2009 studio album by Gérald De Palmas
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Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée en public à l'École alsacienne le 15 juin 2025.Avec cette semaine :Antoine Foucher, spécialiste des questions sociales, auteur de Sortir du travail qui ne paie plus.Lucile Schmid, vice-présidente de La Fabrique écologique et membre du comité de rédaction de la revue Esprit.Richard Werly, correspondant à Paris du quotidien helvétique en ligne Blick.Lionel Zinsou, ancien Premier ministre du Bénin et président de la fondation Terra Nova.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pierre Bordaberry, plus connu sous le pseudonyme Psykocuack, est psychologue et l'un des vulgarisateurs les plus influents sur YouTube dans le domaine de la psychologie. Sa chaîne, la plus suivie en France sur le sujet, est un espace d'information, de réflexion et de remise en question permanente des idées reçues.Cela fait longtemps que je m'intéresse à la psychologie, que je consulte moi-même ou que je reçois des psys sur ce podcast.Mais parfois, une voix se distingue nettement des autres. Celle de Pierre m'a bousculé, en bien. Il ne cherche pas à plaire, il ne cherche pas à soigner l'image du psy. Il veut rendre la psychologie accessible, humaine, concrète, débarrassée de son vernis universitaire ou mystifiant. Il parle simplement, avec ses mots, avec une sincérité désarmante. Et ça, ça fait du bien.Dans cet épisode, nous avons parlé de tout ce qui nous traverse profondément mais que l'on a parfois du mal à formuler : la solitude, la pression du développement personnel, la masculinité toxique, la violence et ses justifications, la fatigue informationnelle, l'individualisme, les ados, les écrans… et surtout de ce que cela dit de nous, de notre société, et des chemins qu'on peut emprunter pour aller mieux.J'ai voulu comprendre ce qui l'a poussé à sortir de son cabinet pour créer une chaîne YouTube, ce qu'il observe chez les jeunes, chez les hommes, chez ceux qui ne consultent pas. Pourquoi certains refusent la psychologie ou s'en méfient. Et puis on a parlé du rôle des psys aujourd'hui : doivent-ils rester dans leur coin à attendre que les gens viennent à eux ? Ou faut-il aller chercher ceux qui n'osent pas, ceux qu'on ne voit jamais en consultation ?Pierre propose des pistes, souvent à contre-courant, mais toujours solidement ancrées dans les réalités humaines. Il parle aussi de ses limites, de ce qu'il ne sait pas, de la complexité d'apporter un conseil sans connaître les gens. C'est rare et précieux.Si vous vous intéressez à la psychologie, ou si vous pensez que ce n'est « pas pour vous », alors cet épisode l'est probablement. C'est dense, cash, sans fioritures, et profondément utile pour comprendre notre époque et notre fonctionnement intérieur.5 citations marquantes« Ce que je veux, c'est que la psychologie redescende dans la rue. »« Le développement personnel, c'est bien… mais pour ceux qui vont bien. »« S'informer sans pouvoir agir, c'est un ticket direct pour l'impuissance. »« La santé mentale, ce n'est pas juste un psy dans un cabinet. »« Comprendre, c'est bien. Mais après, il faut savoir quoi en faire. »10 questions structurées posées dans l'interviewPourquoi t'es-tu lancé sur YouTube pour parler de psychologie ?Comment expliques-tu le succès de ta chaîne ?Est-ce qu'aller voir un psy signifie forcément qu'on va mal ?Que penses-tu de l'impact de l'isolement sur la santé mentale ?Quelle est ta critique du développement personnel ?Quelles sont les différences hommes/femmes dans la consultation psy ?Penses-tu qu'on vit une crise de santé mentale ?Comment agir face à un monde anxiogène ?Que peuvent faire les psys pour toucher davantage de publics ?Quel est ton regard sur les réseaux sociaux et les adolescents ?Timestamps clés pour YouTube00:00 – Introduction : pourquoi la psychologie ?02:30 – Origine de la chaîne PsychoQuack04:00 – Démocratiser la figure du psy07:00 – Le vrai rôle de la psychologie08:00 – Isolement, société et santé mentale14:00 – Le développement personnel en question17:00 – Masculinité, narcissisme et résistance au soin22:00 – Crise de santé mentale ou prise de conscience ?29:00 – S'informer ou se protéger ?39:00 – Le danger des réseaux sociaux47:00 – Conseils aux parents d'ados52:00 – Famille, proximité, et portables Suggestion d'autres épisodes à écouter : #278 Sortir de l'hypernormalité pour être soi avec Ines Weber (https://audmns.com/nMPymjS) #189 Les psychédéliques pour améliorer votre santé mentale? Avec Françoise Bourzat (https://audmns.com/tgOZoDG) #177 Vous ne devez pas faire confiance à vos peurs avec Albert Moukheiber (https://cutt.ly/pnQdFE4)Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée en public à l'École alsacienne le 15 juin 2025.Avec cette semaine :Antoine Foucher, spécialiste des questions sociales, auteur de Sortir du travail qui ne paie plus.Lucile Schmid, vice-présidente de La Fabrique écologique et membre du comité de rédaction de la revue Esprit.Richard Werly, correspondant à Paris du quotidien helvétique en ligne Blick.Lionel Zinsou, ancien Premier ministre du Bénin et président de la fondation Terra Nova.COMMENT RÉPARTIR L'EFFORT DU DÉSENDETTEMENT ?Visant un déficit à 4,6 % du PIB l'année prochaine, au lieu de 5,4 % cette année, le gouvernement entend serrer la vis budgétaire, avec un effort de 40 milliards d'euros en 2026. La répartition de cet effort devrait être précisée à la mi-juillet. Dans ce contexte budgétaire alarmant, et quatre mois après avoir été votée par une large majorité de députés, la proposition de loi des Ecologistes visant à instaurer un impôt plancher de 2 % sur le patrimoine des ultra-riches, dite « taxe Zucman » a été rejetée jeudi par le Sénat par 188 voix contre 129 voix.Aux côtés de deux économistes français reconnus internationalement - Olivier Blanchard, ancien chef économiste du Fonds monétaire international et Jean Pisani-Ferry, architecte du programme économique d'Emmanuel Macron en 2017 -, Gabriel Zucman a défendu mercredi dans Le Monde ce mécanisme pour rétablir le « principe constitutionnel d'égalité devant l'impôt ». « Nous partageons le constat que les plus riches ne contribuent pas aujourd'hui à hauteur de ce qui est demandé aux autres catégories sociales, et que le mécanisme voté à l'Assemblée est le plus efficace pour remédier à cette situation. » L'Institut des politiques publiques, fondé sur de nouvelles données administratives, a établi que les plus grandes fortunes payent dans l'ensemble très peu d'impôts sur le revenu, car elles peuvent le contourner – légalement – grâce à diverses techniques d'optimisation, comme l'utilisation de sociétés holdings. En conséquence, alors que l'ensemble des Français acquittent environ 50 % de leurs revenus en impôts et cotisations sociales, tous prélèvements compris, ce chiffre tombe à 27 % pour les milliardaires, soit presque deux fois moins. Le dispositif voté à l'Assemblée ne concerne que les fortunes d'au moins 100 millions d'euros, soit environ 1.800 foyers fiscaux. Il rapporterait entre 15 et 25 milliards d'euros.Le gouvernement est opposé à la taxe Zucman. « Une telle contribution serait à la fois confiscatoire et inefficace », a tranché la ministre des comptes publics, Amélie de Montchalin, en février. « Confiscatoire », parce qu'elle est trop élevée : sans mécanisme de plafonnement, la proposition pourrait être censurée par le Conseil constitutionnel, met aussi en garde la commission des finances du Sénat. « Inefficace », dans la mesure où elle pousserait, de façon « catastrophique », les contribuables visés à fuir la France. Pour relativiser l'argument, Gabriel Zucman s'appuie sur des études qui tendent à démontrer que, lorsqu'un impôt sur la fortune est créé, le nombre de départs à l'étranger pour y échapper est marginal.Cette taxe pourrait revenir au budget 2026 à l'automne. Gabriel Zucmanrappelle que l'impôt sur le revenu, voté en 1909 par la Chambre des députés a attendu 1914 pour que le Sénat, déjà dominé par la droite conservatrice, finisse par l'adopter.TRUMP CONTRE LA CALIFORNIE Après des heurts à Los Angeles sur fond d'expulsions d'immigrés en situation irrégulière le président américain a envoyé le 7 juin la garde nationale dans la ville, contre l'avis des autorités locales. Désormais, 4.800 membres de la garde nationale de Californie et marines se trouvent déployés autour des bâtiments fédéraux, pour apporter leur soutien à la police locale et aux agents de l'ICE, l'agence chargée de l'immigration. Officiellement, il s'agit de protéger bâtiments et agents fédéraux. En s'en prenant au « Golden State », Le choix de cibler la Californie n'a rien d'anodin. « Le déploiement sans fondement de la garde nationale par l'administration Trump est manifestement une mesure de rétorsion contre la Californie, bastion des communautés immigrées, et s'apparente à une déclaration de guerre à l'égard de tous les Californiens », a dénoncé l'ACLU, influente organisation de défense des libertés civiles.Depuis son retour à la Maison Blanche, soutenu par un Congrès à majorité conservatrice, la confrontation s'est envenimée. Véhicules électriques, protection des transgenres, gestion de l'eau : aucun domaine n'échappe à la croisade. Plus que jamais ciblée, la Californie riposte dans l'arène judiciaire. Lors du premier mandat de Trump, l'État avait intenté plus de 120 recours contre son administration, en majorité remportés, se dressant notamment contre le décret anti-immigration Muslim Ban, le démantèlement des protections des jeunes sans papiers et la sortie de l'accord de Paris sur le climat. Depuis janvier, le rythme s'est accéléré. Seule ou alliée à d'autres États, la Californie a déjà déposé plus d'une vingtaine de recours : contre la remise en cause du droit du sol, contre l'accès du Doge (le département de l'Efficacité gouvernementale) au système de paiement du Trésor, contre les coupes dans la recherche médicale ou contre l'augmentation des droits de douane. Sur le plan économique, l'escalade commerciale avec la Chine menace lourdement l'État de la côte ouest, dont les ports jouent un rôle majeur dans les importations venues d'Asie.Sur le sujet central de l'immigration, la « résistance » californienne passe aussi par la loi. Fin 2017, malgré les menaces répétées de l'administration Trump, les élus de l'État avaient adopté une loi limitant strictement la coopération entre polices locales et agents fédéraux chargés des expulsions. Surnommée « loi sur les valeurs californiennes », cette législation a fait de l'Étatle premier « sanctuaire » du pays pour les immigrés sans papiers. Validée en 2019 par la justice, elle reste une épine dans le pied de l'administration Trump, qui accuse la Californie d'entraver sa politique migratoire.Jeudi, le sénateur Padilla, successeur de Kamala Harris, a été arrêté et menotté pour avoir interrompu la conférence de presse de Kristi Noem, Secrétaire à la sécurité intérieure et vigoureuse promotrice des lois anti-immigrés. Samedi, de grandes manifestations ont été organisées pour s'opposer la politique du président républicain, tandis que la présidente démocrate de la chambre des représentants du Minnesota était assassinée.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L'arribada dels fills implica tot un tsunami en la parella, i hi ha la creen
durée : 00:58:01 - Le Grand Reportage - par : Aurélie Kieffer - Qui se souvient aujourd'hui que pour avoir la bombe atomique la France a fait exploser en Polynésie 193 bombes à moins de 400 km d'archipels peuplées ? Trente ans après l'arrêt des essais, une commission d'enquête de l'Assemblée nationale tente de faire la lumière sur ce traumatisme dissimulé. - réalisation : Annie Brault - invités : Mereana Reid Arbelot rapporteure de la Commission d'enquête parlementaire relative à la politique française d'expérimentation nucléaire en Polynésie.; Renaud Meltz historien des essais nucléaires en Polynésie.
L'institut Rexecode propose de parier sur la recherche et la productivité pour réduire le déficit de la France. Les explications de Michel Didier, président de Rexecode. Ecorama du 13 juin 2025, présenté par David Jacquot sur Boursorama.com Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
C'est un débat qui revient régulièrement en France à chaque épisode de violences dans l'espace public, qu'il s'agisse une manifestation agitée, des heurts après la victoire du PSG en Ligue des Champions ou des tensions après un fait divers : une large partie de la classe politique multiplie les propositions pour durcir le maintien de l'ordre et les sanctions, dans la continuité des mesures déjà prises ces dernières années. Une surenchère qui pose question : cette stratégie porte-t-elle seulement ses fruits ? Une autre voie est-elle seulement possible ? Pour en débattre : - Thierry Clair, secrétaire général de l'UNSA Police - Michel Kokoreff, sociologue, professeur des Universités Paris 8, spécialiste des quartiers populaires, des émeutes et de la contestation. Il est l'auteur du livre Émeute, éditions Anamosa et Violences policières, généalogie d'une violence d'État, Textuel.
C'est un débat qui revient régulièrement en France à chaque épisode de violences dans l'espace public, qu'il s'agisse une manifestation agitée, des heurts après la victoire du PSG en Ligue des Champions ou des tensions après un fait divers : une large partie de la classe politique multiplie les propositions pour durcir le maintien de l'ordre et les sanctions, dans la continuité des mesures déjà prises ces dernières années. Une surenchère qui pose question : cette stratégie porte-t-elle seulement ses fruits ? Une autre voie est-elle seulement possible ? Pour en débattre : - Thierry Clair, secrétaire général de l'UNSA Police - Michel Kokoreff, sociologue, professeur des Universités Paris 8, spécialiste des quartiers populaires, des émeutes et de la contestation. Il est l'auteur du livre Émeute, éditions Anamosa et Violences policières, généalogie d'une violence d'État, Textuel.
Du lundi au vendredi de 6h à 10h, La Matinale FG avec Greg Di Mano !
Le travail est au cœur de nos vies… et peut-être aussi au cœur de nos impasses.Pourquoi travaillons-nous autant ? À quoi ce temps et cette énergie servent-ils vraiment ? Et surtout, comment repenser le travail dans un monde où la crise écologique nous oblige à produire et consommer moins, alors même que la dette publique, la compétition économique mondiale et la pression sociale nous poussent à accélérer toujours davantage ?Dans cet épisode, Dominique Méda, philosophe et sociologue, professeure à l'Université Paris Dauphine, nous aide à penser cette tension structurante de notre époque. Spécialiste des politiques publiques du travail, de la protection sociale et de la transition écologique, elle interroge les fondements de notre modèle économique et les mythes qui l'accompagnent : croissance, compétitivité, plein emploi, progrès technologique… tout est passé au crible de l'analyse historique, sociale et politique.Nous parlons ensemble de la genèse du productivisme, de la dégradation des conditions de travail en France, des limites du capitalisme mondialisé, de la place des jeunes et des classes populaires, de l'Europe comme horizon de transformation… et de la manière dont nous pourrions, collectivement, construire une société plus juste, plus soutenable, plus désirable.Une conversation dense, accessible, et précieuse pour comprendre les enjeux profonds de notre époque.Interview enregistrée le 02/04/2025---Retrouvez tous les épisodes et les résumés sur www.sismique.frSismique est un podcast indépendant créé et animé par Julien Devaureix.
Au cœur de la nuit, les auditeurs se livrent en toute liberté aux oreilles attentives et bienveillantes de Valérie Darmon. Pas de jugements ni de tabous, une conversation franche, mais aussi des réponses aux questions que les auditeurs se posent. Un moment d'échange et de partage propice à la confidence pour repartir le cœur plus léger.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Découvrez comment briser la routine et réenchanter votre vie professionnelle dans cet épisode de Happy Work ! ✨ Saviez-vous qu'il faut généralement 3 ans pour maîtriser un poste, mais que cela peut aussi conduire à l'ennui et au "bore-out" ?
durée : 00:01:58 - Le grand format - Les troubles des conduites alimentaires concernent près d'un million de personnes en France et c'est la deuxième cause de mortalité chez les 15-24 ans. Depuis quelques années, les pratiques thérapeutiques évoluent, permettant aux familles de devenir des acteurs clés du rétablissement des enfants.
En France et dans le monde entier, le mois de juin, est celui des Fiertés. Un mois de célébration et de luttes pour les personnes LGBTQ+. Dans chaque pays, des Pride, des Marches des Fiertés sont ainsi organisées. C'est le cas en France, dans la ville de Saint-Denis avec, depuis 2019, la Pride des Banlieues. Son but : mettre en avant ces communautés des quartiers dits populaires dans lesquels se revendiquer LGBTQ+ est souvent plus difficile qu'ailleurs. Quelques jours avant le jour J, rencontre de bénévoles qui se préparent à la célébrer. « On est la semaine avant la Pride et on est tous exténués. » La Pride des Banlieues approche. L'équipe de bénévoles se retrouvent sur la terrasse d'un café à Saint-Denis pour les derniers préparatifs. Il y a deux amies, Fadi et Asma, elles sont Magrébines, nées dans des familles musulmanes. L'une est bisexuelle, l'autre lesbienne. La Pride des Banlieues, c'est le premier lieu queer où elles se sentent bien. « La communauté queer reste un milieu très blanc et donc elle va être raciste ou avoir des biais racistes. On ne m'acceptait pas en tant que Maghrébine dans la communauté LGBTQ+, on ne m'acceptait pas en tant que LGBTQ+ dans la communauté maghrébine. La Pride des Banlieues, je pense que c'est ça qui a servi, c'est de regrouper toutes ces personnes-là. » Fadi est de son avis : « Avec la Pride des Banlieues, tu arrives, tu n'as pas besoin de parler de ces sujets-là, on se comprend, sur la famille, sur la religion, sur le taff. »Ici, pas besoin du masque qu'elle porte en famille. Les proches de Fadi ne savent rien de son homosexualité : « Je pense, c'est un peu de la psychose, mais pour moi le risque, c'est qu'on me chope, qu'on me marie de force parce que mes parents sont attachés aux coutumes, il faut se marier tôt, avoir des enfants tôt. Ils sont très croyants, ils sont capables de me dire " Tu repars au bled, et tu te maries avec un mec " ou, je ne sais pas, me faire tabasser, un truc comme ça. »Asma et Fadi vivent toutes les deux en banlieue parisienne. Leur réalité n'a rien à voir avec celle des personnes LGBTQ+ qui habitent les grandes métropoles : « La manière d'aborder le sujet n'est pas le même, il y a trop de tabou. » D'où le besoin de créer une Pride qui les représente. Ce qui n'est malheureusement pas le cas de la Marche des fiertés de Paris, assure Tess, jeune queer, qui n'y participe plus : « C'est un festival, si son identité, c'est la vivre comme un festival, je comprends, mais il y a des personnes qui ont besoin d'autre chose et la Pride des Banlieues répond à ce besoin. »Après la marche, le travail continue pour les trois bénévoles. Tess veut visibiliser les identités queers à travers une série de photo. Asma et Fadi, elles, réalisent leur propre documentaire sur la Pride des Banlieues.
Olivier Sadran est de ceux qui ont la débrouille dans le sang.Son parcours surréaliste commence au lycée lorsqu'il décide de s'émanciper.À 18 ans, il monte sa première entreprise et organise des sessions de sauts à l'élastique. Passionné de sport, amoureux de la montagne : tout s'aligne.Mais Olivier vend rapidement et se retrouve intérimaire sur des chantiers. Retour à la débrouille.En voyant les ouvriers manger chaque midi leur “gamelle” il a une idée qu'il transformera par la suite en empire de la restauration.Un voyage extraordinaire qu'il commence en livrant lui-même 2 repas sur un chantier toulousain.Aujourd'hui, Newrest est un des leaders mondiaux du catering et fournit près de 2 millions de repas par jour dans les avions, les trains, les prisons, sur les chantiers et les plateformes pétrolières.Une multinationale qui emploie plus de 60 000 personnes dans 53 pays et réalise près de 3,3 milliards de chiffre d'affaires.Mais l'amour d'Olivier pour le sport n'est jamais bien loin. Une première revente de parts lui offre l'opportunité de rentrer au capital du Toulouse Football Club qu'il préside de 2001 à 2020.Il y apprend bon nombre de leçons sportives, humaines mais aussi entrepreneuriales qu'il applique à Newrest, gérée depuis le premier jour comme une équipe de sport.Cet échange rappelle l'épisode 158 avec Edgar Grospiron qui avait marqué GDIY avec sa formule “ne devient champion Olympique que celui qui l'a décidé un jour”. Olivier incarne profondément cette intention, ce "skin in the game" exacerbé et vous transmettra à coup sûr sa capacité à voir (très) grand.TIMELINE:00:00:00 : “15 années fantastiques” à la tête du Toulouse Football Club00:14:40 : Garder une âme d'étudiant : la clé pour apprendre toute sa vie00:24:37 : L'enfer des délais de paiement pour les PME françaises00:33:50 : Monter son premier business à 18 ans00:39:18 : Sortir des cordes comme un boxeur quand l'entreprise vacille00:49:20 : Racheter l'entreprise qui avait acheté la sienne 5 ans plus tôt01:02:49 : Réussir dans un métier de centimier01:14:08 : Une acquisition pour conquérir l'Amérique du Sud01:21:42 : Multiplier le prix de son action par 100 en 20 ans01:34:14 : La logistique pour produire 2 millions de repas par jour01:45:04 : Comment pallier le gaspillage monumental dans les avions01:59:18 : Manager son entreprise comme un club de sport02:12:38 : “Il n'y a que 10 entraîneurs de très bon niveau dans le monde”02:26:52 : Pourquoi 100 % des grands accomplissements démarrent d'une certitude02:35:41 : “Tu payes toujours tes erreurs, qu'elles soient au-delà de la ligne rouge ou non”Les anciens épisodes de GDIY mentionnés : #386 - Patrice Haddad - 40 ans de prod, 15 ans de foot : de Première Heure au Red Star#460 - Sébastien Bazin - PDG du groupe Accor - Diriger un groupe coté en bourse sans ordinateur#158 - Edgar Grospiron - “Avances, fais-toi confiance”Nous avons parlé de :Revente du TFC au fond RedBirdPrésentation du groupe NewrestAir Liberté, le premier client d'Olivier sur le CateringCompass GroupPierre Bellon, fondateur de SODEXOLes recommandations de lecture :La Route - McCarthy CormacVous souhaitez sponsoriser Génération Do It Yourself ou nous proposer un partenariat ?Contactez mon label Orso Media via ce formulaire.Un merci tout particulier à Roxanne de Image 7 pour la mise en relation.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ràdio Ciutat de Tarragona | Nàstic i Esports - rctgn.cat Radio
Conversem amb Antoñín Cortés, davanter del Nàstic, en la prèvia de la tornada de les semifinals del play-off d'ascens davant el Múrcia. El futbolista grana parla de com hi arriba l'equip, de l’ambient que esperen a la Nueva Condomina i deixa clar que estan totalment convençuts que passaran l’eliminatòria per accedir a la final. L’atacant andalús vol pujar amb el […] L'entrada Antoñín: “Necessitem guanyar i sortir a pel Múrcia, però també tenir tranquil·litat” ha aparegut primer a Ràdio Ciutat de Tarragona.
durée : 00:02:03 - C'est le moment de sortir les citronniers, mais comment les entretenir et les tailler ? - Le citronnier doit être sorti de son abri (serre froide ou véranda) au printemps. La taille consiste à supprimer uniquement les branches désordonnées et trop longues, en donnant une forme régulière à l'arbre. Un surfaçage du terreau et un arrosage léger l'aideront à bien repartir.
Tu rêves d'augmenter tes revenus, de conquérir de nouveaux marchés, et de faire briller ton entreprise comme jamais ?
Dream Team : le podcast des personnalités qui font le sport Français
Jacques Henri Eyraud, ex-patron de l'OM revient sur le devant de la scène avec des propositions fortes et innovantes pour le foot français #footballfrançais #podcast #football #sportbusiness #businessHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:14:45 - Les informés de l'éco - Tous les samedis, deux économistes débattent des sujets qui marquent l'actualité économique et sociale.
Marc Joly est sociologue, chercheur au CNRS, et il a récemment publié un ouvrage fascinant : La pensée perverse au pouvoir.Quand Anne-Clotilde Ziegler, que vous avez déjà entendue sur VLAN dans un épisode consacré à la perversion narcissique, m'a recommandé de discuter avec Marc, je n'ai pas hésité une seconde. Il faut dire que le sujet me travaille depuis un moment, surtout à l'aune des comportements politiques qu'on observe aujourd'hui. J'avais envie d'aller au-delà de l'indignation ou du jugement hâtif, pour vraiment comprendre ce qui se joue dans ces dynamiques de pouvoir si troublantes.Dans cet épisode, j'ai eu le plaisir – et l'honnêteté, parfois l'inconfort – de plonger avec Marc dans les rouages de la perversion narcissique. Mais pas seulement dans le cadre intime : on parle ici de pouvoir, de politique, d'Emmanuel Macron bien sûr, mais aussi de Donald Trump, de ce que ces figures révèlent de nos sociétés. Marc est passionnant. Il a une rigueur intellectuelle rare, mais il sait aussi écouter, douter, nuancer.On a parlé de son parcours, de ce qui l'a mené à enquêter sur la violence psychologique, sur la manière dont un terme comme "pervers narcissique" a quitté le domaine de la psychanalyse pour s'inscrire dans nos vies quotidiennes, dans nos discussions, et maintenant dans notre compréhension du pouvoir. J'ai voulu comprendre si Emmanuel Macron, dans ses actions et dans ses discours, pouvait incarner cette figure toxique, si décriée dans les relations personnelles. Et je vous le dis franchement : certaines réponses font froid dans le dos.Nous avons aussi abordé le rôle de Brigitte Macron dans cette construction identitaire et politique, la manière dont leur relation – hors normes – a été instrumentalisée dans un récit médiatique. Et puis il y a cette comparaison troublante avec Trump, où le déni devient une stratégie de gouvernement, où le narcissisme n'est plus une tare mais une posture de conquête.J'ai questionné Marc sur l'avenir, sur l'écologie, sur le désintérêt des élites pour le bien commun. C'est un épisode dense, intense, mais nécessaire. Parce que les élections approchent, parce que le choix de nos dirigeants ne peut plus être pris à la légère, parce qu'on a besoin de comprendre ce qu'on vit pour pouvoir y faire face.Merci Marc pour ta clarté, ton engagement, et ta capacité à mettre des mots justes sur des phénomènes complexes.5 citations marquantes« Ce n'est pas le pouvoir qui pervertit, ce sont les pervers qui sont attirés par le pouvoir. »« Macron fait exactement l'inverse de tout ce qu'il dit. »« La pensée perverse au pouvoir, c'est une stratégie de domination fondée sur le déni. »« Le pervers narcissique séduit pour mieux dominer. »« Ce n'est pas un président, c'est un imposteur habillé d'empathie. »10 questions structurées posées dans l'interviewPourquoi avoir choisi d'étudier la perversion narcissique ?Comment passe-t-on de cette étude à un livre sur le pouvoir ?Qu'est-ce que la perversion narcissique selon la définition psychanalytique ?Pourquoi ce terme est-il souvent mal utilisé aujourd'hui ?Macron incarne-t-il cette pensée perverse ?Quelle est la différence entre Macron et Trump dans leur rapport au pouvoir ?Le pouvoir pervertit-il ou attire-t-il les pervers ?Peut-on diagnostiquer quelqu'un à distance ?Quel rôle joue Brigitte Macron dans cette dynamique ?Le système politique français favorise-t-il l'émergence de tels profils ?Timestamps clés pour YouTube00:00 Introduction par Grégory Pouy02:25 Début de l'interview avec Marc Joly04:00 De la perversion narcissique à la pensée au pouvoir07:00 Définition de la perversion narcissique13:00 Le pouvoir attire-t-il les pervers ?20:00 Emmanuel Macron : manipulation et disqualification30:00 Parallèle entre Macron et les relations toxiques45:00 Trump et le narcissisme grandiose56:00 Déni pervers et politique actuelle01:03:00 Le rôle du couple Brigitte-Emmanuel Macron Suggestion d'autres épisodes à écouter : #333 Tout comprendre sur l'emprise et les pervers narcissiques avec Anne-Clotilde Ziegler (https://audmns.com/AGugdzB) #314 Sortir du chaos et comprendre ce qui se joue en politique (partie 2) avec Raphael Llorca (https://audmns.com/PrcRrZy) #186 Quel nouveau modèle pour la France avec David Djaiz (https://audmns.com/GSOSydk)Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
On commence avec ces images qui ont fait le buzz
Elsa appelle pour parler de sa mère, victime d'un pervers narcissique depuis dix ans. Sa mère a été mise à la porte par cet homme après avoir investi tout son argent chez lui, et elle se retrouve sans rien à 65 ans. Elsa cherche des solutions pour l'aider à récupérer ses biens et à se reconstruire psychologiquement. Chaque soir, en direct, Caroline Dublanche accueille les auditeurs pour 2h30 d'échanges et de confidences. Pour participer, contactez l'émission au 09 69 39 10 11 (prix d'un appel local) ou sur parlonsnous@rtl.frDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Mémoire de la Ve République, Alain Duhamel apporte son expérience et se confronte dans BFM Story à une duelliste de choc différente chaque soir.
Mémoire de la Ve République, Alain Duhamel apporte son expérience et se confronte dans BFM Story à une duelliste de choc différente chaque soir.
Bienvenue dans les Fabuleux Destins. Cette semaine, en quatre épisodes, nous allons vous raconter l'histoire de Maximilian Schmidt, alias Shiny Flakes, l'adolescent devenu millionnaire avec le plus gros site de vente de drogues en Allemagne. Une petite boutique qui va vite se transformer en plateforme de livraison à l'échelle mondiale. Entre pilules colorées, boîtes aux lettres et cryptomonnaies, découvrez son incroyable destin. Un trafic international par la poste À force d'apprendre le métier, il a réuni tout l'attirail du parfait petit dealer : des petits pochons pour les comprimés, une balance pour mesurer les doses… Il a même une machine pour emballer sous vide certains produits délicats ! Et pour cause : les ventes s'enchaînent d'heures en heures. Au pic de son activité, Shiny Flakes fait jusqu'à 150 commandes par jour ! Il reste une dernière étape à assurer : la livraison. Au tout début de son activité, il ne voulait pas s'en occuper. Sortir dans la rue et livrer soi-même de la coke aux clients, ce serait s'impliquer personnellement. Alors il demande de l'aide à son ami d'Internet, qui lui a fait découvrir la vente de drogue en ligne. Mais il ne répond plus : l'idée farfelue est devenue trop concrète pour lui. Il est seul, et les premières commandes arrivent. Alors Maximilian finit par trouver un compromis. Une idée pourtant simple, mais que personne n'avait vraiment appliquée à grande échelle pour ce type de business : livrer de la drogue par la poste… Pour découvrir d'autres récits passionnants, cliquez ci-dessous : [INÉDIT] Paul Watson, une vie d'engagement : combat contre l'Apocalypse (1/4) [INÉDIT] Paul Watson, une vie d'engagement : la bombe mentale (2/4) [INÉDIT] Paul Watson, une vie d'engagement : massacres et sauvetages (3/4) [INÉDIT] Paul Watson, une vie d'engagement : l'ennemi public des braconniers (4/4) Un podcast Bababam Originals Ecriture : Théo Sire Production : Bababam (montage Gilles Bawulak) Voix : Andréa Brusque Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Antoine Foucher est un homme de l'ombre devenu penseur engagé. Ancien directeur de cabinet au ministère du Travail sous Macron, conseiller de Xavier Bertrand et ex-numéro deux du MEDEF, il a longtemps évolué dans les cercles du pouvoir. Pourtant, c'est avec un livre coup de poing — "En finir avec le travail qui ne paie plus" — qu'il vient aujourd'hui dénoncer un dysfonctionnement profond de notre société.Je dois vous dire que j'ai été très surpris, et aussi très curieux, en découvrant son livre. Un “mec de droite” qui remet en cause l'efficacité du travail comme moteur de progrès social ? J'ai eu envie d'en savoir plus. Et je n'ai pas été déçu.Dans cet épisode, nous parlons de sujets brûlants et pourtant trop rarement abordés avec autant de clarté : pourquoi la majorité des gens qui bossent ne parviennent plus à améliorer leur niveau de vie ? Pourquoi, malgré l'explosion de la productivité et l'essor du numérique, le sentiment de déclassement s'accentue ? Pourquoi a-t-on l'impression que nos efforts ne servent à rien, que le travail n'a plus de sens ni de récompense ?J'ai voulu comprendre avec Antoine ce qui coince. Ensemble, nous avons abordé les vraies causes : une fiscalité déséquilibrée, une désindustrialisation massive, un modèle de répartition devenu obsolète. Il m'a aussi expliqué pourquoi le capital est aujourd'hui bien moins taxé que le travail, et en quoi cela façonne une société de rentiers plus que de bâtisseurs. Nous avons parlé retraites, héritage, méritocratie, et surtout, de la nécessité de refonder notre pacte social pour redonner du sens au travail.Ce qui m'a marqué, c'est à quel point Antoine est précis dans ses diagnostics, étayé dans ses chiffres, mais aussi profondément humain dans ses propositions. Il ne cherche pas à cliver, mais à réconcilier. Ce n'est pas un discours partisan, c'est un cri d'alerte lucide sur l'avenir que nous préparons pour les générations futures.Un épisode dense, engagé, mais aussi porteur d'espoir — parce qu'il ouvre des pistes pour sortir de l'impasse. Si comme moi, vous vous interrogez sur l'utilité de vos efforts au quotidien, sur la justice de notre système ou sur ce que signifie vraiment “réussir” aujourd'hui, alors cet épisode est fait pour vous.5 Citations marquantes« Pour la première fois depuis 1945, travailler ne permet plus d'améliorer son niveau de vie. »« Le problème, ce n'est pas que l'argent va aux riches ou aux pauvres. Il va aux retraites. »« On est en train de redevenir une société d'héritiers. »« Le capital est taxé à 30 %, le travail à 46 %. »« Plus on a d'argent, moins c'est difficile d'en gagner. »10 Questions posées dans l'interviewPourquoi dis-tu que le travail ne paye plus ?Est-ce que l'immobilier est pris en compte dans tes calculs ?Où est passé l'argent généré par la productivité ?Est-ce qu'on aurait dû investir dans l'industrie plutôt que dans l'IA ?Pourquoi les services peu qualifiés stagnent-ils en termes de salaires ?Est-ce que l'argent est vraiment parti chez les riches ou les pauvres ?Comment expliques-tu le creusement entre brut et net ?Quel rôle jouent les retraites dans cette dynamique ?Peut-on encore s'en sortir sans héritage ?Est-ce juste que le capital soit moins taxé que le travail ?Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Antoine Foucher est un homme de l'ombre devenu penseur engagé. Ancien directeur de cabinet au ministère du Travail sous Macron, conseiller de Xavier Bertrand et ex-numéro deux du MEDEF, il a longtemps évolué dans les cercles du pouvoir. Pourtant, c'est avec un livre coup de poing — "En finir avec le travail qui ne paie plus" — qu'il vient aujourd'hui dénoncer un dysfonctionnement profond de notre société.Je dois vous dire que j'ai été très surpris, et aussi très curieux, en découvrant son livre. Un “mec de droite” qui remet en cause l'efficacité du travail comme moteur de progrès social ? J'ai eu envie d'en savoir plus. Et je n'ai pas été déçu.Dans cet épisode, nous parlons de sujets brûlants et pourtant trop rarement abordés avec autant de clarté : pourquoi la majorité des gens qui bossent ne parviennent plus à améliorer leur niveau de vie ? Pourquoi, malgré l'explosion de la productivité et l'essor du numérique, le sentiment de déclassement s'accentue ? Pourquoi a-t-on l'impression que nos efforts ne servent à rien, que le travail n'a plus de sens ni de récompense ?J'ai voulu comprendre avec Antoine ce qui coince. Ensemble, nous avons abordé les vraies causes : une fiscalité déséquilibrée, une désindustrialisation massive, un modèle de répartition devenu obsolète. Il m'a aussi expliqué pourquoi le capital est aujourd'hui bien moins taxé que le travail, et en quoi cela façonne une société de rentiers plus que de bâtisseurs. Nous avons parlé retraites, héritage, méritocratie, et surtout, de la nécessité de refonder notre pacte social pour redonner du sens au travail.Ce qui m'a marqué, c'est à quel point Antoine est précis dans ses diagnostics, étayé dans ses chiffres, mais aussi profondément humain dans ses propositions. Il ne cherche pas à cliver, mais à réconcilier. Ce n'est pas un discours partisan, c'est un cri d'alerte lucide sur l'avenir que nous préparons pour les générations futures.Un épisode dense, engagé, mais aussi porteur d'espoir — parce qu'il ouvre des pistes pour sortir de l'impasse. Si comme moi, vous vous interrogez sur l'utilité de vos efforts au quotidien, sur la justice de notre système ou sur ce que signifie vraiment “réussir” aujourd'hui, alors cet épisode est fait pour vous.5 Citations marquantes« Pour la première fois depuis 1945, travailler ne permet plus d'améliorer son niveau de vie. »« Le problème, ce n'est pas que l'argent va aux riches ou aux pauvres. Il va aux retraites. »« On est en train de redevenir une société d'héritiers. »« Le capital est taxé à 30 %, le travail à 46 %. »« Plus on a d'argent, moins c'est difficile d'en gagner. »10 Questions posées dans l'interviewPourquoi dis-tu que le travail ne paye plus ?Est-ce que l'immobilier est pris en compte dans tes calculs ?Où est passé l'argent généré par la productivité ?Est-ce qu'on aurait dû investir dans l'industrie plutôt que dans l'IA ?Pourquoi les services peu qualifiés stagnent-ils en termes de salaires ?Est-ce que l'argent est vraiment parti chez les riches ou les pauvres ?Comment expliques-tu le creusement entre brut et net ?Quel rôle jouent les retraites dans cette dynamique ?Peut-on encore s'en sortir sans héritage ?Est-ce juste que le capital soit moins taxé que le travail ?Timestamps clés pour YouTube00:00 — Introduction de Grégory et présentation d'Antoine Fouché01:30 — Pourquoi le travail ne paye plus ?05:00 — Immobilier et stagnation du pouvoir d'achat10:00 — Le paradoxe du niveau de vie en France15:00 — Désindustrialisation et effets sur les salaires20:00 — Le vrai coût des retraites dans les finances publiques30:00 — Société d'héritiers : quel avenir pour les jeunes ?40:00 — Fiscalité : capital vs travail45:00 — Quelles solutions fiscales concrètes ? Suggestion d'autres épisodes à écouter : #186 Quel nouveau modèle pour la France avec David Djaiz (https://audmns.com/GSOSydk) #281 Comprendre l'effondrement des classes moyennes et populaires avec Esther Duflo (https://audmns.com/WthucwC) #164 Peut-on allier lutte contre la pauvreté et écologie? avec Elise Huillery (https://audmns.com/jLFRyqX)Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:06:27 - L'invité de 6h20 - Fanny Mondet, chercheuse en pathologie de l'abeille domestique, était l'invitée de France Inter ce mardi, à l'occasion de la Journée mondiale des abeilles. Des insectes menacés par le retour d'un néonicotinoïde.
Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 16 mai 2025.Avec cette semaine :Nicolas Baverez, essayiste et avocat.François Bujon de l'Estang, ambassadeur de France.Antoine Foucher, spécialiste des questions sociales, auteur de Sortir du travail qui ne paie plus.Michaela Wiegel, correspondante à Paris de la Frankfurter Allgemeine Zeitung.MACRON : INVENTAIRE AVANT BILAN …Interrogé mardi sur TF1, le président de la République a croisé le fer avec plusieurs personnalités de la société civile sur toute une série de sujets : Ukraine, défense, politique sociale, sécurité, dépenses, santé mentale, fin de vie, salaires, Gaza ... Peu d'annonces concrètes lors de cette intervention de plus de trois heures. A deux ans de la fin de son deuxième quinquennat, Emmanuel Macron s'est surtout attaché à défendre sa présidence, et notamment sa ligne économique : travailler plus, produire plus, ne pas augmenter les impôts. Le chef de l'État refuse de nationaliser Arcelor Mittal, alors que le sidérurgiste vient d'annoncer la suppression de plus de 600 postes en France. Il a demandé au gouvernement de lancer dans les prochaines semaines une « conférence sociale » sur le financement de notre modèle social. Tout en prétendant ne pas « préempter » les termes du débat à venir, il a indiqué que l'une des principales options à explorer consisterait à réduire les cotisations pesant sur les salaires et à mettre davantage à contribution « d'autres facteurs, en particulier la consommation ». Il s'est défendu toutefois de plaider en faveur d'une « TVA sociale ». Rejetant l'idée d'une taxation nationale des grandes fortunes, il a plaidé pour une approche mondiale face à l'exil fiscal.Attendu sur une annonce de référendum, Emmanuel Macron a déclaré opter pour une « consultation multiple » dans le cadre de l'article 11 de la Constitution. C'est-à-dire viades référendums en bonne et due forme et non via un outil purement consultatif créé pour l'occasion. Ceux-ci devraient intervenir « dans les mois qui viennent » et pourraient porter sur de « grandes réformes économiques, éducatives ou sociales ». Un spectre très large, sur lequel il entend réfléchir avec le gouvernement. Il pourrait recourir à un référendum sur l'aide à mourir comme une arme de déblocage qu'il ne dégainera qu'en solution de dernier recours, en privilégiant d'abord la poursuite du débat parlementaire. Ouvert à ce que des « réformes » du premier ministre François Bayrou, sur le « plan économique et social » fassent l'objet d'une consultation, le président de la République ne « voit pas », en revanche, de référendum possible sur l'immigration, demandé par la droite, ni sur la réforme des retraites, comme le lui a suggéré la secrétaire générale de la CGT, Sophie Binet.Le président de la République s'est dit favorable à l'interdiction des mariages de personne sous obligation de quitter le territoire français (OQTF), et souhaite un accroissement du pouvoir des polices municipales. Il a confirmé vouloir que soit imposée aux adolescents une vérification de leur âge pour s'inscrire sur les réseaux sociaux, estimant qu'il y a « une jeunesse qui a été percutée » par ces plateformes.Interrogé pour finir sur un troisième mandat en 2032, Emmanuel Macron n'en a pas écarté l'idée en déclarant : « Quand j'aurai fini, je réfléchirai à la suite. »LA DÉSINDUSTRIALISATION EN FRANCE ET EN EUROPEDepuis quarante ans, la France a été confrontée à un important processus de désindustrialisation. Le poids de la valeur ajoutée du secteur manufacturier est passé de 22 à 15% de 1983 à 2023. Seuls 13% des actifs français étaient, employés dans l'industrie en 2023, contre près de 40% quarante ans auparavant. La désindustrialisation française est la conséquence d'une vague de faillites qui a frappé les secteurs du textile, de la machine-outil et de l'automobile, et du choix de certains grands groupes de délocaliser. La production industrielle française a souffert de son positionnement « gamme moyenne ». Elle a été concurrencée frontalement par celle des pays émergents quand l'Allemagne et les pays d'Europe du Nord ont opté pour le haut de gamme. Le manque de capitaux, d'ingénieurs, de techniciens, la faiblesse de la recherche et une préférence donnée aux services expliquent ce mauvais positionnement de l'industrie française qui est, en outre, confrontée à des impôts de production plus élevés que ses concurrentes. Le poids de l'industrie manufacturière représente aujourd'hui 10 % du PIB en France, contre 15 % en Italie et 16 % en Allemagne.La désindustrialisation touche l'ensemble de l'Europe. En 2000, la part de l'Europe dans la production mondiale de l'industrie était de 22,5%, contre 21% pour les Etats-Unis. Vingt ans plus tard, elle est tombée à 14,5% et celle des Etats-Unis à 16%. La part de la Chine est passée de 10 à 28%. Dans la sidérurgie, ArcelorMittal vient d'annoncer 600 suppressions de postes en France et son concurrent allemand, ThyssenKrupp, en supprimera 11.000 d'ici 2030. A côté de la baisse européenne de la production d'acier, les ventes de véhicules en Europe restent inférieures de 25% à leur niveau de 2019 et tous les analystes s'accordent sur le même étiage ces prochaines années. En Allemagne Volkswagen, prévoit 35.000 suppressions d'emplois d'ici à 2030. Chez Stellantis, les effectifs en Italie sont passés de 55.000 salariés en 2021 à 38.000 en 2025 et, en France, de 53.000 en 2017 à 42.000 aujourd'hui.Face à cette crise, la Commission européenne a présenté fin mars leplan acier de l'Europe. En plus d'une réduction immédiate de 15% du quota d'importations d'acier autorisées sur le sol européen, il prévoit une nouvelle clause de sauvegarde à partir de juin 2026, dispositif qui encadre les imports d'acier sur son territoire selon son origine. La Commission européenne a également annoncé 47 projets miniers pour couvrir une partie de ses besoins en minerais stratégiques. Ainsi, l'UE ambitionne d'ici 2030 d'avoir 10% de sa consommation annuelle extraites localement et 40% de sa consommation annuelle issue du raffinage local.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tous les matins à 7h50, l'actualité culture, TV ou cinéma avec Charles Magnien.
Et si la vraie raison pour laquelle vous stressiez avant une course venait de votre besoin de prouver quelque chose ? Combien de fois vous êtes vous demandé si vous étiez vraiment à la hauteur ? Mais à la hauteur de quoi ? Je me revois la veille de ma première course. De mon premier trail. Stressé, incapable de dormir, avec cette pensée en boucle : « Et si je ne finissais pas ? » Depuis j'ai beaucoup appris. Et aujourd'hui je vais vous parler en tant que préparateur mental pour vous aider à lutter contre ce stress lié à la pression du résultat avec des stratégies et outils simples.Dans cet épisode :C'est quoi la pression du résultat ?Pourquoi elle est paradoxaleQuels sont les signes que nous la subissonsComment mieux la gérer ?Pourquoi je n'utilise pas la visualisation et la méditationLe tunnel la concentration L'importance d'un planPourquoi il est capital de redéfinir notre réussiteLa phrase de Dany Boon que nous pouvons nous approprierEt souvenez-vous : vous n'avez pas besoin d'être le ou la meilleur du monde, mais de vous demander comment devenir Champion du Monde de Votre Monde.❤️ Me suivre Tous les liens sont ici
durée : 00:21:47 - Laurent Wauquiez veut sortir du RSA à vie
Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 25 avril 2025.Avec cette semaine :David Baverez, essayiste et investisseur.Antoine Foucher, spécialiste des questions sociales, auteur de Sortir du travail qui ne paie plus.Béatrice Giblin, directrice de la revue Hérodote et fondatrice de l'Institut Français de Géopolitique.Michaela Wiegel, correspondante à Paris de la Frankfurter Allgemeine Zeitung.L'ÉCONOMIE DE GUERRE Dans votre ouvrage Bienvenue en économie de Guerre, David Baverez, vous proposez une réflexion profonde sur les transformations économiques et géopolitiques récentes, mettant en lumière un tournant majeur dans l'histoire du monde. Selon vous, nous assistons à la fin d'un cycle de mondialisation qui a débuté en 1989 avec la chute du Mur de Berlin et la consolidation d'une économie mondiale fondée sur le libre-échange. Ce cycle se termine aujourd'hui, avec l'émergence d'un nouveau paradigme que vous qualifiez « d'économie de guerre », marqué par la confrontation ouverte entre grandes puissances.Pour vous, la rupture a été précipitée par des événements clefs survenus en 2022, notamment l'invasion de l'Ukraine par la Russie et le 20ème congrès du Parti communiste chinois. Ces événements ont révélé la fin d'une époque de coopération relative entre les nations et la montée des tensions géopolitiques, où les dépendances énergétiques et industrielles deviennent des instruments de pouvoir stratégique. Dans ce contexte, la guerre économique s'annonce comme un terrain incontournable de confrontation entre puissances.Votre analyse repose sur un constat alarmant : les grandes puissances du monde semblent se réorienter vers une logique de repli stratégique, où les enjeux de souveraineté nationale et d'autonomie économique dominent. L'impact de cette transition se fait particulièrement sentir en Europe, que vous voyez à un tournant décisif. Si le continent ne prend pas la mesure de cette évolution, il risque de devenir un simple terrain d'affrontement géopolitique, tiraillé entre les influences croissantes des États-Unis et de la Chine, un peu à l'image d'autres régions déjà fragilisées comme le Yémen.Vous mettez ainsi en garde contre le risque de marginalisation de l'Europe dans ce nouveau monde en mutation, et vous plaidez pour une refonte de son approche stratégique. Selon vous, l'Europe doit impérativement se doter d'une souveraineté plus affirmée, capable de défendre ses intérêts dans des domaines clefs comme l'énergie, la défense, et les technologies. Pour cela, il est essentiel de se détacher des dépendances extérieures et d'investir dans des industries stratégiques pour assurer une autonomie véritable.Aujourd'hui, plus que jamais, la question se pose : comment l'Europe peut-elle éviter de devenir un simple spectateur de cette transformation mondiale et, au contraire, jouer un rôle moteur dans la reconstruction de l'ordre mondial, tout en évitant les pièges d'une mondialisation débridée ? Comment le continent peut-il, sans délaisser ses principes démocratiques et ses valeurs, s'affirmer comme un acteur incontournable dans cette nouvelle économie de guerre ?Enfin, dans cette dynamique, vous évoquez régulièrement la question de la souveraineté économique. Quelles sont, selon vous, les bases les plus solides sur lesquelles l'Europe pourrait construire sa souveraineté économique face à la montée des tensions internationales ? Et comment l'Europe peut-elle s'y préparer concrètement sans tomber dans le piège du nationalisme destructeur, qui risquerait de la diviser davantage au lieu de la renforcer ?Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cet épisode 231, la thérapeute Virginie Augias explore un sujet fondamental : les schémas répétitifs et comment en sortir pour avancer dans nos vies.Pourquoi répétons-nous certains comportements ou relations, même lorsqu'ils ne nous servent plus ?En quoi ces schémas sont-ils liés à notre passé et à des mécanismes inconscients ? Et comment prendre conscience de ces répétitions pour les briser et créer de nouveaux chemins vers la croissance et l'épanouissement ?Virginie Augias nous guide à travers des outils et des approches pratiques pour comprendre ces schémas et les transformer, afin d'avancer sereinement et consciemment dans nos vies.
Au Maghreb ou dans l'Empire ottoman, les transitions dynastiques, les renversements politiques ou certains épisodes de crises changent les têtes au pouvoir. Un contexte tendu synonyme pour les harems et leurs habitants de fuite ou de disparition. Que devient-on après le harem ? Est-il possible de quitter le harem en dehors des périodes de crise ? Dans un épisode précédent, nous vous racontions l'histoire de Germain Mouette, né en France au milieu du XVIIème siècle. Il a vingt ans lorsqu'il part à la découverte du nouveau continent américain, mais il n'ira pas si loin : capturé par les pirates de Salé, il est vendu comme esclave, change de propriétaire et de villes plusieurs fois au Maroc. Treize ans plus tard, libéré, il publie le récit de ces années de captivité et notamment l'influence des changements de règne sur la vie des cours sultaniennes et la fuite d'un harem à travers la neige. Jocelyne Dakhlia est historienne et anthropologue. Elle publie "Harems et sultans, genre et despotisme au Maroc et ailleurs du XIVème au XXème siècle" (Editions Anarchasis).
«De plus en plus, on voit un renforcement de l’Islamisme radical» Le livre “Sortir de l’islamisme” (Éditions Erick Bonnier) Entrevue avec Razika Adnani, écrivaine, philosophe et islamologue Abonnez-vous à QUB télé via https://www.tvaplus.ca/qub ou écoutez ce segment en balado via https://www.qub.ca/radio/balado/sophie-durocherPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Un médicament dispendieux obtenu grâce à QUB. Sortir de l’Islamisme. Ménage du printemps santé. Tarifs américains sur le cinéma. Dans cet épisode intégral du 5 mai, en entrevue : Maud Rebeyrol, médecin de famille et patiente Razika Adnani, écrivaine, philosophe et islamologue Stephane Cardin, président-directeur général du BCTQ Une production QUB Mai 2025Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
00:00:00 : Intro Teaser DEE-Licious 00:00:43 : Début de l'émission
Aujourd'hui, Charles Consigny, Jean-Loup Bonnamy et Éléonore Lemaire débattent de l'actualité autour d'Olivier Truchot.
Chercheur et ancien directeur de cabinet de la ministre du Travail Muriel Pénicaud, Antoine Foucher a publié en 2024 "Sortir du travail qui ne paie plus", aux éditions de l'Aube. Il affirme que "travailler aujourd'hui ne permet plus d'améliorer son niveau de vie".Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Bonjour à tous Aujourd'hui c'est les vacances mais HORIZON PODCAST ne vous abandonne pas pour autant. Voici une rediff d'un épisode avec Anne-Victoire Rousselet, psychologue et psychothérapeute spécialisée en Thérapie Comportementale et Cognitive, où nous parlons d'un sujet qui touche de plus en plus de personnes, LE BURN OUT, notamment pendant le confinement. On va parler des comportements qui indiquent qu'on est proche du burn out ou déjà “grillé”, mais également des manières de prévenir pour éviter que cela n'arrive ou ne se reproduise plus. Je n'en dis pas plus, je vous souhaite une bonne écoute et retenez bien les conseils qu'Anne-Victoire nous donne Bonne écoute Instagram : @lena_champy
[GRAINE DE METAMORPHOSE] Xavier Pitois reçoit Harmony Albertini, créatrice de contenu, artiste et coach en confiance en soi. Comment s'ouvrir à l'amour sans laisser nos peurs prendre le dessus ? Pourquoi accueillir l'amour est-il parfois plus difficile qu'on ne l'imagine ? Comment s'aimer soi-même malgré les blessures du passé ? Et si apprendre à aimer commençait par apprendre à se faire confiance ? Harmony Albertini explore ces questions et nous livre des clés pour identifier les blocages, apprendre à pardonner les blessures, manifester l'amour et, enfin, l'accueillir dans notre vie. Découvrez son livre, L'amour est un choix aux Éditions Solar et suivez-la sur instagram pour connaître toute son actualité. Épisode #123Quelques citations du podcast avec Harmony Albertini :"L'intuition, c'est un message du coeur qui traverse le corps pour que je puisse comprendre.""La première impression, il y a quelque chose qui se passe dans notre corps et c'est une de nos plus grandes forces.""C'est inévitable, nous sommes faits de cycle."Thèmes abordés lors du podcast avec Harmony Albertini :00:00 Introduction06:42 Du coup de foudre au "coup de sérénité"09:35 La puissance de la manifestation13:14 Célibat vengeur et hyperindépendance17:46 Échapper à ses blocages19:00 Renouer avec son intuition20:29 Exercice pour renouer avec le pouvoir de l'amour24:05 Du coup de foudre à l'attachement28:23 L'importance du quotidien30:03 Exercice pour accueillir la peur en amour34:31 Sortir de l'hyperindépendance39:51 The Wonder Coach43:28 Comment séduire de nos jours ?Avant-propos et précautions à l'écoute du podcast Découvrez Objectif Métamorphose, notre programme en 12 étapes pour partir à la rencontre de soi-même.Recevez chaque semaine l'inspirante newsletter Métamorphose par Anne GhesquièreFaites le TEST gratuit de La Roue Métamorphose avec 9 piliers de votre vie !Suivez nos RS : Insta, Facebook & TikTokAbonnez-vous sur Apple Podcast / Spotify / Deezer / CastBox/ YoutubeSoutenez Métamorphose en rejoignant la Tribu MétamorphosePhoto DR Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Extrait de l'épisode 197 – L'impact du style de vie sur notre santé, Emilie SteinbachDans cet extrait, Emilie Steinbach, neuroscientifique et microbiologiste, nous donne des clés pour améliorer son sommeil et nous conseille de voir le stress de manière positive. L'épisode complet regorge de bons conseils, d'exemples pratiques et d'informations primordiales pour notre santé.Au programme :