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À l'ère de l'intelligence artificielle (IA) générative, le contenu numérique explose, créant un surplus d'informations difficiles à vérifier, qu'il s'agisse de vidéos truquées avec des célébrités ou de fausses identités en ligne. Des entreprises s'appuient sur la crypto pour créer une identité numérique. C'est le cas de la start-up française Ledger, qui s'appuie sur le "donjon" : un espace dans lequel les hackers simulent des attaques pour révéler les vulnérabilités pour mieux les corriger.
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, professeur d'histoire-géographie, Fatima Aït Bounoua, professeur de français, et Bruno Poncet, cheminot, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
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En Côte d'Ivoire, 8,7 millions d'électeurs seront appelés à voter le 25 octobre pour le premier tour de l'élection présidentielle. Il y a cinq candidats en lice, dont le président sortant Alassane Ouattara. RFI donne la parole à chaque candidat. Ce matin, Jean-Louis Billon, cadre du PDCI, en froid avec son parti, se présente avec une autre casquette. Sa candidature est portée par le Code, une coalition de partis politiques. Mais sur le terrain, réussira-t-il à convaincre ses camarades du PDCI, à voter pour lui ? Et va-t-il toucher plus de monde, au-delà du PDCI ? RFI : Comment peut-on gagner une élection présidentielle sans le soutien d'un grand parti politique comme le PDCI ? Jean-Louis Billon : Les partis politiques, aussi grands soient-ils, perdent aussi des élections présidentielles. Aujourd'hui, j'ai une coalition importante de plus d'une vingtaine de partis politiques à laquelle est venu s'adjoindre plusieurs militants du PDCI-RDA. Donc, c'est avec tout ce monde que nous avons organisé la campagne et que nous mobilisons sur l'ensemble du territoire national. Et aujourd'hui, on arrive à tenir des meetings avec une mobilisation bien plus importante que le parti au pouvoir. Est-ce que vous avez maintenu les discussions avec la direction du PDCI ? Je suis un militant du PDCI. Donc, nous nous parlons régulièrement. Il n'y a peut-être pas de mot d'ordre officiel, mais sur le terrain, les militants du PDCI m'accompagnent. Pour moi, je suis en train de mener une campagne raisonnable et nous restons confiants quant à l'issue de cette élection. Vous n'avez pas un soutien officiel du PDCI. Est-ce que vous espérez encore un mot d'ordre avant la fin de la campagne ? Le PDCI, ce n'est pas la majorité en Côte d'Ivoire. La très grande majorité des Ivoiriens est complètement apolitique. Nous avons plus de 6 millions d'électeurs qui ne sont pas affiliés à des partis politiques. C'est à moi de convaincre les Ivoiriens de me donner cinq ans pour diriger la Côte d'Ivoire. Et il sera plus difficile pour le président Alassane Ouattara de convaincre les Ivoiriens de lui accorder cinq années de plus. C'est pour ça que je suis confiant, parce que les Ivoiriens veulent le changement. Et les Ivoiriens veulent une nouvelle génération d'acteurs politiques. Et je représente cette nouvelle génération. Au vu des derniers taux de participation, on a plutôt lieu de se demander, si les électeurs iront voter ce samedi ? Alors c'est très simple. S'ils ne sortent pas voter, là oui, l'électorat captif du RHDP se mobilisant, ne pas voter en réalité, c'est choisir Alassane Ouattara. Par contre, s'il y a une forte mobilisation demain, elle sera plus à mon avantage parce que l'électorat du RHDP ne grandit plus. Avez-vous les ressources humaines suffisantes pour déployer des représentants dans tous les bureaux de vote le 25 octobre ? Nous nous sommes organisés pour être présents dans tous les bureaux de vote. Pourquoi est-ce que c'est un enjeu pour vous ? Parce que c'est une ambition de longue date et je veux participer au renouveau de la Côte d'Ivoire. Jean-Louis Billon, votre programme est principalement axé sur l'économie. Que comptez-vous faire de différent par rapport à l'administration sortante qui, elle, brandit sur le terrain un bilan positif ? La croissance économique ivoirienne est essentiellement le résultat de l'investissement public. Ça, c'est la gestion RHDP. C'est le programme du président Ouattara. Le programme que je présente axe la croissance sur le secteur privé, la création d'emplois, l'investissement privé avec plus de réduction de pauvreté. L'investissement public a joué son rôle, mais il a atteint ses limites. À Dabou, vous avez mis l'accent sur les questions de paix et de sécurité. Quelles mesures comptez-vous prendre pour assurer la sécurité dans le pays ? La stabilité du pays sera maintenue. Mais pour aller au-delà, il faut que nous engagions un véritable processus de réconciliation nationale. Parce que malheureusement, la crise ivoirienne passée a laissé des séquelles. Il y a encore des Ivoiriens qui se sentent, vrai ou faux, menacés et qui restent en dehors de la Côte d'Ivoire. Tout le monde doit rentrer. Vous pensez à Guillaume Soro ? Je pense à Guillaume Soro et d'autres, bien sûr. Personne ne doit se sentir exclu du processus de développement que je veux mettre en place. Donc, je m'arrangerai dans mes premières décisions pour que tout le monde rentre et que nous engagions un vrai processus de réconciliation, que nous partions sur une nouvelle base. Comment vous ferez par rapport aux menaces extérieures ? Je pense notamment à la lutte contre le terrorisme. La lutte contre le terrorisme est aujourd'hui une situation qui concerne l'ensemble des pays de la sous-région. Bien sûr, nous avons, nous même, notre système sécuritaire, mais il nous faut beaucoup plus de coopération avec les autres, pour éradiquer ce phénomène. À lire aussiPrésidentielle en Côte d'Ivoire: les candidats s'activent dans la dernière ligne droite
L'❤mour ce n'est pas supplier qu'on te choisisse! Tu n'es pas mandiante de cette émotion car, tout le monde peut t'aimer mais c'est la compatibilité entre 2 personnes qui gartantira la longévité de votre
Débatteurs du soir : -Jules Torres, journaliste politique au JDD -Victor Eyraud, journaliste politique à Valeurs Actuelles Invité : -François-Xavier Ceccoli, Député Droite Républicaine de la Haute-Corse Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Négociations en santé: ça continue de s’envenimer. L’entente de Churchill Falls pourrait être remise en question par le nouveau PM de Terre-Neuve. La rencontre politique avec Yasmine Abdelfadel et Mario Dumont. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Un acteur du monde du foot est l'accusé du soir. Il est ensuite défendu avant le verdict du juge.
(00:00:35) Qui sont les "antifa" que Donald Trump et des Européens veulent éradiquer? Invité: l'historien Gilles Vergnon (00:09:04) Téhéran assoiffée: l'Iran veut fuir sa capitale (00:14:52) Ankara, 10 ans après l'attentat: la paix qu'on attend encore en Turquie
durée : 00:02:37 - Les Brigades du Pire - "ici Gascogne" Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Dans cette interview, animée par Raphaëlle de Barmon, Antoine Pasquier, rédacteur en chef de l'actualité et des contenus digitaux de Famille Chrétienne, nous partages les fruits de son enquêtes et de son expérience personnelle auprés de cette nouvelle génération de jeunes qui demande le baptême. Son livre : Enquête sur ces jeunes qui veulent devenir chrétiens, éditions Mame
La cheffe du cabinet BDO France, Anne-Sophie Alsif, revient sur la crise politique actuelle et son impact sur l'économie française. L'économiste apporte son regard sur la réforme des retraites menacée de suspension, le taux d'emploi des seniors, l'intégration de la crise pour les marchés ou encore la question du budget. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invité : Bruno Cautrès, politologue et chercheur CNRS au CEVIPOF (Centre d'Etudes de la Vie Politique Française) et enseignant à Sciences Po Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
« Nous voulons des hôpitaux, pas seulement des stades de foot », scandent les milliers de jeunes manifestants au Maroc. « On veut vivre, pas survivre », clament ceux de Madagascar. Depuis dix jours, les autorités de ces deux pays sont prises de court par l'ampleur du mouvement Génération Z, qui s'inspire des révolutions survenues au Bangladesh et au Népal. Quels sont les ressorts de ce mouvement de jeunes sans affiliation politique ? Pourquoi les autorités ont-elles tant de mal, jusqu'à présent, à reprendre le contrôle de la situation ? Le politologue béninois Mathias Hounkpè est l'un des responsables de l'EISA, l'Institut électoral pour la démocratie durable en Afrique. Il livre son analyse au micro de Christophe Boisbouvier. À lire aussiÀ la Une: qui se cache derrière la colère de la Gen Z? À lire aussiÀ Madagascar, une Gen Z face aux inégalités et aux manques de perspectives
Aujourd'hui, Antoine Diers, consultant, Joëlle Dago-Serry, coach de vie, et Emmanuel de Villiers, entrepreneur, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
durée : 00:23:12 - L'invité de 8h20 - Deux jeunes femmes, l'une palestinienne, l'autre Israélienne, évoquent leur correspondance réunie dans un livre, "Nos cœurs invincibles". Après plus d'un an d'échanges par lettres, elles se sont rencontrées à Paris pour la première fois et évoquent leur expérience sur France Inter. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:02:16 - Le brief éco - Après les services du président de la République, ceux du Premier ministre annoncent à leur tour le gel de leurs budgets de fonctionnement et ceux des organismes qui en dépendent. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Ils demandent à la Commission européenne d'autoriser le lancement d'une nouvelle catégorie de petits véhicules, pour lesquels il y aurait moins de contraintes réglementaires, ou alors on figerait les normes pour dix ans. On ferait une pause normative. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Avec : Jérôme Lavrilleux, propriétaire de gîtes en Dordogne. Yael Mellul, ancienne avocate. Et Frédéric Hermel, journaliste RMC. - Accompagnée de Charles Magnien et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs… En simultané sur RMC Story.
Conor McGregor, Tyron Woodley, Tony Ferguson ou encore Salahdine Parnasse… nombreux sont les combattants de MMA à s'être laissés tenter par une incursion en boxe anglaise. Plus récemment, Ilia Topuria, champion UFC, a même exprimé son envie d'affronter celui qui est considéré comme le meilleur boxeur du monde aujourd'hui : Terence Crawford. Dans le RMC FIGHTER CLUB, Baba Diagne, Yassine Zaouini et Anthony Sterpigny ont analysé ce phénomène, en tentant de comprendre l'attrait exercé par la boxe et en apportant un regard critique sur cette tendance.
Chaque soir, Julie Hammett vous accompagne de 22h à 00h dans BFM Grand Soir.
durée : 00:02:55 - Les P'tits Bateaux - par : Camille Crosnier - Pourquoi les pays veulent-ils une armée pour assurer la paix ? Théo, 7 ans, pose une question essentielle à Géraud Létang, historien. Une exploration du concept de puissance et de ses liens avec la paix. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Les contrôleurs routiers sont frappés de plein fouet par les récents changements législatifs et judiciaires. Depuis le jugement du Tribunal administratif du travail en mars, ils n’ont plus le droit de patrouiller. 75% de leur travail se faisait sur le terrain, aujourd’hui ils sont confinés aux postes de pesée. Pendant ce temps, jusqu’à 400 camions par jour contournent les contrôles grâce à des applications, créant un far west sur les routes. Entrevue avec Jean-Claude Daignault, président de la Fraternité des constables du contrôle routier du Québec (FCCRQ). Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radio Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Invités : - Naima M'faddel, essayiste, chargée de mission politique de la ville. - Olivier Benkemoun, journaliste politique. - Jacques Serais, journaliste politique. - François Cocq, analyste politique. - Véronique Jacquier, journaliste. - Axel Ronde, porte-parole CFTC POLICE. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Jean-Christophe Couvy, Secrétaire National UNITE POLICE. - Eliot Deval, chroniqueur. - Gauthier le Bret, chroniqueur. - Georges Fenech, chroniqueur. - Christophe Bordet, chroniqueur. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Raphaël Stainville, directeur adjoint de la rédaction du JDD. - Ophélie Roque, enseignante et chroniqueuse. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Fatima Aït Bounoua, prof de français, Antoine Diers, consultant auprès des entreprises, et Bruno Poncet, cheminot, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Épisode 1358 : Youpi c'est lundi et toutes les applications veulent devenir des réseaux sociaux ! Spotify, Roblox, même Netflix… On se parle aussi des notes communautaires de Méta, des nouvelles règles de TikTok et de LinkedIn qui ajoute deux nouvelles KPI les “Saves” et les “Sends”. Roblox copie TikTok et veut devenir un réseau social à part entièreRoblox lance Moments, un nouveau fil d'actualité vertical inspiré directement du "Pour Toi" de TikTok. https://corp.roblox.com/newsroom/2025/09/roblox-moments-user-generated-discoveryAvec Moments, les utilisateurs peuvent enregistrer jusqu'à 30 secondes de gameplay, les éditer, et les partager dans un flux vertical, sans commentaires mais avec des réactions.L'algorithme pousse ensuite ces vidéos selon les préférences des joueurs. Objectif : accroître le temps passé sur la plateforme et stimuler la production de contenu natif.Une manière pour Roblox de s'imposer comme un média social immersif à part entière — et non plus uniquement comme un moteur de jeu.Ce pivot vers le scroll infini confirme une tendance de fond : chaque plateforme veut son propre TikTok. YouTube avec Shorts, Instagram avec Reels, et maintenant Roblox, qui capitalise sur l'UGC des jeunes pour structurer une offre média.Une stratégie cohérente pour fidéliser les ados, et transformer une plateforme de jeu en un véritable écosystème d'attention.
Le sujet fort de l'actualité foot du jour vu par Jérôme Rothen et la Dream Team.
Le ministre des Armées Sébastien Lecornu a été nommé Premier ministre : l'appel des socialistes pour gouverner est donc encore resté sans réponse. Le patron des députés socialistes Boris Vallaud réagit dans RTL Matin. Ecoutez L'invité RTL de 7h40 avec Thomas Sotto du 10 septembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La rédactrice en chef du Point Géraldine Woessner et Jean-Marie Colombani, fondateur de Slate.fr, se penchent sur le sommet qui a réunit Vladimir Poutine, Xi Jinping et Narendra Modi. Face à ce nouvel ordre international, comment doit se positionner l'Europe ?Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, Bruno Poncet et Emmanuel De Villiers débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Avec : Fred Hermel, chroniqueur. Jean-Philippe Doux, journaliste et libraire. Et Carine Galli, journaliste. - Accompagnée de Charles Magnien et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs… En simultané sur RMC Story.
Au Congo-Brazzaville, le secteur du bois pèse moins de 6% dans le produit intérieur brut du pays, très loin derrière le pétrole. Les autorités de Brazzaville espèrent valoriser l'économie forestière par la transformation locale. De leur côté, les ONG demandent que le secteur devienne plus transparent. Acteur de la société civile, membre de la coalition Publiez ce que vous payez, Brice Mackosso surveille l'évolution de l'activité forestière en République du Congo. Selon lui les autorités de Brazzaville devraient renforcer la transparence du secteur du bois : « Il serait intéressant, par exemple, que le ministère de l'Économie forestière divulgue les critères techniques et financiers pour l'attribution des concessions forestières. Qu'il divulgue aussi les propriétaires réels des concessions forestières. Nous avons prévu aussi, dans notre secteur forestier, la mise en œuvre des cahiers des charges dont les communautés riveraines sont bénéficiaires. Il faudrait que le ministère travaille pour que ces cahiers des charges soient exécutés par les entreprises. » 300 essences exploitables La priorité du gouvernement est que les entreprises valorisent davantage le potentiel ligneux du pays. « [Il est] constitué de plus de 300 essences exploitables, capables de fournir annuellement 8,7 millions de m², souligne la ministre de l'Économie forestière Rosalie Matondo. Cependant, à ce jour, seuls 1,7 million de m² sont valorisés par nos sociétés forestières et nos artisans. Le travail qui nous attend est immense. » Transformation locale Analyste économique et financier, Alphonse Ndongo estime lui aussi que la place du bois pourrait grandir dans l'économie congolaise, qui reste une économie de rente : « Lorsqu'on regarde le tableau économique du Congo, le bois représente 5,6% du produit intérieur brut. Ce qui est quand même, à mon avis, assez faible, au regard de ce que ce secteur devrait occuper comme place de choix après le pétrole. C'est quelque chose qui doit contribuer, surtout dans le cadre de la diversification de l'économie. Ça devrait être, pour moi, plus important que ça. » Pour mieux valoriser le bois localement et créer des emplois, les autorités de Brazzaville ont décidé, début 2023, de ne plus exporter de bois en grumes. Pour l'heure, l'entreprise Likouala Timber affirme qu'elle transforme toute sa production localement, à savoir 150 000 m² l'an dernier sur son site de Bétou, dans le nord du Congo. À lire aussiCongo-Brazzaville: des défis et solutions pour préserver les forêts du pays
Avec : Frédéric Hermel, journalilste RMC. Élise Goldfarb, entrepreneure. Et Jacques Legros, journaliste. - Accompagnée de Charles Magnien et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs… En simultané sur RMC Story.
Effet Trump, acheteurs américains en quête d'authenticité, Scandinaves amoureux du soleil… Benjamin Mondoux dévoile à Ariane Artinian les tendances et conseils pour investir à Nice.Et si l'effet Trump avait dopé l'immobilier niçois ? Dans cet épisode de Mon Podcast Immo, Benjamin Mondoux, directeur des agences Century 21 Lafage Transactions à Nice, répond au micro d'Ariane Artinian. Dans ses agences, les Américains représentent désormais 27 % des acheteurs, attirés par les vieilles pierres et l'histoire, quand les Scandinaves misent sur terrasses, vue mer et soleil. Budget, quartiers en plein essor (Riquier, Saint-Roch, Libération), conseils pour vendre vite (« Épurez, votre bien se vendra mieux ») : un état des lieux complet d'un marché international et ultra-compétitif. Un podcast MySweetImmo à écouter sur toutes les plateformes.
Plus grand salon du jeu vidéo au monde, la Gamescom de Cologne, en Allemagne, a attiré près de 300 000 personnes en cinq jours (20-24 août 2025). Ce fut l'occasion pour les professionnels, en particulier les rares studios africains, de rencontrer leur public mais aussi de trouver des financements, des éditeurs et de renforcer leurs réseaux. La Gamescom a accueilli cette année près de 1 500 professionnels du jeu vidéo. À côté des stands immenses occupés par les géants du secteur, il y avait aussi de nombreux petits studios indépendants venus du monde entier, mais seulement quatre du continent africain. « C'est la deuxième fois que nous venons à la Gamescom, témoigne Eyram Tawia, co-fondateur et PDG du studio ghanéen Leti Games. Cette année, nous voulons vraiment montrer à la communauté ce que l'Afrique a à offrir. Tous nos jeux mobiles se passent dans l'univers des légendes africaines, avec des super héros réels et fantastiques de tout le continent : Chaka Zoulou, des héros de la culture Masaï, du Ghana, de partout. » Jeu de lutte sénégalaise Les frères Kandji Mame Mor et Abdoulaye ont aussi fait le déplacement jusqu'en Allemagne. Eux viennent du Sénégal. Leur studio Amanirenas propose des expériences typiquement africaines comme Door Dan, un jeu vidéo sur la lutte sénégalaise. « C'est notre sport national, quand il y a un match, c'est comme si c'était la coupe du monde ! », s'enthousiasme Mame Mor Kandji, également président de la toute jeune Association des créateurs de jeux vidéo de la Teranga. Ils ne sont encore qu'une poignée de studios au Sénégal, mais les success stories existent. « Les jeunes commencent à s'intéresser au jeu vidéo, observe-t-il. Il y a un studio qui a sorti un jeu et il y a eu plus de 20 000 téléchargements en une semaine, alors que c'est studio composé d'une fille et d'un dessinateur ! Donc il y a vraiment de l'engouement. » À côté de sa carrière dans le jeu vidéo, Mame Mor Kandji est enseignant. Mais s'ils sont venus à Cologne, c'est pour trouver des partenaires. « Pour l'instant, au Sénégal, le jeu vidéo ne nourrit pas son homme, reconnaît-il. Mais comme le savoir-faire est là, nous nous sommes dit "pourquoi ne pas s'ouvrir ?" Nous sommes venus à la Gamescom pour échanger, voir comment bâtir un véritable écosystème. » Recherche investisseurs Même son de cloche du côté d'Eyram Tawia, convaincu lui aussi que l'avenir du jeu vidéo s'écrira aussi sur le continent. « Nous avons eu d'excellents retour sur nos jeux : avec les bons financements, on pourrait rivaliser avec les studios européens. Si un investisseur ou un studio étranger mettait de l'argent dans n'importe laquelle de nos licences, je suis sûr que ça marcherait. Et avec les revenus, on pourrait faire venir de nouveaux talents et combler notre déficit de compétences. » Pionniers dans le jeu sur mobile Face au manque d'infrastructures, d'ordinateurs et de consoles de jeu sur le continent, les studios misent principalement sur le mobile. Un marché en pleine croissance sur lequel les développeurs africains ont de l'avance. « Nous avons un coup à jouer parce que l'Afrique est très développée au niveau des technologies mobile, du mobile money..., souligne Abdoulaye Kandji. Par exemple, dans le jeu Door Dan, nous avons développé un véritable modèle économique avec les technologies autour du mobile money. Je pense que là-dessus, nous avons de l'avance. Il y a vraiment une mine d'or autour du jeu mobile avec toutes ses possibilités en termes de monétisation. » Ne reste plus qu'à convaincre institutions et investisseurs, localement ou à l'étranger. À lire aussiLa Gamescom: des participants africains au plus grand salon du jeu vidéo d'Europe
Kneecap secoue la scène avec son rap engagé, mêlant anglais et gaélique. Provocateurs et anti-système, les trois artistes défendent la Palestine et font face à la censure, déclenchant débats et polémiques à l'international.▶ Le Média lance le plan "Riposte"
Aujourd'hui, Abel Boyi, Antoine Diers et Barbara Lefebvre débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall.
Depuis plusieurs mois, les camps de réfugiés en Cisjordanie occupée sont devenus le théâtre d'opérations militaires israéliennes d'une intensité inédite. À Tulkarem, l'un des camps les plus anciens, les bulldozers ont tout emporté : les maisons, les souvenirs, les vies ancrées dans la terre. Les familles expulsées s'entassent désormais dans des salles de classe d'une école dans des conditions difficiles avec la crainte de ne plus retourner chez eux. De notre correspondante à Tulkarem, Il n'y a plus âme qui vive dans le camp de Tulkarem éventré par les bulldozers sous la surveillance des drones israéliens. Le bourdonnement des drones résonne jusqu'à cette école, installée en périphérie de la ville, qui accueille les réfugiés expulsés du camp. Moussa Abu Shanab, employé de la municipalité, est responsable des lieux : « C'est dur de se dire que tous les gens ici ont leurs maisons qui ont été détruites et dont les affaires sont restées là-bas ». Les 125 personnes, chassées du camp par l'armée, occupent l'école. Osman vit dans l'une des salles de classe : « Je suis ici avec ma femme et mes deux filles. Et nous attendons un enfant qui naîtra dans quelques semaines. » La température dépasse les 40 degrés. « Il fait une chaleur étouffante, les conditions sont très difficiles. Je rêve de changer d'air, d'un peu de calme ». Son épouse, Rowan, arrive en fin de grossesse : « Il y a 125 personnes pour quatre salles de bains mixtes. C'est très difficile, pas comme si nous étions à la maison, avec notre propre salle de bains, tranquilles dans notre maison. Nous sommes quatre dans cette pièce et, bientôt, nous serons cinq ». « Ils détruisent toutes les maisons » L'armée israélienne a récemment annoncé qu'elle occuperait les camps jusqu'à la fin de l'année. Le désespoir s'empare de la jeune femme : « Notre tour est déjà passé, ma maison a disparu. Que reste-t-il du camp ? Le camp est désormais isolé de tout. Nous pensions y retourner et planter une tente sur le tas de terre qui est à la place de notre maison. Cela fait six mois que nous sommes hors du camp, nous ne savons pas si nous y retournerons, si nous retournerons chez nous ». À l'étage supérieur de l'école, une famille de onze personnes s'entasse dans une pièce dont le sol est jonché de matelas. Hiba redoute, elle aussi, de ne jamais pouvoir retourner dans le camp : « Ils ne veulent plus rien qui soit lié aux camps ou aux réfugiés, ils veulent nous faire disparaître. Ce sont des menteurs, ils disent qu'ils ne détruisent que les maisons des résistants, mais ils détruisent toutes les maisons. » Après la disparition des camps du nord de la Cisjordanie, Hiba redoute que l'armée s'en prenne à tous les camps du territoire. Et avec eux, le droit au retour des Palestiniens sur leurs terres. À lire aussiCisjordanie occupée: le camp de Tulkarem, cible de la violence de l'armée et des colons israéliens
REDIFF - Alice est mariée avec un homme qui a deux enfants adolescents. Chacun souffre d'un trouble. D'habitude, ils viennent leur rendre visite durant les vacances. Mais ça n'a pas été le cas cet été. Alice est très attachée à ces enfants et se pose la question de leur distance. Chaque soir, en direct, Caroline Dublanche accueille les auditeurs pour 2h30 d'échanges et de confidences. Pour participer, contactez l'émission au 09 69 39 10 11 (prix d'un appel local) ou sur parlonsnous@rtl.frHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Fatima Aït Bounoua, Charles Consigny et Antoine Diers débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Aujourd'hui, Antoine Diers, Joëlle Dago-Serry et Jérôme Marty débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, Bruno Poncet et Charles Consigny débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, Bruno Poncet et Charles Consigny débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Bonus track avec un super VC cette semaine !Martin Mignot, Partner chez Index Ventures, le fonds qui a accompagné dès leurs débuts certains des plus beaux succès de la tech comme Facebook, Revolut ou Slack. Ils viennent de publier un guide de 123 pages pour aider les fondateurs européens à conquérir l'Amérique – en s'appuyant sur l'analyse de plus de 500 startups, des enquêtes terrain, et des interviews de fondateurs. Fait marquant : ¾ d'entre eux citent les clients – pas le capital – comme moteur principal de leur expansion. Martin est au cœur de cette transformation, alors on va parler de cette nouvelle géographie de l'ambition tech, du rôle des VCs, et de sa vision pour l'écosystème européen. Épisodes cités :
Ce mercredi 2 juillet, sur Europe 1, Olivier Babeau s'intéresse à la perception du management en France.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Gauthier le Bret, journaliste politique Cnews - Eugénie Bastié, journaliste - Alexandre Devecchio, journaliste Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Flora Ghebali, Charles Consigny et Emmanuel de Villiers débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Emission spéciale du 15 juin 2025: Trump-Poutine: Ils veulent tuer l'EuropeEn humiliant Volodymir Zelensky devant les caméras du monde entier dans le bureau oval le 28 février dernier, Donald Trump a provoqué un séisme en Europe. Pour la première fois, le président américain menace de lâcher l'Ukraine. Washington et Moscou semblent parler d'une seule voix. Avec un objectif commun : mener le Vieux Continent à sa perte.Alors qu'à l'Est, Vladimir Poutine gagne du terrain en Ukraine et poursuit son entreprise de déstabilisation à coup de sabotages, d'assassinats ciblés, d'ingérences électorales et d'infiltration des partis extrémistes, à l'Ouest, Washington trahit les alliances historiques et encourage les populismes, semant la division en Europe.Au milieu, des européens hébétés, qui tentent de reprendre leur souffle dans ce nouvel ordre mondial.Jusqu'où iront Poutine et Trump ?Cette nouvelle enquête de C dans l'Air révèle comment l'appareil de propagande russe infiltre les médias conservateurs européens mais aussi américains, influence des figures politiques majeures et construit une alliance discrète mais toxique entre les extrêmes. A l'aide de témoignages et d'entretiens exclusifs menés par Caroline Roux, elle nous fait découvrir les dessous d'un nouveau conflit mondial qui ne dit pas son nom. Une guerre silencieuse mais implacable, où les lignes de front traversent les institutions, les alliances et les esprits. Et où l'Europe, plus que jamais, doit choisir : se soumettre ou se relever.Production : Maximal Productions, une société MediawanRéalisation : Gaëlle Schwaller et Alain PirotCommentaires et entretiens : Caroline RouxProduit par Stéphanie Gillon