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Ceci est un extrait du 5ème quart d'heure de la semaine : toute l'équipe fait son bilan, calmement, de l'année écoulée !Pour écouter le 5ème Quarts d'Heure en intégralité, abonnez-vous à Supercast ici : https://4quartsdheure.supercast.com/Abonnez-vous à 4 Quarts d'Heure sur votre plateforme préférée : https://tr.ee/MEaR8W9S9GSuivez-nous sur Instagram :4 Quarts d'Heure : @4quartsdheureLouise : @petrouchka_Alix : @alixmrtnCamille : @camille.lorenteAu montage de cet épisode Alphonse GausslinAu mixage et à la prod Zu Aux réseaux Coline Jamait Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
DESCRIPCIÓN: Un espacio para reírnos, indignarnos y decir en voz alta lo que muchas y muchos viven en silencio: conciliar trabajo y cuidados no es un “equilibrio”, es una ecuación imposible que seguimos resolviendo como podemos, con entrevistas a quienes lo viven, lo estudian y lo sufren- Con la Conducción de Ceci Nardone y Vale Pasmanter.
À quoi vont ressembler les futurs vitraux modernes de Notre-Dame de Paris ? Lauréate du concours organisé par le ministère de la Culture, la plasticienne Claire Tabouret présente pour la première fois au public son travail. Ceci dans le cadre d'une double exposition du Grand Palais – dont l'autre parcours est signé Eva Jospin –, à découvrir jusqu'au 15 mars 2026. À lire aussiÉlodie Schneider: l'engagement d'une vitrailliste à Notre-Dame de Paris
En Côte d'Ivoire, alors que la récolte du gingembre démarre, les acteurs de cette filière planchent sur une meilleure organisation de la filière. Le pays produit environ 7 000 tonnes par an, mais il reste loin derrière le Nigeria, le Cameroun et le Mali. Près de 1 270 producteurs s'investissent dans ce domaine. Parmi eux, à peine 20 % sont regroupés en association. C'est une filière encore peu structurée… Mais les producteurs s'accrochent, car selon eux, cette filière est rentable. « Le kilogramme se vend actuellement à 1 000 francs CFA. Pour un tas de 50 kg, cela vous fait 50 000 francs CFA », affirme Kouamé Koffi, le président de la filière gingembre en Côte d'Ivoire. L'essentiel de la production locale est orienté vers les marchés internes. Transformation encore embryonnaire On trouve dans certains commerces des jus, des poudres et du gingembre séché. Mais ces marchandises sont peu développées, en raison du manque d'équipement des entreprises. « Les machines qui produisent en grande quantité se trouvent à l'étranger. Et quand on a la possibilité de les acquérir, on a un problème de maintenance », explique le Dr Opportune Kouadio, la présidente de l'association des transformateurs de gingembre. Autre difficulté : l'acquisition de la matière première, qui n'est pas toujours disponible en quantité et en qualité toute l'année. Filière impactée par les changements climatiques Les principales zones de production se concentrent autour de Koun-Fao, Bongouanou, de Tiassalé ou encore de Divo. Mais pour l'heure, la productivité est encore faible : elle est de 7 tonnes/ha, contre 28 t/ha en Indonésie. Ceci est lié aux méthodes de travail rudimentaires : « Les producteurs sèment le gingembre avec des dabas et utilisent des machettes, c'est une méthode très lente », explique le président de la filière gingembre. Par ailleurs, le changement climatique, et notamment, la variation de la pluviométrie a fortement contribué à la baisse de la production, poursuit cette source, qui estime qu'investir dans un système de goutte à goutte serait une solution à long terme. Appui de la recherche Les producteurs bénéficient de l'appui de la recherche. À l'image du Firca (Fonds interprofessionnel pour la recherche et le conseil agricole) qui pourrait proposer, d'ici 2027, des variétés à haut rendement qui pourront avoisiner les 20 tonnes/ha. À lire aussiEn Côte d'Ivoire, la production de la filière avicole est en hausse
À quoi vont ressembler les futurs vitraux modernes de Notre-Dame de Paris ? Lauréate du concours organisé par le ministère de la Culture, la plasticienne Claire Tabouret présente pour la première fois au public son travail. Ceci dans le cadre d'une double exposition du Grand Palais – dont l'autre parcours est signé Eva Jospin –, à découvrir jusqu'au 15 mars 2026. À lire aussiÉlodie Schneider: l'engagement d'une vitrailliste à Notre-Dame de Paris
Tous les matins à 7h50 sur Chérie FM, Dimitri pose 3 questions sur l''actualité insolite ou légère des dernières 24 heures !
Chaque matin à 8h10 sur Chérie FM, Tiffany vous dévoile le chiffre qui fait l''actualité !
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Ceci est un extrait du 5ème quart d'heure de la semaine : Louise nous parle de son parcours qui est l'inverse de mettre les choses sous le tapis !Pour écouter le 5ème Quarts d'Heure en intégralité, abonnez-vous à Supercast ici : https://4quartsdheure.supercast.com/Abonnez-vous à 4 Quarts d'Heure sur votre plateforme préférée : https://tr.ee/MEaR8W9S9GSuivez-nous sur Instagram :4 Quarts d'Heure : @4quartsdheureLouise : @petrouchka_Alix : @alixmrtnCamille : @camille.lorenteAu montage de cet épisode Alphonse GausslinAu mixage et à la prod Zu Aux réseaux Coline Jamait Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Ceci est le dernier épisode de l'année 2025. C'est aussi le moment pour moi de réaliser que parlons B. a 5 ans et de regarder rapidement le chemin parcouru. J'ai l'impression de m'être lancée il y a 5 jours seulement, l'excitation est toujours au beau fixe et mon goût pour les rencontres n'a pas changé. Ce qui demeure aussi c'est mas passion pour les autres et leurs talents et pour ce que je désigne plus globalement par le Beau avec un grand B. Vous avez dû l'entendre dans l'épisode sur Apoticari, j'ai évoqué mon désire d'ouvrir un peu plus grand les portes de parlons B. Dès 2026, l'idée va être de parler de la beauté certes mais du Beau surtout, de ces petites choses qui nous font du bien et ça peut être tellement vaste. Je m'en réjouis d'avance et l'épisode qui suit marque la transition parfaite. Il y a quelques semaines, j'ai eu la chance de rencontrer une jeune maison de vêtement pas comme les autres. Charlène, sa fondatrice, vient du monde de la couture mais c'est pourtant à une attachée de presse que je connais pour la beauté et bien-être (coucou Ines) qu'elle a fait appel. Un choix audacieux qui en dit long sur Nicha, cette maison française qui convoque le bien-être dans l'importance de ses coupes parfaites afin de sentir bien dedans, de ses tissus en fibre naturelle et de son utilisation de la lithothérapie. Car oui, de façon aussi discrète qu'extrêmement intelligente, Charlène pare ses étoffes d'Améthyste, d'oeil de tigre, de nacre ou autres pierres bienfaisantes dont certaines sont transformables en bijou. C'est absolument somptueux et je vous laisse de ce pas avec Charlène. Bonne écoute ! --Venez écouter, apprendre et éveiller votre conscience aussi sur notre compte Instagram : @parlonsbpodcastInterview, prise de son et montage réalisés par Nolyne Cerda.Le jingle est une création originale de Julien R.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tout le monde s'attendait à voir “le PSG de la Ligue 2” écraser la compétition. L'AS Saint-Étienne termine finalement la phase aller du championnat en 2e position, à 5 points de Troyes et en attendant l'issue du match Bastia-Red Star. Ceci, avec 35 buts inscrits mais aussi 25 encaissés, 5 défaites concédées et des prestations irrégulières. Jérémy Marillier, qui commente tous les matches des Verts sur Ici Saint-Étienne Loire, est mon invité pour analyser ces premiers mois de compétition. Au programme :
Chaque matin à 8h10 sur Chérie FM, Tiffany vous dévoile le chiffre qui fait l''actualité !
Ceci est un extrait de l'épisode 253 avec le sociologue Romain DelèsHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Phil et moi on parle un peu de Noël et je tiens à préciser une fois de plus que nous ne sommes pas commandités par Trema. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Un jeu de choix, version Noël.Ceci ou cela, sans prise de tête, pour se reconnaître dans les réponses et partager un moment léger.Un épisode à écouter comme on boit un chocolat chaud.✨Mentionnés dans l'épisode :L'épisode : La VRAIE magie de Noël !L'épisode : Nos noëls minimalistes
DESCRIPCIÓN: Un espacio para reírnos, indignarnos y decir en voz alta lo que muchas y muchos viven en silencio: conciliar trabajo y cuidados no es un “equilibrio”, es una ecuación imposible que seguimos resolviendo como podemos, con entrevistas a quienes lo viven, lo estudian y lo sufren -Con la conducción de Ceci Nardone y Vale Pasmanter.
Chaque matin à 8h10 sur Chérie FM, Tiffany vous dévoile le chiffre qui fait l''actualité !
Avec Antho,Karim, Marie-Lise, Ju et Juloze !
Ceci est un extrait du 5ème quart d'heure de la semaine : Alix nous parle de sa séparation avec Taylor SwiftPour écouter le 5ème Quarts d'Heure en intégralité, abonnez-vous à Supercast ici : https://4quartsdheure.supercast.com/Abonnez-vous à 4 Quarts d'Heure sur votre plateforme préférée : https://tr.ee/MEaR8W9S9GAvez-vous vu La vidéo home organizing de Camille ?Suivez-nous sur Instagram :4 Quarts d'Heure : @4quartsdheureLouise : @petrouchka_Alix : @alixmrtnCamille : @camille.lorenteAu montage de cet épisode Alphonse GausslinAu mixage et à la prod Zu Aux réseaux Coline Jamait Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Ceci est une rediffusion d'un épisode déjà diffusé en mars 2023.
Réponses aux questions des auditeursComment peut-on relancer quand on n'a pas le mail de la personne qui recrute ?Est-ce qu'il est pertinent de relancer après une première prise de contact sans réponse ou vaut-il mieux laisser passer ?Comment revenir vers des contacts réseau sans paraître trop insistant après plusieurs mois ?Comment demander des conseils à des dirigeants sans avoir l'impression de profiter de la situation ou d'être trop lourd ?Quelqu'un a-t-il essayé Boost My Job, l'application qui donne des adresses mail de managers ciblés ?`Comment viser une prise de contact sur des sujets qui valorisent l'interlocuteur ?Est-il plus difficile de solliciter des chefs ou directeurs pour un entretien réseau ?Que signifie exactement une “recherche d'emploi longue” ?-- Ressources --✊ Se faire coacher pour trouver un job ou en bilan de compétences: www.albanmasse.com
Est-ce que les Églises prennent le problème du racisme au sérieux? Le message de Jésus était pour l'ensemble de l'humanité. Alors, pourquoi retrouvons-nous toujours du racisme à l'intérieur de nos Églises? Pourquoi est-ce si difficile de changer ou de voir les choses du point de vue de l'autre? Dans cet épisode, Joan et Stéphane partagent des expériences d'inconfort, réfléchissent sur nos biais et discutent de la différence entre racisme et racisme systémique. Site Internet: https://questiondecroire.podbean.com/ ApplePodcast: https://podcasts.apple.com/us/podcast/question-de-croire/id1646685250 Spotify: https://open.spotify.com/show/4Xurt2du9A576owf0mIFSj Réforme: https://www.reforme.net/podcast/ Contactez-nous: questiondecroire@gmail.com Notre commanditaire: L'Église Unie du Canada Moncredo.org * Musique de Lesfm, pixabay.com. Utilisée avec permission. * Photo de Brian Lundquist, unsplasch.com. Utilisée avec permission. Bonjour, bienvenue à Question de croire, un podcast qui aborde la foi et la spiritualité, une question à la fois. Cette semaine, est-ce que les Églises prennent le problème du racisme au sérieux? Bonjour Stéphane. Bonjour, Joan, bonjour à toutes les personnes à l'écoute. Avoir des biais et des préjugés [Joan] J'ai une anecdote qui me concerne. C'est-à-dire que pour une fois, je me moque de moi-même. J'avais une réunion avec un collègue et pendant la même réunion, je me suis plainte à un moment donné d'un racisme que je considérais résiduel dans la communauté. Et à un autre moment de la réunion, je ne sais pas ce qui m'a pris, mais j'ai imité une dame d'un certain âge de la bourgeoisie genevoise. Parce qu'elle m'avait parlé, elle m'avait dit « oh, mais enchantée, très bien, très bien ». Et j'avais bien réussi à l'imiter. Ils rigolent un peu, puis le collègue me dit « Ce n'est pas raciste ça, d'imiter une vieille dame bourgeoise genevoise ?». Alors, je ne sais pas. Je suis restée avec cette question, à m'interroger moi-même sur mes propres ressorts un peu racistes, un peu classistes. Est-ce que c'est OK de se moquer des accents bourgeois? Après tout, elle a été élevée comme ça. Une fois, on avait parlé, toi et moi, et tu m'avais dit, c'est vrai que je suis un mec blanc depuis plus de 50 ans, mais je ne l'ai pas choisi. C'est vrai que souvent, quand on est bourgeoise et âgée, ce sont des choses qu'on ne choisit pas vraiment. Est-ce qu'on choisit son accent? Est-ce qu'on doit en changer pour avoir l'air moins bourgeoise ou moins française ou moins autre chose? Probablement pas, finalement. Donc voilà, on a nous-mêmes nos propres biais et ça peut être intéressant d'y réfléchir. La difficulté avec les pasteurs venus d'ailleurs [Stéphane] C'est vrai que je n'ai pas choisi d'être caucasien. Je n'ai pas choisi de naître en Amérique du Nord. Comme je dis souvent, si j'étais venu au monde au Burkina Faso, ma vie serait complètement différente. Je crois qu'il y a un peu d'angélisme dans les Églises, dans le sens où on a cette idée que nous sommes une Église universelle, que Jésus accueille tous et toutes et sans distinction. Oui, je suis pas mal convaincu que Jésus-Christ accueille tous et toutes. Le problème, ce sont les gens dans l'Église… c'est malheureusement une autre chose. Qu'on le veuille ou qu'on ne le veuille pas, les Églises chrétiennes ont un lourd passé colonial. On envoyait des gens avec un message quand même assez clair, vous allez dans des pays sous-développés, vous allez les sortir de leur culture et religion primitive. Maintenant qu'il y a ce qu'on appelle une crise de vocation dans nos Églises, nous avons de la difficulté à trouver des pasteurs occidentaux. On se dit bon, on a été évangéliser les gens là-bas, ben ils vont nous renvoyer des pasteurs. C'est un échange de bons procédés. Et d'un coup, hop, ils sont différents, ils parlent différemment, ils arrivent avec d'autres cultures. Là, ça ne marche pas. Donc, il y a une espèce de pensée magique que le racisme, la discrimination ou du moins l'inconfort n'existent pas. Ce n'est pas vrai. Prendre le temps de bien se comprendre [Joan] J'aime beaucoup que tu parles de l'inconfort. Je trouve ça génial en fait. L'inconfort, c'est ce qu'on ressent tous et toutes lorsqu'on est avec quelqu'un de différent. Et c'est ok de ressentir de l'inconfort. Quand c'est quelqu'un qui est dans une situation de vulnérabilité, c'est une personne qui fait déjà beaucoup d'efforts, ce n'est pas ok de lui montrer notre inconfort en fait. Il faut qu'on arrive à trouver d'autres endroits où déposer cet inconfort. Quand c'est quelqu'un qui nous met dans une situation un peu inconfortable, mais qu'elle le fait un peu sciemment et qu'elle le fait depuis une place quand même avec des privilèges, on peut l'interpeller et lui poser la question. Et ça se passe bien souvent. J'anime une petite page Instagram, trois fois rien, sur le ministère que j'ai la bénédiction de vivre depuis trois mois avec des personnes qui sont en situation migratoire, et pour une partie d'entre eux, qui sont en train de s'installer ici en Suisse. Et sur cette page Insta, dont je peux donner la référence si les gens nous écrivent, pas de problème, je racontais qu'à la fin d'une entrevue avec une marraine, donc une dame qui va former un tandem avec quelqu'un qui est arrivé depuis pas longtemps en Suisse, à la fin de la conversation, elle me dit « Mais pourquoi vous dites tout le temps “comme dit” ? » En fait, ça vient de wiegesatack et c'est un alsacisme. En fait, les Alsaciens disent « comme dit » pour dire « comme nous l'avons dit » ou « comme je te l'ai dit » ou « comme ça a été dit ». On dit « comme dit ». Elle me l'a dit comme ça, un peu à brûle pour point, mais avec un sourire et tellement gentiment. Et elle m'a expliqué qu'en fait, ça faisait une heure que je lui répétais « comme dit », « comme dit », « comme dit ». Et puis moi, je n'en avais pas du tout conscience. Donc parfois on est un petit peu inconfortable, notamment parce que c'est une expression qu'on ne comprend pas, qu'on n'est pas sûr de suivre le fil de l'autre. Je me rappelle qu'une fois, je parlais avec un collègue congolais qui s'appelle Moussa et que je salue au passage. Et j'avais besoin d'avoir une réponse à une question. Il me dit « Ah, si, si. Non, non. Voilà! » Voilà, j'avais des réponses, cela dit, mais pas du tout celle que j'attendais. C'est intéressant, parce que des fois ce n'est pas possible. On n'arrive pas à répondre. Il y a une distance culturelle. La question telle que posée ne correspond à rien, cognitivement, de ce que nous on connaît. Et si, sinon, on voit là, c'est une façon très polie de dire, voilà, laisse-moi du temps, je n'y suis pas encore, ta question me surprend, je ne la comprends pas. C'est OK aussi de se prendre ce temps-là. Ça peut éviter des réactions racistes, en fait, de se donner du temps. Le racisme ethnique dans la Bible [Joan] Par rapport au racisme, il y a eu un avant et un après pour moi dans ma lecture de la Bible. Et c'est quand j'ai compris que Aaron, le frère de Moïse, avait renvoyé dans le désert les femmes étrangères dans une espèce de recherche de purification ethnique. Vous ne vous marierez pas avec des étrangères parce qu'elles avaient d'autres dieux, elles n'avaient pas un dieu unique ou alors pas le dieu unique tel que le peuple hébreu le comprenait. J'étais saisie d'horreur et je me suis dit, mais quel racisme horrible de prendre des femmes, d'avoir des relations avec ces femmes, même des enfants, et puis d'un seul coup de leur dire « on ne veut pas de vous, on vous renvoie dans le désert ». Qu'est-ce qu'elle peut bien devenir, une femme seule ou plusieurs femmes seules dans le désert, parfois avec des bébés sous le bras? Quel est leur avenir en fait? Je me suis rendu compte que la Bible portait en elle beaucoup d'histoires teintées par ce racisme, ce racisme ethnique, tribal, ce besoin un peu de purification, et tout ça pour honorer Dieu. C'est dur, après, d'en faire quelque chose, de s'en saisir et de s'en dessaisir, d'être loyale; ça, c'est notre épisode de podcast d'il y a deux semaines. Et en même temps, de ne pas tomber dans une sorte de sectarisme, de racisme, quoi. Tenter de devenir conscient du problème du racisme [Stéphane] C'est vrai que les écrits bibliques ne sont pas neutres. C'est l'histoire du peuple de Dieu, donc avec tout ce qu'il y a de plus beau et de moins beau. C'est sûr qu'on aime bien le passage de Galates, chapitre 3 : « Il n'y a plus de Juifs, ni Grecs; il n'y a plus d'esclaves, ni libres; ni hommes ni femmes. Nous sommes tous un en Jésus-Christ. » Puis là on dit: “ah que c'est beau”. Mais lorsqu'on y pense quelques secondes, pourquoi l'auteur a-t-il voulu écrire ça? C'est parce que, probablement, il y avait un problème. Probablement, il y avait des gens qui disaient « Ah, eux, ce sont des Grecs; eux, ce sont des Juifs; puis eux, ce sont juste des esclaves; nous, on est libres. » Il y a ces problèmes-là qui sont là probablement depuis le début de l'humanité et l'Église n'y échappe pas; il faut en être conscient. Ça ne veut pas dire qu'on est mauvais, mais lorsque l'on devient conscient du problème, on peut y travailler. L'Église Unie a décidé, il y a quelques années, d'être une église antiraciste. Encore une fois, bravo, mais cette position-là a émergé après que plusieurs personnes aient raconté des histoires vraiment touchantes et très tristes, de racisme et tout ce qui venait avec, de discrimination, de commentaires vraiment pas gentils. L'Église a pris conscience du problème. Elle n'a pas dit qu'on est meilleur, non ça n'existe pas. L'Église a plutôt décidé de dire, oui, nous avons un problème et nous allons y travailler. Nous allons y faire face. Et c'est ça qui est difficile pour une Église, une paroisse, d'être capable de reconnaître notre problème. Multi culturalité et interculturalité [Joan] Tu sais qu'en fait, ce verset de Galates 3, mais tu dois le savoir, en tout cas tu l'as appris dans un de tes cours de théologie, se situe dans un contexte de liturgie de baptême. Et du coup, on a commis un petit article, ma collègue Juliette Marchais et moi, collègue qui exerce en Alsace, dans le bouquin Bible, genre et sexualité, ni mâle et femelle, sous la direction de Sébastien Douane. C'est un petit peu notre article qui a donné le nom au bouquin. On a fait un article sur la question des liturgies de baptême. Est-ce que les liturgies de baptême utilisent Galate 3? Et la réponse est non. C'est-à-dire qu'en fait, il en est fait mention parfois dans les marges, ou bien un petit peu. Par exemple, ils disent « il n'y a plus ni homme ni femme, car vous êtes un en Jésus-Christ ». Et puis le côté « ni juif, ni grec, ni esclave, ni libre », ça disparaît. Donc c'est intéressant parce que quand c'est utilisé, c'est utilisé de façon tronquée et finalement c'est peu utilisé pour te dire que c'est un verset qui n'est pas du tout consensuel. Comme tu dis, d'un seul coup on le brandit, c'est quand on n'en peut plus. Pourquoi? Parce qu'on n'ose pas assez se confronter à ce verset qui est pourtant riche et autour duquel on peut avoir des discussions franches. Et d'ailleurs, en parlant discussion franche, j'ai remarqué aussi quand je parle avec des gens de multi culturalité ou d'interculturalité, qui sont deux choses différentes. La multi culturalité c'est quand on est dans une communauté ou dans une église avec le grand E, un peu côte à côte. Une fois de temps en autre, on fait un truc ensemble. Ah, c'est super! Une fois par an, on fait le culte avec les Hmongs. Ah, ils préparent des petits nems succulents, c'est formidable et c'est joli, les chapeaux des dames. Et puis après, chacun retourne dans sa communauté, manger ses trucs et porter ses jeans et ses costumes habituels. Ça, c'est multiculturel. On aime bien la différence de l'autre. D'ailleurs, une fois par an, on se prend en photo avec. Interculturalité, c'est plus régulièrement mélanger les choses, les mélanger au risque que des fois ça frotte, ça coince. On recule aussi des fois, ou on avance. Et moi ce que j'ai souvent entendu quand je témoignais un peu de ce que nous vivions dans l'Église réformée francophone de Zurich, où il y a une chorale avec des personnes qui viennent de toute l'Afrique, et puis la communauté est majoritairement blanche avec une chorale majoritairement noire. Donc des fois ça donne lieu à des questionnements, il y a plein de choses qui peuvent se passer. Des fois j'en parlais autour de moi quand j'étais en ministère là-bas. Et il arrivait souvent qu'on me dise « Ah bon? Ah, chez vous, des fois, il y a des tensions, des frottements, des interrogations? Ah, pas chez nous, on a une famille érythréenne et ça se passe très bien. Qu'est-ce qu'ils sont bien élevés, les enfants. La dame, elle aide toujours et le monsieur, il porte les chaises. Ah non, nous, avec notre famille érythréenne, tout va très, très bien. » Ou bien le classique « Oh, on a un réfugié, Bienvenue. » Il s'appelle Bienvenue. Toute la communauté l'aide. On l'invite à manger à tour de rôle, ah non, nous on n'a pas de problème. Et ça, c'est un petit peu la différence entre avoir une famille érythréenne, un réfugié qui s'appelle Bienvenue, ou bien être carrément moitié-moitié. Parce que dès qu'il y a plus de personnes venant d'ailleurs que venant d'ici, ça pose question. Et que ça pose question, c'est OK en fait. Moi, je comprends que ça pose question. D'ailleurs, c'est bien qu'on se pose des questions. Quand on arrêtera de se poser des questions, ce ne sera plus bon. Mais si ça tourne au non-dit ou au conflit, c'est là qu'on se dit, on a du boulot à faire en tant que pasteur. Comme cette anecdote du jeûne fédéral qui m'a été rapportée par un collègue, dans une communauté avec beaucoup de personnes qui venaient d'ailleurs. Pour le jeûne fédéral suisse, d'un seul coup, il y avait surtout des personnes qui venaient d'ailleurs et pas beaucoup de personnes qui avaient l'air de venir d'ici. Et certaines personnes s'en sont émues, en disant: si le jour du jeûne fédéral suisse, il y a plus de personnes qui viennent d'ailleurs que de personnes qui viennent d'ici, c'est mal parti. Ce n'est ni mal parti ni bien parti, c'était comme ça cette année-là. Et ce sera peut-être différent l'année suivante. Finalement, ce qui est sûr, c'est que le racisme, c'est pénible. C'est pénible pour tout le monde, même pour ceux qui sont un peu racistes ou qui ont du mal avec les questions de multi-culturalité, pour eux c'est pénible. Mais en même temps, c'est lorsqu'il n'y a que des personnes de la même origine qu'il n'y a pas de racisme à l'Église. Finalement, le racisme, c'est quoi ? C'est l'expression d'une multi-culturalité, c'est l'expression d'une communauté qui est en mouvement, c'est l'expression de choses qui sont en train de changer. C'est ce qu'on appelle le point noir sur la feuille blanche. Sur une feuille blanche, on ne voit qu'un point noir, mais ça veut dire qu'il y a un point noir, et ça, c'est cool. Le racisme, c'est l'expression d'un changement, c'est l'expression d'un déplacement. Et c'est vrai que nous, en tant que ministre du culte, on a un rôle à jouer là-dedans, puis toute la communauté aussi. Racisme et racisme systémique [Stéphane] En Amérique du Nord, pas juste aux États-Unis, au Canada aussi, il y a eu pendant longtemps des lois qui divisaient les personnes afro-descendantes des Caucasiens. Et ces lois sont disparues pour trois quarts de siècle, au moins, tout dépendant des endroits. Ceci dit, dimanche matin, à l'église, c'est encore le moment de la semaine, l'endroit où la société est la plus ségrégationnée. Même si c'est accepté, même si au travail, on peut avoir des gens de différentes origines, de différentes cultures, on dirait que le dimanche matin, on va à une église blanche, on va à une église latino. Je peux comprendre un certain sentiment de tribalisme, dans le sens où on veut être entouré de gens qui me ressemblent, qui sonnent comme moi, qui ont les mêmes référents, mais en même temps, ce n'est pas la société dans laquelle on vit. On dirait qu'on essaie de créer comme un espace parallèle. OK, quand je vais à l'épicerie, je suis entouré de gens un peu différents, mais dans mon Église, ah là, là, on est tous des Québécois, cinquantenaires, tous pareils. Mais c'est à ce moment-là, moi, je trouve que l'Église perd sa pertinence. Si on n'est pas intégré dans notre société, si on n'est pas prêt à faire face justement à ces défis, c'est sûr que c'est désagréable. Personne ne veut se faire confronter, personne ne veut se faire dire « ben ça c'est peut-être une pratique raciste ». Depuis quelques années, un des grands débats qu'on a ici, c'est la différence entre le racisme et le racisme systémique. Il y a le racisme, les gens vont faire un propos raciste, et le racisme systémique. Les gens comprennent ça comme plus systématiquement. Non, c'est le système qui est raciste, c'est le système qui est brisé. Lorsqu'on prend pour acquis que tout le monde fonctionne selon les valeurs occidentales, c'est ça qui est normal, c'est ça qui est attendu. Et lorsque quelqu'un vient d'un autre pays et se comporte différemment, on ne l'engage pas pour un boulot ou pour n'importe quoi. Là, c'est le système qui est vicié. Juste un exemple, on a des comités comme toutes les Églises. On remarquait qu'il y avait des appels pour participer à des comités et qu'il n'y avait pas d'Autochtones qui portaient leur candidature. Quelqu'un a eu la brillante idée d'aller voir les communautés autochtones. Il a dit, mais qu'est-ce qui ne fonctionne pas? Est-ce que c'est une question de langage? Ils ont dit, ben, pas vraiment. Nous, dans notre culture, personne ne va se porter volontaire. C'est les anciens qui se rassemblent, qui disent, telle personne, je pense qu'elle serait bonne pour cette position-là. Donc, il y a eu un changement. Quelque part, le modèle qu'on avait, c'était le modèle blanc occidental. On était confrontés à un certain racisme dans le sens où le système prenait pour acquis que nos valeurs étaient les valeurs de tout le monde. Et on a été confronté à ça et on a réfléchi. Mais c'est sûr que ce n'est pas plaisant de se faire dire que le système dans lequel nous on évolue très bien, ça va bien, tout va bien, moi je suis un homme caucasien, tout le monde m'écoute. Mais il y a des gens qui souffrent de ça, des gens qui souffrent du fait qu'ils sont nés sur un autre continent, qui ont un nom à consonance entre guillemets « étrange » et n'ont pas les mêmes chances que moi, c'est sûr que c'est difficile à accepter. Les Églises identitaires [Joan] C'est bien que tu parles des églises issues de la migration comme ça, parce que je me rappelle pendant mes études de théologie, notamment pendant les journées doctorales de la faculté de théologie de Strasbourg, qui étaient obligatoires à un certain nombre d'heures quand on était en doctorat. Il y avait eu une période où il y avait énormément de réflexions autour des Églises ethniques ou bien affinitaires. Puis après, il y a eu le mot afropéenne, des Églises afropéennes. Alors, entre-temps, on a rediscuté ce mot. Des Églises identitaires aussi. À un moment donné, être d'une culture ou d'une nationalité, c'était être identitaire. Mais moi, ça m'amuse beaucoup parce que y a-t-il une église qui ne soit pas identitaire? Parfois, on a des Églises multi-identitaires. J'ai un collègue en Grande-Bretagne qui m'expliquait qu'il sert dans un consortium de trois paroisses. Je ne me rappelle plus très bien des détails, mais une, c'est méthodiste anglicane, l'autre, c'est méthodiste je ne sais plus quoi, et la troisième, ça s'appelle église œcuménique parce que c'est une période où plusieurs courants se sont mis ensemble pour créer un courant œcuménique. Et il semblerait que ce soit pareil en Suède aussi, maintenant il y a de plus en plus d'Églises post-confessionnelles qui s'appellent œcuméniques et qui ont toutes sortes de marqueurs identitaires à l'intérieur. Donc, finalement maintenant on a des Églises multi-identitaires aussi, mais néanmoins elles restent identitaires. Et donc se pose un petit peu la question de comment peut-on imaginer une Église qui, dès le départ, semble assez multi-identitaire pour que, quand on y arrive, on n'ait pas l'impression d'être invité dans la tribu de l'autre? Ça, c'est intéressant parce que c'est une question qui part de beaucoup de privilèges aussi, par exemple des privilèges blancs. On va dire oui, moi je vais dans une Église noire et puis je ne sais pas trop où m'y mettre. Et puis d'ailleurs, ce n'est pas leur objectif que tu te sentes spécialement accueilli, selon certaines communautés. Moi par exemple, quand j'étais à New York, dans l'une des communautés noires de Harlem. Ils m'ont dit très clairement qu'ils ont un quota. Ils prennent 25 Blancs, pas plus. Sinon, leurs cultes ne sont pas intéressants. Ils ont l'impression d'être scrutés. Puis les Blancs, ils n'ont pas les us et coutumes. Ils ne chantent pas, ils ne dansent pas. On m'a bien expliqué qu'il se trouvait qu'étant ministre, j'étais acceptée, mais alors du bout des doigts, vraiment. Je comprends leur perspective. Est-ce que c'est du racisme? Ils veulent pouvoir vivre leur expérience de culte noir, afro-gospel, puis c'est tout. Nous, par contre, si on fait ça depuis la place de privilège qu'on a et qu'on disait, oui, non, mais alors s'il y a des gens qui viennent d'autres cultures, voilà, ça allait nous déranger, ça ne va pas du tout, parce qu'on parle depuis une autre place, quoi. Mais on fait bien sentir souvent aux gens qu'ils n'ont pas les codes, qu'on le veuille ou non. Moi, je me rappelle d'un culte où était venue une famille pentecôtiste et la dame s'était bien habillée. Elle était canon belle, elle avait un chapeau et tout. Et à chaque fois que le pasteur disait quelque chose, elle disait « Amen! Alléluia! ». Je ne sais pas, on n'a pas eu l'intelligence collective de le faire aussi un petit peu, pour qu'elle se sente à l'aise et elle n'est plus revenue. Ce sont des détails. On dirait que c'est anecdotique mais en fait, ça veut dire beaucoup. Comment est-ce qu'on peut faire pour que dans nos cultes, tout un chacun trouve un petit quelque chose où ils se disent « ah, mais là je suis à la maison ». C'est ce petit quelque chose qui fera de nous, individuellement et collectivement, des communautés en marche vers l'antiracisme. Ça ne se décrète pas d'être antiraciste, ça se vit en fait. Et c'est très, très compliqué parce que moi je peux penser que je suis antiraciste, mais en fait j'imite les accents des autres des fois un petit peu de façon… et puis on peut penser qu'on fait un culte panafricain, j'ai fait ça aussi des cultes panafricains. Pendant les réunions de préparation du culte panafricain, quelqu'un a dit: ce serait quand même bien qu'il n'y ait pas trop de viande. Du coup, on a fait un buffet avec pas trop de viande et on a pu jeter la moitié du buffet parce que la plupart des personnes qui étaient là trouvaient qu'un culte panafricain où on célèbre l'Afrique, on mange de la viande. C'est hyper intéressant parce qu'on va cumuler des expériences, des échecs, des réussites. Il faut absolument que l'on continue, qu'on insiste, qu'on persévère et qu'on ait des lieux où on peut se raconter un peu tout ça. Des lieux qui incluent des personnes concernées dans nos démarches antiracistes. Parce que comme tu l'as dit avec l'anecdote des délégués de la communauté d'une autre culture ou de différentes cultures. Si on met en place des protocoles, mais qu'on n'inclut pas les personnes concernées dans nos protocoles, on va forcément viser à côté, comme tu l'as dit. Pour moi, ce sont des chantiers, des idées, des impulsions, et j'aimerais tellement qu'il y ait plus d'endroits où on puisse partager ça. Accepter l'inconfort [Stéphane] J'ai trouvé une expression que j'aime bien: l'inconfort universel. Que tout le monde se sente inclus et en même temps inconfortable, à peu près au même niveau. Je te donne un exemple. Il y a quelques semaines, on m'a invité à un culte. Toutes les personnes qui étaient là étaient des gens d'origine du Cameroun. Je n'avais pas de référent culturel pour la majorité des choses. Je ne connaissais pas les cantiques, la façon d'organiser le culte n'était pas celle que je connais. Mais pour moi, ce fut une belle expérience parce que, un, ils m'ont invité, ils m'ont très bien accueilli, et deux, j'ai découvert quelque chose. J'ai surtout eu le rappel que les blancs sont coincés, parce que, oui, c'était top énergie, l'essence de la célébration. Je me suis dit, oui, mais c'est vrai: pourquoi chez nous, c'est toujours de la musique solennelle? Il faut toujours se concentrer et être sobre, alors que c'est supposé être un jour de célébration? Je ne dis pas nécessairement que c'est mieux, mais j'ai été confronté à mes préjugés, à mes façons de faire. Je me suis remis en question. Je n'ai pas blâmé cette communauté-là pour ce qu'elle faisait. C'est moi qui me suis remis un peu en question, qui ai essayé de grandir, qui ai essayé d'évoluer comme fort probablement, j'espère, ces personnes-là font la même chose lorsqu'elles sont confrontées à d'autres réalités. Je pense que c'est ça l'espoir, lorsqu'on accepte que ce soit différent, lorsqu'on accepte que ce soit peut-être inconfortable. Lorsqu'on accepte que l'autre soit sûrement inconfortable, comment se rejoindre, comment se respecter tout en demeurant soi-même et en essayant de voir la façon dont l'autre voit les choses, je pense que c'est un bon début. Conclusion [Joan] Et encore une fois, Amen! Racontez-nous vous aussi vos expériences, si vous êtes d'accord, d'interculturalité inconfortable ou confortable. Dites-nous un peu comment vous vivez les choses, ça nous intéresse, écrivez-nous. [Stéphane) Écrivez-nous questiondecroire@gmail.com. Merci beaucoup à l'Église Unie du Canada, notre commanditaire qui nous permet d'être diffusés sur beaucoup de plateformes. Merci à Réforme.net aussi. Merci à toutes les personnes qui laissent un commentaire, un pouce en l'air, une évaluation. C'est toujours bon pour le référencement. Merci surtout à toi, Joan, pour cette conversation. À bientôt. À bientôt.
Se faire ghoster. attendre des nouvelles après une candidature ou un entretien, et ne recevoir aucune info, aucune réponseCet épisode vous explique ce qui se passe de l'autre côté du décor, pourquoi on vous ghoste et comment réagir -- Ressources --✊ Se faire coacher pour trouver un job ou en bilan de compétences: www.albanmasse.com
Chaque matin à 8h10 sur Chérie FM, Tiffany vous dévoile le chiffre qui fait l''actualité !
This week, Ceci's daughter, Mallory, joins the Podcast as a guest which means Gen. Z outnumbers everyone. The generations chat about who likes camping and who doesn't. Also, what's an International Radio Competition. And Mallory shares some tidbits on breaks-ups in the Gen. Z category. Enjoy!
UOAK Presents Sekora Radio. Episode 146 ❖ Featured tracks & more on Spotify → link.sekoramusic.com/spotify ❖ ❖ SEKORA RADIO ❖ Listen on your favourite platform → https://radio.sekoramusic.com Download & subscribe on Apple Podcasts → http://bit.ly/sekoraradio Tracklist: 1. Khealo feat. Courtney Storm – Wildside 2. Fritz Kalkbrenner – Calling You 3. DAVI – Self CNTRL 4. Molac, Nathan Katz – Magnetic 5. Con's Universe – One In The Same 6. Banaati – Out Of Black 7. UOAK, Ceci, Matt Leger – Fly Home 8. KEVSKI – Before We Die (Cyantist Remix) 9. Mats Westbroek – Heart On The Line (Jordin Post Remix) 10. 84 Avenue – Bar Amante 11. Randy De Silva, TEO (SL) – The Journey 12. 2088 – Where Are You Now ❖ FOLLOW UOAK ❖ Spotify → https://uoak.fanlink.tv/spotify Apple Music → https://uoak.fanlink.tv/apple Soundcloud → https://soundcloud.com/uoak Instagram → https://instagram.com/uoakmusic Youtube → https://youtube.com/uoakmelodic
[[ Sources ]]https://news.nd.edu/news/researchers-detect-elevated-levels-of-pfas-in-some-fitness-tracker-and-smartwatch-bands/https://www.chromatographyonline.com/view/pfas-identified-in-smartwatch-and-fitness-bands-using-lc-ms-mshttps://www.acs.org/pressroom/presspacs/2024/december/elevated-levels-of-forever-chemicals-found-in-several-smartwatch-wrist-bands.html[[ Télécharger ]]Fiche "Marques de compléments favorites à prix réduits" : https://www.alainbero.be/mes-liens-affilies-des-complementsEbook "Guide de la complémentation intelligente" :https://www.alainbero.be/ebook-guide-de-la-complementation-intelligente[[ Me suivre ]]Site : https://www.alainbero.be/RDV consultation : https://calendly.com/alainberoContact : info@alainbero.beFacebook : https://www.facebook.com/alainberocoachennutritionInstagram : https://www.linkedin.com/in/alainbero/recent-activity/all/Podcast audio : https://creators.spotify.com/pod/profile/alainbero/[[ Mes affiliations ]]Ebook 21 Recettes de saison :https://alimentationjoyeuse.thrivecart.com/partenaire-21-jours-de-menus-ebook/?affiliate=albe87Alimentation- Féroce -10€ : https://feroce.food- Kazidomi -20€ (code ALABER2) : https://www.kazidomi.com/fr/referral?id=100024Complémentation- Simplycure - 10% (plusieurs marques en 1 commande) : https://app.simplycure.com/patient-catalog?discountCode=ABERO10- Lepivits -10% (code NUTRI-bero) : https://lepivits.be/fr/?s=22689809- Nutrilogics -5% (code TAHB842) : https://www.nutri-logics.com- UNAE -10% : https://www.unae.fr/ref/alain.bero- Energetica Natura -10% (code W0173969) : https://www.energeticanatura.com/k/W0173969- Nutri&CO -10% (code AB845) : https://nutriandco.com/fr/- Nutripure -10% 1ère commande : https://www.nutripure.fr/fr/?s=06792601Objets- Atma -20€ (pôeles, casseroles) : https://atmakitchenware.fr/#ref=12056906
Ceci est un extrait du 5ème quart d'heure de la semaine : Alix nous parle de sa recherche d'inspiration en villégiature Pour écouter le 5ème Quarts d'Heure en intégralité, abonnez-vous à Supercast ici : https://4quartsdheure.supercast.com/Abonnez-vous à 4 Quarts d'Heure sur votre plateforme préférée : https://tr.ee/MEaR8W9S9GSuivez-nous sur Instagram :4 Quarts d'Heure : @4quartsdheureLouise : @petrouchka_Alix : @alixmrtnCamille : @camille.lorenteAu montage de cet épisode Alphonse GausslinAu mixage et à la prod Zu Aux réseaux Coline Jamait Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Ceci est un extrait de l'épisode 40 avec Anne Partridge, qui anime des ateliers Faber et Mazlich.Cet extrait fait suite à l'épisode 281 avec Roselyne Roy. Cette semaine, on va parler ateliers à la parentalité.Anne Partridge, est animatrice Faber et Mazlich, une méthode inventée par 2 mères canadiennes dans les années 70.Le livre support sur lequel on s'appuie, Parler pour que les enfants écoutent, écouter pour que les enfants parlent, est une ressource incroyable d'outils simples à mettre en place à la maison.Anne anime des ateliers depuis 8 ans sur Bordeaux. Elle reçoit des groupes de parents, qui viennent suivre 7 séances qui durent 3 heures.Alors quel intérêt à ces ateliers? Qu'est-ce qu'on y apprend? Pourquoi franchir le pas et venir participer avec d'autres parents ?Pour contextualiser, j'ai assisté en début d'année 2019 à 7 ateliers, et j'en suis ressortir enchantée. Anne est d'une incroyable bienveillance et j'avais envie de connaitre son parcours, par où, elle, en tant que maman, était passée. Et vous allez réaliser que son parcours dans la parentalité est loin d'être simple et linéaire. Elle a donc cette capacité incroyable de connaitre ce que peuvent ressentir les parents qui tatonnent. J'espère que cet épisode vous donnera envie d'aller passer la porte d'un atelier, peu importe lequel, il y en a plein en France. Je suis persuadée que cela vous boostera et vous encouragera dans votre chemin. Très bonne écouteLIENS UTILES :https://www.anne-partridge.comParler pour que les enfants écoutent - écouter pour que les enfants parlent, Adèle Faber, Elaine MazlishSite de Faber et Mazlish- le site de Roseline Roy, ambassadrice de l'approche Faber Mazlish : https://fabermazlish-aep.com- l'annuaire des animatrices/teurs en francophonie : https://rezo.fabermazlish-aep.com/annuaire-des-anim/- tous les ouvrages : https://fabermazlish-aep.com/magasin-en-ligne-livres-faber-mazlish/Création originale : Clémentine SarlatProduction : Clémentine SarlatEnregistrement : Clémentine SarlatHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ceci est un extrait du 5ème quart d'heure de la semaine : Louise nous parle de sa perte de foiPour écouter le 5ème Quarts d'Heure en intégralité, abonnez-vous à Supercast ici : https://4quartsdheure.supercast.com/Abonnez-vous à 4 Quarts d'Heure sur votre plateforme préférée : https://tr.ee/MEaR8W9S9GSuivez-nous sur Instagram :4 Quarts d'Heure : @4quartsdheureLouise : @petrouchka_Alix : @alixmrtnCamille : @camille.lorenteAu montage de cet épisode Alphonse GausslinAu mixage et à la prod Zu Aux réseaux Coline Jamait Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
This week the generations chat about Ceci's latest travel faux pas. Also what is the power hour? And why is Adam scratching off names on government lists? Enjoy!
Dans cette conversation profonde, Rebecca Campbell explore les nuits noire de l'âme (oui, au pluriel !), ces moments de transformation qui ressemblent à des fins, mais qui ouvrent en réalité la voie à une renaissance. ✨Elle aborde des thèmes tels que la naissance et la maternité comme initiations spirituelles, la sagesse de la nature et de la Grande Mère, la guérison ancestrale, le deuil, le lâcher-prise, et la beauté de vivre en harmonie avec les cycles de la vie.Rebecca partage comment nos périodes les plus sombres peuvent devenir des passages sacrés, des moments où l'âme nous appelle à descendre, à nous dépouiller, et à nous souvenir de qui nous sommes vraiment.Si vous traversez un changement, une perte, ou une période d'incertitude, cette conversation vous rappellera que même dans la descente, votre âme est en train de s'éveiller.
En este episodio de Paloma&Nacho, Ceci de la Cueva nos abre el corazón sobre su regreso como la voz de Glinda en Wicked: por siempre.Nos contó cómo ella —igual que Glinda— ha crecido, ha cambiado… y cómo eso le permitió darle una voz más honesta, más humana y más profunda al personaje.Hablamos de amistad, ideales, magia y de por qué los musicales dicen lo que las palabras no alcanzan. Un capítulo para los que aman Wicked… y para quienes la música les ha salvado el alma alguna vez.
Ceci est un extrait du 5ème quart d'heure de la semaine : Camille mets son cœur à nu Pour écouter le 5ème Quarts d'Heure en intégralité, abonnez-vous à Supercast ici : https://4quartsdheure.supercast.com/Abonnez-vous à 4 Quarts d'Heure sur votre plateforme préférée : https://tr.ee/MEaR8W9S9GSuivez-nous sur Instagram :4 Quarts d'Heure : @4quartsdheureLouise : @petrouchka_Alix : @alixmrtnCamille : @camille.lorenteAu montage de cet épisode Alphonse GausslinAu mixage et à la prod Zu Aux réseaux Coline Jamait Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
No podcast do PublishNews desta semana, falamos mais uma vez sobre sobre novas livrarias, agora no Rio de Janeiro, a Capital Mundial do Livro. Falamos com Letícia Bosísio da sócia da Janela e com Fran Junqueira, da Ceci Livraria e editora e proprietária da Editora Tigrito. Falamos das dores de abrir um novo empreendimento, seja a primeira livraria ou a terceira. Aqui Letícia e Fran falam sobre a importância da Livraria, como centro cultural e de conexão com o bairro e seus leitores e de como o Livreiro é essencial para conectar os livros e as pessoas.Este é um episódio 397 do Podcast do PublishNews do dia 18 de novembro de 2025 gravado no dia 14 . Eu sou Fabio Uehara e esse episódio conta com a participação de Mônica Ramalho. Não se esqueça de assinar a nossa newsletter, nos seguir nas redes sociais: Instagram, Linkedin, Facebook e TikTok. Todos os dias com novos conteúdos para você. E também nos siga no YouTube ou no Spotify, onde você pode comentar, dar sugestões até 5 estrelas. Agora Letícia Bosísio e Fran JunqueiraIndicações:Pílulas azuis- Frederik Peeters - Tradução: Fernando Scheibe (Nemo) https://www.grupoautentica.com.br/produto/pilulas-azuis-1183 srsltid=AfmBOoo7VKovjU0Eqaf3DPcKYO1O9YBWuOLiLIwa0kjtl2sW3OQWZoqTodo caminho até o rio - Elizabeth Gilbert - Tradução: Regiane Winarski e Ana Guadalupe (Objetiva) https://www.companhiadasletras.com.br/livro/9788539009053/todo-o-caminho-ate-o-rio?srsltid=AfmBOopHCsBMV-lUsGUqEklvK1CErbcEatVf48JfYI0kflwxLNvGIgnzA melhor mãe do mundo - Anna Muylaert -https://www.netflix.com/title/82043086Isso também é Natal - Rosiane Araújo- ilustrações de Bruna Assis Brasil Data:29/11/25 de 11h às 13:30h na Livraria Miúda @livrariamiudahttps://www.instagram.com/p/DQ-F8j6EtTH/Plaquetes - Coleção de laranjeiras - https://loja.mapalab.com.br/product-category/plaquetes/O filho querido de Olokun - Rogério Athayde (Pallas) https://pallaseditora.com.br/produto/o-filho-querido-de-olokun/?srsltid=AfmBOooiUNhBsup8qIbnopNxad5geTLMdJwrFqVhV0_tAp3StrEef40tEste podcast é um oferecimento da MVB América Latina! Onde a inovação e tecnologia impulsionam o mercado do livro. Com a Pubnet, você ganha eficiência, agilidade e segurança em cada pedido.E quando o assunto é metadados… metadados é com Metabooks!Porque, no fim das contas, o propósito da MVB é um só: levar os livros até os leitores! https://pt.mvb-online.com/Já ouviu falar em POD, impressão sob demanda? Nossos parceiros da UmLivro são referência dessa tecnologia no Brasil, que permite vender primeiro e imprimir depois; reduzindo custos com estoque, armazenamento e distribuição. Com o POD da UmLivro, você disponibiliza 100% do seu catálogo sem perder nenhuma venda. http://umlivro.com.bre também com o apoio da CBL A Câmara Brasileira do Livro representa editores, livreiros, distribuidores e demais profissionais do setor e atua para promover o acesso ao livro e a democratização da leitura no Brasil. É a Agência Brasileira do ISBN e possui uma plataforma digital que oferece serviços como: ISBN, Código de Barras, Ficha Catalográfica, Registro de Direito Autoral e Carta de Exclusividade. https://cbl.org.br
A veces creemos que el cansancio, la rigidez del cuerpo o esa sensación de “me estoy apagando” son cosas de la edad, pero no siempre es así.En este episodio Ceci Aguilera, entrenadora personal certificada y especialista en movimiento consciente te explica cómo la pérdida de músculo después de los 30 impacta tu energía, tu estado de ánimo, tu metabolismo y hasta tu independencia en el futuro.Por qué el músculo es un órgano de longevidad, qué papel juega en tu salud emocional y cómo pequeños hábitos pueden cambiar por completo la forma en la que envejeces.Si últimamente te has sentido más débil, más cansado o desconectado de tu cuerpo, este episodio es para ti.Y así como necesitamos fuerza física para movernos con libertad, también necesitamos fuerza interna para avanzar en nuestra vida.Si quieres trabajar eso que hoy no te deja dar el siguiente paso, te dejo mi clase: “Rompe las barreras y diseña la vida que deseas.”
« Je crois être apprécié en Algérie » : une petite phrase signée Laurent Nunez, le ministre français de l'Intérieur, que n'aurait certainement pas prononcée son prédécesseur Bruno Retailleau, très remonté contre l'Algérie. Laurent Nunez, interrogé par La Tribune Dimanche, après la libération cette semaine de l'écrivain franco-algérien Boualem Sansal. « Cette libération a-t-elle été facilitée par le départ de Bruno Retailleau ? », lui demande d'emblée La Tribune Dimanche. « Je ne dirais pas ça, répond diplomatiquement Laurent Nunez, ce qui a permis de renouer avec l'Algérie, c'est d'abord notre volonté affichée, au sein du gouvernement, de rediscuter ». « Vos liens personnels ont-ils pu jouer dans le changement d'attitude d'Alger ? », demande encore le journal au ministre de l'Intérieur qui répond : « Peut-être. J'ai des origines pieds-noirs et je crois être apprécié en Algérie, pays avec lequel j'ai toujours beaucoup travaillé. » Peut-on alors parler de « normalisation » des relations avec l'Algérie ? Évoquant la libération de Boualem Sansal, le ministre parle d'un « geste d'humanité » et « d'un geste d'apaisement ». Évoquant aussi, la situation du journaliste français Christophe Gleize, toujours emprisonné en Algérie, Laurent Nunez explique que « son souhait le plus fort est qu'il soit, lui aussi, libéré ». Résister à Vladimir Poutine « Les résistants de l'ombre » : c'est ainsi que L'Express appellent celles et ceux qui résistent encore au régime de Vladimir Poutine. Pas question toutefois d'aller à leur rencontre et de les interviewer sur place. « Les conversations, nous dit L'Express, ont eu lieu par la messagerie cryptée Signal. » Deux de ces résistants, « ont préféré garder leur caméra éteinte, au moment de témoigner. Tous ont relu, avant publication, leur interview, pour s'assurer qu'il n'y restait aucune information risquant de les identifier ». L'Express a ainsi interrogé Sofia, une activiste qui a rejoint l'ONG Mémorial, désormais dissoute… mais toujours vivante. Après l'invasion de l'Ukraine, raconte Sofia, « j'ai pensé à quitter le pays, puis je me suis dit : "C'est important de continuer à protester depuis la Russie. Si tout le monde s'en va, qui va agir ici ?" » « Avec Mémorial, raconte encore Sofia, j'organise des envois de lettres aux prisonniers politiques, je cherche des personnes prêtes à travailler avec nous, et je fais de l'activisme mémoriel. Cela consiste à afficher la mémoire dans la rue. » Par exemple, « apporter des fleurs à la pierre des Solovki », dédiée aux victimes du totalitarisme. Ceci étant, Sofia ne se berce pas d'illusions et reconnaît « qu'il est peu probable que l'État russe s'effondre bientôt. » Pagaille « Ailleurs aussi… C'est le bordel », titre l'hebdomadaire Marianne, « l'instabilité gouvernementale et le désordre parlementaire ne touchent pas seulement Paris. La vie politique à Madrid, à Berlin, à Londres ou à la Haye, apparaît tout aussi tumultueuse ». En France, rappelle Marianne, « les députés français s'écharpent à coups d'amendements et d'invectives, menacent à chaque séance de renverser le quatrième gouvernement depuis septembre 2024, montent et démontent des coalitions plus ou moins baroques au gré des lois proposées. » Mais ce n'est guère mieux ailleurs, estime Marianne, qui prend pour exemple « le blocage budgétaire en Espagne », ou encore « les négociations qui s'étirent pendant des mois, aux Pays-Bas ou en Autriche, pour former des gouvernements stables ». Alors comment expliquer cette instabilité ? L'hebdomadaire rappelle d'abord que « depuis une quarantaine d'années, le continent européen vit à l'heure du néolibéralisme. » Et pour Marianne, pas de doute : « Le refus de prendre en compte les préoccupations de la majorité populaire, diabolisée, a abouti en Europe à l'émergence de forces politiques populistes qui ont remis en cause le traditionnel bipartisme gauche-droite ». D'où une instabilité croissante. Insaisissable Courrier international nous conseille la lecture d'un article du journal colombien El Malpensante, au sujet d'un célèbre voleur de livres. « John Alexander Cordona Peluza est connu comme le loup blanc à Bogota, raconte Courrier international. Voleur de livres en plein jour, pratiquement au vu et au su de tous, il tient un commerce clandestin d'ouvrages qui questionnent la société et prônent la rupture. » El Malpensante le décrit comme un homme « au cuir épais tanné par la rue », avec « aux oreilles deux anneaux en métal » et « un double piercing à la bouche ». Alors pourquoi cet homme vole-t-il des livres ? Selon le journaliste d'El Malpensante qui s'est penché sur la question, « il ne vole pas par conviction idéologique. Il ne se voit pas en justicier de la culture, en grand saboteur du système. Les témoignages que j'ai recueillis concordent (précise le journaliste). Pour lui, le vol est une farce conçue au millimètre près. Un mélange de calcul, d'invisibilité et d'adrénaline ». Bref, un voleur littéralement insaisissable... À lire aussiLibération de Boualem Sansal par l'Algérie: la diplomatie française en question
Ceci n'est pas un épisode. Ceci est une annonce ! Comme vous le savez peut-être déjà on va commencer à faire des vidéos en lien avec la petite histoire. Donc n'hésitez pas à nous dire ce que vous aimeriez voir et entendre dans ces vidéos. Est-ce qu'il y a des formats vidéos que vous aimez ? On attend vos commentaires. Quoiqu'il en soit on a déjà diffusé en avant-première une vidéo de 22 min sur le Patreon de la petite histoire. Les abonnés patreon commencent d'ores et déjà à nous faire leurs premiers retoursdonc si vous aimez La Petite Histoire et si vous voulez nous aider à continuer à produire ces épisodes en audio et en vidéo chaque semaine, vous pouvez rejoindre le Patreon du podcast. C'est ce qui nous permet de financer les recherches, le matériel et tout le travail de montage derrière chaque histoire. En plus, vous y trouverez des contenus exclusifs ! Et surtout, vous ferez vraiment partie de l'aventure.
Ceci est un extrait du 5ème quart d'heure de la semaine : Alix se demande si c'était une excuse ou des vacancesPour écouter le 5ème Quarts d'Heure en intégralité, abonnez-vous à Supercast ici : https://4quartsdheure.supercast.com/Abonnez-vous à 4 Quarts d'Heure sur votre plateforme préférée : https://tr.ee/MEaR8W9S9GSuivez-nous sur Instagram :4 Quarts d'Heure : @4quartsdheureLouise : @petrouchka_Alix : @alixmrtnCamille : @camille.lorenteAu montage de cet épisode Alphonse GausslinAu mixage et à la prod Zu Aux réseaux Coline Jamait Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
En este importante episodio, invité a Ceci de los Ríos, wellness designer y biohacking speaker, para hablar de un tema del que se habla poco, pero que todas las mujeres necesitamos entender: la perimenopausia y la menopausia. Conversamos sobre los cambios físicos, emocionales y hormonales que acompañan esta etapa, y sobre cómo podemos vivirla con conciencia, autoconocimiento y bienestar. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Nuestro invitado en el episodio #329 de Máximo Desempeño es Juan Mario Gutiérrez, director y fundador de Kajuyalí, un visionario que está revolucionando la educación en Colombia. Después de ser expulsado de varios colegios no por falta de capacidad sino porque el sistema no conectaba con él, Juan Mario convirtió su mayor frustración en su propósito de vida. A los 22 años conoció Robin Hood Camp en Estados Unidos y esa experiencia lo encaminó. En 1992 fundó Kajuyalí, un modelo innovador de campos de verano que saca a los niños de su zona de confort para llevarlos a descubrir lo mejor de ellos mismos en lugares maravillosos de Colombia. Juan Mario es mi primo hermano. Parte de una familia que ha sido fundamental en mi vida: sus papás Mario y Ceci, que dejaron una huella imborrable, y sus cinco hermanos, todos especiales en mi recorrido. El camino fue difícil. El país vivió momentos de seguridad complicados. Juan Mario quebró. Se reinventó. Operó en Ecuador, Guatemala y Costa Rica. Se cayó muchas veces y siempre volvió a levantarse. Tras la pandemia, después de más de dos décadas de experiencia, decidió llevar la idea de Kajuyalí a la educación formal y fundar un colegio, integrando metodologías de Finlandia, Italia y Estados Unidos adaptadas al contexto colombiano. Vive bajo un lema que lo define perfectamente: "¿Por qué hacerlo fácil si difícil también se puede?". Además, Pablo profundiza en "Being You: La Ciencia de Ser Tú", una reflexión transformadora basada en el trabajo del neurocientífico Anil Seth. Descubre por qué todo lo que experimentas -cada color que ves, cada sonido que escuchas, cada sensación que sientes- es una "alucinación controlada" creada por tu cerebro, cómo tu cerebro no es una ventana pasiva al mundo sino un visionario sofisticado que hace predicciones constantes sobre la realidad, y por qué tu sentido del "yo" -esa sensación íntima de ser tú mismo-, es también una construcción brillante de tu cerebro. Aprende la diferencia crucial entre estar atrapado en una versión fija de ti mismo y entender que puedes trabajar conscientemente con los procesos de tu cerebro. Descubre por qué cuando entrenas tu mente para crear mejores modelos de predicción -a través de visualización, práctica mental o cuestionando creencias limitantes- estás literalmente cambiando tu realidad, y cómo tus limitaciones autopercibidas, tus miedos y tu identidad son construcciones que puedes influenciar conscientemente. Un episodio que te desafiará a preguntarte: ¿Qué excusa has estado usando para no perseguir ese cambio que sabes que necesitas hacer? Si tuvieras la certeza de que vas a quebrar varias veces antes de lograr construir algo duradero, ¿seguirías persiguiendo esa visión? ¿Estás luchando contra tu mente o entendiendo cómo funciona realmente para trabajar con ella? Tu conciencia no es un problema que resolver, es tu herramienta más poderosa para crear la experiencia que deseas.
Ceci est un extrait du 5ème quart d'heure de la semaine : Alix raconte la préparation du tournage de CoucouPour écouter le 5ème Quarts d'Heure en intégralité, abonnez-vous à Supercast ici : https://4quartsdheure.supercast.com/Abonnez-vous à 4 Quarts d'Heure sur votre plateforme préférée : https://tr.ee/MEaR8W9S9GSuivez-nous sur Instagram :4 Quarts d'Heure : @4quartsdheureLouise : @petrouchka_Alix : @alixmrtnCamille : @camille.lorente Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dominic Ceci, chief investment officer at Johnson Financial Group, says "people are only going to pay so much for this market," which means that something besides price will have to attract continued investment. That source will be earnings, as Ceci says that strong earnings growth has powered the market this year and will carry it for as long as they stay strong. Ceci says the economy and market will get a boost moving forward from tax policies, the rate-cutting cycle, continued AI capital spending and more, which is keeping the risk of recession low for the next year. Wayne Park, chief executive officer at Manulife John Hancock Retirement, discusses the firm's inaugural Longevity Preparedness Index (done in conjunction with MIT AgeLab), a new benchmark for measuring the readiness of American consumers to live well in older age. The measure looks beyond finances, which is why higher incomes don't improve some overall scores for issues like personal care. In all, the index found that Americans are largely underprepared for living out their retirement, landing a D grade with an average score of 60. Plus, Ardal Loh-Gronager of Loh-Gronager Partners returns to the show after last week's appearance in the Market Call to discuss his recent book, "The Perceptive Investor: The Art, Science and Temperament of Successful Value Investing."
(00:00:40) Vous saurez pourquoi le café coûte plus cher et pourrait disparaître (00:08:22) Ceci n'est pas Halloween: le Mexique défend sa fête des morts (00:13:02) Juan Carlos, l'ancien roi d'Espagne exilé reprend la parole
What's up, dudes? Little #1 herself, Cecilia, and Art Kilmer from A Cozy Christmas join me to talk about the cat who hates Mondays: Garfield! That's right! It's “Garfield's Halloween Adventure!”Garfield wakes up to discover that it's Halloween! Hearing about candy, he decides to go trick or treating. After scaring Jon, he drags Odie upstairs to try on some costumes. Ultimately, the duo decide on pirate costumes.As the night passes, they fill their bags with candy until they run out of houses. Spotting more across a river, the duo traverse and find a dilapidated mansion. The old resident then tells them about some ghost pirates. Of course, the pirates emerge and chase Garfield and Odie. Barely escaping, the return home and the former shares his candy with the latter.Binky the Clown? Check. Withered old cabin boy? Yep, over a hindered years old! Ghost pirates? Only if they're scarier than “Pirates of the Caribbean: The Curse of the Black Pearl!” So grab your peg leg, out on your eye patch. And trick or treat to this episode on “Garfield's Halloween Adventure!”A Cozy ChristmasFB: @cozychristmaspodcastIG: @cozychristmaspodcastBlueSky: @cozychristmas.bsky.socialGive us a buzz! Send a text, dudes!Check us out on Facebook, Twitter, Instagram, Totally Rad Christmas Mall & Arcade, Teepublic.com, or TotallyRadChristmas.com! Later, dudes!
Hello, c'est Lauren. Aujourd'hui, je vous fais découvrir la rencontre entre la romancière Rose Vidal et le psychiatre et neuroscientifique Boris Chaumette pour le podcast Des Ailes aux Talents, notre partenaire.Médecin psychiatre à l'hôpital Sainte-Anne et chercheur à l'Institut de psychiatrie et de neurosciences de Paris, Boris Chaumette explore les bases génétiques de la schizophrénie. Alliant rigueur scientifique et humanité, il œuvre à déstigmatiser la maladie mentale et à replacer le patient au cœur du soin, faisant dialoguer science, éthique et poésie.Ceci est un épisode de la nouvelle saison du podcast "Des Ailes aux talents" que la Fondation Bettencourt Schueller consacre à la science : des échanges inédits entre auteurs et scientifiques pour penser autrement la recherche.Bonne écoute !
The Belgian surrealist René Magritte was a smart artist, but could the 20th century futurist really have predicted the end of the Worldwide Web age? Not exactly, of course. But according to That Was The Week publisher, Keith Teare, Magritte's 1929 painting, “The Treachery of Images” (featuring the image of a pipe with the immortal words “Ceci n'est pas une pipe”), is a helpful way of thinking about OpenAI's introduction this week of their new Atlas “browser”. It's not really a browser in the conventional way that we think about web browsers like Chrome, Firefox or Internet Explorer. And yet AI products like Atlas are about to once again revolutionize how we use the internet. They might even represent the end of the web age with its link architecture and advertising economics. So do we have words for what comes next? The not-a-browser age, perhaps. L'ère sans navigateur, to be exact. * The Browser Is Becoming an Agent, Not a Link Map - For thirty years, browsers like Netscape, Internet Explorer, and Chrome were rendering engines for HTML that displayed blue links to web pages. AI products like ChatGPT's Atlas and Google's AI mode in Chrome are transforming browsers into conversational agents that answer questions, summarize content, and even execute tasks like booking flights—pushing the traditional web “down a level” in the user interface hierarchy.* The Web's Trillion-Dollar Advertising Model Must “Reprice Fast” - The web's business model has been largely advertising-based, built on users clicking links that generate revenue. As AI interfaces replace link-based browsing, this nearly trillion-dollar annual revenue stream faces an existential threat. Publishers like Keith Teare and platforms like Google must figure out how to transition their economics to an AI-driven world where links aren't surfaced by default.* Google Deserves Its Stock Price for “Being Brave in Undermining Its Own Business Model” - While AI threatens to upend Google's AdWords cash cow, the company's stock has surged roughly 50% over the past year. Keith argues Google has earned this bullishness by aggressively investing in AI infrastructure (like Anthropic's $10 billion commitment to Google's TPUs) and integrating AI features into Chrome—even though these moves could cannibalize its core search advertising business.* The “Victim Here Is the Publisher, Not the User” - Keith acknowledges that while the shift to AI agents feels like “an absolute change of paradigm,” it's genuinely better for users who get more intuitive, conversational interfaces. Publishers and content creators are the ones facing disruption, as AI may eliminate their distribution channels without yet providing alternatives for reaching audiences or monetizing content. The challenge is that “most of the narrative that doesn't like it is publisher-centric.”* Tim Wu and Antitrust Regulators Are “Fighting Yesterday's War” - Columbia law professor Tim Wu's new book The Age of Extraction focuses on the monopolistic dangers of Google, Amazon, and Facebook—but Keith argues this framing is already obsolete. The real competitive battlefield is AI, where Google is a “laggard” behind OpenAI and Anthropic. The underlying internet architecture (TCP/IP) remains neutral enough to allow challengers to emerge, making heavy-handed government intervention both unnecessary and potentially innovation-killing, as seen in the over-regulated EU.Keen On America is a reader-supported publication. To receive new posts and support my work, consider becoming a free or paid subscriber. This is a public episode. If you'd like to discuss this with other subscribers or get access to bonus episodes, visit keenon.substack.com/subscribe
Christophe de Jaeger, médecin physiologiste, est l'un des rares spécialistes français à s'intéresser à la sénescence sous toutes ses formes. Il est aussi auteur de plusieurs ouvrages sur la longévité.Ceci est un moment dans une interview dont je vous mets le lien plus bas.Dans cet épisode, je vous partage un extrait marquant d'un entretien avec lui, un moment de lucidité brutale qui m'a personnellement beaucoup fait réfléchir. On y parle de l'âge réel, pas celui inscrit sur votre carte d'identité, mais celui de vos artères, de votre cerveau, de votre peau, de votre ressenti.J'ai questionné Christophe sur les différences fondamentales entre l'âge chronologique, physiologique, ressenti et cérébral. Et croyez-moi, on prend une vraie claque. Il explique pourquoi certains ont 70 ans mais semblent en avoir 50, quand d'autres sont déjà "vieux" à 45.Il démonte aussi les illusions liées à la chirurgie esthétique, cette tentation rapide et dangereuse de tricher avec le temps, tout en nous offrant une piste concrète : retrouver un corps plus jeune est possible, mais demande de la méthode, du suivi, et surtout… d'arrêter de croire aux miracles. 5 CITATIONS MARQUANTES"On a l'âge de ses artères, et c'est juste.""À 50 ans, votre cerveau croit encore que vous en avez 20.""La chirurgie esthétique, c'est repeindre une vieille voiture déglinguée.""L'âge physiologique peut s'améliorer, contrairement à l'âge chronologique.""À 70 ans, vous pouvez être plus jeune qu'à 50, si vous faites les bons choix."10 QUESTIONS STRUCTURÉES POSÉES DANS L'INTERVIEWQuels sont les différents types d'âges que vous distinguez dans votre livre ?L'apparence peut-elle réellement tromper notre perception de la longévité ?Pourquoi l'âge chronologique est-il une mesure inadaptée de notre état de santé ?Comment mesure-t-on l'âge physiologique d'un individu ?Quel rôle jouent nos artères dans l'évaluation de notre vieillissement ?Est-il possible de rajeunir physiologiquement ? Si oui, comment ?Quelle est la part de génétique vs. environnement dans le vieillissement ?En quoi l'âge ressenti peut-il nous induire en erreur ?Que pensez-vous de la chirurgie esthétique comme solution au vieillissement ?Peut-on réellement vivre vieux et heureux sans se mentir sur son état réel ?TIMESTAMPS CLÉS 00:00 – Introduction par Greg : pourquoi cet extrait m'a marqué00:48 – L'âge physiologique, une réalité mesurable02:00 – Golf et vieillissement : le corps parle avant la date de naissance03:40 – L'état de vos artères = votre vrai âge04:10 – L'âge physiologique peut rajeunir… avec effort06:00 – Le cerveau nous ment : il croit encore avoir 20 ans07:53 – L'intérieur prime sur l'extérieur : la peau reflète la santé08:33 – Chirurgie esthétique : fausse jeunesse, vraie illusion09:24 – Les réserves vitales diminuent, mais on peut rester heureux Suggestion d'épisode à écouter : #294 Les secrets de la longévité en bonne santé avec Docteur Christophe de Jaeger (https://audmns.com/yiQROWd)Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Spencer Leach's crosswords have appeared most frequently on Saturday*, meaning he likes to make 'em tough. Todays is his first Tuesday outing, and it is quite good. We'd say more, but since our footnote has mysteriously become almost as long as our usual show note, we'll wrap it up here and remind you to check out today's episode for the full 411 on the puzzle -- as well as an awesome Triplet Tuesday segment.Show note imagery: In the immortal words of Réne Magritte, Ceci n'est pas une Casio---------------------------------*as a reminder, the NYTimes crosswords get more difficult as the week progresses; Monday is the easiest, Saturday's most definitely the hardest. Sunday's are big, but generally regarded as being "Big Wednesdays"** in terms of difficulty. Of course, YMMV depending on your upbringing, how much sleep you've had, and, occasionally, serendipity.---------------------------------**no relation to the gangster of the same nameWe love feedback! Send us a text...Contact Info:We love listener mail! Drop us a line, crosswordpodcast@icloud.com.Also, we're on FaceBook, so feel free to drop by there and strike up a conversation!
This week the generations geek out way too much over small modern day appliances. Also, is dating tougher for Gen Z and why. And a new week, new dream for Ceci! Enjoy!