Hungarian politician, chairman of Fidesz; Prime Minister of Hungary (2010-present)
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Plus de 200 personnes ont été interpellées et plus de 40 hospitalisées, selon le ministère de l'Intérieur, depuis jeudi 28 novembre 2024. Après l'annonce de la suspension du processus d'adhésion à l'Union européenne par le gouvernement, les rassemblements ont débuté dans les grandes villes, mais aussi dans des zones rurales et ils se poursuivent. 80% de la population du pays soutient cette adhésion et les manifestants dénoncent un rapprochement des autorités avec la Russie. Répression des libertés individuellesInfluence étrangère, valeurs familiales... En Géorgie, des textes répressifs similaires à ceux en vigueur en Russie sont adoptés par le Rêve Géorgien au pouvoir. Une loi qui réprime la liberté d'orientation sexuelle doit notamment entrer en vigueur ce mois-ci. Et à Tbilissi, l'inquiétude grandit dans la communauté LGBTQI. La capitale progressiste était jusqu'ici une bulle de liberté dans une région où les droits humains sont souvent réprimés, mais cette liberté est aujourd'hui menacée. Reportage de Robin Dussenne.Au sein même de l'Union européenne, les libertés individuelles peuvent être menacées : la Hongrie, du Premier ministre ultra-nationaliste Viktor Orban est le premier pays des 27 avoir importé une loi homophobe inspirée du texte russe de 2013. Et cette loi est au cœur d'un bras de fer entre Budapest et la Commission européenne qui estime que cette loi discriminatoire viole les traités communautaires. La Commission a porté plainte devant la Cour de justice européenne et le procès a débuté il y a 2 semaines. À Budapest, les précisions de Florence Labruyère. À lire aussiCrise en Géorgie: une situation qui rappelle celle en Ukraine Exploitation des femmes migrantesEn Italie, la Côte d'Ivoire a rejoint la liste des pays sûrs établie par le gouvernement. Cette définition permet d'argumenter que les migrants d'un pays dit «sûr» n'ont a priori pas besoin de protection et peuvent donc être renvoyés. Les autorités italiennes espèrent qu'elle facilitera l'envoi en rétention des migrants ivoiriens en Albanie avant le renvoi dans leur pays. En visite à Abidjan, cet été, le ministre italien de l'Intérieur s'était félicité d'une baisse du nombre de migrants ressortissants de ce pays. Mais en Sicile, l'association Penelope constate, depuis quelques années, une forte augmentation du nombre de femmes ivoiriennes victimes des réseaux criminels. Les explications de Cécile Debarge.À écouter aussiLe difficile parcours administratif des femmes migrantes victimes de violences sexuelles Accords de libre-échange : la Moldavie et l'UE partenariat gagnant ?Alors que l'éventuelle signature d'un accord avec le Mercosur, espace de libre échange sud-américain, continue de diviser les pays de l'Union européenne, un accord du même type fait beaucoup moins débat, c'est celui qui a été signé avec la Moldavie, pays frontalier de l'Ukraine. Depuis son entrée en vigueur en 2016, cet accord permet aux agriculteurs moldaves de diversifier leurs marchés en se tournant davantage vers l'ouest et moins vers la Russie. Si bien qu'en 2023, la Moldavie a été le principal exportateur de prunes vers le marché communautaire. Certains producteurs espèrent d'ailleurs l'adhésion prochaine de la Moldavie à l'Union européenne. Mais le référendum du mois d'octobre l'a montré, le pays reste divisé sur la question, et les petits et moyens agriculteurs se sentent délaissés. Reportage de Maria Gerth Niculescu. À lire aussiLa Moldavie en vingt dates clés
Plus de 200 personnes ont été interpellées et plus de 40 hospitalisées, selon le ministère de l'Intérieur, depuis jeudi 28 novembre 2024. Après l'annonce de la suspension du processus d'adhésion à l'Union européenne par le gouvernement, les rassemblements ont débuté dans les grandes villes, mais aussi dans des zones rurales et ils se poursuivent. 80% de la population du pays soutient cette adhésion et les manifestants dénoncent un rapprochement des autorités avec la Russie. Répression des libertés individuellesInfluence étrangère, valeurs familiales... En Géorgie, des textes répressifs similaires à ceux en vigueur en Russie sont adoptés par le Rêve Géorgien au pouvoir. Une loi qui réprime la liberté d'orientation sexuelle doit notamment entrer en vigueur ce mois-ci. Et à Tbilissi, l'inquiétude grandit dans la communauté LGBTQI. La capitale progressiste était jusqu'ici une bulle de liberté dans une région où les droits humains sont souvent réprimés, mais cette liberté est aujourd'hui menacée. Reportage de Robin Dussenne.Au sein même de l'Union européenne, les libertés individuelles peuvent être menacées : la Hongrie, du Premier ministre ultra-nationaliste Viktor Orban est le premier pays des 27 avoir importé une loi homophobe inspirée du texte russe de 2013. Et cette loi est au cœur d'un bras de fer entre Budapest et la Commission européenne qui estime que cette loi discriminatoire viole les traités communautaires. La Commission a porté plainte devant la Cour de justice européenne et le procès a débuté il y a 2 semaines. À Budapest, les précisions de Florence Labruyère. À lire aussiCrise en Géorgie: une situation qui rappelle celle en Ukraine Exploitation des femmes migrantesEn Italie, la Côte d'Ivoire a rejoint la liste des pays sûrs établie par le gouvernement. Cette définition permet d'argumenter que les migrants d'un pays dit «sûr» n'ont a priori pas besoin de protection et peuvent donc être renvoyés. Les autorités italiennes espèrent qu'elle facilitera l'envoi en rétention des migrants ivoiriens en Albanie avant le renvoi dans leur pays. En visite à Abidjan, cet été, le ministre italien de l'Intérieur s'était félicité d'une baisse du nombre de migrants ressortissants de ce pays. Mais en Sicile, l'association Penelope constate, depuis quelques années, une forte augmentation du nombre de femmes ivoiriennes victimes des réseaux criminels. Les explications de Cécile Debarge.À écouter aussiLe difficile parcours administratif des femmes migrantes victimes de violences sexuelles Accords de libre-échange : la Moldavie et l'UE partenariat gagnant ?Alors que l'éventuelle signature d'un accord avec le Mercosur, espace de libre échange sud-américain, continue de diviser les pays de l'Union européenne, un accord du même type fait beaucoup moins débat, c'est celui qui a été signé avec la Moldavie, pays frontalier de l'Ukraine. Depuis son entrée en vigueur en 2016, cet accord permet aux agriculteurs moldaves de diversifier leurs marchés en se tournant davantage vers l'ouest et moins vers la Russie. Si bien qu'en 2023, la Moldavie a été le principal exportateur de prunes vers le marché communautaire. Certains producteurs espèrent d'ailleurs l'adhésion prochaine de la Moldavie à l'Union européenne. Mais le référendum du mois d'octobre l'a montré, le pays reste divisé sur la question, et les petits et moyens agriculteurs se sentent délaissés. Reportage de Maria Gerth Niculescu. À lire aussiLa Moldavie en vingt dates clés
Der ungarische Ministerpräsident Viktor Orbán hat immer behauptet, dass der Frieden durch Verhandlungen und nicht durch eine kriegerische Eskalation gegenüber Moskau erreicht werden sollte. Durch die Wahl von Donald Trump sind er und sein Ansatz nun gestärkt, zum Entsetzen anderer europäischer Führer. Von Pierre Lévy https://freedert.online/europa/227647-bruessels-alptraum-viktor-orban-bekommt-oberwasser/
durée : 00:58:11 - Le Grand Reportage - par : Véronique Rebeyrotte - Un an après le retour au pouvoir de Robert Fico en Slovaquie, les scènes culturelle et médiatique subissent une politique plus qu'opiniâtre, dans la veine de l'illibéralisme prôné par le voisin hongrois Viktor Orbán. - réalisation : Annie Brault - invités : Jana Vargovčíková Maîtresse de conférences en sciences politiques à l'INALCO
Vikerraadio saatesarjas "Harri Tiido taustajutud" on seekord Katalin Miklóssy abil vaatluse all Ungari ja Viktor Orbáni tegevus. Miklóssy arvates ei saa välistada, et orbanism levib ka mujale Euroopasse, märgib Tiido.
Smeruje Slovensko cestou Maďarska? Aktuality sk sa spolu s maďarskými, českými a poľskými novinármi pozreli na to, ako sa politický postup maďarského premiéra Viktora Orbána šíri do okolitých krajín a ako sa ňou inšpirujú politici - a to vrátane slovenského premiéra. Jeden z autorov analýzy, novinár Peter Hanák, v podcaste približuje, že Robert Fico by chcel ísť cestou maďarského lídra, ale až tak sa mu to nedarí.Novinári z krajín V4 urobili širokú analýzu toho, čo maďarský premiér Viktor Orbán robí vo svojom politickom systéme od roku 2010, kedy sa dostal znova k moci. „Maďarskí novinári nám rozpísali, čo orbanizácia znamená. Netreba ju vnímať len cez orbanizáciu médií, pretože tým Viktor Orbán začal. No pokračoval v právnom systéme a ďalších oblastiach," približuje Peter Hanák s tým, že porovnávali čo sa v týchto oblastiach podarilo dosiahnuť vládam na Slovensku a v Česku a aj v Poľsku.V rozhovore tiež približuje, ako je Viktor Orbán veľkým vzorom pre rôznych autoritárskych lídrov pre politikov, ktorí chcú vládnuť autoritársky. „Vidíme to aj na tom, že má úspech v zahraničí. Sám seba sa snaží vykresľovať ako nejakého lídra krajnej pravice, až politického génia. A darí sa mu to, pretože Donald Trump pred voľbami povedal, že Orbán je pre neho inšpiratívny líder," dodáva Hanák s tým, že aj to bolo cieľom analýzy - zistiť do akej miery sa Andrej Babiš, Jarosław Kaczyński a Robert Fico inšpirujú práve Orbánom.V rozhovore si budete tiež môcť vypočuť, čo bol výsledok analýzy a či dochádza k orbanizácii Slovenska.Moderuje Denisa Hopková.
Smeruje Slovensko cestou Maďarska? Aktuality sk sa spolu s maďarskými, českými a poľskými novinármi pozreli na to, ako sa politický postup maďarského premiéra Viktora Orbána šíri do okolitých krajín a ako sa ňou inšpirujú politici - a to vrátane slovenského premiéra. Jeden z autorov analýzy, novinár Peter Hanák, v podcaste približuje, že Robert Fico by chcel ísť cestou maďarského lídra, ale až tak sa mu to nedarí.Novinári z krajín V4 urobili širokú analýzu toho, čo maďarský premiér Viktor Orbán robí vo svojom politickom systéme od roku 2010, kedy sa dostal znova k moci. „Maďarskí novinári nám rozpísali, čo orbanizácia znamená. Netreba ju vnímať len cez orbanizáciu médií, pretože tým Viktor Orbán začal. No pokračoval v právnom systéme a ďalších oblastiach," približuje Peter Hanák s tým, že porovnávali čo sa v týchto oblastiach podarilo dosiahnuť vládam na Slovensku a v Česku a aj v Poľsku.V rozhovore tiež približuje, ako je Viktor Orbán veľkým vzorom pre rôznych autoritárskych lídrov pre politikov, ktorí chcú vládnuť autoritársky. „Vidíme to aj na tom, že má úspech v zahraničí. Sám seba sa snaží vykresľovať ako nejakého lídra krajnej pravice, až politického génia. A darí sa mu to, pretože Donald Trump pred voľbami povedal, že Orbán je pre neho inšpiratívny líder," dodáva Hanák s tým, že aj to bolo cieľom analýzy - zistiť do akej miery sa Andrej Babiš, Jarosław Kaczyński a Robert Fico inšpirujú práve Orbánom.V rozhovore si budete tiež môcť vypočuť, čo bol výsledok analýzy a či dochádza k orbanizácii Slovenska.Moderuje Denisa Hopková.
Cutting Through the Matrix with Alan Watt Podcast (.xml Format)
--{ "Drugs. Alcohol. Lots of sexual activity and massive promiscuity."}-- How are some nation's leaders reacting to the International Criminal Court (ICC) arrest warrant for Benjamin Netanyahu? - U.S. Senator Lindsay Graham threatens sanctions against the U.K. if they help the ICC arrest 'Bibi' or any Israeli politician. - Victor Orban invites Netanyahu to Hungary despite being a signatory to the ICC. - Redux from Jan. 27, 2024 - A dying computer, a dryer at the end of its long life, car troubles, and a plumber. - Why is time the most precious thing we have? - In many talks, what has Alan Watt said about time? - The Parable of the Sower - Time, Worry, Focus, Energy - The American Thanksgiving - Brave New World with Nick Heys - Thankful to You Listeners - Drugs - Time is All You Have - Mind Control - Weaponized Entertainment - What is the Council on Foreign Relations (CFR) involvement in this agenda? - What Observations about this agenda can be found in the Music Business, Show Business, Movies, Fashion, etc? - How did the music of the 1960s give the youth a new idea of purpose? - Drugs are Important to Those Who Rule the World - Flooded China with Bales of Opium - Australia's Drug Problems - CIA and Drugs - Sex and Drugs used as Weapons Since Ancient Times - The Formula of Drugs, Alcohol, Promiscuity, Abortion, Infanticide; Then Your Country is Overrun - The U.N.; the Individual is the Greatest Threat to this System - Old Values, Morality - What did Peter Hitchens write about Russia after Communism? - Massive Debt Incurred by Everybody - Usury - Bernays, Change the Consumer to Suit Your Product - Everybody is a Slave Borrowing Money All the Time - People Trained to be Egocentric - Australia as a Test bed for Certain Things; Revellers, Amphetamines, MDMA - Sodom and Gomorrah - Greece, Bacchanalia - Israel's Cabinet about to Approve Cannabis Exports - New York Legislation is "Celebrated" that Allows Abortion Up to Day of Birth.
The Western alliance is divided over Israel, after the International Criminal Court (ICC) issued an arrest warrant for Prime Minister Benjamin Netanyahu, charging him with crimes against humanity in Gaza. The United States is threatening sanctions. Ben Norton discusses the severe political crisis in the "rules-based order". VIDEO: https://www.youtube.com/watch?v=RqBtZxSYwaU Here you can see the September 2024 UN vote demanding an end to Israel's illegal occupation of the Palestinian territories: https://geopoliticaleconomy.com/2024/09/19/end-israel-occupation-palestine-un-vote/ Topics 0:00 ICC issues arrest warrant for Netanyahu 0:25 West divides over Israel 0:57 US politicians threaten allies 1:35 UN accuses Israel of g-cide 3:03 Israel is ethnically cleansing Gaza 3:41 ICC tries to save its reputation 4:36 ICC delayed arrest warrants for 6 months 5:01 US sent Israel $18 billion in military aid in 1 year 5:25 US pressure on ICC 6:20 (CLIP) US Senator Lindsey Graham warns: "We're next!" 6:44 Biden attacks ICC 7:27 The "rules-based international order" 7:55 Senator Tom Cotton wants to invade the Hague 8:25 Hague Invasion Act 9:27 Trump officials threaten ICC 10:07 Trump sanctioned ICC personnel 11:23 House of Representatives calls to sanction ICC 12:14 Australia, Canada, UK support ICC 13:54 Senator Lindsey Graham threatens US allies 14:31 (CLIP) Lindsey Graham calls to sanction US allies 14:53 US threatens Western allies 15:27 EU backs ICC arrest warrants 16:32 France, Italy, Netherlands, Belgium, Ireland back ICC 16:51 UN vote on Israel-Palestine 17:33 Viktor Orbán's Hungary supports Israel, attacks ICC 18:24 Javier Milei's Argentina backs Netanyahu 19:17 Germany refuses to honor ICC warrant 19:48 West is split on Israel 20:49 Outro
Viktor Orbán se může tak trochu cítit znovu jako vítěz. Nominací dosavadního maďarského eurokomisaře Olivéra Várhelyiho šel maďarský premiér cíleně na steč s Evropským parlamentem, kde má velmi mnoho odpůrců, což se ukázalo při jeho nedávné návštěvě Štrasburku.
Viktor Orbán se může tak trochu cítit znovu jako vítěz. Nominací dosavadního maďarského eurokomisaře Olivéra Várhelyiho šel maďarský premiér cíleně na steč s Evropským parlamentem, kde má velmi mnoho odpůrců, což se ukázalo při jeho nedávné návštěvě Štrasburku.Všechny díly podcastu Názory a argumenty můžete pohodlně poslouchat v mobilní aplikaci mujRozhlas pro Android a iOS nebo na webu mujRozhlas.cz.
De uitslag van de Amerikaanse presidentsverkiezingen op 5 november 2024 kwam veel sneller dan verwacht. Donald Trump won. Inmiddels wordt dit resultaat door kenners diepgaand geanalyseerd; cijfers uitgeplozen, trends vastgesteld. Veel van wat de vele zelfbenoemde Amerika-deskundigen vertelden op ‘the day after' blijkt toch echt anders te zitten.Het was bepaald géén aardverschuiving. Dit was niet 'the greatest comeback in history'. Er is geen sprake van een ongekend mandaat. Het is niet de sprong naar een nieuw tijdperk. Deze uitslag doet denken aan 1828. En het meest nog misschien aan 1940, althans zoals het ging in de roman The Plot Against America.***Deze aflevering is mede mogelijk gemaakt met donaties van luisteraars die we hiervoor hartelijk danken. Word ook vriend van de show!Heb je belangstelling om in onze podcast te adverteren of ons te sponsoren? Zend een mailtje naar adverteren@dagennacht.nl en wij zoeken contact.Op sommige podcast-apps kun je niet alles lezen. De complete tekst plus linkjes en een overzicht van al onze eerdere afleveringen vind je hier***1] Geen aardverschuivingTrump won van Kamala Harris. Maar historisch uitzonderlijk is het feit dat hij voor de derde keer op rij minder dan de helft van de kiezers kon overtuigen. Hij won ook duidelijk minder kiezers dan Joe Biden in 2020 en overschrijdt de 50% niet, bij 76,7 miljoen stemmen. Harris haalde 74 miljoen stemmen en net iets meer dan 48%.De smadelijkste landslide was die van 1992. Jaap en PG vertellen over het drama van George H.W. Bush die ten onder ging tegen de gouverneur van Arkansas, Bill Clinton, hoewel die maar 43% won. De spelbederver was 'de Berlusconi van Texas', Ross Perot. Aan niemand doet Donald Trump méér denken.Episch waren de aardverschuivingen van Ronald Reagan in 1980 en nog meer in 1984. En de allergrootste overwinning was die van 1964 door president Lyndon Baines Johnson. Ook een zeer kleurrijke Texaan. Maar er schuilde ook tragiek en verdriet achter deze ongeëvenaarde triomf.2] Niet dé comebackJD Vance riep op verkiezingsavond: “The greatest comeback in history”. Viktor Orbán leende ‘m meteen. Maar het is onzin.Trump lag de hele tijd vóór op Biden in de polls en Harris moest zich als underdog juist terugvechten. De GOP had het Huis en de halve Senaat ook al. Ze knokten samen tot het 50/50 werd. De echte comeback kid was Kamala Harris dus, maar ze scoorde net niet hoog genoeg.Welke presidenten waren wel zulke electorale tovenaars? Wie kwamen er roemrijk terug uit verloren posities? Diezelfde Bill Clinton in 1996. Jaap en PG vertellen hoe de Republikeinen de overwinning op de geheel mislukte eerste ambtstermijn van 'The man from Hope' zich uit de vingers lieten glippen. Een aanslag, een aarzelende kandidaat die bedankte en een extremistisch financieel beleid deden de Republikeinen toch nog de das om.De klassieke comeback was natuurlijk Harry Trumans triomf in 1948. Zijn tactieken en zijn strategie had team-Harris heel goed moeten bestuderen. Hij negeerde zijn opponent en streed tegen het 'do nothing Congress' en won in de rurale streken.3] Geen echt mandaatTrump haalde niet meer dan 50 procent, won veelal dunbevolkte regio's en had geen heldere to do lijst. Zijn overwinning in het Huis is nipter dan ooit in de geschiedenis en in de Republikeinse fractie in het Huis van Afgevaardigden is het permanent gekrakeel.Vergelijk dat met eerdere presidenten. Barack Obama won fors in 2008 en met een glasheldere missie: een grote stimuleringswet tegen de kredietcrisis en enorme werkloosheid en de gezondheidszorg met Obamacare. Ook Reagan, LBJ en al helemaal Franklin Delano Roosevelt hadden een uiterst scherpe politieke focus op wat hun overwinning hen mest opleveren.4] Geen nieuw tijdperkHet was Harris die zei: sla de bladzij om naar een nieuwe toekomst. Trumps campagne was allereerst wraak op het mislukte verleden. Wraak op zijn flop van 2020 toen in de pandemie de kiezers liever 'a safe pair of hands' kozen. Hij beloofde hen nu daarom een glanzend verleden.PG stipt de vele gouwe ouwen aan uit het Amerikaans verleden waar Trump mee kwam. Van een wet tegen illegalen uit 1798 tot het campagneliedje uit 1984, bij Reagans triomf. Van tol uit 1885 tot het afschaffen van het ministerie van Onderwijs in 1980. Zelfs Trumps plan met abortuswetgeving en dat onderwijsbeleid waren hondenfluitjes naar het 19e-eeuwse Zuiden.Trump staat dan ook in stil contrast met Republikeinse matadoren uit vroeger tijden. Van Theodore Roosevelt die de macht van kartels brak tot Dwight D. Eisenhower die brede welvaart voor de middenklasse vooropzette en grote infrastructuur. En natuurlijk Reagan met zijn fiscale hervormingen en het winnen van de koude Oorlog.5] Hét rolmodelWaar spiegelt Trump zich dan aan als hij opnieuw het Witte Huis betreedt? Voor zichzelf is hij 'the greatest president ever'. Maar er is een opmerkelijke voorganger waarover hij vaak vertelt. Andrew Jackson. Die regeerde van 1829 tot 1837 en zijn jaren waren net zo turbulent als die van Trump.Hij was de eerste 'niet-elite' president, een generaal die het idool was van de gewone man en vrouw. Ook hij wilde wraak op een hem gestolen verkiezing. Hij haatte de elite en was een demagoog die zich van niemand of de wet iets aantrok. Met iedereen maakte hij heibel, zelfs ook hij met zijn vicepresident. "De tolk van de meerderheid en haar hartstochten" schreef zijn tijdgenoot Alexis de Tocqueville.Maar omdat Trump eigenlijk de hoofdpersoon is uit een tv-serie, een fictief personage, kan het niet verrassen dat hij meest lijkt om die president uit die magnifieke roman van Philip Roth. Dat verhaal speelt in 1940 en de kandidaat van de America First Party wint van FDR. De overeenkomsten met nu zijn groot.***Verder luisteren459 – Rolmodel George Washington405 - De Amerikaanse democratie in gevaar: het gevecht tussen Biden en Trump360 - 4th of July: Mar-a-Lago, de plek waar het al 100 jaar gebeurt345 - Leiders op leeftijd. Krasse knar Joe Biden is niet de enige319 - Lyndon B. Johnson, politiek genie en manipulator van de buitencategorie289 - Donald Trump als gevaar voor de democratie - Joe Biden en zijn strijd voor de ziel van Amerika281 - Fourth of July: Amerika reisgids voor politieke junkies221 - Madam Speaker: de spijkerharde charme van Nancy Pelosi206 - 'Aardverschuiving': Michael Wolff over Donald Trumps laatste dagen als president. En: zijn bezoek aan Mar-a-Lago202 - 4th of July: Joe Biden in het spoor van LBJ (met als gast: Jan Paternotte)185 - De Amerikaanse Burgeroorlog (1): Black Lives Matter en George Floyd, hoe de burgeroorlog op de VS nog altijd zijn stempel drukt159 - Washington DC: na de afgang van Trump optimisme over Biden en Harris150 - De memoires van Barack Obama146 - Amerikaanse presidentsverkiezingen: de machtsoverdracht142 - De smerigste verkiezingscampagnes in de Amerikaanse geschiedenis133 - Amerikaanse presidenten: boeken die je volgens PG móet lezen!121 - 4th of July special: Zakenlui als president van Amerika111 - De onverwachte herrijzenis van Helmut Kohl – en van Truman, Merkel en Rutte57 - Alexis de Tocqueville wilde Amerika begrijpen44 - Amerika Special: Michael Wolff over Donald J. Trump ** PG over Franklin D. Roosevelt***Tijdlijn00:00:00 – Deel 100:27:49 – Deel 200:51:43 – Deel 301:34:00 – EindeZie het privacybeleid op https://art19.com/privacy en de privacyverklaring van Californië op https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.
Anuntul zilei vine de la Budapesta. De la 1 ianuarie anul viitor, Romania devine membru deplin al Spatiului Schengen, si cu frontierele terestre. Premierul Ungariei, Viktor Orban, a transmis în declaraţiile comune cu Marcel Ciolacu informatia. Decizia oficiala se va lua la Bruxelles, în 12 decembrie. Votul in străinătate a început vineri Peste 19 milioane de români sunt asteptati duminica la urne in primul tur al alegerilor prezidentiale. Cei care în ziua votului sunt în localitatea de domiciliu votează doar la secţia la care sunt arondaţi, pe listele permanente. Altfel, alegătorii pot vota la orice secţie, pe liste suplimentare. Votul in strainatate a inceput azi. Israelienii sunt de partea lui Netanyahu după ce CPI a emis mandat de arestare pe numele premierului israelianIsraelienii sunt revoltați de mandatele de arestare emise de Curtea Penală internațională de la Haga (CPI) pe numele premierului Benjamin Netanyahu și al fostului ministru al apărării, Yoav Gallant, acuzați de crime de război în Gaza. Atât societatea civilă, cât și opoziția, în frunte cu președintele țării, consideră că tribunalul a luat o decizie politică, anti Israel.
The Polish foreign minister Radek Sikorski is characteristically blunt about his former friend Viktor Orban, the chances of nuclear war in Ukraine, and his enemy Vladimir Putin. Recorded on October 26, 2024.
Ce mardi 19 novembre, le retour de Viktor Orbán vers la Chine pour relancer l'économie hongroise et l'avenir de sa relation avec Donald Trump ont été abordés par Caroline Loyer dans sa chronique, dans l'émission Good Morning Business, présentée par Laure Closier, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Trump would love to be a dictator. His affinity for strongmen like Victor Orbán and Vladimir Putin is no secret. But will he actually take the country down that road? What does authoritarianism look like in 2024? This week on How We Got Here, Max and Erin examine the president elect's blustering and ask: will Trump really try to become an autocrat? Or is this just a lot of hot air from someone who doesn't really understand how to work the levers of power. Cornell political scientist Tom Pepinsky weighs in on what we should be looking out for, and what we can learn from countries like Malaysia, Hungary and Turkey.
The European Union has a big problem—a potentially fatal one. How should it deal with a member state or states that reject democracy and the rule of law? So far, not even Viktor Orbán's Hungary has turned full-blown authoritarian. However, his 14 unbroken years of “illiberal democracy”, his constitution rewriting, creeping media control, challenges to judicial independence, and calls for popular resistance against the EU are becoming less easy to ignore or accommodate. Yet, the EU's tools to address democratic backsliding are blunt and its institutions are reluctant to use them. Above all, while a member state can leave the union, the union itself has no power to expel a club member that breaks its core democratic rules. In Protecting Democracy in Europe: Pluralism, Autocracy and the Future of the EU (Hurst, 2024), Tom Theuns looks back at the history of this design fault and how to put it right. He writes: "EU member states cannot both permit a frankly autocratic state to continue to be a member state of the Union and at the same tie pretend to be committed to democracy" Tom Theuns is a Senior Assistant Professor of Political Theory and European Politics at Leiden University's Institute of Political Science and an Associate Researcher at Sciences Po in Paris. Tim Gwynn Jones is an economic and political-risk analyst at Medley Advisors, who also writes and podcasts at twenty4two on Substack. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices Support our show by becoming a premium member! https://newbooksnetwork.supportingcast.fm/new-books-network
The European Union has a big problem—a potentially fatal one. How should it deal with a member state or states that reject democracy and the rule of law? So far, not even Viktor Orbán's Hungary has turned full-blown authoritarian. However, his 14 unbroken years of “illiberal democracy”, his constitution rewriting, creeping media control, challenges to judicial independence, and calls for popular resistance against the EU are becoming less easy to ignore or accommodate. Yet, the EU's tools to address democratic backsliding are blunt and its institutions are reluctant to use them. Above all, while a member state can leave the union, the union itself has no power to expel a club member that breaks its core democratic rules. In Protecting Democracy in Europe: Pluralism, Autocracy and the Future of the EU (Hurst, 2024), Tom Theuns looks back at the history of this design fault and how to put it right. He writes: "EU member states cannot both permit a frankly autocratic state to continue to be a member state of the Union and at the same tie pretend to be committed to democracy" Tom Theuns is a Senior Assistant Professor of Political Theory and European Politics at Leiden University's Institute of Political Science and an Associate Researcher at Sciences Po in Paris. Tim Gwynn Jones is an economic and political-risk analyst at Medley Advisors, who also writes and podcasts at twenty4two on Substack. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices Support our show by becoming a premium member! https://newbooksnetwork.supportingcast.fm/political-science
The European Union has a big problem—a potentially fatal one. How should it deal with a member state or states that reject democracy and the rule of law? So far, not even Viktor Orbán's Hungary has turned full-blown authoritarian. However, his 14 unbroken years of “illiberal democracy”, his constitution rewriting, creeping media control, challenges to judicial independence, and calls for popular resistance against the EU are becoming less easy to ignore or accommodate. Yet, the EU's tools to address democratic backsliding are blunt and its institutions are reluctant to use them. Above all, while a member state can leave the union, the union itself has no power to expel a club member that breaks its core democratic rules. In Protecting Democracy in Europe: Pluralism, Autocracy and the Future of the EU (Hurst, 2024), Tom Theuns looks back at the history of this design fault and how to put it right. He writes: "EU member states cannot both permit a frankly autocratic state to continue to be a member state of the Union and at the same tie pretend to be committed to democracy" Tom Theuns is a Senior Assistant Professor of Political Theory and European Politics at Leiden University's Institute of Political Science and an Associate Researcher at Sciences Po in Paris. Tim Gwynn Jones is an economic and political-risk analyst at Medley Advisors, who also writes and podcasts at twenty4two on Substack. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices Support our show by becoming a premium member! https://newbooksnetwork.supportingcast.fm/european-studies
The European Union has a big problem—a potentially fatal one. How should it deal with a member state or states that reject democracy and the rule of law? So far, not even Viktor Orbán's Hungary has turned full-blown authoritarian. However, his 14 unbroken years of “illiberal democracy”, his constitution rewriting, creeping media control, challenges to judicial independence, and calls for popular resistance against the EU are becoming less easy to ignore or accommodate. Yet, the EU's tools to address democratic backsliding are blunt and its institutions are reluctant to use them. Above all, while a member state can leave the union, the union itself has no power to expel a club member that breaks its core democratic rules. In Protecting Democracy in Europe: Pluralism, Autocracy and the Future of the EU (Hurst, 2024), Tom Theuns looks back at the history of this design fault and how to put it right. He writes: "EU member states cannot both permit a frankly autocratic state to continue to be a member state of the Union and at the same tie pretend to be committed to democracy" Tom Theuns is a Senior Assistant Professor of Political Theory and European Politics at Leiden University's Institute of Political Science and an Associate Researcher at Sciences Po in Paris. Tim Gwynn Jones is an economic and political-risk analyst at Medley Advisors, who also writes and podcasts at twenty4two on Substack. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices Support our show by becoming a premium member! https://newbooksnetwork.supportingcast.fm/eastern-european-studies
The European Union has a big problem—a potentially fatal one. How should it deal with a member state or states that reject democracy and the rule of law? So far, not even Viktor Orbán's Hungary has turned full-blown authoritarian. However, his 14 unbroken years of “illiberal democracy”, his constitution rewriting, creeping media control, challenges to judicial independence, and calls for popular resistance against the EU are becoming less easy to ignore or accommodate. Yet, the EU's tools to address democratic backsliding are blunt and its institutions are reluctant to use them. Above all, while a member state can leave the union, the union itself has no power to expel a club member that breaks its core democratic rules. In Protecting Democracy in Europe: Pluralism, Autocracy and the Future of the EU (Hurst, 2024), Tom Theuns looks back at the history of this design fault and how to put it right. He writes: "EU member states cannot both permit a frankly autocratic state to continue to be a member state of the Union and at the same tie pretend to be committed to democracy" Tom Theuns is a Senior Assistant Professor of Political Theory and European Politics at Leiden University's Institute of Political Science and an Associate Researcher at Sciences Po in Paris. Tim Gwynn Jones is an economic and political-risk analyst at Medley Advisors, who also writes and podcasts at twenty4two on Substack. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices Support our show by becoming a premium member! https://newbooksnetwork.supportingcast.fm/politics-and-polemics
James and Al outline the dangers of Donald Trump's loyalist cabinet appointments and the risk to the military's chain of command before welcoming journalist Michael Tomasky. They discuss the dominance of right-wing media, the rise of podcasts, the triumph of misinformation over facts, and how to save journalism. They also outline the catastrophic effect of identity politics, draw comparisons between the upcoming Trump administration and Viktor Orbán's Hungary, emphasize the need to pick the right battles, and explore the ability of the Senate to act as a check on its political power. Email your questions to James and Al at politicswarroom@gmail.com or tweet them to @politicon. Make sure to include your city– we love to hear where you're from! More from James and Al: Get text updates from Politics War Room and Politicon. Watch Politics War Room & James Carville Explains on YouTube @PoliticsWarRoomOfficial CARVILLE: WINNING IS EVERYTHING, STUPID comes out on Max starting November 14th! You can also get updates and some great behind-the-scenes content by following James on Twitter @jamescarville and his new TikTok @realjamescarville James Carville & Al Hunt have launched the Politics War Room Substack Please Support Our Sponsors: Beam: Sleep better with Beam's best-selling Dream Powder and get up to 50% off for a limited time when you go to shopbeam.com/warroom and use code: WARROOM Zbiotics: Get back into action after a night out with 15% off your first order of Zbiotics when you go to zbiotics.com/pwr and use code: PWR Glean: Visit glean.com/politics to see how Glean can help your company's employees do their best work with A.I.
Du grec kleptos, le “vol” et cratia, le “pouvoir”, la kleptocratie est littéralement un gouvernement de voleurs. C'est donc un système politique où le gouvernement pratique à grande échelle la corruption et le blanchiment d'argent. Plusieurs régimes ont été accusés d'être des kleptocraties, comme celui de Mouammar Kadhafi en Libye ou celui de Viktor Orbán en Hongrie. Aujourd'hui, dans Maintenant Vous Savez on vous explique comment reconnaître une kleptocratie. Comment reconnaître une kleptocratie ? Dans quels pays sont-elles susceptibles de s'installer ? Les démocraties occidentales sont-elles sujettes à ce phénomène ? Écoutez la suite de cet épisode de Maintenant Vous Savez ! Un podcast Bababam Originals, écrit et réalisé par Hugo de l'Estrac. A écouter ensuite : Qu'est-ce qu'une démocrature ? Qu'est-ce que l'Etat-providence ? Comment nos opinions politiques influencent-elles notre santé mentale ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez". Suivez Bababam sur Instagram. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Peace Matters - A Podcast on Contemporary Geopolitics and International Relations
The clear victory of Donald Trump, which had been predicted to be a tight race, caught many in the EU by surprise. The first to congratulate him was Hungarian Prime Minister Viktor Orbán, while on the same day, the German government collapsed. Why, despite his harsh and aggressive rhetoric, was Donald Trump still successful? In times of increasing polarization not only in the US but also in European countries, is the EU prepared for another Trump presidency? What does this mean for the state of US democracy, and how will the change of power in the US affect transatlantic relations? What are the implications for European security, and how will this reflect on the international stage, where two major wars are ongoing in Ukraine and the Middle East? These and other questions are explored in the 25th episode of the Peace Matters podcast by Prof. Vivien Schmidt and Dr. Hannes Swoboda. Guests: Vivien A. Schmidt is Jean Monnet Professor of European Integration, Professor Emerita of International Relations in the Frederick S. Pardee School of Global Studies, and Professor Emerita of Political Science at Boston University, as well as Founding Director of the Center for the Study of Europe, all at Boston University where she taught from 1998 to 2023. Vivien A. Schmidt received her B.A. from Bryn Mawr and her Masters and PhD from the University of Chicago, and attended Sciences Po in Paris. Schmidt's research focuses on European political economy and institutions, on democracy and the challenges of populism in the US and Europe, and on the importance of ideas and discourse in political analysis (discursive institutionalism). She has published thirteen books, over 300 scholarly journal articles or chapters in books, and numerous policy briefs and comments. She is also a board member of the International Institute for Peace Hannes Swoboda is the President of the International Institute for Peace. He started his career in urban politics in Vienna and was elected to the European Parliament in 1996. There, he served as an MEP for eighteen years, including as the Leader of the Social Democratic Group in the Parliament from 2012 until 2014. He was particularly engaged in foreign, enlargement, and neighborhood policies. He is now president of the International Institute for Peace, the Sir Peter Ustinov Institute and the Vienna Institute for Economic Studies. Moderation: Stephanie Fenkart, Director of the International Institute for Peace. The episode was recorded on 11 November 2024.
Evropští lídři zapomínají na kritiku Donalda Trumpa, a snaží se na budoucnost transatlantické spolupráce hledět pozitivně. Jednání s novým americkým prezidentem ale budou tvrdá, což připouští například i Trumpův podporovatel maďarský premiér Viktor Orbán. „Výhodou je, že to není první prezidentství a lídři lépe vědí, co od Trumpa čekat. Velká část z nich ale spoléhala na to, že nevyhraje,“ podotýká Viktor Daněk, zástupce ředitele Institutu pro evropskou politiku Europeum.
Evropští lídři zapomínají na kritiku Donalda Trumpa, a snaží se na budoucnost transatlantické spolupráce hledět pozitivně. Jednání s novým americkým prezidentem ale budou tvrdá, což připouští například i Trumpův podporovatel maďarský premiér Viktor Orbán. „Výhodou je, že to není první prezidentství a lídři lépe vědí, co od Trumpa čekat. Velká část z nich ale spoléhala na to, že nevyhraje,“ podotýká Viktor Daněk, zástupce ředitele Institutu pro evropskou politiku Europeum.Všechny díly podcastu Interview Plus můžete pohodlně poslouchat v mobilní aplikaci mujRozhlas pro Android a iOS nebo na webu mujRozhlas.cz.
Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 8 novembre 2024.Avec cette semaine :Nicolas Baverez, essayiste et avocat.Jean-Louis Bourlanges, essayiste.Lucile Schmid, vice-présidente de La Fabrique écologique et membre du comité de rédaction de la revue Esprit.Lionel Zinsou, ancien Premier ministre du Bénin et président de la fondation Terra Nova.L'ÉLECTION ET LA SITUATION DES ÉTATS-UNISAux Etats-Unis, trois ans après avoir quitté le bureau ovale, Donald Trump a été élu 47ème président des 244 millions de citoyens américains. Pour la première fois depuis 2004, les Républicains ont remporté le vote populaire en plus d'une nette majorité de grands électeurs. Selon les dernières projections, 64,5% des Américains ont voté soit la deuxième plus forte participation depuis 1908, juste derrière 2020. Donald Trump a remporté la totalité des États pivots, tandis que son parti a décroché dans le même temps la majorité au Sénat. C'est la première fois qu'un candidat républicain remporte le vote populaire depuis George W. Bush en 2004, et la seconde fois qu'un président est réélu pour un second mandat non consécutif depuis Grover Cleveland en 1892. L'ampleur de cette victoire « haut la main » provoque la surprise, les sondages ayant longtemps été favorables à Kamala Harris, puis les deux candidats ayant été annoncés « au coude-à-coude » au cours des dernières semaines de la campagne.Élu une première fois en 2016, battu de justesse en 2020 par Joe Biden lors d'un scrutin dont il n'a jamais reconnu les résultats, Donald Trump a revendiqué une « victoire politique jamais vue » dans le pays, et promis un nouvel « âge d'or » aux Américains. Sa victoire, le candidat républicain la doit à une stratégie électorale risquée : miser d'abord sur l'Amérique rurale. Il a rassemblé 55% des voix chez les blancs non diplômés et 60% dans les campagnes. Un socle ultra solide qui s'est aussi élargi : Trump fait mieux qu'en 2020 dans « quasiment tous les groupes démographiques » dont certains piliers de l'électorat démocrate : les femmes (+ 2 points qu'en 2020), les Hispaniques (+6) les Afro-américains (+7) et surtout les jeunes hommes (le "bro vote", +15). A l'inverse, Kamala Harris ne progresse que chez les femmes diplômées et échoue à mobiliser sur l'avortement et la défense de la démocratie : elle réalise 80% des votes chez ceux plaçant ces deux thèmes comme priorité mais cela est compensé intégralement par les 80% de votes contraires chez ceux favorisant l'immigration ou l'économie. Au lendemain du scrutin, Kamala Harris a reconnu sa défaite. Après avoir appelé son adversaire pour le féliciter, la candidate démocrate a appelé ses soutiens à accepter les résultats.Au lendemain de la victoire de Donald Trump, la bourse américaine s'est envolée, le dollar a connu sa plus forte hausse depuis huit ans, le bitcoin - soutenu par Trump - a dépassé pour la première fois les 75.000 dollars.CONSÉQUENCES POUR L'EUROPE ET LA FRANCELe triomphe de Donald Trump impactera l'économie mondiale. Le candidat républicain souhaite augmenter les droits de douane de 10 ou 20% sur tous les produits importés aux Etats-Unis. Une surtaxe conséquente, au regard des 3,3% de droits de douane moyens pratiqués aujourd'hui. En 2023, l'Union européenne a importé 344 milliards d'euros de biens d'outre-Atlantique et lui en a exporté pour 502 milliards d'euros. Un déficit commercial de 158 milliards de dollars insupportable aux yeux de Donald Trump. Il compte aussi surtaxer de 60 % ceux qui proviennent de Chine, faisant peser sur l'Union européenne la menace de voir les industriels chinois réorienter leurs exportations vers le Vieux Continent.Parmi les Vingt Sept réunis jeudi et vendredi à Budapest, une petite minorité souhaitait la victoire de Donald Trump. Le Premier ministre hongrois, Viktor Orbán, dont le pays occupe jusqu'à fin décembre la présidence du Conseil de l'UE et qui reçoit ses homologues à ce titre, le Slovaque Robert Fico, tandis que l'Italienne, Giorgia Meloni reste ambiguë. Les Vingt-Sept sont tiraillés par des intérêts divergents. Paris, chantre de l'autonomie stratégique de l'Union, prône l'instauration d'un rapport de force musclé avec Washington, si cela se révélait nécessaire. Mais plusieurs États membres sont pour la prudence, redoutant les mesures de rétorsion. A commencer par l'Allemagne, dont la coalition est secouée par le limogeage du ministre des finances libéral, et qui, en plus de son tropisme transatlantique et de son attachement au parapluie militaire américain, a un besoin impérieux d'exporter ses voitures et ses machines-outils de l'autre côté de l'Atlantique. Comme l'Italie, pour qui le marché américain est également un débouché essentiel. L'impact de cette élection concernera aussi les secteurs secteurs énergétique, technologique, militaire et géopolitique, avec, en ligne de mire, l'avenir de la guerre russo-ukrainienne et le spectre d'une déstabilisation des pays frontaliers en cas d'affaiblissement, de l'OTAN : la Pologne et les pays baltes, notamment, ont pour obsession de conserver les garanties de sécurité américaines offertes par l'OTAN. Que ce soit parce qu'il est vital pour leurs industriels de continuer à exporter outre-Atlantique ou pour s'assurer que Washington continuera à les protéger d'éventuelles agressions extérieures, une majorité des Vingt-Sept ne semble pas spontanément disposée à engager un bras de fer avec l'allié américain.Les rapports de force que Donald Trump devrait engager avec l'Europe porteront également sur la propagation des ressorts idéologiques et stratégiques qui ont « fait » sa victoire et pourraient consolider la doxa des extrêmes droites dans des démocraties déstabilisées et sous tension.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.fr
Im neuen Wochenkommentar geht es heute um die Regierungsbildung in Österreich, Viktor Orban, die Wahl in den USA und um eine drohende Verhaftung!
Es gibt vieles, worüber die europäischen Staats- und Regierungschefs uneins sind. Doch nach dem jüngsten Gipfel der Europäischen Politischen Gemeinschaft sagte Viktor Orbán als Gastgeber, dass die Reihen der Friedensbefürworter deutlich größer geworden seien.
Trump has already shown that when he moves back to the White House, he's likely to use the strategies of dictators he admires, such as Viktor Orbán of Hungary: pack courts and agencies with ideological cronies, intimidate and harass the press, and continue to denigrate opponents as “evil,” “low IQ,” "vermin" and “enemies from within.” Harvard professor Steven Levitsky, co-author of How Democracies Die and Tyranny of the Minority, tells us why it could take years to rescue America's democracy. Even if you heard this episode when we first posted it, we think you'll want to listen again now that Trump is returning to the Oval Office.
Evropski voditelji so na včerajšnjem neformalnem srečanju v Budimpešti sklenili nov evropski dogovor o konkurenčnosti, ki med drugim vsebuje predloge ukrepov za zmanjšanje visokih cen energentov in preobsežne birokracije. Premier Robert Golob je kot ključne navedel tudi spremembe na področju visokotehnoloških podjetij. Kot je po srečanju sporočil madžarski premier Viktor Orban, so se voditelji strinjali, da je treba Evropo spet narediti veliko. V oddaji tudi: - Zmaga Trumpa prinaša tudi gospodarske težave za Kitajsko, ta bo poglobila vpliv na globalnem jugu. - V Berlinu praznovanje ob 35-ti obletnici padca zidu; letošnje geslo je: CENITE SVOBODO! - Ob martinovanjih policija poziva k ničelni toleranci do alkohola za volanom in poostreno nadzoruje promet.
Since Donald J. Trump won the election, journalists have been retreading his path to victory, and discussing how the press should cover his next presidency. On this week's On the Media, hear how a group of powerful podcasters helped boost Trump to his second term. Plus, an exiled Russian journalist shares rules for surviving an autocracy.[01:00] Hosts Brooke Gladstone and Micah Loewinger and Executive Producer Katya Rogers discuss the day after the election. We also hear from OTM listeners about how they're feeling post-election, and what they want to see covered in the next Trump presidency.[14:13] Host Micah Loewinger muses on the influence of Joe Rogan in this election, and looks at how Rogan, who previously said he held progressive views, ended up endorsing Trump.[28:13] Host Brooke Gladstone interviews M. Gessen, opinion columnist at The New York Times, about their rules for surviving autocracy. They discuss the fallacy of Americans “voting against their interests”; what the path of Viktor Orbán suggests about Trump's next steps; and how to keep the dream of democracy alive.Further reading / listening:“Where Does This Leave Democrats?” by Ezra Klein“Joe Rogan's Galaxy Brain,” by Justin Peters“Is the Gen Z bro media diet to blame?” by Rebecca Jennings“Autocracy: Rules for Survival,” by M. GessenSurviving Autocracy, by M. Gessen On the Media is supported by listeners like you. Support OTM by donating today (https://pledge.wnyc.org/support/otm). Follow our show on Instagram, Twitter and Facebook @onthemedia, and share your thoughts with us by emailing onthemedia@wnyc.org.
Police in Amsterdam said on Friday that five people were hospitalized and 62 arrested after anti-Semitic rioters attacked Israeli supporters after a soccer match. Dutch Prime Minister Dick Schoof said he was "deeply ashamed" about the attacks, while Israeli Prime Minister Benjamin Netanyahu said the Dutch government must ensure the well-being of all Israelis in the Netherlands.Following President-elect Donald Trump's electoral victory, top European leaders, including European Council President Charles Michel and German Chancellor Olaf Scholz, called on Trump to continue aiding Ukraine in its conflict with Russia. Other European leaders, however, such as Hungarian Prime Minister Viktor Orban, expressed their hope for Trump to broker a peace deal that would bring an end to the conflict.Southern California firefighters have made progress against a wildfire that has destroyed 132 structures, allowing some people to return to sort through the charred remains of their homes. The Mountain Fire started on Wednesday morning in Ventura County, and had grown to 32 square miles. It was 7 percent contained by Friday morning.
With Europe bracing for a second Trump presidency, we discuss what's next for the EU and Ukraine. Then: Germany heads for snap elections as the ruling coalition crumbles. Plus: highlights from the 2024 World Architecture Festival and a special interview with the minister of tourism of Greece, Olga Kefalogianni. See omnystudio.com/listener for privacy information.
Ecoutez RTL autour du monde avec Georges Malbrunot avec Georges Malbrunot du 08 novembre 2024.
Vi europæere må selv lære at blive geopolitiske ”kødædere”, lyder metaforen fra Frankrigs præsident Macron under disse dages topmøde i Budapest. Men hvordan gør vi det? Og hvad med Ukraine? Podcasten tager dig med til Viktor Orbáns enmandsfest, hvor næsten alle de andre inviterede ledere er dybt bekymrede over Donald Trumps genvalg.Vært og tilrettelægger: Thomas Lauritzen, Altingets Europa-analytiker.Medvært: Rikke Albrechtsen, Altingets EU-redaktør.Hør også: Statsminister Mette Frederiksen (S) og Ungarns regeringsleder, Viktor Orbán.Producer: Clara Vestergaard Lausen, podcastassistent. Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.
C dans l'air du 7 novembre - Europe, Iran, Russie... La bascule TrumpÉlu 47e président des États-Unis, Donald Trump va faire son retour à la Maison-Blanche en janvier prochain, grâce à une victoire sans appel face à Kamala Harris. Hier soir, devant des militants en larmes à Washington, la candidate démocrate a reconnu sa défaite et a promis "d'aider" le républicain et son équipe pour réaliser "une transition pacifique du pouvoir". Joe Biden a également appelé Donald Trump pour le féliciter pour sa victoire et préparer la transition, ce que le milliardaire n'avait pas fait il y a quatre ans. Le président démocrate "s'adressera à la nation" ce jeudi 7 novembre, à 17 heures, heure de Paris. Il devrait délivrer un message d'apaisement après une campagne très violente qui a laissé un pays fracturé et de nombreux Américains inquiets. À l'étranger, l'élection de Donald Trump a été saluée par la plupart des chancelleries dans le monde, tout en suscitant également de nombreuses inquiétudes notamment en Europe, devant les menaces formulées par le milliardaire ces derniers mois. Au cours de cette campagne, marquée par la violence verbale et les excès, Donald Trump a montré qu'il n'a pas changé de personnalité, qu'il entendait être imprévisible mais aussi qu'il allait relancer la guerre la commerciale en renforçant le protectionnisme américain. Donald Trump a notamment promis de lancer un plan visant à imposer des droits de douane généralisés sur tous les produits fabriqués à l'étranger et entrant aux États-Unis. Il entend également favoriser les industries nationales de combustibles fossiles et se retirer (à nouveau) de l'Accord de Paris alors que l'année 2024 sera certainement l'année la plus chaude jamais enregistrée selon les prévisions de l'observatoire européen Copernicus.Mais ce sont surtout les questions de défense, l'Ukraine et l'OTAN qui sont cœur des préoccupations des Européens aujourd'hui. Donald Trump a ouvertement menacé de revoir, voire de supprimer, l'aide financière et militaire de Washington à l'Ukraine et s'est vanté d'"encourager" la Russie à faire "ce qu'elle veut" avec les membres de l'OTAN qui n'atteignent pas les objectifs de dépenses dans l'Alliance. C'est dans ce contexte que les dirigeants européens, dont la plupart des membres de l'Union européenne, sont réunis ce jeudi à Budapest pour une réunion dominée par une question : comment faire face à Donald Trump ? Un sujet qui pourrait susciter bien des divisions dans une Europe déjà fragilisée et divisée, où les dirigeants issus des droites nationales et d'extrême droite ne cachent pas leur satisfaction de voir Donald Trump revenir à la Maison-Blanche, à commencer par le Premier ministre hongrois Viktor Orban, l'un de ses interlocuteurs privilégiés.En ouverture de ce sommet européen, Emmanuel Macron a évoqué ce jeudi un moment "décisif" pour les Européens. "Ce moment, c'est celui où l'on décide d'agir, de défendre nos intérêts nationaux et européens en même temps, de croire dans notre souveraineté et autonomie stratégique", a affirmé le président de la République, appelant les Européens à ne pas "déléguer pour l'éternité" leur sécurité aux Américains. "Au fond, la question qui nous est posée : 'Voulons-nous lire l'histoire écrite par d'autres, les guerres lancées par Vladimir Poutine, les élections américaines, les choix faits par les Chinois en termes technologiques ou commerciaux ? Ou est ce qu'on veut écrire l'Histoire ?'", a interrogé le chef de l'Etat.Alors Donald Trump va-t-il mettre l'Europe en difficulté ? Quelles conséquences pour l'Union européenne, l'Ukraine et le Proche-Orient ? Critiquant régulièrement l'administration Biden pour sa gestion du conflit, Donald Trump espère la fin de la guerre au Proche-Orient d'ici la date de son investiture, le 20 janvier 2025. Une situation qui, selon John Bolton, pourrait pendant cette période de transition laisser les mains libres au Premier ministre israélien dans sa vaste campagne militaire, à Gaza, au Liban, et surtout face à l'Iran. L'ancien conseiller à la sécurité nationale de Donald Trump a évoqué dans #cdanslair le 6 novembre "la possibilité pour les Israéliens de faire quelque chose d'assez spectaculaire contre le programme nucléaire iranien par exemple".Les experts :- Sonia DRIDI - Correspondante à Washington – RTBF, France 24 - Olivier KNOX - Correspondant politique – U.S. News & World Report - Scott SAYARE - Journaliste indépendant - Tara VARMA - Chercheuse spécialiste en relations internationales - Brookings Institution- Stéphanie FILLION - Journaliste indépendante - Correspondante aux Nations Unies - Claire MEYNIAL - Grand reporter – Le Point, auteure de La guerre des Amériques
Crisis de gobierno en Alemania, donde el canciller Olaf Scholz ha destituido a su ministro de Finanzas y a la sazón líder de los liberales, uno de los tres partidos que conforman la coalición semáforo que dirige Alemania. Las tensiones con Christian Lindner han alcanzado su punto más alto esta semana y Scholz ha dicho basta, aunque su decisión le deja en una situación bastante comprometida.Estaremos en Budapest donde se celebra la Cumbre de la Comunidad Política Europea que preside Viktor Orban, un líder europeo muy satisfecho con la victoria de Donald Trump. Estaremos precisamente en Washington para saber cómo se está asumiendo desde el lado demócrata el triunfo del republicano que volverá a ocupar la Casa Blanca. También estaremos en Gaza donde el sector sanitario apenas tiene recursos para seguir atendiendo a las miles de personas que requieren intervenciones urgente. Y hablaremos también de cómo se instrumentaliza la migración para influir en la opinión pública. Escuchar audio
Tony Connelly, Europe Editor reports from Budapest where European leaders are meeting at a summit hosted by Hungarian Prime Minister Viktor Orbán.
Sky News' deputy political editor Sam Coates and Politico's Jack Blanchard share their daily guide to the day ahead in politics in under 20 minutes. As the reality of a second Trump presidency sinks in, what have the immediate global consequences been? Jack and Sam discuss the various reactions of world leaders to the news as they gather for a summit in Budapest, hosted by Trump supporter Viktor Orban. What are the economic consequences of the tariffs Trump has hinted at? What does it mean for Ukraine? And what does it mean for domestic politics? How are members of the UK Labour party squaring their past statements on the man with the realities of government? You can send a WhatsApp to Jack and Sam on 07511 867 633 or email them: jackandsam@sky.uk
Dem Rechtspopulisten Trump ist ein bemerkenswertes Comeback gelungen. Was bedeutet sein Wahlsieg für die Ukraine? Wie ist die Anbiederung europäischer Rechtspolitiker von Sebastian Kurz bis Viktor Orbán zu interpretieren? Über die Stimmung in den USA und was der Wahlausgang für die Welt bedeutet, sprechen Raimund Löw und Barbara Tóth. Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.
Viktor Orbán meint, es sei Zeit für einen Wandel im Umgang mit der Ukraine. Zwei Gipfel in Budapest am Donnerstag und Freitag sollen der Ausgangspunkt dafür sein.
Alors même que l'ensemble des votes n'était pas encore compté, les messages de félicitations ont commencé à affluer dès ce matin (6 novembre 2024) à l'intention du nouveau président américain Donald Trump, souvent d'ailleurs sur le réseau X, cher au candidat et propriété de son ami Elon Musk... Pour l'ensemble de l'Europe, l'élection américaine est un choc, mais un choc qui pourrait être salvateur si l'Europe se prend en main... La revue de presse de Juliette Gheerbrant. Orban, soutien de Trump et de Poutine On l'a dit s'il est un dirigeant qui clame, depuis le début de la campagne, son soutien sans faille à Donald Trump, c'est le dirigeant hongrois Viktor Orban qui a salué «le plus grand retour de l'histoire politique américaine». Le dirigeant européen qui entretient aussi, par ailleurs, une proximité très forte avec le dirigeant russe Vladimir Poutine. Notamment pour sécuriser ses importations énergétiques. Mais pas seulement. La politique russe de musellement des organisations critiques du pouvoir, stigmatisées comme «agent de l'étranger» est une source d'inspiration. À Budapest, Orban a créé un « Bureau de protection de la souveraineté nationale ». En 2020, l'Europe avait pourtant contraint le pays à abroger une loi sur les agents de l'étranger. Mais, Budapest récidive aujourd'hui par le biais de cette autorité mieux dotée qu'un ministère. Reportage signé Florence Labruyère. Austérité budgétaire en Europe, et pour l'Université britanniqueAustérité budgétaire, tous les pays européens sont logés à la même enseigne. Et le Royaume-Uni ne déroge pas à la règle avec des conséquences directes sur l'enseignement supérieur. Les Universités tirent la langue. Beaucoup de facultés sont forcées à faire des coupes budgétaires. Selon l'organisme public Office for Students, en 2024, 40% des universités britanniques seront en déficit. Une situation financière qui impacte directement l'identité et les cursus proposés par certaines établissements. C'est le reportage à Londres de Marie Billon. La chronique musique de Vincent Théval Teho Teardo & Blixa Bargeld Bisogna Morire (Italie/Allemagne).
On the DSR Daily for Monday, we cover a round-up of election news from the US and around the world, including the possibility of RFK Jr. in a Trump administration, Viktor Orban's statements on a Trump victory, and Moldova's pro-EU president winning reelection. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
On the DSR Daily for Monday, we cover a round-up of election news from the US and around the world, including the possibility of RFK Jr. in a Trump administration, Viktor Orban's statements on a Trump victory, and Moldova's pro-EU president winning reelection. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Ungarns Regierungschef Viktor Orbán sorgt mit kontroversen Äußerungen für Aufsehen. Die BSW-Führung gerät mit ihrem Thüringer Landesverband aneinander. Und ein BVG-Mitarbeiter verliert wegen eines Facebook-Posts seinen Job. Das ist die Lage am Freitagabend. Die Artikel zum Nachlesen: Auftritt von Gerhard Schröder und Viktor Orbán in Wien: Der bizarre Gipfel der Putin-Freunde Koalitionsverhandlungen: Thüringer BSW beugt sich Wagenknechts Kritik – ein bisschen Gefeuert wegen Fotomontage auf Facebook: Wann ist ein Post auf Social Media ein Kündigungsgrund?+++ Alle Infos zu unseren Werbepartnern finden Sie hier. Die SPIEGEL-Gruppe ist nicht für den Inhalt dieser Seite verantwortlich. +++ Den SPIEGEL-WhatsApp-Kanal finden Sie hier. Alle SPIEGEL Podcasts finden Sie hier. Mehr Hintergründe zum Thema erhalten Sie bei SPIEGEL+. Jetzt für nur € 1,- für die ersten vier Wochen testen unter spiegel.de/abonnieren Informationen zu unserer Datenschutzerklärung.
¡Vótame en los Premios iVoox 2024! Este sábado se celebraron elecciones parlamentarias en Georgia. A pesar del pequeño tamaño del país la convocatoria ha despertado mucha atención mediática ya que, desde antes incluso de que diese comienzo la campaña electoral, estaba servida la polémica. El partido gobernante, Sueño Georgiano, se declaró ganador con un 53.9% de los votos según los datos oficiales, lo que le asegura mantener el control del Parlamento. Pero, tal y como se preveía, estas elecciones no han estado exentas de acusaciones de fraude electoral, generando así un ambiente de tensión y disputa política en el país. Durante el proceso electoral se informaron de múltiples irregularidades, entre ellas la intimidación de los votantes, la compra de votos y el relleno de urnas con papeletas. Estos incidentes fueron denunciados no sólo por los partidos de la oposición, sino también por observadores internacionales y organizaciones locales de monitoreo electoral. La presidenta de Georgia, Salomé Zurabishvili, junto a varios líderes de la oposición, se han negado a reconocer los resultados, calificándolos como producto de un "fraude total" y han sugerido que detrás de esta manipulación podría estar la influencia de Rusia en lo que describieron como una "operación especial rusa”. La cuarta victoria consecutiva de Sueño Georgiano, un partido que mantiene una postura más conciliadora con Rusia, muchos la ven como un retroceso en el camino de Georgia hacia la integración en Europa. Este resultado ha generado preocupación en la Unión Europea y en Estados Unidos porque Georgia había recibido recientemente el estatus de país candidato a la UE. En Bruselas han pedido a una investigación imparcial de las denuncias de irregularidades, insistiendo en que el apoyo del primer ministro húngaro, Viktor Orbán, al Gobierno georgiano no representa la posición oficial de la Unión. Orbán, conocido por su postura crítica hacia Bruselas y su alineación con políticas prorrusas en varias ocasiones, felicitó al primer ministro georgiano, Irakli Kobajidze, por su "aplastante victoria" incluso antes de que se conocieran los resultados oficiales. Su visita oficial a Georgia justo después de las elecciones se interpreta como una muestra de apoyo al Gobierno actual. Mientras algunos ven en este apoyo un fortalecimiento de la soberanía georgiana frente a las presiones occidentales, otros lo interpretan como un alejamiento de los valores democráticos y de las aspiraciones europeas del país. La oposición, que se había unido bajo un programa de mínimos para presentar una alternativa proeuropea, se encuentra ahora en una encrucijada. Los líderes opositores han anunciado protestas y manifestaciones en la capital, Tiflis, para exigir transparencia y justicia electoral. La sociedad georgiana se encuentra polarizada entre quienes desean un acercamiento más fuerte a Europa y aquellos que prefieren mantener una política de equilibrio entre Occidente y Rusia. Pues bien, para tratar este tema nos acompaña Francisco, más conocido en las redes como El Polemista, un contraescucha que vive en Georgia y que ha podido asistir en primera persona a la campaña y a la propia jornada electoral. Francisco lleva suficiente tiempo en el país como para conocerlo bien y no es la primera vez que pasa por aquí para ilustrarnos sobre este punto caliente en mitad del Cáucaso. · Canal de Telegram: https://t.me/lacontracronica · “Contra la Revolución Francesa”… https://amzn.to/4aF0LpZ · “Hispanos. Breve historia de los pueblos de habla hispana”… https://amzn.to/428js1G · “La ContraHistoria de España. Auge, caída y vuelta a empezar de un país en 28 episodios”… https://amzn.to/3kXcZ6i · “Lutero, Calvino y Trento, la Reforma que no fue”… https://amzn.to/3shKOlK · “La ContraHistoria del comunismo”… https://amzn.to/39QP2KE Apoya La Contra en: · Patreon... https://www.patreon.com/diazvillanueva · iVoox... https://www.ivoox.com/podcast-contracronica_sq_f1267769_1.html · Paypal... https://www.paypal.me/diazvillanueva Sígueme en: · Web... https://diazvillanueva.com · Twitter... https://twitter.com/diazvillanueva · Facebook... https://www.facebook.com/fernandodiazvillanueva1/ · Instagram... https://www.instagram.com/diazvillanueva · Linkedin… https://www.linkedin.com/in/fernando-d%C3%ADaz-villanueva-7303865/ · Flickr... https://www.flickr.com/photos/147276463@N05/?/ · Pinterest... https://www.pinterest.com/fernandodiazvillanueva Encuentra mis libros en: · Amazon... https://www.amazon.es/Fernando-Diaz-Villanueva/e/B00J2ASBXM #FernandoDiazVillanueva #georgia #rusia Escucha el episodio completo en la app de iVoox, o descubre todo el catálogo de iVoox Originals
Viktor Orbán, rechtsextremer Regierungschef aus Ungarn, besucht auf Einladung von Walter Rosenkranz (FPÖ) das Parlament. ÖVP und SPÖ verhandeln. FALTER-Expertin Barbara Tóth liefert ein Update aus Österreichs Innenpolitik. Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.
When Donald Trump praises foreign dictators—from Xi Jinping and Kim Jong Un to Viktor Orban and Vladimir Putin—the typical reaction is shock and dismay. But in fact, Beverly Gage points out in a recent essay in Foreign Affairs, such admiration is not uncommon in American politics. And Trump's embrace of overseas autocrats is just one of the unsettling features of American civic life today that has a more prominent place in U.S. history than most observers would like to think. Gage, a historian at Yale, has written extensively about contemporary U.S. politics, ideology, and social movements, and is the author of G-Man: J. Edgar Hoover and the Making of the American Century. She spoke with Foreign Affairs senior editor Kanishk Tharoor on October 17 about the historical parallels that help us understand today's fraught politics—as well as what set this moment apart. You can find transcripts and more episodes of The Foreign Affairs Interview at https://www.foreignaffairs.com/podcasts/foreign-affairs-interview.