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En Hongrie, le gouvernement de Viktor Orban veut museler encore un peu plus la liberté d'expression. Les médias, publics et privés lui sont déjà acquis à 80%. C'est donc avec un nouveau projet de loi inspiré de la législation russe sur les agents de l'étranger qu'il entend marquer les esprits. Ce texte sur « la transparence de la vie publique » permettrait au gouvernement de mettre sur liste noire, de façon arbitraire, les médias et les ONG financés par des fonds étrangers. L'Union européenne a déjà condamné ce texte dont le vote a été repoussé... mais cela ne suffit pas à dissiper l'inquiétude des médias et des ONG. Reportage à Budapest de Florence Labruyère. La Slovaquie traque aussi «les agents de l'étranger» Et en Slovaquie aussi, le modèle législatif russe a été copié... tout média ou ONG qui reçoit de l'argent de l'étranger doit le déclarer sous peine de sanctions sévères, voire de dissolution... À Prague, Alexis Rosenzweig. La très patriotique culture russe En Russie, c'est via la culture que le régime tente sa reprise en main patriotique... Théâtres, cinémas et poètes vantent l'opération militaire spéciale, nom officiel de la guerre menée en Ukraine. Si bien que la lettre Z, symbole de l'offensive, se décline jusqu'aux devantures des théâtres et des scénarios improbables de fictions de cinéma... Mais le succès de cette production très officielle est mitigé... bien loin des succès des stars de la pop en exil... Reportage à Moscou signé de notre correspondante Anissa El Jabri. La revue de presse de Franceline Beretti Alors que les attaques aériennes de la Russie contre l'Ukraine se sont intensifiées cette semaine, les médias allemands se font l'écho de sévères inquiétudes.
En Hongrie, le gouvernement de Viktor Orban veut museler encore un peu plus la liberté d'expression. Les médias, publics et privés lui sont déjà acquis à 80%. C'est donc avec un nouveau projet de loi inspiré de la législation russe sur les agents de l'étranger qu'il entend marquer les esprits. Ce texte sur « la transparence de la vie publique » permettrait au gouvernement de mettre sur liste noire, de façon arbitraire, les médias et les ONG financés par des fonds étrangers. L'Union européenne a déjà condamné ce texte dont le vote a été repoussé... mais cela ne suffit pas à dissiper l'inquiétude des médias et des ONG. Reportage à Budapest de Florence Labruyère. La Slovaquie traque aussi «les agents de l'étranger» Et en Slovaquie aussi, le modèle législatif russe a été copié... tout média ou ONG qui reçoit de l'argent de l'étranger doit le déclarer sous peine de sanctions sévères, voire de dissolution... À Prague, Alexis Rosenzweig. La très patriotique culture russe En Russie, c'est via la culture que le régime tente sa reprise en main patriotique... Théâtres, cinémas et poètes vantent l'opération militaire spéciale, nom officiel de la guerre menée en Ukraine. Si bien que la lettre Z, symbole de l'offensive, se décline jusqu'aux devantures des théâtres et des scénarios improbables de fictions de cinéma... Mais le succès de cette production très officielle est mitigé... bien loin des succès des stars de la pop en exil... Reportage à Moscou signé de notre correspondante Anissa El Jabri. La revue de presse de Franceline Beretti Alors que les attaques aériennes de la Russie contre l'Ukraine se sont intensifiées cette semaine, les médias allemands se font l'écho de sévères inquiétudes.
Az előfizetők (de csak a Belső kör és Közösség csomagok tulajdonosai!) már szombat hajnalban hozzájutnak legfrissebb epizódunk teljes verziójához. A hétfőn publikált, ingyen meghallgatható verzió tíz perccel rövidebb. Itt írtunk arról, hogy tudod meghallgatni a teljes adást. Audiovizuálisan ismét megtekinthető műsorunk egyre radikálisabb retorikával katalizálja a rókakérdés mentén zajló társadalmi párbeszédet. 00:31 Itt a kánikula, de a tamil kajafutárok nem érzékelik. Videós emberkísérlet: tokaszalonna. 04:37 A Matolcsy-diéta. Kiss húsműhely. Winkler Róbert növényevő múltja. 08:47 Uj Péter kiönti a bort, majd elbukik az emberkísérleten. Családtagok és az egészséges életmód. 13:16 A borsörlők Maybachja. A kínai néni salátája. 18:50 Kínai könyv: hamarost. Pünkösdre sincs takarítás. Bukele eredményei és az autokrácia hógolyója. Kisgyerek varázspálcával. 22:56 A Magyar Madártatni Egyesület rókái. Róka-macska meccs Budaörsön. Parti-Nagy Lajos: Rókatárgy alkonyatkor. 27:22 Mészáros Lőrinc, a Tisza ügynöke. Látta ezt a Rogán? Bezzeg a Navracsics! Mennyi ide München? 33:02 Az idei BL-döntő színvonala. A 2003-as Milan-Juventus. A kisebbségi érzésből fakadó prefeudalizmus. Milyen cipővel kell megdobálni Gulyás Gergelyt cipővel? 37:07 Visszatér a magyar márka, a Pepsi. A 444 2014-es kólatesztje. 40:24 Miért van annyi palesztin zászló a Giro d'Italián? Mahmud Ahmenidezsád, Rák Sándorné, Döbrentei Kornél és Takaró Mihály a Tour d'Hongrie-n. Az ötszörös Tour de France-győztes felpofoz egy sztrájkoló hajógyári munkást. Jimmy Jump. 46:30 Kioktatás műszaki vizsgán. Jobboldali kipufogó és gyermekrák. See omnystudio.com/listener for privacy information.
Cette semaine, à Histoire de passer le temps, Joel Bienvenue retrace les expéditions des Vikings dans l'est de l'Europe. Ces Vikings, connus sous le nom de Varègues, vont laisser leur marque sur l'histoire de ces régions. Maxime Tessier nous explique l'important rôle joué par les troupes canadiennes lors du débarquement de Normandie en juin 1944 et comment cet épisode a contribué à construire une identité nationale canadienne. Après la campagne de Normandie, le Canada sera un membre à part entière de la communauté des démocraties du « monde libre ». Finalement, Philippe Comeau aborde un sujet peu connu et encore tabou de l'histoire allemande, le transfert des populations germanophones vivant en Pologne, en Tchécoslovaquie et en Hongrie vers l'Allemagne après la Seconde Guerre mondiale. Il raconte l'expulsion de 12 millions de personnes d'Europe centrale et orientale, suivie de leur réinstallation et leur adaptation parfois difficile en Allemagne.
Une loi hongroise de 2021 viole le droit de l'Union européenne. C'est le point de vue de l'avocate générale auprès de la cour de justice de l'UE. Si la décision de la cour n'est pas attendue avant plusieurs semaines, il n'empeche que ce litige c'est un exemple du bras de fer entre le gouvernement hongrois et les partenaires européens sur le thème des droits humains. Un exemple de l'illibéralisme dont peut faire preuve Viktor Orban. Ce terme décrit un état intermédiaire entre démocratie et régime autoritaire. Et outre Orban, ils sont plusieurs en Europe dans ce cas. Véronique Lamquin est la cheffe du pôle Idées. On revient avec elle sur les conséquences du bras de fer entre la Hongrie et l'UE et sur ce concept d'illibéralisme.« À propos », c'est notre sélection de l'actualité, du lundi au vendredi dès 5 heures sur Le Soir et votre plateforme de podcasts préférée. Retrouvez tous les podcasts du journal « Le Soir » sur https://podcasts.lesoir.be
La Cour constitutionnelle a tranché, l'absence de 'pacs' est contraire à la charte fondamentale du pays, et la loi doit évoluer. Mais les résistances demeurent. Gay Pride Alors qu'en Hongrie, le gouvernement veut empêcher l'organisation de la traditionnelle fête de la communauté LGBT, Vilnius prépare sa Gay Pride, prévue le 7 juin. La Lituanie est le seul des trois pays baltes où il n'existe pas d'union civile pour les couples de même sexe. La Cour constitutionnelle a statué, il y a quelques semaines : cette situation est contraire à la charte fondamentale. En attendant que la loi change, les couples LGBT vivent entre espoir et difficultés du quotidien. Reportage signé Marielle Vitureau.Vers l'interdiction des thérapies de conversion dans l'UE ? À l'heure actuelle, seuls 8 pays membres ont banni ces pratiques visant à amener à l'hétérosexualité des personnes qui se définissent autrement. Mais le mois dernier, plus d'un million de personnes ont signé une pétition dans le cadre d'un ICE, une initiative citoyenne européenne, qui permet de demander leur interdiction dans l'ensemble de l'Union européenne. C'est désormais à la Commission de passer à l'action mais le chemin s'annonce très compliqué. Les explications d'Elena Louazon. EmploiPlus de 40 professions manquent de main-d'œuvre dans l'ensemble de l'UE, cela concerne la construction, les transports, certains métiers de la santé, et le commerce. Le Groenland territoire danois dont les réserves minières intéressent beaucoup les États-Unis, ne fait pas exception : ce territoire aussi grand que la République démocratique du Congo, mais peuplé de 57.000 habitants seulement s'attend à un boom de l'extraction et du tourisme, mais il manque déjà de main-d'œuvre, et fait appel à des travailleurs immigrés venus, notamment, d'Asie. Reportage à Nuuk, Justine Fontaine. La presse européenne vue par Franceline Beretti : cette semaine, la chute du gouvernement néerlandais ; l'attaque des drones ukrainiens sur des bases aériennes russes ; la finale de la Ligue des Champions. En Slovaquie, de l'ours brun dans les assiettes ? L'ours est de plus en plus présent en Europe, en particulier en Roumanie. Et les rencontres avec les humains ne se passent pas toujours bien. En Italie, grâce à une politique de prévention et d'information, les dégâts liés à l'animal ont quasiment disparu en trois ans et la cohabitation se passe bien. En Slovaquie, en revanche, le projet est tout autre, les autorités ont approuvé l'abattage de plusieurs centaines d'animaux et la viande d'ours brun, espèce toujours protégée, pourrait bientôt faire son apparition dans les assiettes, commercialisée et consommée. Les précisions d'Alexis Rosenzweig.
La Cour constitutionnelle a tranché, l'absence de 'pacs' est contraire à la charte fondamentale du pays, et la loi doit évoluer. Mais les résistances demeurent. Gay Pride Alors qu'en Hongrie, le gouvernement veut empêcher l'organisation de la traditionnelle fête de la communauté LGBT, Vilnius prépare sa Gay Pride, prévue le 7 juin. La Lituanie est le seul des trois pays baltes où il n'existe pas d'union civile pour les couples de même sexe. La Cour constitutionnelle a statué, il y a quelques semaines : cette situation est contraire à la charte fondamentale. En attendant que la loi change, les couples LGBT vivent entre espoir et difficultés du quotidien. Reportage signé Marielle Vitureau.Vers l'interdiction des thérapies de conversion dans l'UE ? À l'heure actuelle, seuls 8 pays membres ont banni ces pratiques visant à amener à l'hétérosexualité des personnes qui se définissent autrement. Mais le mois dernier, plus d'un million de personnes ont signé une pétition dans le cadre d'un ICE, une initiative citoyenne européenne, qui permet de demander leur interdiction dans l'ensemble de l'Union européenne. C'est désormais à la Commission de passer à l'action mais le chemin s'annonce très compliqué. Les explications d'Elena Louazon. EmploiPlus de 40 professions manquent de main-d'œuvre dans l'ensemble de l'UE, cela concerne la construction, les transports, certains métiers de la santé, et le commerce. Le Groenland territoire danois dont les réserves minières intéressent beaucoup les États-Unis, ne fait pas exception : ce territoire aussi grand que la République démocratique du Congo, mais peuplé de 57.000 habitants seulement s'attend à un boom de l'extraction et du tourisme, mais il manque déjà de main-d'œuvre, et fait appel à des travailleurs immigrés venus, notamment, d'Asie. Reportage à Nuuk, Justine Fontaine. La presse européenne vue par Franceline Beretti : cette semaine, la chute du gouvernement néerlandais ; l'attaque des drones ukrainiens sur des bases aériennes russes ; la finale de la Ligue des Champions. En Slovaquie, de l'ours brun dans les assiettes ? L'ours est de plus en plus présent en Europe, en particulier en Roumanie. Et les rencontres avec les humains ne se passent pas toujours bien. En Italie, grâce à une politique de prévention et d'information, les dégâts liés à l'animal ont quasiment disparu en trois ans et la cohabitation se passe bien. En Slovaquie, en revanche, le projet est tout autre, les autorités ont approuvé l'abattage de plusieurs centaines d'animaux et la viande d'ours brun, espèce toujours protégée, pourrait bientôt faire son apparition dans les assiettes, commercialisée et consommée. Les précisions d'Alexis Rosenzweig.
Retour sur une petite musique qui monte dans les démocraties occidentales : la remise en cause de l'État de droit. Donald Trump aux États-Unis, Viktor Orban en Hongrie, et même ici en France, des attaques qui se multiplient contre un “gouvernement des juges” qui entraverait l'action politique… La France est-elle vraiment sur une pente illibérale ? On en débat ce mercredi 4 juin avec nos invités : ▶︎ Patrice SPINOSI Avocat au Conseil d'Etat et à la Cour de cassation, Auteur de « Menace sur l'état de droit, comment préserver nos démocraties », Allary éditions, 2025▶︎ Pierre-Henri TAVOILLOT Philosophe, maître de conférence à l'université Sorbonne-Paris IV, président du Collège de philosophie, auteur de « Voulons-nous encore vivre ensemble ? », Odile Jacob, 2024▶︎ Gilles MENTRÉ Haut Fonctionnaire, ancien conseiller à la présidence de la République (Sarkozy), Auteur de l'ouvrage « Les deuxpouvoirs : la démocratie directe au secours de la démocratie représentative » Gallimard en janvier 2024▶︎ Natacha POLONY Journaliste et essayiste▶︎ Eugenie MERIEAU Constitutionnaliste, politiste, juriste, maîtresse de conférence à l'Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne et chercheuse associée à Sciences Po, autrice de « Constitution », édition Anamosa, mai 2025▶︎ Aurélie FILIPPETTI Directrice des Affaires Culturelles à Paris, Enseignante à Sciences Po, professeure de littérature, romancière, ancienne ministre de la Culture et de la Communication (2012-2014), ancienne députée
Une loi hongroise de 2021 viole le droit de l'Union européenne. C'est le point de vue de l'avocate générale auprès de la cour de justice de l'UE. Si la décision de la cour n'est pas attendue avant plusieurs semaines, il n'empeche que ce litige c'est un exemple du bras de fer entre le gouvernement hongrois et les partenaires européens sur le thème des droits humains. Un exemple de l'illibéralisme dont peut faire preuve Viktor Orban. Ce terme décrit un état intermédiaire entre démocratie et régime autoritaire. Et outre Orban, ils sont plusieurs en Europe dans ce cas. Véronique Lamquin est la cheffe du pôle Idées. On revient avec elle sur les conséquences du bras de fer entre la Hongrie et l'UE et sur ce concept d'illibéralisme.
Imaginez recharger 400 kilomètres d'autonomie en à peine cinq minutes. Le temps d'un café, d'un passage aux toilettes… et c'est reparti. C'est la promesse faite par Stella Li, vice-présidente de BYD, le géant chinois de la voiture électrique, lors de son passage à Bruxelles. Une promesse qui s'appuie sur du concret : l'arrivée imminente en Europe des « chargeurs flash » développés par le constructeur.Ces bornes de nouvelle génération utilisent une architecture électrique de 1000 volts. Une technologie déjà éprouvée en Chine sur plusieurs modèles BYD, et qui devrait débarquer sur le Vieux Continent d'ici douze mois. L'objectif est clair : rassurer les automobilistes européens encore frileux à l'idée de passer au tout électrique. Peur de tomber en panne, attente trop longue aux bornes… BYD veut balayer ces freins avec une arme redoutable : la vitesse. Trois fois plus rapides que les bornes actuelles, ces chargeurs permettront même aux véhicules déjà en circulation de bénéficier de temps de recharge réduits de 20 à 30 %. D'abord installés dans les concessions BYD, ils devraient s'étendre via des partenariats avec des acteurs locaux.Mais derrière cette offensive technologique, une stratégie bien plus large se dessine : celle d'une intégration verticale à la Tesla. BYD veut contrôler l'ensemble de la chaîne de valeur électrique, de la batterie à la borne, en passant par la voiture. À une nuance près : contrairement à Tesla, BYD ouvrira ses bornes à tous les véhicules électriques. Un choix économique malin : plus d'utilisateurs, plus de revenus, et un pas de plus vers la domination du marché. Et si l'Europe tente de freiner les ambitions chinoises avec des droits de douane — jusqu'à 27 % sur les véhicules BYD —, le constructeur contourne l'obstacle. Une usine ouvre cette année en Hongrie, avec production locale, centre R&D et siège européen à Budapest. Pour Stella Li, ces taxes ne sont qu'un « obstacle à court terme ». Pour l'instant, BYD avance à grande vitesse — et compte bien électrifier l'Europe, borne après borne. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dans cet épisode, Grace raconte l'emprise subie d'un conjoint proxénète. "Au début il est tout gentil..."Partie en Hongrie faire des études de communication, elle se retrouve rapidement isolée et fait la rencontre de cet homme qui abuse de sa confiance et l'isole de sa famille. Emprise, isolement, ce sont les ressorts de la stratégie de l'agresseur proxénète bien connues qu'il utilise pour prostituer Grace. Elle raconte avec force la présence constante de son proxénète, qui contrôle tout, des horaires aux finances, et qui a fait en sorte qu'elle ne puisse avoir le choix. Son récit déchirant est d'utilité publique ! Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Nous évoquons aujourd'hui des menaces politiques qui pèsent sur les audiovisuels publics à la lumière des différentes situations dans trois pays différents : les États-Unis, la Pologne et la France. Le gouvernement de Trump, on le sait, cherche à couper tout financement à son audiovisuel public, c'est-à-dire à Voice of America, à Radio Free, à NPR ou à la chaîne PBS. Pour Donald Trump, ces médias auraient une « couverture biaisée et partisane », ils se seraient montrés partiaux pendant les élections ou sur les questions transgenres. Bref, ils sont « de gauche » et soutiendraient les Démocrates avec l'argent des contribuables.Mais les médias publics ont saisi la justice au nom de la liberté de la presse garantie par le premier amendement et un juge fédéral de Washington a déjà obtenu en avril le rétablissement de Voice of America, promis au démantèlement par décret présidentiel. Le réseau de radios NPR, qui alimente un millier de stations locales, a aussi saisi la justice pour sauver son financement fédéral qui ne représente que 10% de ses revenus, mais dont l'arrêt pourrait conduire à la fermeture de stations dans des régions où NPR est parfois le dernier média d'information.Une mainmise politique expérimentée par la Pologne et la HongrieEn Hongrie, des proches de Viktor Orban sont à la tête des médias publics. Il y a aussi eu des purges parmi les journalistes et des voix d'opposition ont été marginalisées. Ces atteintes à l'État de droit ont compté dans la décision de la Commission européenne de geler ses subventions à la Hongrie.Quant à la Pologne, où aura lieu dimanche le second tour de l'élection présidentielle, elle a déjà connu une mainmise sur son audiovisuel public lors de huit années de pouvoir du PiS, le parti droit et justice, de 2015 à 2023. Là aussi, directions et rédactions ont subi pressions et contraintes. Et les médias publics ont été des instruments pour calomnier l'opposition. Des menaces qui planent aussi sur la France Il suffit de lire cette semaine ce titre éloquent du JDNews, hebdo contrôlé par Vincent Bolloré : « La propagande avec vos impôts ». On peut y lire une interview de William Goldnadel, un pilier de la chaîne CNews, pour qui la seule solution, c'est, la « privatisation de l'audiovisuel public ». C'est aussi ce que demandent les leaders du Rassemblement national, Marine Le Pen et Jordan Bardella. Il y a aussi les économies exigées par les gouvernements, notamment en matière d'information et d'investigation, dans la perspective d'une loi rapprochant les médias publics. Alors, comme l'a dit Delphine Ernotte, la présidente de France Télévisions, il peut être utile de rappeler qu'en Ukraine comme en Suède, l'information publique est considérée comme un bien tellement essentiel qu'il relève de la défense nationale.À lire aussiVisibilisation du terrorisme, invisibilisation de la guerre
Toute l'Europe a les yeux rivés sur la Pologne, à quelques jours d'un scrutin présidentiel crucial. Deux candidats se font face, l'un soutenu par la coalition libérale au pouvoir, l'autre par le parti ultra-conservateur populiste Droit et Justice, le PiS. Mais avec un paysage électorat plus éclaté que jamais, où les différents candidats d'extrême droite ont cumulé jusqu'à 21 % des voix au premier tour, il faut s'intéresser à un troisième larron qui pourrait être le faiseur de roi. Le parti libertarien et ultranationaliste Konfederacja a recueilli les votes d'un jeune sur trois. C'est donc sur le report de voix de cette formation que tout se joue. Reportage à Varsovie d'Adrien Sarlat. La revue de presse sonore de Franceline Beretti Avec le long interview accordé en début de semaine par le nouveau chancelier allemand Friedrich Merz à une télévision publique. On a beaucoup parlé des armes à longue portée pour l'Ukraine. Mais le chef du gouvernement allemand a aussi étonné sur un autre sujet, Israël.À lire aussiAllemagne : le gouvernement du chancelier Friedrich Merz resserre la vis sur l'immigrationLa Catalogne en manque de bébés... et d'élèvesEn Espagne, le taux de fécondité est un des plus bas d'Europe depuis plusieurs années. Et la région de Catalogne ne fait pas exception. En 15 ans, la natalité a baissé de 37 %. Avec une conséquence déjà visible. 110 écoles sont menacées de fermeture à la rentrée en raison du manque d'élèves. Il devrait y avoir 90 000 élèves de moins en 2030. Reportage à Barcelone signé Elise Gazengel.Les prêts généreux du gouvernement hongrois pour relancer la natalitéEn Hongrie, la question de la natalité est devenue une priorité nationale pour le Premier ministre Viktor Orban. Pour encourager les couples hongrois à faire plus de bébés, le gouvernement met la main au portefeuille avec une politique très généreuse de prêts immobiliers. Un modèle dont voudrait d'ailleurs s'inspirer l'équipe de Donald Trump. À Budapest, Florence Labruyère.
Toute l'Europe a les yeux rivés sur la Pologne, à quelques jours d'un scrutin présidentiel crucial. Deux candidats se font face, l'un soutenu par la coalition libérale au pouvoir, l'autre par le parti ultra-conservateur populiste Droit et Justice, le PiS. Mais avec un paysage électorat plus éclaté que jamais, où les différents candidats d'extrême droite ont cumulé jusqu'à 21 % des voix au premier tour, il faut s'intéresser à un troisième larron qui pourrait être le faiseur de roi. Le parti libertarien et ultranationaliste Konfederacja a recueilli les votes d'un jeune sur trois. C'est donc sur le report de voix de cette formation que tout se joue. Reportage à Varsovie d'Adrien Sarlat. La revue de presse sonore de Franceline Beretti Avec le long interview accordé en début de semaine par le nouveau chancelier allemand Friedrich Merz à une télévision publique. On a beaucoup parlé des armes à longue portée pour l'Ukraine. Mais le chef du gouvernement allemand a aussi étonné sur un autre sujet, Israël.À lire aussiAllemagne : le gouvernement du chancelier Friedrich Merz resserre la vis sur l'immigrationLa Catalogne en manque de bébés... et d'élèvesEn Espagne, le taux de fécondité est un des plus bas d'Europe depuis plusieurs années. Et la région de Catalogne ne fait pas exception. En 15 ans, la natalité a baissé de 37 %. Avec une conséquence déjà visible. 110 écoles sont menacées de fermeture à la rentrée en raison du manque d'élèves. Il devrait y avoir 90 000 élèves de moins en 2030. Reportage à Barcelone signé Elise Gazengel.Les prêts généreux du gouvernement hongrois pour relancer la natalitéEn Hongrie, la question de la natalité est devenue une priorité nationale pour le Premier ministre Viktor Orban. Pour encourager les couples hongrois à faire plus de bébés, le gouvernement met la main au portefeuille avec une politique très généreuse de prêts immobiliers. Un modèle dont voudrait d'ailleurs s'inspirer l'équipe de Donald Trump. À Budapest, Florence Labruyère.
En France, il faut en moyenne six générations pour qu'un enfant né dans une famille pauvre accède à un niveau de vie moyen. Ce chiffre, à première vue abstrait, en dit long sur l'état de la mobilité sociale dans le pays. Et il est préoccupant : seule la Hongrie fait « pire » au sein de l'Union européenne, avec une moyenne de sept générations. À titre de comparaison, la moyenne des pays de l'OCDE est de cinq générations, et les pays nordiques comme le Danemark, la Finlande ou la Norvège n'en nécessitent que deux à trois.Cette statistique provient d'un indicateur mis en avant par l'OCDE, qui mesure le temps nécessaire pour que les enfants issus de familles défavorisées atteignent le revenu moyen de leur société. En France, cela signifie que les inégalités sociales sont fortement enracinées, et que le destin social d'un individu est encore largement influencé par son origine.Ce paradoxe est d'autant plus frappant que la France se perçoit, historiquement, comme une société méritocratique, où l'école, censée offrir les mêmes chances à tous, jouerait le rôle d'ascenseur social. Pourtant, dans la pratique, l'origine sociale reste l'un des facteurs les plus déterminants pour prédire la réussite scolaire, l'accès aux études supérieures, puis à un emploi stable et bien rémunéré.Le système éducatif français, souvent critiqué pour ses inégalités, tend à reproduire les écarts plutôt qu'à les corriger. Selon une étude de France Stratégie, un élève issu d'un milieu modeste a deux fois plus de risques de redoubler, et bien moins de chances d'accéder à une grande école. Ces écarts se creusent ensuite dans l'emploi, le logement, la santé, voire l'espérance de vie.À l'inverse, les pays nordiques ont mis en place depuis longtemps des politiques sociales fortes : accès universel à l'éducation de qualité, soutien actif à l'enfance, fiscalité redistributive, logement social massif. Des leviers qui favorisent une mobilité sociale bien plus dynamique.En France, le débat sur la « fracture sociale » refait régulièrement surface, mais les réformes structurelles manquent souvent de profondeur. Or, si la pauvreté se transmet de génération en génération, ce n'est pas une fatalité : c'est un problème de société, et surtout, de choix politiques.Six générations pour sortir de la pauvreté : ce chiffre ne mesure pas seulement une lenteur. Il mesure un blocage, un manque d'équité, et la nécessité de réinventer un modèle plus juste. Car une société où l'avenir dépend encore autant du berceau que du mérite est une société en panne d'espoir. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
En Europe centrale et orientale, des élections cruciales se succèdent et pourraient faire basculer l'unité des Vingt-Sept. La Roumanie vient d'élire comme président un candidat pro-européen, Nicusor Dan, face à George Simion, qui se présentait comme grand admirateur de Donald Trump et hostile à l'aide à l'Ukraine.
Le sujet que nous allons envisager dans ce podcast est, comme souvent, un sujet qui a été donné à l'occasion de grands oraux des concours auxquels nous préparons au sein de la Prépa ISP. Le recul des libertés publiques en Hongrie, les révisions constitutionnelles en Russie, la violence des contestations sociales en France ou ailleurs, l'émergence de régimes hybrides dans le monde entier : autant d'événements récents qui montrent que la démocratie libérale est de plus en plus souvent remise en question. À travers ces mutations, c'est aussi l'État de droit qui vacille, lui qui devrait normalement garantir nos libertés face aux excès du pouvoir. Mais que recouvrent précisément ces notions aujourd'hui, dans un monde globalisé où les frontières entre démocratie, autoritarisme et populisme semblent de plus en plus brouillées ? Comme nous l'expliquera notre invité du jour – je le cite par anticipation – il est impossible d'avoir un regard figé sur la démocratie et l'État de droit : leur définition évolue en fonction des époques, des sociétés, et parfois même des régimes qui s'en réclament tout en les dénaturant. Concrètement, dans une perspective de culture générale républicaine, la démocratie peut être définie comme un système de gouvernement fondé sur la souveraineté populaire, la pluralité politique, et le respect des droits fondamentaux. Quant à l'État de droit, il désigne un ordre juridique dans lequel le pouvoir lui-même est soumis au droit et où les libertés publiques sont protégées contre l'arbitraire. Cependant, pour certains auteurs contemporains, nous assistons aujourd'hui non seulement à une crise du modèle démocratique libéral, mais aussi à l'émergence de ce que Nicolas Baverez appelle des « démocratures » : des régimes qui conservent les formes de la démocratie pour mieux en trahir l'esprit. En parallèle, l'État de droit, qui semblait un acquis des sociétés modernes, est de plus en plus contesté, aussi bien par des gouvernements illibéraux que par des mouvements révolutionnaires ou religieux. Comment comprendre dès lors cette double crise de la démocratie et de l'État de droit ? Les démocraties libérales sont-elles devenues ingouvernables ? L'État de droit est-il un modèle universel ou une construction occidentale fragile ? Pour répondre à ces interrogations essentielles, je reçois aujourd'hui Grégory Portais, professeur de droit public au sein de la Prépa ISP.
« La colère, la gêne, la nausée, sont autant de sentiments qui montent dans l'Union avec la nouvelle offensive, "Chariots de Gédéon", lancée par le gouvernement de Benyamin Netanyahu dans la bande de Gaza » : ce sont les propos d'un diplomate de haut niveau juste avant le Conseil des ministres, des ministres des Affaires étrangères le 20 mai à Bruxelles. Des propos rapportés par Libération à Paris.Mais, pointe le journal,« ce diplomate ne s'attendait pas à un tel ras-le-bol des capitales européennes vis-à-vis d'Israël : une majorité de 17 États membres (sur 27), dont la France, a demandé à la Commission d'examiner si Tel-Aviv respectait les droits de l'Homme à Gaza, première étape vers une éventuelle suspension de l'accord d'association liant Israël à l'Union. Kaja Kallas, la cheffe de la diplomatie européenne, a donc annoncé qu'elle allait se "lancer dans cet exercice". C'est la première fois, pointe Libération, qu'autant de capitales européennes tapent du poing sur la table contre un pays qui a toujours été ménagé par l'Union. »Coup d'épée dans l'eau ?Toutefois, il ne faut pas être naïf, tempère le journal : « En réalité, seule l'interruption de l'aide militaire américaine pourrait faire reculer Netanyahu. L'Europe n'a donc en réalité aucun moyen de pression efficace, ce que le gouvernement israélien sait parfaitement. »Qui plus est, précise Le Monde, les Européens restent divisés… « Malgré ces déclarations fortes, un soutien à une révision complète de l'accord d'association avec Israël parait encore inatteignable tant les 27 États peinent à s'entendre quand il s'agit du Proche-Orient. D'un côté, Israël peut compter sur des soutiens inconditionnels – comme l'Allemagne, l'Autriche, l'Italie, la République tchèque ou la Hongrie – pour bloquer toute initiative négative à son encontre et contrer les pays plus sensibles au sort de la population palestinienne – comme l'Irlande, l'Espagne ou la Slovénie. »Le Royaume-Uni et le Canada haussent le tonReste que la vague de protestation enfle chaque jour davantage… En dehors de l'Union européenne, le Canada a donné de la voix, de même que le Royaume-Uni. « Quelque chose est en train de changer, s'exclame le Guardian à Londres. Une vérité se dessine : ce qui se passe à Gaza restera dans les mémoires comme l'un des plus grands crimes de l'histoire. […] Pourtant, Israël agit en toute impunité. » Et certains s'en vantent, souligne le Guardian, comme ce député israélien d'extrême droite cité par le journal : « Tout le monde s'est habitué à l'idée qu'on peut tuer 100 Gazaouis en une nuit, affirme-t-il. Et tout le monde s'en fiche. »Alors hier mardi, pointe le Times, « le Royaume-Uni s'est dit prêt à sanctionner des dirigeants israéliens pour leur offensive "intolérable" à Gaza. Les négociations commerciales avec le gouvernement de Benyamin Netanyahu ont été suspendues. »Le Times qui affirme dans son éditorial que « les amis d'Israël ne peuvent pas rester aveugles face aux souffrances en Palestine. […] La véhémence de la déclaration publiée par les gouvernements britannique, français et canadien, qui ont appelé à la fin de l'action militaire à Gaza, a été un choc ». Et « d'autres événements pourraient survenir, prévient le quotidien britannique : le président Trump pourrait perdre patience envers Benyamin Netanyahu ».Le poids des États-UnisEn effet, pointe le New York Times, certes, « les États-Unis, le plus puissant soutien d'Israël, n'ont pas critiqué publiquement la nouvelle offensive israélienne. Mais le président Trump prend de plus en plus de distance avec Netanyahu, en ayant conclu un accord séparé avec le Hamas pour libérer le dernier otage américain encore en vie et en évitant l'étape israélienne lors de son voyage au Moyen-Orient la semaine dernière. Vendredi, Donald Trump avait déclaré que "beaucoup de gens mourraient de faim" à Gaza en raison du blocus israélien et que "les États-Unis voulaient contribuer à alléger les souffrances". » De quelle manière ?Haaretz à Tel-Aviv a sa petite idée : « Ces derniers jours, les États-Unis ont exercé d'intenses pressions sur Benyamin Netanyahu pour qu'il accepte l'accord proposé par l'envoyé américain au Moyen-Orient, Steve Witkoff. Cet accord prévoirait la libération d'environ la moitié des otages israéliens encore en vie détenus par le Hamas et un cessez-le-feu temporaire à Gaza. » Mais on attend toujours la réponse du Premier ministre israélien.À lire aussiBande de Gaza: l'enfer de 1,1 million d'enfants pris au piège entre guerre et malnutrition
À la Une de la presse, ce mercredi 21 mai, la remise, aujourd'hui, en conseil de défense à l'Élysée, d'un rapport sur les Frères musulmans, mettant en garde contre une "menace pour la cohésion nationale" ; la stratégie d'influence du milliardaire français Pierre-Édouard Stérin, qui a refusé une deuxième fois, hier, d'être entendu par la commission d'enquête sur l'"organisation des élections en France" ; des nouvelles de Hongrie et la "Pet Gala", réplique animalière du prestigieux Met Gala.
Os traigo las crónicas diarias de los sucedido en las etapas del Giro de Italia 2025. ETAPA 9 Etapón en el sterrato de Siena Wout Van Aert vuelve a ganar a lo grande Isaac del Toro se pone líder Ineos, valientes sin premio Una caída con consecuencias Juan Ayuso, sobrevive. Roglic, minimiza pérdidas PREVIA Etapa 10 BONUS Repaso Tour de Hongrie, 4 Jours de Dunkerque, Itzulia Women No te olvides de darle LIKE ❤️ y COMENTAR ✍️ A los mandos de las bicicletas: David Gómez ( https://twitter.com/davidesportista ) Si no eres FAN y quieres escuchar este episodio y todos los que hay para FANS; ¡Haz CLIC en el botón de APOYAR y conviértete en un FAN de Ciclismo de Ayer y de Hoy! ️ Ten acceso a los episodios EXCLUSIVOS para FANS, no tendrás publicidad y ayudas al mantenimiento del proyecto. ¿Quién puede dar más? ¿Nos acompañáis en esta ruta? ➡️Únete a nuestro canal de TELEGRAM. Comentamos las carreras, jugamos a intentar adivinar el ganador de las carreras, hacemos piña alrededor del ciclismo t.me/ciclismoayerhoy SUBSTACK: https://open.substack.com/pub/ciclismoayerhoy Nuestro Twitter: https://twitter.com/ciclismoayerhoy Nuestro BlueSky: https://bsky.app/profile/ciclismoayerhoy.bsky.social Nuestro canal de Youtube: https://youtube.com/@ciclismoayerhoy Página de Facebook: https://www.facebook.com/profile.php?id=61568610367016
Il ne reste plus que deux matchs à disputer dans la phase de groupe du championnat du monde pour la Suisse: le dimanche 18 mai 2025 contre la Hongrie et le mardi 20 contre le Khazakstan. Deux matchs qui devraient permettre aux Suisses de conforter leur place dans les deux premiers du groupe avant les quarts de finale. On en parle avec Alain Thévoz et Geoffrey Vauclair.
Os traigo las crónicas diarias de los sucedido en las etapas del Giro de Italia 2025. ETAPA 8 Llega la escapada y triunfa Luke Plapp El ataque de Juan Ayuso. Rasca 1" y un golpe moral más. Diego Ulissi nuevo líder. PREVIA Etapa 9 BONUS Repaso Tour de Hongrie, 4 Jours de Dunkerque, Itzulia Women No te olvides de darle LIKE ❤️ y COMENTAR ✍️ A los mandos de las bicicletas: David Gómez ( https://twitter.com/davidesportista ) Si no eres FAN y quieres escuchar este episodio y todos los que hay para FANS; ¡Haz CLIC en el botón de APOYAR y conviértete en un FAN de Ciclismo de Ayer y de Hoy! ️ Ten acceso a los episodios EXCLUSIVOS para FANS, no tendrás publicidad y ayudas al mantenimiento del proyecto. ¿Quién puede dar más? ¿Nos acompañáis en esta ruta? ➡️Únete a nuestro canal de TELEGRAM. Comentamos las carreras, jugamos a intentar adivinar el ganador de las carreras, hacemos piña alrededor del ciclismo t.me/ciclismoayerhoy SUBSTACK: https://open.substack.com/pub/ciclismoayerhoy Nuestro Twitter: https://twitter.com/ciclismoayerhoy Nuestro BlueSky: https://bsky.app/profile/ciclismoayerhoy.bsky.social Nuestro canal de Youtube: https://youtube.com/@ciclismoayerhoy Página de Facebook: https://www.facebook.com/profile.php?id=61568610367016
Selon l'Association internationale des personnes lesbiennes, gays, bisexuelles, trans et intersexes (Ilga World), l'homosexualité est légale dans 131 pays des 193 membres de l'ONU. Si les droits des personnes LGBT ont progressé dans certains pays comme en Thaïlande ou en Grèce qui ont récemment légalisé le mariage entre personnes de même sexe, d'autres pays ont au contraire pris des mesures répressives. En 2023, l'Ouganda a durci sa législation, désormais considérée comme l'une des plus sévères du monde à l'égard des personnes LGBT. Le Ghana lui a depuis emboité le pas. Alors que les relations entre personnes de même sexe étaient déjà interdites, la Cour suprême a récemment autorisé une loi prévoyant jusqu'à 3 ans de prison pour ce motif. L'hostilité à l'égard des personnes LGBT ne se limite pas au Sud. Du côté des États-Unis, le président Trump a multiplié des décrets visant les personnes transgenres depuis son retour à la Maison Blanche. Le contexte international semble marqué par un retour de baton conservateur plus que le progressisme. Comment les communautés LGBT vivent-elles cette succession de lois répressives à leur égard ? Quelle réaction de la société ? Émission à l'occasion de la journée mondiale contre l'homophobie, la transphobie et la biphobie, célébrée le 17 mai. Avec : • Christophe Caulier, co-président de l'ARDHIS, Association pour la reconnaissance des droits des personnes homosexuelles et trans à l'immigration et au séjour• Patrick Awondo, anthropologue enseignant à l'Université de Yaoundé 1, spécialiste du genre et de l'homosexualité en Afrique centrale et en Afrique de l'Ouest. Intervenant dans la santé publique internationale sur ces sujets. Auteur du Sexe et ses doubles, (Homo) sexualités en postcolonie (ENS éditions, 2019). Un entretien avec Florence La Bruyère, correspondante de RFI à Budapest en Hongrie où le Parlement a récemment adopté plusieurs mesures visant à restreindre les droits et libertés des personnes LGBT.En fin d'émission, la chronique Écouter le monde de Monica Fantini. Quatrième épisode de sa série sur la voix humaine. Aujourd'hui «le son social» de la voix. Programmation musicale :► Kid – Eddy de Pretto ► Comme il est - Tekemat.
Selon l'Association internationale des personnes lesbiennes, gays, bisexuelles, trans et intersexes (Ilga World), l'homosexualité est légale dans 131 pays des 193 membres de l'ONU. Si les droits des personnes LGBT ont progressé dans certains pays comme en Thaïlande ou en Grèce qui ont récemment légalisé le mariage entre personnes de même sexe, d'autres pays ont au contraire pris des mesures répressives. En 2023, l'Ouganda a durci sa législation, désormais considérée comme l'une des plus sévères du monde à l'égard des personnes LGBT. Le Ghana lui a depuis emboité le pas. Alors que les relations entre personnes de même sexe étaient déjà interdites, la Cour suprême a récemment autorisé une loi prévoyant jusqu'à 3 ans de prison pour ce motif. L'hostilité à l'égard des personnes LGBT ne se limite pas au Sud. Du côté des États-Unis, le président Trump a multiplié des décrets visant les personnes transgenres depuis son retour à la Maison Blanche. Le contexte international semble marqué par un retour de baton conservateur plus que le progressisme. Comment les communautés LGBT vivent-elles cette succession de lois répressives à leur égard ? Quelle réaction de la société ? Émission à l'occasion de la journée mondiale contre l'homophobie, la transphobie et la biphobie, célébrée le 17 mai. Avec : • Christophe Caulier, co-président de l'ARDHIS, Association pour la reconnaissance des droits des personnes homosexuelles et trans à l'immigration et au séjour• Patrick Awondo, anthropologue enseignant à l'Université de Yaoundé 1, spécialiste du genre et de l'homosexualité en Afrique centrale et en Afrique de l'Ouest. Intervenant dans la santé publique internationale sur ces sujets. Auteur du Sexe et ses doubles, (Homo) sexualités en postcolonie (ENS éditions, 2019). Un entretien avec Florence La Bruyère, correspondante de RFI à Budapest en Hongrie où le Parlement a récemment adopté plusieurs mesures visant à restreindre les droits et libertés des personnes LGBT.En fin d'émission, la chronique Écouter le monde de Monica Fantini. Quatrième épisode de sa série sur la voix humaine. Aujourd'hui «le son social» de la voix. Programmation musicale :► Kid – Eddy de Pretto ► Comme il est - Tekemat.
Os traigo las crónicas diarias de los sucedido en las etapas del Giro de Italia 2025. ETAPA 7 Juan Ayuso golpea primero Las buenas sensaciones de Egan Bernal Favoritos en un pañuelo PREVIA Etapa 8 BONUS Repaso Tour de Hongrie, 4 Jours de Dunkerque, Itzulia Women No te olvides de darle LIKE ❤️ y COMENTAR ✍️ A los mandos de las bicicletas: David Gómez ( https://twitter.com/davidesportista ) Si no eres FAN y quieres escuchar este episodio y todos los que hay para FANS; ¡Haz CLIC en el botón de APOYAR y conviértete en un FAN de Ciclismo de Ayer y de Hoy! ️ Ten acceso a los episodios EXCLUSIVOS para FANS, no tendrás publicidad y ayudas al mantenimiento del proyecto. ¿Quién puede dar más? ¿Nos acompañáis en esta ruta? ➡️Únete a nuestro canal de TELEGRAM. Comentamos las carreras, jugamos a intentar adivinar el ganador de las carreras, hacemos piña alrededor del ciclismo t.me/ciclismoayerhoy SUBSTACK: https://open.substack.com/pub/ciclismoayerhoy Nuestro Twitter: https://twitter.com/ciclismoayerhoy Nuestro BlueSky: https://bsky.app/profile/ciclismoayerhoy.bsky.social Nuestro canal de Youtube: https://youtube.com/@ciclismoayerhoy Página de Facebook: https://www.facebook.com/profile.php?id=61568610367016
Os traigo las crónicas diarias de los sucedido en las etapas del Giro de Italia 2025. ETAPA 6 Kaden Groves y Alpecin, gran trabajo. Merecida victoria Roglic pierde a Hindley en una caída masiva Tiempos neutralizados PREVIA Etapa 7 BONUS Repaso Tour de Hongrie, 4 Jours de Dunkerque No te olvides de darle LIKE ❤️ y COMENTAR ✍️ A los mandos de las bicicletas: David Gómez ( https://twitter.com/davidesportista ) Si no eres FAN y quieres escuchar este episodio y todos los que hay para FANS; ¡Haz CLIC en el botón de APOYAR y conviértete en un FAN de Ciclismo de Ayer y de Hoy! ️ Ten acceso a los episodios EXCLUSIVOS para FANS, no tendrás publicidad y ayudas al mantenimiento del proyecto. ¿Quién puede dar más? ¿Nos acompañáis en esta ruta? ➡️Únete a nuestro canal de TELEGRAM. Comentamos las carreras, jugamos a intentar adivinar el ganador de las carreras, hacemos piña alrededor del ciclismo t.me/ciclismoayerhoy SUBSTACK: https://open.substack.com/pub/ciclismoayerhoy Nuestro Twitter: https://twitter.com/ciclismoayerhoy Nuestro BlueSky: https://bsky.app/profile/ciclismoayerhoy.bsky.social Nuestro canal de Youtube: https://youtube.com/@ciclismoayerhoy Página de Facebook: https://www.facebook.com/profile.php?id=61568610367016
Au XVIe siècle, Marie de Hongrie, régente des Pays-Bas, fait bâtir un château à Binche. Pour en célébrer l'inauguration, elle organise un somptueux spectacle mêlant joutes, banquets et théâtre, destiné à éblouir la noblesse. C'est au cœur de ces festivités qu'est née la légende du « beau ténébreux », quelle est son histoire ? Qui est-il ? Réponse avec Fanny Cuisset et Sylvie Urbain, guide au Musée international du Carnaval et du Masque. Cette année, le musée célèbre ses 50 ans : l'occasion idéale pour découvrir, dès le 14 juin, sa nouvelle exposition permanente, Regards sur les collections, entièrement repensée pour l'événement et mettant en lumière des pièces venues du monde entier. Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Alors que les négociations diplomatiques pour mettre fin à la guerre en Ukraine n'ont jamais été aussi intenses, les questions sur le conflit, les réfugiés et l'adhésion future du pays à l'Union européenne agitent la politique des pays voisins. Signe de cette fébrilité, la Hongrie. À moins d'un an des prochaines élections législatives, le Premier ministre hongrois, le pro-russe Viktor Orban consulte ses électeurs... sous la forme d'un questionnaire sans aucune valeur légale. Il demande aux Hongrois de répondre à cette simple question : «l'Union européenne a décidé d'accepter l'adhésion de l'Ukraine en procédure accélérée. Êtes-vous d'accord ?». Une façon d'instrumentaliser le conflit et les réfugiés ukrainiens. Reportage à Budapest de Florence Labruyère. La campagne présidentielle en Pologne et les réfugiés ukrainiens Et en Pologne, premier soutien de Kiev dans la guerre déclenchée par Moscou, le sentiment anti-ukrainien qui couve depuis deux ans refait surface. On vote le week-end prochain pour les présidentielles, et cette campagne est déjà placée sous le signe de la xénophobie vis-à-vis des réfugiés ukrainiens. À Varsovie, Adrien Sarlat. Une mine de charbon transformée en lac en AllemagneAprès un court moratoire pour passer le cap de la crise énergétique, l'Allemagne a repris la fermeture de ses anciennes centrales électriques qui fonctionnent au charbon. En 2030, le pays ne devrait plus du tout utiliser de lignite dans son mix énergétique. Dans l'est du pays, les mines de charbon à ciel ouvert ferment les unes après les autres. Mais que faire de ces terrains désolés. À Cottbus, la ville a décidé de transformer la mine en lac... un projet bien accueilli par la population, mais dénoncé par les militants écologistes. C'est le reportage sur place de Salomé Hénon Cohin Jacques Delors : les paradoxes d'un homme d'État européen Et alors que l'arrivée du nouveau chancelier allemand Friedrich Merz relance l'espoir d'un renouveau du couple franco-allemand, qu'on appelle aussi le moteur de l'UE, un livre revient sur le parcours d'une figure centrale de l'UE. Jacques Delors a été aux commandes de la commission de 1985 à 1995 et a su fédérer alors les chefs d'État français, allemand et britannique autour du projet européen de l'acte unique, l'Europe sans frontières. C'est ce que Michel Mangenot, directeur de l'Institut d'études européennes de l'Université Paris 8 a expliqué àJuliette Gheerbrant. Jacques Delors : les paradoxes d'un homme d'État européen, par Fabrice Larat et Michel Mangenot est publié aux éditions de la Documentation française.
Alors que les négociations diplomatiques pour mettre fin à la guerre en Ukraine n'ont jamais été aussi intenses, les questions sur le conflit, les réfugiés et l'adhésion future du pays à l'Union européenne agitent la politique des pays voisins. Signe de cette fébrilité, la Hongrie. À moins d'un an des prochaines élections législatives, le Premier ministre hongrois, le pro-russe Viktor Orban consulte ses électeurs... sous la forme d'un questionnaire sans aucune valeur légale. Il demande aux Hongrois de répondre à cette simple question : «l'Union européenne a décidé d'accepter l'adhésion de l'Ukraine en procédure accélérée. Êtes-vous d'accord ?». Une façon d'instrumentaliser le conflit et les réfugiés ukrainiens. Reportage à Budapest de Florence Labruyère. La campagne présidentielle en Pologne et les réfugiés ukrainiens Et en Pologne, premier soutien de Kiev dans la guerre déclenchée par Moscou, le sentiment anti-ukrainien qui couve depuis deux ans refait surface. On vote le week-end prochain pour les présidentielles, et cette campagne est déjà placée sous le signe de la xénophobie vis-à-vis des réfugiés ukrainiens. À Varsovie, Adrien Sarlat. Une mine de charbon transformée en lac en AllemagneAprès un court moratoire pour passer le cap de la crise énergétique, l'Allemagne a repris la fermeture de ses anciennes centrales électriques qui fonctionnent au charbon. En 2030, le pays ne devrait plus du tout utiliser de lignite dans son mix énergétique. Dans l'est du pays, les mines de charbon à ciel ouvert ferment les unes après les autres. Mais que faire de ces terrains désolés. À Cottbus, la ville a décidé de transformer la mine en lac... un projet bien accueilli par la population, mais dénoncé par les militants écologistes. C'est le reportage sur place de Salomé Hénon Cohin Jacques Delors : les paradoxes d'un homme d'État européen Et alors que l'arrivée du nouveau chancelier allemand Friedrich Merz relance l'espoir d'un renouveau du couple franco-allemand, qu'on appelle aussi le moteur de l'UE, un livre revient sur le parcours d'une figure centrale de l'UE. Jacques Delors a été aux commandes de la commission de 1985 à 1995 et a su fédérer alors les chefs d'État français, allemand et britannique autour du projet européen de l'acte unique, l'Europe sans frontières. C'est ce que Michel Mangenot, directeur de l'Institut d'études européennes de l'Université Paris 8 a expliqué àJuliette Gheerbrant. Jacques Delors : les paradoxes d'un homme d'État européen, par Fabrice Larat et Michel Mangenot est publié aux éditions de la Documentation française.
durée : 00:02:09 - Le brief politique - Des parlementaires écologistes, macronistes, ou encore socialistes, préparent un voyage dans des "démocraties illibérales" pour comprendre leur basculement et éviter que cela n'arrive en France.
À Binche, au XVIe siècle, sous le règne de Marie de Hongrie, une légende raconte l'histoire d'un homme du château tombé amoureux d'une jeune meunière. Mais le travail de la jeune femme est menacé par un projet porté par la régente. Cette histoire, bien que légendaire, s'inscrit dans un contexte historique réel : Marie de Hongrie a bien fait bâtir un palais à Binche, avec de vastes jardins. Une légende où politique et sentiments s'entrelacent au fil de l'eau, nous est racontée par de Sylvie Urbain, guide et musicienne au Musée international du Carnaval et du Masque, et Fanny Cuisset. Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les mères de deux enfants exemptées d'impôts à vie ! C'est la nouvelle mesure choc de la Hongrie pour tenter de relancer la natalité. Précédemment, la Chine avait également pris des décisions drastiques face au vieillissement de la population. En France, le président Emmanuel Macron appelait à un « réarmement démographique ». Jusqu'où les mesures incitatives peuvent-elles aller sans porter atteinte au choix d'avoir des enfants ? Sommes-nous face à un tournant de société ? Pour en débattre : Hervé Le Bras,historien et démographe, directeur d'études à l'École des hautes études en sciences sociales (EHESS), auteur de l'Atlas des inégalités, éditions Autrement-Flammarion Bettina Zourli, spécialiste en études de genre, autrice du livre Le temps du choix : être ou ne pas être mère, éditions Payot Yvon Serieyx, chargé de mission au pôle économie et démographie à l'Union nationale des associations familiales (Unaf)
Les mères de deux enfants exemptées d'impôts à vie ! C'est la nouvelle mesure choc de la Hongrie pour tenter de relancer la natalité. Précédemment, la Chine avait également pris des décisions drastiques face au vieillissement de la population. En France, le président Emmanuel Macron appelait à un « réarmement démographique ». Jusqu'où les mesures incitatives peuvent-elles aller sans porter atteinte au choix d'avoir des enfants ? Sommes-nous face à un tournant de société ? Pour en débattre : Hervé Le Bras,historien et démographe, directeur d'études à l'École des hautes études en sciences sociales (EHESS), auteur de l'Atlas des inégalités, éditions Autrement-Flammarion Bettina Zourli, spécialiste en études de genre, autrice du livre Le temps du choix : être ou ne pas être mère, éditions Payot Yvon Serieyx, chargé de mission au pôle économie et démographie à l'Union nationale des associations familiales (Unaf)
Au menu de la troisième heure des GG du jeudi 1er mai 2025 : "En Hongrie, les mères d'au moins deux enfants ne paieront plus d'impôts à vie... faut-il faire la même chose en France ?", avec Barbara Lefebvre, professeure d'histoire-géographie, Bruno Poncet, cheminot, et Charles Consigny, avocat.
À Binche, les ruines du château de Marie de Hongrie rappellent encore le projet architectural qu'elle fit ériger au milieu du XVIe siècle. Construite à partir de 1546, cette résidence princière devait rivaliser avec les plus grandes cours d'Europe. Mais à peine achevé, le château est détruit en 1554 par les troupes françaises. Depuis, le site garde une part de mystère, entretenue par une légende locale. On raconte qu'une jeune femme y aurait attendu son amoureux, parti à la guerre, sans jamais le revoir. Découvrons cette légende en compagnie de Sylvie Urbain et Fanny Cuisset Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Il n'a peut-être jamais été aussi difficile d'être homosexuel, bisexuel ou transgenre en Turquie. Depuis plusieurs années, le gouvernement de Recep Tayyip Erdogan s'en prend directement et de plus en plus violemment aux ONG de défense des droits des LGBT. Les autorités turques, qui ont décrété 2025 « année de la famille », préparent actuellement une loi qui pourrait aboutir à la criminalisation de l'homosexualité dans l'espace public. De notre correspondante à Ankara,Le 13 janvier dernier, Recep Tayyip Erdogan présentait les priorités de son gouvernement pour « l'année de la famille » – c'est ainsi que le président turc a désigné l'année 2025. Le ton, l'intention et les cibles étaient claires. « À ce stade, nous le voyons de façon très nette. La cible principale des politiques de désexualisation dans lesquelles les LGBT sont utilisés comme un bélier est la famille. Cette anomalie, qu'ils ont d'abord voulu légitimer en parlant de choix personnels, s'est transformée en une injonction fasciste », a clamé le président turc. Qui parle aussi régulièrement de « pervers » et de « déviants » pour attaquer la communauté LGBT, qu'il compare à la peste.La Marche des fiertés, autrefois autorisée, est interdite depuis plus de dix ans, tout comme le drapeau arc-en-ciel. Mais en cette « année de la famille », le pouvoir veut aller plus loin. Un projet de loi en préparation prévoit entre autres de punir de un à trois ans de prison le fait « d'encourager ou de faire l'éloge en public d'attitude et de comportement contraire au sexe biologique de naissance et à la moralité publique ».Si le texte passe en l'état, les conséquences sur le quotidien des LGBT de Turquie seront radicales. « Si deux lesbiennes ou deux gays qui se tiennent la main dans la rue ou un individu de sexe biologique masculin qui porte une jupe ou se maquille, tout cela sera criminalisé, tout cela sera puni de prison », explique Kerem Dikmen, coordinateur du programme Droits de l'homme de l'ONG Kaos GL.Les minorités sexuelles de Turquie affrontent d'année en année un climat politique de plus en plus hostile et répressif. Ce climat n'est pas seulement lié à la montée, ailleurs en Europe et dans le monde, de gouvernements de droite, conservateurs et populistes. « Le fait que Donald Trump soit au pouvoir aux États-Unis ou Victor Orban en Hongrie arrange les affaires du pouvoir turc. Mais au-delà de cela, le pouvoir en Turquie a aussi son propre agenda politique. D'une part, en s'en prenant au mouvement LGBT comme au mouvement féministe, il offre des gages aux franges les plus radicales de son électorat et donc consolide sa base. D'autre part, il se sert des LGBT pour attaquer toute l'opposition, des partis d'opposition à la société civile, en usant de la polarisation », estime Abdullah Ikbal Arslanbas, avocat pour l'association 17 mai, une ONG LGBT basée à Ankara.Recep Tayyip Erdogan accuse notamment le Parti républicain du peuple (CHP), le parti du maire d'Istanbul Ekrem Imamoglu, incarcéré le mois dernier, d'être pro LGBT. Dans le but de dénigrer la principale formation d'opposition aux yeux des Turcs conservateurs, qui ne votent pas tous pour le pouvoir en place.À lire aussiHongrie: Orban fait modifier la Constitution pour restreindre un peu plus les droits des LGBT+ À lire aussiTurquie: «Le pouvoir a commencé à s'attaquer aux lignes rouges de la communauté LGBT+»
Giorgia Meloni est à Washington pour parler des droits de douane. La cheffe du gouvernement italien, idéologiquement proche de Donald Trump, tentera de plaider la cause européenne dans la guerre commerciale ouverte par le président américain. Reportage sur l'inquiétude des viticulteursCe voyage a aussi pour but de défendre son pays, deuxième exportateur de l'Union européenne (UE) vers les États-Unis après l'Allemagne. Si l'application de taxes à 200% est pour l'instant suspendue, la menace a déjà eu des conséquences sur les entreprises. L'agroalimentaire est le secteur le plus touché et les vignerons sont particulièrement inquiets. Cécile Debarge a rencontré l'un d'eux à Montefiore Dell'Aso, dans le centre de l'Italie.La revue de presse de Franceline Beretti Cette semaine en Hongrie, le Premier ministre Viktor Orban a franchi un nouveau pas dans l'autoritarisme et les médias européens en ont beaucoup parlé. La revue de presse du jeudi, c'est avec Franceline Beretti.Quelle est l'origine des œuvres d'arts africaines des musées occidentaux ?D'où viennent précisément les milliers d'œuvres et d'objets africains des musées et institutions d'Europe ? Pour apporter un début de réponse à cette vaste question, laFrance et l'Allemagne ont lancé un fond commun de recherche et les premiers projets concrets ont vu le jour. Il y en a trois qui ont été récemment lancés à Berlin, notre correspondante Delphine Nerbollier nous les présente.Le Liberland a 10 ansVous n'avez peut-être jamais entendu parler du Liberland et pourtant, cette micro-nation libertarienne a fêté ses 10 ans le weekend dernier. Ses partisans revendiquent un tout petit territoire situé entre la Serbie et la Croatie sans en avoir jamais pris possession. Le pays reste virtuel, mais les activités de ses citoyens dans les cryptomonnaies et les paradis fiscaux sont bien réelles. On en parle avec le journaliste Jordi Lafon Lacaze, qui s'est rendu à cet anniversaire.
Giorgia Meloni est à Washington pour parler des droits de douane. La cheffe du gouvernement italien, idéologiquement proche de Donald Trump, tentera de plaider la cause européenne dans la guerre commerciale ouverte par le président américain. Reportage sur l'inquiétude des viticulteursCe voyage a aussi pour but de défendre son pays, deuxième exportateur de l'Union européenne (UE) vers les États-Unis après l'Allemagne. Si l'application de taxes à 200% est pour l'instant suspendue, la menace a déjà eu des conséquences sur les entreprises. L'agroalimentaire est le secteur le plus touché et les vignerons sont particulièrement inquiets. Cécile Debarge a rencontré l'un d'eux à Montefiore Dell'Aso, dans le centre de l'Italie.La revue de presse de Franceline Beretti Cette semaine en Hongrie, le Premier ministre Viktor Orban a franchi un nouveau pas dans l'autoritarisme et les médias européens en ont beaucoup parlé. La revue de presse du jeudi, c'est avec Franceline Beretti.Quelle est l'origine des œuvres d'arts africaines des musées occidentaux ?D'où viennent précisément les milliers d'œuvres et d'objets africains des musées et institutions d'Europe ? Pour apporter un début de réponse à cette vaste question, laFrance et l'Allemagne ont lancé un fond commun de recherche et les premiers projets concrets ont vu le jour. Il y en a trois qui ont été récemment lancés à Berlin, notre correspondante Delphine Nerbollier nous les présente.Le Liberland a 10 ansVous n'avez peut-être jamais entendu parler du Liberland et pourtant, cette micro-nation libertarienne a fêté ses 10 ans le weekend dernier. Ses partisans revendiquent un tout petit territoire situé entre la Serbie et la Croatie sans en avoir jamais pris possession. Le pays reste virtuel, mais les activités de ses citoyens dans les cryptomonnaies et les paradis fiscaux sont bien réelles. On en parle avec le journaliste Jordi Lafon Lacaze, qui s'est rendu à cet anniversaire.
La Hongrie durcit sa législation sur la question du genre en interdisant les gay prides et marches des fiertés, suite à un amendement voté au Parlement. Ce texte inscrit dans la constitution l'existence des seuls genres masculins ou féminins et renforce les restrictions sur les droits des personnes homosexuelles et transgenres. Le Premier ministre Viktor Orbán, proche du Kremlin, a également fait adopter une loi visant les binationaux, permettant de suspendre leur citoyenneté pour 10 ans. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:05:54 - La Revue de presse internationale - par : Catherine Duthu - Graver dans la Constitution l'existence des seuls genres masculin ou féminin et la primauté du droit des enfants sur tous les autres : le Parlement hongrois a davantage restreint les droits des personnes LGBT+. Le gouvernement Orbán s'attaque aussi aux binationaux, jugés "traîtres à la nation".
Comme toujours, nous commencerons notre émission par un tour d'horizon de l'actualité. Nous aborderons tout d'abord la récente condamnation de Marine Le Pen qui a déclenché des attaques contre l'autorité judiciaire par des leaders de droite et populistes en France, dans toute l'Europe et aux États-Unis. Nous poursuivrons en commentant l'annonce de la Hongrie de son retrait de la Cour pénale internationale (CPI). Le Premier ministre hongrois Viktor Orbán a critiqué la CPI en la qualifiant de « tribunal politique » partial, notamment à cause du mandat délivré à l'encontre de M. Nétanyahou. Notre section scientifique sera consacrée à une étude qui a récemment révélé que même les Européens les plus pauvres vivent en moyenne plus longtemps que les Américains riches. Et pour conclure la première partie de l'émission, nous parlerons du record que le sénateur Cory Booker a battu en prononçant le plus long discours de l'histoire devant le Sénat. Dans les sections grammaire et expressions de l'émission, nous aurons des dialogues autour de la culture française. Le point de grammaire qui sera abordé dans le premier dialogue est le futur proche (The Near Future). Et notre dernière conversation illustrera l'utilisation de l'expression française « faire des pieds et des mains ». - L'extrême droite est révoltée par la condamnation de Marine Le Pen, même si ses conséquences pourraient être minimes - La Hongrie annonce son retrait de la Cour pénale internationale - Les Européens les plus pauvres vivent aussi longtemps que les Américains les plus riches - Le discours de 25 heures du sénateur américain Cory Booker bat un record établi il y a 68 ans - La ville de Paris dépose plainte contre X pour pollution de son réseau d'eau potable - Le chemin parcouru par les Françaises pour trouver leur place dans l'enseignement supérieur
durée : 00:57:11 - LSD, la série documentaire - par : Kristel Le Pollotec - Grèce, Italie, Espagne, Portugal, Hongrie, dans chacun de ces pays, l'origine du fascisme s'inscrit dans la nostalgie d'une grandeur disparue, souvent liée à la guerre, à la défaite ou à la perte d'un empire colonial. - réalisation : François Teste
Les experts et journalistes de RFI répondent à vos questions sur les taxes douanières annoncées par Donald Trump et le retrait de la Hongrie de la CPI. RDC : trois ressortissants américains échappent à la peine de mortCondamnés à mort pour leur implication dans la tentative de coup d'État de mai 2024 à Kinshasa, les trois Américains ont vu leur peine commuée en prison à perpétuité. Comment expliquer cette grâce accordée par le président Felix Tshisekedi ? Quel avait été de leur rôle lors de ce putsch raté ?Avec Paulina Zidi, correspondante permanente de RFI à KinshasaÉtats-Unis : comment Donald Trump a-t-il calculé les droits de douane ?Le monde entier est concerné par les nouveaux droits de douane sur les produits importés aux États-Unis. 20% pour l'Union européenne, 34% pour la Chine et même 50% pour le Lesotho. Sur quels critères Donald Trump s'est-il basé pour fixer ces taxes en fonction des pays ?Droits de douane américains : pourquoi certains pays sont épargnés ?Alors que la plupart des États sont frappés par les nouvelles taxes américaines, certains pays comme le Canada, la Russie et le Mexique ne sont pas concernés par les dernières annonces de Donald Trump. Pourquoi sont-ils exemptés de ces augmentations ?Droits de douane américains : quelles conséquences pour l'Afrique ?51 pays africains sont frappés de plein fouet par les nouveaux droits de douane imposés par Donald Trump. Allant de 10% pour le Bénin et la Guinée jusqu'à 50% pour le Lesotho, quel sera l'impact sur les économies du continent ? Quel avenir pour l'Agoa (African Growth and Opportunity Act) qui permet à l'Afrique d'exporter des milliers de produits vers les États-Unis sans être taxés ?Avec Léo Charles, maître de conférences en sciences économiques à l'Université de Rennes 2CPI : la Hongrie claque la porteVisé par un mandat d'arrêt international de la Cour pénale internationale, Benyamin Netanyahu a pourtant été reçu en grande pompe en Hongrie. Son hôte, Viktor Orban en a profité pour annoncer le retrait de son pays de la CPI. Comment expliquer cette décision ? A-t-elle un lien avec la visite du Premier ministre israélien ?Avec Florence La Bruyère, correspondante de RFI à Budapest
La Slovaquie en direct, Magazine en francais sur la Slovaquie
Actualités. Gros plan. International. La Slovaquie sans frontieres. La Vie comme elle va. Savez-vous ce qu'est un guba ? C'est a la fois un tissu et une veste en laine portée par les bergers l'hiver. Une tradition slovaque a découvrir dans notre émission ! Il existe 13 nationalités légalement reconnues vivant en Hongrie, les Slovaques sont le troisieme groupe national le plus important du pays. Nous partons a leur rencontre.
Javier Milei en Argentine, Giorgia Meloni en Italie, Viktor Orban en Hongrie, Alice Wiedel en Allemagne et Marine Le Pen en France : depuis plusieurs années on observe une montée de l'extrême droite dans le monde. Historiquement, l'extrême droite et le fascisme ont souvent partagé les mêmes idées nationalistes et autoritaires Umberto Eco, écrivain et sémiologue italien, a grandi sous le régime de Mussolini. En 1995, il publie un essai intitulé Ur-Fascisme maintenant publié sous le nom Reconnaître le fascime dans lequel il détaille quatorze caractéristiques communes aux mouvements fascistes. Quels sont les points communs des régimes fascistes ? Ces idées reposent-elle sur la haine ? Et sur la guerre ? Écoutez la suite de cet épisode de Maintenant vous savez ! Un podcast Bababam Originals, écrit et réalisé par Hugo de l'Estrac. À écouter ensuite : “Femme”, “équité”, ”climat” : quels sont ces mots interdits par Donald Trump ? Quels sont vraiment les motifs d'une OQTF ? Pourquoi le Rassemblement National est-il régulièrement accusé d'antisémitisme ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez". Suivez Bababam sur Instagram. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
durée : 00:57:47 - LSD, la série documentaire - par : Christine Lecerf - 1946, un rideau de fer coupe l'Europe en deux. En provenance de Hongrie, de Tchécoslovaquie ou de Pologne, des vagues successives d'exilés affluent à la Gare de l'Est. Samizdats et rêves d'une “autre Europe” vont et viennent. - réalisation : Franck Lilin
La droite allemande qui s'apprête à prendre le pouvoir, celle de Friedrich Merz, dévoile au fil des semaines l'ambition d'un programme très conservateur. Dernier projet en date qui a semé un tollé dans le pays, l'idée de retirer des financements à des ONG ou des associations jugées trop critiques envers la CDU. Le parti leur reproche d'avoir manifesté contre lui, surtout après le vote conjoint de la droite avec l'extrême droite au Parlement. Reportage à Berlin signé Delphine Nerbollier. La revue de presse sonore de Franceline BerettiEt on reste en Allemagne pour ouvrir notre revue de presse. La décision est historique, le Parlement a accepté que le pays s'endette pour financer la défense et les infrastructures... c'est la fin du sacro saint «frein à la dette» qui était inscrit dans la Constitution. On s'attendait donc à des commentaires nourris dans la presse grecque et italienne qui ont fait les frais de l'orthodoxie budgétaire allemande !!! Les usines de dessalement, source d'eau vitale pour les Canaries2024, année la plus chaude jamais enregistrée. Et partout en Europe, le stress hydrique impacte désormais 30% de la population. Aux Canaries, l'archipel espagnol situé au large du Maroc, on a parié sur 250 usines de dessalement pour faire face aux besoins en eau potable. La technique pointue, est coûteuse, elle n'est pas non plus neutre pour l'environnement. Reportage à Gran Canaria de notre correspondant Nicolas Kirilowits Le documentaire qui dit tout sur l'enrichissement du clan OrbanDéjà trois millions de vues cumulées en Hongrie pour le documentaire Dynastia. Le film réalisé par le site d'investigation Magyar Direkt 36 retrace avec efficacité la manière dont tous les proches du Premier ministre hongrois Viktor Orban se sont enrichis, au delà de l'imaginable. Florence La Bruyère.
Dans cette édition :Le procureur algérien a requis 10 ans de prison ferme contre l'écrivain franco-algérien Boualem Sansal dans un procès qualifié de "fantôme" par ses avocats, qui n'ont pas pu assister à l'audience.L'influenceur algérien Doualem a été à nouveau interpellé et placé en centre de rétention administrative en vue de son expulsion, malgré les difficultés rencontrées par la France pour obtenir les laissez-passer consulaires nécessaires auprès des autorités algériennes.Les dirigeants européens se sont réunis à Bruxelles pour définir de nouvelles aides à l'Ukraine, avec un objectif revu à la baisse de 5 milliards d'euros, certains pays comme la Hongrie s'opposant à toute nouvelle aide.Le gouvernement français a annoncé de nouvelles mesures pour financer l'effort de défense nationale, avec 1,7 milliard d'euros d'investissements publics et privés dans les entreprises du secteur.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 28 février 2025.Avec cette semaine :Jean-Louis Bourlanges, essayiste.François Bujon de l'Estang, ambassadeur de France.Marc-Olivier Padis, directeur des études de la fondation Terra Nova.Lucile Schmid, vice-présidente de La Fabrique écologique et membre du comité de rédaction de la revue Esprit.LA FIN DE L'OTAN ET L'HEURE DE LA DÉFENSE EUROPÉENNE ?Le rapprochement russo-américain sur l'Ukraine, les « négociations de paix » amorcées sans Kyiv et le Vieux Continent et la menace de remise en question par Washington de son soutien militaire à l'Europe ont abasourdi ses alliés. Le discours du vice-président des Etats-Unis, J. D. Vance, lors de la Conférence de Munich le 14 février a ébranlé la relation transatlantique : les Européens ont brutalement pris conscience que la sécurité du continent ne dépend que d'eux-mêmes. Après l'annonce par le secrétaire américain à la Défense, Pete Hegseth, le 12 février à Bruxelles que l'Administration Trump écarterait la possibilité pour l'Ukraine d'intégrer l'Alliance atlantique dans les négociations de paix, la course aux idées pour pallier l'absence de protection américaine a été relancée. Mais, faute d'architecture de défense ou de structure de commandement commune européennes, ces moyens sont limités. Aujourd'hui, les membres européens de l'OTAN ne dépensent que 1,9% de leur PIB dans la défense. Le sommet du 24 au 26 juin à La Haye devrait porter la cible de dépenses de défense à 3% du PIB.À Bruxelles, en attendant de présenter son Livre blanc sur la défense, le 19 mars, la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen a déjà évoqué une première piste : les États membres pourront demander un traitement budgétaire de faveur pour leurs dépenses de défense, afin de desserrer l'étau des critères de Maastricht d'une dette publique inférieure à 60% du PIB et un déficit public de 3% du PIB maximum. Le recours à cette « clause de sauvegarde nationale » pourrait notamment intéresser les pays sous procédure pour déficit excessif, comme la France, l'Italie, la Belgique, la Hongrie, la Pologne, la Slovaquie, ou Malte. Pour l'heure, le débat sur la bonne utilisation des fonds communautaires se poursuit entre les États qui, comme la France, militent pour une préférence européenne et ceux qui, à l'instar de la Pologne, ne veulent pas exclure des achats aux États-Unis ou en Corée du Sud.En Allemagne, lundi, au lendemain de la victoire de l'Union chrétienne-démocrate aux législatives du 23 février, son leader le probable futur chancelier Friedrich Merz juge nécessaire pour l'Europe de se préparer « au pire scénario » en créant une défense autonome en tant qu'alternative à « l'OTAN dans sa forme actuelle ». Estimant que le temps presse, il se dit prêt ainsi à s'affranchir de 80 ans de tradition atlantiste allemande en matière de défense, allant jusqu'à déclarer vouloir « discuter avec les Britanniques et les Français pour savoir si leur protection nucléaire pourrait également s'étendre à [l'Allemagne] ».A Londres, mardi, devant la Chambre des communes, Keir Starmer a déclaré que son gouvernement porterait le budget de la défense à 2,5% du PIB en 2027. Du jamais vu « depuis la fin de la guerre froide », a précisé le Premier ministre britannique.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.fr