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Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée en public à l'École alsacienne le 2 novembre 2025.Avec cette semaine :Akram Belkaïd, journaliste au Monde diplomatique.Jean-Louis Bourlanges, essayiste, ancien président de la Commission des Affaires étrangères de l'Assemblée nationale.Antoine Foucher, consultant, spécialiste des questions sociales, auteur de Sortir du travail qui ne paie plus.Lucile Schmid, présidente de La Fabrique écologique et membre du comité de rédaction de la revue Esprit.BILAN DE L'EXAMEN DU PLFLes députés ont commencé le 24 octobre l'examen de la partie recettes du projet de loi de finances (PLF), à l'Assemblée nationale.Après les trois premiers jours de débat à l'Assemblée nationale, les députés ont dégradé d'environ 4 Mds d'€ l'équilibre de la copie initiale. Lundi, la hausse de 2 Mds d'€ de la surtaxe sur les bénéfices des grandes entreprises a été votée à l'initiative du gouvernement, mais contre son camp. Les députés ont également adopté une mesure plus favorable aux entreprises, en votant l'article 11 du PLF, qui prévoit de reprendre l'an prochain la baisse de la cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises, dont l'exécutif souhaite la suppression progressive pour « soutenir la dynamique de réindustrialisation ». Mercredi, les députés ont continué à détricoter la copie budgétaire du gouvernement avec l'adoption de deux amendements déposés par LFI : l'un pour élargir le champ d'application de l'impôt minimum de 15% sur les bénéfices des multinationales, l'autre pour instaurer une taxe exceptionnelle sur les superdividendes. De son côté, le RN a fait adopter grâce à l'abstention de la gauche une taxe de 33% sur les rachats d'actions qui, selon lui, rapporterait 8 Mds d'€. Face à ces revers pour le gouvernement, le bloc central a dénoncédepuis mardi une « surenchère fiscale ». Vendredi, l'article 3 du projet de loi sur le budget : la taxation des holdings a été adoptée par 224 députés, contre 10. La gauche s'est abstenue. La taxe Zucman sur les très hauts patrimoines a été largement rejetée, ainsi que sa version allégée, malgré la pression du PS. Vendredi soir, les députés ont lesté le budget Lecornu près de 45Mds€ de taxes supplémentaires (notamment la taxation proportionnelle des multinationales : 25Mds€, l'extension de la taxe sur les rachats d'actions : 8Mds€, la surtaxe de l'Impôt sur les Sociétés : 6Mds€, et dans la nuit un impôt sur la fortune improductive ...) Le Premier ministre a annoncé de nouvelles discussions avec les différents groupes parlementaires durant ce week-end. Les débats reprendront lundi.Les députés arrêteront leurs discussions sur le PLF lundi soir, avant de s'attaquer au projet de loi de financement de la Sécurité sociale à partir de mardi. Après son vote, prévu le 12 novembre, les débats pourront reprendre sur les recettes de l'État, pour enchaîner sur la deuxième partie du PLF, concernant les dépenses. Les projets de loi de finances et de financement de la sécurité sociale doivent être adoptés avant le 31 décembre. Les délais sont serrés, entre promesse de ne pas recourir au 49-3 et débats sur la réforme des retraites.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Partagez votre opinion avec la rédactionLe député MoDem Frédéric Petit, représentant la 7e circonscription des Français de l'étranger (Allemagne, Europe centrale et Balkans) est l'invité du podcast « En Toute Confidence » sur Lesfrancais.press. Au micro, il revient sur la nouvelle équipe gouvernementale de Sébastien Lecornu, le budget des Français de l'étranger et l'avenir du réseau de l'AEFE. Pour lui, il est urgent de repenser le modèle de gestion des lycées français à l'étranger afin de préserver un réseau qu'il juge « à la croisée des chemins ».Support the show
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C dans l'air du 31 octobre 2025 : Budget: faire payer les riches...et taxer l'héritage? C'est une journée cruciale dans l'examen du projet de loi de finances pour 2026. Après une « niche parlementaire » réservée au Rassemblement national, les débats sur la partie « recettes » du budget 2026 ont repris ce vendredi à l'Assemblée nationale, avec au cœur des discussions la proposition, soutenue par la gauche, de taxe Zucman, du nom de l'économiste et directeur de l'Observatoire européen de la fiscalité, Gabriel Zucman.Si les quatre groupes de gauche (LFI, PS, écologiste et communiste) défendent l'instauration de cette taxe au nom de la « justice fiscale », le gouvernement et le reste de l'hémicycle y sont, jusqu'à présent, opposés. Le premier secrétaire du PS, Olivier Faure, qui peut faire tomber le gouvernement à tout moment, a d'ailleurs à nouveau menacé le Premier ministre Sébastien Lecornu de censure s'il n'évoluait pas sur la question. Il estimait, ce vendredi matin, que la taxe ne serait « vraisemblablement pas votée », mais demandait des « outils » alternatifs sur l'imposition des plus riches, par un retour de l'ISF ou sur l'héritage.Un rejet d'un « impôt plancher » de 2 % sur le patrimoine des personnes disposant de plus de 100 millions d'euros par l'Assemblée nationale « serait incompréhensible » et « irresponsable », a estimé de son côté, ce vendredi sur franceinfo, Gabriel Zucman « parce que cela reviendrait à accepter que les milliardaires aient le droit de payer zéro » a-t-il ajouté.Mais la « taxe Zucman » est critiquée au centre, à droite, à l'extrême droite et dans le monde patronal, notamment en raison de l'inclusion des biens professionnels (actions, parts de sociétés, outils de travail). Pour eux, taxer ces biens ou leurs dividendes reviendrait à toucher à l'outil de travail, à décourager l'investissement et à menacer l'emploi. Sous le regard du Premier ministre Sébastien Lecornu, venu au banc à partir de la mi-journée, les députés ont adopté ce midi un amendement qui restreint le champ de la taxe prévue sur les holdings, proposée au budget afin de lutter contre certaines formes d'optimisation fiscale des plus fortunés.Une fois l'examen de l'article 3 terminé, « les débats reprendront sur l'article 5 », a expliqué l'entourage du ministre de l'Économie à France Télévisions. L'article 5 propose la suppression de 23 niches fiscales jugées « obsolètes ou inefficaces » parmi les 474 existantes. À la recherche de lignes d'économies tous azimuts, le prochain budget de l'État envisage notamment de lever l'avantage fiscal sur les biocarburants français d'origine agricole, dont le superéthanol E85.Une mesure qui a provoqué une levée de boucliers, de la filière agricole aux fédérations de transporteurs, en passant par une partie des députés qui s'inquiètent d'un coup d'arrêt pour la décarbonation des véhicules thermiques. Nos journalistes sont allés à la rencontre de transporteurs routiers particulièrement impactés par cette mesure, si elle se confirmait.LES EXPERTS :- EMMANUEL DUTEIL - Directeur de la rédaction - L'Usine Nouvelle- CÉLINE BRACQ - Directrice générale - Institut de sondages Odoxa- ERWAN BENEZET - Journaliste au service Economie - Le Parisien – Aujourd'hui en France - BRUNO JEUDY - Directeur délégué et éditorialiste - La Tribune Dimanche
Invités : - Jules Torres, journaliste politique au JDD - Victor Eyraud, journaliste politique à Valeurs Actuelles Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La Asamblea Nacional francesa debate este viernes la suspensión de la reforma de las pensiones y el “polémico” impuesto Zucman, que grava a los más ricos, las dos condiciones impuestas por los socialistas para no presentar una moción de censura contra el primer ministro Sébastien Lecornu. En clave macro, la inflación europea sigue sin dar sustos: en octubre, el IPC se relajó hasta el 2,1% interanual. De vuelta a la actualidad nacional, España bate récord de turistas extranjros y su gasto toca máximos hasta septiembre. Y el gobierno evita posicionarse sobre la petición de prórroga de Almaraz solicitada formalmente por las eléctricas ayer jueves. Entrevistaremos a Iván Pulido, Marketing Manager de Rodilla, para hablar de cómo preparan Halloween con un mini sándwich dulce artesano y de edición limitada. Y aparte de Halloween, mañana es Día de Todos los Santos y Viena Capellanes amplía la venta de sus buñuelos con los sabores más innovadores. La actualidad la debatiremos con Juan Iranzo, catedrático de Economía Aplicada de la UNED.
En déplacement en Normandie, le Premier ministre a réagi au texte du RN adopté à l'Assemblée nationale ce mardi concernant les accords franco-algériens.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C'est le débat du moment à l'Assemblée, celui qui décidera du sort du budget et qui scellera peut-être aussi le sort du gouvernement LECORNU si aucun accord n'est trouvé… Entre le PS et le Premier ministre, nous sommes ces jours-ci dans un moment de vérité autour d'une taxe et d'un nom qui incarne le bras de fer fiscal depuis la rentrée : ZUCMAN, du nom de l'économiste qui a fait de la taxation des milliardaires son cheval de bataille… Nous allons en débattre avec nos invités :▶︎ Bruno GRANDJEAN Président du groupe industriel REDEX, ancien président de la Fédération des industries mécaniques (FIM)▶︎ Gabriel ZUCMAN Économiste, professeur à l'Ecole normale supérieure et directeur de l'Observatoire européen de la fiscalité, auteur de « Les milliardaires ne paient pas d'impôt sur le revenu et nous allons y mettre fin » aux éditions du Seuil (24.10.25)▶︎ Rémi GODEAU Rédacteur en chef de L'Opinion, vice président de Bey Médias▶︎ Alice DE ROCHECHOUART Docteure en philosophie, chroniqueuse à Radio Nova, créatrice du podcast Phil d'Actu, autrice de « Privilèges. Ce qu'il nous reste à abolir » aux éditions JC Lattès (03.09.25)
durée : 00:05:29 - Le Billet politique - par : Stéphane Robert - Le report des élections provinciales qui devaient se tenir avant fin novembre en Nouvelle-Calédonie a été votée, hier soir, par les députés à l'Assemblée nationale. Ce report n'induit pas nécessairement la mise en œuvre de l'accord de Bougival sur l'avenir institutionnel de l'archipel signé cet été.
Ecoutez RTL Matin avec Thomas Sotto du 29 octobre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L'histoire pourrait se répéter si Sébastien Lecornu continuait à concilier l'inconciliable avec des interlocuteurs qui se jouent de lui et se moquent éperdument de l'avenir de nos finances publiques.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Olivier Faure, le chef des socialistes, a prévenu dimanche dernier (26 octobre 2025) : d'ici la fin de la semaine, «nous saurons si nous allons à la dissolution ou pas». À l'Assemblée nationale, les débats sont houleux sur le budget de l'État 2026 - alors que le sort du gouvernement de Sébastien Lecornu dépend de ce texte. Depuis plusieurs semaines, les appels à convoquer des législatives anticipées se multiplient en France. Certains - y compris Édouard Philippe, longtemps un compagnon de route d'Emmanuel Macron - demandent même une élection présidentielle. Mais le résultat ne risque-t-il pas d'être le même qu'aux précédentes élections, avec un chef d'État sans majorité parlementaire ? À quelles conditions un scrutin peut-il mettre fin à la crise ? D'autres voies sont-elles possibles ? Pour en débattre : - Marine Fleury, maitresse de conférences en Droit public, Université de Picardie Jules Verne (UPJV) - Erwan Lestrohan, directeur conseil à l'Institut de sondages Odoxa. - Gérard Courtois, ancien directeur éditorial du Monde. Il est l'auteur notamment de « La Saga des élections présidentielles », éd. Perrin, Prix du livre Politique 2025.
Aujourd'hui, Antoine Diers, consultant, Fatima Aït Bounoua, professeure de français, et Jérôme Marty, médecin généraliste, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
durée : 00:05:32 - Le Billet politique - par : Stéphane Robert - Le Premier ministre, Sébastien Lecornu, estime qu'il n'a plus besoin du Sénat pour élaborer et faire adopter le budget de l'année prochaine. Il fait désormais le pari qu'il peut trouver une majorité à l'Assemblée nationale.
Olivier Faure, le chef des socialistes, a prévenu dimanche dernier (26 octobre 2025) : d'ici la fin de la semaine, «nous saurons si nous allons à la dissolution ou pas». À l'Assemblée nationale, les débats sont houleux sur le budget de l'État 2026 - alors que le sort du gouvernement de Sébastien Lecornu dépend de ce texte. Depuis plusieurs semaines, les appels à convoquer des législatives anticipées se multiplient en France. Certains - y compris Édouard Philippe, longtemps un compagnon de route d'Emmanuel Macron - demandent même une élection présidentielle. Mais le résultat ne risque-t-il pas d'être le même qu'aux précédentes élections, avec un chef d'État sans majorité parlementaire ? À quelles conditions un scrutin peut-il mettre fin à la crise ? D'autres voies sont-elles possibles ? Pour en débattre : - Marine Fleury, maitresse de conférences en Droit public, Université de Picardie Jules Verne (UPJV) - Erwan Lestrohan, directeur conseil à l'Institut de sondages Odoxa. - Gérard Courtois, ancien directeur éditorial du Monde. Il est l'auteur notamment de « La Saga des élections présidentielles », éd. Perrin, Prix du livre Politique 2025.
Retrouvez les partis pris de Cécile Duflot le Mardi et le Jeudi dans votre chronique "Voix de gauche" sur RMC.
Comment réaliser des économies sans rogner sur le pouvoir d'achat des Français ? Les députés examinent depuis le vendredi 24 octobre le projet de budget. Et le Premier ministre Sébastien Lecornu a une ambition : faire une trentaine de milliards d'euros d'économies en 2026, pour réduire le déficit. Dans cet épisode du Choix info RTL, nous faisons les comptes et revenons sur les conséquences potentielles de ces débats à l'Assemblée sur votre porte-monnaie.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C dans l'air du 25 octobre 2025 : Budget : premiers votes, premiers reversUn premier ministre en sursis. Alors que l'agence de notation Moody's a maintenu vendredi sa note concernant la dette française, Sébastien Lecornu inaugurait dans le même temps à l'Assemblée nationale les débats sur le projet de budget pour 2026. Celui qui a entériné la suspension de la réforme des retraites pour éviter une censure de la part des socialistes s'est dit "prêt à un débat transparent, y compris en modifiant en séance notre propre texte". Les socialistes se sont réjouis que "le Parlement retrouve ses pouvoirs", mais leur patron Olivier Faure menace toujours de censure si la majorité n'adopte pas plus de mesures de justice fiscale d'ici lundi. À l'occasion des débats sur la partie recette du budget, ils ont proposé une "taxe Zucman light" qui exonérerait les propriétaires de start-up et d'entreprises familiales. "Nous voulons montrer que nous ne sommes pas dogmatiques", a ainsi défendu le député PS Philippe Brun. Levée de bouclier chez LFI qui accuse les socialistes de pactiser avec le gouvernement. "L'expérience historique et internationale montre que dès qu'on introduit des exonérations, on relance la machine à optimisation fiscale", a de son côté dénoncé l'économiste Gabriel Zucman, à l'origine de la proposition.Si les socialistes sont indéniablement revenus au centre du jeu politique depuis quelques semaines, ils se sont aussi mis une partie de leurs électeurs à dos en acceptant de négocier avec Sébastien Lecornu. En Haute-Garonne, le député PS de la 8e circonscription, Joël Aviragnet, n'a pas voté la dernière motion de censure contre le gouvernement, ce que lui reprochent déjà certains habitants. "Tu sens un peu la tendance là ? Comment sont les gens ? Toujours inquiets ? C'est assez déstabilisant comme situation", constate-t-il alors qu'une équipe de C dans l'air l'a suivi en circonscription. Alors pour maintenir le lien avec les acteurs économiques du territoire, le député tente de les réunir, une fois par an. Une façon aussi, d'occuper le terrain face au Rassemblement national qui a fortement progressé lors des dernières législatives. Joël Aviragnet alerte sur les dangers selon lui d'une dissolution, ou d'une destitution du président de la République.Dans ce contexte politique dégradé, les retraités sont particulièrement inquiets. Avec la suspension de la réforme des retraites, leur pension, qui doit déjà être gelée l'année prochaine puis sous-revalorisée jusqu'en 2030, pourrait faire l'objet d'un nouveau coup de rabot. Ceux qui ont pu mettre de l'argent de côté craignent maintenant d'être mis à contribution pour venir au secours d'un État mauvais gestionnaire. Une de nos équipes est partie à leur rencontre.Les députés vont-ils parvenir à se mettre d'accord d'ici lundi sur de nouvelles mesures de justice fiscale ? Comment les députés socialistes défendent-ils leur position délicate auprès de leurs électeurs ? Et combien va coûter la suspension de la réforme des retraites pour les retraités ?LES EXPERTS :- Emmanuel DUTEIL - Directeur de la rédaction - L'Usine Nouvelle- Nathalie SAINT-CRICQ - Éditorialiste politique - France Télévisions- Élisa BERTHOLOMEY - Cheffe adjointe du service politique - Politico- Éric HEYER - Économiste, directeur du Département Analyse et Prévision - OFCE
C dans l'air l'invité du 24 octobre 2025 avec Benjamin Morel, constitutionnaliste et maître de conférences à l'université Panthéon Assas.Dans la nuit de mercredi à jeudi, le volet recettes du projet de loi de finances a été rejeté en commission des finances, ce qui augure de débats houleux en séance à l'Assemblée, dont le coup d'envoi a été donné aujourd'hui à 15h. Le Premier secrétaire du Parti socialiste, Olivier Faure, a d'ores et déjà prévenu que "si dans les toutes prochaines heures, en gros jusqu'à lundi prochain, il n'y avait pas d'évolution sensible sur le texte, en réalité, ce serait terminé". Mais le Premier ministre, qui sera particulièrement présent sur les bancs de l'Assemblée et qui a donné le coup d'envoi de l'examen de la partie recettes du budget, a assuré, selon des propos rapportés par Le Parisien, qu'il fallait "être mobiles, être adeptes de la guerre de mouvement plutôt que de la guerre de tranchées." De son côté Marine Le Pen, présidente du groupe RN à l'Assemblée nationale dénonce un "théâtre", un "sketch préparé entre le gouvernement et le Parti socialiste", "Un scenario a été écrit. Les décors sont de Sébastien Lecornu, les textes de Olivier Faure."Reste à savoir si des compromis pourront tout de même être trouvés pour donner un budget à la France et ainsi éviter au gouvernement de recourir à une loi spéciale ou, chose inédite, aux ordonnances. En effet, Sébastien Lecornu a fait le choix de renoncer au 49-3 pour satisfaire les socialistes, sur lesquels reposent la responsabilité de faire tomber, ou non, le gouvernement.Benjamin Morel, constitutionnaliste et maître de conférences à l'université Panthéon Assas, sera notre invité ce soir pour nous livrer son éclairage sur le début de l'examen de la partie recettes du budget pour 2026 à l'Assemblée nationale. Il est l'auteur de "Le nouveau régime. Ou l'impossible parlementarisme", paru aux éditions Passés composés.
durée : 00:19:37 - Journal de 18h - L'Assemblée nationale est plongée depuis cet après-midi dans la partie recettes du budget 2026. "Le compromis, c'est la noblesse du débat démocratique" a lancé en ouverture de séance le Premier ministre Sébastien Lecornu. Comment cette phrase est-elle interprétée côté députés ?
A 10h, ce vendredi 24 octobre 2025, les GG : Antoine Diers, consultant, Laura Warton Martinez, sophrologue, et Mourad Boudjellal, éditeur de BD, débattent de : Lecornu, passera ou passera pas le budget ?
Au menu de la deuxième heure des GG du vendredi 24 octobre 2025 : Affaire Grégory, enfin la vérité ? ; Budget, la nouvelle mesure qui fait hurler les proprios ! ; Lecornu, passera ou passera pas le budget ? Avec Antoine Diers, consultant, Laura Warton Martinez, sophrologue, et Mourad Boudjellal, éditeur de BD.
durée : 00:19:37 - Journal de 18h - L'Assemblée nationale est plongée depuis cet après-midi dans la partie recettes du budget 2026. "Le compromis, c'est la noblesse du débat démocratique" a lancé en ouverture de séance le Premier ministre Sébastien Lecornu. Comment cette phrase est-elle interprétée côté députés ?
Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur les divisions autour de la réforme des retraites en France, l'état d'urgence décrété au Pérou et un accord stratégique entre les États-Unis et l'Australie pour contrer la Chine. Ghana : un jeune footballeur sénégalais tué par de « faux recruteurs» Parti au Ghana avec la promesse d'un contrat au Maroc, Cheikh Touré, un footballeur sénégalais de 20 ans, est tombé dans un piège tendu par de «faux recruteurs». Victime d'un réseau d'escroquerie, le jeune gardien de but a été assassiné. Que sait-on des circonstances de sa mort ? Comment les autorités sénégalaises et ghanéennes mènent-elles l'enquête sur cette affaire ? Avec Léa-Lisa Westerhoff, correspondante permanente de RFI à Dakar. France : lorsque le président de la République contredit son Premier ministre Alors que Sébastien Lecornu a annoncé la suspension de la réforme des retraites lors de son discours de politique générale, Emmanuel Macron a affirmé que le texte ne sera pas suspendu mais reporté. Quelle est la différence entre la «suspension» proposée par le Premier ministre et le «décalage» évoqué par le président ? Les propos d'Emmanuel Macron ne risquent-ils pas de fragiliser le gouvernement ? Avec Valérie Gas, cheffe du service politique de RFI. Pérou : plus de 6 000 personnes tuées depuis janvier Face à la montée inquiétante des violences dans les rues de Lima, Jose Peri, le nouveau président péruvien a décrété l'état d'urgence dans la capitale. Comment expliquer une telle crise dans le pays ? Pourquoi l'insécurité est-elle chronique ? Avec Évelyne Mesclier, géographe, directrice de recherches à l'IRD (Institut de Recherche pour le Développement), spécialiste de l'Amérique latine Andine. Terres rares : Washington et Canberra signent un accord pour contrer la Chine Pour contourner la Chine qui détient un quasi-monopole sur la transformation des terres rares, Donald Trump et le Premier ministre australien ont signé un accord stratégique pour les raffiner les minerais directement en Australie. Pourquoi la Chine pose-t-elle problème aux deux pays ? Que sait-on exactement sur cet accord d'exploitation ? Avec Patrice Christmann, consultant et chercheur indépendant, ancien collaborateur du BRGM (Bureau de recherches géologiques et minières).
Plusieurs débats au cœur de l'actualité, les Grandes gueules ont le choix, en débattre ou non : "Lecornu, troisième politique préféré des Français" "2027 : Marine Tondelier entre dans la course" "Paris : une grenouille géante pace Vendôme fait polémique"
Jeudi 16 octobre, la motion de censure déposée par LFI a échoué, avec 271 voix contre les 289 requises. Grâce à l'abstention décisive des socialistes, le gouvernement Lecornu reste en place et le débat budgétaire va commencer.▶ Le Média lance le plan "Riposte"
Hier, Emmanuel Macron a relancé la confusion autour de la réforme des retraites avec une intervention qui a pris tout le monde de court. Suspension ou simple décalage ?▶ Le Média lance le plan "Riposte"
durée : 00:38:51 - L'Invité(e) des Matins - par : Guillaume Erner, Yoann Duval - L'examen du budget 2026 s'ouvre dans un climat de défiance généralisée. Neuf Français sur dix estiment que leurs dirigeants prennent de mauvaises décisions. Face à la colère et au désenchantement, un autre récit est-il possible ? Peut-on gouverner autrement ? - réalisation : Félicie Faugère - invités : Pascal Demurger Directeur général de la MAIF; Céline Spector Philosophe, professeure de philosophie politique à Sorbonne Université
durée : 00:15:32 - Journal de 8 h - La suspension de la réforme des retraites était une promesse du Premier ministre, Sébastien Lecornu, pour éviter la censure du PS. Mais depuis la Slovénie, le président de la République a semé le doute.
Sébastien Lecornu suspende la polémica reforma de las pensiones para salvar su Gobierno Vivir sin luz en la Cañada Real de Madrid: cinco años de abandono Las monjas rebeldes de Belorado ya son ‘okupas' Grecia se levanta contra la jornada laboral de 13 horas Guerra abierta entre las instituciones que velan por la lengua española
C dans l'air du 22 octobre 2025 : Retraites, impôts, santé : avis de tempêteAlors que les discussions sur le projet de budget 2026 ont débuté lundi en commission des Finances de l'Assemblée nationale et qu'une menace de censure du gouvernement plane, Emmanuel Macron est remonté au front sur la réforme des retraites, expliquant mardi depuis la Slovénie que le Premier ministre « a fait un choix pour apaiser le débat actuel » : celui de proposer le « décalage d'une échéance », celle « des 63 ans au 1er janvier 2027, qu'il a décalée au 1er janvier 2028, avec un financement par des économies ».« Ce n'est ni l'abrogation, ni la suspension, c'est un décalage », a-t-il souligné, semant le doute sur les intentions du gouvernement.La déclaration a d'ailleurs valu à Sébastien Lecornu une clarification, quelques heures plus tard, lors de la séance des questions au gouvernement. Interrogé successivement par les présidents de groupe du Rassemblement national (RN), Marine Le Pen, et Boris Vallaud, pour le Parti socialiste (PS), le Premier ministre a rappelé avoir bien annoncé la « suspension » tant du décalage de l'âge que de l'augmentation du nombre de trimestres de cotisation, sans laquelle la première mesure ne « serait rien ». Il a également indiqué qu'un Conseil des ministres serait réuni jeudi 23 octobre pour ajouter la suspension de la réforme des retraites au projet de budget de la Sécurité sociale, via une « lettre rectificative ». Une procédure visant à rassurer les socialistes. Car le gouvernement de Sébastien Lecornu ne doit sa survie qu'à la non-censure du Parti socialiste la semaine dernière... mais cela ne durera peut-être pas.Au lendemain du rejet de la taxe Zucman en commission des Finances de l'Assemblée nationale, le premier secrétaire du PS a mis en garde l'exécutif : « Si la copie n'est pas corrigée pour protéger les Français de ce qui est en train de se produire — le choix des milliardaires contre les gens ordinaires — nous serions amenés à avoir un jugement extrêmement sévère », a affirmé Olivier Faure sur RTL. « La censure, elle est possible à tout moment », a-t-il prévenu.Au grand dam de la gauche, la taxe Zucman, sur le patrimoine des ultra-riches, a été rejetée lundi soir. Le camp gouvernemental et le RN ont voté contre. Elle n'est toutefois pas définitivement abandonnée, car, comme toutes les autres mesures examinées cette semaine en commission, elle sera rediscutée à partir de vendredi dans l'hémicycle de l'Assemblée nationale, où les députés repartiront de la copie initiale du texte du gouvernement.La bataille budgétaire s'annonce rude, sur la question fiscale mais également sur celle du budget alloué à la Sécurité sociale. Le texte, marqué par une rigueur budgétaire inédite, prévoit un gel des prestations sociales et des retraites, la suspension promise de la réforme des retraites, et 7 milliards d'euros d'économies en santé.Un sujet qui est devenu, au fil des ans, prioritaire pour les Français. Ainsi, 88 % des Français interrogés par l'Ifop pour le baromètre de l'action sociale placent la santé en tête de leurs préoccupations. Éloignement, temps d'attente, offre de soins incomplète… 87 % du territoire est désormais classé en désert médical et 6 millions de Français n'ont pas de médecin traitant.Les maires tentent, à leur niveau, d'y remédier en créant des maisons de santé pour attirer des médecins. Nous avons rencontré l'un d'entre eux.LES EXPERTS :- Christophe BARBIER - Éditorialiste politique et conseiller de la rédaction de Franc-Tireur - Caroline MICHEL-AGUIRRE - Grand reporter au Nouvel Obs, autrice du livre Le grand détournement co-écrit avec Matthieu Aron est publié aux Allary Editions- Gaëlle MACKE - Directrice déléguée de la rédaction du magazine Challenges - Benjamin MOREL - Constitutionnaliste, maître de conférences en droit public à l'université Paris 2 Panthéon-Assas, auteur de "Le nouveau régime ou l'impossible parlementarisme", publié aux éditions Passés composés
En déplacement au Moyen-Orient, Donald Trump met en scène sa victoire diplomatique Après des débuts timides, l'Expo universelle d'Osaka remporte un grand succès populaire Sébastien Lecornu suspend la réforme des retraites La France rurale confrontée à la disparition progressive de ses pharmacies Le Louvre célèbre l'œuvre de Jacques-Louis David
durée : 00:15:32 - Journal de 8 h - La suspension de la réforme des retraites était une promesse du Premier ministre, Sébastien Lecornu, pour éviter la censure du PS. Mais depuis la Slovénie, le président de la République a semé le doute.
durée : 00:15:32 - Journal de 8 h - La suspension de la réforme des retraites était une promesse du Premier ministre, Sébastien Lecornu, pour éviter la censure du PS. Mais depuis la Slovénie, le président de la République a semé le doute.
C dans l'air l'invité du 20 octobre 2025 avec Alain Minc, économiste et essayiste, auteur de "Somme toute", aux éditions Grasset.Les députés de la commission des Finances ont commencé aujourd'hui l'examen du budget de l'État, alors que les délais sont particulièrement contraints, et que pèse l'épée de Damoclès d'une adoption du budget par ordonnances s'ils sont dépassés. Les débats permettront avant tout de jauger l'équilibre des forces sur les différentes dispositions, sachant que les députés repartent dans l'hémicycle de la copie initiale. L'examen du texte en séance plénière commencera vendredi, pour un vote solennel prévu le 4 novembre. Le Premier ministre s'est en outre engagé à ne pas utiliser l'article 49 alinéa 3 de la Constitution pour faire adopter le budget, ce qui suppose que les débats aillent "au bout" du texte, jusqu'au vote.Avec un déficit qui devrait s'établir à 5,4% en 2025, le gouvernement ambitionne un effort global d'une trentaine de milliards d'euros pour 2026, entre nouveaux prélèvements (14 milliards) et économies de dépenses (17 milliards) afin de ramener le déficit public à 4,7% du produit intérieur brut (PIB). Il accepterait d'assouplir cet objectif jusqu'à "sous 5%" pour permettre des compromis.Vendredi, une autre donnée s'est ajoutée au tableau : l'agence de notation S&P a annoncé abaisser d'un cran la note de la France, invoquant une incertitude "élevée" sur les finances publiques.Alain Minc, économiste et essayiste, auteur de "Somme toute", aux éditions Grasset, nous livrera son analyse sur le budget de l'Etat, et sur la possibilité d'atteindre les objectifs fixés. Il reviendra également avec nous sur les conséquences de la dégradation de la note de la dette de la France par l'agence S&P. Celui qui avait conseillé Emmanuel Macron, nous donnera également son avis sur sa fin de mandat, et son héritage.
durée : 00:19:56 - Journal de 18h - Une lettre rectificative a été envoyée au Conseil d'État pour l'incorporer au projet de loi de finances de la Sécurité sociale. Une précision faite par Sébastien Lecornu aux députés au moment même où Emmanuel Macron contestait le terme de "suspension" depuis la Slovénie.
durée : 00:19:56 - Journal de 18h - Une lettre rectificative a été envoyée au Conseil d'État pour l'incorporer au projet de loi de finances de la Sécurité sociale. Une précision faite par Sébastien Lecornu aux députés au moment même où Emmanuel Macron contestait le terme de "suspension" depuis la Slovénie.
Après avoir échappé à la censure, Sébastien Lecornu attaque une deuxième épreuve : le projet de loi de Finances 2026. L'examen du budget a débuté lundi et la tâche s'annonce difficile alors que les Socialistes, le bloc central et les Républicains comptent tous modeler le budget à leur image. Pour preuve, près de 1.710 amendements ont déjà été déposés. Olivier Faure, Premier secrétaire du Parti socialiste et député de Seine-et-Marne, est l'invité de RTL Matin. Ecoutez L'invité RTL de 7h40 avec Thomas Sotto du 21 octobre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 17 octobre 2025.Avec cette semaine :Jean-Louis Bourlanges, essayiste, ancien président de la Commission des Affaires étrangères de l'Assemblée nationale.Antoine Foucher, consultant, spécialiste des questions sociales, auteur de Sortir du travail qui ne paie plus.Lucile Schmid, présidente de La Fabrique écologique et membre du comité de rédaction de la revue Esprit.Lionel Zinsou, ancien Premier ministre du Bénin et président de la fondation Terra Nova.QU'ATTENDENT LES FRANÇAIS DES HOMMES POLITIQUES ?Après la nouvelle nomination de Sébastien Lecornu à Matignon le 10 octobre, 56 % Français ne souhaitaient pas que l'une des motions de censure déposées par La France insoumise et le Rassemblement national soit votée, selon une enquête "L'Opinion en direct" menée par Elabe pour BFMTV, publiée mercredi. Ils ont été exaucés, avec le rejet des deux motions de censure jeudi matin. Le Premier ministre Sébastien Lecornu, a annoncé dans sa déclaration de politique générale qu'il proposerait au Parlement la suspension de la réforme de 2023 sur les retraites « jusqu'à l'élection présidentielle ». Selon le sondage Elabe, 67 % des Français sont pour cette suspension et 29 % s'y disent même « très favorables » et 38% « plutôt favorables ». 33 % des Français sont contre cette suspension, dont 13 % de Français qui se disent « très opposés » à cette annonce du chef du gouvernement. Toutefois, 64 % des Français sont mécontents de la composition du gouvernement et 51 % des personnes interrogées sont même favorables à une dissolution et à de nouvelles élections législatives.Dans la perspective de l'élection présidentielle de 2027, Jordan Bardella et Marine Le Pen se maintiennent en tête des personnalités suscitant le plus de satisfaction si elles remportaient l'élection présidentielle (33 % dans les deux cas), selon le baromètre politique Ipsos bva-CESI École d'ingénieurs pour La Tribune Dimanche. Pour la première fois, la troisième place du podium est occupée par une personnalité du même bord : Marion Maréchal, avec 24 % des Français qui seraient satisfaits. Cette progression de Marion Maréchal dans le classement s'explique par une baisse importante pour les autres personnalités, situées à droite et au centre, comme Bruno Retailleau qui enregistre une forte baisse (20 %, -7 points en un mois). Au centre, on observe aussi des baisses importantes pour Edouard Philippe (22 %, -3 points), Gabriel Attal (19 %, -5 points) et Gérald Darmanin (19 %, -5 points). Le pouvoir d'achat demeure la première préoccupation des Français (50 %, -1 point), devant l'avenir du système social, cité par 44 %. La préoccupation pour l'avenir du système social progresse de 3 points en un mois et de 9 points depuis juillet. 88 % des Français sont pessimistes sur la situation économique du pays et 67 % sur leur propre situation économique. Ils ont notamment le sentiment que la situation du pouvoir d'achat va se détériorer (78 %), tout comme celle du niveau de la dette publique (77 %) ou encore du niveau de la fiscalité (70 %).Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:15:20 - Le Débat d'On n'arrête pas l'éco - Après le rejet par l'Assemblée nationale des deux motions de censure, les parlementaires peuvent s'atteler à l'examen des projets de loi budgétaires pour 2026. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
C dans l'air l'invité du 16 octobre 2025 avec Sophie Binet, secrétaire générale de la CGT.L'Assemblée nationale a rejeté aujourd'hui les motions de censure déposées contre le gouvernement, laissant ainsi sa chance au Premier ministre Sébastien Lecornu. Mardi, dans sa déclaration de politique générale lue à l'Assemblée nationale, Sébastien Lecornu avait annoncé la suspension de la réforme des retraites « jusqu'à l'élection présidentielle ». Il s'agit d'une concession importante qui a donc permis au Premier ministre d'écarter, au moins pour un temps, le spectre d'une censure. 3,5 millions de Français sont directement concernés par cette suspension.La secrétaire générale de la Cfdt, Marylise Léon, a salué le lendemain une "victoire collective". De son côté, la CGT s'est montrée plus prudente, en insistant sur l'objectif de l'abrogation de la réforme de 2023. La secrétaire générale de la CGT, Sophie Binet, appelle aujourd'hui à la "mobilisation" contre le projet de budget pour 2026, indiquant que celle-ci commencerait "dès le 6 novembre prochain" avec une journée d'action des retraités. "Ce budget est très dangereux. Il faut absolument le modifier en profondeur", a estimé la leader de la CGT sur France 2.Sophie Binet, secrétaire générale de la CGT, est notre invitée. Elle réagira au rejet des motions de censure contre le gouvernement Lecornu 2, et à la suspension de la réforme des retraites. Elle reviendra également avec nous sur le budget 2026, et sur la future conférence sur les retraites et le travail, que Sébastien Lecornu appelle de ses voeux.
Sébastien Lecornu keeps his job but at the expense of Emmanuel Macron’s pension reforms. Plus: Why was Tony Blair given a role upholding Gaza’s ceasefire but no other European heavyweights were? And is China a friend or foe?See omnystudio.com/listener for privacy information.
Le 5 octobre, Macron a formé une nouvelle équipe dirigée par Lecornu, mais sans majorité claire, ouvrant une ère d'incertitude politique.Traduction : On October 5, Macron appoints a new government under Lecornu, yet lacking a clear majority, ushering in political uncertainty. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
French Prime Minister Sébastien Lecornu has presented the government's long-awaited budget. But will it pass? And can the government finally resolve the recurring political battle over raising the retirement age?The International Monetary Fund has released its global economic outlook, projecting growth of 3.2% for the year ahead. However, concerns remain over global trade and the potential impact of tariffs.And Cape Verde's national football team has qualified for the FIFA World Cup for the first time. We take a look at the investment that helped get them there.
Les histoires du docteur Philippe Boxho, Fabrizio Bucella qui explique la double vie de Sébastien Lecornu, Roselyne Bachelot jalouse... Retrouvez dans ce podcast le meilleur de l'émission du lundi 13 octobre 2025. Retrouvez tous les jours le meilleur des Grosses Têtes en podcast sur RTL.fr et l'application RTL.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce n'est pas simple de suivre ce qui se passe en ce moment en France. Je vous propose un point qui vous permettra de suivre la suite des événements. Je vous explique ce qui s'est passé depuis la semaine dernière et depuis la nomination de notre Premier ministre, Sébastien Lecornu qui a été nommé, puis a démissionné, puis a été à nouveau nommé. Dans cet épisode, nous abordons aussi le nombre de députés dans l'Assemblée nationale et leur répartition (extrêmes, gauche, droite, centre). Enfin, vous saurez par qui et à quel moment j'ai appris la nomination du Premier ministre. www.onethinginafrenchday.com
President Emmanuel Macron re-appointed Sébastien Lecornu as France's prime minister days after his centrist ally resigned, deepening the country's political crisis Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.
President Donald Trump threatened to invoke the Insurrection Act this week. He continues to clash with state and municipal authorities over the limits of his abilities to send Immigration and Customs Enforcement agents into American cities.Meanwhile, Republicans in Congress are eyeing their Democratic counterparts, looking for someone from the opposition to join them in voting for a bill that would reopen the government, more than a week into a shutdown.Former FBI Director James Comey was arraigned this week, pleading not guilty on Wednesday to charges that he lied to Congress, and saying he would move to have a court dismiss the case.Meanwhile, the first phase of a peace deal between Israel and Hamas was agreed to this week. But questions remain over how both parties will move forward with the details of the agreement.Despite a friendly summit between Russian President Vladimir Putin and President Donald Trump in Alaska in August, the Russian government is claiming that any headway made during that meeting has largely been undone.And after just 28 days, Sébastien Lecornu's time as France's prime minister came to an end this week. He's President Macron's fifth government leader to head for the exit in less than two years.Find more of our programs online. Listen to 1A sponsor-free by signing up for 1A+ at plus.npr.org/the1a. Learn more about sponsor message choices: podcastchoices.com/adchoicesNPR Privacy Policy