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C dans l'air l'invitée du 18 septembre 2025 avec Dominique de Villepin, ancien Premier ministreEmmanuel Macron a prévu d'annoncer la reconnaissance officielle de l'État de Palestine par la France devant l'Assemblée générale des Nations Unies, lundi 22 septembre. Le chef de l'Etat mise sur cet événement diplomatique de grande envergure pour donner un nouvel élan au processus de paix au Proche-Orient.Si la décision française ne dépend d'aucune instance internationale, ni d'un mécanisme législatif particulier, comme d'un vote du Parlement, elle procède néanmoins d'un effort diplomatique plus large, conjointement mené avec l'Arabie saoudite. Un texte a été rédigé, désormais connu comme la « Déclaration de New York », et constitue une feuille de route vers un retour de la paix dans la région. Ce document prévoit « un règlement juste, pacifique et durable du conflit israélo-palestinien, fondé sur la mise en œuvre effective de la solution à deux États ». La « Déclaration de New York » exclut également le Hamas des démarches diplomatiques et politiques, insistant sur la nécessité de désarmer le mouvement islamiste qui contrôle la bande de Gaza depuis 2006, et qui a perpétré les attaques terroristes du 7 octobre 2023 contre Israël. À ce jour, 148 pays membres sur 193 reconnaissent l'Etat palestinien. Avec la France et le Royaume-Uni, ce sont désormais quatre des cinq membres permanents du Conseil de sécurité des Nations unies – l'organe exécutif de l'ONU -, qui valideront cette reconnaissance, la Chine et la Russie l'ayant fait dès la fin des années 1980.Dominique de Villepin, ancien Premier ministre et ancien ministre français de l'Intérieur et des Affaires étrangères, est notre invité. Il nous donnera son analyse sur le choix de la France de reconnaître un Etat palestinien lundi prochain. Il répondra aussi à nos questions sur l'actualité sociale en France, alors que des manifestations et grèves sont en cours partout en France aujourd'hui.
Dans cette édition :Les agresseurs de policiers doivent être sévèrement punis, selon le secrétaire général du ministère de l'Intérieur, alors que des policiers se mobilisent pour dénoncer la remise en liberté de suspects.La France deviendra lundi le premier pays du G7 à reconnaître un État palestinien, une décision qui vise à isoler le Hamas selon le président Macron.Les syndicats lancent un ultimatum au Premier ministre Sébastien Lecornu pour obtenir des réponses à leurs revendications, après une mobilisation de près de 500 000 personnes contre les mesures budgétaires.Un nouveau migrant a été expulsé du Royaume-Uni vers la France dans le cadre de l'accord migratoire conclu cet été entre les deux pays.Emmanuel Macron inaugure les deux tours de Notre-Dame de Paris, qui seront accessibles au public dès demain.Le mercure va grimper jusqu'à 35 degrés dans le sud-ouest, avant le retour de la pluie dimanche qui fera chuter les températures.Thierry Léger donne ses pronostics pour le quinté de ce soir à Vincennes.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
« La rue interpelle Lecornu », titre Libération, pour qui « la participation massive à la grève, ce jeudi, démontre le pouvoir d'organisation des syndicats ». « La mobilisation est réussie, elle est importante et populaire, poursuit le quotidien français, le principal message est clair, il exprime une forte volonté de justice et d'égalité ». Le Parisien, de son côté, remarque que l'intersyndicale « a réussi à mobiliser beaucoup plus de monde que le mouvement "Bloquons Tout", la semaine dernière ». « Mais après la chute du gouvernement Bayrou, avec des revendications éparses et dans l'attente du projet de budget, les syndicats tâtonnent. Ils devraient annoncer ce vendredi une nouvelle date de mobilisation », ajoute le quotidien. Le Figaro, de son côté, estime que « la mobilisation a été moins forte qu'attendu par le ministère de l'Intérieur qui avait déployé 80 000 policiers et gendarmes sur tout le territoire ». Le Monde, lui, a rencontré des « manifestants entre colère et désillusion ». À l'étranger, la journée de mobilisation en France ne fait pas les gros titres, mais en Allemagne, die Welt a retenu que « les manifestants avaient envahi la cour du ministère de l'Économie » et « qu'ils voulaient faire pression sur le premier ministre Sébastien Lecornu ». Ère de censure À la une également, la suspension de l'émission de Jimmy Kimmel, aux États-Unis. Le sujet intéresse la presse américaine, mais aussi la presse européenne. L'animateur de fin de soirée, a été sanctionné pour avoir tenu des propos ironiques sur la réaction de Donald Trump, après l'assassinat de l'influenceur et militant d'extrême droite Charlie Kirk, la semaine dernière. L'émission de Jimmy Kimmel a été suspendue par la chaîne qui la diffusait : ABC, « dont la maison mère est Disney » rappelle le Wall Street Journal, qui fait part de son inquiétude : « les propriétaires des médias sont confrontés à une dynamique politique et commerciale complexe sous l'administration Trump », explique le quotidien américain, qui prend pour exemple « la somme de 15 millions de dollars qu' ABC a accepté de payer l'année dernière, pour régler un procès en diffamation intenté par Trump contre la chaîne ». De son côté, le Washington Post titre sans ambiguïté : « La suspension de Jimmy Kimmel fait craindre une nouvelle ère de censure ». À Bruxelles, le Soir voit dans l'éviction de Jimmy Kimmel, « un nouvel exemple de la pression exercée par Donald Trump sur les voix critiques ». Enfin, à Madrid, El País estime que la décision de suspendre Jimmy Kimmel, s'ajoute à une « politique visant à faire taire les critiques de la presse, cibler les journalistes, et persécuter les organisations de gauche. » Faire appel à l'armée Donald Trump, qui par ailleurs, était reçu hier à Londres, en grande pompe, ce qui ne l'a pas empêché de critiquer sévèrement la politique des Britanniques en matière d'immigration. Et comme souvent, Donald Trump n'a pas été avare de conseils, suggérant au Premier ministre Keir Starmer de « faire appel à l'armée pour contrôler ses frontières ». Et même si la situation des États-Unis et celle du Royaume-Uni n'ont pas grand-chose à voir, le président américain n'a pas hésité à les comparer, rapporte le Guardian, Donald Trump « estimant que leur situation était très proche » : « des gens arrivent, et j'ai dit au Premier ministre que j'arrêterais ça, peu importe si on doit faire appel à l'armée ». « L'immigration détruit les pays de l'intérieur », a même ajouté Donald Trump. Après son départ, ajoute le Times, Trump aurait déclaré aux journalistes à bord d'Air Force One, « qu'il avait demandé à ce que Sadiq Khan, le maire de Londres, ne soit invité, à aucun évènement lors de sa visite d'État au Royaume-Uni ». Parce que c'est, selon lui, « l'un des plus mauvais maires du monde » et que « la criminalité est très élevée à Londres ». Le Times rappelle toutefois que le président américain et le maire de la capitale britannique « se sont à plusieurs reprises opposés publiquement, et cela, dès le premier mandat de Donald Trump ».
Alors que le gouvernement prépare le budget 2026, le débat s'enflamme déjà : Éric Coquerel (LFI) assure qu'il ressemblera « très fortement » à celui de François Bayrou. Réduction de l'effort budgétaire, fiscalité des plus hauts revenus, compromis avec la gauche… Quelle marge de manœuvre reste-t-il au nouveau Premier Ministre, Sébastien Lecornu ? On en parle dans "On va pas se fâcher" avec Olivier Babeau, président de l'institut Sapiens, essayiste et professeur à l'université de Bordeaux, et Cyprien Boganda, journaliste et chef adjoint de la rubrique éco-social à l'Humanité. Ecorama 19 septembre 2025, présenté par David Jacquot sur Boursorama.com Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
C dans l'air du 18 septembre 2025 - Manifestations : ce que demandent les Français« D'ores et déjà un succès ». Sophie Binet, la secrétaire nationale de la CGT, s'est félicité aujourd'hui de l'ampleur de la mobilisation contre les mesures budgétaires. Le niveau est en effet comparable aux manifestations contre la réforme des retraites de 2023. Plusieurs centaines de milliers de personnes étaient attendues aujourd'hui dans les rues par les autorités. Dans les cortèges, les pancartes insistent sur une vie chère et un travail qui ne paie plus. Mais c'est aussi la figure d'Emmanuel Macron qui est directement visée, avec des appels à la démission.Plusieurs dizaines d'interpellations ont toutefois eu lieu. Les mises en garde de Bruno Retailleau, le ministre de l'Intérieur, s'étaient multipliées ces jours derniers. Les policiers mobilisés en nombre (80.000 sur tout le territoire) seraient « intraitables » en cas de casse ou de violence. Des déclarations comparées à « de l'huile sur le feu » par les oppositions de gauche et la CGT.Pendant ce temps, le spectacle actuel donné par la politique française désole certains élus. Harold Huwart, député LIOT d'Eure-et-Loir, se dit « consterné et préoccupé » par l'obnubilation de certains partis pour 2027. Il réfléchit à quitter l'Assemblée nationale pour se consacrer aux municipales. Dubitatif sur la nomination de Lecornu, il attend de connaître sa proposition de budget avant de se prononcer sur une censure.Dans ce contexte, les Français font entendre leur colère à travers des pétitions. Après celle contre la loi Duplomb qui, pour la première fois dans l'histoire parlementaire, fera l'objet d'un examen en commission des affaires économiques, c'est celle de Philippe de Villiers qui semble avoir du succès. Celle-ci exige un référendum sur l'immigration et revendique le million de signatures. Mais la réalité de ce chiffre pose question, le site hébergeant ce texte ne vérifie ni l'identité ni l'adresse mail des signataires.Alors, que retenir de la mobilisation intersyndicale ? Comment expliquer le désamour de certains députés pour le Palais Bourbon ? Pourquoi les pétitions rencontrent-elles autant de succès ?LES EXPERTS :- Christophe BARBIER - Éditorialiste politique Conseiller de la rédaction à Franc-Tireur- Fanny GUINOCHET - Éditorialiste économique à Franceinfo- Audrey GOUTARD - Grand reporter à France Télévisions- Gilles DANSART - Directeur de la rédaction de Mobilettre
France experiences new strikes as major unions oppose planned budget cuts by newly appointed prime minister Sébastien Lecornu. We discuss how the unrest threatens president Emmanuel Macron’s reform agenda. See omnystudio.com/listener for privacy information.
Dans cette édition :La France fait face à une journée de grève nationale avec de nombreux blocages et tensions dans les rues, mobilisant 80 000 policiers et gendarmes pour assurer l'ordre public.Le ministre de l'Intérieur Bruno Retailleau appelle à la fermeté face aux blocages et exige des sanctions plus sévères après la remise en liberté sous contrôle judiciaire des agresseurs d'un policier à Tourcoing.Les manifestations rassemblent près d'un million de personnes avec des revendications diverses autour du pouvoir d'achat et de la justice fiscale, notamment la proposition de la "taxe Zucman" sur les grandes fortunes.Le président Emmanuel Macron reste silencieux face à cette mobilisation sociale, laissant le nouveau Premier ministre Sébastien Lecornu gérer la situation.Le chef de l'État prépare parallèlement sa prochaine intervention à l'Assemblée générale de l'ONU où il devrait reconnaître l'État de Palestine, une décision contestée par une partie de l'opinion.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Il a déjà posé ses conditions à la non-censure du futur gouvernement de Sébastien Lecornu : abandon du doublement de la franchise médicale, taxation des plus riches et abrogation de la réforme des retraites, notamment. A-t-il été entendu lors de son rendez-vous à Matignon dans le cadre des consultations menées par le Premier ministre ? Le patron du PCF Fabien Roussel, qui appelle à manifester en masse ce jeudi, est l'invité de RTL Matin. Ecoutez L'invité RTL de 7h40 avec Thomas Sotto du 18 septembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Des centaines de milliers de personnes dans les rues... Après le mouvement "Bloquons tout" la semaine passée, les syndicats reprennent la main avec une journée de mobilisation ce jeudi 18 septembre. Dans cet épisode du "Choix info RTL", nous vous racontons comment ils mettent déjà la pression sur le nouveau Premier ministre Sébastien Lecornu.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce mouvement a été lancé pour cibler un premier ministre qui a démissionné, François Bayrou, et pour dénoncer un plan d'économie, évidemment rebaptisé « plan de rigueur », qui à ce jour n'existe pas ; et dont la mesure la plus symbolique et la plus contestée, la suppression de deux jours fériés, a d'ores et déjà été abandonnée Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
A Quinta República foi desenhada por De Gaulle para ser estável, mas o esgarçamento das prerrogativas presidenciais por Macron ajudou a pôr o país num ciclo contínuo de crise. Thomás Zicman de Barros, analista político Em meio à convulsão social e à crise política que têm marcado a França, vale tomar recuo. É fácil perder o foco nas intrigas palacianas, nas disputas no Parlamento, nos cálculos eleitorais e no jogo de culpas sobre quem acendeu o estopim de confrontos entre polícia e manifestantes. Quando afastamos a câmera, no entanto, a imagem fica nítida: Emmanuel Macron tem grande responsabilidade na instabilidade de um regime desenhado para ser estável. Como adiantei há duas semanas, na segunda-feira, 8 de setembro, a Assembleia Nacional derrubou o então primeiro-ministro François Bayrou: a confiança no governo foi rejeitada por 364 votos a 194. No dia seguinte, sem surpreender ninguém, Macron nomeou Sébastien Lecornu — um de seus aliados mais próximos — para o cargo. Ainda assim, a cena é espantosa: Lecornu é o quinto primeiro-ministro desde a reeleição de Macron, em 2022. Sim, o quinto — depois de Élisabeth Borne, Gabriel Attal, Michel Barnier e o próprio Bayrou. E os quatro últimos se revezaram só no último ano. Por que isso chama a atenção? Porque a Quinta República foi desenhada por Charles de Gaulle para estabilizar a política francesa, marcada, no pós-guerra, por crises sucessivas. O arranjo institucional levou ao limite o poder presidencial. Antes de chegar ao Palácio do Élysée, François Mitterrand descreveu esse desenho como um “golpe de Estado permanente”, por permitir que presidentes carismáticos tutelassem o Parlamento e contornassem o Legislativo por meio de referendos. Em 2000, a redução do mandato presidencial para cinco anos e a sincronização do calendário com as legislativas reforçaram ainda mais a estabilidade, praticamente eliminando a coabitação — quando o presidente perde a maioria e precisa nomear um primeiro-ministro da oposição. À luz disso, a crise quase permanente dos últimos anos salta aos olhos. É verdade que a turbulência é global. Mas Macron tem contribuído para agravá-la. Desde 2017, ele usa mal a poderosa caixa de ferramentas do presidencialismo francês — a ponto de desgastá-la. Seus predecessores, mesmo fortes, procuravam exercer prerrogativas dialogando com as forças sociais e políticas, os chamados “corpos intermediários”. Macron, jovem, ousado e estreante que por um capricho da história chegou ao topo, escolheu a via oposta. Chegou a descrever os franceses como “gauleses refratários à mudança”, dependentes do Estado, e defendia transformar o país numa “start-up nation” de cima para baixo — o que implicava pouco ou nenhum diálogo com sindicatos, prefeitos e partidos. Esse voluntarismo sem lastro levou à crise dos Gilets jaunes (Coletes amarelos), que incendiou o país entre o fim de 2018 e o início de 2019. Em 2022, veio a façanha: garantir a própria reeleição e, ao mesmo tempo, perder a maioria parlamentar — algo que poucos julgavam possível. Em 2024, ao tentar reverter o quadro com uma dissolução surpresa da Assembleia, reduziu ainda mais a bancada presidencial e agravou a crise de legitimidade. Ao longo de todo esse período, Macron — que em 2019 chegou a evocar De Gaulle para sustentar que um presidente sem apoio popular deveria renunciar, como o próprio fez em 1969 após perder um referendo — recusou-se a mudar de rumo. Preferiu explorar uma Assembleia fragmentada para fazer avançar políticas sem apoio majoritário. O resultado está à vista: em vez de “virar a página” da extrema direita, como havia prometido, os anos de Macron no poder assistiram à normalização e ao fortalecimento desse campo. Enquanto isso, a insatisfação que não encontra saída no Parlamento transborda novamente para as ruas. Lecornu tomou posse em 9 de setembro, na véspera do primeiro ato do movimento “Bloquons tout” (“Vamos bloquear tudo”). E, nesta quinta, 18 de setembro, está previsto o segundo momento da mobilização social, com as principais centrais convocando uma greve nacional. Em resumo: Macron conseguiu pôr uma República desenhada para a estabilidade no centro de um redemoinho. E não importa quantos primeiros-ministros se sucedam: a crise não se resolverá sem conversa, compromisso, concessões — e uma mudança de rumo capaz de reconstruir maiorias populares.
W najnowszej „Kronice Paryskiej” Piotr Witt mówił o zmianie premiera Francji i kłopotach finansowych państwa, a także o wydarzeniach w Kościele i dyskusji po procesji LGBT+ w Rzymie.Piotr Witt rozpoczął najnowszą „Kronikę Paryską” na początku felietonu odnotował komentarze po nominacji nowego premiera Sébastiena Lecornu oraz przywołał głosy o trudnej sytuacji finansowej Banku Francji. Główną część swojego felietonu poświęcił jednak wydarzeniom w Kościele katolickim. Mówił o procesji LGBT+ w Bazylice św. Piotra, o błogosławieństwie papieża Leona XIV dla par homoseksualnych oraz o wcześniejszych gestach papieża Franciszka. Zestawił te wydarzenia z postawą Jana Pawła II, przypominając, jak polski papież potępiał World Pride w Rzymie w roku 2000 i jak bywał atakowany przez media za konserwatyzm.Witt wrócił także do sylwetki nowego premiera Francji – katolika i obrońcy tradycyjnych wartości – stawiając pytanie, jak odniesie się on do przemian zachodzących w Kościele. Przywołał również reakcje biskupa Athanasiusa Schneidera, który wezwał papieża do potępienia incydentu i aktu reparacji.
C dans l'air du 17 septembre 2025 - Neuf jours après sa nomination à Matignon, Sébastien Lecornu poursuit ce mercredi ses consultations. Il a notamment reçu ce matin les représentants du Parti socialiste, à la veille d'une journée de mobilisation qui s'annonce massive. Pour la première fois depuis 2023, les organisations syndicales ont appelé à manifester dans tous les secteurs contre les mesures d'austérité du budget présenté cet été, et que le nouveau Premier ministre n'a pas encore écartées.Plus de 250 manifestations ont déjà été déclarées en France pour ce jeudi 18 septembre. Des perturbations importantes sont annoncées dans les transports, à l'école, dans les services publics, dans le secteur de la santé — avec la fermeture de très nombreuses pharmacies —, mais aussi dans le secteur de l'énergie. Des grèves et des barrages filtrants sont prévus, touchant les sites de stockage de gaz, les terminaux méthaniers, ainsi que les centrales nucléaires et hydrauliques.Au cœur des mots d'ordre — tout comme lors de la journée « Bloquons tout » du 10 septembre —, des revendications très concrètes autour des salaires, du pouvoir d'achat, de la justice sociale et fiscale, avec notamment la mise en œuvre de la taxe Zucman, une mesure qui s'est imposée dans le débat politique sur le budget 2026.Portée par la gauche et notamment les socialistes, cette mesure, qui prévoit la création d'une taxe de 2 % sur les patrimoines supérieurs à 100 millions d'euros, enflamme les discussions politiques depuis la rentrée, et semble désormais soutenue par une majorité de Français. Ainsi, selon un sondage Ifop pour Le Parisien, commandé par le PS, 86 % des sondés y sont aujourd'hui favorables, dont 92 % des sympathisants Renaissance et 89 % des sympathisants LR.Le Premier ministre a cependant déjà fermé la porte à cette taxe, tout en reconnaissant qu'il se posait « des questions de justice fiscale ».Un sentiment d'injustice et de ras-le-bol fiscal qui est de plus en plus exprimé dans les cortèges et sur les réseaux sociaux par des Français, souvent issus des classes moyennes. Nos journalistes sont allés à leur rencontre pour leur donner la parole.Ils ont également interviewé Jean-Claude Trichet, l'ancien président de la Banque centrale européenne et ancien gouverneur de la Banque de France. Au micro de C dans l'air, il alerte sur la situation gravissime de nos finances publiques et la nécessité d'agir, vite.LES EXPERTS :- JÉRÔME JAFFRÉ - Politologue - Chercheur associé au CEVIPOF- GAËLLE MACKE - Directrice déléguée de la rédaction - Challenges - BRIGITTE BOUCHER - Journaliste politique - Franceinfo TV- JEAN-LAURENT CASSELY - Journaliste et essayiste, co-auteur de La France sous nos yeux
Elogio del silenzio Sébastien Lecornu, nuovo primo ministro della Francia In Albania, armi nuove contro la corruzione Il futuro dell'impero Armani Scoperto in Argentina un dipinto sottratto dai nazisti
Aujourd'hui, Fatima Aït Bounoua, prof de français, Antoine Diers, consultant auprès des entreprises, et Bruno Poncet, cheminot, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Aujourd'hui, Fatima Aït Bounoua, prof de français, Antoine Diers, consultant auprès des entreprises, et Bruno Poncet, cheminot, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Au menu de la deuxième heure des GG du mercredi 17 septembre 2025 : "Lynchage de policiers à Reims et Tourcoing : nouveau fléau ?", "Lecornu, 25 jours pour sauver sa peau : mission impossible ?", et "La taxe Zucman, un "truc de communiste" : d'accord ou pas ?" ; avec Fatima Aït Bounoua, prof de français, Antoine Diers, consultant auprès des entreprises, et Bruno Poncet, cheminot.
A 10h, ce mercredi 17 septembre 2025, les GG : Fatima Aït Bounoua, prof de français, Antoine Diers, consultant auprès des entreprises, et Bruno Poncet, cheminot, débattent de : Lecornu, 25 jours pour sauver sa peau, mission impossible ?
Ce mercredi 17 septembre, les pistes de Sébastien Lecornu pour faire adopter le budget 2026 aux forces de gauche, qui s'annoncent dangereusement décalées de la réalité économique, ont été abordées par Guillaume Dard, président de Montpensier Arbevel, Emmanuel Combe, professeur à l'université Paris 1 Panthéon-Sorbonne et à la Skema Business School, et Gilbert Cette, professeur d'économie à la Neoma Business School, auteur de "Travailleur, (mais) pauvre", dans l'émission Les Experts, présentée par Raphaël Legendre sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Alexandre de Moraes, el juez que ha hecho historia en el juicio a Bolsonaro ¿Puede haber una guerra entre Estados Unidos y Venezuela? Los escándalos tumban a Milei en su primer test electoral Lecornu toma el relevo de Bayrou en medio del caos político en Francia Albania nombra ministra a Diella, una mujer generada por IA
Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :Plus de 250 cortèges sont prévus dans toute la France avec entre 800 000 et 1 million de participants pour protester contre la politique budgétaire du gouvernement.Le trafic sera très perturbé dans les transports en commun en région parisienne, avec notamment des perturbations importantes sur les lignes de RER D et E ainsi que la fermeture de certaines lignes de bus.Le trafic ferroviaire sera également impacté avec 90% des TGV qui circuleront et seulement un train sur deux sur les lignes intercités, tandis que trois TER sur cinq circuleront en région.Dans l'éducation, un tiers des professeurs des écoles seront en grève et les pharmaciens appellent à une journée de fermeture pour protester contre la baisse du prix des médicaments.Le Premier ministre Sébastien Lecornu poursuit ses consultations avec les partis politiques, notamment le Rassemblement National qui réclame des mesures comme la suppression de l'impôt sur la fortune immobilière.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :Le maire de Barcelone refuse d'accueillir l'équipe cycliste israélienne Premier Tech pour le départ du Tour de France, remettant en question le lieu du grand départ prévu dans la ville catalane.Des actes d'antisémitisme sont signalés à l'université Panthéon-Sorbonne, avec des étudiants exclus d'un groupe de discussion en raison de leur nom à consonance juive.Le nouveau Premier ministre Sébastien Lecornu envisage des hausses d'impôts ciblées sur les plus hauts revenus afin de boucler son budget.Les autorités anticipent une forte mobilisation, avec près de 800 000 manifestants attendus dans toute la France pour la prochaine journée de grève, avec des craintes de débordements.La pétition pour un référendum sur l'immigration de Philippe Devilliers a recueilli près d'un million et demi de signatures.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :Des milliers de migrants en provenance d'Érythrée, de Somalie et de Syrie affluent dans les bus publics de la région de Dunkerque pour tenter la traversée de la Manche vers l'Angleterre, saturant les transports et perturbant la scolarité des élèves.Le Premier ministre Sébastien Lecornu reçoit les principales formations politiques d'opposition, dont le Parti socialiste, pour tenter de trouver un accord sur la politique migratoire et la réforme des retraites.Une nouvelle journée de mobilisation contre la réforme des retraites s'annonce massive sur tout le territoire, avec des perturbations attendues dans les transports.Le maire de Barcelone refuse d'accueillir l'équipe cycliste israélienne Premier Tech lors du prochain Tour de France, suscitant une nouvelle polémique autour d'Israël alors qu'Emmanuel Macron doit reconnaître l'État de Palestine.Malgré une cascade de blessures, le Paris Saint-Germain affronte ce soir Bergame en Ligue des champions, sans son attaquant star Ousmane Dembélé.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :L'accord migratoire franco-britannique entre en application avec l'arrivée du premier migrant renvoyé par le Royaume-Uni, la France proposant une aide au retour volontaire aux migrants.Les villes de Gravelines et Grande-Synthe font face à un afflux de migrants, saturant les transports en commun et perturbant la scolarité des élèves.La pétition de Philippe de Villiers pour un référendum sur l'immigration recueille près d'un million et demi de signatures.Israël annonce l'ouverture d'une nouvelle route de passage temporaire pour l'évacuation des habitants de la ville de Gaza, la France condamnant cette "campagne destructrice".Le laboratoire pharmaceutique britannique GSK va investir 30 milliards de dollars sur 5 ans aux États-Unis suite à un contrat avec Donald Trump.La France s'apprête à vivre une journée de grève massive jeudi avec des perturbations dans les transports et l'éducation, avec la crainte de la présence de black blocs violents.Le nouveau Premier ministre Sébastien Lecornu prépare son budget, les Républicains étant prêts à accepter des hausses d'impôts ciblées sur les plus riches.Le PSG affronte Bergame en Ligue des champions, privé de plusieurs joueurs blessés dont Ousmane Dembélé, favori pour le prochain Ballon d'Or.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Geoffroy Lejeune, journaliste du JDD - Laetitia Guinand, journaliste politique - Gauthier Le Bret, journaliste politique - Guillaume Perrault, journaliste - André Vallini, avocat et ancien ministre - Michel Auboin, ancien préfet Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :900 000 manifestants attendus dans toute la France pour une journée de grève et de mobilisation contre l'austérité budgétaire, avec de fortes perturbations prévues dans les transports, les écoles et les services publics.Inquiétude et colère de la communauté juive de France face à la décision du président Macron de reconnaître l'État de Palestine, alors que 78% des Français s'y opposent, et face à la recrudescence de l'antisémitisme, notamment à l'université de la Sorbonne.Rencontre entre le Premier ministre Sébastien Lecornu et les représentants du Rassemblement National, qui restent sceptiques sur les "ruptures" promises.Retour du Paris Saint-Germain en Ligue des Champions, avec un match contre l'Atalanta Bergame.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Bonjour tout le monde et bienvenue pour un nouvel épisode des “Indiscrets”, sur Le Média, votre rendez-vous hebdomadaire politique avec Nils Wilcke. Grâce à son carnet d'adresses sans égal et sa connaissance fine des acteurs politiques de tous bords, Nils nous permet d'arpenter chaque semaine les coulisses et ce qu'il se trame dans la politique française, d'aller chasser les indiscrétions que certains n'aimeraient pas qu'on vous parle. Au sommaire… Emmanuel Macron en bout de course ? En nommant Lecornu, un fidèle parmi les fidèles, le président de la République semble davantage préoccupé de garder le pouvoir jusqu'en 2027 que de répondre à la colère du peuple français. Nils a enquêté sur les coulisses de cette nomination et ce qu'elle révèle du règne crépusculaire du chef de l'État. Mais qui est il, Sébastien Lecornu ? Le nouveau Premier ministre, le 7è depuis l'arrivée au pouvoir d'Emmanuel Macron en 2017, garde une large part de mystère…Et ce mystère, on a tenté de le percer. Et enfin, ils ont tout donné, ils y ont cru ! Les nombreux candidats à Matignon se sont fait balader en beauté par Emmanuel Macron. Yaël Braun-Pivet, Xavier Bertrand, Olivier Faure et Catherine Vautrin, tous candidats, ce sont les cocus de la République. ⚠️ Le Média est diffusé sur le canal 165 de la Freebox et sur le bouquet gratuit de Molotov TV.Suivez Le Média sur sa seconde chaîne Youtube :
For the first time ever, French bond spreads are higher than those seen in Italy (both compared to Germany). This isn't just about "fiscal consolidation" worries and France's government budget, the real issue behind everything is economic differentials. Those need to be turned around and soon else France risks being the new, well, Italy. Eurodollar University's Money & Macro Analysis---------------------------------------------------------------------------------------------------------------------What if your gold could actually pay you every month… in MORE gold?That's exactly what Monetary Metals does. You still own your gold, fully insured in your name, but instead of sitting idle, it earns real yield paid in physical gold. No selling. No trading. Just more gold every month.Check it out here: https://monetary-metals.com/snider---------------------------------------------------------------------------------------------------------------------NYT French Government Collapses, Again, Deepening Paralysishttps://www.nytimes.com/2025/09/08/world/europe/france-vote-government-collapse.htmlCNBC France's Macron names loyalist Lecornu as new prime ministerhttps://www.cnbc.com/2025/09/09/france-macron-names-lecornu-new-prime-minister.htmlCNBC France's borrowing costs rise after Fitch downgrade — and there could be more bad news aheadhttps://www.cnbc.com/2025/09/15/frances-borrowing-costs-rise-after-fitch-downgrade-.htmlBloomberg French Borrowing Costs Top Italy's in Historic Market Shifthttps://www.bloomberg.com/news/articles/2025-09-09/french-borrowing-costs-top-italy-s-in-historic-market-shifthttps://www.eurodollar.universityTwitter: https://twitter.com/JeffSnider_EDU
Ce mardi 16 septembre, l'attaque de Sébastien Lecornu vis-à-vis des privilèges des ministres, les lignes rouges de la CPME liées au budget 2026, et la taxe Zucman, ont été abordés par Olivier Babeau, président de l'Institut Sapiens, Ludovic Desautez, directeur délégué de la rédaction de La Tribune, et Thomas Grjebine, responsable du programme Macroéconomique et finance internationales au CEPII, dans l'émission Les Experts, présentée par Raphaël Legendre sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Invités : - Louis de Raguennel, journaliste - Gauthier le Bret, journaliste politique - Sophie de Menthon, présidente du mouvement ETHIC - Laetitia Guinaud, journaliste politique - Rachel Khan, essayiste - Jean-Michel Salvator, journaliste Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :Deux hommes de 26 et 27 ans ont été mis en examen et placés en détention provisoire après la violente agression de sept policiers en civil le week-end dernier à Reims, une agression qualifiée de parfaitement gratuite par le procureur.Plus de 400 000 manifestants sont attendus partout en France jeudi, avec la crainte de nombreuses violences de la part d'individus proches de l'ultra-gauche, ce qui pousse le ministre de l'Intérieur à exiger une extrême fermeté des forces de l'ordre en cas de débordements.Le Premier ministre Sébastien Lecornu multiplie les consultations pour boucler le budget, envisageant notamment des hausses d'impôts ciblées sur les plus hauts revenus.Israël poursuit son offensive dans la bande de Gaza, avec pour objectif de frapper les infrastructures terroristes et de favoriser la conclusion d'un accord sur la libération des otages.L'université Paris 1 Panthéon-Sorbonne condamne avec fermeté les actes antisémites subis par certains étudiants ces derniers jours.L'acteur américain Robert Redford, véritable icône du cinéma, est décédé à l'âge de 89 ans.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :Le Parti Socialiste propose de faire flotter le drapeau palestinien sur le fronton des mairies, provoquant la colère de plusieurs maires qui jugent cette idée contraire aux principes de la République.La pétition pour réclamer un référendum sur l'immigration a franchi le million de signatures, un message fort envoyé à la classe politique qui, selon Philippe de Villiers, a "abandonné la France".Les syndicats se préparent à une nouvelle journée de mobilisation le jeudi 18 septembre, avec des blocages et des actions coup de poing attendus, malgré les tentatives de dialogue du nouveau Premier ministre Sébastien Lecornu.Dans les Landes, le préfet menace de retirer le permis de conduire aux automobilistes qui utilisent leur téléphone au volant, face à une hausse de 18% de la mortalité routière en août dans la région.Le dispositif de médecins volontaires pour pallier l'absence de praticiens en zone rurale est mis en place, mais soulève des questions sur la continuité des soins.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :Le Parti socialiste propose d'accrocher des drapeaux palestiniens aux mairies, suscitant de vives réactions de la droite et du centre qui jugent cette initiative "honteuse" et "contraire aux principes de la République".Le ministre de l'Intérieur et le président des Républicains rappellent que la justice a ordonné à plusieurs reprises le retrait de drapeaux palestiniens des mairies, au motif qu'ils portent atteinte à la neutralité des services publics.Alors que la France s'apprête à reconnaître l'État de Palestine à l'ONU, la situation à Gaza reste tendue avec de nouvelles frappes israéliennes.En France, le nouveau Premier ministre Sébastien Lecornu multiplie les consultations pour former son gouvernement, faisant face aux exigences de la droite qui pose des conditions sur la fiscalité et la réforme des retraites.Les syndicats maintiennent leur appel à la mobilisation avec l'objectif d'un million de manifestants le 18 septembre, malgré les craintes des autorités sur les risques de violences et de débordements.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Louis de Raguennel, journaliste - Gauthier le Bret, journaliste politique - Sophie de Menthon, présidente du mouvement ETHIC - Laetitia Guinaud, journaliste politique - Rachel Khan, essayiste - Jean-Michel Salvator, journaliste Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, nous allons parler d'une décision importante : l'agence américaine Fitch a dégradé la note souveraine de la France, qui passe de AA- à A+. Mais qu'est-ce que cela signifie réellement et pourquoi cela arrive-t-il maintenant ?Le 12 septembre 2025, Fitch Ratings a annoncé cette révision à la baisse, tout en maintenant une perspective stable. Cette note n'est pas un simple détail technique : elle reflète la confiance des investisseurs dans la capacité d'un pays à rembourser sa dette. Plus la note est élevée, plus l'État peut emprunter à des taux intéressants. À l'inverse, une dégradation rend l'emprunt plus coûteux.Pourquoi Fitch a-t-elle pris cette décision ? Trois raisons principales. D'abord, la dette publique française reste très élevée, dépassant 110 % du PIB, et elle continue de croître. Ensuite, les déficits budgétaires persistent et la trajectoire de réduction annoncée par le gouvernement est jugée peu crédible. Enfin, le contexte politique complique les choses : majorité fragile, difficultés à faire passer des réformes, et instabilité institutionnelle qui pèse sur la confiance.Concrètement, quels impacts attendre ? D'abord, un coût de financement potentiellement plus élevé pour l'État français. Si les marchés estiment que le risque a augmenté, ils exigeront des taux d'intérêt plus importants pour prêter. Ensuite, une atteinte à l'image de la France : elle perd une marche dans l'échelle du « double A », ce qui peut envoyer un mauvais signal aux investisseurs internationaux. Enfin, une pression accrue sur le gouvernement. Le Premier ministre Sébastien Lecornu, nouvellement en poste, devra présenter un budget crédible et rétablir la confiance, dans un climat parlementaire déjà tendu.Et maintenant ? Trois leviers sont sur la table : réduire les dépenses publiques de manière plus significative, renforcer la crédibilité des trajectoires budgétaires avec des mesures concrètes, et enfin restaurer une stabilité politique qui rassure les marchés.En conclusion, cette décision de Fitch n'est pas une catastrophe immédiate, mais c'est un avertissement clair. Elle montre que la France ne peut pas continuer indéfiniment à accumuler dette et déficits sans conséquences. Pour le gouvernement, c'est un rappel à l'ordre : il faudra convaincre, réformer et rassurer, sous peine de voir les finances publiques se fragiliser encore davantage. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
C'est le seul parti représenté au Parlement qui n'ira pas rencontrer le Premier ministre Sébastien Lecornu dans le cadre de ses consultations pour préparer le budget 2026 et éviter une censure : quelle ligne veut incarner La France Insoumise et quelles demandes adresse-t-elle au Premier ministre ? Manuel Bompard, coordinateur national de LFI, est l'invité de Thomas Sotto. Ecoutez L'invité RTL de 7h40 avec Thomas Sotto du 16 septembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ecoutez L'édito d'Etienne Gernelle du 16 septembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C dans l'air l'invité du 13 septembre 2025 avec Jacques Attali, écrivain et économiste, auteur de Danser près de la porte (Flammarion).Il apportera son regard sur les enjeux politiques, économiques et sociaux à venir, au terme d'une semaine particulièrement intense : la chute du gouvernement Bayrou, la nomination de Sébastien Lecornu comme Premier ministre, désormais chargé de faire adopter un budget dans un climat social tendu, marqué notamment par le mouvement « bloquons tout ».
Vize-Regierungssprecher Sebastian Hille nutzte die BPK, um dem neu eingesetzten französischen Premierminister Sébastien Lecornu zu gratulieren. Die NachDenkSeiten wollten vor diesem Hintergrund wissen, wie die Bundesregierung es bewertet, dass jetzt zum dritten Mal in Folge Präsident Emmanuel Macron entgegen allen etablierten demokratischen Regeln den Posten des Premierministers nicht dem Wahlgewinner der letzten Parlamentswahl, dem linkenWeiterlesen
durée : 00:51:38 - Les informés de franceinfo - Tous les jours, les informés débattent de l'actualité, ce lundi 15 septembre autour de Victor Matet. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Aujourd'hui, Charles Consigny, avocat, Didier Giraud, agriculteur, et Joëlle Dago-Serry, coach de vie, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Ce lundi 15 septembre, la semaine à haut risque qui attend Sébastien Lecornu, le système de retraite français et Fitch qui dégrade la note de la France, ont été abordés par André Loesekrug-Pietri, président de JEDI, Denis Ferrand, directeur général de Rexecode, et Gilles Raveaud, maître de conférence à l'Institut d'Études Européennes de Paris-8 Saint-Denis, dans l'émission Les Experts, présentée par Raphaël Legendre sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 12 septembre 2025.Avec cette semaine :Matthias Fekl, avocat et ancien ministre de l'Intérieur.Nicole Gnesotto, vice-présidente de l'Institut Jacques Delors.Marc-Olivier Padis, directeur des études de la fondation Terra Nova.Richard Werly, correspondant à Paris du quotidien helvétique en ligne Blick.CENSURE, RUE, GRÈVE : DANS QUELLE CRISE SOMMES-NOUS ?Lundi, le premier ministre François Bayrou n'a pas obtenu la confiance des députés n'obtenant que 194 voix contre 364. Après sa démission le président de la République a nommé Premier ministre Sébastien Lecornu. Depuis sa réélection en 2022, Emmanuel Macron a désigné cinq Premier ministres. Elisabeth Borne, Gabriel Attal,puis Michel Barnier, dont le gouvernement n'a duré que trois mois, le plus court jamais enregistré sous ce régime et le premier de la Vème République à être censuré par l'Assemblée nationale. François Bayrou, censuré à son tour par l'Assemblée, n'aura duré que neuf mois.Cette crise politique s'accompagne d'une crise économique et budgétaire profonde à laquelle s'ajoute une crise sociale, avec des appels au blocage du pays le 10 septembre et à la grève le 18. Jérôme Fourquet, directeur du département opinion de l'Ifop, observe que « la division des forces politiques au point qu'une majorité semble introuvable est le reflet de l'archipellisation de la France ». Des divisions sociologiques, politiques et idéologiques qui fracturent le pays bien au-delà de l'ancien clivage droite-gauche.Dans la rue, si la France ne s'est retrouvée ni bloquée ni à l'arrêt mercredi, de nombreuses actions ont eu lieu toute la journée partout dans le pays, avec des rassemblements d'ampleur dans certaines villes – entre 197.000 et 250.000 - personnes recensées – et une très forte présence des forces de l'ordre. Né en mai à l'initiative d'un site souverainiste, proche de la droite et de l'extrême droite, "Bloquons tout" a été repris et développé par des sympathisants de la gauche radicale. Le conflit des « Gilets jaunes » comme le rendez-vous de mercredi s'inscrivent dans la continuité d'une série de mobilisations citoyennes 2.0, qui se sont succédées depuis le référendum sur le traité constitutionnel européen de 2005. Les deux mouvements partagent la même forme d'auto-organisation horizontale en réseaux que celle des Gilets jaunes et une absence de leader. Toutefois, une récente enquête menée sous l'égide de la Fondation Jean Jaurès, souligne que le profil des animateurs de Bloquons tout est assez différent de celui des Gilets jaunes. Il s'agirait de citoyens plus jeunes, plus actifs, plus politisés et plus proches de la gauche radicale. Appartenant aux classes moyennes, ils sont souvent diplômés du supérieur. Seulement 27% d'entre eux prirent d'ailleurs part à la révolte des ronds-points de 2018. La plupart des organisations de salariés se sont placés à distance de l'initiative. Seuls, Solidaires et la CGT ont soutenu la démarche du 10 septembre. Le 18 septembre sera une journée d'action à l'appel de l'intersyndicale qui avait mené le combat contre la réforme des retraites et dénoncé la copie budgétaire de François Bayrou.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Republican provocateur and online personality Charlie Kirk was shot and killed while hosting an event at Utah Valley University this week. Despite authorities searching for the person responsible, no suspects are in custody.Donald Trump's takeover of the Washington D.C. police department expired Thursday evening. Trump signaled that he would seek an extension, but that desire has reportedly cooled.Meanwhile, in an attempt to harm Hamas, Israel bombed the Qatari capital of Doha this week. Israeli Prime Minister Benjamin Netanyahu signaled that he and his forces are prepared to do so again despite a rare condemnation of Israeli military strategy by the U.S.Poland invoked NATO's Article 4 this week after Russian drones entered its airspace, leading to consultations between representatives of the alliances member nations.France's government has collapsed again. Now, President Emmanuel Macron has appointed outgoing defense minister Sébastien Lecornu as the country's next prime minister.We get into all this and more during this week's News Roundup.Find more of our programs online. Listen to 1A sponsor-free by signing up for 1A+ at plus.npr.org/the1a. Learn more about sponsor message choices: podcastchoices.com/adchoicesNPR Privacy Policy
Subscribe now to skip the ads and get more content! While Danny remains in talks with Russia, Alex Jordan again helps Derek bring you the headlines. This week: Israel targets Hamas negotiators in a Doha strike (3:30), effectively ending ceasefire talks (8:43); the IDF orders the evacuation of Gaza City (13:11) while reports emerge that the Gaza Humanitarian Foundation hired an anti-Islam biker gang for “security” (15:42); in Russia-Ukraine, Russian drones entered Polish airspace, prompting an Article 4 NATO meeting (18:36); Iran and the IAEA announce a tentative deal to resume inspections (22:41); Nepal sees mass protests over a social media ban, leading to the resignation and disappearance of its prime minister and the army being deployed in Kathmandu (25:42); Donald Trump suggests he will repair ties with India amid tariff disputes and fallout over a Russian oil deal (30:15); Japan's prime minister Ishiba resigns after electoral losses (33:23); ICE raids a Hyunda-LG plant in Georgia, detaining hundreds of South Korean workers (36:41); In Mali, JNIM militants blockade fuel routes to Bamako (42:22); France ousts yet another prime minister over austerity, with Macron appointing Sébastien Lecornu and facing mass protests (44:38); Brazil awaits a Supreme Court verdict on former president Jair Bolsonaro's coup case, and Trump threatens retaliation if he's convicted (49:26); and in these United States, the Department of Defense changes its name to the Deaprtment of War (53:34), a New York Times report reveals covert attacks on fishermen in a failed North Korea operation in 2019 (56:16), and new details emerge about last week's strike on a Venezuelan boat (62:12). Don't forget to purchase our Welcome to the Crusades: The First Crusade miniseries!Catch Alex and Courtney Rawlings on the Quincy Institute's Always at War podcast! Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Que s'est-il passé en France cette semaine? Plein de choses en ce qui concerne la vie politique : la chute du gouvernement Bayrou, un nouveau premier ministre a été nommé (Sébastion Lecornu) et le mouvement de manifestations "Bloquons tout". Bien sûr, cela a eu des impacts sur notre vie. Je vous raconte cela dans l'épisode d'aujourd'hui. Il est question de vote de confiance, du budget, de l'Assemblée nationale, des élections législatives, d'une discussion dans les vestiaires du kung-fu (aussi). Pour recevoir le transcript exact et les notes culturelles : www.onethinginafrenchday.com