POPULARITY
C'est en France que le vieux Léonard de Vinci choisit de finir sa vie, choyé par François Ier.Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:29:10 - L'Entretien archéologique - par : Antoine Beauchamp - Des fouilles préventives menées par l'INRAP près d'Auxerre ont révélé la présence d'une villa gallo-romaine très vaste habitée entre le Ier et le IVe siècles. On plonge dans ce chantier et ce passé où résonnent les eaux d'un bassin, d'une fontaine et de thermes. - réalisation : Olivier Bétard - invités : Alexandre Burgevin Archéologue, chargé d'opération et de recherche INRAP au sein de l'Unité mixte de recherche Chrono environnement de l'Université Marie et Louis Pasteur de Besançon
Le mot « français » vient du nom d'un peuple germanique : les Francs.Au Ve siècle, après la chute de l'Empire romain, les Francs — un peuple germanique — s'installent en Gaule et y fondent un royaume sous la dynastie mérovingienne, puis carolingienne.Le nom Francie désigne au départ le territoire contrôlé par les Francs, centré autour de l'actuelle Île-de-France.Progressivement, ce nom va s'étendre à l'ensemble du royaume, puis donner son nom au pays : France.2. Langue d'oïl, langue romane… et françaisAu Moyen Âge, plusieurs langues ou dialectes étaient parlés dans le territoire de la future France :Langue d'oïl au nord (issue du latin vulgaire, comme l'espagnol ou l'italien)Langue d'oc au sudEt des langues celtiques ou germaniques dans certaines régionsParmi ces idiomes, le dialecte de la région parisienne (Île-de-France), influencé par les Francs, va peu à peu s'imposer, notamment parce que c'est celui de la cour royale et de l'administration.3. Un nom politique et culturel : le "français"À partir du XIIIe siècle, ce dialecte dominant est appelé « français », car c'est celui de la France politique, du royaume de France, et des rois de France. Il devient la langue prestigieuse, celle des lettrés, des lois, et des échanges officiels.4. Une reconnaissance officielle1539 : L'ordonnance de Villers-Cotterêts, signée par François Ier, impose que les actes juridiques soient rédigés en français et non plus en latin. Cela contribue à renforcer l'identité linguistique nationale.Ce « français » est donc le nom donné à la langue du royaume de France, devenue langue officielle et identitaire.Notre langue s'appelle le français parce qu'elle descend d'un dialecte roman parlé dans la région contrôlée par les Francs, et qu'elle est devenue la langue de la France royale, avant de s'imposer à tout le territoire. Ce nom est donc un héritage historique et politique, plus qu'un simple reflet linguistique.Mais alors question subsidaire, pourquoi le peuple germanique des Francs s'appelaient ainsi ? Si les Romains les ont appelé les Francus, c'est parce que ce terme est dérivé de l'ancien germanique frank, qui signifie « libre ». Pourquoi libre ?Plusieurs hypothèses coexistent :Hypothèse sociale : les Francs auraient été ainsi nommés pour insister sur leur statut de « peuples libres », en opposition aux esclaves ou aux peuples soumis à Rome.Hypothèse politique : il pourrait aussi s'agir d'un nom d'alliance désignant une coalition de tribus germaniques libres.Hypothèse militaire ou symbolique : certains linguistes ont proposé que le mot soit lié au franca, une sorte de javelot (mais cette hypothèse est minoritaire). Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
L'invité et l'invitée :· Robinson Baudry MCF à l'université Paris-Nanterre· Caroline Husquin, MCF à l'université de Lille Le livre : Les Chauves. Histoire d'un préjugé dans la Rome antique, Paris, Armand Colin, 2025 La discussion :· Un sujet relativement neuf dans l'historiographie (1:00)· Les conceptions antiques de la chevelure et de la pilosité, et le vocabulaire latin qui y est associé (4:00)· Venus calva, et l'enjeu de la calvitie féminine (11:00)· Âge, calvitie, et « beauté convenable » du citoyen (16:00)· Les cheveux rasés des adeptes d'Isis (19:45)· Le stéréotype du chauve ridicule au théâtre (25:00)· Calvitie et compétition politique (27:15)· Calvitie et christianisme (35:00) Le conseil de lecture : Lydie Bodiou et Véronique Mehl (dir.), Dictionnaire du corps dans l'Antiquité, Rennes, PUR, 2019.Image de couverture : buste, Ier siècle CE, Metropolitan Museum 12.233Un podcast créé, animé et produit par André Loez et distribué par Binge Audio. Contact pub : project@binge.audio".Un podcast créé, animé et produit par André Loez et distribué par Binge Audio. Contact pub : project@binge.audioDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Fille de l'impératrice Joséphine, mère de Napoléon III, belle-fille et belle-sœur de Napoléon Ier, la reine Hortense a vécu au cœur de l'une des périodes les plus intenses de notre histoire : l'incroyable épopée napoléonienne. Clé de l'ascension spectaculaire de Napoléon, elle fut également l'objet des manigances de sa mère. Pourtant, Hortense était une jeune femme en quête d'amour romantique et d'une vie élégante, loin des tumultes de la politique et des luttes de pouvoir. Elle sacrifie sa vie en épousant Louis Bonaparte, l'un des frères de Napoléon, qui se révèle être un véritable psychopathe, transformant sa vie en enfer. À cause de la chute de l'Empire, elle devient pendant vingt ans une princesse fugitive et errante."Secrets d'Histoire" est un podcast d'Initial Studio, adapté de l'émission de télévision éponyme produite par la Société Européenne de Production ©2024 SEP / France Télévisions. Cet épisode a été écrit et réalisé par Dominique Leeb. Un podcast présenté par Stéphane Bern. Avec la voix d'Isabelle Benhadj.Vous pouvez retrouver Secrets d'Histoire sur France 3 ou en replay sur France.tv, et suivre l'émission sur Instagram et Facebook.Crédits du podcastProduction exécutive du podcast : Initial StudioProduction éditoriale : Sarah Koskievic et Mandy Lebourg Montage : Camille Legras Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
Nous sommes dans les années 327-325 avant notre ère. Alexandre le Grand, roi de Macédoine, lance une campagne dans le sous-continent indien). Cette campagne a pour objectif principal de soumettre le Pendjab du roi Poros. Alexandre conquiert ensuite la vallée de l'Indus pour finir par atteindre les rives de l'océan Indien et entamer le retour vers Babylone où il meurt en juin 323. Les cités de Begram et de Taxila témoignent de cette présence grecque dans le monde indien. La première, aujourd'hui en Afghanistan, est l'héritière de l'Alexandrie du Caucase fondée par celui qui fut l'élève d'Aristote et est devenu l'un des plus grands conquérants de l'histoire en prenant possession de l'immense Empire perse en s'avançant jusqu'aux rives de l'Indus. La seconde, au Pakistan actuel, la plus ancienne fut créée avant l'arrivée des Perses. Alexandre y a séjourné et l'un de ses successeurs dans la région, le roi Démétrios Ier, y a fait construire un grand quartier hellénistique. Partons aux confins de trois mondes : la Grèce, l'Inde et la Chine Avec nous : Sébastien Polet, historien-orientaliste de l'asbl Roma. Sujets traités : Alexandre le Grand, Macédoine, Pendjab, Indus, Begram, Taxila, Afghanistan, Aristote, Empire, Grèce, Antique, Pakistan, Démétrios Inde, Chine Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Stéphane Bern raconte le destin d'un Bonaparte durant le Second Empire : Louis-Napoléon Bonaparte devenu Napoléon III, le dernier souverain, l'Empereur inattendu qui a modernisé la France à marche forcée, avant de connaître une chute vertigineuse tout aussi rapide… Quel était le dessein de Napoléon III pour la France ? Dans quelle mesure a-t-il marché dans les pas de son oncle, Napoléon Ier ? Pourquoi cette figure a-t-elle longtemps souffert d'une légende noire ? Pour en parler, Stéphane Bern reçoit Eric Anceau, historien et auteur de "Napoléon III" (Tallandier, collection Texto) Au Coeur de l'Histoire est réalisée par Pierre Cazalot. Rédaction en chef : Benjamin Delsol. Auteur du récit : Eloi Audoin-Rouzeau. Journaliste : Armelle Thiberge. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La Pax Romana, ou « paix romaine », désigne une longue période de stabilité relative, de prospérité économique et de paix intérieure que connut l'Empire romain entre 27 av. J.-C. et environ 180 apr. J.-C. Elle débute avec l'avènement d'Auguste, premier empereur romain, et s'achève généralement avec la mort de Marc Aurèle. Pendant près de deux siècles, l'Empire romain parvient à maintenir l'ordre sur un immense territoire s'étendant de la Bretagne aux rives de l'Euphrate, et du Rhin au Sahara.La Pax Romana ne signifie pas l'absence totale de conflits : Rome continue de faire la guerre à ses frontières, notamment contre les Parthes, les Germains ou les tribus berbères. Mais à l'intérieur de l'Empire, les soulèvements majeurs sont rares, et les guerres civiles — qui avaient ensanglanté la République romaine au Ier siècle av. J.-C. — prennent fin. L'autorité impériale centralisée, le monopole de la violence légitime et la professionnalisation de l'armée contribuent largement à ce climat de stabilité.Sur le plan économique, la Pax Romana favorise un essor remarquable. Le commerce se développe, facilité par un vaste réseau routier de plus de 80 000 kilomètres, une marine puissante assurant la sécurité maritime, et une monnaie relativement stable. Les produits circulent entre les provinces : vin d'Italie, huile d'Espagne, blé d'Égypte, épices d'Orient, esclaves des Balkans… Les grandes villes, à commencer par Rome, en tirent une prospérité visible dans l'urbanisme, les monuments et la vie culturelle.L'administration impériale joue aussi un rôle essentiel. Auguste réforme le gouvernement, crée un corps de fonctionnaires fidèles et met en place un système judiciaire plus structuré. Les populations provinciales, souvent respectueuses de la domination romaine en échange de paix et d'infrastructures, commencent à s'intégrer à la culture romaine, un processus appelé romanisation. Les élites locales adoptent la langue latine, les institutions romaines, et obtiennent progressivement la citoyenneté — jusqu'à ce qu'elle soit étendue à tous les hommes libres de l'Empire par l'édit de Caracalla en 212.Enfin, cette paix favorise l'essor intellectuel et artistique : littérature, philosophie stoïcienne, architecture, droit… La culture romaine rayonne, influencée aussi par l'héritage grec.La Pax Romana reste une période idéalisée dans l'histoire occidentale. Elle représente un moment unique où un empire, par la force autant que par l'intégration, réussit à pacifier un vaste espace multiculturel. Si elle prend fin avec les premières grandes crises du IIIe siècle, son souvenir inspire encore les empires ultérieurs cherchant à concilier puissance et stabilité. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Stéphane Bern raconte le destin d'un Bonaparte durant le Second Empire : Louis-Napoléon Bonaparte devenu Napoléon III, le dernier souverain, l'Empereur inattendu qui a modernisé la France à marche forcée, avant de connaître une chute vertigineuse tout aussi rapide… Quel était le dessein de Napoléon III pour la France ? Dans quelle mesure a-t-il marché dans les pas de son oncle, Napoléon Ier ? Pourquoi cette figure a-t-elle longtemps souffert d'une légende noire ? Pour en parler, Stéphane Bern reçoit Eric Anceau, historien et auteur de "Napoléon III" (Tallandier, collection Texto) Au Coeur de l'Histoire est réalisée par Pierre Cazalot. Rédaction en chef : Benjamin Delsol. Auteur du récit : Eloi Audoin-Rouzeau. Journaliste : Armelle Thiberge. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
À l'occasion de la diffusion de la série "Carême", Virginie Girod vous propose de redécouvrir la véritable histoire de l'alliance entre le chef Carême et le diplomate Talleyrand. En 1814, s'ouvre le congrès de Vienne, réunissant les grandes puissances européennes pour réorganiser l'Europe après la chute de Napoléon Ier. Parmi les nombreux plénipotentiaires affluant dans la capitale des Habsbourg, se trouve Charles Maurice de Talleyrand Périgord (1754-1838), représentant de la France. Dans ses valises, il emmène Antonin Carême (1783-1833), le plus grand cuisinier de son temps. Sollicité par de nombreuses têtes couronnés, ce dernier fut surnommé "le roi des chef et le chef des rois".Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le drapeau blanc est aujourd'hui reconnu dans le monde entier comme un symbole de reddition, de trêve ou de demande de cessez-le-feu. Qu'il s'agisse d'un chiffon improvisé ou d'un tissu officiel, il signifie une intention pacifique : celle de ne pas attaquer et de vouloir dialoguer. Mais d'où vient cette pratique, et pourquoi avoir choisi précisément un drapeau blanc ?Une origine ancienneL'utilisation du drapeau blanc remonte à l'Antiquité. On en trouve déjà des traces dans les chroniques chinoises du Ier siècle. Durant la dynastie Han, les soldats agitaient des tissus blancs pour indiquer leur soumission ou pour signifier qu'ils voulaient négocier. Les Romains, eux aussi, utilisaient parfois un voile blanc pour demander la paix.Mais c'est surtout à partir du Moyen Âge en Europe que le drapeau blanc se généralise comme signe de reddition sur les champs de bataille. Les soldats qui abandonnaient le combat devaient montrer clairement qu'ils n'avaient plus l'intention de se battre. Le blanc, couleur neutre et visible de loin, était parfait pour cela. Contrairement aux drapeaux colorés des armées, le blanc n'était pas associé à une faction, ce qui évitait toute confusion.Pourquoi la couleur blanche ?Le choix du blanc n'est pas anodin. D'un point de vue symbolique, le blanc évoque la pureté, la paix et l'innocence dans de nombreuses cultures. Il est aussi une couleur très visible, même de loin et dans des conditions difficiles, comme la fumée ou le brouillard. Mais surtout, c'est une couleur neutre, non affiliée à un camp particulier, ce qui renforce l'idée de non-agression.Une reconnaissance par le droit internationalL'usage du drapeau blanc a été codifié par le droit international, notamment dans les Conventions de Genève et les Conventions de La Haye au début du XXe siècle. Il est reconnu comme un symbole protégé, qui indique qu'un combattant souhaite parlementer, rendre les armes ou évacuer des blessés. Toute attaque contre une personne brandissant un drapeau blanc constitue une violation du droit international humanitaire.Un langage universelDans un contexte de guerre, les mots peuvent être incompris ou ignorés, surtout entre ennemis parlant des langues différentes. Le drapeau blanc devient alors un langage visuel universel, immédiatement compréhensible, même sans un mot. Il permet d'initier un dialogue ou de sauver des vies sans passer par la parole.En résumé, le drapeau blanc est bien plus qu'un simple morceau de tissu : c'est un symbole ancestral de paix et de neutralité, adopté par les cultures et reconnu par les lois internationales. Dans le tumulte de la guerre, il reste un des rares signaux qui puisse encore imposer le silence… pour laisser place à la vie. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Speech First's Jared Gould, IER's Kenny Stein, Attorney Mike Pugliese, Less Government's Seton Motley, The Mark Belling Podcast's Mark Belling, Former Sheriff David Clarke, Rep. Bryan Steil
durée : 00:55:43 - Affaires sensibles - par : Fabrice Drouelle - L'un des pontificats les plus courts de l'histoire, le Pape Jean-Paul Ier, élu le 26 août 1978, meurt trente-trois jours plus tard. - invités : Bernard LECOMTE - Bernard Lecomte : Editeur, écrivain et journaliste - réalisé par : Fabrice Laigle
durée : 00:57:55 - Avec philosophie - par : Géraldine Mosna-Savoye, Nassim El Kabli - En tout point fidèle à la physique épicurienne, le "De rerum natura" présente des intuitions préscientifiques majeures au Ier siècle av. J-C. Composés contre les superstitions de l'époque, les vers lucrétiens présentent toutefois une part de mystère ; originalité propre à cette physique poétique. - réalisation : Nicolas Berger - invités : Alain Gigandet
Parce qu'il était sensible à l'influence féminine et que sa mère n'était plus là pour le gouverner, François Ier aura fait de la duchesse d'Etampes une des favorites les plus puissantes de l'histoire de France. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Amélie de Bourbon Parme "L'ascension" (Gallimard)2eme tome de "Les trafiquants d'éternité"Au commencement du XVIᵉ siècle s'ouvre le pontificat de Jules II, ennemi déclaré des Borgia. Alessandro Farnese doit gagner la confiance du nouveau chef de l'Église pour asseoir son influence au sein du Sacré Collège.Audace, prudence et loyauté. Telle sera sa profession de foi dans une Rome corrompue par le commerce des sacrements, capitale du vice dénoncée par Martin Luther. Car la Rome des Médicis est aussi sulfureuse que l'était celle des Borgia. Intrigues amoureuses, complots et compromissions achèvent de ruiner le crédit des papes. Mais pas l'amour que se vouent Alessandro et Silvia, mère de ses enfants, envers et contre tout.Propulsé dans les plus hautes sphères de l'Église, l'aîné des Farnese conseille les papes Jules II, Léon X et même Clément VII, son ancien rival. Alors que Charles Quint et François Ier se disputent l'Italie, que l'intransigeance protestante submerge les consciences et menace de faire sombrer la papauté, Alessandro a la conviction que l'humanisme peut triompher de tout, même de ses propres excès : cette certitude le mènera à devenir pape, en 1534.Avec ce nouveau tome des Trafiquants d'éternité, Amélie de Bourbon Parme poursuit le portrait éblouissant d'Alessandro Farnese au cœur d'une Renaissance italienne tourmentée par la peur du Jugement dernier.Musique : Giovanni Pierluigi da Palestrina: Missa Brevis - 5b. Qui tollis peccata mundi 1. Peter Phillips The Tallis ScholarsHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Rubrique:histoire Auteur: frantz-funck-brentano Lecture: Daniel LuttringerDurée: 14min Fichier: 10 Mo Résumé du livre audio: Une courte biographie de Frédéric Ier de Hohenstaufen, empereur du Saint-Empire romain germanique de 1155 à sa mort en 1190. Il est surnommé Frédéric Barberousse en raison de son éblouissante barbe rousse (en allemand : Friedrich Barbarossa). Cet enregistrement est mis à disposition sous un contrat Creative Commons.
Le mot « décimer » vient du latin decimare, qui signifie « prélever un dixième ». Son origine remonte à une pratique disciplinaire redoutée dans l'armée romaine, utilisée pour punir une unité jugée coupable de lâcheté, de mutinerie ou de désobéissance grave.1. Le principe de la décimationLorsqu'une légion romaine faiblissait au combat ou se révoltait, le général pouvait ordonner la décimation (decimatio). Cette punition consistait à exécuter un soldat sur dix, tiré au sort parmi les fautifs. Les hommes étaient alignés, et on formait des groupes de dix. Chaque groupe devait choisir un homme, qui était ensuite exécuté par ses propres compagnons, souvent à coups de bâton ou d'épée. Les survivants subissaient en plus des humiliations : rationnement, perte de leur équipement ou exclusion des honneurs militaires.2. Un moyen de restaurer la disciplineL'armée romaine était célèbre pour sa rigueur et sa discipline. La décimation, bien que rare, servait à terroriser les troupes et empêcher toute forme d'insubordination. Elle envoyait un message fort : l'échec collectif entraînait des conséquences individuelles aléatoires, même pour ceux qui n'avaient pas personnellement failli.3. Des exemples historiques célèbresPlusieurs sources antiques mentionnent l'usage de la décimation.Appien et Tite-Live racontent qu'en 471 av. J.-C., le consul Appius Claudius Sabinus aurait décimé une unité après une défaite face aux Éques. Crassus, en 71 av. J.-C., aurait utilisé cette méthode pour punir ses légions après un échec contre l'armée de Spartacus. Marc Antoine, au Ier siècle av. J.-C., aurait recouru à la décimation pour rétablir l'ordre parmi ses troupes. 4. Évolution et disparition de la pratiqueAvec le temps, la décimation est devenue de moins en moins courante, car elle était jugée trop brutale et démotivante. Elle a progressivement disparu avec l'évolution des stratégies militaires et l'introduction de sanctions plus ciblées.5. Un sens moderne détournéAujourd'hui, le mot « décimer » signifie souvent « exterminer en grand nombre », alors qu'il signifiait à l'origine « tuer un sur dix ». Cet élargissement du sens s'est produit avec le temps, notamment à partir du XVIIe siècle, où l'usage figuré a pris le dessus sur l'origine militaire stricte.Ainsi, derrière ce mot se cache une pratique romaine impitoyable, rappelant la dureté du monde militaire antique. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
C'est l'événement le plus fastueux du XVIe siècle. Quelque part dans le nord de la France, deux rois, deux géants de leur temps, se rencontrent au Camp du drap d'or. François Ier et Henri VIII d'Angleterre rivalisent de faste pour s'impressionner mutuellement. Entrez dans le décor éblouissant du Camp du drap d'or où règnent luxe, or et illusions. Crédits : Lorànt Deutsch, Bruno Calvès Du lundi au vendredi de 15h à 15h30, Lorànt Deutsch vous révèle les secrets des personnages historiques les plus captivants !Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Il y a 500 ans, en 1525, François Ier est fait prisonnier à l'issue de la bataille de Pavie, qui oppose ses troupes à celles de Charles Quint lors de la sixième guerre d'Italie. Une captivité d'un an commence pour le roi de France, qui sera libéré après la signature du calamiteux traité de Madrid. Pour évoquer les enjeux de sa détention et ses conséquences sur le fonctionnement du royaume, Virginie Girod reçoit l'historien Didier Le Fur, grand spécialiste du XVIe siècle et des guerres d'Italie et auteur, notamment, de l'ouvrage "Les guerres d'Italie, un conflit européen" (Passés Composés).
Virginie Girod raconte Charles Quint, l'empereur le plus puissant de la Renaissance, éternel rival de François Ier. Dans le second épisode de ce double récit inédit d'Au coeur de l'Histoire, Charles Quint (1500-1558), empereur du Saint-Empire et roi des Espagnes, épouse la princesse Isabelle de Portugal en 1526. Bientôt, un héritier voit le jour, le futur Philippe II. Au sein de l'Empire, le protestantisme gagne du terrain, portant en lui les germes d'une rébellion contre le pouvoir. En 1555, à Bruxelles, Charles Quint, prématurément vieilli, prend la décision d'abdiquer.
Virginie Girod raconte Charles Quint, l'empereur le plus puissant de la Renaissance. Dans le premier épisode de ce double récit d'Au coeur de l'Histoire, Charles Quint (1500-1558) hérite en 1519 d'un empire immense, allant de la frontière portugaise à l'Autriche en passant par le nord de l'Italie et les Pays-Bas. Mais ce vaste territoire est scindé en deux par la France, un royaume puissant, dont le souverain, François Ier, s'impose comme l'ennemi naturel de l'empereur. Après une série de conflits, Charles Quint connaît une courte période de paix à la fin des années 1520.
François Ier, roi de France de 1515 à 1547, est souvent qualifié de "restaurateur des lettres". Ce titre lui vient de son rôle majeur dans la promotion des arts, des sciences et des lettres à la Renaissance. Il fit entrer la France dans une ère de rayonnement culturel sans précédent en soutenant activement l'humanisme, l'imprimerie et l'éducation.Un protecteur des humanistes et des écrivainsDès le début de son règne, François Ier se montre passionné par la Renaissance italienne. Admirateur de Léonard de Vinci, qu'il invite à sa cour en 1516, il adopte aussi les idées humanistes qui se développent en Italie.Il protège des écrivains et des penseurs tels que Guillaume Budé, grand érudit et spécialiste des textes antiques, qui l'encourage à développer une politique en faveur des lettres. Le roi accorde également son soutien à Clément Marot, poète officiel de la cour, et favorise la diffusion des œuvres de Rabelais, dont les idées humanistes marquent profondément la littérature française.L'essor de l'imprimerie et de la langue françaiseFrançois Ier comprend que l'imprimerie, récente invention, est un outil puissant pour diffuser le savoir. Il encourage le développement des imprimeries royales et protège les imprimeurs, comme Robert Estienne, qui joue un rôle essentiel dans la publication des textes anciens et bibliques.En 1539, il signe l'ordonnance de Villers-Cotterêts, un texte fondamental qui impose l'usage du français dans les documents administratifs et juridiques, en remplacement du latin. Cet acte marque une étape clé dans l'affirmation du français comme langue nationale.La création du Collège royal : un tournant dans l'éducationEn 1530, François Ier fonde le Collège royal (futur Collège de France), une institution destinée à enseigner les disciplines nouvelles de la Renaissance : les langues anciennes (grec, hébreu), la médecine et les sciences. Contrairement à l'Université de Paris, alors conservatrice et dominée par l'Église, le Collège royal permet une approche plus libre et ouverte du savoir.Un roi mécène et visionnaireGrâce à son mécénat, François Ier transforme la France en un centre intellectuel majeur de la Renaissance. Il favorise les échanges avec l'Italie et pose les bases d'une tradition culturelle qui perdurera bien après son règne.C'est donc à juste titre qu'on l'appelle "le restaurateur des lettres", car il a joué un rôle fondamental dans la diffusion du savoir et l'essor de la culture française. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
#119: American Energy Blueprint - IER Webinar (2/25/25) American Energy Blueprint: https://www.instituteforenergyresearch.org/fossil-fuels/gas-and-oil/the-american-energy-blueprint/ IER and Mackinac Center Call for Expedited Environmental Impact Statement Process for Line 5 Tunnel Construction: https://www.instituteforenergyresearch.org/regulation/ier-and-mackinac-center-call-for-expedited-environmental-impact-statement-process-for-line-5-tunnel-construction/ IER Submits Three Petitions to Trump Administration to Advance American Energy Goals: https://www.instituteforenergyresearch.org/regulation/ier-submits-three-petitions-to-trump-administration-to-advance-american-energy-goals/
Il y a 500 ans, l'armée française s'effondrait à Pavie et son chef, le roi François Ier, était fait prisonnier. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Stéphane Bern ropose de revivre une bataille qui s'est tenue il y a 500 ans jour pour jour : la bataille de Pavie perdue par la France et son armée menée par le roi François 1er qui, 10 ans après son éclatante victoire à Marignan, a lui-même pris part aux attaques contre les hommes de Charles Quint. Et mal lui en a pris… Quels étaient les enjeux de cette bataille ? Qu'est-ce qui a manqué à l'armée constituée par François Ier ? Pourquoi ne l'a-t-on pas davantage étudiée ? Pour en parler, Stéphane Bern reçoit Julien Guinand, docteur en histoire, spécialiste du XVIème siècle et auteur de "Pavie 1525" (Perrin).
Stéphane Bern ropose de revivre une bataille qui s'est tenue il y a 500 ans jour pour jour : la bataille de Pavie perdue par la France et son armée menée par le roi François 1er qui, 10 ans après son éclatante victoire à Marignan, a lui-même pris part aux attaques contre les hommes de Charles Quint. Et mal lui en a pris… Quels étaient les enjeux de cette bataille ? Qu'est-ce qui a manqué à l'armée constituée par François Ier ? Pourquoi ne l'a-t-on pas davantage étudiée ? Pour en parler, Stéphane Bern reçoit Julien Guinand, docteur en histoire, spécialiste du XVIème siècle et auteur de "Pavie 1525" (Perrin).
À la tête de sa cavalerie, François Ier déferle une nouvelle fois sur l'Italie, son obsession guerrière, dix ans après sa victoire magistrale contre les Suisses à Marignan. Pavie est assiégée pendant trois mois. Le 24 février 1525, il y a tout juste 500 ans, les armées françaises sont mises en déroute, et François Ier tombe aux mains de Charles Quint. Revivez la bataille de Pavie, là où il n'y avait plus rien à gagner, là où s'est brisé le rêve italien de François Ier. Crédits : Lorànt Deutsch, Bruno Calvès Du lundi au vendredi de 15h à 15h30, Lorànt Deutsch vous révèle les secrets des personnages historiques les plus captivants !
Il est rare qu'une colonie devienne la capitale d'un empire. Pourtant, entre 1808 et 1821, Rio de Janeiro fut la capitale du Royaume-Uni de Portugal, du Brésil et des Algarves. Cet épisode unique de l'histoire trouve son origine dans les guerres napoléoniennes et marqua un tournant décisif dans le destin du Brésil.La fuite de la cour portugaiseÀ la fin du XVIIIe siècle, l'Europe est en pleine tourmente. En 1807, Napoléon Ier, en quête d'expansion, envahit le Portugal, fidèle allié de la Grande-Bretagne. Face à la menace, le prince régent Jean VI prend une décision inédite : transférer la cour royale portugaise au Brésil. Avec l'aide de la flotte britannique, 15 000 nobles, militaires et fonctionnaires embarquent précipitamment pour traverser l'Atlantique.Le 22 janvier 1808, la flotte accoste à Salvador de Bahia avant de gagner Rio de Janeiro, qui devient la nouvelle capitale du royaume. Jamais une métropole européenne n'avait déplacé son siège impérial vers une colonie.Rio, centre du pouvoir impérialAvec l'arrivée de la cour, Rio de Janeiro change radicalement. La ville jusque-là modeste voit la construction de palais, académies et institutions. Le prince régent ouvre les ports brésiliens au commerce international, mettant fin au monopole colonial portugais. Des imprimeries, des théâtres et des universités émergent, transformant Rio en un véritable centre administratif et culturel.Le Brésil gagne en autonomie. En 1815, pour légitimer cette situation, Jean VI élève le pays au rang de royaume, créant ainsi le "Royaume-Uni de Portugal, du Brésil et des Algarves". Cette décision marque un tournant : le Brésil n'est plus une simple colonie, mais un royaume à part entière.Le retour au Portugal et l'indépendance du BrésilEn 1821, sous la pression des libéraux portugais, Jean VI retourne à Lisbonne, laissant son fils Pierre Ier régner sur le Brésil. Mais les Brésiliens refusent de redevenir une colonie. En 1822, Pierre Ier proclame l'indépendance du Brésil, mettant un terme définitif à la domination portugaise.Ainsi, en devenant temporairement capitale d'un empire, Rio de Janeiro a amorcé l'émancipation du Brésil, ouvrant la voie à son indépendance et à sa montée en puissance sur la scène internationale. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
L'histoire de la barbe de François Ier est aussi étonnante qu'inattendue. Si le roi de France est souvent représenté avec une barbe soigneusement taillée, c'est en réalité pour dissimuler une cicatrice au menton, vestige d'un incident marquant de sa vie.En 1521, François Ier est engagé dans un duel amical avec le duc de Bourbon. Lors d'un échange un peu trop vigoureux, l'épée de son adversaire lui entaille profondément le menton. La blessure, bien que non mortelle, laisse une cicatrice visible. Or, à l'époque, l'apparence physique des souverains est d'une grande importance : leur visage reflète leur puissance et leur prestige. François Ier, soucieux de son image, décide alors de porter une barbe pour masquer cette marque indésirable.Ce choix stylistique, dicté par la nécessité, va rapidement devenir une véritable mode. Avant cela, les rois de France étaient plutôt imberbes, suivant l'exemple de Louis XI ou de Charles VIII. Mais en laissant pousser sa barbe, François Ier impose une nouvelle tendance à la cour. Très vite, ses nobles et courtisans adoptent également cette mode, par mimétisme et pour montrer leur fidélité au souverain.Loin d'être un simple effet de mode, la barbe devient un symbole de virilité et d'autorité. Elle confère à François Ier une allure plus imposante, renforçant son image de monarque puissant et charismatique. De plus, elle le distingue nettement de son grand rival, Charles Quint, qui, lui, reste fidèle au visage glabre des Habsbourg.Cette nouvelle mode dépasse même les frontières de la France et influence d'autres monarques européens. Henri VIII d'Angleterre, par exemple, adopte lui aussi la barbe, contribuant ainsi à la diffusion de cette tendance à travers l'Europe du XVIe siècle.Ainsi, ce qui n'était au départ qu'une solution pour cacher une cicatrice est devenu un phénomène esthétique et politique marquant. Loin d'être un simple détail, la barbe de François Ier témoigne de la manière dont un simple événement personnel peut façonner durablement l'histoire de la mode et de la représentation du pouvoir. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Les objets volants non identifiés, ou OVNIs, sont souvent associés à l'ère moderne et aux observations rapportées depuis le XXe siècle. Pourtant, les témoignages d'apparitions mystérieuses dans le ciel existent depuis l'Antiquité. De nombreux textes anciens décrivent des phénomènes lumineux et étranges, souvent interprétés comme des signes divins ou des présages. Des témoignages antiques fascinants L'un des premiers récits détaillés remonte à l'Empire romain. Pline l'Ancien, célèbre naturaliste du Ier siècle, rapporte dans son ouvrage Histoire Naturelle l'observation de « boucliers ardents » et d'objets célestes qui semblaient se heurter dans le ciel. Ces descriptions rappellent les phénomènes modernes d'OVNIs, souvent décrits comme des objets lumineux en mouvement erratique. Julius Obsequens, un écrivain du IVe siècle, compile également des événements mystérieux survenus à Rome. Dans son livre Prodigiorum Liber, il mentionne un « globe de feu » qui descend du ciel, touche le sol, puis repart immédiatement. Si ces récits ne prouvent pas l'existence d'engins extraterrestres, ils montrent que des phénomènes aériens inexpliqués intriguent l'humanité depuis des millénaires. OVNIs et textes religieux La Bible contient aussi plusieurs passages pouvant être interprétés comme des observations d'OVNIs. L'un des plus célèbres est la vision d'Ézéchiel, un prophète de l'Ancien Testament. Il décrit un char céleste composé de roues lumineuses qui tournoient dans le ciel, accompagnées d'un grand bruit et d'une lumière intense. Certains ufologues voient dans ce passage une description possible d'un vaisseau inconnu. Dans d'autres récits religieux, des anges ou des divinités sont associés à des phénomènes lumineux dans le ciel, parfois comparés à des colonnes de feu ou des nuages brillants. Bien que ces descriptions aient été interprétées à travers un prisme spirituel, elles peuvent aussi être comparées aux observations modernes d'OVNIs. Des témoignages au Moyen Âge et à la Renaissance Les récits de phénomènes aériens mystérieux ne s'arrêtent pas à l'Antiquité. Le 14 avril 1561, les habitants de Nuremberg, en Allemagne, assistent à un spectacle fascinant. Selon une gravure et un témoignage du chroniqueur Hans Glaser, des formes étranges—croix, sphères, cylindres et objets en forme de disques—semblent s'affronter dans le ciel, émettant des lumières et des traînées de fumée. À l'époque, cela est interprété comme un présage apocalyptique. Aujourd'hui, certains chercheurs pensent qu'il s'agissait d'un phénomène optique rare, comme un parhélie (halo solaire), ou d'une pluie de météores. D'autres y voient un récit similaire aux observations modernes d'OVNIs. À la Renaissance, certaines œuvres d'art semblent également témoigner de la présence de phénomènes aériens inexpliqués. Dans la peinture La Madone avec Saint Jean Baptiste et Saint Joseph, attribuée à Domenico Ghirlandaio (ou à un peintre de son cercle), on distingue en arrière-plan un objet étrange flottant dans le ciel. Un homme et son chien semblent intrigués par cet élément. Certains historiens de l'art y voient une simple représentation symbolique de la présence divine, tandis que d'autres passionnés d'ufologie suggèrent qu'il s'agit d'une représentation artistique d'un phénomène aérien mystérieux. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Les objets volants non identifiés, ou OVNIs, sont souvent associés à l'ère moderne et aux observations rapportées depuis le XXe siècle. Pourtant, les témoignages d'apparitions mystérieuses dans le ciel existent depuis l'Antiquité. De nombreux textes anciens décrivent des phénomènes lumineux et étranges, souvent interprétés comme des signes divins ou des présages. Des témoignages antiques fascinants L'un des premiers récits détaillés remonte à l'Empire romain. Pline l'Ancien, célèbre naturaliste du Ier siècle, rapporte dans son ouvrage Histoire Naturelle l'observation de « boucliers ardents » et d'objets célestes qui semblaient se heurter dans le ciel. Ces descriptions rappellent les phénomènes modernes d'OVNIs, souvent décrits comme des objets lumineux en mouvement erratique. Julius Obsequens, un écrivain du IVe siècle, compile également des événements mystérieux survenus à Rome. Dans son livre Prodigiorum Liber, il mentionne un « globe de feu » qui descend du ciel, touche le sol, puis repart immédiatement. Si ces récits ne prouvent pas l'existence d'engins extraterrestres, ils montrent que des phénomènes aériens inexpliqués intriguent l'humanité depuis des millénaires. OVNIs et textes religieux La Bible contient aussi plusieurs passages pouvant être interprétés comme des observations d'OVNIs. L'un des plus célèbres est la vision d'Ézéchiel, un prophète de l'Ancien Testament. Il décrit un char céleste composé de roues lumineuses qui tournoient dans le ciel, accompagnées d'un grand bruit et d'une lumière intense. Certains ufologues voient dans ce passage une description possible d'un vaisseau inconnu. Dans d'autres récits religieux, des anges ou des divinités sont associés à des phénomènes lumineux dans le ciel, parfois comparés à des colonnes de feu ou des nuages brillants. Bien que ces descriptions aient été interprétées à travers un prisme spirituel, elles peuvent aussi être comparées aux observations modernes d'OVNIs. Des témoignages au Moyen Âge et à la Renaissance Les récits de phénomènes aériens mystérieux ne s'arrêtent pas à l'Antiquité. Le 14 avril 1561, les habitants de Nuremberg, en Allemagne, assistent à un spectacle fascinant. Selon une gravure et un témoignage du chroniqueur Hans Glaser, des formes étranges—croix, sphères, cylindres et objets en forme de disques—semblent s'affronter dans le ciel, émettant des lumières et des traînées de fumée. À l'époque, cela est interprété comme un présage apocalyptique. Aujourd'hui, certains chercheurs pensent qu'il s'agissait d'un phénomène optique rare, comme un parhélie (halo solaire), ou d'une pluie de météores. D'autres y voient un récit similaire aux observations modernes d'OVNIs. À la Renaissance, certaines œuvres d'art semblent également témoigner de la présence de phénomènes aériens inexpliqués. Dans la peinture La Madone avec Saint Jean Baptiste et Saint Joseph, attribuée à Domenico Ghirlandaio (ou à un peintre de son cercle), on distingue en arrière-plan un objet étrange flottant dans le ciel. Un homme et son chien semblent intrigués par cet élément. Certains historiens de l'art y voient une simple représentation symbolique de la présence divine, tandis que d'autres passionnés d'ufologie suggèrent qu'il s'agit d'une représentation artistique d'un phénomène aérien mystérieux. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Le Louvre, aujourd'hui l'un des musées les plus célèbres du monde, n'a pas toujours été un lieu d'exposition d'œuvres d'art. Avant de devenir un musée, il était un palais royal, symbole du pouvoir en France. Son évolution en institution culturelle est directement liée à la Révolution française.À l'origine, le Louvre était une forteresse construite au XIIᵉ siècle par le roi Philippe Auguste pour protéger Paris des invasions. Au fil des siècles, il a été transformé en palais royal, notamment par François Ier et Louis XIV. Ce dernier y installa une partie de la collection d'œuvres d'art de la Couronne, mais finit par quitter le Louvre pour s'installer à Versailles en 1682. Dès lors, le palais perdit son rôle de résidence royale et servit principalement d'espace administratif et artistique, accueillant des académies et des artistes.L'idée de transformer le Louvre en musée remonte à la fin du XVIIᵉ siècle. Certains intellectuels et artistes militaient pour que les collections royales soient accessibles au public, à l'image du Vatican ou du British Museum en Angleterre. Mais ce n'est qu'avec la Révolution française que cette idée devint une réalité.En 1789, la Révolution éclate et la monarchie est affaiblie. Les biens de l'Église et de la Couronne sont nationalisés. En 1792, le gouvernement révolutionnaire décide de mettre les œuvres d'art sous la protection de la Nation. Le 10 août 1793, le Muséum central des arts, ancêtre du musée du Louvre, ouvre ses portes dans l'ancienne résidence des rois de France. Il présente au public environ 500 œuvres issues des collections royales et ecclésiastiques confisquées.Le musée s'enrichit rapidement grâce aux saisies révolutionnaires, mais aussi aux campagnes napoléoniennes, qui rapportent des œuvres d'art de toute l'Europe. Après la chute de Napoléon, certaines œuvres sont restituées à leurs pays d'origine, mais le Louvre continue de s'agrandir, notamment sous le Second Empire et la Troisième République.Aujourd'hui, le Louvre est devenu le plus grand musée du monde, avec plus de 35 000 œuvres exposées, dont des chefs-d'œuvre comme la Mona Lisa et la Victoire de Samothrace. Ce qui fut autrefois un palais royal est ainsi devenu un symbole universel de la culture et du savoir. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
#118: IER's Kenny Stein testifies on energy taxes in Pennsylvania (2/4/25) Video of Kenny Stein's testimony: https://www.instituteforenergyresearch.org/the-grid/kenny-steins-testimony-on-energy-taxes-in-pennsylvania/
Nous sommes entre 1515 et 1547, sous le règne de François Ier, roi de France. La légende raconte que celui que l'on surnomme Grand-nez a pris goût à la promenade, déguisé en homme du peuple. Or voilà qu'il s'égare dans la forêt. La nuit commence à tomber… Heureusement, le roi aperçoit la loge d'un sabotier. Sans hésiter, il va quérir l'hospitalité. Le sabotier lui répond que, bien que n'étant pas riche, il le recevra de son mieux. - Vous ne mangerez pas votre pain tout sec, lui dit-il, ce matin j'ai tué un lièvre et vous en aurez votre part. - vous savez, lui rétorque le souverain, que la chasse est sévèrement défendue. - Oui, lui répond son hôte, mais je pense que vous ne me vendrez pas au roi Grand-nez… Quelques temps après François appelle le sabotier à la cour et, pour le récompenser de l'avoir reçu de son mieux, en fait l'un de ses premiers sujets. Un peu plus de quatre siècles plus tard, en 1894, dans son ouvrage intitulé « Légendes et curiosités des métiers, », paru chez Flammarion, Paul Sébillot, l'un des chercheurs le plus prolifiques de son temps, écrit : « Entre eux, les sabotiers se traitent de cousins. C'est au reste une population à part qui naît, vit et meurt dans les bois ; elle forme à sa manière une sorte d'aristocratie. Pour être vrai sabotier, il faut être fils de père et de mère, de grands-pères et de grands-mères sabotiers, autrement, on n'est que sabotier bâtard ». Au XIXe siècle, et jusque dans les années 1950, la saboterie constitue un des métiers les plus pratiqués dans le sud de l'Entre-Sambre-et-Meuse. On produit les chaussures de bois par centaines de milliers et on les exporte dans toute la Belgique ainsi que dans les pays limitrophes. Les sabots ont chaussé les pieds de nos aïeux, paysans, ouvriers et marins, pendant des siècles et ont inspiré poètes, conteurs, chanteurs et peintres tels Brueghel, Millet et Van Gogh… Ils témoignent de labeurs et de combats émancipateurs. Invité : Pierre Cattelain, archéologue, historien de l'art et conservateur de l'Écomusée du Viroin à Treignes. Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
Nous sommes le 29 janvier 1848. Alexis de Tocqueville, philosophe, voyageur, auteur d'un ouvrage majeur de la pensée politique intitulé « De la démocratie en Amérique », Tocqueville acteur des événements révolutionnaires qui secouent la France et l'Europe à cette époque, s'adresse aux députés. Dans son ouvrage intitulé « Souvenirs », il rapporte son discours. Il dit : « Est-ce que vous ne ressentez pas, par une sorte d'intuition instinctive qui ne peut pas s'analyser, mais qui est certaine, que le sol tremble de nouveau en Europe ? Est-ce que vous ne sentez pas… que dirais-je ?… un vent de révolution qui est dans l'air ? (…) ma conviction profonde et arrêtée, c'est que les mœurs publiques se dégradent ; c'est que la dégradation des mœurs publiques vous amènera dans un temps court, prochain peut-être, à des révolutions nouvelles. Est-ce donc que la vie des rois tient à des fils plus fermes et plus difficiles à briser que celle des autres hommes ? » En février 1848, en effet, une révolution chasse Louis-Philippe du trône de France. Dans la foulée, les autres monarchies européennes vacillent. C'est ce que l'on appelle le « printemps des peuples » qui s'étend de l'Allemagne à l'Italie, en passant par l'empire des Habsbourg. Au milieu de la tourmente, la Belgique, indépendante depuis seulement dix-huit ans, reste un pays en paix, avec une constitution libérale et quelques réformes sociales inédites. Le premier roi des Belges a-t-il jouer un rôle déterminant ? Léopold Ier a-t-il évité l'annexion à la France ? Comment la Belgique a-t-elle gardé le cap dans un océan de tempêtes ? Avec nous : François Roelants du Vivier, ancien député européen, député bruxellois et sénateur. « L'année du roi, 1848 – Léopold Ier, l'apogée d'un règne » ; éd.Mols Sujets traités : Léopold 1er, Alexis de Tocqueville, révolution, Louis-Philippe, trône, monarchie, Belgique, roi Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
Dans ce 2e épisode de notre série spéciale “Oh mon château !”, Stéphane Bern nous entraîne au château de Fontainebleau qui fut la résidence des rois de France, avant de devenir le palais préféré de Napoléon 1er, dont l'histoire demeure, aujourd'hui encore, intimement liée à lui. Quels souverains ont marqué le château de leur souvenir avant Napoléon Ier ? Quelle importance revêtait cet édifice dans la politique de l'Empereur ? Quel épisode clé de sa chute s'y est tenu ? Pour en parler, Stéphane Bern reçoit Muriel Barbier, conservatrice du patrimoine, directrice du patrimoine et des collections du Château de Fontainebleau, et Charles-Eloi Vial, historien, conservateur au département des Manuscrits de la BnF et auteur de "Les Lieux de Napoléon" (Perrin).
Dans ce 2e épisode de notre série spéciale “Oh mon château !”, Stéphane Bern nous entraîne au château de Fontainebleau qui fut la résidence des rois de France, avant de devenir le palais préféré de Napoléon 1er, dont l'histoire demeure, aujourd'hui encore, intimement liée à lui. Quels souverains ont marqué le château de leur souvenir avant Napoléon Ier ? Quelle importance revêtait cet édifice dans la politique de l'Empereur ? Quel épisode clé de sa chute s'y est tenu ? Pour en parler, Stéphane Bern reçoit Muriel Barbier, conservatrice du patrimoine, directrice du patrimoine et des collections du Château de Fontainebleau, et Charles-Eloi Vial, historien, conservateur au département des Manuscrits de la BnF et auteur de "Les Lieux de Napoléon" (Perrin).
Pour vous abonner et écouter l'émission en une fois, sans publicité : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Dans ce deuxième épisode - et avant-dernier de toute notre Histoire de l'Egypte - nous nous attardons surtout sur le règne de Ptolémée II Philadelphe (283-246 av. J.-C.), pendant lequel l'Égypte ptolémaïque atteint son apogée. Fils de Ptolémée Ier, il consolide l'héritage de son père en faisant d'Alexandrie un centre culturel et intellectuel majeur. Il développe la bibliothèque et le Musée d'Alexandrie, attirant des savants du monde hellénistique. Sur le plan économique, il renforce les infrastructures, modernise l'agriculture avec des systèmes d'irrigation, et développe le commerce international grâce à une flotte puissante et des routes commerciales jusqu'à l'Inde. Ptolémée II s'entoure d'une cour somptueuse et favorise le syncrétisme entre les traditions grecques et égyptiennes. Cependant, son règne est marqué par des guerres avec les royaumes voisins, notamment les Séleucides, pour le contrôle de la Méditerranée orientale. Il instaure également le culte dynastique, associant son image et celle de sa sœur-épouse Arsinoé II à la religion d'État.Ses successeurs amèneront l'Egypte au bord de la ruine.Ecriture : Laetitia Faure pour Timeline
Pour vous abonner et écouter l'émission en une fois, sans publicité : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Dans ce deuxième épisode - et avant-dernier de toute notre Histoire de l'Egypte - nous nous attardons surtout sur le règne de Ptolémée II Philadelphe (283-246 av. J.-C.), pendant lequel l'Égypte ptolémaïque atteint son apogée. Fils de Ptolémée Ier, il consolide l'héritage de son père en faisant d'Alexandrie un centre culturel et intellectuel majeur. Il développe la bibliothèque et le Musée d'Alexandrie, attirant des savants du monde hellénistique. Sur le plan économique, il renforce les infrastructures, modernise l'agriculture avec des systèmes d'irrigation, et développe le commerce international grâce à une flotte puissante et des routes commerciales jusqu'à l'Inde. Ptolémée II s'entoure d'une cour somptueuse et favorise le syncrétisme entre les traditions grecques et égyptiennes. Cependant, son règne est marqué par des guerres avec les royaumes voisins, notamment les Séleucides, pour le contrôle de la Méditerranée orientale. Il instaure également le culte dynastique, associant son image et celle de sa sœur-épouse Arsinoé II à la religion d'État.Ses successeurs amèneront l'Egypte au bord de la ruine.Ecriture : Laetitia Faure pour Timeline
Virginie Girod raconte Marie, figure universellement connue, dans un double épisode inédit d'Au cœur de l'Histoire. A la fin du Ier siècle avant notre ère, sous le règne d'Hérode le Grand, une jeune juive originaire de Galilée donne naissance à un homme qui change bientôt la face du monde. Mais que sait-on de Marie ? Au-delà des sources bibliques et apocryphes, de quels élément les chercheurs disposent-ils pour connaître la réalité historique de ce personnage ?
Virginie Girod raconte Marie, figure universellement connue, dans le deuxième épisode d'un double récit inédit d'Au cœur de l'Histoire. A la fin du Ier siècle avant notre ère, sous le règne d'Hérode le Grand, une jeune juive originaire de Galilée donne naissance à un homme qui change bientôt la face du monde. Mais que sait-on de Marie ? Au-delà des sources bibliques et apocryphes, de quels élément les chercheurs disposent-ils pour connaître la réalité historique de ce personnage ?
Pour vous abonner et écouter l'émission en une fois, sans publicité : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Dans ce deuxième épisode - et avant-dernier de toute notre Histoire de l'Egypte - nous nous attardons surtout sur le règne de Ptolémée II Philadelphe (283-246 av. J.-C.), pendant lequel l'Égypte ptolémaïque atteint son apogée. Fils de Ptolémée Ier, il consolide l'héritage de son père en faisant d'Alexandrie un centre culturel et intellectuel majeur. Il développe la bibliothèque et le Musée d'Alexandrie, attirant des savants du monde hellénistique. Sur le plan économique, il renforce les infrastructures, modernise l'agriculture avec des systèmes d'irrigation, et développe le commerce international grâce à une flotte puissante et des routes commerciales jusqu'à l'Inde. Ptolémée II s'entoure d'une cour somptueuse et favorise le syncrétisme entre les traditions grecques et égyptiennes. Cependant, son règne est marqué par des guerres avec les royaumes voisins, notamment les Séleucides, pour le contrôle de la Méditerranée orientale. Il instaure également le culte dynastique, associant son image et celle de sa sœur-épouse Arsinoé II à la religion d'État.Ses successeurs amèneront l'Egypte au bord de la ruine.Ecriture : Laetitia Faure pour Timeline
Pour vous abonner et écouter l'émission en une fois, sans publicité : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Dans ce deuxième épisode - et avant-dernier de toute notre Histoire de l'Egypte - nous nous attardons surtout sur le règne de Ptolémée II Philadelphe (283-246 av. J.-C.), pendant lequel l'Égypte ptolémaïque atteint son apogée. Fils de Ptolémée Ier, il consolide l'héritage de son père en faisant d'Alexandrie un centre culturel et intellectuel majeur. Il développe la bibliothèque et le Musée d'Alexandrie, attirant des savants du monde hellénistique. Sur le plan économique, il renforce les infrastructures, modernise l'agriculture avec des systèmes d'irrigation, et développe le commerce international grâce à une flotte puissante et des routes commerciales jusqu'à l'Inde. Ptolémée II s'entoure d'une cour somptueuse et favorise le syncrétisme entre les traditions grecques et égyptiennes. Cependant, son règne est marqué par des guerres avec les royaumes voisins, notamment les Séleucides, pour le contrôle de la Méditerranée orientale. Il instaure également le culte dynastique, associant son image et celle de sa sœur-épouse Arsinoé II à la religion d'État.Ses successeurs amèneront l'Egypte au bord de la ruine.Ecriture : Laetitia Faure pour Timeline
Pour vous abonner et écouter l'émission en une fois, sans publicité : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Dans ce deuxième épisode - et avant-dernier de toute notre Histoire de l'Egypte - nous nous attardons surtout sur le règne de Ptolémée II Philadelphe (283-246 av. J.-C.), pendant lequel l'Égypte ptolémaïque atteint son apogée. Fils de Ptolémée Ier, il consolide l'héritage de son père en faisant d'Alexandrie un centre culturel et intellectuel majeur. Il développe la bibliothèque et le Musée d'Alexandrie, attirant des savants du monde hellénistique. Sur le plan économique, il renforce les infrastructures, modernise l'agriculture avec des systèmes d'irrigation, et développe le commerce international grâce à une flotte puissante et des routes commerciales jusqu'à l'Inde. Ptolémée II s'entoure d'une cour somptueuse et favorise le syncrétisme entre les traditions grecques et égyptiennes. Cependant, son règne est marqué par des guerres avec les royaumes voisins, notamment les Séleucides, pour le contrôle de la Méditerranée orientale. Il instaure également le culte dynastique, associant son image et celle de sa sœur-épouse Arsinoé II à la religion d'État.Ses successeurs amèneront l'Egypte au bord de la ruine.Ecriture : Laetitia Faure pour Timeline
Pour vous abonner et écouter l'émission en une fois, sans publicité : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Dans ce deuxième épisode - et avant-dernier de toute notre Histoire de l'Egypte - nous nous attardons surtout sur le règne de Ptolémée II Philadelphe (283-246 av. J.-C.), pendant lequel l'Égypte ptolémaïque atteint son apogée. Fils de Ptolémée Ier, il consolide l'héritage de son père en faisant d'Alexandrie un centre culturel et intellectuel majeur. Il développe la bibliothèque et le Musée d'Alexandrie, attirant des savants du monde hellénistique. Sur le plan économique, il renforce les infrastructures, modernise l'agriculture avec des systèmes d'irrigation, et développe le commerce international grâce à une flotte puissante et des routes commerciales jusqu'à l'Inde. Ptolémée II s'entoure d'une cour somptueuse et favorise le syncrétisme entre les traditions grecques et égyptiennes. Cependant, son règne est marqué par des guerres avec les royaumes voisins, notamment les Séleucides, pour le contrôle de la Méditerranée orientale. Il instaure également le culte dynastique, associant son image et celle de sa sœur-épouse Arsinoé II à la religion d'État.Ses successeurs amèneront l'Egypte au bord de la ruine.Ecriture : Laetitia Faure pour Timeline
En 1543, François Ier envoie un ordre quelque peu radical au consul de Toulon : "Faites déguerpir tous les habitants, pour y loger mes amis les Ottomans."Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La Rome antique... Ses banquets fabuleux, ses hauts dignitaires affalés sur des lits de table, une grappe de raisin à la main, non loin d'amphores débordant de vin… Ces dîners ancrées dans nos imaginaires sont pourtant bien loin des habitudes alimentaires des Anciens. Il y a 2000 ans en effet, l'on cherchait déjà à adopter une alimentation saine, en conciliant plaisirs de la table et santé de fer. La célèbre maxime tirée de l'œuvre du satiriste Juvénal “Un esprit sain, dans un corps sain” ne date-t-elle pas du Ier siècle ?Pour savoir ce qui composait l'assiette des Romains et quelle importance les Anciens accordaient à leur alimentation, Virginie Girod reçoit l'historien Dimitri Tilloi-D'Ambrosi. Spécialiste d'histoire de l'alimentation dans la Rome antique, il est l'auteur du livre Le régime romain. Cuisine et santé dans la Rome antique aux éditions PUF. Au Cœur de l'Histoire est un podcast Europe 1.- Présentation : Virginie Girod- Production : Armelle Thiberge et Morgane Vianey- Réalisation : Clément Ibrahim- Composition du générique : Julien Tharaud- Promotion et coordination des partenariats : Marie Corpet- Visuel : Sidonie Mangin
Son nom est plus connu que sa personne : triste et digne destin que celui de la première épouse de François Ier, la reine Claude. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Virginie Girod raconte la lutte fratricide ayant marqué la dynastie impériale romaine des Sévères, dans un double épisode inédit d'Au cœur de l'Histoire.Le 26 décembre 211, à Rome, l'empereur Caracalla, annonce au Sénat la mort de son frère et co-empereur, Geta. Il aurait été contraint de faire assassiner son cadet qui, raconte-t-il, s'apprêtait à le trahir. Comment cette fratrie en est-elle arrivée là ? Pour le comprendre, il faut remonter le temps et s'intéresser à la prise de pouvoir de Septime Sévère, leur père, au crépuscule du Ier siècle. A la mort de l'empereur Commode, ce Libyen s'impose à la pourpre après un long épisode de guerre civile. Il prépare alors ses fils à prendre sa succession. Mais ces derniers se vouent une haine sans limites. Quelques mois à peine après la mort de Septime Sévère, ils vont mettre leur héritage en danger. Au Cœur de l'Histoire est un podcast Europe 1.Présentation et écriture : Virginie GirodProduction : Armelle Thiberge et Morgane VianeyRéalisation : Nicolas GaspardComposition du générique : Julien TharaudPromotion et coordination des partenariats : Marie CorpetVisuel : Sidonie Mangin Bibliographie et sources :Marcel Le Glay, Jean-Louis Voisin, Yann Le Bohec, Histoire romaine, PUF, 2019Virginie Girod, Au cœur de l'Histoire antique, Perrin/Europe1, 2024Histoire d'Auguste