Podcasts about rdc

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Appels sur l'actualité
[Vos questions] Guerre en Ukraine : vers une chute de la ville de Pokrovsk ?

Appels sur l'actualité

Play Episode Listen Later Nov 12, 2025 19:30


Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur les tensions entre Donald Trump et la BBC, l'économie au Congo-Brazzaville et un plan de rémunération spécial de Tesla à Elon Musk. Guerre en Ukraine : vers une chute de la ville de Pokrovsk ?   Après plus d'un an de combats acharnés, la ville de Pokrovsk, dans la région de Donetsk, est désormais menacée de tomber aux mains des forces russes. Quel est l'enjeu de la prise de cette localité située dans l'est du pays ? L'armée ukrainienne a-t-elle les moyens de repousser l'armée russe ? Avec Franck Alexandre, journaliste spécialiste des questions de défense et de sécurité à RFI.     Médias : la BBC dans le viseur de Trump pour un discours « truqué »    Donald Trump menace de poursuivre la BBC pour diffamation et réclame un milliard de dollars de dommages et intérêts après la diffusion d'un documentaire. Au cœur de la polémique, un montage jugé « trompeur » des propos du président américain lors de l'assaut du Capitole en 2021. Comment le média britannique peut-il éviter un procès ? Avec Philip Turle, journaliste britannique, chroniqueur international pour France 24.     Congo-Brazzaville : de retour sur les marchés financiers internationaux  Vingt ans après sa dernière émission d'euro-obligations, le Congo-Brazzaville a émis un titre obligataire pour un montant de 670 millions de dollars placé sur le marché principal de la Bourse de Londres. Comment expliquer ce retour maintenant après tant d'années d'absence ? A quels défis le pays doit-il répondre pour se maintenir durablement sur les marchés financiers ? Avec Alexis Bédu, journaliste au service économie de RFI.       Tesla : Elon Musk bientôt trillionaire ?   Les actionnaires de Tesla ont validé un plan de rémunération colossal d'une valeur potentielle de 1 000 milliards de dollars en faveur d'Elon Musk. Comment expliquer cette décision ? L'homme d'affaires déjà le plus riche du monde est-il réellement indispensable à la tête de Tesla ?  Avec Emmanuel Botta, rédacteur en chef en charge de la Stratégie numérique à Challenges. Co-auteur de l'ouvrage « Elon Musk : l'enquête inédite » (éditions Robert Laffont).

Priorité santé
Pneumonie : première cause infectieuse de mortalité infantile

Priorité santé

Play Episode Listen Later Nov 12, 2025 48:30


A l'occasion de la journée mondiale de la pneumonie, qui se tient le 12 novembre, nous faisons le point sur cette infection respiratoire aiguë qui affecte les poumons. Pouvant être causée par des bactéries, des virus ou des champignons, la pneumonie est la première cause infectieuse de mortalité chez l'enfant à l'échelle mondiale. Présente dans le monde entier, l'Asie du Sud et l'Afrique subsaharienne sont les régions les plus touchées. Un diagnostic précoce pour traiter les enfants sans tarder permet d'améliorer les chances de rétablissement des jeunes patients. Peut-on prévenir la pneumonie ? Quels sont les traitements existants ? Pourquoi la vaccination est-elle essentielle chez les enfants ? Pr Sébastien COURAUD, chef du service de pneumologie des Hospices Civils de Lyon Sud, Président du Comité national contre les maladies respiratoires Pr Flore AMON-TANOH-DICK, Professeur Emérite Titulaire de Pédiatrie Médicale à l'Unité de Formation et de Recherche des Sciences Médicales de l'Université Félix Houphouët Boigny. Pneumo-pédiatre-allergologue à Abidjan en Côte d'Ivoire. Présidente de l'Association Ivoirienne de Formation Continue en Allergologie (ASSIFORCAL). Membre du conseil d'administration du Diplôme Universitaire Francophone d'allergologie (DUFRAL). Membre du Comité National des Experts de la Poliomyélite CNEP de Côte d'Ivoire. Présidente du Comité Tuberculose de l'Enfant au Programme Nationale de Lutte contre la Tuberculose [PNLT]. Présidente Fondatrice de l'ONG ESPACE ARC EN CIEL.   ► En fin d'émission, à l'occasion de la Journée mondiale du diabète, célébrée le 14 novembre prochain, nous parlons de la prise en charge du diabète dans le sud Kivu, en République Démocratique du Congo. Interview du Dr Albert Kalehezo, Médecin Fondateur et directeur du Kivu Diabetes Center à Bukavu en RDC, une structure dédiée à l'accompagnement des enfants et jeunes vivant avec le diabète de type 1 dans l'est du pays. Membre de la Société Francophone du diabète et de l'International Society for Pediatric and Adolescent (ISPAD). Programmation musicale :  ►TRIBEQA – Respire ►Rosalia, Björk - Berghain

Priorité santé
Pneumonie : première cause infectieuse de mortalité infantile

Priorité santé

Play Episode Listen Later Nov 12, 2025 48:30


À l'occasion de la journée mondiale de la Pneumonie, qui se tient le 12 novembre, nous faisons le point sur cette infection respiratoire aiguë qui affecte les poumons. Pouvant être causée par des bactéries, des virus ou des champignons, la pneumonie est la première cause infectieuse de mortalité chez l'enfant à l'échelle mondiale. Présente dans le monde entier, l'Asie du Sud et l'Afrique subsaharienne sont les régions les plus touchées. Un diagnostic précoce pour traiter les enfants sans tarder permet d'améliorer les chances de rétablissement des jeunes patients. Peut-on prévenir la pneumonie ? Quels sont les traitements existants ? Pourquoi la vaccination est-elle essentielle chez les enfants ? Pr Sébastien Couraud, chef du service de Pneumologie des Hospices Civils de Lyon Sud, président du Comité national contre les maladies respiratoires Pr Flore Amon-Tanoh-Dick, professeur émérite titulaire de Pédiatrie médicale à l'Unité de Formation et de Recherche des Sciences médicales de l'Université Félix Houphouët Boigny. pneumo-pédiatre-allergologue à Abidjan en Côte d'Ivoire. Présidente de l'Association Ivoirienne de Formation Continue en Allergologie (ASSIFORCAL). Membre du Conseil d'administration du Diplôme Universitaire Francophone d'allergologie (DUFRAL). Membre du Comité National des Experts de la Poliomyélite CNEP de Côte d'Ivoire. Présidente du Comité Tuberculose de l'Enfant au Programme National de Lutte contre la Tuberculose [PNLT]. Présidente fondatrice de l'ONG ESPACE ARC EN CIEL.   ► En fin d'émission, à l'occasion de la Journée mondiale du diabète, célébrée le 14 novembre 2025, nous parlons de la prise en charge du diabète dans le sud Kivu, en République Démocratique du Congo. Interview du Dr Albert Kalehezo, médecin fondateur et directeur du Kivu Diabetes Center à Bukavu en RDC, une structure dédiée à l'accompagnement des enfants et jeunes vivant avec le diabète de type 1 dans l'est du pays. Membre de la Société Francophone du diabète et de l'International Society for Pediatric and Adolescent (ISPAD). Programmation musicale :  ►TRIBEQA – Respire ►Rosalia, Björk - Berghain.

Invité Afrique
«Tshisekedi ne peut aller à Washington sans retrait des troupes rwandaises», estime Patrick Muyaya

Invité Afrique

Play Episode Listen Later Nov 12, 2025 13:41


« Le président Tshisekedi ne peut pas aller signer la paix à Washington sans qu'on puisse constater que les troupes rwandaises se sont retirées de notre territoire », déclare sur RFI, ce mercredi matin, le ministre congolais de la Communication et des Médias, Patrick Muyaya. Est-ce à dire que la poignée de main, prévue d'ici à la fin du mois à Washington, entre le Congolais Félix Tshisekedi et le Rwandais Paul Kagamé est sérieusement compromise ? De passage à Paris, Patrick Muyaya, qui est aussi porte-parole du gouvernement de la RDC, répond aux questions de Patient Ligodi et Christophe Boisbouvier. RFI : Jusqu'à la semaine dernière, vous faisiez du retrait des troupes rwandaises du Congo le préalable à toute signature d'accords. Mais vendredi dernier, à Washington, vous avez finalement signé un accord de coopération économique avec le Rwanda pour le développement futur de la sous région. Pourquoi avez-vous changé d'avis ? Patrick Muyaya : Nous avons paraphé parce qu'il y a eu un progrès. Il y a eu, dans ce qui avait été signé, une section qui a été rajoutée. Dans cette section, il est clairement dit que le cadre d'intégration économique régionale pourra effectivement être mis en œuvre après la satisfaction de l'exécution du Conops. Le Conops, c'est le volet militaire de l'accord du 27 juin qui stipule, d'une part, que nous allons traiter la question des Forces démocratiques de libération du Rwanda (FDLR) et que le Rwanda va à son tour retirer ce que l'on appelle ses « mesures de défense », en réalité, la présence de ses troupes et de son matériel militaire. Dans ce qui s'est discuté, il y a des engagements qui ont été réitérés de part et d'autre, notamment en ce qui concerne le volet militaire, pour que cela facilite la signature par les deux chefs d'État. Vous avez signé parce que le principe, notamment, d'un retrait des troupes rwandaises vous semble acquis ? Nous avons signé, dans le cadre de cette section, que l'on a rajouté, parce qu'il faut que l'on s'assure que, dans cette dimension, le Rwanda fasse sa part. Dans le Conops, le volet militaire, n'oubliez pas qu'il est prévu de traiter d'une part la question des FDLR, ce que nous traitons, avec la phase de la sensibilisation – nous en ferons le point pour décider s'il y a des opérations qui doivent se faire. Mais, d'autre part, le Rwanda s'était engagé à retirer ses mesures de défense. Nous faisons notre part et eux doivent faire la leur. Comme vous le dites, la mise en œuvre de cet accord de coopération économique est conditionnée aussi à la neutralisation des rebelles hutu rwandais FDLR sur votre territoire. Mais concrètement, monsieur le ministre, avez-vous cartographié le déploiement des FDLR ? Avez-vous commencé à les désarmer ? Je crois qu'il y a un travail d'état-major qui a été fait en termes de cartographie. Il y en a certains qui sont sur la partie du territoire que nous contrôlons, et l'autre partie sur le territoire qui est sous contrôle des forces d'occupation. Dans les parties que nous contrôlons, au moment où je vous parle, il y a des experts militaires qui sont sur place pour procéder à la phase de sensibilisation qui est, elle aussi, prévue dans le cadre du Conops, qui est annexé à l'accord du 27 juin. Dans cet ordre, nous faisons cette première partie. S'il y a des résistances, dans le cadre de ce qui est prévu, nous passerons à la phase suivante pour nous assurer que nous nous sommes acquittés de notre part dans le cadre de l'exécution du Conops. Du côté des négociations avec les rebelles de l'AFC/M23, vous avez signé avec eux, il y a un mois, un accord créant un mécanisme de surveillance du cessez-le-feu. Où en est ce mécanisme ? Fonctionne-t-il ? Il doit fonctionner normalement en fonction des structures qui ont été mises en place. Je crois que la première réunion devrait être convoquée incessamment pour voir comment cela peut se mettre en place. Ce n'est pas simplement la question du mécanisme du cessez-le-feu, mais aussi cette question de prisonniers. Vous parlez d'échange de prisonniers. Vous négociez à ce sujet avec le M23 depuis plusieurs mois à Doha, mais cela n'avance pas. Beaucoup disent que c'est vous qui bloquez, car vous refuseriez la libération d'un certain nombre de prisonniers politiques. Je n'irai pas à dire que nous bloquons ou que nous n'avançons pas. Le fait, déjà, que nous ayons parlé préalablement des mécanismes qui ont été signés, notamment sur le cessez-le-feu ou la libération de prisonniers, c'est la preuve que nous avançons sur les mécanismes de prisonniers. Il y a une tâche qui a été confiée au Comité international de la Croix-Rouge (CICR), qui est en train de travailler avec les deux parties. Le moment venu, il y aura des évolutions et les choses pourront être dites. La condamnation à mort, le mois dernier, de l'ancien président Joseph Kabila par un tribunal militaire de Kinshasa ne complique-t-elle pas ces négociations ? Je ne suis pas sûr que cela complique les négociations. Il faut dissocier le président Kabila. C'est un ancien président. Je pense qu'il existe une loi qui le concerne, lui, personnellement – parce qu'on n'a pas deux anciens présidents. Au regard de cette loi et au regard de ses agissements, notamment son séjour et ses contacts réguliers – je ne dirai pas davantage –, il faut considérer qu'il n'a pas joué le rôle qu'il devrait jouer dans ce cadre et que les conséquences au plan judiciaire ont été tirées. Cette semaine, toujours à Doha, au Qatar, on attend la signature d'un accord-cadre entre l'AFC/M23 et votre gouvernement. Où en est-on ? Je pense que les discussions ont plutôt bien évolué. Il y a un besoin humanitaire urgent et pressant. Je pense que nous trouvons un compromis qui sera complémentaire à celui trouvé à Washington et qui nous permet d'aller maintenant dans la mise en œuvre effective qui sera l'étape la plus déterminante qui permette le retour de la paix effective. La Conférence humanitaire de Paris, le 30 octobre dernier, a-t-elle donné les résultats que vous espériez, ou vous a-t-elle déçu ? On ne dira pas qu'on est déçu parce qu'il y a eu une grosse mobilisation sur un sujet qui nous tient particulièrement à cœur, le sujet humanitaire. Il y a des besoins qui ont été chiffrés à peu près à 2,2 milliards et Paris s'est prononcé pour à peu près 1,6 milliard. Ce n'est pas tout ce dont nous avons besoin, mais c'est déjà quelque chose d'essentiel. Nous restons attentifs sur ce sujet aussi. La réouverture de l'aéroport de Goma pour des causes humanitaires, y croyez-vous ? Nous allons y arriver parce que nous avions convenu de cette urgence avec les humanitaires sur place. La question a fait l'objet des discussions à Paris. Ici, il faut rappeler d'abord que, si ceux qui occupent illicitement la ville de Goma et de Bukavu étaient en mesure d'ouvrir l'aéroport, ils l'auraient ouvert. C'est une question de souveraineté. Et nous, nous avons lancé un NOTAM (« Messages aux navigants », ndlr) – pour parler un langage de spécialiste –, pour dire que ces aéroports ne pouvaient pas servir. Pour des besoins strictement humanitaires, il y aura une dérogation qui pourra être faite pour des vols de type précis qui pourront être systématiquement contrôlés et être dans la mesure de fournir l'appui qu'il faut à nos populations sur place. D'ici combien de temps ? Je ne saurai pas vous donner des délais, au moment où nous parlons. Mais je sais qu'il y a des personnes qui y travaillent, que ce soit à Kinshasa ou à Paris, et qui doivent être en mesure rapidement de rendre concret ce projet. Vous êtes sur le point de signer un accord-cadre avec les rebelles AFC/M23, mais en même temps, ce mouvement est en train de recruter des dizaines, voire des centaines de magistrats pour son administration. Comment réagissez-vous ? Il est évident, le ministre de la Justice l'a déjà dit, que tout acte posé dans ces contextes sera déclaré nul et de nul effet. Vous convenez avec moi qu'ils ne sont pas en compétence de faire un quelconque recrutement parce qu'il existe un travail du Conseil supérieur de la magistrature et des critères bien établis. Nous n'accordons que peu d'attention à ce genre d'actions qui n'ont en réalité aucun avenir. Voilà plus de quatre mois que les ministres des Affaires étrangères de vos deux pays, la République démocratique du Congo (RDC) et le Rwanda, ont signé un premier accord de paix à Washington. C'était le 27 juin. Mais à quand un accord de paix définitif signé par vos deux présidents, Félix Tshisekedi et Paul Kagame, en présence de Donald Trump à Washington ? Mais je crois que c'est prévu et les conditions doivent être réunies. Mais il y a pour nous un facteur principal, c'est le retrait de ce qu'on appelle, en langage diplomatique, les « mesures de défense du Rwanda », mais qui sont, en réalité, son armée et tous les matériels qui sont déployés sur notre territoire. Dès que les conditions seront réunies, et il me semble que nous sommes sur la voie, le président de la République pourra faire le déplacement de Washington pour poser la signature sur cet accord de paix. Donc, pas de déplacement de Félix Tshisekedi à Washington avant un début de retrait des forces rwandaises de votre territoire ? Je crois que nous l'avons fait savoir, notamment à la médiation américaine. Vous avez vu qu'il y a eu une évolution. Je vous ai dit tout à l'heure, lorsque nous parlions de la signature du cadre d'intégration économique régionale, que cette préoccupation a été bien notée. Nous avons réagi à travers un communiqué et nous considérons que c'est un pas important qui nous permettra de faire le mouvement de Washington. Nous considérons que nous sommes sur une dynamique positive qui nous permettra, dans les jours qui viennent, de parvenir à la signature de cet accord par les présidents de la République. Signature qui pourrait avoir lieu d'ici à la fin de ce mois de novembre ? Cela dépendra aussi des agendas, mais il y a des contacts étroits pour que les mots du président Trump puissent correspondre à la réalité sur le terrain. Votre gouvernement, disons l'armée congolaise, a lancé cette campagne pour demander aux FDLR de pouvoir déposer les armes en vue d'une éventuelle reddition. A combien évaluez-vous le nombre de ces combattants FDLR en RDC? Je ne saurais peut-être pas me hasarder sur des chiffres, qui relèvent plutôt des états-majors. Mais je ne pense pas qu'ils soient en nombre considérable et qu'ils puissent véritablement causer des problèmes de sécurité au Rwanda. Mais quand vous parlez d'un nombre qui ne serait pas considérable, vous l'évaluez à combien environ ? 500 personnes ? Certains experts nous parlent de 1 000, 1500, mais c'est du domaine du renseignement militaire. Il faut laisser le travail se faire et peut être que le moment venu, nous pourrons revenir avec des chiffres plus précis dès que nous les aurons. Sur RFI, les porte-paroles des FDLR disent qu'à ce jour, les FDLR ne peuvent pas désarmer. Ils ne peuvent donc suivre la campagne qui est menée par les Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC), déposer les armes et donc faire cette reddition. Nous savons que nous avons des engagements. Nous savons qu'il y a des choses qui doivent être faites à notre niveau. Nous, on a commencé cette phase de sensibilisation. Évidemment, il y a des prochaines phases en fonction de l'évaluation qui sera faite. Il y a un travail qui doit être aussi fait au Rwanda parce que ce sont des Rwandais, et le Rwanda devrait être disposé à les recevoir. Pour le reste, il ne m'appartient pas de commenter les décisions de ce genre dès lors que nous avons un plan préalablement établi et sur lequel nous tenons, dans le cadre des différents accords que nous avons signés. En parlant de ce processus de Washington et de Doha, il a été convenu d'un mécanisme de suivi du cessez-le-feu. Mais sur le terrain, rien n'est fait. Encore hier, il y avait des combats sur le terrain. Il y a toujours une distance entre le moment où nous signons et le moment où les choses se mettent en place. Nous connaissons la détermination des occupants. Mais il ne faut pas oublier que nous avons une médiation qui suit ce qui se passe sur le terrain. Il ne faut pas oublier que les médiateurs disposent d'autres leviers qui peuvent servir de pression pour nous assurer que nous atteignons les objectifs que nous poursuivons. On peut dire que rien n'a été fait. Ne vendez-vous pas du vent à la population congolaise, avec tout ce qui se passe à Doha et à Washington ? Attention, nous ne vendons pas du vent parce qu'il y a des progrès. Il y a des combats sur le terrain. Mais j'y arrive. Nous sommes dans un processus diplomatique. Lorsque nous avons choisi la résolution 2773 et tout ce qu'il y a comme déploiements diplomatiques ici, il y a un travail qui doit se faire au préalable, c'est le travail diplomatique. Mais après, il y a un travail plus important, le travail de terrain. Cela veut dire qu'il y a les préalables. Lorsqu'on dit qu'on mettra en place un mécanisme de cessez-le-feu, il faut être sûr qu'on arrive à mobiliser toutes les parties prenantes, les mettre en place et qu'elles aient les moyens de déploiement. Cela ne se fait pas sur un claquement de doigt, et les médiateurs le savent. Donc on ne saura peut être pas vous dire dans l'immédiat :  « On signe aujourd'hui, demain sur terrain, et ceci. » C'est pour cela qu'il y a un besoin de responsabilité pour le Rwanda, conformément à l'accord du 27 juin, de faire sa part et de s'assurer, de par le lien parental qui les lie au M23, de voir comment le M23 va aussi s'acquitter de sa part. Ce n'est qu'à ce prix que nous pourrons atteindre les objectifs fixés au plan diplomatique. Nous avons des médiateurs qataris, américains et de l'Union africaine qui suivent étroitement les processus. Dans ce cadre là, chaque fois qu'il y a des actes qui sont posés, qui ne devraient pas l'être et qui sont rapportés, ce sera le moment venu au médiateur de voir qui bloque quoi et tirer les conséquences qu'il faut. Cette rencontre à venir à Washington entre les deux chefs d'État pourrait-elle avoir lieu avant le début du retrait des troupes rwandaises du Congo ? Nous savons que le retrait des troupes rwandaises est la condition principale pour que nous puissions avancer. Parce que le président de la République ne peut pas se rendre à Washington sans que nous ne puissions être en mesure, avec les Américains avec lesquels nous travaillons, de constater qu'il y a eu retrait de ce qu'on a appelé, en langage diplomatique, des « mesures des défense », mais en réalité des troupes rwandaises et de tout ce qui les accompagne. Donc il n'y aura pas cette poignée de main avant un geste militaire de votre voisin rwandais ? En tout cas, il y a un accord qui a été signé, qui prévoit des choses. Nous, nous faisons notre part. Le Rwanda doit faire la sienne pour nous permettre d'avancer. Pour obtenir ce retrait des troupes rwandaises, on voit bien que vous comptez beaucoup sur la pression des Américains. Mais maintenant que le Rwanda accepte d'accueillir des migrants en provenance des États-Unis, ne craignez-vous pas que Washington n'ait plus aucun moyen de pression sur Kigali ? Je crois que le président Donald Trump, de manière constante, se présente comme celui qui aide à atteindre les objectifs de paix. Il l'a fait dans plusieurs pays. Pour ce qui concerne la République démocratique du Congo, il est bien au courant. Vous suivez notamment les déploiements de son envoyé spécial, Massad Boulos. Aujourd'hui, il faut considérer que nous avons fait des pas. N'oubliez pas que le président de la République, en 2019, dès son arrivée, avait fait le choix courageux de la paix, avec les voisins, notamment le Rwanda. N'oubliez pas qu'il y a une volonté américaine et qatari d'investir massivement dans la région pour en débloquer tout le potentiel. J'ai assisté à Washington en octobre dernier à une réunion, à l'initiative du Département du Trésor américain, avec tous les bailleurs qui sont intéressés par l'investissement dans cette partie de la région. Je crois qu'il y a davantage de pression sur le Rwanda pour aller vers la conclusion de l'accord, pour permettre à tous ces bailleurs de commencer à aller vers l'essentiel. L'essentiel ici, c'est nos populations. Je rappelle que le président de la République a toujours dit et répété que nous n'avions pas de problème avec le peuple rwandais. Vous voyez qu'il y a des objectifs nobles qui nous attendent. Des objectifs qui permettront à la fois aux Américains d'être sûrs de pouvoir bénéficier de ressources critiques. Nous avons tous besoin de parvenir à cet objectif de paix. Et nous avons tous besoin, dans ce cadre, que le Rwanda fasse sa part autant que nous faisons la nôtre. À lire aussiRDC: «Nous résisterons jusqu'à ce que Kigali accepte un dialogue», affirment les FDLR

ONU Info

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Le club RFI
30 ans des Clubs RFI: Félix Kabéna, témoin d'une histoire partagée

Le club RFI

Play Episode Listen Later Nov 9, 2025 19:29


Nous continuons notre série spéciale consacrée aux 30 ans des Clubs RFI. Un voyage pour rencontrer celles et ceux qui ont façonné cette aventure du Club RFI. Notre troisième escale nous conduit en République démocratique du Congo, avec Félix Kabéna. Il a dirigé le Club RFI Kinshasa et reste l'un des acteurs de cette formidable épopée. Musiques « Canne à sucre »,  Fally Ipupa « Sixième chantier », Koffi Olomidé. L'équipe du Club RFI Journaliste-producteur : Éric Amiens Réalisation : Cécile Bonici. Collaboration service des auditeurs – suivi des projets Clubs RFI : Audrey Iattoni et Sébastien Bonijol. Coordination L'écume des mots : Myriam Guilhot

Reportage Afrique
Rumba congolaise: le mythique orchestre de la Crèche, à Kinshasa, part en tournée

Reportage Afrique

Play Episode Listen Later Nov 8, 2025 2:27


En RDC, direction Kinshasa, pour aller à la rencontre de l'orchestre de la Crèche. Attention, nostalgie ! Ce sont les derniers pionniers de la rumba encore en vie. Tous les week-ends depuis plus de 30 ans, ils font revivre les plus grands classiques de la musique congolaise. Et pour la première fois de leur carrière, ils vont partir en tournée européenne en 2026.  De notre correspondante à Kinshasa  Au rond-point victoire, à Kinshasa, c'est sur le toit d'un immeuble défraîchi que joue l'orchestre de rumba. La moyenne d'âge des musiciens et chanteurs est de 70 ans. Ils se produisent tous les week-ends à la Crèche depuis 1984. Une longévité inédite qui a fait de cette adresse une institution de la vraie rumba à Kinshasa, capitale de la République démocratique du Congo. « Quand nous parlons de vraie rumba, nous nous référons aux origines de la rumba. La musique congolaise a connu des étapes. Quand on parle de musique de jeunes, de musique moderne, de musique ceci, cela ... Ici, à la Crèche, quand nous jouons, ce n'est pas avec autant de variantes au fil du temps. On danse sur le même temps », nous explique le bassiste Dassi Mbelani. Tous ont évolué aux côtés des grands noms comme Franco et Grand Kallé. Et malgré le temps qui passe, ils n'ont jamais lâché micros et guitares pour continuer à jouer les plus grands classiques. À l'écoute du titre Mundi, il nous raconte : « Mundi, c'est toujours Tabu Ley. C'était vers 1956, 1957. Dans cette chanson, Tabu Ley s'en prend aux gens qui faisaient des yeux doux à sa femme, qui s'appelait Mundi. » Ces concerts sont un véritable retour dans le passé pour les plus nostalgiques comme Marcel, un habitué du lieu. « C'est la musique qui nous intéresse. C'est la musique de nos aïeux. On en profite », s'exclame le passionné de rumba. L'orchestre de la Crèche, c'est plus que de la nostalgie. C'est aussi une passion pour la musique, comme le clame Selidja, leader du groupe : « Je serai musicien jusqu'à ma mort. C'est dans le sang. Nous avons hérité de notre ascendance et nous ferons hériter à notre descendance. » L'orchestre respecte aussi l'une des règles d'or d'un bon concert de rumba : jouer jusqu'au petit matin. À lire aussiLa rumba congolaise, indémodable?

Radio Bullets
7 novembre 2025 - Notiziario Africa

Radio Bullets

Play Episode Listen Later Nov 7, 2025 14:04


- Sudan: una fragile tregua mediata, mentre è carestia ed emergono crimini e atrocità- Sahara Occidentale: il Marocco ottiene, di fatto, la sovranità- RDC: rischio ambientale e sospetta illegalità sulla concessione per l'estrazione di metano agli Stati Uniti- Tunisia: il paradiso perduto di Gabès, la città delle raffinerie di fosfati- Nord Africa: una rivista per celebrare arte, moda e cultura nordafricaneIl Notiziario Africa di Radio Bullets di oggi, 7 novembre 2025, nel racconto di ElenaPasquini

Chez Kevin Razy
#139 CHEZ KEVIN RAZY : Five Guys Halal, Ian Brossat, Zohran le Maire de NYC

Chez Kevin Razy

Play Episode Listen Later Nov 7, 2025 122:57


Bienvenue dans le 139ème épisode de "Chez Kevin Razy". Deux fois par semaine, on se retrouve ici pour parler de ce qui se passe dans la vie comme dans un groupe WhatsApp. On ne s'interdit aucun sujet.Pour soutenir notre podcast :https://fr.tipeee.com/ckr-podcast/Rejoins notre canal Telegram :https://t.me/CKRnews▬▬▬▬▬▬ DANS CET EPISODE ▬▬▬▬▬▬▬Cette semaine, on revient sur :On commence avec un beau geste : Stream for Humanity, 30 streamers réunis (Aminematue, Squeezie, Inoxtag, Kameto, etc.) pour lever des fonds contre la faim — en Palestine, RDC, Soudan, Nigeria et France. Une solidarité qu'on aimerait voir partout.Ensuite : Chalençon, toujours plus raciste ; Bompard et Ian Brossat qui “disent les termes” à l'Assemblée ; Ciotti qui hésite entre deux formes de racisme ; et Bardella, champion de la phrase sans sens.On parle aussi de Zohran Mamdani, nouveau maire de New York, socialiste, musulman et rappeur — le symbole d'une politique qui se relève.Et enfin, LE SCAN DE RAZY : Five Guys passe halal, et les médias français pètent un câble. Entre hystérie identitaire et “entrisme du burger”, CKR démonte la mécanique islamophobe médiatique.Partagez, commentez, débunkez▬▬▬▬▬▬▬ ON EN A PARLE ▬▬▬▬▬▬▬▬Livres :"Fake news: Évite de tomber dans le piège !" Kevin Razy, Hamza Garrush : https://amzn.to/3S9rOSz▬▬▬▬▬▬▬▬▬ LA TEAM ▬▬▬▬▬▬▬▬▬Host : Kevin RazyRéalisation & Montage : Gaëlle Cany Canian Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Appels sur l'actualité
[Vos réactions] RDC : 12 partis d'opposition dans le collimateur du pouvoir

Appels sur l'actualité

Play Episode Listen Later Nov 5, 2025 20:00


En RDC, après avoir suspendu les activités de 12 formations politiques pour s'être ralliées à l'ex-président Joseph Kabila, les autorités ont saisi le Conseil d'État pour obtenir leur dissolution. Les partis visés dénoncent une dérive autoritaire. Nous lançons le débat.

Convidado
Eurodeputado português advoga acção diplomática para libertar luso-belga condenado na RCA

Convidado

Play Episode Listen Later Nov 5, 2025 8:45


O eurodeputado socialista português Francisco Assis  foi o autor de uma resolução do Parlamento Europeu condenando a RCA pela violação dos direitos humanos em relação a Joseph Figueira Martin, sequestrado no ano passado, no leste da República Centro-africana. Este antropólogo tendo sido condenado nesta terça-feira por um tribunal de Bangui a 10 anos de trabalhos forçados e ao pagamento de 50 milhões de francos cfa por preparar uma quadrilha e atentar contra a segurança interna. O eurodeputado socialista português Francisco Assis começa por reagir à sentença proferida contra o luso-belga, Joseph Figueira Martin.   Em primeiro lugar, queria salientar o seguinte: Ele esteve muito tempo à espera deste julgamento. Finalmente, o julgamento ocorreu... em condições extremamente precárias, pela informação de que disponho e a defesa já anunciou que vai recorrer, porquanto as acusações que foram formuladas não foram provadas. E a sentença, na óptica da defesa, é profundamente injusta e desprovida de fundamento legal minimamente válido. Para além disso, julgo que tem de prosseguir a acção diplomática, quer da União Europeia, quer dos governos de Portugal e da Bélgica, porque nós estamos perante uma situação que atenta contra os direitos humanos. Falar de trabalhos forçados é algo de absolutamente inconcebível no contexto epocal em que nos encontramos. Portanto, eu julgo que, para além da questão do ponto de vista estritamente judicial, em que o advogado de defesa já manifestou a intenção de imediatamente recorrer desta decisão, que é profundamente, na óptica dele e na minha óptica, que acompanhei o processo profundamente injusta. Para além disso, deve haver uma ação diplomática, tendo em vista até encontrar também uma solução nesse plano. Parece me fundamental que o Joseph Figueira possa sair o mais rapidamente possível da República Centro-Africana e possa vir para um país europeu.   Tem algum contacto com a ONG norte americana para a qual ele trabalhava para poder apurar também algo do que lhe foi acontecendo: ele ter sido sequestrado no leste da RCA pelas Wagner, depois ser entregue às autoridades da RCA?   E os contactos que tem mantido tem sido com a família. É através da família têm sido prestadas todas as informações sobre a actividade que ele desenvolvia sobre a ONG a que ele estava associado. Tudo o que foi o seu percurso de vida. Estamos a falar de um antropólogo que se dedica fundamentalmente ao estudo do fenómeno da transumância, que fez vários estudos neste domínio e que naquele momento estava até a desenvolver um trabalho de natureza humanitária naquela região e que foi apanhado no meio de um conflito gravíssimo entre as forças rebeldes o Estado da República Centro-Africana e o Grupo Wagner. Como sabemos, é um grupo russo, de mercenários russos que tem operado agora com outra designação. Tem operado, opera já há uns anos naquela região de África. Ele é vítima de tudo isto. É uma vítima de um processo bastante político, bastante complexo. E é como vítima que tem que ser visto. E nós temos, creio eu, nós quer a nível da União Europeia, quer a nível de Portugal e da Bélgica... temos absoluta obrigação de fazer tudo quanto estiver ao nosso alcance para o retirar o mais depressa possível das prisões da República Centro-Africana.   E, portanto, naquela área onde ele se encontrava quando ele acabou por ser sequestrado, poderia haver conflitos étnicos entre comunidades locais, é isso que se presume ?   É uma zona de conflito. Nós estamos a falar de uma zona de grandes conflitos e conflitos complicados, porque são conflitos entre movimentos jihadistas, o Estado, o grupo Wagner. Agora com outra designação também envolvido. Portanto, eu tenho consciência que o problema é complexo e que ele foi... E ele, que estava a desenvolver um trabalho humanitário, foi apanhado no meio daqueles conflitos. Agora, o que eu não tenho dúvidas nenhumas é que as acusações que impendem sobre ele são destituídas de fundamento. Porque acompanhei o caso, falei com as pessoas, sei qual é o trabalho que ele desenvolveu, percebi qual é a natureza da sua personalidade. É alguém que estava estritamente a desenvolver um trabalho humanitário. Eu julgo que no final deste processo, o que tem que prevalecer é a preocupação dos Estados de Portugal e da Bélgica, porque tem a dupla nacionalidade. E da União Europeia, porque ele é um europeu. Temos que fazer tudo, tudo o que estiver ao nosso alcance para que ele possa sair da República Centro-Africana o mais depressa possível. Eu acredito que isso possa vir a suceder.   O advogado de defesa Nicolas Tiangaye contestava a validade das provas que foram apresentadas para justificar a acusação. Falava-se, por exemplo, de um par de óculos que era suposto serem de José Figueira e que ele nem sequer reconhece. Portanto, elementos de provas que a defesa diz terem sido orquestrados, por exemplo, blocos de notas, dois telemóveis com imagens tidas como sensíveis, Uma "maquinação" diz a defesa, não é ?   Sim. E eu estou absolutamente certo que assim foi. Isto tudo num contexto de uma guerra que está a ser travada naquela zona, de um confronto que é um confronto muito complexo e que evidentemente gera situações desta natureza. Lamentavelmente, agora aqui a questão fundamental para mim: esta não tenho dúvidas nenhumas que o Joseph Figueira é vítima no meio deste processo todo. foi injustamente condenado. Está há muito tempo já preso em condições indignas de uma prisão na República Centro-Africana. E nós temos obrigação absoluta de desenvolver, sobretudo a partir de agora, todo um trabalho diplomático, tendo em vista permitir a sua saída da República Centro-Africana. E estou convencido que isso é possível.   O senhor eurodeputado Francisco Assis foi autor da resolução do Parlamento Europeu que condenou a RCA por violação dos direitos humanos em relação a Joseph Figueira Martin. Porquê esta iniciativa?   Precisamente porque tinha consciência do que se estava a passar. Tinha sido alertado para esta situação. Estudei-a e falei com várias pessoas. Apercebi-me da natureza do problema. Entendi que estávamos perante um atropelo claro aos direitos humanos de uma pessoa em concreto. Tê-lo-ia feito se fosse de outro país. Tenho feito, aliás, imensas propostas em relação a cidadãos dos mais diversos pontos do mundo. Mas tinha uma responsabilidade, neste caso, acrescida pela circunstância de estarmos a falar de um cidadão português e portanto, acho até estranho, muito estranho, que em Portugal ninguém se mobilize. As pessoas estão sempre disponíveis para se mobilizarem para determinadas causas, e bem. Mas depois, neste caso concreto, por razões que eu não descortino, praticamente ninguém fala no assunto. O que eu acho absolutamente lamentável. E espero que a partir de agora se inicie uma campanha para que ele rapidamente saia da República Centro-Africana.   Que leitura é que se pode fazer do facto de que o embaixador belga é o representante da União Europeia estiveram presentes durante o julgamento. O embaixador português na RDC não esteve apenas. O cônsul de Portugal em Kinshasa se deslocou no início da audiência. Que olhar é que tem sobre efectivamente o acompanhamento que a diplomacia portuguesa está a dar a este caso ? Ainda não compreendi a razão de ser da falta de acompanhamento por parte da diplomacia portuguesa. Tenho constatado isso. É um facto objectivo e o apoio da diplomacia belga tem sido bastante maior do que da parte da diplomacia portuguesa. Mas é um assunto que ainda procurei esclarecer. Acha que neste momento, de facto, a República Centro-Africana é uma área para se desaconselhar a qualquer cidadão europeu? À luz do que está a acontecer e nomeadamente também em relação ao caso do sequestro e do encarceramento do Joseph Figueira Martin ?   Todas as zonas de conflito... e há uma parte da República Centro Africana que está a ser... E não estou com isto, a atacar as autoridades da República Centro-Africana porque também estão a confrontados com um conflito grave. A verdade é que todas as zonas de conflito são zonas desaconselháveis. É, aliás, uma zona toda de África que é hoje dominada por conflitos graves. E, portanto, o risco de ocorrer a qualquer pessoa algo de idêntico ao que ocorreu ao Joseph Figueira é real. E nessa perspectiva, evidentemente teremos. As pessoas devem ponderar seriamente para onde se deslocam.  

Appels sur l'actualité
[Vos questions] Nigeria : vers une intervention militaire américaine ?

Appels sur l'actualité

Play Episode Listen Later Nov 4, 2025 19:30


Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur la perte du titre du prince Andrew et la suspension de plusieurs partis d'opposition en RDC.   Nigeria : vers une intervention militaire américaine ?   Ces derniers jours, Donald Trump a affirmé préparer une intervention militaire au Nigeria si les autorités ne mettaient pas fin aux «meurtres des chrétiens» par des «terroristes islamistes». Pourquoi cet intérêt du président américain pour les chrétiens du Nigeria ? Peut-il mettre ses menaces à exécution ?    Avec Guillaume Naudin, présentateur de la chronique «La fabrique du monde». Royaume-Uni: pourquoi le prince Andrew a-t-il perdu son titre royal ?   Coup de théâtre au sein de la monarchie britannique. Déjà écarté de la vie publique après le scandale Epstein, Andrew vient de perdre son titre princier. Une sanction inédite prise par son frère, le roi Charles III. Pourquoi cette décision a-t-elle été prise maintenant alors qu'Andrew est accusé d'agressions sexuelles depuis plus de 20 ans ? Concrètement, qu'est-ce que cela change de ne plus être «prince» ? Avec Philip Turle, journaliste britannique, chroniqueur international pour France 24.   RDC : douze partis d'opposition menacés de dissolution   Après avoir interdit d'activités les partis d'opposition qui ont rejoint la plateforme «Sauvons la RDC» créée par Joseph Kabila, le gouvernement a saisi le Conseil d'État pour demander leur dissolution. Quelles sont les chances que la plus haute juridiction administrative ordonne leur dissolution ? Les formations politiques concernées ont-elles des recours possibles pour contrer cette décision ? Avec Bob Kabamba, professeur de Science politique à l'Université de Liège.

Chronique des Matières Premières
L'or des conflits transite toujours par les Émirats arabes unis

Chronique des Matières Premières

Play Episode Listen Later Nov 4, 2025 2:05


On avait les chiffres de 2023, on a désormais ceux de 2024, et ils confirment que les Émirats arabes unis restent une plaque tournante pour le commerce de l'or issu de zones en conflit. Leur rôle est toujours aussi important, en dépit d'une législation adoptée en 2023 qui vise à interdire précisément les importations de minerai issu de contrebande. Les statistiques 2024 dévoilées par l'ONG Swissaid ont été publiées vendredi 31 octobre 2025 sur le site de UN Com Trade, la base de données des Nations unies sur les statistiques du commerce des produits de base, avant de disparaître ce lundi 3 novembre. Pourtant l'organisation onusienne avait attendu des mois d'avoir enfin ces chiffres. S'agit-il d'un simple problème technique ou d'une crainte subite des Émirats de voir ces données porter préjudice au pays qui doit faire l'objet l'année prochaine d'une réévaluation de la part du GAFI, le Groupe d'action financière qui lutte contre le blanchiment et le financement du terrorisme ? Les Émirats étaient sortis de la liste grise de pays sous surveillance renforcée après avoir notamment mis en place leur nouvelle régulation sur l'or (Due Diligence Regulation for Responsible Sourcing of Gold). Pour l'instant, Swissaid, qui a réussi à consulter les chiffres, n'a pas pu en savoir plus.  Flux plus importants en provenance du Soudan  Ces chiffres montrent que les importations d'or d'origine douteuse n'ont pas faibli, en particulier en provenance de pays africains en conflit. Sur les 1 392 tonnes d'or importées par les Émirats en 2024 - pour une valeur de près de 105 milliards de dollars -, plus de la moitié provient de pays africains. Ce chiffre a augmenté de 20% par rapport à l'année précédente. Les Émirats ont ainsi continué à importer de l'or du Soudan : 29 tonnes directement du pays, contre 17 t en 2023, auxquelles il faut ajouter l'or soudanais qui transite via l'Égypte, le Tchad, et la Libye, trois pays qui ont aussi continué à fournir d'importants volumes en 2024. À lire aussiSoudan: les appels au boycott des Émirats arabes unis se multiplient après la prise d'El-Fasher par les FSR Importations en hausse du Rwanda et d'Ouganda Les Émirats ont aussi augmenté leurs importations d'Ouganda – 31 tonnes contre 14 tonnes en 2023 – et du Rwanda – 19 t contre 13,8 t en 2023 – des pays qui produisent peu d'or, mais qui servent de plaque tournante pour le minerai issu notamment de RDC, où il provient en partie de zones de conflit, selon l'ONG suisse. Un autre pays illustre le manque de traçabilité de l'or qui arrive au Moyen-Orient, le Togo. D'après les données accessibles la semaine dernière, sur le site de l'UN Com Trade, les Émirats ont importé 52 tonnes de ce pays d'Afrique de l'Ouest – pour 4 milliards de dollars – alors que le pays n'en produit quasiment pas. À lire aussiRDC: exportation record d'or vers les Émirats arabes unis en seulement six mois La Russie, autre fournisseur des Émirats Les Émirats arabes unis continuent de se fournir aussi en Russie et participe indirectement au financement de la guerre en Ukraine. L'année dernière, les Émirats ont importé 66 tonnes de Russie, soit 25 tonnes de plus qu'en 2023. Les Émirats ont aussi augmenté leurs achats en Arménie –  pays qui sert quasiment exclusivement de point de transit pour l'or russe, rappelle Swissaid. « Avec la nouvelle législation adoptée en 2023, ces chiffres auraient dû baisser et non pas augmenter », relève Marc Ummel, responsable du dossier matières premières chez Swissaid. Pour l'ONG, cela montre de graves lacunes dans la mise en œuvre des nouveaux engagements pris par le pays.  Ces chiffres éclaboussent aussi la Suisse dans la mesure où elle importe de l'or d'origine inconnue depuis les Émirats arabes unis. Selon Swissaid, « entre janvier et septembre 2025, Berne a importé 316 tonnes d'or pour une valeur de 27 milliards de francs suisses, soit plus du double des volumes annuels habituels ».

Couleurs tropicales
L'engagement de Feuneu pour mettre en lumière la jeunesse entrepreneuriale

Couleurs tropicales

Play Episode Listen Later Nov 3, 2025 48:30


Fondateur du label Guette Music, et producteur de la chanteuse Wejdene, Feuneu est l'initiateur du projet «Qui mise sur moi ?», une émission engagée, imaginée pour révéler, soutenir et propulser les talents de la jeunesse entrepreneuriale. Une émission diffusée sur YouTube. Le deuxième et dernier épisode est diffusé depuis dimanche 2 novembre 2025. Accompagné de son invitée Melisange Goma, il répond aux questions de Claudy Siar, Warra Charlotte Gomis et Laura Mabkop. Pour visionner les clips, cliquez sur les titres des chansons :  Landy - Cocody Beyoncé - I'm that girl Davido feat Omah Lay - With you Retrouvez la playlist officielle de RFI Musique.

Couleurs tropicales
L'engagement de Feuneu pour mettre en lumière la jeunesse entrepreneuriale

Couleurs tropicales

Play Episode Listen Later Nov 3, 2025 48:30


Fondateur du label Guette Music, et producteur de la chanteuse Wejdene, Feuneu est l'initiateur du projet «Qui mise sur moi ?», une émission engagée, imaginée pour révéler, soutenir et propulser les talents de la jeunesse entrepreneuriale. Une émission diffusée sur YouTube. Le deuxième et dernier épisode est diffusé depuis dimanche 2 novembre 2025. Accompagné de son invitée Melisange Goma, il répond aux questions de Claudy Siar, Warra Charlotte Gomis et Laura Mabkop. Pour visionner les clips, cliquez sur les titres des chansons :  Landy - Cocody Beyoncé - I'm that girl Davido feat Omah Lay - With you Retrouvez la playlist officielle de RFI Musique.

Santé | Deutsche Welle
Une clinique mobile pour sensibiliser et soigner en RDC

Santé | Deutsche Welle

Play Episode Listen Later Nov 3, 2025 12:30


Au Kasaï-Oriental, en RDC, où les questions de santé restent un défi majeur pour des milliers de familles, des médecins bénévoles apportent les soins à travers une clinique mobile. Mais avant de nous rendre au Kasaï, on va d'abord parler de la découverte de l'anticorps 04_A06 qui suscite beaucoup d'espoir dans la lutte contre le VIH-sida.

En sol majeur
Martial Sinda

En sol majeur

Play Episode Listen Later Nov 2, 2025 48:29


Quelle chance d'avoir pu rencontrer le premier poète de l'Afrique équatoriale Française, grand Prix de l'AEF en 56...  Un dissident de la négritude à qui j'ai donné du Monsieur Martial Sinda. Il est rentré dans le studio comme une légende de poète-historien congolais, protégé de Léopold Sedar Senghor, il était de cette génération qui a vu le Blanc sur le dos du Noir, puis le Noir devenir Négritude, puis la Négritude l'accueillir en son sein littéraire. (Rediffusion) Martial Sinda, né en Afrique, le pays des commentaires est l'auteur d'un recueil de poèmes devenu collector Premier chant du départ & du non moins fameux. Le Messianisme congolais et ses incidences politiques depuis son apparition jusqu'à l'époque de l'indépendance, 1921-1961. ESM rend hommage à ce grand Quelqu'un disparu, l'été dernier, en rediffusant cet entretien qu'il nous accordait en 2014 où j'osais lui demander «Quand on vous demande d'où êtes-vous, que répondez-vous ?»   Les choix musicaux de Martial Sinda - Moune de Rivel Amédée - Franklin Boukaka Les Immortels - Sidney Bechet Petite fleur.

En sol majeur
Martial Sinda

En sol majeur

Play Episode Listen Later Nov 2, 2025 48:29


Quelle chance d'avoir pu rencontrer le premier poète de l'Afrique équatoriale Française, grand Prix de l'AEF en 56...  Un dissident de la négritude à qui j'ai donné du Monsieur Martial Sinda. Il est rentré dans le studio comme une légende de poète-historien congolais, protégé de Léopold Sedar Senghor, il était de cette génération qui a vu le Blanc sur le dos du Noir, puis le Noir devenir Négritude, puis la Négritude l'accueillir en son sein littéraire. (Rediffusion) Martial Sinda, né en Afrique, le pays des commentaires est l'auteur d'un recueil de poèmes devenu collector Premier chant du départ & du non moins fameux. Le Messianisme congolais et ses incidences politiques depuis son apparition jusqu'à l'époque de l'indépendance, 1921-1961. ESM rend hommage à ce grand Quelqu'un disparu, l'été dernier, en rediffusant cet entretien qu'il nous accordait en 2014 où j'osais lui demander «Quand on vous demande d'où êtes-vous, que répondez-vous ?»   Les choix musicaux de Martial Sinda - Moune de Rivel Amédée - Franklin Boukaka Les Immortels - Sidney Bechet Petite fleur.

Appels sur l'actualité
[Vos réactions] La Libre Antenne du 31 octobre 2025

Appels sur l'actualité

Play Episode Listen Later Oct 31, 2025 20:00


Réagissez à l'actualité de votre choix avec Namouri Dosso. RFI vous donne la parole. L'occasion d'aborder des thèmes qui ne font pas toujours la Une des médias français et internationaux.

ONU Info

Pour l'Envoyé spécial de l'ONU pour la région des Grands Lacs, Huang Xia, la Conférence de soutien à la paix et à la prospérité dans la région, organisée à Paris le 30 octobre par la France et le Togo, a été un succès à plusieurs égards.L'événement a réuni un large éventail d'acteurs — dirigeants africains, représentants régionaux et internationaux, ainsi que de nombreuses organisations humanitaires —, illustrant la mobilisation constante de la communauté internationale et rappelant que la crise dans l'est de la République démocratique du Congo n'est pas oubliée.La Conférence a mobilisé environ 1,5 milliard de dollars de promesses de dons pour l'aide humanitaire. Huang Xia exhorte désormais les partenaires à concrétiser ces engagements et à acheminer rapidement l'aide vers les populations les plus touchées. Il appelle également à renforcer les efforts conjoints afin de mettre fin une bonne fois pour toutes aux conflits récurrents dans la région des Grands Lacs.  (Extrait sonore : Huang Xia, Envoyé spécial spécial de l'ONU pour la région des Grands Lacs)

Afrique Économie
Ruée vers l'or vert en RDC: quand les crédits carbone menacent forêts et communautés

Afrique Économie

Play Episode Listen Later Oct 31, 2025 2:20


En RDC, c'est la ruée vers l'or vert : les projets de crédits carbone, censés compenser les émissions des grandes entreprises polluantes à travers la planète, se multiplient au point de recouvrir la plus grande part de l'immense forêt du pays. Mais le bénéfice environnemental est douteux et l'impact social souvent négatif, selon la Fondation Rainforest UK. Pas moins de 71 projets de crédits carbone ont été recensés sur 103 millions d'hectares, soit déjà plus des deux tiers de la superficie forestière de la RDC. Une véritable ruée d'aventuriers vers l'or vert, selon Rainforest Alliance UK. « C'est un Far-West, observe Vittoria Moretti, co-auteur du rapport. Il y a vraiment beaucoup d'initiatives qui sont, pour la majorité des cas, portées par des entreprises assez douteuses, qui n'ont pas forcément d'expertise dans la conservation, comme par exemple les entrepreneurs français derrière Socodev. » Derrière Socodev, dans la province de la Tshopo : un producteur de clips musicaux et un ex-footballeur. Droits des communautés bafoués Certains projets dépassent allègrement la limite légale de 500 000 hectares. Et le consentement libre et informé préalable des communautés locales est souvent bafoué, constate le rapport. « En Équateur, il y a eu le cas de cette compagnie indienne KMS, illustre Vittoria Moretti. Les témoignages parlent de représentants venus la nuit qui ont fait signer des contrats en anglais, qui bien sûr n'était pas compréhensible pour les communautés et qui les engageaient pour 100 ans. Dans d'autres cas, comme dans la Tshopo, il y a aussi eu des cas de violation des droits de l'homme, parce que quand les communautés ont refusé le projet Grin Biodev, il y a eu beaucoup de rétorsions des forces de sécurité ». Déforestation record Quinze projets ont été validés au niveau national, trois ont obtenu la certification Verra qui leur permet de vendre des crédits carbone forestiers aux entreprises polluantes étrangères. Mais ces crédits, censés vendre la déforestation évitée en RDC ont désormais mauvaise réputation. « Aujourd'hui, un acheteur qui pourrait se prévaloir d'avoir acheté des crédits du fameux projet WWC dans la province du Maï-Ndombe, il serait très facile de lui sortir immédiatement les statistiques de Global Forest Watch, explique Alain Karsenty, économiste du CIRAD (Centre de coopération internationale en recherche agronomique pour le développement), et de lui montrer que la déforestation dans cette province n'a jamais été aussi élevée et qu'elle augmente depuis 2019 de manière régulière. Ça poserait un problème de crédibilité pour ces acheteurs. » Défiance des acheteurs Parmi ces acheteurs, Nestlé et EasyJet ont jeté l'éponge et le prix des crédits carbone s'est effondré (à 7 dollars la tonne). Le rapport de Rainforest Alliance UK demande aux autorités congolaises un moratoire sur ce système de compensation carbone. Il appelle les partenaires étrangers et le secteur privé à réduire leurs propres émissions de CO2 et à canaliser leur financement vers les communautés locales, en échange de service forestiers.

Couleurs tropicales
Hommage à l'Afro-Américain D'Angelo et à l'artiste congolais Officier Beng

Couleurs tropicales

Play Episode Listen Later Oct 30, 2025 48:30


Spéciale proposée par Steeve de la chaine YouTube Musicfeelings TV. Avec Steeve, nous rendons hommage à D'Angelo, le producteur et chanteur de neo soul décédé le 14 octobre 2025. Séquence consacrée à l'artiste congolais Officier Beng, décédé le 12 octobre 2024. Avec sa manager Marina Benoni, nous lui rendons hommage un an après sa mort. Et diffusion du blind test enregistré le 7 octobre 2025 avec l'artiste ivoirien Dj Kedjevara. Pour visionner les clips, cliquez sur les titres des chansons :  Black men United - U Will know D'Angelo - Brown sugar D'Angelo - Devil's pie  D'Angelo - Untitled (How does it feel) D'Angelo and the Vanguard - Really love Officier Beng feat. Xdjaaz - Jusqu'à l'aube Officier Beng - SOS Retrouvez la playlist officielle de RFI Musique.

Appels sur l'actualité
[Vos réactions] Qu'attendez-vous de la Conférence pour les Grands lacs à Paris ?

Appels sur l'actualité

Play Episode Listen Later Oct 30, 2025 20:00


La France organise ce jeudi (30 octobre 2025) une conférence dite de soutien à la paix et à la prospérité dans la région des Grands lacs avec, pour objectif principal, l'aide humanitaire, notamment dans l'est de la République démocratique du Congo. L'aide humanitaire, peu évoquée lors des différents processus diplomatiques en cours et peu financée au niveau international. Quelles doivent être les priorités de cette conférence, qui ne se limite pas à la RDC et au Rwanda, mais concerne toute la région des Grands Lacs ? Que pensez-vous du rôle de Paris ?

Invité Afrique
Dr De-Joseph Kakisingi: «Il y a très peu de visibilité sur la crise congolaise»

Invité Afrique

Play Episode Listen Later Oct 30, 2025 5:44


Passer de 500 millions de dollars à 2,5 milliards de dollars d'aide humanitaire pour cette année 2025, c'est le premier objectif de la Conférence de soutien à la paix et à la prospérité des Grands Lacs, qui se tient aujourd'hui à Paris, en présence notamment du Congolais Félix Tshisekedi et du Français Emmanuel Macron. Quelles sont les plus grandes urgences de l'heure dans l'est de la RDC ? Le médecin gynécologue De-Joseph Kakisingi exerce à Bukavu et préside le Conseil National des Forums d'ONG Humanitaires et de Développement (CONAFOHD). Il est présent à Paris et répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : Quel est le problème le plus urgent à régler pour les millions de Congolais déplacés par la guerre ? De-Joseph Kakisingi : Le problème le plus urgent à régler aujourd'hui, c'est d'abord l'accès à l'alimentation, à la nourriture. Parce que ces milliers de déplacés aujourd'hui sont bloqués dans une zone sans accès physique, et donc ils sont coupés de leur source d'alimentation. Et donc ça devient très urgent qu'ils aient accès à la nourriture, qu'ils aient accès aux soins médicaux. Donc, il faut l'approvisionnement en soins médicaux et, en fait, qu'ils aient aussi accès à des espaces sûrs. Est-ce que la prise des villes de Goma et de Bukavu au début de l'année par les rebelles et leurs soutiens rwandais, est-ce que cette prise a aggravé la crise humanitaire ? Effectivement, cette crise est venue aggraver davantage une crise humanitaire qui était déjà assez alarmante, et notamment par les blocus que cela fait autour de ces villes-là et autour des zones périphériques. Ça entraîne notamment la fermeture de l'espace aérien et des aéroports, comme l'aéroport de Goma et celui de Bukavu. Les routes aujourd'hui sont dégradées pendant la saison des pluies et les banques sont fermées et l'accès par les frontières est très difficile. Et donc cela vient exacerber une situation humanitaire qui était déjà assez grave. Ces millions de Congolais déplacés, ils vivent dans quelles conditions concrètement ? Alors, ils vivent dans des conditions très difficiles. Vous savez, avant la chute de Goma et de Bukavu, il y avait des camps de déplacés autour de Goma, autour de Bukavu, et donc l'assistance était assez facile à partir des ONG nationales et internationales et des Nations unies qui pouvaient subvenir aux besoins urgents de ces populations. Mais aujourd'hui, les camps de déplacés ont été fermés et ça fait que ces populations sont en train d'errer sans abri, sans assistance, sans possibilité qu'elles puissent être mieux regroupées pour être mieux aidées. Et ça fait qu'elles vivent dans des conditions très, très difficiles. Ce qui veut dire que vous-même qui êtes médecin gynécologue, vous ne pouvez pas soigner tous les malades, c'est ça ? Oui, c'est ça, effectivement, le problème est là où l'accès est difficile pour s'approvisionner en médicaments, beaucoup d'hôpitaux, beaucoup de zones de santé voient leurs stocks de médicaments en rupture, et ça fait que les hôpitaux ne peuvent plus offrir des soins de qualité parce qu'il n'y a pas de médicaments. Et nous, comme médecins, nous nous trouvons face à une grave difficulté. Parfois, on est obligé d'assister à des décès de personnes qu'on aurait pu sauver si on avait des médicaments à portée de main. Moi, je viens de Bukavu, au cœur de la crise, et il nous arrive de voir des femmes mourir ou des enfants par manque de médicaments. Il nous arrive de voir des femmes mourir d'hémorragie post-partum parce qu'on n'a pas l'ocytocine pour pouvoir prévenir les hémorragies et parce que la chaîne du froid devient difficile dans ces conditions où l'espace aérien est fermé. Il nous arrive aussi de voir des enfants mourir parce qu'on manque des médicaments essentiels et parce que les voies d'accès sont difficiles. Est-il vrai qu'il y a encore des stocks de médicaments sur plusieurs sites du Nord-Kivu et du Sud-Kivu, mais qu'on ne peut pas les acheminer jusqu'aux centres de santé, jusqu'aux populations à cause des tracasseries administratives, à cause des checkpoints ? Oui, il arrive effectivement que certaines organisations internationales disposent des stocks dans les grandes villes, mais il y a effectivement des tracasseries administratives, comme par exemple, je viens de voir une note qui est sortie il y a quelques jours au niveau de Kinshasa, où on annonce que toute tentative de contractualisation d'aide humanitaire avec les zones périphériques doit d'abord se référer au ministère national. Et quand on voit l'étendue du pays, quand on voit tout ce qu'il y a comme zones de santé et les difficultés, ça fait des tracasseries administratives en plus. Y a-t-il aussi des tracasseries du côté des rebelles du M23 ? Effectivement, c'est des deux côtés, de plus en plus. Il y a des doubles taxations, il y a des contraintes pratiquement pour les ONG nationales, il y a des menaces, des intimidations et ça rétrécit l'espace humanitaire et ça fait que l'aide humanitaire n'arrive pas. Est-ce qu'il y a au moins des corridors humanitaires ? Jusqu'à ce jour, non. On a essayé d'établir un corridor humanitaire entre Bukavu et Uvira par exemple, et cela n'a pas marché à la dernière minute. Toutes les parties au conflit se sont opposées ou ne l'ont pas permis. Cette conférence de Paris, où vous êtes ce jeudi, qu'est-ce que vous en attendez ? La première chose, c'est en fait donner un peu plus de la lumière sur la crise congolaise. Si vous voyez, il y a beaucoup de visibilité sur la crise de Gaza, beaucoup de visibilité sur la crise de l'Ukraine, mais très peu de visibilité sur la crise congolaise. La deuxième chose qu'on attend de cette conférence, c'est en fait une sensibilisation pour le financement de l'action humanitaire. Le plan de réponse humanitaire de cette année était évalué à 2,5 milliards de dollars pour pouvoir répondre aux besoins des 6,8 millions sur les 21 millions de personnes qui sont en besoin d'aide humanitaire au Congo. Mais jusqu'à ce jour, ce plan n'a été financé qu'à 500 millions de dollars. Et on attend de cette conférence, qu'il y ait un peu plus de solidarité pour qu'on arrive peut-être à lever le double de ce qui a déjà été donné et ainsi pouvoir apporter de l'aide à toutes ces communautés qui sont dans les besoins humanitaires urgents. À lire aussiRDC: à Paris, une conférence de soutien à la paix dans la région des Grands Lacs

Couleurs tropicales
Hommage à l'Afro-Américain D'Angelo et à l'artiste congolais Officier Beng

Couleurs tropicales

Play Episode Listen Later Oct 30, 2025 48:30


Spéciale proposée par Steeve de la chaine YouTube Musicfeelings TV. Avec Steeve, nous rendons hommage à D'Angelo, le producteur et chanteur de neo soul décédé le 14 octobre 2025. Séquence consacrée à l'artiste congolais Officier Beng, décédé le 12 octobre 2024. Avec sa manager Marina Benoni, nous lui rendons hommage un an après sa mort. Et diffusion du blind test enregistré le 7 octobre 2025 avec l'artiste ivoirien Dj Kedjevara. Pour visionner les clips, cliquez sur les titres des chansons :  Black men United - U Will know D'Angelo - Brown sugar D'Angelo - Devil's pie  D'Angelo - Untitled (How does it feel) D'Angelo and the Vanguard - Really love Officier Beng feat. Xdjaaz - Jusqu'à l'aube Officier Beng - SOS Retrouvez la playlist officielle de RFI Musique.

Radio One 91FM Dunedin
INTERVIEW: Tiny Pieces of Eight on 'Silent Howl' album launch and playing RdC - Lily Knowles - Radio One 91FM

Radio One 91FM Dunedin

Play Episode Listen Later Oct 30, 2025


INTERVIEW: Tiny Pieces of Eight on 'Silent Howl' album launch and playing RdC by Lily Knowles on Radio One 91FM Dunedin

Appels sur l'actualité
[Vos questions] Mali : retour sur les changements à la tête de l'armée

Appels sur l'actualité

Play Episode Listen Later Oct 27, 2025 19:30


Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur les nouvelles discussions entre le Rwanda et la RDC à Washington, l'augmentation des traversées illégales dans la Manche et le débat autour de l'annexion de la Cisjordanie en Israël. Mali : retour sur les changements à la tête de l'armée.  Au Mali, trois hauts gradés de l'armée ont été limogés. Que leur reproche-t-on exactement ? Ces changements peuvent-ils réellement apaiser les tensions internes dans l'armée ? Peut-on s'attendre à d'autres remaniements dans les prochains jours ?  Avec Serge Daniel, correspondant régional de RFI sur le Sahel.     RDC-Rwanda : quel bilan de nouvelles discussions à Washington ?   Les délégations congolaises et rwandaises étaient à Washington à l'occasion de la troisième rencontre du Mécanisme conjoint de coordination de la sécurité, le JSCM. Que retenir de ces discussions ? Pourquoi une autre rencontre était prévue en parallèle au Qatar ? Avec Adolphe Agenonga Chober, professeur à l'Université de Kisangani, spécialiste des mouvements armés dans l'est de la RDC.     Royaume-Uni : augmentation des traversées illégales de la Manche  Le nombre des traversées illégales de la Manche ont déjà dépassé celui de l'année 2024. Comment expliquer cette situation malgré l'accord migratoire signé entre la France et le Royaume-Uni ? Avec Aurélien Antoine, professeur de droit public à l'Université Jean Monnet de Saint-Etienne et fondateur de l'Observatoire du Brexit.      Israël : vers une annexion de la Cisjordanie ?  Le Parlement israélien a approuvé en lecture préliminaire des projets de loi pour annexer la Cisjordanie. Le vice-président américain dit ne pas approuver cette décision. Peut-on parler d'un début de tension entre Washington et Jérusalem ? Avec la condamnation de Washington et des pays arabes voisins, est-ce qu'une annexion de la Cisjordanie a vraiment des chances d'aboutir ? Avec Lyna Ouandjeli, chercheuse à l'Institut européen d'études sur le Moyen-Orient et l'Afrique du Nord (Eismena).

Musiques du monde
#SessionLive Ali Boulo Santo Cissoko & Volker Goetze + Kin'Gongolo Kiniata

Musiques du monde

Play Episode Listen Later Oct 26, 2025 48:30


Afropop Electrofunk​​ congolais et jazz mandingue. Nos premiers invités Ali Boulo Santo Cissoko (Sénégal) & Volker Goetze (Allemagne) présentent l'album Sargal. Une musique qui coule comme une eau claire, suggère le calme et une vertigineuse sensation d'apaisement. Le chanteur et musicien sénégalais Ali Boulo Santo Cissoko et le trompettiste et joueur de bugle allemand Volker Goetze forment un duo d'une renversante éloquence poétique. Le premier, héritier d'une célèbre lignée de djèli (griots mandingues) joueur de kora, et le second, musicien, producteur et réalisateur, ont en commun le même élan pour des tissages musicaux naviguant entre plusieurs univers : jazz, musique mandingue, flamenco… sans jamais s'égarer dans une fusion hasardeuse et plate. Ils ont de plus invité ici un ami de bonne compagnie en la personne du célèbre percussionniste Mino Cinelu, qui intervient sur trois des douze compositions de ce bel album intitulé Sargal. Un mot wolof exprimant une idée de remerciement et de gratitude que l'on pourrait tout à fait leur adresser en retour, tant leur musique fait du bien. (Patrick Labesse).   Titres interprétés au grand studio - Sargal Live RFI - Bétiyata feat. Mino Cinelu, extrait de l'album - Rokhaya Live RFI. Line Up : Volker Goetze (trompette), Ali Boulo Santo Cissoko (kora et chant). Son : Mathias Taylor et Jérémie Besset. ► Album Sargal (Motéma/PIAS/Integral 2025). Site Volker Goetze - YouTube Ali Boulo Santo Cissoko - Facebook du duo. Actu concert 29/10/25 Paris Église Bon Secours.   Puis nous recevons le groupe congolais Kin'Gongolo Kiniata pour l'album Kiniata. Formé dans l'effervescence des rues de Kinshasa, Kin'Gongolo Kiniata redéfinit les contours de la musique congolaise, tout en honorant ses racines culturelles profondes. L'album Kiniata est une célébration de cette énergie brute, un hommage à la vie urbaine et aux traditions congolaises, marquées par l'usage du Lingala dans des textes qui racontent les luttes, les espoirs et les triomphes de la vie quotidienne. Leurs rythmes effrénés et leurs mélodies envoûtantes rappellent l'esprit de l'article 15 («Débrouillez-vous») dans son essence transformatrice et rebelle. Mais ici, c'est l'âme de Kinshasa qui résonne à travers chaque note, chaque percussion recyclée, chaque riff électrique. Titres interprétés au grand studio : - Toye Mabe Live RFI - Kin'gongolo, extrait de l'album - Elengi Ya Ko Vivre Live RFI. Line Up : Leebruno (chant, percussions metal), Mille Baguettes (chant, batterie), Ducap (chant percus plastique), Djino (basse) et Bébé Mingé (chœurs, harpe, guitare). En entrevue : Djino & Leebruno. Son : Mathias Taylor, Benoît Letirant. ► Album Kiniata (Hélico 2025). Kin'Gongolo Kiniata - Instagram. Actu Concerts : Primeurs de Massy 31/10 + Péniche Metaxu (Pantin) 29/11/2025.

Musiques du monde
#SessionLive Ali Boulo Santo Cissoko & Volker Goetze + Kin'Gongolo Kiniata

Musiques du monde

Play Episode Listen Later Oct 26, 2025 48:30


Afropop Electrofunk​​ congolais et jazz mandingue. Nos premiers invités Ali Boulo Santo Cissoko (Sénégal) & Volker Goetze (Allemagne) présentent l'album Sargal. Une musique qui coule comme une eau claire, suggère le calme et une vertigineuse sensation d'apaisement. Le chanteur et musicien sénégalais Ali Boulo Santo Cissoko et le trompettiste et joueur de bugle allemand Volker Goetze forment un duo d'une renversante éloquence poétique. Le premier, héritier d'une célèbre lignée de djèli (griots mandingues) joueur de kora, et le second, musicien, producteur et réalisateur, ont en commun le même élan pour des tissages musicaux naviguant entre plusieurs univers : jazz, musique mandingue, flamenco… sans jamais s'égarer dans une fusion hasardeuse et plate. Ils ont de plus invité ici un ami de bonne compagnie en la personne du célèbre percussionniste Mino Cinelu, qui intervient sur trois des douze compositions de ce bel album intitulé Sargal. Un mot wolof exprimant une idée de remerciement et de gratitude que l'on pourrait tout à fait leur adresser en retour, tant leur musique fait du bien. (Patrick Labesse).   Titres interprétés au grand studio - Sargal Live RFI - Bétiyata feat. Mino Cinelu, extrait de l'album - Rokhaya Live RFI. Line Up : Volker Goetze (trompette), Ali Boulo Santo Cissoko (kora et chant). Son : Mathias Taylor et Jérémie Besset. ► Album Sargal (Motéma/PIAS/Integral 2025). Site Volker Goetze - YouTube Ali Boulo Santo Cissoko - Facebook du duo. Actu concert 29/10/25 Paris Église Bon Secours.   Puis nous recevons le groupe congolais Kin'Gongolo Kiniata pour l'album Kiniata. Formé dans l'effervescence des rues de Kinshasa, Kin'Gongolo Kiniata redéfinit les contours de la musique congolaise, tout en honorant ses racines culturelles profondes. L'album Kiniata est une célébration de cette énergie brute, un hommage à la vie urbaine et aux traditions congolaises, marquées par l'usage du Lingala dans des textes qui racontent les luttes, les espoirs et les triomphes de la vie quotidienne. Leurs rythmes effrénés et leurs mélodies envoûtantes rappellent l'esprit de l'article 15 («Débrouillez-vous») dans son essence transformatrice et rebelle. Mais ici, c'est l'âme de Kinshasa qui résonne à travers chaque note, chaque percussion recyclée, chaque riff électrique. Titres interprétés au grand studio : - Toye Mabe Live RFI - Kin'gongolo, extrait de l'album - Elengi Ya Ko Vivre Live RFI. Line Up : Leebruno (chant, percussions metal), Mille Baguettes (chant, batterie), Ducap (chant percus plastique), Djino (basse) et Bébé Mingé (chœurs, harpe, guitare). En entrevue : Djino & Leebruno. Son : Mathias Taylor, Benoît Letirant. ► Album Kiniata (Hélico 2025). Kin'Gongolo Kiniata - Instagram. Actu Concerts : Primeurs de Massy 31/10 + Péniche Metaxu (Pantin) 29/11/2025.

Religions du monde
Majagira Bulangalire, pasteur de l'Église pentecôtiste postcoloniale, entre la RDC et la France

Religions du monde

Play Episode Listen Later Oct 26, 2025 48:30


Nous partons à la rencontre de Majagira Bulangalire, pasteur pentecôtiste de la République Démocratique du Congo, qui a passé une quarantaine d'années en France, en tissant des liens entre les communautés et les églises d'expression africaine dont il a créé la fédération en 1990. Il se définit lui-même comme un «Africain malgré tout et par-dessus tout». Intellectuel engagé sur le terrain, il a aussi contribué à établir des ponts entre la RDC et la France et à poser la question de la réappropriation africaine du christianisme, dans une lecture postcoloniale. En RDC, il est très engagé auprès des églises locales et dans l'éducation, où il a fondé l'Université évangélique à Bukavu et où il dirige l'Institut Supérieur Pédagogique. Nous l'avons rencontré à Paris alors qu'il repartait en RDC à Kiliba où se trouve l'église dont il est le pasteur, dans le Sud-Kivu, malgré le conflit armé dans l'est du pays qui frappe durement les populations de la région, alors qu'il a lui-même été victime d'un enlèvement avec sa femme en avril 2024.   Invité : Le pasteur Espoir Majagira Bulangalire, professeur universitaire, directeur de l'Institut Supérieur Pédagogique de Bukavu en République Démocratique du Congo, député honoraire du Sud-Kivu, ancien recteur et fondateur de l'Université Évangélique en Afrique, co-fondateur de la CEAF – Communauté des Églises d'expressions Africaines francophones -, pasteur de l'Église pentecôtiste de Kiliba (Sud-Kivu), auteur de plusieurs ouvrages dont les essais «Ai-je une place auprès de Toi ? Le cri désespéré d'un nègre converti» (2024) et «Du quotidien à l'extra-ordinaire, l'histoire mouvementée d'une vie protégée» (autobiographie) – Espoir Éditions.

Appels sur l'actualité
[Vos réactions] La Libre Antenne du 24 octobre 2025

Appels sur l'actualité

Play Episode Listen Later Oct 24, 2025 20:00


Réagissez à l'actualité de votre choix avec Juan Gomez. RFI vous donne la parole. L'occasion d'aborder des thèmes qui ne font pas toujours la Une des médias français et internationaux.

ONU Info

Au menu de l'actualité :En Haïti, l'ONU veut rétablir sa présence complète à Port-au-Prince avant la fin de l'annéeA Gaza, le silence des armes redonne un souffle d'espoir à la populationDans l'est de la RDC, les femmes sont confrontées au fléau des violences sexuelles Présentation : Jérôme Bernard

Appels sur l'actualité
[Vos réactions] RDC : faut-il en finir avec l'enrôlement des ex-rebelles ?

Appels sur l'actualité

Play Episode Listen Later Oct 22, 2025 20:00


«Ne plus intégrer d'anciens rebelles dans l'armée et la police». En RDC, cette proposition de loi vise notamment à lutter contre l'impunité. Que pensez-vous de cette pratique souvent utilisée pour mettre fin aux conflits ? Le texte sera-t-il soutenu par une majorité de députés ? Nous lançons le débat.

Couleurs tropicales
La chanteuse guadeloupéenne Priscillia en concert à Paris pour célébrer ses 20 ans de carrière

Couleurs tropicales

Play Episode Listen Later Oct 20, 2025 48:30


Programmation consacrée aux nouveautés musicales avec Werrason, Misié Sadik et, en exclusivité, Valérie Tribord. Dans la séquence gold, honneur et respect à Wyclef Jean et D'Angelo, figure emblématique de la Neo-soul décédée le 14 octobre 2025. Et entretien avec Priscillia, chanteuse guadeloupéenne de zouk, de retour avec un nouvel album Twenty pour ses 20 ans de carrière. Priscillia sera en concert le 31 octobre à la Cigale, à Paris. Dans la séquence génération consciente, Madeleine Yougye, organisatrice du Black History Month à Luxembourg donne le programme des festivités qui se tiennent tout le mois d'octobre. Pour visionner les clips, cliquez sur les titres des chansons :  Werrason - La vie est compliquée Misié Sadik - Konsèw Valérie Tribord - La route est longue Priscillia feat Blicassty - Doudou Priscillia - Le bon choix Priscillia - Laisse-moi parler Priscillia - Viser plus haut Wyclef feat Jacob Desvarieux - Carnival D'Angelo - Brown sugar Retrouvez la playlist officielle de RFI Musique.

Appels sur l'actualité
[Vos questions] Gaza : la Turquie sur le terrain pour retrouver les corps des otages israéliens

Appels sur l'actualité

Play Episode Listen Later Oct 20, 2025 19:30


Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur la rencontre entre les présidents russe et syrien et la création d'une nouvelle plateforme d'opposition menée par Joseph Kabila. Gaza : la Turquie sur le terrain pour retrouver les corps des otages israéliens   Alors que la bande de Gaza est en ruines, la Turquie s'est engagée à participer aux recherches des dépouilles des otages israéliens ensevelies sous les décombres. Pourquoi Ankara a-t-elle décidé de s'impliquer dans ces recherches ? Comment les autorités turques comptent-elles s'organiser sur le terrain ?   Avec Anne Andlauer, correspondante de RFI à Ankara.    Poutine/Al-Chaara : première rencontre depuis la chute de Bachar el-Assad   Pour la première fois depuis la chute du régime de Bachar el-Assad, en décembre 2024, le président syrien par intérim, Ahmad al-Shara et Vladimir Poutine se sont rencontrés à Moscou. La Russie peut-elle accepter de coopérer avec les nouvelles autorités syriennes, tout en continuant à «protéger» l'ancien dirigeant syrien exilé à Moscou ?    Avec Anissa El Jabri, correspondante permanente de RFI à Moscou.     RDC : Joseph Kabila préside une nouvelle plateforme de l'opposition   Deux semaines après avoir été condamné par contumace à la peine de mort, l'ancien président a réuni à Nairobi plusieurs personnalités de l'opposition. Les participants ont annoncé la création d'une nouvelle plateforme baptisée «Sauvons la RDC». Cette coalition peut-elle permettre à Joseph Kabila de se positionner pour la présidentielle de 2028 malgré sa condamnation ? L'absence de plusieurs grandes figures de l'opposition pourraient-elles fragiliser cette plateforme ?   Avec Trésor Kibangula, analyste politique à Ebuteli, Institut congolais de recherche sur la politique, la gouvernance et la violence.

ONU Info

Au menu de l'actualité :Les opérations de paix face à des coupes budgétaires drastiquesRépublique centrafricaine : lutter contre les discours de haineRDC : l'épidémie d'Ebola dans le Kasaï est bientôt finie Présentation : Jérôme Bernard

Couleurs tropicales
La chanteuse guadeloupéenne Priscillia en concert à Paris pour célébrer ses 20 ans de carrière

Couleurs tropicales

Play Episode Listen Later Oct 20, 2025 48:30


Programmation consacrée aux nouveautés musicales avec Werrason, Misié Sadik et, en exclusivité, Valérie Tribord. Dans la séquence gold, honneur et respect à Wyclef Jean et D'Angelo, figure emblématique de la Neo-soul décédée le 14 octobre 2025. Et entretien avec Priscillia, chanteuse guadeloupéenne de zouk, de retour avec un nouvel album Twenty pour ses 20 ans de carrière. Priscillia sera en concert le 31 octobre à la Cigale, à Paris. Dans la séquence génération consciente, Madeleine Yougye, organisatrice du Black History Month à Luxembourg donne le programme des festivités qui se tiennent tout le mois d'octobre. Pour visionner les clips, cliquez sur les titres des chansons :  Werrason - La vie est compliquée Misié Sadik - Konsèw Valérie Tribord - La route est longue Priscillia feat Blicassty - Doudou Priscillia - Le bon choix Priscillia - Laisse-moi parler Priscillia - Viser plus haut Wyclef feat Jacob Desvarieux - Carnival D'Angelo - Brown sugar Retrouvez la playlist officielle de RFI Musique.

Les têtes d'affiches de Denise Epoté
Brice Mba pour une fintech au service de la compétitivité africaine et Christian Mwamb Rubemb pour une énergie verte et durable

Les têtes d'affiches de Denise Epoté

Play Episode Listen Later Oct 19, 2025 3:28


Les Têtes d'affiche de Denise Epoté de TV5MONDE, comme chaque dimanche sur RFI, avec Nicolas Brousse. Sur la première marche du podium cette semaine, un ingénieur en génie civil originaire du Cameroun. Après des études en Algérie, Brice Mba a rejoint HEC, avec un échange académique à la Singapore Management University. En 2023, il a cofondé Reasy, une plateforme intégrée de financement et de facilitation de commerce afin de rendre le commerce international rapide et facile pour les petits et les moyens importateurs africains. La seconde tête d'affiche est originaire de la République démocratique du Congo. Diplômé en ingénierie minière de l'université Copperstone de Zambie, Christian Mwamb Rubemb a conçu Makala Vert, une solution durable visant à produire une énergie propre à base de déchets biodégradables, une alternative au charbon de bois.

Appels sur l'actualité
[Vos questions] Guerre en Ukraine : et si les missiles Tomahawk changeaient la donne ?

Appels sur l'actualité

Play Episode Listen Later Oct 17, 2025 19:30


Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur un mécanisme de vérification de cessez-le-feu signé entre Kinshasa et l'AFC/M23 et le Portugal en situation d'excédent budgétaire. Guerre en Ukraine : et si les missiles Tomahawk changeaient la donne ?   Si Vladimir Poutine ne met pas fin à la guerre, Donald Trump menace de livrer à Kiev des missiles américains «Tomahawk». Quelle est la spécificité de cette arme ? Alors que la Russie intensifie ses attaques contre les infrastructures énergétiques ukrainiennes à l'approche de l'hiver, ces missiles pourraient-ils changer le cours de la guerre ? Avec Franck Alexandre, journaliste spécialiste des questions de défense et de sécurité à RFI.    RDC : un nouveau pas vers la paix entre Kinshasa et l'AFC/M23 ?   Alors que l'est de la RDC reste en proie à des tensions persistantes, Kinshasa et le groupe armé AFC/M23 soutenu par le Rwanda se sont entendus sur un mécanisme conjoint de vérification du cessez-le-feu. En quoi consiste ce dispositif ? A-t-il des chances d'aboutir à un accord de paix durable ? Avec Patient Ligodi, journaliste au service Afrique de RFI.     Portugal : le pays peut-il devenir un modèle économique européen ?   C'est une performance inédite depuis près d'un demi-siècle : pour la deuxième année consécutive, le Portugal perçoit plus de recettes qu'il ne dépense. Comment ce pays, considéré il y a 15 ans comme l'un des mauvais élèves de l'Europe, a-t-il réussi cet exploit ? Les autres États membres de l'UE peuvent-ils s'en inspirer ?    Avec Simon-Pierre Sengayrac, co-directeur de l'Observatoire de l'économie à la Fondation Jean-Jaurès.      Et en fin d'émission, la chronique « Un œil sur les réseaux » de Jessica Taieb. Au programme, les nombreuses réactions des internautes maliens face à l'embargo sur le carburant dans le pays.

Eco d'ici Eco d'ailleurs
Rwanda-RDC : les enjeux économiques du conflit

Eco d'ici Eco d'ailleurs

Play Episode Listen Later Oct 17, 2025 54:15


L'est de la République Démocratique du Congo est au cœur d'un conflit qui fait rage depuis plusieurs années. D'un côté, les forces congolaises, de l'autre, le M23 soutenu par le Rwanda voisin. De nombreux morts, des blessés et des populations appauvries, prises en étau dans une zone riche en matières premières, source de convoitises et de trafics. Alors que des négociations de paix sont en cours sous l'égide des États-Unis et du Qatar. Décryptage des enjeux économiques et géopolitiques d'un conflit qui paralyse toute une région.

Couleurs tropicales
«La folie en musiques» : lorsque la pop culture permet de briser le tabou de la santé mentale

Couleurs tropicales

Play Episode Listen Later Oct 16, 2025 48:30


Dominique Urbino propose une spéciale sur le thème «la folie en musiques», qui revient notamment sur les carrières de Kanye West, Lil Nas X, Nina Simone ou encore Diams et Stromae. Dans la séquence des nouveautés, Jahman X-Press, King Serenity, Jyeuhair, Alborosie et Lycinaïs Jean. Et dans la séquence Génération Consciente, Olguine Dépard, présidente de l'association Prom'Vie. Le 25 octobre 2025 à Sarcelles, l'association invite à une soirée placée sous le thème «Un ruban qui nous unit tous» dans le cadre d'Octobre Rose, dédié à la lutte contre le concert. Pour visionner les clips, cliquez sur les titres des chansons :  Jessy Matador - Décalé Gwada King Serenity feat Locko, Sergio Alejandro, Jango Jack - Pom pom pom Jahman X-Press feat Souleymane Faye, Soda Mama & Kine Lam - Arva Jyeuhair - Ah bon Alborosie - Trench Town legend Lycinaïs Jean - Attirée  Nina Simone - Don't let me be misunderstood Stromae - L'enfer Diam's - Si c'était le dernier Rema x Selena Gomez - Calm down Louka Kanza - Plus vivant Retrouvez la playlist officielle de RFI Musique.

Couleurs tropicales
«La folie en musiques» : lorsque la pop culture permet de briser le tabou de la santé mentale

Couleurs tropicales

Play Episode Listen Later Oct 16, 2025 48:30


Dominique Urbino propose une spéciale sur le thème «la folie en musiques», qui revient notamment sur les carrières de Kanye West, Lil Nas X, Nina Simone ou encore Diams et Stromae. Dans la séquence des nouveautés, Jahman X-Press, King Serenity, Jyeuhair, Alborosie et Lycinaïs Jean. Et dans la séquence Génération Consciente, Olguine Dépard, présidente de l'association Prom'Vie. Le 25 octobre 2025 à Sarcelles, l'association invite à une soirée placée sous le thème «Un ruban qui nous unit tous» dans le cadre d'Octobre Rose, dédié à la lutte contre le concert. Pour visionner les clips, cliquez sur les titres des chansons :  Jessy Matador - Décalé Gwada King Serenity feat Locko, Sergio Alejandro, Jango Jack - Pom pom pom Jahman X-Press feat Souleymane Faye, Soda Mama & Kine Lam - Arva Jyeuhair - Ah bon Alborosie - Trench Town legend Lycinaïs Jean - Attirée  Nina Simone - Don't let me be misunderstood Stromae - L'enfer Diam's - Si c'était le dernier Rema x Selena Gomez - Calm down Louka Kanza - Plus vivant Retrouvez la playlist officielle de RFI Musique.

Radio foot internationale
Mondial 2026, tour d'horizon des éliminatoires

Radio foot internationale

Play Episode Listen Later Oct 15, 2025 48:30


Au sommaire de Radio Foot internationale à 16h10-21h10 T.U : - Mondial 2026, en Afrique, 9 nations déjà qualifiées pour l'Amérique du Nord. ; - Mondial 2026, en Europe, suspense et confirmation. ; - Mondial 2026 zone Asie.   - Mondial 2026, en Afrique, 9 nations déjà qualifiées pour l'Amérique du Nord Algérie, Égypte, Maroc, Tunisie, Côte d'Ivoire, Ghana, Sénégal, Afrique du Sud, Cap-Vert. Une présence surprise, celle des Requins bleus. Sinon, l'Afrique envoie-t-elle au Mondial ses meilleures forces du moment ? 4 autres nations devront patienter. Un tournoi CAF réunira en novembre 2025 au Maroc : Cameroun, RDC, Gabon et Nigeria. Quelle nation en sortira pour disputer un ultime barrage intercontinental en mars ? - À l'heure d'un 1er bilan, Mohammed Amoura termine meilleur buteur de la phase éliminatoire. Le Fennec, qui a vu double contre l'Ouganda, a inscrit 10 buts en 10 matches. Il passe devant Salah et Bouanga. - Mondial 2026, en Europe, suspense et confirmation L'Italie peut souffler. La Nazionale a battu Israël, sécurisé sa place de barragiste et peut encore théoriquement finir devant de surprenants Norvégiens. Encore faut-il gagner ses 2 derniers matches, et marquer beaucoup à domicile face à Haaland et ses coéquipiers, pour espérer les dépasser et prendre un billet direct. - Angleterre, l'élève appliqué ! Sans faute pour le coach Tuchel qui «rêve d'Amérique». Son capitaine traverse une période faste, Harry Kane a marqué 21 fois en 13 matches, club et nation confondus. - Mondial 2026, zone Asie Accrochée par l'Irak, mais qualifiée l'Arabie saoudite obtient le précieux sésame, rejoint 7 qualifiés, se qualifie pour la 7è fois. La stabilité et la continuité sont-elles les clés du succès pour les nations émergentes ? Gianni Infantino, le boss de la FIFA, a félicité les 28 premières nations qui en découdront l'été prochain. Pour débattre avec Annie Gasnier : Salim Baungally, Patrick Juillard et Ludovic Duchesne. Technique/réalisation : Guillaume Buffet -- David Fintzel/Pierre Guérin.

Radio Foot Internationale
Mondial 2026, tour d'horizon des éliminatoires

Radio Foot Internationale

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Au sommaire de Radio Foot internationale à 16h10-21h10 T.U : - Mondial 2026, en Afrique, 9 nations déjà qualifiées pour l'Amérique du Nord. ; - Mondial 2026, en Europe, suspense et confirmation. ; - Mondial 2026 zone Asie.   - Mondial 2026, en Afrique, 9 nations déjà qualifiées pour l'Amérique du Nord Algérie, Égypte, Maroc, Tunisie, Côte d'Ivoire, Ghana, Sénégal, Afrique du Sud, Cap-Vert. Une présence surprise, celle des Requins bleus. Sinon, l'Afrique envoie-t-elle au Mondial ses meilleures forces du moment ? 4 autres nations devront patienter. Un tournoi CAF réunira en novembre 2025 au Maroc : Cameroun, RDC, Gabon et Nigeria. Quelle nation en sortira pour disputer un ultime barrage intercontinental en mars ? - À l'heure d'un 1er bilan, Mohammed Amoura termine meilleur buteur de la phase éliminatoire. Le Fennec, qui a vu double contre l'Ouganda, a inscrit 10 buts en 10 matches. Il passe devant Salah et Bouanga. - Mondial 2026, en Europe, suspense et confirmation L'Italie peut souffler. La Nazionale a battu Israël, sécurisé sa place de barragiste et peut encore théoriquement finir devant de surprenants Norvégiens. Encore faut-il gagner ses 2 derniers matches, et marquer beaucoup à domicile face à Haaland et ses coéquipiers, pour espérer les dépasser et prendre un billet direct. - Angleterre, l'élève appliqué ! Sans faute pour le coach Tuchel qui «rêve d'Amérique». Son capitaine traverse une période faste, Harry Kane a marqué 21 fois en 13 matches, club et nation confondus. - Mondial 2026, zone Asie Accrochée par l'Irak, mais qualifiée l'Arabie saoudite obtient le précieux sésame, rejoint 7 qualifiés, se qualifie pour la 7è fois. La stabilité et la continuité sont-elles les clés du succès pour les nations émergentes ? Gianni Infantino, le boss de la FIFA, a félicité les 28 premières nations qui en découdront l'été prochain. Pour débattre avec Annie Gasnier : Salim Baungally, Patrick Juillard et Ludovic Duchesne. Technique/réalisation : Guillaume Buffet -- David Fintzel/Pierre Guérin.

Couleurs tropicales
Werrason, légende de la musique congolaise, est de retour sur scène à Paris

Couleurs tropicales

Play Episode Listen Later Oct 14, 2025 48:30


C'est un des artistes les plus populaires du continent, et une référence majeure de la musique congolaise depuis plusieurs générations. Il a connu un immense succès avec plusieurs albums phares comme Solola Bien et Kibuisa Mpimpa. C'est également un ambassadeur mondial pour la paix auprès de La Croix Rouge. Après une absence de 14 ans, il a fait un retour triomphal en Europe en 2025, retrouvant un large public. Le «Roi de la Forêt» sera en concert à l'Adidas Arena le 18 octobre 2025. Playlist (dans l'ordre de l'émission) Pour visionner les clips, cliquez sur les titres des chansons.  Werrason - Solola Bien Pierre Moutouari - Missengue Werrason - Départ Unique  Werrason - La vie est compliquée  Werrason - Likambo Werrason - Pièce Rare ► Retrouvez la playlist officielle de RFI Musique.

Couleurs tropicales
Werrason, légende de la musique congolaise, est de retour sur scène à Paris

Couleurs tropicales

Play Episode Listen Later Oct 14, 2025 48:30


C'est un des artistes les plus populaires du continent, et une référence majeure de la musique congolaise depuis plusieurs générations. Il a connu un immense succès avec plusieurs albums phares comme Solola Bien et Kibuisa Mpimpa. C'est également un ambassadeur mondial pour la paix auprès de La Croix Rouge. Après une absence de 14 ans, il a fait un retour triomphal en Europe en 2025, retrouvant un large public. Le «Roi de la Forêt» sera en concert à l'Adidas Arena le 18 octobre 2025. Playlist (dans l'ordre de l'émission) Pour visionner les clips, cliquez sur les titres des chansons.  Werrason - Solola Bien Pierre Moutouari - Missengue Werrason - Départ Unique  Werrason - La vie est compliquée  Werrason - Likambo Werrason - Pièce Rare ► Retrouvez la playlist officielle de RFI Musique.

Permission To Speak Freely
Episode 163 | "Unapologetically Favored" [Feat. AZCM (Ret.) Courtney Barber]

Permission To Speak Freely

Play Episode Listen Later Oct 13, 2025 192:22


About Our Guest — Courtney A. Barber   Courtney A. Barber is a retired U.S. Navy Master Chief Petty Officer, motivational speaker, three-time published author, and certified life purpose coach with over 25 years of military leadership experience. A Fayetteville, North Carolina native, Courtney is the founder of Sapphire Veteran HR, a nonprofit organization dedicated to helping women veterans in Hampton Roads transition from service to civilian life with confidence and community. After a decorated Navy career, Courtney transformed her journey of adversity, faith, and resilience into a personal mission to empower others through her brand, Unapologetically Favored—a movement and mindset that encourages people to walk boldly in their truth. She has authored multiple books including Unapologetically Favored, Wake Up. Turn Up. Bless Up., and Never Be Afraid to Eat Alone, each blending leadership, spirituality, and personal growth. In December 2023, she served as part of the MyNavy Coaching Team, leading a five-day Coaching Master Course in San Diego to develop the next generation of Navy leaders. Today, Courtney continues to mentor, teach, and inspire through her speaking engagements, coaching programs, and advocacy for authenticity, representation, and emotional intelligence in leadership. Learn more about her work at UnapologeticallyFavored.net or follow her on social media at @unapologeticallyfavored.   About This Episode:   In this episode, Damo and Aaron sit down with retired Master Chief and author Courtney Barber—North Carolina native and writer of Unapologetically Favored—for a raw, funny, and deeply human conversation about faith, identity, leadership, and redemption inside the U.S. Navy. The guys open with barbershop energy, debating Dave Chappelle vs. Eddie Murphy, fresh off Damo catching Chappelle live, before pivoting into Courtney's early life in the South, her family dynamics, and how her upbringing shaped the way she learned to love, trust, and lead. She opens up about her father figures, teenage pregnancy, abortion, and the boundaries she had to build to protect her peace. Courtney reflects on her early Navy journey—boot camp, A-school, and those unforgettable early days in uniform—sharing stories of laughter, adversity, and lessons learned. Aaron delivers a hilarious breakdown of “honch monsters,” and the crew swaps memories of Great Lakes and the RDC grind. Courtney discusses the mentors who taught her the value of training your reliefs, the importance of accountability, and what ultimately inspired her to write Unapologetically Favored after a viral post questioning empty “thank-you for your service” gestures. Listener questions about leadership spark a powerful exchange on the role of First Class Petty Officers and why leaders must trust their people enough to let them lead, fail, and grow. From being married against her nature and struggling with instinct to finally embracing her truth and telling her mom, Courtney walks listeners through the courage it took to live authentically under Don't Ask, Don't Tell. She shares the impact of good mentorship, the value of grace after mistakes, and how faith and resilience helped her rise through adversity. Damo introduces the idea of giving Sailors “scarlet letters” for their failures, which leads to a discussion about forgiveness, perception, and leadership growth. Courtney also reflects on what she learned from a failed BCA. It's three hours of honesty, humor, and hard-earned wisdom—laughter, confession, mentorship, and faith woven into one conversation. From barbershop debates to leadership lessons to spiritual redemption, this episode captures everything Permission to Speak Freely stands for: real people, real leadership, and real conversations that matter.       Do you have a “Do Better” that you want us to review on a future episode? Reach out at ptsfpodcast@gmail.com       Stay connected with the PTSF Podcast: https://linktr.ee/Ptsfpodcast       Keep up with Courtney Barber, AZCM (Retired):   Website: https://www.unapologeticallyfavored.net/ Instagram: https://www.instagram.com/unapologeticallycak?utm_source=ig_web_button_share_sheet&igsh=ZDNlZDc0MzIxNw== Facebook: https://www.facebook.com/unapologeticallyfavored       PTSF Theme Music: Produced by Lim0

Appels sur l'actualité
[Vos questions] RDC : démantèlement d'un réseau clandestin d'exploitation d'or

Appels sur l'actualité

Play Episode Listen Later Oct 10, 2025 19:30


Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur l'aide chinoise à la Russie dans la guerre et les pénuries d'essence en Russie. RDC : démantèlement d'un réseau clandestin d'exploitation d'or   Une vaste opération menée dans la province du Haut-Uélé, dans le nord-est de la RDC, a permis de démanteler un réseau d'exploitation illégale d'or impliquant des ressortissants chinois. Comment ce réseau a-t-il pu opérer en toute illégalité ? Quelles mesures les autorités mettent-elles en place pour mettre fin à la fraude minière ? Avec Patient Ligodi, journaliste au service Afrique de RFI.       Guerre en Ukraine : comment la Chine facilite les bombardements russes ?  Kiev accuse Pékin de jouer un rôle indirect dans les attaques russes en fournissant à Moscou des renseignements satellitaires pour lui permettre de mieux cibler les infrastructures ukrainiennes. Quel intérêt la Chine aurait-elle à coopérer avec la Russie alors qu'officiellement elle affiche une neutralité dans le conflit ? Quels sont les risques diplomatiques pour la Chine si ces soupçons se confirment ?    Avec Emmanuel Véron, géographe, spécialiste de la Chine contemporaine, chercheur associé à l'Inalco, membre de l'IFRAE.       Russie : des pénuries d'essence après des attaques ukrainiennes    Troisième producteur mondial de pétrole, la Russie se retrouve à court d'essence après une série d'attaques de drones ukrainiens sur de nombreuses raffineries. Cette pénurie peut-elle affecter la logistique militaire russe, notamment sur le front ukrainien ? Cette situation pourrait-elle perturber le marché mondial du pétrole ?  Avec Ulrich Bounat, analyste géopolitique, chercheur-associé chez Euro Créative.     Et en fin d'émission, la chronique « Un œil sur les réseaux » de Jessica Taieb. Au programme, une polémique au Togo alors que les internautes peuvent désormais être sanctionnés par la justice pour un commentaire, un « j'aime » ou un partage sur des publications jugées « illicites » par les autorités.

Elliot In The Morning
EITM: LOST CAT 9/29/25

Elliot In The Morning

Play Episode Listen Later Sep 29, 2025 25:14 Transcription Available


"Francine: missing from Richmond, Va since 9/18. Last known location:Lowe's RDC #1420 in Garysburg, NC. She is microchipped. She is beloved by a whole city."