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Dans cet épisode, je t'explique pourquoi la plupart des femmes restent bloquées malgré tous les régimes et efforts. La vraie raison ? Elles n'ont pas posé les bases de sécurité émotionnelle et mentale avant de vouloir transformer leur corps. Je partage : Comment ton environnement et tes routines influencent ta perte de poids Pourquoi la motivation seule ne suffit jamais Les étapes concrètes pour créer cette sécurité et enfin avancer Écoute jusqu'au bout si tu veux : - Arrêter de tourner en rond avec les régimes - Comprendre ton rapport à la nourriture - Poser un vrai plan qui fonctionne pour ton corps ET ton esprit #PerteDePoids #Transformation
Dans ce nouvel épisode de SONU à l'antenne, Global Health et UN Women ont interrogé le Dr Alix Roquette, gynécologue médicale, et Claire Derache, infirmière, afin d'en apprendre davantage sur les cancers féminins, en particulier celui du col de l'utérus. Au programme : définitions et chiffres clés, facteurs de risque et symptômes, mesures de dépistage et de prévention, parcours de soins, impact psychologique de la maladie. Un échange essentiel pour mieux comprendre la maladie et l'accompagnement proposé aux patientes. Merci au centre de santé Sorella Care pour son accueil, et à toutes les membres ayant participé au projet (Alexandra Deville, Jade Malara et Isaure Ing).
Cette semaine, je reçois Dre Arline-Aude Bérubé, neurologue et médecin responsable de la clinique des troubles neurologiques fonctionnels au CHUM. Aujourd'hui, on parle des troubles neurologiques fonctionnels et des autres types de troubles fonctionnels. Parle-moi de santé est présenté par Physiovélo, partenaire officiel du podcast. C'est la clinique de référence pour le positionnement à vélo (bikefitting). Appelle à la clinique pour voir comment leur équipe peut t'aider à être plus confortable sur ton vélo : (450) 486-3888. Pour trouver des trucs utiles pour le confort à vélo : https://bit.ly/physiovelo Pour écouter l'épisode en vidéo sur YouTube : https://youtu.be/bXW_VrttC-s Code promo GOUGEON15 pour les formations en ligne à prix régulier de Bia Éducation. Clique ici pour les découvrir : https://bit.ly/4ads0ZC Tu es physio et tu veux t'inscrire à la formation sur les céphalées et douleurs orofaciales en janvier 2026 avec l'École PhysioLab? Clique ici! Retrouve Parle-moi de santé sur toutes les plateformes Instagram YouTube Facebook Pour m'écrire : parlemoidesante@gmail.com Pour écouter l'épisode #59 sur le TNF : Le trouble neurologique fonctionnel - Parle-moi de santé Pour consulter les ressources sur le site du CHUM : Ressources | CHUM
Dr Laurent Schwartz est médecin oncologue et chercheur français. Ancien directeur de recherche à l'INSERM et au CNRS, il est spécialisé dans l'étude du métabolisme des cellules cancéreuses. Son dernier livre *Le bleu de méthylène: Un remède oublié, un nouvel espoir contre le cancer, la dépression et les maladies du cerveau* est disponible partout.site officiel : https://dr-laurentschwartz.com/lien Amazon : https://amzn.to/4pCymbx CHAPITRES :0:00 Introduction3:00 État des Lieux des cancers aujourd'hui16:56 Comprendre la cellule tumorale20:22 La Fermentation et le Cancer26:35 Aggressivité des Cancers31:30 Peur et Dépistage du Cancer33:03 Vers une Nouvelle Compréhension du Cancer39:18 Facteurs Génétiques et Métaboliques du Cancer41:31 Stress et Risque de Cancer43:57 Importance du mode de vie47:08 Vieillissement et cancer50:37 Traitements et avancées52:10 Molécules prometteuses56:10 Recherche et obstacles1:01:47 Prévention et métabolisme1:05:48 Régime cétogène et cancer1:11:54 Futur des traitements1:16:06 Cas de guérison miraculeuse1:20:47 Prochaines préoccupations scientifiques1:25:39 Un appel à la révolutionBIOMÉCANIQUE :InstagramYoutubeSpotifyApple PodcastsDiscordWebsiteLa Lettre Biomécanique™ Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Auditrice :Victime de crises de panique, Laurène cherche à comprendre ce qui déclenche ces épisodes et comment les apaiserHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Louise est Data Team Lead au Ministère de la Transition Écologique. Après un parcours en startups, elle a rejoint le Ministère pour piloter un projet qui permet d'accélérer la transition écologique : avec son équipe, elle a construit des indicateurs pour aider les territoires à mesurer leurs progrès climatiques.On aborde :
Cette semaine, au Podcast Pas Ordinaire, j'ai reçu Pascal Dumais de Instinct Fondateur qui explore avec moi l'avenir de l'intelligence artificielle : comment elle évolue, où elle nous mène… et si elle pourrait un jour dépasser l'humain. On y discute aussi des opportunités majeures que l'IA crée pour les entrepreneurs, des dangers potentiels, de la transformation du marché de l'emploi, et des raisons pour lesquelles ignorer l'IA pourrait devenir un handicap majeur dans les années à venir.Que vous soyez entrepreneur, créateur de contenu, professionnel ou simplement curieux de comprendre la révolution actuelle, cet épisode vous donnera une vision claire, concrète et parfois surprenante du futur.________________________Merci à nos commanditaires de l'Épisode :
Invité : Dominique Trinquand, ancien chef de la mission militaire française auprès de l'ONU, expert en relation internationale et auteur ouvrage "D'un monde à l'autre. Comprendre les nouveaux enjeux géopolitiques" aux éditions Robert Laffont Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ahhhh, nos faiblesses au travail ! Depuis l'école, nous avons peur de ne pas être parfaits. Ça serait pratique d'avoir tous les talents, mais nous ne sommes ni Superman ni Wonder Woman.
Dans cet épisode solo, j'analyse le modèle révolutionnaire de Néoproprio, une innovation qui transforme l'accès à la propriété en France en réinventant non pas le logement… mais sa structure financière.Inspiré du leasehold londonien et du leasing automobile, ce modèle permet de devenir propriétaire pour deux fois moins cher, tout en offrant une flexibilité inédite et une répartition des risques plus juste.Au-delà de l'immobilier, c'est une véritable masterclass de stratégie, de pédagogie et d'entrepreneuriat, tirée de ma conversation passionnante avec Olivier Ramé, directeur général de Néoproprio.Au programme :Comprendre profondément le problème avant d'imaginer la solutionTransformer un modèle financier en solution sociale concrèteCréer un produit flexible, aligné avec les usages réels de la vieRedistribuer intelligemment les risques pour lever les freinsAccepter que les innovations profondes prennent du temps à construireUn épisode 100% actionnable pour tout entrepreneur ou toute entrepreneure qui cherche à innover autrement, en partant des besoins réels des utilisateurs.Bonne écoute !
Comment le diable fait-il pour nous perdre ? Comment les plus humbles font-ils pour lui échapper ? Jean-Marie Guénois interroge ses 3 invités pour comprendre un peu. Le père Jean-Baptiste Edart, doyen de la faculté de théologie de l'Université catholique de l'Ouest, spécialiste de démonologie, vient de publier « Le diable dans ses oeuvres - Comprendre l'action invisible du mal et s'en libérer » (Artège). S'appuyant sur saint Thomas d'Aquin et la psychologie cognitive contemporaine, son étude montre comment le Démon exploite les émotions et les vulnérabilités mentales, et comment son emprise empêche d'accéder à la vérité et à la conversion. Bénédicte de Saint Germain a écrit « Le club des saints minuscules, Ces gens simples qui portent l'Église », aux éditions du Cerf. Elle présente des invisibles : Christian le hippie devenu laveur d'âmes, Philothée la sacristine, Élisabeth l'infatigable bénévole, Charlotte la maman solo qui dit des chapelets, Étienne le paysan maître d'espérance... Parfois cabossés par la vie mais agrippés au manteau du Christ, ils sont là, endurants. Leur lumière chasse les ténèbres. Emmanuelle Delagrange, au Cerf, évoque une autre figure, dans « Jean de Miribel, L'aventurier de l'empire céleste ». Prêtre-ouvrier dans la France de l'après-guerre, il écouta l'appel de l'ailleurs et devint Chinois parmi les Chinois, pont entre l'Orient et l'Occident. Son idéal antidémoniaque : trouver en chacun les graines de bonté, qui étaient pour lui la marque de l'Esprit Saint. Une émission en coproduction KTO - La Procure - Le Jour du Seigneur.
Dans cet épisode, je t'explique pourquoi comprendre ta dépression — et pas seulement la dépression — change profondément ton chemin de guérison. Tu vas découvrir comment identifier tes causes, mieux te connaître et reprendre ton pouvoir intérieur°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°Abonnez-vous au podcast afin d'être informé des nouveaux épisodes➖ Les notes de l'épisode : https://mydelipression.com/2025/11/depression-hivernale/➖✉️Newsletter : rejoindre la newsletter : https://bit.ly/3YQ4lZM ➖ Réserve ton appel découverte avec moi : http://bit.ly/3mA0yAw ~~GUIDE GRATUIT ~~➖
Pour devenir Ambassadeur du bonheur et m'aider à propulser le lancement de mon nouveau livre sur Amazon. Inscrivez-vous !La déception, ce n'est pas seulement « être triste que ça ne se soit pas passé comme prévu ». Elle interroge notre valeur, notre place dans la relation, notre besoin d'être rejoint(e). Nous avions imaginé quelque chose. Un geste, une présence, un mot, une attention. Et la réalité n'a pas suivi.Parfois ce sont des petites choses du quotidien. Parfois ce sont des blessures plus anciennes qui se réveillent. Et parfois, c'est une déception qui revient, encore et encore, et qui nous dit qu'un réajustement est nécessaire.Dans cet épisode, nous explorons :Pourquoi la déception fait si mal (et ce que les neurosciences nous apprennent)Ce que la déception révèle de nos besoins relationnelsComment traverser cette émotion plutôt que la fuirComment accepter les limites de l'autre… et les siennesEt pourquoi cette traversée est nécessaire pour construire une estime de soi plus justeLa déception n'est pas un échec. C'est une invitation à clarifier, à ajuster, à aimer avec plus de justesse.**********Retrouvez le texte de l'épisode sur notre blog.En vous abonnant sur Itunes pour recevoir les notifications et en nous laissant un avis, vous nous envoyez des bulles de bonheur !En suivant notre actu sur FB @2minutesdebonheur et sur insta @2minutesdebonheur, vous profiterez gratuitement de pleins de trucs, d'astuces et de mises en pratique liés au podcast de la semaine.Inscrivez-vous à la newsletter, vous serez ainsi notifié de nos nouveaux épisodes et vous recevrez un bon de réduction de 5% sur notre site.Et surtout, partagez nos épisodes à tous ceux qui veulent prendre le temps d'être heureux !Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:28:52 - Les Midis de Culture - par : Marie Labory - L'écrivaine islandaise, autrice entre autres de "Rosa Candida" et "Miss Islande", raconte quelques mois de la vie ordinaire et poétique d'une femme trans. - réalisation : Laurence Malonda - invités : Audur Ava Olafsdottir Ecrivain
Episode Hors série 4 : Mieux comprendre les enfants d'aujourd'hui Qui sont les enfants d'aujourd'hui ?Ils grandissent dans un monde rapide, saturé d'écrans et d'injonctions éducatives… mais leurs besoins fondamentaux, eux, restent universels.Pour mieux comprendre cette génération, j'accueille Josette Serres, psychologue du développement et chercheuse associée au CNRS.Nous parlons neurosciences, rythme de vie, surstimulation, anxiétés contemporaines, et de ce que la science confirme ou balaie sur l'enfance.Un épisode riche, nuancé et profondément rassurant, pour aider chaque parent à accompagner son enfant… sans chercher la perfection.Bonne écouteÉcoutez Parentalité(s) sur Deezer, Apple Podcast et Spotify.Retrouvez et suivez Parentalité(s) sur instagram Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Parce que… c'est l'épisode 0x669! Shameless plug 25 et 26 février 2026 - SéQCure 2026 CfP 14 au 17 avril 2026 - Botconf 2026 28 et 29 avril 2026 - Cybereco Cyberconférence 2026 9 au 17 mai 2026 - NorthSec 2026 3 au 5 juin 2025 - SSTIC 2026 Description Le dark web fascine et inquiète en même temps. Pourtant, ce concept n'est pas aussi mystérieux qu'on pourrait le croire, bien qu'il joue un rôle crucial dans le paysage de la cybersécurité actuelle. Cyndie Feltz, Nicholas Milot et Dominique Derrier nous aident à mieux comprendre cet écosystème et son importance pour les petites et moyennes entreprises. Qu'est-ce que le dark web? Pour bien comprendre le dark web, il faut d'abord parler du deep web. Le deep web représente toute la partie non indexée d'internet. Lorsqu'on effectue une recherche sur Google, on ne consulte que la portion indexée du web. Mais internet contient beaucoup plus : les canaux Telegram, par exemple, font partie du deep web car ils ne sont pas indexés par les moteurs de recherche traditionnels. Le dark web constitue la partie la plus profonde du deep web, celle où se déroulent la plupart des activités criminelles en ligne. L'image de l'iceberg illustre bien cette structure : au-dessus de l'eau se trouve la partie indexée d'internet, tandis que tout ce qui est submergé représente le deep web. Au fond, là où se trouvent les créatures marines les plus imposantes, on retrouve le dark web. Il est important de noter qu'on n'accède pas au dark web par hasard. Il faut utiliser un navigateur spécialisé comme Tor pour y naviguer. De plus, contrairement au web traditionnel, il n'existe pas de Google du deep web. Il faut savoir où chercher pour trouver ce qu'on recherche. Des usages légitimes existent Bien que le dark web soit souvent associé aux activités criminelles, il possède également des usages légitimes. Les journalistes l'utilisent pour protéger leurs sources, et de nombreux gouvernements y ont recours pour des communications sécurisées. Cet espace permet des transactions sur internet qui ne sont pas indexées par Google, offrant ainsi un niveau de confidentialité supérieur. Pourquoi les PME doivent-elles s'y intéresser? Pour une PME, le dark web devient pertinent dans deux cas principaux. Le premier survient lors d'un incident de sécurité. Lorsqu'une entreprise subit une violation de données, l'assurance ou l'équipe de réponse à incident recommandera souvent d'investiguer le dark web pour tenter de récupérer les informations volées. Le deuxième cas relève de la prévention. Certaines organisations choisissent de surveiller le dark web pour anticiper les menaces. Cette surveillance permet de découvrir si des acteurs malveillants planifient une attaque ou s'ils possèdent déjà des informations compromettantes sur l'entreprise. Une véritable industrie criminelle Lorsqu'une entreprise se fait voler des données, celles-ci ont de la valeur. Les cybercriminels ne gardent pas ces informations pour eux : ils cherchent à les vendre sur des canaux Telegram ou des sites non indexés. Le dark web fonctionne comme une véritable chaîne d'approvisionnement. Des spécialistes collectent des identifiants de connexion fonctionnels, souvent par hameçonnage. Ces credentials sont ensuite vendus en lot à d'autres criminels qui les utiliseront pour déployer des rançongiciels ou des voleurs d'information. Cette division du travail crée un écosystème criminel professionnalisé, comparable à un modèle d'affaires SaaS (software as a service). Les limites de la surveillance du dark web Malgré son utilité, la surveillance du dark web comporte des limitations importantes. Par nature, cet espace n'est pas indexable comme Google. Il n'existe donc aucune garantie de retrouver toutes les informations recherchées. On peut passer des années à chercher quelque chose qui pourrait ne jamais être trouvé. Le dark web fonctionne comme un marché aux puces : les lieux où se commercent des biens illégaux apparaissent et disparaissent rapidement. Les données volées ont une durée de vie limitée. Comme on vérifie la fraîcheur des fruits à l'épicerie, les acheteurs vérifient la fraîcheur des credentials. Une fois le produit périmé, il disparaît du marché. Au-delà des mots de passe Le dark web ne contient pas que des mots de passe. Suite à une violation de données, des informations sur des centaines ou milliers de clients peuvent s'y retrouver. Ces données permettent aux attaquants de mener des campagnes d'harponnage hautement ciblées. Avec le bon contexte, leurs courriels frauduleux deviennent beaucoup plus crédibles et efficaces. Le piège des jetons de session Même avec l'authentification à deux facteurs activée, les entreprises ne sont pas totalement protégées. Les voleurs d'information peuvent extraire des jetons de session du navigateur. Ces jetons sont octroyés après qu'un utilisateur a complété son authentification complète, incluant le deuxième facteur. Si un attaquant met la main sur ce jeton et l'insère dans son propre navigateur, il peut se faire passer pour l'utilisateur légitime sans avoir besoin du deuxième facteur. Ce scénario devient particulièrement problématique lorsque les employés utilisent leur ordinateur personnel pour accéder aux ressources professionnelles. Un simple téléchargement malveillant peut compromettre une session d'entreprise et ouvrir la porte à une attaque par rançongiciel. L'hygiène de base avant tout La surveillance du dark web ne remplace pas les bonnes pratiques de sécurité. Les entreprises doivent d'abord mettre en place leur hygiène de base : authentification à deux facteurs, gestion rigoureuse des mots de passe, et autres mesures de protection accessibles aux PME. Ces éléments ne sont ni extrêmement coûteux ni particulièrement complexes à implémenter. La surveillance du dark web devrait être considérée comme une couche de protection supplémentaire, pas comme la solution principale. Elle ne fonctionne efficacement que lorsque les fondations de sécurité sont solides. Un investissement pour ne rien trouver Paradoxalement, la meilleure utilisation d'un service de surveillance du dark web est de ne jamais recevoir de notification. Si une entreprise paie pour ce service et n'est jamais alertée, cela signifie que son équipe fait du bon travail et que les mesures de sécurité fonctionnent. C'est un investissement qu'on espère ne jamais devoir utiliser, mais qui offre une tranquillité d'esprit précieuse. La nouvelle surveillance de crédit Le dark web devient le nouveau terrain de surveillance pour la protection des données personnelles. Autrefois, on surveillait son crédit pour détecter les fraudes. Aujourd'hui, avec la multiplication des violations de données, il devient plus pertinent de surveiller si nos informations se retrouvent sur le dark web. Cette évolution reflète les nouvelles réalités de la cybersécurité. Le dark web n'est finalement qu'un outil parmi d'autres dans l'arsenal de cybersécurité d'une PME. Comprendre son fonctionnement et ses limites permet de l'utiliser judicieusement, sans y investir des ressources démesurées ni négliger les fondamentaux qui demeurent la meilleure protection. Collaborateurs Nicolas-Loïc Fortin Dominique Derrier Cyndie Feltz Nicholas Milot Crédits Montage par Intrasecure inc Locaux virtuels par Riverside.fm
durée : 00:24:19 - Bienvenue chez vous, l'invité - Maud Jamet, comportementaliste félin, nous aide à décrypter les comportements, attitudes de nos chats et nous propose des solutions pratiques. Qu'il s'agisse de miaulements, de marquage ou de comportements de rejet, chaque situation a une explication et une solution. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Elles passent souvent inaperçues, elles sont rarement nommées, mais elles laissent des traces durables. Les micro-violences éducatives ordinaires, ce sont ces paroles blessantes, ces gestes d'exclusion ou ces silences froids qui, jour après jour, érodent la confiance des élèves. Qu'il s'agisse d'une moquerie devant toute la classe, d'un élève systématiquement ignoré ou d'un aménagement spatial qui isole, ces pratiques sont encore trop souvent banalisées dans le quotidien scolaire.Dans cet épisode, nous interrogeons les logiques de fonctionnement : pourquoi ces gestes, pourtant contraires aux valeurs de l'école, persistent-ils ? Quels ressorts culturels et professionnels les alimentent ? Et surtout, que peut-on faire pour les prévenir ?Face à ces violences silencieuses, nous explorons également le pouvoir des « micro-attentions » : ces gestes simples mais puissants qui peuvent restaurer le lien et soutenir l'élève dans son parcours. Car si l'école peut blesser, elle peut aussi restaurer.Avec :Laurent Muller, maître de conférences en sciences de l'éducation au laboratoire InterPsy, université de Lorraine.Lucie Perrin, faisant fonction IEN ET-EG et professeure de lycée professionnel en économie-gestion dans l'académie de Lyon.Extra classe a besoin de vous : renseignez notre enquête utilisateur.Témoignez également de vos souvenirs scolaires dans le cadre de l'enquête de l'université de Lorraine sur les micro-violences et micro-attentions.(Ré)écouter ces épisodes Extra classe :Enseigner, un art du geste - Parlons pratiques ! #6.La CNV, un outil pour mon école - Les Énergies scolaires.Inspirations des invités :Carl Rogers.Marshall Rosenberg et la CNV (communication NonViolente).Rebecca Shankland.Chapitres00:00 Intro03:15 Nommer pour mieux voir : micro-violences ou micro-attentions ?17:40 Comprendre les logiques qui entretiennent les gestes26:53 Transformer sans culpabiliser avec les micro-attentions35:30 InspirationsExtra classe sur vos plateformes d'écoute https://smartlink.ausha.co/extra-classeExtra classe, des podcasts produits par Réseau Canopé Émission préparée et animée par : Hélène Audard et Régis Forgione Réalisée avec l'appui technique de : Nadjim Mioudi et Mehdi Mohraz Directrice de publication : Alexandra Wisniewski Coordination et production : Hélène Audard et Magali Devance Réalisation et mixage : Simon Gattegno Remerciements à l'Atelier Canopé de Nancy Contactez-nous sur : contact@reseau-canope.fr © Réseau Canopé, 2025Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Doit-on être loyal à son Église? La loyauté que nous ressentons envers notre Église doit-elle être plus importante que la liberté d'expression ou l'accomplissement spirituel? Et qui décide si une personne est loyale ou non? Dans cet épisode Joan et Stéphane abordent la récente situation à Protesinfo, explorent la question de loyauté sur les médias sociaux et se questionnent sur les façons appropriées de critiquer la hiérarchie de son Église. Bonjour, bienvenue à Question de croire, un podcast qui aborde la foi et la spiritualité, une question à la fois. Cette semaine, doit-on être loyal à son Église? Bonjour Stéphane. Bonjour, Joan, bonjour à toutes les personnes qui nous écoutent. Peut-on visiter les autres Églises tout en demeurant loyal? [Joan] J'ai une petite anecdote sur cette histoire de la loyauté. Quand j'étais jeune étudiante en théologie à Strasbourg, je me suis rendue dans une communauté, une communauté réformée. Il y avait là un certain nombre de personnes investies à plusieurs niveaux de l'Église. Et moi, j'étais à ce moment-là un petit peu comme quand on a 19-20 ans où on s'intéresse aux autres Églises. On s'en va voir à droite, à gauche, et j'avais découvert un peu les Églises pentecôtistes. Il y avait des aspects que je trouvais intéressants dans ces églises, notamment la louange, le groupe de jeunes et tout. Un peu innocemment, je commence à parler avec des personnes bien plus âgées que moi, tout à fait réformées, de mes petites découvertes dans les assemblées pentecôtistes, et l'une de ces personnes me coupe et me dit « nous on est des réformées, on n'a rien à voir, rien à faire avec les pentecôtistes ». Alors ça, c'était il y a 25 ans. Je lui ai dit : « quand même, on n'a rien à faire, rien à voir? Ce sont des protestants comme nous! » « bof, pas vraiment, reste loyal à ton Église » m'a-t-on dit. Ça m'a fait réfléchir un petit peu sur ce qu'est la loyauté. Est-ce qu'on va visiter les autres ou pas? Est-ce que s'intéresser au culte des autres, c'est être déloyal? Il y a quelques années, j'ai remarqué qu'un certain nombre de ces personnes qui avaient pris aussi des années, et puis d'autres qui n'étaient pas les mêmes, mais qui étaient un petit peu des mêmes milieux s'intéressaient très fortement dans des articles, dans des interviews, dans différentes émissions protestantes, à l'essor des pentecôtistes. Je vois sur Facebook une publication officielle d'une délégation des Églises luthéro-réformées qui était allée visiter je ne sais quelle grande Église pentecôtisante du côté de Paris. Ils avaient trouvé ça formidable et très intéressant. Et, semblerait-il, ils allaient apprendre plein de choses de leurs expériences, parce que c'était des assemblées très mélangées, avec tous les âges, et très très vivantes. C'est intéressant parce que finalement, qu'est-ce que la loyauté là-dedans? Quelle est la différence entre ce que moi j'ai fait il y a 25 ans comme étudiante et ce qui se fait là maintenant? Et moi je ne l'avais pas fait de façon intéressée ; ce n'était pas parce que mes propres assemblées commençaient à s'amenuiser, c'était vraiment par curiosité. Donc voilà, qu'est-ce que la loyauté et qu'est-ce qu'on a en nous comme conflit d'intérêts parfois, quand on s'intéresse aux autres, quand on parle des autres, quand on va vers les autres? Être loyal à quelle Église? [Stéphane] Comme je l'ai répété souvent, j'ai grandi Catholique Romain et au début de ma vingtaine, j'ai découvert l'Église Unie du Canada et j'ai transféré vers le protestantisme. Et oui, il y avait chez certaines personnes un peu cette idée que j'avais trahi ou délaissé, un peu comme on délaisse sa mère, son père, sa famille. Ça n'a pas été : « Ah, tu as trouvé la place que tu recherchais, on va célébrer ça ». Non, c'est « On a perdu quelqu'un ». Comme s'il fallait que je demeure loyal, même si je me sentais inconfortable et pas satisfait dans une institution. Mais en même temps, lorsqu'on regarde l'histoire de l'Église, il y a toujours eu des personnes qui ont provoqué des choses, qui ont remis des choses en question. En tant que protestant, est-ce que Martin Luther a été loyal à son Église? Certains diront non. Mais de quelle Église parle-t-on? Est-ce qu'on parle de l'Église Catholique romaine? Est-ce qu'on parle de l'Église de Dieu sur terre? Je comprends que c'est compliqué, je comprends que parfois il y a des notions qui amènent beaucoup d'émotivité. Lorsque quelqu'un va un peu à l'encontre de l'ordre établi ou de ce à quoi on s'attend, on a l'impression que cette personne-là n'est pas loyale, mais encore une fois, est-ce une question de loyauté ou est-ce qu'une question de vouloir que la personne soit heureuse, se développe, trouve la place où elle devrait être? La loyauté implique de prendre l'autre au sérieux [Joan] C'est vrai qu'à titre personnel, je relie un peu la question de la loyauté à celle de l'amour. C'est ce que je dis souvent, parce que moi je suis quelqu'un d'assez... enfin objectif je n'en sais rien, mais j'aime bien que les choses soient bien faites. Ça m'a amené parfois à être critique envers moi-même, envers ce qui se fait, ce qui se dit. En fait c'est parce que pour moi aimer, c'est prendre l'autre au sérieux. Prendre l'autre au sérieux, c'est lui dire, écoute, sincèrement, ce que tu as dit, ce que tu as fait là, je ne m'y retrouve pas. Est-ce qu'on peut en discuter? Ou, parfois, poser des limites. Parce que c'est un amour véritable, un amour qui n'est pas dans le faux semblant. Mais aussi, aimer l'autre, c'est ne pas lui faire de mal. Et c'est là que je comprends aussi qu'être loyale, c'est complexe, parce qu'avec ma perspective, c'est à la fois prendre l'autre au sérieux et ne pas lui faire de mal. J'aime dire les choses clairement, distinctement, poser mes questions, mais je ne voudrais pas nuire à mon Église. Et ça, c'est très important, je ne voudrais pas nuire aux témoignages de l'Évangile. En même temps, comme j'aime mon Église, je ne voudrais pas me taire quand les choses ne vont pas bien, que ce soit au niveau global, que ce soit au niveau local. Je trouve que c'est un chemin difficile, c'est une posture assez complexe et il n'y a pas de manuel pour ça. Il y a éventuellement des discussions communes à avoir, mais il n'y a pas de manuel. Pouvoir être capable de dénoncer son Église [Stéphane] Je ressens aussi le même tiraillement. Je suis membre d'une Église qui carbure à la justice sociale, des combattants de justice sociale qui dénoncent les riches, dénoncent les puissants. Mais quand c'est notre Église qui semble mal agir ou que j'ai l'impression que les priorités ne sont pas à la bonne place, qu'est-ce que je fais? L'Église Unie est en période de décroissance administrative. Il y a moins d'employés, il y a moins de dossiers abordés. Il y a des gens qui ne sont pas d'accord parce qu'ils croient que tel sujet devrait être plus prioritaire qu'un autre sujet. Est-ce qu'on peut critiquer les choix? Et qui critique-t-on? Est-ce que c'est l'Église? Est-ce que ce sont les personnes? Je pense qu'il y a une façon de bien identifier les choses. Je n'aime pas la décision que mon Église a prise, ça ne veut pas dire que je n'aime pas mon Église, mais telle décision ou telle personne a fait tel choix et je suis en désaccord. Un autre exemple, lorsque le projet de loi sur l'aide médicale à mourir au Canada, l'Église Unie a écrit un mémoire. Moi, je ne l'ai pas apprécié, ce mémoire-là; non pas parce qu'il était mauvais, mais je trouvais qu'il ne soulevait peut-être pas les bonnes questions. Ce qui m'a déçu, c'est que nous sommes une Église. Donc, je pensais que les questions sur qu'est-ce que la vie, qu'est-ce que la mort, qu'est-ce que la vie au-delà de la mort, ça, en tant qu'Église, on a quelque chose à contribuer d'assez unique. Ça n'a pas été fait. J'ai manifesté ce désaccord-là avec certaines personnes. Je ne suis pas monté sur la place publique, déchiré ma chemise et dire que l'Église était conne. Mais je pense que j'ai trouvé moyen d'expliquer d'où venait mon désaccord. Je ne pense pas que j'ai manqué de loyauté en disant : « Je pense que vous avez, de mon point de vue, manqué votre cible ». Le cas de Protestinfo [Joan] Manquer sa cible, ça nous arrive assez souvent en Église. Et là, ces derniers temps, en Suisse romande, les Églises réformées romandes ont été un peu placées sous les feux des projecteurs, puisque ce qu'on appelait avant la conférence des Églises romandes, qui vient de changer de nom, finance normalement une agence de presse, qui s'appelait à ce moment-là Protestinfo. C'est intéressant parce que c'est beau que depuis 25 ans des Églises aient une agence de presse. Une agence de presse, ça signifie qu'on fait des articles sur des sujets, puis qu'après on peut les vendre à des journaux cantonaux, à différents titres qui existent déjà, Le Temps, 24 Heures et plein d'autres. C'est beau comme idée, comme philosophie, c'est ambitieux aussi. Ça veut dire que ce sont des articles qui doivent pouvoir intéresser le grand public. Donc forcément des articles dans lesquels il peut y avoir un regard critique, des questionnements. Comment se joue la loyauté envers l'Église dans ces cas-là ? C'est un petit peu de tout ça dont les gros titres ont beaucoup parlé ces derniers temps, parce qu'évidemment, dans le milieu de la presse, quand on licencie deux journalistes, les deux journalistes responsables de cette agence de presse, les collègues se demandent pourquoi. Il y a ces questions de liberté de la presse. Et d'un autre côté, il y a la question de la loyauté à l'Église. Est-ce que quand on est financé par l'Église, on peut faire les enquêtes, les investigations de la même façon que quand on est indépendant par rapport à cette Église? Est-ce qu'on peut faire le métier de journaliste de la même façon ou pas, sachant qu'il y a cette loyauté implicite et sachant aussi que c'est un petit milieu. Quand on va interroger A qui connaît B et qui est marié à C, (puis, je plaisante,) mais qui est peut-être divorcé de D, ce sont des investigations à haut risque. Alors, c'est vrai que ça nous a posé collectivement un peu toutes ces questions-là, celle de la loyauté à l'employeur ou au financeur, mais aussi de la loyauté à la liberté de la presse, de comment poser les questions, et puis cette notion de confiance qui rejoint la notion de la loyauté en fait. Il y a loyauté quand il y a confiance, et il y a confiance quand il y a loyauté aussi. À certains moments, on s'est posé tellement de questions mutuellement. Là je reviens à ma métaphore avec l'amour, même dans un couple, parfois on allait tellement loin dans l'interrogation mutuelle, dans la remise en question mutuelle, qu'il n'y avait plus beaucoup de charme, plus beaucoup de séduction, plus beaucoup de mystère aussi. Je suis allé peut-être assez loin dans ma métaphore, mais c'est vrai que ça m'a fait réfléchir à tout ça, ces événements autour de Protestinfo. Le fait quand même qu'on ait été largement, d'un seul coup, visibilisés pour ce qu'on aurait fait de mal, c'est-à-dire licenciés des journalistes. D'un seul coup, on avait une grande couverture médiatique autour de quelque chose qui était mal perçu. La loyauté sur les médias sociaux [Stéphane] Chez les francophones, en Amérique du Nord, il n'y a plus de médias religieux, ou il y en a quelques-uns, mais c'est assez anecdotique. L'Église Unie a une revue anglophone qui a une ligne éditoriale complètement indépendante, jusqu'au point où on a très peu de nouvelles sur notre Église. Ça amène à un autre genre d'enjeux. Mais je pourrais faire un lien, par exemple, avec ce qui se passe sur les médias sociaux. Lorsqu'on a un compte sur peu importe lequel des médias sociaux et qu'on est identifié comme un membre de l'Église, jusqu'où peut-on aller? Où doit-on s'arrêter? Dans le passé, il y a très longtemps, j'avais un compte sur Twitter, lorsque Twitter n'était pas un dépotoir à ciel ouvert. J'avais eu une mauvaise journée professionnellement, comme tout le monde qui nous écoute ont de mauvaises journées professionnellement, je suis sûr, et j'avais juste écrit un petit truc, aucun détail, genre, j'ai rencontré quelqu'un, ça n'a pas bien fonctionné, c'est vraiment désagréable, mais bon, demain il sera mieux. Et là, le conseil de paroisse s'en est mêlé. Ça ne donnait pas de belles images. Ce que j'ai décidé, c'est d'effacer toute référence à mon employeur sur mes médias sociaux. Je lui ai dit, je suis pasteur protestant, c'est tout. J'ai essayé de dire, ben, ça, c'est ma marque, c'est qui je suis, c'est ma saveur, et vous ne me payez pas suffisamment pour acheter ça. C'est correct, vous ne voulez pas être associés, mais je ne vais pas me censurer. Je ne pensais pas que je dénigrais l'Église. Je parlais de moi. J'ai eu une mauvaise journée, j'ai rencontré quelqu'un, ça n'a pas fonctionné. C'est tout. Mais il y a certaines personnes qui n'acceptent pas la critique, qui ont peur que s'il y a peut-être une critique, les gens vont utiliser ça contre nous au lieu de dire, ben, c'est juste une information, telle personne a fait telle chose, c'est un fait. Si je commence à dire, par exemple, telle personne, c'est un con, OK, là, c'est autre chose. Mais si je donne juste l'information, comme un journaliste peut juste donner de l'information, je ne pense pas qu'il y ait un problème de loyauté, de mon point de vue. Être loyal au message de Jésus [Joan] Les réseaux sociaux, c'est complexe parce que si on n'y était pas du tout, ce serait un vrai problème. Si on n'y est qu'institutionnellement, ça n'intéresse absolument personne. Moi, je me suis abonnée à la chaîne WhatsApp de l'Église Réformée Évangélique du canton de Vaud et je regarde ce qui s'y passe. C'est quand même assez intéressant. Par exemple, là, pendant le synode, on avait des petits résumés des échanges. Le compte rendu, le PV ne sera pas visible avant quelques jours, ce qui est normal. Les secrétaires ont d'autres choses à faire aussi. Donc, c'est sympa parce que tu te tiens un petit peu informé de ce qu'il est possible de communiquer immédiatement. Je ne sais pas combien on est, mais une fois de temps en autre, il y a quelqu'un qui met un like, c'est beaucoup, pour une Église qui couvre tout un canton. Alors que moi, je suis une simple pasteure, en plus encore suffragante. Et si je mets quelques infos, j'étais au salon du mariage et tout, j'ai plein de likes parce que les gens savent que c'est Joan qui fait son info. Tu vis des trucs, ça fait rigoler les gens, une pasteure qui partage les blagues de ses ados à la maison. Tout de suite, c'est plus personnel et moi je réponds aux gens à titre personnel quand ils posent des questions et ça permet après plein, plein, plein, plein, plein d'échanges personnels, comme tu le sais très bien. Et c'est ça souvent qui est sous-estimé finalement. En surface, on peut avoir l'air un petit peu ricaneur ou un petit peu déloyaux parce qu'on fait des petites remarques sur telle ou telle décision. Mais en fait, on sert énormément, mais dans un aspect qu'on ne voit pas, un aspect caché, en message personnel, en mail, en suivi de gens. On est là sur les réseaux sociaux tel qu'on est, avec nos aspérités. Les gens se reconnaissent dans ces aspérités, et c'est en ça qu'on est loyaux au message de Jésus. C'est-à-dire qu'on est nous-mêmes en pleine humanité. C'est vrai que ce n'est pas une communication institutionnelle, c'est une communication avec plus d'aspérité, avec plus de surface, avec des angles morts, avec parfois des trucs contradictoires, mais ça permet aux gens de se relier à nous et puis de nous écrire et de créer des liens. C'est ça qui me semble un petit peu échapper à celles et ceux qui viennent se brancher sur notre présence sur les réseaux sociaux ou bien dans le podcast ou bien pour des articles. Les gens sont comme nous et nous sommes comme les gens; c'est ça qui fait la beauté de cette visibilité en tant que ministre du culte. Contrôler le message au nom de la loyauté [Stéphane] Je pense qu'il y a un problème lorsqu'une institution comme une Église, ou plein d'autres, comme un gouvernement, une grande compagnie, tentent de contrôler ce qui se passe au nom de la loyauté. Je pense que c'est toujours un mauvais signe. Je pense que c'est un symptôme de quelque chose qui cloche quelque part, lorsqu'au nom de la loyauté on veut contrôler le message, ça tue l'initiative, la pensée divergente, l'innovation. Les personnes capables de pensée divergente sont capables de dire « ça c'est bien », mais si on regarde 15 degrés plus à gauche, on va peut-être voir quelque chose d'aussi bon ou quelque chose de mieux qu'on n'a jamais vu avant. C'est là qu'il y a un problème lorsqu'on essaie de contrôler. Je comprends que c'est une danse un peu difficile. Jusqu'où aller? Tout ne devrait pas être permis, je comprends ça. Mais comment trouver le juste équilibre pour que les gens puissent dire ce qu'ils, elles ou iels pensent, être honnête, suggérer de nouvelles choses, critiquer des choses qui ne devraient pas arriver parce que l'institution est faite d'êtres humains et que ce n'est pas parfait. Je pense que c'est là où le bât blesse. Lorsque l'institution essaie de se protéger, essaye de contrôler le message, ce n'est jamais bon. Importance de suivre son appel [Joan] Ça fait presque la quatrième Église dans laquelle je sers. J'y réfléchissais parce que quand je travaillais pour la mission à Madagascar, mon salaire et puis un certain nombre de mes droits ou bien de mes références étaient plutôt du côté de l'Église protestante unie de France. C'est marrant, parce que je n'ai jamais été agrégée à leur corps pastoral, mais bon, à ce moment-là, ils avaient fait ça pour simplifier un peu l'administratif. Après, j'ai fait mes différents stages de pasteur dans l'Union des Églises Protestantes d'Alsace-et-Lorraine, et j'y ai servi aussi bénévolement au sein de l'Antenne inclusive. Ensuite, je suis partie comme diacre à Zurich, parce que c'est ce que cherchait cette communauté. Ils avaient déjà un pasteur, ils cherchaient une diacre. Donc moi, je me suis faite au besoin de cette communauté et en plus à un tout autre système, en milieu germanophone, mais je servais en francophonie. Et là, maintenant, je suis dans l'Église Réformée Évangélique du canton de Vaud. Alors, est-ce que j'ai été déloyale à ma paroisse d'origine, qui était la paroisse fondée par Calvin à Strasbourg, mais ensuite vraiment à la confession dans laquelle je me suis sentie à l'aise, c'est-à-dire le luthéranisme alsacien? Est-ce que je suis déloyale à tout ça? En fait, non, parce que j'estime que j'ai été loyale à chacune de mes missions dans ces Églises. En tout premier lieu, j'étais loyale à ma vocation de servir l'Église du Christ. J'ai reçu vraiment cet appel à servir l'Église du Christ. Je n'ai pas reçu un appel à m'installer dans un lieu géographique, ce que je respecte tout à fait et qui est tout à fait possible aussi. Je n'ai pas reçu un appel à n'être que dans une sphère linguistique. Je suis carrément allée chez les germanophones, attention. J'ai reçu un appel et c'est à cet appel que je suis loyale. Et, comme je suis loyale à cet appel, après je m'inscris bien sûr dans le règlement ecclésiastique, dans ce qu'on attend de moi, et ce que je comprends aussi qu'on attend de moi. Je me dis finalement : j'ai l'impression que sous bien des aspects, Jésus a été assez déloyal, il a été très divergent par rapport aux attentes que pouvait avoir sa mère envers lui, que pouvait avoir la société envers lui. En quelque sorte, il a quitté le judaïsme. Il y a des avis un peu divergents ou même des avis divers sur cette question, quel était son lien au judaïsme? Est-ce qu'il est resté juif tout en étant le Messie, en incarnant le Christ? Tout ça, ce sont des discussions qui sont en cours et que je trouve passionnantes. Je ne suis pas très forte en christologie, donc j'accepte mes lacunes. Je me dis : l'exemple que m'a donné ou que nous a donné Jésus, c'est de quelqu'un qui garde une grande liberté intérieure, mais qui est vraiment loyal à ce à quoi il est appelé, c'est-à-dire marcher, aller avec sa petite bande, créer cet esprit de communauté et proposer une autre façon de fonctionner que d'une façon méga hyper patriarcale, méga hyper coutumière. C'est quelqu'un qui n'a pas grand-chose à faire des coutumes et qui propose à chacun de cultiver cette liberté intérieure. Et je suis loyale à ça. Je suis loyale là où est mon cœur, là est mon trésor, cette liberté des enfants de Dieu. Je trouve que ce n'est pas toujours facile à expliquer, parce que tout un chacun voudrait que nous autres, les ministres, nous soyons facilement lisibles. Voilà, tu es pasteur réformé à tel endroit. Hier, j'étais au salon du mariage, j'y étais pendant deux jours, et je disais aux gens, voilà, bonjour, je suis pasteure réformé, et les gens étaient tout contents. Par contre, chaque fois qu'il y avait de nouveaux bénévoles qui venaient sur le stand, et que je leur disais, voilà, bonjour, je suis pasteure réformé, je m'appelle Joan, ils me disaient : « vous êtes pasteur où ? » « Je suis pasteur dans le canton de Vaud. » « Mais où est votre paroisse? » « Ah, ma paroisse... Je n'ai pas de paroisse. » « Ah bon ? » « Ben non, j'ai des mandats, j'ai des mandats à différents endroits. Tout le canton de Vaud est ma paroisse. » Je voyais que ça les déstabilisait beaucoup. C'est un peu normal parce que pendant longtemps, les pasteurs étaient plus lisibles que maintenant. Maintenant on est probablement, à l'instar de toute la société, un peu plus fragmenté, un peu plus liquide et j'espère surtout libre dans notre vocation. Comprendre les motivations derrière les messages [Stéphane] Tu touches un tellement bon point dans le sens où on a tendance à imposer notre modèle aux autres. Moi, je considère que la loyauté est A-B-C. Donc, si tu ne fittes pas là-dedans, tu n'es pas loyal. Mais c'est beaucoup plus compliqué que ça, comme tu l'as dit. Tu étais loyale à ton appel, tu as été loyale à Dieu, tu étais loyale à l'Église universelle. Donc, toi, tu as suivi ce sens-là, mais les gens parfois, malheureusement, ont de la difficulté à accepter ça. Je veux que tu sois loyal selon mes règles, selon mes définitions. Il y a toujours de l'interprétation là-dedans. Et je pense que c'est ça le grand défi. C'est le grand défi de l'humanité, pourrais-je dire, d'essayer de voir le point de vue de l'autre et de comprendre ce qui le motive et d'essayer de voir ce qu'il y a derrière tel commentaire, tel article, telle prise de parole. Est-ce que la personne prend la défense des pauvres et des personnes négligées de sa communauté? Elle est loyale à sa communauté, mais peut-être que c'est en porte-à-faux avec la position officielle de l'Église nationale ou cantonale ou peu importe, mais il y a une loyauté à sa communauté. On ne peut pas dire vraiment que c'est n'importe quoi. Peut-être qu'on aurait aimé que ce soit différent, mais on peut quand même reconnaître que ces personnes-là ont pris position pour la communauté. Donc, je pense que c'est ça le grand défi dans des institutions, comme les Églises qui ont eu tendance à penser qu'elles parlaient au nom de la société, au nom du peuple, au nom de tout le monde. Si l'Église dit telle chose, c'est la vérité pour tout le monde. Je pense qu'il y a un travail des Églises à faire, des gens dans les Églises, de la hiérarchie jusque dans les bancs d'Église, de dire : ça, c'est notre opposition, c'est notre vérité, ce n'est pas la vérité pour tout le monde; de mieux gérer ces questions-là lorsqu'il y a des points de friction, lorsque c'est plus complexe, et de vivre dans cette tension-là au niveau de la loyauté. Conclusion [Joan] À la fin de cet épisode, je me rends compte qu'en fait, on peut avoir plusieurs conceptions de la loyauté et que certaines sont complémentaires, d'autres, par contre, peuvent sembler opposées. Alors je me demande pour nos auditeur et auditrices, c'est quoi la loyauté ? Est-ce que vous avez déjà senti un conflit de loyauté par rapport à, par exemple, votre religion ou bien votre Église d'origine ou bien d'autres éléments de votre vie, vos lectures de la Bible qui ont peut-être évolué, mais est-ce que du coup, vous vous êtes sentie déloyaux, déloyale ? Est-ce que vous voulez nous partager ça et est-ce que ça nous donnerait l'occasion d'avoir un temps d'échange avec vous ? Quelque chose à laquelle on aimerait que vous demeuriez loyal, c'est l'écoute de notre podcast! Écrivez-nous. On a des gens qui nous écrivent, qui nous posent des questions, mais aussi qui nous partagent des choses. Ça nous fait toujours plaisir. Contactez-nous, questiondecroire@gmail.com. Peu importe la plateforme que vous écoutez, laissez un commentaire, un message, un pouce en l'air. C'est toujours bon pour le référencement. On remercie aussi l'Église Unie du Canada qui est notre commanditaire, elle nous permet de diffuser ce podcast sur plusieurs plateformes ainsi que reforme.net qui relaie notre podcast. Alors, Joan, on se reparle bientôt. À tout bientôt, je serai loyal à notre rendez-vous. Merci, au revoir. Au revoir.
Dans cet épisode du format “Le Déclic”, Jenny Chammas, mastercoach certifiée et fondatrice de Coachappy, explore un thème essentiel pour les femmes leaders : comment le sentiment d'indispensabilité peut conduire à l'épuisement professionnel. À travers le parcours de Nadia, directrice d'un laboratoire hospitalier, nous découvrons comment une carrière brillante peut basculer lorsque le rush devient une norme et que le corps finit par dire stop. Cet épisode vous permet de comprendre les mécanismes profonds de l'épuisement professionnel et d'apprendre à identifier les signaux avant qu'ils ne deviennent critiques.Nadia est passionnée, engagée, performante. Mais elle vit à un rythme impossible : toujours en alerte, toujours sollicitée, toujours disponible. Chaque urgence lui procure une dose d'adrénaline. Chaque problème résolu nourrit son besoin d'être “l'indispensable”. Avec le temps, ce fonctionnement devient une véritable addiction au rush. Derrière cette apparente performance se cachent surcharge mentale, stress chronique et perte progressive de sens. L'épuisement professionnel s'installe lorsque la tête continue d'avancer alors que le corps, lui, tente d'alerter depuis longtemps.Ce que vous saurez faire après écoute :– Identifier vos propres cercles vicieux de charge mentale et de surengagement.– Comprendre comment le stress chronique modifie votre rapport au travail et fragilise votre leadership féminin.– Repérer les premiers signes du burn-out avant qu'ils ne s'intensifient.– Réévaluer votre manière de travailler pour ralentir et retrouver une forme durable de performance.– Construire des espaces protégés dans votre agenda pour restaurer votre énergie et votre bien-être au travail.Jenny vous accompagne dans les coulisses d'une vraie séance de coaching pour montrer comment de petites actions simples – déléguer, refuser des réunions, protéger des plages de réflexion stratégique, réintroduire du repos – peuvent transformer votre manière de diriger. L'objectif n'est pas de faire moins, mais de faire mieux : avec discernement, énergie et clarté. Pour Nadia, la prise de conscience est progressive mais puissante : sa valeur ne réside pas dans sa disponibilité permanente, mais dans sa capacité à choisir, prioriser et respirer.Cet épisode est un soutien précieux si vous vous sentez submergée, indispensable ou proche d'un état d'épuisement professionnel. Il vous offre un chemin pour sortir du pilotage automatique, restaurer votre clarté mentale et renouer avec un leadership plus aligné et plus humain.Pour aller plus loin, découvrez le programme Sensées, conçu pour aider les femmes leaders à sortir du surmenage et à construire un leadership durable. Cliquez ici pour en savoir plus.****Rejoignez la newsletter Sensées : elle vous donne accès à un concentré de coaching, d'inspiration et à un workshop offert chaque mois. Inscrivez-vous gratuitement en cliquant ici. Tout comme sur le podcast Sensées, on y parle de leadership, d'ambition, de confiance en soi, de motivation, de carrière, d'outils de développement personnel, de management, de prise de poste, de prise de parole, et. : bref, de tout ce qui concerne le quotidien des femmes ambitieuses.***Sensées, c'est aussi un programme de coaching pour les femmes dirigeantes, top managers et entrepreneures. Au sein du programme Sensées, vous êtes accompagnée en petit groupe ET en individuel dans votre croissance professionnelle. Vous êtes aussi formée et mentorée pour incarner pleinement votre leadership, avec les maîtres mots sérénité, plaisir, hauteur et impact. Intéressée ? Cliquez ici pour en savoir plus.**Notre guide "10 leviers essentiels pour les décideuses" est un véritable concentré d'outils de coaching et de mentoring, les mêmes que nous utilisons dans le programme Sensées. Il est conçu pour toutes les directrices, dirigeantes et entrepreneures qui sont fatiguées de porter seules les responsabilités. Si vous avez l'impression que votre quotidien vous échappe petit à petit, ce guide est fait pour vous. Cliquez ici pour obtenir votre exemplaire offert !*Vous représentez une entreprise et souhaitez développer le leadership de vos talents féminins ? : cliquez ici.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Vers 45 ans, de nombreuses femmes remarquent une transformation subtile mais tenace de leur silhouette : la graisse semble se déplacer et s'accumuler au niveau du ventre. Ce phénomène, souvent source de frustration, n'est pourtant pas une question de volonté ou d'alimentation excessive. Il s'agit avant tout d'un changement hormonal profond, lié à la ménopause et à la transition qui la précède, la périménopause.Jusqu'à la quarantaine, les œstrogènes – hormones féminines majeures – jouent un rôle protecteur contre l'accumulation de graisses abdominales. Ils favorisent plutôt le stockage des graisses sur les hanches, les cuisses et les fesses, ce qu'on appelle la répartition gynoïde. Mais à l'approche de la ménopause, la production d'œstrogènes chute brutalement. En réponse, l'organisme modifie son mode de stockage : les graisses se logent désormais dans la région abdominale, autour des organes internes. Ce type de graisse, dite viscérale, n'est pas seulement esthétique : elle est aussi métaboliquement active et peut influencer la santé cardiovasculaire et métabolique.En parallèle, d'autres facteurs s'ajoutent. Le métabolisme de base ralentit naturellement avec l'âge, c'est-à-dire que le corps brûle moins de calories au repos. Une femme de 45 ans dépense souvent 200 à 300 calories de moins par jour qu'à 25 ans, simplement à cause d'une baisse de la masse musculaire. Si l'alimentation et l'activité physique ne changent pas, cette différence se traduit progressivement par une prise de poids.Le stress et le sommeil perturbé, fréquents à cette période de la vie, aggravent le phénomène. Le cortisol, hormone du stress, favorise lui aussi le stockage des graisses abdominales. De plus, certaines femmes dorment moins bien ou moins longtemps, ce qui dérègle la production de leptine et de ghréline — les hormones qui contrôlent la faim et la satiété. Résultat : on mange un peu plus, on bouge un peu moins, et la ceinture abdominale s'épaissit.La bonne nouvelle, c'est que cette évolution n'est pas une fatalité. Une activité physique régulière, notamment combinant cardio et renforcement musculaire, aide à maintenir la masse maigre et à réguler les hormones. Une alimentation riche en fibres, protéines et bonnes graisses limite aussi le stockage.En résumé, le ventre qui s'arrondit autour de 45 ans n'est pas un signe de laisser-aller, mais le reflet d'une profonde adaptation hormonale. Comprendre ce mécanisme, c'est déjà reprendre le contrôle de son corps. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Le référencement vit un tournant décisif. Pour la première fois, les moteurs de recherche traditionnels comme Google cohabitent avec des modèles génératifs capables de produire des réponses rédigées, contextualisées et parfois interprétées. Cette évolution majeure donne naissance à une nouvelle discipline, le G.E.O – Generative Engine Optimization, qui interroge profondément la manière dont les marques gèrent leur visibilité en ligne.Dans cet épisode, j'ai le plaisir de recevoir Olivier Job, PDG et cofondateur de Foxglove Partner, agence spécialisée dans le SEO et pionnière dans l'accompagnement GEO des entreprises. Avec lui, nous prenons le temps de démystifier ce sujet encore nouveau, souvent mal compris, parfois source d'inquiétudes, mais surtout au cœur des usages actuels.Olivier explique pourquoi les modèles génératifs ne remplacent pas le SEO, mais s'y ajoutent, et comment les fondamentaux du référencement naturel — technique, contenu, autorité — représentent déjà 80 % du travail nécessaire pour être visible dans les réponses produites par les IA. Il revient sur les mutations d'usage, l'explosion des requêtes longues, la manière dont les LLM décomposent une question en sous-questions, et l'importance pour les marques de structurer leur contenu autour des intentions réelles des utilisateurs.On parle aussi d'autorité, des signaux que les moteurs génératifs considèrent prioritaires, du rôle des citations, de l'éventuelle émergence d'une publicité GEO, et de la façon dont les marques peuvent surveiller et corriger la manière dont elles sont interprétées par les IA.La dernière partie ouvre une perspective plus large : celle d'un search désormais fragmenté, où Google, ChatGPT, Perplexity, TikTok, Instagram ou encore les assistants vocaux forment un écosystème éclaté. Dans ce paysage nouveau, la capacité à produire un contenu clair, structuré et légitime devient un avantage déterminant.L'épisode suit trois temps forts :1, Comprendre ce qu'est réellement le GEO, et en quoi il prolonge plus qu'il ne bouleverse le SEO2, Identifier les stratégies concrètes pour préparer son site à cette nouvelle forme de référencement3, Anticiper la fragmentation du search et les défis de visibilité, de protection et de performance qui en découlentUn épisode essentiel pour tous les acteurs du retail et de l'e-commerce qui veulent comprendre comment rester visibles à l'heure où les moteurs de réponse redessinent les parcours de recherche.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cet épisode, on revient sur une tendance qui envahit les réseaux : les boissons électrolytes. Présentées comme des solutions miracles pour “booster” l'hydratation, elles se déclinent en poudres, sticks, canettes et se glissent désormais dans toutes les gourdes. Mais sont-elles vraiment nécessaires au quotidien ?On explore d'abord leur rôle réel : ces boissons contiennent des minéraux essentiels qui régulent l'équilibre hydrique du corps. Problème : elles ont été conçues pour des situations très spécifiques, comme l'effort prolongé ou les fortes chaleurs. Pour une journée classique ou un petit footing, l'eau reste largement suffisante. On revient aussi sur les recommandations sportives qui rappellent que ces boissons ne deviennent pertinentes qu'après une heure d'effort intense.On explique ensuite pourquoi leur usage quotidien s'est imposé : la tendance du “hydration hack”. Pourtant, sans perte d'électrolytes, on ajoute surtout du sodium – parfois beaucoup – et parfois du sucre. Certaines boissons se rapprochent même d'un soda léger. On évoque aussi la différence entre solutions médicales de réhydratation et boissons “lifestyle”, souvent confondues à tort.Enfin, on partage des repères simples pour bien s'hydrater : eau, tisanes, fruits, légumes, écoute de la soif, et eaux minérales adaptées après le sport. En clair : les électrolytes sont utiles dans des cas précis, pas en routine. Une mise au point pour consommer intelligemment, sans céder aux effets de mode.
Dans cet épisode, je vous présente l'étude exploratoire et comparative que je mène actuellement sur les consultations psychologiques réalisées en extérieur — couramment appelées Outdoor Therapy. Cette approche consiste à réaliser des séances hors du cadre habituel du cabinet, en marchant ou en s'asseyant dans un espace naturel ou semi-naturel (parc, forêt, jardin, sentier urbain arboré…).Si elle est bien développée dans certains pays anglo-saxons, elle reste encore très peu étudiée en francophonie. Pourquoi cette étude ? L'objectif est de mieux comprendre : les représentations, attentes et besoins autour de cette pratique, les freins perçus et les conditions de faisabilité, les enjeux éthiques, cliniques et organisationnels, et les différences éventuelles entre le point de vue du grand public et celui des professionnels de la psychologie. Les deux questionnaires en cours
Et si notre vision moderne de l'atome n'existait pas ? Si les électrons, les couches d'énergie, ou même la mécanique quantique n'avaient jamais été formulés ainsi ? Derrière les grandes théories du XXe siècle se trouve une figure majeure mais parfois méconnue : Niels Bohr. C'est lui qui, en 1913, propose un modèle révolutionnaire de l'atome — avec des électrons en orbites quantifiées — capable d'expliquer enfin les spectres lumineux, là où la physique classique échouait. Une idée qui ouvre la voie à toute la physique quantique moderne.Mais Bohr ne s'est pas arrêté là. Au cœur de l'institut de Copenhague qu'il fonde, il invente une nouvelle façon de faire de la science : collective, dialoguée, ouverte aux désaccords. Il élabore le principe de complémentarité, s'oppose à Einstein dans des débats historiques, et participe à la naissance de l'interprétation de Copenhague. Sa vision, à la fois rigoureuse et philosophique, redéfinit les règles du jeu en physique : l'observation devient inséparable de la théorie, le langage classique ne suffit plus, et l'incertitude n'est plus un défaut, mais une propriété fondamentale.Enfin, Bohr traverse le XXe siècle en acteur engagé. Lors des guerres mondiales, il prend position, protège des réfugiés scientifiques, rejoint le projet Manhattan à contrecœur, puis plaide pour une gouvernance mondiale de l'énergie nucléaire. Toute sa vie, il aura cherché à faire de la science non pas une simple quête de vérité, mais un outil de responsabilité. Comprendre l'atome, pour lui, c'était aussi comprendre notre place dans l'univers — et notre devoir face aux choix qu'impose cette connaissance.
*Leçon n°283 : Comment RÉUSSIR ses accords METS ET VINS : comprendre les interactions de saveurs* : --------------------------------------- Pourquoi certains accords mets-vins fonctionnent à merveille… …tandis que d'autres tombent complètement à plat ? Vous connaissez sans doute la fameuse règle des intensités (un plat puissant = un vin puissant). Mais saviez-vous qu'il existe des lois gustatives réelles, issues de la physiologie du goût, qui expliquent pourquoi un vin peut sembler plus doux, plus acide ou plus amer selon ce que vous mangez ? Dans cette leçon, je vous dévoile les mécanismes scientifiques qui se cachent derrière nos sensations : Comment vos papilles s'adaptent au sucre, Pourquoi un met acide peut rendre un vin « plat », Et comment l'amertume peut tout déséquilibrer si on ne la maîtrise pas. Grâce à cette approche simple et scientifique, vous comprendrez enfin comment les saveurs interagissent entre elles… et comment construire des accords mets-vins harmonieux, précis et mémorables. *Suivez-moi sur les Réseaux Sociaux* : ---------------------------------------- Suivez-moi sur Instagram : https://www.instagram.com/yann_rousselin_lecoam/ Rejoignez-moi sur Facebook : https://www.facebook.com/LeCOAM Découvrez mes vidéos sur TikTok : https://www.tiktok.com/@yannrousselin.lecoam *Pour Aller Plus Loin* ---------------------------------------- Formez-vous au vin sur http://www.lecoam.eu Rejoignez le 1er Club à distance pour vivre sa passion du vin : https://club-du-degustateur.com/ Retrouvez tous mes articles et podcasts ici : https://www.le-vin-pas-a-pas.com/
Nos chiens ressentent tout — nos joies, nos peurs, nos tensions. Dans cet épisode, nous explorons comment nos émotions influencent directement le comportement et le bien-être de nos compagnons à quatre pattes. Comprendre cette connexion émotionnelle, c'est mieux communiquer, apaiser et renforcer la relation unique qui nous unit à eux.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Sur le podcast cette semaine, je reçois la physiothérapeute Mary-Lee Blanchette pour parler du traitement aux aiguilles sèches chez les coureurs. Elle prend le temps de nous expliquer les bienfaits de cette technique, les différences avec les techniques de thérapie habituelles en physio et dans quel contexte il peut être intéressant d’avoir ce genre de traitement pour les coureurs. ** Je suis désolée pour la qualité du son de cet épisode. J’ai eu des petits enjeux de technologie, mais je ne voulais pas vous priver des informations super pertinentes de Mary-Lee ! Voici le lien pour le blogue de Axel Sesser : CLIQUE ICI ! Pour suivre Mary-Lee, voici les informations : – Page Facebook. N’hésite pas à partager l’épisode sur les réseaux sociaux. Un énorme merci et bonne écoute ! Voici un message que Mary-Lee souhaitait que je vous partage : Bonjour, Je reviens de ma formation d’aiguilles avancée et puis je veux faire une mise à jour concernant les clientèles particulières avec lesquelles nous sommes maintenant autorisée à pratiquer la PPAS tout en prenant des précautions au lieu que ce soit contre-indiqué, voici pourquoi. À ce jour, aucune littérature scientifique peut démontrer que les punctures en physiothérapie sont contre-indiquées pour la femme enceinte et l’enfant, par contre, les précautions suivantes sont à considérer et comme professionnel, nous ne pouvons pas plus avancé qu’il n’existe aucun risque, étant donné la nature invasive de la PPAS (puncture physiothérapique à l’aiguille sèche). Le jugement clinique et la sécurité sont primordiales pour toute intervention. La femme enceinte (ou potentiellement enceinte): Un consentement libre et éclairé de la patiente et l’explication des risques et bénéfices est à faire comme tout autre patient. Au 2e et 3e trimestre c’est possible d’utiliser la PPAS pour une grossesse sans complication ou risque. Il faut vérifier l’état de santé globale au préalable. Éviter le 1er trimestre en raison du risque de fausse couche qui pourrait être faussement attribuée de façon erronée au traitement à la PPAS. En fait, les risques de fausses sont déjà assez augmentés au 1er trimestre avec plusieurs causes confondues et parfois inexplicables, nous voulons donc nous abstenir que la patiente puisse penser que c’est lié à l’utilisation de la PPAS. Au 3e trimestre, les risques immunitaires sont augmentés nous allons alors utiliser plus de mesures prophylactiques lors de l’asepsie. Nous allons utiliser une dose sensorielle faible, une intensité des manipulations faible ainsi que limité le nombre de ponctuer et leur profondeur. Il faut également éviter les points d’Acupuncture à forte réactivités systémiques, et qui, dans l’historique d’acupuncture, peuvent nuèrent à la grossesse. Nous allons également éviter les points à la région sacrée, lombaire et abdominale. Maintenant pour les enfants âgés de moins de 14 ans : Éduquer et valider la compréhension totale de l’enfant dans le choix d’utiliser la PPAS. Obtenir le consentement libre et éclairé du parent ainsi que de l’enfant. L’immaturité et le développement motiva-affectif de l’enfant peut altérer sa perception de la PPAS par rapport à la population adulte, nous n’avons pas le même référentiel et expérience en termes de douleurs vécues. Communication et expression de l’enfant peuvent être limitées selon son âge, sa compétence ou son vocabulaire à pouvoir décrire ses sensations. Nous devons également adapter chaque protocole au gabarit (aux proportions) de l’enfant dans le choix de nos longueurs d’aiguilles et la profondeur des punctures. Les mesures et les repères anatomiques dans le cours ne s’appliquent pas à l’enfant notamment au niveau du rachis ou il y a une plus grande variabilité anatomique par rapport à celui de l’adulte. Il faut également comme physiothérapeute, adapter l’intensité ainsi que la dose de la manipulation. Bref on veut contribuer aux expériences positives de l’enfant vécu par rapport aux aiguilles. Dans notre culture, ce n’est pas quelque chose dont nous sommes fervents généralement comparativement aux populations orientales. Si vous avez des questions plus précises à ce propos, n’hésitez pas à me contacter pour plus de justifications au 581-997-1412. Au plaisir! Mary-Lee Blanchette, MSc. Pht
Invité :Emmanuel Baudin, Secrétaire général FO JusticeDébatteurs :Thomas Bonnet, journaliste politique CNews Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ils représentent à eux deux l'érudition, le génie scientifique. L'amour entre Marie et Pierre Curie est indissociable de leur attachement à la science et à la recherche. Pour eux, aimer, c'est comprendre. Comprendre le monde qui nous entoure et contribuer, ensemble, à sa progression. Un podcast Bababam Originals Ecriture et voix : Alice Deroide Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
On reparle fintech aujourd'hui, tu sais que c'est l'une des mes marottes
Aujourd'hui, Laura Warton Martinez, sophrologue, Abel Boyi, éducateur et président de l'association "Tous Uniques Tous Unis", et Yves Camdeborde, restaurateur, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Pour devenir Ambassadeur du bonheur et m'aider à propulser le lancement de mon nouveau livre sur Amazon. Inscrivez-vous !Changer n'est pas une affaire de volonté, c'est surtout une histoire de compréhension. Entre résistance du cerveau, croyances limitantes et peur de l'inconnu, le vrai changement demande du temps, de la douceur et de la lucidité. Inspiré par James Clear et Robert Kegan, cet épisode explore comment passer du vœu pieux à la transformation réelle, pas à pas, avec bienveillance.**********Retrouvez le texte de l'épisode sur notre blog.En vous abonnant sur Itunes pour recevoir les notifications et en nous laissant un avis, vous nous envoyez des bulles de bonheur !En suivant notre actu sur FB @2minutesdebonheur et sur insta @2minutesdebonheur, vous profiterez gratuitement de pleins de trucs, d'astuces et de mises en pratique liés au podcast de la semaine.Inscrivez-vous à la newsletter, vous serez ainsi notifié de nos nouveaux épisodes et vous recevrez un bon de réduction de 5% sur notre site.Et surtout, partagez nos épisodes à tous ceux qui veulent prendre le temps d'être heureux !Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Nicolas Framont est sociologue engagé et auteur du percutant Saint Luigi, un ouvrage aussi provocateur que nécessaire.Dans cet épisode, nous discutons ensemble d'un fait divers que vous avez forcément vu passer : Luigi Mangione, accusé d'avoir assassiné de sang-froid le CEO de United Healthcare, est pourtant célébré comme un héros sur les réseaux sociaux. Pourquoi une telle admiration pour un homme soupçonné de meurtre ? Que cela dit-il de notre société en particulier aux U.S. ? Pourquoi, dans un monde où l'on vénère la réussite financière, un tel renversement des rôles suscite-t-il autant d'adhésion populaire ?Avec Nicolas, nous avons décortiqué cette affaire pour aller bien au-delà du fait divers. Dans la lignée des épisodes avec Antoine Foucher sur l'impossibité structurelle de s'enrichir. par son travail en France mais aussi celui avec Caroline Miguel Aguirre sur le scandale de l'argent public, nous avons abordé les dysfonctionnements profonds du neo liberallsme, le sentiment d'injustice sociale, le rôle des grandes entreprises, mais aussi la manière dont le système politique et médiatique amplifie ces déséquilibres.J'ai aussi voulu comprendre avec lui la place des classes sociales aujourd'hui, ce qu'il appelle la "sous-bourgeoisie", et pourquoi tant de décisions prises "en col blanc" peuvent générer une violence invisible, mais bien réelle.Cet échange va, je pense, profondément vous questionner sur notre monde, sur le rôle des élites, sur les logiques économiques dans lesquelles nous sommes pris… et sur ce qu'on peut, ou doit, en faire.Cinq citations marquantes :« Il y a des gens qui donnent la mort par PowerPoint. »« Ce n'est pas une critique morale, c'est une critique systémique. »« On a basculé d'un État-providence pour les gens à un État-providence pour les riches. »« Le capitalisme ne fait plus rêver. »« On célèbre des assassins parce qu'ils symbolisent une révolte contre l'ordre établi. »10 questions structurées posées :Pourquoi avoir choisi d'écrire sur Luigi Mangione et d'en faire une icône ?Que dit la popularité de cet homme accusé de meurtre sur notre société ?Le problème est-il l'individu (Brian Thompson) ou le système dans lequel il évolue ?Peut-on encore parler de responsabilité individuelle dans un système si hiérarchisé ?Comment expliques-tu qu'on célèbre un assassin et qu'on continue de voter pour Trump ?La France est-elle réellement un pays aussi "social" qu'on le prétend ?Peut-on vraiment imaginer une société sans classe dominante ?Est-ce que toi aussi, à leur place, tu aurais agi pareil ?Quelles sont les alternatives concrètes au capitalisme ?Comment rendre les rapports de pouvoir plus éphémères ou égalitaires ? Timestamps clés00:00 - Introduction au podcast et au cas Luigi Mangione02:00 - Pourquoi Nicolas Framont parle de "Saint Luigi"04:00 - Que dit cette affaire du capitalisme américain ?08:00 - Décisions "de bureau" et conséquences humaines12:00 - La hiérarchie invisible dans le système capitaliste16:00 - Classe dominante vs classe d'exécutants21:00 - Peut-on vraiment supprimer les dominations ?26:00 - Vote, contradictions et réalités politiques33:00 - Le vote, entre affect et déconnexion idéologique38:00 - La France est-elle encore un pays social ?44:00 - Le capitalisme coûte-t-il plus qu'il ne rapporte ?47:00 - Quelles alternatives concrètes au capitalisme ? Suggestion d'autres épisodes à écouter : #281 Comprendre l'effondrement des classes moyennes et populaires avec Esther Duflo (https://audmns.com/WthucwC) #351 Pourquoi ne peut-on plus s'en sortir en travaillant? (partie 1) avec Antoine Foucher (https://audmns.com/chQnSYy) #364 Qui profite vraiment de l'argent public? Partie 1 - avec Caroline Michel-Aguirre (https://audmns.com/TgCnWkc)Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Si vous souhaitez écouter les épisodes recommandés, voici les liens:1/ Pourquoi la statue d'un champion grec fut-elle jugée pour meurtre ?Apple Podcast:https://podcasts.apple.com/fr/podcast/pourquoi-la-statue-dun-champion-grec-fut-elle-jug%C3%A9e/id1408994486?i=1000736941021Spotify:https://open.spotify.com/episode/3GuacQak6LzJVZbugCtu3J?si=ee7d042efbc84c442/ Pourquoi les TV ultra HD se servent-elles strictement à rien ? Apple Podcast:https://podcasts.apple.com/fr/podcast/pourquoi-les-tv-ultra-haute-d%C3%A9finition-se-servent-elles/id1057845085?i=1000736245174Spotify:https://open.spotify.com/episode/1zxI7BtQrk6BdFc7lvaPqp?si=K4dxEGIKQ_uvdb9Uy8Vpfw3/ Comment un simple shampoing peut-il provoquer un AVC ?Apple Podcast:https://podcasts.apple.com/us/podcast/comment-un-shampoing-peut-il-provoquer-un-avc/id1062748833?i=1000736245201Spotify:https://open.spotify.com/episode/71hlGzr9VD1qvSnADFLfA2?si=7XgEI1sjSK6eN7KF9IHblQ---------------Un pistolet et un revolver sont deux types d'armes de poing, c'est-à-dire des armes à feu conçues pour être tenues et utilisées d'une seule main. À première vue, ils se ressemblent. Pourtant, leur fonctionnement et leur conception diffèrent profondément. Comprendre cette différence, c'est plonger dans l'histoire de l'évolution des armes à feu.Le revolver apparaît au XIXe siècle. Son nom vient du mot anglais to revolve, “tourner”, car son principe repose sur un barillet rotatif. Ce barillet contient plusieurs chambres, chacune accueillant une cartouche. À chaque pression sur la détente, le barillet tourne pour aligner une nouvelle cartouche avec le canon, prête à être tirée.Ce mécanisme ingénieux, popularisé par Samuel Colt dès les années 1830, a fait du revolver une arme fiable, simple et robuste. Son principal avantage : il peut rester chargé longtemps sans risque d'enrayement, ce qui le rend très apprécié pour sa fiabilité. En revanche, sa capacité est limitée, souvent à six coups, et le rechargement est lent, car il faut insérer chaque cartouche une à une.Le pistolet, lui, fonctionne différemment. Il ne possède pas de barillet, mais un chargeur — un boîtier inséré dans la crosse — contenant plusieurs munitions. Lorsqu'un tir est effectué, une partie de l'énergie du coup sert à éjecter la douille vide et à introduire automatiquement la cartouche suivante dans la chambre. Ce système semi-automatique, perfectionné au XXe siècle, permet de tirer plus rapidement et de recharger plus vite. C'est pour cela que les pistolets modernes sont aujourd'hui préférés par les forces de l'ordre et les armées.... Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dans cet épisode de Sensées, Jenny Chammas, mastercoach certifiée et fondatrice de Coachappy, reçoit Cloé Brami, oncologue médicale, docteure en psychologie et fondatrice de Mû Médecine, la première école de santé intégrative en France dédiée aux professionnels de santé. Ensemble, elles explorent une question essentielle : comment entreprendre et prendre soin des autres sans s'oublier soi-même ?À travers cette conversation intime et sincère, deux femmes passionnées par l'humain croisent leurs regards sur la manière de créer, de diriger et de contribuer depuis le cœur. Entre médecine intégrative, coaching et leadership féminin, elles partagent une vision commune : celle d'un monde professionnel plus conscient, plus ancré, et plus respectueux de la santé mentale et du corps.Ce que vous saurez faire après écoute :– Comprendre comment entreprendre au service des autres tout en respectant votre écologie intérieure.– Identifier les signes d'épuisement liés au don de soi et apprendre à poser des limites.– Réconcilier tête, cœur et corps pour incarner un leadership plus humain et durable.– Explorer la relation entre soin, argent et valeur, et dépasser les croyances limitantes autour de la rémunération dans les métiers du care.– Découvrir comment les pratiques de pleine conscience, de méditation ou de yoga peuvent nourrir votre équilibre et votre impact.Cloé Brami partage son parcours de médecin, chercheuse et entrepreneure, et Jenny Chammas celui de coach et mentor pour les femmes leaders. Ensemble, elles invitent à repenser notre rapport au travail, à la réussite et au soin, dans une société où la performance laisse souvent peu de place à la lenteur et à la sensibilité.Un épisode inspirant pour toutes celles qui veulent œuvrer depuis l'amour, conjuguer impact et bien-être, et faire rimer engagement avec douceur.Pour découvrir le travail de Cloé Brami : https://www.mumedecine.orgPour en savoir plus sur les accompagnements de Coachappy : https://jennychammas.com****Rejoignez la newsletter Sensées : elle vous donne accès à un concentré de coaching, d'inspiration et à un workshop offert chaque mois. Inscrivez-vous gratuitement en cliquant ici. Tout comme sur le podcast Sensées, on y parle de leadership, d'ambition, de confiance en soi, de motivation, de carrière, d'outils de développement personnel, de management, de prise de poste, de prise de parole, et. : bref, de tout ce qui concerne le quotidien des femmes ambitieuses.***Sensées, c'est aussi un programme de coaching pour les femmes dirigeantes, top managers et entrepreneures. Au sein du programme Sensées, vous êtes accompagnée en petit groupe ET en individuel dans votre croissance professionnelle. Vous êtes aussi formée et mentorée pour incarner pleinement votre leadership, avec les maîtres mots sérénité, plaisir, hauteur et impact. Intéressée ? Cliquez ici pour en savoir plus.**Notre guide "10 leviers essentiels pour les décideuses" est un véritable concentré d'outils de coaching et de mentoring, les mêmes que nous utilisons dans le programme Sensées. Il est conçu pour toutes les directrices, dirigeantes et entrepreneures qui sont fatiguées de porter seules les responsabilités. Si vous avez l'impression que votre quotidien vous échappe petit à petit, ce guide est fait pour vous. Cliquez ici pour obtenir votre exemplaire offert !*Vous représentez une entreprise et souhaitez développer le leadership de vos talents féminins ? : cliquez ici.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les émotions sont partout au boulot, mais on nous dit souvent qu'elles n'ont pas leur place en entreprise. Pourtant, apprendre à bien les gérer peut transformer notre quotidien professionnel ! Dans le dernier épisode de Happy Work, je vous donne des outils pour tirer profit de chaque émotion. Voici un aperçu :1️⃣ Identifiez-les ! ✏️ Chaque émotion a un impact, qu'elle soit positive ou négative. Un café sympa avec un collègue peut vous booster, tandis qu'une remarque déplacée peut vous bloquer. Savoir reconnaître ces émotions, c'est la première étape.2️⃣ Repérez les déclencheurs
Vous le savez, je parle souvent de bienveillance. J'en ai même fait un concept avec le management bienveillant et j'ai écrit un livre sur le sujet : Les 10 commandements de la bienveillance en entreprise. Pourtant, il y a des situations où rester bienveillant semble impossible. Par exemple :Un collègue qui vous vole une idée.Une personne qui est tout sauf agréable avec vous.Alors, comment rester bienveillant face à cela ?
Quelle recomposition pour le Proche-Orient ? Le 7 octobre 2023, le massacre de 1 200 Israéliens par des commandos du Hamas venus de Gaza plongeait l'État hébreu dans la stupeur et la colère... Les représailles furent immédiates. Un déluge de feu s'est abattu sur la bande de Gaza, prélude à une effroyable guerre qui a fait jusqu'à présent plus de 68 000 morts palestiniens, dont au moins 18 000 enfants, et transformé les trois-quarts du territoire en champ de ruines. Depuis deux ans, cette guerre cristallise les passions et bouscule un Proche-Orient forgé, il y a un siècle, par les diplomaties européennes, après la disparition de l'Empire ottoman… C'est dans cette histoire tourmentée que nous plonge Ziad Majed dans son dernier livre «Le Proche-Orient, miroir du monde. Comprendre le basculement en cours» qui vient de paraître aux éditions La Découverte. Invité : Ziad Majed, professeur à l'Université américaine de Paris, directeur du programme des études du Moyen-Orient.
Le SEO entre dans une nouvelle ère. L'arrivée de ChatGPT, de Perplexity et du Search Generative Experience de Google bouleverse nos repères : la recherche devient conversationnelle, les clics disparaissent, les IA reformulent nos contenus. Alors, comment rester visible quand les moteurs répondent à la place des sites ?Dans cet épisode, nous décryptons le nouveau visage du référencement naturel et les leviers à activer pour exister dans les moteurs de confiance.Dans cet épisode, vous apprendrez1/ Comprendre la révolution de la recherche conversationnellePourquoi les internautes ne cherchent plus, mais dialoguent.Comment les IA conversationnelles redéfinissent la notion de visibilité.Les nouveaux acteurs : Google SGE, ChatGPT, Perplexity, Gemini.2/ Le SEO n'est pas mort, il se transformeLes nouveaux signaux de visibilité : expertise, autorité, fiabilité.Comment rendre un contenu “conversationnel-ready”.Pourquoi la clarté et la crédibilité comptent plus que les mots-clés.3/ Repenser sa stratégie de visibilitéDevenir la source que les IA citent : construire une réputation d'expertise.Le futur du SEO : vers un moteur de confiance.Comment bâtir une visibilité durable fondée sur la cohérence et la valeur.---------------
Lors d'une conférence, j'ai demandé à la salle :« Qui parmi vous a été formé à la psychologie du travail ? » Sur une centaine de managers, deux mains se sont levées. Deux.Et pourtant, tous géraient des équipes, des personnalités, des émotions, des tensions… chaque jour.C'est de là qu'est née la question de cet épisode de Happy Work :
"La confiance en soi, ce n'est pas quelque chose qu'on acquiert une fois pour toutes : c'est fragile, mouvant, et ça se travaille au quotidien."Et si éduquer un enfant aujourd'hui, à l'âge où se forgent les plus grandes transformations, était un défi aussi exaltant que complexe ? Dans cet épisode spécial, découvrez 3 enjeux majeurs pour les parents d'enfants de 7 à 11 ans : l'amitié, les écrans et la confiance en soi.Autour de la table, cinq intervenants d'univers complémentaires : Claire Mainguy , orthophoniste et maman, Aurélie Callet, psychologue clinicienne, chroniqueuse, Pierre Lauriou, créateur des kits éducatifs Ikiro, Bruno Bourget, grand-père engagé et ancien chef d'établissement, ainsi que Amélia Matar, entrepreneure éducation et numérique.Cet épisode a été rendu possible grâce au soutien d'Ikiro, 6 kits éducatifs pour les enfants de 7/11 ans pour leur développement personnel et relationnel. Merci à eux pour leur engagement envers l'enfance !Cet épisode vous permettra de :✅ Comprendre la différence essentielle entre estime de soi et confiance en soi✅ Découvrir pourquoi tenter, oser, et accepter l'échec sont les véritables moteurs de l'autonomie et de la confiance✅ Mettre en place des règles saines autour des écrans✅ Favoriser l'ouverture sociale et la richesse de l'amitié, tout en aidant votre enfant à poser ses propres limites.Les sujets abordés :(07:39) Accompagner l'autonomie et la confiance en soi chez son enfant(09:56) Les erreurs fréquentes des parents(13:44) L'échec, source d'apprentissage : changer notre regard à l'école et à la maison(14:46) Oser, essayer, se dépasser : pourquoi l'action précède la confiance(17:30) Le sens de l'effort : anecdotes et stratégies parentales(22:57) L'amitié comme espace de liberté et de construction sociale(20:33) Soutenir le lien social, même en étant introverti ou timide(35:46) Les écrans : poser des limites sans conflit, les risques et outils pour toute la famille(49:19) Présentation des kits Ikiro et témoignages sur leur impact familialRessources :Kits éducatifs Ikiro https://ikiro.fr/ / IG : @kits_ikiroLivre : "Les écrans, ça s'apprend" d'Amelia Matar (Éditions Vuibert) CCabinet Kidz & Family d'Aurélie Callet / IG : @kidzetfamily
J'ai rarement eu une conversation aussi bouleversante...Un épisode à part. Cette semaine dans PAUSE, j'ai reçu un prêtre. Pas un homme coupé du monde, pas une figure hors du temps.Un homme d'aujourd'hui, avec ses doutes, ses failles, ses convictions.Le Père Barthélémy a choisi Dieu à 18 ans.Il aurait pu devenir acteur, officier ou avocat. Il a préféré consacrer sa vie aux autres.Mais son histoire ne s'arrête pas à la foi.Après avoir traversé une crise intérieure, il a décidé d'étudier la psychologie pour comprendre les mécanismes d'abus au sein de l'Église.Comprendre les victimes. Comprendre les bourreaux. Comprendre le système.Dans cet épisode, il parle sans détour de ses doutes, de la honte, du silence de l'institution, mais aussi de ce qui sauve : la lumière, la rencontre, la vérité.Ce n'est pas un échange religieux.C'est une conversation profondément humaine.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:40:11 - L'Invité(e) des Matins - par : Guillaume Erner, Yoann Duval - Huit millions d'écoutes mensuelles, 6,5 milliards de vues par an font de Guillaume Pley le premier intervieweur de France. Sur sa chaîne YouTube Legend, il reçoit aussi bien Nicolas Sarkozy que des platistes convaincus. Quels sont les ressorts de ce phénomène médiatique ? - réalisation : Félicie Faugère - invités : Guillaume Pley Fondateur et animateur du média Legend; Gérald Bronner Professeur de sociologie à Sorbonne Université
Est ce que c'est vraiment mieux ailleurs ? Je reviens d'un voyage au Japon, qu'on m'avait vendu comme parfait, respectueux, exotique. Mitigée, je partage avec vous dans cet épisode la différence entre ce que j'ai perçu et ce qu'on m'avait raconté, mais également, ce mirage collectif qui nous fait fantasmer “l'ailleurs” : le pays plus spirituel, plus doux, plus vrai, plus authentique, plus respectueux etc.Je partage ce que j'ai observé au Japon, et à Bali où je vis :l'herbe n'est jamais plus verte ailleurs. Écoute cet épisode pour :Comprendre comment nuancer nos observations de pays et cultures qu'on ne connait pas bien.Apprendre comment je visiterais le Japon si c'était à refaire.Voir les mécanismes d'aveuglement derrière les “pays spirituels, exotiques, respectueux, bienveillants” ou “plus simples”.Se rappeler que ce n'est pas toujours mieux ailleurs et regarder chez soi !
Cet épisode est un extrait de l'épisode 265 – Comprendre le refus scolaire et l'anxiété – Marie Gallé-Tessonneau, psychologueMarie Gallé-Tessonneau nous explique ce qu'est le trouble anxieux en détail. Voici le programme de l'épisode complet : Définitions et terminologie (04:42 – 05:51)Manifestations cliniques et diagnostic (06:58 – 10:26)Métaphore de l'iceberg et troubles sous-jacents (14:50 – 17:02)Complexité du milieu scolaire (21:34 – 23:41)Évolution démographique et sociétale (19:25 – 36:32)Déclencheurs et facteurs de starter (40:13 – 42:24)Trio gagnant et approche thérapeutique (43:30 – 49:19)Processus de rétablissement (52:39 – 55:58)Recommandations pour l'accompagnement parental (01:06:48 – 01:10:26)Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans un monde où plus personne ne s'écoute, elle bâtit des ponts.Étudiante en médecine, journaliste au Proche-Orient, et finalement rabbin, Delphine Horvilleur multiplie les vies.Dans sa famille, c'est devenu une blague : "Alors, qu'est-ce que tu vas devenir ensuite ?"Mais derrière ce parcours atypique, Delphine travaille depuis plus de vingt ans à réintroduire le dialogue là où il n'y a plus que du bruit.Elle parle d'un judaïsme ouvert, "libéral", de la nécessité d'écouter l'autre, et de cette liberté intérieure qu'on ne trouve qu'en acceptant de ne pas tout comprendre.Dans cet épisode passionnant, rassurant, nous avons parlé sans détour de :Être l'une des seules femmes rabbins en FrancePourquoi nous n'arrivons plus à nous parler, même dans nos propres famillesComment accompagner la mort au quotidienL'antisémitisme aujourd'huiDelphine ne cherche pas à convaincre, mais à comprendre.Un épisode essentiel pour quiconque cherche à comprendre notre époque et retrouver le goût du discernement sans s'enfermer dans une lecture binaire du monde.TIMELINE:00:00:00 : Laisser la place au doute00:09:48 : Quand la nuance devient un risque00:20:13 : La vérité est-elle encore possible ?00:32:43 : Le pouvoir caché des mots00:43:12 : Dire merde à la mort00:50:53 : Faire son deuil, une expression qui ne veut rien dire01:01:18 : La religion avait-elle prédit l'intelligence artificielle ?01:15:20 : Ce que l'IA ne saura jamais faire : oublier01:23:00 : Les mots ont toujours un double fond01:31:33 : Nous aurons tous plusieurs vies01:40:56 : Juifs & Israéliens : pourquoi l'amalgame est-il si fréquent ?01:49:51 : La haine la plus vieille du monde02:08:54 : Quels leaders la jeunesse écoute-elle ?02:18:08 : Comprendre ce qui se trouve entre les lignes02:27:12 : La forme la plus rare d'intelligence02:36:20 : Le courage commence par le discernementLes anciens épisodes de GDIY mentionnés : #497 - Grégoire Gambatto - Ctrl+G - Dissoudre ses peurs, faire les choix difficiles et vivre son plein potentiel#476 - Yannick Alléno - Chef, Groupe Alléno - Du bistrot à l'empire gastronomique aux 17 étoiles#450 - Karim Beguir - InstaDeep - L'IA Générale ? C'est pour 2025#261 - Caroline Vigneaux - Humoriste et réalisatrice - Changer de vie : passer de la plaidoirie au stand-up#181 - Olivier Goy - La vie, la maladie, le dépassement : memento moriNous avons parlé de :Sermon prononcé par Delphine Horvilleur le soir de Yom KippourLe TalmudL'assassinat d'Yitzhak Rabin en 1995Les accords d'OsloL'émouvant hommage de Luis Enrique à sa défunte filleAttentat devant une synagogue à ManchesterLes recommandations de lecture :Le TalmudVivre avec nos morts : Petit traité de consolation - Delphine HorvilleurBelle du Seigneur - Albert CohenÔ vous, frères humains - Albert CohenComment ça va pas ? - Delphine HorvilleurLa vie devant soi - Émile Ajar / Romain GaryUn grand MERCI à nos sponsors : SquareSpace : squarespace.com/doitQonto: https://qonto.com/r/2i7tk9 Brevo: brevo.com/doit eToro: https://bit.ly/3GTSh0k Payfit: payfit.com Club Med : clubmed.frCuure : https://cuure.com/product-onelyVous souhaitez sponsoriser Génération Do It Yourself ou nous proposer un partenariat ?Contactez mon label Orso Media via ce formulaire.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.