POPULARITY
durée : 01:55:02 - Humeurs d'été (2/3) - par : Thierry Jousse - Thierry Jousse vous invite à partager ses "humeurs vagabondes" pour célébrer le début de l'été ! Avec notamment Ray Ventura, Charles Trénet, Caetano Veloso, Bob Marley, Nina Simone, Aretha Franklin… - réalisé par : Olivier Guérin
Jazz, Big Band, and Swing Sunday - Paris Between the Wars 00:00 Stéphane Grappelli & le Hot Club de France - Are You In The Mood ? 02:47 Philippe Brun & son Orchestre - P.B. Flat Blues 05:42 Léo Chauliac & son Ensemble - Rue de la Paix 08:56 Hubert Rostaing & son Orchestre - Oui, C'est Ca 11:33 Gus Viseur & son Orchestre - Swing 42 14:14 Aimé Barelli & son Orchestre - Riviera 17:03 André Ekyan & son Orchestre - Blues of Yesterday 19:37 Michel Warlop & son Septuor à Cordes - Tempête sur les Cordes 22:05 Jerry Mengo & Le Jazz de Paris - Hôtel de la Gare 24:26 The Hot Club Swing Stars - Daphné 27:13 Alix Combelle & Le Jazz de Paris - Verlaine 30:30 Noël Chiboust & son Orchestre - Goût du Jour 33:24 Pierre Allier & son Orchestre - Jam Men 36:02 Django Reinhardt & le Hot Club de France - In a Sentimental Mood 39:01 Ray Ventura & ses Collégiens - I Got Rhythm 42:01 Alex Renard & son Orchestre - Nuages --- Send in a voice message: https://anchor.fm/waldina/message
durée : 00:59:56 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit - Dans "Chanson Boum", en 2006, Henri Salvador se souvenait de sa carrière et de ses rencontres avec Boris Vian, Bernard Dimey, Ray Ventura, Quincy Jones. Il expliquait son art du chant, de la mélodie, son amour de la musique brésilienne, de la chanson française et de la musique classique. - invités : Henri Salvador Chanteur, compositeur et guitariste (1917-2008)
durée : 00:30:59 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit - En 1969, dans "Les mille et une chansons" Georges Brassens évoquait ses goût musicaux, Paul Misraki, Jean Tranchant, Ray Ventura et ses collégiens, Mireille et, bien entendu, Charles Trenet. - invités : Georges Brassens chanteur, auteur, compositeur (1921-1981)
Comédienne des années 50, Françoise Arnoul rendue célèbre par Jean Renoir dans French Cancan jouera pour Henri Verneuil, Roger Vadim, Marcel Carné, aux côtés de Jean Gabin, Jean Marais, Ray Ventura et bien dʹautres… Cette sex-symbol est peu à peu supplantée par une autre… Brigitte Bardot. Françoise Arnoul se tournera vers la politique, ouvertement communiste, engagée dans les combats de son temps pour le droit à lʹavortement. En 1997 elle présidera la caméra dʹor au Festival de Cannes. Celle qui rêvait de devenir danseuse chantera aussi dans quelques-uns de ces films.
Ce vendredi 4 décembre 2020, vers 21 heures, sur France 5, Michel Jonasz déclara à Claire Chazal dans son émission « Passage des Arts » : « Dans notre société actuelle, la fraternité est ce qui nous permettra de survivre. » (Photo-ci-contre) En 1935, Ray Ventura chantait « Tout va très bien, Madame la Marquise, tout va très bien… », alors que James, employé au service de l’aristocrate, annonçait que le marquis, son mari, s’était pendu, que le château et les écuries avaient totalement brûlé entraînant la mort de la jument préférée de la dame… Ce n’était qu’une chanson qui avait pour message : « Quels que soient les problèmes, il faut rester optimiste », disait-on. Aujourd’hui, c’est « Je regarde le monde autour de moi et je ne peux m’empêcher de sourire et de ressentir de la joie », l’une des cent phrases proposées par un site de pensée positive qui, de la sorte, a pour but de, je cite encore, « transformer votre vie, purifier vos pensées et restructurer votre comportement. » Il y aussi les adeptes du « Vivez le moment présent » qui, selon le philosophe Alexandre Jollien, est un leurre car le temps d’y penser et c’est déjà du passé, bref, surtout ne croyez pas que je sois un adversaire de la recherche de la plénitude par la méditation, la relaxation et autres techniques de bien-être, mais, il y a quand même lieu de faire la part des choses. Effectivement, il ne faut pas que cela débouche sur un comportement où l’empathie et la compassion soient éradiqués au profit de la positivité toxique. Vous savez, celle qui fait dire à des gens : « Cela pourrait être pire », « C’est comme ça », « Il faut faire avec », « Regardez du bon côté », « Vous êtes trop agressif », alors qu’il est question de réclamer davantage de solidarité et de fraternité dans la Société, surtout en ce moment de pandémie où foisonnent les théories du complot, parfois menées par des médecins en mal de notoriété, je suppose. Alors, cette positivité toxique qui nie ou déplace sciemment toute réalité jugée « négative », endort les consciences, pousse à ne pas s’engager, ni à se mouiller, ni à monter au créneau, face à des actions injustes, dangereuses, pathogènes, iniques, cette positivité toxique s’érige même en mode de pensée, donc de vie, au nom du « oui, mais… » et du « surtout, pas de vague… ». Que n’entend-on pas : « L’attentat à Charlie Hebdo fut horrible, oui mais… » sous-entendu : « Ils l’ont bien cherché ! » ? « Pas de vague… », fut la réaction donnée par des collègues qui se désolidarisaient du professeur Samuel Paty, professeur d’histoire à Conflans-Sainte-Honorine, alors qu’il leur annonçait être menacé pour avoir abordé le thème de la liberté d’expression et qui, finalement, fut égorgé et décapité. Connaissez-vous le gougnafier ? C’est celui ou celle qui se dit être en conformité avec sa conscience et qui ne veut pas savoir que vous existez avec vos convictions, vos joies et peines, vos projets et vos craintes, dont celle de mourir de la Covid-19. C’est l’adepte invétéré du « J’ai raison » et, forcément, il n’écoute même pas vos arguments, ou, alors d’une oreille distraite. Ce nouveau concept en psychologie de la positivité toxique se définit comme la tendance à se présenter comme étant heureux quoi qu’il arrive, selon des professionnels de la Santé mentale (IDRlabs). Ils expliquent que les personnes qui en relèvent sont « déconnectées de tout ce qui pourrait être considéré comme négatif et, par extension, elles sont enclines à encourager les autres à toujours voir le bon côté des choses et à ne pas s’ouvrir sur les questions tristes, difficiles » ou qui dérangent. En somme, les gens qui balaient d’un revers de la main les mesures sanitaires actuelles, minimisent ou nient les drames dus à la Covid-19, relèvent de la non-assistance à personnes en danger et d’un manque profond d’empathie à l’égard de ceux qui souffrent ou du corps médical et de santé mentale qui luttent depuis près d’un an.
Journaliste, écrivain, poète, fabuliste et librettiste français, Franc-Nohain est né le 25 octobre 1872 et décédé le 18 octobre 1934; il fut le père du parolier et animateur télévisé Jean Nohain et du comédien Claude Dauphin. Nos invitées Ghyslaine Gautron et Michèle Perronnet, des Filles Saint-Pierre, lisent et déclament chacune 11 fables de Franc-Nohain dont certaines annoncent Jacques Prévert et Raymond Queneau!
1 - Rose Mousse - Leggett Salon Orchestra (France)2 - Turnip Greens - Steve Gibson and the Red Caps – 19473 - Clam Chowder - Vaughn Monroe and his Orchestra – 19414 - Black Bread - Griffin Brothers Orchestra - 19535 - Storise Khoro Goliamo - Mita Stoycheva (Bulgaria) - 1930's6 - How Mother Made the Soup - Charley Case - 19097 - Pork Chops and Gravy - Ivory "Deek" Watson with the Ink Spots - 19388 - Fat Meat Is Good Meat - Savannah Churchill with Jimmy Lytell and his All Star Seven – 19439 - Everything Is Peaches Down In Georgia – The American Quartet – 191810 - Koni Au I Ka Wai (Tasting the Waters) - Harry Owens and his Royal Hawaiian Hotel Orchestra – 193711 - Good Old Bosom Bread - Austin Wright with The Original St. Louis Crackerjacks - 193612 - Te Quiero Bilbaina - Triki-Triki –13 - Veisia, Veisia Kapoustka (Cabbage Cabbage) - Aristoff Choir (Russia) - 1920's14 - Yak Poidu Z Kimi Na Nicz - Narodnyj Spiwak (Ukraine) – 193015 – Water Boy – Billy Eckstein with Earle Hines and His Orchestra – 194116 – I Want the Waiter With the Water – Ozzie Nelson and His Orchestra - 193917 - Bringin' Home The Bacon - Kaplan's Melodists – 192418 – The Prune Song – Frank Crumit - 193419 - Wintergreen For President - Hal Kemp - 193220 - Five Salted Peanuts - Tony Pastor and his Orchestra – 194521 - I'm Gonna Salt Away Some Sugar - Fats Waller and his Rhythm – 194022 – Captain Custard – Ray Noble and His Orchestra - 194023 - Simple and Sweet - Connie Boswell – 193824 - Sweet Sue - Fats Waller and his Rhythm - 193725 - Sweet Sue - Tommy Dorsey and his Orchestra – 193826 - Sweet Leilani - The Debutantes & Muzzy Marcellino with Ted Fio Rito And His Orchestra - 193727 - Sweet, Sweet, Sweet - Lucien Jeunesse with Ray Ventura et son orchestre –28 - Variety is the Spice of Life - Bea Wain and Ford Leary with Larry Clinton & his Orchestra – 1938 29 - The Big Ham - Dragnet - 1953
durée : 00:55:59 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit, Albane Penaranda, Mathilde Wagman - Par Jean Forest et Emmanuel Robert - Avec Paul Guth, Louis de Broglie, Raoul Nordling, Jacques de Lacretelle, Jules Supervielle, Claude Aveline, Claude Mauriac, François Périer, Cécile Aubry, Jean Tissier, Ray Ventura et Paul Misraki - Réalisation Jean-Wilfrid Garrett - réalisation : Virginie Mourthé
Lecture de poèmes issus de l'anthologie "La Résistance Et Ses Poètes - France 1940/1945)" éditée par Pierre Seghers. Le tout agrémenté de respirations chantées sur le thème de la Résistance ainsi que des chansons des années d'occupation.
Tracklist : - Les VRP : VRP - Anita O’Day : Love For Sale - Jean-Marie Friedrich : La Ronde des Métiers - Nick Cave : Red Right hands (de la série "Peaky Blinders") - Les Wampas : Les Apprentis Charcutiers - Philippe Catherine : The Postman - Extraits du film "Haute Fidélité" - Ron Carter Golden Striker trio : Cedar Tree - Glen Campbell : Wichita Lineman - JB Lenoir : Eisenhower Blues - Fernand Raynaud : extrait du sketch "le plombier" - Ray Ventura & ses collégiens : Attendez que je sorte mes outils - Paul Witheman & his orchestra : Whispering - Jonathan Richman: Ice Cream Man (live) - Les Escrocs : Assedic - Fred Adison : Avec Les Pompiers - Cannonball Adderley : Autumn Leaves - Etron Fou Leloublan : Comment Choisir Son Infirmière (live) - Charlie Parker : Moose The Mooche - Hommage à Daevid Allen : Gong: Sylabub/Wet Cheese Delirium - The Mc Intosh County Shouters : Sign Of The Judgement - Jacky Cronier : La Marche Des Patissiers
Tracklist :- Les VRP : VRP- Anita O'Day : Love For Sale- Jean-Marie Friedrich : La Ronde des Métiers- Nick Cave : Red Right hands (de la série "Peaky Blinders")- Les Wampas : Les Apprentis Charcutiers- Philippe Catherine : The Postman- Extraits du film "Haute Fidélité"- Ron Carter Golden Striker trio : Cedar Tree- Glen Campbell : Wichita Lineman- JB Lenoir : Eisenhower Blues- Fernand Raynaud : extrait du sketch "le plombier"- Ray Ventura & ses collégiens : Attendez que je sorte mes outils- Paul Witheman & his orchestra : Whispering- Jonathan Richman: Ice Cream Man (live)- Les Escrocs : Assedic- Fred Adison : Avec Les Pompiers- Cannonball Adderley : Autumn Leaves- Etron Fou Leloublan : Comment Choisir Son Infirmière (live)- Charlie Parker : Moose The Mooche- Hommage à Daevid Allen : Gong: Sylabub/Wet Cheese Delirium- The Mc Intosh County Shouters : Sign Of The Judgement- Jacky Cronier : La Marche Des Patissiers
"Il est la mélodie française par excellence". C'est en ces termes qu'Henri Salvador évoquait son ami Paul Misraki, émérite compositeur de l'orchestre de Ray Ventura, dont Salvador fut l'un des membres dans les années quarante. Cette définition prend toute sa valeur si l'on songe aux standards que Paul Misraki a additionnés durant sa traversée du siècle : Insensiblement, Sur deux notes, Les Volets clos… En même temps, difficile de le réduire au statut de musicien ayant gonflé d'insouciance la France des années trente, celle des premiers congés payés, avec Qu'est ce qu'on attend, Tout va très bien madame la marquise ou Tiens, tiens, tiens... Car Misraki est autant un homme d'image que de musique. En 1937, à 29 ans, son premier grand long-métrage, Claudine à l'école de Serge de Poligny, marque le début d'un parcours au long-cours se confondant à l'histoire du cinéma français. Avec et à travers la musique de films, Paul Misraki trouve un moyen idéal pour s'affranchir du format de la chanson et affirmer d'autres ambitions musicales.
Your host for this edition is Richard RodgersIt is entitled Yes!The ContentFirst Sequence:Django Reinhardt - I'll See You in My DreamsPatrick et son Orchestre - Black Panther StompPhilippe Brun & His Swing Band - Bouncin' AroundRay Ventura et ses Collégiens - Un sourire en chantantStéphane Grappelli & His Hot Four - I've Found a New BabySecond Sequence:Ricky Nelson - Milk Cow BluesThe Green River Boys - Poor Boy Looking for a HomeBob Luman - Make Up Your Mind, BabyJames Burton - Rock and RaunchThe Shindogs - Someday, SomedayThird Sequence:Bessie Smith - I'm Wild About That ThingJoe Venuti's Blue Four - Runnin' RaggedEddie Lang - Jeannine, I Dream of Lilac TimePaul Whiteman & His Orchestra (Bing Crosby, voc.) - If I Had a Talking Picture of YouLonnie Johnson & Blind Willie Dunn - Have to Change Keys to Play These BluesFourth Sequence:M.F.Q. - Night Time GirlTommy Tedesco - Our Day Will ComeNino Tempo & April Stevens - Deep PurpleThe Sandpipers - Things We Said TodayGary Lewis & The Playboys - Sure Gonna Miss HerSummation:Charlie Christian - Stompin' at the Savoy (live)
This week Sue Lawley's castaway is one of France's best known exports - the singer Sacha Distel. Born into a loving family in 1930s Paris, his father was a Russian émigré who'd fled the Red Army in 1917 and walked to Paris where he eventually set up an electrical goods shop. His mother was a talented musician and she instilled a love of music in her son at a young age - especially the piano. The family was traumatised during the Second World War, when his mother, who was Jewish, was interred in a Nazi camp for 19 months. After the war they were reunited but Sacha has said the experience left him with a long lasting sense of insecurity. He continued playing the piano but was increasingly drawn to the guitar, encouraged by the uncle who was the successful jazz band leader Ray Ventura. He soon demonstrated enormous talent for the instrument and, after graduating from college, he was playing with the likes of Lionel Hampton, Stan Getz, Dizzy Gillespie and Miles Davies. However it was his affair and engagement to Brigitte Bardot which catapaulted him to international fame. The liaison failed but he was to go on to become a household name, both in here and in France, with his distinct vocal style and image as a sex symbol. Now about to turn 71, Sacha is still touring and has just released a new CD. [Taken from the original programme material for this archive edition of Desert Island Discs]Favourite track: Come Rain or Come Shine by Frank Sinatra Book: The Alchemist: A Fable About Following Your Dream by Paulo Coelho Luxury: Grand piano
This week Sue Lawley's castaway is one of France's best known exports - the singer Sacha Distel. Born into a loving family in 1930s Paris, his father was a Russian émigré who'd fled the Red Army in 1917 and walked to Paris where he eventually set up an electrical goods shop. His mother was a talented musician and she instilled a love of music in her son at a young age - especially the piano. The family was traumatised during the Second World War, when his mother, who was Jewish, was interred in a Nazi camp for 19 months. After the war they were reunited but Sacha has said the experience left him with a long lasting sense of insecurity. He continued playing the piano but was increasingly drawn to the guitar, encouraged by the uncle who was the successful jazz band leader Ray Ventura. He soon demonstrated enormous talent for the instrument and, after graduating from college, he was playing with the likes of Lionel Hampton, Stan Getz, Dizzy Gillespie and Miles Davies. However it was his affair and engagement to Brigitte Bardot which catapaulted him to international fame. The liaison failed but he was to go on to become a household name, both in here and in France, with his distinct vocal style and image as a sex symbol. Now about to turn 71, Sacha is still touring and has just released a new CD. [Taken from the original programme material for this archive edition of Desert Island Discs] Favourite track: Come Rain or Come Shine by Frank Sinatra Book: The Alchemist: A Fable About Following Your Dream by Paulo Coelho Luxury: Grand piano