Podcast appearances and mentions of Michel Barnier

French politician and EU negotiator

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Michel Barnier

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Latest podcast episodes about Michel Barnier

Laurent Gerra
L'INTÉGRALE - Lenglet, Barnier, Macias... La chronique du 12 juin 2025

Laurent Gerra

Play Episode Listen Later Jun 12, 2025 6:16


Ce jeudi 12 juin 2025, Laurent Gerra a notamment imité François Lenglet, Michel Barnier ou encore Enrico Macias. Tous les jours, retrouvez le meilleur de Laurent Gerra en podcast sur RTL.fr, l'application et toutes vos plateformes.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Le sept neuf
Michel Barnier : "Je me sens pleinement dans le débat politique d'aujourd'hui, déterminé"

Le sept neuf

Play Episode Listen Later Jun 10, 2025 23:38


durée : 00:23:38 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé - Michel Barnier, ancien Premier ministre, était l'invité de France Inter ce mardi, à l'occasion de la parution de "Ce que j'ai appris de vous" (4 juin, Calmann Levy) - invités : Michel Barnier - Michel Barnier : Homme politique français

Le sept neuf
Le 7/10 du mardi 10 juin 2025 : Ehud Olmert, Michel Barnier, Christophe Ono-dit-Biot et Constance Schaerer

Le sept neuf

Play Episode Listen Later Jun 10, 2025 178:03


durée : 02:58:03 - Le 7/10 - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé, Sonia Devillers, Anne-Laure Sugier - Le 7/10 du mardi 10 juin 2025 : Ehud Olmert, Michel Barnier, Christophe Ono-dit-Biot et Constance Schaerer

L’Heure du Monde
Un an après la dissolution ratée, la paralysie de l'Etat

L’Heure du Monde

Play Episode Listen Later Jun 10, 2025 20:00


Le 9 juin 2024, au soir d'élections européennes qui ont vu le RN arriver en tête avec 31 % des voix, Emmanuel Macron prend tout le monde de court en décidant de dissoudre l'Assemblée nationale. Cette décision, encore largement incomprise par les Français aujourd'hui, a entraîné une défaite pour le camp présidentiel et une Assemblée ingouvernable qui peine à mener une action cohérente.Les deux gouvernements qu'a connus la France depuis illustrent largement cette instabilité : celui de Michel Barnier a été rapidement censuré quand celui de François Bayrou est miné par les rivalités interministérielles et peine à définir un cap clair.Cette dissolution ratée a-t-elle ainsi entraîné une incapacité de l'Etat français à mener des politiques publiques pour préparer le pays aux défis de demain, mais aussi faire face aux crises qu'il traverse actuellement ? Dans cet épisode du podcast « L'Heure du Monde », Mariama Daramé, journaliste chargée du suivi de l'exécutif, explique les conséquences en cascade de la décision du chef de l'Etat le 9 juin 2024.Un épisode de Jean-Guillaume Santi avec l'aide de Cyrielle Bedu, réalisé par Amandine Robillard. Présentation et suivi éditorial : Jean-Guillaume Santi. Dans cet épisode : extrait de l'allocution d'Emmanuel Macron le 9 juin 2024 ; extrait des résultats des élections législatives sur TFI le 7 juillet 2024 ; extrait de l'interview d'Emmanuel Macron sur France 2 le 23 juillet 2024.Cet épisode a été publié le 10 juin 2025.---Pour soutenir "L'Heure du Monde" et notre rédaction, abonnez-vous sur abopodcast.lemonde.fr Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.

Politique
Présidentielle 2027: la droite en ordre de bataille, le PS élit son premier secrétaire

Politique

Play Episode Listen Later Jun 5, 2025 39:37


Les candidats en piste pour 2027 semblent se multiplier et les ouvrages avec : Edouard Philippe ou Michel Barnier ont déjà sorti les leurs. Bruno Retailleau et Gérald Darmanin ne cachent pas leur envie de se lancer. A gauche, le Parti socialiste élit son nouveau premier secrétaire. Les adhérents doivent départager Olivier Faure et Nicolas Mayer-Rossignol, avec comme enjeu l'union et la question brûlante d'une alliance avec les Insoumis pour les prochaines échéances électorales.

C à vous
Michel Barnier et les présidents de la Ve République

C à vous

Play Episode Listen Later Jun 4, 2025 3:31


Patrick Cohen décrypte sur le plateau de “C à Vous” un point précis de l'actualité pour le replacer dans son contexte, l'analyser et le mettre en perspective, en écartant opinions et approximations.

C à vous
L'intégrale de C à Vous - 04/06/25 

C à vous

Play Episode Listen Later Jun 4, 2025 52:08


Nos invités du mercredi 4 juin 2025 : Décès de Philippe Labro: Hervé Beroud, directeur de l'information du groupe M6/RTL. Michel Barnier, ancien Premier ministre, publie le livre “Ce que j'ai appris de vous”. Chroniques pour demain” aux éditions Calmann-Lévy.Avec également comme chaque soir L'édito de Patrick Cohen, la story de Mohamed Bouhafsi et le 5 sur 5 de Lorrain Sénéchal.Tous les soirs du lundi au vendredi à 18h55 sur France 5, Anne-Elisabeth Lemoine et toute son équipe accueillent celles et ceux qui font l'actualité du jour.

C à vous
Michel Barnier nous dit “Ce que j'ai appris de vous”.

C à vous

Play Episode Listen Later Jun 4, 2025 17:43


l'ancien Premier Ministre Michel Barnier veut continuer à être utile à la France. Il le dit dans un livre publié aujourd'hui. Il nous explique comment et à quel poste. “Ce que j'ai appris de vous”. Chroniques pour demain” aux éditions Calmann-Lévy.Tous les soirs du lundi au vendredi à 18h55 sur France 5, Anne-Elisabeth Lemoine et toute son équipe accueillent celles et ceux qui font l'actualité du jour.

Histoires politiques
Michel Barnier, l'Elton John de la politique française

Histoires politiques

Play Episode Listen Later Jun 4, 2025 2:21


durée : 00:02:21 - La politique avec - Vous connaissez cette manie qu'ont les chanteurs qui annoncent leur ultime tournée d'adieu pendant dix années de suite ? Le phénomène existe aussi chez les politiques. C'est Michel Barnier, cette semaine, qui joue la mélodie du retour avec la publication d'un livre : « Ce que j'ai appris de vous ».

L'invité de RTL
POLITIQUE - Michel Barnier est l'invité de Thomas Sotto

L'invité de RTL

Play Episode Listen Later Jun 3, 2025 10:35


Prédécesseur de François Bayrou au poste de Premier ministre, président du comité national des Républicains, Michel Barnier publie "Ce que j'ai appris de vous" aux éditions Calmann-Lévy. Ecoutez L'invité RTL de 7h40 avec Thomas Sotto du 03 juin 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Les coulisses de la politique
Une avalanche de livres politiques en perspective

Les coulisses de la politique

Play Episode Listen Later Jun 2, 2025 2:55


Edouard Philippe, Eric Ciotti, Michel Barnier, Gabriel Attal, Gérald Darmanin, ou encore Jordan Bardella… Nombreuses sont les figures politiques qui s'apprêtent à publier un livre, ou ont un projet d'ouvrage en cours pour les mois à venir. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

popular Wiki of the Day
Emmanuel Macron

popular Wiki of the Day

Play Episode Listen Later May 28, 2025 5:00


pWotD Episode 2947: Emmanuel Macron Welcome to Popular Wiki of the Day, spotlighting Wikipedia's most visited pages, giving you a peek into what the world is curious about today.With 364,690 views on Tuesday, 27 May 2025 our article of the day is Emmanuel Macron.Emmanuel Jean-Michel Frédéric Macron ([emanɥɛl makʁɔ̃] ; born 21 December 1977) is a French politician who has served as President of France and Co-Prince of Andorra since 2017. He was Minister of Economics, Industry and Digital Affairs under President François Hollande between 2014 and 2016. He has been a member of Renaissance since he founded it in 2016.Born in Amiens, Macron studied philosophy at Paris Nanterre University. He completed a master's degree in public affairs at Sciences Po and graduated from the École nationale d'administration in 2004. He worked as a senior civil servant at the Inspectorate General of Finances and investment banker at Rothschild & Co. Appointed Élysée deputy secretary-general by President Hollande after the 2012 election, Macron was a senior adviser to Hollande. Appointed Economics Minister in 2014, in the second Valls government, he led several business-friendly reforms. He resigned in 2016, to launch his 2017 presidential campaign. A member of the Socialist Party between 2006-09, he ran in the election under the banner of En Marche, a centrist and pro-European political movement he founded in 2016.Partly due to the Fillon affair, Macron was elected President in May 2017 with 66% of the vote in the second round, defeating Marine Le Pen of the National Front. Aged 39, he became the youngest president in French history. In the 2017 legislative election, his party, renamed La République En Marche! (LREM), secured a majority in the National Assembly. Macron was elected to a second term in the 2022 presidential election, again defeating Le Pen, becoming the first French presidential candidate to win reelection since Jacques Chirac in 2002. Macron's centrist coalition lost its majority in the 2022 legislative election, resulting in a hung parliament and formation of France's first minority government since 1993. In 2024, Macron appointed Gabriel Attal as Prime Minister, after a government crisis. Following overwhelming defeat at the 2024 European Parliament elections, Macron dissolved the National Assembly and called for a snap legislative election which resulted in another hung parliament and electoral defeat for his coalition. Two months afterwards, Macron appointed Michel Barnier, a conservative and former chief Brexit negotiator, as Prime Minister. Only three months in, Barnier was toppled by a historic vote of no confidence, prompting Macron to replace him with centrist veteran François Bayrou.During his presidency, Macron has overseen reforms to labour laws, taxation, and pensions; and pursued a renewable energy transition. Dubbed "president of the rich" by opponents, increasing protests against his reforms, culminating in 2018–2020 with the yellow vests protests and the pension reform strike. In foreign policy, he called for reforms to the European Union (EU) and signed treaties with Italy and Germany. Macron conducted €40 billion in trade and business agreements with China during the China–United States trade war and oversaw a dispute with Australia and the US over the AUKUS security pact. From 2020, he led France's response to the COVID pandemic and vaccination rollout. In 2023, the government of his prime minister, Élisabeth Borne, passed legislation raising the retirement age from 62 to 64; this led to public sector strikes and violent protests. He continued Opération Chammal in the war against the Islamic State and joined in the international condemnation of the Russian invasion of Ukraine.This recording reflects the Wikipedia text as of 01:24 UTC on Wednesday, 28 May 2025.For the full current version of the article, see Emmanuel Macron on Wikipedia.This podcast uses content from Wikipedia under the Creative Commons Attribution-ShareAlike License.Visit our archives at wikioftheday.com and subscribe to stay updated on new episodes.Follow us on Mastodon at @wikioftheday@masto.ai.Also check out Curmudgeon's Corner, a current events podcast.Until next time, I'm neural Joey.

Politique, le choix de la semaine
Le torchon continue de brûler entre macronistes et Républicains

Politique, le choix de la semaine

Play Episode Listen Later May 25, 2025 3:11


Le torchon continue de brûler entre le camp macroniste et Les Républicains. Dimanche, Bruno Retailleau, actuel ministre de l'Intérieur a été élu président du parti. Et l'agacement n'a pas tardé à poindre du côté des élus macronistes qui estiment que l'intéressé a « l'impression d'avoir déjà gagné la présidentielle ». Autre élément irritant, la sortie de cette ministre LR qui a fait grincer des dents dans le camp présidentiel. Et pas n'importe quelle ministre, la porte-parole du gouvernement Sophie Primas. Interviewée sur Europe 1, cette proche de Bruno Retailleau estime que « le macronisme trouvera probablement une fin dans les mois qui viennent. La question c'est comment on rebâtit la suite ». Dans la foulée, les messageries des députés Ensemble pour la République ont surchauffé. Députés qui ont immédiatement demandé la démission de Sophie Primas mais aussi de Bruno Retailleau.Car quelques jours plus tôt, le ministre de l'Intérieur avait clamé : « je ne suis toujours pas macroniste ». Pas très sympathique alors que le camp présidentiel et Les Républicains cohabitent dans le socle commun formant le gouvernement. Dans un tir groupé à l'allure d'offensive organisée sur les réseaux sociaux, les cadres de Renaissance se sont plu cette semaine à rappeler les scores modestes de LR lors des derniers scrutins.C'est donc une ambiance compliquée dans le bloc central où ils sont tous alliés malgré euxC'est une ambiance à couteaux tirés. On ne compte plus les sujets de discorde. Du port du voile dans le sport, aux suites de la condamnation de Marine Le Pen et du Rassemblement national, de la fin des Zones à Faible Émissions à la loi Paris-Lyon-Marseille en passant par les deux lois sur la fin de vie qui sont en ce moment débattues dans l'hémicycle, le socle commun s'illustre par des divisions permanentes s'exprimant en continu sur la place publique. Elles opposent les LR aux macronistes, mais aussi au sein même de chaque parti la composant. Les députés des deux blocs ne s'en cachent plus. Pierre Cordier, devant le groupe LR : « À force, on ne sait plus ce qu'il y a de commun dans ce socle ».Le gouvernement peut-il encore tenir longtemps ?Pour le moment, la coalition de François Bayrou est encore protégée par la peur du chaos que pourrait entraîner la chute de son gouvernement. Mais pour combien de temps ? De tous les côtés de ce bloc central les signes d'exaspération se multiplient. En témoignent les dernières déclarations évoquées plus haut.Même s'ils n'aiment pas les personnalités d'Emmanuel Macron et François Bayrou, les électeurs LR aiment encore moins le désordre. Malgré les tensions, aucun député du bloc central n'imagine d'ailleurs son gouvernement être renversé par une motion de censure comme celui de Michel Barnier en décembre 2024. La perspective d'une dissolution, techniquement possible à partir de cet été, effraie jusque dans les rangs du Rassemblement national. De quoi la dissuader d'appuyer sur le bouton rouge de la censure.Mais chacun le sait, le budget qui arrive s'annonce explosif et c'est donc à partir du mois d'octobre que, s'il veut tenir, le socle commun devra se ressouder pour affronter cette dangereuse zone de turbulences.

RTL Matin
TOUT SAVOIR SUR - POLITIQUE - Laurent Wauquiez, l'allié sans attache de Michel Barnier qui prépare 2027

RTL Matin

Play Episode Listen Later Apr 22, 2025 11:26


REDIFF - Député de Haute-Loire, Laurent Wauquiez est à la tête de la Droite républicaine, un groupe de 47 députés. Ne faisant officiellement plus partie de l'opposition à l'Assemblée, ce groupe a un poids important dans la coalition souhaitée par Michel Barnier avec les élus macronistes. Quelle est la stratégie de Laurent Wauquiez ? Se prépare-t-il pour l'élection présidentielle de 2027 ? Réponses avec Marie-Pierre Haddad et Marion Mourgue, rédactrice en chef du service politique du "Parisien". Du lundi au vendredi, la rédaction de RTL revient sur un fait marquant de l'actualité avec les reporters, les correspondants et les experts de RTL.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Le journal RTL
TOUT SAVOIR SUR - POLITIQUE - Laurent Wauquiez, l'allié sans attache de Michel Barnier qui prépare 2027

Le journal RTL

Play Episode Listen Later Apr 22, 2025 11:26


REDIFF - Député de Haute-Loire, Laurent Wauquiez est à la tête de la Droite républicaine, un groupe de 47 députés. Ne faisant officiellement plus partie de l'opposition à l'Assemblée, ce groupe a un poids important dans la coalition souhaitée par Michel Barnier avec les élus macronistes. Quelle est la stratégie de Laurent Wauquiez ? Se prépare-t-il pour l'élection présidentielle de 2027 ? Réponses avec Marie-Pierre Haddad et Marion Mourgue, rédactrice en chef du service politique du "Parisien". Du lundi au vendredi, la rédaction de RTL revient sur un fait marquant de l'actualité avec les reporters, les correspondants et les experts de RTL.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Focus
POLITIQUE - Laurent Wauquiez, l'allié sans attache de Michel Barnier qui prépare 2027

Focus

Play Episode Listen Later Apr 22, 2025 11:26


REDIFF - Député de Haute-Loire, Laurent Wauquiez est à la tête de la Droite républicaine, un groupe de 47 députés. Ne faisant officiellement plus partie de l'opposition à l'Assemblée, ce groupe a un poids important dans la coalition souhaitée par Michel Barnier avec les élus macronistes. Quelle est la stratégie de Laurent Wauquiez ? Se prépare-t-il pour l'élection présidentielle de 2027 ? Réponses avec Marie-Pierre Haddad et Marion Mourgue, rédactrice en chef du service politique du "Parisien". Du lundi au vendredi, la rédaction de RTL revient sur un fait marquant de l'actualité avec les reporters, les correspondants et les experts de RTL.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Le Grand Jury
TOUT SAVOIR SUR - Laurent Wauquiez, l'allié sans attache de Michel Barnier qui prépare 2027

Le Grand Jury

Play Episode Listen Later Apr 22, 2025 11:26


REDIFF - Député de Haute-Loire, Laurent Wauquiez est à la tête de la Droite républicaine, un groupe de 47 députés. Ne faisant officiellement plus partie de l'opposition à l'Assemblée, ce groupe a un poids important dans la coalition souhaitée par Michel Barnier avec les élus macronistes. Quelle est la stratégie de Laurent Wauquiez ? Se prépare-t-il pour l'élection présidentielle de 2027 ? Réponses avec Marie-Pierre Haddad et Marion Mourgue, rédactrice en chef du service politique du "Parisien". Du lundi au vendredi, la rédaction de RTL revient sur un fait marquant de l'actualité avec les reporters, les correspondants et les experts de RTL.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

RTL Soir
TOUT SAVOIR SUR - POLITIQUE - Laurent Wauquiez, l'allié sans attache de Michel Barnier qui prépare 2027

RTL Soir

Play Episode Listen Later Apr 22, 2025 11:26


REDIFF - Député de Haute-Loire, Laurent Wauquiez est à la tête de la Droite républicaine, un groupe de 47 députés. Ne faisant officiellement plus partie de l'opposition à l'Assemblée, ce groupe a un poids important dans la coalition souhaitée par Michel Barnier avec les élus macronistes. Quelle est la stratégie de Laurent Wauquiez ? Se prépare-t-il pour l'élection présidentielle de 2027 ? Réponses avec Marie-Pierre Haddad et Marion Mourgue, rédactrice en chef du service politique du "Parisien". Du lundi au vendredi, la rédaction de RTL revient sur un fait marquant de l'actualité avec les reporters, les correspondants et les experts de RTL.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

L’Heure du Monde
François Bayrou : le flou à Matignon

L’Heure du Monde

Play Episode Listen Later Apr 17, 2025 21:57


En succédant à Michel Barnier comme premier ministre, en décembre 2024, François Bayrou cultivait de grandes ambitions pour son gouvernement et pour lui-même. Mais, depuis quatre mois, le maire de Pau est confronté à de multiples turbulences.Si, en dotant la France d'un budget, il a réussi là où son prédécesseur a échoué, il a, par la suite, eu du mal à peser sur l'ordre du jour politique et médiatique. Déléguant la réflexion sur des projets pourtant cruciaux, mis en difficulté dans l'affaire de Bétharram, ballotté par des ministres à la parole très libre et directement recadré par le président de la République, François Bayrou a souvent vu son autorité contestée.Ses jours à Matignon sont-ils comptés ? Avec quelle méthode peut-il espérer durer ? Et au service de quel projet ?Dans cet épisode du podcast « L'Heure du Monde », Nathalie Segaunes, journaliste au service politique du Monde, chargée du suivi de l'exécutif, revient sur les quatre mois passés par François Bayrou à la tête du gouvernement.Un épisode de Marion Bothorel, réalisé par Thomas Zeng. Musique originale : Amandine Robillard. Présentation et rédaction en chef : Jean-Guillaume Santi. Dans cet épisode : extraits de la déclaration de politique générale de François Bayrou, prononcée le 14 janvier 2025 ; d'une de ses prises de parole à l'Assemblée nationale, le 28 janvier 2025 ; de l'une de ses déclarations lors des questions au gouvernement, le 1er mars 2025, et d'une chronique sur TF1, le 4 mars 2025.Cet épisode a été publié le 17 avril 2025.---Que pensez-vous des podcasts du « Monde » ? Donnez votre avis en répondant à cette enquête. Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.

Les Grandes Gueules
40 milliards d'économie : "pas suffisant", selon Michel Barnier - 15/04

Les Grandes Gueules

Play Episode Listen Later Apr 15, 2025 13:51


Pour débuter l'émission de ce mardi 15 avril 2025, les GG : Barbara Lefebvre, professeure d'histoire-géographie, Bruno Poncet, cheminot, et Emmanuel de Villiers, chef d'entreprise, débattent du sujet du jour : "40 milliards d'économie : "pas suffisant", selon Michel Barnier".

Les Grandes Gueules
Les Grandes Gueules du 15 avril : Barbara Lefebvre, Bruno Poncet et Emmanuel de Villiers - 9h/10h

Les Grandes Gueules

Play Episode Listen Later Apr 15, 2025 43:34


Aujourd'hui, dans la première heure des Grandes Gueules, les GG sont revenues sur "Yanis : son agresseur libéré, il se suicide" et "40 milliards d'économie : "pas suffisant", selon Michel Barnier", avant d'échanger leur point de vue dans le "On s'en fout, on s'en fout pas".

Le brief politique
Dans l'ombre depuis des mois voire des années, d'anciens Premiers ministres veulent revenir dans l'arène politique

Le brief politique

Play Episode Listen Later Apr 4, 2025 2:26


durée : 00:02:26 - Le brief politique - Dominique de Villepin, Bernard Cazeneuve, Michel Barnier, Jean Castex... Tous ont connu Matignon et continuent de cultiver leurs réseaux en attendant d'éventuelles opportunités.

L'opinion de Nicolas Beytout
Bayrou : 100 jours pour rien ?

L'opinion de Nicolas Beytout

Play Episode Listen Later Mar 25, 2025 4:23


Dans cet épisode, Alexis Brézet analyse les 100 premiers jours de François Bayrou à la tête du gouvernement. Bien que Matignon ait tenté de mettre en avant une image d'un Premier ministre hyperactif, la réalité est plus nuancée. Il explique que Bayrou a été nommé pour apaiser les tensions après l'échec de Michel Barnier, mais qu'il se retrouve confronté à une Assemblée bloquée où aucune réforme majeure n'est adoptée. Une situation complexe qui illustre les défis d'un gouvernement minoritaire.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

L'oeil de...
"Michel Barnier, c'est la comète de Matignon, l'étoile filante de la rue de Varennes !'"

L'oeil de...

Play Episode Listen Later Feb 26, 2025 4:28


Ecoutez L'oeil de Philippe Caverivière du 26 février 2025.

L'invité de RTL
POLITIQUE - Michel Barnier est l'invité exceptionnel de Thomas Sotto

L'invité de RTL

Play Episode Listen Later Feb 26, 2025 13:48


Pour sa première prise de parole depuis son départ de Matignon, l'ancien Premier ministre a choisi RTL. Il est l'invité de Thomas Sotto. Ecoutez L'invité de RTL avec Thomas Sotto du 26 février 2025.

Le Nouvel Esprit Public
Élections partielles : une droite revient ? / Rwanda / RDC : de quoi s'agit-il ?

Le Nouvel Esprit Public

Play Episode Listen Later Feb 9, 2025 63:53


Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 7 février 2025.Avec cette semaine :Akram Belkaïd, journaliste au Monde diplomatique.Béatrice Giblin, directrice de la revue Hérodote et fondatrice de l'Institut Français de Géopolitique.Nicole Gnesotto, vice-présidente de l'Institut Jacques Delors.Lionel Zinsou, ancien Premier ministre du Bénin et président de la fondation Terra Nova.ÉLECTIONS PARTIELLES : UNE DROITE REVIENT ?La droite est ressortie le week-end dernier avec trois bons résultats à des élections partielles. Aux municipales de Villeneuve-Saint-Georges dans le Val-de-Marne, Kristell Niasme la candidate Les Républicains, l'a emporté avec 49% des voix contre 38,75 % pour l'insoumis Louis Boyard et 12,25 % pour le maire sortant Philippe Gaudin. Un succès auquel s'est ajouté le même jour, celui de la législative partielle à Boulogne-Billancourt dans les Hauts-de-Seine, où la candidate LR Elisabeth de Maistre est arrivée largement en tête au premier tour, éliminant la macroniste Laurianne Rossi de Renaissance, soutenue par Gabriel Attal ; sans oublier l'élection de la LR Claire Pouzin comme maire à Francheville dans le Rhône. Des résultats, qui s'additionnent aux deux élections partielles qui se sont tenues dans les Ardennes en décembre et en Isère en janvier, permettent d'observer un léger rebond du parti Les Républicains qui lui permet de retrouver le goût de la victoire, après des années de déboires électoraux et le départ de son ancien président Éric Ciotti, désormais allié du Rassemblement national.Ils sont nombreux à droite à expliquer ce regain de forme électorale des Républicains par leur retour au premier plan et au gouvernement après la dissolution. « Les LR ont retrouvé de l'oxygène » grâce à leur retour aux responsabilités, confiait récemment l'éphémère Premier ministre Michel Barnier, en privé, louant la « crédibilité » des ministres issus de LR. Laurent Wauquiez, lui, estime que « la refondation de la droite avance », et fait tout pour rappeler que la droite n'est « pas soluble » dans le macronisme, vis-à-vis duquel il demeure très offensif, malgré le partage du gouvernement. Le ministre de l'Intérieur Bruno Retailleau va plus loin : « la droite est vraiment de retour », se félicite-t-il sur X. Il assure que les premiers mois au gouvernement l'ont « convaincu qu'il y avait un espace » pour la droite, observant que sa cote de popularité mordait tant sur l'électorat macroniste que lepéniste.Toutefois, les ressorts du vote d'une élection nationale sont rarement transposables à un scrutin local, martèlent les politologues. Il est délicat de se baser sur deux municipales pour invoquer un regain de forme électorale national, font-ils valoir, et la droite dirigeait déjà les exécutifs sortants. « Il n'y a pas de décalque mécanique des élections nationales vers les élections locales, et d'autant plus vers les élections municipales », souligne Bruno Cautrès, chercheur à Sciences Po et au CNRS.RWANDA / RDC : DE QUOI S'AGIT-IL ?Depuis qu'en novembre 2021 la rébellion du Mouvement du 23 mars, dit « M23 », soutenue par le Rwanda, a relancé les affrontements contre la République démocratique du Congo (RDC) dans l'est de ce pays, près d'1,5 million de personnes se sont réfugiées aux abords de Goma, où vivent déjà un million d'habitants. Le M23 est un mouvement armé composé initialement de miliciens de la communauté Banyamulenge (Tutsis Congolais) intégrés dans l'armée congolaise par l'accord du 23 mars 2009. Ils se sont mutinés en 2012 et ont créé ce mouvement rebelle avec le nom de la date de leur incorporation dans l'armée. La prise de Goma, le 27 janvier, fait courir le risque d'un désastre humanitaire d'une immense ampleur dans une zone marquée par des décennies de conflits.Ce n'est pas la première fois que la capitale de la province du Nord-Kivu tombe aux mains du groupe armé hostile au gouvernement de la RDC, tandis que le Rwanda reprend son soutien à la rébellion. Son armée « a continué d'apporter un soutien systématique au M23 et de contrôler de facto ses opérations », dénonce un sixième rapport des Nations-Unies publié début janvier 2025. Il lui fournit des armes sophistiquées - missiles sol-air, drones, véhicules blindés, tandis que 4.000 soldats rwandais sont actuellement présents dans le Kivu.Paris et Washington ont « condamné » l'offensive du M23 tandis que Londres s'est dit « fortement préoccupé » et a appelé à la « désescalade ». Quant au Conseil de sécurité de l'ONU, s'il a dénoncé le « mépris éhonté » de la souveraineté de la RDC, il s'est contenté de réclamer le retrait « des forces extérieures », sans les nommer explicitement. Car aux yeux des Occidentaux, le Rwanda, le Pays des mille collines est l'incarnation d'une success-story, la vitrine d'une aide au développement qui fonctionne. En face, la République démocratique du Congo, grevée par des conflits depuis plusieurs décennies, gangrenée par la corruption et dotée d'une armée indisciplinée et prédatrice, fait figure de repoussoir pour certains. Quant aux États-Unis, l'Afrique n'est pas actuellement une priorité de l'administration Trump. Le conflit a pour toile de fond le génocide des Tutsis de 1994 que les Occidentaux n'ont à l'époque pas su empêcher et la manne minière de la région. Grande comme quatre fois la France, la RDC abrite 60 à 80 % des réserves mondiales de coltan, un minerai indispensable à la fabrication des smartphones.Le 29 janvier, le président de la RDC Félix Tshisekedi a promis « une riposte vigoureuse et coordonnée contre ces terroristes et leurs parrains », affirmant vouloir « reconquérir chaque parcelle du territoire ». Pendant que Kinshasa exige, comme préalable, le retrait du M23 de toutes les positions qu'il occupe, Kigali réclame l'ouverture de négociations directes avec les rebelles. Or, pour le président Tshisekedi, discuter avec des « terroristes », ainsi les considère-t-il, est la « ligne rouge » à ne pas franchir. À l'allure où vont les choses, une régionalisation du conflit est à craindre.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.fr

C dans l'air
Impôts, pouvoir d'achat... que prévoit le budget ? - L'intégrale -

C dans l'air

Play Episode Listen Later Feb 6, 2025 64:11


C dans l'air du 6 février 2025 - Impôts, pouvoir d'achat... que prévoit le budget ?Le budget de l'Etat pour l'année 2025 est définitivement adopté. Le Sénat a approuvé le texte par 219 voix pour et 107 contre, ce jeudi 6 février, au lendemain de sa validation à l'Assemblée nationale. Le Premier ministre avait dégainé l'article 49.3 de la Constitution pour le faire adopter, provoquant le dépôt d'une motion par la France insoumise. Que prévoit ce budget, élaboré sur la base de 30 milliards d'économies et 20 milliards de recettes ? Quelles sont les principales mesures du texte porté par François Bayrou ?La partie recettes est largement inspirée par le budget de Michel Barnier. Y figurent une augmentation temporaire sur l'impôt sur le revenu des ménages les plus aisés qui doit rapporter 2 milliards d'euros et la "contribution exceptionnelle" sur les bénéfices des grandes entreprises qui prévoit 8 milliards d'euros supplémentaires dans les caisses de l'État, limitée à la seule année 2025. La taxe exceptionnelle sur l'armateur CMA-CGM est également ramenée à un an et non deux. La fiscalité est aussi alourdie sur les rachats d'actions et les chaudières à gaz. Il est par ailleurs prévu un malus renforcé sur l'achat de voitures thermiques et une augmentation de la taxe sur les billets d'avion.Pour tenir compte de l'inflation, le budget revalorise de 1,8 % les tranches du barème de l'impôt sur le revenu, permettant à 619 000 contribuables de ne pas devenir imposables, selon le ministère de l'Économie et des Finances. Par ailleurs, du côté de la TVA, le seuil exemption est abaissé pour les micro-entreprises, avec un nouveau seuil unique à 25.000 euros de chiffre d'affaires annuel. Cette mesure devrait toucher 200.000 auto-entrepreneurs. Du côté des dépenses, le budget prévoit des coupes dans le budget de plusieurs ministères, en particulier dans celui de la transition écologique, la culture, l'agriculture, la recherche et l'enseignement supérieur. Les collectivités locales vont également devoir réduire leur budget d'environ 2,2 milliards d'euros. Adopté par le Parlement, ce budget suscite de nombreuses réactions et de forts remous à gauche. Car les deux motions de censure déposées par la France insoumise contre le Premier ministre sur les budgets de l'État et de la Sécurité sociale ont échoué mercredi, grâce à l'abstention du Parti socialiste et du Rassemblement national. Furieuse, la France insoumise a dénoncé la "forfaiture" du PS, et ne veut plus des socialistes au sein du Nouveau Front populaire. Les insoumis ont proposé aux écologistes et aux communistes également censeurs de faire le point sur l'avenir du NFP, alors que le Premier secrétaire du PS n'a pas l'intention de quitter l'alliance. "Nous sommes fidèles au NFP en demeurant dans une opposition franche au gouvernement" a affirmé Olivier Faure, avant de tacler la stratégie adoptée par LFI : "Je ne suis pas disposé à me plier à une stratégie de blocage institutionnel dont le seul objet est de conduire à une présidentielle anticipée, sous la menace d'une victoire de l'extrême droite". "Ce n'est clairement pas notre budget. C'est un mauvais budget qui présente des risques récessifs, un budget comptable, sans vision stratégique» a expliqué le leader socialiste tout en se félicitant d'avoir réussi à obtenir des concessions de la part du gouvernement, comme "l'indexation des retraites sur l'inflation, le maintien du remboursement des consultations médicales, l'augmentation du budget de l'hôpital ou des Ehpad, ou les 4 000 postes d'enseignants qui ne seront finalement pas supprimés".Alors qu'est-ce que ce budget va changer pour les Français dont la priorité demeure le pouvoir d'achat ? Selon un dernier sondage Elabe pour BFMTV, 82 % d'entre eux estiment se serrer la ceinture depuis un an, dont 29% "beaucoup".Les experts :- Dominique SEUX - Éditorialiste - Les Echos et France Inter- Jérôme JAFFRE - Politologue - Chercheur associé au CEVIPOF- Fanny GUINOCHET - Éditorialiste économique - France Info et La Tribune - Brigitte BOUCHER - Journaliste politique - Franceinfo TV PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.frFACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5TWITTER : https://twitter.com/cdanslairINSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/

Le grand journal du soir - Matthieu Belliard
Philippe Vigier, député MoDem sur le Budget 2025 : «Pour une fois, ce sont les parlementaires qui, en grande partie, ont eu la main»

Le grand journal du soir - Matthieu Belliard

Play Episode Listen Later Feb 4, 2025 18:53


Tous les soirs à 20h30, Stéphanie De Muru reçoit un invité qui fait l'actualité politique. Ce soir, elle reçoit le député MoDem d'Eure-et-Loir, membre de la commission des Affaires sociales, Philippe Vigier. L'occasion de se demander : le Premier ministre, François Bayrou, est-il en passe de réussir là où Michel Barnier a échoué ?

Le Nouvel Esprit Public
De Barnier à Bayrou : un problème, deux réponses ? / La sécurité collective à l'heure du révisionnisme trumpiste

Le Nouvel Esprit Public

Play Episode Listen Later Jan 19, 2025 69:24


ISSN 2608-984XVous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée en public à l'École de l'air et de l'espace de Salon-de-Provence le 17 janvier 2025.Avec cette semaine :Jean-Louis Bourlanges, essayiste.Nicole Gnesotto, vice-présidente de l'Institut Jacques Delors.Marc-Olivier Padis, directeur des études de la fondation Terra Nova.DE BARNIER À BAYROU : UN PROBLÈME, DEUX RÉPONSES ?Un mois après son arrivée à Matignon, François Bayrou s'est fixé « trois défis » : « Contenir » et « réduire » la dette publique, « mettre en place les conditions de la stabilité, qui impose de se réconcilier », et refondre l'action publique. Parmi les principales mesures annoncées, figure la remise en chantier de la réforme des retraites avec une ouverture majeure de la proposition du Premier ministre par rapport à celle de son prédécesseur Michel Barnier : il a fait sauter le tabou des 64 ans mais à condition de ne pas « dégrader l'équilibre financier » du système. Sur la base d'un « constat » chiffré, confié à la Cour des comptes pour une « mission flash », les partenaires sociaux auront trois mois pour dégager « un accord d'équilibre et de meilleure justice». S'il émerge, il sera soumis au Parlement à l'automne. Sinon « c'est la réforme actuelle qui continuerait à s'appliquer ».Un fonds spécial « entièrement dédié à la réforme de l'État », sera créé, financé en cédant une partie des actifs publics, notamment immobiliers. L'effort d'économie demandé aux collectivités territoriales sera réduit à 2,2 milliards d'euros au lieu des 5 milliards d'euros prévus par Michel Barnier. Le Premier ministre cherchera à protéger les entreprises de hausses d'impôts. Il est favorable au « principe proportionnel pour la représentation du peuple dans nos assemblées ». Un élément qui ouvre la porte à un « probable » retour du cumul des mandats. « L'étude des cahiers de doléances » présentés par les Gilets jaunes sera reprise. Le Premier ministre a abandonné « la mesure de déremboursement de certains médicaments et de consultations » prévue par son prédécesseur. La progression des dépenses de santé sera donc plus forte que prévu dans la copie Barnier. Elle devrait être relevé de +2,8% à +3,3 %. François Bayrou a également renoncé aux 4.000 suppressions de postes prévues dans l'éducation nationale ainsi qu'au passage d'un à trois jours de carence en cas d'arrêt maladie. Il maintient le projet de taxe sur les hauts revenus. Enfin, il a analysé l'immigration comme « d'abord une question de proportion ».Jeudi, ni les lepénistes ni les socialistes n'ont voté la motion de censure déposée par les mélenchonistes, avec des écologistes et des communistes. Elle n'a donc pas été adoptée.LA SÉCURITÉ COLLECTIVE À L'HEURE DU RÉVISIONNISME TRUMPISTEAvec le retour de Donald Trump à la Maison Blanche, les puissances du Vieux Continent redoutent l'érosion, voire la dissolution, de leur principale alliance, l'Organisation du traité de l'Atlantique Nord (OTAN), au moment même où la Russie prend l'avantage en Ukraine. Au cours de sa précédente présidence, Trump avait envisagé de ne pas honorer l'article 5 du traité, qui prévoit que les pays signataires se portent au secours d'un allié attaqué. Or, toute la dissuasion de l'Alliance atlantique repose sur cet engagement.Cette menace voilée du président américain marquait sa volonté d'un rééquilibrage des contributions au budget de l'Otan entre les alliés et les États-Unis. Seulement les deux tiers des trente membres européens de l'Otan consacrent plus de 2 % de leur PIB à la défense. Sans les Etats-Unis, ils devront dépenser peut-être deux fois plus. Ce qui voudra dire accroître l'endettement, augmenter les impôts ou tailler dans certaines dépenses essentielles. Les Européens doivent aussi décider s'ils repensent ou non la base de leur défense collective. À l'heure actuelle, les forces armées européennes donnent priorité à l'Otan tout en veillant à élargir leurs capacités de défense et de sécurité au travers d'autres institutions, comme l'Union européenne, et des blocs militaires régionaux comme la Force expéditionnaire conjointe sous direction britannique. La victoire de Trump relance aussi le débat sur le rôle dissuasif des armes nucléaires françaises et britanniques en cas d'éventuelles attaques ailleurs en Europe.Aujourd'hui, l'Europe est bien plus vulnérable qu'elle ne l'était lorsque Trump a été élu pour la première fois en 2016. Elle est aux prises avec une guerre, une crise économique et une montée en puissance des mouvements nationalistes populistes. Actuellement, huit de ces mouvements dirigent des gouvernements ou participent à des coalitions à travers le continent. L'Europe doit se préparer, en filant la métaphore du Haut représentant de l'Union européenne pour les affaires étrangères et la politique de sécurité, Josep Borrell, à voir son « jardin » menacé par une « jungle » peuplée de « carnivores » sans états d'âme. Un récent Eurobaromètre, qui mesure l'opinion publique européenne à l'égard de l'Union, montre que celle-ci n'a jamais été aussi favorable à l'intégration européenne. Bien que beaucoup de citoyens soient insatisfaits de leur gouvernement, plus de six personnes sur dix estiment que l'avenir de l'Europe réside dans l'Union.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.fr

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Budget : qui va payer la facture ? - L'intégrale -

C dans l'air

Play Episode Listen Later Jan 17, 2025 64:32


C dans l'air du 17 janvier 2025 - Budget : qui va payer la facture ?Le nouveau ministre François Bayrou a échappé jeudi à la première motion de censure. Le texte, déposé à l'initiative des Insoumis, des Écologistes et des communistes, a échoué à renverser son gouvernement, avec seulement 131 voix sur les 288 nécessaires. Le maintien du Premier ministre ne faisait guère de doute, la droite et le Rassemblement national ayant annoncé qu'ils ne voteraient pas le texte, rendant son adoption numériquement impossible. L'incertitude portait davantage sur l'attitude du Parti socialiste, divisé depuis la déclaration de politique générale, et qui a finalement tranché en dernière minute pour ne pas le censurer."Nous avons choisi de ne pas pratiquer la politique du pire parce qu'elle peut conduire à la pire des politiques : l'arrivée de l'extrême droite", lance, à la tribune, le patron des socialistes, sous les vives interpellations de ses camarades mélenchonistes. "Nous sommes dans l'opposition et nous y resterons", a expliqué Olivier Faure, avant de lister la totalité des points qui ont motivé ses troupes à ne pas voter cette motion. Parmi lesquels l'ouverture de concertations avec les partenaires sociaux sur la réforme des retraites, la création ou le maintien de 12000 postes de personnels soignants, la non-suppression des 4000 postes dans l'éducation nationale, l'annulation du ticket modérateur sur les consultations médicales, l'abandon du projet de passage de 1 à 3 jours de carences dans la fonction publique, l'augmentation de l'enveloppe budgétaire allouée aux l'hôpitaux…En comptant la réindexation des retraites au 1er janvier, le coût de ces mesures est estimé 6,5 milliards d'euros. Mais si on l'enlève, la facture est plutôt de l'ordre de 2,5 milliards d'euros, sur lesquels Bercy compte récupérer 1 milliard auprès des mutuelles qui ont augmenté leur tarif en vue de la hausse du ticket modérateur, finalement annulé.Reste 1,5 milliards d'euros qui viennent s'ajouter aux 32 milliards d'euros d'économies déjà fixées. Point sur lequel François Bayrou est resté jusqu'à présent très sobre concernant les moyens d'y parvenir. Dans son discours de politique générale mardi, le Premier ministre a dénoncé une "bureaucratie trop lourde" et s'est interrogé sur la nécessité d'avoir 1 000 agences et autres établissements publics. Mais cette volonté de simplification administrative n'est pas nouvelle. Ainsi, dans le gouvernement sortant, l'ancien ministre de la Fonction publique de Michel Barnier, Guillaume Kasbarian, souhaitait supprimer "plusieurs dizaines" de ces "comités Théodule". Alors qui est visé ? Quelles seront ces économies ? Qui va payer la facture ?Les experts : - Gaëlle MACKE - Directrice déléguée de la rédaction - Challenges - Thomas PORCHER - Économiste, professeur à la Paris School of Business- Cécile CORNUDET - Éditorialiste politique - Les Echos - Jérôme FOURQUET - Directeur département Opinion - Institut de sondages IFOPPRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.frFACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5TWITTER : https://twitter.com/cdanslairINSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/

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Budget : taxer les plus riches…et les retraités ? - L'intégrale -

C dans l'air

Play Episode Listen Later Jan 10, 2025 64:31


C dans l'air du 10 janvier 2025 - Budget : taxer les plus riches…et les retraités ?Depuis la nomination de François Bayrou à Matignon, c'est l'un des grands défis du gouvernement : faire adopter prochainement au Parlement le budget 2025, avec comme objectif 50 milliards d'euros d'économies. Alors pour éviter toute censure, le nouveau ministre de l'Economie, Éric Lombard et la ministre des Comptes publics Amélie de Montchalin bouclent ce vendredi une première semaine de consultations avec les principales forces politiques en vue d'amender le projet de loi de finances (PLF) pour 2025, dont l'examen est sur le point de reprendre au Sénat où il a été suspendu plus d'un mois après la chute du gouvernement de Michel Barnier. Toute la question pour Bercy est de savoir où sont les lignes rouges pour chaque camp, et notamment une partie de la gauche avec qui le gouvernement cherche à sceller un accord de non-censure. Une stratégie qui crée la division au sein du Nouveau Front populaire.Ainsi après une première rencontre lundi, Éric Lombard, a reçu ce mercredi pour la seconde fois, et ensemble les représentants du Parti socialiste, du parti Les Écologistes et du Parti communiste. "Nous avançons sur tous les sujets", a commenté le patron des socialistes, Olivier Faure à l'issue de cette rencontre, ajoutant que "pour qu'il n'y ait pas de censure, ça suppose qu'il y ait une inflexion forte sur la politique qui est conduite jusqu'ici". De son côté, la France insoumise, qui a refusé d'assister à ces rendez-vous, a fustigé le comportement de ses alliés du Nouveau Front populaire. "Cette façon de négocier dans le dos du NFP et contre son programme est une forfaiture d'un irrespect total pour notre alliance", s'est emporté sur X Jean-Luc Mélenchon. Dans un article de blog, publié jeudi 9 janvier, il accuse Olivier Faure d'avoir entamé "un revirement complet du PS sur la question des retraites" et de "se substituer aux syndicats" pour la renégocier. "Les retraites, ce sont nos salaires, pas un jouet entre les mains de la finance ou des macronistes", a conclu le leader insoumis.La gauche du tout ou rien, c'est aujourd'hui la gauche du rien", a cinglé en retour le premier secrétaire du parti au poing et à la rose, sur TF1. Avant de justifier sa stratégie : "Moi, ce que je veux c'est arracher des victoires, faire en sorte que la politique conduite depuis sept ans puisse connaître une inflexion." Et de mettre en avant la nécessité de parvenir à un "compromis", faute de majorité à l'Assemblée nationale. Selon des informations de Libération, les socialistes ont formulé plusieurs demandes au gouvernement, dont la suspension de la réforme des retraites, le fait de renoncer à la suppression de 4.000 postes d'enseignants prévue par le précédent gouvernement ou encore le maintien de l'Aide médicale d'État dans sa version actuelle.Les consultations se poursuivent ce vendredi. Une délégation de députés RN – sans Marine Le Pen, endeuillée depuis la mort de père – est reçu ce vendredi à Bercy pour porter ses revendications sur le budget. Au menu : refus de hausses d'impôts, économies sur le "train de vie de l'État" et nouveau tour de vis sur l'immigration.Alors que les échanges s'intensifient entre les chefs de partis et le gouvernement, le patron du Medef Patrick Martin s'est dit "inquiet". Il craint que les compromis pour éviter la censure se fassent « sur le dos » des entreprises, et ce alors que nombre d'entre elles connaissent des difficultés. Plus de 66 000 entreprises ont ainsi faillite en 2024, soit un niveau record depuis au moins 2009, selon le bilan annuel de BPCE l'Observatoire. Au total, 260 000 emplois ont été menacés en 2024 par ces défaillances. Le patron du Medef Patrick Martin, a appelé ce jeudi à la suppression de l'abattement pour frais professionnels dont bénéficient les retraités dans leur déclaration de revenus, qu'il juge "aberrant".Alors où en sont les négociations après une première semaine de consultations ? impôts, taxes, économies… Quelles sont les pistes du gouvernement pour le budget 2025 ? Les experts : Emmanuel DUTEIL - Directeur de la rédaction - L'Usine Nouvelle Gaël MACKE - Directrice déléguée de la rédaction - Challenges Astrid DE VILLAINES - Productrice, présentatrice de Sens politique - France CultureMathieu PLANE - Économiste – OFCE, Observatoire Français des Conjonctures Économiques

Laurent Gerra
L'INTÉGRALE - Le Pen, Ruquier, Barnier... La chronique du 8 janvier 2025

Laurent Gerra

Play Episode Listen Later Jan 8, 2025 7:09


Ce mercredi 8 janvier 2025, Laurent Gerra a notamment imité Jean-Marie Le Pen, Laurent Ruquier ou encore Michel Barnier ! Tous les jours, retrouvez le meilleur de Laurent Gerra en podcast sur RTL.fr, l'application et toutes vos plateformes.

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Le Premier ministre français, Michel Barnier, a démissionné après l'adoption d'une motion de censure, plongeant le pays dans une crise politique majeure.Traduction :French Prime Minister Michel Barnier resigned after a no-confidence motion was adopted, plunging the country into a major political crisis. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

C dans l'air
Immobilier, auto, électricité... les nouveautés de 2025 - L'intégrale -

C dans l'air

Play Episode Listen Later Jan 3, 2025 66:53


C dans l'air du 3 janvier 2025 - Immobilier, auto, électricité... les nouveautés de 2025Comme chaque année, de nouvelles lois sont entrées en vigueur le 1er janvier et les changements sont nombreux en 2025. À commencer par les retraites : les pensions de base ont augmenté de 2,2 %. Faute d'adoption du budget de la Sécurité sociale, cette revalorisation a été indexée sur l'inflation. Elle est supérieure à ce que proposait le gouvernement censuré de Michel Barnier qui avait évoqué une augmentation de 1,6 %.À cela s'ajoutent notamment la hausse du prix des mutuelles (6% en moyenne), du prix du tabac (le paquet de vingt cigarettes avoisine les treize euros), du timbre, ou encore de l'électricité. Côté immobilier, l'interdiction de louer des logements de classe énergétique G est aussi entré en vigueur. Enfin, le RSA est maintenant conditionné sur tout le territoire à quinze heures d'activités hebdomadaires d'accompagnement et d'insertion.Pendant ce temps, la ville de Senlis, dans l'Oise, a été classé parmi les meilleures communes en termes de qualité de vie de prix pour les cadres. Proche de Paris et de l'aéroport de Roissy, la ville au riche patrimoine historique attire de plus en plus de Franciliens avides d'espace et de tranquillité.Dans cette période compliquée pour le pouvoir d'achat, un autre phénomène peut faire perdre de l'argent : celui des arnaques aux colis. Fréquentes, ces escroqueries tentent recevoir de l'argent des consommateurs via des textos parfois trompeurs. De nombreuses autres arnaques se développent en ligne, comme celles qui proposent des placements alléchants.Alors, l'année 2025 sera-t-elle noire sur le plan du pouvoir d'achat ? Pourquoi de nombreux franciliens quittent l'Ile-de-France pour des villes en périphérie ? Comment se protéger des arnaques ?Les experts : Emmanuel DUTEIL - Directeur de la rédaction de L'Usine NouvelleCorinne JOLLY - Présidente de PAP - Particulier à ParticulierGéraldine HOUDAYER - Journaliste spécialiste de la consommation à France BleuMathieu PLANE – Économiste, directeur adjoint du Département Analyse et Prévision à OFCEPRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.frFACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5TWITTER : https://twitter.com/cdanslairINSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/

Par Jupiter !
Le déficit budgétaire en chanson !

Par Jupiter !

Play Episode Listen Later Jan 1, 2025 3:29


durée : 00:03:29 - Charline explose les faits - par : Charline Vanhoenacker - Michel Barnier s'est donné pour mission d'alléger le fardeau de la dette. Avec Frédéric Fromet, en chanson, c'est la fête du déficit budgétaire ! On démarre avec un featuring Michel Barnier x Eddy de Pretto !

Le Billet de Charline
Le déficit budgétaire en chanson !

Le Billet de Charline

Play Episode Listen Later Jan 1, 2025 3:29


durée : 00:03:29 - Charline explose les faits - par : Charline Vanhoenacker - Michel Barnier s'est donné pour mission d'alléger le fardeau de la dette. Avec Frédéric Fromet, en chanson, c'est la fête du déficit budgétaire ! On démarre avec un featuring Michel Barnier x Eddy de Pretto !

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Finances publiques : la diète en 2025 ? - L'intégrale -

C dans l'air

Play Episode Listen Later Dec 31, 2024 66:42


C dans l'air du 31 décembre - Finances publiques : la diète en 2025 ? Présentation: Lorrain SénéchalEn ce dernier jour de l'année 2024, les décrets ont été publiés au Journal officiel. Le budget 2024 est reconduit à l'identique pour l'instant pour l'année prochaine, conséquence de l'adoption de la loi spéciale du 20 décembre qui permet aux ministères de continuer à fonctionner, en attendant le vote au Parlement d'un nouveau budget pour 2025. Avec toujours les mêmes paramètres : une Assemblée sans majorité et un pays qui connaît un record d'endettement, à hauteur de 3 300 milliards d'euros.Le nouveau Premier ministre, François Bayrou, avait déclaré, le 19 décembre dernier, espérer l'adoption d'un budget "à la mi-février" sans toutefois être "sûr d'y arriver". Il avait également indiqué qu'il repartirait de "la copie qui a été votée" au Parlement avant la censure de son prédécesseur, Michel Barnier. Alors à Bercy on cherche la voie de passage, multipliant ces derniers jours les appels aux partis politiques en attendant les réunions de la semaine prochaine. Mais comment compte-t-il faire ? "Nous devons réduire le déficit, sans tuer la croissance", soulignait Éric Lombard, le nouveau ministre de l'Économie et des Finances, au lendemain de sa prise de fonction. Une formule qui demeure encore à plusieurs inconnues et s'annonce complexe à l'heure où derrière une économie allemande atone, les voyants indiquant un ralentissement de l'économie française se multiplient.À commencer par les défaillances d'entreprise qui tournent autour de 66 000 en 2024. Le nombre d'entreprises ayant déposé le bilan (ou en passe de le faire) est désormais comparable à celui enregistré lors de la crise financière de 2008. Dans certains secteurs en particulier la grande distribution, l'automobile, ou encore l'immobilier, les plans sociaux se succèdent. Un mur de faillites qui pourrait avoir un lourd impact sur l'emploi. D'ailleurs après des années de baisse qui ont fait suite à la parenthèse Covid, le taux de chômage remonte. Il devrait atteindre 7,5 % début 2025. Toutefois certains secteurs d'activité se portent bien et empêchent le chômage de trop grimper. Ainsi des entreprises, notamment dans l'industrie, ont leurs carnets de commandes pleins, mais certaines ont bien du mal à trouver des salariés qualifiés. Nous nous sommes rendus en novembre dernier à Saint-Nazaire où une vingtaine d'entre elles ont participé à un job dating sur l'industrie pour faire leur recrutement.Alors quelle est la situation économique de la France ? Pourquoi connaît-elle un déficit public record ? 2024 a-t-elle été une année noire pour l'emploi ? Assiste-t-on au retour du chômage dans le pays ? Dette, emploi, croissance… à quoi s'attendre en 2025 pour la France ? Retour sur cette année 2024 qui a vu la dette publique atteindre un niveau inédit et perspectives économiques pour 2025.Les experts : - Nicolas BOUZOU, économiste – Directeur fondateur du cabinet de conseil Asterès, chroniqueur à L'Express - Lucie ROBEQUAIN, directrice de la rédaction - La Tribune et La Tribune Dimanche - Anne DE GUIGNÉ, grand reporter au service économie – Le Figaro- Frédéric DABI, directeur général Opinion - Institut de sondages IFOP

La ContraCrónica
Fin de ciclo político

La ContraCrónica

Play Episode Listen Later Dec 30, 2024 41:40


Algo está cambiando en Occidente. A lo largo de los dos últimos años se ha apreciado un desplazamiento hacia la derecha tanto en Europa como en América. Este viraje, que se adivinaba ya desde la pandemia, viene motivado por preocupaciones de índole económica, por las presiones migratorias y también por una creciente fatiga de la opinión pública hacia temas como el cambio climático y las políticas de identidad que han sido ubicuas en la última década. El regreso de Donald Trump a la Casa Blanca es quizá el síntoma más evidente, pero el fenómeno no es exclusivo ni mucho menos de Estados Unidos. En Canadá, su vecino del norte, parecen contados los día para el Gobierno de Justin Trudeau. En Argentina la presidencia de Javier Milei se ha consolidado y está cosechando algunos éxitos económicos tras varios años de crisis muy aguda. En Europa, el estancamiento económico, la inflación, los precios desorbitados de la vivienda y la falta de oportunidades para los jóvenes está favoreciendo a los partidos conservadores y populistas de derecha. Hoy tres cuartas partes de los Gobiernos de la Unión Europea están formados por coaliciones de centroderecha. En Canadá el cambio parece cercano. Como veíamos la semana pasada en La ContraCrónica, la popularidad del primer ministro Justin Trudeau se ha desplomado y eso anticipa que el Partido Conservador de Pierre Polievre gane limpiamente las elecciones del año próximo tras casi diez años en la oposición. Poilievre ha dotado a los conservadores canadiense de una retórica populista e identitaria, muy en la línea de Donald Trump. En Europa se celebrarán elecciones en febrero y la derecha las ganará de calle con el partido Alternativa por Alemania posiblemente colocándose como segunda fuerza política tras los democristianos. En Francia la Agrupación Nacional está en los mejores momentos de su historia. Hace menos de un mes hicieron caer al primer ministro Michel Barnier, y en las europeas de mayo fueron el partido más votado, obtuvieron, de hecho más del doble de los votos que la coalición macronista. Este cambio de ciclo político se debe en primera instancia a los habituales movimientos pendulares, pero esta vez se distingue por una marcada tendencia populista y un agrio rechazo hacia los partidos tradicionales, especialmente entre la clase media y trabajadora. Los inmigrantes y el bajo crecimiento económico han fomentado el nacionalismo y un deseo de mayor control de las fronteras que preludia una nueva edad de oro de los aranceles. Las redes sociales han jugado un papel importante amplificando estas divisiones y el ascenso de estos partidos. El fenómeno se da, como decía, a ambos lados del Atlántico y es un reflejo de la frustración generalizada de una parte nada despreciable de la sociedad hacia la élite política, económica y académica. En Canadá, la crisis política se ha alimentado con la inflación, los precios de la vivienda y las políticas de inmigración. En Europa, el descontento se nutre de la desindustrialización, el estancamiento de los salarios y de la inmigración, que son los temas que ahora preocupan. Otros como el cambio climático, la justicia social, el feminismo o el racismo, tan en boga hasta hace no mucho tiempo, no se perciben como relevantes o, desde luego, no tan importantes y perentorios como las dificultades económicas. Hasta en el Reino Unido, donde se produjo este año un cambio de Gobierno tras 14 años de gabinetes conservadores, ha aparecido un partido de derecha identitaria, Reform UK, cuyos apoyos no hacen más que crecer en las encuestas. Eso sí, aunque la derecha esté ganando terreno, esto no ha de traducirse necesariamente en Gobiernos de centroderecha ya que existen fuertes tensiones entre los partidos liberal-conservadores tradicionales y la nueva derecha identitaria. Que ambos se pongan de acuerdo se antoja difícil ya que suelen renegar los unos de los otros. En La ContraRéplica: 0:00 Introducción 4:11 Fin de ciclo político 29:33 El Estado y la custodia de los datos 35:12 El franquismo y la dictadura militar argentina · Canal de Telegram: https://t.me/lacontracronica · “Contra la Revolución Francesa”… https://amzn.to/4aF0LpZ · “Hispanos. Breve historia de los pueblos de habla hispana”… https://amzn.to/428js1G · “La ContraHistoria de España. Auge, caída y vuelta a empezar de un país en 28 episodios”… https://amzn.to/3kXcZ6i · “Lutero, Calvino y Trento, la Reforma que no fue”… https://amzn.to/3shKOlK · “La ContraHistoria del comunismo”… https://amzn.to/39QP2KE Apoya La Contra en: · Patreon... https://www.patreon.com/diazvillanueva · iVoox... https://www.ivoox.com/podcast-contracronica_sq_f1267769_1.html · Paypal... https://www.paypal.me/diazvillanueva Sígueme en: · Web... https://diazvillanueva.com · Twitter... https://twitter.com/diazvillanueva · Facebook... https://www.facebook.com/fernandodiazvillanueva1/ · Instagram... https://www.instagram.com/diazvillanueva · Linkedin… https://www.linkedin.com/in/fernando-d%C3%ADaz-villanueva-7303865/ · Flickr... https://www.flickr.com/photos/147276463@N05/?/ · Pinterest... https://www.pinterest.com/fernandodiazvillanueva Encuentra mis libros en: · Amazon... https://www.amazon.es/Fernando-Diaz-Villanueva/e/B00J2ASBXM #FernandoDiazVillanueva #derecha #populismo Escucha el episodio completo en la app de iVoox, o descubre todo el catálogo de iVoox Originals

O Assunto
A crise das democracias liberais

O Assunto

Play Episode Listen Later Dec 18, 2024 22:48


O Parlamento da Alemanha aprovou a dissolução do governo do primeiro-ministro Olaf Scholz, após a aliança partidária que o apoiava se desfazer por divergências sobre como revitalizar a economia. Abriu-se caminho, então, para uma nova eleição, que deve acontecer em fevereiro de 2025. Era uma questão de tempo desde que o partido liberal democrata deixou a coalização do governo e Scholz ficou sem maioria parlamentar, no início de novembro. Enquanto isso, na vizinha França, o primeiro-ministro, Michel Barnier, pediu demissão horas depois de uma votação na Assembleia Nacional o afastar do cargo — ele tinha apenas três meses na função. Barnier foi alvo de uma moção de censura — quando deputados podem retirar um primeiro-ministro do cargo. Por trás do mecanismo, algo inédito: uma improvável aliança de esquerda e direita, ambas insatisfeitas. Do outro lado do continente Europeu, é o Canadá, igualmente um país desenvolvido, que dá sinais de crise com seu primeiro-ministro, Justin Trudeau. Parlamentares pediram a sua renúncia, pouco após a vice-premiê e ministra das Finanças, Chrystia Freeland, pedir demissão, mergulhando o Canadá em uma crise política, na qual a situação econômica também pesou. Quem explica como esses cenários se convergem é Thomás Zicman de Barros, pesquisador do Instituto de Estudos Políticos de Paris, Sciences Po. Na conversa com Natuza Nery, ele também fala sobre o peso da economia por trás das quedas e da impopularidade desses líderes e como essas mudanças podem refletir ao redor do mundo.

Les Grosses Têtes
IMITATIONS - Marc-Antoine Le Bret face à André Dussolier

Les Grosses Têtes

Play Episode Listen Later Dec 16, 2024 5:00


Face à André Dussollier ce 16 décembre 2024, Marc-Antoine Le Bret a notamment imité François Bayrou, François Cluzet, Nicolas Sarkozy et Michel Barnier. Retrouvez tous les jours le meilleur des Grosses Têtes en podcast sur RTL.fr et l'application RTL.

Ralph Nader Radio Hour
Israel's Wall of Impunity

Ralph Nader Radio Hour

Play Episode Listen Later Dec 7, 2024 75:56


Ralph welcomes international human rights lawyer and activist, and former senior United Nations human rights official Craig Mokhiber to discuss Israel and Gaza—if Israel should be thrown out of the UN, how Trump's positions will compare to Biden's, and whether we're starting to see cracks in Israel's wall of impunity. Plus, Ralph shares a possible ray of light in Trump's cabinet, a warning about the cost of credit cards for small businesses, and some tough love for AARP.Craig Mokhiber is an international human rights lawyer and activist, and a former senior United Nations human rights official. A human rights activist in the 1980s, he would go on to serve for more than three decades at the United Nations, with postings in Switzerland, Palestine, Afghanistan, and UN Headquarters in New York. In October of 2023, he left the United Nations, penning a widely read letter criticizing the UN's human rights failures in the Middle East, warning of unfolding genocide in Gaza, and calling for a new approach to Palestine and Israel based on international law, human rights, and equality. Gaza is now the world capital of child amputation. And that doesn't even cover the true horror, because Israel blocks any anesthesia from entering Gaza as a means of imposing further agony on the population that they are subjecting to genocide. Which means those amputations are being carried out on children and adults without anesthesia and often without sterile equipment or adequate hospitals, such that even if they survive the excruciating agony of an amputation without anesthesia, they may well not survive the side effects. They may well not survive the infection.Craig MokhiberThe irony is that in November, the UN announced that Israel had paid its dues in full in order to preserve its membership and to continue to fund the UN— an organization that the Israelis say is a terrorist, anti-Semitic organization dedicated to its destruction, is an organization that they have decided to be a member of and to fund. So when you look at the kind of propaganda that they distribute…You can see how ironic and how outrageous it really is. I've said that it would be hard to imagine any country in the history of the organization more deserving—at a minimum—of suspension from the UN General Assembly. No country in history has violated the principles of the UN Charter more than Israel, and it has done so from the moment of its admission in 1948. Craig MokhiberWe can certainly expect a dangerous four years under Trump. There's no denying it…But we shouldn't forget that we've just had a four-year term under Biden and Harris in which they undid none of those policies, and in which they actually supported horrific international crimes being perpetrated by Israel. And Biden and his administration were at the helm of the brutal repression of human rights defenders here in the United States, on college campuses and workplaces and the streets and in media places. So we're going to go from genocide abroad and repression at home under Biden to more genocide abroad and repression at home under Trump. The only difference is that Trump won't waste his time on the kind of mendacious pretense of civility and humanitarian concern that was peddled by Biden and Harris as it murdered babies in their thousands. Craig MokhiberAARP has maybe 18 million members. That's a big, big organization, and we want it on our side. We want it on the side of single-payer, universal insurance, full Medicare for all.Ralph NaderIn Case You Haven't Heard with Francesco DeSantisNews 12/4/241. On Tuesday, right-wing South Korean President Yoon Suk Yeol attempted to stage a coup, declaring martial law and stationing troops outside of the South Korean National Assembly in an attempt to block lawmakers from assembling and voting to overturn his decree. Reuters reports that while Yoon used the pretext of cracking down on “North Korean anti-state forces," he “did not cite any specific threat” and instead focused on his domestic political opponents. Some contend that this move was meant to stave off prosecution of his wife, who is under investigation for corruption. When lawmakers were finally able to enter the National Assembly, all 190 members present voted to overturn the decree, including members of Yoon's own party. Former Democratic President Moon Jae-in urged the National Assembly to “act quickly to protect our democracy from crumbling." Even still, Yoon initially refused to call off the military, only folding after the Korean unions declared a general strike and the defense minister tendered his resignation. South Korea has previously been ruled by U.S.-backed dictators, including Syngman Rhee, Park Chung-Hee, and Chun Doo-hwan. Almost 30,000 American troops are stationed in the country and a provision in the American-drafted Korean constitution gives the U.S. emergency powers to take over the South Korean military.2. In Western Europe, the governments of Germany and France are collapsing. CNN reports that weak economic performance led German Chancellor Olaf Scholz of the SDP to dismiss his finance minister, Christian Lindner of the FDP, which in turn resulted in that party pulling out of Scholz's governing coalition – leaving Scholz in charge of a minority government. According to this report, Scholz committed to holding a confidence vote set for January 15th; if he loses that vote, a snap election could be held as early as March 2025, well ahead of the scheduled September elections. Meanwhile in France, Macron's center-right coalition is facing no confidence motions from the Left and far-Right. This crisis boils down to a budget showdown hinging on a social security austerity measure that Prime Minister Michel Barnier rammed through without a vote, per Le Monde. Mathilde Panot of the left-wing France Unbowed party is quoted in Reuters saying "Faced with this umpteenth denial of democracy, we will censure the government…We are living in political chaos because of Michel Barnier's government and Emmanuel Macron's presidency."3. In their December 2024 report, Prisoners for Peace lists four Israeli refuseniks: Itamar Greenberg, who has already spent 105 days in prison and has now been sentenced to another 45 days; Yuval Moav, who has been in prison for 125 days and may face yet more jail time – and now Itamar and Yuval are joined by Soul Behar Tzalik and Iddo Eilam, who were both sentenced to 30 days on November 27th. All four refuseniks are just 18 years old. They are affiliated with the Israeli refusenik peace group, Mesarvot.4. The Financial Times reports that the United States is exerting pressure on Ukraine to lower its age of conscription from 25 to just 18 years old. A senior U.S. military official is quoted saying “The simple truth is that Ukraine is not currently mobilising or training enough soldiers to replace their battlefield losses while keeping pace with Russia's growing military.” This piece frames this push as part of the Biden administration's feverish attempts to “deploy $7bn in security assistance to Kyiv before…Donald Trump takes office,” and cites estimates that Ukraine needs at least another 160,000 soldiers to replenish its ranks. Anti-war advocates have long decried the United States' role in perpetuating this war rather than seeking a negotiated settlement, resulting in a staggering loss of Ukrainian and Russian lives. For his part, President Zelenskyy told the Ukrainian parliament last week “Let there be no speculation — our state is not preparing to lower the mobilisation age.”5. In another case of foreign policy being made in the liminal space between the Biden and Trump administrations, AP reports China has announced they will ban exports of gallium, germanium, antimony and other high-tech materials with military applications to the United States. in retaliation for the U.S. limiting semiconductor-related exports – and for Donald Trump's threats to impose steep tariffs on the People's Republic. Lin Jian of the Chinese Foreign Ministry is quoted saying “China has lodged stern protests with the U.S. for its…malicious suppression of China's technological progress…illegal unilateral sanctions and long-arm jurisdiction against Chinese companies.”6. In yet another instance of Trump conducting foreign policy before his term begins, the president-elect has already provoked a diplomatic incident with Canada and Mexico. Trump has threatened to impose 25% tariffs on the two countries unless they “stem the flow of migrants and drugs,” per AP. Canadian Prime Minister Justin Trudeau, rather than standing together with Mexico, met with Trump to convince him that the two countries should not be treated equally. In response, Mexican President Claudia Sheinbaum said “Mexico must be respected, especially by its trading partners,” and added that Canada “could only wish they had the cultural riches Mexico has.”7. A new bombshell report comes to us from Drop Site. This time, it concerns the Organized Crime and Corruption Reporting Project, OCCRP, which is one of the “largest and most powerful” news organizations in the world. As this report notes, the OCCRP works with major newspapers across the globe to collaboratively publish major stories, including the Panama Papers. Yet, an investigation led by French outlet Mediapart, Italian outlet Il Fatto Quotidiano, Reporters United and Drop Site itself – along with the German NDR, though they were pressured to pull their own story – revealed a stunning truth at the heart of the OCCRP: more than half of its funding comes directly from the U.S. government. This story is complex and the reporters involved are not trying to discredit the reporting done by the OCCRP. But the public deserves to know who is funding the journalism they consume.8. Matt Bruenig's NLRB Edge has documented a remarkable case before the labor board involving the U.S. Postal Service. As Bruenig lays out, back in 2021 “Nicolas Montross, a letter carrier…invoked his contractual right…to not work more than 60 hours in a week. After working nearly 60 hours, [he] returned undelivered mail to the facility and left work.” At that point, he was called to a “pre-disciplinary interview” with his supervisor, who “questioned whether Montross's loyalty lay with the union or USPS, threatened him with discipline and criminal prosecution, and attempted to determine who had informed him about his contractual rights.” Montross eventually resigned, believing if he did not, he would face criminal charges. When this case finally made it to the NLRB, they ruled that the USPS had violated federal labor law and ordered them to offer Montross reinstatement with back pay and benefits – called “make-whole” relief – among other remedies. Yet, the USPS is now challenging make-whole relief, which has been standard practice at the Biden NLRB since 2022. As Bruenig writes, “Shouldn't the Biden administration be telling the USPS to cut it out, lest they manage to undermine one of the Biden NLRB's major accomplishments?”9. Following Donald Trump's victory in the 2024 presidential election, Senator Bernie Sanders has sought to hold Trump to the promises he made during the campaign. On November 15th, Sanders wrote “I look forward to working with the Trump Administration on fulfilling his promise to cap credit card interest rates at 10%. We cannot continue to allow big banks to make record profits by ripping off Americans by charging them 25 to 30% interest rates. That is usury.” Now, Sanders is seeking to leverage Elon Musk's government efficiency initiative to curb runaway Pentagon spending. On December 1st, he wrote “Elon Musk is right. The Pentagon, with a budget of $886 billion, just failed its 7th audit in a row. It's lost track of billions. Last year, only 13 senators voted against the Military Industrial Complex and a defense budget full of waste and fraud. That must change.” Put simply, Sanders is calling the Trump bluff. He ran, and won, on a populist economic message. If anyone can get him to deliver, it's Bernie – and if Trump backs down, he will be exposed as beholden to the corporate powers that be.10. Finally, on a lighter note, this week saw the resurrection of notorious corporate criminal firm Enron, via what CNN calls an “elaborate joke.” In short, this report finds that instead of a reincarnation of the scandal-plagued energy giant, this is merely a T-shirt company which bought the Enron trademark and is trying to capitalize on it. So, we can all breathe a sigh of relief. We have quite enough criminal corporations, no need to raise the dead.This has been Francesco DeSantis, with In Case You Haven't Heard. Get full access to Ralph Nader Radio Hour at www.ralphnaderradiohour.com/subscribe

Brexitcast
Storm Darragh in the UK + Political Storms in France

Brexitcast

Play Episode Listen Later Dec 7, 2024 27:47


Just as France enters a period of deep uncertainty, triggered by the fall of Michel Barnier's government, the country gets ready to reopen the Notre Dame cathedral.And, US President-elect Donald Trump is using the event to return to the geopolitical stage.Laura and Paddy discuss the Macron-Trump relationship.Plus, they hear from Newscasters, as thousands of people are left without power following Storm Darragh. You can join our Newscast online community here: https://tinyurl.com/newscastcommunityhere You can now listen to Newscast on a smart speaker. If you want to listen, just say "Ask BBC Sounds to play Newscast”. It works on most smart speakers.Newscast brings you daily analysis of the latest political news stories from the BBC. It was presented by Laura Kuenssberg and Paddy O'Connell. It was made by Ben Mundy with Clare Williamson. The technical producer was Michael Regaard. The assistant editor is Chris Gray. The editor is Sam Bonham.

Global News Podcast
French government collapses in no-confidence vote

Global News Podcast

Play Episode Listen Later Dec 5, 2024 28:28


The French government has collapsed after PM, Michel Barnier, was ousted in a no-confidence vote, after forcing through his budget. Also: Mexican police make their biggest ever seizure of the synthetic drug fentanyl.

Daily Signal News
US v Skrmetti Rundown, More Trump Nominations, Union Workers Strike | Dec. 5

Daily Signal News

Play Episode Listen Later Dec 5, 2024 11:44


On today's Top News in 10, we cover: The defendant in a landmark court case determining if states can protect kids from transgenderism explains US v Skrmetti. President-elect Donald Trump announced a slew of nominees. Employees at the United Auto Workers, the sixth-largest union in America, have gone on strike against the union this week. Police released photos of the man who allegedly shot UnitedHealthcare CEO Brian Thompson. Michel Barnier, the French Prime Minister, is rumored to be resigning on Thursday. The South Korean president is up for impeachment Relevant Links https://www.dailysignal.com/2024/12/04/how-these-new-appointees-may-affect-trumps-agenda-crypto-space-doge-tariffs-next-4-years/ https://www.dailysignal.com/2024/12/04/fact-checking-claims-gender-affirming-care-pivotal-supreme-court-case/ https://www.dailysignal.com/2024/12/04/ag-skrmetti-says-sex-differences-shouldnt-stop-states-protecting-kids-scotus-hearing/ Sign up for our email newsletters: https://www.dailysignal.com/email Subscribe to our other shows: The Tony Kinnett Cast: https://www.dailysignal.com/the-tony-kinnett-cast Problematic Women: https://www.dailysignal.com/problematic-women The Signal Sitdown: https://www.dailysignal.com/the-signal-sitdown Follow The Daily Signal: X: https://x.com/DailySignal Instagram: https://www.instagram.com/thedailysignal/ Facebook: https://www.facebook.com/TheDailySignalNews/ Truth Social: https://truthsocial.com/@DailySignal YouTube: https://www.youtube.com/user/DailySignal Rumble: https://rumble.com/c/TheDailySignal Thanks for making The Daily Signal Podcast your trusted source for the day's top news. Subscribe on your favorite podcast platform and never miss an episode.

Newshour
France's Prime Minister Michel Barnier resigns

Newshour

Play Episode Listen Later Dec 5, 2024 47:22


France's Prime Minister Michel Barnier has formally resigned after his government was voted down by parliament. With the ball in President Macron's court, what do MPs who support him - and his opponents - think he should do? Also in the programme: Amnesty International issues a detailed report accusing Israel of genocide in Gaza – we hear from an independent international lawyer and from an Israeli spokesman; and how Donald Trump's election victory is powering bitcoin to a record high.(IMAGE: French Prime Minister Michel Barnier removes his glasses after he delivered a speech during a debate on two motions of no-confidence against the French government, at the National Assembly in Paris, France, December 4, 2024. / CREDIT: REUTERS / Sarah Meyssonnier)

The Economist Morning Briefing
France's government collapses; American CEO killed, and more

The Economist Morning Briefing

Play Episode Listen Later Dec 5, 2024 4:03


France's minority government collapsed after Michel Barnier, the prime minister, lost a vote of no confidence.

FT News Briefing
UK uncovers criminal crypto network

FT News Briefing

Play Episode Listen Later Dec 5, 2024 12:29


Donald Trump has nominated cryptocurrency advocate Paul Atkins to chair the US Securities and Exchange Commission, and a dramatic attempt to impose martial law in South Korea by its president has backfired. The French parliament voted to oust Prime Minister Michel Barnier and a UK-led operation has uncovered a multibillion-dollar money laundering scheme. Plus, Google DeepMind has unveiled an artificial intelligence weather prediction model that outperforms traditional methods. Mentioned in this podcast:Donald Trump picks crypto enthusiast Paul Atkins for SEC chair‘Revenge cycle': South Korean crisis highlights deep political divideUK uncovers vast crypto laundering scheme for gangsters and Russian spiesFrench parliament votes to oust Michel Barnier's governmentGoogle DeepMind hits new milestone in AI weather forecastingThe FT News Briefing is produced by Niamh Rowe, Fiona Symon, Sonja Hutson, Kasia Broussalian and Marc Filippino. Additional help from Breen Turner, Sam Giovinco, Peter Barber, Michael Lello, David da Silva and Gavin Kallmann. Our engineer is Joseph Salcedo. Topher Forhecz is the FT's executive producer. The FT's global head of audio is Cheryl Brumley. The show's theme song is by Metaphor Music.Read a transcript of this episode on FT.com Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.

CNN News Briefing
6 PM ET: France ousts prime minister, manhunt continues for CEO's killer, lead and mental health & more

CNN News Briefing

Play Episode Listen Later Dec 4, 2024 6:31


Michel Barnier is now France's shortest-serving prime minister on record. The Supreme Court will likely side with Tennessee on a challenge to its gender-affirming care ban. Police say the man who killed the CEO of UnitedHealthcare this morning fled on an electric Citi Bike. We'll tell you how leaded gasoline may have affected your mental health. Plus, two US golf organizations have announced new gender-related competition policies. Learn more about your ad choices. Visit podcastchoices.com/adchoices

FT News Briefing
French prime minister faces no-confidence vote

FT News Briefing

Play Episode Listen Later Dec 4, 2024 12:34


The French government will face a no-confidence vote on Wednesday, South Korea's president said he will lift his martial law order, and cryptocurrency ‘memecoins' are having a moment. Plus, deaths in Africa's Sahel region have risen since military juntas took over pledging to bring security in face of jihadi violence.Mentioned in this podcast:Michel Barnier ‘method' at risk in raucous French parliament South Korea's Yoon says he will lift martial law order Military juntas in Africa's ‘coup belt' fail to contain extremist violence Squirrels, dogs and pygmy hippos: crypto's multibillion-dollar ‘memecoin' boom The FT News Briefing is produced by Niamh Rowe, Fiona Symon, Sonja Hutson, Kasia Broussalian and Marc Filippino. Additional help from Breen Turner, Sam Giovinco, Peter Barber, Michael Lello, David da Silva and Gavin Kallmann. Our engineer is Joseph Salcedo. Topher Forhecz is the FT's executive producer. The FT's global head of audio is Cheryl Brumley. The show's theme song is by Metaphor Music.Read a transcript of this episode on FT.com Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.

Les Grosses Têtes
IMITATIONS - Marc-Antoine Le Bret face à Eddy de Pretto

Les Grosses Têtes

Play Episode Listen Later Dec 3, 2024 3:45


Face à Eddy de Pretto ce 3 décembre 2024, Marc-Antoine Le Bret a notamment imité Michel Barnier, Édouard Baer et Jean Lassalle. Retrouvez tous les jours le meilleur des Grosses Têtes en podcast sur RTL.fr et l'application RTL.