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L'enquêteur Jean-Baptiste Nicolle revient sur le cas mouvementé de l'émission du jour : Marie, kinésithérapeute qui a souhaité faire construire son propre cabinet partagé. Après avoir choisi elle-même un premier architecte et un constructeur, le chantier est malheureusement arrêté en cours de route : le constructeur réclame désormais 243 000 € supplémentaires pour reprendre les travaux... Comment faire entendre raison au constructeur ? Qui est fautif ? L'enquêteur Jean-Baptiste Nicolle revient sur les recherches préalables à l'émission. Au micro de Chloé Lacrampe, un membre de l'équipe de "Ça peut vous arriver" revient sur les négociations difficiles et les moments off de ces 2h d'antenne !
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Le "Projet 2025", des propositions ultra conservatrices qui ne séduisent pas forcément TrumpMention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le Projet V10 est de retour : L'Audi S6 V10 reprend du service ? TORQ PODCAST - Épisode 247Épisode #247 du Torq Podcast : Le retour du V10 ! Jul et Eve Torq reviennent sur le projet Audi S6 V10. Restauration complète, préparation moteur, réglages châssis... Tous les détails de cette transformation sont analysés. Abonne-toi pour ne rien manquer des prochaines étapes de ce projet unique. Youtube Membres VIP : https://www.youtube.com/channel/UCbha0iHrKImRyDXbDNO-EJw/join Spotify Membres VIP : https://podcasters.spotify.com/pod/show/torqpodcast/subscribeFAST WHEELS Site Web : https://fastco.ca/Fast-Wheels/Home ONEBONE Site Web : https://onebonebrand.com/jultorq Code : JULTORQ ( - 15% Rabais ) Torq Media Site Web : https://torqmedia.ca Suivez-Nous sur Instagram : @JulTorq : https://www.instagram.com/jultorq/ @EveTorq : https://www.instagram.com/evetorq/ #V10 #AudiS6 #AudiS6V10
Le Projet Ambitieux d'Imagem : Le Challenge du Bilan Carbone Les questions de responsabilité sociale et environnementale, « nouvelles et souvent lourdes administrativement pour une petite entreprise », prennent une importance croissante dans le monde professionnel. Face à ces défis, L-Imagem a décidé de franchir un pas significatif en élaborant un bilan carbone pour l'extraction minière. Ce projet ambitieux remet en question toutes les pratiques établies et pousse à une réflexion approfondie sur les habitudes professionnelles. Les questions se posent : tous les trajets en avion sont-ils réellement nécessaires ? Quel est leur impact carbone ? Ce bilan vise à passer d'une approche automatique à une démarche plus consciente, en réajustant les pratiques en fonction des besoins modernes de notre société. « Parfois, pour un rendez-vous, c'est deux avions pour une personne, sans compter le retour. » En parallèle, le secteur de la taille des pierres précieuses connaît aussi une transformation importante. La rareté des tailleurs qualifiés à Paris est un défi, et les exigences en matière de taille sont devenues presque aussi cruciales que la couleur des pierres. Les contrôles qualité se font désormais au microscope, en contraste marqué avec les pratiques d'il y a dix ans où une simple loupe suffisait. Les clients attendent désormais des pierres taillées avec la même précision que celle des diamants, reflétant des standards de qualité en constante évolution. Nous poursuivons notre échange avec une réflexion sur l'évolution du métier de négociant en pierres précieuses, ainsi que l'impact des réseaux sociaux et les variations des prix des opales. Nous abordons également les critères qui influencent ces prix et leur évolution récente. Un grand merci à Brice Deck et Cloé Wetzstein pour leur contribution précieuse à cette discussion enrichissante. Imagem's Ambitious Project: The Carbon Footprint Challenge Social and environmental responsibility issues, "new and often administratively burdensome for a small business," are becoming increasingly important. In response, L-Imagem has taken a significant step by developing a carbon footprint assessment for mining operations. This ambitious project questions all established practices and prompts a deep reflection on professional habits. Questions arise: Are all air travels truly necessary? What is their carbon impact? The goal of this assessment is to move from an automatic approach to a more conscious one, adjusting practices to meet the modern needs of our society. "Sometimes, for one appointment, it's two flights for one person, not including the return." In parallel, the gemstone cutting sector is also undergoing significant changes. The scarcity of skilled cutters in Paris is a challenge, and the standards for cutting have become almost as crucial as the color of the stones. Quality checks are now performed under a microscope, a significant shift from practices ten years ago when a simple loupe was sufficient. Clients now expect stones to be cut with the same precision as diamonds, reflecting evolving quality standards. We also explore the evolution of the gemstone trading profession, the impact of social media, and the fluctuations in opal prices. Additionally, we discuss the factors influencing these prices and their recent trends. A big thank you to Brice Deck and Cloé Wetzstein for their valuable contributions to this enlightening discussion.
Ce matin, avec Valentin Fargier, on s'envole vers les étoiles avec "Mars One", un projet fou qui ambitionnait d'envoyer des humains coloniser la planète rouge dès 2032. Tous les matins de l'été sur RTL, à 5h40, Valentin Fargier vous raconte l'histoire d'un projet fou (un disque, un film, un monument...) qui ne s'est finalement pas fait, qui est resté "dans les cartons". Des histoires incroyables qui ne sont jamais parvenues jusqu'à vos oreilles...
Frédéric Laloux est l'auteur du célèbre best-seller ressorti en poche cette année, « Reinventing Organizations ». Une bible du management vendu à des centaines de milliers d'exemplaires, un ouvrage devenu une référence pour toutes les entreprises qui veulent associer sens, intelligence collective et efficacité. Avec sa femme Hélène, ils sont entrés dans le sujet de l'urgence écologique un peu par hasard, mais ils y sont entrés avec passion et de leurs discussions avec des amis, du partage d'expériences, est né ce projet : « The Week ». Et si en une semaine, 3 films, 3 échanges entre amis, dans la famille ou entre collègues, on arrivait à sensibiliser à l'urgence écologie ? En s'appuyant sur la science et des exemples concrets ? Et si on montrait aussi les solutions déjà existantes pour atténuer et s'adapter ? Enfin, et si grâce à ces films et ces échanges, les participants avaient envie aussi d'agir à leur échelle ? « The Week », c'est tout cela ensemble. Plusieurs dizaines de milliers personnes ont déjà vécu l'expérience, mais il faut grossir encore pour avoir plus d'impact. Le couple a voulu reproduire le processus transformatif qu'il a vécu dans son parcours, un processus en forme de U : un épisode dans le sens de la chute, un arrêt, et une remontée. Le premier épisode propose de regarder la réalité en face, le 2ème d'identifier les sources d'espoir, le 3ème d'agir à partir de ce que nous sommes. Surtout, ils voulaient un récit positif et montrer qu'autour d'eux, « les gens qui se sont mis en action ont vu leur vie devenir plus riche, ils y ont gagné bien plus que ce qu'ils ont perdu ! » Le processus est simple : en quelques clics, on planifie ses séances, on prévient ses amis et/ou ses collègues. Avec un seul objectif pour « The Week » : ne pas laisser les participants sur le carreau, les emmener dans l'action et poser des questions simples, sans juger. En plus de celles proposées dans les films, toute une série d'activités sont listées sur le site de « The week » au niveau de l'individu, la collectivité, du politique. Lui qui connait si bien les entreprises, l'urgence climatique est-elle de nature à changer les organisations ? On voit de plus en plus d'entreprises libérées, entreprises contributives, entreprises régénératrices ? « Personne ne sait encore comment faire et du coup, on vit de vraies aventures », avance Frédéric Laloux. Et de citer Ray Anderson, le patron d'Interface qui avait dit ceci à ses salariés : « Il faut être prêt à rêver grand sans avoir de réponses ». Bonne écoute avec Impact Positif. https://www.theweek.ooo/ Frédéric Laloux, Reinventing Organizations, Diateino, 2015. Aussi en poche et en édition illustrée.
Ce matin, Valentin Fargier, vous parle de Loon, le projet ambitieux de Google visant à apporter Internet dans les endroits les plus reculés de la planète grâce à des ballons stratosphériques. Tous les matins de l'été sur RTL, à 5h40, Valentin Fargier vous raconte l'histoire d'un projet fou (un disque, un film, un monument...) qui ne s'est finalement pas fait, qui est resté "dans les cartons". Des histoires incroyables qui ne sont jamais parvenues jusqu'à vos oreilles...
La psychanalyse n'a pas toujours bonne presse, en particulier à gauche de la gauche. On lui reproche la tendance de beaucoup de psychanalystes à se faire les défenseurs de l'ordre symbolique et à prendre ainsi parti pour le conservatisme patriarcal et post-colonial. Pourtant la psychanalyse a longtemps eu, dès l'oeuvre et la pratique de Freud au début du XXe siècle, une forte dimension subversive. Les deux psychanalystes invités de Julien Théry pour ce nouvel épisode d'"On s'autorise à penser" la considèrent fondamentalement comme investie d'un projet politique. C'est l'objet, selon deux approches bien distinctes, de leurs livres récents, d'une part "La vie psychique du racisme. L'empire du démenti", texte d'intervention publié en 2021, et d'autre part "Psychanalyse du reste du monde. Géo-histoire d'une subversion", somme collective parue en 2023. Ces ouvrages sont issus des travaux du Collectif de Pantin, dont l'objectif, depuis 2018, est de "questionner l'incidence de la race dans l'exercice psychanalytique". En partant de la controverse entre le psychanalyste Octave Mannoni d'un côté, Franz Fanon et Aimé Césaire de l'autre, au sujet d'un livre publié par le premier en 1948, "Prospero et Caliban. Psychologie de la colonisation", Livio Boni et Sophie Mendelsohn évoquent la façon dont les mondes non-occidentaux ont été transformés par la problématique freudienne, mais l'ont aussi transformée en retour. Ils en viennent aussi, en partant d'une prophétie de Jacques Lacan au début des années 1970 selon laquelle "le racisme a bien de l'avenir", à réfléchir aux ressorts qui sous-tendent le succès actuel du Rassemblement National et de ses idées.
durée : 00:06:14 - L'esprit d'initiative - par : Cécile BIDAULT - En janvier, Esprit d'initiative suivait Yann Saugeras et son équipe surnommée «les p'tits gars des mares» à Pressignac, en Charente. Leur objectif : débroussailler les plus de 200 mares du village recouvertes de ronces et d'arbres pour y restaurer la biodiversité. Nous avons pris de leurs nouvelles.
Dans cet épisode du NFT Morning, nous avons abordé les dernieres news marquantes du Web3. Jérémy Le Bescont, journaliste Web3 chez Capital Web3, et MonsieuRabbit, spécialisé en gaming et les NFT, nous ont rejoints pour discuter de ces divers sujets et notamment des enjeux cryptos dans les élections américaines…Retrouvez cet épisode en vidéo ici:* Élections américaines et web3 : Discussion sur les élections américaines et la participation de Donald Trump à la convention Bitcoin de Nashville.* Autres actualités web3 : Revue des dernières nouvelles et développements dans l'univers du Web3, y compris les tendances et les nouveaux projets.Ensuite, nous avons reçu Gael et Antoine de Waldos Legend, qui nous ont donné une mise à jour sur leur projet :* Mise à Jour du Projet : Gael et Antoine ont partagé les dernières avancées sur leur collection de 420 PFP en lien avec l'univers du CBD * Avantages pour les Détenteurs de NFT : Les membres bénéficient d'avantages exclusifs, de réductions sur la boutique en ligne et de l'accès à des événements privés tels que la soirée spéciale à Shaka Biarritz (anciennement NFT Biarritz), réunissant la communauté et leurs amis.Pour aller plus loin:* Compte Twitter de MonsieuRabbit* Compte Twitter de Jeremy Le Bescont* Site web officiel de Waldos Legend This is a public episode. If you would like to discuss this with other subscribers or get access to bonus episodes, visit www.nftmorning.com
Extrait de l'épisode 270 du Basket Lab : Bilan 2024 : Atlanta Hawks ! Podcast en intégralité ici : https://www.podcastics.com/podcast/episode/e270-bilan-2024-atlanta-hawks-307448/ Flux principal du Basket Lab : https://www.podcastics.com/podcast/le-basket-lab/ Bonne écoute ! Guillaume (@GuillaumeBLab) -- Youtube : https://www.youtube.com/@lebasketlab Twitch : https://www.twitch.tv/guillaume_lebasketlab Twitter : https://twitter.com/GuillaumeBLab Discord : https://discord.gg/CfWkhZx9xM
Extrait de l'épisode 266 du Basket Lab : Bilan 2024 : Detroit Pistons ! Podcast en intégralité ici : https://www.podcastics.com/podcast/episode/e266-bilan-2024-detroit-pistons-307245/ Flux principal du Basket Lab : https://www.podcastics.com/podcast/le-basket-lab/ Bonne écoute ! Guillaume (@GuillaumeBLab) -- Youtube : https://www.youtube.com/@lebasketlab Twitch : https://www.twitch.tv/guillaume_lebasketlab Twitter : https://twitter.com/GuillaumeBLab Discord : https://discord.gg/CfWkhZx9xM
Le projet nucléaire ITER (International Thermonuclear Experimental Reactor) est l'une des initiatives scientifiques les plus ambitieuses du monde, visant à démontrer la faisabilité de la fusion nucléaire comme source d'énergie pratiquement illimitée, propre et sûre. Situé à Cadarache, en France, ITER est une collaboration internationale impliquant 35 pays, dont l'Union européenne, les États-Unis, la Russie, la Chine, l'Inde, le Japon et la Corée du Sud.La fusion nucléaire est le processus qui alimente le soleil et les étoiles. Contrairement à la fission nucléaire, qui divise les atomes pour libérer de l'énergie, la fusion combine des noyaux atomiques légers, comme ceux de l'hydrogène, pour former des noyaux plus lourds, libérant ainsi une immense quantité d'énergie. Ce processus produit très peu de déchets radioactifs et utilise des combustibles abondants et largement disponibles, tels que le deutérium et le tritium.ITER vise à construire et à exploiter le plus grand tokamak du monde, un dispositif en forme de tore où des champs magnétiques puissants sont utilisés pour confiner un plasma de très haute température nécessaire à la fusion. Le but est de générer 500 mégawatts de puissance de fusion avec une entrée de seulement 50 mégawatts, démontrant ainsi un gain énergétique significatif.Le projet ITER comprend plusieurs étapes clés : la construction de l'infrastructure, l'assemblage du tokamak, la mise en service des systèmes et enfin l'exploitation expérimentale. Le premier plasma est prévu pour la seconde moitié de la décennie 2020, avec des opérations de fusion complète à suivre dans les années 2030.ITER est conçu pour répondre à de nombreux défis scientifiques et technologiques, notamment le contrôle du plasma à des températures de l'ordre de 150 millions de degrés Celsius, la gestion des matériaux soumis à des conditions extrêmes et l'intégration de systèmes complexes. Si le projet réussit, il pourrait ouvrir la voie à des réacteurs de fusion commerciale, transformant le paysage énergétique mondial en fournissant une source d'énergie durable et respectueuse de l'environnement pour les générations futures. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
« 150 millions d'euros sur les dix prochaines années » pour mettre en avant les « valeurs clés » de l'extrême droite, « servir et sauver la France » : le projet (secret) Périclès fixe les ambitions du croisé Pierre-Édouard Stérin pour porter Le Pen au pouvoir. On en cause avec Thomas Lemahieu, de L'Humanité, qui a révélé le plan.
Extrait de l'épisode 263 du Basket Lab : Bilans 2024 : San Antonio Spurs ! Podcast en intégralité ici : https://www.podcastics.com/podcast/episode/e263-bilans-2024-san-antonio-spurs-306876/ Flux principal du Basket Lab : https://www.podcastics.com/podcast/le-basket-lab/ Bonne écoute ! Guillaume (@GuillaumeBLab) -- Youtube : https://www.youtube.com/@lebasketlab Twitch : https://www.twitch.tv/guillaume_lebasketlab Twitter : https://twitter.com/GuillaumeBLab Discord : https://discord.gg/CfWkhZx9xM
durée : 00:11:27 - La Question du jour - par : Quentin Lafay - La semaine dernière, par un décret publié le 7 juillet, un projet d'exploitation de mine de lithium dans l'Allier, porté par le groupe français Imerys, a été classé "d'intérêt national majeur". - invités : Guillaume Pitron Chercheur associé à l'IRIS, journaliste et réalisateur de documentaires, spécialiste des matières premières
Aujourd'hui Charles Consigny, Barbara Lefebvre et Jérôme Marty débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truc
durée : 00:20:22 - Journal de 18h - Il dit avoir écouté le peuple. Le président kényan annonce le retrait du projet de budget à l'origine de la contestation qui a dégénéré hier, et il appelle à une concertation nationale.
durée : 00:20:22 - Journal de 18h - Il dit avoir écouté le peuple. Le président kényan annonce le retrait du projet de budget à l'origine de la contestation qui a dégénéré hier, et il appelle à une concertation nationale.
Aujourd'hui Zohra Bitan, Charles Consigny et Bruno Poncet débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
durée : 00:05:37 - La Revue de presse internationale - par : Catherine Duthu - De jeunes manifestants de la "génération Z" ont obtenu de la présidence de William Ruto le retrait de taxes qu'il voulait instaurer sur le pain, les véhicules particuliers, les serviettes hygiéniques, etc. Mais les protestataires veulent aller plus loin et défilent encore à Nairobi.
Aujourd'hui Joëlle Dago-Serry, Jérôme Marty et Didier Giraud débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Une des conséquences de l'annonce surprise de la dissolution de l'Assemblée nationale est l'arrêt soudain de l'examen de textes cruciaux, comme celui sur la fin de vie. Emmanuel Macron avait promis de faire évoluer la loi concernant l'aide à mourir. Il va désormais falloir repartir à zéro, ce que redoutent certaines associations.
Une des conséquences de l'annonce surprise de la dissolution de l'Assemblée nationale est l'arrêt soudain de l'examen de textes cruciaux, comme celui sur la fin de vie. Emmanuel Macron avait promis de faire évoluer la loi concernant l'aide à mourir. Il va désormais falloir repartir à zéro, ce que redoutent certaines associations.
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, Frédéric Farah et Mehdi Ghezzar débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Le Projet Manhattan fut une entreprise militaire et scientifique de grande envergure menée par les États-Unis durant la Seconde Guerre mondiale, avec l'objectif de développer la première bombe atomique. Il débute officiellement en 1941 sous la direction du général Leslie Groves. L'urgence du projet fut accentuée par la crainte que l'Allemagne nazie ne développe l'arme nucléaire en premier. Environ 130 000 personnes furent directement impliquées dans le projet, comprenant des scientifiques, des ingénieurs, des techniciens et du personnel militaire. Le coût du projet atteignit environ 2 milliards de dollars de l'époque (environ 25 milliards de dollars actuels). L'un des premiers défis fut de transformer la théorie de la fission nucléaire, qui n'avait été démontrée qu'en 1938, en une technologie pratique. Les scientifiques durent comprendre comment provoquer et contrôler une réaction en chaîne. Deux matériaux étaient nécessaires pour les bombes : l'uranium-235 et le plutonium-239. L'uranium-235 devait être séparé de l'uranium-238, un processus extrêmement difficile car les isotopes sont chimiquement identiques et très proches en poids. Pour cela, on utilisa la diffusion gazeuse, une méthode complexe nécessitant de vastes installations comme l'usine de Oak Ridge, Tennessee, et le procédé électromagnétique, utilisé à Y-12 à Oak Ridge, exploitant les propriétés magnétiques pour séparer les isotopes. Les premiers réacteurs nucléaires furent construits à Hanford, Washington, pour produire du plutonium en irradiant de l'uranium avec des neutrons. La conception des bombes elles-mêmes posait des défis considérables. La bombe "Little Boy" utilisait de l'uranium-235 et un mécanisme de "canon" où deux masses d'uranium étaient réunies pour atteindre la masse critique. La bombe "Fat Man" utilisait du plutonium-239 et un mécanisme de "compression" où une sphère de plutonium était compressée par des explosifs conventionnels pour initier la réaction en chaîne. Assurer la sécurité des informations et des sites fut une tâche titanesque. Le projet fut tenu dans un secret rigoureux pour éviter les fuites vers les puissances ennemies et les espions. La coordination des différents sites de production et de recherche, répartis aux États-Unis, exigea une planification méticuleuse et une gestion efficace des ressources humaines et matérielles. Le Projet Manhattan allait atteindre son apogée avec les essais de la première bombe nucléaire, "Trinity", le 16 juillet 1945, dans le désert du Nouveau-Mexique. Quelques semaines plus tard, les bombes furent larguées sur Hiroshima et Nagasaki, entraînant la capitulation du Japon et la fin de la Seconde Guerre mondiale. Le Projet Manhattan demeure un exemple emblématique de mobilisation scientifique et industrielle en temps de guerre, surmontant d'énormes défis techniques, logistiques et humains pour réaliser en moins de quatre ans une avancée technologique majeure qui a profondément changé le cours de l'histoire. Et voici son histoire …
Le Projet Manhattan fut une entreprise militaire et scientifique de grande envergure menée par les États-Unis durant la Seconde Guerre mondiale, avec l'objectif de développer la première bombe atomique. Il débute officiellement en 1941 sous la direction du général Leslie Groves. L'urgence du projet fut accentuée par la crainte que l'Allemagne nazie ne développe l'arme nucléaire en premier. Environ 130 000 personnes furent directement impliquées dans le projet, comprenant des scientifiques, des ingénieurs, des techniciens et du personnel militaire. Le coût du projet atteignit environ 2 milliards de dollars de l'époque (environ 25 milliards de dollars actuels). L'un des premiers défis fut de transformer la théorie de la fission nucléaire, qui n'avait été démontrée qu'en 1938, en une technologie pratique. Les scientifiques durent comprendre comment provoquer et contrôler une réaction en chaîne. Deux matériaux étaient nécessaires pour les bombes : l'uranium-235 et le plutonium-239. L'uranium-235 devait être séparé de l'uranium-238, un processus extrêmement difficile car les isotopes sont chimiquement identiques et très proches en poids. Pour cela, on utilisa la diffusion gazeuse, une méthode complexe nécessitant de vastes installations comme l'usine de Oak Ridge, Tennessee, et le procédé électromagnétique, utilisé à Y-12 à Oak Ridge, exploitant les propriétés magnétiques pour séparer les isotopes. Les premiers réacteurs nucléaires furent construits à Hanford, Washington, pour produire du plutonium en irradiant de l'uranium avec des neutrons. La conception des bombes elles-mêmes posait des défis considérables. La bombe "Little Boy" utilisait de l'uranium-235 et un mécanisme de "canon" où deux masses d'uranium étaient réunies pour atteindre la masse critique. La bombe "Fat Man" utilisait du plutonium-239 et un mécanisme de "compression" où une sphère de plutonium était compressée par des explosifs conventionnels pour initier la réaction en chaîne. Assurer la sécurité des informations et des sites fut une tâche titanesque. Le projet fut tenu dans un secret rigoureux pour éviter les fuites vers les puissances ennemies et les espions. La coordination des différents sites de production et de recherche, répartis aux États-Unis, exigea une planification méticuleuse et une gestion efficace des ressources humaines et matérielles. Le Projet Manhattan allait atteindre son apogée avec les essais de la première bombe nucléaire, "Trinity", le 16 juillet 1945, dans le désert du Nouveau-Mexique. Quelques semaines plus tard, les bombes furent larguées sur Hiroshima et Nagasaki, entraînant la capitulation du Japon et la fin de la Seconde Guerre mondiale. Le Projet Manhattan demeure un exemple emblématique de mobilisation scientifique et industrielle en temps de guerre, surmontant d'énormes défis techniques, logistiques et humains pour réaliser en moins de quatre ans une avancée technologique majeure qui a profondément changé le cours de l'histoire. Et voici son histoire …
Pour vous abonner et écouter en une fois sans publicté : https://m.audiomeans.fr/s/P-icMGxvaX Le Projet Manhattan fut une entreprise militaire et scientifique de grande envergure menée par les États-Unis durant la Seconde Guerre mondiale, avec l'objectif de développer la première bombe atomique. Il débute officiellement en 1941 sous la direction du général Leslie Groves. L'urgence du projet fut accentuée par la crainte que l'Allemagne nazie ne développe l'arme nucléaire en premier. Environ 130 000 personnes furent directement impliquées dans le projet, comprenant des scientifiques, des ingénieurs, des techniciens et du personnel militaire. Le coût du projet atteignit environ 2 milliards de dollars de l'époque (environ 25 milliards de dollars actuels). L'un des premiers défis fut de transformer la théorie de la fission nucléaire, qui n'avait été démontrée qu'en 1938, en une technologie pratique. Les scientifiques durent comprendre comment provoquer et contrôler une réaction en chaîne. Deux matériaux étaient nécessaires pour les bombes : l'uranium-235 et le plutonium-239. L'uranium-235 devait être séparé de l'uranium-238, un processus extrêmement difficile car les isotopes sont chimiquement identiques et très proches en poids. Pour cela, on utilisa la diffusion gazeuse, une méthode complexe nécessitant de vastes installations comme l'usine de Oak Ridge, Tennessee, et le procédé électromagnétique, utilisé à Y-12 à Oak Ridge, exploitant les propriétés magnétiques pour séparer les isotopes. Les premiers réacteurs nucléaires furent construits à Hanford, Washington, pour produire du plutonium en irradiant de l'uranium avec des neutrons. La conception des bombes elles-mêmes posait des défis considérables. La bombe "Little Boy" utilisait de l'uranium-235 et un mécanisme de "canon" où deux masses d'uranium étaient réunies pour atteindre la masse critique. La bombe "Fat Man" utilisait du plutonium-239 et un mécanisme de "compression" où une sphère de plutonium était compressée par des explosifs conventionnels pour initier la réaction en chaîne. Assurer la sécurité des informations et des sites fut une tâche titanesque. Le projet fut tenu dans un secret rigoureux pour éviter les fuites vers les puissances ennemies et les espions. La coordination des différents sites de production et de recherche, répartis aux États-Unis, exigea une planification méticuleuse et une gestion efficace des ressources humaines et matérielles. Le Projet Manhattan allait atteindre son apogée avec les essais de la première bombe nucléaire, "Trinity", le 16 juillet 1945, dans le désert du Nouveau-Mexique. Quelques semaines plus tard, les bombes furent larguées sur Hiroshima et Nagasaki, entraînant la capitulation du Japon et la fin de la Seconde Guerre mondiale. Le Projet Manhattan demeure un exemple emblématique de mobilisation scientifique et industrielle en temps de guerre, surmontant d'énormes défis techniques, logistiques et humains pour réaliser en moins de quatre ans une avancée technologique majeure qui a profondément changé le cours de l'histoire. Et voici son histoire …
Pour vous abonner et écouter en une fois sans publicité : https://m.audiomeans.fr/s/P-icMGxvaX Le Projet Manhattan fut une entreprise militaire et scientifique de grande envergure menée par les États-Unis durant la Seconde Guerre mondiale, avec l'objectif de développer la première bombe atomique. Il débute officiellement en 1941 sous la direction du général Leslie Groves. L'urgence du projet fut accentuée par la crainte que l'Allemagne nazie ne développe l'arme nucléaire en premier. Environ 130 000 personnes furent directement impliquées dans le projet, comprenant des scientifiques, des ingénieurs, des techniciens et du personnel militaire. Le coût du projet atteignit environ 2 milliards de dollars de l'époque (environ 25 milliards de dollars actuels). L'un des premiers défis fut de transformer la théorie de la fission nucléaire, qui n'avait été démontrée qu'en 1938, en une technologie pratique. Les scientifiques durent comprendre comment provoquer et contrôler une réaction en chaîne. Deux matériaux étaient nécessaires pour les bombes : l'uranium-235 et le plutonium-239. L'uranium-235 devait être séparé de l'uranium-238, un processus extrêmement difficile car les isotopes sont chimiquement identiques et très proches en poids. Pour cela, on utilisa la diffusion gazeuse, une méthode complexe nécessitant de vastes installations comme l'usine de Oak Ridge, Tennessee, et le procédé électromagnétique, utilisé à Y-12 à Oak Ridge, exploitant les propriétés magnétiques pour séparer les isotopes. Les premiers réacteurs nucléaires furent construits à Hanford, Washington, pour produire du plutonium en irradiant de l'uranium avec des neutrons. La conception des bombes elles-mêmes posait des défis considérables. La bombe "Little Boy" utilisait de l'uranium-235 et un mécanisme de "canon" où deux masses d'uranium étaient réunies pour atteindre la masse critique. La bombe "Fat Man" utilisait du plutonium-239 et un mécanisme de "compression" où une sphère de plutonium était compressée par des explosifs conventionnels pour initier la réaction en chaîne. Assurer la sécurité des informations et des sites fut une tâche titanesque. Le projet fut tenu dans un secret rigoureux pour éviter les fuites vers les puissances ennemies et les espions. La coordination des différents sites de production et de recherche, répartis aux États-Unis, exigea une planification méticuleuse et une gestion efficace des ressources humaines et matérielles. Le Projet Manhattan allait atteindre son apogée avec les essais de la première bombe nucléaire, "Trinity", le 16 juillet 1945, dans le désert du Nouveau-Mexique. Quelques semaines plus tard, les bombes furent larguées sur Hiroshima et Nagasaki, entraînant la capitulation du Japon et la fin de la Seconde Guerre mondiale. Le Projet Manhattan demeure un exemple emblématique de mobilisation scientifique et industrielle en temps de guerre, surmontant d'énormes défis techniques, logistiques et humains pour réaliser en moins de quatre ans une avancée technologique majeure qui a profondément changé le cours de l'histoire. Et voici son histoire …
Le Projet Manhattan fut une entreprise militaire et scientifique de grande envergure menée par les États-Unis durant la Seconde Guerre mondiale, avec l'objectif de développer la première bombe atomique. Il débute officiellement en 1941 sous la direction du général Leslie Groves. L'urgence du projet fut accentuée par la crainte que l'Allemagne nazie ne développe l'arme nucléaire en premier. Environ 130 000 personnes furent directement impliquées dans le projet, comprenant des scientifiques, des ingénieurs, des techniciens et du personnel militaire. Le coût du projet atteignit environ 2 milliards de dollars de l'époque (environ 25 milliards de dollars actuels). L'un des premiers défis fut de transformer la théorie de la fission nucléaire, qui n'avait été démontrée qu'en 1938, en une technologie pratique. Les scientifiques durent comprendre comment provoquer et contrôler une réaction en chaîne. Deux matériaux étaient nécessaires pour les bombes : l'uranium-235 et le plutonium-239. L'uranium-235 devait être séparé de l'uranium-238, un processus extrêmement difficile car les isotopes sont chimiquement identiques et très proches en poids. Pour cela, on utilisa la diffusion gazeuse, une méthode complexe nécessitant de vastes installations comme l'usine de Oak Ridge, Tennessee, et le procédé électromagnétique, utilisé à Y-12 à Oak Ridge, exploitant les propriétés magnétiques pour séparer les isotopes. Les premiers réacteurs nucléaires furent construits à Hanford, Washington, pour produire du plutonium en irradiant de l'uranium avec des neutrons. La conception des bombes elles-mêmes posait des défis considérables. La bombe "Little Boy" utilisait de l'uranium-235 et un mécanisme de "canon" où deux masses d'uranium étaient réunies pour atteindre la masse critique. La bombe "Fat Man" utilisait du plutonium-239 et un mécanisme de "compression" où une sphère de plutonium était compressée par des explosifs conventionnels pour initier la réaction en chaîne. Assurer la sécurité des informations et des sites fut une tâche titanesque. Le projet fut tenu dans un secret rigoureux pour éviter les fuites vers les puissances ennemies et les espions. La coordination des différents sites de production et de recherche, répartis aux États-Unis, exigea une planification méticuleuse et une gestion efficace des ressources humaines et matérielles. Le Projet Manhattan allait atteindre son apogée avec les essais de la première bombe nucléaire, "Trinity", le 16 juillet 1945, dans le désert du Nouveau-Mexique. Quelques semaines plus tard, les bombes furent larguées sur Hiroshima et Nagasaki, entraînant la capitulation du Japon et la fin de la Seconde Guerre mondiale. Le Projet Manhattan demeure un exemple emblématique de mobilisation scientifique et industrielle en temps de guerre, surmontant d'énormes défis techniques, logistiques et humains pour réaliser en moins de quatre ans une avancée technologique majeure qui a profondément changé le cours de l'histoire. Et voici son histoire …
Le Projet Manhattan fut une entreprise militaire et scientifique de grande envergure menée par les États-Unis durant la Seconde Guerre mondiale, avec l'objectif de développer la première bombe atomique. Il débute officiellement en 1941 sous la direction du général Leslie Groves. L'urgence du projet fut accentuée par la crainte que l'Allemagne nazie ne développe l'arme nucléaire en premier. Environ 130 000 personnes furent directement impliquées dans le projet, comprenant des scientifiques, des ingénieurs, des techniciens et du personnel militaire. Le coût du projet atteignit environ 2 milliards de dollars de l'époque (environ 25 milliards de dollars actuels). L'un des premiers défis fut de transformer la théorie de la fission nucléaire, qui n'avait été démontrée qu'en 1938, en une technologie pratique. Les scientifiques durent comprendre comment provoquer et contrôler une réaction en chaîne. Deux matériaux étaient nécessaires pour les bombes : l'uranium-235 et le plutonium-239. L'uranium-235 devait être séparé de l'uranium-238, un processus extrêmement difficile car les isotopes sont chimiquement identiques et très proches en poids. Pour cela, on utilisa la diffusion gazeuse, une méthode complexe nécessitant de vastes installations comme l'usine de Oak Ridge, Tennessee, et le procédé électromagnétique, utilisé à Y-12 à Oak Ridge, exploitant les propriétés magnétiques pour séparer les isotopes. Les premiers réacteurs nucléaires furent construits à Hanford, Washington, pour produire du plutonium en irradiant de l'uranium avec des neutrons. La conception des bombes elles-mêmes posait des défis considérables. La bombe "Little Boy" utilisait de l'uranium-235 et un mécanisme de "canon" où deux masses d'uranium étaient réunies pour atteindre la masse critique. La bombe "Fat Man" utilisait du plutonium-239 et un mécanisme de "compression" où une sphère de plutonium était compressée par des explosifs conventionnels pour initier la réaction en chaîne. Assurer la sécurité des informations et des sites fut une tâche titanesque. Le projet fut tenu dans un secret rigoureux pour éviter les fuites vers les puissances ennemies et les espions. La coordination des différents sites de production et de recherche, répartis aux États-Unis, exigea une planification méticuleuse et une gestion efficace des ressources humaines et matérielles. Le Projet Manhattan allait atteindre son apogée avec les essais de la première bombe nucléaire, "Trinity", le 16 juillet 1945, dans le désert du Nouveau-Mexique. Quelques semaines plus tard, les bombes furent larguées sur Hiroshima et Nagasaki, entraînant la capitulation du Japon et la fin de la Seconde Guerre mondiale. Le Projet Manhattan demeure un exemple emblématique de mobilisation scientifique et industrielle en temps de guerre, surmontant d'énormes défis techniques, logistiques et humains pour réaliser en moins de quatre ans une avancée technologique majeure qui a profondément changé le cours de l'histoire. Et voici son histoire …
On ne peut pas parler du projet Blueprint sans présenter son fondateur, Bryan Johnson. En 2013, cet homme d'affaires américain se retrouve dans une impasse. Il se lance alors dans un projet hors-norme. Il a la trentaine, traverse une profonde dépression et ne se sent pas à l'aise dans son corps. Mais il est doué en business, ce qui lui a permis de réussir dans la Silicon Valley et de vendre son entreprise pour 800 millions de dollars. Il décide alors de reprendre sa vie en main avec l'ambition de retrouver le corps d'un jeune homme de 18 ans. Après des années de travail, en 2021, Bryan Johnson lance le projet Blueprint, destiné à ralentir le vieillissement du corps. Comment cela peut ralentir le vieillissement du corps ? Est-ce que ça marche vraiment ? Peut-on vraiment devenir immortel ? Écoutez la suite de cet épisode de "Maintenant vous savez". Un podcast Bababam Originals, écrit et réalisé par Samuel Lumbroso À écouter aussi : Qu'est-ce que “Sniffy”, cette poudre blanche à inhaler ? L'euro pourrait-il vraiment devenir une cryptomonnaie ? Comment notre cerveau réagit-il à une anesthésie générale ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez". Suivez Bababam sur Instagram. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Pour faire oublier le maintien d'une Monarchie absolue anachronique et la persistance de coutumes moyenâgeuses, l'Arabie Saoudite cherche à donner au monde une image plus moderne.Le grandiose projet de construction d'une ville futuriste en plein désert, baptisé "The Line", s'inscrit dans cette ambition. Fleuron du programme d'urbanisme "NEOM", cette cité devrait s'étendre sur pas moins de 170 kilomètres et abriter 9 millions de personnes.Alimentée par des énergies renouvelables, la ville devrait être dépourvue de voitures. Un système de transports en commun très rapides devrait assurer les déplacements de la population. La ville s'articulerait autour d'îlots urbains, composés d'immeubles très hauts, dont les commerces et autres commodités seraient accessibles en quelques minutes.Ce projet d'urbanisme s'inscrit dans un vaste programme de diversification économique, "Saudi Vision 2030", qui doit développer d'autres activités que les industries liées au pétrole.Le coût de ce projet pharaonique a été estimé à 500 milliards de dollars, certaines sources citant des montants bien plus importants encore. Des travaux qui devaient être financés grâce la manne pétrolière."The line" a cependant pris beaucoup de retard. En effet, d'ici 2030, la ville devrait s'étendre sur seulement 2,4 kilomètres, sur les 170 prévus. Et, au lieu d'accueillir, d'ici à la fin de la décennie, 1,5 million d'habitants, il faudra sans doute se contenter d'en loger 300 000.Ces difficultés s'expliquent avant tout par la baisse des revenus pétroliers. En effet, la chute des cours, ces dernières années, prive le Royaume des devises dont il a besoin pour mener à bien ce gigantesque chantier.Aussi les initiateurs du projet tentent-ils d'intéresser à cette ville futuriste de nouveaux investisseurs, chinois notamment. Mais les réactions demeurent assez timides. Beaucoup d'observateurs, en effet, se demandent si ce projet est réaliste et si cette cité surgira un jour du désert.Des voix se sont aussi élevées pour alerter sur les dangers que la construction de cette cité gigantesque ferait courir à l'environnement.En attendant, le chantier tourne au ralenti, ce qui provoque le licenciement de nombreux ouvriers. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Au cœur de la nuit, les auditeurs se livrent en toute liberté aux oreilles attentives et bienveillantes de Roland Perez. Pas de jugements ni de tabous, une conversation franche, mais aussi des réponses aux questions que les auditeurs se posent. Un moment d'échange et de partage propice à la confidence pour repartir le cœur plus léger.
Gwen se sentait depuis plusieurs années :
La revue de presse internationale - Les correspondants d'Europe 1
Tous les jours de la semaine, Europe 1 décrypte trois articles de la presse du jour.
Plusieurs débats au coeur de l'actualité, les Grandes gueules ont le choix, en débattre ou non : Fin de vie : les médecins vent debout contre le projet de loi Sniffy : la poudre blanche qui inquiète les autorités
durée : 00:08:27 - La Question du jour - par : Marguerite Catton - Alors que le projet de loi sur la fin de vie arrive en première lecture à l'Assemblée Nationale ce lundi 27 mai, que contient ce texte ? Quelles modifications le texte a-t-il connu relativement à sa version initiale, et en quoi ces ajouts peuvent-ils poser problème d'un point de vue juridique ? - invités : Aline Cheynet de Beaupré Professeure agrégée de droit privé et sciences criminelles à la Faculté de Droit, Économie et Gestion de l'Université d'Orléans
durée : 00:55:38 - franceinfo: Les informés - par : Jean-François ACHILLI - Autour de Bérengère Bonte, les informés débattent de l'actualité du samedi 25 mai 2024.
Les députés débattent à partir d'aujourd'hui, et pendant deux semaines, du projet de loi sur la fin de vie. Il s'agit d'un texte très attendu par les partisans de l'aide à mourir. Pour la première fois, ce droit sera inscrit dans le Code de la santé publique. Quelles sont les principales mesures ? Le texte peut-il encore être modifié ? Explications avec Marie-Bénédicte Allaire, journaliste au service politique de RTL. "Deux minutes pour comprendre" est le podcast de la rédaction RTL. Du lundi au vendredi, un journaliste décrypte une actualité marquante de la journée.
Les députés débattent à partir d'aujourd'hui, et pendant deux semaines, du projet de loi sur la fin de vie. Il s'agit d'un texte très attendu par les partisans de l'aide à mourir. Pour la première fois, ce droit sera inscrit dans le Code de la santé publique. Quelles sont les principales mesures ? Le texte peut-il encore être modifié ? Explications avec Marie-Bénédicte Allaire, journaliste au service politique de RTL. "Deux minutes pour comprendre" est le podcast de la rédaction RTL. Du lundi au vendredi, un journaliste décrypte une actualité marquante de la journée.
Cinquante ans après la fin de l'Office de radiodiffusion-télévision française (ORTF), le gouvernement souhaite revenir à un regroupement de l'audiovisuel public. S'appuyant sur une proposition de loi du sénateur UDI Laurent Lafon, la ministre de la culture, Rachida Dati, souhaite fusionner en une seule entité les différentes sociétés existantes : Radio France, France Télévisions, l'Institut national de l'audiovisuel (INA) et possiblement France médias monde.Pourquoi le gouvernement considère-t-il cette réforme comme prioritaire aujourd'hui ? Renforcera-t-elle le service public, comme l'affirment ses défenseurs, ou risque-t-elle au contraire de le fragiliser, comme l'estiment ses opposants ? Dans cet épisode du podcast « L'Heure du Monde », Aude Dassonville, journaliste spécialiste des médias au Monde, revient sur cette proposition de loi.Un épisode de Cyrielle Bedu. Réalisation : Thomas Zeng. Présentation et suivi éditorial : Jean-Guillaume Santi---Pour soutenir "L'Heure du Monde" et notre rédaction, abonnez-vous sur abopodcast.lemonde.fr
durée : 00:17:03 - L'interview de 9h20 - par : Mathilde Serrell - Léa Salamé reçoit Kevin Costner, réalisateur et acteur du premier opus de la saga "Horizon" qui a été projeté à Cannes ce week-end.
Guillaume Kasbarian, le ministre du Logement, a présenté aujourd'hui en Conseil des ministres son projet de loi sur le logement dont l'objectif principal est de faciliter l'accès au logement abordable pour les ménages. Quels sont les objectifs de ce projet de loi ? Quels sont les différents volets du projet de loi ? Qu'en pensent les associations ? Explications avec Mathilde Piqué, journaliste au service Économie et Social de RTL. "Deux minutes pour comprendre" est le podcast de la rédaction RTL. Du lundi au vendredi, un journaliste décrypte une actualité marquante de la journée.
Ce jeudi 02 mai, sur Europe 1, Nicolas Bouzou s'intéresse à Total Energie qui pense transférer sa cotation principale de la bourse de Paris vers celle de New-York.
durée : 00:04:17 - Le Reportage de la Rédaction - Conflit d'intérêts, opacité financière. La cellule investigation de Radio France a enquêté dans les coulisses du projet d'autoroute entre Castres et Toulouse.