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Nucléaire iranien relancé, missiles balistiques, drones des Gardiens de la Révolution.À la veille d’un déplacement clé de Benjamin Netanyahu à Washington, Yonathan Keller remet de l’ordre dans les rapports israéliens alarmistes.
durée : 00:04:05 - Le monde à l'endroit - A l'arrêt depuis la catastrophe de Fukushima il y a quinze ans, la centrale nucléaire japonaise de Kashiwazaki-Kariwa doit redémarrer en janvier 2026 alors que le tabou du nucléaire, civil mais aussi militaire, s'estompe dans l'archipel. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Cette semaine, nous accueillons dans nos studios Christophe Agnus, auteur du livre “Le prix du silence”, un thriller sur un SNLE (sous-marin lanceur d'engins, le porteur de missiles nucléaires). Ancien journaliste, il est devenu expert des sous-marins.À noter que cette émission est disponible sur toutes les plateformes audio (Spotify, Deezer, Apple et Google Podcast), ainsi que sur YouTube.Pensez à vous abonner et à laisser une note de 5 étoiles pour aider à la faire connaître.Et si vous souhaitez soutenir notre média indépendant, vous pouvez également rejoindre notre espace premium sur defense-zone.com et mettre la main sur du contenu inédit ainsi que nos magazines papier !Nous vous souhaitons une bonne écoute.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Lorsqu'on met de côté la question des déchets radioactifs, le nucléaire reste l'une des rares sources d'énergie capables de produire massivement de l'électricité sans émissions de gaz à effet de serre. Son principal défaut demeure toutefois bien connu : les centrales sont longues et coûteuses à construire. Face à cette contrainte, une solution alternative gagne du terrain, notamment pour les sites isolés ou les infrastructures critiques : les microréacteurs nucléaires.C'est sur ce créneau que se positionne Radiant Nuclear. La start-up américaine vient d'annoncer une levée de fonds de plus de 300 millions de dollars pour accélérer la commercialisation de Kaleidos, un microréacteur nucléaire d'une puissance électrique d'un mégawatt. Radiant prévoit de construire une usine dans le Tennessee, capable de produire jusqu'à 50 unités par an. Concrètement, chaque microréacteur Kaleidos tient dans un volume équivalent à celui d'une semi-remorque. Il fournit non seulement un mégawatt d'électricité, mais aussi 1,9 mégawatt d'énergie thermique, exploitable pour le chauffage industriel ou la désalinisation de l'eau. Le système repose sur un combustible de nouvelle génération, le TRISO, réputé pour sa robustesse et sa sûreté. Une unité peut fonctionner cinq ans en continu avant d'être récupérée par Radiant pour être rechargée en combustible.Ces microréacteurs sont conçus pour être transportables, surveillés à distance, et interconnectables. Selon l'entreprise, plusieurs centaines d'unités pourraient être déployées ensemble, en fonction des besoins. Les cas d'usage ciblés sont variés : bases militaires, opérations de secours, sites industriels isolés ou zones où le réseau électrique est insuffisant. Le secteur des centres de données figure aussi dans le viseur. Si un microréacteur ne suffit pas à alimenter à lui seul les gigantesques infrastructures dédiées à l'intelligence artificielle — qui réclament désormais des puissances proches du gigawatt, comme chez Meta ou dans le projet Stargate — il peut néanmoins constituer un appoint stratégique. Radiant a déjà signé plusieurs accords, notamment pour équiper une base militaire américaine et fournir plusieurs dizaines d'unités à Equinix. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Il dit que la guerre entre la Russie et l'Europe a déjà commencé. Il souhaite envoyer un missile nucléaire sur Berlin. Intellectuel russe, proche des sphères du pouvoir, Sergueï Karaganov multiplie les déclarations chocs à l'égard du Vieux Continent, et semble davantage prêcher pour une Troisième Guerre mondiale que pour une paix en Ukraine. Avec quel poids au sein du Kremlin ? « Notre véritable adversaire est bien l'Europe. » « Cette guerre ne prendra fin qu'avec une défaite morale et politique de l'Europe. » L'Europe, « redevenue l'expression la plus absolue du Mal qui ronge l'humanité. » Tels sont les mots crus que Sergueï Karaganov a lâchés au début de ce mois de décembre 2025 sur la première chaîne de télévision russe, et que la revue Le Grand Continent a traduits en français. Une intervention évidemment destinée aux Européens, qui, selon lui, n'ont plus assez peur de la Russie. Pour cet intellectuel russe, « une façon de remettre les pendules à l'heure ce serait de se livrer à un tir d'arme nucléaire », relate Igor Delanoë, directeur adjoint de l'Observatoire franco-russe. « Ce serait un tir de démonstration. Le but ne serait pas de raser Kiev ou Varsovie. Mais sa grande théorie, c'est qu'il faudrait réinstiller la peur. » Premier holà du Kremlin, qui nuance de fait l'influence de Karaganov : « C'est dans cette séquence-là qu'il a été manifestement recadré par la diplomatie russe. Elle lui a demandé de lever le pied sur ces éléments de langage », ajoute le chercheur à l'Iris. Toujours est-il que cette escalade verbale coïncide avec l'escalade de ce qu'on appelle la guerre hybride. En cette fin d'année, la Russie est accusée d'incursions de drones, d'avions de chasse et même de sabotages à la bombe. Le tout dans le territoire de l'Union européenne. La frange radicale d'une galaxie de commentateurs mainstream Sergueï Karaganov a une voix qui porte, mais dont il faut nuancer la portée. Le politologue n'est ni porte-parole du Kremlin, ni conseiller officiel. Il s'inscrit dans une nébuleuse de commentateurs, journalistes, intellectuels et autres propagandistes. Parmi eux, beaucoup se réclament proches de Vladimir Poutine. La prudence reste donc de mise. « C'est très difficile de savoir qui a véritablement l'oreille de Vladimir Poutine », explique Cyrille Bret, chercheur associé à l'Institut Jacques Delors sur les enjeux relatifs à la Russie. « Ça participe d'ailleurs à la puissance du président russe : il ne laisse pas son entourage cartographié. » Une chose est sûre : Sergueï Karaganov fait partie de l'élite russe. Il est reconnu pour son expertise sur la politique internationale. Aujourd'hui président d'honneur du bureau du Conseil pour la politique extérieure et de défense, il a une longue carrière de chercheur et de conseiller depuis les années 1980. En fait, il est l'un des intellectuels qui ont le mieux réussi la transition entre l'ère soviétique et celle de la Fédération de Russie. Mais son discours radical n'en reste pas moins mainstream à Moscou. S'il a voix au chapitre, c'est parce qu'il sert le régime, comme l'indique Cyrille Bret : « La première vocation d'une voix telle que celle de Karaganov ou de [Alexandre] Douguine, ou d'autres théoriciens, c'est d'abord de faire entendre la voix de la Russie. La Russie considère qu'elle a été réduite au silence. Et c'est pour cette raison que des déclarations fracassantes servent l'intérêt national russe tel que Karaganov l'interprète : faire entendre la vision proprement russe, non occidentale, des relations internationales et des rapports entre la Russie et l'étranger. » De la doctrine Karaganov à l'eurasianisme 2022 a été une rupture pour Karaganov. Après l'invasion russe de l'Ukraine, il se détourne complètement de l'Occident, qu'il considère minoritaire. L'heure est à « une majorité globale » dirigée par la Russie. Son mépris pour l'Europe s'accentue tellement qu'il prône une stratégie sino-russe. Au point de devenir un chantre de l'eurasianisme. « Il appelle même à déplacer la capitale du pays pour matérialiser ce tournant ! », note Igor Delanoë. « Il veut bâtir une nouvelle capitale en Sibérie, de l'autre côté de l'Oural, qui permettrait d'ancrer dans la géographie ce tournant avec une capitale orientale au sens géographique du terme. » S'il veut laisser tomber l'Europe, c'est parce que, selon lui, le libéralisme a fait son temps. Les démocraties ne sont bonnes qu'à s'écrouler. L'Occident s'enfonce dans la décadence par la surconsommation, la mondialisation et le transhumanisme. Lui, décrit la Russie comme un empire asiatique. Finalement, le seul intérêt que Sergueï Karaganov continue de voir en Europe, c'est son vœu historique de récupérer les anciennes parties de l'Union soviétique. Il a même donné son nom à ce courant : la doctrine Karaganov. Elle postule que la Russie doit défendre les droits des ethnies russes dans les pays voisins. Un discours que partage Vladimir Poutine. À lire aussiGuerre en Ukraine: Vladimir Poutine assure que «la balle est dans le camp» de ses adversaires
Emmanuelle Galichet, enseignante chercheuse en physique nucléaire au CNAM, invitée de RTL ce vendredi 12 décembre au soir. L'autorité de sûreté nucléaire a donné son feu vert à EDF pour augmenter au-delà de 80%, le niveau actuel, la puissance du réacteur nucléaire de Flamanville.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans l'univers de l'armement moderne, une catégorie d'armes intrigue par sa puissance phénoménale : les bombes thermobariques. Parmi elles se trouve Gazap, considérée comme la bombe non nucléaire la plus puissante du monde. Au dernier salon international de l'industrie de la défense, en 2025 à Istanbul la République de Turquie l'a présentée. Ason nom circule depuis plusieurs années dans les analyses de défense, car elle représente l'aboutissement extrême d'une technologie conçue pour produire un souffle d'une intensité inégalée… sans recourir à l'énergie atomique.Une bombe thermobarique, ou « arme à effet de souffle amélioré », fonctionne selon un principe différent des explosifs classiques. Au lieu de contenir tout le comburant nécessaire dans l'ogive, elle disperse dans l'air un nuage d'aérosol explosif, puis l'enflamme. L'oxygène ambiant devient alors le carburant de la détonation. Résultat : une onde de choc extrêmement longue et destructrice, beaucoup plus intense qu'une explosion traditionnelle.Gazap — dont les caractéristiques exactes restent classifiées — est réputée surpasser largement ses équivalents américains, notamment la célèbre MOAB (« Mother of All Bombs »), qui libère l'équivalent de 11 tonnes de TNT. Les estimations, basées sur des essais publics et des données issues d'experts militaires, suggèrent que Gazap pourrait atteindre une puissance de 40 à 50 tonnes de TNT, soit près de quatre fois l'énergie libérée par la MOAB. Cette puissance titanesque en fait l'arme conventionnelle la plus redoutable jamais construite.Mais ce qui rend les armes thermobariques particulièrement impressionnantes — et controversées —, c'est leur mode d'action. L'explosion produit une dépression instantanée, suivie d'une surpression violente. Cette alternance détruit quasi automatiquement les structures, écrase les bunkers, et peut aspirer l'air présent dans les cavités fermées. Les températures générées dépassent parfois 2 000 °C, vaporisant tout ce qui se trouve dans la zone centrale.Les bombes comme Gazap sont principalement conçues pour détruire :des fortifications souterraines,des réseaux de tunnels,des grottes,des zones urbaines fortifiées.Leur efficacité est telle qu'un rayon de plusieurs dizaines de mètres devient littéralement inhabitable après l'impact, même sans radiation.Bien que non nucléaire, Gazap appartient à une catégorie d'armes dont l'effet psychologique et matériel rivalise avec celui de certaines charges atomiques tactiques. Son existence montre jusqu'où peut aller la technologie militaire moderne pour produire de la puissance sans franchir le seuil nucléaire.En résumé, Gazap n'est pas seulement une bombe : c'est un symbole de la capacité humaine à amplifier l'énergie explosive au-delà de tout ce qui était imaginable sans atome. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Ecoutez RTL Soir avec Vincent Parizot du 05 décembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
À l'heure actuelle, on stocke ces déchets dans des piscines de refroidissement et dans des sites sécurisés. Une situation qui ne peut continuer à long terme et face à laquelle nous devons trouver d'autres solutions. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le sujet :Et si les plus grandes opportunités d'investissement des dix prochaines années se trouvaient dans la deep tech européenne ? Quantique, spatial, nucléaire : découvrez comment investir dans ces secteurs stratégiques.L'invité du jour :Charles Beigbeder est le fondateur d'Audacia, une société de gestion indépendante.Au micro de Matthieu Stefani, il nous explique tout sur l'investissement dans la deep tech européenne :Les enjeux autour de la deep tech en EuropeLes quatre secteurs stratégiques de la deep techComment investir dans la deep techLes exonérations d'impôt à connaîtreLa rentabilité espérée et la durée moyenne d'investissementIls citent les références suivantes :L'épisode de GDIY avec Charles BeigbederRéduction d'impôt FCPIOn vous souhaite une très bonne écoute ! C'est par ici si vous préférez Apple Podcasts, ou ici si vous préférez Spotify.Et pour recevoir toutes les actus et des recommandations exclusives, abonnez-vous à la newsletter, c'est par ici.La Martingale est un podcast du label Orso Media.Merci à notre partenaire Enky de soutenir le podcast.Bénéficiez de 100€ à 300€ crédités selon le montant investi en cliquant sur ce lien.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:02:29 - France Inter sur le terrain - C'est la plus grande centrale nucléaire d'Europe, elle se trouve en Ukraine et elle est à l'arrêt, située dans un territoire occupé par la Russie. L'AIEA s'inquiète régulièrement du risque de catastrophe nucléaire : en cause notamment, l'incurie de Moscou dans la gestion quotidienne de la centrale. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Piero San Giorgio est un auteur survivaliste suisse et expert de l'effondrement économique et sociétal. Son dernier livre Survivre à la Peur (Tome 2) est disponible en prévente.Site officiel : piero.comYoutube : https://www.youtube.com/@1pierosangiorgioInstagram : https://www.instagram.com/piero_san_giorgio/Amazon : https://www.amazon.fr/Survivre-Peur-Piero-San-Giorgio/dp/2491861437?utmCHAPITRES :0:00 Introduction16:01 Effets immédiats d'une explosion nucléaire45:07 Les conséquences à long terme des radiations51:38 Réflexes face à une explosion nucléaire1:01:26 L'utilisation stratégique d'armes nucléaires1:03:00 Guerre nucléaire et doctrines1:06:33 Stratégies de bombardement1:07:42 Évolution des armes nucléaires1:10:43 Précision des armes modernes1:13:04 Objectifs militaires contemporains1:16:23 Doctrine de la peur1:18:55 Risque de guerre nucléaire1:22:50 Zones à risque1:29:01 Dissuasion et stratégie1:31:13 Guerre et conséquences1:34:25 Rôle des services secrets1:37:33 Alerte et préparation1:39:53 Réaction en cas d'attaque1:42:53 Gestion de la peur1:47:58 Imaginaire et réalité1:52:09 Scénarios post-apocalyptiques2:00:14 Préparation et résilienceBIOMÉCANIQUE :InstagramYoutubeSpotifyApple PodcastsDiscordWebsiteLa Lettre Biomécanique™ Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Les SMR (small modular reactor) peuvent représenter une solution efficace pour améliorer la souveraineté énergétique européenne et française. Mais la filière tricolore semble prendre du retard sur ses projets. ----------------------------------------------------------------------- SMART IMPACT - Le magazine de l'économie durable et responsable SMART IMPACT, votre émission dédiée à la RSE et à la transition écologique des entreprises. Découvrez des actions inspirantes, des solutions innovantes et rencontrez les leaders du changement.
Le 18 septembre 1980, dans un silo de l'Arkansas, une simple vérification de routine sur un missile Titan 2 bascule en cauchemar lorsqu'une douille échappée perce un réservoir de carburant hypertoxique. Tandis que le tétroxide d'azote envahit le puits, deux jeunes techniciens comprennent qu'une erreur minuscule menace désormais des millions de vies. Dans le centre de contrôle, les alarmes se déclenchent, la panique s'installe et la hiérarchie militaire se débat entre ignorance, procédures inadaptées et décisions tardives. De courageux volontaires descendent pourtant au cœur du silo, bien conscients qu'ils risquent d'y laisser leur vie pour tenter d'empêcher l'effondrement du missile. Quand l'explosion finit par déchirer la nuit, le site est pulvérisé, des blocs de béton retombent comme des météorites et la région se transforme en paysage d'apocalypse. Par miracle, l'ogive nucléaire de 9 mégatonnes n'explose pas, mais un homme meurt, plusieurs sont grièvement blessés et l'Amérique découvre à quel point son arsenal était vulnérable. Entre héroïsme sacrifié, secret défense et politique de dissuasion absurde, ce récit dévoile comment, à cause d'un simple outil mal enclenché, les États-Unis ont frôlé leur propre destruction nucléaire. Merci pour votre écoute Vous aimez l'Heure H, mais connaissez-vous La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiK , une version pour toute la famille.Retrouvez l'ensemble des épisodes de l'Heure H sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/22750 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : Un jour dans l'Histoire : https://audmns.com/gXJWXoQL'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvVous aimez les histoires racontées par Jean-Louis Lahaye ? Connaissez-vous ces podcast?Sous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppv36 Quai des orfèvres : https://audmns.com/eUxNxyFHistoire Criminelle, les enquêtes de Scotland Yard : https://audmns.com/ZuEwXVOUn Crime, une Histoire https://audmns.com/NIhhXpYN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce vendredi 21 novembre, Thierry Coville, chercheur à l'IRIS, spécialiste de l'Iran, était l'invité de Annalisa Cappellini dans Le monde qui bouge - L'Interview, de l'émission Good Morning Business, présentée par Laure Closier. Ils sont revenus sur la résolution adoptée par l'Agence internationale de l'énergie atomique demandant à l'Iran de coopérer pleinement sur son programme nucléaire.. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
durée : 00:02:29 - Bientôt chez vous - Aux États-Unis, l'armée n'échappe pas à l'intelligence artificielle jusqu'à évoquer l'idée, comme c'est le cas dans le dernier succès de Netflix "A House of dynamite", d'incorporer l'IA dans sa stratégie de dissuasion nucléaire. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Une nouvelle source d'énergie, quasi décarbonée, plus sûre et moins génératrice de déchets que la fission nucléaire ? C'est à cet objectif promis par la fusion nucléaire que s'accrochent, depuis des décennies, physiciens et ingénieurs.Mais ces dernières années, la construction du premier réacteur à fusion nucléaire semblait sans cesse s'éloigner – à l'image d'ITER, ce mégaprojet lancé en 2007 dans le sud de la France, dont le lancement a été reporté à 2032.Néanmoins, les bonnes nouvelles se sont récemment multipliées, au point de susciter un enthousiasme planétaire sur le sujet. La recherche a indéniablement progressé, notamment depuis qu'un laboratoire californien a réussi à prouver qu'une réaction de fusion nucléaire peut générer un gain d'énergie. Cette prouesse a libéré les appétits d'acteurs historiques, comme d'une cinquantaine de start-up, tous lancés dans la course à la fusion.Quels progrès scientifiques ont fait concrètement avancer les choses ? Par quels acteurs ? Et quel chemin reste-t-il à parcourir avant d'inaugurer la première centrale à fusion nucléaire ? Journaliste au service Sciences du Monde, David Larousserie résume, dans cet épisode du podcast « L'Heure du Monde », les dernières avancées scientifiques en la matière.Un épisode de Marion Bothorel. Réalisation : Quentin Tenaud. Musiques : Amandine Robillard. Présentation et rédaction en chef : Jean-Guillaume Santi. Dans cet épisode : extrait d'un reportage de France 3 Provence-Alpes-Côte d'Azur diffusé le 8 mai 2022.Cet épisode a été publié le 19 novembre 2025. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:04:29 - Le Reportage de la rédaction - Sur le plateau de Saclay, en région parisienne, une équipe de chercheurs pluridisciplinaire du CEA et du CNRS étudient la corrosion des métaux depuis la préhistoire jusqu'à aujourd'hui, afin de mieux les adapter aux changements climatiques et aux besoins de l'industrie nucléaire.
À la COP30 à Belém, l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) met en avant la contribution de la science et de la technologie nucléaires à la lutte contre le changement climatique à travers son pavillon Atoms4Climate.L'Agence organise des événements consacrés aux solutions énergétiques bas carbone, aux petits réacteurs modulaires, à la gestion durable de l'eau, à la sécurité alimentaire et à la protection des écosystèmes, tout en appuyant le Brésil dans la mise en place de mesures de sécurité nucléaire pour la conférence.L'AIEA souligne que l'énergie nucléaire constitue une source d'énergie propre ou à faibles émissions de carbone, et une option essentielle pour atténuer le changement climatique.Interrogé par Monica Grayley d'ONU Info à l'approche de la COP30, le chef de l'AIEA Rafael Mariano Grossi a rappelé que « l'énergie nucléaire joue à présent déjà un rôle très important dans la satisfaction des besoins énergétiques au monde » et que l'AIEA s'efforce « d'apporter des garanties et des éléments concrets de sûreté et de sécurité » pour accompagner les pays, y compris ceux en développement, qui souhaitent recourir à cette énergie.(Extrait sonore : Rafael Mariano Grossi, Directeur général de l'AIEA; propos recueillis par Monica Grayley, ONU Info)
Deux bombes en 1945, zéro depuis — mais depuis l'invasion en Ukraine, la menace gronde. Les armes nucléaires n'ont été utilisées militairement que deux fois, en 1945, par les États-Unis contre le Japon. Après avoir atteint un pic dans les années 1980, le nombre d'ogives a diminué, mais depuis l'invasion russe de l'Ukraine en 2022, la menace nucléaire se fait une place sur le devant de la scène. Véronique Stenger, historienne chargée de cours à l'Université de Genève, nous aide à comprendre la place des armes nucléaires dans l'arsenal militaire mondial. Journaliste : Grégoire Molle Réalisation : Jonah Dubois
durée : 00:04:29 - Le Reportage de la rédaction - Sur le plateau de Saclay, en région parisienne, une équipe de chercheurs pluridisciplinaire du CEA et du CNRS étudient la corrosion des métaux depuis la préhistoire jusqu'à aujourd'hui, afin de mieux les adapter aux changements climatiques et aux besoins de l'industrie nucléaire.
durée : 00:05:50 - Le Journal de l'éco - par : Anne-Laure Chouin - Avec le lancement de la construction de 6 réacteurs EPR2 en France, la filière nucléaire est en plein boom, et aiguise les appétits des investisseurs privés qui la poussent à se restructurer.
Le sujet n'est pas à l'ordre du jour de la COP30 et pourtant pour beaucoup il est une solution à la crise climatique. Le nucléaire civil progresse dans le monde, comme devrait le confirmer l'Agence internationale de l'énergie dans son rapport annuel attendu ce mercredi. Les tabous à l'égard du nucléaire sont-ils en train de tomber ? Jusqu'où cette source d'énergie peut-elle aller dans la production mondiale d'électricité ? Pour en débattre Léa Falco co-fondatrice de « Construire l'écologie »Autrice du livre Faire écologie ensemble : la guerre des générations n'aura pas lieu, éditions , rue de l'échiquierHervé Kempf, rédacteur en chef de Reporterre.net, essayiste, auteur du livre Le nucléaire n'est pas bon pour le climat, éditions seuil
Le sujet n'est pas à l'ordre du jour de la COP30 et pourtant pour beaucoup, il est une solution à la crise climatique. Le nucléaire civil progresse dans le monde, comme devrait le confirmer l'Agence internationale de l'énergie dans son rapport annuel attendu ce mercredi (12 novembre 2025). Les tabous à l'égard du nucléaire sont-ils en train de tomber ? Jusqu'où cette source d'énergie peut-elle aller dans la production mondiale d'électricité ? Pour en débattre : Léa Falco, co-fondatrice de « Construire l'écologie ». Hervé Kempf, directeur de la publication de Reporterre.net, essayiste, auteur du livre Le nucléaire n'est pas bon pour le climat, éditions Seuil.
durée : 00:13:42 - L'invité d'un jour dans le monde - Ce thriller, qui sort le 24 octobre dernier, pose une question : Comment bien se préparer à une attaque nucléaire ? Nous en discutons avec Michel Goya dans Un jour dans le monde Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:37:52 - Le 18/20 · Un jour dans le monde - Que faire lors d'une attaque nucléaire ? Dans son nouveau film, la réalisatrice américaine Kathryn Bigelow raconte comment les autorités américaines réagissent à l'envoi d'un missile nucléaire visant Chicago. Elle pose la question : sommes-nous bien préparés à une telle attaque ? Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:37:52 - Le 18/20 · Un jour dans le monde - Que faire lors d'une attaque nucléaire ? Dans son nouveau film, la réalisatrice américaine Kathryn Bigelow raconte comment les autorités américaines réagissent à l'envoi d'un missile nucléaire visant Chicago. Elle pose la question : sommes-nous bien préparés à une telle attaque ? Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Plongé sous les mers, il vit dans le secret absolu. Pierre a passé toute sa carrière dans les sous-marins, jusqu'à devenir commandant d'un vaisseau nucléaire. Seul à connaître la mission et la position du navire, il raconte la vie à bord, la discipline, la cohésion... Et l'incroyable expérience partagée avec Omar Sy, embarqué 24 heures à ses côtés pour le tournage du film "Le Chant du loup". Intervient également : Vincent Perrot, qui a lui-même vécu quatre jours en immersion dans un sous-marin nucléaire. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Richard Millet, écrivain - Hervé Poyet, Président d'Orphéopolis Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Richard Millet, écrivain - Hervé Poyet, Président d'Orphéopolis Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Donald Trump persiste : dans une interview diffusée ce dimanche (2 novembre 2025), le président américain affirme que la Chine et la Russie mèneraient des essais nucléaires, en toute discrétion. De quoi justifier, selon lui, que les États-Unis reprennent à leur tour ces essais, comme il le promet depuis plusieurs jours. La semaine dernière, c'est la Russie qui a fait étalage de ses moyens : le Kremlin s'est félicité des tests réussis d'un nouveau missile et d'un sous-marin capables de transporter des charges nucléaires. Ces différentes déclarations relèvent-elles juste l'affichage ? Ou la donne est-elle en train de changer ? Avec quelles conséquences pour les autres pays et la lutte contre la prolifération nucléaire ? Pour en débattre - Général Jérôme Pellistrandi, rédacteur en chef de la revue Défense nationale - Benjamin Hautecouverture, maître de recherches à la Fondation pour la recherche stratégique - Jean-Pierre Maulny, directeur adjoint de l'Institut de Relations internationales et stratégiques (IRIS).
Donald Trump persiste : dans une interview diffusée ce dimanche (2 novembre 2025), le président américain affirme que la Chine et la Russie mèneraient des essais nucléaires, en toute discrétion. De quoi justifier, selon lui, que les États-Unis reprennent à leur tour ces essais, comme il le promet depuis plusieurs jours. La semaine dernière, c'est la Russie qui a fait étalage de ses moyens : le Kremlin s'est félicité des tests réussis d'un nouveau missile et d'un sous-marin capables de transporter des charges nucléaires. Ces différentes déclarations relèvent-elles juste l'affichage ? Ou la donne est-elle en train de changer ? Avec quelles conséquences pour les autres pays et la lutte contre la prolifération nucléaire ? Pour en débattre - Général Jérôme Pellistrandi, rédacteur en chef de la revue Défense nationale - Benjamin Hautecouverture, maître de recherches à la Fondation pour la recherche stratégique - Jean-Pierre Maulny, directeur adjoint de l'Institut de Relations internationales et stratégiques (IRIS).
L'émission 28 minutes du 01/11/2025 Ce samedi, Benjamin Sportouch décrypte l'actualité avec le regard international de nos clubistes : Isabelle Durant, présidente du think tank Friends of Europe et experte au Conseil des droits de l'Homme, Jon Henley, correspondant Europe pour le quotidien “The Guardian”, Daniel Borrillo, juriste, professeur à l'université Paris-Nanterre et le dessinateur de presse Pierre Kroll. Victoire du RN à l'Assemblée nationale : la fin du cordon sanitaire ?C'est une victoire courte, à une voix près, mais symbolique. Le 30 octobre 2025, une proposition de loi émanant du Rassemblement national, visant à dénoncer l'accord migratoire franco-algérien de 1968, a été votée à l'Assemblée nationale, avec le concours des députés Horizons et Républicains. Nucléaire : risque d'escalade entre Poutine et Trump ?La Russie et les États-Unis se regardent en chien de faïence : en cause, les annonces croisées sur la dissuasion nucléaire de Donald Trump et Vladimir Poutine. Alors que le président russe s'est félicité de tests militaires pour un missile de croisière et un drone sous-marin pouvant porter des charges nucléaires, Donald Trump s'est empressé d'ordonner à son ministre de la Défense de reprendre des essais d'armes nucléaires. Nous recevons Hélène Tierchant, qui publie une réédition de son ouvrage "Les 100 plantes qui ont fait l'histoire, du lotus bleu de Cléopâtre à l'absinthe de Toulouse-Lautrec" (éditions Ulmer). Elle y revient sur la place de choix occupée par les plantes dans l'histoire. Valérie Brochard nous emmène chez nos chers voisins roumains, où l'inauguration de la plus grande cathédrale orthodoxe au monde fait polémique. Celle-ci a été financée en grande partie par l'État, alors que le pays manque d'écoles et d'hôpitaux et affiche un déficit conséquent. Olivier Boucreux décerne le titre d'employée de la semaine à Candace Owens, influenceuse complotiste de la sphère MAGA. Suivie par des millions d'abonnés en ligne, elle a donné un écho planétaire à la rumeur sur la transidentité de Brigitte Macron.Jean-Mathieu Pernin zappe sur la télévision nippone, où l'armée à été déployée pour lutter contre des attaques … d'ours, de plus en plus fréquentes et qui ont tué 10 personnes depuis le début de l'année.Natacha Triou nous invite à méditer : alors qu'Halloween est à peine passé, voilà que commencent déjà les préparatifs de Noël, un moment qui semble s'avancer d'année en année. Enfin, ne manquez pas Dérive des continents de Benoît Forgeard pour son édition spéciale en cette fête de la Toussaint : en fait-on assez avec les morts ? 28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 01 novembre 2025 Présentation Benjamin Sportouch Production KM, ARTE Radio
durée : 00:03:20 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Donald Trump a ordonné la reprise des tests des armes nucléaires, tandis que Vladimir Poutine vante les mérites de ses missiles et drones sous-marins à capacité nucléaire. Pourquoi cette agitation autour de l'arme nucléaire ? Il s'agit d'abord d'une arme psychologique. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Pour rejoindre le club Ownrs ➡️ https://link.influxcrew.com/OwnrsClub-Legend Merci à Cédric O'Neill, fondateur de Bricks, d'être venu nous voir chez LEGEND !Cédric a également créé le Ownrs Club : une communauté d'entraide dédiée à l'investissement immobilier. Il y partage ses conseils pour investir intelligemment (comment repérer les erreurs d'un bien, quelle stratégie adopter pour gérer son patrimoine..) et a pour objectif de rendre l'immobilier accessible à tous.Merci également à David et Remy, deux survivalistes passionnés, venus partager leurs expériences, conseils et leur vision de la préparation face aux différentes crises.Retrouvez la chaine Youtube de Rémy ➡️ https://www.youtube.com/@apprendrepreparersurvivre6007Et son site ➡️ https://apprendre-preparer-survivre.com/"Investir comporte des risques et ceci n'est pas un conseil en investissement. Vous devez vous former pour investir par vous même et faire travailler votre argent."Collaboration commercialeRetrouvez la boutique LEGEND ➡️: https://shop.legend-group.fr/Pour toutes demandes de partenariats : legend@influxcrew.comRetrouvez-nous sur tous les réseaux LEGEND !Facebook : https://www.facebook.com/legendmediafrInstagram : https://www.instagram.com/legendmedia/TikTok : https://www.tiktok.com/@legendTwitter : https://twitter.com/legendmediafrSnapchat : https://t.snapchat.com/CgEvsbWV Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:03:20 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Donald Trump a ordonné la reprise des tests des armes nucléaires, tandis que Vladimir Poutine vante les mérites de ses missiles et drones sous-marins à capacité nucléaire. Pourquoi cette agitation autour de l'arme nucléaire ? Il s'agit d'abord d'une arme psychologique. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
C dans l'air du 30 octobre 2025 : Trump / Poutine : la surenchère nucléaireLES EXPERTS :- GÉNÉRAL PATRICK DUTARTRE - Général de l'armée de l'Air et de l'Espace, ancien pilote de chasse- GALLAGHER FENWICK - Grand reporter, spécialiste des questions internationales- ISABELLE LASSERRE - Correspondante diplomatique - Le Figaro, ancienne correspondante en Russie- Alain BAUER - Professeur émérite au pôle sécurité et défense - Conservatoire national des arts et métiers, auteur de Au commencement était la guerre
C dans l'air du 30 octobre 2025 : Trump / Poutine : la surenchère nucléaireC'est une annonce surprise et un changement majeur de stratégie pour les États-Unis, qui avaient mis fin à leurs essais nucléaires en 1992. Dans un message publié sur son réseau social Truth Social, Donald Trump a indiqué avoir ordonné au département de la Guerre — le nom qu'il donne désormais à son ministère de la Défense — de « commencer à tester les armes nucléaires des États-Unis ». Une décision qu'il justifie par les « programmes d'essais menés par d'autres pays », sans préciser lesquels.Cette annonce intervient dans un contexte hautement sensible : quelques minutes seulement avant sa rencontre très attendue avec son homologue chinois Xi Jinping, et peu après que le président russe Vladimir Poutine s'est félicité de la réussite de l'essai d'un nouveau missile à propulsion nucléaire, le Bourevestnik, d'une « portée illimitée » et capable, selon le Kremlin, de contourner les systèmes d'interception américains. Un engin qui, en théorie, pourrait frapper le territoire des États-Unis. « Poutine ferait mieux de mettre fin à la guerre en Ukraine », a d'ailleurs commenté le président américain.Si l'annonce de Moscou a été jugée « inappropriée » par Washington, le président russe est allé plus loin, annonçant le test d'un drone sous-marin à capacité nucléaire.Autant de déclarations qui ravivent une atmosphère rappelant celle de la Guerre froide, à quelques mois de l'expiration du traité de désarmement New START — prévu en février 2026 —, qui limite les arsenaux nucléaires de la Russie et des États-Unis. Une tension qui s'ajoute à la reprise de la course aux armements observée un peu partout sur la planète.Alors, que signifient ces annonces autour du nucléaire ? Que sait-on du missile russe Bourevestnik, présenté par Vladimir Poutine comme une arme « unique que personne d'autre dans le monde ne possède » ? Véritable prouesse technologique ou simple instrument de propagande ? Enfin, que se joue-t-il au Venezuela ?Alors que Caracas et Moscou ont renforcé leurs coopérations sur presque tous les plans au fil des années, rebattant ainsi les cartes dans la région, les pressions américaines s'accentuent.Depuis plusieurs semaines, l'administration américaine mène des opérations militaires en mer des Caraïbes au nom de la lutte contre le narcotrafic, revendiquant dix frappes qui auraient fait au moins 43 morts. Le président américain a autorisé la CIA à mener des opérations clandestines et étudie désormais la possibilité de frappes terrestres sur le sol vénézuélien.Jusqu'où ira l'escalade ?LES EXPERTS :- GÉNÉRAL PATRICK DUTARTRE - Général de l'armée de l'Air et de l'Espace, ancien pilote de chasse- GALLAGHER FENWICK - Grand reporter, spécialiste des questions internationales- ISABELLE LASSERRE - Correspondante diplomatique - Le Figaro, ancienne correspondante en Russie- Alain BAUER - Professeur émérite au pôle sécurité et défense - Conservatoire national des arts et métiers, auteur de Au commencement était la guerre
Derrière chaque accord international, il y a des centaines, des milliers d'heures de travail - des courriers, des réunions, des textes modifiés, tout cela en toute discrétion. C'est le propre de la diplomatie. Dans le dossier nucléaire iranien, pendant 20 ans, la troïka européenne (Allemagne, France et Royaume-Uni), la Chine, la Russie et les États-Unis ont négocié pas à pas pour arriver à un accord avec l'Iran. La diplomatie française a joué un rôle clef dans ces tractations. Avec notre invité : Vahid Shamsoddinnezhad, journaliste à la rédaction en persan de RFI, réalisateur du documentaire «Nucléaire iranien : la France au cœur du brasier». «Le nucléaire iranien : la France au cœur du brasier» est en libre consultation sur la chaîne youtube de RFI.
Ecoutez Le Cave' réveil avec Alex Vizorek du 27 octobre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:09:36 - L'invité de 7h50 - par : Benjamin Duhamel - Kathryn Bigelow, réalisatrice oscarisée pour "Démineurs" en 2010, voit dans son film “A house of dynamite”, sur Netflix le 24 octobre, une "mise en garde" sur le danger que représente l'arme nucléaire pour le monde. - invités : Kathryn BIGELOW - Kathryn Bigelow : Réalisatrice Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
L'intelligence artificielle consomme une énergie colossale. Pour faire tourner leurs data centers, les géants du numérique — Microsoft, Google, Amazon — se tournent vers… le nucléaire. Julien Villeret, directeur de l'innovation d'EDF.En partenariat avec EDFÀ l'occasion du World Nuclear Exhibition, il revient sur les innovations qui révolutionnent la filière et sur le rôle central que le nucléaire est appelé à jouer dans la transition énergétique et le développement de l'IA.
durée : 00:09:36 - L'invité de 7h50 - par : Benjamin Duhamel - Kathryn Bigelow, réalisatrice oscarisée pour "Démineurs" en 2010, voit dans son film “A house of dynamite”, sur Netflix le 24 octobre, une "mise en garde" sur le danger que représente l'arme nucléaire pour le monde. - invités : Kathryn BIGELOW - Kathryn Bigelow : Réalisatrice Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Au début des années 1950, c'est pendant la guerre de Corée (1950-1953) que l'arme nucléaire a failli redevenir une arme de champ de bataille. Après l'offensive nord-coréenne de juin 1950, le débarquement d'Inchon permet aux forces de l'ONU, commandées par le général Douglas MacArthur, de reprendre l'avantage. Mais lorsque la Chine entre massivement dans la guerre à la fin de l'année, tout bascule : les troupes onusiennes reculent, Séoul est menacée, et l'état-major américain envisage des options jusque-là impensables.MacArthur propose alors de frapper les ponts et les bases chinoises en Mandchourie avec des bombes atomiques tactiques, afin de couper les lignes d'approvisionnement le long du fleuve Yalou. Il évoque même l'idée d'un « cordon sanitaire » radioactif, une zone contaminée rendant certains passages infranchissables pendant des mois. À Washington, le Conseil de sécurité nationale étudie sérieusement plusieurs scénarios d'emploi. Le Strategic Air Command met en alerte ses escadrons de bombardiers B-29, tandis que des composants de bombes sont discrètement transférés vers Guam et Okinawa. Des vols d'entraînement simulant des frappes nucléaires sont effectués — preuve que l'hypothèse n'était pas purement théorique.Mais à la Maison-Blanche, le président Harry Truman s'inquiète. Depuis 1949, l'Union soviétique possède elle aussi la bombe atomique. Employer l'arme en Corée risquerait de provoquer une riposte soviétique ou une escalade incontrôlable menant à une nouvelle guerre mondiale. Le Premier ministre britannique Clement Attlee, alarmé, se rend même à Washington en décembre 1950 pour dissuader les Américains de franchir la ligne rouge. Finalement, Truman tranche : il refuse l'usage du nucléaire et, face aux déclarations publiques de MacArthur en faveur d'un élargissement du conflit, le limoge le 11 avril 1951.Son successeur, le général Matthew Ridgway, parvient à stabiliser le front, et la guerre s'enlise dans une longue impasse. L'administration Eisenhower, en 1953, continuera d'agiter la menace nucléaire pour hâter les négociations, mais sans passer à l'acte. Le 27 juillet 1953, un armistice est signé à Panmunjom.Cet épisode reste un tournant majeur : pour la première fois, une puissance dotée de la bombe choisit l'autolimitation. Face au risque d'apocalypse, les États-Unis ont compris que le coût moral, politique et stratégique d'une frappe nucléaire dépassait de loin tout avantage militaire immédiat. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Après des études de droit en RDC et en Belgique, Blaise Ndala s'installe au Canada en 2007. Il travaille pour Avocats Sans Frontières Canada, puis il intègre le Bureau de l'Enquêteur correctionnel. Son précédent roman, «Dans le ventre du Congo», a reçu le prix Ahmadou Kourouma, le prix Ivoire et le prix Cheikh Hamidou Kane. Son nouveau livre «L'équation avant la nuit» révèle le rôle du Congo belge et de ses réserves d'uranium dans la course entre les Alliés et l'Allemagne nazie pour la fabrication de la bombe atomique. Lorsque Daniel Zinga accepte l'invitation de Beatriz Reimann pour une conférence à Washington, il s'attend à parler de littérature, du Congo au cœur de ses livres, et à nourrir le trouble que la professeure exerce sur lui. Mais rien ne se passe comme prévu. Beatriz a reçu un courrier anonyme : une vieille photo où posent côte à côte son père Walter Reimann, le prix Nobel de Physique Werner Heisenberg et Adolf Hitler. Que faisait son père avec ces hommes ? Pour Daniel et Beatriz, c'est le début d'une enquête entre Washington, Santiago, Montréal, Berlin et Lubumbashi qui explore cette page méconnue de l'histoire de la Seconde Guerre mondiale : la course entre les Alliés et l'Allemagne nazie pour fabriquer la bombe atomique grâce à l'uranium du Congo belge. Un grand roman sur la trahison, le pardon, l'engagement, la place de ces peuples des «marges», dont le destin a forgé la grande Histoire. (Présentation des éditions J.-C. Lattès). Illustration musicale : Fela Kuti «Mister follow follow».
Aujourd'hui, Antoine Diers, consultant, Joëlle Dago-Serry, coach de vie, et Emmanuel de Villiers, entrepreneur, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Un an après sa création, l'Etat d'Israël se dote d'un service de renseignements. Depuis plus de 75 ans, le Mossad mène des opérations spéciales en dehors de ses frontières. De l'arrestation d'Adolf Eichmann, ancien tortionnaire nazi retrouvé en Argentine en 1960, à l'explosion synchronisée de milliers de bippers au Liban en septembre 2024, le “gardien” d'Israël a su se forger une solide réputation. Mais l'agence et ses espions suscitent aussi beaucoup de fantasmes. Dans cette série, on vous emmène à la découverte de cet organe bien mystérieux, avec Yvonnick Denoël, historien, spécialiste du renseignement, auteur du livre Les guerres secrètes du Mossad (Nouveau Monde Editions). Episode 3 : les archives du nucléaire iranien et le show de 2018. Retrouvez tous les détails de l'épisode ici et inscrivez-vous à notre newsletter. L'équipe : Écriture et présentation : Charlotte Baris Montage et réalisation : Jules Krot Crédits : Le Monde, INA, Euronews Musique et habillage : Emmanuel Herschon / Studio Torrent Logo : Jérémy Cambour Pour nous écrire : laloupe@lexpress.fr Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Nucléaire iranien : la Russie et la Chine volent au secours de Téhéran Trump lorgne sur le Groenland Le coup de théâtre de François Bayrou Retailleau contre Darmanin : le duel pour l'Élysée Laurent Vinatier, français et prisonnier politique en Russie
Long-term financial growth can be supported by good debt, while bad debt typically carries high costs and offers limited financial benefits.Today's Stocks & Topics: FPI - Farmland Partners Inc. (NYS), DASH - DoorDash Inc. (NAS), OPRA - Opera Ltd. ADR (NAS), CASY - Casey's General Stores Inc. (NAS), questions from our YouTube channel viewers: CAL - Caleres Inc. (NYS), and NUCL vs URNG - ; plus Justin's market wrap, and Justin's talking points: 'Bank Performance'-- mega vs regional, and 'What Is Dutch Disease?'-- The U.S. exports dollars and takes on debt... (Justin explains)Our Sponsors:* Check out Avocado Green Mattress: https://avocadogreenmattress.com* Check out Ka'Chava and use my code INVEST for a great deal: https://www.kachava.com* Check out Mint Mobile: https://mintmobile.com/INVESTTALK* Check out Progressive: https://www.progressive.comAdvertising Inquiries: https://redcircle.com/brands