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Au son des archives de RFI, nous racontons le siècle d'Amadou Mahtar Mbow, né en 1921 à Dakar et décédé en 2024, après l'enregistrement de ce portrait. Après avoir évoqué son enfance coloniale, sa formation à l'École coranique et française, sa passion familiale pour l'histoire de l'Afrique et ses grands résistants, sa vocation pour l'enseignement et sa vision philosophique de la libération des Africains. Nous retraçons l'engagement d'Amadou Mahtar Mbow pour la décolonisation, pour l'éducation de base, pour l'Unesco et sa vision avant-gardiste de la restitution des biens culturels et des œuvres d'art. (Rediffusion du 19/11/2021) Avec Lamine Sagna, sociologue et auteur du livre Amadou Mahtar Mbow, une légende à raconter, aux éditions Karan et la participation des chercheurs de Columbia University ; Souleymane Bachir Diagne, philosophe et Mamadou Diouf, historien des idées.
Au son des archives de RFI, nous racontons le siècle d'Amadou Mahtar Mbow, né en 1921 à Dakar et décédé en 2024, après l'enregistrement de ce portrait. Son enfance coloniale, sa formation à l'École coranique et à l'école française, sa passion familiale pour l'histoire de l'Afrique et ses grands résistants à l'occupation française, sa vocation pour l'enseignement, et sa vision philosophique et politique de la libération des Africains. Avec : Lamine Sagna, sociologue et auteur du livre Amadou Mahtar Mbow, une légende à raconter, aux éditions Karan et la participation des chercheurs de Columbia University Souleymane Bachir Diagne, philosophe Mamadou Diouf, historien des idéesÀ écouter aussiAmadou Mahtar Mbow, premier Africain directeur de l'Unesco (Épisode 2: La légende Mbow)
W 2014 roku Mamadou Diouf wraz z Grzegorzem Rytką powołali do życia zespół łączący muzykę świata, afrobeat i reggae z dźwiękami etnicznymi. Jako zespół Mamadou & Sama Yoon wystąpią w rozszerzonym składzie podczas Innego Wymiaru – białostockiej odsłony festiwalu Wschód Kultury.… Czytaj dalej Artykuł „Uwielbiam tego typu wyzwania” – Mamadou & Sama Yoon na Innym Wymiarze pochodzi z serwisu Audycje Kulturalne.
durée : 00:32:27 - La Grande table idées - par : Olivia Gesbert - Afrique France, quel récit commun? Rendez-vous avec l'historien Mamadou Diouf pour la traduction française de "L'Invention de l'Afrique" (Valentin-Yves Mudimbe, Présence africaine, 2021), et Eric Fottorino, fondateur des revues "Le 1" et "Zadig". - réalisation : Thomas Beau - invités : Mamadou Diouf historien, spécialiste de l’Empire colonial français, enseignant à l’université de Columbia à New-York; Eric Fottorino Journaliste, écrivain fondateur et directeur de la publication du Journal Le 1, ancien dirigeant du Monde
DJ Wika i DJ Sebastian rozmawiają o Tolerancji. Gościem jest Mamadou Diouf - dziennikarz, muzyk, animator kultury i pisarz.
- Podczas pandemii zacząłem tworzyć refleksyjne utwory nagrywane a cappella, które publikuję na swoim kanale na YouTube. Dzięki temu przetrwałem - mówi Mamdou Diouf, pisarz, muzyk, Senegalczyk, który w Polsce mieszka od blisko 40 lat. - Ale wróciliśmy też do nagrywania online - zdradza w rozmowie z Maciejem Szajkowskim.
L'historien et écrivain guinéen Djibril Tamsir Niane est mort lundi dernier du Covid-19, à Dakar, au Sénégal, à l'âge de 89 ans. Il fut l'un des pionniers du renouveau de l'histoire africaine, après les indépendances. C'est ce que rappelle l'historien sénégalais Mamadou Diouf, professeur à l'université de Columbia aux États-Unis, qui répond aux questions de Claire Fages. RFI : l’historien Djibril Tamsir Niane était votre aîné, comment l’avez-vous connu ? Mamadou Diouf : Je le connaissais parce qu’un moment nous étions collègues à l’université de Dakar. Et puis il est retourné en Guinée et je suis parti aux États-Unis. Mais j’ai gardé le contact et nous nous sommes souvent retrouvés dans des colloques et des séminaires qui discutaient d’histoire, de traditions orales et de culture africaine. Comment définiriez-vous cet intellectuel ? Djibril Tamsir Niane fait partie de cette génération de l’indépendance, qui a été formée à la fois dans un contexte colonial, qui a utilisé les ressources, la langue, les méthodes apprises à l’école française, pour ouvrir de nouveaux champs et recouvrer les cultures africaines et les mettre, comme je dis souvent, dans le temps du monde. Son nom est associé à l’écriture de l’Histoire générale de l’Afrique, lancée au milieu des années 1960. Sa contribution est majeure. C’est quelqu'un qui a participé à l’un des moments les plus importants de ce chantier de réécriture de l’histoire après la période coloniale. Il a été effectivement un acteur très actif dans le groupe qui a été mis en place par le directeur général de l’Unesco pour la production des huit volumes de l’histoire générale de l’Afrique. Il a dirigé les volumes sur l’histoire médiévale de l’Afrique. Soundjata, livre de référence Il a joué un rôle très important lorsqu'il a publié l’épopée de Soundjata. Je ne sais pas dans le monde francophone, mais ce livre est un des piliers des cours d’histoire africaine aux États-Unis. Il n’y a pas une année où il n’est pas sur la liste des livres des bibliographies qui sont soumises aux étudiants qui font de l’histoire africaine ou qui font de la littérature comparative. C’est un livre qui, aux États-Unis, est au moins chaque année dans une trentaine à une cinquantaine de cours. Que raconte l’épopée de Soundjata ? Elle raconte la construction de l’empire du Mali et l’importance de cet empire, non seulement dans l’imaginaire des Sahéliens mais dans l’imaginaire de toute l’Afrique à ce moment précis où l’Afrique sort de la nuit coloniale. Et ça a donné un statut d’une très grande importance à la poétique des traditions orales. Parce que ce n’est pas seulement un texte historique. Il est porté par une poésie qui est extraordinaire. C’est aussi de la littérature. Comment a-t-il travaillé sur cette période ? Avec quels matériaux ? Il a recueilli des traditions orales mais il s’est aussi lancé dans un travail beaucoup plus systématique en utilisant les traditions écrites, en particulier les traditions arabes, soit écrites par des voyageurs arabes ou par des Africains islamisés, les clercs, ou soit les traditions portugaises. Il a aussi utilisé les renseignements que l’archéologie a développés. Djibril Tamsir Niane est donc décédé à Dakar, mais il s’était beaucoup impliqué dans la vie culturelle en Guinée, à son retour d’exil ? J’ai toujours eu un énorme respect et j’ai toujours apprécié le travail qu’il faisait quand il est retourné en Guinée : le fait d’avoir créé un espace culturel, un espace de débat, mais aussi une librairie. Je pense qu’il a essayé effectivement de contribuer à une reconstruction de l’espace intellectuel et de l’espace public guinéens, à la mort de Sékou Touré.
Serge Brazeau, Réjean Hébert et Michel Grignon font le point sur la deuxième vague de la COVID-19 dans les résidences pour personnes âgées; Marie Grégoire et François Cardinal livrent leur chronique politique; Mamadou Diouf, Melchior Mbonimpa, Michèle D'Haïti et Babacar Faye discutent de liberté d'enseignement et de l'utilisation du « mot en n ».
Les manifestations antiracistes aux États-Unis avec Mamadou Diouf, directeur du département du Moyen-Orient de l'Asie du sud et de l'Afrique à la Columbia University à New York; discussion sur les États-Unis de Donald Trump avec quatre experts de la politique américaine; et les critiques du projet de loi 61 sur la relance économique du Québec.
Czym jest patriotyzm z perspektywy Senegalczyka, który od 36 lat mieszka w Polsce? Jak moglibyśmy świętować Dzień Niepodległości? Z czego polskie społeczeństwo powinno być dumne? Jak jest w Senegalu z patriotyzmem jego mieszkańców? O patriotyzmie i świętowaniu Dnia Niepodległości, w Polsce i w Senegalu, rozmawiają Paweł Średziński z Nowej Konfederacji i Mamadou Diouf z Fundacji "Afryka Inaczej". Zapraszamy na dziesiąty odcinek z cyklu #PodcastNK „Nowy Dziwny Świat”. Mamadou Diouf – senegalski wokalista, dziennikarz, animator kultury i działacz społeczny, współzałożyciel Fundacji „Afryka Inaczej”. W 1983 roku przyjechał na studia do Polski. Prowadzi audycję poświęconą muzyce świata w Radiu Dla Ciebie. Zajmuje się również działalnością edukacyjną, prowadząc warsztaty poświęcone Afryce i migracji dla najmłodszych, młodzieży i dorosłych. dr Paweł Średziński – współpracownik NK, doktor nauk humanistycznych, z wykształcenia historyk, politolog i dziennikarz. Miłośnik przyrody i Wileńszczyzny. Obecnie wspiera działania Fundacji Dziedzictwo Przyrodnicze i prowadzi Magazyn Poświęcony Przyrodzie natropie.tv. Wesprzyj Nową Konfederację: https://nowakonfederacja.pl/wesprzyj-... Zapraszamy do śledzenia NK na pozostałych kanałach społecznościowych: Facebook: https://www.facebook.com/NowaKonfeder... Twitter: https://twitter.com/NKonfederacja Materiał sfinansowano przez Narodowy Instytut Wolności ze środków Programu Rozwoju Organizacji Obywatelskich na lata 2018-2030.
Mamadou Diouf is Leitner Family Professor of African Studies. He leads Columbia University’s Institute of African Studies at the School of International and Public Affairs.
Mamadou Diouf from the University of Columbia gives the 2009 African Studies Annual Lecture on the influence of Islam in Post-Colonial Africa, in particular, the public spaces of the former French Colonial City of St Louis in Senegal.
Anthropologist Mara Leichtman (MSU) on religion, migration, and politics. Leichtman unveils her new book New Perspectives on Islam in Senegal (co-edited with Mamadou Diouf). She then discusses transnational Shia Islam in Dakar among Lebanese migrants and Senegalese converts, and in London at the Al-Khoei Foundation. A fine example of why we cannot properly analyze globalization without […]
Anthropologist Mara Leichtman (MSU) on religion, migration, and politics. Leichtman unveils her new book New Perspectives on Islam in Senegal (co-edited with Mamadou Diouf). She then discusses transnational Shia Islam in Dakar among Lebanese migrants and Senegalese converts, and in London at the Al-Khoei Foundation. A fine example of why we cannot properly analyze globalization without […]
Mamadou Diouf est professeur à l'université de Columbia.
Mamadou Diouf est professeur à l'université de Columbia.
Mamadou Diouf est professeur à l'université de Columbia.