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Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 12 septembre 2025.Avec cette semaine :Matthias Fekl, avocat et ancien ministre de l'Intérieur.Nicole Gnesotto, vice-présidente de l'Institut Jacques Delors.Marc-Olivier Padis, directeur des études de la fondation Terra Nova.Richard Werly, correspondant à Paris du quotidien helvétique en ligne Blick.CENSURE, RUE, GRÈVE : DANS QUELLE CRISE SOMMES-NOUS ?Lundi, le premier ministre François Bayrou n'a pas obtenu la confiance des députés n'obtenant que 194 voix contre 364. Après sa démission le président de la République a nommé Premier ministre Sébastien Lecornu. Depuis sa réélection en 2022, Emmanuel Macron a désigné cinq Premier ministres. Elisabeth Borne, Gabriel Attal,puis Michel Barnier, dont le gouvernement n'a duré que trois mois, le plus court jamais enregistré sous ce régime et le premier de la Vème République à être censuré par l'Assemblée nationale. François Bayrou, censuré à son tour par l'Assemblée, n'aura duré que neuf mois.Cette crise politique s'accompagne d'une crise économique et budgétaire profonde à laquelle s'ajoute une crise sociale, avec des appels au blocage du pays le 10 septembre et à la grève le 18. Jérôme Fourquet, directeur du département opinion de l'Ifop, observe que « la division des forces politiques au point qu'une majorité semble introuvable est le reflet de l'archipellisation de la France ». Des divisions sociologiques, politiques et idéologiques qui fracturent le pays bien au-delà de l'ancien clivage droite-gauche.Dans la rue, si la France ne s'est retrouvée ni bloquée ni à l'arrêt mercredi, de nombreuses actions ont eu lieu toute la journée partout dans le pays, avec des rassemblements d'ampleur dans certaines villes – entre 197.000 et 250.000 - personnes recensées – et une très forte présence des forces de l'ordre. Né en mai à l'initiative d'un site souverainiste, proche de la droite et de l'extrême droite, "Bloquons tout" a été repris et développé par des sympathisants de la gauche radicale. Le conflit des « Gilets jaunes » comme le rendez-vous de mercredi s'inscrivent dans la continuité d'une série de mobilisations citoyennes 2.0, qui se sont succédées depuis le référendum sur le traité constitutionnel européen de 2005. Les deux mouvements partagent la même forme d'auto-organisation horizontale en réseaux que celle des Gilets jaunes et une absence de leader. Toutefois, une récente enquête menée sous l'égide de la Fondation Jean Jaurès, souligne que le profil des animateurs de Bloquons tout est assez différent de celui des Gilets jaunes. Il s'agirait de citoyens plus jeunes, plus actifs, plus politisés et plus proches de la gauche radicale. Appartenant aux classes moyennes, ils sont souvent diplômés du supérieur. Seulement 27% d'entre eux prirent d'ailleurs part à la révolte des ronds-points de 2018. La plupart des organisations de salariés se sont placés à distance de l'initiative. Seuls, Solidaires et la CGT ont soutenu la démarche du 10 septembre. Le 18 septembre sera une journée d'action à l'appel de l'intersyndicale qui avait mené le combat contre la réforme des retraites et dénoncé la copie budgétaire de François Bayrou.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C dans l'air du 10 septembre 2025 - Lecornu arrive...Les blocages s'installent ?Il faut « des ruptures sur le fond » et « pas que sur la forme ». Le ministre des Armées, nommé mardi soir par Emmanuel Macron, a pris le relais de François Bayrou à Matignon lors d'une passation de pouvoir éclair, mercredi à la mi-journée. Après avoir remercié son prédécesseur pour son « extraordinaire courage », le nouveau Premier ministre a promis d'être « plus créatif » et « plus sérieux dans la manière de travailler avec nos oppositions ».« On va y arriver », a-t-il lancé, avant de débuter, cet après-midi, une série de consultations des partis politiques. Il doit en effet s'entretenir avec le patron de Renaissance, Gabriel Attal, Bruno Retailleau et Laurent Wauquiez pour LR, ainsi qu'Édouard Philippe pour Horizons. Dans la matinée, Sébastien Lecornu a également échangé par téléphone avec la secrétaire nationale des Écologistes, Marine Tondelier, et le Premier secrétaire du PS, Olivier Faure, sans qu'un rendez-vous n'ait, pour l'heure, été fixé avec eux à Matignon. Il a par ailleurs affirmé souhaiter s'entretenir rapidement avec les forces syndicales.En tant que Premier ministre, Sébastien Lecornu a été chargé par Emmanuel Macron de trouver des « accords » avec les forces politiques du pays, avant de « proposer » un gouvernement. Une tâche qui s'annonce complexe pour le nouveau locataire de Matignon, ministre sans interruption depuis juin 2017, tant le contexte est éruptif : sans majorité à l'Assemblée nationale, il prend la suite de deux gouvernements renversés, alors que la France connaît, ce 10 septembre, une journée de manifestations et de blocages avec le mouvement « Bloquons tout ».Sur fond de colère sociale et de sentiment de déni de démocratie, des appels « à tout bloquer » ont été lancés sur les réseaux sociaux au cœur de l'été, à la suite de la présentation par François Bayrou du projet de budget 2026. Soutenu par la suite par les partis de gauche du NFP et les syndicats — dont certains ont appelé à se joindre à la mobilisation — le mouvement connaît une traduction concrète ce mercredi sur le territoire. Et il prend de nombreuses formes : grève de la carte bancaire, distributions de tracts, barrages filtrants, blocages de routes et de lycées, manifestations…Expression d'un ras-le-bol français, ce mouvement est-il inédit ou similaire à celui des Gilets jaunes ? Peut-il durer dans le temps ? La nomination de Sébastien Lecornu à Matignon apaisera-t-elle ou attisera-t-elle la colère sociale ?Le Premier ministre s'est dit convaincu « qu'il n'y a pas de chemin impossible » et a promis des ruptures, sans en dire beaucoup plus sur les chantiers qu'il compte mener. Mais il a donné rendez-vous très bientôt : « J'aurai l'occasion de m'exprimer devant les Français », a-t-il lancé.LES EXPERTS :- Pascal PERRINEAU - Politologue, professeur à Sciences Po Paris, auteur de "Le goût de la politique. Un observateur passionné de la Vème République", publié chez Odile jacob- Nathalie SCHUCK - grand reporter pour le magazine Le Point, autrice d'une biographie de Bruno Retailleau intitulée Le Cardinal chez Robert Laffont- Soazig QUEMENER - Rédactrice en chef à la Tribune Dimanche- Gaël SLIMAN - Président et cofondateur de l'Institut de sondages Odoxa
durée : 00:46:43 - Le 18/20 · Le téléphone sonne - Annoncée de longue date, cette journée a évolué au cours des dernière semaines. Très citoyenne et revendiquée apolitique, façon Gilets jaunes, elle a progressivement été ralliée par certains partis de gauche et syndicats. Peut-on mieux dessiner le mouvement et tirer de premières conclusions ? Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Aujourd'hui, c'est au tour d'Ingrid Levavasseur, ancienne figure du mouvement des Gilets jaunes, de faire face aux GG. - L'émission de libre expression sans filtre et sans masque social… Dans les Grandes Gueules, les esprits s'ouvrent et les points de vue s'élargissent. 3h de talk, de débats de fond engagés où la liberté d'expression est reine et où l'on en ressort grandi.
Une première journée sous haute tension pour le nouveau Premier ministre français Sébastien Lecornu nommé mardi soir. Car c'est une journée de mobilisation partout en France ce mercredi. « Bloquons tout », c'est le nom de ce mouvement multiforme qui s'est structuré en dehors des partis politiques et des syndicats : il est né de manière spontanée sur les réseaux sociaux. Point commun chez les personnes mobilisées : une forte colère sociale. Des grèves, blocages et manifestations sont attendus partout dans le pays. Et parmi les protestataires, on retrouve des « Gilets jaunes », du nom de cette mobilisation citoyenne lancée en 2018 et qui s'est ensuite essoufflée. Cette nouvelle sociale leur redonne l'espoir de changements profonds. Certains s'organisaient dès hier soir. Reportage à Saint-Brice-Sous-Forêt, au nord de Paris. À écouter aussiEn France, la colère sociale monte avant la chute probable du gouvernement Bayrou
durée : 00:38:10 - L'Invité(e) des Matins - par : Guillaume Erner, Yoann Duval - En cette rentrée agitée, la France semble traversée par une colère permanente. Après les Gilets jaunes et “c'est Nicolas qui paie”, le mouvement “Bloquons tout” appelle à paralyser le pays le 10 septembre. Mais au-delà des slogans, que nous disent ces mobilisations sur l'état de notre démocratie ? - réalisation : Félicie Faugère - invités : Gérard Noiriel Historien, directeur d'études à l'EHESS, spécialiste de l'immigration et de l'histoire de la classe ouvrière.; Antoine Bristielle Chercheur en science politique, directeur de l'observatoire de l'opinion de la fondation Jean Jaurès
François Bayrou sera-t-il encore Premier ministre la semaine prochaine ? «Bloquons Tout» sera-t-il un nouveau moment Gilets jaunes ? Dans « La Story », le podcast d'actualité des « Echos », Pierrick Fay et ses invitées reviennent sur un mois de septembre à haut risque. Episode 2/2A lire aussi : « Bloquons tout », un mouvement porté par les sympathisants de la gauche radicale« La Story » est un podcast des « Echos » présenté par Pierrick Fay. Cet épisode a été enregistré en septembre 2025. Rédaction en chef : Clémence Lemaistre. Invitées : Isabelle Ficek (journaliste au service politique des Echos) et Leïla de Comarmond (journaliste au service France des Echos). Réalisation : Willy Ganne. Chargée de production et d'édition : Michèle Warnet. Musique : Théo Boulenger. Identité graphique : Upian. Photo : Dimitar Dilkoff/AFP . Sons : France 24, BFM TV, TF1, LCI, extrait «La compil' des gilets jaunes», extrait «Le poison» 1951. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
François Bayrou sera-t-il encore Premier ministre la semaine prochaine ? «Bloquons Tout» sera-t-il un nouveau moment Gilets jaunes ? Dans « La Story », le podcast d'actualité des « Echos », Pierrick Fay et ses invitées reviennent sur un mois de septembre à haut risque. « La Story » est un podcast des « Echos » présenté par Pierrick Fay. Cet épisode a été enregistré en septembre 2025. Rédaction en chef : Clémence Lemaistre. Invitées : Isabelle Ficek (journaliste au service politique des Echos) et Leila de Comarmond (journaliste au service France des Echos). Réalisation : Willy Ganne. Chargée de production et d'édition : Michèle Warnet. Musique : Théo Boulenger. Identité graphique : Upian. Photo : Dimitar Dilkoff/AFP . Sons : France 24, BFM TV, TF1,Retrouvez l'essentiel de l'actualité économique grâce à notre offre d'abonnement Access : abonnement.lesechos.fr/lastory Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:03:31 - Va savoir - par : Chloé Leprince - La toute première étude sur la sociologie et les ressorts de la mobilisation pour le blocage du 10 septembre révèle qu'il ne s'agit pas d'une redite des Gilets jaunes mais qu'avec eux, ceux qui se préparent à tout bloquer partagent un désir de démocratie directe. Portrait en contrastes.
Ao repetir que não renunciará, Emmanuel Macron reforça exatamente a hipótese que tenta afastar. Entre a queda anunciada de François Bayrou, a pressão das ruas e a ausência de maioria parlamentar, o presidente francês se vê cada vez mais isolado. Thomás Zicman de Barros, analista político Poucas frases são tão perigosas na boca de um governante quanto “não vou renunciar”. Quando precisa pronunciá-la, é porque a ideia já circula no ar. Afinal, se a renúncia fosse impensável, por que mencioná-la em voz alta? A política, como a psicanálise, tem esse paradoxo: quanto mais se tenta negar, mais a hipótese ganha corpo. Na semana passada, diante da crise política que se agrava na França, Emmanuel Macron repetiu que cumprirá até o fim o mandato que lhe foi confiado. Mas, ao insistir nisso, deixa entrever que o contrário — sua queda antecipada — ronda os bastidores da Quinta República. O desmentido de Macron vem em meio à crise que ameaça derrubar seu premiê, François Bayrou. O primeiro-ministro se vê acuado tanto no Parlamento quanto nas ruas. A crise parlamentar tem data marcada: Bayrou pediu que a Assembleia Nacional lhe dê um voto de confiança no dia 8 de setembro diante das dificuldades pressentidas em aprovar um orçamento austero — cortes de gastos, supressão de feriados, medidas justificadas em nome de uma crise fiscal. Ele sabe, porém, que a chance de conseguir esse apoio é quase nula — não menos porque a crise fiscal é responsabilidade dos próprios macronistas, que governam o país faz oito anos —, e que será levado a entregar o cargo. É curioso notar que o dia da iminente queda de Bayrou foi escolhido para reduzir danos: em 10 de setembro está agendado o grande movimento de protesto Bloquons tout (Bloqueemos tudo), comparado aos Gilets jaunes (Coletes amarelos), que, com apoio sindical, promete parar o país. A aposta do governo é que a saída do premiê na véspera esvazie a mobilização. Apenas a saída de Bayrou, porém, não reduz as dificuldades de Macron. Talvez apenas as acelere num ritmo mais contido. O problema é mais profundo. Desde sua reeleição em 2022, ele nunca contou com maioria sólida, nem parlamentar, nem social. A dissolução surpresa do parlamento, em 2024, que pretendia virar o jogo, apenas agravou a fragilidade, reduzindo ainda mais sua base e produzindo um legislativo fragmentado. Apesar da instabilidade, o presidente não aceitou rever sua linha programática, insistindo em reformas e austeridade que parecem cada vez mais em descompasso com os anseios dos cidadãos. Macron insiste que não deseja nova dissolução, porque o país precisa de estabilidade. Mas ele e seus partidários temem, acima de tudo, repetir uma dissolução que apenas reduza ainda mais seus assentos, intensificando a paralisia do país e a impopularidade do presidente. Com a queda do governo Bayrou — o quarto desde 2022, um recorde na Quinta República, concebida justamente para garantir estabilidade política —, Macron provavelmente buscará nomear outro premiê do seu campo capaz de costurar alianças mais amplas. É provável que, em troca de apoio, ofereça concessões cosméticas, celebradas como grandes vitórias pela direita e pelos socialistas – e descumpridas tão logo a crise imediata esteja contida. Mas sem inflexões na sua política, e diante da pressão das ruas, a equação pode não fechar. E, caso mais um governo caia ou o orçamento não seja aprovado, o presidente poderá ser empurrado a dissolver novamente a Assembleia e convocar eleições antecipadas. A extrema direita e a esquerda radical, que lideram as forças de oposição, parecem as mais interessadas em colocar o presidente contra a parede. Não querem, sobretudo, parecer em descompasso com a onda de protestos que prometia eclodir. Mas a verdade é que os cálculos políticos de todos os lados são arriscados, e nenhum campo está em posição confortável. Todos os partidos já estavam com as energias voltadas para as eleições municipais do próximo ano e se veem pouco preparados para legislativas antecipadas. A extrema-direita veria vantagem em ampliar sua bancada, mas não tem resposta para a inelegibilidade de Marine Le Pen, sua líder incontornável. A esquerda radical, por sua vez, aposta no cenário inverso: busca agravar a crise para precipitar a queda de Macron e abrir caminho a uma eleição presidencial, na qual Jean-Luc Mélenchon, em campanha permanente, poderia enfim se impor. No curto prazo, porém, legislativas antecipadas tenderiam a resultar em incerteza, já que a esquerda segue marcada por suas fraturas expostas — sobretudo entre a França Insubmissa e os socialistas — e, se disputar desunida, corre o risco de perder assentos. As crises políticas constantes na França, no Parlamento e nas ruas, revelam um presidente em descompasso com o país. Mais do que isso, expõem uma crise de regime: um sistema que permite a governantes insistirem em sua linha política mesmo contra amplas parcelas da população. De fato, a Constituição francesa protege Macron. Não há mecanismos que o obriguem a renunciar, e é improvável que ele o faça. O cenário mais plausível é o de um presidente administrando a ingovernabilidade como pato manco até o fim do mandato, daqui a um ano e meio. Mas o simples fato de ter que negar a renúncia já é, em si, sinal de que seu poder vacila.
“Si tu fais mourir tes sols, tu n'as plus de yaourt demain, donc tu n'as plus de dividendes demain.”Notre planète est dans l'impasse et notre industrie aussi.Selon l'un des plus grands ex-patron du CAC40 et aujourd'hui l'un des activistes avec le plus d'impact au monde.Arrivé au comité exécutif de Danone à 29 ans, Emmanuel Faber reste 30 ans dans le groupe et lance des politiques audacieuses sur le plan social comme écologique.Aujourd'hui il a rejoint les institutions internationales engagées pour le climat avec une approche pragmatique : le changement ne peut tenir que s'il est soutenu par des intérêts économiques. Et il rappelle une donnée choc : avec seulement 1% des capitaux mondiaux, la transition énergétique et alimentaire est à notre portée.Et pour ça, il faut créer une compétitivité écologique et sociale avec ce nouveau système qu'Emmanuel participe à construire.Déjà chez Danone durant la restructuration, il avait choisi de protéger les 20% les moins payés — ce qui ne revenait pas plus cher que de couper dans les gros salaires.Il a d'ailleurs reversé son propre salaire de PDG à des associations.Obsédé depuis toujours par l'altérité, il a également passé du temps à la rencontre des plus démunis allant jusque dans les bidonvilles, les mouroirs et au cœur des campagnes du Bangladesh.Dans cet épisode, Emmanuel commence par décrypter les rouages de la macroéconomie mondiale — les normes qui seront bientôt appliquées et les institutions clefs de la comptabilité de demain.Puis il partage ses anecdotes les plus marquantes, et les clés applicables par tous pour éviter la catastrophe qui s'annonce.Entre chefs d'États, dirigeants de multinationales et ONG, Emmanuel Faber pilote les prochaines politiques et de la transformation à venir de l'économie mondiale.À écouter impérativement pour se préparer au mieux et comprendre les dessous de l'économie globale.TIMELINE:00:00:00 : Les coulisses des Forums mondiaux00:16:09 : L'altérité comme nécessité existentielle00:22:27 : Aller jusque dans les bidonvilles et les mouroirs pour répondre à une question : y a-t-il une justice ?00:37:07 : La nouvelle norme mondiale pour éviter le pire00:45:31 : Comment transformer une grande entreprise de l'intérieur00:59:05 : La seule façon de bien réorganiser une entreprise : pourquoi protéger les moins rémunérés01:19:30 : Ce que doit faire la finance mondiale pour survivre01:43:03 : Rémunération et héritage : le problème éternel de la répartition02:01:59 : La Chine est déjà en avance sur la transition02:22:28 : La fausse bonne idée : embêter les PME/TPE02:37:51 : Convaincre tout le CAC40 pour un plan social02:46:37 : Gilets jaunes, Calais, la laitière du Bangladesh02:58:52 : La véritable économie loin des KPI déconnectées03:08:42 : L'impact dramatique de l'industrie alimentaire sur le règne animalLes anciens épisodes de GDIY mentionnés : #284 - Pierre-Édouard Stérin - Otium Capital - Milliardaire et saint dans une même vie#98 Pierre-Édouard Stérin - Smartbox - Entreprendre, gagner des centaines de millions pour tout distribuer à 50 ans#483 - Carlos Ghosn - Out of the box : masterclass business de l'évadé du siècle#472 - Jean-Marc Jancovici - The Shift Project, Carbone4 - L'Europe est dans la seringue : ce qui doit changer dans les 10 prochaines années#284 - Pierre-Édouard Stérin - Otium Capital - Milliardaire et saint dans une même vie#401 - Emmanuel Macron - Président de la République - Les décisions les plus lourdes se prennent seul#480 - Esther Perel - Psychothérapeute - Comment réparer l'atrophie sociale avec l'experte mondiale des relations humainesNous avons parlé de :DanoneVEJAForum social mondialREF25The Consumer Goods ForumNutriciaDanone EcosystemAquaLegris IndustriesFranck Riboud ex-PDG DanoneInstitutional Investor (magazine)WhiteWave FoodsThe Potsdam Institute for ClimateTask Force on Climate Related Financial DisclosuresLa "tragédie des horizons”Action Tank Entreprise et PauvretéMuhammad Yunus (homme d'État bangladais)Trek Chamonix-ZermattDocu GR20Discours d'Emmanuel Faber en 2016Les recommandations de lecture :Un autre monde est possible (changer le monde nouveau mode d'emploi)Chemins de traverseOuvrir une voieMain basse sur la cité: Éthique et entrepriseHard Things - Entreprendre dans l'incertitude: Entreprendre dans l'incertitudeCompetitive Advantage: Creating and Sustaining Superior PerformanceCompetitive Advantage of Nations: Creating and Sustaining Superior PerformanceLes Conquérants de l'inutileN'oublie pas les chevaux écumants du passéPlan de transformation de l'économie française (PTEF)Vous pouvez contacter Emmanuel sur LinkedIn, Instagram.Vous souhaitez sponsoriser Génération Do It Yourself ou nous proposer un partenariat ?Contactez mon label Orso Media via ce formulaire.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L'émission 28 minutes du 26/08/2025 Vote de confiance : prise de conscience ou “désarroi démocratique” ?François Bayrou a annoncé le 25 août qu'il engagera la responsabilité de son gouvernement lors d'un vote de confiance à l'Assemblée nationale le 8 septembre prochain dans un moment qualifié de “préoccupant et décisif”. Les menaces de censure de son gouvernement ne faiblissent pas depuis l'annonce de mesures budgétaires à la mi-juillet pour réduire le déficit public. À la fin du mois de juillet, un appel au “blocage total” du pays le 10 septembre a été lancé sur les réseaux sociaux pour contester le budget. Ce mouvement n'est pas sans rappeler celui des Gilets jaunes, né sur internet en 2018. Les oppositions, du Rassemblement national à La France insoumise en passant par le Parti socialiste, ont d'ores et déjà annoncé qu'elles ne voteraient pas la confiance. Le Premier ministre a répété qu'il serait prêt à discuter toutes les mesures proposées dans son plan d'économies de 44 milliards d'euros et à entendre d'autres propositions, une fois la confiance votée. Ce risque politique est le seul moyen, selon François Bayrou, pour que les Français “prennent conscience de la gravité de la situation”. Face à la menace de censure et de blocage du pays, un dialogue politique, social et citoyen est-il encore possible en France ?On en débat avec Pierre-Henri Tavoillot, philosophe, maître de conférences à Sorbonne Université, Aurore Malval, grand reporter au service politique de “Marianne” et François Boulo, ancien avocat, ancien porte-parole des Gilets jaunes. 28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 26 août 2025 Présentation Élisabeth Quin Production KM, ARTE Radio
L'émission 28 minutes du 26/08/2025 Ovidie et Anna Mouglalis : deux voix pour un même combat Dans “La chair est triste hélas” (publié aux éditions Julliard), Ovidie, autrice féministe de documentaires et d'essais sur la sexualité, raconte pourquoi elle a décidé de “faire la grève du sexe et de la simulation”. Paru en 2023, ce texte qui “est fort comme un essai féministe mais n'est ni un manifeste, ni un essai, ni un projet de société” a trouvé sa voix : celle de l'actrice Anna Mouglalis qui le porte au Théâtre de l'Atelier, à Paris, à partir du 9 septembre. Pour ce seule en scène, l'ancienne actrice de films X et docteure en lettres a choisi une comédienne engagée et féministe, peut-être parce que, comme elle, elle a longtemps été considérée comme un “corps” : celui d'une actrice et d'une mannequin. Anna Mouglalis “se nourrit de ses combats”. Elle a porté plainte pour agression sexuelle contre Jacques Doillon aux côtés de Judith Godrèche et Isild Le Besco. Cette année, elle a également interprété le rôle-titre de “Phèdre” dans une adaptation post #Metoo de l'œuvre de Racine. Nous les recevons ce soir dans notre émission. Vote de confiance : prise de conscience ou “désarroi démocratique” ?François Bayrou a annoncé le 25 août qu'il engagera la responsabilité de son gouvernement lors d'un vote de confiance à l'Assemblée nationale le 8 septembre prochain dans un moment qualifié de “préoccupant et décisif”. Les menaces de censure de son gouvernement ne faiblissent pas depuis l'annonce de mesures budgétaires à la mi-juillet pour réduire le déficit public. À la fin du mois de juillet, un appel au “blocage total” du pays le 10 septembre a été lancé sur les réseaux sociaux pour contester le budget. Ce mouvement n'est pas sans rappeler celui des Gilets jaunes, né sur internet en 2018. Les oppositions, du Rassemblement national à La France insoumise en passant par le Parti socialiste, ont d'ores et déjà annoncé qu'elles ne voteraient pas la confiance. Le Premier ministre a répété qu'il serait prêt à discuter toutes les mesures proposées dans son plan d'économies de 44 milliards d'euros et à entendre d'autres propositions, une fois la confiance votée. Ce risque politique est le seul moyen, selon François Bayrou, pour que les Français “prennent conscience de la gravité de la situation”. Face à la menace de censure et de blocage du pays, un dialogue politique, social et citoyen est-il encore possible en France ?Enfin, à l'occasion de sa première exposition en Europe, Xavier Mauduit nous raconte l'histoire de l'australopithèque Lucy, longtemps décrite comme la grand-mère de l'humanité, dont la filiation directe avec l'espèce humaine est contestée. Marie Bonnisseau revient sur le succès de l'été, celui des peluches “Labubu”, invention du fabricant chinois Pop Mart qui en vend 10 millions chaque mois dans le monde. 28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 26 août 2025 Présentation Élisabeth Quin Production KM, ARTE Radio
Alors que le leader LFI s'était tenu à distance des Gilets jaunes, il a décidé de s'allier à la mobilisation du 10 septembre, organisée par « Bloquons tout » afin de contester le budget 2026. Tentative sincère de soutenir la colère sociale, ou manière de regagner une place centrale dans le paysage politique ? Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L'émission 28 minutes du 12/08/2025 Nos invités Isabelle Durant, experte droit au développement au Conseil des Droits de l'Homme, Gilles Gressani, directeur de la revue Le Grand Continent, et Julie Graziani, essayiste, débattent de deux actualités : Jeudi 7 août, Benjamin Netanyahou a annoncé l'occupation militaire totale de la bande de Gaza par Israël. Cette annonce a suscité des tensions de la communauté internationale : l'Allemagne a annoncé cesser en partie ses livraisons d'armes à l'État hébreu, et de plus en plus de pays occidentaux s'apprêtent à reconnaître la Palestine. Mais aussi des familles d'otages israéliens, qui attendent un accord qui permettrait la libération de leurs proches. Enfin de l'extrême droite, qui fait partie de la coalition gouvernementale et prône le nettoyage ethnique de Gaza pour y implanter des colonies. L'union sacrée consécutive aux attaques du 7-Octobre est-elle en train de se fissurer ?Alors que les orientations du budget 2026 se précisent, la colère gronde. Droit au chômage périclité, suppression de jours fériés, fonctionnaires non remplacés : les sujets de griefs sont nombreux pour les syndicats, qui prévoient une rentrée mouvementée. Le mouvement "Bloquons tout !" devrait aussi être de la partie, avec une indépendance qui rappelle les Gilets jaunes. La colère sociale aura-t-elle raison de François Bayrou ? 28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 12 août 2025 Présentation Jean-Mathieu Pernin Production KM, ARTE Radio
L'émission 28 minutes du 12/08/2025 Au programme de l'émission 28 minutes :Le journaliste fondateur du “Courrier des Balkans”, Jean-Arnault Dérens, publie “Géopolitique de l'orthodoxie - De Byzance à la guerre en Ukraine”, un livre dans lequel il tente de comprendre et de décrypter la complexité d'une religion hantée “par l'unité”, et qui compte près de 300 millions de fidèles.Jeudi 7 août, Benjamin Netanyahou a annoncé l'occupation militaire totale de la bande de Gaza par Israël. Cette annonce a suscité des tensions de la communauté internationale : l'Allemagne a annoncé cesser en partie ses livraisons d'armes à l'État hébreu, et de plus en plus de pays occidentaux s'apprêtent à reconnaître la Palestine. Mais aussi des familles d'otages israéliens, qui attendent un accord qui permettrait la libération de leurs proches. Enfin de l'extrême droite, qui fait partie de la coalition gouvernementale et prône le nettoyage ethnique de Gaza pour y implanter des colonies. L'union sacrée consécutive aux attaques du 7-Octobre est-elle en train de se fissurer ?Alors que les orientations du budget 2026 se précisent, la colère gronde. Droit au chômage périclité, suppression de jours fériés, fonctionnaires non remplacés : les sujets de griefs sont nombreux pour les syndicats, qui prévoient une rentrée mouvementée. Le mouvement "Bloquons tout !" devrait aussi être de la partie, avec une indépendance qui rappelle les Gilets jaunes. La colère sociale aura-t-elle raison de François Bayrou ? On en débat avec Isabelle Durant, experte droit au développement au Conseil des Droits de l'Homme, Gilles Gressani, directeur de la revue Le Grand Continent, et Julie Graziani, essayiste.Puis, Victor Dekyvère nous raconte comment le statut de fou du roi est passé de honteux à enviable.Enfin, Quentin Darmon nous emmène en Corée du Nord, où Kim Ju-ae, fille du dictateur Kim Jong-un, semble en pôle position pour prendre la succession de son père. Théophile Cossa nous explique comment les jeux mondiaux de Chine mettent à l'honneur des sports ne figurant pas aux Jeux olympiques.28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 12 août 2025 Présentation Jean-Mathieu Pernin Production KM, ARTE Radio
Tous les jours dans la matinale d'Europe 1, Thomas Schnell scrute et analyse la presse du jour. Aujourd'hui, la nouvelle génération des Gilets jaunes émerge face au problème du pouvoir d'achat, la rentrée politique qui s'annonce agitée, les ambitions du Rassemblement national, les Français accrocs au GPS Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:04:32 - Le Billet politique - par : Jean Leymarie - Six ans après les Gilets jaunes et le grand débat national, deux études passent au crible les nombreuses contributions, grâce à l'intelligence artificielle.
Retrouvez la matinale du 30 juin 2025 avec Valentin Schirmer, au programme :2:30 Loup : les gros mensonges derrière la campagne contre les tirs de défense
durée : 00:48:17 - La Terre au carré - par : Mathieu Vidard - À 23 ans, Salomé Saqué se fait connaître grâce à des vidéos devenues virales sur les Gilets jaunes. Elle entre en 2021 dans le média Blast. À l'occasion de l'entretien, la journaliste ardéchoise se livre sur son rapport à la nature et la naissance de son engagement. - invités : Salomé Saqué - Salomé Saqué : Journaliste et autrice française - réalisé par : Jérôme BOULET
Description Vous savez que réussir la transition énergétique implique de sortir le plus rapidement possible des énergies fossiles. Des politiques allant dans ce sens sont parfois bloquées par un soulèvement social. On pense rapidement aux Gilets jaunes, dont le mouvement est souvent repris comme excuse pour revoir à la baisse les ambitions de régulation environnementale. Le concept clé sous-jacent, c'est celui de la transition “juste”. Pour qu'elle réussisse, cette transition doit être équitable. Mais s'assurer qu'elle soit juste n'est pas seulement une contrainte pour son succès : c'est aussi, selon moi, une opportunité pour son accélération. Pour ne citer qu'un exemple, l'opposition ou l'adhésion à l'énergie éolienne est totalement différente selon que les populations locales soient impliquées ou non. Dans cet épisode, nous allons parler de la "transition juste" avec un expert : le professeur Brendan Coolsaet. Brendan est chercheur qualifié au FNRS et professeur à l'UCLouvain. Il dirige le centre de recherche Environment, Organisations, Society (EOS) et enseigne également à Sciences Po Paris. Brendan Coolsaet a consacré l'essentiel de sa carrière à explorer les liens entre écologie, justice sociale et gouvernance environnementale. La transition, dont nous parlons régulièrement dans le podcast, implique de multiples disciplines. Brendan a justement un parcours interdisciplinaire : en informatique, sciences de l'environnement, droit, développement international, ainsi qu'en sciences sociales et politiques. [0:00:00] Introduction [0:02:05] Chapitre 1 : Transition juste : un frein ? [0:44:23] Chapitre 2 : Transition juste, opportunité? [0:57:26] Chapitre 3 : Comment intégrer ces questions de justice et d'inégalité dans la recherche ? URL pour les notes de l'épisode : https://www.podcastics.com/podcast/episode/la-transition-juste-368747/ This work is licensed under a Creative Commons Attribution-NonCommercial-NoDerivatives 4.0 International License.
durée : 00:02:17 - Le brief politique - Le site "Le Projet France" vient d'être créé en ce mois de juin. Les responsables politiques qui ont eu cette idée estiment être arrivés au bout du système. Ils s'inspirent du mouvement des Gilets jaunes et des cahiers de doléances.
durée : 00:37:24 - Bistroscopie - par : Charline Vanhoenacker - Barack Obama la décrit comme "community organizer" auprès des populations rurales et périurbaines. Elle a grandi dans un hameau de l'Ain, et après Sciences Po, s'est formée aux techniques de mobilisation aux États-Unis. Rencontre avec une figure de la nouvelle génération politique non-encartée. - invités : Lumir Lapray - Lumir Lapray : Activiste française - réalisé par : François AUDOIN
La violence peut-elle être légitime ? Dis-nous ton avis en commentaire !Aujourd'hui, nous recevons Juan Branco, avocat et docteur en droit.Faut-il faire tomber le système ?La violence peut-elle être légitime ?La révolution serait-elle un chaos incontrôlable ?Il dénonce, provoque et critique le pouvoir en place. Mais a-t-il une alternative crédible ou est-ce juste de la provocation ?Changer le système ou le détruire ? Juan Branco répond, sans filtre.On compte sur votre bienveillance dans les commentaires, et surtout, bonne vidéo !DANS CETTE ÉMISSION :00:00 : Introduction00:24 : Vrai ou Faux ?02:04 : Êtes-vous vraiment "anti-système" ?09:12 : Rejetez-vous le système… ou est-ce lui qui vous rejette ?19:35 : Faut-il une révolution pour tout changer ?29:58 : Une révolution... Ce serait qui contre qui ?34:00 : Être révolutionnaire, est-ce être complotiste ?36:12 : Gilets jaunes, manifs… des révolutions avortées ?44:53 : Le vrai problème, c'est les politiques ou le système ?48:05 : Comment fabrique-t-on une guillotine ?53:58 : Contribuez-vous à l'explosion de la violence ?56:56 : Souhaitez-vous le chaos pour les Français ?01:09:40 : Les policiers protègent-ils vraiment le peuple ?01:15:18: Contrôle surprise : Quelles limites morales à l'action révolutionnaire ?01:24:55 : La révolution suscite-t-elle les peurs ?01:32:22 : L'abeille que vous portez, est-ce un symbole napoléonien ?01:35:22 : Une dictature temporaire serait-elle nécessaire ?01:37:54 : Que dire aux Français opposés à toute révolution ?01:40:57 : Le mot de la fin.Juan Branco sur les réseaux :► Insta - https://www.instagram.com/brancojuan/► X - https://twitter.com/anatolium?ref_src=twsrc%5Egoogle%7Ctwcamp%5Eserp%7Ctwgr%5Eauthor► Youtube : https://www.youtube.com/@UCMOrzCo7Jdp6qqEX24CXuog NOUS RETROUVER :► Antonin - https://www.instagram.com/antothecreatorr/► Wallerand - https://www.instagram.com/wallerandmb/► Jules - https://www.instagram.com/julescommecesar/► Sixtine - https://www.instagram.com/sixtinemb/Donne ton avis en commentaire !La majorité de nos émissions sont tournées dans notre studio à Paris.Si vous aussi, vous voulez tourner des discussions, émissions ou des formats plus corporate, sachez que nous mettons en location le studio dans lequel on tourne. Vous aurez à votre disposition des micros et des caméras professionnels, gérés par des professionnels.Si vous êtes intéressés, vous pouvez envoyer un mail à studio@lecrayonmedia.frÀ respecter dans les commentaires :- Pas d'insultes ou de propos répréhensibles par la loi- Écrire dans un français correct et compréhensible- Respecter les invités et les autres personnes dans les échangesEn cas de non-respect, votre commentaire sera supprimé.Le Crayon est sur tous les réseaux !► Instagram : https://www.instagram.com/lecrayonmedia/► Tiktok : https://www.tiktok.com/lecrayonmedia/► Facebook : https://www.facebook.com/lecrayonmedia/► Articles : https://lecrayon.kessel.media/► LinkedIn : https://www.linkedin.com/company/le-crayon-politique/► Podcasts : https://podcasters.spotify.com/pod/show/le-crayon► X : https://twitter.com/lecrayonmedia/► Notre site : https://www.lecrayongroupe.fr/
Rencontre avec Sarah Durieux à l'occasion de la sortie de Militer à tout prix ? aux éditions Hors d'atteinte.Comment cesser de reproduire des logiques de dominations dans nos collectifs et les rendre plus sains ?Pourquoi est-ce si difficile d'agir collectivement ? Celles et ceux qui créent ou rejoignent des collectifs notamment militants en font souvent une expérience négative.Partout dans nos vies, au travail, dans nos familles ou dans nos groupes d'amis, nous perpétuons une culture qui écrase, exclut et nous fragilise. Alors qu'il s'élève contre ce modèle, le militantisme n'y échappe pas.Après dix ans passés à travailler avec de petits collectifs, de grandes ONG et des individus engagés, mais aussi à observer ses propres comportements, Sarah Durieux, qui a mené pour ce livre de nombreux entretiens avec des personnes investies dans divers mouvements, s'intéresse à ce qu'elle identifie comme l'une des plus grandes menaces contre notre émancipation et propose des pistes pour en sortir.Sarah Durieux est activiste et organisatrice. Elle a accompagné et coordonné des centaines de campagnes de mobilisation ces 15 dernières années, pour l'entrée de l'IVG dans la constitution, contre la Loi Travail, pour la Libération de Jacqueline Sauvage, pour la reconnaissance des personnes handicapées exterminées lors de la seconde guerre mondiale, en soutien au mouvement des Gilets jaunes ou contre les violences policières.Crédit photo : Damien Cardunier Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:03:56 - Les cahiers de doléances des gilets jaunes sont disponibles aux Archives départementales de Toulouse - Aux archives départementales de la Haute-Garonne à Toulouse, on a consulté les cahiers de doléances désormais ouverts à tous les citoyens, depuis le 30 avril. Des cahiers remplis il y a six ans, pendant la crise des gilets jaunes, en vue du grand débat voulu par Emmanuel Macron.
En 2016, en plein dans les manifestations des Gilets jaunes, Jean-Luc Mélenchon appelait à de nouvelles élections, à condition qu'on vote pour lui ! Tous les jours, retrouvez le meilleur de Laurent Gerra en podcast sur RTL.fr, l'application et toutes vos plateformes.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui dans Parlons-en, retour sur l'une des plus importantes crises de l'histoire moderne de France : les Gilets jaunes. C'était il y a 6 ans. Pourquoi en parler aujourd'hui ? Parce que les députés ont voté il y a quelques jours une résolution pour que soient rendus publics les cahiers de doléances écrits dans le sillage du mouvement dits des ronds-points. Pourquoi a-t-il fallu en passer par un vote pour que cette parole soit accessible ? Que disent ces cahiers de la France de 2018 ? Est-elle différente de celle de 2024 ? A-t-on entendu, a-t-on appris ? Que reste t-il des Gilets jaunes ? Parlons-en avec Vincent Jarousseau, photographe, documentariste et auteur de Dans les âmes et les urnes (Les Arènes, Janvier 2025), Loïc Blondiaux, professeur de sciences politiques à l'université Paris I Panthéon-Sorbonne, spécialiste des questions de démocratie et de participation citoyenne et Hélène Desplanques, réalisatrice du documentaire "Les doléances".
Pour bien commencer cette semaine, la matinale présentée par Clémence Houdiakova, au programme :2:30 Le porte parole de Verity France revient sur sa garde à vue pour “menaces” adressées au président
L'émission 28 minutes du 15/03/2025 Ce samedi, Renaud Dély décrypte l'actualité avec le regard international de nos clubistes : Lionel Zinsou, économiste, ancien Premier ministre de la République du Bénin (2015-2016) ; Eva Morletto, correspondante à Paris pour le magazine italien “Grazia” ; Jon Henley, correspondant Europe pour le quotidien "The Guardian" et le dessinateur de presse Patrick Chappatte.À qui profitera la guerre commerciale entre les États-Unis et l'Europe ?Mercredi 12 mars, Donald Trump a imposé des droits de douane de 25 % sur l'acier et l'aluminium. La Commission européenne a estimé que cette hausse frapperait de 28 milliards de dollars les marchandises en provenance de l'Europe. L'Union européenne a ainsi décidé de taxer de la même manière certains produits américains comme le whisky ou la Harley-Davidson. Donald Trump a vivement réagi à cette annonce : “Si ces droits de douane ne sont pas retirés immédiatement, les États-Unis vont rapidement imposer des droits de douane de 200 % sur tous les vins, champagnes et produits alcoolisés venant de France et d'autres pays de l'UE.” Avec un déficit commercial de 150 milliards de dollars vis-à-vis des pays de l'UE en 2023, les États-Unis auraient le plus à perdre dans cette guerre commerciale. Avec Donald Trump, un recul pour les sciences et le climat sans précédent ?Depuis l'investiture de Donald Trump aux États-Unis, son administration a lancé une croisade contre la recherche scientifique, notamment les sciences de l'environnement et du climat : licenciements massifs, coupes budgétaires drastiques, programmes gelés, etc. Par exemple, l'agence pour la protection de l'environnement a vu son budget réduit de 65 %. Ce tournant inquiète la recherche mondiale et le GIEC alors que, ces dernières années, 23 % des études scientifiques sur le changement climatique sont produites par des chercheurs américains, seuls ou en collaboration. L'Europe et la France peuvent-elles faire office de refuge pour les scientifiques américains ? Aix-Marseille Université vient de mettre en place un programme, “Safe Place for Science” qui a déjà reçu 45 candidatures de scientifiques qui travaillent outre-Atlantique. Nous recevons Mélusine Mallender, membre de la Société des explorateurs français depuis 2015. Elle est l'une des rares femmes au monde à mener en solitaire des expéditions au long cours à moto. Elle publie “La route du Tigre, de Jakarta à Téhéran sur les pistes de la liberté” aux éditions Arthaud. Elle y raconte son périple en 2016 sur la route du Tigre, 28 000 kilomètres de Jakarta, en Indonésie, à Paris. Sur son trajet, elle multiplie les rencontres et pose toujours la même question aux habitantes : “C'est quoi la liberté pour vous ?”Valérie Brochard rend visite à nos chers voisins roumains qui doivent élire leur nouveau président. Le parti d'extrême droite AUR (Alliance pour l'unité des Roumains) a annoncé mercredi 12 mars deux nouvelles candidatures pour la présidentielle de mai, après l'exclusion du candidat favori des sondages. Ce dernier est soupçonné d'avoir bénéficié d'une ingérence russe. Olivier Boucreux décerne le titre d'employé de la semaine au sénateur français Claude Malhuret. Depuis son discours au Sénat, où il a livré une charge virulente contre Donald Trump, le sénateur français est devenu la star des médias américains et étrangers. Jean-Mathieu Pernin zappe sur la télé argentine où le procès de la mort du footballeur Maradona a commencé cette semaine pour savoir s'il y a eu négligence de la part des professionnels de santé. Paola Puerari s'intéresse aux cahiers de doléances écrits lors du mouvement des Gilets jaunes. À quoi leur publication servirait-elle ? Enfin, ne manquez pas la question très intéressante de David Castello-Lopes : à qui appartient l'épave la plus précieuse du monde ? 28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 15 mars 2025 Présentation Renaud Dély Production KM, ARTE Radio
Dans cet épisode, Vincent Trémolet de Villers analyse les enjeux des zones à faible émission (ZFE) mises en place dans les grandes villes françaises. Il souligne les tensions sociales que ces réglementations soulèvent, touchant notamment les classes moyennes et populaires dépendantes de la voiture. Il met en garde contre les risques d'une nouvelle crise sociale, à l'image des mouvements des Bonnets rouges et des Gilets jaunes. L'éditorialiste critique également les effets pervers du Green Deal européen sur l'industrie automobile et l'indépendance énergétique de la France.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.
C dans l'air du 22 janvier 2025 - Taxer les retraités : la fin d'un tabou ? Faire payer une cotisation aux retraités les plus aisés pour financer le grand âge. C'est la proposition formulée par la ministre chargée du Travail et de l'Emploi, Astrid Panosyan-Bouvet, mardi 21 janvier. Une "proposition personnelle", a tempéré aujourd'hui Matignon, mais qui suscite l'intérêt de certains parlementaires.La ministre propose que les retraités qui peuvent "se le permettre", ceux qui touchent plus de 2 000 euros net mensuel (soit 25 % des retraités) ou 2 500 euros net mensuel ( 7 % des retraités), soient mis à contribution pour payer l'autonomie et la dépendance. C'est-à-dire qu'ils pourraient participer à l'effort pour qu'il ne repose pas uniquement sur les actifs qui consacrent déjà près d'un tiers de leur salaire à payer les retraites, et qui, depuis la réforme de 2023, doivent travailler jusqu'à 64 ans. Des actifs à qui certains, comme la ministre des Solidarités Catherine Vautrin, envisagent de demander de travailler gratuitement sept heures de plus par an, soit une deuxième journée de solidarité.Le patron du Medef, Patrick Martin, a lui aussi remis cette idée dans le débat il y a quelques jours en proposant de supprimer l'abattement fiscal de 10 % sur les pensions de retraites. Cet abattement, dont bénéficient les actifs, est destiné à l'origine à compenser les frais professionnels. En novembre dernier la sénatrice du groupe Les Républicains Christine Lavarde (Hauts-de-Seine), avait proposé la suppression de cet abattement pour les retraités les plus aisés, et avait été recalé. "C'est pour moi une question d'équité générationnelle", explique la sénatrice pour qui "le niveau de vie des retraités s'améliore ou ne baisse pas par rapport aux actifs".Alors les retraités ont-ils réellement un niveau de vie supérieur aux actifs ? Vont-ils, à plus ou moins court terme, participer davantage au redressement des comptes de la Nation et au financement de la protection sociale ? Le sujet, hautement explosif, n'a jusqu'ici jamais dépassé le stade du ballon d'essai car ce sont ceux qui votent le plus. Il a d'ailleurs cette fois encore suscité une levée de bouclier de la gauche jusqu'à l'extrême droite. Mais derrière ce débat sur le financement de la dépendance, un autre débat est également relancé, celui de la démographie à l'heure où l'Insee constate que le nombre de naissances continue de chuter en France, une baisse tendancielle depuis 2011. Autre point de discussions en ce début d'année : les cahiers de doléances. Lors de son discours de politique générale, François Bayrou a souhaité reprendre l'étude de ces doléances, rédigées par les Français en 2019 à la suite du mouvement des Gilets jaunes. À l'époque pas moins de 2 millions de contributions populaires ont été déposées, avant d'être archivées. Que contiennent-ils ? Les explications de l'archiviste Marie-Anne Chabin ce soir dans #cdanslair.Les experts : - Philippe DESSERTINE - Directeur de l'Institut de Haute Finance, auteur de Le grand basculement - Nathalie SAINT-CRICQ - éditorialiste politique - France Télévisions- Caroline MICHEL-AGUIRRE - Grand reporter au service politique - Le Nouvel Obs - Thomas PORCHER - Économiste, professeur à la Paris School of Business, auteur de Mon dictionnaire d'économie
ISSN 2608-984XVous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée en public à l'École de l'air et de l'espace de Salon-de-Provence le 17 janvier 2025.Avec cette semaine :Jean-Louis Bourlanges, essayiste.Nicole Gnesotto, vice-présidente de l'Institut Jacques Delors.Marc-Olivier Padis, directeur des études de la fondation Terra Nova.DE BARNIER À BAYROU : UN PROBLÈME, DEUX RÉPONSES ?Un mois après son arrivée à Matignon, François Bayrou s'est fixé « trois défis » : « Contenir » et « réduire » la dette publique, « mettre en place les conditions de la stabilité, qui impose de se réconcilier », et refondre l'action publique. Parmi les principales mesures annoncées, figure la remise en chantier de la réforme des retraites avec une ouverture majeure de la proposition du Premier ministre par rapport à celle de son prédécesseur Michel Barnier : il a fait sauter le tabou des 64 ans mais à condition de ne pas « dégrader l'équilibre financier » du système. Sur la base d'un « constat » chiffré, confié à la Cour des comptes pour une « mission flash », les partenaires sociaux auront trois mois pour dégager « un accord d'équilibre et de meilleure justice». S'il émerge, il sera soumis au Parlement à l'automne. Sinon « c'est la réforme actuelle qui continuerait à s'appliquer ».Un fonds spécial « entièrement dédié à la réforme de l'État », sera créé, financé en cédant une partie des actifs publics, notamment immobiliers. L'effort d'économie demandé aux collectivités territoriales sera réduit à 2,2 milliards d'euros au lieu des 5 milliards d'euros prévus par Michel Barnier. Le Premier ministre cherchera à protéger les entreprises de hausses d'impôts. Il est favorable au « principe proportionnel pour la représentation du peuple dans nos assemblées ». Un élément qui ouvre la porte à un « probable » retour du cumul des mandats. « L'étude des cahiers de doléances » présentés par les Gilets jaunes sera reprise. Le Premier ministre a abandonné « la mesure de déremboursement de certains médicaments et de consultations » prévue par son prédécesseur. La progression des dépenses de santé sera donc plus forte que prévu dans la copie Barnier. Elle devrait être relevé de +2,8% à +3,3 %. François Bayrou a également renoncé aux 4.000 suppressions de postes prévues dans l'éducation nationale ainsi qu'au passage d'un à trois jours de carence en cas d'arrêt maladie. Il maintient le projet de taxe sur les hauts revenus. Enfin, il a analysé l'immigration comme « d'abord une question de proportion ».Jeudi, ni les lepénistes ni les socialistes n'ont voté la motion de censure déposée par les mélenchonistes, avec des écologistes et des communistes. Elle n'a donc pas été adoptée.LA SÉCURITÉ COLLECTIVE À L'HEURE DU RÉVISIONNISME TRUMPISTEAvec le retour de Donald Trump à la Maison Blanche, les puissances du Vieux Continent redoutent l'érosion, voire la dissolution, de leur principale alliance, l'Organisation du traité de l'Atlantique Nord (OTAN), au moment même où la Russie prend l'avantage en Ukraine. Au cours de sa précédente présidence, Trump avait envisagé de ne pas honorer l'article 5 du traité, qui prévoit que les pays signataires se portent au secours d'un allié attaqué. Or, toute la dissuasion de l'Alliance atlantique repose sur cet engagement.Cette menace voilée du président américain marquait sa volonté d'un rééquilibrage des contributions au budget de l'Otan entre les alliés et les États-Unis. Seulement les deux tiers des trente membres européens de l'Otan consacrent plus de 2 % de leur PIB à la défense. Sans les Etats-Unis, ils devront dépenser peut-être deux fois plus. Ce qui voudra dire accroître l'endettement, augmenter les impôts ou tailler dans certaines dépenses essentielles. Les Européens doivent aussi décider s'ils repensent ou non la base de leur défense collective. À l'heure actuelle, les forces armées européennes donnent priorité à l'Otan tout en veillant à élargir leurs capacités de défense et de sécurité au travers d'autres institutions, comme l'Union européenne, et des blocs militaires régionaux comme la Force expéditionnaire conjointe sous direction britannique. La victoire de Trump relance aussi le débat sur le rôle dissuasif des armes nucléaires françaises et britanniques en cas d'éventuelles attaques ailleurs en Europe.Aujourd'hui, l'Europe est bien plus vulnérable qu'elle ne l'était lorsque Trump a été élu pour la première fois en 2016. Elle est aux prises avec une guerre, une crise économique et une montée en puissance des mouvements nationalistes populistes. Actuellement, huit de ces mouvements dirigent des gouvernements ou participent à des coalitions à travers le continent. L'Europe doit se préparer, en filant la métaphore du Haut représentant de l'Union européenne pour les affaires étrangères et la politique de sécurité, Josep Borrell, à voir son « jardin » menacé par une « jungle » peuplée de « carnivores » sans états d'âme. Un récent Eurobaromètre, qui mesure l'opinion publique européenne à l'égard de l'Union, montre que celle-ci n'a jamais été aussi favorable à l'intégration européenne. Bien que beaucoup de citoyens soient insatisfaits de leur gouvernement, plus de six personnes sur dix estiment que l'avenir de l'Europe réside dans l'Union.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.fr
durée : 00:02:20 - Le brief politique - François Bayrou souhaite "reprendre l'étude des cahiers de doléances". Élus, chercheurs, archivistes, citoyens n'ont pas attendu l'annonce du nouveau Premier ministre, mardi, pour faire un travail de collecte et de mise en ligne des messages, propositions et témoignages récoltés après le mouvement des Gilets jaunes.
New Year same old nonsense. Welcome back to the cast. This one is just a little different as we catch up with everyone and how their christmas period went. So we have chat about Air Fryers, Gilets, fixing taps, knives and that old christmas chestnut of nearly being shot in the face by a crossbow. We'll be back to our regular schedule next week as we kick off 2025 with the Harry Styles / Florence Pugh film Dont Worry Darling
Depuis ce lundi, les élections syndicales ont débuté dans les très petites entreprises, celles de moins de 11 salariés. Cette année, c'est une première : une liste d'union syndicale des Gilets jaunes se présente. D'où vient-elle ? Pourquoi a-t-elle le droit de se présenter ? Explications de Mathilde Piqué, du service économie et social de RTL. Ecoutez 2 minutes pour comprendre avec Mathilde Piqué du 26 novembre 2024.
durée : 02:00:01 - Les Matins du samedi - par : Nicolas Herbeaux - Cette semaine dans les matins du samedi nous nous intéressons à la légitimité de la cour pénale internationale, aux cahiers de doléances des gilets jaunes remis au centre du débat public et enfant au nouveau spectacle de Théo Mercier : Skinless. - réalisation : Jean-Christophe Francis - invités : Julia Grignon Directrice scientifique de l'IRSEM, membre du Centre de Recherche sur les Droits de l'Homme et le Droit Humanitaire de Paris-Panthéon-Assas; Loïc Blondiaux Professeur de sciences politiques à l'université Paris I Panthéon-Sorbonne, spécialiste des questions de démocratie et de participation citoyenne; Guillaume Mazeau Historien, spécialiste de la Révolution. Maître de conférences en histoire moderne à l'université Paris 1 Panthéon-Sorbonne et membre du conseil scientifique des Catacombes.; Camille Bordenet journaliste au Monde, chargée des ruralités ; Théo Mercier
durée : 00:39:57 - France Culture va plus loin le samedi - par : Nicolas Herbeaux, Pauline Chanu - Des milliers de contributions des citoyens et de citoyennes, recueillies par les mairies de France, n'ont jamais servi à rien. Archivés par Emmanuel Macron, Michel Barnier veut aujourd'hui les dépoussiérer. Six ans plus tard, les cahiers de doléances sortent des tiroirs. - réalisation : Jean-Christophe Francis - invités : Loïc Blondiaux Professeur de sciences politiques à l'université Paris I Panthéon-Sorbonne, spécialiste des questions de démocratie et de participation citoyenne; Guillaume Mazeau Historien, spécialiste de la Révolution. Maître de conférences en histoire moderne à l'université Paris 1 Panthéon-Sorbonne et membre du conseil scientifique des Catacombes.; Camille Bordenet journaliste au Monde, chargée des ruralités
Chaque jour dans l'Heure des pros, Eliot Deval livre son édito sur l'actualité du moment. Aujourd'hui, il s'intéresse à la cote de popularité d'Emmanuel Macron qui n'a jamais été aussi basse, même pendant la crise des Gilets jaunes.
Le syndicat des Gilets jaunes autorisés à se présenter aux élections de TPE / La détention de Paul Watson, fondateur de Sea Shepherd, au Groenland / Un jour férié en moins pour financer les EHPAD ?
David Chavalarias, de l'Institut des Systèmes Complexes (CNRS), explique comment les réseaux sociaux sont utilisés par des Etats pour attiser les tensions dans la population.Dans cette interview essentielle, le chercheur David Chavalarias détaille les stratégies d'ingérence d'États comme la Russie et la Chine, qui exploitent les failles des plateformes numériques pour amplifier des débats sensibles dans la société, afin d'influencer les élections. Différentes organisations, spécialistes de la manipulation, exacerbent des mouvements sociaux, tels que celui des Gilets jaunes ou des drames internationaux comme la guerre à Gaza, en jouant sur l'émotion et la perception collective afin de polariser les opinions. Un phénomène effrayant et stupéfiant à la fois.-----------♥️ Soutien : https://donorbox.org/monde-numerique
durée : 00:54:21 - Affaires sensibles - par : Fabrice Drouelle, Franck COGNARD - Aujourd'hui dans Affaires sensibles, les débuts de la mobilisation des Gilets jaunes. - invités : Gaspard Glanz - Gaspard Glanz : Journaliste et co-fondateur de "Taranis News" - réalisé par : Frédéric Milano
Carlo Invernizzi-Accetti"Vent'anni di rabbia"Come il risentimento ha preso il posto della politicaMondadori Editorewww.mondadori.itIn tutto l'Occidente, i primi vent'anni del XXI secolo sono stati segnati da una serie di movimenti di protesta e manifestazioni di frustrazione collettiva: dal movimento no-global d'inizio anni 2000 a quello no-vax durante la pandemia di COVID-19, passando per il «Vaffanculo-Day» di Beppe Grillo, gli Indignados spagnoli, Occupy Wall Street, il voto per la Brexit, l'elezione di Donald Trump, i Gilets jaunes francesi e le proteste legate a #MeToo e #BlackLivesMatter. Ciascuno di questi eventi ha ovviamente una storia particolare, ma c'è anche un filo rosso che li unisce: la rabbia nei confronti delle istituzioni. Nonostante la frenesia attivistica, queste mobilitazioni si sono rivelate, nella maggior parte dei casi, prive di finalità concrete, mentre è stata evidente la loro dimensione spettacolare e dimostrativa, volta a esprimere una condizione di risentimento diffuso nei confronti dell'ordine costituito, secondo una logica che tende a dividere la società in «amici» e «nemici», «buoni» e «cattivi». Ma come si spiega questa animosità crescente, dati i livelli di benessere materiale e di diritti acquisiti storicamente senza precedenti? Ridurre la rabbia odierna a un'espressione di emotività irrazionale o all'ignoranza delle masse, avverte Carlo Invernizzi-Accetti, è un errore. Per uscire dal vortice in cui siamo caduti è necessario comprenderne le ragioni. Nel fornire un'interpretazione di ciò che Hegel avrebbe chiamato lo Zeitgeist , cioè lo «spirito del tempo», "Vent'anni di rabbia" propone una rilettura storico-filosofica degli ultimi due decenni che apre nuove prospettive di azione sul futuro.Carlo Invernizzi-Accetti è professore ordinario di Scienze politiche alla City University of New York e visiting professor alla Columbia University. Esperto di politica comparata e di storia delle ideologie, collabora con diverse testate italiane e internazionali, tra cui «The New York Times», «Financial Times», «The Guardian», «la Repubblica», «Domani», «Le Monde Diplomatique» e «Le Grand Continent». È autore di numerose pubblicazioni, tra cui What is Christian Democracy? Politics, Religion and Ideology (Cambridge University Press, 2019) e Technopopulism. The New Logic of Democratic Politics (Oxford University Press, 2021).IL POSTO DELLE PAROLEascoltare fa pensarewww.ilpostodelleparole.itDiventa un supporter di questo podcast: https://www.spreaker.com/podcast/il-posto-delle-parole--1487855/support.
Avec 74 % d'opinion défavorable, le chef de l'État n'a jamais été aussi impopulaire, y compris au moment de la réforme des retraites ou pendant le mouvement des Gilets jaunes.
Ecoutez Le best-of de Philippe Caverivière avec Philippe Caverivière du 25 mai 2024
Ecoutez Le best-of de Philippe Caverivière avec Philippe Caverivière du 25 mai 2024
Le 8 mars, à l'occasion de la Journée internationale des droits des femmes, plusieurs députés de différents bords politiques présentent une proposition de loi devant une assemblée de mères de famille monoparentale, réunies au palais Bourbon. L'objectif : créer un « statut du parent isolé » et assurer des droits à celui-ci. Une carte « famille monoparentale », qui donnerait droit à des réductions pour les transports ou les loisirs, est aussi à l'étude.Aujourd'hui en France, 25% des familles sont monoparentales et dans l'écrasante majorité des cas on retrouve à leur tête des femmes. Ces mamans solos sont plus durement touchées par la précarité que les hommes. 40 % d'entre elles vivent sous le seuil de pauvreté. Longtemps invisibilisées, les mères célibataires sont parvenues ces dernières années à faire entendre leurs revendications, notamment à l'occasion de la crise de Gilets jaunes fin 2018, frappées de plein fouet par la baisse du pouvoir d'achat. Code source fait le point sur ce sujet, aujourd'hui, avec deux journalistes du Parisien : Christine Mateus, en charge des femmes et de leurs combats, et Bérangère Lepetit, qui suit notamment La Famille et la petite enfance, au sein du service société. Écoutez Code source sur toutes les plates-formes audio : Apple Podcast (iPhone, iPad), Google Podcast (Android), Amazon Music, Podcast Addict ou Castbox, Deezer, Spotify.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Reporter : Ambre Rosala - Production : Raphaël Pueyo et Thibault Lambert - Réalisation et mixage : Pierre Chaffanjon - Musiques : François Clos, Audio Network - Archives : Euronews, Youtube. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Racing TV's Ross Millar is in conversation with Emmet, where he shares his remarkable journey. He went from being an event rider to overcoming a career-threatening injury, and then successfully transitioning into the world of racing. Now, he serves as a jockey coach, racing pundit, and syndicate manager. Ross also offers insights into the prospects of City Of Troy, potentially becoming the first triple crown winner in 54 years. He emphasises the importance of special horses in attracting new fans to the sport. The discussion extends to topics like the new fixture list, bloodstock, the sales ring, strategies for attracting new fans while retaining the loyal ones in racing. The handicap system and recommendations for jumps horses to follow are also part of the conversation. Venatour Racing Social: If your planning a racing trip to Europe or further afield, check out Venatour Racing Social for a large range of bespoke racing holidays at Venatour.co.uk Form Tools: Proform is the essential tool for punters looking to make money from betting on Horse Racing. Our form book covers Jumps and Flat racing in the UK and Ireland. https://www.proformracing.com/ Clothing: Racing Tee's offer fully customisable horse racing T-shirts, Hoodies, Gilets, Hats and more in your favourite horses colours. https://racingts.com Twitter: @FinalFurlongPod Email: radioemmet@gmail.com In association with Adelicious Podcast Network. Hosted on Megaphone. Follow us for free on Spotify Podcasts https://open.spotify.com/show/3e6NnBkr7MBstVx5U7lpld Learn more about your ad choices. Visit podcastchoices.com/adchoices
Six-time Champion tipster Paul Jacobs joins Emmet to preview British Champions Day at Ascot. We preview every race as three individual Guineas winners, Paddington, Tahiyra, and Chaldean, face each other in a vintage Queen Elizabeth II Stakes, and the duo shares their strong opinions on their bets. Meanwhile, the feature race, the Champion Stakes, appears wide open, and both Paul and Emmet want to take on the market leaders. They each back Kyprios and Trueshan in the Champions Long Distance Cup, but Paul has some very strong selections, including a 16/1 next best and a 14/1 NAP. Emmet is going over the cliff with a 20/1 shot he can't resist and makes the case for a 50/1 each-way play. Venatour Racing Social: If your planning a racing trip to Europe or further afield, check out Venatour Racing Social for a large range of bespoke racing holidays at Venatour.co.uk Form Tools: Proform is the essential tool for punters looking to make money from betting on Horse Racing. Our form book covers Jumps and Flat racing in the UK and Ireland. https://www.proformracing.com/ Clothing: Racing Tee's offer fully customisable horse racing T-shirts, Hoodies, Gilets, Hats and more in your favourite horses colours. https://racingts.com Twitter: @FinalFurlongPod Email: radioemmet@gmail.com In association with Adelicious Podcast Network. Hosted on Megaphone. Follow us for free on Spotify Podcasts https://open.spotify.com/show/3e6NnBkr7MBstVx5U7lpld Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Dans l'Eure en Normandie, un homme d'église avait la réputation d'être le "curé des Gilets jaunes". Ce dernier entonnait des chants "anti-macron" lors des messes. Les Grosses Têtes appellent le petit café du coin pour avoir quelques infos sur cette chanson. Une séquence hilarante ! Réflexions, analyses farfelues, coups de gueule ou autres fous rires... Tout l'été, découvrez ou redécouvrez une archive des Grosses Têtes avec leurs auditeurs.