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El Señor Miyagi y Tafari Makonnen son las fuentes del nombre de Miya Tafari, el rapero que le escribe a los ríos y le canta a los pueblos. Para él la música ha sido un flujo natural para la creación de comunidad y la defensa del territorio. Miya está dispuesto a seguir esta corriente que lo conecta con otros sueños y otras luchas, hasta sus últimas consecuencias, aún sin saber dónde termina el río. Esta es la historia de un cantante expulsado por el sistema y recibido por El Salto, una ciudad que tuvo una cascada paradisiaca y ahora solo tiene un río muerto. Todos los ríos tienen el mismo cauce fue reporteada, escrita y narrada por Mitzi Pineda. Esta historia fue editada por Fernando “Micro” Hernández Becerra. Mezcla y diseño sonoro de Luis Raúl López y Micro. Sandra Fernández es nuestra asistente de producción y fact checker. Agradecimientos especiales en este episodio para Estefany Cuéllar y la organización “Un Salto de vida”. Música en este episodio de John Bartmann, Monplaisir, Loyalty Freak Music, Luis Raúl López y Miya Tafari. La canción “Regresen nuestro río” está escrita e interpretada por Miya Tafari. Puedes encontrar más música de Miya Tafari en su canal de Youtube y contenido extra de esta historia en nuestra página estonoesradio.mx
El Señor Miyagi y Tafari Makonnen son las fuentes del nombre de Miya Tafari, el rapero que le escribe a los ríos y le canta a los pueblos. Para él la música ha sido un flujo natural para la creación de comunidad y la defensa del territorio. Miya está dispuesto a seguir esta corriente que lo conecta con otros sueños y otras luchas, hasta sus últimas consecuencias, aún sin saber dónde termina el río. Esta es la historia de un cantante expulsado por el sistema y recibido por El Salto, una ciudad que tuvo una cascada paradisiaca y ahora solo tiene un río muerto. Todos los ríos tienen el mismo cauce fue reporteada, escrita y narrada por Mitzi Pineda. Esta historia fue editada por Fernando “Micro” Hernández Becerra. Mezcla y diseño sonoro de Luis Raúl López y Micro. Sandra Fernández es nuestra asistente de producción y fact checker. Agradecimientos especiales en este episodio para Estefany Cuéllar y la organización “Un Salto de vida”. Música en este episodio de John Bartmann, Monplaisir, Loyalty Freak Music, Luis Raúl López y Miya Tafari. La canción “Regresen nuestro río” está escrita e interpretada por Miya Tafari. Puedes encontrar más música de Miya Tafari en su canal de Youtube y contenido extra de esta historia en nuestra página estonoesradio.mx
Canons et tableaux Histoire Vivante s’intéresse cette semaine au marché de l’art sous l’occupation et retrace la vie d’Emil Georg Bührle, industriel vendeur d’armes et grand collectionneur d’art. Une semaine dont le fil rouge est l’ouvrage collectif intitulé "Schwarzbuch Bührle, Raubkunst für das Kunsthaus Zurich? - Le livre noir de Bührle, de l’art spolié pour le Kunsthaus de Zurich?", et avec les entretiens des historiens Hans Ulrich Jost, Thomas Buomberger, Matthieu Leimgrüber, le critique d’art Guido Magnaguagno, et le germaniste et critique littéraire Charles Linsmayer. En 2015, un groupe d'auteurs publie le livre noir de Bührle. Cet ouvrage a incité la ville et le canton de Zurich à confier à l'université le soin de mener des recherches. L'étude Leimgruber de l'université de Zurich vient d'être publiée: elle porte sur l'armurier Emil Georg Bührle et sa collection d'art. L'historien Jakob Tanner déclare dans un avis d'expert que le rapport de recherche de Leimgruber est d'une grande importance pour l'histoire de la Suisse et de Zurich. Le débat autour de la création de ce rapport de recherche a montré que le souvenir des taches sombres de notre passé récent ne peut être réalisé qu'avec l'implication d'un public critique et ne peut être laissé à la seule Société zurichoise des arts plastiques et à la Fondation Bührle. Zurich a maintenant la possibilité de mettre en œuvre une approche exemplaire pour la Suisse, transparente et innovante d'un patrimoine culturel lourd et gênant. Dimanche 28 février à 23h00 sur RTS Deux, vous pourrez découvrir "Le marché de l'art sous l’occupation" un documentaire de Vassili Silovic (France, 2020). Photo: L'entrepreneur zurichois Emil Georg Bührle (au centre) a fait sa fortune en fabriquant des armes, notamment des canons, à Oerlikon. Ici, en 1954, avec Tafari Makonnen (à gauche), régent d'Ethiopie et dernier empereur d'Abyssinie. (© KEYSTONE/Ilse Guenther)
Campus – Ex-Big Sat (Côte d’Ivoire)Morceaux des années 90, où en Côte d’Ivoire ça chauffe pas mal. Notamment parce que le vieux Félix Houphouët-Boigny est au pouvoir depuis l’indépendance, c’est à dire plus de 30 ans. Vieil ami de la France, sans doute a-t-il bénéficié de quelques aides de ses protecteurs. Au début des années 90, commencent les premières grandes grèves et manifestations. On demande plus de libertés, plus de moyens dans l’éducation et la santé, et l’ouverture du gouvernement au multipartisme. Et c’est sur les campus d’Abidjan que les heurs sont les plus virulents, les étudiants et lycéens chargeant la police.En 1993 Houphouët-Boigny décède. Son successeur, ancien président de l’Assemblée Nationale, s’appelle Henri Konan Bédié, durant son mandat qui durera 6 ans, Il utilise l'idée de « l'ivoirité », notion selon laquelle une personne ne serait vraiment ivoirienne, et donc pourrait se présenter à l'élection présidentielle, que si son père et sa mère sont d'origine ivoirienne. Ceci permet notamment d’écarter son principal rival, Alassane Ouattara, à l'élection présidentielle ivoirienne de 1995. Ouattara que l’on retrouvera en 2011 avec la crise des élections avec Laurent Gbagbo. Taximen – Amadou Balaké (Burkina Faso)Et ce qui est cocasse c’est qu’Amadou, dans les années 60, il était taxi à Ouagadougou, il sait de quoi il parle. C’est ce qu’on se demande aussi si, un peu comme dans la chanson... « les taxis c’est pour eux-mêmes ou si c’est pour satisfaire la masse. Un Taximan qui te dit dite là-bas, tu vois pas où je va ? Je suis pressé ! Ou bien il te dit, monsieur moi y a pas monnaie, y a pas le temps » Amour – Les Fantaisistes de Carrefour (Haïti)Après avoir obtenu l’indépendance par les armes en 1804, le peuple haïtien a été contraint de passer à la caisse. Oui oui vous avez bien entendu ! Je paye pour qu’on me rende mon indépendance ! En 1825, par la volonté du roi Charles X, et pour qu’il puisse accepter de reconnaître l’indépendance, Haïti doit « échanger » sa future indépendance contre 150 millions de francs-or. Cette somme, réduite par la suite à 90 millions, était censée permettre d’indemniser les colons français installés en Haïti, obligés par les événements, à abandonner leurs biens et à quitter l’île. Les Haïtiens ont dû payer cette drôle de « dette » jusqu’en 1884. Chichicastenango – Marimba Chapinlandia (Guatemala)Le marimba, vous connaissez ? C’est du xylophone quoi. Mais un xylo particulier qui a sous les petites dalles de bois, sur lesquelles on tape, des tuyaux en métal qui servent de résonateurs.À la base c’est un instrument qui vient d’Afrique, d’ailleurs « marimba » c’est un mot d’origine bantoue. D’ailleurs qu’est-ce que ça veut dire « bantoue » ? Bantoue ça veut dire humain. On raconte que les premiers explorateurs demandaient aux tribus, comment s’appelait les autres tribus, et les autochtones répondaient « bantou ». De fil en aiguille tout le monde s’est appelé bantou, c’est à dire humain. Tout le monde s’appelait « humain »... Ras Mass 75 – Brother Valentino (Grenade)« Ras » c’est « le chef » en éthiopien, un peu comme Négus qui veut dire « Roi », « Seigneur. » « Ras Tafari » c’est le seigneur Tafari Makonnen, c’est à dire « Haïlé Sélassié Ier » dernier empereur d’Éthiopie, que l’on appelle aussi le. Nintsika Jiaby Iz’ty – Jaojoby (Madagascar)« Nintsika Jiaby Iz’ty » veut dire « voilà qui nous somme ».Eusèbe Jaojoby, un des artistes les plus connus de Madagascar voilà qui il est.Il fait partie de ce courant qui a réinventé la musique malgache.Originaire non loin de la capitale de la vanille, c’est à dire Sambava, au Nord-Est de l’île.Il a opéré dans le salegy, ce style de musique typique de Madagascar, une grande révolution et modernisation notamment grâce à l’arrivée des instruments électriques qui ont débarqué juste après la décolonisation. Chien la Jappe – Ti Céleste (Guadeloupe)Le Gwo-Ka. C’est ce style de musique traditionnel qui vient directement des esclaves. Il se jouait avec de grand tambour qui était construit à partir de tonneaux, que l’on appelait à l’époque gros-quart, et Gwo-Ka c’est la déformation créole de gros-quart. C’est à la fois une musique et une danse qui sont une des 17 pratiques classifiées dans l’Inventaire du patrimoine culturel immatériel en France, avec elle aussi son cousin le Maloya musique traditionnel de la Réunion. Mais il y a aussi la gastronomie, le compagnonnage, la dentelle d’Alençon, les parfums de Grasse etc... Bref tout le savoir-faire de la France. Sun Sun Damba – Carlos Puebla & Pedro Sosa (Cuba)En 1959, les révolutionnaires prennent le pouvoir et deviennent bientôt célèbres dans le monde entier. La suite sera encore plus extraordinaire, cette petite île fait trembler le monde et retient l’attention des plus grandes puissances, régulièrement contraintes de bousculer leurs agendas par les prises de positions de Fidel Castro. En Afrique c’est le temps des indépendances et l’on voit en Cuba un pays fier et fort. Cuba jouera un rôle prépondérant dans le monde à cette époque, et encore plus en Afrique où Che Guevara se rendra de nombreuses fois, en Algérie, en RDC et dans tout le continent pour distiller les paroles du Lider Maximo et aider logistiquement les pays par les transferts de connaissance. On sait par exemple qu’au Mozambique, Cuba formait des médecins, des ingénieurs etc... Et la culture révolutionnaire qu’ils apportaient a permis à de nombreux pays, de relever la tête, et retrouver leur identité. Cuba a aussi beaucoup influencé l’Afrique de par les styles et les méthodes de musiques. Kungo Sogoni – Nâ Hawa Doumbia (Mali)L’ethnie la plus présente au Mali et dans l’Ouest africain : Les mandingues.Ils sont 20 millions. Du Sénégal au Burkina, en passant par la Côte d’Ivoire et le Mali justement.Le style de musique que chante Nâ Hawa Doumbia c’est ce que l’on appelle du « didadi ». C’est originaire du sud du Mali, la région d’où elle vient.En 1981, elle a 21 ans, et elle remporte la première édition du concours découverte RFI.Son mari N’Gou Bagayoko assure la partie instrumentale à la guitare sèche. N'na Soba – Balla et ses Baladins (Guinée)Fin des année 60 à Conakry ! Tu la sens l‘influence de Cuba là ? Hein, tu la sens ? Balla et ses Baladins, un groupe légendaire dans la Guinée de cette époque, et N’na Soba c’est un des titres phare de ce groupe que l’on appelait aussi Orchestre du Jardin de Guinée. Les deux formations étaient composées des mêmes artistes. Le chef ? Balla Onivogui ! Fuguei Na Escola – Teta Lando (Angola)Un bijou signé Alberto Teta Lando. Un 45 tours sortie en 1973. Un single enregistré dans les studios du label « N’gola ». Des studios prestigieux où tout le beau monde de la musique angolaise est passé.J’ai fui l’école pour aller jouer au ballon, « fuguei na escola para jogar a bola ».Si ce n’est pas un morceau plein de Saudade ça, moi je ne m’y connais pas. La nostalgie de l’enfance, quel délice l’école buissonnière, tout ça sur ce petit son langoureux plein de douceur...
Rastafari is a belief which developed in Jamaica in the 1930s, following the coronation of Haile Selassie I as Emperor of Ethiopia in 1930. Its adherents worship Haile Selassie I, emperor of Ethiopia (ruled 1930–1974), much in the same way as Jesus, or as God the Father. Members of the Rastafari way of life are known as Rastafari, Rastas, or simply Ras. The name Rastafari is taken from Ras Tafari, the title (Ras) and first name (Tafari Makonnen) of Haile Selassie I before his coronation. Some Rastafari do not claim any sect or denomination, and thus encourage one another to find faith and inspiration within themselves, although some do identify strongly with one of the "Mansions of Rastafari"—the three most prominent of these being the Nyahbinghi, the Bobo Ashanti, and the Twelve Tribes of Israel. By 1997 there were around one million Rastafari worldwide. In the 2011 Jamaican census, 29,026 individuals identified themselves as Rastafari. Other sources estimated that in the 2000s they formed "about 5% of the population" of Jamaica, or conjectured that "there are perhaps as many as 100,000 Rastafari in Jamaica".
A YardStyle mix up honoring Haile Selassie I's B-Day 23 July 1892, born Tafari Makonnen was Ethiopia 's regent from 1916 to 1930 and Emperor of Ethiopia. N~JoY this conquering Lion&Lioness Selection. Chune played: 1.Jacob Miller-Baby I Love You 2.Casava Piece-EarL 16 3.King Tubbys meet Rockers Uptown Dub version-Augustus Pablo 4.Jah Army-Stephen Marley&Damian"Jr.Gong Marley(CrispBiskit) 5.Take A Look-Kenny Knots meets De Bush Chemists L.P. 6.*My Generation-Gregory Isaacs 12"ver. 7.Still Blazin-Alborosie (YardStyle X-clusive) 8.Live Melody, Fire De A Mus Mus Tail,mood 4 LoVe-Frankie Paul backed by Lloyd Parks&We the People Band 9.More I Think of You-Mikey Spice 10.Always Yours-Mr.Easy 7". 11.Better When We LoVe-Pressure 7". 12.Crying-Jah Man 7"' 13.The LoVe of Mine-Norris Man 7". 14.Let's do it Again-J-Boog YardStyle's Acoustic Mix Special. 15.Respect-Jah Cure 7". 16.WiLdFire-Tarrus Riley 7". 17.Killing mi Softly 12"(refix ver)-Kashief Lindo and Sophia George 18.Cool Breez-Malika Madremana (YardStyle X-clusive) Once again Mahalo and Much Raspect 4 staying with YardStyle. We appreciate all you put in to our PayPal to keep the Bandwidth and Jah Works going. Alwayz good to hear from our listeners out dea, please itinue to email us hear @YardStyle, also post your comments faward to www.yardstyle.podomatic.com Peace&Aloha, Daddy E.& Mana B.
Duncan Etches spent two years at the Tafari Makonnen school in Addis Ababa, Ethiopia. A graduate of UBC, first in Chemistry and then medical school, Duncan remembers the the value of learning from his placement overseas. Duncan has remained interested in global issues, as well as local. Duncan spoke with Mark Manns, a CUSO-VSO volunteer, at the 50th Anniversary event at UBC on December 4th, 2010.This podcast was recorded during CUSO-VSO's 50th Anniversary Kick-off celebrations in Vancouver, BC. CUSO-VSO is proud to honor 15,000 volunteers and 35 million service hours in over 40 countries. The views expressed in these podcasts do not necessarily reflect the views of CUSO-VSO or its supporters. At CUSO-VSO, we believe we are changing the world, one volunteer at a time.