Prefecture and commune in Auvergne-Rhône-Alpes, France
POPULARITY
Categories
Dans Historiquement Vôtre, Clémentine Portier-Kaltenbach vous raconte le fauteuil du révolutionnaire Georges Couthon (1755-1794). Avocat originaire de Clermont-Ferrand et paralytique, ce dernier est devenu l'un des acteurs les plus féroces de la terreur révolutionnaire.
Extrait de notre échange avec Renaud Lavillenie quelques jours avant le All Star Perche, la compétition que Renaud organise chaque année à Clermont Ferrand.Cet extrait et l'épisode sont propulsés par Puma, mon équipementier running préféré. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Goran Stolevski is our latest guest, and the award-winning Macedonian-born and Australian-raised writer/director's latest masterpiece, Of an Age, is all I've been talking about since I watched it.Of an Age is a beautiful and moving film about an unexpected and intense twenty-four-hour romance between an eighteen-year-old Serbian ballroom dancer and his best friend's older brother. A decade later the pair meet for a bittersweet reunion.Directed with an abundance of love and care by Stolevski, this film was incredibly tender and honest, and the cinematography was as stunning as its performances. What a beautiful story!Stolevski came to prominence with short films including Would You Look at Her, winner of the Best International Short at Sundance 2018. Collectively his shorts played over 200 festivals worldwide including Clermont-Ferrand, Palm Springs, Melbourne and Raindance. He also directed three episodes of the fourth season of International-Emmy-winning series Nowhere Boys.Goran's feature debut You Won't Be Alone is steeped in Macedonian folklore with a genre twist. Produced by Kristina Ceyton and Samantha Jennings at Causeway Films, with Focus Features handling worldwide distribution, You Won't be Alone premiered in competition for the Grand Jury prize at 2022 Sundance Film Festival, receiving rave reviews from critics. The film stars Noomi Rapace, Carloto Cotta, Anamaria Marinca and Alice Englert.Of an Age:Written and Directed and Edited by: Goran StolevskiProduced by: Kristina Ceyton and Sam JenningsStarring: Elia Anton, Thom Green, Hattie HookOf an Age Trailer: https://www.youtube.com/watch?v=ZtfkhimcnLYOfficial Website for Of an Age: https://www.focusfeatures.com/of-an-age/THE SMITH SOCIETY is a podcast featuring storytellers. From actors, writers, and directors to producers, editors, we discuss a variety of topics related to the film and television industry, everything from writing a screenplay to selling your idea and preparing for your next big project.thesmithsocietypod.comFind us on Instagram: @thesmithsocietypodHost: Duane FernandezEmail and ask a question or share a thought: info@voksee.comThe Smith Society theme song by: Steady CadenceSteady Cadence is a brilliant father daughter duo out of North Carolina. There is an episode later this season about the theme song, their unique sound which blends together analog and digital, their inspiration, creative approach and how Cadence, who is currently in high school, has so much soul.The Smith Society logo: Designer, Chris ScottEdited by: Marshall BakerFollow your dreams, no matter where they take you.See Privacy Policy at art19.com/privacy and California Privacy Notice at art19.com/privacy#do-not-sell-my-info
Grandissant en Saône et Loire, du côté de Digoin, Caroline touche notamment au judo, à la natation et au handball durant son enfance ! Pourtant entourée d'une famille très portée sur le rugby, c'est n'est qu'à 18 ans, lorsqu'elle part faire ses études à Clermont Ferrand, qu'elle s'y essaie à l'université et se prend très rapidement au jeu. Après un passage dans le club de Moulins, elle s'engage à 22 ans, en 2013 à l'ASM Romagnat qui évolue alors en Elite 2. D'ailleurs en 2016, elle remporte ce même championnat et honore la première de ses 30 sélections avec le XV de France ! 3eme de la Coupe du Monde 2017, vainqueur du Grand Chelem 2018, membre de la première équipe à avoir vaincu les Black Ferns, Championne de France Elite 1 en 2021 avec l'ASM Romagnat... Caroline Thomas a un tableau de chasse long comme le bras ! Alors qu'elle se préparait à disputer la Coupe du Monde en 2022, Caroline s'est donnée une grave blessure au cervicales qui l'empêche pour l'heure de jouer. Passée par des moments compliqués, elle est dorénavant installée sur la côte Basque et y prend un nouveau départ, sans pour autant trop s'éloigner du rugby. Entière, courageuse et super gentille, je me suis régalé en compagnie de Caroline. C'est vraiment une chouette fille. Bonne écoute ! -----------------------------
V Praze začíná kontinentální shromáždění Synody o synodalitě, kterou vyhlásil v roce 2021 papež František. O čem bude jednat? Peruánští biskupové žádají o klid uprostřed násilí a politické krize. Od začátku loňského prosince si totiž protesty vyžádaly na šest desítek životů. Ve francouzském Clermont-Ferrand tento týden proběhl Festival krátkých filmů. A nechyběly ani filmy se spirituální tematikou. Poslechněte si první část Vertikály. Moderuje Adam Šindelář.
Music + competition + community = Manie Musicale! Are you a French, Spanish or German Teacher? If you are not participating in Manie Musicale with your students you must. Do not pass Go. Do not collect $200. Join the Facebook group or head over to the Manie Musicale website. French Teachers, you will not find a more generous, enthusiastic and supportive community anywhere. There's amazing music, live streams and shout outs with famous Francophone singers, reveal videos… I'd write more but I have to fill out my bracket… Visit the Language Lounge on Twitter - https://twitter.com/langloungepod Connect with Michelle - https://twitter.com/michelleolah Have a comment or question? Leave a voicemail at (207) 888-9819 or email podcast@waysidepublishing.com Produced by Wayside Publishing - https://waysidepublishing.com Watch this episode on YouTube - https://www.youtube.com/wayside Bios: Stephanie Carbonneau @mmeCarbonneau Stephanie Carbonneau, a middle school French teacher from Maine, has a Masters degree in Teaching Languages. She is known for her “Glow and Grow” approach to language learning in a mostly deskless environment that focuses on interactive communicative lessons, using authentic resources with CI strategies. Stephanie is co-creator of a Manie Musicale, now serving 3,000 schools both in the states and internationally. Michelle Fournier Michelle Fournier studied French language and literature at Smith College and spent her junior year abroad in Paris. Following graduation, she was an assistante d'anglais in Clermont-Ferrand, France. She taught high school for 22 years and now teaches at Falmouth Middle School in Falmouth, Maine. She is a teacher leader in the state of Maine for many years, helping to bring proficiency-based teaching to classrooms throughout the state. She is a member of the Alliance Française du Maine, AATF-Maine, and is secretary of EMME (Educators for a Multilingual Maine). She was a Fulbright Exchange teacher in Bayeux, France in 2006-2007. Michelle and Stephanie co-founded Manie Musicale in 2017. Michelle is married and has two adult children, a dog, and a granddog. When not working on Manie, she enjoys making homemade jam, macarons, and other tasty treats. She practices yoga and meditation and loves to read, travel, and play cards with her husband. Mentions: Manie Musicale Website: https://www.maniemusicale.info/ Manie Muicale Facebook group: https://www.facebook.com/groups/2969896693074589 Locura de Marzo- Snr Ashbee https://www.senorashby.com/music-competitions.html MärzWahnsinn2023 https://sites.google.com/lexington1.net/marzwahnsinn2023/m%C3%A4rz-wahnsinn Mme Betty (AKA Nikkie Betty) AATF: American Association of Teachers of French
Samedi, l'USAP effectuera un déplacement périlleux à Clermont-Ferrand pour la 15ème journée de TOP14. Un match entre deux équipes en plein doute qui plongera encore un peu plus le perdant dans la crise.. On fait le point avant la rencontre avec Guilhem Richaud du service des sports de L'Indépendant.
François-Nicolas L'Hardy est le directeur de site de l'Hôtel Fontfreyde. Après 18 années au CAP (l'association de Brest du Centre Atlantique de la Photographie), il a rejoint le centre photographique de Clermont-Ferrand en 2016. Dans cet épisode, il nous explique ses apprentissages dans une structure associative et dans un lieu à régie municipale, mais aussi l'évolution de ses missions depuis la programmation d'exposition, la logistique et la régie jusqu'à la gestion d'une équipe de 5 personnes à Clermont-Ferrand. Nous avons aussi abordé la pratique photographique de son père en tant qu'ornithologue qui a été un déclencheur dans sa propre pratique photographie et qui l'accompagne dans sa propre pratique photographique. Nous sommes aussi revenus sur l'influence de l'intelligence artificielle sur les artistes, l'importance de s'entourer de personnes avec lesquelles on peut dialoguer sur ce qu'on aime même si l'on ne les voit pas souvent, car certaines relations peuvent mener à des projets d'expositions plusieurs années plus tard. Bonne écoute !01' - Sa formation universitaire en histoire de la photo, l'apprentissage de la technique argentique par le biais de son père zoologiste et ornithologue et son expérience de photographe06'40 – Son passage de la prise de la vue à l'organisation d'expositions (Artothèque d'Angers, les galeries de la Fiac) et son arrivée à l'association : Centre Atlantique de la Photographie en 1998.09'23 – Le CAP : son histoire, ses enjeux et fragilités14'30 – Son départ à Clermont-Ferrand en tant que directeur de l'hôtel Fontfreyde. L'histoire du centre photographique né en 2010 dans un bâtiment historique du 16e siècle du centre-ville. Le lieu est en régie municipale et l'équipe est constituée de 5 personnes.21'40 – L'évolution de l'organisation de ses missions : à son arrivée, il était très concentré sur la programmation, la régie et la logistique. Maintenant, il a une programmation à deux ans et il a plus de temps pour la gestion d'équipe.26'30 – Il n'a pas de contrainte de thématique concernant la programmation. Il souhaite montrer la diversité de la photographie et faire des collaborations comme celui avec le festival du court-métrage pour parler au plus de monde. Aussi, la ville de Clermont-Ferrand héberge un artiste par an et une exposition suit chaque résidence. Marcher dans l'histoire andré Kertez en 2022 en aujourd'hui Anne-Lise Broyer avec son journal de l'œil. 30' – Il garde un projet personnel en tête : faire une série en reprenant les archives des photographies scientifiques de son père et les retravailler pour leur donner une nouvelle forme.34'40 – L'intelligence artificielle influence et va influencer les artistes dans les prochaines années. La réalisation d'une exposition n'est jamais une évidence, il faut du temps pour articuler les choses entre elles. Je connais le travail d'Anne-Lise Broyer depuis longtemps et il m'a fallu 20 ans pour faire une exposition avec elle. 40'15 – La question du réseau : il est important de s'entourer de personnes avec lesquelles on peut dialoguer sur ce qu'on aime. Le site de l'Hôtel Fontfreyde : https://clermont-ferrand.fr/hotel-fontfreyde-centre-photographiqueLe LinkedIn de François-Nicolas l'Henry : https://www.linkedin.com/in/fran%C3%A7ois-nicolas-l-hardy-65374216Pour suivre l'actualité du podcast vous pouvez vous inscrire à la newsletter ici : https://beacons.ai/lesvoixdelaphoto et retrouvez le podcast sur Instagram, Facebook et LinkedIn @lesvoixdelaphoto Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Nous vivons à l'heure de l'économie de l'attention où des milliards sont dépensés par l'industrie du divertissement et les réseaux sociaux pour capter notre temps de cerveau disponible. Certains affirment que la durée maximale d'attention des jeunes générations ne dépasserait pas quelques minutes. Est-ce que l'éducation peut vraiment lutter ? Pas facile pour les enseignants de maintenir en équilibre attentionnel 30 cerveaux d'élèves, tels des artistes de cirque qui manient leurs assiettes chinoises. Dans cette émission, Jean-Philippe Lachaux, directeur de recherche en neurosciences cognitives à l'Insem-CRNL et fondateur d'Atole, et Fabrice Oberti, professeur de français en collège, évoquent pour vous les principes qui régissent cette attention et expliquent comment se les approprier pour les intégrer à son quotidien professionnel. C'est tout l'objet de cet épisode où il sera question de neurosciences en éducation, d'Atole et de cogni'classes. Enseigner avec les sciences cognitives, une sélection de modules de formations Canotech, Réseau Canopé. Deux parcours Magistère de Réseau Canopé : « L'attention, ça s'apprend ! » (2021) et « Apprendre à se concentrer » (2022). « L'attention, comment ça marche ? », série Les Fondamentaux, Réseau Canopé, 2022. Dans la même thématique sur Extra classe : Les Énergies scolaires #7 - Cap sur la cogni'classe du 12 mai 2021. Les inspirations des invités : Brun-Cosme Nadine, Poignonec Maurèen, À la recherche du petit chaperon rouge, Little Urban, 2020. Nathan Paulin, funambule. La transcription de cet épisode est bientôt disponible après les crédits. Chaque dernier mercredi du mois, découvrez un nouvel épisode de « Parlons pratiques ! » sur votre plateforme de podcasts préférée. Suivez-nous, écoutez et partagez… Retrouvez-nous sur : Extraclasse.reseau-canope.fr Apple Podcasts Spotify Deezer Google Podcasts Podcast Addict Extra classe, des podcasts produits par Réseau Canopé. Émission préparée et animée par : Hélène Audard et Régis Forgione Réalisée grâce à l'appui technique de : Dominique Peyre Directrice de publication : Marie-Caroline Missir Coordination et production : Hervé Turri, Luc Taramini, Magali Devance Enregistrement et mixage : Simon Gattegno Secrétariat de rédaction : Anne-Sophie Carpentier et Blaise Royer Contactez-nous sur : contact@reseau-canope.fr © Réseau Canopé, 2022 Transcription : HÉLÈNE AUDARD : Disons-le, nous vivons à l'heure de l'économie de l'attention, où des milliards sont dépensés par l'industrie du divertissement et les réseaux sociaux pour capter notre temps de cerveau disponible. RÉGIS FORGIONE : On parle même parfois de « civilisation du poisson rouge ». La durée maximale d'attention des jeunes générations ne dépasserait pas quelques minutes, voire quelques secondes. Est-ce que l'éducation peut vraiment lutter ? Et comment ? HA : Pas facile en effet pour les enseignants de conserver l'attention de leur classe. Peuvent-ils maintenir un équilibre attentionnel ? 30 cerveaux d'élèves, tels des artistes de cirque, maniant des assiettes chinoises ? RF : Pour cela, encore faut-il découvrir les grands principes qui régissent cette attention, se les approprier à titre personnel pour mieux les intégrer à son quotidien professionnel, et enfin, viennent les pistes d'application dans le quotidien de la classe. HA : C'est ce que nous allons voir avec nos deux invités. Il sera question de neurosciences en éducation, d'Atole – pas sous le soleil et pas forcément avec des lunettes – et de Cogniclasses. RF : Jean-Philippe Lachaux, bonjour. JEAN-PHILIPPE LACHAUX : Bonjour. RF : Vous êtes directeur de recherches en neurosciences cognitives à l'Inserm, codirecteur de l'équipe Eduwell du Centre de recherche en neurosciences de Lyon et concepteur du programme Atole. C'est bien ça ? JPL : Oui, c'est parfait. HA : Fabrice Oberti, bonjour. FABRICE OBERTI : Bonjour. HA : Vous êtes professeur de français au collège Maurice-Constantin-Weyer, à Cusset dans l'Allier, si je ne me trompe pas... FO : Oui. HA : Et titulaire d'un diplôme universitaire en neuroéducation. FO : Exactement. RF : Alors on entre dans le vif du sujet dans cette première partie. Je l'ai dit, Jean-Philippe Lachaux, vous êtes concepteur du programme Atole, un mot valise pour « attentif à l'école ». C'est un programme de découverte et d'apprentissage de l'attention cognitive en milieu scolaire, que vous avez développé. Mais on a décidé de prendre un peu le contrepied en ce début d'émission, en nous questionnant non pas sur l'attention des élèves, mais sur celle des enseignants. Avec une première question pour vous, Jean-Philippe Lachaux, est-ce que les sciences cognitives s'intéressent aussi à ce qui se passe dans le cerveau des profs ? Et peut-être pour quels enseignements en termes de développement professionnel ? JPL : Je ne sais pas si les neurosciences cognitives s'intéressent spécifiquement à l'attention des enseignants, mais en tout cas, ce qu'on sait sur l'attention permet de déduire un petit peu ce qui va se passer dans le cerveau d'un enseignant. Il y a des moments qui sont extrêmement sollicitants pour l'attention de l'enseignant : c'est en classe, parce que, finalement, il faut gérer la classe, c'est-à-dire avoir une attention très distribuée sur les réactions des élèves, etc. ; savoir agir pour ramener la classe avec soi. Et puis, en parallèle, vous avez un autre type de tâches qui est tout simplement de garder le fil de ce qu'on veut dire – une sorte de fil rouge. Et parfois, il y a des tâches du type sortir une diapo, etc. Donc, finalement, l'enseignant va être constamment dans une sorte de multitâche, mais qui n'est pas multitâche comme les adolescents – là où ils partent un petit peu dans tous les sens en fonction de ce qui est le plus stimulant –, mais c'est un « multitâche » qui est très très contrôlé et qui peut être épuisant, notamment pour des gens qui sont habitués à une attention plus « tunnel », comme on a pendant les concours. HA : Et comment, à ce moment-là, ils peuvent travailler là-dessus ? Qu'est-ce qu'on peut leur donner comme éléments de compréhension d'abord de leur fonctionnement, et puis pour mieux s'en sortir en situation de classe ? JPL : On peut détailler pendant une heure, mais si on veut faire simple, on peut dire que l'interaction avec une classe, finalement, est assez contradictoire avec le fait de réfléchir. Parce que pour réfléchir, il faut s'isoler, il faut visualiser, etc. Donc, ce que ça veut dire concrètement, c'est que tout le travail qui demande vraiment de la réflexion, de la planification doit vraiment être fait en avant. D'où l'importance de vraiment bien préparer ces séquences pour être complètement disponible, pour [avoir] une attention très libérée pendant la classe. RF : Fabrice Oberti, de votre côté, en tant qu'enseignant, est-ce que vous vous êtes intéressé à votre propre manière de vous concentrer, de mettre en place votre attention, de cibler votre attention ? FO : Ce que dit Jean-Philippe Lachaux, j'y souscris forcément, puisqu'on est dans la description de ce qui nous arrive au quotidien. Il est clair que, quand on fait quatre ou cinq heures de cours, certains vous diront : « Vous n'avez travaillé que quatre, cinq heures dans la journée. » Mais ce que ça demande en capacité attentionnelle – d'être dans le multitâche, d'être un peu partout –, effectivement, [suscite] cette fatigue et donc [ça nécessite] cette préparation. Ça a été une vraie réflexion, parce que je me suis aperçu qu'entre le Fabrice Oberti du quotidien – quand il est à la maison – et celui qui est en cours, en fait celui qui est en cours a des gestes professionnels bien plus poussés en termes de capacité attentionnelle – ce que le Fabrice Oberti à la maison a moins. Et d'avoir travaillé autour de cette attention, ça m'a permis justement [d'observer ce que] disait Jean-Philippe Lachaux : quand on a bien préparé son cours ou que, tout du moins, on comprend et on sait quels sont les objectifs qu'on s'est assignés – ce que l'élève doit garder, doit avoir en sortant du cours –, ça permet d'avoir ce fil conducteur qui nous permet justement d'arriver à rebondir sur différents aléas, au niveau de la capacité d'attention aux autres. Donc, effectivement, l'attention, ça fait partie des choses qu'il est important de comprendre, mais qui n'est pas forcément enseignée à nos nouveaux collègues. Et ça fait un petit peu partie des impensés : l'attention, on vous dit : « Allez, tu es concentré, tu es concentré », mais il n'y a rien qui est véritablement donné comme pistes concrètes pour arriver à faire ça en cours. HA : Oui, Jean-Philippe, c'est ce que vous dites, c'est qu'au moment du recrutement, les tâches telles qu'elles sont demandées aux enseignants dans la préparation, dans leur formation initiale, ne correspondent pas nécessairement à ce qui se passe quand ils doivent être devant une classe. JPL : C'est ça. C'est-à-dire que le système de sélection, c'est un système de sélection sur examen qui demande un certain type d'attention, qui est vraiment très focalisée sur un objet unique, qui ne bouge pas, intellectuel généralement. Et en fait, une fois qu'on a passé ces examens, on se retrouve en situation de classe, où c'est un mode d'attention complètement différent. C'est comme si on prenait un golfeur, qui est habitué à faire son coup, à chaque fois, pas dérangé ; et puis tout d'un coup, vous le faites jouer au basket, donc ça n'a rien à voir. Et donc, ça peut mettre des enseignants en difficulté, voire en situation de souffrance, quand ils ne sont pas prévenus. FO : Justement, moi qui ai eu des stagiaires, en fait, la difficulté n'était pas sur leurs connaissances en matière de didactique, voire de pédagogie. Mais, dans cette pédagogie souvent, les difficultés qu'ils ou elles rencontraient en cours étaient vraiment des logiques d'attention, c'est-à-dire : « À quel endroit porter mon attention pour que le reste du cours ne déraille pas ? Quel élève aller voir ? Comment se positionner ? » Et, en fait, souvent ça demandait des vraies capacités attentionnelles, plus que des capacités intellectuelles à la construction du cours, à l'élaboration du cours et à la poursuite du cours. RF : Je reviens sur les notions – que vous avez évoquées tous les deux – d'attention partagée et de multitâche, dont on sait bien maintenant que ce n'est pas très productif. À une époque, c'était très valorisé, on disait : « Je suis multitâche », et c'était quelque chose qu'on mettait en avant. Maintenant, on sait par les neurosciences que ce n'est pas très efficace. Ça me fait penser, notamment, dans ce que vous évoquez, Jean-Philippe Lachaux, à ce que vous développez dans Atole – on en parlera dans la suite de l'épisode – du Mini-Moi et du Maxi-Moi. Est-ce que vous pourriez l'expliquer ? Pas à titre d'usage pour un élève, mais pour un enseignant, [en lien avec] ce que vous disiez tout à l'heure : « Je prépare ma classe et ensuite je la mets en place ». JPL : Alors cette idée de Maxi-Moi et Mini-Moi, c'est tiré du fait qu'on ne peut pas à la fois réfléchir et interagir avec son environnement. Ce sont vraiment des activités qui peuvent être incompatibles. Donc, il faut réserver la planification à des moments dédiés où, à la limite, on peut presque jouer un rôle : c'est le rôle de Maxi-Moi, c'est celui qui planifie, qui prend une tâche complexe et la découpe en petites étapes simples qu'il va confier à Mini-Moi. C'est-à-dire qu'ensuite il va incarner le rôle de Mini-moi qui, lui, exécute chaque étape avec une intention très claire. Parce que pour être bien concentré, il est très important d'avoir une intention très claire. Donc c'est ce système de ramener une tâche complexe, avec des intentions vagues et multiples, à une succession d'intentions très claires. HA : Est-ce que ça signifie qu'il faudrait imaginer un programme « adultole » [rires], en tout cas quelque chose qui s'adapte, parce que la méthodologie n'est peut-être pas exactement la même pour des adultes ? JPL : En fait, on dirait exactement la même chose, simplement on le dirait différemment. Ce serait la forme qui changerait. Mais les messages qu'on envoie aux enfants, dans Atole ou dans la version collège-lycée, c'est finalement la même chose que ce qu'il faudrait expliquer à des adultes. Il y aurait une composante experte pour des enseignants, puisque, effectivement, si on leur dit que le multitâche est impossible, ils vont tout de suite dire : « Mais je passe ma vie à faire du multitâche. » Donc [il faudrait] bien expliquer ce qu'est le multitâche : en fait, ils jonglent en basculant très rapidement d'une tâche à une autre, avec une réelle expertise et des intentions claires à chaque fois. HA : Est-ce qu'il y a une demande ? JPL : Alors il y a certainement une demande, mais qui, à mon avis, est à bas bruit, qui est plus sous forme d'une insatisfaction, d'un inconfort ou d'une souffrance. Mais j'en discutais avec l'IEN [inspecteur de l'Éducation nationale] de la circonscription d'Oullins, à côté de Lyon, Stéphane Garapon, qui, par exemple, était très conscient de ça et qui, lui-même, me proposait qu'on réfléchisse vraiment là-dessus. Et je pense qu'il n'est pas isolé. HA : Fabrice, vous opinez ? FO : Oui, totalement. Je le disais tout à l'heure par rapport à ce que je pouvais rencontrer comme difficultés chez des stagiaires jeunes enseignants. Je disais que c'était un impensé. C'est que, parfois, si on travaille davantage cette attention… Moi, j'en suis l'exemple : j'ai des capacités attentionnelles qui peuvent parfois vraiment dériver, avec les notifications et autres. On est dans un univers de surstimulation. Et ce travail – entre autres, les lectures de Jean-Philippe Lachaux – m'a d'abord été utile à moi, avant de me dire : « Tiens, mais ce que je vois en classe chez les élèves, ce sont des difficultés d'attention. » Et donc j'ai rebondi un peu sur ce que moi-même j'avais un peu traversé pour essayer de travailler sur mon attention. Je reste persuadé qu'il y a des collègues qui n'en ont pas conscience, mais qui effectivement sont souvent soit en difficulté, soit en grande fatigue, par rapport à la manière dont on doit conduire la classe. Et [aussi], justement, [par rapport] à comment cette capacité attentionnelle est mise en défaut ou est en difficulté [alors] qu'il y aurait peut-être des petits ajustements à faire pour faciliter tout cela. RF : On a parlé du « pendant la classe », on a parlé du « avant » (de la préparation de la classe), on a parlé un peu du recrutement. Il y a aussi un axe important dans les préparations, qui est du côté de la productivité, pour utiliser un mot parfois mal vu en éducation. Je n'ai pas été très surpris, Jean-Philippe Lachaux, de découvrir que vous étiez assez fan, ou adepte, disons, de la méthode « GTD, Getting Things Done » [Faire avancer les choses], de David Allen. On encourage les auditeurs à aller chercher un peu sur Internet s'ils ne savent pas trop ce que c'est. Mais pour le dire vite, c'est une méthodologie de gestion et de priorisation des tâches, qui peut résonner beaucoup avec le travail de préparation et de gestion de projet pour un enseignant. Quel lien vous voyez entre des méthodologies de productivité comme celle-ci et les neurosciences cognitives, et notamment l'attention ? JPL : En fait, le lien est assez clair. David Allen, qui a mis au point cette méthode, raisonnait, je pense, à partir de son intuition et de son introspection. Il a constaté que, la plupart du temps, ce qui lui rendait les choses difficiles quand il devait travailler, c'était les intentions vagues, de ne pas savoir exactement ce qu'il devait faire. Et donc, en fait, le fondement de la méthode, c'est de ramener à ces intentions claires où on voit immédiatement comment avancer. La tâche est formulée à un niveau vraiment assez élémentaire. Et on voit tout de suite comment s'y mettre, et comment, au bout de deux ou trois minutes, on va être efficace. Donc c'est un simple système de découpage – on rajoute à d'autres choses d'autres éléments qui sont intéressants – qui en fait colle bien avec la façon dont fonctionne le cerveau, notamment le cortex préfrontal. Et je pense qu'il a vu ça de façon vraiment intuitive. Mais ça résonne parce que, c'est normal, il a un cerveau humain comme tout le monde. RF : Alors ça résonne justement avec une autre question : la question du « flow ». Vous savez, ce fameux état de conscience où on est absolument bien dans ce qu'on est en train de faire. On peut imaginer que c'est le cas en classe. C'est quelque chose qui a été développé par un psychologue – alors je ne sais pas si je vais bien prononcer le nom : Mihály Csíkszentmihályi. J'ai relevé le défi pour Hélène : voilà, c'est fait ! HA : Bravo. RF : Peut-être quelques mots, Fabrice, sur cet état mental en classe quand on est pris dans son travail, que toute l'attention est prise par ce qu'on est en train de faire ? FO : Là, pour le coup, c'est déjà un travail en amont, c'est-à-dire que si ce que vous avez préparé a déjà sa cohérence, ensuite, [ça joue aussi sur] la manière dont c'est répercuté chez les élèves. Et là, on joue sur des choses ultrasensibles et totalement aléatoires. Mais effectivement, cet état de flow, oui, ça arrive. Et moi, ça m'arrive d'autant plus que d'un seul coup, c'est moi-même qui rentre en cohérence. C'est-à-dire que je n'avais pas percuté à quel point ce que j'avais préparé, en fait, résonnait… à ce point. C'est-à-dire que c'est vraiment le moment où il y a la pratique avec les élèves, où il y a la réception avec les élèves, où il y a le travail de l'élève, [c'est vraiment à ce moment-là] que je vois cette cohérence. Et un peu comme une espèce de cohérence cardiaque : on a l'impression que tous les astres s'alignent et effectivement on peut avoir cet état de flow très agréable. En plus, flow… je pensais aussi au flow dans le milieu du rap, c'est-à-dire cette manière d'arriver à placer sa voix et à garder l'attention des élèves par cette espèce de modulation de la voix, comme on est en train de faire actuellement dans ce podcast. Donc, je voyais aussi le flow de cet ordre-là. C'est-à-dire que, de la même façon que Jean-Philippe Lachaux développe cet aspect de funambule par rapport à l'attention, il est évident qu'avec la voix, il y a aussi ce travail de modulation qui nous permet un peu de garder cet équilibre attentionnel. HA : Jean-Philippe Lachaux, le flow, c'est quelque chose aussi que vous avez observé de manière plus scientifique ? JPL : Disons qu'on n'a pas encore d'hypothèse très solide sur le flow. On reste au niveau de la description que peuvent en faire les sportifs de haut niveau – mais effectivement, pourquoi pas les enseignants ? – qui est donc la recherche d'un état attentionnel particulier, particulièrement favorable ; ce qui est très bien parce que ça présente l'attention sous un angle vraiment très positif par rapport à la concentration crispée d'efforts, etc., de fatigue. On voit que, par un travail sur l'attention, on peut arriver à des états extrêmement désirables. Et puis il y a cette idée que tout est évident, c'est-à-dire qu'à chaque fois, ce qu'on doit faire juste après est évident. On a le geste juste, toujours. On n'est jamais dans la friction, tout s'impose. Et puis parfois on se rend compte – et on est même surpris a posteriori – qu'on a été dans cet état : on est complètement immergé dans ce qu'on fait. On est en connexion totale avec ce qu'on fait. HA : Je vous propose maintenant – puisqu'on est dans cette idée que l'enseignant s'est posé, a préparé, qu'il sait où poser son attention et observer sa classe –, que l'idée, c'est que c'est à lui d'enseigner l'attention. Jean-Philippe Lachaux, votre programme a cette ambition : enseigner l'attention. Et, Fabrice, vous, de votre côté, vous avez travaillé aussi là-dessus, sous un angle encore un peu différent, que sont les cogni'classes. Alors, pour commencer, Jean-Philippe, déjà : comment est-ce qu'on enseigne l'attention ? C'est quoi les grands principes de votre programme Atole ? JPL : Il y a des principes extrêmement simples. Le premier, c'est qu'on ne peut pas demander à un enfant ou un élève de faire attention sans vraiment lui préciser sa cible, ce à quoi il doit faire attention. Parce que faire attention dans le vague, ça ne veut rien dire. Simplement de préciser la cible, ce serait dire : « Ce que je te demande, c'est de faire attention à ceci ». Bref d'apprendre aux élèves à identifier leur cible. Ça paraît tout bête, mais, en fait, on a fait un progrès. Une fois que la cible est bien identifiée, on peut s'interroger sur la raison pour laquelle l'attention ne va pas rester sur la cible, et donc sur les forces de distraction qui amènent l'attention vers d'autres cibles : vers le téléphone, vers le bruit, etc. Et identifier avec les élèves – et là vraiment d'être dans la métacognition – ce qui se passe dans leur cerveau à ce moment-là. Et, surtout, être dans le diagnostic et jamais dans la culpabilisation. On dit : « voilà ce qui se passe dans un cerveau humain. C'est normal d'être distrait, il se passe ça ». Après, on essaie d'établir une sorte de recul de l'élève par rapport à sa propre attention pour l'observer vivre et l'apprivoiser. Exactement comme on a appris à apprivoiser un petit animal, qui a sa propre vie par moments. Voilà. Et puis après, d'autres aspects sont peut-être encore plus simples, qui [consistent à] arriver à comprendre cette idée d'intention : quelle est mon intention ? Est-ce qu'elle est suffisamment claire et est-ce qu'elle permet à mon cerveau de faire le tri entre ce qui est important et pas important ? Ce sont donc des choses comme ça, qui, mises collectivement, arrivent à une sorte de programme d'éducation de l'attention. RF : Fabrice Oberti, Hélène l'a dit, de votre côté, c'est le dispositif « Cogni'classe ». Est-ce que vous pouvez nous présenter, d'une manière générale, ce que sont les cogni'classes et, plus particulièrement, comment ça se concrétise dans la vôtre ou les vôtres ? FO : Alors, les cogni'classes, c'est à l'origine Jean-Luc Berthier avec l'association Sciences cognitives, avec le site sciences-cognitives.fr. En fait, le principe d'une cogni'classe va au-delà du travail autour de l'attention. C'est l'apport des sciences cognitives dans la classe, avec l'idée d'étudier le cerveau : comment il fonctionne ? C'est quoi apprendre et comment ça se passe dans le cerveau lorsqu'on apprend ? Et [c'est aussi l'idée] de travailler avec les élèves autour de la mémorisation, autour de l'attention, autour de la compréhension. Donc le périmètredes cogni'classes est plus vaste, plus large. Mais de toute façon, le programme Atole, et puis même Jean-Philippe Lachaux, participent avec Jean-Luc Berthier à ce qu'on appelle les cogni'forums. Il y a des liens qui sont tissés, de toute façon, entre le programme Atole et le programme des cogni'classes. Très concrètement, dans ma classe, par exemple, je fais travailler aussi bien autour de la mémorisation que sur l'inhibition, c'est-à-dire cette manière de ne pas tout de suite laisser l'automatisme parler, mais de contrôler un minimum. Eh bien, il y a ce travail justement autour de l'attention. Et c'est vrai que mes sources d'inspiration, aussi bien venant de ce qui est publié dans le cadre des cogni'classes que de ce qui est publié par Jean-Philippe Lachaux, [tout cela] permet de mettre des outils très concrets, très simples. Quand Jean-Philippe Lachaux dit qu'il faut que l'élève sache sur quoi porter son attention, eh bien oui, on ne dit pas juste à l'élève : « Concentre-toi, sois attentif. » Mais à quoi ? On a toujours besoin d'avoir ça. Le début de cours, par exemple, moi, j'ai un rituel qui est posé, qui est la mise au calme. Une mise au calme, ça dure deux minutes, les élèves ont une certaine posture au niveau du corps, ils sont assis sur la chaise, les mains posées. On est vraiment sur une technique de relaxation par la respiration. Rien de bien nouveau. Il faut travailler beaucoup sur ces postures, sur cette respiration, mais surtout, l'idée, c'est d'y mettre du sens. À un moment donné, ce qui m'intéresse aussi, c'est de travailler sur ce flux de pensée, c'est-à-dire tout ce qui vient distraire, tout ce qu'on appelle les distracteurs internes. Et à ce moment-là, c'est de refocaliser l'attention sur la respiration et de leur montrer petit à petit, par cet exercice que nous réalisons à chaque début d'heure, que pendant l'heure, il y a des moments où je vais leur demander de refixer leur attention sur quelque chose qu'ils ont besoin de bien suivre. J'utilise la technique – mais Jean-Philippe Lachaux l'avait développée – du grand A, moyen A, petit A, c'est-à-dire des degrés d'attention qu'on va demander à l'élève. En fait, ce ne sont pas des outils très compliqués à mettre en place. Assez souvent, quand on en parle aux collègues, ils vous disent : « Oui, mais en fait, il n'y a rien de révolutionnaire. » Non, il n'y a rien de révolutionnaire, si ce n'est que les sciences cognitives l'ont confirmé un peu plus scientifiquement. Et puis, c'est vraiment de faire en sorte que, assez souvent, on puisse guider l'élève. J'ai une collègue avec qui je coanimais. Et puis elle me voyait faire mes grands A ou autres. Et elle pensait à sa fille qui est dans une classe de primaire où l'enseignante ne recadrait jamais un petit peu l'attention des élèves. Et ça partait un peu dans tous les sens. Et les élèves, en sortant d'heures de cours, en fait, étaient extrêmement fatigués. L'enseignante aussi. Justement, ce sont des outils assez simples à utiliser et qui paraissent assez élémentaires. Et d'autant plus qu'ils sont élémentaires, il faut les utiliser. RF : Très concrètement, Fabrice, « grand A, moyen A, petit A », en quelques mots pour ceux qui nous écoutent, ça consiste en quoi ? FO : Quand je demande vraiment une attention extrêmement soutenue aux élèves, c'est-à-dire qu'il va y avoir vraiment une partie du cours qu'il est important de bien suivre, si je suis dans une phase un peu magistrale ou que quelqu'un est en train de parler, je joins mes mains comme ça pour signifier que je fais la lettre A. Et je les positionne assez haut quand je demande vraiment le grand A, c'est-à-dire que là, c'est attention soutenue ; c'est-à-dire qu'on ne doit même pas avoir quelque chose dans les mains, un stylo ou autre, on est forcément tourné vers l'endroit où je demande de fixer l'attention. Ça peut être moi en train de parler, ça peut être le tableau ou autre. Et là, je vais leur demander ça sur un temps assez court. Parce que là, pour le coup, arriver à avoir une attention soutenue sur la longueur est un peu compliqué. Le moyen A, dans ces cas-là, je positionne à peu près au niveau des yeux. Et là, ça ne veut pas dire qu'on ne va pas avoir une attention moins soutenue. [Ça veut plutôt dire que] la chose que j'ai à dire est peut-être un tout petit peu moins importante, mais va permettre d'avancer un petit peu dans une pratique, par exemple, ou une consigne que je leur ai donnée. Et le A assez bas… Moi je travaille en îlots, donc ils sont dans un travail coopératif. Ils sont quatre par îlot, c'est un regroupement de quatre tables. Et là, dans ces cas-là, je peux leur demander d'être dans le A assez bas. C'est-à-dire qu'il va y avoir des moments certainement de distraction, qui peuvent être internes ou externes, qui sont possibles et qui ne doivent pas durer, bien sûr, pour pouvoir revenir dans le travail, mais où il y a moins de fatigue. Ça leur permet, justement, que ce degré d'attention à un moment soit totalement soutenu parce que le message va être important. HA : Jean-Philippe Lachaux, il y a cette idée de mettre les élèves dans un certain état, avec un rituel de début de cours, par exemple. Il y a beaucoup d'autres choses aussi que vous proposez dans le programme Atole et qui sont de l'ordre aussi du travail sur la préparation des tâches, des consignes. Ça a aussi une importance ? JPL : Oui, tout à fait. Effectivement, il y a la notion d'aider les élèves à découper par eux-mêmes, en petites étapes simples, ce qu'ils ont à faire, avec l'idée que, d'un élève à l'autre, même au sein d'une même classe, certains vont avoir déjà automatisé certaines choses et être capables de procéder d'un bloc, par exemple en maths ou en français, alors que peut-être le voisin à côté a besoin de faire par étapes. C'est cette idée d'individuation : que chacun s'attribue et utilise son propre niveau de découpage. Sinon, il y a tout un vocabulaire sur les cibles. Par exemple, il y a énormément de tâches scolaires qui sont ce qu'on appellerait en sciences cognitives des recherches attentionnelles, c'est-à-dire qu'on cherche une cible parmi des distracteurs. Identifier la cible et montrer qu'elle peut augmenter en complexité, en abstraction, quand on monte dans les classes ; par exemple, quand vous recherchez – pour prendre un exemple assez abstrait – des éléments de langage qui indiquent comment le personnage a des sentiments ambigus vis-à-vis de… c'est une recherche attentionnelle. Mais [là c'est] sur un critère de recherche qui définit la cible qui est de très haut niveau et donc [il s'agit], quand on est mal à l'aise avec ça, de ramener à des critères de recherche plus simples, plus élémentaires, par exemple chercher des adjectifs, etc. Donc c'est le fait de pouvoir rechercher des cibles qui sont adaptées à son niveau, son propre niveau, ce qu'on sait trouver au premier coup d'œil. HA : Et là, l'idée, c'est que c'est l'élève qui est capable de faire ça ou c'est l'enseignant qui fait ce travail pour lui ? JPL : L'idée, c'est vraiment que rapidement l'élève soit capable de définir lui-même son niveau, parce que c'est ingérable sur la durée. L'enseignant ne peut pas avoir 25 ou 30 systèmes attentionnels. Donc vraiment c'est expliquer [la méthode] pour que les élèves s'en emparent et deviennent de plus en plus autonomes. RF : Fabrice Oberti. En développant cette émission, on se rend compte que la tension, c'est quelque part entre une compétence, un outil, un état mental, en tout cas quelque chose à acquérir et à intégrer par les élèves. Vous nous disiez en préparant l'émission que ça rentre complètement dans quelque chose de pluridisciplinaire et de [l'ordre de] l'apprendre à apprendre. En tout cas, c'est ce que vous, vous faites avec vos élèves. FO : Exactement. C'est-à-dire que là, à l'instant, Jean-Philippe Lachaux disait bien que c'est à l'élève, petit à petit, d'arriver à le faire tout seul. Il est évident que nous, on est seul face à 25 élèves, et que ce principe d'individualiser, on va dire, est tout à fait possible, mais voilà : c'est le fameux adage d'apprendre à pêcher plutôt que de donner du poisson. Et il est évident que quand on intègre davantage ses capacités attentionnelles sur l'attention et qu'on l'intègre dans le « apprendre à apprendre », eh bien là, c'est beaucoup plus vaste, parce que c'est donner des méthodes. C'est vraiment cette histoire de la méthodologie, c'est-à-dire qu'un élève qui arrive, petit à petit, à savoir qu'il doit découper un petit peu plus en microtâches, qui évite de s'embarquer dans plein de choses en même temps, qui est au courant de ses différents distracteurs, qu'ils soient à la fois internes ou externes, eh bien il est équipé, il a des outils pour, petit à petit, mieux y arriver. Et ce que je constate dans mes classes, c'est que, au-delà de la mise au calme, j'ai des élèves qui, à force d'avoir cette autonomie, gagnent surtout en confiance en eux. On ne s'en aperçoit pas, mais c'est travaillé par certains chercheurs. À Clermont-Ferrand, il y a un laboratoire qui travaille beaucoup autour de ce qu'on appelle la métacognition, cette manière d'arriver à avoir un retour sur notre manière d'apprendre, et de comment cette métacognition favorise la confiance en soi. On a des conséquences qui sont plus que positives, au-delà simplement d'outiller l'élève pour arriver à mieux s'en sortir sur son attention, pour en même temps gagner en confiance. Il y a vraiment un apport très très positif à ce moment-là. JPL : Si je peux juste ajouter un point, c'est que, de toute façon, on n'a plus vraiment le choix parce qu'on arrive dans une impasse. On voit que de plus en plus d'enseignants, face à une attention très instable de leurs élèves, se mettent en projet de contrôler le cerveau de toute leur classe, de tous les élèves, de contrôler leur attention en essayant d'être les plus distrayants possible, etc., en rappelant tout le temps leur attention. En fait, ça amène à une sorte d'épuisement total, parce que c'est impossible. Et donc on voit que la seule alternative possible, c'est que ce soient les élèves eux-mêmes qui prennent leur part du travail pour reprendre la maîtrise de leur attention. Et pour ça, il faut leur expliquer comment. HA : C'est vraiment une question qu'on voulait vous poser : comment est-ce qu'on fait pour que la classe soit une sorte d'espace à part, à côté du monde entier qui est fait de sursollicitations ? Notamment avec des ados – parce que Fabrice, vous avez des collégiens – c'est peut-être encore plus prégnant. Qu'est-ce que vous pouvez nous dire, par rapport à ces élèves particuliers que sont les adolescents ? FO : C'est intéressant parce que le collège, en fait, vous y rentrez, vous avez 11 ans, vous en sortez, vous avez 14-15 ans, et entre les deux, il y a un monde. Ils sont tous au même endroit, mais des sixièmes et des troisièmes, ce n'est pas du tout la même chose. Ce n'est pas ce qu'on va avoir dans le premier degré, ce n'est pas ce qu'on va avoir au lycée. Et, en fait, on s'aperçoit que, quand ils rentrent en 6e, il n'y a pas la même maturité cérébrale que les élèves de 3e, même si cette maturité cérébrale va se situer aux alentours de 22-25 ans (donc il y a encore de la marge de progression). On s'en aperçoit bien quand ils arrivent en 6e effectivement, et je trouve que c'est de plus en plus prégnant, mais ça n'a rien d'étonnant vu le nombre de sollicitations, Jean-Philippe Lachaux en parlera très bien. Allumer son smartphone, allumer une télévision, une console : il y a plein de choses autour qui nous stimulent de manière très agréable. Et il est évident que lorsque nous sommes en cours, nous n'avons pas toute cette capacité d'orchestration pour arriver à garder leur attention. Mais ce n'est pas pour autant qu'il faut céder, comme le dit encore une fois Jean-Philippe Lachaux à : « Attendez ! Moi, je vais faire aussi bien qu'Internet. Et puis je vais aussi avoir du son et lumière et je vais faire en sorte de garder comme ça leur attention, de me l'accaparer. » Au contraire, il faut rester ce qu'on est. Par contre, il faut effectivement parfois développer un petit peu plus de variété dans nos pratiques, ne pas hésiter à changer un petit peu aussi les pratiques au bout d'un moment, quand on s'aperçoit que la capacité attentionnelle d'un élève, quand il est 15 h 30, par exemple, et que vous êtes en plein hiver, ce ne sera pas la même que lorsqu'il est 9 h 30. Donc, ça aussi, ce sont des adaptabilités qu'il vaut mieux avoir. Et c'est vrai que, [avec] ces élèves au collège, l'attention est… Avec le manque de sommeil, avec cette surstimulation du téléphone, avec les problématiques adolescentes qui occupent beaucoup de temps de cerveau, d'espace de cerveau, il faut arriver à trouver des brèches là-dedans pour arriver à faire cours. Et ça fait partie des enjeux qui, je pense, peuvent stresser certains collègues. Et c'est vrai que là, il y a un chantier extrêmement intéressant à continuer de développer. Et je suis très curieux et très en attente de ce que Jean-Philippe Lachaux va pouvoir proposer, par exemple, à l'attention du collège, [avec] Adole [Atole pour aDOLEscents]. Il y a beaucoup Atole, c'est normal, mais c'est vrai que je suis très en attente d'Adole : il y a eu une version béta en 2018-2019, et qui va bientôt sortir, si je ne me trompe pas. JPL : Oui, elle est en relecture. FO : Ce sera pour Noël, ce sera le cadeau. [rires] HA : Dites-nous en plus… RF : Ah oui, dites-nous en plus, là forcément, Jean-Philippe… JPL : C'est la version qu'on surnomme Adole – la version pour ados d'Atole – et qui est un peu plus resserrée. Finalement, elle met au premier plan l'idée de liberté, puisqu'on va parler à ces élèves qui commencent à devenir grands, comme à des vraies personnes, presque des petits adultes. Et on va effectivement voir ce qu'est la vraie liberté : est-ce que la vraie liberté finalement, ce n'est pas d'être capable de faire attention à un cours de maths qui n'est pas immédiatement stimulant et intéressant et rigolo, et de ne pas se laisser happer par des distractions beaucoup plus immédiates et gratifiantes ? Donc remettre vraiment au premier plan le choix, la capacité à décider du contenu de sa vie mentale. Qu'est-ce qu'on met dans sa tête finalement ? Cela dit, ce n'est pas un programme philosophique, ce sont vraiment des outils. Mais il y a cette espèce d'angle : déjà, en termes de vocabulaire, on va utiliser un vocabulaire scientifique, avec les vrais noms des structures cérébrales, etc., parce qu'il y a de la SVT et qu'il faut être cohérent. Et donc voilà, c'est un programme dont j'attends beaucoup. RF : On a dit qu'il serait illusoire de vouloir jongler avec tous ces cerveaux et de les maîtriser dans une espèce d'attention absolue. Il est illusoire de se dire que les élèves peuvent rester concentrés pendant six heures d'affilée. Est-ce qu'il ne serait pas intéressant de se demander – c'est peut-être une fausse question – si l'espèce d'attention diffuse dans laquelle on vit tous de nos jours, et notamment les élèves, ne permettrait pas de développer peut-être d'autres compétences, en tout cas de s'en servir dans l'éducation ? Alors là, je ne sais pas à qui passer cette question complexe. Jean-Philippe, peut-être ? JPL : C'est vrai qu'il y a ce mythe comme quoi on a une nouvelle génération qui a des capacités attentionnelles supérieures, une capacité à jongler très rapidement entre plusieurs tâches. Mais en fait, quand on regarde bien dans le détail, ces tâches avec lesquelles ils jonglent sont souvent des tâches très automatisées. Par exemple en termes de langage, c'est du langage assez pauvre, très automatique, et malheureusement c'est un mode d'attention qui ne permet pas de payer ce que j'appelle le « ticket d'entrée ». C'est-à-dire que, dès qu'on aborde une discipline nouvelle ou même quand on se lance dans la lecture d'un livre, parfois le début, c'est un peu dur, ce n'est pas immédiatement gratifiant. Les cinquante premières pages ne sont pas très marrantes. Ou les gammes au piano, avant de commencer à avoir une petite maîtrise, ce n'est pas très drôle. Ou la technique au tennis, à apprendre au début, ce n'est pas tout de suite marrant. Et toutes ces activités, malheureusement, deviennent impossibles, deviennent inaccessibles à des systèmes attentionnels qui sont tout le temps orientés vers la gratification immédiate. Ça veut dire qu'on se retrouve restreints dans un tout petit monde d'activités, finalement, un peu stéréotypées, toujours les mêmes. HA : Alors justement, est-ce que vous auriez quelques conseils pour une sorte d'hygiène de l'attention, notamment numérique, qu'on pourrait distiller aux enseignants qui sont souvent aussi des parents ? Et puis peut-être élargir la bulle de l'école à la bulle aussi familiale où cette question est même parfois vraiment très conflictuelle ? JPL : Écoutez, je ne sais pas sur quel plan vous répondre. Je vais vous répondre avec la casquette du papa. J'ai une fille qui est en 5e et qui vient d'avoir son téléphone. Et tout simplement, très pratiquement, je lui ai dit : « Tu vois ce téléphone ? » Puis j'ai apporté un tournevis. « Tu vois ce tournevis ? Bon, je vais te parler des deux. Quand tu prends un tournevis, tu le prends pour quoi ? » « Pour visser une vis. » « Oui. Et quand tu as fini de visser ta vis, qu'est-ce que tu fais ? » « Je le repose. » « Un téléphone, c'est pareil. C'est comme un tournevis. Quand tu le prends, c'est pour faire quelque chose en particulier, de bien spécifique. Et quand tu as fini, tu le reposes. Et tu ne t'amuses pas à avoir un tournevis dans ta main, à jouer avec toute la journée, parce que c'est rigolo d'avoir un tournevis. En fait, quand tu n'as pas besoin de ton tournevis, il est posé. Bah c'est pareil. » Donc une intention très claire à chaque fois. RF : Je pense qu'il y a des liens à faire, [même si] les conseilleurs souvent ne sont pas les payeurs. On sait à quel point ça peut être difficile. Vous, Fabrice, ça raisonne aussi ? Quelques conseils, peut-être, autour d'une bonne, d'une certaine hygiène numérique autour de l'attention ? FO : Justement, c'est ce qu'on a tendance un peu déjà à s'appliquer à soi-même, c'est-à-dire le régime des notifications, le régime de toute cette diversité qu'on a autour de nous et qui est toujours en train de nous appeler : « Viens voir là, viens voir là ». Cette guerre de l'attention dont on parlait et qui est le futur or, on va dire, avec l'eau et le reste… Mais voilà, essayez d'attraper notre attention, il est clair qu'à l'extérieur de l'école, c'est absolument partout ; ça l'était déjà avant, mais avec Internet, c'est encore plus fort. Et c'est vrai que, avec les élèves par exemple, en classe, ça commence par dire qu'on peut libérer de l'espace et faire en sorte de ne pas être distrait par ce qui est autour de nous. en salle. Alors certains vont me trouver un petit peu, comment dire, un peu… J'évite de mettre des choses sur les murs pour éviter justement d'avoir aussi cette stimulation. Alors ce n'est pas que la salle va être terne, ne va pas être jolie, mais je n'ai pas d'élèves qui en sont plus malheureux, et ça me permet de garder cette capacité d'attention. Et puis, une fois qu'on travaille ça en classe, on va essayer de voir un peu à la maison quelles peuvent être les différentes sources de distraction. Jean-Philippe Lachaux parlait de cette anecdote avec sa fille pour dire : « Tel outil sert à quoi ? » Et nous, on travaille déjà autour de ça. Et puis de se dire : « Tiens, qu'est-ce qu'il y a sur le bureau ? Qu'est-ce que t'as posé ? Qu'est-ce qu'il y a qui peut t'éviter de ne plus être attentif ? » Et on travaille beaucoup autour de dessins, de représentations. Et ça, par exemple, ce sont des portes d'entrée. Une des dernières choses qu'on a essayé de mettre en place avec les cogni'classes, c'étaient les cogni'parents. C'est bien de s'adresser aux enfants, mais c'est bien aussi de pouvoir s'adresser aux parents, non pas pour être des prescripteurs – parce qu'il n'y a rien de pire que l'école quand elle se veut prescriptrice de ce qui doit se passer dans la cellule familiale, personnelle – mais comme [pour] avoir une continuité, une cohérence [avec] ce qui se passe à l'école et ce qui peut se passer aussi en classe. Et les parents sont un fer de lance important. Les livres de Jean-Philippe Lachaux s'adressent aussi aux parents, et surtout aux parents parfois. Donc, au contraire, là, il y a plein de personnes à solliciter. RF : Jean-Philippe, si vous aviez le pouvoir de mettre en place une action concrète dans le monde de l'éducation, autour de tout ce dont on parle aujourd'hui à propos de l'attention, qu'est-ce que vous proposeriez pour faire avancer la cause de l'attention à l'école ? JPL : Je pense que s'il y avait quelque chose à faire, ce serait d'élargir, au-delà de l'attention à la métacognition, la prise de conscience de son fonctionnement cognitif. Et ça pourrait être, dans les circonscriptions, d'avoir un correspondant ou une correspondante, un peu comme les CPC [conseiller pédagogique de circonscription], qui ait cette compétence d'accompagner des groupes d'enseignants qui veulent se lancer dans les cogni'classes, dans Atole, etc., et qui aurait eu cette formation pour aborder les processus cognitifs avec les enseignants. HA : Une idée que nous retenons et que nous diffusons à bon entendeur. Nous allons passer à la partie « Inspiration » de cette émission, c'est-à-dire qu'on va vous demander quelque chose que vous auriez envie de partager, qui peut être de tout ordre et qui serait en lien avec notre thématique. Fabrice ? FO : Eh bien justement, j'ai fouillé pas mal. Alors j'étais presque parti sur une bande dessinée de Marc-Antoine Mathieu qui s'appelle Trois secondes [Delcourt, 2011], qui est intéressante. Et puis, j'ai repensé à ce que je fais avec mon fils qui a trois ans. Là aussi, c'est le papa qui va parler. Et c'est un livre qui s'appelle À la recherche du Petit Chaperon rouge, qui est paru chez Little Urban [en 2020], qui est un très grand livre où on a une histoire avec tout plein de personnages de contes de fées très connus. Et, à un moment donné, dans ce dessin très grand qui ressemble un peu à Où est Charlie ? [série de livres-jeux créée par Martin Handford], il va falloir que [le lecteur] aille porter son attention sur le personnage qu'on lui demande. Et ce qui est extrêmement intéressant, c'est de voir comment il y a cette espèce de recherche sur laquelle justement il va focaliser son attention pour arriver à retrouver soit le Petit Chaperon rouge, soit le loup. Et puis de voir surtout que les postures, selon les pages, sont un petit peu différentes. Et puis après, il va jouer un petit peu [avec] sa mémoire – et là ce ne sera plus de l'attention, ce sera juste de la mémorisation – et s'amuser comme ça à changer les personnages. Et en fait, à ce moment-là, il découvre aussi plein d'autres choses. C'est ça qui est toujours intéressant avec ce livre, c'est qu'on n'est pas juste à aller chercher le personnage, mais on est aussi à parler de plein d'autres choses qui se passent dans le livre. Donc voilà, c'est un éditeur, Little Urbain, que je conseille, puisqu'ils ont fait aussi des livres sur les doudous et autres. Et puis je me disais que c'est bien aussi que l'attention puisse se travailler un peu – alors là, on voit bien que ce sont les enfants d'enseignants. Mais c'est toujours intéressant quand [avec] votre propre enfant, vous essayez un petit peu de stimuler cette partie-là en restant dans quelque chose de joyeux, de ludique et [de l'ordre de] l'échange. Voilà, c'est le papa avec son fils. [rires] HA : Merci Fabrice. Jean-Philippe Lachaux ? JPL : Oui, j'avais deux choses qui me venaient en tête immédiatement. La première, la plus évidente, c'était l'exemple de Rafael Nadal, un champion de tennis qui a une attitude parfaitement concentrée dès l'instant où il met le pied sur un court de tennis, que ce soit pour l'entraînement ou pour les matchs. Et cette attitude-là, elle est fantastique. On voit à quoi elle l'a amené. Mais ma deuxième idée aussi, qui est plus personnelle, c'est une rencontre que j'ai faite. J'ai eu la chance de rencontrer plusieurs fois Nathan Paulin. Et Nathan Paulin a battu juste avant l'été le record du monde de distance sur une slackline. Il a atteint le mont Saint-Michel, sur plus de deux kilomètres – vous pouvez regarder. Nathan m'a expliqué qu'il est venu à la slackline pour travailler son attention. Et maintenant, ce qui l'intéresse, ce ne sont pas les records, ce n'est pas vraiment ce record du monde, c'est l'état dans lequel ça l'oblige à se mettre pour y arriver, et l'état attentionnel. Ce n'est pas un état de crispation, c'est un état de douceur et vraiment de flow. Et donc, je trouve que c'est un magnifique exemple pour illustrer ce vers quoi peut mener une recherche personnelle sur l'attention. HA : Merci beaucoup, Jean-Philippe Lachaux. Effectivement, il y a des liens à faire avec le sport. Alors je me permets une petite inspiration de mon côté, mais je reviens à quelque chose de beaucoup plus scolaire, d'une certaine façon. C'est un parcours magistère qui s'appelle « L'attention, ça s'apprend » que vous avez conçu Jean-Philippe, dans lequel il y a beaucoup de petites mises en situation qui permettent vraiment d'expérimenter soi-même et de comprendre les mécanismes de l'attention. Et ça, c'est une des briques de l'univers Atole qui, en plus, est amené à s'élargir, si je comprends bien. JPL : Avec Bénédicte Dubois et toute l'équipe de Réseau Canopé. HA : Et donc, vous aurez toutes ces ressources dans les notes de l'émission. RF : Pour conclure cette émission et juste avant de vous remercier, je me suis noté trois points. Le premier, il émane de Fabrice : simplifier l'environnement cognitif des élèves, enlever vos affichages inutiles, tout ce qui ne sert à rien, c'est peut-être un premier pas. Des conseillers pédagogiques en métacognition, c'est la proposition de Jean-Philippe Lachaux dans chaque circonscription ou dans chaque établissement. Un smartphone, c'est comme un tournevis, quand on a fini de visser, on le range, effectivement. Un grand merci à tous les deux d'avoir participé à cet épisode. HA : Merci. FO et JPL : Merci. Merci à vous.
durée : 00:34:06 - Reportage H2O / Balade Nature - Des milieux d'intérêt européen dans le Puy de Dôme, classés Natura 2000, au sud de Clermont-Ferrand dans le Puy de Dôme. Nous vous invitons à suivre nos pas sur la commune d'Olloix.
Tous les jours de la semaine, Anissa Haddadi nous dévoile les infos insolites qu'elle a repéré dans l'actualité.
Clara Luciani était l'invitée du Double Expresso RTL2 ce vendredi 16 décembre 2022. Elle a répondu aux questions de Grégory Ascher et de Justine Salmon et a interprété deux titres en direct des studios de RTL2 : "Cœur" et "Bravo tu as gagné". L'info qu'il faut - Les dessins animés et films à voir pendant les vacances - Les astuces pour dégivrer son pare-brise rapidement Les pourquoi de Max : "regagner ses pénates" Le winner du jour : - Un jeu vidéo avec des images de Mickael Jackson - un Américain s'accompagnait d'une poupée gonflable pour emprunter la voie de covoiturage Le savoir inutile : l'invention par hasard du papier bulle Le best-of de l'année Le jeu surprise : Envelle de Erquy près de Saint Brieuc repart avec des chocolats Jeff de Bruges & des bijoux les interchangeables. La Banque RTL2 : Florence de Chalmazel près de Clermont Ferrand remporte un robot cook expert de Magimix. Anne Laure près de Chôlet gagne 1500€ à dépenser sur le site H&H.
Les commotions cérébrales sont fréquentes dans le milieu sportif. Le monde du rugby les prend de plus en plus au sérieux. Un groupe de joueuses et joueurs passés par le championnat de France dépose une série de recours en justice contre la Fédération (FFR) et la Ligue (LNR). Le 5 décembre dernier, Alexandre Lapandry poursuit en justice son club de cœur, l'ASM Clermont Auvergne, en déposant 4 plaintes, et notamment pour « mise en danger de la vie d'autrui et blessures involontaires », après avoir été victime de plusieurs commotions. Une étude vient d'être lancée par le CHU de Clermont-Ferrand en partenariat avec l'ASM Clermont Auvergne. Les explications du Pr Vincent Sapin, chef du service Biochimie et génétique moléculaire au CHU de Clermont-Ferrand.
Cathy McClive (Florida State University) offers the first full-length bilingual edition of an extraordinary treatise on childbirth written by a seventeenth-century French midwife in The Art of Childbirth: A Seventeenth-Century Midwife's Epistolary Treatise to Doctor Vallant (University of Toronto Press, 2022). In 1671, Marie Baudoin (1625-1700), head midwife and governor of the Hôtel-Dieu of Clermont-Ferrand, sent a treatise on the art of childbirth to her powerful Parisian patron, Dr. Vallant. The story of how Baudoin's knowledge and expertise as a midwife came to be expressed, recorded, and archived raises the question: Was Baudoin exceptional because she was herself extraordinary, or because her voice has reached us through Vallant's careful archival practices? Either way, Baudoin's treatise invites us to reconsider the limits of what we thought we knew midwives "could be and do" in seventeenth-century France. Grounding Marie Baudoin's text in a microanalysis of her life, work, and the Jansenist network between Paris and Clermont-Ferrand, this book connects historiographies of midwifery, Jansenism, hospital administration, public health, knowledge and record-keeping, and women's work, underscoring both Baudoin's capabilities and the archival accidents and intentions behind the preservation of her treatise in a letter. Jana Byars is the Academic Director of Netherlands: International Perspectives on Sexuality and Gender. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices Support our show by becoming a premium member! https://newbooksnetwork.supportingcast.fm/gender-studies
Cathy McClive (Florida State University) offers the first full-length bilingual edition of an extraordinary treatise on childbirth written by a seventeenth-century French midwife in The Art of Childbirth: A Seventeenth-Century Midwife's Epistolary Treatise to Doctor Vallant (University of Toronto Press, 2022). In 1671, Marie Baudoin (1625-1700), head midwife and governor of the Hôtel-Dieu of Clermont-Ferrand, sent a treatise on the art of childbirth to her powerful Parisian patron, Dr. Vallant. The story of how Baudoin's knowledge and expertise as a midwife came to be expressed, recorded, and archived raises the question: Was Baudoin exceptional because she was herself extraordinary, or because her voice has reached us through Vallant's careful archival practices? Either way, Baudoin's treatise invites us to reconsider the limits of what we thought we knew midwives "could be and do" in seventeenth-century France. Grounding Marie Baudoin's text in a microanalysis of her life, work, and the Jansenist network between Paris and Clermont-Ferrand, this book connects historiographies of midwifery, Jansenism, hospital administration, public health, knowledge and record-keeping, and women's work, underscoring both Baudoin's capabilities and the archival accidents and intentions behind the preservation of her treatise in a letter. Jana Byars is the Academic Director of Netherlands: International Perspectives on Sexuality and Gender. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Cathy McClive (Florida State University) offers the first full-length bilingual edition of an extraordinary treatise on childbirth written by a seventeenth-century French midwife in The Art of Childbirth: A Seventeenth-Century Midwife's Epistolary Treatise to Doctor Vallant (University of Toronto Press, 2022). In 1671, Marie Baudoin (1625-1700), head midwife and governor of the Hôtel-Dieu of Clermont-Ferrand, sent a treatise on the art of childbirth to her powerful Parisian patron, Dr. Vallant. The story of how Baudoin's knowledge and expertise as a midwife came to be expressed, recorded, and archived raises the question: Was Baudoin exceptional because she was herself extraordinary, or because her voice has reached us through Vallant's careful archival practices? Either way, Baudoin's treatise invites us to reconsider the limits of what we thought we knew midwives "could be and do" in seventeenth-century France. Grounding Marie Baudoin's text in a microanalysis of her life, work, and the Jansenist network between Paris and Clermont-Ferrand, this book connects historiographies of midwifery, Jansenism, hospital administration, public health, knowledge and record-keeping, and women's work, underscoring both Baudoin's capabilities and the archival accidents and intentions behind the preservation of her treatise in a letter. Jana Byars is the Academic Director of Netherlands: International Perspectives on Sexuality and Gender. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices Support our show by becoming a premium member! https://newbooksnetwork.supportingcast.fm/medicine
Cathy McClive (Florida State University) offers the first full-length bilingual edition of an extraordinary treatise on childbirth written by a seventeenth-century French midwife in The Art of Childbirth: A Seventeenth-Century Midwife's Epistolary Treatise to Doctor Vallant (University of Toronto Press, 2022). In 1671, Marie Baudoin (1625-1700), head midwife and governor of the Hôtel-Dieu of Clermont-Ferrand, sent a treatise on the art of childbirth to her powerful Parisian patron, Dr. Vallant. The story of how Baudoin's knowledge and expertise as a midwife came to be expressed, recorded, and archived raises the question: Was Baudoin exceptional because she was herself extraordinary, or because her voice has reached us through Vallant's careful archival practices? Either way, Baudoin's treatise invites us to reconsider the limits of what we thought we knew midwives "could be and do" in seventeenth-century France. Grounding Marie Baudoin's text in a microanalysis of her life, work, and the Jansenist network between Paris and Clermont-Ferrand, this book connects historiographies of midwifery, Jansenism, hospital administration, public health, knowledge and record-keeping, and women's work, underscoring both Baudoin's capabilities and the archival accidents and intentions behind the preservation of her treatise in a letter. Jana Byars is the Academic Director of Netherlands: International Perspectives on Sexuality and Gender. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Cathy McClive (Florida State University) offers the first full-length bilingual edition of an extraordinary treatise on childbirth written by a seventeenth-century French midwife in The Art of Childbirth: A Seventeenth-Century Midwife's Epistolary Treatise to Doctor Vallant (University of Toronto Press, 2022). In 1671, Marie Baudoin (1625-1700), head midwife and governor of the Hôtel-Dieu of Clermont-Ferrand, sent a treatise on the art of childbirth to her powerful Parisian patron, Dr. Vallant. The story of how Baudoin's knowledge and expertise as a midwife came to be expressed, recorded, and archived raises the question: Was Baudoin exceptional because she was herself extraordinary, or because her voice has reached us through Vallant's careful archival practices? Either way, Baudoin's treatise invites us to reconsider the limits of what we thought we knew midwives "could be and do" in seventeenth-century France. Grounding Marie Baudoin's text in a microanalysis of her life, work, and the Jansenist network between Paris and Clermont-Ferrand, this book connects historiographies of midwifery, Jansenism, hospital administration, public health, knowledge and record-keeping, and women's work, underscoring both Baudoin's capabilities and the archival accidents and intentions behind the preservation of her treatise in a letter. Jana Byars is the Academic Director of Netherlands: International Perspectives on Sexuality and Gender. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices Support our show by becoming a premium member! https://newbooksnetwork.supportingcast.fm/intellectual-history
Cathy McClive (Florida State University) offers the first full-length bilingual edition of an extraordinary treatise on childbirth written by a seventeenth-century French midwife in The Art of Childbirth: A Seventeenth-Century Midwife's Epistolary Treatise to Doctor Vallant (University of Toronto Press, 2022). In 1671, Marie Baudoin (1625-1700), head midwife and governor of the Hôtel-Dieu of Clermont-Ferrand, sent a treatise on the art of childbirth to her powerful Parisian patron, Dr. Vallant. The story of how Baudoin's knowledge and expertise as a midwife came to be expressed, recorded, and archived raises the question: Was Baudoin exceptional because she was herself extraordinary, or because her voice has reached us through Vallant's careful archival practices? Either way, Baudoin's treatise invites us to reconsider the limits of what we thought we knew midwives "could be and do" in seventeenth-century France. Grounding Marie Baudoin's text in a microanalysis of her life, work, and the Jansenist network between Paris and Clermont-Ferrand, this book connects historiographies of midwifery, Jansenism, hospital administration, public health, knowledge and record-keeping, and women's work, underscoring both Baudoin's capabilities and the archival accidents and intentions behind the preservation of her treatise in a letter. Jana Byars is the Academic Director of Netherlands: International Perspectives on Sexuality and Gender. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Cathy McClive (Florida State University) offers the first full-length bilingual edition of an extraordinary treatise on childbirth written by a seventeenth-century French midwife in The Art of Childbirth: A Seventeenth-Century Midwife's Epistolary Treatise to Doctor Vallant (University of Toronto Press, 2022). In 1671, Marie Baudoin (1625-1700), head midwife and governor of the Hôtel-Dieu of Clermont-Ferrand, sent a treatise on the art of childbirth to her powerful Parisian patron, Dr. Vallant. The story of how Baudoin's knowledge and expertise as a midwife came to be expressed, recorded, and archived raises the question: Was Baudoin exceptional because she was herself extraordinary, or because her voice has reached us through Vallant's careful archival practices? Either way, Baudoin's treatise invites us to reconsider the limits of what we thought we knew midwives "could be and do" in seventeenth-century France. Grounding Marie Baudoin's text in a microanalysis of her life, work, and the Jansenist network between Paris and Clermont-Ferrand, this book connects historiographies of midwifery, Jansenism, hospital administration, public health, knowledge and record-keeping, and women's work, underscoring both Baudoin's capabilities and the archival accidents and intentions behind the preservation of her treatise in a letter. Jana Byars is the Academic Director of Netherlands: International Perspectives on Sexuality and Gender. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices Support our show by becoming a premium member! https://newbooksnetwork.supportingcast.fm/new-books-network
Cathy McClive (Florida State University) offers the first full-length bilingual edition of an extraordinary treatise on childbirth written by a seventeenth-century French midwife in The Art of Childbirth: A Seventeenth-Century Midwife's Epistolary Treatise to Doctor Vallant (University of Toronto Press, 2022). In 1671, Marie Baudoin (1625-1700), head midwife and governor of the Hôtel-Dieu of Clermont-Ferrand, sent a treatise on the art of childbirth to her powerful Parisian patron, Dr. Vallant. The story of how Baudoin's knowledge and expertise as a midwife came to be expressed, recorded, and archived raises the question: Was Baudoin exceptional because she was herself extraordinary, or because her voice has reached us through Vallant's careful archival practices? Either way, Baudoin's treatise invites us to reconsider the limits of what we thought we knew midwives "could be and do" in seventeenth-century France. Grounding Marie Baudoin's text in a microanalysis of her life, work, and the Jansenist network between Paris and Clermont-Ferrand, this book connects historiographies of midwifery, Jansenism, hospital administration, public health, knowledge and record-keeping, and women's work, underscoring both Baudoin's capabilities and the archival accidents and intentions behind the preservation of her treatise in a letter. Jana Byars is the Academic Director of Netherlands: International Perspectives on Sexuality and Gender. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices Support our show by becoming a premium member! https://newbooksnetwork.supportingcast.fm/european-studies
Cathy McClive (Florida State University) offers the first full-length bilingual edition of an extraordinary treatise on childbirth written by a seventeenth-century French midwife in The Art of Childbirth: A Seventeenth-Century Midwife's Epistolary Treatise to Doctor Vallant (University of Toronto Press, 2022). In 1671, Marie Baudoin (1625-1700), head midwife and governor of the Hôtel-Dieu of Clermont-Ferrand, sent a treatise on the art of childbirth to her powerful Parisian patron, Dr. Vallant. The story of how Baudoin's knowledge and expertise as a midwife came to be expressed, recorded, and archived raises the question: Was Baudoin exceptional because she was herself extraordinary, or because her voice has reached us through Vallant's careful archival practices? Either way, Baudoin's treatise invites us to reconsider the limits of what we thought we knew midwives "could be and do" in seventeenth-century France. Grounding Marie Baudoin's text in a microanalysis of her life, work, and the Jansenist network between Paris and Clermont-Ferrand, this book connects historiographies of midwifery, Jansenism, hospital administration, public health, knowledge and record-keeping, and women's work, underscoring both Baudoin's capabilities and the archival accidents and intentions behind the preservation of her treatise in a letter. Jana Byars is the Academic Director of Netherlands: International Perspectives on Sexuality and Gender. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices Support our show by becoming a premium member! https://newbooksnetwork.supportingcast.fm/french-studies
Cathy McClive (Florida State University) offers the first full-length bilingual edition of an extraordinary treatise on childbirth written by a seventeenth-century French midwife in The Art of Childbirth: A Seventeenth-Century Midwife's Epistolary Treatise to Doctor Vallant (University of Toronto Press, 2022). In 1671, Marie Baudoin (1625-1700), head midwife and governor of the Hôtel-Dieu of Clermont-Ferrand, sent a treatise on the art of childbirth to her powerful Parisian patron, Dr. Vallant. The story of how Baudoin's knowledge and expertise as a midwife came to be expressed, recorded, and archived raises the question: Was Baudoin exceptional because she was herself extraordinary, or because her voice has reached us through Vallant's careful archival practices? Either way, Baudoin's treatise invites us to reconsider the limits of what we thought we knew midwives "could be and do" in seventeenth-century France. Grounding Marie Baudoin's text in a microanalysis of her life, work, and the Jansenist network between Paris and Clermont-Ferrand, this book connects historiographies of midwifery, Jansenism, hospital administration, public health, knowledge and record-keeping, and women's work, underscoring both Baudoin's capabilities and the archival accidents and intentions behind the preservation of her treatise in a letter. Jana Byars is the Academic Director of Netherlands: International Perspectives on Sexuality and Gender. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices Support our show by becoming a premium member! https://newbooksnetwork.supportingcast.fm/history
Ai microfoni di Unica Radio il musicista Emanuele Contis racconta il Mediterranean Ensemble, formazione che quest'anno si esibirà al festival Passaggi d'Autore - Intrecci Mediterranei nella giornata di giovedì 8 dicembre. Intrecci musicali è l'appuntamento ormai consueto di Passaggi d'Autore - Intrecci Mediterranei che suggellerà anche questa edizione del festival: il Mediterranean Ensemble diretto dal sassofonista, compositore e direttore musicale del festival Emanuele Contis torna a Passaggi d'autore con un progetto che quest'anno vede la collaborazione con la Francia. A essere ospitata sarà un'intera band che risponde al nome di Levita, con la cantante di origine lituana Vita Levina, Arthur Links alla chitarra, il contrabbassista sardo (ormai da anni a Parigi) Maurizio Congiu, e Bruno Marney alla batteria, affiancati per l'occasione dallo stesso Emauele Contis al sassofono che curerà gli arrangiamenti; un concerto che si annuncia all'insegna delle intramontabili "chansons francais", tra jazz, manouche e musica popolare, per trasportare il pubblico in un viaggio ideale a bordo dei bateaux mouches tra le acque della Senna. Il festival Passaggi d'Autore - Intrecci Mediterranei si terrà dal 3 all'8 dicembre a Sant'Antioco, la cittadina del Sud Sardegna, sulla costa del Sulcis, dove è nato nel 2005 e dove ha sede il Circolo del Cinema "Immagini" che lo organizza con la direzione artistica di Dolores Calabrò e del regista bosniaco Ado Hasanović. In arrivo sei giornate fitte di proiezioni, incontri con autori e registi, laboratori e altri appuntamenti che si snoderanno attraverso le sezioni in cui si articola abitualmente il festival: Intrecci mediterranei, con una selezione dei migliori cortometraggi provenienti dai Paesi del Mediterraneo; Focus, dedicata a un Paese ogni anno diverso: in questa occasione la Francia; Intrinas, con alcuni tra i migliori corti di autori sardi; e poi ancora le sezioni dedicate alle Web serie, alle tematiche ambientali, ai videoclip musicali d'autore, e un omaggio a Pier Paolo Pasolini nel centenario della nascita. Più di cinquanta i corti in visione (in lingua originale, con sottotitoli in italiano e in inglese) nel consueto spazio dell'Aula Consiliare del Comune di Sant'Antioco: lavori che spaziano tra i generi - dalla fiction al documentario, dal cinema d'animazione fino a quello sperimentale - selezionati tra quelli che hanno ricevuto premi e riconoscimenti o partecipato a importanti rassegne nazionali, come Alice nella città, e internazionali come i festival di Clermont-Ferrand e di Sarajevo, che rinnovano ancora una volta la loro collaborazione con Passaggi d'Autore. Nate nell'edizione di due anni fa in lockdown, ritornano anche le passeggiate in live streaming dell'attrice Marta Bulgherini che dialogherà con alcuni degli ospiti del festival da una località o da un luogo caratteristico di Sant'Antioco di volta in volta diverso. Segui gli aggiornamenti su Unica Radio.
La politique de contrôle migratoire ne s'exerce pas uniquement aux frontières, mais aussi sur le territoire national pour Stefan Le Courant. Cet ethnologue a rencontré des sans-papiers durant plusieurs années. Il sera à Valence ce samedi 3 décembre à 15h au CPA et à Clermont-Ferrand lundi 5 décembre à 20h dans le cadre du festival Migrant'scène porté par la CIMADE.
Voici un épisode exceptionnel de Ma vie d'ado. Nous accueillons un podcast réalisé par les élèves de Radio M, la webradio du collège Willy Mabrut de Bourg-Lastic, près de Clermont-Ferrand. Ce travail a été distingué en octobre 2022 dans le cadre du prix Samuel Paty, créé en 2022 en hommage au professeur d'histoire-géo assassiné le 16 octobre 2020 après avoir montré à ses élèves des caricatures du prophète Mahomet pour illustrer la notion de liberté d'expression. La première session de ce prix, sur laquelle les élèves ont planché, avait justement pour thème : «Sommes-nous toujours libres de nous exprimer ?» Voici le remarquable résultat de leur travail. Merci et bravo à Solane, Jeanne, Fanny, Antoine, Mélissa, Jade, Sarah, Noémie, Leelo et Clément, ainsi qu'à leur professeur M. Jean-Emmanuel Dumoulin. Ma vie d'ado, ce sont des témoignages d'ado, venus de toute la France. C'est une émission qui s'adresse aux adolescents. Mais pas que. Ma Vie d'Ado, un podcast proposé par le magazine Okapi, à retrouver tous les quinze jours. Crédits : Ce podcast est préparé et animé par le magazine Okapi (Bayard Jeunesse) . Merci à M. Jean-Emmanuel Dumoulin, professeur au collège Willy Mabrut de Bourg-Lastic. Voix hoste : Rebecca Devannes. Montage : Yann Bonicatto. Conception, réalisation : Emmanuel Viau. Musique : Fixxions. Animation éditoriale : Jean-Yves Dana, Christophe Fernandez Création visuelle : France Rapp. Production : Hélène Devannes / Emmanuel Viau.
We recap the inaugural Tour de France Femmes avec Zwift in the final episode of the Here comes the Future podcast empowered by LIV. Hannah Walker and Lia Hervey talk to Demi Vollering, Annemiek van Vleuten, Kasia Niewiadoma, Shirin van Anrooij and Director of Women's Strategy at Zwift, Kate Veronneau about the 2022 edition. With the 2023 route now released, we also look ahead to the 2023 edition and what the riders have in store across the 8 stages. The 2023 edition of the Tour de France Femmes avec Zwift begins on the 23rd July 2023 in Clermont-Ferrand with the the final stage, stage 8 on the 30th July 2023 in Pau.
Dans cet épisode je reçois Alice Modolo Enfant, Alice a l'impression de se sentir à l'étroit dans un monde d'adulte ou elle ne comprend pas toujours le sens de ce qui lui est demandé. Après des études de médecine, elle deviendra dentiste et plus spécifiquement pédodentiste, un moyen pour elle d'être en contact avec les enfants et de les inciter à rêver grand. Rien ne prédestinait Alice, originaire de Clermont Ferrand, sans gout particulier pour le sport, à devenir une athlète professionnelle. C'est pourtant vers l'apnée, seul sport ou l'on se prive d'une fonction vitale, celle de la respiration, qu'elle se tourne. C'est d'ailleurs un véritable coup de foudre pour cette discipline qu'elle découvre en accompagnant sa soeur à la piscine et qu'elle cumulera en parallèle de son exercice de dentiste, allant jusqu'à déménager à Antibes pour pouvoir plonger. Alice nous raconte comment elle change de vie en quelques mois, grâce à une difficulté qu'elle parvient finalement à envisager comme une opportunité . Elle nous explique de quelle manière elle est prévenue à s'extraire des pressions sociales, du regard des autres, des "on n'a jamais fait comme ça" et surtout, surtout, comment elle a appris à se connaître et à se faire confiance. Alice finira par vivre de sa nouvelle passion et à atteindre cet incroyable cap, celui des 100 mètres de profondeur, grâce à la puissance du mental, faisant d'elle la 1ère française à y parvenir et la 8ème au niveau mondial. Cet exploit sera un tournant, permettant d'affirmer sa légitimité et de s'affranchir de l'aval des autres. Un épisode que je suis heureuse de vous partager en compagnie de cette femme et athlète qui montre que tout est possible lorsque l'on laisse la place à ses rêves pour grandir et que l'on apprend à se faire confiance. Je ne vous en dit pas plus et vous laisse en compagnie de mon invitée, Alice Modolo. Belle écoute !
L'info qu'il faut - Une marque cherche à rémunérer des testeurs de calendriers de l'avent - L'entreprise idéale des jeunes selon les 18-24 ans Le winner du jour : - Il se perd en séchant l'école, squatte un van et adopte un chat - Il débarque à son mariage dans un cercueil, la vidéo devient virale La Chronique de Jonathan : Le savoir inutile : la naissance de l'aspirateur Le devinez-quoi : On en mange 24kg par an et par personne ? La chanson du jour : Dire Straits "Walk Of Life" Le bonus du Double Expresso : Balenciaga vient de sortir une série de produits assez étonnants, et surtout très chers. Le Bilan De Jonathan : préparer l'émission en direct de Lille Le jeu surprise (le petit quiz) : Didier de Carcassonne repart avec la toniebox de Gulli. La Banque RTL2 : Valérie de Capbreton remporte un bon de 500 euros chez Spartoo. Claire de Clermont-Ferrand remporte un séjour Pierre & Vacances pour 4.
This week I share the first leg of my trip to Clermont-Ferrand, in the heart of the Auvergne in France where I attended the 22nd Rendezvous du Carnet de Voyage, or the Meeting of the Travel Sketchbooks (sounds so much nicer in French!) After a slightly sticky start, I've had such an inspiring time, and I simply can't wait to start putting the new tips I've picked up to use. I just love France…
A un certain âge nos enfants ont un métabolisme comparable à celui d'adultes très entraînés. C'est le constat fait par Sébastien Ratel enseignant et chercheur sur l'exercice musculaire chez l'enfant.Je suis tombé il y a quelques semaines sur un article de recherche franco-australien sur les capacités physiques et sportives de nos enfants. Et en même temps cette info résonnait avec mon observation des gamins, et notamment de ma fille. Ils semblent fonctionner en mode fractionné en alternant course et repos bien plus facilement que moi.Alors j'ai creusé et il se trouve que Sébastien Ratel, l'auteur de l'étude est maitre de conférences et chercheur à Clermont-Ferrand, à l'Université Clermont Auvergne (UCA). Et il est auteur de deux livres sur l'enfant et l'activité physique mais aussi la Préparation physique du jeune sportif.Ses livres :L'enfant et l'activité physique : https://amzn.to/3GgEG52Préparation physique du jeune sportif : https://amzn.to/3UBisPv---Les bonus du podcast (dont mes recettes de cuisine) : https://bertrandsoulier.com/bonusMes programmes sport : https://bertrandsoulier.com/programmes-sport/Réserve ton accompagnement : https://calendly.com/bertrandsoulier/accompagnement-sportif-mentalPose ta question en audio pour les épisodes Le Conseil : https://www.shello.io/bertrandsoulier/km42Mon site avec tous les épisodes, mon parcours, des recettes, des récits de course : https://bertrandsoulier.comLa chaîne YouTube du Hamsters Running Club : http://bertrand.video/hamstersRejoindre la communauté du Hamsters Running Club : https://membres.hamstersrunning.club/Vous voulez creuser le sujet de la nutrition ? Découvrez mon nouveau podcast Sport et nutrition : https://apirun.fr/podcast Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
In this week's episode I have my VERY FIRST GUEST - drum roll - my sketching companion himself, my son Paddy. We chat sketching and the nature of creativity, and his upcoming driving test! I explain how to capture frosty and sparkly surfaces in watercolour and share my excitement about the Rendezvous Carnet de Voyage in Clermont-Ferrand next week.
Rencontre avec Sarah Schmitt, la nouvelle patronne de La Coopérative de Mai, Scène de Musiques Actuelles à Clermont-Ferrand. Après avoir dirigé "le Nouveau Casino" à Paris et le festival Rock en Seine, Sarah vient de prendre la tête de « La Coopé », une des salles les plus cools de France. Dans cet épisode, elle évoque son parcours et ses ambitions pour la salle, entre poursuite d'une programmation audacieuse, projets pluridisciplinaires et défis portés par la candidature de la ville au titre de capitale européenne de la culture... Cet épisode a été enregistré en public au Trianon dans le cadre du MaMA. Sold Out, le podcast pour se glisser dans les coulisses du spectacle vivant. Avec le soutien de DELIGHT. En partenariat avec le MaMA. Production et réalisation : Marc H'LIMI / Interview et programmation : Marc GONNET / Créations visuelles et réseaux sociaux : Emilie BARDALOU
Le concept de décroissance s'oppose à l'idée que la croissance économique serait un indicateur de bien-être ou un but à suivre. Au contraire, la prise de conscience que nous vivons dans un monde fini imposerait de réduire largement la production, l'exploitation des ressources naturelles afin de pouvoir vivre en harmonie avec les écosystèmes. La théorie économique de la décroissance s'oppose donc au modèle actuel fondé sur le PIB mais aussi aux modèles de croissance verte qui prônent le fait qu'il est possible de produire autant en consommant moins d'énergie et de matières premières, et cela grâce aux innovations technologiques. Mais qu'est-ce que cela signifie concrètement? S'il faut décroitre, comment décroitre? Et quelle est la place de l'alimentation dans une économie de la post-croissance ? Pour comprendre ce concept et ses implications, Fanny Giansetto reçoit Timothée Parrique. Timothée est docteur en économie. Il a rédigé une thèse sur la décroissance à l'Université de Clermont Ferrand et l'Université de Stockholm. Il en a fait un livre, intitulé "Ralentir ou périr. L'économie de la décroissance" paru aux Editions du Seuil en septembre 2022. Il est aujourd'hui chercheur à l'université de Lund en Suède. *** Pour nous soutenir: - Donner votre avis via des étoiles et des commentaires sur votre plateforme d'écoute préférée - Parler d'Ecotable et de son podcast autour de vous - Aller manger dans nos restaurants vertueux et délicieux ! *** Ecotable est une entreprise dont la mission est d'accompagner les acteurs du secteur de la restauration dans leur transition écologique. Elle propose aux restaurateurs une palette d'outils sur la plateforme https://impact.ecotable.fr/. Écotable possède également un label qui identifie les restaurants écoresponsables dans toute la France sur le site https://ecotable.fr/fr.
With such an overwhelming number of films on offer at IDFA, we invited Wouter Jansen to help curate a watch list of films that will be on display. Wouter is the founder of Square Eyes, a sales and distribution company based in Vienna specializing in bold, author driven features and shorts. This year, he will be at IDFA with two titles, ANHEIL 69 by Theo Montoya and EUROPE by Philip Scheffner. In this episode, we go through each section of the program at IDFA and take turns selecting titles of interest to help navigate our festival experience. Films discussed include PARADISE by Alexander Abaturov, NON-ALIGNED: SCENES FROM THE LABUDOVIĆ REELS, HOW DARE YOU HAVE SUCH A RUBBISH WISH by Mania Akbari, and A ROBUST HEART by Martin Benchimol, among many others. For our full Docs in Orbit x Square Eyes x IDFA 2022 watch list, please visit here . EPISODE TIMECODES: 00:00 - Intro / About Square Eyes | 10:30 - Best of Fests | 16:30 - Paradocs | 23:25 - International Shorts Competition | 32:10 - Competition DocLab Immersive Non-Fiction | 35:35 - IDFA on Stage | 40:28 - Envision Competition | 45:35 - International Competition | 52:30 - Laura Poitras Top 10SPECIAL GUEST BIO: Wouter Jansen is the founder of the sales and festival distribution company Square Eyes. He worked as the head of programming at the Go Short - International Film Festival during the first 10 editions. In 2013 he started Some Shorts, which changed to Square Eyes in 2019, which specializes in having outstanding non-mainstream films find the audience and recognition they deserve. With Square Eyes, Wouter represents bold, author-driven features and shorts, and collaborates closely with the filmmakers to devise bespoke festival distribution and sales strategies. This has resulted in a small catalogue of films premiering at prestigious festivals and winning multiple awards over the last few years like main prizes at Cannes, TIFF, Berlin, Locarno and Clermont-Ferrand. Wouter has been giving lectures at schools like Le Fresnoy, HEAD Geneva and Netherlands Film Academy and is an expert for Locarno Open Doors and First Cut Lab. He has moderated as well as lead workshops at festivals like IDFA, True/False, Winterthur, VIS Vienna Shorts and others. He is a Berlinale Talents alumni.For show notes visit docsinorbit.com and be sure to follow us on social media @docsinorbit for updates.
The date of the publishing of this episode is during All Hallows Tide Triduun, from October 31st through November 2nd. Commonly known as Halloween, All Saints Day and All Souls day respectively, these are times to reflect on those who have passed. Our Lady of the Good Death from Clermont- Ferrand is a beautiful image for this season. If you would like to support the podcast, become a patron through Patreon https://www.patreon.com/TheBlackMadonnaSpeaks One time donations of any amount are welcomed through Paypal at paypal.me/BlackMadonnaHeart Blessings! --- Support this podcast: https://anchor.fm/stephanie-georgieff/support
L'info qu'il faut - Vaut-il mieux prendre sa douche le matin ou le soir? Le winner du jour : - Une femme trompée se venge de facon originale - Un souvenir volé du dernier concert des Beatles réapparaît après 55 ans La Chronique de Jonathan : c'est la pénurie Le savoir inutile : Une boutique au Venezuela détient le record du monde de saveurs de glaces Le devinez-quoi : Un carburant alternatif que 72% des français utilisent chaque matin ? La chanson du jour : Mark Ronson ft. Bruno Mars "Uptown Funk" Le bonus du Double Expresso : La Nouvelle-Zélande veut taxer les pets des vaches. Les pourquoi de Max : "les bleus" 2 titres à la suite : Virginie de Toulon a gagné ses 2 billets + hébergement pour Harry Styles à Amsterdam. Le jeu surprise (le cinéphile) : Edwige de Rennes remporte 500 euros sur Spartoo. Les coffres à jouets : Carine et Lucas de Paris remporte une trottinette électrique. La Banque RTL2 : Franck de Clermont Ferrand remporte un séjour Monopoly à Rome.
La casi totalidad de los coches actuales, con excepción quizás de los TT, no llevan rueda de repuesto… ¡y la echamos de menos! Lo creas o no, hay mucho que contar sobre la rueda de repuesto, desde su invención hasta su desaparición… La culpa es de John Boyd Dunlop. ¡Toda la culpa es de Dunlop! Ahora si dices Dunlop todo el mundo piensa en una marca de #neumáticos, pero Dunlop era un señor al que, perdonarme la franqueza, le dolía el culo de ir con su bici por las bacheadas carreteras de Belfast. Y en 1887 inventó las ruedas con cámara de aire. El mundo fue mejor y la vida de los automovilistas, motoristas y sobre todo el trasero de los ciclistas agradecieron y seguimos agradeciendo al señor Dunlop su invento. Pero la perfección no es de este mundo y el invento tenía una pega: ¡Los pinchazos! ¿Las herraduras dan suerte? Sí, eso se dice, que las herraduras traen suerte. Pero desde luego eso no es lo que opinaban los automovilistas de finales de Siglo XIX y primeros del XX, donde compartían los caminos con los caballos y carretas tiradas por caballos. Y toda esa cantidad de caballos, llevaban herraduras, que se sujetan al casco con clavos… Tras Dunlop, Michelin. Pasa lo mismo que con Dunlop, si te hablo de Michelin piensas en la marca de neumáticos, pero era dos hermanos, André y Édouard que heredaron un taller de bicicletas en la localidad francesa de Clermont-Ferrand. Viendo el “curro” que tenía cambiar una cámara de bici pincha inventaron una rueda que, según sus propias palabras “pudiese cambiar cualquiera con facilidad” e inventaron los neumáticos con cámara tal y como los conocemos. Y el éxito fue total. Todo es mejorable: “Stepney". Pero con neumáticos desmontables o sin ello, el proceso siempre consumía mucho tiempo. Así que para simplificar en 1904 a Walter y Tom Davies de Llanelli se les ocurrió una idea sencilla, pero tremendamente eficaz: Llevar una o más ruedas de repuesto. Siempre sería más fácil cambiar quitar unos tornillos y cambiar la rueda completa que tener que repararla. Con su sistema cambiabas una rueda por otra y luego la pinchada la llevabas al taller, donde gente experta y con maquinaria adecuada la reparaba sin dificultad. Su empresa, Stepney IronMongers tuvo tal éxito que hoy día, más de 100 años después, en muchos países angloparlantes a la rueda de repuesta se la sigue llamando, "stepney". Y durante más de un siglo los coches llevaban rueda de repuesto y herramienta, básicamente un gato y un par de llaves, para cambiarla rápidamente y sobre la marcha. Primero iba fuera, pero con la llegada de las carrocerías autoportantes y la preocupación por la aerodinámica, pasaron a estar dentro… y este fue el principio del fin. Porque las ruedas de los coches cada vez eran más grandes, sobre todo de anchura, e incluso en ciertos coches no eran iguales delante que detrás. ¡Dame una galleta! Al principio las ruedas de repuesto eran como las otras cuatro, pero con la popularización de las llantas de aleación pasaron a ser del igual tamaño, pero llanta de chapa. Pero los coches tenían cada vez ruedas más y más grandes y encontrarlas alojamiento en el interior era cada vez más difícil. Y a alguna mente privilegiada se le ocurrió hacer unas ruedas de repuesto que llamaron de emergencia, pero que todo el mundo conoce como ruedas de galleta. Las ruedas tipo galleta se extendieron rápidamente, porque tenían la ventaja de ser baratas y ocupar poco espacio y total, para salir del lío te valían. Y llegan los kit y los “Runflat”. Y a otra mente privilegiada se le ocurrió que hay una forma de ocupar aún menos espacio que una rueda de galleta: ¡No llevar rueda de repuesto! A cambio te dan un kit reparador de pinchazos. Al llegar a este punto la respuesta está clara, ¿has intentado arreglar una rueda pinchada con estos kits? Yo sí, varias veces y la verdad es que si el pinchazo es pequeño, no resulta difícil y sales del apuro, pero si es un corte… pues no tiene arreglo. Y luego están las ruedas Runflat, que en contra de lo que se dice por ahí no son ruedas que no pinchan, sino que permiten circular con ellas pinchadas. Su funcionamiento es muy sencillo, llevan una estructura interna en la que se apoya la banda de rodadura cuando el neumático no tiene aire. A mí no me convencen, porque el comportamiento del coche no es bueno, las ruedas pesan un montón y son muy caras. Aunque, justo es reconocer, que se está mejorando en este sentido. Pero, sinceramente, yo echo de menos la tranquilidad que me daba la rueda de repuesto. Coche del día. Hablando de ruedas de repuesto he elegido el Land Rover Santana que llevé en la mili allá por finales de los ‘70 y primeros ‘80. ¿Por qué? Porque hice mucho el cabra con él, pero ver la rueda de repuesto sobre el capó me daba confianza y estéticamente, me encantaba. A veces llevaban otra más en el portón trasero.
SAMEDI 17 SEPTEMBRE 2022 Quentin Sicard - Distillerie des Scories Après des études d'œnologie puis des expériences dans de nombreuses régions viticoles, Quentin navigue dans l'univers des spiritueux et des vins depuis des années. C'est notamment ses années d'expérience à Cognac qui lui ont permis de perfectionner les techniques d'élaboration des eaux-de-vie. Ce natif de Clermont Ferrand est parti d'un constat simple : le métier de distillateur a peu à peu disparu du Puy-de-Dôme. Et face au développement de la distillerie artisanale en France, c'est en 2021 qu'il décide de créer la Distillerie des Scories à Brassac-les-Mines. Le nom n'a pas été trouvé au hasard puisque les scories sont les fragments de lave qui se solidifient dans l'air lors d'une éruption volcanique. Le but de Quentin est de proposer aux consommateurs des spiritueux haut de gamme qui allient authenticité et modernité. Pour cela, il produit le maximum lui-même à partir de matières premières agricoles. Une jolie gamme d'un London Dry Gin et d'une vodka citron est déjà proposée et une côté Pur Malt sortira d'ici quelques mois. Thomas Cabrol - Villa Pinewood Ses études en sciences agronomiques ne le prédestinaient pas vers la gastronomie et le vin. Pourtant, ce passionné d'œnologie décide d'ouvrir en 2013 avec son épouse Anne le « 5 Wine Bar » à Toulouse. Leur établissement est un véritable succès, il a d'ailleurs été élu meilleur bar à vin du monde 3 années consécutives. Le couple décidé ensuite d'aller encore plus loin. Le bar à vin est vendu, Thomas et Anne quittent Toulouse pour être au plus près de la nature et retrouvent leurs racines dans le Tarn. C'est là-bas qu'ils ouvrent en 2020 la Villa Pinewood, une maison d'hôtes de charme et y proposent une expérience oeno-gastronomique inédite. Chaque dîner est une véritable randonnée au cœur de la Montagne Noire de près de 4h. En cuisine, Thomas propose des menus uniques qui suivent les saisons. Il fait ainsi découvrir à ses convives les produits et les goûts qui jalonnent leur belle région. Pour accompagner ces plats, 1 000 références de vins sont proposées par Anne qui en parle toujours avec passion.
L'info qu'il faut - le championnat de la plus belle coupe mulet pour enfants - 70% des célibataires estiment qu'ils peuvent être séduit par la voix Le winner du jour : - Deux pilotes d'un Boeing 737 s'endorment et oublient d'atterrir - Un journaliste se fait sept fractures en direct avant un match La Chronique d'Ana : Anna a travaillé dans les Festivals cet été Le savoir inutile : Le nom du Chateau de Moulinsart a été inventé en inversant celui du hameau de Sart-Moulin Le devinez-quoi : on en perd en moyenne 20 quand on part en vacances ? La chanson du jour : Felix Jaehn "Hot2Touch" Le Bilan De Jonathan Le bonus du Double Expresso : Mettre son téléphone en mode silencieux peut augmenter le stress. Le jeu surprise (le petit bac) : Florence de Rungis près de Paris gagne une console Xbox Series S. La Banque RTL2 : Maeva près de Beauvais gagne un séjour Belambra. Amélie des Martres-de-Veyre près de Clermont-Ferrand gagne un cartable et un trousse pour la rentrée.
durée : 01:17:06 - 100% PSG, la tribune - Deuxième épisode de la saison 3 pour 100% PSG La Tribune. Le podcast débat de France Bleu Paris revient sur la victoire des Parisiens à Clermont-Ferrand 5 à 0. Une rencontre avec des nombreux enseignements à tirer pour ce PSG qui donne le sourire à ses supporters en ce début de saison.
durée : 00:29:11 - Solaé, le rendez-vous protestant - par : Jean-Luc Gadreau - Ou quand la Bible semble dire une chose et son contraire - invités : Eric Le Guéhennec Pasteur de la Fédération des Églises évangéliques baptistes de France à Clermont-Ferrand
REDIFF - A la fin de l'hiver 1956, Alfred Lindeker, connu pour son sérieux et habitant dans la banlieue de Clermont-Ferrand, va se retrouver en plein drame : la mort plus que suspecte de son épouse...
Mauro Bonazzi insegna Storia della Filosofia Antica all'Università di Utrecht e all'Università Statale di Milano. Ha insegnato anche a Clermont-Ferrand, Bordeaux, Lille e all'École Pratique des Hautes Études di Parigi. È un esperto del pensiero politico antico, di Platone e del platonismo. Tra le sue pubblicazioni ricordiamo: Atene, la città inquieta, Piccola filosofia per tempi agitati, I sofisti e Creature di un sol giorno. Collabora con il “Corriere della Sera”.
REDIFF - Au matin du 26 novembre 1991, le corps de Françoise Ferreyrolles, est découvert chez elle à Clermont-Ferrand. Son ex-mari vit en Italie, à Aoste. Le jour du meurtre, il a un alibi incontestable, il est en Italie, à son cabinet. Après 8 mois d'enquête, coup de théâtre : la police italienne vient de recueillir les confidences d'un repenti de la Mafia. Il révèle que le dentiste, Bernard Rouhalde a engagé trois tueurs à gage, pour tuer sa femme, afin d'éviter une prestation compensatoire qu'il juge trop élevée !
Chaque vendredi, l'équipe de La Loupe range dans son armoire la définition d'un concept dont vous entendez souvent parler dans l'actualité... Sans forcément en saisir tous les enjeux. Cette semaine, Erwan Bruckert, journaliste au service Économie de L'Express, vous explique le rôle des "questeurs".Retrouvez tous les détails de l'épisode ici et inscrivez-vous à notre newsletter.L'équipe :Présentation : Margaux LannuzelÉcriture et montage : Mathias PenguillyRéalisation : Jules KrotCrédits : Europe 1, France 3 Clermont-Ferrand, France Info, France Inter, INA, LCPMusique et habillage : Emmanuel Herschon / Studio TorrentLogo : Anne-Laure Chapelain / Benjamin ChazalPour nous écrire : laloupe@lexpress.fr Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Doom Tomb Podcast- Stoner Rock, Doom Metal and Sludge Metal.
New music by way of Manchester,Portland,Clermont Ferrand,Santander,Los Angeles,Madrid, Vichnza,Pasaro, and Stockholm. The links are below: Besvarjelsen: https://besvarjelsen.bandcamp.com/releases Witchfinder: https://witchfinder.bandcamp.com/album/endless-garden Sasquatch: https://sasquatchrocks.bandcamp.com/album/fever-fantasy Warcoe: https://warcoe.bandcamp.com/album/the-giants-dream Ultracombo: https://ultracombostoner.bandcamp.com/album/season-ii RedWhore: https://redwhore.bandcamp.com Grey Giant: https://greygiant.bandcamp.com/releases Greenseeker: https://greenseeker.bandcamp.com Deepshade: https://deepshadehq.bandcamp.com/album/gloaming-ep-2022 Wild Wild Wets: https://wildwildwets.bandcamp.com ***** http://doomtombpodcast.com ***** ***** Edited by Ian from No Masters Audio: https://www.instagram.com/nomastersaudio/ House band : Stone Witch https://stonewitchband.bandcamp.com https://interstellarsmokerecords.bigcartel.com (They're are working on new material right now) ***** SPONSORS : Sam Sa'House: https://www.samsahouse.com Click below for 10% off first your order! https://www.samsahouse.com/discount/sahousetomb https://www.instagram.com/samsahouse/ Saucy sauserten from sauce town. ***** Desert Records: https://www.desertrecords.us/artists/ https://desertrecords.bandcamp.com https://www.facebook.com/desertrecordslabel https://www.instagram.com/desertrecords/ When you go to the desert bring water. It's hot out there. ***** Glory or Death Records: https://gloryordeathrecords.bigcartel.com https://www.facebook.com/Gloryordeathrecords https://www.instagram.com/gloryordeathrecords/ https://www.gloryordeathrecords.com Sick variants lately , huh ?! ***** Cranium Radio(Sundays,6-9 PM EST): https://www.facebook.com/craniumradio The Doom Tomb followed by an episode of the podcast - http://craniumradio.com Listen by way of : https://streema.com https://tunein.com https://live365.com https://liveonlineradio.net/cranium-radio http://radio.garden/listen/cranium-radio/5vlWBp-R Thank you to all the new listeners ! Just a few to mention - Annie Rekshin Jenna Tools Mike Rotchburns Wayne Kerr(he told me to check out Ted Lasso) and Clint Torres(you were a hard one to get a hold of, but I'm so glad we met) ***** Social Media: Sometimes I'll go live at events- usully TikTok. https://www.instagram.com/doomtombpodcast/ https://www.facebook.com/doomtombpodcast https://www.tiktok.com/@doomtomb?lang=en https://twitter.com/DoomTombPodcast https://www.youtube.com/channel/UCYEaR0imIjYsgw-icbQPyhQ ***** Planet Mammoth: https://www.facebook.com/planetmammoth https://www.instagram.com/planetmammothentertainment/ ***** Doom Tomb Merch: https://doomtomb.bigcartel.com ***** doomtombpodcast@gmail.com Submissions, interviews, or just to say hi. ***** STAY HEAVY !!!!
A la fin de l'hiver 1956, Alfred Lindeker, connu pour son sérieux et habitant dans la banlieue de Clermont-Ferrand, va se retrouver en plein drame : la mort plus que suspecte de son épouse...
Pour le collectif ITERA In French in this CDA S3#80 (monday online), “Anthropic territories: introspection”, an interview of Yves Micault architect for the ITERA collective. In English in CDA S3#81 (wednesday online), “Les Petits Ventres-Villes” by Yves Micault for the Europan 16 team (ITERA), runners-up ex aequo project in Limoges France. En français dans le CDA S3# 80 (lundi en ligne), "Territoires anthropiques : introspection" une interview d'Yves Micault architecte pour le collectif ITERA . En anglais dans CDA S3#81 (mercredi en ligne), “Les Petits Ventre-Villes” par Yves Micault pour l'équipe d'Europan 16 (ITERA) mentionnée ex aequo pour le projet de Limoges._____Après l'obtention de sa licence à l'école d'architecture de Clermont-Ferrand, Yves Micault y poursuit son parcours dans le master EVAN (Entre Ville Architecture et Nature) qui interroge le devenir des territoires. Familiarisé avec l'urbanisme et les questions liées à l'étalement urbain, il va étudier une année à L'institut d'architecture de Moscou en Russie. Année durant laquelle il travaille notamment sur la requalification des espaces public du centre d'affaire de Moscou avec l'agence Megabudka. Il rejoint Hamonic et Masson en mars 2017 à l'occasion des études sur le Grand Paris. Il est par la suite chargé de conception dans le cadre des concours de l'agence. Runner-up ex aequo Europan 16 avec le collectif ITERA sur le site de Limoges avec le projet Les Petits Ventres Villes, Yves vient témoigner dans Com d'Archi. Il nous parle de son parcours, évoque son expérience en Russie, et approfondi le projet Europan, exemple d'introspection des territoires anthropiques pronée par le collectif. Portrait DR © Com d'Archi PodcastIngénierie son : Julien Rebours____ Si le podcast COM D'ARCHI vous plaît n'hésitez pas :. à vous abonner pour ne pas rater les prochains épisodes,. à nous laisser des étoiles et un commentaire, :-),. à nous suivre sur Instagram @comdarchipodcast pour retrouver de belles images, toujours choisies avec soin, de manière à enrichir votre regard sur le sujet.Bonne semaine à tous ! Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
durée : 00:54:35 - En scène ! "Les Précieuses ridicules", "L'Avare", "La Fontaine et le confinement", "Sentinelle". - par : Jérôme Garcin - Irez-vous voir "Les Précieuses ridicules" et "L'Avare" de Molière, "La Fontaine et le confinement" de Fabrice Luchini, "Les amants de la commune" de Laurent Seksik, "Biographie : un jeu" de Max Frisch, "Sentinelle" de Jean-François Sivadier, "Snow thérapie" de Ruben Östlund ? Avec vos critiques Fabienne Pascaud (Télérama) Armelle Héliot (Quotidien du médecin) Vincent Josse (France Inter) Jacques Nerson (L'Obs) "Les Précieuses ridicules" de Molière par Stéphane Varupenne et Sébastien Pouderoux ?? À la Comédie-Française. Au Vieux-Colombier, jusqu'au 8 mai. Deux provinciales tout juste arrivées à Paris veulent exister aux yeux d'un milieu qui ne les connaît ni ne les reconnaît. Promises à deux prétendants, elles les ridiculisent de telle façon que ceux-ci décident de se venger et de leur tendre un piège. "L'Avare" de Molière par Daniel Benoin ?? Au Théâtre des Variétés. Avec Michel Boujenah dans le rôle d'Harpagon. Aussi riche qu'avare, il n'a que deux idées en tête : épouser Mariane, dont son fils est amoureux, et qu'on ne lui vole pas une cassette qui renferme dix mille écus d'or. "La Fontaine et le confinement " par Fabrice Luchini ?? Au Théâtre des Mathurins jusqu'au 28 avril. La Fontaine y est à la fête, mais on y entend aussi du Pascal, du Baudelaire, du Céline, sans compter une brève imitation de Johnny Hallyday et surtout d'innombrables digressions. "Les Amants de la commune" par Laurent Seksik ?? Au Théâtre Antoine. Mis en scène par Géraldine Martineau, avec (encore) Isabelle Carré et Pierre Deladonchamps. A l'occasion des 150 ans de la Commune, le récit de l'histoire d'amour, en 1870, d'une femme et d'un homme qui n'étaient pas du même côté de la barricade. "Biographie : un jeu" de Max Frisch, par Frédéric Bélier-Garcia ?? Au Théâtre du Rond Point à Paris et à Nice du 27 au 30 avril, puis au Gymnase à Marseille du 3 au 7 mai. Une pièce mise en scène par Frédéric Bélier-Garcia. Un meneur de jeu incarné par Jérôme Kircher permet au professeur Kürmann (José Garcia) de réécrire son destin : car il n'aurait pas voulu rencontrer Antoinette (Isabelle Carré), et il ne demande qu'à imaginer sa vie sans elle. "Sentinelles" de Jean-François Sivadier ?? Au MC93 (puis à Besançon, Clermont Ferrand, Dunkerque, Amiens et Béthune). Un spectacle sur la passion du piano, avec Vincent Guédon, Julien Romelard, Samy Zerrouki. Ils sont ici trois jeunes pianistes virtuoses, inséparables depuis l'adolescence, mais dont les opinions sur la musique et son interprétation divergent. "Snow thérapie" de Ruben Östlund, par Salomé Lelouch ?? Au Théâtre du Rond-Point. L'adaptation du film de Ruben Östlund, jusqu'au 24 avril. Une famille est menacée d'être prise dans une avalanche. Le père (Alex Lutz) s'enfuit et ne pense qu'à sauver sa peau et la mère (Julie Depardieu), qu'à protéger ses deux enfants. Mais finalement pas d'avalanche, et le père va devoir affronter le regard de celles et ceux qu'il a abandonnés. Les très bons conseils de vos critiques Armelle Héliot : Valentine ou la passion du théâtre, par Philippe Catoire et L'Amérique n'existe pas, de Peter Bichsel, ms Dominique Lurcel (Théâtre de l'Essaïon). Vincent Josse : Rencontre avec une illuminée, de François de Brauer (Théâtre du Petit St-Martin). Jérôme Garcin : Aime comme Marquise, de Philippe Froget, ms Chloé Froget (Théâtre La Bruyère). Fabienne Pascaud : Le Dragon, de Evgueni Schwartz, par Thomas Jolly (Grande Halle, La Villette 14 au 17 avril, puis à Lille). Jacques Nerson : L'Homme sans souci, d'après Marivaux, de et avec Didier Brice (Lucernaire). Et Diptyque d'Andrew Payne : Une jolie robe et La Femme de ma vie, ms Patrice Kerbrat avec Robert Plagnol (Artistic Théâtre). - réalisé par : Xavier PESTUGGIA