French politician
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durée : 00:43:24 - Sens politique - par : Jean Leymarie - L'ancienne ministre de Nicolas Sarkozy plaide pour une vraie « discrimination positive » en faveur des quartiers les plus pauvres. - invités : Chantal Jouanno Senior advisor au cabinet Accenture, ancienne présidente de la commission nationale du débat public, ancienne ministre
durée : 00:43:24 - Sens politique - par : Jean Leymarie - L'ancienne ministre de Nicolas Sarkozy plaide pour une vraie « discrimination positive » en faveur des quartiers les plus pauvres. - invités : Chantal Jouanno Senior advisor au cabinet Accenture, ancienne présidente de la commission nationale du débat public, ancienne ministre
Le podcast de la Boucherie Ovalie est de retour en ce mois de novembre pour parler des équipes de France. On y parle de la tournée d'automne de l'équipe masculine, notamment du match face à l'Australie, et de l'équipe féminine, et de sa cruelle élimination en demi-finales de la Coupe du monde. Vous y trouverez également des chroniques, des jeux, et des nouvelles de Chantal Jouanno. Pour celles et ceux qui veulent participer au jeu des auditeurs, l'adresse mail est la suivante : boucherie-ovalie-podcast@outlook.fr. Bonne écoute, et n'oubliez pas que la vie est trop courte pour comprendre le rugby, alors autant en rigoler !
durée : 00:57:53 - Le 13/14 - par : Bruno DUVIC - L'exécutif mise sur le nucléaire alors que commence un débat sur la place de l'atome dans notre mix énergétique. Débat présidé par Chantal Jouanno, ancienne secrétaire d'Etat en charge de l'écologie, invitée du 13/14.
durée : 00:30:58 - Politique ! - par : Hervé Gardette - « Informer les citoyens et faire en sorte que leur point de vue soit pris en compte » : telle est la mission de la Commission Nationale du Débat Public que préside Chantal Jouanno. Mais comment faire vivre le débat public dans un pays où le débat semble, justement, se crisper ? - réalisation : Thomas Jost - invités : Chantal Jouanno présidente de la Commission nationale du débat public (CNDP), ancienne ministre
durée : 00:30:58 - Politique ! - par : Hervé Gardette - « Informer les citoyens et faire en sorte que leur point de vue soit pris en compte » : telle est la mission de la Commission Nationale du Débat Public que préside Chantal Jouanno. Mais comment faire vivre le débat public dans un pays où le débat semble, justement, se crisper ? - réalisation : Thomas Jost - invités : Chantal Jouanno présidente de la Commission nationale du débat public (CNDP), ancienne ministre
Comprendre les ressorts du débat public avec la participation de Chantal Jouanno, présidente de la Commission nationale du débat public, Jean-Pierre Tiffon, président de la Commission particulière en charge de ce débat, Laurent Michel, directeur général de l’énergie et du climat - MTES, Thomas Veyrenc, directeur stratégie RTE
durée : 00:54:38 - De cause à effets, le magazine de l'environnement - par : Aurélie Luneau - La voix est libre avec Chantal Jouanno - réalisation : Alexandra Malka - invités : Chantal Jouanno Présidente Commission nationale du débat public (CNDP), ancienne secrétaire d’Etat chargée de l’écologie (2008-2009).; Gilles Boeuf biologiste, professeur à l'université Pierre et Marie Curie, ancien président du Muséum national d’histoire naturelle
durée : 00:04:51 - Ils ont fait l'actu - 8 janvier 2019. C'est un nombre qui est à l'origine d'une controverse : 14 666 euros, le salaire brut mensuel de Chantal Jouanno, la présidente de la CNDP, la Commission nationale du débat public chargée de l'organisation du "grand débat national".
durée : 00:58:53 - De cause à effets, le magazine de l'environnement - par : Aurélie LUNEAU - La voix est libre avec Chantal Jouanno - invités : Chantal JOUANNO, Gilles Boeuf - Chantal Jouanno : Présidente Commission nationale du débat public (CNDP), ancienne secrétaire d'Etat chargée de l'écologie (2008-2009). Gilles Boeuf : biologiste, professeur à l'université Pierre et Marie Curie, ancien président du Muséum national d'histoire naturelle - réalisé par : Alexandra Malka
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Les titres du flash:- Avant l’émission «Balance ton post » coanimé par la secrétaire d’Etat Marlène Schiappa, Cyril Hanouna nous a accordé une interview. Une émission spéciale pensée comme une émanation télé du grand débat national. L’animateur qui se qualifie de «médiateur», estime : «Les gilets jaunes, je leur ai donné la parole dès le début du mouvement. C’était une obligation pour moi, j’ai vu la détresse dans leurs yeux et je ne pouvais pas refuser. Et surtout je ne pouvais pas en rester là, bien au chaud dans mon studio à me marrer et eux dans la merde dehors. »- Chantal Jouanno, qui a jeté l’éponge de l’organisation du grand débat national, estime ce matin sur LCI que ce débat «se résume à un questionnaire sur quatre thèmes».- Grand débat national à Paris: la mairie propose aux habitants d’apporter leur contribution en vidéo. Cela se passe aujourd’hui, dans l’hémicycle du Conseil de Paris, pendant 12 heures… L’interview de Pauline Véron, adjointe au maire et chargée de cette opération.- Nîmes: un burger «Gilles et John» à la sauce «lacrymogène» au bar Joe, a repéré France Bleu Gard Lozère. «Une façon de dédramatiser les événements » selon le patron du restaurant. Anne-Laetitia BéraudPour accéder aux précédents flashs de « Minute Papillon ! » sur mobile, avec :AndroidiOSPar l’onglet « 20 Minutes Podcast » sur la page d’entrée de notre site.Crédits sons : Longing - Joakim Karud/Musique libre de droits – Vibe With Me Joakim Karud/Audio Library - Density & Time/Audio Library- Rock Angel Joakim Karud/Bisquit soul de Noodgroove - Fugue Icons8.com/Looking in my eyes de Ann Abel - Fugue Icons8.com Pour plus d'informations sur la confidentialité de vos données, visitez Acast.com/privacy See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.
La lettre d’Emmanuel Macron aux français et le Grand débat nationalLundi dernier, paraissait dans la presse et les réseaux sociaux, la lettre adressée aux Français par Emmanuel Macron. Elle contient 34 questions, lance et cadre le « Grand débat national », officiellement inauguré le mardi suivant lors d’un déplacement du président de la République à Grand Bourgtheroulde, commune du département de l’Eure. Emmanuel Macron a répondu, près de sept heures durant, aux nombreuses interrogations des maires réunis pour l’occasion. Des cahiers de doléances avaient été remis la veille à l’Élysée par l’association des maires ruraux, permettant au Président de prendre connaissance des principales demandes exprimées à ce jour par les Français. Des préoccupations récurrentes en ressortent, telles que la limitation de vitesse à 80km/h, une demande de réorganisation politique et territoriale avec le maintien des services de proximité, une soif de justice fiscale … Ce sont ces mêmes thématiques qui ont ressurgi lors de la rencontre avec les maires normands. Cet exercice inédit de questions-réponses a pour but de ressouder le lien entre le président de la République et les maires, lien qui avait été entaché dès le début de son quinquennat par la réforme de la taxe d’habitation. Les maires, pourtant déçus par l’absence du Président à leur dernier congrès annuel, se sont néanmoins montrés courtois et satisfaits de cette journée avec le Président. De son côté, Emmanuelle Wargon, la secrétaire d’État chargée de coanimer le grand débat national avec Sébastien Lecornu, a reçu mardi des gilets jaunes de la commune de Brionne dans l’Eure. Les échanges ont été plus mouvementés et les interlocuteurs de la ministre ont exprimé des réticences à participer au grand débat national. La nomination d’Emmanuelle Wargon et de Sébastien Lecornu faisait suite à la démission de Chantal Jouanno la semaine précédente. Le choix de deux membres du gouvernement a jeté le doute sur l’indépendance des conducteurs du grand débat national. Pour répondre à cela, un collège de cinq garants a été désigné. ***Brexit : commencement de la fin ou fin du commencement ? Le 15 janvier dernier, la Chambre des Communes a massivement rejeté l’accord de sortie du Royaume Uni de l’Union européenne que Theresa May avait difficilement négocié depuis plus de deux ans. Ce sont 432 membres qui s’y sont opposés sur une totalité de 650 membres soit seulement 202 voix pour soutenir la Première ministre britannique. Parmi les points clivants de l’accord, la question du « filet de sécurité », le « backstop », a attisé les tensions. Il désigne le moyen de conserver la frontière irlandaise ouverte de façon temporaire, maintenant ainsi les nord-Irlandais ainsi que l’ensemble du Royaume Uni dans l’union douanière pour une durée non déterminée. L’Irlande du Nord resterait donc assujettie à certaines règles du marché commun sans pour autant que soit réglée la question de sa frontière avec le sud. Depuis mercredi, bien que le Parlement ait rejeté de justesse la motion de censure lancée contre Theresa May par l’opposition travailliste, la situation face à laquelle se trouve la Première ministre britannique est toujours délicate. Elle ne dispose que d’un faible soutien - les députés ayant été 325 contre 306 à exprimer leur confiance dans son gouvernement - et va donc devoir faire des concessions si elle ne veut pas d’un Brexit sans accord : un « no deal ». L’Union européenne se prépare à cette éventualité comme l’a souligné Michel Barnier, négociateur en chef de l’Union européenne. De son côté, la France a déclenché jeudi son plan pour faire face à un possible Brexit sans accord. Il s’agit d’un ensemble de mesures législatives et juridiques visant notamment à protéger les intérêts des Français résidant au Royaume-Uni, de garantir un statut pour les citoyens britanniques en France ou encore de prévoir les mesures en vue du rétablissement des contrôles des marchandises aux frontières. Cinq ordonnances seront adoptées dans les trois semaines qui viennent auxquelles s’ajoutent 50 millions d’euros investis dans les ports et les aéroports. Ce même jour, dans une lettre publiée par le quotidien britannique, The Times, plus de 170 patrons du Royaume-Uni ont appelés à un nouveau référendum alors même que le parti conservateur au pouvoir et le parti travailliste, principal parti d’opposition mené par Jeremy Corbyn, rejettent pour le moment l’idée d’un nouveau vote. Theresa May a jusqu’à demain, lundi 21 janvier, pour présenter son plan B devant la Chambre des Communes. Il sera soumis au vote du parlement le 29 janvier.
Cette semaine dans l’actualité, le salaire de 14 666 euros mensuels de Chantal Jouanno a fait débat. « Et si mes collaborateurs découvraient mon salaire et parlaient dans mon dos », se demande un cadre. Laurent Choain, DRH de Mazars et grand expert en dilemmes managériaux, répond à sa question. Retrouver la page de l'épisode sur Cadremploi : https://www.cadremploi.fr/editorial/actualites/actu-emploi/detail/article/sav-du-manager-13-mes-collaborateurs-ont-decouvert-mon-salaire-eleve-comment-reagir.html Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Cette semaine dans l'actualité, le salaire de 14 666 euros mensuels de Chantal Jouanno a fait débat. « Et si mes collaborateurs découvraient mon salaire et parlaient dans mon dos », se demande un cadre. Laurent Choain, DRH de Mazars et grand expert en dilemmes managériaux, répond à sa question. Retrouver la page de l'épisode sur Cadremploi : https://www.cadremploi.fr/editorial/actualites/actu-emploi/detail/article/sav-du-manager-13-mes-collaborateurs-ont-decouvert-mon-salaire-eleve-comment-reagir.html Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Gilets jaunes : vers une sortie de crise ? Hier, samedi 12 janvier, 84.000 manifestants ont participé à l’acte IX des Gilets Jaunes. Cela aura été l’occasion de constater que, depuis le 19 novembre, le théâtre des opérations de ce mouvement ne cesse de se démultiplier et de se déplacer. Certaines villes comme Bordeaux et Toulouse sont des foyers importants et constants de manifestations : au moins 5.000 participants aux défilés organisés hier dans ces deux villes. A peine moins qu’à Paris où les manifestants étaient 8.000 (dont 74 ont été placés en garde à vue). A l’appel de certains figures « historiques » du mouvement, 6.000 personnes se sont rassemblées à Bourges, ce qui place de cette ville juste après la capitale pour le nombre de manifestants. A Bourges et ailleurs, des leaders émergent ou ont émergé ces dernières semaines. Certains d’entre eux faisaient partie des huit porte-parole désignés par les militants fin novembre. D’autres annoncent des initiatives en rapport avec les élections européennes à venir, voire la création d’un mouvement politique. On voit apparaître ici et là les prémices d’une organisation et certains groupes de gilets jaunes ont accepté de déclarer leur manifestation en préfecture pour éviter les débordements des précédents samedis. L’une des réclamations les plus répandues avec le rétablissement de l’impôt de solidarité sur la fortune est la création d’un referendum d’initiative citoyenne dont les modalités et la portée ont autant de définitions qu’il a de partisans. Les demandes d’augmentation du pouvoir d’achat et de baisse de certaines taxes sont constantes, mais beaucoup des revendications dont on a connaissance sont saugrenues ou inconséquentes, tandis que d’autres paraissent manipulées par des lobbies ou des groupes politiques. Et, tandis que le Rassemblement national et la France insoumise affirment qu’il existe des liens de parenté entre eux et les gilets jaunes, le gouvernement n’a pas d’interlocuteur patenté à la veille du lancement du grand débat national dont l’organisatrice, Chantal Jouanno, vient de lui faire faux-bond après que la publication de son salaire a suscité une vive agitation sur les réseaux sociaux et au-delà.Emmanuel Macron tente d’apaiser les tensions en se rendant personnellement au contact des Français comme il s’apprête à le faire dans l’Eure mardi prochain. Le chef de l’État adressera également aux Français en début de semaine prochaine la lettre qu’il avait promise lors de ses vœux. **2019 : annus horibilis pour l’Europe ?Depuis le 1er janvier, la Roumanie exerce la présidence du Conseil de l’Union européenne pour une durée de six mois. Le pays est agité par le projet d’une réforme judiciaire qui permettrait notamment de gracier des individus accusés de corruption. Cette réforme est proposée par Liviu Dragnea, actuellement à la tête du parti social-démocrate roumain lui-même accusé de détournements massifs de fonds européens. La Roumanie n’est pas le seul pays de l’Union à faire aujourd’hui fi des règles démocratiques européennes. La Hongrie et la Pologne ont multiplié ces dernières années les atteintes à l’indépendance du pouvoir judiciaire et s’en sont pris aux organes anti-corruption. Toutefois, depuis quelques mois, ces gouvernements sont défiés par leur propre opinion publique. Ainsi la Hongrie connait-elle un fort mouvement hostile à la réforme du temps de travail instaurée par le gouvernement de Viktor Orban à la mi-décembre.Les courants anti-européens ou populistes sont vivaces au sud de l’Europe. Aux élections régionales de décembre, la deuxième plus grande et plus peuplée des 17 communautés autonomes d’Espagne, l’Andalousie a mis fin à 36 ans de pouvoir socialiste grâce au soutien du parti d’extrême droite, Vox, qui a remporté 12 sièges. Quant à l’Italie, après avoir affiché son soutien aux gilets jaunes la semaine dernière, son ministre de l’Intérieur Matteo Salvini cherche à forger des alliances entre extrême droite et droite dure en vue des élections européennes. En témoigne son récent déplacement à Varsovie le 9 janvier dernier pour y rencontrer les dirigeants du parti ultraconservateur Droit et Justice actuellement au pouvoir en Pologne. C’est dans ce contexte que l’Union européenne va devoir affronter en cette année 2019 un agenda chargé auquel figure le Brexit dont la date est fixée au 29 mars prochain si les négociations entre Theresa May et le Parlement britannique aboutissent ainsi que les élections européennes qui se tiendront les 23 et 26 mai prochain dans les 27 états membres et à l’issu desquelles 705 députés seront élus.
Rattrapée par des émoluments incompatible avec sa tâche, Chantal Jouanno a renoncé à organiser le Grand Débat voulu par Emmanuel Macron. S'en remettra-t-il, ce Grand Débat? La décision de la patronne de la Commission nationale du débat public est ce qui pouvait lui arriver de mieux, estime Christophe Barbier, et il finira par aboutir, à condition que ses initiateurs cessent d'encourager, à force de couacs, ceux, nombreux, qui n'en veulent pas. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Les titres du flash:- Grand débat national. Qui pour remplacer Chantal Jouanno, son organisatrice, qui a jeté l’éponge ?- Soldes d’hiver : c’est parti. Les commerçants espèrent rattraper leur petit chiffre d’affaires de novembre-décembre.- Le moral des ménages en décembre au plus bas… en plus de quatre ans, relève l’Insee.- Le secrétaire d’Etat Mounir Mahjoubi a fait changer sa voiture de fonction pour un autre modèle, plus luxueux, rapporte Le Canard enchaîné. Le secrétaire d’Etat au Numérique dément auprès de Capital.- Les migrants bloqués au large de Malte finalement autorisés à accoster. Malte et l’Union européenne vont annoncer un accord aujourd’hui, rapporte Le Monde.- Margot Robbie, actrice australienne, qui a été choisie pour incarner Barbie au cinéma. L’action Mattel flambe en bourse, rapporte BFM Bourse.Anne-Laetitia BéraudPour accéder aux précédents flashs de « Minute Papillon ! » sur mobile, avec :AndroidiOSPar l’onglet « 20 Minutes Podcast » sur la page d’entrée de notre site.Crédits sons : Longing - Joakim Karud/Musique libre de droits – Vibe With Me Joakim Karud/Audio Library - Density & Time/Audio Library- Rock Angel Joakim Karud/Bisquit soul de Noodgroove - Fugue Icons8.com/Looking in my eyes de Ann Abel - Fugue Icons8.com Pour plus d'informations sur la confidentialité de vos données, visitez Acast.com/privacy See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.