Island country in the southern hemisphere
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Eric Woerth, président du groupe d'amitié France-Australie à l'Assemblée nationale, accompagné d'Anne Genetet, députée de la 11e circonscription des Français établis hors de France ainsi que de trois autres parlementaires, sont en voyage en Australie.
Yves Lafoy est le délégué pour la Nouvelle-Calédonie en Australie. Il était à l'Alliance Francaise de Melbourne pour l'inauguration d'un nouvel espace dédié à la Nouvelle-Calédonie, le 9e en Australie. Il évoque les relations bilatérales entre l'Australie et son plus proche voisin français ainsi que le tourisme et l'héritage culturel, artistique, littéraire et gastronomique du Caillou, à quelques heures de vol de Melbourne.
C'est un phénomène discret mais fascinant : sur certaines îles du Pacifique, notamment en Nouvelle-Calédonie, les pins colonnaires (Araucaria columnaris) semblent tous pencher… dans la même direction. C'est un phénomène discret mais fascinant : sur certaines îles du Pacifique, notamment en Nouvelle-Calédonie, les pins colonnaires (Araucaria columnaris) semblent tous pencher… dans la même direction. Et cette direction n'est pas aléatoire : ils s'inclinent vers l'équateur, qu'ils soient situés dans l'hémisphère Nord ou Sud. Un mystère botanique qui intrigue les scientifiques depuis plusieurs décennies.Ces arbres élancés, qui peuvent atteindre 60 mètres de haut, poussent naturellement droits dans la plupart des conditions. Pourtant, des mesures précises effectuées par une équipe de chercheurs australiens en 2017 (publiées dans Ecology) ont révélé un schéma troublant : plus les pins colonnaires sont éloignés de l'équateur, plus leur inclinaison vers celui-ci est marquée, jusqu'à 8 à 10 degrés. En d'autres termes, un pin situé dans l'hémisphère sud penchera vers le nord, et inversement.Pourquoi ? Plusieurs hypothèses ont été explorées. La première évoque le champ magnétique terrestre, qui pourrait influencer la croissance de ces arbres, un peu comme il guide certains animaux migrateurs. Mais aucune preuve solide ne vient confirmer ce lien. D'autres chercheurs ont pensé à une réponse phototropique, c'est-à-dire à une croissance orientée vers la lumière. Comme la trajectoire apparente du Soleil diffère selon la latitude, les arbres pourraient orienter lentement leur tronc vers la zone où l'exposition solaire est la plus régulière : celle de l'équateur. Cette hypothèse semble la plus plausible, mais elle ne suffit pas à tout expliquer, car d'autres espèces voisines ne présentent pas le même comportement.Une troisième piste concerne la rotation terrestre. Selon certains modèles, la force de Coriolis pourrait influencer la distribution des hormones de croissance (les auxines) dans les tissus végétaux, entraînant une croissance asymétrique du tronc. Ce serait une sorte d'effet “invisible” de la dynamique terrestre sur la biologie des plantes.Les chercheurs de l'université James Cook, en Australie, ont confirmé que cette inclinaison est constante et reproductible, mais son origine exacte reste mystérieuse. Aucun facteur climatique local (vents dominants, sol, humidité) ne permet de l'expliquer complètement.Ainsi, ces pins colonnaires qui s'inclinent avec élégance rappellent que la nature cache encore des énigmes : même dans un monde où les satellites scrutent chaque forêt, un simple arbre peut défier notre compréhension. Et, quelque part dans le Pacifique, des forêts entières continuent de saluer silencieusement le Soleil — toujours en direction de l'équateur. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:03:31 - Sous les radars - par : Sébastien LAUGENIE - En Tanzanie depuis hier, jour de scrutin présidentiel, de violentes manifestations ont éclaté dans plusieurs grandes villes du pays, malgré la mise en place d'un couvre-feu. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:03:31 - Sous les radars - par : Sébastien LAUGENIE - En Tanzanie depuis hier, jour de scrutin présidentiel, de violentes manifestations ont éclaté dans plusieurs grandes villes du pays, malgré la mise en place d'un couvre-feu. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:03:31 - Sous les radars - par : Sébastien LAUGENIE - En Tanzanie depuis hier, jour de scrutin présidentiel, de violentes manifestations ont éclaté dans plusieurs grandes villes du pays, malgré la mise en place d'un couvre-feu. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Eric Woerth, président du groupe d'amitié France-Australie à l'Assemblée nationale, accompagné d'Anne Genetet, députée de la 11e circonscription des Français établis hors de France ainsi que de trois autres parlementaires, sont en voyage en Australie.
Yves Lafoy est le délégué pour la Nouvelle-Calédonie en Australie. Il était à l'Alliance Francaise de Melbourne pour l'inauguration d'un nouvel espace dédié à la Nouvelle-Calédonie, le 9e en Australie. Il évoque les relations bilatérales entre l'Australie et son plus proche voisin français ainsi que le tourisme et l'héritage culturel, artistique, littéraire et gastronomique du Caillou, à quelques heures de vol de Melbourne.
Eric Woerth, président du groupe d'amitié France-Australie à l'Assemblée nationale, accompagné d'Anne Genetet, députée de la 11e circonscription des Français établis hors de France ainsi que de trois autres parlementaires, sont en voyage en Australie.
Parce que… c'est l'épisode 0x652! Shameless plug 4 et 5 novembre 2025 - FAIRCON 2025 8 et 9 novembre 2025 - DEATHcon 17 au 20 novembre 2025 - European Cyber Week 25 et 26 février 2026 - SéQCure 2026 14 au 17 avril 2026 - Botconf 2026 28 et 29 avril 2026 - Cybereco Cyberconférence 2026 9 au 17 mai 2026 - NorthSec 2026 3 au 5 juin 2025 - SSTIC 2026 Description Ce neuvième épisode du balado collaboratif entre Cyber Citoyen et Polysécure, animé par Catherine Dupont-Gagnon et ses invités Sam Harper et Nicolas Louck, aborde plusieurs enjeux critiques de cybersécurité, de vie privée et de technologie qui marquent l'actualité récente. L'application Tea et les dangers du dating en ligne L'épisode débute avec une mise à jour sur l'application Tea, un sujet récurrent du podcast. Apple et Google ont finalement retiré cette application et son alternative Tea on Earth de leurs magasins, invoquant des problèmes de modération et de vie privée. Malgré ses 6,1 millions de téléchargements et 5 millions de dollars de revenus générés, l'application présentait de graves lacunes de sécurité. Ce qui inquiète particulièrement les experts, c'est l'apparition de copies tentant de combler le vide laissé par ce retrait, des applications tout aussi mal sécurisées. Les animateurs constatent un retour aux groupes Facebook « Are we dating the same guy », malgré les limites de la fonction d'anonymat de Facebook. Cette situation soulève des questions cruciales sur la protection des données sensibles, notamment celles de femmes en situation de vulnérabilité. La panne AWS : symptôme d'un monopole dangereux La panne d'Amazon Web Services du 22 octobre constitue le deuxième sujet majeur. Au-delà de l'incident technique lui-même, les animateurs s'interrogent sur la concentration monopolistique des infrastructures internet. Le fait qu'une partie importante du web dépende d'un seul point de défaillance représente un risque systémique considérable. Sam rappelle que cette situation n'est pas nouvelle, citant la panne Rogers qui avait paralysé le système d'urgence 911 et Interac. Nicolas mentionne un cas similaire en Australie où une mise à jour de pare-feu a rendu le service d'urgence inaccessible pendant des heures, causant des décès. Les intervenants soulignent que des entreprises comme Netflix ont conçu leurs systèmes pour tolérer les pannes grâce au « chaos engineering », testant régulièrement leur résilience. Cependant, la majorité des entreprises ne prennent pas ces précautions, préférant la solution la moins coûteuse. Cette négligence révèle un problème plus large : le marché ne punit pas suffisamment les mauvaises pratiques, et les entreprises continuent de dépendre d'une seule zone AWS parce que c'est moins cher, acceptant implicitement le risque de perte de revenus et de réputation. Les objets connectés : quand la technologie devient un fléau L'histoire du lit intelligent à 5 000 dollars illustre parfaitement les dangers de l'Internet des objets. Ce lit, qui nécessite un abonnement mensuel de 17 à 33 dollars pour fonctionner, est devenu complètement inutilisable lors de la panne AWS. Sans accès aux serveurs, les utilisateurs ne pouvaient même plus ajuster la position de leur lit, certains se retrouvant coincés en position assise. Cette situation absurde démontre comment la dépendance excessive aux serveurs cloud crée des vulnérabilités dans des objets du quotidien. Les animateurs élargissent la discussion aux voitures connectées, comme les Tesla qui peuvent être contrôlées à distance, voire désactivées. John Deere a ainsi désactivé des équipements agricoles volés par les Russes en Ukraine. Cette capacité de contrôle à distance soulève des questions fondamentales sur la propriété réelle des objets que nous achetons et sur les modèles d'abonnement pour des fonctionnalités déjà installées physiquement dans les produits. L'intelligence artificielle : une fiabilité très relative Une étude majeure coordonnée par l'European Broadcasting Union et la BBC révèle que 45 % des résumés d'actualité générés par l'IA contiennent au moins un problème significatif. Gemini se distingue particulièrement négativement avec 76 % de réponses problématiques. L'étude identifie des erreurs d'attribution, des informations trompeuses ou manquantes, et des hallucinations. Cette situation est d'autant plus préoccupante que 15 % des moins de 25 ans utilisent principalement l'IA pour s'informer sur l'actualité. Les animateurs soulignent que l'IA n'est pas un moteur de recherche et ne peut se fier à sa base de connaissances pour des informations récentes. Nicolas compare l'IA à quelqu'un qui lit en diagonale, mais sans la capacité humaine de repérer les mots clés pertinents, s'appuyant plutôt sur des modèles statistiques. Les citations fournies par les IA sont souvent incorrectes ou non pertinentes, obligeant à vérifier systématiquement les sources. OpenAI et la course aux données Le lancement du navigateur Atlas par OpenAI inquiète les experts en vie privée. Conçu pour rivaliser avec Google, ce navigateur semble destiné principalement à collecter des données pour entraîner les modèles d'IA. Perplexity a déjà lancé un navigateur similaire, criblé de vulnérabilités, et n'a jamais caché que toutes les données de navigation étaient renvoyées vers ses serveurs. Cette course aux données révèle un problème fondamental : l'IA générative ne peut survivre sans nouveau contenu, mais ne peut se nourrir de son propre contenu sous peine de dégradation progressive, comparable à la consanguinité génétique. La bulle de l'IA et ses conséquences Les animateurs anticipent l'explosion imminente de la bulle de l'IA, artificiellement gonflée par le battage médiatique autour de l'intelligence artificielle générale. Microsoft pousse agressivement Copilot en liant les indicateurs de performance des vendeurs au taux d'utilisation chez les clients, malgré des résultats mitigés. Seulement 5 % des projets d'IA donnent des résultats réels. Pendant ce temps, les coûts énergétiques explosent aux États-Unis, financés indirectement par les citoyens, tandis que des villages entiers perdent l'accès à l'eau potable pour refroidir les centres de données. L'épisode se conclut sur une note plus légère avec l'histoire d'un prisonnier en Roumanie qui a exploité les vulnérabilités d'un système de tablettes pénitentiaires, distribuant du matériel pour adultes et créditant 1,15 million de dollars sur le compte cantine d'un complice. Cette anecdote illustre l'importance de considérer la sécurité numérique avec la même rigueur que la sécurité physique, un continuum souvent négligé. Collaborateurs Nicolas-Loïc Fortin Catherine Dupont-Gagnon Samuel Harper Crédits Montage par Intrasecure inc Locaux virtuels par Riverside.fm
Pourtant brillant depuis le début de la saison, Baptiste Serin ne figure pas dans la première liste des Bleus appelés pour préparer la tournée de novembre (Afrique du Sud, Fidji, Australie). Pourquoi ce choix ? Le reverra-t-on en équipe de France ? Récit d'une carrière internationale contrastée. Un podcast présenté par Léa Leostic, avec Renaud Bourel, Elio Bono et Adrien Corée. Enregistrement : Marie-Amélie Motte. Montage : Léa Leostic.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Guillaume Bazan et Vladimir Komnenovic, cofondateurs de Numeris, sont les invités d'Alexis Slama dans ce nouvel épisode de l'Accounting Business Club
Alors que le gouvernement australien prévoit l'interdiction des exportations par bateau de moutons vivants et que le Soudan s'enfonce dans la guerre, la Somalie profite du vide pour augmenter encore ses exportations de bétail, en direction des pays du Golfe. Les exportations de moutons et, dans une moindre mesure, de chèvres ont toujours été au cœur de l'économie somalienne. Un poids qui ne cesse de se renforcer : d'après le Bureau national des statistiques du gouvernement de la République fédérale de Somalie, les exportations de bétail du pays représentaient un peu plus de 310 millions de dollars en 2018, 520 millions en 2021 et 970 millions de dollars en 2024. Autrement dit, les exportations de bétail ont plus que triplé en six ans, à tel point qu'en valeur, elles représentent aujourd'hui plus du quart des exportations de la Somalie. Une demande venue du Golfe toujours plus forte Une situation qui s'explique en partie par la fragile stabilisation du pays après des décennies de conflit, mais pas seulement. D'abord, la demande venue notamment des pays du Golfe est toujours plus forte. En 2023, à elle seule, l'Arabie saoudite a importé près de 10 millions de moutons vivants. Si on y ajoute le bétail importé par la Jordanie et les autres monarchies du golfe Persique, on arrive à plus de 14 millions de têtes importées chaque année. Ensuite, les moutons somaliens ont moins de concurrents. Même si les exportations de moutons venues du Soudan ne se sont pas effondrées autant qu'on pouvait le craindre malgré deux ans de guerre civile, le pays a perdu des parts de marché. L'état des infrastructures et de la flotte soudanaise joue aussi en sa défaveur. En 2022, un bateau a coulé en mer Rouge, entraînant la perte de plus de 15 000 moutons, une cargaison d'une valeur de 4 millions de dollars. La Nouvelle-Zélande et l'Australie mettent fin au transport d'animaux en mer La concurrence plus lointaine se fait aussi plus rare. Emboîtant le pas à la Nouvelle-Zélande, l'Australie a récemment décidé au nom du bien-être animal de mettre fin au transport maritime d'animaux vivants à compter de 2028, entraînant dès aujourd'hui une forte diminution des exportations de moutons. Comme le souligne Bloomberg, les exportations de bétail somalien pourraient donc dépasser pour la première fois cette année le milliard de dollars.
Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur les divisions autour de la réforme des retraites en France, l'état d'urgence décrété au Pérou et un accord stratégique entre les États-Unis et l'Australie pour contrer la Chine. Ghana : un jeune footballeur sénégalais tué par de « faux recruteurs» Parti au Ghana avec la promesse d'un contrat au Maroc, Cheikh Touré, un footballeur sénégalais de 20 ans, est tombé dans un piège tendu par de «faux recruteurs». Victime d'un réseau d'escroquerie, le jeune gardien de but a été assassiné. Que sait-on des circonstances de sa mort ? Comment les autorités sénégalaises et ghanéennes mènent-elles l'enquête sur cette affaire ? Avec Léa-Lisa Westerhoff, correspondante permanente de RFI à Dakar. France : lorsque le président de la République contredit son Premier ministre Alors que Sébastien Lecornu a annoncé la suspension de la réforme des retraites lors de son discours de politique générale, Emmanuel Macron a affirmé que le texte ne sera pas suspendu mais reporté. Quelle est la différence entre la «suspension» proposée par le Premier ministre et le «décalage» évoqué par le président ? Les propos d'Emmanuel Macron ne risquent-ils pas de fragiliser le gouvernement ? Avec Valérie Gas, cheffe du service politique de RFI. Pérou : plus de 6 000 personnes tuées depuis janvier Face à la montée inquiétante des violences dans les rues de Lima, Jose Peri, le nouveau président péruvien a décrété l'état d'urgence dans la capitale. Comment expliquer une telle crise dans le pays ? Pourquoi l'insécurité est-elle chronique ? Avec Évelyne Mesclier, géographe, directrice de recherches à l'IRD (Institut de Recherche pour le Développement), spécialiste de l'Amérique latine Andine. Terres rares : Washington et Canberra signent un accord pour contrer la Chine Pour contourner la Chine qui détient un quasi-monopole sur la transformation des terres rares, Donald Trump et le Premier ministre australien ont signé un accord stratégique pour les raffiner les minerais directement en Australie. Pourquoi la Chine pose-t-elle problème aux deux pays ? Que sait-on exactement sur cet accord d'exploitation ? Avec Patrice Christmann, consultant et chercheur indépendant, ancien collaborateur du BRGM (Bureau de recherches géologiques et minières).
Entre ! Geek est un podcast de la galaxie savoureuse Galaxie Pop, rejoignez nous sur discord https://discord.gg/9VbAgcT2TwVous pouvez retrouver toutes nos productions à cette adresse !Envie de nous laisser un petit mot audio sur cette épisode : vous pouvez le faire à cette adresse ou directement pour le démontage de rotule sur le propre répondeur d'Entre ! Geek Avant toute chose, Dany ne recommande pas Jitsi Meet car le podcast a été émaillé de nombreux soucis techniques de déconnexion (mais bon vu que c'était CausmicBeast qui invitait …
Au sommaire de Radio foot internationale à 16h10 TU : - Ligue des Champions, soirée record hier (43 buts) sur les terrains. ; - 3è journée de phase de Ligue, suite. ; Une victoire pour le foot ? Javier Tebas fait machine arrière... Écoutez le 2è Radio foot ce soir à 21h10 TU pour le debrief de la suite et la fin de la 3è journée de Ligue des Champions. Ligue des Champions, soirée record hier (43 buts) sur les terrains. Scores fleuves à Barcelone, Eindhoven et Leverkusen. 6 buteurs différents pour le PSG qui a enregistré des retours contre le Bayer, entame mieux sa campagne européenne que l'an passé. Sans-faute d'Arsenal, impitoyable face à l'Atlético, et de l'Inter. Les Milanais prolifiques à Bruxelles (4-0), où ils affrontaient l'USG. 3è journée de phase de ligue, suite : les leaders de L1 en déplacement à Lisbonne. De Zerbi souhaite que l'OM affiche «la même personnalité face au Sporting qu'au Vélodrome», fasse preuve d'humilité et de courage face aux Leões, 2ès du championnat, dans un stade chauffé à blanc. Les Olympiens vont croiser un ancien du club, le Colombien Luis Suarez, une des menaces pour la défense phocéenne. - Encore un club anglais à Monaco. Désormais entrainés par Sébastien Pocognoli qui manque de repères, les Rouge et Blanc devront tout donner contre Tottenham, comme face aux Cityzens début octobre. Mais les Spurs, vainqueurs de la C3 ont acquis de la stabilité avec Thomas Franck. - L'affiche Real Madrid/Juventus Turin, un classique continental souvent disputé. Battus à Côme, 7ès de Serie A, les Bianconeri peuvent-ils obtenir un bon résultat au Bernabeu ? Xabi Alonso en quête d'un match référence, possède un buteur en feu ! - Déplacement des Reds à Francfort. Hugo Ekitiké de retour sur la pelouse de l'Eintracht, un terrain que Frimpong et Wirtz connaissent bien aussi. Brillant par séquences, Liverpool va-t-il prendre 3 points en Allemagne ? Une victoire pour le foot ? Après la protestation des joueurs initiée par le Syndicat des footballeurs espagnols, le promoteur du match délocalisé à Miami entre Villarreal et le Barça a fini par jeter l'éponge. Javier Tebas fait machine arrière, mais le boss de la Liga déplore ce qu'il estime être une opportunité de développement pour le championnat. Les joueurs y voient une décision injuste au plan sportif. Côté Serie A, où des voix s'élèvent aussi, le match AC Milan/Côme prévu en Australie reste maintenu. Pour débattre avec Sophiane Amazian : Dominique Sévérac, Marco Martins et Naïm Moniolle. Technique/réalisation : Laurent Salerno. - Préparation : Pierre Guérin. Écoutez sur RFI le 2è Radio foot ce soir à 21h10 TU pour le debrief de la suite et la fin de la 3è journée de Ligue des Champions. Le son sera accessible à partir de 00h05, heure de Paris.
Au sommaire de Radio foot internationale à 16h10 TU : - Ligue des Champions, soirée record hier (43 buts) sur les terrains. ; - 3è journée de phase de Ligue, suite. ; Une victoire pour le foot ? Javier Tebas fait machine arrière... Écoutez le 2è Radio foot ce soir à 21h10 TU pour le debrief de la suite et la fin de la 3è journée de Ligue des Champions. Ligue des Champions, soirée record hier (43 buts) sur les terrains. Scores fleuves à Barcelone, Eindhoven et Leverkusen. 6 buteurs différents pour le PSG qui a enregistré des retours contre le Bayer, entame mieux sa campagne européenne que l'an passé. Sans-faute d'Arsenal, impitoyable face à l'Atlético, et de l'Inter. Les Milanais prolifiques à Bruxelles (4-0), où ils affrontaient l'USG. 3è journée de phase de ligue, suite : les leaders de L1 en déplacement à Lisbonne. De Zerbi souhaite que l'OM affiche «la même personnalité face au Sporting qu'au Vélodrome», fasse preuve d'humilité et de courage face aux Leões, 2ès du championnat, dans un stade chauffé à blanc. Les Olympiens vont croiser un ancien du club, le Colombien Luis Suarez, une des menaces pour la défense phocéenne. - Encore un club anglais à Monaco. Désormais entrainés par Sébastien Pocognoli qui manque de repères, les Rouge et Blanc devront tout donner contre Tottenham, comme face aux Cityzens début octobre. Mais les Spurs, vainqueurs de la C3 ont acquis de la stabilité avec Thomas Franck. - L'affiche Real Madrid/Juventus Turin, un classique continental souvent disputé. Battus à Côme, 7ès de Serie A, les Bianconeri peuvent-ils obtenir un bon résultat au Bernabeu ? Xabi Alonso en quête d'un match référence, possède un buteur en feu ! - Déplacement des Reds à Francfort. Hugo Ekitiké de retour sur la pelouse de l'Eintracht, un terrain que Frimpong et Wirtz connaissent bien aussi. Brillant par séquences, Liverpool va-t-il prendre 3 points en Allemagne ? Une victoire pour le foot ? Après la protestation des joueurs initiée par le Syndicat des footballeurs espagnols, le promoteur du match délocalisé à Miami entre Villarreal et le Barça a fini par jeter l'éponge. Javier Tebas fait machine arrière, mais le boss de la Liga déplore ce qu'il estime être une opportunité de développement pour le championnat. Les joueurs y voient une décision injuste au plan sportif. Côté Serie A, où des voix s'élèvent aussi, le match AC Milan/Côme prévu en Australie reste maintenu. Pour débattre avec Sophiane Amazian : Dominique Sévérac, Marco Martins et Naïm Moniolle. Technique/réalisation : Laurent Salerno. - Préparation : Pierre Guérin. Écoutez sur RFI le 2è Radio foot ce soir à 21h10 TU pour le debrief de la suite et la fin de la 3è journée de Ligue des Champions. Le son sera accessible à partir de 00h05, heure de Paris.
La migration fait face à de nombreux défis en Australie. Le gouvernement envisage la reconnaissance à l'étranger des compétences des migrants pour leur permettre de trouver du travail plus rapidement et éviter ainsi de sous-employer leurs compétences professionnelles.
Bonjour à toutes et à tous, Ophélie, Thibaut et Gwenolé se retrouvent pour ce 204ème numéro de CQEP, qui revient sur le GP d'Australie 2025. Le week-end toujours en dedans de Bagnaia, la belle pole de Quartararo mais aussi la surprise Raul Fernandez et le bon week-end de Bezzecchi, ils reviennent point par point sur les courses. Également au programme: la bonne course de Kelso & la victoire d'Agius ! Bonne écoute Twitter: @cqep_pod Discord: https://discord.gg/eAG5xem Générique : “Road trip” by Scott Holmes http://freemusicarchive.org/music/Scott_Holmes
La migration fait face à de nombreux défis en Australie. Le gouvernement envisage la reconnaissance à l'étranger des compétences des migrants pour leur permettre de trouver du travail plus rapidement et éviter ainsi de sous-employer leurs compétences professionnelles.
Dans cet épisode, je discute avec Claire, la maman d'Eliott âgé de 7,5 ans (très important le demi !) et porteur d'une mutation de son gène KCNQ2, une forme rare d'épilepsie génétique qui débute généralement dans les premiers jours de la vie. Ensemble, nous explorons son histoire : Ses priorités avant son départ pour l'Australie, les raisons de ce nouveau départ, sa vie au pays des kangourous, sa naïveté perdue à la sortie de la maternité, les changements soudains avec la naissance d'Eliott, l'attente insoutenable du diagnostic, la peur pour son petit dernier, le soutien proposé aux familles australiennes concernées par le handicap et le énième changement de vie, encore imposé mais cette fois par la crise du Covid ! Bref, on fait le match France / Australie, on commente, on compare, on rigole bien aussi et on prend de la hauteur sur les événements. J'aime beaucoup le regard posé par Claire sur le tourbillon de la vie et le handicap. A écouter absolument ! Merci Claire pour ce beau moment. ______________➡️ Ce podcast est réalisé (avec amour) par Mélanie Ciardi :Mon site Suis-moi sur Instagram Suis-moi sur LinkedIn ➡️ Retrouve Claire sur Instagram sur le compte @allthelettersofficial et découvre son site
Et si tu osais tout plaquer pour vivre ton rêve ? Dans cet épisode, on suit le parcours de Marina, étudiante partie en Erasmus en Grèce, entre feta, soleil et réalités moins connues, avant de s'envoler vers l'Australie pour vivre de sa passion : la musique !Marina nous raconte ses galères, ses découvertes, ses moments de doute et surtout, cette envie de ne plus écouter les autres et suivre sa propre route surtout après avoir fait un burnout. Au programme :- Les coulisses d'un Erasmus en Grèce – les études, la bouffe, la mentalité des Grecs, les bons côtés (et les moins glamour qu'on ne voit pas sur Insta).- Le grand saut en Australie – comment elle a osé tout quitter pour créer, chanter, vivre libre.- Des réflexions sincères sur le fait d'oser, de se tromper, de recommencer… et d'assumer sa vie à 100 %.Un épisode qui sent la mer Égée, les soirées guitare au bord du feu, et les décisions qui changent tout.Si toi aussi t'as déjà rêvé de partir, de tout recommencer ailleurs, ou simplement d'écouter une belle histoire vraie, cet épisode est pour toi.Bonne écoute ! Pour soutenir le podcast, abonnes toi et met 5 étoiles ⭐⭐⭐⭐⭐Infos utiles :Pour découvrir les coulisses du podcast : partir_podcastDisponible à l'écoute sur toutes les plateformes : https://smartlink.ausha.co/partirEt sur YoutubeSi cet épisode t'a plu, tu devrais aussi aimer :Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Présent en catégorie reine depuis 2022, Raúl Fernandez n'avait jamais vraiment brillé… jusqu'à hier ! L'Espagnol a remporté son premier Grand Prix en Australie au guidon d'une Aprilia, une délivrance pour le n°25. Considéré comme l'étoile montante du MotoGP après avoir démontré tout son talent dans les catégories inférieures, Fernandez aura mis du temps avant de concrétiser. Est-ce signe de déclic ? Pourtant pénalisé par deux long lap, Marco Bezzecchi est parvenu à monter sur le podium et rentre dans le Top 3 du général en devançant Bagnaia ! La beauté du circuit contraste avec un problème récurrent : les mouettes, encore une fois victimes des trajectoires des pilotes. Que faire pour éviter ça ? Et surprise du week-end : Pol Espargaró, appelé en dernière minute, a quitté New York pour remplacer Viñales chez Tech3 — une arrivée qui n'est clairement pas passée inaperçue.
1988, Kylie Minogue, à peine 20 ans, est une sensation pop avec un album et des singles qui cartonnent mondialement. C'est arrivé par accident, en pleine seconde saison de la série dans laquelle elle tourne. Mais Kylie aspire déjà à plus qu'à la télé ; elle veut prouver son talent d'actrice au cinéma. C'est là qu'un producteur lui propose le rôle d'une ado rebelle des années 50, inspirée d'un roman semi-autobiographique. Kylie devient une blonde platine pour le rôle, qui va inspirer le Suicide Blonde d'INXS, elle se prépare intensément. En lisant le roman, tout d'abord, elle répète des accents des années 50, et s'immerge dans l'époque avec des costumes rétro. Il faut dire que la presse australienne met la pression en prédisant un flop, elle doute qu'une "pop star" aussi jeune qu'elle puisse porter un drame sérieux. Le tournage commence fin 1988 dans le Queensland australien, sous un soleil écrasant. L'ambiance sur le plateau est un mélange d'excitation et de chaos : Kylie, encore inexpérimentée au cinéma, arrive avec une énergie spontanée, mais se sent vulnérable face à une équipe de cent personnes. Ce n'est plus le même genre de tournage que pour les séries. Elle est nerveuse, elle tremble avant chaque prise, notamment celle où elle fuit sa famille en courant dans les rues poussiéreuses, les larmes aux yeux, sous une pluie artificielle pour ajouter du drame. Ou la naissance de son bébé dans une école de redressement. Kylie simule des contractions sous des lumières crues ; elle pleure pour de vrai, épuisée par les prises répétées. Elle fête ses 21 ans sur le plateau, un gâteau et des chants entonnés par toute l'équipe, un moment joyeux au milieu du stress. Il faut dire que les producteurs américains poussent pour plus de romance et moins de "réalisme australien", menant à des réécritures nocturnes et des changements de script. Kylie a les larmes aux yeux, le dernier jour du tournage, elle s'est donnée à fond. Le film sort en décembre 1989 et rencontre un beau succès commercial en Australie, mais beaucoup plus mitigé en Grande-Bretagne et aux Etats-Unis. Les critiques de cinéma ne croient pas en elle, en tout cas pas pour l'instant écrit le Variety, LE magazine cinéma de référence. Les dés sont-ils jetés ? Une carrière commencée prématurément en tant que comédienne à la télé australienne bifurque vers un succès planétaire dans la chanson. Kylie ne sera pas la comédienne qui chante mais la chanteuse qui fait parfois du cinéma. Les grands films seront rares, c'est vrai, mais il y en aura au moins un. La vie des stars n'est pas aussi réussie que ne laisse penser les résultats au box office, l'histoire est connue. Il n'en reste pas moins un parcours hors du commun, une longévité à laquelle seule une poignée de chanteuses a pu prétendre. C'est plus qu'une réussite artistique, ça tient à la personnalité et au travail, comme Kylie en avait usé lors du tournage de ce film aujourd'hui oublié.
Les innombrables succès que Kylie Minogue a alignés grâce à ses producteurs, auteurs compositeurs britanniques Stock Aitken et Waterman ont été à double tranchant. Car autant la formule sur laquelle ces gars travaillaient faisaient mouche, non seulement avec elle, mais avec un tas d'autres artistes comme son petit ami Jason Donovan ou Donna Summer, autant ils lui ont valu d'être cataloguée dans le registre bubble gum. En d'autres mots, des hits jetables. Ça a un goût sucré, c'est sympa mais artificiel.La première rencontre entre l'interprète et le trio est d'ailleurs totalement révélatrice de la manière dont ces gars travaillaient. Un vrai sketch. Suite au succès de son single en Australie, produit par un assistant du trio, Kylie Minogue profite de quelques jours off du tournage de la série australienne dont elle est devenue l'actrice star pour faire un saut à leur bureau de l'autre côté de la Terre. Elle dispose de peu de temps. Mais quand on leur dit qu'ils ont rendez-vous avec la jeune fille qui est dans la salle d'attente, aucun des trois ne sait. Qui a oublié ce rendez-vous ? Qui est-ce ? Une star de la télé. D'où vient-elle ? D'Australie. Quoi ? On va la recevoir. Et de fait, elle est belle. La voix, rien de spécial. Mais son tube et sa notoriété là-bas, c'est énorme. On va vous trouver quelque chose à chanter. Rentrez à l'hôtel. Kylie ne le croit pas : faire 17.000 kilomètres pour découvrir des mecs qui l'ont oubliée. Et elle ignore que les trois gus vont plier la chanson en 40 minutes, certains disent même 20. Leur formule est, faut-il le répéter, rodée avec les nombreux interprètes de l'écurie. Mais ils attendent le dernier moment où Kylie se trouve à Londres pour lui faire interpréter le texte en studio, ligne après ligne, sans qu'elle puisse entendre le résultat en entier, avant de remonter dans l'avion. Elle est furieuse.Le tube gigantesque qui s'ensuit et les autres qui vont enchaîner durant quatre albums vont assimiler Kylie à ses producteurs dont la cote chute au début des années 90. Et elle souffre de l'étiquette que le public mais aussi le métier a collé sur elle. D'autant plus qu'elle partage alors la vie d'une star du rock, Michael Hutchence, chanteur d'INXS, un gras bien destroy, on est très loin de l'univers bubble gum. Mais il faut du temps et de la patience pour qu'une chenille se transforme en papillon. Ainsi de sa rencontre avec l'artiste post punk Nick Cave dont le groupe The Birthday Party avait agité le monde alternatif australien au début des années 80. Les paroles de sa chanson apparemment légère Better the devil you know l'ont interpellé. Ce n'est pas une sucrerie adolescente, loin de là. Alors, pourquoi ne ferait-elle pas la partenaire idéale d'un duo où chantent l'amant et sa maîtresse qu'il a assassinée. On est très loin de son public, avec une telle démarche artistique, rare et culottée, vous en conviendrez. La chanson est devenue un hit d'autant plus inattendu qu'elle est restée dans les mémoires et les playlists de la génération Nirvana. Kylie Minogue réussit le pari impossible de gommer son image d'éternelle ado, de femme enfant dans laquelle la musique de ses producteurs l'avaient enfermée. Ceux qui l'entendent réciter en public cette année-là, I should be so lucky comme un poème, une autre suggestion de Nick Cave, vous le confirmeront.
durée : 00:05:12 - Avec sciences - par : Alexandra Delbot - Longtemps considérée comme une pollution moderne liée aux activités humaines, l'exposition au plomb serait en réalité antérieure à l'âge du fer. Une nouvelle étude montre que les hominidés fossiles, qui incluent la lignée humaine et les primates, y sont exposés depuis au moins 2 millions d'années. - invités : Renaud Joannes-Boyau Professeur de géochimie et de géoarchéologie, enseignant-chercheur et vice-président de l'Université Southern Cross en Australie
Qui n'a jamais rêvé de vivre centenaire, et surtout, en bonne santé ? La question fascine depuis longtemps les chercheurs. Récemment, une vaste analyse menée par l'Université de Nouvelle-Galles du Sud en Australie a passé au crible 34 études observationnelles sur la longévité. Résultat : quatre habitudes simples semblent jouer un rôle déterminant pour atteindre un âge avancé tout en restant autonome.Première habitude : rester physiquement actif. L'étude montre que l'exercice régulier, même modéré, est associé à une baisse significative du risque de mortalité. Pas besoin d'un marathon : marcher, jardiner, ou simplement bouger chaque jour suffit déjà à entretenir les muscles, le cœur et les os. Le mouvement est un véritable médicament naturel.Deuxième facteur clé : maintenir des liens sociaux solides. Les centenaires ne vivent pas en isolement. Famille, amis, communauté : le tissu relationnel agit comme un rempart contre la solitude, qui elle-même augmente le risque de maladies cardiovasculaires, de dépression et même de démence. Le message est clair : entretenir ses relations est aussi vital que surveiller son alimentation.Troisième habitude : nourrir son esprit. La longévité n'est pas seulement une affaire de corps, mais aussi de cerveau. Lire, apprendre, jouer d'un instrument ou résoudre des énigmes stimule la plasticité cérébrale et protège contre le déclin cognitif. Les personnes qui gardent une curiosité intellectuelle et une activité mentale régulière vivent non seulement plus longtemps, mais mieux.Enfin, quatrième pilier : adopter une attitude positive face à la vie. Les chercheurs australiens insistent sur l'impact majeur de l'optimisme. Les personnes qui abordent l'avenir avec confiance et qui cultivent la gratitude résistent mieux au stress et développent une meilleure santé cardiovasculaire. L'état d'esprit devient ainsi un véritable facteur biologique de longévité.Ces quatre habitudes — bouger, rester connecté aux autres, stimuler son esprit et cultiver l'optimisme — ne sont pas de simples conseils de bien-être. Elles reposent sur des données solides issues d'une synthèse scientifique portant sur plusieurs dizaines de milliers de participants.En résumé, la recette pour vivre centenaire ne se trouve pas seulement dans nos gènes, mais surtout dans nos choix de vie quotidiens. Si l'on devait retenir une leçon de cette étude australienne, c'est que la longévité n'est pas une loterie : elle se construit pas à pas, sourire après sourire, geste après geste. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Ils ne sont pas nombreux mais quand on voit comment des carrières ont basculé pour certains artistes, du cinéma à la chanson ou vice versa, on se dit que les gens ont bien tort de coller des étiquettes aux uns et aux autres, et de leur fermer des portes. C'est vrai, ils sont comédiens, alors pourquoi veulent-ils chanter ? Prenons l'exemple de la jeune Kylie Minogue, à peine 17 ans, dont c'est le premier rôle important dans une série télé. Ça s'appelle les enfants Henderson, avec parmi la bande de copains, le beau Ben Mendelsohn, qui, lui, va faire aussi connaître une longue carrière. Et alors que Kylie vit ce tournage comme le début d'une grande histoire, ça ne se passe pas bien. Oui, elle oublie souvent son texte, trop souvent. Et il arrive plus d'une fois que le réalisateur ou le producteur se fâche, hurle sur elle. Kylie se retrouve en pleurs, désespérée, elle qui s'est battue avec sa mère pour abandonner ses études pour la comédie. Et ce qui doit arriver arrive : Kylie n'est pas retenue pour la seconde saison de la série. Le drame.La chanson, alors ? Elle envoie une démo au producteur de l'émission Young Talent Time ; elle a pris assez de cours de musique, de chant et de danse. Et puis sa sœur Dannii fait déjà partie de la troupe, elle y chante régulièrement. C'est ainsi que Kylie fait sa première apparition en tant que chanteuse à la télévision australienne en 1985 … mais n'est finalement pas reprise dans la troupe, ça reste sans suite. Heureusement, les castings se succèdent, elle réussit l'audition pour une série qui doit redémarrer la saison suivante. En effet, Neighbours, Les voisins, qui racontent la vie quotidienne des habitants d'une rue imaginaire de Melbourne, n'ont pas connu un grand succès en 1985. La chaîne a jeté l'éponge mais une autre y croit, la reprend et envisage d'étoffer le casting avec de jeunes prometteurs comme Guy Pearce et Kylie Minogue. Elle doit y incarner une étudiante qui quitte l'école pour devenir mécano dans un garage. Et, le croirez-vous, non seulement ce rôle lui convient à merveille, mais sa proximité avec un autre comédien de la distribution, le jeune Jason Donovan, braque les projecteurs de la presse sur elle, y compris en Grande-Bretagne où la série est diffusée. L'épisode de leur mariage, de fiction, réunit 20 millions de téléspectateurs en 1987, les producteurs sont enchantés, la promo tourne toute seule grâce à ces deux jeunes premiers amoureux à l'écran comme à la ville. Et quand on dit que le showbiz est imprévisible, la semaine suivant ce fameux épisode sort le single d'un cover que Kylie a interprété lors d'un événement qui réunissait tout le casting de la série. Une firme de disques s'est dit que ce serait du tout cuit vu la notoriété de la jeune comédienne, et elle met dans le mille, c'est le plus gros succès jamais enregistré en Australie pour un single. Le succès de ce disque en entraîne un autre, Kylie Minogue ne prolongera pas sa participation à la série Neighbours qui ne s'est arrêtée, le saviez-vous, qu'en 2022, c'est fou. Quant à Kylie, elle a continué à chanter cette chanson par laquelle tout est arrivé, lors de toutes ses tournées.
Montréal a vibré comme jamais ! Le Canada affrontait l'Australie et le Stade Saputo était en feu. L'ambiance ? Digne des plus grandes villes de soccer. Les fans ont crié, applaudi et porté leur équipe tout au long du match.Dans cet épisode du CCPP, découvre :
Episode S12E03 avec Aurélien, Thierry, Sébastien B. et Sébastien S.• Introduction (00:00:00) : • Quand la Suisse se lance dans la guerre des drones (00:01:18) : La Suisse investit dans la course aux drones militaires et veut rattraper son retard. (Sources : www.rts.ch, admin.ch et admin.ch) • CancerBuddy : l'application au service des malades, survivants et proches (00:10:41) : Le "réseau social" du cancer est né. (Source : franceinfo.fr) • Quand les GAFAM retardent leurs innovations en europe (00:16:17) : GDPR, DM Act, AI Act, oh my
Pour ce premier épisode interview de la saison 3, je vous donne un rendez-vous gourmand!Je vous présente Andrés Fernandes León, chef franco-colombien du restaurant Cascajal à Bogotá. Il nous parle de sa cuisine inspirée de ses racines françaises et colombiennes, de ses étapes professionnelles au Japon ou encore en Australie, de son envie de laisser une trace dans l'histoire de la gastronomie colombienne ou encore du sancocho de sa maman.Ecouter Andrés, c'est partir dans un voyage culinaire plein de passion et de vision. Je ne peux malheureusement pas vous offrir la douce odeur de cacao qui flottait dans l'air du restaurant pendant l'interview, mais je peux au moins vous donner envie d'aller y faire un tour si vous passez par Bogota!Voici le lien vers l'article du Figaro mentionné dans l'interview: https://www.lefigaro.fr/gastronomie/meilleur-cacao-du-monde-et-cuisine-novoandine-bogota-la-nouvelle-etape-gourmande-d-amerique-du-sud-20250207J'espère que ce nouvel épisode vous plaira!Que vous soyez expatrié ou expatriée, voyageur ou voyageuse ou juste curieux de cultures et de la diversité, ce podcast est pour vous!Bonne écoute!---Surprises interculturelles est LE podcast qui vous fait voyager et mieux comprendre les cultures du monde.
« Le jour longtemps imaginé, mais rarement cru possible, est enfin arrivé », souffle le Jerusalem Post. Mais « il a fallu, regrette le journal, tant de temps, tant de vies perdues ». Après plus de deux ans de guerre entre le Hamas et Israël, la libération des otages toujours détenus dans la bande de Gaza a été suivie en direct, par de nombreux médias, sur les continents américain et européen, jusqu'en Australie. Et, bien évidemment, du côté des médias locaux, qui témoignent de l'état d'esprit des Israéliens. « Il y a de la joie, résume un billet publié par The Times of Israel. La vie retrouvée, les familles réunies, un souffle collectif que nous avons trop longtemps retenu. Et il y a des larmes : pour les longs mois de peur, pour ceux qui ne sont pas rentrés chez eux, pour les cicatrices que chacun porte en lui ». The Times of Israel qui partage les « préparatifs de dernière minute » de Roni et Alma, deux petites filles aux cheveux tressés qui viennent de boucler leur valise, prêtes à retrouver leur père, capturé par le Hamas, le 7 octobre 2023. D'autres, en revanche, attendent le rapatriement des dépouilles, comme Udi Goren qui espère retrouver le corps de son cousin. « Depuis deux ans, on nous annonce sa mort, précise-t-il auprès du quotidien britannique The Times. Mais nous n'avons aucune preuve. Beaucoup de familles d'otages assassinées ressentent une lueur d'espoir. Des familles ont vu des vidéos du meurtre de leur proche. Et elles n'y croient toujours pas. Il y a un besoin, un besoin humain, de certitude, de savoir que ça y est, maintenant il faut l'accepter ». « Pourquoi maintenant ? » Dans les colonnes du New York Times, l'ancienne administration américaine sous Joe Biden défend ses efforts, et assure que « beaucoup de choses » ont changé depuis la nouvelle mandature : la mort de Yahya Sinwar « a plongé le Hamas dans une crise de leadership » ; « la pression militaire israélienne s'est intensifiée à mesure que les réserves de munitions du Hamas s'épuisaient ». Et puis « la tentative israélienne, rappelle le New York Times, d'assassiner les négociateurs du Hamas au Qatar, a à la fois irrité Donald Trump et l'a réveillé ». « Il a compris ce que Netanyahu ignorait : la guerre infligeait d'immenses dommages diplomatiques et une "victoire totale" à Gaza était impossible sans tuer les otages, sacrifier des soldats et blesser les civils derrière lesquels se cache le Hamas. Il a bien mieux compris, poursuit le journal new-yorkais, l'opinion publique israélienne que le gouvernement : 80% des Israéliens étaient favorables au rapatriement des otages, même au prix de la fin de la guerre ». C'est la raison pour laquelle « les Israéliens célèbrent Trump comme une superstar », titre le Süddeutsche Zeitung en Allemagne. Le correspondant du journal à Tel-Aviv raconte comment l'équipe du président américain – son émissaire Steve Witkoff et son gendre Jared Kushner – a été acclamée samedi soir, sur la place des Otages, par un demi-million d'Israéliens. « Leur héros n'est pas Netanyahu, mais Trump, le négociateur, le pacificateur », présent en Israël ce lundi 13 octobre, avant de coprésider, en Egypte, un sommet pour la paix à Gaza. Une conférence de Charm el-Cheikh qui « ne devrait pas régler les questions politiques de fond autour de l'avenir de Gaza », selon L'Orient-Le Jour, mais qui « servira de test crucial pour mesurer la solidité du cessez-le-feu, et la viabilité du pari diplomatique de Donald Trump ». Il faut désormais se tourner vers la suite « Tout cela n'est qu'un show, les gens veulent être optimistes. En réalité, ils sont terrifiés », s'inquiète un Israélien cité par Le Figaro. « La libération des otages n'est que la première phase du plan Trump, rappelle le journal français. La seconde phase de l'accord s'annonce plus complexe à mettre en œuvre ». En attendant, « la bataille de Netanyahu autour du récit commence », grince Haaretz. Alors que s'ouvre une année électorale, le quotidien israélien, critique vis-à-vis du gouvernement, estime que le Premier ministre laissera entendre, ce lundi matin devant le parlement israélien, qu'il a « résisté héroïquement aux pressions intérieures et extérieures ». « Mais la pression américaine, souligne Haaretz, ne lui a laissé d'autre choix que de céder ».
L'UEFA a signifié ce lundi sa vive opposition aux délocalisations de rencontres des championnats européens à l'étranger. L'instance présidée par Aleksander Ceferin a toutefois autorisé la Liga et la Serie A à organiser deux matchs prévus fin décembre aux Etats-Unis et en Australie. Jérôme Rothen, Benoit Boutron et Emmanuel Petit commentent cette information.
Radio Foot internationale à 16h10-21h10 T.U. au sommaire de l'émission ce mardi : - CAN : malgré les manifestations au Maroc, Patrice Motsepe, patron de le CAF, se dit « absolument confiant » quant à la tenue du tournoi dans le pays. ; - Florian Thauvin retrouve les Bleus. ; - Foot absurde et irresponsable ? - CAN : malgré les manifestations au Maroc, Patrice Motsepe, patron de le CAF, se dit «absolument confiant» quant à la tenue du tournoi dans le pays. - Éliminatoires Mondial 2026 en Afrique, il reste 7 tickets directs à prendre pour l'Amérique. Groupe C : après le coup de théâtre qui a vu l'Afrique du Sud perdre 3 points sur tapis vert, alors qu'elle avait gagné le match, c'est le Bénin qui a pris la tête. Les Guépards ont cependant 2 déplacements compliqués à faire, au Rwanda puis au Nigeria. Les Bafana Bafana joueront en revanche 2 rencontres à domicile. - Groupe D, le Cameroun peut-il encore y croire ? Le leader (Cap Vert) n'a besoin que d'un succès pour décrocher son billet direct. - Dans la poule I, c'est plus indécis... Le Ghana est très bien placé pour la qualification directe, notamment grâce à sa différence de buts. Comoriens et Malgaches, qui s'affrontent demain, veulent encore y croire. Le Mali de Tom Sainfiet se fixe une place de meilleur 2è comme objectif. - Dans le groupe A, l'Égypte y est presque. Les Pharaons affrontent Djibouti en terre marocaine, un point leur suffit. - La bataille fait rage pour les deuxièmes places. Les quatre meilleurs des poules disputeront d'abord des barrages en novembre, la nation qui en sortira devra encore se frotter à un affrontement intercontinental pour obtenir sa place ! - Florian Thauvin retrouve les Bleus. L'ailier de 32 ans, champion du monde 2018, de retour plus de 6 ans après son dernier match. Après sa parenthèse mexicaine, un passage probant à l'Udinese, et un bon début de saison avec Lens pour son retour en L1. Il aura fallu un forfait, mais tout vient à point pour qui sait attendre ! - Foot absurde et irresponsable ? Après les supercoupes, les matches de championnat ! La Liga et la Serie A joueront une rencontre aux États-Unis et en Australie ! L'UEFA avait pourtant repoussé le sujet pour consulter les acteurs du foot, l'instance dit approuver « à contrecœur » la requête des fédérations. Une exception qui risque de se généraliser ? Pour débattre avec Annie Gasnier : Frank Simon, Olivier Pron et Nicolas Vilas. Technique/réalisation : Guillaume Buffet - Pierre Guérin.
Radio Foot internationale à 16h10-21h10 T.U. au sommaire de l'émission ce mardi : - CAN : malgré les manifestations au Maroc, Patrice Motsepe, patron de le CAF, se dit « absolument confiant » quant à la tenue du tournoi dans le pays. ; - Florian Thauvin retrouve les Bleus. ; - Foot absurde et irresponsable ? - CAN : malgré les manifestations au Maroc, Patrice Motsepe, patron de le CAF, se dit «absolument confiant» quant à la tenue du tournoi dans le pays. - Éliminatoires Mondial 2026 en Afrique, il reste 7 tickets directs à prendre pour l'Amérique. Groupe C : après le coup de théâtre qui a vu l'Afrique du Sud perdre 3 points sur tapis vert, alors qu'elle avait gagné le match, c'est le Bénin qui a pris la tête. Les Guépards ont cependant 2 déplacements compliqués à faire, au Rwanda puis au Nigeria. Les Bafana Bafana joueront en revanche 2 rencontres à domicile. - Groupe D, le Cameroun peut-il encore y croire ? Le leader (Cap Vert) n'a besoin que d'un succès pour décrocher son billet direct. - Dans la poule I, c'est plus indécis... Le Ghana est très bien placé pour la qualification directe, notamment grâce à sa différence de buts. Comoriens et Malgaches, qui s'affrontent demain, veulent encore y croire. Le Mali de Tom Sainfiet se fixe une place de meilleur 2è comme objectif. - Dans le groupe A, l'Égypte y est presque. Les Pharaons affrontent Djibouti en terre marocaine, un point leur suffit. - La bataille fait rage pour les deuxièmes places. Les quatre meilleurs des poules disputeront d'abord des barrages en novembre, la nation qui en sortira devra encore se frotter à un affrontement intercontinental pour obtenir sa place ! - Florian Thauvin retrouve les Bleus. L'ailier de 32 ans, champion du monde 2018, de retour plus de 6 ans après son dernier match. Après sa parenthèse mexicaine, un passage probant à l'Udinese, et un bon début de saison avec Lens pour son retour en L1. Il aura fallu un forfait, mais tout vient à point pour qui sait attendre ! - Foot absurde et irresponsable ? Après les supercoupes, les matches de championnat ! La Liga et la Serie A joueront une rencontre aux États-Unis et en Australie ! L'UEFA avait pourtant repoussé le sujet pour consulter les acteurs du foot, l'instance dit approuver « à contrecœur » la requête des fédérations. Une exception qui risque de se généraliser ? Pour débattre avec Annie Gasnier : Frank Simon, Olivier Pron et Nicolas Vilas. Technique/réalisation : Guillaume Buffet - Pierre Guérin.
En 2016, Bertrand Belin, entre musique, écriture et image, nous embarquait dans son univers créatif singulier et foisonnant.
Jean-François de Galaup, comte de La Pérouse, est l'un des grands explorateurs français du XVIIIᵉ siècle, resté célèbre autant pour ses découvertes que pour sa disparition mystérieuse. Né en 1741 à Albi, il se distingue très tôt dans la marine royale, notamment pendant la guerre de Sept Ans. Courageux, cultivé, apprécié de ses hommes, il attire l'attention du roi Louis XVI, passionné de géographie et d'exploration.En 1785, le souverain lui confie une mission prestigieuse : réaliser une expédition scientifique et cartographique autour du monde, dans l'esprit des voyages de James Cook. À bord de deux frégates, La Boussole et L'Astrolabe, La Pérouse embarque avec des marins, des savants, des ingénieurs et des artistes. L'objectif est triple : cartographier des terres inconnues, étudier les peuples rencontrés, et enrichir les connaissances scientifiques de la France.Pendant trois ans, son voyage est un succès. La Pérouse explore le Chili, l'île de Pâques, Hawaï, l'Alaska, la Californie, le Kamtchatka, le Japon, la Corée, les Philippines, les Samoa et l'Australie. Il décrit avec précision les rivages, les sociétés rencontrées et recueille d'innombrables données scientifiques. Ses lettres et journaux, envoyés au fur et à mesure, passionnent l'Europe éclairée.Mais en 1788, après avoir quitté Botany Bay en Australie, les navires disparaissent. Pendant près de quarante ans, leur sort demeure un mystère. La légende naît : où est passé La Pérouse ? A-t-il sombré en mer, été massacré par des insulaires, ou s'est-il réfugié sur une île perdue ?Ce n'est qu'en 1826 que l'on retrouve des traces de l'expédition. L'explorateur irlandais Peter Dillon découvre des débris aux îles Vanikoro, dans l'archipel des Salomon. Les navires de La Pérouse s'y seraient fracassés sur les récifs. Quelques survivants auraient vécu quelque temps avec les habitants avant de disparaître définitivement.La Pérouse incarne depuis l'archétype de l'explorateur romantique : savant, marin courageux, mais englouti par le mystère. Son nom demeure dans la toponymie mondiale – le détroit de La Pérouse entre Sakhaline et Hokkaidō, ou encore le cap La Pérouse à Hawaï.Aujourd'hui, son destin fascine toujours : à la fois triomphe scientifique et tragédie humaine, son expédition symbolise la soif de découvertes des Lumières, mais aussi les dangers immenses que réservait l'océan au XVIIIᵉ siècle. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Pour la première fois en Australie, rejoignez le cirque visuel de Murmur et une composition sonore acrobatique multisensorielle !
En 2014, Hugo Geissmann cofonde Thiga avec un pote. Dix ans plus tard : 300 employés, 30M€ de CA, et une implantation en France, Espagne, Suisse et Allemagne.Mais derrière ces chiffres, il y a surtout une vision : mettre le product management au centre et construire une boîte qui tient dans le temps.Dans cet épisode, on retrace son parcours : pourquoi il s'est lancé, les galères et apprentissages, les choix parfois contre-intuitifs, et sa façon de voir l'entrepreneuriat aujourd'huiOn parle de :
Dans cette chronique, Thomas Renard nous emmène à la découverte des arnaques internationales qui pourraient bientôt frapper la France. Des soirées lanternes fictives en Australie, aux faux casinos en ligne utilisant l'image d'Elon Musk aux États-Unis, en passant par des arnaques à l'embauche en Angleterre, l'enquêteur de "Ça peut vous arriver" vous livre tous ses conseils pour ne pas tomber dans ces pièges ! Tous les jours, retrouvez en podcast les meilleurs moments de l'émission "Ça peut vous arriver", sur RTL.fr et sur toutes vos plateformes préférées.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Cette semaine, partez à la découverte de quatre énigmes parmi les plus troublantes jamais découvertes. Le disque de Phaistos, vestige mystérieux de la Crète antique, gravé de signes que personne n'a jamais su déchiffrer. Le signal Wow!, cette étrange transmission venue de l'espace qui interroge encore les astrophysiciens. Le mystère Tamam Shud, une affaire d'espionnage ou de crime insoluble, où un homme retrouvé mort sur une plage ne portait pour seul indice qu'un mot codé. Et enfin, le manuscrit de Voynich, ce livre médiéval rempli de dessins et d'une écriture inconnue, défiant les cryptographes depuis des siècles. Tamam Shud, l'un des meurtres les plus mystérieux de l'histoire Le 1er décembre 1948, un homme sans identité est retrouvé mort sur la plage de Somerton, en Australie, vêtu d'un costume impeccable mais sans papiers ni étiquettes. Dans sa veste, la police découvre un minuscule papier portant deux mots en persan : Tamam Shud, “C'est terminé”, reliés à un recueil de poèmes annoté de mystérieuses lignes de code… Pour découvrir d'autres récits passionnants, cliquez ci-dessous : [INEDIT] Le sombre destin de Robert Durst : du rêve au cauchemar Américain (1/2) [INEDIT] Le sombre destin de Robert Durst : du rêve au cauchemar Américain (2/2) [INEDIT] Le sombre destin de Patricia Hearst : l'otage devenue terroriste (1/2) [INEDIT] Le sombre destin de Patricia Hearst : l'otage devenue terroriste (2/2) Un podcast Bababam Originals Ecriture : Clémence Setti Production : Bababam Voix : Florian Bayoux Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Raconter l'Afrique et ses diasporas à travers leurs sons et leurs musiques, c'est l'objectif d'une exposition immersive au Musée d'ethnographie de Genève, en Suisse. Avec plus de 200 œuvres – archives, instruments anciens et installations contemporaines –, Afrosonica. Paysages sonores embarque le public dans un voyage multisensoriel qui met en lumière le son comme vecteur de connexion, de résistance et de changement. Des tambours et des luths, des gousses de fruits et des cocons d'insectes, des graines et des coquillages : c'est l'Afrique dans toute sa diversité sonore qui se déploie sur 1 000 mètres carrés au Musée d'ethnographie de Genève. Mo Laudi, artiste multidisciplinaire et DJ sud-africain, est co-commissaire de l'exposition : « "Afrosonica" fait référence à une tradition dans les townships de fusionner des mots pour créer de nouvelles significations. Ici, c'est l'idée que l'Afrique est riche ; les minéraux les plus précieux proviennent du Congo et se retrouvent dans nos téléphones portables ; l'or d'Afrique du Sud orne les Rolex. Et quand vous écoutez du rock and roll, il a ses racines en Afrique, tout comme le hip-hop et le jazz. Aujourd'hui, il y a une fierté à affirmer : "Je suis Africain." Il est essentiel de se souvenir de ces racines pour avancer. » Cet ambassadeur de l'afro-électro présente lui-même une création. Inspirée des peintures murales des maisons d'Afrique du Sud, il y mêle plastique recyclé et chants de travail. Avec l'ethnomusicologue canadienne Madeleine Leclair, conservatrice au MEG, les deux commissaires ont puisé dans les 20 000 heures d'archives du musée et passé commande à sept artistes contemporains pour créer un parcours libre où le son est outil de mémoire, de transmission, de contestation. À écouter aussiAfrosonica, paysages sonores au Musée d'Ethnographie de Genève (MEG) Madeleine Leclair : « Les grands mouvements politiques, les grands chamboulements qui ont marqué l'histoire de l'Afrique – la colonisation, décolonisation, indépendance – étaient accompagnés de musique. C'est vraiment un élément fédérateur. Également en Afrique du Sud, à l'époque de l'apartheid notamment, le gouvernement est même allé jusqu'à censurer des enregistrements, de personnages importants dans la contestation rayés du disque. » Une vingtaine de thèmes rythment le parcours, illustrant le pouvoir du son entre révolte et résilience, rituel et réactivation de la mémoire. Des peintures préhistoriques de harpes du Sahara croisent le chant vaudou du Bénin des années 1960, tandis que la rumba congolaise se frotte aux vinyles d'un jukebox. Le public peut assister à un « bain d'oreilles » au Nigeria et se laisser hypnotiser par le vrombissement d'un rhombe, petit objet en os, en bois ou en ivoire, que l'on fait tournoyer au-dessus de la tête à l'aide d'une ficelle. Madeleine Leclair : « Ces rhombes sont mis en mouvement sur les cinq continents, notamment au Brésil, en Australie également, et en Afrique, ça peut aussi être interprété comme la voix des ancêtres. » Et parfois, il suffit d'un bidon d'huile et d'un câble de frein à vélo pour créer une cithare au Burkina Faso et redonner un sens au son. ► L'exposition Afrosonica. Paysages sonores à voir et à écouter au MEG en Suisse jusqu'au 4 janvier 2026.
Robert Pledge, co-fondateur de la dotation Catherine Leroy nous parle de la photo-journaliste Catherine Leroy, dont les photographies sont exposées au Ballarat International Foto Biennale jusqu'au 19 octobre ici en Australie.
Le mot “Australie” évoque pour nous un vaste continent peuplé de kangourous, de déserts et de récifs coralliens. Mais sais-tu que ce nom vient d'un continent… qui n'a jamais existé ? La mystérieuse Terra Australis.Un continent imaginaireDès l'Antiquité, certains savants imaginent qu'il doit exister une grande masse de terres dans l'hémisphère sud, afin d'équilibrer celles déjà connues au nord. Cette idée traverse les siècles et, au Moyen Âge, les cartographes européens la reprennent : sur leurs cartes, ils dessinent une immense terre méridionale, qu'ils baptisent Terra Australis Incognita — littéralement, la “terre australe inconnue”. On la place vaguement au sud de l'océan Indien, parfois reliée à l'Antarctique, parfois décalée vers le Pacifique. Bref, c'est une hypothèse géographique devenue un mythe.L'époque des grandes découvertesÀ partir du XVe siècle, les navigateurs portugais, espagnols, puis hollandais partent explorer le monde. Leurs cartes mentionnent souvent cette Terra Australis, même si personne ne l'a jamais foulée. Et lorsque les Européens commencent à aborder les côtes de ce que nous appelons aujourd'hui l'Australie — les Hollandais au XVIIᵉ siècle, puis plus tard James Cook au XVIIIᵉ —, ils associent naturellement cette terre réelle à la légendaire masse australe de leurs cartes.Du mythe au nom officielAu départ, les Hollandais parlent de New Holland pour désigner cette région. Mais l'idée d'une terre du sud persiste. En 1814, l'explorateur britannique Matthew Flinders publie ses récits de voyage et propose officiellement le nom Australia. Pourquoi ? Parce que ce mot, déjà utilisé par certains cartographes et savants, rappelait clairement la Terra Australis tout en étant plus simple, plus moderne. Le gouverneur britannique Lachlan Macquarie adopte le terme en 1817, et à partir de 1824, il devient le nom officiel du continent.Un héritage toujours visibleAujourd'hui, le nom Australie porte donc la trace d'un mythe géographique. La “Terra Australis” n'existait pas, mais elle a donné son nom à une terre bien réelle. C'est un exemple fascinant de la manière dont les rêves et les hypothèses des savants peuvent marquer l'histoire, au point de baptiser un continent entier.ConclusionL'Australie doit son nom non pas à une réalité géographique, mais à une idée : celle d'équilibrer le monde. La “Terra Australis” était une invention, mais son héritière est bien tangible. Comme quoi, même les fictions cartographiques peuvent laisser des traces indélébiles dans notre langage et notre imaginaire. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Anne de Vandière voyage depuis 30 ans pour rencontrer les savoir-faire des peuples premiers. Son travail passionnel l'a menée au Sénégal, au Népal, en Inde, en Tanzanie, en Australie, en Thaïlande, au Groenland ou en Equateur... Chaque fois, c'est par les mains qu'elle entre dans l'âme de ses sujets. En s'intéressant aux origines, elle propose un chemin vers l'intelligence du corps qui est celle qui réunit les artisans au delà des langues, des cultures et des frontières.
La fusillade qui a coûté la vie à deux policiers dans la petite ville rurale de Porepunkah, dans l'État de Victoria, relance le débat sur la détention et l'octroi de licences pour les armes à feu en Australie.
L'Australie a révélé que le Corps des gardiens de la révolution islamique était à l'origine de deux attentats antisémites en Australie en 2024. La découverte d'un réseau, dirigé par l'Iran, a conduit à l'expulsion de l'ambassadeur iranien à Canberra et au renvoi des diplomates australiens de Téhéran.
Photographe documentaire installé en Australie, Franck Gazzola raconte son parcours, de l'expatriation à la passion pour l'océan. À travers ses expéditions et ses images, il sensibilise à la beauté mais aussi à la fragilité des environnements marins.