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durée : 00:58:47 - Ils ont changé le monde - par : Alfred de Montesquiou - Certains l'ont surnommé « le prophète des temps modernes », d'autres un ogre, assoiffé de batailles et de vies humaines. - réalisation : Rafik Zénine - invités : Laurent Joffrin Journaliste, essayiste.; Thierry Lentz Directeur de la Fondation Napoléon à Paris.; Peter Hicks Historien spécialiste de Napoléon Ier, chargées des affaires internationales de la Fondation Napoléon.
durée : 00:04:47 - Jean Jouberton : chaque jeu vidéo est un musée - Jean Jouberton, 36 ans, a lancé un site consacré aux représentations d'œuvres d'art dans les jeux vidéo. Intitulé "Every Game A Museum", il catalogue les peintures et sculptures qu'il découvre au fur et à mesure de ses pérégrinations dans des univers vidéoludiques. Première diffusion le 18 octobre 2024 Jean Jouberton pianote sur son clavier avant de pointer l'ordinateur : "Voilà. J'ai référencé 326 œuvres de 193 artistes, conservées dans 132 musées. Elles ont été cataloguées dans 34 jeux". À l'écran, le nom s'affiche en grand : Every Game A Museum. Sur ce site, le chercheur indépendant a commencé à cataloguer toutes les représentations d'œuvres d'art, bien réelles, qu'il découvre au fur et à mesure de ses pérégrinations vidéoludiques. "Potentiellement, dans chaque jeu, on peut trouver des œuvres et donc chaque jeu est un musée virtuel", détaille-t-il. "Every Game Museum, c'est un projet de catalogage des œuvres d'art citées dans les jeux vidéo ; je veux dire par là peintures et sculptures essentiellement, mais aussi, mine de rien, dessins, gravures, et même des cartes..." Jean Jouberton prend donc des captures d'écran de chaque jeu qu'il parcourt : "Ça prend beaucoup de temps. Faire un jeu, c'est long, et parfois, je me force un peu quand ce sont des jeux qui ne sont pas le genre de jeux que j'affectionne... mais bon, c'est pour la science !", sourit-il. Un projet né à l'École du Louvre D'abord un compte Twitter, Every Game A Museum a fait sa mue, début septembre, pour devenir un site internet, grâce à l'aide d'un ami développeur de Jean Jouberton. Mais le projet est bien antérieur à ça. Il est né de sa passion de pour les jeux vidéo, présente depuis l'enfance, et de son intérêt pour l'histoire de l'art. "Mon histoire avec le jeu vidéo commence relativement jeune, de manière tout à fait classique : c'est mon père qui m'a initié aux jeux vidéo", se remémore-t-il. "J'ai découvert les jeux en le regardant jouer et moi, après, j'ai un peu pris mon indépendance... J'ai passé beaucoup de temps dans mon adolescence au cybercafé". En débutant son cursus d'histoire de l'art, sur les bancs de l'Ecole du Louvre, l'étudiant ignore encore qu'il va y trouver un lien avec les jeux vidéo : "La généalogie du projet, je dirais que ça remonte au moment où j'étais en cursus d'histoire de l'art durant mes études, et que je jouais à Tomb Raider Anniversary. Et dedans, j'ai découvert des citations d'œuvres... J'ai notamment été frappé de trouver une stèle égyptienne, la stèle de Séthi Ier, qui est conservée au musée du Louvre et que je connaissais pour l'avoir étudiée en cours et pour l'avoir vue au musée. Ça a vraiment été l'élément déclencheur, de me dire "tiens, il peut y avoir des œuvres d'art dans des jeux"." Avant même de lancer Every Game A Museum, Jean Jouberton a d'ailleurs été vidéaste, et a créé la chaîne Youtube, "Homo Ludens", dont le nom est une référence à l'ouvrage Homo ludens : Essai sur la fonction sociale du jeu, de l'historien Johan Huizinga. Sa première vidéo, parue en 2018, est ainsi intitulée "Peinture et jeux vidéo". La symbolique des œuvres d'art Il faut dire que, des Danseuses Ukrainiennes d'Edgar Degas dans le jeu Splinter Cell à Les Forces du Mal de Gustav Klimt dans The Last Express, les représentations de peintures ne manquent pas dans ces univers virtuels. Pour Jean Jouberton, le déclic s'est cependant fait lors d'une partie du jeu vidéo The Walking Dead : "c'est là que je me suis vraiment dit que la peinture peut avoir une signification, une portée à l'intérieur d'un univers de jeu dans un récit vidéoludique". Ce jeu narratif en plusieurs épisodes place le joueur dans un monde apocalyptique en pleine invasion zombie : "un petit groupe de survivants dont notre héros fait partie est hébergé par une famille qui ont l'air très accueillants au premier abord... et qui en fait se révèlent être cannibales", décrit Jean Jouberton. "Dans la pièce adjacente on découvre un de nos compagnons, qui s'est fait couper les jambe
durée : 00:04:47 - Jean Jouberton : chaque jeu vidéo est un musée - Jean Jouberton, 36 ans, a lancé un site consacré aux représentations d'œuvres d'art dans les jeux vidéo. Intitulé "Every Game A Museum", il catalogue les peintures et sculptures qu'il découvre au fur et à mesure de ses pérégrinations dans des univers vidéoludiques. Première diffusion le 18 octobre 2024 Jean Jouberton pianote sur son clavier avant de pointer l'ordinateur : "Voilà. J'ai référencé 326 œuvres de 193 artistes, conservées dans 132 musées. Elles ont été cataloguées dans 34 jeux". À l'écran, le nom s'affiche en grand : Every Game A Museum. Sur ce site, le chercheur indépendant a commencé à cataloguer toutes les représentations d'œuvres d'art, bien réelles, qu'il découvre au fur et à mesure de ses pérégrinations vidéoludiques. "Potentiellement, dans chaque jeu, on peut trouver des œuvres et donc chaque jeu est un musée virtuel", détaille-t-il. "Every Game Museum, c'est un projet de catalogage des œuvres d'art citées dans les jeux vidéo ; je veux dire par là peintures et sculptures essentiellement, mais aussi, mine de rien, dessins, gravures, et même des cartes..." Jean Jouberton prend donc des captures d'écran de chaque jeu qu'il parcourt : "Ça prend beaucoup de temps. Faire un jeu, c'est long, et parfois, je me force un peu quand ce sont des jeux qui ne sont pas le genre de jeux que j'affectionne... mais bon, c'est pour la science !", sourit-il. Un projet né à l'École du Louvre D'abord un compte Twitter, Every Game A Museum a fait sa mue, début septembre, pour devenir un site internet, grâce à l'aide d'un ami développeur de Jean Jouberton. Mais le projet est bien antérieur à ça. Il est né de sa passion de pour les jeux vidéo, présente depuis l'enfance, et de son intérêt pour l'histoire de l'art. "Mon histoire avec le jeu vidéo commence relativement jeune, de manière tout à fait classique : c'est mon père qui m'a initié aux jeux vidéo", se remémore-t-il. "J'ai découvert les jeux en le regardant jouer et moi, après, j'ai un peu pris mon indépendance... J'ai passé beaucoup de temps dans mon adolescence au cybercafé". En débutant son cursus d'histoire de l'art, sur les bancs de l'Ecole du Louvre, l'étudiant ignore encore qu'il va y trouver un lien avec les jeux vidéo : "La généalogie du projet, je dirais que ça remonte au moment où j'étais en cursus d'histoire de l'art durant mes études, et que je jouais à Tomb Raider Anniversary. Et dedans, j'ai découvert des citations d'œuvres... J'ai notamment été frappé de trouver une stèle égyptienne, la stèle de Séthi Ier, qui est conservée au musée du Louvre et que je connaissais pour l'avoir étudiée en cours et pour l'avoir vue au musée. Ça a vraiment été l'élément déclencheur, de me dire "tiens, il peut y avoir des œuvres d'art dans des jeux"." Avant même de lancer Every Game A Museum, Jean Jouberton a d'ailleurs été vidéaste, et a créé la chaîne Youtube, "Homo Ludens", dont le nom est une référence à l'ouvrage Homo ludens : Essai sur la fonction sociale du jeu, de l'historien Johan Huizinga. Sa première vidéo, parue en 2018, est ainsi intitulée "Peinture et jeux vidéo". La symbolique des œuvres d'art Il faut dire que, des Danseuses Ukrainiennes d'Edgar Degas dans le jeu Splinter Cell à Les Forces du Mal de Gustav Klimt dans The Last Express, les représentations de peintures ne manquent pas dans ces univers virtuels. Pour Jean Jouberton, le déclic s'est cependant fait lors d'une partie du jeu vidéo The Walking Dead : "c'est là que je me suis vraiment dit que la peinture peut avoir une signification, une portée à l'intérieur d'un univers de jeu dans un récit vidéoludique". Ce jeu narratif en plusieurs épisodes place le joueur dans un monde apocalyptique en pleine invasion zombie : "un petit groupe de survivants dont notre héros fait partie est hébergé par une famille qui ont l'air très accueillants au premier abord... et qui en fait se révèlent être cannibales", décrit Jean Jouberton. "Dans la pièce adjacente on découvre un de nos compagnons, qui s'est fait couper les jambe
It's In the News.. a look at the top headlines and stories in the diabetes community. This week's top stories: Sernova has a new partner and a new drug for cell transplants, at home glucose/T1D test research, study looks at best diet for people with type 2, Lifescan files for banktrupcy, T1D Barbie and more! Find out more about Moms' Night Out Read Hangy Woman's take on Barbie (and send me yours!) Please visit our Sponsors & Partners - they help make the show possible! Learn more about Gvoke Glucagon Gvoke HypoPen® (glucagon injection): Glucagon Injection For Very Low Blood Sugar (gvokeglucagon.com) Omnipod - Simplify Life Learn about Dexcom Check out VIVI Cap to protect your insulin from extreme temperatures The best way to keep up with Stacey and the show is by signing up for our weekly newsletter: Sign up for our newsletter here Here's where to find us: Facebook (Group) Facebook (Page) Instagram Twitter Check out Stacey's books! Learn more about everything at our home page www.diabetes-connections.com Reach out with questions or comments: info@diabetes-connections.com Episode transcription with links: In the News July 18 Hello and welcome to Diabetes Connections In the News! I'm Stacey Simms and every other Friday I bring you a short episode with the top diabetes stories and headlines happening now. XX Sernova is partnering with Eledon Pharmaceuticals to test a new immunosuppressive drug in its ongoing clinical trial for people with type 1 diabetes (T1D). The drug called tegoprubart is designed to protect transplanted islet cells without harsh side effects. The current treatment is known for its potential toxicity, especially towards insulin-producing beta cells, and its adverse side effects, making it less than ideal for islet cell therapy in T1D. Tegoprubart has already shown promise in earlier trials, helping T1D patients achieve insulin independence with better graft survival and fewer side effects. This next phase of Sernova's trial (Cohort C) will combine Eledon's drug with Sernova's Cell Pouch, an implantable device that houses insulin-producing cells. In earlier phases, six participants stopped needing insulin completely, with results lasting years. Sernova also plans to use stem cell-derived islet-like clusters from partner Evotec to create a next-gen therapy. If all goes well, a new clinical program could launch in 2026. https://www.streetwisereports.com/article/2025/07/15/biotech-partnership-to-revolutionize-diabetes-treatment.html XX Researchers at Yale School of Medicine, funded by Breakthrough T1D, are evaluating GTT@home, a new finger-prick, at-home glucose tolerance test, to monitor early-stage type 1 diabetes (T1D) in individuals with T1D autoantibodies. Developed by Digostics (Dih-jos-tiks), the test offers a simpler, less invasive alternative to clinic-based oral glucose tolerance tests. The study aims to assess its accuracy, usability, and acceptance, potentially paving the way for wider use in early T1D detection and monitoring. The results of the trial will inform future regulatory submissions for GTT@home use in T1D, which already has regulatory approval in the UK, Europe and other regions for other types of diabetes. https://finance.yahoo.com/news/digostics-announces-university-trial-home-164300142.html XX LifeScan announced that it entered into a restructuring support agreement and, to implement it, filed for chapter 11 bankruptcy. As the process moves forward, LifeScan plans to operate in the ordinary course of business. It expects to emerge from chapter 11 by the end of the year. LifeScan develops the OneTouch Bluetooth-connected blood glucose meter and mobile diabetes app that provide simplicity, accuracy and trust in diabetes management. XX New study looks at quality of life and cost of AID systems. This was done in Finland which has the highest prevalence of T1D in the world. The results show automated insulin delivery pumps significantly improved quality of life and reduced diabetes-related complications. The quality-adjusted life expectancy increased by an average of 2.3 years for individuals using an automated insulin delivery pump. Although the overall costs of automated insulin delivery pump treatment were higher than those of conventional insulin pump treatment, its cost-effectiveness ratio was well below the generally accepted willingness-to-pay threshold of 50,000 euros in Finland. This is the first cost-effectiveness study of automated insulin delivery pumps conducted in Finland. https://medicalxpress.com/news/2025-07-automated-insulin-delivery-effective-treatment.html XX Blue Circle Health expands into the 11th state: Louisiana! This is Free, comprehensive virtual clinical care, education, and support program for adults with type 1 diabetes In addition to serving adults with type 1 diabetes in Louisiana, our program is also active in Alabama, Mississippi, Florida, Missouri, Iowa, Ohio, Vermont, New Hampshire, Maine, and Delaware. The program serves as an extension of participants' existing care teams and ensures continuity of care The organization hopes to inform new care models and policies that remove barriers to healthcare People with T1D over 18 years of age who speak English or Spanish are eligible to enroll. To sign up directly, refer a person living with T1D, or learn how you can partner with Blue Circle Health, visit www.bluecirclehealth.org. XX A new study comparing three popular diets—intermittent fasting, time-restricted eating, and continuous calorie cutting—found that all can help people with type 2 diabetes lose weight and lower blood sugar. But one diet stood out: the 5:2 intermittent fasting plan, where participants eat normally five days a week and restrict calories on two. It led to better results in fasting blood sugar, insulin response, and sticking with the plan. Although researchers identified improved HbA1c levels, and adverse events were similar across the three groups, the IER group showed greater advantages in reducing fasting blood glucose, improving insulin sensitivity, lowering triglycerides, and strengthening adherence to the dietary interventions. https://www.sciencedaily.com/releases/2025/07/250715043351.htm XX MIT students have developed an implantable device.. for use during emergency low blood sugars. The new implant carries a reservoir of glucagon that can be stored under the skin and deployed during an emergency — with no injections needed. The researchers showed that this device could also be used to deliver emergency doses of epinephrine, a drug that is used to treat heart attacks and can also prevent severe allergic reactions, including anaphylactic shock. The device contains a powdered form of glucagon and can be remotely triggered—either manually or automatically by a glucose monitor—to release the hormone when blood sugar drops too low. No word on next steps to make this commercially available. https://news.mit.edu/2025/implantable-device-could-save-diabetes-patients-low-blood-sugar-0709 XX We've covered T1D1 before, this is an insulin calculator app – there's more to it than that.. it was created by 13 year old Drew who lives with type 1, but removed from the apps stores a few years ago, along with other non fda cleared apps. Drew who is now 18, Tells us they just submitted to the FDA and are optimistic about being reinstated. https://www.instagram.com/t1d1app/ XX XX 1'm Brodie Sargent, a Type 1 diabetic raised in Mudgee, NSW, and currently living in Wollongong. Starting August 26th, I'll be running a marathon every day for 26 days, and on the 27th day, I'll be finishing with Western Sydney's Half Ironman. The current world record for the most consecutive marathons run by a Type 1 diabetic male is 25 and I'm aiming to break it. I'm doing this to inspire others, diabetic or not, to challenge themselves and not let anything hold them back. Any donation is greatly appreciated and supports a cause I truly believe in. The Type One Foundation focuses on support, connection, awareness, and advocacy for diabetics across Australia. They run online and in-person events for diabetics and their families, and also offer care packages to those newly diagnosed. I was diagnosed at 15, and it was a tough time for me and my family, we had no history or understanding of diabetes. I was already a shy and awkward kid, and I struggled to speak up about how much it affected me. I started running with my roommate just to kill time but it quickly took over my life. Feeling stuck and unsure where I was heading, I decided to make a change and try to help anyone out there feeling the same way. You can follow my journey on Instagram: @typerun_ XX Launched during children's congress To further promote inclusivity and tackle the stigma associated with the condition, Mattel partnered with Breakthrough T1D, a global organization dedicated to type 1 diabetes research and advocacy, to launch its first Barbie with type 1 diabetes. This partnership marks a major milestone in Mattel's commitment to greater representation, and highlights Breakthrough T1D's pivotal role in ensuring visibility for the type 1 diabetes community. The doll is part of the Barbie Fashionistas line and includes key diabetes management tools modeled accurately with the help of Breakthrough T1D. The type 1 diabetes Barbie wears a continuous glucose monitor (CGM) secured with Barbie-pink, heart-shaped tape, and has an insulin pump at her waist. She also comes with a CGM-tracking smartphone, a pastel blue purse, and a blue polka dot outfit – blue being the color that symbolizes global diabetes awareness. As part of a broader initiative to elevate voices in the type 1 diabetes community, Barbie also partnered with two global role models living with type 1 diabetes: Peloton Instructor Robin Arzón and model Lila Moss. Robin Arzon Barbie Image Credit: Breakthrough T1D and Mattel Mattel's one-of-a-kind doll based on Arzón features her signature yellow outfit and a crown-shaped CGM on the back of her arm. In interviews, Moss has highlighted the positive impact that the type 1 diabetes Barbie's visibility has already had, saying she receives daily messages from young people who feel less insecure about wearing their diabetes devices thanks to her public advocacy. When Linxi Mytkolli, director of patient engagement at Diabetes Action Canada and person with diabetes, heard about the new “Dia Barbie,” she said she teared up. “I grew up loving dolls, but I never saw one that reflected the reality I now live with – until Dia Barbie. Seeing a doll with a CGM, insulin pump, and even heart-shaped medical tape felt surreal. It's playful, powerful, and personal all at once,” said Mytkolli. Mytkolli also emphasized that representation and visibility in toys and media can help chip away at shame. “I've heard from so many people, especially those diagnosed in childhood, who delayed using tech like pumps or CGM because it felt like a punishment. Visibility in toys helps normalize these devices and makes kids feel like they're not alone or ‘othered.' It turns stigma into something softer – something that can be talked about, shared, even celebrated,” Mytkolli said. And its impact goes beyond people living with diabetes. Laura Pavlakovich, who is the founder and CEO of You're Just My Type and has lived with type 1 diabetes since age five, shared that this representation is equally crucial for those without diabetes, as it demystifies the condition and challenges stereotypes. “This kind of representation builds a vital bridge of empathy, illustrating that living with diabetes is simply a part of life for millions. It's an essential tool for educating the public and cultivating a more inclusive and supportive society for everyone,” said Pavlakovich. Pavlakovich shared her personal experience of growing up with diabetes and how this will provide validation for those with the condition who often feel unseen. “I vividly remember growing up with a 'my twin' doll, custom-made to look just like me, yet she always lacked the crucial part of my daily reality: an insulin pump. To finally see a Barbie, an iconic figure in childhood play, accurately depict someone living with type 1 diabetes, complete with her devices and pump, is truly a monumental moment,” said Pavlakovich. To celebrate the launch, Barbie donated dolls to the Breakthrough T1D 2025 Children's Congress in Washington, D.C., where 170 young advocates for type 1 diabetes from around the world met with lawmakers to raise awareness. Priced at $10.99, the doll is now available on Mattel Shop and at retailers nationwide. While this is a huge win for enhancing the representation of children living with diabetes, it doesn't end there. There is still significant work to be done to improve access to diabetes medication and technology. “It is not lost on me that Barbie has more access to diabetes tech than many, if not most, people with diabetes globally,” said Mytkolli. “Representation and access – we deserve both.” By bringing a common but misunderstood condition into children's toy boxes, the new type 1 diabetes Barbie is more than a toy. It's a symbol of pride, visibility, and the message that children with diabetes can live full, empowered lives. As Mytkolli said, “Whether a child is living with diabetes, or loves someone who is, this doll quietly says, ‘You're not broken. You belong.'”
Ja hoor, daar was de favoriete Ier van de Kopgroep weer: Ben Healy! Hij is terug in het geel. Joost, Mart, Maarten & Maxim bespreken de etappe op de Franse feestdag, die helaas minder vuurwerk opleverde dan gehoopt. En als dan ook nog eens Simon Yates op laffe wijze wint... Of was er tóch genoeg te beleven voor de koerskijker, zoals Maarten zegt? Tijdens de Tour de France zijn we er dagelijks in je favoriete podcast app. Als eerste op de hoogte zijn van een nieuwe aflevering? Volg De Kopgroep op Instagram, @de.kopgroep.
Met een Ier in het geel gaan we de eerste rustdag in, en daarmee zijn we alweer bijna op de helft van de Tour. Simon Yates wint haast per ongeluk een etappe, en wat was Arensman dicht bij de overwinning. En Mathieu van der Poel bewijst maar weer eens: met hem is het nóóit saai. Tijd om op adem te komen, die rustdag hebben we wel verdiend. Jullie kunnen ons weer LIVE zien deze Tour de France: 18 juli - Tour de Dance Reprise in Tivoli, voorafgaand doen we een live podcast (vanaf ongeveer 21:30 uur) daarna feessie, voor gratis! Wees op tijd want vol=vol! 20 juli - Kom zondag samen de etappe kijken met daarna een live podcast bij PONG te Amsterdam West! Klik op deze link en koop je kaartje!
Merel de Vilder Robier (1970) is schrijfster en actrice. Ze is de dochter van schrijver en kunstenaar Pjeroo Roobjee. Ze werkte voor theater en voor televisie, ze speelde ondermeer de rol van Bianca Bomans in Thuis. Ze heeft drie boekjes gepubliceerd, haar debuut was Le petit théâtre de Fanny Ruubier of 'Ier moet iets schoons gebeuren dat mislukt, uit 2017. Het zijn korte, mini-theaterteksten, geschreven in een soort volkse taal, aanleunend bij het Gents.Ik zocht haar thuis op, ze woont in een loft in Ronse in Oost-Vlaanderen. Ik zag meteen een enorm schilderij dat een volledige muur innam. Ze vertelt straks waarom dat werk daar staat. Het gaat over haar tijd als theaterstudente en als actrice bij Thuis, haar zoektocht op artistiek vlak en op boekenvlak, en wat Virginia Woolf daarmee te maken heeft. Het gaat over haar vader Pjeroo Roobjee en hoe ze als kind zijn vrienden ontmoette en in zijn bibliotheek kwam.Alle boeken en auteurs uit deze aflevering vind je in de shownotes op wimoosterlinck.beWil je de nieuwsbrief in je mailbox? wimoosterlinck.substack.comWil je de podcast steunen? Bestel je boeken dan steeds via de link op wimoosterlinck.be! Merci.De drie boeken van Merel de Vilder Robier zijn:1. Virginia Woolf: Mrs. Dalloway2. Nina Berberova: De begeleidster3. Carson McCullers: De Ballade van het trieste caféLuister ook naar de drie boeken van: Sandro Veronesi, Clara Cleymans, Ish Ait Hamou, Tom Lenaerts, Michèle Cuvelier, Stefan Hertmans, Imke Courtois, Roos Van Acker, Wim Opbrouck, Evi Hanssen, Stijn Meuris, Lara Chedraoui, Johan Braeckman, Sophie Dutordoir, Freek de Jonge en vele anderen.
#14.5 Currents: An Energy Updates — Discussing the Big Beautiful Bill with IER's Kenny Stein Links: Kenny Stein: https://www.instituteforenergyresearch.org/about/kstein/ Summary of Key Provisions in The One Big Beautiful Bill Act: https://www.instituteforenergyresearch.org/regulation/summary-of-key-provisions-in-the-one-big-beautiful-bill-act/ Don't Fall for the Phase-Out Fallacy: https://www.instituteforenergyresearch.org/renewable/dont-fall-for-the-phase-out-fallacy/
Tsugi Radio, la webradio du magazine Tsugi, poursuit sa tournée de festivals. Escale aujourd'hui dans l'Isère, au bord du Rhône, dans ce qui est sans doute un des plus beaux sites dans lequel nous posons nos micros cet été. Je vous parle depuis la scène du Théâtre Antique de Vienne, édifié au Ier siècle, où se tient tous les étés depuis 1981 cet événement devenu incontournable qui accueilli Miles Davis, Claude Nougaro, Ella Fitzgerald, Keith Jarret, George Benson, ou Ray Charles. C'est aussi, pour l'anecdote, un des tous premiers festivals que j'ai fréquentés comme beaucoup de jeunes gens qui ont grandi dans la région. Ce que Tsugi a de commun avec Jazz à Vienne, c'est cette curiosité, cette ouverture d'esprit, et cette envie de ne jamais s'enfermer dans une case. Depuis le 26 juin ont foulé cette scène : Dabeull, Avishaï Cohen, Michael Kiwanuka, Kassav'. Mais Jazz à Vienne, c'est une programmation gratuite un peu partout dans la ville, comme ce soir le projet du Bruxellois, Kuna Maze, qui fera vibrer le club à côté du jardin de Cybèle dans le cadre de la carte blanche à LGTDZ, le média d'Alpha Diallo, ou une soirée hip hop avec 2 rappeurs aux idées larges, l'un de Wahsington, GoldLink, et l'autre de Dublin, Rejjie Snow. Mais on commence cette émission, avec le directeur artistique de Jazz à Vienne, Guillaume Anger.
Ce lundi, Stéphane Bern revient sur le sacre de Napoléon Ier, le 2 décembre 1804, dans la cathédrale Notre-Dame de Paris. Il reçoit David Chanteranne, historien, administrateur de l'Institut Napoléon, rédacteur en chef du magazine Napoléon Ier et de la Revue du Souvenir Napoléonien . Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce lundi, Stéphane Bern revient sur le sacre de Napoléon Ier, le 2 décembre 1804, dans la cathédrale Notre-Dame de Paris. Il reçoit David Chanteranne, historien, administrateur de l'Institut Napoléon, rédacteur en chef du magazine Napoléon Ier et de la Revue du Souvenir Napoléonien . Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce lundi, Stéphane Bern revient sur le sacre de Napoléon Ier, le 2 décembre 1804, dans la cathédrale Notre-Dame de Paris. Il reçoit David Chanteranne, historien, administrateur de l'Institut Napoléon, rédacteur en chef du magazine Napoléon Ier et de la Revue du Souvenir Napoléonien . Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce lundi, Stéphane Bern revient sur le sacre de Napoléon Ier, le 2 décembre 1804, dans la cathédrale Notre-Dame de Paris. Il reçoit David Chanteranne, historien, administrateur de l'Institut Napoléon, rédacteur en chef du magazine Napoléon Ier et de la Revue du Souvenir Napoléonien . Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
RFI vous propose de découvrir dix objets de pouvoir qui ont marqué l'histoire du continent africain. Des objets employés par les acteurs politiques pour asseoir leur légitimité et leur autorité. En Centrafrique, le 4 décembre 1977, le président Jean-Bedel Bokassa se couronnait empereur dans le Palais du Couronnement, lieu spécialement construit pour la circonstance. Lors de ce couronnement, un objet précieux a capté tous les regards : le trône. Un objet massif d'environ deux tonnes, fabriqué par le Français Olivier Brice. Il a coûté près de 2,5 millions de dollars, soit 1,5 milliard de francs CFA. Ce trône, lubie du président-empereur, représentait un objet de pouvoir, destiné à frapper les esprits, en Centrafrique et au-delà des frontières. Un groupe de jeunes jouent au basketball dans le Palais des Sports de Bangui, autrefois appelé le Palais du Couronnement. Ce gigantesque gymnase retrace l'histoire de l'empire centrafricain. On y voit non seulement le parquet, les gradins, la salle de presse, mais aussi cet impressionnant écran situé sur l'aile gauche. C'est ici que le trône de l'empereur Jean-Bedel Bokassa a été installé le 4 décembre 1977. L'historien Maurice Guimendego se souvient de ce qu'il a vécu à l'époque : « La forme ressemble à un aigle gigantesque qui déploie ses ailes. L'aigle que l'on voyait représentait un aigle royal, symbole de la force, symbole de la majesté. » L'image de ce trône imposant a marqué à l'époque les 5 000 invités venus des quatre coins du globe : « Dites-vous que vous avez en face un aigle qui déploie ses ailes sur quatre mètres d'envergure et trois mètres de hauteur et puis à l'intérieur, on a creusé une espèce de voûte, une place en structure métallique. Le trône dégage quelque chose d'impressionnant, capable de loger l'empereur dans toute sa majesté. » À lire ou à écouter aussiIl y a 40 ans, la chute de l'empereur Bokassa « Incroyable Bokassa » Direction le sous-sol du Palais des Sports. Après le couronnement, certains objets précieux dont le trône ont été entreposés ici. Les yeux brillants d'émotions, Gabriel, 75 ans, l'un des cuisiniers de l'empereur Bokassa, revoit la vidéo et les photos du trône sur sa tablette : « Ah Bokossa sur son trône, mais quelle splendeur ! J'aime cette image parce qu'on le voit debout pour dire son serment. L'image est très intéressante, car elle nous laisse découvrir l'intérieur du trône en velours rouge, dans le ventre de l'aigle. Incroyable Bokassa ! » Affalé dans un fauteuil en rotin sous sa véranda, Patrice Zemoniako joue de la guitare, en interprétant un morceau des années 1970. Âgé de 80 ans, cet ancien journaliste et maire de Bangui explique que Jean-Bedel Bokassa voulait imiter le trône et le sacre de Napoléon Ier, car il était fasciné par l'empereur français : « Il a conçu son trône et la cérémonie de cette manière pour être le Napoléon de l'Afrique centrale et celui de la République Centrafricaine. C'est comme ça que Bokassa a créé l'armée centrafricaine pour combattre ceux qui s'opposaient à son pays. La philosophie du développement économique, politique, social et culturel de Bokassa doit être un modèle pour nous aujourd'hui. » Après le renversement de Bokassa, en septembre 1979, le sous-sol du palais du couronnement a été vandalisé. Aujourd'hui, il ne reste du trône que l'armature qui est abandonnée sur un terrain vague.
Daily Dad Jokes (30 Jun 2025) The official Daily Dad Jokes Podcast electronic button now available on Amazon. The perfect gift for dad! Click here here to view! Email Newsletter: Looking for more dad joke humor to share? Then subscribe to our new weekly email newsletter. It's our weekly round-up of the best dad jokes, memes, and humor for you to enjoy. Spread the laughs, and groans, and sign up today! Click here to subscribe! Listen to the Daily Dad Jokes podcast here: https://dailydadjokespodcast.com/ or search "Daily Dad Jokes" in your podcast app. Interested in Business and Finance news? Then listen to our sister show: The Daily Business and Finance Show. Check out the website here or search "Daily Business and Finance Show" in your podcast app. Jokes sourced and curated from reddit.com/r/dadjokes. Joke credits: war_moose_sheen, ggfchl, Healthy_Ladder_6198, Leboy2Point0, CoolEqual, Sir_Pluses, Aromatic_Piglet_5458, Aromatic_Piglet_5458, Ier___, ScruttyMctutty, jeffvaderr, AesSedai87, Slowloris81, , ilikesidehugs, Left-Distribution-13, dauerad, DokkanTreaCru, Bont_lover03 Subscribe to this podcast via: iHeartMedia Spotify iTunes Google Podcasts YouTube Channel Social media: Instagram Facebook Twitter TikTok Discord Interested in advertising or sponsoring our show? Contact us at mediasales@klassicstudios.com Produced by Klassic Studios using AutoGen Podcast technology (http://klassicstudios.com/autogen-podcasts/) Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
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Dominique CharpinCollège de FranceAnnée 2024-2025Civilisation mésopotamienneColloque - Jules Oppert (1825-1905) et l'assyriologie de son temps - Lionel Marti : Oppert et la découverte de l'AssyrieLionel MartiCNRS, UMR 7192RésuméLa participation de Jules Oppert, lors de la séance du 25 mai 1857 de la Royal Asiatic society, au déchiffrement du prisme de Tiglath-phalazar Ier, un document assyrien, en fait un des déchiffreurs officiels de l'assyrien. Comme tous les pionniers de l'assyriologie, il s'intéressa à un grand nombre de corpus, au gré des découvertes du moment, parmi lesquels la documentation purement assyrienne tient une part non négligeable. Nous nous proposons donc d'étudier les travaux de Jules Oppert sur le monde assyrien pour essayer de dégager ses problématiques de recherches et leurs évolutions, et ainsi de se faire une idée de sa vision et de sa compréhension de l'Assyrie.
C'est en France que le vieux Léonard de Vinci choisit de finir sa vie, choyé par François Ier.Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:29:10 - L'Entretien archéologique - par : Antoine Beauchamp - Des fouilles préventives menées par l'INRAP près d'Auxerre ont révélé la présence d'une villa gallo-romaine très vaste habitée entre le Ier et le IVe siècles. On plonge dans ce chantier et ce passé où résonnent les eaux d'un bassin, d'une fontaine et de thermes. - réalisation : Olivier Bétard - invités : Alexandre Burgevin Archéologue, chargé d'opération et de recherche INRAP au sein de l'Unité mixte de recherche Chrono environnement de l'Université Marie et Louis Pasteur de Besançon
Le mot « français » vient du nom d'un peuple germanique : les Francs.Au Ve siècle, après la chute de l'Empire romain, les Francs — un peuple germanique — s'installent en Gaule et y fondent un royaume sous la dynastie mérovingienne, puis carolingienne.Le nom Francie désigne au départ le territoire contrôlé par les Francs, centré autour de l'actuelle Île-de-France.Progressivement, ce nom va s'étendre à l'ensemble du royaume, puis donner son nom au pays : France.2. Langue d'oïl, langue romane… et françaisAu Moyen Âge, plusieurs langues ou dialectes étaient parlés dans le territoire de la future France :Langue d'oïl au nord (issue du latin vulgaire, comme l'espagnol ou l'italien)Langue d'oc au sudEt des langues celtiques ou germaniques dans certaines régionsParmi ces idiomes, le dialecte de la région parisienne (Île-de-France), influencé par les Francs, va peu à peu s'imposer, notamment parce que c'est celui de la cour royale et de l'administration.3. Un nom politique et culturel : le "français"À partir du XIIIe siècle, ce dialecte dominant est appelé « français », car c'est celui de la France politique, du royaume de France, et des rois de France. Il devient la langue prestigieuse, celle des lettrés, des lois, et des échanges officiels.4. Une reconnaissance officielle1539 : L'ordonnance de Villers-Cotterêts, signée par François Ier, impose que les actes juridiques soient rédigés en français et non plus en latin. Cela contribue à renforcer l'identité linguistique nationale.Ce « français » est donc le nom donné à la langue du royaume de France, devenue langue officielle et identitaire.Notre langue s'appelle le français parce qu'elle descend d'un dialecte roman parlé dans la région contrôlée par les Francs, et qu'elle est devenue la langue de la France royale, avant de s'imposer à tout le territoire. Ce nom est donc un héritage historique et politique, plus qu'un simple reflet linguistique.Mais alors question subsidaire, pourquoi le peuple germanique des Francs s'appelaient ainsi ? Si les Romains les ont appelé les Francus, c'est parce que ce terme est dérivé de l'ancien germanique frank, qui signifie « libre ». Pourquoi libre ?Plusieurs hypothèses coexistent :Hypothèse sociale : les Francs auraient été ainsi nommés pour insister sur leur statut de « peuples libres », en opposition aux esclaves ou aux peuples soumis à Rome.Hypothèse politique : il pourrait aussi s'agir d'un nom d'alliance désignant une coalition de tribus germaniques libres.Hypothèse militaire ou symbolique : certains linguistes ont proposé que le mot soit lié au franca, une sorte de javelot (mais cette hypothèse est minoritaire). Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
L'invité et l'invitée :· Robinson Baudry MCF à l'université Paris-Nanterre· Caroline Husquin, MCF à l'université de Lille Le livre : Les Chauves. Histoire d'un préjugé dans la Rome antique, Paris, Armand Colin, 2025 La discussion :· Un sujet relativement neuf dans l'historiographie (1:00)· Les conceptions antiques de la chevelure et de la pilosité, et le vocabulaire latin qui y est associé (4:00)· Venus calva, et l'enjeu de la calvitie féminine (11:00)· Âge, calvitie, et « beauté convenable » du citoyen (16:00)· Les cheveux rasés des adeptes d'Isis (19:45)· Le stéréotype du chauve ridicule au théâtre (25:00)· Calvitie et compétition politique (27:15)· Calvitie et christianisme (35:00) Le conseil de lecture : Lydie Bodiou et Véronique Mehl (dir.), Dictionnaire du corps dans l'Antiquité, Rennes, PUR, 2019.Image de couverture : buste, Ier siècle CE, Metropolitan Museum 12.233Un podcast créé, animé et produit par André Loez et distribué par Binge Audio. Contact pub : project@binge.audio".Un podcast créé, animé et produit par André Loez et distribué par Binge Audio. Contact pub : project@binge.audioDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Fille de l'impératrice Joséphine, mère de Napoléon III, belle-fille et belle-sœur de Napoléon Ier, la reine Hortense a vécu au cœur de l'une des périodes les plus intenses de notre histoire : l'incroyable épopée napoléonienne. Clé de l'ascension spectaculaire de Napoléon, elle fut également l'objet des manigances de sa mère. Pourtant, Hortense était une jeune femme en quête d'amour romantique et d'une vie élégante, loin des tumultes de la politique et des luttes de pouvoir. Elle sacrifie sa vie en épousant Louis Bonaparte, l'un des frères de Napoléon, qui se révèle être un véritable psychopathe, transformant sa vie en enfer. À cause de la chute de l'Empire, elle devient pendant vingt ans une princesse fugitive et errante."Secrets d'Histoire" est un podcast d'Initial Studio, adapté de l'émission de télévision éponyme produite par la Société Européenne de Production ©2024 SEP / France Télévisions. Cet épisode a été écrit et réalisé par Dominique Leeb. Un podcast présenté par Stéphane Bern. Avec la voix d'Isabelle Benhadj.Vous pouvez retrouver Secrets d'Histoire sur France 3 ou en replay sur France.tv, et suivre l'émission sur Instagram et Facebook.Crédits du podcastProduction exécutive du podcast : Initial StudioProduction éditoriale : Sarah Koskievic et Mandy Lebourg Montage : Camille Legras Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
Nous sommes dans les années 327-325 avant notre ère. Alexandre le Grand, roi de Macédoine, lance une campagne dans le sous-continent indien). Cette campagne a pour objectif principal de soumettre le Pendjab du roi Poros. Alexandre conquiert ensuite la vallée de l'Indus pour finir par atteindre les rives de l'océan Indien et entamer le retour vers Babylone où il meurt en juin 323. Les cités de Begram et de Taxila témoignent de cette présence grecque dans le monde indien. La première, aujourd'hui en Afghanistan, est l'héritière de l'Alexandrie du Caucase fondée par celui qui fut l'élève d'Aristote et est devenu l'un des plus grands conquérants de l'histoire en prenant possession de l'immense Empire perse en s'avançant jusqu'aux rives de l'Indus. La seconde, au Pakistan actuel, la plus ancienne fut créée avant l'arrivée des Perses. Alexandre y a séjourné et l'un de ses successeurs dans la région, le roi Démétrios Ier, y a fait construire un grand quartier hellénistique. Partons aux confins de trois mondes : la Grèce, l'Inde et la Chine Avec nous : Sébastien Polet, historien-orientaliste de l'asbl Roma. Sujets traités : Alexandre le Grand, Macédoine, Pendjab, Indus, Begram, Taxila, Afghanistan, Aristote, Empire, Grèce, Antique, Pakistan, Démétrios Inde, Chine Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Stéphane Bern raconte le destin d'un Bonaparte durant le Second Empire : Louis-Napoléon Bonaparte devenu Napoléon III, le dernier souverain, l'Empereur inattendu qui a modernisé la France à marche forcée, avant de connaître une chute vertigineuse tout aussi rapide… Quel était le dessein de Napoléon III pour la France ? Dans quelle mesure a-t-il marché dans les pas de son oncle, Napoléon Ier ? Pourquoi cette figure a-t-elle longtemps souffert d'une légende noire ? Pour en parler, Stéphane Bern reçoit Eric Anceau, historien et auteur de "Napoléon III" (Tallandier, collection Texto) Au Coeur de l'Histoire est réalisée par Pierre Cazalot. Rédaction en chef : Benjamin Delsol. Auteur du récit : Eloi Audoin-Rouzeau. Journaliste : Armelle Thiberge. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La Pax Romana, ou « paix romaine », désigne une longue période de stabilité relative, de prospérité économique et de paix intérieure que connut l'Empire romain entre 27 av. J.-C. et environ 180 apr. J.-C. Elle débute avec l'avènement d'Auguste, premier empereur romain, et s'achève généralement avec la mort de Marc Aurèle. Pendant près de deux siècles, l'Empire romain parvient à maintenir l'ordre sur un immense territoire s'étendant de la Bretagne aux rives de l'Euphrate, et du Rhin au Sahara.La Pax Romana ne signifie pas l'absence totale de conflits : Rome continue de faire la guerre à ses frontières, notamment contre les Parthes, les Germains ou les tribus berbères. Mais à l'intérieur de l'Empire, les soulèvements majeurs sont rares, et les guerres civiles — qui avaient ensanglanté la République romaine au Ier siècle av. J.-C. — prennent fin. L'autorité impériale centralisée, le monopole de la violence légitime et la professionnalisation de l'armée contribuent largement à ce climat de stabilité.Sur le plan économique, la Pax Romana favorise un essor remarquable. Le commerce se développe, facilité par un vaste réseau routier de plus de 80 000 kilomètres, une marine puissante assurant la sécurité maritime, et une monnaie relativement stable. Les produits circulent entre les provinces : vin d'Italie, huile d'Espagne, blé d'Égypte, épices d'Orient, esclaves des Balkans… Les grandes villes, à commencer par Rome, en tirent une prospérité visible dans l'urbanisme, les monuments et la vie culturelle.L'administration impériale joue aussi un rôle essentiel. Auguste réforme le gouvernement, crée un corps de fonctionnaires fidèles et met en place un système judiciaire plus structuré. Les populations provinciales, souvent respectueuses de la domination romaine en échange de paix et d'infrastructures, commencent à s'intégrer à la culture romaine, un processus appelé romanisation. Les élites locales adoptent la langue latine, les institutions romaines, et obtiennent progressivement la citoyenneté — jusqu'à ce qu'elle soit étendue à tous les hommes libres de l'Empire par l'édit de Caracalla en 212.Enfin, cette paix favorise l'essor intellectuel et artistique : littérature, philosophie stoïcienne, architecture, droit… La culture romaine rayonne, influencée aussi par l'héritage grec.La Pax Romana reste une période idéalisée dans l'histoire occidentale. Elle représente un moment unique où un empire, par la force autant que par l'intégration, réussit à pacifier un vaste espace multiculturel. Si elle prend fin avec les premières grandes crises du IIIe siècle, son souvenir inspire encore les empires ultérieurs cherchant à concilier puissance et stabilité. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Stéphane Bern raconte le destin d'un Bonaparte durant le Second Empire : Louis-Napoléon Bonaparte devenu Napoléon III, le dernier souverain, l'Empereur inattendu qui a modernisé la France à marche forcée, avant de connaître une chute vertigineuse tout aussi rapide… Quel était le dessein de Napoléon III pour la France ? Dans quelle mesure a-t-il marché dans les pas de son oncle, Napoléon Ier ? Pourquoi cette figure a-t-elle longtemps souffert d'une légende noire ? Pour en parler, Stéphane Bern reçoit Eric Anceau, historien et auteur de "Napoléon III" (Tallandier, collection Texto) Au Coeur de l'Histoire est réalisée par Pierre Cazalot. Rédaction en chef : Benjamin Delsol. Auteur du récit : Eloi Audoin-Rouzeau. Journaliste : Armelle Thiberge. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
À l'occasion de la diffusion de la série "Carême", Virginie Girod vous propose de redécouvrir la véritable histoire de l'alliance entre le chef Carême et le diplomate Talleyrand. En 1814, s'ouvre le congrès de Vienne, réunissant les grandes puissances européennes pour réorganiser l'Europe après la chute de Napoléon Ier. Parmi les nombreux plénipotentiaires affluant dans la capitale des Habsbourg, se trouve Charles Maurice de Talleyrand Périgord (1754-1838), représentant de la France. Dans ses valises, il emmène Antonin Carême (1783-1833), le plus grand cuisinier de son temps. Sollicité par de nombreuses têtes couronnés, ce dernier fut surnommé "le roi des chef et le chef des rois".Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le drapeau blanc est aujourd'hui reconnu dans le monde entier comme un symbole de reddition, de trêve ou de demande de cessez-le-feu. Qu'il s'agisse d'un chiffon improvisé ou d'un tissu officiel, il signifie une intention pacifique : celle de ne pas attaquer et de vouloir dialoguer. Mais d'où vient cette pratique, et pourquoi avoir choisi précisément un drapeau blanc ?Une origine ancienneL'utilisation du drapeau blanc remonte à l'Antiquité. On en trouve déjà des traces dans les chroniques chinoises du Ier siècle. Durant la dynastie Han, les soldats agitaient des tissus blancs pour indiquer leur soumission ou pour signifier qu'ils voulaient négocier. Les Romains, eux aussi, utilisaient parfois un voile blanc pour demander la paix.Mais c'est surtout à partir du Moyen Âge en Europe que le drapeau blanc se généralise comme signe de reddition sur les champs de bataille. Les soldats qui abandonnaient le combat devaient montrer clairement qu'ils n'avaient plus l'intention de se battre. Le blanc, couleur neutre et visible de loin, était parfait pour cela. Contrairement aux drapeaux colorés des armées, le blanc n'était pas associé à une faction, ce qui évitait toute confusion.Pourquoi la couleur blanche ?Le choix du blanc n'est pas anodin. D'un point de vue symbolique, le blanc évoque la pureté, la paix et l'innocence dans de nombreuses cultures. Il est aussi une couleur très visible, même de loin et dans des conditions difficiles, comme la fumée ou le brouillard. Mais surtout, c'est une couleur neutre, non affiliée à un camp particulier, ce qui renforce l'idée de non-agression.Une reconnaissance par le droit internationalL'usage du drapeau blanc a été codifié par le droit international, notamment dans les Conventions de Genève et les Conventions de La Haye au début du XXe siècle. Il est reconnu comme un symbole protégé, qui indique qu'un combattant souhaite parlementer, rendre les armes ou évacuer des blessés. Toute attaque contre une personne brandissant un drapeau blanc constitue une violation du droit international humanitaire.Un langage universelDans un contexte de guerre, les mots peuvent être incompris ou ignorés, surtout entre ennemis parlant des langues différentes. Le drapeau blanc devient alors un langage visuel universel, immédiatement compréhensible, même sans un mot. Il permet d'initier un dialogue ou de sauver des vies sans passer par la parole.En résumé, le drapeau blanc est bien plus qu'un simple morceau de tissu : c'est un symbole ancestral de paix et de neutralité, adopté par les cultures et reconnu par les lois internationales. Dans le tumulte de la guerre, il reste un des rares signaux qui puisse encore imposer le silence… pour laisser place à la vie. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Speech First's Jared Gould, IER's Kenny Stein, Attorney Mike Pugliese, Less Government's Seton Motley, The Mark Belling Podcast's Mark Belling, Former Sheriff David Clarke, Rep. Bryan Steil
durée : 00:55:43 - Affaires sensibles - par : Fabrice Drouelle - L'un des pontificats les plus courts de l'histoire, le Pape Jean-Paul Ier, élu le 26 août 1978, meurt trente-trois jours plus tard. - invités : Bernard LECOMTE - Bernard Lecomte : Editeur, écrivain et journaliste - réalisé par : Fabrice Laigle
durée : 00:57:55 - Avec philosophie - par : Géraldine Mosna-Savoye, Nassim El Kabli - En tout point fidèle à la physique épicurienne, le "De rerum natura" présente des intuitions préscientifiques majeures au Ier siècle av. J-C. Composés contre les superstitions de l'époque, les vers lucrétiens présentent toutefois une part de mystère ; originalité propre à cette physique poétique. - réalisation : Nicolas Berger - invités : Alain Gigandet
Parce qu'il était sensible à l'influence féminine et que sa mère n'était plus là pour le gouverner, François Ier aura fait de la duchesse d'Etampes une des favorites les plus puissantes de l'histoire de France. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Amélie de Bourbon Parme "L'ascension" (Gallimard)2eme tome de "Les trafiquants d'éternité"Au commencement du XVIᵉ siècle s'ouvre le pontificat de Jules II, ennemi déclaré des Borgia. Alessandro Farnese doit gagner la confiance du nouveau chef de l'Église pour asseoir son influence au sein du Sacré Collège.Audace, prudence et loyauté. Telle sera sa profession de foi dans une Rome corrompue par le commerce des sacrements, capitale du vice dénoncée par Martin Luther. Car la Rome des Médicis est aussi sulfureuse que l'était celle des Borgia. Intrigues amoureuses, complots et compromissions achèvent de ruiner le crédit des papes. Mais pas l'amour que se vouent Alessandro et Silvia, mère de ses enfants, envers et contre tout.Propulsé dans les plus hautes sphères de l'Église, l'aîné des Farnese conseille les papes Jules II, Léon X et même Clément VII, son ancien rival. Alors que Charles Quint et François Ier se disputent l'Italie, que l'intransigeance protestante submerge les consciences et menace de faire sombrer la papauté, Alessandro a la conviction que l'humanisme peut triompher de tout, même de ses propres excès : cette certitude le mènera à devenir pape, en 1534.Avec ce nouveau tome des Trafiquants d'éternité, Amélie de Bourbon Parme poursuit le portrait éblouissant d'Alessandro Farnese au cœur d'une Renaissance italienne tourmentée par la peur du Jugement dernier.Musique : Giovanni Pierluigi da Palestrina: Missa Brevis - 5b. Qui tollis peccata mundi 1. Peter Phillips The Tallis ScholarsHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Rubrique:histoire Auteur: frantz-funck-brentano Lecture: Daniel LuttringerDurée: 14min Fichier: 10 Mo Résumé du livre audio: Une courte biographie de Frédéric Ier de Hohenstaufen, empereur du Saint-Empire romain germanique de 1155 à sa mort en 1190. Il est surnommé Frédéric Barberousse en raison de son éblouissante barbe rousse (en allemand : Friedrich Barbarossa). Cet enregistrement est mis à disposition sous un contrat Creative Commons.
Le mot « décimer » vient du latin decimare, qui signifie « prélever un dixième ». Son origine remonte à une pratique disciplinaire redoutée dans l'armée romaine, utilisée pour punir une unité jugée coupable de lâcheté, de mutinerie ou de désobéissance grave.1. Le principe de la décimationLorsqu'une légion romaine faiblissait au combat ou se révoltait, le général pouvait ordonner la décimation (decimatio). Cette punition consistait à exécuter un soldat sur dix, tiré au sort parmi les fautifs. Les hommes étaient alignés, et on formait des groupes de dix. Chaque groupe devait choisir un homme, qui était ensuite exécuté par ses propres compagnons, souvent à coups de bâton ou d'épée. Les survivants subissaient en plus des humiliations : rationnement, perte de leur équipement ou exclusion des honneurs militaires.2. Un moyen de restaurer la disciplineL'armée romaine était célèbre pour sa rigueur et sa discipline. La décimation, bien que rare, servait à terroriser les troupes et empêcher toute forme d'insubordination. Elle envoyait un message fort : l'échec collectif entraînait des conséquences individuelles aléatoires, même pour ceux qui n'avaient pas personnellement failli.3. Des exemples historiques célèbresPlusieurs sources antiques mentionnent l'usage de la décimation.Appien et Tite-Live racontent qu'en 471 av. J.-C., le consul Appius Claudius Sabinus aurait décimé une unité après une défaite face aux Éques. Crassus, en 71 av. J.-C., aurait utilisé cette méthode pour punir ses légions après un échec contre l'armée de Spartacus. Marc Antoine, au Ier siècle av. J.-C., aurait recouru à la décimation pour rétablir l'ordre parmi ses troupes. 4. Évolution et disparition de la pratiqueAvec le temps, la décimation est devenue de moins en moins courante, car elle était jugée trop brutale et démotivante. Elle a progressivement disparu avec l'évolution des stratégies militaires et l'introduction de sanctions plus ciblées.5. Un sens moderne détournéAujourd'hui, le mot « décimer » signifie souvent « exterminer en grand nombre », alors qu'il signifiait à l'origine « tuer un sur dix ». Cet élargissement du sens s'est produit avec le temps, notamment à partir du XVIIe siècle, où l'usage figuré a pris le dessus sur l'origine militaire stricte.Ainsi, derrière ce mot se cache une pratique romaine impitoyable, rappelant la dureté du monde militaire antique. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
C'est l'événement le plus fastueux du XVIe siècle. Quelque part dans le nord de la France, deux rois, deux géants de leur temps, se rencontrent au Camp du drap d'or. François Ier et Henri VIII d'Angleterre rivalisent de faste pour s'impressionner mutuellement. Entrez dans le décor éblouissant du Camp du drap d'or où règnent luxe, or et illusions. Crédits : Lorànt Deutsch, Bruno Calvès Du lundi au vendredi de 15h à 15h30, Lorànt Deutsch vous révèle les secrets des personnages historiques les plus captivants !Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Il y a 500 ans, en 1525, François Ier est fait prisonnier à l'issue de la bataille de Pavie, qui oppose ses troupes à celles de Charles Quint lors de la sixième guerre d'Italie. Une captivité d'un an commence pour le roi de France, qui sera libéré après la signature du calamiteux traité de Madrid. Pour évoquer les enjeux de sa détention et ses conséquences sur le fonctionnement du royaume, Virginie Girod reçoit l'historien Didier Le Fur, grand spécialiste du XVIe siècle et des guerres d'Italie et auteur, notamment, de l'ouvrage "Les guerres d'Italie, un conflit européen" (Passés Composés).
Virginie Girod raconte Charles Quint, l'empereur le plus puissant de la Renaissance, éternel rival de François Ier. Dans le second épisode de ce double récit inédit d'Au coeur de l'Histoire, Charles Quint (1500-1558), empereur du Saint-Empire et roi des Espagnes, épouse la princesse Isabelle de Portugal en 1526. Bientôt, un héritier voit le jour, le futur Philippe II. Au sein de l'Empire, le protestantisme gagne du terrain, portant en lui les germes d'une rébellion contre le pouvoir. En 1555, à Bruxelles, Charles Quint, prématurément vieilli, prend la décision d'abdiquer.
Virginie Girod raconte Charles Quint, l'empereur le plus puissant de la Renaissance. Dans le premier épisode de ce double récit d'Au coeur de l'Histoire, Charles Quint (1500-1558) hérite en 1519 d'un empire immense, allant de la frontière portugaise à l'Autriche en passant par le nord de l'Italie et les Pays-Bas. Mais ce vaste territoire est scindé en deux par la France, un royaume puissant, dont le souverain, François Ier, s'impose comme l'ennemi naturel de l'empereur. Après une série de conflits, Charles Quint connaît une courte période de paix à la fin des années 1520.
François Ier, roi de France de 1515 à 1547, est souvent qualifié de "restaurateur des lettres". Ce titre lui vient de son rôle majeur dans la promotion des arts, des sciences et des lettres à la Renaissance. Il fit entrer la France dans une ère de rayonnement culturel sans précédent en soutenant activement l'humanisme, l'imprimerie et l'éducation.Un protecteur des humanistes et des écrivainsDès le début de son règne, François Ier se montre passionné par la Renaissance italienne. Admirateur de Léonard de Vinci, qu'il invite à sa cour en 1516, il adopte aussi les idées humanistes qui se développent en Italie.Il protège des écrivains et des penseurs tels que Guillaume Budé, grand érudit et spécialiste des textes antiques, qui l'encourage à développer une politique en faveur des lettres. Le roi accorde également son soutien à Clément Marot, poète officiel de la cour, et favorise la diffusion des œuvres de Rabelais, dont les idées humanistes marquent profondément la littérature française.L'essor de l'imprimerie et de la langue françaiseFrançois Ier comprend que l'imprimerie, récente invention, est un outil puissant pour diffuser le savoir. Il encourage le développement des imprimeries royales et protège les imprimeurs, comme Robert Estienne, qui joue un rôle essentiel dans la publication des textes anciens et bibliques.En 1539, il signe l'ordonnance de Villers-Cotterêts, un texte fondamental qui impose l'usage du français dans les documents administratifs et juridiques, en remplacement du latin. Cet acte marque une étape clé dans l'affirmation du français comme langue nationale.La création du Collège royal : un tournant dans l'éducationEn 1530, François Ier fonde le Collège royal (futur Collège de France), une institution destinée à enseigner les disciplines nouvelles de la Renaissance : les langues anciennes (grec, hébreu), la médecine et les sciences. Contrairement à l'Université de Paris, alors conservatrice et dominée par l'Église, le Collège royal permet une approche plus libre et ouverte du savoir.Un roi mécène et visionnaireGrâce à son mécénat, François Ier transforme la France en un centre intellectuel majeur de la Renaissance. Il favorise les échanges avec l'Italie et pose les bases d'une tradition culturelle qui perdurera bien après son règne.C'est donc à juste titre qu'on l'appelle "le restaurateur des lettres", car il a joué un rôle fondamental dans la diffusion du savoir et l'essor de la culture française. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
#119: American Energy Blueprint - IER Webinar (2/25/25) American Energy Blueprint: https://www.instituteforenergyresearch.org/fossil-fuels/gas-and-oil/the-american-energy-blueprint/ IER and Mackinac Center Call for Expedited Environmental Impact Statement Process for Line 5 Tunnel Construction: https://www.instituteforenergyresearch.org/regulation/ier-and-mackinac-center-call-for-expedited-environmental-impact-statement-process-for-line-5-tunnel-construction/ IER Submits Three Petitions to Trump Administration to Advance American Energy Goals: https://www.instituteforenergyresearch.org/regulation/ier-submits-three-petitions-to-trump-administration-to-advance-american-energy-goals/
Il y a 500 ans, l'armée française s'effondrait à Pavie et son chef, le roi François Ier, était fait prisonnier. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Stéphane Bern ropose de revivre une bataille qui s'est tenue il y a 500 ans jour pour jour : la bataille de Pavie perdue par la France et son armée menée par le roi François 1er qui, 10 ans après son éclatante victoire à Marignan, a lui-même pris part aux attaques contre les hommes de Charles Quint. Et mal lui en a pris… Quels étaient les enjeux de cette bataille ? Qu'est-ce qui a manqué à l'armée constituée par François Ier ? Pourquoi ne l'a-t-on pas davantage étudiée ? Pour en parler, Stéphane Bern reçoit Julien Guinand, docteur en histoire, spécialiste du XVIème siècle et auteur de "Pavie 1525" (Perrin).
Stéphane Bern ropose de revivre une bataille qui s'est tenue il y a 500 ans jour pour jour : la bataille de Pavie perdue par la France et son armée menée par le roi François 1er qui, 10 ans après son éclatante victoire à Marignan, a lui-même pris part aux attaques contre les hommes de Charles Quint. Et mal lui en a pris… Quels étaient les enjeux de cette bataille ? Qu'est-ce qui a manqué à l'armée constituée par François Ier ? Pourquoi ne l'a-t-on pas davantage étudiée ? Pour en parler, Stéphane Bern reçoit Julien Guinand, docteur en histoire, spécialiste du XVIème siècle et auteur de "Pavie 1525" (Perrin).
Il est rare qu'une colonie devienne la capitale d'un empire. Pourtant, entre 1808 et 1821, Rio de Janeiro fut la capitale du Royaume-Uni de Portugal, du Brésil et des Algarves. Cet épisode unique de l'histoire trouve son origine dans les guerres napoléoniennes et marqua un tournant décisif dans le destin du Brésil.La fuite de la cour portugaiseÀ la fin du XVIIIe siècle, l'Europe est en pleine tourmente. En 1807, Napoléon Ier, en quête d'expansion, envahit le Portugal, fidèle allié de la Grande-Bretagne. Face à la menace, le prince régent Jean VI prend une décision inédite : transférer la cour royale portugaise au Brésil. Avec l'aide de la flotte britannique, 15 000 nobles, militaires et fonctionnaires embarquent précipitamment pour traverser l'Atlantique.Le 22 janvier 1808, la flotte accoste à Salvador de Bahia avant de gagner Rio de Janeiro, qui devient la nouvelle capitale du royaume. Jamais une métropole européenne n'avait déplacé son siège impérial vers une colonie.Rio, centre du pouvoir impérialAvec l'arrivée de la cour, Rio de Janeiro change radicalement. La ville jusque-là modeste voit la construction de palais, académies et institutions. Le prince régent ouvre les ports brésiliens au commerce international, mettant fin au monopole colonial portugais. Des imprimeries, des théâtres et des universités émergent, transformant Rio en un véritable centre administratif et culturel.Le Brésil gagne en autonomie. En 1815, pour légitimer cette situation, Jean VI élève le pays au rang de royaume, créant ainsi le "Royaume-Uni de Portugal, du Brésil et des Algarves". Cette décision marque un tournant : le Brésil n'est plus une simple colonie, mais un royaume à part entière.Le retour au Portugal et l'indépendance du BrésilEn 1821, sous la pression des libéraux portugais, Jean VI retourne à Lisbonne, laissant son fils Pierre Ier régner sur le Brésil. Mais les Brésiliens refusent de redevenir une colonie. En 1822, Pierre Ier proclame l'indépendance du Brésil, mettant un terme définitif à la domination portugaise.Ainsi, en devenant temporairement capitale d'un empire, Rio de Janeiro a amorcé l'émancipation du Brésil, ouvrant la voie à son indépendance et à sa montée en puissance sur la scène internationale. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
L'histoire de la barbe de François Ier est aussi étonnante qu'inattendue. Si le roi de France est souvent représenté avec une barbe soigneusement taillée, c'est en réalité pour dissimuler une cicatrice au menton, vestige d'un incident marquant de sa vie.En 1521, François Ier est engagé dans un duel amical avec le duc de Bourbon. Lors d'un échange un peu trop vigoureux, l'épée de son adversaire lui entaille profondément le menton. La blessure, bien que non mortelle, laisse une cicatrice visible. Or, à l'époque, l'apparence physique des souverains est d'une grande importance : leur visage reflète leur puissance et leur prestige. François Ier, soucieux de son image, décide alors de porter une barbe pour masquer cette marque indésirable.Ce choix stylistique, dicté par la nécessité, va rapidement devenir une véritable mode. Avant cela, les rois de France étaient plutôt imberbes, suivant l'exemple de Louis XI ou de Charles VIII. Mais en laissant pousser sa barbe, François Ier impose une nouvelle tendance à la cour. Très vite, ses nobles et courtisans adoptent également cette mode, par mimétisme et pour montrer leur fidélité au souverain.Loin d'être un simple effet de mode, la barbe devient un symbole de virilité et d'autorité. Elle confère à François Ier une allure plus imposante, renforçant son image de monarque puissant et charismatique. De plus, elle le distingue nettement de son grand rival, Charles Quint, qui, lui, reste fidèle au visage glabre des Habsbourg.Cette nouvelle mode dépasse même les frontières de la France et influence d'autres monarques européens. Henri VIII d'Angleterre, par exemple, adopte lui aussi la barbe, contribuant ainsi à la diffusion de cette tendance à travers l'Europe du XVIe siècle.Ainsi, ce qui n'était au départ qu'une solution pour cacher une cicatrice est devenu un phénomène esthétique et politique marquant. Loin d'être un simple détail, la barbe de François Ier témoigne de la manière dont un simple événement personnel peut façonner durablement l'histoire de la mode et de la représentation du pouvoir. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Les objets volants non identifiés, ou OVNIs, sont souvent associés à l'ère moderne et aux observations rapportées depuis le XXe siècle. Pourtant, les témoignages d'apparitions mystérieuses dans le ciel existent depuis l'Antiquité. De nombreux textes anciens décrivent des phénomènes lumineux et étranges, souvent interprétés comme des signes divins ou des présages. Des témoignages antiques fascinants L'un des premiers récits détaillés remonte à l'Empire romain. Pline l'Ancien, célèbre naturaliste du Ier siècle, rapporte dans son ouvrage Histoire Naturelle l'observation de « boucliers ardents » et d'objets célestes qui semblaient se heurter dans le ciel. Ces descriptions rappellent les phénomènes modernes d'OVNIs, souvent décrits comme des objets lumineux en mouvement erratique. Julius Obsequens, un écrivain du IVe siècle, compile également des événements mystérieux survenus à Rome. Dans son livre Prodigiorum Liber, il mentionne un « globe de feu » qui descend du ciel, touche le sol, puis repart immédiatement. Si ces récits ne prouvent pas l'existence d'engins extraterrestres, ils montrent que des phénomènes aériens inexpliqués intriguent l'humanité depuis des millénaires. OVNIs et textes religieux La Bible contient aussi plusieurs passages pouvant être interprétés comme des observations d'OVNIs. L'un des plus célèbres est la vision d'Ézéchiel, un prophète de l'Ancien Testament. Il décrit un char céleste composé de roues lumineuses qui tournoient dans le ciel, accompagnées d'un grand bruit et d'une lumière intense. Certains ufologues voient dans ce passage une description possible d'un vaisseau inconnu. Dans d'autres récits religieux, des anges ou des divinités sont associés à des phénomènes lumineux dans le ciel, parfois comparés à des colonnes de feu ou des nuages brillants. Bien que ces descriptions aient été interprétées à travers un prisme spirituel, elles peuvent aussi être comparées aux observations modernes d'OVNIs. Des témoignages au Moyen Âge et à la Renaissance Les récits de phénomènes aériens mystérieux ne s'arrêtent pas à l'Antiquité. Le 14 avril 1561, les habitants de Nuremberg, en Allemagne, assistent à un spectacle fascinant. Selon une gravure et un témoignage du chroniqueur Hans Glaser, des formes étranges—croix, sphères, cylindres et objets en forme de disques—semblent s'affronter dans le ciel, émettant des lumières et des traînées de fumée. À l'époque, cela est interprété comme un présage apocalyptique. Aujourd'hui, certains chercheurs pensent qu'il s'agissait d'un phénomène optique rare, comme un parhélie (halo solaire), ou d'une pluie de météores. D'autres y voient un récit similaire aux observations modernes d'OVNIs. À la Renaissance, certaines œuvres d'art semblent également témoigner de la présence de phénomènes aériens inexpliqués. Dans la peinture La Madone avec Saint Jean Baptiste et Saint Joseph, attribuée à Domenico Ghirlandaio (ou à un peintre de son cercle), on distingue en arrière-plan un objet étrange flottant dans le ciel. Un homme et son chien semblent intrigués par cet élément. Certains historiens de l'art y voient une simple représentation symbolique de la présence divine, tandis que d'autres passionnés d'ufologie suggèrent qu'il s'agit d'une représentation artistique d'un phénomène aérien mystérieux. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Les objets volants non identifiés, ou OVNIs, sont souvent associés à l'ère moderne et aux observations rapportées depuis le XXe siècle. Pourtant, les témoignages d'apparitions mystérieuses dans le ciel existent depuis l'Antiquité. De nombreux textes anciens décrivent des phénomènes lumineux et étranges, souvent interprétés comme des signes divins ou des présages. Des témoignages antiques fascinants L'un des premiers récits détaillés remonte à l'Empire romain. Pline l'Ancien, célèbre naturaliste du Ier siècle, rapporte dans son ouvrage Histoire Naturelle l'observation de « boucliers ardents » et d'objets célestes qui semblaient se heurter dans le ciel. Ces descriptions rappellent les phénomènes modernes d'OVNIs, souvent décrits comme des objets lumineux en mouvement erratique. Julius Obsequens, un écrivain du IVe siècle, compile également des événements mystérieux survenus à Rome. Dans son livre Prodigiorum Liber, il mentionne un « globe de feu » qui descend du ciel, touche le sol, puis repart immédiatement. Si ces récits ne prouvent pas l'existence d'engins extraterrestres, ils montrent que des phénomènes aériens inexpliqués intriguent l'humanité depuis des millénaires. OVNIs et textes religieux La Bible contient aussi plusieurs passages pouvant être interprétés comme des observations d'OVNIs. L'un des plus célèbres est la vision d'Ézéchiel, un prophète de l'Ancien Testament. Il décrit un char céleste composé de roues lumineuses qui tournoient dans le ciel, accompagnées d'un grand bruit et d'une lumière intense. Certains ufologues voient dans ce passage une description possible d'un vaisseau inconnu. Dans d'autres récits religieux, des anges ou des divinités sont associés à des phénomènes lumineux dans le ciel, parfois comparés à des colonnes de feu ou des nuages brillants. Bien que ces descriptions aient été interprétées à travers un prisme spirituel, elles peuvent aussi être comparées aux observations modernes d'OVNIs. Des témoignages au Moyen Âge et à la Renaissance Les récits de phénomènes aériens mystérieux ne s'arrêtent pas à l'Antiquité. Le 14 avril 1561, les habitants de Nuremberg, en Allemagne, assistent à un spectacle fascinant. Selon une gravure et un témoignage du chroniqueur Hans Glaser, des formes étranges—croix, sphères, cylindres et objets en forme de disques—semblent s'affronter dans le ciel, émettant des lumières et des traînées de fumée. À l'époque, cela est interprété comme un présage apocalyptique. Aujourd'hui, certains chercheurs pensent qu'il s'agissait d'un phénomène optique rare, comme un parhélie (halo solaire), ou d'une pluie de météores. D'autres y voient un récit similaire aux observations modernes d'OVNIs. À la Renaissance, certaines œuvres d'art semblent également témoigner de la présence de phénomènes aériens inexpliqués. Dans la peinture La Madone avec Saint Jean Baptiste et Saint Joseph, attribuée à Domenico Ghirlandaio (ou à un peintre de son cercle), on distingue en arrière-plan un objet étrange flottant dans le ciel. Un homme et son chien semblent intrigués par cet élément. Certains historiens de l'art y voient une simple représentation symbolique de la présence divine, tandis que d'autres passionnés d'ufologie suggèrent qu'il s'agit d'une représentation artistique d'un phénomène aérien mystérieux. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Le Louvre, aujourd'hui l'un des musées les plus célèbres du monde, n'a pas toujours été un lieu d'exposition d'œuvres d'art. Avant de devenir un musée, il était un palais royal, symbole du pouvoir en France. Son évolution en institution culturelle est directement liée à la Révolution française.À l'origine, le Louvre était une forteresse construite au XIIᵉ siècle par le roi Philippe Auguste pour protéger Paris des invasions. Au fil des siècles, il a été transformé en palais royal, notamment par François Ier et Louis XIV. Ce dernier y installa une partie de la collection d'œuvres d'art de la Couronne, mais finit par quitter le Louvre pour s'installer à Versailles en 1682. Dès lors, le palais perdit son rôle de résidence royale et servit principalement d'espace administratif et artistique, accueillant des académies et des artistes.L'idée de transformer le Louvre en musée remonte à la fin du XVIIᵉ siècle. Certains intellectuels et artistes militaient pour que les collections royales soient accessibles au public, à l'image du Vatican ou du British Museum en Angleterre. Mais ce n'est qu'avec la Révolution française que cette idée devint une réalité.En 1789, la Révolution éclate et la monarchie est affaiblie. Les biens de l'Église et de la Couronne sont nationalisés. En 1792, le gouvernement révolutionnaire décide de mettre les œuvres d'art sous la protection de la Nation. Le 10 août 1793, le Muséum central des arts, ancêtre du musée du Louvre, ouvre ses portes dans l'ancienne résidence des rois de France. Il présente au public environ 500 œuvres issues des collections royales et ecclésiastiques confisquées.Le musée s'enrichit rapidement grâce aux saisies révolutionnaires, mais aussi aux campagnes napoléoniennes, qui rapportent des œuvres d'art de toute l'Europe. Après la chute de Napoléon, certaines œuvres sont restituées à leurs pays d'origine, mais le Louvre continue de s'agrandir, notamment sous le Second Empire et la Troisième République.Aujourd'hui, le Louvre est devenu le plus grand musée du monde, avec plus de 35 000 œuvres exposées, dont des chefs-d'œuvre comme la Mona Lisa et la Victoire de Samothrace. Ce qui fut autrefois un palais royal est ainsi devenu un symbole universel de la culture et du savoir. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dans ce 2e épisode de notre série spéciale “Oh mon château !”, Stéphane Bern nous entraîne au château de Fontainebleau qui fut la résidence des rois de France, avant de devenir le palais préféré de Napoléon 1er, dont l'histoire demeure, aujourd'hui encore, intimement liée à lui. Quels souverains ont marqué le château de leur souvenir avant Napoléon Ier ? Quelle importance revêtait cet édifice dans la politique de l'Empereur ? Quel épisode clé de sa chute s'y est tenu ? Pour en parler, Stéphane Bern reçoit Muriel Barbier, conservatrice du patrimoine, directrice du patrimoine et des collections du Château de Fontainebleau, et Charles-Eloi Vial, historien, conservateur au département des Manuscrits de la BnF et auteur de "Les Lieux de Napoléon" (Perrin).