Podcasts about tats

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Le Média
Israël, Iran ou États-Unis : qui a gagné la guerre des douze jours ? | Bertrand badie

Le Média

Play Episode Listen Later Jun 30, 2025 34:49


Une guerre de longue durée aura-t-elle lieu à court ou moyen terme entre d'une part Israël et son allié américain, et d'autre part la République islamique d'Iran et ses fameux proxys ?▶ Le Média lance le plan "Riposte"

Grand reportage
Épidémie de fentanyl : les États-Unis commencent à reprendre pied

Grand reportage

Play Episode Listen Later Jun 26, 2025 19:30


26 juin, c'est la journée internationale contre l'abus et le trafic de drogues. Nous partons à cette occasion aux États-Unis. Cinquante fois plus puissante que l'héroïne… 100 fois plus que la morphine… l'équivalent de quelques grains de sel peuvent tuer. Le Fentanyl et ses contrefaçons ont envahi le pays depuis plus d'une décennie, provoquant une crise de santé majeure. Le Fentanyl est un analgésique, un anti-douleur surpuissant : les overdoses ont tué près de 3 000 personnes en 2013 : 74 000 en 2022 mais depuis, la courbe s'est inversée en 2024 : moins 30% de décès liés aux opioïdes synthétiques. Pour comprendre, nous partons en   Géorgie, Virginie, Kentucky et Ohio. «Épidémie de Fentanyl : les États-Unis commencent à reprendre pied», un Grand reportage d'Edward Maille.

Club Jazzafip
L'accordéon dans tous ses états

Club Jazzafip

Play Episode Listen Later Jun 26, 2025 70:37


durée : 01:10:37 - Club Jazzafip - Marjolaine a deux amours : l'accordéon et le piano à bretelle ! Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

La revue de presse internationale - Les correspondants d'Europe 1
L'Égypte, les États-Unis et la Grèce font la Une de la presse internationale

La revue de presse internationale - Les correspondants d'Europe 1

Play Episode Listen Later Jun 26, 2025 2:58


Chaque jour, les correspondants d'Europe 1 font le tour de l'actualité internationale.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Manu dans le 6/9 : Le best-of
Bonne nouvelle, aux États-Unis, y'a de plus en plus de restos qui se lancent dans… les soirées bougies. Aucune lumière allumée, c'est pour faire des économies d'énergie.

Manu dans le 6/9 : Le best-of

Play Episode Listen Later Jun 26, 2025 2:47


Tous les matins à 7H10 et 9h45, on vous donne des bonnes nouvelles.

L'info en intégrale - Europe 1
L'Égypte, les États-Unis et la Grèce font la Une de la presse internationale

L'info en intégrale - Europe 1

Play Episode Listen Later Jun 26, 2025 2:58


Chaque jour, les correspondants d'Europe 1 font le tour de l'actualité internationale.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Les bonnes nouvelles d'Isabelle
Bonne nouvelle, aux États-Unis, y'a de plus en plus de restos qui se lancent dans… les soirées bougies. Aucune lumière allumée, c'est pour faire des économies d'énergie.

Les bonnes nouvelles d'Isabelle

Play Episode Listen Later Jun 26, 2025 2:47


Tous les matins à 7H10 et 9h45, on vous donne des bonnes nouvelles.

22H Max
Khamenei : “Les États-Unis ont reçu une gifle” – 26/06

22H Max

Play Episode Listen Later Jun 26, 2025 34:47


À 22h, Perrine Storme fait le tour des images marquantes et des déclarations fortes de la journée. Du lundi au jeudi, Julie jusqu'à minuit fait vivre l'info du soir avec chroniqueurs, invités et éditorialistes.

Le journal de 18h00
Le sommet de l'OTAN : "Un succès monumental" pour les États-Unis selon Donald Trump

Le journal de 18h00

Play Episode Listen Later Jun 25, 2025 20:03


durée : 00:20:03 - Journal de 18h - Le président américaine Donald Trump est reparti enchanté de la Haye, après un sommet de l'OTAN qui a répondu à toutes ses attentes.

Les enjeux internationaux
Sommet de l'OTAN : les États-Unis seront-ils au rendez-vous ?

Les enjeux internationaux

Play Episode Listen Later Jun 25, 2025 13:10


durée : 00:13:10 - Les Enjeux internationaux - par : Guillaume Erner - Depuis hier se tient à La Haye le sommet de l'OTAN. Donald Trump y était particulièrement attendu, sur fond de doutes croissants quant à la volonté des États-Unis d'honorer leurs engagements en matière de défense collective... - réalisation : Félicie Faugère - invités : Muriel Domenach ancienne ambassadrice de la France à l'OTAN

Les journaux de France Culture
Le sommet de l'OTAN : "Un succès monumental" pour les États-Unis selon Donald Trump

Les journaux de France Culture

Play Episode Listen Later Jun 25, 2025 20:03


durée : 00:20:03 - Journal de 18h - Le président américaine Donald Trump est reparti enchanté de la Haye, après un sommet de l'OTAN qui a répondu à toutes ses attentes.

L'info en intégrale - Europe 1
Otan : les États-Unis veulent rester à la barre de l'Alliance

L'info en intégrale - Europe 1

Play Episode Listen Later Jun 25, 2025 1:02


Alors qu'ils ne cessent de mettre la pression aux membres de l'Alliance, pour trouver un accord portant à 5% du PIB leurs dépenses de défense, les États-Unis cherchent à rester seuls à la barre de cette dernière. Ils ont par exemple imposé comme norme l'utilisation de leur propre logiciel d'intelligence artificielle, pour les 30 prochaines années.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Le journal - Europe 1
Otan : les États-Unis veulent rester à la barre de l'Alliance

Le journal - Europe 1

Play Episode Listen Later Jun 25, 2025 1:02


Alors qu'ils ne cessent de mettre la pression aux membres de l'Alliance, pour trouver un accord portant à 5% du PIB leurs dépenses de défense, les États-Unis cherchent à rester seuls à la barre de cette dernière. Ils ont par exemple imposé comme norme l'utilisation de leur propre logiciel d'intelligence artificielle, pour les 30 prochaines années.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Appels sur l'actualité
[Vos questions] Émission spéciale : entrée en guerre des États-Unis contre l'Iran

Appels sur l'actualité

Play Episode Listen Later Jun 23, 2025 19:30


Les forces militaires américaines ont bombardé les sites nucléaires de Fordo, Natanz et Ispahan. Donald Trump assure que les capacités d'enrichissement nucléaire de l'Iran ont été entièrement détruites. Israël salue un « tournant historique » et Téhéran affirme se réserver toutes les options pour défendre sa souveraineté. Avec - Frédéric Encel, professeur en Géopolitique à Sciences-Po Paris. Auteur de l'ouvrage « La guerre mondiale n'aura pas lieu : les raisons géopolitiques d'espérer » (éditions Odile Jacob). - Emmanuel Daoud, avocat au Barreau de Paris, spécialiste en droit pénal international.  

Du grain à moudre
Conflit Iran/États-Unis : l'Iran a-t-il déjà perdu ?

Du grain à moudre

Play Episode Listen Later Jun 23, 2025 38:54


durée : 00:38:54 - Questions du soir : le débat - par : Quentin Lafay, Stéphanie Villeneuve - Les États-Unis ont frappé les sites nucléaires iraniens aux côtés d'Israël. Trump salue une opération décisive, Téhéran parle de crime et promet une riposte. Un nouveau seuil est franchi. - réalisation : François Richer - invités : Héloïse Fayet Chercheuse à l'Ifri (Institut français des relations internationales), spécialiste de la dissuasion nucléaire; Élie Fayad Co-rédacteur en chef du quotidien francophone libanais l'Orient-Le Jour

Le téléphone sonne
Iran, Israël, États-Unis : au Moyen-Orient, le grand basculement

Le téléphone sonne

Play Episode Listen Later Jun 23, 2025 35:35


durée : 00:35:35 - Le 18/20 · Le téléphone sonne - Les frappes américaines sur les principaux sites nucléaires iraniens ont fait basculer le conflit entre Tel-Aviv et Téhéran dans une nouvelle dimension. La République islamique a menacé les États-Unis de représailles. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

Les Grandes Gueules
La tristesse du jour - Joëlle Dago-Serry : "J'ai un cousin ivoirien ingénieur qui n'a même pas demandé d'aller en France. Il m'a dit que la France ne voudrait pas de lui. Il est allé aux États-Unis" - 23/06

Les Grandes Gueules

Play Episode Listen Later Jun 23, 2025 3:18


Aujourd'hui, Joëlle Dago-Serry, Antoine Diers et Didier Giraud débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.

Le sept neuf
Iran, Israël, États-Unis : un tournant de la guerre au Proche-Orient

Le sept neuf

Play Episode Listen Later Jun 23, 2025 25:00


durée : 00:25:00 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé - Frédéric Encel, docteur en géopolitique habilité, Rym Momtaz, journaliste et géopolitologue, Armin Arefi, journaliste grand reporter au Point, et Robert Malley, ancien négociateur américain sur le nucléaire iranien, étaient les invités du Grand entretien de France Inter ce lundi. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

Les journaux de France Culture
Après la décision des États-Unis de bombarder l'Iran, Israël frappe massivement Téhéran

Les journaux de France Culture

Play Episode Listen Later Jun 23, 2025 19:47


durée : 00:19:47 - Journal de 12h30 - L'Iran, acculée, a-t-elle encore les moyens de la surenchère pour contrer l'offensive américano-israélienne ? Ou bien existe-t-il une autre voie qui permettrait au régime des mollahs de sauver la face sans mettre en jeu sa survie ?

Les journaux de France Culture
Comment Donald Trump est-il arrivé à prendre la décision de faire entrer en guerre les États-Unis contre l'Iran

Les journaux de France Culture

Play Episode Listen Later Jun 23, 2025 14:39


durée : 00:14:39 - Journal de 7 h - Retour dans ce journal sur l'entrée en guerre des États-Unis contre l'Iran. Après avoir temporisé, Washington a finalement décidé d'attaquer trois sites nucléaires. Comment Donald Trump en est-il arrivé à cette décision, analyse dans cette édition.

Les interviews d'Inter
Iran, Israël, États-Unis : un tournant de la guerre au Proche-Orient

Les interviews d'Inter

Play Episode Listen Later Jun 23, 2025 25:00


durée : 00:25:00 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé - Frédéric Encel, docteur en géopolitique habilité, Rym Momtaz, journaliste et géopolitologue, Armin Arefi, journaliste grand reporter au Point, et Robert Malley, ancien négociateur américain sur le nucléaire iranien, étaient les invités du Grand entretien de France Inter ce lundi. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

Le journal de 12h30
Après la décision des États-Unis de bombarder l'Iran, Israël frappe massivement Téhéran

Le journal de 12h30

Play Episode Listen Later Jun 23, 2025 19:47


durée : 00:19:47 - Journal de 12h30 - L'Iran, acculée, a-t-elle encore les moyens de la surenchère pour contrer l'offensive américano-israélienne ? Ou bien existe-t-il une autre voie qui permettrait au régime des mollahs de sauver la face sans mettre en jeu sa survie ?

Le journal de 7h00
Comment Donald Trump est-il arrivé à prendre la décision de faire entrer en guerre les États-Unis contre l'Iran

Le journal de 7h00

Play Episode Listen Later Jun 23, 2025 14:39


durée : 00:14:39 - Journal de 7 h - Retour dans ce journal sur l'entrée en guerre des États-Unis contre l'Iran. Après avoir temporisé, Washington a finalement décidé d'attaquer trois sites nucléaires. Comment Donald Trump en est-il arrivé à cette décision, analyse dans cette édition.

France Culture physique
Conflit Iran/États-Unis : l'Iran a-t-il déjà perdu ?

France Culture physique

Play Episode Listen Later Jun 23, 2025 38:54


durée : 00:38:54 - Questions du soir : le débat - par : Quentin Lafay, Stéphanie Villeneuve - Les États-Unis ont frappé les sites nucléaires iraniens aux côtés d'Israël. Trump salue une opération décisive, Téhéran parle de crime et promet une riposte. Un nouveau seuil est franchi. - réalisation : François Richer - invités : Héloïse Fayet Chercheuse à l'Ifri (Institut français des relations internationales), spécialiste de la dissuasion nucléaire; Élie Fayad Co-rédacteur en chef du quotidien francophone libanais l'Orient-Le Jour

Les matins
Iran : Donald Trump affirme que les États-Unis ont "totalement détruit" trois sites-clés du programme nucléaire du pays

Les matins

Play Episode Listen Later Jun 22, 2025 7:03


durée : 00:07:03 - Journal de 8 h - Les sites nucléaires de Fordo, Natanz et Ispahan ont été directement attaqués par les États-Unis. Et selon Donald Trump, les capacités d'enrichissement iraniennes sont désormais "complètement détruites". L'Iran, qui a répliqué sur Israël, répond que ces attaques auront "des conséquences éternelles".

Reportage International
États-Unis: dans la Californie agricole, les travailleurs sans papiers terrorisés par les descentes de police

Reportage International

Play Episode Listen Later Jun 22, 2025 2:13


Les campagnes d'arrestation visant les migrants en Californie ont entraîné des manifestations monstres à Los Angeles et dans d'autres villes. Dans cet État démocrate, un grand nombre de travailleurs du secteur agricole sont sans papiers, et les descentes de la police de l'immigration qui ont touché la petite ville agricole d'Oxnard, au nord de Los Angeles, ont frappé les esprits. Nombreux sont les travailleurs qui restent terrés chez eux, par peur d'aller travailler.  De nos envoyés spéciaux de retour d'Oxnard, Sous un soleil de plomb, des paysans cueillent paisiblement des fraises. Il y a dix jours pourtant, non loin de là, une opération de police visait plusieurs migrants sans papiers comme eux. Pas de quoi s'inquiéter pour ce responsable d'une ferme, qui refuse de céder à ce qu'il nomme de la « paranaoïa ». « Si nous étions inquiets, nous aurions mis des gardiens à la porte. Il n'y a pas de quoi s'en faire. Il faut vivre normalement. Je déteste vivre dans la peur », témoigne-t-il. Le climat a bel et bien changé pourtant à Oxnard, bourgade agricole au nord de Los Angeles. Dans le restaurant familial mexicain des Pérez, Raquel, la fille, accueille beaucoup moins de clients depuis l'intervention de policiers d'ICE, la controversée agence fédérale chargée de l'immigration aux États-Unis. « En 18 ans de présence ici, c'était la première fois que je voyais "ICE" dans ce secteur, dans la zone industrielle de la ville. Il y avait deux camionnettes : l'une blanche avec une ligne verte et une inscription "patrouille de protection de la frontière", et un autre véhicule avec aucune indication, mais une plaque d'un autre État. J'ai raconté à ma mère. Quand j'étais devant, là, et que je les ai vus... La façon dont ils m'ont regardé, c'était très intimidant. On voyait la haine dans leurs yeux. J'en ai eu la chair de poule. Et moi, je n'ai rien à craindre. Je suis née et j'ai vécu toute ma vie ici », explique-t-elle. Les incidents d'Oxnard ont instillé la peur. Désormais, beaucoup de travailleurs sans papiers n'osent plus revenir au champ, ni même sortir de chez eux. Angélica, elle, explique qu'elle n'a pas le choix. RFI l'a jointe à distance après sa journée de travail. « On va travailler parce que la peur est toujours moins forte que la nécessité. On travaille dans la chaleur, le froid, sous la pluie, agenouillés souvent. On y va dans la peur et dans l'anxiété. Tout ça pour que la nation puisse avoir de quoi manger sur sa table. Sans nous, les paysans, il n'y aurait rien de tout ça », rappelle-t-elle. Le secteur agricole du comté de Ventura, qui abrite Oxnard, a tiré la sonnette d'alarme. Entre 25 et 45% des travailleurs agricoles auraient cessé de se présenter au travail. À lire aussiÉtats-Unis: l'ICE, une police anti-immigration aux méthodes justifiées par la politique du chiffre

Les informés de France Info
Les États-Unis frappent des sites nucléaires iraniens... Les informés de franceinfo du dimanche 22 juin 2025

Les informés de France Info

Play Episode Listen Later Jun 22, 2025 54:22


durée : 00:54:22 - Les informés de franceinfo - Tous les dimanches, les informés débattent de l'actualité autour de Victor Matet. Ce 22 juin, une émission entièrement consacrée aux frappes américaines sur l'Iran.

Le journal de 8H00
Iran : Donald Trump affirme que les États-Unis ont "totalement détruit" trois sites-clés du programme nucléaire du pays

Le journal de 8H00

Play Episode Listen Later Jun 22, 2025 7:03


durée : 00:07:03 - Journal de 8 h - Les sites nucléaires de Fordo, Natanz et Ispahan ont été directement attaqués par les États-Unis. Et selon Donald Trump, les capacités d'enrichissement iraniennes sont désormais "complètement détruites". L'Iran, qui a répliqué sur Israël, répond que ces attaques auront "des conséquences éternelles".

Les journaux de France Culture
Iran : Donald Trump affirme que les États-Unis ont "totalement détruit" trois sites-clés du programme nucléaire du pays

Les journaux de France Culture

Play Episode Listen Later Jun 22, 2025 7:03


durée : 00:07:03 - Journal de 8 h - Les sites nucléaires de Fordo, Natanz et Ispahan ont été directement attaqués par les États-Unis. Et selon Donald Trump, les capacités d'enrichissement iraniennes sont désormais "complètement détruites". L'Iran, qui a répliqué sur Israël, répond que ces attaques auront "des conséquences éternelles".

Reportage International
Aux États-Unis, le timide essor du «soccer» avant le Mondial de foot 2026

Reportage International

Play Episode Listen Later Jun 21, 2025 2:31


Les États-Unis accueillent en ce moment le Mondial des clubs avant la Coupe du monde dans un an. Ici, le « soccer » est en plein développement, encore plus depuis que Lionel Messi a rejoint il y a deux ans Miami et la MLS, le championnat local. Mais la culture football s'installe-t-elle vraiment dans les habitudes des Américains ? « Tu joues le week-end dans un stade où tout le monde t'acclame, et le lendemain, tu redeviens une personne normale, incognito. » En cinq secondes, l'attaquant gabonais Denis Bouanga a tout résumé. On peut être une star de la MLS – le championnat local de football aux États-Unis –, le meilleur buteur de Los Angeles et passer complètement inaperçu dans un pays où l'offre sportive est aussi vaste que le territoire. Un pays où le soccer est encore loin d'être roi. « Le championnat n'a qu'une trentaine d'années d'existence. Le football américain est encore numéro un, suivi du basket et après, il y a la ligue de baseball, celle de hockey. Les sports universitaires sont très importants chez nous. La MLS d'aujourd'hui, avec Messi, est dans ces eaux-là. Mais la NFL et la NBA sont encore devant », détaille Michelle Kauffmann journaliste spécialisée au Miami Herald. « Cela progresse. Le problème, c'est que les gens comme moi s'intéressent plus aux championnats européens », estime Teddy, maillot de Chelsea sur le dos. Ce supporter est à Atlanta pour assister au match entre Chelsea et le Los Angeles FC. « Je regarde jouer Chelsea depuis que je suis petit. Ici, on a une nouvelle équipe, Atlanta United. Mais bon, c'est dur de passer de l'un à l'autre. La qualité de jeu n'a rien à voir », regrette-t-il. Et pourtant, dans les stades de MLS, l'affluence moyenne est en pleine croissance. Plus de 23 000 spectateurs par match en moyenne la saison passée et les groupes de supporters se structurent. Depuis quatre ans, Jo voyage avec l'un d'eux pour suivre les matchs du Los Angeles FC. « Avant, avec mes amis, on suivait le football américain, le baseball, le basket. Classique, quoi. Et puis on est allés voir un match de soccer et on a tout de suite accroché. L'énergie est incroyable. Maintenant, on voyage partout pour suivre l'équipe. Quand vous voyez la passion des supporters de soccer, c'est dur de ne pas être tenté. C'est vraiment génial », s'enthousiasme-t-il. Alors combien sont-ils, comme lui, les convertis devenus fanatiques ? Difficile à dire, mais la passion est contagieuse, transmissible, dans une Amérique qui se rêve demain en nouveau monde du ballon rond. « Vous connaissez Hugo Lloris ? Mon fils est un grand fan. Il est gardien de but comme lui et il a son maillot signé… Il va lui succéder, j'espère. C'est le plan », plaisante même Jo. À lire aussiMexico promet un Mondial 2026 « sans racisme » en lançant le compte à rebours à J-365

Cultures monde
Retour des États-Unis // Iran : les Gardiens de la Révolution à l'épreuve de la guerre

Cultures monde

Play Episode Listen Later Jun 20, 2025 58:48


durée : 00:58:48 - Cultures Monde - par : Mélanie Chalandon, Julie Gacon - Comme chaque semaine, une émission d'actualité en deux parties : retour de terrain avec Julie Jammot qui rentre des États-Unis suivi d'une table-ronde sur l'élite politico-militaire iranienne dans le contexte de la guerre contre Israël. - réalisation : Cassandre Puel - invités : Julie Jammot Journaliste à l'AFP ; Armin Arefi Grand reporter, spécialiste du Proche et Moyen-Orient; Sophia Mahroug Docteur en histoire de Sorbonne Université, spécialiste de l'Iran et du corps des Gardiens de la Révolution

The Nyrdcast Podcast
Nyrdcast Podcast 224a: Neck Tats

The Nyrdcast Podcast

Play Episode Listen Later Jun 20, 2025 87:23


Another week, another interruption.  We catch up, talking about tattoos, kids, and cars.  Then we get into the topics: 28 Days/Weeks/Years Later   F1   Spaceballs 2   James Gunn/DC Comics   4 Pillars of Marvel/DC We'll be back in a few days with homework. This episodes featured beer was 3 Floyds Gumballhead. The featured song was "Turn This Up" by Half Dizzy.  You can find them on the Nyrdcast Featured Music Playlist and at: Linktree | Spotify | Apple Music | Instagram | Facebook | Punkerton Records Artist Page Check us out at our website and on social media.  Don't forget to rate and review the podcast on iTunes.

Le zoom de la rédaction
Enquête sur l'itinéraire d'une rumeur : comment l'infox sur “Brigitte Macron femme transgenre” a percé aux États-Unis

Le zoom de la rédaction

Play Episode Listen Later Jun 20, 2025 4:12


durée : 00:04:12 - Le Zoom de France Inter - Née dans la complosphère française, la rumeur visant Brigitte Macron s'est imposée aux États-Unis, relayée par des figures proches de Donald Trump. Une enquête de la cellule investigation de Radio France.

Journal d'Haïti et des Amériques
Immigration: ces Vénézuéliens qui vivent dans la peur aux États-Unis

Journal d'Haïti et des Amériques

Play Episode Listen Later Jun 20, 2025 30:00


Ils sont plus de 800 000 Vénézuéliens à vivre aux États-Unis. Mais depuis le retour de Donald Trump au pouvoir, leur quotidien a basculé. Entre durcissement des lois migratoires et suspicion généralisée, beaucoup se sentent désormais indésirables. Comment cette situation est vécue depuis Caracas ? C'est un reportage de notre correspondante Alice Campaignolle. Depuis le 9 juin 2025, le Venezuela fait officiellement partie des 12 pays visés par le nouveau « travel ban » américain. Les visas de tourisme, d'études ou encore de commerce sont suspendus, et Caracas a réagi en lançant une alerte maximale à ses citoyens, les appelant à ne plus voyager aux États-Unis. « Pays dangereux », avertit le ministère des Affaires étrangères vénézuélien. Pour les Vénézuéliens déjà sur place, la situation est de plus en plus précaire : leur statut spécial de protection a été supprimé, et une nouvelle mesure pourrait bientôt leur interdire de demander un permis de travail pendant leur procédure d'asile. Sur le terrain, cette politique migratoire se traduit par des contrôles renforcés, des séparations familiales et une ambiance de peur permanente. Des familles entières voient leurs dossiers d'asile traités de manière incohérente. La militante Hélène Villalonga alerte sur une vague d'injustices qui frappe sa communauté. Des enfants sont autorisés à rester, tandis que leurs parents sont expulsés ou placés en détention. Même des Vénézuéliens qui avaient soutenu Donald Trump, espérant une ligne dure contre le régime de Nicolas Maduro, se sentent aujourd'hui trahis et abandonnés. Franyeli Zambrano, expulsée récemment, raconte l'angoisse du quotidien : malgré un statut régulier, son foyer a été pris pour cible par les autorités. Elle dénonce une chasse aux migrants qui touche même ceux parfaitement intégrés. Ce durcissement inquiète d'autant plus que Donald Trump a promis d'expulser un million de migrants sans documents valides au cours de sa première année de mandat. Si ce chiffre semble irréaliste, plus de 5 000 Vénézuéliens ont déjà été renvoyés dans leur pays depuis janvier. La Statue de la Liberté fête son 140ème anniversaire Cette semaine, les États-Unis célèbrent les 140 ans de l'arrivée de la Statue de la Liberté à New York, un monument emblématique offert par la France, symbole universel de liberté et d'accueil. Pourtant, dans l'Amérique de 2025, ces valeurs sont fortement bousculées. Beaucoup de New-Yorkais interrogés par notre correspondante Loubna Anaki voient un profond décalage entre ce que représente la statue et la réalité politique actuelle, marquée par un durcissement migratoire sans précédent sous l'administration Trump. La contradiction est flagrante : alors que la statue accueillait autrefois les migrants venus chercher une vie meilleure, les États-Unis multiplient désormais les expulsions et les interdictions d'entrée. Le célèbre poème gravé sur son socle – un appel aux pauvres et opprimés du monde – semble trahi par les décisions prises par Donald Trump.   Malgré ce contexte tendu, « Lady Liberty » continue de fasciner. Chaque jour, des milliers de visiteurs affluent pour la voir de près, émerveillés par sa taille, sa couleur verte inattendue, ou l'histoire qu'elle incarne. Créée par le sculpteur français Bartholdi avec l'aide de Gustave Eiffel, la statue est arrivée en 1885 mais n'a été inaugurée qu'un an plus tard. Si elle est restée presque inchangée en 140 ans, elle demeure le témoin silencieux d'un pays en perpétuelle évolution – et aujourd'hui plus divisé que jamais sur la question de l'immigration. Donald Trump critique le jour férié de « Juneteenth », la fête qui célèbre la fin de l'esclavage Dans un message publié sur ses réseaux sociaux, le président américain a dénoncé ce qu'il appelle « trop de jours fériés » aux États-Unis. Selon lui, cela coûte des milliards à l'économie, et même les travailleurs n'en voudraient pas. Il a menacé d'en supprimer certains, sans nommer directement Juneteenth. Mais The Daily Beast rappelle qu'en 2020, en pleine campagne électorale, Trump avait promis d'en faire un jour férié national. C'est finalement Joe Biden qui l'a officialisé en 2021. Et selon CNN, cette année, beaucoup de célébrations ont été annulées, en raison de problèmes de sécurité et d'une résistance croissante aux politiques de diversité et d'inclusion. Pour la professeure LaTasha Levy, citée par la chaîne, ces reculs montrent que nombre d'entreprises n'étaient jamais réellement engagées. Mais Politico rapporte que les églises noires, très actives dans la lutte pour les droits civiques, montent au front. Elles interpellent les grandes entreprises, comme Target, accusées de reculer sur leurs engagements. Le pasteur Jamal Bryant, en Géorgie, rappelle que ces politiques ne sont pas un geste de charité, mais un partenariat légitime avec la communauté afro-américaine. La montée de la violence policière dans les zones rurales C'est une tribune à lire dans le Washington Post, signée par un ancien policier. Elle s'ouvre sur un drame : en 2022, un homme en détresse mentale appelle la police après une panne sur une route isolée du Colorado. Il ne menace personne. Mais parce qu'il refuse de sortir de son véhicule, les policiers lui tirent dessus et le tuent. L'an dernier, 1 365 personnes ont été tuées par la police aux États-Unis – un record. Et ce qui frappe, c'est que ces violences basculent vers les zones rurales. Entre 2020 et 2024, les morts lors d'interventions pour « personne armée » ont presque quadruplé en zone rurale. Pourquoi ? La pandémie, l'exode urbain et la flambée des loyers ont poussé des millions d'Américains vers la campagne. Mais les services locaux n'ont pas suivi. Les policiers de petites villes sont dépassés, mal formés, souvent seuls face à des situations complexes. Résultat : la méfiance s'installe, et les incidents quotidiens – une dispute conjugale, un chien qui aboie – tournent au drame.   Haïti : Livres en folie, « un vecteur de résistance culturelle » C'est dans un contexte d'insécurité extrême que se tient en ce moment, à Port-au-Prince, la foire littéraire Livres en folie. Plus de 90 auteurs présents, plus de 1000 ouvrages exposés. Cette 31è édition s'impose, écrit Gazette Haïti, comme un véritable « vecteur de résistance culturelle dans le pays ». Dès l'ouverture, c'est la jeunesse qui a attiré tous les regards, venue en nombre pour découvrir les livres et rencontrer les écrivains. Pour l'auteur Gary Victor, cette jeunesse incarne l'espoir. « Il existe un réservoir de jeunes porteurs d'idées, qui aspirent à une autre vie. ». Des mots forts, qui résonnent comme un rappel essentiel, écrit Gazette Haïti. : « malgré les épreuves, malgré le chaos, Haïti continue de tenir debout… portée par l'élan de ses enfants ».   Journal de la 1ère Les algues sargasses empoissonnent la vie des habitants de Guadeloupe.

Aujourd'hui l'économie
États-Unis: une loi historique pour encadrer les cryptomonnaies

Aujourd'hui l'économie

Play Episode Listen Later Jun 20, 2025 3:09


Retour sur ce vote historique aux États-Unis. Le Sénat a adopté cette semaine, et pour la première fois, un texte régulant les stablecoins. Les stablecoins, ce sont des cryptomonnaies adossées à une devise ordinaire. Ce vote est considéré comme une étape importante pour le développement de cet actif. Avant tout, un petit point de vocabulaire. Alors une stablecoin c'est quoi ? C'est une cryptomonnaie dont la valeur ne varie presque pas, elle reste stable, d'où cette appellation « stablecoin », « une pièce de monnaie stable » si l'on traduit en français. Mais la particularité de cette monnaie virtuelle, d'où sa stabilité, c'est qu'elle est adossée à une devise traditionnelle, le plus souvent le dollar américain. Concrètement, si vous détenez un jeton de stablecoin, vous détenez un dollar. Chaque jeton étant censé être couvert par un vrai dollar ou un actif très sûr. Quel intérêt d'avoir un stablecoin ? En fait cette cryptomonnaie facilite les échanges. Elle permet d'acheter, de vendre, d'envoyer de l'argent à l'autre bout du monde en quelques secondes, 24h/24h, et c'est important, sans passer par une banque. C'est donc rapide, gratuit, car il n'y a pas de taux de change ni de frais bancaires étant donné qu'on paie et qu'on achète en cryptomonnaie. C'est une valeur sûre, donc pour les entreprises, c'est un outil pour réduire leurs coûts de paiement à l'international. D'ailleurs, Amazon ou Walmart envisagent de lancer leurs propres stablecoins. Et pour les particuliers, c'est plus anecdotique mais c'est une façon de protéger leurs économies contre l'inflation ou les crises bancaires. Un marché stratégique désormais encadré aux États-Unis Aujourd'hui, les stablecoins constituent un marché colossal de 250 milliards de dollars. Et la croissance de ces stablecoins est fulgurante. Il y a à peine cinq ans, cela représentait seulement 20 milliards de dollars. Huit transactions sur dix en cryptomonnaies passent par elles. Et plus impressionnant encore, d'après la Deutsche Bank, leur volume de transaction a dépassé l'année dernière ceux de Visa et de Mastercard réunis. Un intérêt croissant des banques, géants de la tech et États Notamment avec cette régulation aux États-Unis. Puisqu'il faut voir un peu plus loin que la simple transaction. Comme les stablecoins sont généralement basés sur le dollars, et bien ça renforce la domination américaine dans le commerce mondial, domination du dollar même. Et à l'heure où différentes économies entendent s'éloigner du billet vert, cette étape revêt une importance stratégique pour les États-Unis. Mais attention, ce n'est pas sans risque. Les stablecoins sont aussi utilisées pour des activités illégales comme le blanchiment d'argent ou le financement du crime organisé. Et si tout le monde se met à utiliser ces stablecoins au lieu des banques, ça pourrait fragiliser le système financier actuel. C'est précisément pour ces raisons que le Sénat américain a voté cette loi qui impose un cadre clair à cette cryptomonnaie. Avec un double objectif : protéger les consommateurs, et renforcer la place du dollar dans l'économie numérique mondiale. À lire aussiPourquoi les cryptomonnaies attirent-elles la convoitise des criminels?

Géopolitique
Les trois facteurs qui pèsent sur l'entrée en guerre des États-Unis en Iran

Géopolitique

Play Episode Listen Later Jun 19, 2025 3:14


durée : 00:03:14 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Les menaces réciproques entre Donald Trump et l'ayatollah Khamenei font monter la tension, et tout le monde est pendu à une éventuelle décision du président américain d'engager son pays ou pas dans la guerre au côté d'Israël. Mais quels sont les facteurs qui pèsent dans sa décision ?

InterNational
Les trois facteurs qui pèsent sur l'entrée en guerre des États-Unis en Iran

InterNational

Play Episode Listen Later Jun 19, 2025 3:14


durée : 00:03:14 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Les menaces réciproques entre Donald Trump et l'ayatollah Khamenei font monter la tension, et tout le monde est pendu à une éventuelle décision du président américain d'engager son pays ou pas dans la guerre au côté d'Israël. Mais quels sont les facteurs qui pèsent dans sa décision ?

Journal d'Haïti et des Amériques
États-Unis: des coupes prévues dans l'assurance santé inquiètent les Américains

Journal d'Haïti et des Amériques

Play Episode Listen Later Jun 19, 2025 30:00


Le Congrès américain débat actuellement de la réforme de Medicaid, le programme d'assurance santé pour les plus modestes. Pour financer des baisses d'impôts, les républicains proposent de couper jusqu'à 700 milliards de dollars dans Medicaid. Une mesure déjà votée par la Chambre des représentants, mais qui inquiète bénéficiaires et professionnels de santé. Reportage en Caroline du Nord par notre correspondant Edward Maille. Nancy est électrice de Donald Trump en Caroline du Nord, et handicapée depuis sa naissance. Elle craint de perdre l'accès aux soins vitaux que lui garantit ce programme, comme elle le confie au micro de notre correspondant Edward Maille. Medicaid couvre des millions d'Américains précaires, des personnes handicapées, des femmes enceintes ou encore des retraités. Son financement est partagé entre le gouvernement fédéral et les États, qui peuvent décider d'en élargir l'accès. En Caroline du Nord, l'extension de Medicaid a permis à des personnes comme Todd de se soigner sans se soucier du coût. Pour lui, couper dans ce programme n'est pas la bonne solution pour réduire le déficit, tant son rôle est crucial dans la vie de nombreux citoyens. Au-delà des bénéficiaires, une baisse du budget de Medicaid menacerait aussi l'équilibre économique des établissements de santé. Dans cette région, 60% des patients en maisons de soins infirmiers dépendent de Medicaid. Le président des services luthériens locaux, Ted Goins, alerte sur les conséquences : fermetures de centres, baisse de la qualité des soins et aggravation de la pénurie de personnel qualifié. Un affaiblissement du programme toucherait ainsi l'ensemble du système de santé. Aux États-Unis, un cinquième de la population et 40% des enfants bénéficient de ce programme public.   Le New York Times met en garde contre une intervention américaine Dans son éditorial, met en garde le président américain : « Les États-Unis ne doivent pas se précipiter dans une guerre contre l'Iran », écrit le journal. Pour le journal, si Donald Trump veut engager les États-Unis aux côtés d'Israël, « le Congrès doit d'abord autoriser l'usage de la force militaire ». La Constitution américaine est claire : seul le Congrès peut déclarer la guerre, sauf en cas d'attaque directe – ce qui n'est pas le cas ici, souligne le New York Times. Le journal rappelle que même lors de conflits majeurs comme Pearl Harbor, le Vietnam ou l'Irak, le Congrès a toujours été consulté. Le New York Times n'exclut pas que l'Iran représente une menace nucléaire, mais rappelle qu'en 2015 un accord avait permis d'encadrer son programme nucléaire. Aujourd'hui, l'Iran est affaibli, et une solution diplomatique reste possible. Une guerre serait « un choix délibéré », pas une nécessité, poursuit le quotidien. Donald Trump, longtemps opposé aux interventions étrangères, a lui-même plaidé pour un accord diplomatique avec l'Iran. S'il change d'avis, conclut le journal, « il doit convaincre la nation » et non pas « contourner le débat public ». Car « les décisions de guerre ne doivent jamais reposer sur un seul homme. », écrit le New York Times.   Les péronistes mobilisés en faveur de Christina Kirchner La presse revient aussi sur la mobilisation massive du péronisme en soutien à Cristina Fernández de Kirchner. Pour le journal Perfil, la manifestation hier sur la Plaza de Mayo ne se limitait pas à un acte de solidarité : elle voulait affirmer que c'est tout un modèle de société qui est attaqué. Les péronistes accusent le gouvernement de Javier Milei de représenter les intérêts des puissances économiques hostiles à une redistribution équitable. En parallèle, cette situation marque un tournant stratégique pour le péronisme, écrit Perfil. L'impossibilité pour Cristina Kirchner de se présenter aux prochaines élections ouvre un débat sur l'orientation future du mouvement et la question de savoir qui pourrait l'incarner. Tandis que la base se mobilise autour de la défense de l'ancienne présidente, des gouverneurs, des syndicalistes et autres cadres politiques commencent à esquisser un scénario post-kirchnériste, dans l'espoir de faire renaître un péronisme uni, capable de reconquérir le pouvoir. La détention d'un ancien président est une tradition en Argentine Oui, selon Clarin, c'est une constante dans l'histoire contemporaine de l'Argentine. Le journal rappelle que c'est Isabel Perón qui a connu la détention la plus longue pour un ancien chef d'État : 5 ans, après avoir été renversée par le coup d'État en 1976. Cristina Kirchner est donc la deuxième responsable péroniste à avoir été condamnée à une peine de prison, mais elle se distingue par son attitude très combattive. Elle mobilise ses partisans, cherche à incarner un leadership vacant — peut-être celui de l'opposition face à Javier Milei, selon Clarin.   Journal de la 1ère La saison des cyclones s'annonce intense.

Bercoff dans tous ses états
Bercoff dans tous ses états - Bercoff dans tous ses états du 19 juin

Bercoff dans tous ses états

Play Episode Listen Later Jun 19, 2025


Au programme : Iran-Israël, la 3ème guerre mondiale ? / Normes, labyrinthe administratif... En finir avec l'embolie réglementaire

Les matins
Aux États-Unis, un candidat à la mairie de New York arrêté par la police de l'immigration

Les matins

Play Episode Listen Later Jun 18, 2025 6:13


durée : 00:06:13 - La Revue de presse internationale - par : Catherine Duthu - Alors que Donald Trump envisage d'entrer en guerre contre l'Iran, sur le sol américain, la répression contre les opposants à sa politique migratoire se poursuit.

Les actus du jour - Hugo Décrypte
Israël veut détruire le régime iranien, les États-Unis se placent, explications

Les actus du jour - Hugo Décrypte

Play Episode Listen Later Jun 18, 2025 13:11


Chaque jour, en moins de 10 minutes, un résumé de l'actualité du jour. Rapide, facile, accessible.

Les informés de France Info
L'ambigüité des États-Unis sur une intervention en Iran, prolongation du conclave sur les retraites... Les informés de franceinfo du mercredi 18 juin 2025

Les informés de France Info

Play Episode Listen Later Jun 18, 2025 50:02


durée : 00:50:02 - Les informés de franceinfo - Tous les jours, les informés débattent de l'actualité, ce mercredi 18 juin autour d'Agathe Lambret et de Jean-Rémi Baudot.

Le grand journal du soir - Matthieu Belliard
Punchline - Les États-Unis vont-ils frapper l'Iran : Le décryptage de Philippe Étienne, ancien ambassadeur de France aux États-Unis

Le grand journal du soir - Matthieu Belliard

Play Episode Listen Later Jun 18, 2025 13:43


Aujourd'hui dans "Punchline", Laurence Ferrari et ses invités débattent du probable engagement des États-Unis dans cette lutte contre le fait que l'Iran se procure la bombe atomique.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Le grand journal du soir - Matthieu Belliard
Punchline - Frappes des États-Unis sur l'Iran : Donald Trump laisse planer le doute

Le grand journal du soir - Matthieu Belliard

Play Episode Listen Later Jun 18, 2025 18:59


Aujourd'hui dans "Punchline", Laurence Ferrari et ses invités débattent de la situation entre Israël et l'Iran, qui se bat actuellement pour sa survie face aux menaces nucléaires de l'Iran.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Journal d'Haïti et des Amériques
Les États-Unis vont-ils frapper l'Iran ? Le possible coup de poker de Donald Trump

Journal d'Haïti et des Amériques

Play Episode Listen Later Jun 18, 2025 30:00


En pleine guerre entre Israël et Téhéran, la presse américaine souligne l'importance d'une décision qui pourrait enflammer la région et bouleverser les principes politiques du locataire de la Maison Blanche. La Maison Blanche doit-elle s'associer aux frappes israéliennes et viser le régime iranien ? Dans le camp du oui, on trouve le Wall Street Journal, et c'est un grand oui. Le quotidien libéral et conservateur de New York évoque un « moment crucial pour la dissuasion américaine ». « Les adversaires des États-Unis, lit-on dans son éditorial, attendent de voir comment Donald Trump va répondre aux pressions et aux menaces stratégiques. » Si l'Amérique ne vient pas en aide « à l'un de ses alliés le plus fidèles et les plus loyaux pour éliminer la menace nucléaire iranienne, la Chine comprendra que les États-Unis ne défendront jamais Taïwan ». Et tout le monde le verra, « aussi bien les commissaires politiques du Kremlin que les caciques du Parti communiste chinois ». Dans le camp du doute, il y a CNN, la grande chaîne proche du Parti démocrate. « Il essaie peut-être, se demande Stephen Collinson dans un long article d'analyse, ​​​​​​​de faire peur à l'Iran et de ramener Téhéran sur le chemin de la diplomatie. ​​​​​​​Ou alors, il s'apprête à jouer très gros en renonçant à l'isolationnisme, l'un de ses grands principes politiques. […] ​​​​​​​Or, le régime iranien aura l'obligation de riposter, ne serait-ce que pour affirmer son autorité. » L'Iran pourrait attaquer des ressortissants américains et des bases militaires dans la région, entraîner les États-Unis dans un cycle de violence sans fin, tout cela, poursuit CNN, « du fait d'un homme qui s'enorgueillait jusqu'ici de ne jamais déclencher une guerre. Et pourtant, on parle à nouveau d'envoyer des Américains au milieu d'un conflit au Proche-Orient sur la base de renseignements incomplets à propos d'armes de destruction massive. On doit ​​​​​​​a minima à nos soldats tombés en Afghanistan et en Irak « une explication sur ce qui se passera après les premiers bombardements américains en Iran. » À lire aussi[En direct] Trump laisse planer le doute sur une intervention américaine en Iran En Haïti, un projet de Constitution contesté L'avant-projet de nouvelle Constitution, récemment soumis au Conseil présidentiel de transition (CPT) par le comité de pilotage, continue de provoquer de vives réactions à Port-au-Prince. Des voix s'élèvent dans presque toutes les sphères de la société civile pour dénoncer un texte jugé en décalage profond avec les réalités sociales et politiques du pays. D'aucuns remettent en cause sa légitimité même. Ils estiment que le comité de pilotage a usurpé une fonction qui ne peut revenir qu'à une assemblée constituante élue. Reportage signé Peterson Luxama à Port-au-Prince, à réécouter dans l'édition du jour, avec l'analyse de Jean-Marie Théodat, interrogé par Anne Cantener. Dora Maria Téllez, figure de l'opposition nicaraguayenne, répond aux questions de RFI Ancienne révolutionnaire sandiniste, connue aussi sous son nom de guerre, « Comandante 2 », elle combattait dans les années 1970 aux côtés de Daniel Ortega contre la dictature de Somoza. Mais dans les années 1990, elle a pris ses distances avec celui qui dirige aujourd'hui le Nicaragua d'une main de fer. À l'époque déjà, Dora María Téllez dénonçait les dérives autoritaires de Daniel Ortega. Passée dans l'opposition, elle a été arrêtée en 2021, emprisonnée, puis expulsée en 2023 vers les États-Unis. Aujourd'hui, l'historienne vit en exil en Espagne. De passage à Paris pour un congrès de chercheurs spécialisés sur l'Amérique latine, elle a accordé une interview à ​​​​​​​Achim Lippold. Doria Maria Téllez a notamment été marquée douloureusement par ses 20 mois de prison au Nicaragua avant son expulsion en 2023. Dora María Téllez : J'en garde toujours des séquelles. Toujours. Des séquelles physiques, parce qu'on passe beaucoup de temps enfermé dans le noir. J'ai été à l'isolement total, avec interdiction de parler. Je ne pouvais pas lire, je ne pouvais pas écrire, je ne pouvais exercer aucune activité sociale. Je n'avais même pas accès aux choses les plus élémentaires. Et puis, l'alimentation était très mauvaise. Et à cela s'ajoutaient des interrogatoires permanents, constants, surtout au début. Ensuite, ils se sont espacés. Mais les séquelles demeurent. On ressent une profonde fatigue, un véritable trou… Un trou de mémoire, dans le sens où pendant deux ans, on n'a rien appris, on n'a eu aucun contact avec la réalité extérieure. Cela laisse un vide, un gouffre. RFI : Comment qualifieriez-vous le régime de Daniel Ortega ? En ce moment, on vit sous un régime de terreur. Ils ont essayé de stabiliser leur pouvoir en instaurant une peur absolue dans la société nicaraguayenne, pour empêcher toute mobilisation. Tout est interdit. Les mobilisations sont interdites. Il n'y a plus de journaux, ils ont tous été fermés. Les médias ont été réduits au silence, toutes les universités privées aussi. L'Église est soumise à une forte pression. Des évêques, des prêtres et des religieuses ont été emprisonnés ou expulsés du pays. Il y a une opposition, mais elle ne peut pas s'exprimer. Il ne peut pas y avoir de manifestations d'opposition. Pas de réunions, pas d'assemblées, même pas en intérieur. À quel moment le régime a-t-il basculé vers une dictature ? Il y avait déjà une dérive autoritaire, oui, mais en 2018, quand de grandes protestations civiques ont éclaté, le régime a choisi de ne pas dialoguer, ni de chercher de solution politique à cette crise, qui était une véritable crise politique. Il a choisi de réprimer la contestation dans le sang. Plus de 350 personnes ont été tuées. Des milliers de personnes emprisonnées. Des centaines de blessés, des disparus dont on n'a plus de nouvelles. Le gouvernement a choisi de répondre par la violence, comme s'il s'agissait d'une guerre. Ils ont sorti les paramilitaires, l'armée, la police, tous armés de fusils de guerre. Ils ont tiré à bout portant sur la population. Ils ont réagi comme en temps de guerre. Et c'est dans ces conditions que le Nicaragua vit encore aujourd'hui. La situation n'a cessé d'empirer. Et en février de cette année, on a atteint un sommet, le point le plus extrême : une réforme constitutionnelle massive a été adoptée, et la dictature est devenue constitutionnelle. » Quel rôle jouez-vous aujourd'hui en tant qu'opposante politique en exil ? Moi, je suis une opposante à ce régime. Je crois que le Nicaragua a besoin de démocratie pour pouvoir se développer, pour offrir des opportunités, pour construire une société plus juste, avec plus d'égalité, de justice sociale. Avec une dictature, il n'y a aucun progrès possible. On n'a même plus le droit de penser, de réfléchir, de débattre des politiques publiques. Le pays est non seulement à l'arrêt, mais il se vide de son sang : 12 % de la population a quitté le pays depuis 2018. Le Nicaragua compte six millions d'habitants, et plus de 1,2 million sont partis. On parle ici de jeunes, de professionnels, de gens qualifiés. C'est une véritable hémorragie. Le pays est paralysé, et il se vide. C'est la deuxième fois que vous combattez une dictature, la première fois, c'était dans les années 1970. Vous avez contribué, en tant révolutionnaire sandiniste, à faire chuter la dictature Somoza. Quelle leçon tirez-vous de cette époque pour votre combat d'aujourd'hui ? Ce que j'ai appris, c'est que toutes les dictatures finissent par tomber. Elles tombent face à la volonté des peuples. Je vois clairement le processus de décomposition profonde dans lequel est tombé ce régime, et je suis convaincue que cette dictature sera liquidée à court terme. Avez-vous l'espoir de pouvoir retourner un jour, au Nicaragua ? J'ai de l'espoir, mais plus encore : j'ai la certitude que je vais retourner au Nicaragua. Ce n'est pas juste de l'espoir. C'est une certitude. Je sais qu'à court terme, je vais revenir dans mon pays. Et qu'il sera alors dans une autre situation. L'actualité des Outre-mer avec nos confrères de la 1ère En Guadeloupe, le 19e congrès des élus exprime de vastes ambitions, mais sans parvenir pour l'instant à accorder tous ses violons.

Un air d'amérique
ÉTATS-UNIS - Les 140 ans de la Statue de la Liberté

Un air d'amérique

Play Episode Listen Later Jun 17, 2025 1:28


Direction New York pour un anniversaire, les 140 ans de l'arrivée de la Statue de la Liberté, offerte par la France.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

C dans l'air
Iran : les États-Unis se préparent-ils à la guerre ?

C dans l'air

Play Episode Listen Later Jun 17, 2025 6:53


C dans l'air du 17 juin 2025 - Iran : les États-Unis se préparent-ils à la guerre ?LES EXPERTS :- Général Dominique TRINQUAND - Ancien chef de la mission militaire française auprès de l'ONU, auteur de D'un monde à l'autre- Alain BAUER - Professeur de criminologie - CNAM- Isabelle LASSERRE - Correspondante diplomatique - Le Figaro, ancienne correspondante en Russie- Mariam PIRZADEH - Rédactrice en chef, ancienne correspondante à Téhéran - France 24- Piotr SMOLAR (en duplex de Washington) - Correspondant aux Etats-Unis - Le Monde

C dans l'air
Iran : les États-Unis se préparent-ils à la guerre ?

C dans l'air

Play Episode Listen Later Jun 17, 2025 64:35


C dans l'air du 17 juin 2025 - Iran : les États-Unis se préparent-ils à la guerre ?Les Iraniens sont prévenus. Donald Trump "n'est plus d'humeur à négocier" avec Téhéran, a-affirmé le président américain, qui a précipitamment quitté la réunion du G7 en Alberta, lundi, pour rentrer aux Etats-Unis. Personne ne semble en état de prédire ce que préparent les États-Unis, mais les mouvements de troupes américains ne laissent pas présager une accalmie. Le porte-avions américain Nimitz, qui croisait en mer de Chine méridionale, s'est dérouté en direction du Moyen-Orient, rejoignant les deux autres porte-avions présents dans la zone équipés de batteries anti-missiles. Dimanche, une trentaine d'avions ravitailleurs, principalement des KC-135 et des KC-46, ont quitté les États-Unis, pour se poser dans des bases européennes. Les États-Unis, que les Iraniens accusent déjà de participer à l'offensive israélienne, préparent-ils une attaque directe sur les sites nucléaires iraniens ? Difficile à dire. Les responsables américains restent évasifs : "Nous défendrons les intérêts américains" dans la région, a réaffirmé cette nuit Alex Pfeiffer, directeur de communication adjoint de la Maison Blanche. "Nous sommes en position défensive dans la région, pour être forts, dans la poursuite d'un accord de paix et nous espérons certainement que c'est ce qui se passera", a de son côté assuré le secrétaire à la défense américain, Pete Hegseth. Une chose est sûre, les bombardiers B-2, les seuls capables de transporter les bombes perforantes GBU-57, sont pour l'instant absents de la base américaine de Diego Garcia, dans l'océan indien.Pendant ce temps, l'Iran semble à la merci des frappes israéliennes. Alors que plusieurs fortes détonations ont été entendues à Téhéran ce mardi, le régime des mollahs constate avec horreur qu'une multitude d'agents du Mossad, le renseignement extérieur israélien, a préparé depuis des mois l'offensive en sabotant les batteries de missiles sol-sol, en mettant hors d'état de nuire les systèmes de défense anti-aériens, et en visant spécifiquement des scientifiques du programme nucléaire iranien. Ce mardi, l'agence de presse iranienne IRNA a par ailleurs rapporté sur sa chaîne Telegram qu'une cyberattaque avait eu lieu contre les infrastructures de la banque Sepah. Huit mois après déclenché simultanément et à distance des milliers d'explosions de bipeurs de responsables du Hezbollah au Liban, les services de renseignement israéliens prouvent une fois de plus leur maîtrise tactique. L'État-major israélien a qualifié l'opération "Lion dressé" de "plus grand succès dans la collaboration entre les services de renseignements et l'armée dans toute l'histoire du pays".À l'étranger, la diaspora iranienne s'inquiète. Lundi, plusieurs personnalités iraniennes, dont les Prix Nobel de la paix Narges Mohammadi et Shirin Ebadi, ont appelé dans une tribune au Monde à l'arrêt des hostilités entre les deux pays, tout comme à l'arrêt du programme nucléaire iranien. "Le peuple iranien (…) ne doit pas être sacrifié au nom des ambitions nucléaires et géopolitiques d'un régime autoritaire", écrivent-ils. D'Iran, où Narges Mohammadi a été emprisonnée pendant des années, à Paris où son mari Taghi Rahmani et leurs deux enfants ont trouvé refuge, la famille ne cesse de dénoncer la dictature des mollahs et la répression des femmes en Iran. Aujourd'hui en sécurité à Paris, le journaliste et militant iranien a lui-même passé 14 ans de sa vie en prison et connu la torture et les conséquences de l'isolement prolongé. Depuis Paris, les trois membres de la famille soutiennent leur mère, dont le visage est désormais connu dans le monde entier.Que préparent les États-Unis en déplaçant leurs troupes ? Comment les agents du Mossad ont-ils permis la réussite de l'opération israélienne en Iran ? Et que pense la diaspora iranienne de ce nouveau conflit ?LES EXPERTS :- Général Dominique TRINQUAND - Ancien chef de la mission militaire française auprès de l'ONU, auteur de D'un monde à l'autre- Alain BAUER - Professeur de criminologie - CNAM- Isabelle LASSERRE - Correspondante diplomatique - Le Figaro, ancienne correspondante en Russie- Mariam PIRZADEH - Rédactrice en chef, ancienne correspondante à Téhéran - France 24- Piotr SMOLAR (en duplex de Washington) - Correspondant aux Etats-Unis - Le Monde

Les informés de France Info
L'escalade militaire entre l'Iran et Israël, les États-Unis haussent le ton, le conclave sur les retraites s'enlise ... Les informés de franceinfo du mardi 17 juin 2025

Les informés de France Info

Play Episode Listen Later Jun 17, 2025 55:07


durée : 00:55:07 - Les informés de franceinfo - Tous les jours, les informés débattent de l'actualité, ce mardi 17 juin autour d'Agathe Lambret et de Jean-Rémi Baudot.

Cultures monde
Cannabis, les voies de la légalisation 1/4 : États-Unis, l'essor du canna-business

Cultures monde

Play Episode Listen Later Jun 16, 2025 58:18


durée : 00:58:18 - Cultures Monde - par : Julie Gacon, Mélanie Chalandon - En mars 2021, l'État de New York est devenu le 24e à légaliser la consommation du cannabis récréatif. Si les modalités diffèrent d'un État à un autre, ces politiques ont en commun d'avoir été mises en place à l'encontre de l'interdit fédéral, mais aussi de s'inscrire dans une logique de marché. - réalisation : Cassandre Puel - invités : Ivana Obradovic Sociologue, directrice adjointe de l'Observatoire français des drogues et des Toxicomanies (OFDT); Paolo Stuppia Docteur en sciences politiques à l'université Paris 1, enseignant à Sciences Po et à l'institut catholique, chercheur associé au CESSP (Centre Européen de Sociologie et de Science Politique)