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Trois ans après la Nuit du 12, récit d'une enquête policière sur un féminicide qui avait décroché sept Césars, le réalisateur Dominik Moll est de retour avec Dossier 137. Ce film, qui était en compétition au dernier festival de Cannes, s'intéresse de nouveau à un service de police : l'IGPN, la police des polices, saisie pour un cas de violence policière en marge d'une manifestation des Gilets jaunes. À lire aussiCinéma: «La Nuit du 12» triomphe à la 48e cérémonie des César
Trois ans après la Nuit du 12, récit d'une enquête policière sur un féminicide qui avait décroché sept Césars, le réalisateur Dominik Moll est de retour avec Dossier 137. Ce film, qui était en compétition au dernier festival de Cannes, s'intéresse de nouveau à un service de police : l'IGPN, la police des polices, saisie pour un cas de violence policière en marge d'une manifestation des Gilets jaunes. À lire aussiCinéma: «La Nuit du 12» triomphe à la 48e cérémonie des César
durée : 00:28:38 - Les Midis de Culture - par : Marie Labory - Après le primé "La Nuit du 12" et son immersion dans les services de la police judiciaire de Grenoble, Dominik Moll pose ses caméras dans les locaux de l'IGPN, la police des polices, en pleine crise des Gilets jaunes pour "Dossier 137". - réalisation : Laurence Malonda - invités : Dominik Moll Réalisateur et scénariste français
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, prof d'histoire-géo, Laura Warton Martinez, sophrologue, et Charles Consigny, avocat, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Rencontre avec le cinéaste Thomas Kruithof. Les braises, son nouveau film, plonge au cœur du mouvement des Gilets jaunes, commencé en novembre 2018, à travers le portrait d'un couple : Karine, interprétée par Virginie Efira, et Jimmy, interprété par Arieh Worthalter. Lui est chauffeur routier, elle est ouvrière en usine. Quand Karine rejoint les ronds-points et les manifestations, c'est tout l'équilibre de leur relation qui se fissure.
Rencontre avec le cinéaste Thomas Kruithof. Les braises, son nouveau film, plonge au cœur du mouvement des Gilets jaunes, commencé en novembre 2018, à travers le portrait d'un couple : Karine, interprétée par Virginie Efira, et Jimmy, interprété par Arieh Worthalter. Lui est chauffeur routier, elle est ouvrière en usine. Quand Karine rejoint les ronds-points et les manifestations, c'est tout l'équilibre de leur relation qui se fissure.
durée : 00:08:31 - Les sorties cinéma de la semaine - par : Christine Masson, Laure DELMAS - Le couple à l'épreuve des Gilets jaunes, le rêve piétiné d'un architecte, Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:39:36 - Questions du soir : le débat - par : Astrid de Villaines, Stéphanie Villeneuve - Dans le contexte d'une actualité anxiogène et d'un accroissement des inégalités sociales, la politique vient réveiller les affects des citoyens. La colère est une émotion revendiquée par ceux et celles qui se mobilisent lors de mouvements sociaux tels que les Gilets jaunes ou Bloquons tout. - invités : Serge Tisseron Psychiatre; Eva Illouz Sociologue; Eric La Blanche essayiste et journaliste scientifique
durée : 00:39:36 - Questions du soir : le débat - par : Astrid de Villaines, Stéphanie Villeneuve - Dans le contexte d'une actualité anxiogène et d'un accroissement des inégalités sociales, la politique vient réveiller les affects des citoyens. La colère est une émotion revendiquée par ceux et celles qui se mobilisent lors de mouvements sociaux tels que les Gilets jaunes ou Bloquons tout. - invités : Serge Tisseron Psychiatre; Eva Illouz Sociologue; Eric La Blanche essayiste et journaliste scientifique
Le film "Les Braises", de Thomas Kruithof, sort mercredi 5 novembre. Il raconte une histoire d'amour traversée par le mouvement des Gilets jaunes. Ecoutez Le journal inattendu avec Stéphane Boudsocq du 01 novembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Bienvenue dans le 125ème épisode de "Chez Kevin Razy". Deux fois par semaine, on se retrouve ici pour parler de ce qui se passe dans la vie comme dans un groupe WhatsApp. On ne s'interdit aucun sujet.Pour soutenir notre podcast :https://fr.tipeee.com/ckr-podcast/Rejoins notre canal Telegram :https://t.me/CKRnews▬▬▬▬▬▬ DANS CET EPISODE ▬▬▬▬▬▬▬Cette semaine, on revient sur :Arthur servi sur un plateau par Léa Salamé : storytelling victimisation vs réalité (et qui m'a déconseillé de signer une pétition pour le cessez-le-feu et la libération des otages, déjà ?).Palestiniens refoulés en France pendant que les instances internationales parlent de génocide : double standard XXL.Debunk d'un influenceur droitard contre Manon Aubry : chiffres, assiduité, commissions… et le mythe Bardella “gros bosseur” qui s'écroule.Enrico Macias sur RTL : violons + intox = la Cuenta approche.Goldnadel vs l'ONU : “si la police vient pour mon vélo, c'est la police le problème ?”.Pascal Praud choqué qu'on dise “Marine Le Pen est d'extrême droite”.Simon Moos (tweet immonde) : noté.Léon Defontaine démonte calmement Rachel Khan : les faits plus forts que la propagande.Le Scan de Razy :Lecornu 2 : casting express (34 ministres) et déjà des casseroles (Jeanbrun…).Laurent Nunez à l'Intérieur : le monsieur “aucun regret” sur les Gilets jaunes. Tout un symbole.Shannon Seban tour de piste : éléments de langage, approximations et trois claques politiques (Obono, Clouet… puis tout le monde).Partagez, commentez, débunkez▬▬▬▬▬▬▬ ON EN A PARLE ▬▬▬▬▬▬▬▬Livres :"Fake news: Évite de tomber dans le piège !" Kevin Razy, Hamza Garrush : https://amzn.to/3S9rOSz▬▬▬▬▬▬▬▬▬ LA TEAM ▬▬▬▬▬▬▬▬▬Host : Kevin RazyRéalisation & Montage : Gaëlle Cany Canian Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Pour écouter l'émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Pourquoi la France est-elle ce pays où la rue écrit l'Histoire ?Des canuts de Lyon à Mai 68, de la Commune aux Gilets jaunes, en passant par le Front populaire, la Résistance, les luttes féministes et les marches pour le climat, chaque génération a inventé ses colères et ses espérances.À travers deux siècles de révoltes, de grèves, de barricades et d'utopies, cette grande fresque raconte comment les mouvements sociaux ont façonné la démocratie française. Une histoire vibrante, pleine de récits, de visages et de surprises, qui montre que les droits d'aujourd'hui sont les conquêtes d'hier… et que l'avenir reste à écrire. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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C dans l'air du 4 octobre 2025 - La semaine cruciale de LecornuIl renonce à utiliser le 49.3. Sébastien Lecornu a pris la parole ce vendredi depuis l'hôtel de Matignon pour tenter de convaincre les oppositions de ne pas le censurer à la suite de son discours de politique générale (prévu ce 7 octobre). Mais si Marine Le Pen salue « un geste respectueux », Jean-Luc Mélenchon met en doute sa sincérité, « On te croit pas . Tu n'as pas l'intention de gouverner sans nous forcer le moment venu » a déclaré le leader insoumis.Alors que le nouveau gouvernement n'a toujours pas été annoncé, et que le projet de budget 2026 reste « peu précis » pour le Rassemblement national, « insuffisant » pour les socialistes, le risque est réel que la gauche et le RN fasse tomber le Premier ministre dès la semaine prochaine. Pendant ce temps, la colère sociale s'intensifie, cette attente ne faisant qu'alimenter l'exaspération des Français.Le pouvoir d'achat, lui, est une des préoccupations principales des Français, qui sont de plus en plus nombreux à avoir des fins de mois difficiles. Un secteur en pâtit : l'immobilier. 30% du budget des ménages est consacré au logement et en un an, le nombre de ventes immobilières a baissé de 17 %. Si acheter est difficile, louer n'est pas plus aisé, avec de lourdes conséquences sur tout un secteur.Au moment des Gilets jaunes, la colère sociale avait été consignée dans 20.000 cahiers de doléances, regroupant plus de 200.000 contributions qui n'ont jamais été publiées dans leur intégralité. Leur contenu reste pourtant d'actualité. C dans l'air est allé à la rencontre d'une archiviste indignée par le « mépris » avec lequel ces cahiers ont été traités.Alors, Lecornu peut-il éviter la censure ? Pourquoi le secteur immobilier est-il en crise ? Que sont devenus les cahiers de doléances des Français ?LES EXPERTS :- Olivier BEAUMONT - Chef-adjoint au service politique du Parisien/Aujourd'hui en France - Nathalie SAINT-CRICQ - Éditorialiste politique à France Télévisions - Béatrice MATHIEU - Grand reporter à L'Express - Gaël SLIMAN - Président et cofondateur - Institut de sondages Odoxa
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Merci à PlaudAI de sponsoriser cette vidéo ! Cliquez ici pour précommander votre Plaud Note Pro ou bénéficier de 10% de réduction sur les autres produits :https://link.influxcrew.com/Plaud-LEGEND10Retrouvez la boutique LEGEND ➡️ https://shop.legend-group.fr/Merci à Édouard Philippe d'être venu nous voir chez LEGEND ! Premier ministre de 2017 à 2020, sous la présidence d'Emmanuel Macron, il a dû gérer trois grandes crises : les Gilets jaunes, la pandémie de Covid-19 et la réforme des retraites. À Matignon, il a commencé à voir son apparence physique changer à cause d'une maladie appelée le vitiligo. Le 3 juillet 2020, il a fini par démissionner de ses fonctions de Premier ministre, avant d'annoncer sa candidature à l'élection présidentielle de 2027.L'instagram d'Edouard Philippe ➡️ https://www.instagram.com/edouardphilippelh/Et celui d'Horizon ➡️ https://www.instagram.com/horizonsleparti/Pour toutes demandes de partenariats : legend@influxcrew.comRetrouvez-nous sur tous les réseaux LEGEND !Facebook : https://www.facebook.com/legendmediafrInstagram : https://www.instagram.com/legendmedia/TikTok : https://www.tiktok.com/@legendTwitter : https://twitter.com/legendmediafrSnapchat : https://t.snapchat.com/CgEvsbWV Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Vu sur Gilets jaunes, gilets verts ? (interview de Matthieu Trichet) Pour ce numéro de Rien à voir, magazine de la rédaction d'Alternantes fm, nous accompagnons dans la rue Matthieu Trichet (doctorant en économie à l'Université Sorbonne Paris Nord). Matthieu Trichet est intervenu dans le cadre de l'Huma-café de Nantes sur le thème : Gilets jaunes et transition écologique : adhésion ou rejet ? Un magazine de Michel Sourget […] Cet article provient de Radio AlterNantes FM
A Quinta República foi desenhada por De Gaulle para ser estável, mas o esgarçamento das prerrogativas presidenciais por Macron ajudou a pôr o país num ciclo contínuo de crise. Thomás Zicman de Barros, analista político Em meio à convulsão social e à crise política que têm marcado a França, vale tomar recuo. É fácil perder o foco nas intrigas palacianas, nas disputas no Parlamento, nos cálculos eleitorais e no jogo de culpas sobre quem acendeu o estopim de confrontos entre polícia e manifestantes. Quando afastamos a câmera, no entanto, a imagem fica nítida: Emmanuel Macron tem grande responsabilidade na instabilidade de um regime desenhado para ser estável. Como adiantei há duas semanas, na segunda-feira, 8 de setembro, a Assembleia Nacional derrubou o então primeiro-ministro François Bayrou: a confiança no governo foi rejeitada por 364 votos a 194. No dia seguinte, sem surpreender ninguém, Macron nomeou Sébastien Lecornu — um de seus aliados mais próximos — para o cargo. Ainda assim, a cena é espantosa: Lecornu é o quinto primeiro-ministro desde a reeleição de Macron, em 2022. Sim, o quinto — depois de Élisabeth Borne, Gabriel Attal, Michel Barnier e o próprio Bayrou. E os quatro últimos se revezaram só no último ano. Por que isso chama a atenção? Porque a Quinta República foi desenhada por Charles de Gaulle para estabilizar a política francesa, marcada, no pós-guerra, por crises sucessivas. O arranjo institucional levou ao limite o poder presidencial. Antes de chegar ao Palácio do Élysée, François Mitterrand descreveu esse desenho como um “golpe de Estado permanente”, por permitir que presidentes carismáticos tutelassem o Parlamento e contornassem o Legislativo por meio de referendos. Em 2000, a redução do mandato presidencial para cinco anos e a sincronização do calendário com as legislativas reforçaram ainda mais a estabilidade, praticamente eliminando a coabitação — quando o presidente perde a maioria e precisa nomear um primeiro-ministro da oposição. À luz disso, a crise quase permanente dos últimos anos salta aos olhos. É verdade que a turbulência é global. Mas Macron tem contribuído para agravá-la. Desde 2017, ele usa mal a poderosa caixa de ferramentas do presidencialismo francês — a ponto de desgastá-la. Seus predecessores, mesmo fortes, procuravam exercer prerrogativas dialogando com as forças sociais e políticas, os chamados “corpos intermediários”. Macron, jovem, ousado e estreante que por um capricho da história chegou ao topo, escolheu a via oposta. Chegou a descrever os franceses como “gauleses refratários à mudança”, dependentes do Estado, e defendia transformar o país numa “start-up nation” de cima para baixo — o que implicava pouco ou nenhum diálogo com sindicatos, prefeitos e partidos. Esse voluntarismo sem lastro levou à crise dos Gilets jaunes (Coletes amarelos), que incendiou o país entre o fim de 2018 e o início de 2019. Em 2022, veio a façanha: garantir a própria reeleição e, ao mesmo tempo, perder a maioria parlamentar — algo que poucos julgavam possível. Em 2024, ao tentar reverter o quadro com uma dissolução surpresa da Assembleia, reduziu ainda mais a bancada presidencial e agravou a crise de legitimidade. Ao longo de todo esse período, Macron — que em 2019 chegou a evocar De Gaulle para sustentar que um presidente sem apoio popular deveria renunciar, como o próprio fez em 1969 após perder um referendo — recusou-se a mudar de rumo. Preferiu explorar uma Assembleia fragmentada para fazer avançar políticas sem apoio majoritário. O resultado está à vista: em vez de “virar a página” da extrema direita, como havia prometido, os anos de Macron no poder assistiram à normalização e ao fortalecimento desse campo. Enquanto isso, a insatisfação que não encontra saída no Parlamento transborda novamente para as ruas. Lecornu tomou posse em 9 de setembro, na véspera do primeiro ato do movimento “Bloquons tout” (“Vamos bloquear tudo”). E, nesta quinta, 18 de setembro, está previsto o segundo momento da mobilização social, com as principais centrais convocando uma greve nacional. Em resumo: Macron conseguiu pôr uma República desenhada para a estabilidade no centro de um redemoinho. E não importa quantos primeiros-ministros se sucedam: a crise não se resolverá sem conversa, compromisso, concessões — e uma mudança de rumo capaz de reconstruir maiorias populares.
Ils s'appellent les «Gilets jaunes», les «Indignés», les «Nuit Debout», ou plus récemment les «Bloquons Tout». En France, ces dernières années, les mouvements sociaux ont souvent été incarnés par des organisations apparues spontanément au gré des sujets de crispation. Question : ces mouvements ont-ils volé la vedette aux organisations syndicales, celles qui étaient traditionnellement à l'origine des mobilisations, au fond, les syndicats sont-ils dépassés lorsqu'il s'agit de mobiliser ? Pour en débattre - Baptiste Talbot, secrétaire confédéral à la CGT - Yves Sintomer, politologue, professeur de Science politique à l'Université Paris 8 - Sylvain Boulouque, historien, spécialiste des mouvements sociaux, auteur du livre La grange aux belles. Quand les communistes flinguaient les anarchistes, éditions du Cerf.
Ils s'appellent les «Gilets jaunes», les «Indignés», les «Nuit Debout», ou plus récemment les «Bloquons Tout». En France, ces dernières années, les mouvements sociaux ont souvent été incarnés par des organisations apparues spontanément au gré des sujets de crispation. Question : ces mouvements ont-ils volé la vedette aux organisations syndicales, celles qui étaient traditionnellement à l'origine des mobilisations, au fond, les syndicats sont-ils dépassés lorsqu'il s'agit de mobiliser ? Pour en débattre - Baptiste Talbot, secrétaire confédéral à la CGT - Yves Sintomer, politologue, professeur de Science politique à l'Université Paris 8 - Sylvain Boulouque, historien, spécialiste des mouvements sociaux, auteur du livre La grange aux belles. Quand les communistes flinguaient les anarchistes, éditions du Cerf.
Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 12 septembre 2025.Avec cette semaine :Matthias Fekl, avocat et ancien ministre de l'Intérieur.Nicole Gnesotto, vice-présidente de l'Institut Jacques Delors.Marc-Olivier Padis, directeur des études de la fondation Terra Nova.Richard Werly, correspondant à Paris du quotidien helvétique en ligne Blick.CENSURE, RUE, GRÈVE : DANS QUELLE CRISE SOMMES-NOUS ?Lundi, le premier ministre François Bayrou n'a pas obtenu la confiance des députés n'obtenant que 194 voix contre 364. Après sa démission le président de la République a nommé Premier ministre Sébastien Lecornu. Depuis sa réélection en 2022, Emmanuel Macron a désigné cinq Premier ministres. Elisabeth Borne, Gabriel Attal,puis Michel Barnier, dont le gouvernement n'a duré que trois mois, le plus court jamais enregistré sous ce régime et le premier de la Vème République à être censuré par l'Assemblée nationale. François Bayrou, censuré à son tour par l'Assemblée, n'aura duré que neuf mois.Cette crise politique s'accompagne d'une crise économique et budgétaire profonde à laquelle s'ajoute une crise sociale, avec des appels au blocage du pays le 10 septembre et à la grève le 18. Jérôme Fourquet, directeur du département opinion de l'Ifop, observe que « la division des forces politiques au point qu'une majorité semble introuvable est le reflet de l'archipellisation de la France ». Des divisions sociologiques, politiques et idéologiques qui fracturent le pays bien au-delà de l'ancien clivage droite-gauche.Dans la rue, si la France ne s'est retrouvée ni bloquée ni à l'arrêt mercredi, de nombreuses actions ont eu lieu toute la journée partout dans le pays, avec des rassemblements d'ampleur dans certaines villes – entre 197.000 et 250.000 - personnes recensées – et une très forte présence des forces de l'ordre. Né en mai à l'initiative d'un site souverainiste, proche de la droite et de l'extrême droite, "Bloquons tout" a été repris et développé par des sympathisants de la gauche radicale. Le conflit des « Gilets jaunes » comme le rendez-vous de mercredi s'inscrivent dans la continuité d'une série de mobilisations citoyennes 2.0, qui se sont succédées depuis le référendum sur le traité constitutionnel européen de 2005. Les deux mouvements partagent la même forme d'auto-organisation horizontale en réseaux que celle des Gilets jaunes et une absence de leader. Toutefois, une récente enquête menée sous l'égide de la Fondation Jean Jaurès, souligne que le profil des animateurs de Bloquons tout est assez différent de celui des Gilets jaunes. Il s'agirait de citoyens plus jeunes, plus actifs, plus politisés et plus proches de la gauche radicale. Appartenant aux classes moyennes, ils sont souvent diplômés du supérieur. Seulement 27% d'entre eux prirent d'ailleurs part à la révolte des ronds-points de 2018. La plupart des organisations de salariés se sont placés à distance de l'initiative. Seuls, Solidaires et la CGT ont soutenu la démarche du 10 septembre. Le 18 septembre sera une journée d'action à l'appel de l'intersyndicale qui avait mené le combat contre la réforme des retraites et dénoncé la copie budgétaire de François Bayrou.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:06:29 - L'invité de 6h20 - par : Mathilde MUNOS - Au lendemain de la journée de mobilisation "Bloquons tout", retour sur le profil des manifestants avec Magali Della Sudda, directrice de recherche en sciences politiques au CNRS, au Centre Émile Durkheim à Bordeaux. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
C dans l'air du 10 septembre 2025 - Lecornu arrive...Les blocages s'installent ?Il faut « des ruptures sur le fond » et « pas que sur la forme ». Le ministre des Armées, nommé mardi soir par Emmanuel Macron, a pris le relais de François Bayrou à Matignon lors d'une passation de pouvoir éclair, mercredi à la mi-journée. Après avoir remercié son prédécesseur pour son « extraordinaire courage », le nouveau Premier ministre a promis d'être « plus créatif » et « plus sérieux dans la manière de travailler avec nos oppositions ».« On va y arriver », a-t-il lancé, avant de débuter, cet après-midi, une série de consultations des partis politiques. Il doit en effet s'entretenir avec le patron de Renaissance, Gabriel Attal, Bruno Retailleau et Laurent Wauquiez pour LR, ainsi qu'Édouard Philippe pour Horizons. Dans la matinée, Sébastien Lecornu a également échangé par téléphone avec la secrétaire nationale des Écologistes, Marine Tondelier, et le Premier secrétaire du PS, Olivier Faure, sans qu'un rendez-vous n'ait, pour l'heure, été fixé avec eux à Matignon. Il a par ailleurs affirmé souhaiter s'entretenir rapidement avec les forces syndicales.En tant que Premier ministre, Sébastien Lecornu a été chargé par Emmanuel Macron de trouver des « accords » avec les forces politiques du pays, avant de « proposer » un gouvernement. Une tâche qui s'annonce complexe pour le nouveau locataire de Matignon, ministre sans interruption depuis juin 2017, tant le contexte est éruptif : sans majorité à l'Assemblée nationale, il prend la suite de deux gouvernements renversés, alors que la France connaît, ce 10 septembre, une journée de manifestations et de blocages avec le mouvement « Bloquons tout ».Sur fond de colère sociale et de sentiment de déni de démocratie, des appels « à tout bloquer » ont été lancés sur les réseaux sociaux au cœur de l'été, à la suite de la présentation par François Bayrou du projet de budget 2026. Soutenu par la suite par les partis de gauche du NFP et les syndicats — dont certains ont appelé à se joindre à la mobilisation — le mouvement connaît une traduction concrète ce mercredi sur le territoire. Et il prend de nombreuses formes : grève de la carte bancaire, distributions de tracts, barrages filtrants, blocages de routes et de lycées, manifestations…Expression d'un ras-le-bol français, ce mouvement est-il inédit ou similaire à celui des Gilets jaunes ? Peut-il durer dans le temps ? La nomination de Sébastien Lecornu à Matignon apaisera-t-elle ou attisera-t-elle la colère sociale ?Le Premier ministre s'est dit convaincu « qu'il n'y a pas de chemin impossible » et a promis des ruptures, sans en dire beaucoup plus sur les chantiers qu'il compte mener. Mais il a donné rendez-vous très bientôt : « J'aurai l'occasion de m'exprimer devant les Français », a-t-il lancé.LES EXPERTS :- Pascal PERRINEAU - Politologue, professeur à Sciences Po Paris, auteur de "Le goût de la politique. Un observateur passionné de la Vème République", publié chez Odile jacob- Nathalie SCHUCK - grand reporter pour le magazine Le Point, autrice d'une biographie de Bruno Retailleau intitulée Le Cardinal chez Robert Laffont- Soazig QUEMENER - Rédactrice en chef à la Tribune Dimanche- Gaël SLIMAN - Président et cofondateur de l'Institut de sondages Odoxa
durée : 00:46:43 - Le 18/20 · Le téléphone sonne - Annoncée de longue date, cette journée a évolué au cours des dernière semaines. Très citoyenne et revendiquée apolitique, façon Gilets jaunes, elle a progressivement été ralliée par certains partis de gauche et syndicats. Peut-on mieux dessiner le mouvement et tirer de premières conclusions ? Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Aujourd'hui, c'est au tour d'Ingrid Levavasseur, ancienne figure du mouvement des Gilets jaunes, de faire face aux GG. - L'émission de libre expression sans filtre et sans masque social… Dans les Grandes Gueules, les esprits s'ouvrent et les points de vue s'élargissent. 3h de talk, de débats de fond engagés où la liberté d'expression est reine et où l'on en ressort grandi.
Une première journée sous haute tension pour le nouveau Premier ministre français Sébastien Lecornu nommé mardi soir. Car c'est une journée de mobilisation partout en France ce mercredi. « Bloquons tout », c'est le nom de ce mouvement multiforme qui s'est structuré en dehors des partis politiques et des syndicats : il est né de manière spontanée sur les réseaux sociaux. Point commun chez les personnes mobilisées : une forte colère sociale. Des grèves, blocages et manifestations sont attendus partout dans le pays. Et parmi les protestataires, on retrouve des « Gilets jaunes », du nom de cette mobilisation citoyenne lancée en 2018 et qui s'est ensuite essoufflée. Cette nouvelle sociale leur redonne l'espoir de changements profonds. Certains s'organisaient dès hier soir. Reportage à Saint-Brice-Sous-Forêt, au nord de Paris. À écouter aussiEn France, la colère sociale monte avant la chute probable du gouvernement Bayrou
durée : 00:38:10 - L'Invité(e) des Matins - par : Guillaume Erner, Yoann Duval - En cette rentrée agitée, la France semble traversée par une colère permanente. Après les Gilets jaunes et “c'est Nicolas qui paie”, le mouvement “Bloquons tout” appelle à paralyser le pays le 10 septembre. Mais au-delà des slogans, que nous disent ces mobilisations sur l'état de notre démocratie ? - réalisation : Félicie Faugère - invités : Gérard Noiriel Historien, directeur d'études à l'EHESS, spécialiste de l'immigration et de l'histoire de la classe ouvrière.; Antoine Bristielle Chercheur en science politique, directeur de l'observatoire de l'opinion de la fondation Jean Jaurès
François Bayrou sera-t-il encore Premier ministre la semaine prochaine ? «Bloquons Tout» sera-t-il un nouveau moment Gilets jaunes ? Dans « La Story », le podcast d'actualité des « Echos », Pierrick Fay et ses invitées reviennent sur un mois de septembre à haut risque. « La Story » est un podcast des « Echos » présenté par Pierrick Fay. Cet épisode a été enregistré en septembre 2025. Rédaction en chef : Clémence Lemaistre. Invitées : Isabelle Ficek (journaliste au service politique des Echos) et Leila de Comarmond (journaliste au service France des Echos). Réalisation : Willy Ganne. Chargée de production et d'édition : Michèle Warnet. Musique : Théo Boulenger. Identité graphique : Upian. Photo : Dimitar Dilkoff/AFP . Sons : France 24, BFM TV, TF1,Retrouvez l'essentiel de l'actualité économique grâce à notre offre d'abonnement Access : abonnement.lesechos.fr/lastory Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
François Bayrou sera-t-il encore Premier ministre la semaine prochaine ? «Bloquons Tout» sera-t-il un nouveau moment Gilets jaunes ? Dans « La Story », le podcast d'actualité des « Echos », Pierrick Fay et ses invitées reviennent sur un mois de septembre à haut risque. Episode 2/2A lire aussi : « Bloquons tout », un mouvement porté par les sympathisants de la gauche radicale« La Story » est un podcast des « Echos » présenté par Pierrick Fay. Cet épisode a été enregistré en septembre 2025. Rédaction en chef : Clémence Lemaistre. Invitées : Isabelle Ficek (journaliste au service politique des Echos) et Leïla de Comarmond (journaliste au service France des Echos). Réalisation : Willy Ganne. Chargée de production et d'édition : Michèle Warnet. Musique : Théo Boulenger. Identité graphique : Upian. Photo : Dimitar Dilkoff/AFP . Sons : France 24, BFM TV, TF1, LCI, extrait «La compil' des gilets jaunes», extrait «Le poison» 1951. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:03:31 - Va savoir - par : Chloé Leprince - La toute première étude sur la sociologie et les ressorts de la mobilisation pour le blocage du 10 septembre révèle qu'il ne s'agit pas d'une redite des Gilets jaunes mais qu'avec eux, ceux qui se préparent à tout bloquer partagent un désir de démocratie directe. Portrait en contrastes.
Ao repetir que não renunciará, Emmanuel Macron reforça exatamente a hipótese que tenta afastar. Entre a queda anunciada de François Bayrou, a pressão das ruas e a ausência de maioria parlamentar, o presidente francês se vê cada vez mais isolado. Thomás Zicman de Barros, analista político Poucas frases são tão perigosas na boca de um governante quanto “não vou renunciar”. Quando precisa pronunciá-la, é porque a ideia já circula no ar. Afinal, se a renúncia fosse impensável, por que mencioná-la em voz alta? A política, como a psicanálise, tem esse paradoxo: quanto mais se tenta negar, mais a hipótese ganha corpo. Na semana passada, diante da crise política que se agrava na França, Emmanuel Macron repetiu que cumprirá até o fim o mandato que lhe foi confiado. Mas, ao insistir nisso, deixa entrever que o contrário — sua queda antecipada — ronda os bastidores da Quinta República. O desmentido de Macron vem em meio à crise que ameaça derrubar seu premiê, François Bayrou. O primeiro-ministro se vê acuado tanto no Parlamento quanto nas ruas. A crise parlamentar tem data marcada: Bayrou pediu que a Assembleia Nacional lhe dê um voto de confiança no dia 8 de setembro diante das dificuldades pressentidas em aprovar um orçamento austero — cortes de gastos, supressão de feriados, medidas justificadas em nome de uma crise fiscal. Ele sabe, porém, que a chance de conseguir esse apoio é quase nula — não menos porque a crise fiscal é responsabilidade dos próprios macronistas, que governam o país faz oito anos —, e que será levado a entregar o cargo. É curioso notar que o dia da iminente queda de Bayrou foi escolhido para reduzir danos: em 10 de setembro está agendado o grande movimento de protesto Bloquons tout (Bloqueemos tudo), comparado aos Gilets jaunes (Coletes amarelos), que, com apoio sindical, promete parar o país. A aposta do governo é que a saída do premiê na véspera esvazie a mobilização. Apenas a saída de Bayrou, porém, não reduz as dificuldades de Macron. Talvez apenas as acelere num ritmo mais contido. O problema é mais profundo. Desde sua reeleição em 2022, ele nunca contou com maioria sólida, nem parlamentar, nem social. A dissolução surpresa do parlamento, em 2024, que pretendia virar o jogo, apenas agravou a fragilidade, reduzindo ainda mais sua base e produzindo um legislativo fragmentado. Apesar da instabilidade, o presidente não aceitou rever sua linha programática, insistindo em reformas e austeridade que parecem cada vez mais em descompasso com os anseios dos cidadãos. Macron insiste que não deseja nova dissolução, porque o país precisa de estabilidade. Mas ele e seus partidários temem, acima de tudo, repetir uma dissolução que apenas reduza ainda mais seus assentos, intensificando a paralisia do país e a impopularidade do presidente. Com a queda do governo Bayrou — o quarto desde 2022, um recorde na Quinta República, concebida justamente para garantir estabilidade política —, Macron provavelmente buscará nomear outro premiê do seu campo capaz de costurar alianças mais amplas. É provável que, em troca de apoio, ofereça concessões cosméticas, celebradas como grandes vitórias pela direita e pelos socialistas – e descumpridas tão logo a crise imediata esteja contida. Mas sem inflexões na sua política, e diante da pressão das ruas, a equação pode não fechar. E, caso mais um governo caia ou o orçamento não seja aprovado, o presidente poderá ser empurrado a dissolver novamente a Assembleia e convocar eleições antecipadas. A extrema direita e a esquerda radical, que lideram as forças de oposição, parecem as mais interessadas em colocar o presidente contra a parede. Não querem, sobretudo, parecer em descompasso com a onda de protestos que prometia eclodir. Mas a verdade é que os cálculos políticos de todos os lados são arriscados, e nenhum campo está em posição confortável. Todos os partidos já estavam com as energias voltadas para as eleições municipais do próximo ano e se veem pouco preparados para legislativas antecipadas. A extrema-direita veria vantagem em ampliar sua bancada, mas não tem resposta para a inelegibilidade de Marine Le Pen, sua líder incontornável. A esquerda radical, por sua vez, aposta no cenário inverso: busca agravar a crise para precipitar a queda de Macron e abrir caminho a uma eleição presidencial, na qual Jean-Luc Mélenchon, em campanha permanente, poderia enfim se impor. No curto prazo, porém, legislativas antecipadas tenderiam a resultar em incerteza, já que a esquerda segue marcada por suas fraturas expostas — sobretudo entre a França Insubmissa e os socialistas — e, se disputar desunida, corre o risco de perder assentos. As crises políticas constantes na França, no Parlamento e nas ruas, revelam um presidente em descompasso com o país. Mais do que isso, expõem uma crise de regime: um sistema que permite a governantes insistirem em sua linha política mesmo contra amplas parcelas da população. De fato, a Constituição francesa protege Macron. Não há mecanismos que o obriguem a renunciar, e é improvável que ele o faça. O cenário mais plausível é o de um presidente administrando a ingovernabilidade como pato manco até o fim do mandato, daqui a um ano e meio. Mas o simples fato de ter que negar a renúncia já é, em si, sinal de que seu poder vacila.
“Si tu fais mourir tes sols, tu n'as plus de yaourt demain, donc tu n'as plus de dividendes demain.”Notre planète est dans l'impasse et notre industrie aussi.Selon l'un des plus grands ex-patron du CAC40 et aujourd'hui l'un des activistes avec le plus d'impact au monde.Arrivé au comité exécutif de Danone à 29 ans, Emmanuel Faber reste 30 ans dans le groupe et lance des politiques audacieuses sur le plan social comme écologique.Aujourd'hui il a rejoint les institutions internationales engagées pour le climat avec une approche pragmatique : le changement ne peut tenir que s'il est soutenu par des intérêts économiques. Et il rappelle une donnée choc : avec seulement 1% des capitaux mondiaux, la transition énergétique et alimentaire est à notre portée.Et pour ça, il faut créer une compétitivité écologique et sociale avec ce nouveau système qu'Emmanuel participe à construire.Déjà chez Danone durant la restructuration, il avait choisi de protéger les 20% les moins payés — ce qui ne revenait pas plus cher que de couper dans les gros salaires.Il a d'ailleurs reversé son propre salaire de PDG à des associations.Obsédé depuis toujours par l'altérité, il a également passé du temps à la rencontre des plus démunis allant jusque dans les bidonvilles, les mouroirs et au cœur des campagnes du Bangladesh.Dans cet épisode, Emmanuel commence par décrypter les rouages de la macroéconomie mondiale — les normes qui seront bientôt appliquées et les institutions clefs de la comptabilité de demain.Puis il partage ses anecdotes les plus marquantes, et les clés applicables par tous pour éviter la catastrophe qui s'annonce.Entre chefs d'États, dirigeants de multinationales et ONG, Emmanuel Faber pilote les prochaines politiques et de la transformation à venir de l'économie mondiale.À écouter impérativement pour se préparer au mieux et comprendre les dessous de l'économie globale.TIMELINE:00:00:00 : Les coulisses des Forums mondiaux00:16:09 : L'altérité comme nécessité existentielle00:22:27 : Aller jusque dans les bidonvilles et les mouroirs pour répondre à une question : y a-t-il une justice ?00:37:07 : La nouvelle norme mondiale pour éviter le pire00:45:31 : Comment transformer une grande entreprise de l'intérieur00:59:05 : La seule façon de bien réorganiser une entreprise : pourquoi protéger les moins rémunérés01:19:30 : Ce que doit faire la finance mondiale pour survivre01:43:03 : Rémunération et héritage : le problème éternel de la répartition02:01:59 : La Chine est déjà en avance sur la transition02:22:28 : La fausse bonne idée : embêter les PME/TPE02:37:51 : Convaincre tout le CAC40 pour un plan social02:46:37 : Gilets jaunes, Calais, la laitière du Bangladesh02:58:52 : La véritable économie loin des KPI déconnectées03:08:42 : L'impact dramatique de l'industrie alimentaire sur le règne animalLes anciens épisodes de GDIY mentionnés : #284 - Pierre-Édouard Stérin - Otium Capital - Milliardaire et saint dans une même vie#98 Pierre-Édouard Stérin - Smartbox - Entreprendre, gagner des centaines de millions pour tout distribuer à 50 ans#483 - Carlos Ghosn - Out of the box : masterclass business de l'évadé du siècle#472 - Jean-Marc Jancovici - The Shift Project, Carbone4 - L'Europe est dans la seringue : ce qui doit changer dans les 10 prochaines années#284 - Pierre-Édouard Stérin - Otium Capital - Milliardaire et saint dans une même vie#401 - Emmanuel Macron - Président de la République - Les décisions les plus lourdes se prennent seul#480 - Esther Perel - Psychothérapeute - Comment réparer l'atrophie sociale avec l'experte mondiale des relations humainesNous avons parlé de :DanoneVEJAForum social mondialREF25The Consumer Goods ForumNutriciaDanone EcosystemAquaLegris IndustriesFranck Riboud ex-PDG DanoneInstitutional Investor (magazine)WhiteWave FoodsThe Potsdam Institute for ClimateTask Force on Climate Related Financial DisclosuresLa "tragédie des horizons”Action Tank Entreprise et PauvretéMuhammad Yunus (homme d'État bangladais)Trek Chamonix-ZermattDocu GR20Discours d'Emmanuel Faber en 2016Les recommandations de lecture :Un autre monde est possible (changer le monde nouveau mode d'emploi)Chemins de traverseOuvrir une voieMain basse sur la cité: Éthique et entrepriseHard Things - Entreprendre dans l'incertitude: Entreprendre dans l'incertitudeCompetitive Advantage: Creating and Sustaining Superior PerformanceCompetitive Advantage of Nations: Creating and Sustaining Superior PerformanceLes Conquérants de l'inutileN'oublie pas les chevaux écumants du passéPlan de transformation de l'économie française (PTEF)Vous pouvez contacter Emmanuel sur LinkedIn, Instagram.Vous souhaitez sponsoriser Génération Do It Yourself ou nous proposer un partenariat ?Contactez mon label Orso Media via ce formulaire.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L'émission 28 minutes du 26/08/2025 Ovidie et Anna Mouglalis : deux voix pour un même combat Dans “La chair est triste hélas” (publié aux éditions Julliard), Ovidie, autrice féministe de documentaires et d'essais sur la sexualité, raconte pourquoi elle a décidé de “faire la grève du sexe et de la simulation”. Paru en 2023, ce texte qui “est fort comme un essai féministe mais n'est ni un manifeste, ni un essai, ni un projet de société” a trouvé sa voix : celle de l'actrice Anna Mouglalis qui le porte au Théâtre de l'Atelier, à Paris, à partir du 9 septembre. Pour ce seule en scène, l'ancienne actrice de films X et docteure en lettres a choisi une comédienne engagée et féministe, peut-être parce que, comme elle, elle a longtemps été considérée comme un “corps” : celui d'une actrice et d'une mannequin. Anna Mouglalis “se nourrit de ses combats”. Elle a porté plainte pour agression sexuelle contre Jacques Doillon aux côtés de Judith Godrèche et Isild Le Besco. Cette année, elle a également interprété le rôle-titre de “Phèdre” dans une adaptation post #Metoo de l'œuvre de Racine. Nous les recevons ce soir dans notre émission. Vote de confiance : prise de conscience ou “désarroi démocratique” ?François Bayrou a annoncé le 25 août qu'il engagera la responsabilité de son gouvernement lors d'un vote de confiance à l'Assemblée nationale le 8 septembre prochain dans un moment qualifié de “préoccupant et décisif”. Les menaces de censure de son gouvernement ne faiblissent pas depuis l'annonce de mesures budgétaires à la mi-juillet pour réduire le déficit public. À la fin du mois de juillet, un appel au “blocage total” du pays le 10 septembre a été lancé sur les réseaux sociaux pour contester le budget. Ce mouvement n'est pas sans rappeler celui des Gilets jaunes, né sur internet en 2018. Les oppositions, du Rassemblement national à La France insoumise en passant par le Parti socialiste, ont d'ores et déjà annoncé qu'elles ne voteraient pas la confiance. Le Premier ministre a répété qu'il serait prêt à discuter toutes les mesures proposées dans son plan d'économies de 44 milliards d'euros et à entendre d'autres propositions, une fois la confiance votée. Ce risque politique est le seul moyen, selon François Bayrou, pour que les Français “prennent conscience de la gravité de la situation”. Face à la menace de censure et de blocage du pays, un dialogue politique, social et citoyen est-il encore possible en France ?Enfin, à l'occasion de sa première exposition en Europe, Xavier Mauduit nous raconte l'histoire de l'australopithèque Lucy, longtemps décrite comme la grand-mère de l'humanité, dont la filiation directe avec l'espèce humaine est contestée. Marie Bonnisseau revient sur le succès de l'été, celui des peluches “Labubu”, invention du fabricant chinois Pop Mart qui en vend 10 millions chaque mois dans le monde. 28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 26 août 2025 Présentation Élisabeth Quin Production KM, ARTE Radio
L'émission 28 minutes du 26/08/2025 Vote de confiance : prise de conscience ou “désarroi démocratique” ?François Bayrou a annoncé le 25 août qu'il engagera la responsabilité de son gouvernement lors d'un vote de confiance à l'Assemblée nationale le 8 septembre prochain dans un moment qualifié de “préoccupant et décisif”. Les menaces de censure de son gouvernement ne faiblissent pas depuis l'annonce de mesures budgétaires à la mi-juillet pour réduire le déficit public. À la fin du mois de juillet, un appel au “blocage total” du pays le 10 septembre a été lancé sur les réseaux sociaux pour contester le budget. Ce mouvement n'est pas sans rappeler celui des Gilets jaunes, né sur internet en 2018. Les oppositions, du Rassemblement national à La France insoumise en passant par le Parti socialiste, ont d'ores et déjà annoncé qu'elles ne voteraient pas la confiance. Le Premier ministre a répété qu'il serait prêt à discuter toutes les mesures proposées dans son plan d'économies de 44 milliards d'euros et à entendre d'autres propositions, une fois la confiance votée. Ce risque politique est le seul moyen, selon François Bayrou, pour que les Français “prennent conscience de la gravité de la situation”. Face à la menace de censure et de blocage du pays, un dialogue politique, social et citoyen est-il encore possible en France ?On en débat avec Pierre-Henri Tavoillot, philosophe, maître de conférences à Sorbonne Université, Aurore Malval, grand reporter au service politique de “Marianne” et François Boulo, ancien avocat, ancien porte-parole des Gilets jaunes. 28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 26 août 2025 Présentation Élisabeth Quin Production KM, ARTE Radio
L'émission 28 minutes du 12/08/2025 Au programme de l'émission 28 minutes :Le journaliste fondateur du “Courrier des Balkans”, Jean-Arnault Dérens, publie “Géopolitique de l'orthodoxie - De Byzance à la guerre en Ukraine”, un livre dans lequel il tente de comprendre et de décrypter la complexité d'une religion hantée “par l'unité”, et qui compte près de 300 millions de fidèles.Jeudi 7 août, Benjamin Netanyahou a annoncé l'occupation militaire totale de la bande de Gaza par Israël. Cette annonce a suscité des tensions de la communauté internationale : l'Allemagne a annoncé cesser en partie ses livraisons d'armes à l'État hébreu, et de plus en plus de pays occidentaux s'apprêtent à reconnaître la Palestine. Mais aussi des familles d'otages israéliens, qui attendent un accord qui permettrait la libération de leurs proches. Enfin de l'extrême droite, qui fait partie de la coalition gouvernementale et prône le nettoyage ethnique de Gaza pour y implanter des colonies. L'union sacrée consécutive aux attaques du 7-Octobre est-elle en train de se fissurer ?Alors que les orientations du budget 2026 se précisent, la colère gronde. Droit au chômage périclité, suppression de jours fériés, fonctionnaires non remplacés : les sujets de griefs sont nombreux pour les syndicats, qui prévoient une rentrée mouvementée. Le mouvement "Bloquons tout !" devrait aussi être de la partie, avec une indépendance qui rappelle les Gilets jaunes. La colère sociale aura-t-elle raison de François Bayrou ? On en débat avec Isabelle Durant, experte droit au développement au Conseil des Droits de l'Homme, Gilles Gressani, directeur de la revue Le Grand Continent, et Julie Graziani, essayiste.Puis, Victor Dekyvère nous raconte comment le statut de fou du roi est passé de honteux à enviable.Enfin, Quentin Darmon nous emmène en Corée du Nord, où Kim Ju-ae, fille du dictateur Kim Jong-un, semble en pôle position pour prendre la succession de son père. Théophile Cossa nous explique comment les jeux mondiaux de Chine mettent à l'honneur des sports ne figurant pas aux Jeux olympiques.28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 12 août 2025 Présentation Jean-Mathieu Pernin Production KM, ARTE Radio
L'émission 28 minutes du 12/08/2025 Nos invités Isabelle Durant, experte droit au développement au Conseil des Droits de l'Homme, Gilles Gressani, directeur de la revue Le Grand Continent, et Julie Graziani, essayiste, débattent de deux actualités : Jeudi 7 août, Benjamin Netanyahou a annoncé l'occupation militaire totale de la bande de Gaza par Israël. Cette annonce a suscité des tensions de la communauté internationale : l'Allemagne a annoncé cesser en partie ses livraisons d'armes à l'État hébreu, et de plus en plus de pays occidentaux s'apprêtent à reconnaître la Palestine. Mais aussi des familles d'otages israéliens, qui attendent un accord qui permettrait la libération de leurs proches. Enfin de l'extrême droite, qui fait partie de la coalition gouvernementale et prône le nettoyage ethnique de Gaza pour y implanter des colonies. L'union sacrée consécutive aux attaques du 7-Octobre est-elle en train de se fissurer ?Alors que les orientations du budget 2026 se précisent, la colère gronde. Droit au chômage périclité, suppression de jours fériés, fonctionnaires non remplacés : les sujets de griefs sont nombreux pour les syndicats, qui prévoient une rentrée mouvementée. Le mouvement "Bloquons tout !" devrait aussi être de la partie, avec une indépendance qui rappelle les Gilets jaunes. La colère sociale aura-t-elle raison de François Bayrou ? 28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 12 août 2025 Présentation Jean-Mathieu Pernin Production KM, ARTE Radio
durée : 00:04:32 - Le Billet politique - par : Jean Leymarie - Six ans après les Gilets jaunes et le grand débat national, deux études passent au crible les nombreuses contributions, grâce à l'intelligence artificielle.
durée : 00:48:17 - La Terre au carré - par : Mathieu Vidard - À 23 ans, Salomé Saqué se fait connaître grâce à des vidéos devenues virales sur les Gilets jaunes. Elle entre en 2021 dans le média Blast. À l'occasion de l'entretien, la journaliste ardéchoise se livre sur son rapport à la nature et la naissance de son engagement. - invités : Salomé Saqué - Salomé Saqué : Journaliste et autrice française - réalisé par : Jérôme BOULET
durée : 00:02:17 - Le brief politique - Le site "Le Projet France" vient d'être créé en ce mois de juin. Les responsables politiques qui ont eu cette idée estiment être arrivés au bout du système. Ils s'inspirent du mouvement des Gilets jaunes et des cahiers de doléances.
durée : 00:37:24 - Bistroscopie - par : Charline Vanhoenacker - Barack Obama la décrit comme "community organizer" auprès des populations rurales et périurbaines. Elle a grandi dans un hameau de l'Ain, et après Sciences Po, s'est formée aux techniques de mobilisation aux États-Unis. Rencontre avec une figure de la nouvelle génération politique non-encartée. - invités : Lumir Lapray - Lumir Lapray : Activiste française - réalisé par : François AUDOIN
En 2016, en plein dans les manifestations des Gilets jaunes, Jean-Luc Mélenchon appelait à de nouvelles élections, à condition qu'on vote pour lui ! Tous les jours, retrouvez le meilleur de Laurent Gerra en podcast sur RTL.fr, l'application et toutes vos plateformes.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.