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Dopo un periodo di stallo senza precedenti, che è durato quarantatrè giorni e ha paralizzato molti servizi pubblici, il 12 novembre i deputati statunitensi hanno raggiunto un accordo provvisorio per mettere fine allo shutdown del governo federale. Con Alessio Marchionna, editor di Stati Uniti di Internazionale. In vent'anni più di ottocentomila italiani e italiane hanno lasciato il loro paese e non sono più tornati, soprattutto giovani, provenienti dal Mezzogiorno, dalla Lombardia e dal Nordest. Con Francesca Coin, sociologa.Oggi parliamo anche di:Film • Una ragazza brillante di Agathe RiedingerCi piacerebbe sapere cosa pensi di questo episodio. Scrivici a podcast@internazionale.it Se ascolti questo podcast e ti piace, abbonati a Internazionale. È un modo concreto per sostenerci e per aiutarci a garantire ogni giorno un'informazione di qualità. Vai su internazionale.it/abbonatiConsulenza editoriale di Chiara NielsenProduzione di Claudio Balboni e Vincenzo De SimoneMusiche di Tommaso Colliva e Raffaele ScognaDirezione creativa di Jonathan Zenti
Dix ans après les attentats de Paris et Saint-Denis, les legs de l'État islamique demeurent en Syrie. L'organisation y avait installé, dès 2014, la capitale de son califat autoproclamé. Baghouz, aux confins avec l'Irak, tout au sud, en avait été son dernier réduit. Le village est tombé en mars 2019 après plus de deux mois d'assauts et de siège de la coalition internationale et de leurs alliés, les Forces démocratiques syriennes, signant la fin de l'organisation terroriste. Depuis, la ville peine à se relever. La majorité des infrastructures sont détruites. Nombre des habitants sont encore déplacés dans les camps du Nord-Est. Et la menace des cellules dormantes de l'État islamique plane sur la région. Reportage de notre correspondante en Syrie. De notre correspondante en Syrie, C'est sur les hauteurs d'une colline, à la frontière avec l'Irak, que les jihadistes de l'organisation État islamique ont été enterrés. Tout autour, un paysage aride, lunaire. Et à perte de vue, des centaines de monticules de terre. Baghouz, c'est le dernier bastion de l'État islamique. La ville est tombée le 23 mars 2019, après plus de deux mois de siège et de bombardement de la coalition internationale. « Lorsque nous sommes revenus pour la première fois à Baghouz, nous avons tout simplement trouvé des cadavres », explique Farhan Al Dawod. Il a réussi à en être évacué avant l'assaut final. Mais lorsqu'il est revenu quelques mois plus tard, il est devenu, malgré lui, fossoyeur du village. « Nous trouvions des cadavres dans les maisons, sur les terres agricoles, dans les fosses communes, sans savoir vraiment s'il s'agissait de civils ou de membres de l'État islamique. Il y avait des personnes décapitées, leurs têtes gisaient encore à leurs pieds. Il y avait des corps brûlés, d'autres recouverts de poussière. Nous en avons enterré plus de 5 000 », raconte-t-il. Baghouz a vu débarquer les jihadistes de l'organisation État islamique fin 2014, avec la promesse de combattre le clan Assad. « Au tout début, ils nous promettaient de vivre confortablement, de conduire des voitures, ils nous disaient que nous allions devenir des hommes d'affaires. Puis au bout d'un certain temps, ils ont commencé à réprimer le peuple, à décapiter quiconque s'opposait à eux, que ce soit un rebelle de l'armée syrienne libre, ou bien un simple habitant qui refusait de coopérer », explique Dib Kalel Daoud, membre du comité local de la ville. La coalition internationale, épaulée par les Kurdes des Forces démocratiques syriennes, mène l'assaut depuis le nord, repousse un à un les combattants de l'organisation terroriste vers le sud. Tous se retrouvent bientôt coincés à Baghouz. « Vous, en tant que coalition internationale, vous êtes venus pour libérer la région. Mais vous l'avez détruite à la place. Vous avez tout détruit, sous prétexte de la présence de l'État islamique. Entre 1 400 et 1 700 maisons ont été totalement rasées », affirme Mana Rajab Safr, cheikh de la ville. À lire aussiL'étau se resserre autour du groupe Etat Islamique dans l'est de la Syrie Depuis, les habitants qui ont survécu sont de retour, ils reconstruisent coûte que coûte leur maison. Comme cet homme qui vient de dépenser 10 000 dollars. « Je n'imaginais pas que je reviendrais à Baghouz. Mais pour être sincère, j'aurais préféré rester déplacé et ne pas voir ces scènes d'horreur à mon retour. Regardez, tous ces cheveux gris que ça m'a fait pousser ! », s'exclame-t-il. La plupart des habitants ont été déplacés dans le camp d'Al-Hol, plus au nord. Avec l'ensemble des familles de jihadistes de l'État islamique. Cette femme est institutrice. Elle s'occupe de l'éducation des enfants au retour du camp. « C'est très dur pour eux, précise-t-elle. Il y avait bien des écoles dans le camp d'Al Hol, notamment financées par l'Unicef. Mais nous, habitants de Baghouz, refusions que nos enfants aillent étudier à côté de ceux de l'État islamique. » Alors que la menace des cellules dormantes de l'organisation terroriste demeure, les habitants craignent ici d'être à nouveau pris en étau dans des combats qui ne sont pas les leurs. Dans la région, les opérations de la coalition internationale sont fréquentes. La nuit, il n'est pas rare d'entendre le vrombissement de leurs hélicoptères. À lire aussiEn Syrie, sur les traces de l'État islamique
Dix ans après les attentats de Paris et Saint-Denis, les legs de l'État islamique demeurent en Syrie. L'organisation y avait installé, dès 2014, la capitale de son califat autoproclamé. Baghouz, aux confins avec l'Irak, tout au sud, en avait été son dernier réduit. Le village est tombé en mars 2019 après plus de deux mois d'assauts et de siège de la coalition internationale et de leurs alliés, les Forces démocratiques syriennes, signant la fin de l'organisation terroriste. Depuis, la ville peine à se relever. La majorité des infrastructures sont détruites. Nombre des habitants sont encore déplacés dans les camps du Nord-Est. Et la menace des cellules dormantes de l'État islamique plane sur la région. Reportage de notre correspondante en Syrie. De notre correspondante en Syrie, C'est sur les hauteurs d'une colline, à la frontière avec l'Irak, que les jihadistes de l'organisation État islamique ont été enterrés. Tout autour, un paysage aride, lunaire. Et à perte de vue, des centaines de monticules de terre. Baghouz, c'est le dernier bastion de l'État islamique. La ville est tombée le 23 mars 2019, après plus de deux mois de siège et de bombardement de la coalition internationale. « Lorsque nous sommes revenus pour la première fois à Baghouz, nous avons tout simplement trouvé des cadavres », explique Farhan Al Dawod. Il a réussi à en être évacué avant l'assaut final. Mais lorsqu'il est revenu quelques mois plus tard, il est devenu, malgré lui, fossoyeur du village. « Nous trouvions des cadavres dans les maisons, sur les terres agricoles, dans les fosses communes, sans savoir vraiment s'il s'agissait de civils ou de membres de l'État islamique. Il y avait des personnes décapitées, leurs têtes gisaient encore à leurs pieds. Il y avait des corps brûlés, d'autres recouverts de poussière. Nous en avons enterré plus de 5 000 », raconte-t-il. Baghouz a vu débarquer les jihadistes de l'organisation État islamique fin 2014, avec la promesse de combattre le clan Assad. « Au tout début, ils nous promettaient de vivre confortablement, de conduire des voitures, ils nous disaient que nous allions devenir des hommes d'affaires. Puis au bout d'un certain temps, ils ont commencé à réprimer le peuple, à décapiter quiconque s'opposait à eux, que ce soit un rebelle de l'armée syrienne libre, ou bien un simple habitant qui refusait de coopérer », explique Dib Kalel Daoud, membre du comité local de la ville. La coalition internationale, épaulée par les Kurdes des Forces démocratiques syriennes, mène l'assaut depuis le nord, repousse un à un les combattants de l'organisation terroriste vers le sud. Tous se retrouvent bientôt coincés à Baghouz. « Vous, en tant que coalition internationale, vous êtes venus pour libérer la région. Mais vous l'avez détruite à la place. Vous avez tout détruit, sous prétexte de la présence de l'État islamique. Entre 1 400 et 1 700 maisons ont été totalement rasées », affirme Mana Rajab Safr, cheikh de la ville. À lire aussiL'étau se resserre autour du groupe Etat Islamique dans l'est de la Syrie Depuis, les habitants qui ont survécu sont de retour, ils reconstruisent coûte que coûte leur maison. Comme cet homme qui vient de dépenser 10 000 dollars. « Je n'imaginais pas que je reviendrais à Baghouz. Mais pour être sincère, j'aurais préféré rester déplacé et ne pas voir ces scènes d'horreur à mon retour. Regardez, tous ces cheveux gris que ça m'a fait pousser ! », s'exclame-t-il. La plupart des habitants ont été déplacés dans le camp d'Al-Hol, plus au nord. Avec l'ensemble des familles de jihadistes de l'État islamique. Cette femme est institutrice. Elle s'occupe de l'éducation des enfants au retour du camp. « C'est très dur pour eux, précise-t-elle. Il y avait bien des écoles dans le camp d'Al Hol, notamment financées par l'Unicef. Mais nous, habitants de Baghouz, refusions que nos enfants aillent étudier à côté de ceux de l'État islamique. » Alors que la menace des cellules dormantes de l'organisation terroriste demeure, les habitants craignent ici d'être à nouveau pris en étau dans des combats qui ne sont pas les leurs. Dans la région, les opérations de la coalition internationale sont fréquentes. La nuit, il n'est pas rare d'entendre le vrombissement de leurs hélicoptères. À lire aussiEn Syrie, sur les traces de l'État islamique
3éme épisode / 5, de la série sur l'amyotrophie spinale infantile. Episode 3 : Maladie rare – DEPISMA : Bilan de l'étude pilote du dépistage néonatal de l'Amyotrophie Spinale infantile. Invité : Pr Vincent Laugel, neuropédiatre, chef du pôle de pédiatrie des Hôpitaux Universitaires de Strasbourg, coordinateur du projet DEPISMA, et responsable du site enfant du centre de référence des maladies neuromusculaires Nord-Est Île-de-France de la filière Filnemus. https://www.chru-strasbourg.fr/maladie/maladies-neuromusculaires/ https://www.filnemus.fr/ 1️⃣ Pourquoi proposer un dépistage néonatal de l'amyotrophie spinale ? [0'33 – 1'48] ✔️ L'amyotrophie spinale était auparavant une maladie grave et souvent mortelle avant 2 ans ✔️ Les traitements récents stoppent la progression mais doivent être commencés très tôt ✔️ Le dépistage néonatal est nécessaire pour identifier les patients avant l'apparition des symptômes. Pour plus d'informations, retrouvez notre page article : https://rarealecoute.com/lamyotrophie-spinale-infantile/ 2️⃣ Qu'est-ce que le programme DEPISMA aux auditeurs ? [1'49 – 3'38] ✔️ Le programme DEPISMA vise à démontrer la faisabilité et l'acceptabilité d'un dépistage néonatal génétique de l'amyotrophie spinale. ✔️ Première application en France d'un dépistage néonatal basé sur l'analyse génétique. ✔️ Déploiement sur deux régions pilotes (Grand Est et Nouvelle-Aquitaine) pour tous les nouveau-nés, utilisant une goutte de sang prélevée au talon déjà utilisée pour d'autres dépistages. 3️⃣ Quels ont été les principaux défis pour sa mise en place ? [3'39-5'58] ✔️ Déploiement technique des laboratoires et installation des équipements de dépistage génétique. ✔️ Formation et mobilisation des 81 maternités pour prélèvement et consentement parental. ✔️ Organisation d'une prise en charge rapide des nouveau-nés dépistés positifs, impliquant de nombreux professionnels. 4️⃣ Comment les jeunes parents concernés par cette maladie rare ont-ils accueilli le programme ? [5'59 -7'16] ✔️98 % d'acceptation des familles, malgré la procédure réglementaire de consentement. 5️⃣ Quels résultats ont été obtenus grâce au projet DEPISMA ? [7'17 – 8'37] ✔️ Sur 2,5 ans, environ 200 000 nouveau-nés dépistés, avec 20 enfants atteints identifiés. ✔️ Plus de 94 % des naissances dépistées, avec 98 % d'acceptation parentale. ✔️ DEPISMA a permis de convaincre les autorités et de lancer un dépistage national. 6️⃣ Comment le dépistage de l'amyotrophie spinale est-il actuellement mis en œuvre en France ? [8'38 – 9'31] ✔️ Avis favorable de la HAS en juillet 2024, validant la faisabilité et l'acceptabilité du dépistage. ✔️ Mise en œuvre concrète depuis le 1er septembre 2025 dans toutes les maternités et hôpitaux de France. 7️⃣ Quelles perspectives pour l'avenir du dépistage de l'amyotrophie spinale ? [9'32 – 11'47] ✔️ Le dépistage dès la naissance transformera la prise en charge de l'amyotrophie spinale en permettant un traitement précoce pour tous les enfants concernés. ✔️ Objectif : prévenir l'apparition de symptômes, améliorer le pronostic et adapter les traitements à chaque nouveau-né. L'équipe : Virginie Druenne – Ambassadrice RARE à l'écoute Cyril Cassard – Journaliste/Animation Hervé Guillot - Production Crédits : Sonacom __________________________________ RARE à l'écoute est le 1er média d'influence entièrement dédié aux maladies rares : Un podcast pour faire entendre les voix de celles et ceux qui vivent, soignent et accompagnent ces maladies souvent invisibles. Les Revues Horizon pour mettre en lumière les meilleures initiatives des centres experts, pour inspirer et connecter les professionnels de santé. Des Lives engagés, pensés pour les patients, leurs proches et les associations. Un média indépendant, engagé et utile, au service d'un meilleur parcours de soin pour les patients atteints de maladies rares. Toutes nos ressources utiles sont accessibles gratuitement sur : www.rarealecoute.com
Météo : des nuages en provenance du nord-est influencent le temps, avec des averses localement modérées attendues by TOPFM MAURITIUS
L'émission 28 minutes du 29/10/2025 Pierre Arditi, 60 ans de carrière et des souvenirs à la pelle Le comédien Pierre Arditi revient sur les planches avec une nouvelle pièce, “Je me souviendrai de presque tout”, au Théâtre Montparnasse, à Paris, jusqu'au 21 décembre. Il y joue le rôle d'un comédien célèbre qui demande, au soir de sa vie, à son fils — écrivain raté qu'il n'a pas vu depuis des années — de l'aider à écrire sa biographie. Cette pièce a été écrite pour lui par Alexis Macquart et correspond sur plusieurs points à sa propre trajectoire : appétit de notoriété, peur d'être oublié par le public, et la difficulté à assumer son rôle de père. La fonte des glaces va-t-elle bouleverser le commerce maritime mondial ? Mi-octobre, un navire chinois a rallié l'Europe depuis la Chine en 20 jours seulement alors qu'il en faut habituellement 40. Au lieu de passer par le canal de Suez, la voie habituelle, le porte-conteneurs a emprunté une autre route : la mythique route du Nord-Est, via l'Arctique, aujourd'hui rendue praticable à cause des conséquences du réchauffement climatique. C'est la première fois qu'une telle cargaison réussit cet exploit. Le porte-conteneurs inaugure par là même le premier trajet commercial régulier de l'”Arctic Express”, également baptisé Route de la Soie polaire par les Chinois. Si cette nouvelle route maritime permet un gain de temps considérable, les conséquences néfastes sur l'environnement sont multiples. Mais, pour la Chine, l'enjeu est double : commercial et géopolitique puisqu'elle souhaite prendre position dans la région. La Russie, de son côté, pourrait aussi profiter de l'ouverture de ces voies maritimes puisqu'elle possède plus de la moitié des côtes arctiques. Enfin, Xavier Mauduit s'intéresse à la nouvelle offre de télé gratuite proposée par Free. Il nous raconte quand les Français ont découvert la toute première image de télévision. Théophile Cossa nous explique comment fonctionne le cours de l'or alors que celui-ci explose. 28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 29 octobre 2025 Présentation Élisabeth Quin Production KM, ARTE Radio
L'émission 28 minutes du 29/10/2025 La fonte des glaces va-t-elle bouleverser le commerce maritime mondial ? Mi-octobre, un navire chinois a rallié l'Europe depuis la Chine en 20 jours seulement alors qu'il en faut habituellement 40. Au lieu de passer par le canal de Suez, la voie habituelle, le porte-conteneurs a emprunté une autre route : la mythique route du Nord-Est, via l'Arctique, aujourd'hui rendue praticable à cause des conséquences du réchauffement climatique. C'est la première fois qu'une telle cargaison réussit cet exploit. Le porte-conteneurs inaugure par là même le premier trajet commercial régulier de l'”Arctic Express”, également baptisé Route de la Soie polaire par les Chinois. Si cette nouvelle route maritime permet un gain de temps considérable, les conséquences néfastes sur l'environnement sont multiples. Mais, pour la Chine, l'enjeu est double : commercial et géopolitique puisqu'elle souhaite prendre position dans la région. La Russie, de son côté, pourrait aussi profiter de l'ouverture de ces voies maritimes puisqu'elle possède plus de la moitié des côtes arctiques. 28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 29 octobre 2025 Présentation Élisabeth Quin Production KM, ARTE Radio
Aperto a Thiene il nuovo centro per l'impiego qualificato inJob. Una scelta determinata dal aftto che Thiene considerata “nel cuore di un distretto produttivo strategico per il nord est, dove la vocazione manifatturiera incontra un'elevata richiesta di competenze tecniche specializzate”.
En Syrie, les agriculteurs du nord-est du pays ont été confrontés cet été à un nouvel épisode de sécheresse dramatique, notamment pour les récoltes de blé, une ressource pourtant indispensable à la population dont le pain représente la base de l'alimentation. La situation suscite l'inquiétude quant à la capacité de l'administration autonome du nord-est syrien (AANES) – l'entité politique dominée par les Kurdes en charge de la région – à poursuivre la distribution de pains subventionnés, à la base du contrat social du Rojava. De notre correspondant de retour de Qamishli, Le long de la route défoncée qui relie Raqqa à Hassaké, longtemps considérée comme le grenier à blé de la Syrie, les propriétés agricoles autrefois florissantes sont difficiles à deviner dans la poussière. La Syrie a été confrontée cet été à la pire sécheresse depuis 36 ans. « La saison est très mauvaise, le climat est trop sec et il fait trop chaud. Et l'hiver dernier, il n'a pas plu, donc il n'y a plus d'eau dans les puits. » D'un ample geste de la main, Oum Raly embrasse son domaine : là le coton, ici les blés… Mais il n'y a pas grand-chose à voir : la surface cultivée s'est réduite à peau de chagrin. Ici, il faut désormais creuser à plus de 300 mètres pour dénicher un peu d'eau : « Avant, nous pompions l'eau grâce à des moteurs, mais le diesel est devenu trop cher. Alors, nous nous sommes endettés pour les remplacer par des panneaux solaires. Ici, chaque famille envoie un fils travailler en Allemagne ou en Turquie et ils renvoient de l'argent tous les ans. D'ici deux ans, peut-être que nous aurons remboursé nos dettes. » À écouter aussiSyrie: la sécheresse et le manque d'eau, un défi de plus pour la population et le nouveau pouvoir D'autres n'ont pas cette possibilité. Plus loin, sur la route, une femme, arrosoir à la main, le dos courbé, humecte péniblement son champ dont le sol est nervuré de larges crevasses : « Nous n'avons fait aucun profit cette saison, il a fallu que nous vendions tous nos moutons pour financer l'agriculture. Mais c'est un échec, nous n'avons rien gagné grâce à la terre. Si nous pouvions, nous partirions, mais pour aller où ? » Le blé, une ressource en chute libre Le Programme alimentaire mondial évalue une baisse de 40% de la production de blé en Syrie, une chute libre surveillée de près par les autorités kurdes. À Qamishli, Noursheen administre l'une des nombreuses boulangeries étatiques du nord-est syrien, véritable usine à pain : « Nous sommes confrontés à une crise du blé et de l'eau. Nous recevons encore de la farine et nous pouvons faire du pain tous les jours. Mais les quantités sont limitées et nous devons puiser dans les stocks des années précédentes, la qualité du pain s'en ressent. » Dans son dos, les galettes fumantes défilent sur un tapis, elles seront vendues à prix réduit à la population. Le pain est largement subventionné par les autorités kurdes en prise avec le pouvoir de Damas, une autre source d'inquiétude pour cet ouvrier : « Avec l'ancien régime, nous pouvions encore échanger du blé contre du pétrole. Mais là, le gouvernement de transition a coupé les routes et isole certaines régions kurdes, ils veulent mettre la pression sur l'administration autonome, et ça affecte la production de pain ! » À écouter aussiSyrie: la région de Deraa frappée par une pénurie d'eau sans précédent Avec ces contraintes politiques et climatiques, le prix du pain a doublé en quelques mois. De 1 500 livres syriennes le sac, il se vend désormais 3 000, soit un peu plus d'un dollar. Pour les habitants des quartiers modestes de Qamishli, comme Hamid, cette hausse des prix est alarmante : « Notre peuple est pauvre ! Il faudrait que l'administration fournisse le carburant et le pain sans chercher à faire de profit pour le soutenir. » Alors que se négocient âprement les conditions de la réunification du pays, les autorités du nord-est syrien sont vigilantes à préserver les bases du contrat social, et à ne pas laisser s'installer un climat de défiance.
Aujourd'hui nous partons en Amazonie brésilienne, pour parler du cacao de la forêt, qui pousse à l'état sauvage. Si l'État de Bahia, sur la côte du Nord-Est brésilien, est plus connu pour sa culture de cacao, le fruit d'Amazonie ne cesse de se développer… À deux semaines de la COP30, cap sur le Brésil. Nous vous emmenons en Amazonie dans l'État du Para où se développe la culture du cacao sauvage. Mais avant cela, nous vous disons tout sur une formidable aventure scientifique : la caravane fluviale Iaraçu qui va naviguer de Manaus, à Belem, pour aller à la rencontre des populations qui vivent sur les bords du fleuve. Elles subissent les conséquences du changement climatique. L'objectif est de porter leurs paroles jusqu'à la COP30. Du 28 octobre au 18 novembre 2025, la caravane fluviale Iaraçu naviguera de Manaus à Belém, au cœur de l'Amazonie, pour porter jusqu'à la COP30 les voix des populations locales et des sciences de la durabilité. Cette initiative innovante, participative et interdisciplinaire est portée par l'IRD, l'Ambassade de France au Brésil, le CFBBA, l'UFAM, l'UFPA, le CNPq, la CAPES et le MCTI, dans une coopération fondée sur la science, la solidarité et le respect des écosystèmes. Avec Christophe Lavaysse, conseiller scientifique Changement climatique, sur les sciences du climat à la COP et Abdelfettah Sifeddine, géologue et représentant de l'IRD au Brésil.
Aujourd'hui nous partons en Amazonie brésilienne, pour parler du cacao de la forêt, qui pousse à l'état sauvage. Si l'État de Bahia, sur la côte du Nord-Est brésilien, est plus connu pour sa culture de cacao, le fruit d'Amazonie ne cesse de se développer… À deux semaines de la COP30, cap sur le Brésil. Nous vous emmenons en Amazonie dans l'État du Para où se développe la culture du cacao sauvage. Mais avant cela, nous vous disons tout sur une formidable aventure scientifique : la caravane fluviale Iaraçu qui va naviguer de Manaus, à Belem, pour aller à la rencontre des populations qui vivent sur les bords du fleuve. Elles subissent les conséquences du changement climatique. L'objectif est de porter leurs paroles jusqu'à la COP30. Du 28 octobre au 18 novembre 2025, la caravane fluviale Iaraçu naviguera de Manaus à Belém, au cœur de l'Amazonie, pour porter jusqu'à la COP30 les voix des populations locales et des sciences de la durabilité. Cette initiative innovante, participative et interdisciplinaire est portée par l'IRD, l'Ambassade de France au Brésil, le CFBBA, l'UFAM, l'UFPA, le CNPq, la CAPES et le MCTI, dans une coopération fondée sur la science, la solidarité et le respect des écosystèmes. Avec Christophe Lavaysse, conseiller scientifique Changement climatique, sur les sciences du climat à la COP et Abdelfettah Sifeddine, géologue et représentant de l'IRD au Brésil.
En Syrie, les agriculteurs du nord-est du pays ont été confrontés cet été à un nouvel épisode de sécheresse dramatique, notamment pour les récoltes de blé, une ressource pourtant indispensable à la population dont le pain représente la base de l'alimentation. La situation suscite l'inquiétude quant à la capacité de l'administration autonome du nord-est syrien (AANES) – l'entité politique dominée par les Kurdes en charge de la région – à poursuivre la distribution de pains subventionnés, à la base du contrat social du Rojava. De notre correspondant de retour de Qamishli, Le long de la route défoncée qui relie Raqqa à Hassaké, longtemps considérée comme le grenier à blé de la Syrie, les propriétés agricoles autrefois florissantes sont difficiles à deviner dans la poussière. La Syrie a été confrontée cet été à la pire sécheresse depuis 36 ans. « La saison est très mauvaise, le climat est trop sec et il fait trop chaud. Et l'hiver dernier, il n'a pas plu, donc il n'y a plus d'eau dans les puits. » D'un ample geste de la main, Oum Raly embrasse son domaine : là le coton, ici les blés… Mais il n'y a pas grand-chose à voir : la surface cultivée s'est réduite à peau de chagrin. Ici, il faut désormais creuser à plus de 300 mètres pour dénicher un peu d'eau : « Avant, nous pompions l'eau grâce à des moteurs, mais le diesel est devenu trop cher. Alors, nous nous sommes endettés pour les remplacer par des panneaux solaires. Ici, chaque famille envoie un fils travailler en Allemagne ou en Turquie et ils renvoient de l'argent tous les ans. D'ici deux ans, peut-être que nous aurons remboursé nos dettes. » À écouter aussiSyrie: la sécheresse et le manque d'eau, un défi de plus pour la population et le nouveau pouvoir D'autres n'ont pas cette possibilité. Plus loin, sur la route, une femme, arrosoir à la main, le dos courbé, humecte péniblement son champ dont le sol est nervuré de larges crevasses : « Nous n'avons fait aucun profit cette saison, il a fallu que nous vendions tous nos moutons pour financer l'agriculture. Mais c'est un échec, nous n'avons rien gagné grâce à la terre. Si nous pouvions, nous partirions, mais pour aller où ? » Le blé, une ressource en chute libre Le Programme alimentaire mondial évalue une baisse de 40% de la production de blé en Syrie, une chute libre surveillée de près par les autorités kurdes. À Qamishli, Noursheen administre l'une des nombreuses boulangeries étatiques du nord-est syrien, véritable usine à pain : « Nous sommes confrontés à une crise du blé et de l'eau. Nous recevons encore de la farine et nous pouvons faire du pain tous les jours. Mais les quantités sont limitées et nous devons puiser dans les stocks des années précédentes, la qualité du pain s'en ressent. » Dans son dos, les galettes fumantes défilent sur un tapis, elles seront vendues à prix réduit à la population. Le pain est largement subventionné par les autorités kurdes en prise avec le pouvoir de Damas, une autre source d'inquiétude pour cet ouvrier : « Avec l'ancien régime, nous pouvions encore échanger du blé contre du pétrole. Mais là, le gouvernement de transition a coupé les routes et isole certaines régions kurdes, ils veulent mettre la pression sur l'administration autonome, et ça affecte la production de pain ! » À écouter aussiSyrie: la région de Deraa frappée par une pénurie d'eau sans précédent Avec ces contraintes politiques et climatiques, le prix du pain a doublé en quelques mois. De 1 500 livres syriennes le sac, il se vend désormais 3 000, soit un peu plus d'un dollar. Pour les habitants des quartiers modestes de Qamishli, comme Hamid, cette hausse des prix est alarmante : « Notre peuple est pauvre ! Il faudrait que l'administration fournisse le carburant et le pain sans chercher à faire de profit pour le soutenir. » Alors que se négocient âprement les conditions de la réunification du pays, les autorités du nord-est syrien sont vigilantes à préserver les bases du contrat social, et à ne pas laisser s'installer un climat de défiance.
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Alors qu'un deuxième indigène est mort mercredi (15 octobre 2025) après avoir été blessé par balles lors d'une manifestation, la situation s'est paradoxalement calmée dans la province d'Imbabura, épicentre de la grève depuis 24 jours. Un accord a été trouvé entre le gouvernement et des responsables indigènes, sans que la base ne soit forcément d'accord. Chronique d'une fin de grève avec notre correspondant Éric Samson. L'accord prévoit la libération de 43 manifestants, le retrait de l'armée des territoires indigènes et l'ouverture d'une table de travail pour examiner la hausse du prix du diesel, principale cause du conflit. Si le ministre de l'Intérieur John Reimberg a salué un «retour à la normalité», les divisions demeurent : plusieurs militants accusent leurs dirigeants de trahison et refusent de reconnaître l'accord. À Quito, des manifestations sporadiques ont encore eu lieu. Le calme retrouvé dans le Nord contraste avec la violence persistante dans le Sud, où une voiture piégée a explosé à Guayaquil et deux ponts ont été détruits dans des attentats attribués par le président Daniel Noboa aux mafias liées à l'exploitation minière illégale. La société équatorienne reste fracturée, et le racisme envers les populations indigènes s'est renforcé, selon un politologue interrogé sur place. L'Uruguay légalise l'euthanasie, une première en Amérique latine Le Parlement uruguayen a adopté à une large majorité une loi historique légalisant l'euthanasie, une première dans la région. Le pays rejoint la Colombie et l'Équateur, où le suicide assisté est déjà dépénalisé par décision de justice, mais devient le premier à le permettre par voie législative. Le quotidien El País précise que la procédure sera réservée aux majeurs mentalement aptes, atteints d'une maladie incurable ou provoquant des souffrances insupportables, sur avis concordant de deux médecins. Si plus de 60% des Uruguayens soutiennent la loi, l'Église catholique y reste farouchement opposée, prônant le développement des soins palliatifs. États-Unis : la future réforme de l'accueil des réfugiés jugée discriminatoire Selon le New York Times, l'administration Trump prépare une refonte radicale du système d'accueil des réfugiés, donnant la priorité à des candidats «blancs, anglophones et culturellement compatibles» avec les États-Unis. Les documents internes consultés par le quotidien évoquent une préférence pour des Européens conservateurs ou des Afrikaners d'Afrique du Sud, au nom d'une prétendue persécution. Cette orientation, fondée sur une vision identitaire, repose sur l'idée que «l'augmentation de la diversité» aurait affaibli la cohésion sociale américaine. Brésil : le crime organisé gagne du terrain Les milices et factions criminelles contrôlent désormais des quartiers où vivent près de 19% des Brésiliens, soit environ 28 millions de personnes, selon une étude du Forum brésilien de la sécurité publique reprise par la Folha de São Paulo. Le phénomène touche toutes les classes sociales, mais se concentre dans les grandes villes et le Nord-Est. Les personnes noires sont plus exposées que les personnes blanches, souligne le journal. Cette emprise croissante s'accompagne de la multiplication de cimetières clandestins et de zones de consommation de drogue. Pour Renato Sérgio de Lima, président du Forum, il devient urgent de mieux coordonner les politiques de sécurité à l'échelle nationale. Haïti : MSF annonce la fermeture du centre d'urgence à Turgeau Selon Le Nouvelliste, la fermeture annoncée du centre d'urgences de Médecins Sans Frontières (MSF) à Turgeau, prévue pour le 1er novembre 2025, en raison de l'insécurité grandissante, continue de susciter l'inquiétude. Nous en parlons avec Frantz Duval, rédacteur en chef du journal haïtien. Les conseillers présidentiels Fritz Alphonse Jean et Frinel Joseph ont rencontré une délégation de MSF pour évoquer les solutions possibles. L'organisation humanitaire est considérée comme un pilier de la réponse médicale à Port-au-Prince. Elle envisage des missions d'évaluation afin de «planifier une reprise des activités dans une zone aussi proche que possible du centre-ville», souligne la Présidence. Avec Frantz Duval, nous abordons aussi l'hommage rendu par Le Nouvelliste, à Robert «Bobby» Denis, figure qualifiée de «monument du son» en Haïti. Ingénieur de renom, formé à Radio Haïti avant de fonder le studio Audiotek, il a marqué plusieurs générations d'artistes par sa maîtrise du son et son exigence technique, explique Frantz Duval. Journal de la 1re Le ramassage de déchets en Martinique.
Sébastien Lecornu ha riportato ordine all'Assemblea nazionale, ottenendo un risultato politico significativo in tre mosse: ha ridato centralità al Parlamento, annunciato un'imposta eccezionale sui grandi patrimoni e promesso la sospensione della riforma delle pensioni fino al 2028, quindi dopo le presidenziali. Lecornu ha garantito che non ci sarà alcun aumento dell'età pensionabile né della durata dei contributi fino a gennaio 2028, come richiesto dalla CFDT. La sospensione costerà 400 milioni di euro nel 2027 e interesserà 3,5 milioni di francesi, ma sarà compensata da risparmi per evitare un aumento del deficit.Ha inoltre proposto un contributo eccezionale sui grandi patrimoni per finanziare investimenti strategici e aumenti fiscali mirati per alcune grandi imprese, con l'obiettivo di redistribuire meglio il carico fiscale. Lecornu ha anche ribadito il ruolo centrale del Parlamento, rinunciando al ricorso all'articolo 49.3 della Costituzione e invitando le opposizioni a partecipare alla discussione su bilancio e riforme. Ne parliamo con Marc Lazar, titolare della cattedra Relazioni italo-francesi per l'Europa alla Luiss e Professore di Storia Politica e Sociologia, direttore del Centro di Storia di Sciences Po a Parigi, Presidente del Comitato Scientifico della stessa università.La Cina impone tasse portuali alle navi UsaLa Cina ha introdotto un nuovo regime di tasse portuali speciali per le navi di proprietà o gestite da imprese, organizzazioni e individui statunitensi, in risposta a misure analoghe adottate dagli Stati Uniti. Le tariffe partono da 400 yuan per tonnellata netta e aumenteranno progressivamente fino a 1.120 yuan nel 2028. La misura riguarda anche navi battenti bandiera americana, costruite negli Usa o controllate da entità con partecipazione statunitense superiore al 25%.Si tratta di una mossa speculare a quella di Washington, che ha imposto restrizioni al settore navale e cantieristico cinese. Pechino accusa gli Stati Uniti di violare gli accordi commerciali e di danneggiare gli interessi cinesi. Un portavoce del ministero del Commercio ha dichiarato che la Cina è pronta a "combattere fino alla fine" nella guerra commerciale, pur restando disponibile al dialogo. Interviene Patrizio Bianchi, Professore Emerito di Economia, Cattedra Unesco "Educazione, Crescita e Uguaglianza", Università degli Studi di Ferrara.Istat: in povertà assoluta 5,7 milioni di persone, in gran parte stranieriSecondo l'Istat, nel 2024 oltre 2,2 milioni di famiglie italiane (8,4% del totale) vivono in povertà assoluta, per un totale di 5,7 milioni di individui, pari al 9,8% dei residenti. I valori restano stabili rispetto al 2023. La povertà colpisce soprattutto le famiglie con componenti stranieri: l'incidenza è del 30,4% se c'è almeno uno straniero, e del 35,2% se tutti i membri sono stranieri, contro il 6,2% delle famiglie composte solo da italiani.Il Mezzogiorno registra i livelli più alti di povertà (10,5%), seguito dal Nord-Ovest (8,1%) e dal Nord-Est (7,6%), mentre il Centro resta l'area con i valori più bassi (6,5%). Aumenta la povertà nelle Isole, passata dal 11,9% al 13,4%. Nei comuni piccoli non periferici delle aree metropolitane l'incidenza è più elevata (8,9%), mentre nelle grandi città scende leggermente. Tuttavia, al Sud e al Nord sono proprio i centri metropolitani a registrare i tassi più alti. Commentiamo il tutto con Massimo Baldini, docente di Scienza delle Finanze presso l'Università di Modena e Reggio Emilia.
Veronica Santoro"L'interprete"Ponte alle Graziehttps://www.ponteallegrazie.it/libro/linterprete-veronica-santoro-9791255821410.htmlUn esordio sorprendente, una protagonista indimenticabileSiamo negli anni tra il 1943 e il 1945, i più terribili del secolo scorso. L'Italia centrosettentrionale è occupata dall'esercito tedesco e Delia Zorzi, figlia di un'importante famiglia fascista di Verona, viene reclutata dal comando nazista come interprete. Mentre la città oscilla tra collaborazionismo e resistenza, Delia abita una zona grigia fatta di compromessi, ricatti, silenzi, scelte impossibili: da una parte c'è Carlo, il fratello ribelle che ha voltato le spalle al padre autoritario per unirsi ai partigiani, e che la ragazza è pronta a proteggere a qualsiasi costo; dall'altra parte Thomas, giovane ufficiale delle SS dal passato oscuro e dal fascino indecifrabile, che la trascina in un rapporto ambiguo, inizialmente rifiutato poi quasi fatale...Tutt'attorno vorticano personaggi, circostanze, trame che costringono di volta in volta Delia a decidere da che parte stare, a camminare sullo scivoloso crinale che separa desiderio di redenzione e istinto di sopravvivenza. Mentre gli eventi storici incalzano – i bombardamenti angloamericani sempre più frequenti segnalano che il tempo sta scadendo, l'orrore della deportazione si consuma sotto gli occhi di tutti (memorabile la scena del campo di concentramento di Fossoli) – la giovane donna imparerà che, anche se non possiamo scegliere chi amare, dobbiamo lottare per diventare padroni delle nostre vite.Romanzo storico, spy story, storia d'amore... il libro che avete tra le mani è tutto questo e molto di più; L'interprete è indefinibile, sorprendente, coinvolgente come la migliore narrativa, quella destinata a conquistare il pubblico e a durare nel tempo.Veronica Santoro è nata e vive a Verona. Dopo gli studi classici e una laurea in Storia e Filosofia, lavora in diverse aziende come addetta alle relazioni con l'estero. Ha collaborato con la rivista «Coordinamento Adriatico», dedicata alla storia e alla cultura del confine orientale italiano.Nel 2021 vince il concorso letterario per autori esordienti Racconti nella Rete con il racconto breve Notturno berlinese, pubblicato da Castelvecchi nell'antologia del premio. Nello stesso anno, il suo racconto breve Nordest viene selezionato per l'antologia Racconti dal Veneto (Historica Edizioni, 2021). L'interprete è il suo romanzo d'esordio.Diventa un supporter di questo podcast: https://www.spreaker.com/podcast/il-posto-delle-parole--1487855/support.IL POSTO DELLE PAROLEascoltare fa pensarehttps://ilpostodelleparole.it/
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Dans cette édition :Le gouvernement de François Bayrou est renversé par un vote de défiance à l'Assemblée nationale, avec 364 voix contre et 194 voix pour.Le Premier ministre a tenté en vain de défendre son bilan et sa stratégie politique face aux députés.La chute du gouvernement Bayrou entraîne l'annulation des mesures d'économie prévues dans le budget, ce qui aura un impact négatif sur l'activité économique.Un nouvel attentat a eu lieu à Jérusalem-Est, faisant 6 morts et 12 blessés, alors que l'armée israélienne se prépare à lancer une offensive sur Gaza.Deux départements du Nord-Est sont placés en vigilance orange en raison de pluies intenses attendues dans la soirée et la nuit.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :Le gouvernement de François Bayrou est renversé par un vote de défiance à l'Assemblée nationale, avec 364 voix contre et 194 voix pour.Le Premier ministre a tenté en vain de défendre son bilan et sa stratégie politique face aux députés.La chute du gouvernement Bayrou entraîne l'annulation des mesures d'économie prévues dans le budget, ce qui aura un impact négatif sur l'activité économique.Un nouvel attentat a eu lieu à Jérusalem-Est, faisant 6 morts et 12 blessés, alors que l'armée israélienne se prépare à lancer une offensive sur Gaza.Deux départements du Nord-Est sont placés en vigilance orange en raison de pluies intenses attendues dans la soirée et la nuit.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
O Bahia não deu chances ao Confiança e, com amplo domínio, conquistou o quinto título da Copa do Nordeste, para se isolar como maior campeão da competição. Muito mais que uma final, que terminou em 9 a 1 no agregado confronto, o Tricolor teve campanha soberana, com o melhor aproveitamento da história em uma edição do Nordestão. Programa debate a caminhada dos comandados de Rogério Ceni, os destaques, a saída de Lucho Rodríguez e projeta o confronto diante do Fluminense pela Copa do Brasil.
durée : 00:03:19 - Le Fil histoire - Mettre le Nord en haut semble évident, pourtant c'est l'histoire d'une hiérarchie silencieuse. Au Moyen Âge, les cartes chrétiennes plaçaient l'Est, celles du monde arabe le Sud. Peu à peu, avec à la boussole venue de Chine et à la colonisation européenne, le Nord s'est imposé. - réalisation : Nicolas Berger
“O Campeão Voltou!”, torcida do Bahia soltou o grito em Aracaju! Pelo jogo de ida da final da Copa do Nordeste 2025, deu Bahia, Bahia, Bahia, Bahia e Bahia! 5 vezes Bahia para praticamente decretar o Pentacampeonato do Nordestão. Fred Figueiroa, Cássio Zirpoli e Ravel Pinheiro trazem todo o clima no Esquadrão, cenário para o […]
Come preannunciato, alle 17 del 1° settembre scatta la nuova chiusura del Traforo del Monte Bianco. Si protrarrà per 15 settimane. Secondo il cronoprogramma, la circolazione riprenderà il 12 dicembre. La chiusura è determinata dall’apertura di un nuovo cantiere-test per il rifacimento della volta, un intervento di manutenzione straordinaria a 60 anni dall’entrata in funzione dell’infrastruttura.Ne parliamo con l’ingegner Riccardo Rigacci, direttore della società di gestione del tunnel.Altri lavori e ancora disagi, questa volta nell’estremo Nord Est. Riguardano l’autostrada slovena H4 con pesanti conseguenze sul territorio italiano, soprattutto per gli autotrasportatori. Il punto con Giulio Zilio, segretario regionale di Fai-Conftrasporto Friuli Venezia Giulia.
Alessandro Tasinato"Il funerale dell'esperto ambientale"Bottega Errante Edizioniwww.bottegaerranteedizioni.itCi avete derubato delle parole. Ci avete derubato della speranza. Ci avete derubato della capacità di pensiero. Così dice la mamma.Siamo nel cimitero di un piccolo paese, dove il custode attende l'arrivo di una donna. Siamo nel cuore della zona contaminata dai cosiddetti Inquinanti Eterni, di fronte a un impianto industriale che processa migliaia di tonnellate di rifiuti. Siamo dentro a una storia che racconta la “vita perfetta” di un esperto ambientale, che viene inghiottito da un vortice e va incontro a una serie di crolli che mettono in discussione tutto. È la parabola di un uomo, di una professione, ma anche la presa di coscienza di una comunità che si domanda: chi tutela, oggi, l'ambiente? La risposta la costringerà a protestare e a riappropriarsi delle parole necessarie a cambiare il proprio destino.Alessandro Tasinato, dottore in Scienze ambientali, ha svolto indagini sui cicli produttivi della chimica, del cloro, del petrolio e dei rif iuti nei grandi impianti industriali e si è occupato di energia, fonti rinnovabili e cambiamenti climatici. Nel 2017 ha fondato IDEA, un'associazione senza scopo di lucro per la divulgazione dell'etica ambientale. Nel 2022 il suo intervento “Cinque mosse per dare scacco matto ai veleni PFAS nel cuore del Veneto” è stato inserito nella pubblicazione Acqua ultima chiamata (Antiga Edizioni). Il suo primo romanzo, Il fiume sono io (Bottega Errante Edizioni, 2018), ha vinto il premio letterario Gambrinus Giuseppe Mazzotti e il premio La voce dei Lettori oltre a essere stato finalista al premio letterario Latisana per il Nord-Est.IL POSTO DELLE PAROLEascoltare fa pensarewww.ilpostodelleparole.itDiventa un supporter di questo podcast: https://www.spreaker.com/podcast/il-posto-delle-parole--1487855/support.
Aprire il capitale ai collaboratori: in un contesto in cui sempre più imprese familiari si confrontano con il tema del passaggio generazionale, il coinvolgimento dei collaboratori nella proprietà aziendale può rappresentare una risposta concreta alla mancanza – in alcuni casi – di una nuova generazione disponibile o pronta a subentrare.È possibile immaginare un futuro in cui i dipendenti più coinvolti, competenti e motivati diventino parte attiva della continuità d'impresa?Ne parleremo con Giuseppe Milan, presidente della Fondazione Capitale&Lavoro, voce autorevole del mondo confindustriale e promotore di una nuova cultura imprenditoriale fondata su partecipazione, corresponsabilità e radicamento territoriale.Nata nel 2024 su iniziativa di Unindustria Treviso, la Fondazione Capitale&Lavoro ha l'obiettivo di promuovere una riflessione concreta e operativa su modelli d'impresa più partecipativi, capaci di integrare capitale e lavoro in una visione comune.La Fondazione lavora per diffondere la cultura della partecipazione, accompagnare le imprese in percorsi di apertura del capitale e stimolare un confronto tra attori economici, giuridici e istituzionali sui temi della governance condivisa.Tra i suoi ambiti d'azione: studi, formazione, semplificazione normativa, sperimentazione di strumenti concreti (come bond dipendenti, trust, azionariato interno) già attivi in alcune esperienze del Nord Est.Un appuntamento da non perdere per chi crede nella continuità come responsabilità condivisa e vuole esplorare nuove forme di leadership e coinvolgimento.
La mer d'Azov est une petite mer au Nord Est de la mer Noire, bordée en partie par l'Ukraine, en partie par la Russie. D'un côté et de l'autre : les mêmes eaux et la même lumière. En 2019, quand le photographe Patrick Wack s'y rend pour la première fois, la guerre a déjà commencé. La Crimée a été annexée par la Russie cinq ans plus tôt, et cette mer est occupée par la marine de guerre russe. Mais c'est encore avant la grande invasion de 2022. Patrick Wack retourne sur les rives chaque été, la guerre fait son œuvre, et c'est ce temps de la guerre qu'il donne à voir, pas la guerre elle-même mais la manière dont elle transforme l”altérité, dédouble les horizons et les incendies. La mer d'Azov reste la mer d'Azov et tout autour pourtant l'écroulement progressif. Au micro de Charlotte Pudlowski, il raconte cette trace du temps et qui transforme le récit et les images. Les siennes narrent l'histoire en cours d'écriture. L'exposition “Azov Horizons” de Patrick Wack, est à voir jusqu'au 5 octobre 2025 aux Rencontres de la photographie d'Arles. Cet épisode a été tourné et monté par Charlotte Pudlowski, Gautam Shukla était à la réalisation et au mix. La musique originale est de Michaël Liot. Julie Deltheil-Tourrenc est en charge de la production.Merci à notre partenaire Les Rencontres d'Arles, avec qui nous avons réalisé cette série Louie s'invite à Arles.Abonnez-vous à la newsletter de Louie Media, pour retrouver les interviews d'artistes et de commissaires pendant Les Rencontres et la rubrique Empreinte qui se focalise sur une œuvre. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
In questa nuova diretta di Macro Today, parliamo dell'effetto reale dei dazi USA sull'economia italiana. Sapete quanto ci costeranno? Tra i 14 e i 15 miliardi di euro l'anno, praticamente quanto costerebbe costruire da zero il Ponte sullo Stretto. L'accordo tra Europa e Stati Uniti ha imposto un dazio fisso al 15% su quasi tutte le merci europee, colpendo duramente settori strategici come vino, agroalimentare, moda, automotive e farmaceutica. Solo il Nordest rischia perdite miliardarie, con aziende costrette a ripensare interamente le proprie strategie di export e produzione.Vi racconto anche come la politica italiana sta cercando di reagire, tra richieste di esenzioni e nuovi accordi, mentre la spesa militare aumenta e la sovranità europea diminuisce.Analizzo inoltre il contesto macroeconomico globale: la svalutazione dell'euro, il raffreddamento del mercato del lavoro USA, il crollo del prezzo del rame, l'aumento dell'offerta OPEC e le scelte di portafoglio che sto facendo in questo scenario.Un quadro complesso e cruciale per capire il futuro di Italia, Europa e mercati mondiali.
En Syrie, 42 premières familles ont été évacuées du camp de Al-Hol, prison à ciel ouvert où s'entassent près de 30 000 familles suspectées d'être liées à l'État islamique. À l'heure où le groupe terroriste reprend du terrain en Syrie, le rapatriement de ces familles radicalisées est un enjeu de taille pour les nouvelles autorités de Damas. Un accord a été signé fin mai avec les autorités kurdes du Nord-Est, jusqu'ici en charge de ces familles. De notre envoyée spéciale au camp d'Al-Hol, Le pas lourd, Amina traîne ses trois fils sous un préfabriqué en taule. À l'intérieur, quatre tables, une liste de noms, et une association, chargée de faire sortir les 42 premières familles du camp d'Al-Hol. Un homme de l'association : « Quel est votre nom de famille ? Quelle est votre maladie ? Je dois vérifier votre identité ». Amina, trente ans, a été emmenée ici en 2019. Arrêtés dans le réduit de Baghouz, le dernier bastion de l'État islamique, son mari était accusé d'avoir rejoint l'organisation terroriste. Six années plus tard, Amina et ses enfants sont autorisés à sortir... quitter Al-Hol, ses innombrables tentes et ses immenses grillages surmontés de barbelés. « Je suis triste, car je laisse derrière moi mes amis, ma famille. Et à la fois très heureuse parce que je pars là où je peux élever mes enfants en toute liberté », avoue-t-elle. Amina prend ses trois fils par le bras, fait un premier pas à l'extérieur, puis jette un dernier regard à ses amies. Elles sont toutes là, les mains fermement accrochées au grillage, les yeux remplis de larmes. Une femme du camp : « Personne ne veut rester dans ce camp. Regardez, même cette enfant veut partir, tout le monde veut partir. C'est de la détention, c'est pire qu'une prison ». Une autre femme du camp : « La situation est tellement grave ici. Il n'y a pas assez d'eau, de nourriture. Nous avons peur, nous sommes terrifiés, il n'y a aucune sécurité ». À lire aussiSyrie: plus de 200 Français liés à l'EI toujours dans l'attente d'une solution Arrivés dans le bus, les fils d'Amina s'entassent sur un seul siège. Le plus vieux avait un an lorsqu'ils sont arrivés dans le camp. « Ils vont enfin voir le monde extérieur, ils n'ont vu que les tentes ici… Depuis tout à l'heure, ils me demandent : "est-ce qu'il y a de l'eau à l'extérieur" ? "Les arbres, est-ce que nous devons les planter ou est-ce qu'ils poussent naturellement ?" », confie Amina. Près du bus défilent désormais les malades. Des vieillards estropiés, des corps décharnés, souvent trop maigres. Par endroits, trop gros. Déformés par une tumeur ou une blessure mal soignée. Seuls ces cas humanitaires graves ont été autorisés à sortir du camp. Leurs dossiers ont été soigneusement étudiés pour s'assurer qu'ils n'étaient plus radicalisés. Pour les autres, aucune procédure n'a encore été mise en place, explique Jihan Henan, directrice du camp. Jihan Henan : « Il est urgent de trouver une solution. Depuis toujours, le risque, c'est que ces personnes obtiennent des armes, tuent des gens. Avec les opérations de sécurité dans le camp, la situation a commencé à s'améliorer. Mais une fois, ils ont tout de même réussi à hisser un drapeau de l'État islamique sur le toit. En attendant, il existe des réseaux de passeurs qui font sortir ces familles, et cela a augmenté au cours des trois derniers mois. Certains ont pu sortir clandestinement à travers les clôtures, d'autres secrètement par des camions-citernes, d'autres encore grâce à de faux papiers ». Après 10 heures de bus, le retour dans la ville natale d'Amina se fera sans joie. Amina : « Nous sommes tristes, car il n'y a personne pour nous accueillir… » Il y avait déjà la violence psychologique, les corps défaits. Désormais, la solitude. Car revenir des camps de l'enfer, c'est aussi cela. Être affilié à jamais au califat. À lire aussiDans le Sud syrien, la crainte d'une résurgence du groupe État islamique
Tudo sobre o clássico nordestino disputado pelas quartas de final da Copa do Nordeste 2025. Em jogo com arbitragem sob pressão, Bahia se impõe e garante classificação para a semifinal do Nordestão. Fortaleza precisa repensar próximos passos? Fábio Hermano, Thiago Minhoca e Cáscio Cardoso analisaram tudo sobre o duelo desta noite. Na direção, Gabriel Costa […]
Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur l'accord de paix entre le gouvernement centrafricain et deux groupes armés, les frappes américaines en Iran et les cyberattaques contre des institutions iraniennes. Côte d'Ivoire : ruée vers l'or dans le nord-est Avec une capacité de production évaluée à 100 tonnes d'or, la mine découverte à Doropo, à la frontière avec le Burkina Faso est qualifiée de classe mondiale. Pourquoi ce gisement suscite-t-il autant d'intérêt ? Quelles sont les retombées attendues ? Avec Benoît Almeras, correspondant de RFI à Abidjan. Centrafrique : quelles avancées après l'accord de paix signé avec des groupes armés ? Deux mois après le cessez-le-feu conclu entre le gouvernement centrafricain et les groupes armés 3R et UPC, l'accord commence à être mis en œuvre. Quelle est la différence entre ce nouvel accord et celui conclu en 2019 ? Pourquoi la question du désarmement n'est-elle pas à l'ordre du jour ? Avec François Mazet, journaliste au service Afrique de RFI. Iran : les frappes américaines sont-elles anticonstitutionnelles? Donald Trump a ordonné le bombardement des principaux sites nucléaires iraniens, dans la nuit de samedi à dimanche, sans prévenir le Congrès. Une décision dénoncée par les Démocrates qui l'accusent d'avoir enfreint la Constitution. Que dit la loi fondamentale ? Le vote du Congrès est-il obligatoire avant toute intervention militaire ? Avec Ludivine Gilli, directrice de l'Observatoire de l'Amérique du Nord de la Fondation Jean Jaurès. Guerre Israël-Iran : cyberattaques contre le régime La semaine dernière, alors qu'Israël menait des frappes contre l'Iran, la banque Sepah et la plus importante plateforme d'échange de cryptomonnaies du pays, Nobitex, ont été la cible de hackers. Ils se font appeler « Gonjeshke Darange », les « moineaux prédateurs » en français. Qui se cache derrière ce groupe ? Quelles sont ses revendications ? Avec Maxime Arquillière, analyste en cybermenace pour la société française de cybersécurité Sekoia.io.
Elisa Cozzarini"Passeggiate intorno ai laghi"20 itinerari tra Trentino, Veneto e Friuli Venezia GiuliaEdiciclo Editorewww.ediciclo.it20 passeggiate per tutti e per ogni stagione intorno a specchi d'acqua da scoprire del Nordest. Laghi grandi e piccoli, noti e meno conosciuti, dalle quote più alte alle colline, fino alla pianura. Ogni lago è un microcosmo a sé, un luogo ricco di biodiversità ma anche di tradizioni, perfetto per il tempo libero. Accanto alle informazioni di carattere naturalistico, si dà spazio alla cultura e alle storie che hanno reso unici questi luoghi. 20 itinerari tra pianura e montagna; Percorsi per tutti; Informazioni chiare e dettagliate; Foto, cartine e tracce GPS.Elisa Cozzarini, vive e lavora in provincia di Pordenone. Laureata in Scienze Politiche a Trieste, si occupa di ambiente da oltre dieci anni. Dal 2009 è iscritta all'albo dei pubblicisti dell'Ordine dei Giornalisti del Friuli Venezia Giulia. Collabora con La Nuova Ecologia, il mensile di Legambiente.È autrice de Il deserto negli occhi (con Ibrahim Kane Annour), Nuova dimensione, 2013; Io non voglio fallire (con Serenella Antoniazzi), Nuova dimensione, 2015, menzione speciale per la narrativa al Premio letterario Latisana per il Nordest; Cuccioli. Storie di piccoli cresciuti e svezzati da noi umani, Orme editori, Roma, 2015; Acqua guerriera. Vite controcorrente sul Piave, Ediciclo, 2016 (finalista al Premio Comisso); Radici liquide. Un viaggio inchiesta lungo gli ultimi torrenti alpini, Nuova dimensione, 2018 (finalista al Premio Mario Rigoni Stern), Un paesaggio da ascoltare, Nuova dimensione, 2019, Una terra da inventare. Il Veneto rurale in cammino: nuove generazioni, ambiente e innovazione, realizzato nell'ambito delle iniziative di comunicazione del PSR Veneto 2014-20, Pordenone. Una guida, libreria editrice Odòs, Udine, 2020.Come fotografa, nel 2009 ha partecipato alla mostra intitolata They won't budge (cioè: “Non si muoveranno”, da una canzone del cantante maliano albino Salif Keita), sugli immigrati africani in Europa, presso la New York University. Nel 2021 è tra gli autori della mostra fotografica Il paesaggio dei magredi, organizzata da ERPAC - Ente Regionale per il PAtrimonio Culturale - della Regione Autonoma Friuli Venezia Giulia a Villa Manin. Partecipa al progetto Fotografario del CRAF (Centro di Ricerca e Archiviazione per la Fotografia del FVG).Nel 2013 ha realizzato il documentario La Piave. Racconto di un fiume, prodotto da Sunfilms e distribuito con i quotidiani locali del Gruppo L'Espresso in Veneto. Nel 2014 ha ricevuto il Premio Simona Cigana del Circolo della Stampa di Pordenone per il giornalismo d'inchiesta in Friuli Venezia Giulia con una serie di videointerviste dal titolo Fortezza FVG. Dal bunker alla pizzeria, esempi di recupero delle aree militari dismesse, realizzate per Legambiente FVG.Dal 2013 cura la rassegna culturale Il dialogo creativo, iniziativa de L'Altrametà di Pordenone (www.ildialogocreativo.it).IL POSTO DELLE PAROLEascoltare fa pensarewww.ilpostodelleparole.itDiventa un supporter di questo podcast: https://www.spreaker.com/podcast/il-posto-delle-parole--1487855/support.
La guerre commerciale et le protectionnisme ralentissent l'économie mondiale. La banque mondiale revoit à la baisse la croissance, notamment dans les pays en voie de développement et dans les pays pauvres. C'est la Doze bonus de la semaine.
O Náutico retorna à Copa do Nordeste após mais de dois meses e como o time consegue virar a chave de volta à competição? João de Andrade Neto e Clauber Santana debatem a mudança de foco alvirrubra em meio à Série C, além de passar pelas contratações recentes do clube e a nova proposta de SAF recebida, desta vez de um grupo argentino. Escute o papo neste episódio do Embolada
Le bilan des pluies torrentielles - qui ont provoqué cette semaine des inondations record dans le Nord Est de l'Australie - a été porté à sept morts. Quelque 50'000 personnes restent piégées par les eaux qui ont commencé à se retirer. La région sinistrée se prépare à une immense opération de nettoyage après les inondations. Le premier ministre a envoyé des forces de l'armée pour aider sur place
Cette semaine, découvrez un épisode de CRIMES X PARANORMAL, une collaboration Minuit exclusive !
Tiziana Agostini"Costruire la parità"Storia, ostacoli, vantaggiMarcianum Presswwwm.marcianumpress.itIl riconoscimento dell'uguaglianza sembra oggi qualcosa di scontato, ma nei fatti ancora non lo è. Permangono squilibri, ingiustizie e l'eredità negativa di visioni del mondo che non riconoscono la libertà delle donne e non ne impiegano i talenti.Questo libro traccia il cammino compiuto dalle donne per realizzare una società più equa e inclusiva e indica quali sono gli snodi ancora da risolvere in Italia. Mostra come la violenza contro le donne sia pervasiva e si manifesti in una molteplicità di forme che impiegano anche le nuove tecnologie, compresa l'Intelligenza Artificiale. Affronta la grande questione del lavoro e del potere, proponendo efficaci modelli organizzativi e raccontando i nuovi protagonismi femminili. Chiama in causa gli uomini, ingabbiati in comportamenti inadeguati rispetto alle esigenze di oggi, per rendere la parola libertà un fatto concreto per ogni persona.Tiziana Agostini, veneziana, filologa e studiosa di genere, ha collaborato con Università e pubbliche amministrazioni in materia di Pari Opportunità. È stata Assessora alle Attività culturali e alla Cittadinanza delle Donne del Comune di Venezia dal 2010 al 2014. Tra i suoi libri: Serenissime. Viaggio nel Veneto delle donne (con Raffaella Ianuale, 1999); Le donne del Nordest (2007); Alle radici della disuguaglianza. Manuale di Pari Opportunità (2011).IL POSTO DELLE PAROLEascoltare fa pensarewww.ilpostodelleparole.itDiventa un supporter di questo podcast: https://www.spreaker.com/podcast/il-posto-delle-parole--1487855/support.
Attaque au couteau dans un lycée à Nantes : 1 mort et 3 blessés. Début de l'enquête, profil psychologique de l'assaillant, préventions au lycée. Ecoutez L'invité de RTL avec Olivier Boy du 25 avril 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Attaque au couteau dans un lycée à Nantes : 1 mort et 3 blessés. Début de l'enquête, profil psychologique de l'assaillant, préventions au lycée. Ecoutez L'invité de RTL avec Olivier Boy du 25 avril 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
En juillet 2004, à 24H d'intervalle, deux cadavres de femmes viennent se coincer dans une écluse du canal de l'Ourcq, au Nord Est de Paris. Les deux corps sont ligotés en position fœtale.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Je suis antispéciste et je soutiens les luttes kurdes. Ces deux combats sont importants pour moi mais je les ai toujours pensés de manière distincte. Un jour, je me rends à un événement de soutien pour l'association et le sanctuaire 269 libération animale. Un documentaire sur les kurdes y est diffusé. J'interroge alors Tiphaine Lagarde, co-fondatrice de 269LA, sur la raison de ce choix documentaire. Elle m'explique que le confédéralisme démocratique, tel qu'il a été pensé par Abdullah Öcalan et mis en oeuvre dans le Nord-Est de la Syrie (Rojava), est pour elle une source d'inspiration pour penser une société multi-espèces où animaux et humains pourraient cohabiter pacifiquement. Les combats kurdes peuvent-ils inspirer d'autres mouvements progressistes ? C'est la réflexion que nous souhaitons partager avec vous dans cet épisode.
Estamos #NOAR! Com a análise do triunfo de Bahia e Ceará pela Copa do Nordeste. Também analisamos tudo sobre a derrota do Fortaleza diante do Sousa/PB. Vem acompanhar tudo com a turma!
Quinze ans après le déclenchement de l'insurrection de Boko Haram, la situation s'est sensiblement améliorée autour du bassin du lac Tchad, avec le retour de millions de déplacés et de réfugiés dans leur communauté d'origine. Si le groupe armé nigérian affilié à l'État islamique s'est essentiellement replié sur des îles du lac Tchad et dans certaines poches terrestres où ils vivent de racket, ailleurs, ce sont des pans entiers de ce grand bassin géographique qui renaissent économiquement. Certains observateurs locaux estiment que depuis fin 2020, Maiduguri redevient un hub économique. La capitale du Borno, dans le Nord-Est du Nigeria, est notamment traversée par plusieurs axes, globalement débarrassés de la menace Boko Haram. Ils mènent à l'Est du Tchad, au Nord du Niger, et bien sûr au Sud du Cameroun. De notre correspondant à Maiduguri,Bientôt 20 ans qu'Abdullahi sillonne la route Maiduguri-Gamboru menant au Tchad. Ce commerçant convoie des véhicules achetés à Lagos, au Nigeria, pour des clients en roulant sur cet axe jusqu'au Soudan. Entre 2013 et 2016, il est contraint à l'arrêt, car Boko Haram occupe alors de nombreuses localités sur les 148 kilomètres entre Maiduguri et Gamboru.« Nous sommes en mesure de circuler sur cette route en toute tranquillité d'esprit »Courant 2016, lorsque cette route a réouvert, Abdullahi a repris son activité sous escorte militaire, malgré les risques : « Nous devions garer notre voiture près de ce panneau de bienvenue, puis attendre l'arrivée de militaires de leurs casernes. Plusieurs véhicules militaires à l'avant, d'autres à l'arrière, nos voitures au milieu... Et nous roulions ainsi jusqu'à la frontière de Gamboru. Les militaires s'arrêtaient là car nous étions suffisamment en sécurité pour continuer notre trajet sans escorte. Puis, au retour, en arrivant à la frontière de Gamboru, on devait attendre de nouveau l'escorte. »Depuis 2022, certaines semaines, Abdullahi et son équipe livrent jusqu'à une dizaine de véhicules SUV, car la route A3 subit de moins en moins d'attaques : « Six ou sept checkpoints. Ce sont les principaux points de contrôle habituels. Les militaires descendent et procèdent à des vérifications. Vous devez payer les taxes imposées. Progressivement, nous sommes en mesure de circuler sur cette route en toute tranquillité d'esprit. »À lire aussiAu nord-est du Nigeria, une timide reprise économique malgré d'immenses défis sécuritairesLa clientèle étrangère encore frileuse pour se rendre GamboruAu milieu de Gamboru Market, Alhaji Umar vend en gros du tissu wax. Malgré la nette amélioration de la sécurité dans Maiduguri, sa clientèle étrangère reste angoissée à l'idée de venir sur place : « Mes clients du Tchad et du Cameroun ne viennent plus ici comme avant à cause de Boko Haram. Mais nous communiquons avec eux via WhatsApp. Ils choisissent ce dont ils ont besoin et nous leur livrons. Dans l'autre sens, certains commerçants traversent la frontière avec des marchandises à livrer ici de temps en temps. En raison de l'insurrection, ce n'est plus fréquent. »Mais Alhaji Umar reste optimiste, car grâce à la réduction des attentats kamikazes, au moins, ses clients locaux se déplacent jusqu'à sa boutique pour négocier en direct.À lire aussiCameroun: l'Extrême-Nord, théâtre de la résurgence des attaques de Boko Haram
Personnage principal du podcast d'ARTE radio Crackopolis, Matthieu Seel a publié en 2022 Rien ne dure vraiment longtemps, un roman autobiographique dans lequel il raconte son parcours de consommateur de crack à Paris. Dans le Nord-Est de la capitale, les lieux qui ont marqué cette période de sa vie sont encore des espaces de deal, de consommation et de violence aujourd'hui. Reportage d'Antoine Harari Réalisation David Golan Production Laurence Difélix
Goleada do Leão! Na Ilha do Retiro, o Sport venceu o Moto Club por 5 a 0 no Nordestão! Com o resultado, o Rubro-negro e fica momentaneamente na vice-liderança do Grupo A! Já o Vitória consegue a virada sobre o Fortaleza e assume a liderança do Grupo A do Nordestão! Com o triunfo, o time […]
durée : 00:04:33 - Le Billet politique - par : Stéphane Robert - De retour d'un déplacement dans l'Avesnois, Emmanuel Macron s'est arrêté, hier, à l'improviste, dans différents villages du Nord Est de la France, pour aller à la rencontre des habitants. Un peu à l'image d'un touriste qui fait une pause sur un long trajet.
O primeiro clássico do ano no futebol pernambucano coloca frente à frente Náutico e Santa Cruz, nos Aflitos, neste início de Estadual. E a partida promete fazer valer a alcunha histórica de Clássico das Emoções, com o Timbu vindo de um ótimo jogo contra o Ceará, pelo Nordestão, e a Cobra Coral empolgada após duas vitórias consecutivas. Quem deve se destacar pelos times? Que tática os treinadores Marquinhos Santos e Itamar Schülle devem adotar para se darem melhor? E será que dá pra apontar um favorito? Escute debate com Cabral Neto, João de Andrade Neto e Daniel Leal.
Os dois representantes pernambucanos na Copa do Nordeste estrearam com vitória. O Náutico, nos Aflitos, bateu o Ceará, na melhor atuação da temporada. O Leão estreou seu elenco principal no ano contra o Ferroviário-CE, e venceu fora de casa com gol no finalzinho. Que impressões as equipes e técnicos passaram neste início de Nordestão? Quais foram as falhas e virtudes? Cabral Neto, João de Andrade Neto e Daniel Leal debatem tudo a respeito dos jogos, relacionando ao futuro a curto prazo dos clubes.
durée : 00:12:48 - Les Enjeux internationaux - par : Guillaume Erner - Les récents affrontements dans la région de Catatumbo, au Nord-Est de la Colombie, ont fait plus de 80 morts et 11 000 déplacés. En cause : des affrontements entre des membres dissidents des FARCS et la guérilla de l'Armée de libération nationale, l'ELN. - réalisation : Félicie Faugère - invités : Julie Massal chercheuse indépendante spécialiste de la Colombie et des mouvements sociaux
O balanço da temporada 2024 do Clube Náutico Capibaribe! O clube alvirrubro foi vice do Campeonato Pernambucano, foi ás quartas do Nordestão e decepcionou na 3ª divisão, ao fracassar em mais uma tentativa de acesso. Nossa análise elege os pontos altos e baixos da temporada, os grandes jogos, as piores atuações do time e dos […]
C dans l'air du 10 décembre - Syrie : des djihadistes au pouvoir ?Après la fuite de Bachar al-Assad et la prise de contrôle de la Syrie par les troupes rebelles, menées par Abu Mohamed Al-Jolani, il apparaît que des étrangers, dont des Français, ont participé à l'offensive. Dix jihadistes français ont été identifiés dans les rangs du groupe rebelle islamiste Hayat Tahrir al-Sham (HTS). Ces combattants, on les voit et on les entend sur des vidéos publiées par le journaliste de France 24, Wassim Nasr, régulièrement expert dans notre émission. Mais que sait-on de ces Français ? D'où viennent-ils ? Probablement de la région d'Idlib, qui a échappé pendant des années au contrôle de Damas et qui était le bastion du groupe HTS. Selon les services de renseignement, 130 Français vivaient dans cette poche et sont désormais libres de tout mouvement. On y trouvait notamment des membres du groupe formé par une figure française du djihadisme, le niçois Omar Homsen, considéré un temps comme le recruteur numéro un de djihadistes en France, placé par les Etats-Unis sur une liste de terroristes internationaux.Emmanuel Macron exprimait la semaine dernière depuis Ryad son inquiétude face à la présence de personnes qui ne sont pas "sans représenter un certain danger". On en dénombre intégrées au dispositif qui a conduit à la chute du régime, d'autres feraient partie des détenus libérés des prisons syriennes. Selon les informations du Parisien, une demi-douzaine de ressortissants Français, dont des mineurs, auraient été libérés des geôles du régime au cours des derniers jours. Au nord-est du pays, des djihadistes français de Daech sont également présents dans des prisons kurdes, qui pourraient être visées dans les prochaines semaines par les troupes rebelles ou turques. Selon Olivier Christen, procureur national antiterroriste, estime qu'il y a "150 détenus (français) ou retenus dans le Nord-Est syrien et en Irak mais aussi 300 disparus". Une situation scrutée par les autorités françaises mais aussi américaines qui redoutent que la chute du régime de Bachar el-Assad ne favorise le retour de Daech. L'armée américaine dont 900 soldats sont toujours déployés en Syrie a fait savoir qu'elle a bombardé dimanche plus de 75 cibles de Daech dans le centre du pays. D'autres frappes ont été menées contre des dépôts d'armes et des positions du régime par Israël où Benyamin Netanyahou a ordonné dimanche à Tsahal de prendre le contrôle de la zone tampon du Golan, à la frontière avec la Syrie. Israël dont le rôle n'est pas négligeable dans la chute de Bachar el-Assad, en affaiblissant le Hezbollah, un des alliés du régime et en bombardant déjà depuis plusieurs semaines le territoire syrien. Une campagne militaire qui s'est intensifiée depuis dimanche pour détruire l'arsenal militaire de l'armée syrienne par crainte qu'il ne tombe entre les mains des rebelles islamistes. Plus de 250 frappes ont été menées contre des sites militaires dont un centre de recherches à Damas, des dépôts d'armes et des navires de la marine syrienne à Lattaquié, sur la côte, mais aussi des aéroports, radars, dépôts d'armes et de munitions.Pendant ce temps, à Damas, la chasse aux tortionnaires du régime est ouverte. Les rebelles syriens ont annoncé la publication d'une liste des plus hauts responsables impliqués dans des tortures et promis de les châtier, tout en préparant la prise formelle du pouvoir. Mohammad al-Bachir a été nommé Premier ministre d'un gouvernement de transition en Syrie, et ce, jusqu'au 1er mars 2025. Il était jusqu'ici président du "gouvernement de salut syrien", l'exécutif proclamé à Idleb par le groupe jihadiste Hayat Tahrir al-Sham (HTS). La France et l'Allemagne se disent prêts à "coopérer avec les nouveaux dirigeants" sous conditions : respect des droits de l'homme, protection des minorités ethniques et religieuses. Plusieurs pays européens ont également annoncé suspendre l'examen des demandes d'asile de réfugiés syriens. De son côté, Paris réfléchit à suspendre l'examen des "dossiers d'asile en cours".Les experts : - GUILLAUME ANCEL - Ancien officier de l'armée française - Écrivain- GILLES KEPPEL - Politologue et spécialiste de l'islam et du monde arabe, auteur Le Bouleversement du monde : L'après-7 Octobre - AUDREY GOUTARD - Grand reporter - France Télévisions- MERIEM AMELLAL - Journaliste - France 24- ISABELLE LASSERRE ( en duplex de Tel-Aviv ) - Correspondante diplomatique - Le Figaro