »À lire aussiLe Lesotho «choqué» après les déclarations de Donald Trump sur le paysLa jeune historienne, bonnet en laine vert sur la tête, connaît la ville comme sa poche. Elle est née ici : « Voilà l'ancien hôpital Queen Elizabeth II. On est beaucoup à être nés ici ! »Un hôpital au cœur de la ville, dans cette capitale animée d'un peu moins de 500 000 habitants. Capitale qui a accueilli de nombreux militants anti-apartheid. Un volet de l'histoire parfois oublié que Tseli Motsoane veut réhabiliter : « Là où nous sommes, c'était autrefois un quartier blanc. Parce que la ségrégation a existé ici. C'est juste que ça n'a pas été aussi loin qu'en Afrique du Sud. Et nous avons défendu nos frères et sœurs d'Afrique du Sud, jusqu'à subir des massacres au Lesotho. »« Ici, c'est le "BNP". C'était le siège du Parti national Basotho, le premier parti à être entré au gouvernement après l'indépendance. C'était leur quartier général à l'époque. Aujourd'hui, c'est un centre commercial, mais le nom n'a pas changé. »À lire aussiLe continent africain frappé par les nouvelles taxes américaines imposées par Donald TrumpLe soleil se couche sur le paysage montagneux du Lesotho, nous terminons notre visite à « Maseru-Ouest », lieu de culture où de nombreux militants sud-africains s'étaient réfugiés pendant l'Apartheid. Tseli Motsoane nous invite à la projection d'un court métrage. Là-bas, nous rencontrons Lineo, une écrivaine de Maseru : « Quand on parle de la France, on pense à la haute couture. La Suisse, c'est le chocolat. Mais quand on parle du Lesotho, c'est directement le VIH. Et maintenant, les taxes. Il n'y a donc que ça qui nous caractérise ? »À la fin du film, le jeune réalisateur est largement acclamé par son public. Loin des débats sur l'aide au développement ou sur le commerce, le Lesotho, c'est aussi ça : des jeunes déterminés avec des rêves plein la tête.
Est-ce qu'on doit vraiment renoncer aux plaisirs immédiats pour des bénéfices lointains et incertains? Entre la pizza réconfortante du vendredi soir, le verre de vin qui détend après une journée stressante et Netflix qui nous tend les bras... qui a envie de penser à son corps dans 30 ans? Une amie m'a même confié que passer une semaine dans une clinique de longévité serait son "pire cauchemar" – et je la comprends parfaitement!Dans cet épisode sans filtre, je partage mon rapport personnel à la longévité, marqué par la perte prématurée de mon père à 64 ans. J'explore comment sa philosophie – "Il faut bien mourir de quelque chose, ça ne sert à rien de vivre si je ne peux pas boire et manger comme j'en ai envie" – m'a paradoxalement poussé à m'intéresser à la science du vieillissement. Sans moralisation ni injonctions, je vous révèle les découvertes surprenantes faites lors de mon séjour dans une clinique de longévité, où j'étais – étonnamment – le seul à utiliser quotidiennement la salle de sport et la piscine depuis des mois.Vous découvrirez pourquoi votre âge "officiel" est un mensonge total et que vous avez en réalité 4 âges différents: chronologique, physiologique, ressenti et cérébral.Comment connaître votre âge biologique réel? Il pourrait être très différent de celui de votre carte d'identité! Je vous explique pourquoi le vieillissement s'accélère vraiment à partir de 25 ans et comment les impacts de notre mode de vie deviennent de plus en plus marqués avec le temps.Je déconstruis également plusieurs mythes tenaces: pourquoi les sushis que vous pensez "healthy" sont en réalité bourrés de sucre caché et d'un riz blanc à indice glycémique stratosphérique; comment un simple problème moteur de la langue peut causer des tensions dorsales et des tendinites récurrentes; et pourquoi, selon la science actuelle, aucune dose d'alcool n'est véritablement bénéfique pour la santé (désolé de casser ce mythe!).Entre approches high-tech (intelligence artificielle, épigénétique, thérapie cellulaire) et retour aux fondamentaux (alimentation non transformée, activité physique quotidienne, vie sociale riche), je vous présente le double mouvement fascinant de la médecine de longévité moderne. Vous apprendrez pourquoi distinguer faim émotionnelle et faim physiologique est crucial, comment les méthodes de cuisson influencent votre santé, et pourquoi 5 minutes de respiration matinale peuvent transformer non seulement votre journée, mais potentiellement votre espérance de vie.Je partage également mon expérience personnelle des tests avancés en clinique: analyses de métaux lourds, microbiote, épigénétique... Mais surtout, je vous explique comment les principes fondamentaux accessibles à tous représentent déjà 80% du travail, sans nécessiter de cliniques coûteuses. Vous découvrirez les secrets des "zones bleues" où vivent les centenaires, et pourquoi leurs liens sociaux sont peut-être plus importants que leur alimentation.Dans un monde obsédé par l'optimisation, je vous propose une approche progressive et réaliste: pourquoi vouloir tout changer d'un coup est le meilleur moyen d'échouer, et comment une seule habitude bien intégrée peut déclencher une transformation durable. Je partage mes propres défis et imperfections – ces jours où je mange trop, bois un verre de trop, ou zappe le sport – tout en montrant comment chaque journée offre une nouvelle opportunité.Cet épisode ne vous dictera pas quoi faire, mais vous donnera les clés pour faire des choix éclairés. Parce qu'au fond, la question n'est pas "voulez-vous vivre longtemps?" mais plutôt "comment voulez-vous vous sentir dans votre corps pour les 20, 30 ou 50 prochaines années?" Un guide sans culpabilité ni contrainte excessive pour tous ceux que ça saoule mais qui veulent quand même vivre longtemps et bien.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Vladimir Poutine ne viendra pas à Istanbul pour participer aux négociations de paix avec l'Ukraine. Les Russes veulent-ils la paix au fond ? Nocolas Burnens a posé la question à plusieurs d'entre eux dans un centre de collecte pour l'armée dans la banlieue de Moscou.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Au cœur de la nuit, les auditeurs se livrent en toute liberté aux oreilles attentives et bienveillantes d'Olivier Delacroix. Pas de jugements ni de tabous, une conversation franche, mais aussi des réponses aux questions que les auditeurs se posent. Un moment d'échange et de partage propice à la confidence pour repartir le cœur plus léger.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, Bruno Poncet et Jean-Loup Bonnamy débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Aujourd'hui, Charles Consigny, Didier Giraud et Flora Ghebali débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Dans un Iran qui change, où de plus en plus de femmes tombent le voile contre les exigences du clergé, les conservateurs voudraient encore convaincre. Nos reporters Charles Emptaz et Olivier Jobard ont pris le pouls de cet Iran conservateur, qui a célébré les 46 ans de la Révolution Islamique. Ils ont notamment suivi Farad Fathi, mollah médiatique et inconditionnel soutient du Guide Suprême, qui tente d'ouvrir le dialogue avec la jeunesse rebelle.
Pascal Praud revient pendant deux heures, sans concession, sur tous les sujets qui font l'actualité. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Épisode 1310 : Invisible mais omniprésent, le dark social est devenu un territoire incontournable du web social. Ces espaces privés, composés de conversations sur WhatsApp, Messenger, Slack, Discord ou par email, échappent totalement aux outils de mesure classiques. Pourtant, c'est là que se joue désormais l'essentiel des échanges, des partages et de l'influence. Les marques n'ont d'autre choix que de s'y adapter… ou de risquer l'invisibilité. C'est le grand défi.Retrouvez toutes les notes de l'épisode sur www.lesuperdaily.com ! . . . Le Super Daily est le podcast quotidien sur les réseaux sociaux. Il est fabriqué avec une pluie d'amour par les équipes de Supernatifs. Nous sommes une agence social media basée à Lyon : https://supernatifs.com. Ensemble, nous aidons les entreprises à créer des relations durables et rentables avec leurs audiences. Ensemble, nous inventons, produisons et diffusons des contenus qui engagent vos collaborateurs, vos prospects et vos consommateurs. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
De passage dans la matinale de Dimitri Pavlenko pour annoncer le programme de son émission, Pascal Praud revient sur les dangers des rodéos urbains.Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui dans "On marche sur la tête", Cyril Hanouna et ses invités débattent et comparent la France actuelle à celle d'antan.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:03:05 - Un monde connecté - par : François Saltiel - Dans une interview accordée à un podcasteur américain, le patron de Meta s'inquiète de la solitude de ses utilisateurs, mais il a une solution : ses nouveaux agents conversationnels !
Aujourd'hui, Zohra Bitan, Antoine Diers et Bruno Poncet débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Cliquez ici pour accéder gratuitement aux articles lus de Mediapart : https://m.audiomeans.fr/s/P-UmoTbNLs À travers un nouveau livre qui vient de paraître, l'auteur et photographe Martin Barzilai poursuit son travail auprès de celles et ceux qui disent « non » à l'armée en Israël. Un phénomène qui a pris une lumière nouvelle depuis le 7-Octobre. Un article d'Amélie Poinssot publié dimanche 4 mai 2025, lu par Jeremy Zylberberg. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui dans "On marche sur la tête", Cyril Hanouna et ses invités débattent de l'interdiction de travailler le 1er mai.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:14:45 - L'invité du 13/14 - par : Jérôme CADET - Ces commerces qui veulent ouvrir un 1er mai avec Pierre Bosche, Carole Prioult et David Guillouet
Marine Le Pen et Jordan Bardella tiennent ce jeudi un grand rassemblement à Narbonne. Un rendez-vous politique important pour le Rassemblement national, d'autant plus depuis que le patron du parti à la flamme est devenu le candidat de secours officiel.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Fatima Aït-Bounoua, Antoine Diers et Didier Giraud débattent de l'actualité autour d'Olivier Truchot.
Bruno Retailleau, ministre de l'Intérieur, répond aux questions de Sonia Mabrouk au sujet de la dissolution de Urgence Palestine, de la généralisation des expulsions de délinquants étrangers des logements HLM, de l'instrumentalisation qui est faite du drame de la mosquée du Gard par la France Insoumise et des rassemblements du 1er mai. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:24:29 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé - Le Grand Entretien de ce mardi était consacré à une enquête de l'Institut Montaigne sur le rapport des jeunes au travail. Les auteurs Marc Lazar et Yann Algan étaient les invités de France Inter. - invités : Marc Lazar, Yann ALGAN - Marc Lazar : Professeur émérite à Sciences Po et professeur de « Relations franco-italiennes pour l'Europe » à l'Université Luiss de Rome, Yann Algan : Doyen de l'école d'affaires publiques de Sciences Po et professeur d'économie
durée : 00:24:29 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé - Le Grand Entretien de ce mardi était consacré à une enquête de l'Institut Montaigne sur le rapport des jeunes au travail. Les auteurs Marc Lazar et Yann Algan étaient les invités de France Inter. - invités : Marc Lazar, Yann ALGAN - Marc Lazar : Professeur émérite à Sciences Po et professeur de « Relations franco-italiennes pour l'Europe » à l'Université Luiss de Rome, Yann Algan : Doyen de l'école d'affaires publiques de Sciences Po et professeur d'économie
Aujourd'hui, Charles Consigny, Jean-Loup Bonnamy et Éléonore Lemaire débattent de l'actualité autour d'Olivier Truchot.
Aujourd'hui, Antoine Diers, Fatima Aït-Bounoua et Dr Jérôme Marty débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Aujourd'hui, Flora Ghebali, Charles Consigny et Emmanuel de Villiers débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.