2009 studio album by Gérald De Palmas
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L'Allemagne constate une forte augmentation des arrivées de jeunes Ukrainiens sur son territoire et cela commence à faire grincer des dents. Le chef du Parti conservateur bavarois appelle l'Union européenne à faire pression pour que Kiev interdise aux jeunes hommes de quitter l'Ukraine. Faisant valoir le rôle de l'Allemagne comme premier fournisseur européen d'aide militaire, Markus Söder martèle que l'Ukraine a besoin de « soldats ukrainiens pour défendre leur propre pays ». En août dernier, les autorités ukrainiennes ont assoupli la loi martiale, en permettant aux hommes de 18 à 22 ans de franchir la frontière, ce qui a entraîné une vague de départs. En Ukraine, la mesure ne fait pas consensus. De nos envoyés spéciaux à Kiev, Un terrain d'entraînement à une quinzaine de kilomètres du front dans le Donbass. À l'abri d'un sous-bois, de jeunes soldats s'entraînent au pilotage de drones. Lorsqu'on lui demande quels sont les défis les plus importants que son équipe doit relever, Vova répond sans détours : « Ce qui manque le plus ce sont les gens, on manque de personnes normales, équilibrées, qui veulent faire quelque chose et qui prennent leur activité au sérieux. Il y a très peu de gens. » Une réglementation qui fait débat Pour faire face au manque d'hommes dans l'armée, plusieurs partenaires occidentaux de l'Ukraine, les États-Unis en tête, ont longtemps plaidé pour un abaissement de l'âge de la mobilisation, aujourd'hui fixé à 25 ans. Mais les autorités ukrainiennes s'y sont toujours refusées. À l'inverse, elles ont décidé d'assouplir la loi martiale, en autorisant les 18-22 ans à franchir la frontière. Une mauvaise décision, selon l'opérateur de drones Mikhailo, alias « Mamba » : « Ceux qui partiront ne reviendront pas. Personnellement, je n'aurais pas adopté une telle loi. Parce que le résultat, c'est que tous ceux qui auraient pu venir nous prêter main-forte vont partir. Or, si on unissait nos forces, on pourrait sans doute stopper les Russes. » La nouvelle loi vise notamment à endiguer les départs de jeunes garçons de 17 ans. Ils étaient nombreux à quitter l'Ukraine avant d'avoir terminé le lycée pour ne pas se retrouver coincés dans le pays à leur majorité. Mais des observateurs redoutent que cette réglementation ne provoque un exode massif de jeunes hommes. Maksim, étudiant en médecine de 21 ans, a déjà vu plusieurs jeunes de son entourage partir à l'étranger après l'adoption de cette loi, dont son meilleur ami : « Il est parti à l'étranger en disant qu'il ne reviendrait que lorsque la guerre serait terminée. Il dit que tant qu'il y a la guerre, il ne veut pas prendre de risque. Il me semble que ça n'est pas bien, parce qu'on va finir par ne plus avoir d'armée. » Une mobilisation en question Cette loi aura-t-elle des conséquences militaires ? Aura-t-elle une influence sur la capacité de l'armée ukrainienne à mobiliser dans les années qui viennent ? Le député d'opposition Oleksiy Honcharenko ne le pense pas : « Tous ceux qui voulaient quitter l'Ukraine, l'ont déjà fait de toute façon, par des moyens illégaux. Cette loi s'applique aux jeunes jusqu'à 22 ans. Or, en Ukraine, la mobilisation, c'est à partir de 25 ans. Il n'y a donc aucune influence directe sur la mobilisation, pas même en théorie. Il y a en revanche un point avec lequel je suis d'accord avec nos militaires : nous avons un très mauvais processus de mobilisation. Malheureusement, rien n'est fait pour inciter les gens à s'engager dans l'armée. » Pour tenter d'attirer des recrues motivées, l'armée ukrainienne a mis en place en février dernier un contrat assorti d'incitations financières pour les jeunes de 18 à 24 ans, sur la base du volontariat. Mais le succès escompté n'est pas au rendez-vous. Sur le front, les soldats attendent toujours la relève.
L'Allemagne constate une forte augmentation des arrivées de jeunes Ukrainiens sur son territoire et cela commence à faire grincer des dents. Le chef du Parti conservateur bavarois appelle l'Union européenne à faire pression pour que Kiev interdise aux jeunes hommes de quitter l'Ukraine. Faisant valoir le rôle de l'Allemagne comme premier fournisseur européen d'aide militaire, Markus Söder martèle que l'Ukraine a besoin de « soldats ukrainiens pour défendre leur propre pays ». En août dernier, les autorités ukrainiennes ont assoupli la loi martiale, en permettant aux hommes de 18 à 22 ans de franchir la frontière, ce qui a entraîné une vague de départs. En Ukraine, la mesure ne fait pas consensus. De nos envoyés spéciaux à Kiev, Un terrain d'entraînement à une quinzaine de kilomètres du front dans le Donbass. À l'abri d'un sous-bois, de jeunes soldats s'entraînent au pilotage de drones. Lorsqu'on lui demande quels sont les défis les plus importants que son équipe doit relever, Vova répond sans détours : « Ce qui manque le plus ce sont les gens, on manque de personnes normales, équilibrées, qui veulent faire quelque chose et qui prennent leur activité au sérieux. Il y a très peu de gens. » Une réglementation qui fait débat Pour faire face au manque d'hommes dans l'armée, plusieurs partenaires occidentaux de l'Ukraine, les États-Unis en tête, ont longtemps plaidé pour un abaissement de l'âge de la mobilisation, aujourd'hui fixé à 25 ans. Mais les autorités ukrainiennes s'y sont toujours refusées. À l'inverse, elles ont décidé d'assouplir la loi martiale, en autorisant les 18-22 ans à franchir la frontière. Une mauvaise décision, selon l'opérateur de drones Mikhailo, alias « Mamba » : « Ceux qui partiront ne reviendront pas. Personnellement, je n'aurais pas adopté une telle loi. Parce que le résultat, c'est que tous ceux qui auraient pu venir nous prêter main-forte vont partir. Or, si on unissait nos forces, on pourrait sans doute stopper les Russes. » La nouvelle loi vise notamment à endiguer les départs de jeunes garçons de 17 ans. Ils étaient nombreux à quitter l'Ukraine avant d'avoir terminé le lycée pour ne pas se retrouver coincés dans le pays à leur majorité. Mais des observateurs redoutent que cette réglementation ne provoque un exode massif de jeunes hommes. Maksim, étudiant en médecine de 21 ans, a déjà vu plusieurs jeunes de son entourage partir à l'étranger après l'adoption de cette loi, dont son meilleur ami : « Il est parti à l'étranger en disant qu'il ne reviendrait que lorsque la guerre serait terminée. Il dit que tant qu'il y a la guerre, il ne veut pas prendre de risque. Il me semble que ça n'est pas bien, parce qu'on va finir par ne plus avoir d'armée. » Une mobilisation en question Cette loi aura-t-elle des conséquences militaires ? Aura-t-elle une influence sur la capacité de l'armée ukrainienne à mobiliser dans les années qui viennent ? Le député d'opposition Oleksiy Honcharenko ne le pense pas : « Tous ceux qui voulaient quitter l'Ukraine, l'ont déjà fait de toute façon, par des moyens illégaux. Cette loi s'applique aux jeunes jusqu'à 22 ans. Or, en Ukraine, la mobilisation, c'est à partir de 25 ans. Il n'y a donc aucune influence directe sur la mobilisation, pas même en théorie. Il y a en revanche un point avec lequel je suis d'accord avec nos militaires : nous avons un très mauvais processus de mobilisation. Malheureusement, rien n'est fait pour inciter les gens à s'engager dans l'armée. » Pour tenter d'attirer des recrues motivées, l'armée ukrainienne a mis en place en février dernier un contrat assorti d'incitations financières pour les jeunes de 18 à 24 ans, sur la base du volontariat. Mais le succès escompté n'est pas au rendez-vous. Sur le front, les soldats attendent toujours la relève.
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Sortir du dilemme et du déséquilibre temps/argentInscrivez-vous pour la masterclass : "Gagnez plus en travaillant moins : L'équilibre Temps / Argent"
Tu connais ce moment où tu sens que tu replonges dans le triangle de Karpman (entre sauveur, victime et persécuteur) et que tu ne sais plus comment t'en sortir ?
durée : 00:25:16 - Lucile Richardot, mezzo-soprano (2/5) - par : Judith Chaine - Dans ce 2ᵉ épisode, Lucile Richardot raconte la transformation de sa voix à l'adolescence, ses influences musicales, son parcours entre chant et journalisme et sa formation à la Maîtrise Notre-Dame de Paris. - réalisé par : Pierre Willer Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Si vous attendez d'être motivée pour travailler, vous perdrez la moitié de vos journées.
Aujourd'hui, Didier Giraud, Charles Consigny et Flora Ghebali débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Toute l'actu des sélections nationales et des championnats anglais, espagnol, italien et allemand avec nos légendaires "Drôles de Dames" : Julien Laurens, Fred Hermel, Polo Breitner et Johann Crochet.
Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 17 octobre 2025.Avec cette semaine :Jean-Louis Bourlanges, essayiste, ancien président de la Commission des Affaires étrangères de l'Assemblée nationale.Antoine Foucher, consultant, spécialiste des questions sociales, auteur de Sortir du travail qui ne paie plus.Lucile Schmid, présidente de La Fabrique écologique et membre du comité de rédaction de la revue Esprit.Lionel Zinsou, ancien Premier ministre du Bénin et président de la fondation Terra Nova.QU'ATTENDENT LES FRANÇAIS DES HOMMES POLITIQUES ?Après la nouvelle nomination de Sébastien Lecornu à Matignon le 10 octobre, 56 % Français ne souhaitaient pas que l'une des motions de censure déposées par La France insoumise et le Rassemblement national soit votée, selon une enquête "L'Opinion en direct" menée par Elabe pour BFMTV, publiée mercredi. Ils ont été exaucés, avec le rejet des deux motions de censure jeudi matin. Le Premier ministre Sébastien Lecornu, a annoncé dans sa déclaration de politique générale qu'il proposerait au Parlement la suspension de la réforme de 2023 sur les retraites « jusqu'à l'élection présidentielle ». Selon le sondage Elabe, 67 % des Français sont pour cette suspension et 29 % s'y disent même « très favorables » et 38% « plutôt favorables ». 33 % des Français sont contre cette suspension, dont 13 % de Français qui se disent « très opposés » à cette annonce du chef du gouvernement. Toutefois, 64 % des Français sont mécontents de la composition du gouvernement et 51 % des personnes interrogées sont même favorables à une dissolution et à de nouvelles élections législatives.Dans la perspective de l'élection présidentielle de 2027, Jordan Bardella et Marine Le Pen se maintiennent en tête des personnalités suscitant le plus de satisfaction si elles remportaient l'élection présidentielle (33 % dans les deux cas), selon le baromètre politique Ipsos bva-CESI École d'ingénieurs pour La Tribune Dimanche. Pour la première fois, la troisième place du podium est occupée par une personnalité du même bord : Marion Maréchal, avec 24 % des Français qui seraient satisfaits. Cette progression de Marion Maréchal dans le classement s'explique par une baisse importante pour les autres personnalités, situées à droite et au centre, comme Bruno Retailleau qui enregistre une forte baisse (20 %, -7 points en un mois). Au centre, on observe aussi des baisses importantes pour Edouard Philippe (22 %, -3 points), Gabriel Attal (19 %, -5 points) et Gérald Darmanin (19 %, -5 points). Le pouvoir d'achat demeure la première préoccupation des Français (50 %, -1 point), devant l'avenir du système social, cité par 44 %. La préoccupation pour l'avenir du système social progresse de 3 points en un mois et de 9 points depuis juillet. 88 % des Français sont pessimistes sur la situation économique du pays et 67 % sur leur propre situation économique. Ils ont notamment le sentiment que la situation du pouvoir d'achat va se détériorer (78 %), tout comme celle du niveau de la dette publique (77 %) ou encore du niveau de la fiscalité (70 %).Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Après une longue pause estivale, je reviens au micro avec plein de nouvelles et de mises à jour ... Des upgrades, il y en a eu et plusieurs sont en cours !Dans cet épisode, je te partage : comment j'ai littéralement quitté la cave… et symboliquement pour m'exposer au plein jour ;ce que j'ai vécu cet été : intégration, questionnements, réalignement ;la naissance du Niveau 3 – Canal Maître, un espace de maîtrise énergétique et d'expansion de conscience ;la nouvelle orientation de ma retraite Âm'Bodiement au Mexique, où le programme d'initiation Akashique est désormais inclus ;l'ouverture de ma plateforme Patreon, notre nouvel espace de transmission, de pratiques et de communauté ;ma réflexion sur le besoin d'une éducation spirituelle non religieuse, accessible et incarnée ;et le message qui m'habite : réconcilier l'âme, le corps et la conscience dans une expérience vivante de l'être, parce que tout est toujours là, en soi.Tous les liens importants se trouvent ici :
C'est le week-end, vous allez peut-être voir des amis… Sortir avec eux, ou juste vous organiser un petit dîner… Les copains c'est le partage. Quelles sont toutes ces choses qu'on aime faire avec ses amis ?
C'est le week-end, vous allez peut-être voir des amis… Sortir avec eux, ou juste vous organiser un petit dîner… Les copains c'est le partage. Quelles sont toutes ces choses qu'on aime faire avec ses amis ?
Tous les matins à 7h50 sur Chérie FM, Dimitri pose 3 questions sur l''actualité insolite ou légère des dernières 24 heures !
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Le sujet fort de l'actualité foot du jour vu par Jérôme Rothen et la Dream Team.
Tous les matins, à 6h10 et 6h50 sur Chérie FM, Tiffany Bonvoisin nous présente une info qui l''a marquée !
Tous les matins, 8h50 sur Chérie FM, Alex et Tiffany l'équipe du Réveil Chérie vont chacun vous donner une info ! Une seule est vraie ! L'autre est complètement fausse !" A vous de trouver qui dit vrai !
Jérôme Rothen se chauffe contre un autre consultant, un éditorialiste ou un acteur du foot.
Au Soudan du Sud, pays englué dans une grave crise politique et économique, la pauvreté progresse. Et presque mécaniquement, la criminalité des jeunes explose. À Juba, la capitale, les gangs de jeunes se multiplient. Source de subsistance pour des adolescents livrés à eux-mêmes, parfois même enfants des rues, ces gangs rendent la vie des habitants de plus en plus pénible, les vols et les agressions proliférants. Face à ce fléau, de rares initiatives se mettent en place. C'est notamment le cas dans le quartier de Sherikat, à l'est de la capitale sud-soudanaise, où un ancien gangster a créé une académie de foot, un précieux espace de bienveillance pour une jeunesse en dérive. De notre correspondante à Juba, Sur la grande esplanade du quartier de Sherikat, dans l'épaisse poussière soulevée par le vent, des centaines d'enfants et d'adolescents s'entraînent. Ils driblent, slaloment entre des cônes, disputent des mini-matchs. Les différentes équipes sont reconnaissables à la couleur de leur maillot. « Voici la Young Dream Football Academy. Nous travaillons avec les jeunes, la plupart viennent de la rue, et certains sont dans les gangs. » Alaak Akuei, 24 ans, que tout le monde appelle « Kuku », a créé cette académie de foot en 2018. C'était après avoir réussi à se sortir du gang qu'il avait rejoint en 2013, à son arrivée à Juba : « Les jeunes sont désœuvrés. C'est pour cela que beaucoup traînent dans la rue et finissent dans les gangs. Ce qu'il faut, c'est leur proposer des activités, pour qu'ils soient occupés et qu'ils ne décrochent pas de l'école. Le foot peut être très puissant pour lutter contre les gangs. » Sakaya Peter, travailleur social de l'ONG Gredo, qui travaille avec Kuku, pense aussi que le sport peut détourner les jeunes des gangs : « Ces jeunes recherchent un sentiment d'appartenance, le fait d'être aimés. C'est la principale raison pour laquelle ils rejoignent les gangs. Dans ces groupes, ils ne se contentent pas de s'amuser, de se battre ou de voler. Ils s'aiment profondément et se soucient les uns des autres. En les réunissant régulièrement autour d'activités sportives, on peut leur offrir ce même sentiment d'avoir des personnes auprès desquelles ils peuvent trouver du soutien. » Ces jeunes, « ils sont le futur de cette nation » Lorsque Kuku a décidé de créer cette académie, il a convaincu six autres amis gangsters de le suivre. Ils sont maintenant entraîneurs pour plus de 900 apprentis footballeurs. Emmanuel Aman Malual, 21 ans, est l'un de ces gangsters devenus coaches : « Les gangs ne nous apportent rien, on peut même mourir. À l'époque, quand on était dans le gang, on dormait à la rue, on buvait et on fumait. On a fait beaucoup de choses qui sont mal. Mais c'est possible de changer. Je suis désormais une personne différente, et je ne peux pas imaginer y retourner. Tout ce que je veux, c'est aider ces enfants, car ils sont le futur de cette nation. » Sur le côté du terrain, à l'ombre d'une véranda en tôle, une vingtaine de très jeunes garçons se chamaillent, ce sont des enfants des rues que Kuku tente d'aider. Parmi eux, John, 17 ans, est à la rue depuis 2017. Il a fui la violence de sa mère alcoolique : « Je veux jouer au foot et aller à l'école, et être hébergé dans un endroit agréable, où je puisse dormir, me changer, vivre normalement. » Kuku leur a déjà créé une équipe au sein de la Young Dream Football Academy, mais il tente aussi de rétablir le contact avec leurs familles.
Tu es accompagnant·e, solo-preneur·e ou entrepreneur·e, et tu te demandes comment rester juste, aligné·e et efficace sans t'épuiser ?Dans cet épisode, je reçois Jennifer Laurent, naturopathe et praticienne somatique, pour parler d'un sujet clé mais encore trop peu abordé : la régulation de ton système nerveux.On va explorer pourquoi être régulé n'est pas qu'un bien-être personnel : c'est un outil essentiel pour accompagner d'autres humains, développer ton activité et tenir ta posture dans un monde qui nous pousse à la dérégulation. Et surtout, comment nos histoires, nos croyances et la société influencent directement cette régulation.Bonne écoute,Laura
durée : 00:58:19 - LSD, la série documentaire - par : Pauline Chanu - Le spécisme n'est pas seulement un biais psychologique ou un mécanisme de déni mais un système économique, éducatif, politique, publicitaire organisé pour normaliser et légitimer l'oppression des animaux. Comment ouvrir les yeux et déserter le système ? - réalisation : Clémence Gross
Qui de mieux que des écrivain·e·s pour parler de nos barrières intérieures ? Les romans nous plongent dans des histoires de personnages qui se mettent en mouvement. Et raconter ces trajectoires, c'est exprimer qu'un chemin est possible, que quelque chose de nos vies peut être compris, dit, et transformé. D'où vient notre sentiment d'impuissance ? Est-ce que sortir de sa condition sociale, briser des schémas familiaux, c'est toujours trahir ? Comment faire pour tracer son propre chemin ? Pour répondre à ces questions, Marie Misset réunit trois auteur·ices lors d'un épisode enregistré en public, dans le cadre d'une soirée de rentrée littéraire organisée par la FNAC : Olivier Adam et Et toute la vie devant nous (Flammarion) : trois amis d'enfance liés par des secrets et des non-dits qui avancent dans la vie en n'arrêtant pas de se râter.Mathilda di Matteo et La Bonne mère (L'Iconoclaste) : Véro, une cagole flamboyante, et sa fille Clara, qui part vivre sa vie, s'élever socialement et finit par reproduire un schéma parental violent.Anthony Passeron et Jacky (Grasset) : un roman autobiographique sur la disparition brutale de son père, dont la déchéance sociale est aussi celle de la vallée de l'arrière-pays niçois dans laquelle ils ont vécuAvec en fin d'épisode, une captation live du titre Encore de la chanteuse Camille Yembe.Émotions est un podcast de Louie Media. Marie Misset a écrit cet épisode. La prise de son, la réalisation sonore et le mix sont de Franck Haderer. Le générique est réalisé par Clémence Reliat, à partir d'un extrait d'En Sommeil de Jaune. Elsa Berthault est en charge de la production. Si vous ne savez pas quoi écouter ensuite, on vous suggère l'épisode "Les décisions radicales sont-elles les meilleures ?"Pour nous raconter votre histoire dans Émotions, écrivez-nous en remplissant ce formulaire ou à l'adresse hello@louiemedia.comPour avoir des news de Louie, des recos podcasts et culturelles, abonnez-vous à notre newsletter en cliquant ici. Vous souhaitez soutenir la création et la diffusion des projets de Louie Media ? Vous pouvez le faire via le Club Louie. Vous pouvez aussi vous abonner à Louie+ sur Apple Podcasts pour écouter les épisodes sans publicités et nos séries en avant-première. Chaque participation est précieuse. Nous vous proposons un soutien sans engagement, annulable à tout moment, soit en une seule fois, soit de manière régulière. Au nom de toute l'équipe de Louie : MERCI ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Bienvenue sur Sensées, le format audio de ma newsletter hebdomadaire. Chaque semaine, je vous partage avec authenticité des conseils de leadership féminin, des expériences vécues et toute l'énergie nécessaire pour réussir avec confiance et sérénité.Cette semaine : Femmes au travail – sortir du malaise des environnements masculins.Évoluer dans un environnement professionnel dominé par les hommes reste un défi invisible pour de nombreuses femmes. Même compétentes, expérimentées et légitimes, elles ressentent souvent un décalage : devoir se justifier, prouver sans cesse leur valeur, lisser leurs émotions, ou encore s'adapter aux codes masculins en entreprise.Dans cet épisode, je décrypte les mécanismes d'autocensure et de sur-adaptation qui usent les femmes leaders et cadres dans ces environnements : sur-préparation, peur d'être jugée, minimisation de sa vision… et leurs impacts sur la confiance en soi, l'énergie et le style de leadership.Vous découvrirez pourquoi ce malaise ne vient pas d'un manque de confiance personnelle, mais bien d'un système pensé pour d'autres. Et surtout, comment changer de posture, retrouver votre alignement et affirmer un leadership féminin authentique sans vous épuiser.Un épisode à écouter si vous êtes la seule femme autour de la table, si vous évoluez dans un univers traditionnellement masculin ou si vous avez parfois l'impression de devoir toujours prouver votre place.****Rejoignez la newsletter Sensées : elle vous donne accès à un concentré de coaching, d'inspiration et à un workshop offert chaque mois. Inscrivez-vous gratuitement en cliquant ici.***Sensées, c'est aussi un programme de coaching pour les femmes dirigeantes, top managers et entrepreneures. Au sein du programme Sensées, vous êtes accompagnée en petit groupe ET en individuel dans votre croissance professionnelle. Vous êtes aussi formée et mentorée pour incarner pleinement votre leadership, avec les maîtres mots sérénité, plaisir, hauteur et impact. Intéressée ? Cliquez ici pour en savoir plus.**Notre guide "10 leviers essentiels pour les décideuses" est un véritable concentré d'outils de coaching et de mentoring, les mêmes que nous utilisons dans le programme Sensées. Il est conçu pour toutes les directrices, dirigeantes et entrepreneures qui sont fatiguées de porter seules les responsabilités. Si vous avez l'impression que votre quotidien vous échappe petit à petit, ce guide est fait pour vous. Cliquez ici pour obtenir votre exemplaire offert !*Vous représentez une entreprise et souhaitez développer le leadership de vos talents féminins ? : cliquez ici.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invité : - Julien Rancoule, député RN de l'Aude Chroniqueur : - François Cocq, analyste politique Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Avez-vous parfois l'impression de toujours devoir dire oui, de vous adapter, de vouloir à tout prix éviter les conflits ou de chercher l'approbation des autres ? Cet épisode est pour vous ! Aujourd'hui, on parle du people pleasing, cette tendance à vouloir plaire à tout le monde — souvent au détriment de soi-même. Je vous explique d'où vient ce mécanisme, quels sont ses signes concrets, et surtout comment s'en libérer pour retrouver votre authenticité et votre énergie.Je partage aussi ma propre expérience de people pleaser, les leçons que j'ai tirées de ce long apprentissage, et des outils concrets pour poser vos limites, dire non sans culpabilité et créer enfin de l'espace pour vous !
Hugues souffre de bipolarité et d'addiction à l'alcool. Il vient de terminer une cure et continue ses soins en hôpital de jour, tout en faisant face à un sentiment de solitude. Malgré ses défis, il maintient de bonnes relations avec ses enfants, qui connaissent également des problèmes de santé mentale. Chaque soir, en direct, Caroline Dublanche accueille les auditeurs pour 2h30 d'échanges et de confidences. Pour participer, contactez l'émission au 09 69 39 10 11 (prix d'un appel local) ou sur parlonsnous@rtl.fr.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Vous avez raté l'épisode d'hier ? Vous n'avez pas le temps d'écouter la version intégrale ? Pas d'inquiétude, Happy Work LE RÉSUMÉ est là !!!En moins de 2 minutes, l'épisode d'hier est résumé !!!!DÉCOUVREZ HAPPY MOI : lnk.to/sT70cYSi vous êtes sur Apple Podcast... n'oubliez surtout pas de mettre une étoile à Happy Work management carrièreSoutenez ce podcast http://supporter.acast.com/happy-work. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée en public à l'École alsacienne le 5 octobre 2025.Avec cette semaine :Jean-Louis Bourlanges, essayiste, ancien président de la Commission des Affaires étrangères de l'Assemblée nationale.David Djaïz, entrepreneur et essayiste.Antoine Foucher, consultant, spécialiste des questions sociales, auteur de Sortir du travail qui ne paie plus.Lucile Schmid, présidente de La Fabrique écologique et membre du comité de rédaction de la revue Esprit.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:36:45 - Le 18/20 · Le téléphone sonne - Alors que la France s'enlise dans une crise politique sans précédent, la question centrale demeure : comment renouer avec la stabilité et redonner confiance aux citoyens dans leurs institutions ? Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
À l'Antichambre, Luc Bellemare est en compagnie de Gilbert Delorme et Guy Carbonneau pour parler du début de saison des Canadiens qui approche.
durée : 00:54:11 - Les informés de franceinfo - Tous les jours, les informés débattent de l'actualité autour de Victor Matet Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Claudine se sent seule depuis le décès de son mari et exprime des difficultés à sortir de chez elle pour rencontrer du monde. Elle évoque un manque de soutien de la part de ses enfants et hésite à rejoindre des activités communautaires. Claudine envisage la possibilité de rejoindre une résidence senior pour rompre son isolement. Chaque soir, en direct, Caroline Dublanche accueille les auditeurs pour 2h30 d'échanges et de confidences. Pour participer, contactez l'émission au 09 69 39 10 11 (prix d'un appel local) ou sur parlonsnous@rtl.frHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Louis de Raguenel, chef du service politique Europe 1 - Rachel Khan, essayiste - Gauthier le Bret, journaliste - Alexandre Devecchio, journaliste - Julien Dray, ancien député - Othman Nasrou, secrétaire général des Républicains - Henri Guaino, ancien conseiller de Nicolas Sarkozy Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Le Haut conseil, un organisme indépendant placé auprès de la Cour des comptes, disposera ensuite de sept jours pour rendre son avis, destiné à être rendu public lors de la présentation formelle du budget par le gouvernement. Le texte devrait être déposé à l'Assemblée nationale au plus tard le 13 octobre, de façon que le Parlement dispose des 70 jours prévus par la Constitution pour en débattre.Le même jour, à la veille des rencontres organisées à Matignon avec le Parti socialiste et le Rassemblement national, l'entourage de Sébastien Lecornu a laissé fuiter quatre pistes de soutien au pouvoir d'achat en précisant toutefois que « rien n'est arbitré ». Il s'agirait de favoriser davantage les heures supplémentaires par une défiscalisation et un allègement des charges sociales ;d'alléger l'impôt sur le revenu des couples modestes : en améliorant le mécanisme de « décote », afin de l'aligner sur l'avantage accordé aux célibataires touchant des montants équivalents. De défiscaliser à nouveau les «primes Macron » les primes des salariés gagnant moins de trois fois le SMIC en 2026. D'encourager les dons familiaux en direction des jeunes générations.Selon le journal Les Échos, le projet de budget inclurait une « année blanche » comprenant le gel du barème de l'impôt sur le revenu et de toutes les pensions de retraite, ainsi que le relèvement du taux du « prélèvement forfaitaire unique » sur les revenus du capital. L'augmentation de la flat tax jusqu'à 36%, rapporterait 1,5 milliard d'euros. Le texte devrait comporter une mesure anti-optimisation centrée sur les holdings, certains contribuables très aisés y stockant de l'argent afin d'échapper à l'impôt. Des mesures seraient également en préparation pour lutter contre l'optimisation des Pactes Dutreil, cet outil fiscal conçu pour réduire la fiscalité des transmissions et donations des entreprises afin de préserver l'outil productif. Quant à la surtaxe d'impôt sur les sociétés, elle serait reconduite d'un an, mais son taux serait divisé par deux par rapport à celui appliqué en 2025. Son rendement attendrait ainsi de l'ordre de 4 milliards d'euros.Vendredi, le Premier ministre s'est engagé à ne pas utiliser l'article 49 alinéa 3 de la Constitution pour faire adopter son budget. L'idée n'est pas nouvelle : entre 1997 et 2002, le premier ministre Lionel Jospin, à la tête d'une « majorité plurielle », avait renoncé à son usage. Si les débats budgétaires s'enlisaient à l'Assemblée, faute de majorité, la méthode Lecornu pourrait dès lors aboutir à l'élaboration d'une loi spéciale ou par le passage du budget par voie d'ordonnances, une première sous la Ve République.SÉCURITÉ EUROPÉENNE FACE AUX MENACES RUSSES APRÈS COPENHAGUEL'Europe est soumise, ces derniers jours, à une série de défis : la Russie teste la capacité de plusieurs pays du nord de l'Europe à faire face à des envois de drones sur leurs aéroports. Elle viole régulièrement l'espace aérien de certains membres de l'Otan afin de mesurer leurs capacités de défense antiaérienne. Oslo, Copenhague, Munich ont été victimes des mêmes survols de drones non identifiés, contraignant les autorités danoises, norvégiennes et allemandes à fermer provisoirement leur espace aérien au-dessus de certains aéroports. Contrairement aux Ukrainiens, les Européens n'ont guère d'expérience dans le domaine de la lutte contre les drones.Dans ce contexte, lundi, Ursula von der Leyen, la présidente de la Commission, a dévoilé, une première cartographie de la « préparation 2030 », date à laquelle l'Europe doit être prête à se défendre par elle-même en cas d'agression russe. Les analyses des services de renseignement européens convergent : dans les trois à cinq prochaines années, la Russie pourrait être en mesure d'attaquer un pays de l'Union européenne ou de l'Otan si une paix en Ukraine lui permettait de se réarmer, et si l'Europe ne pouvait pas compter sur le soutien américain. Les États membres ont identifié neuf domaines capacitaires prioritaires dans lesquels l'Europe doit combler ses lacunes d'ici à 2030 : défense aérienne et antimissile, systèmes d'artillerie, missiles et munitions, cyber et guerre électronique, drones et anti-drones, combat terrestre, capacités maritimes, mobilité militaire et « capacités stratégiques habilitantes ».En vue de renforcer la défense du continent face à la menace russe, les dirigeants des 27 pays de l'Union européenne se sont retrouvés mercredi à Copenhague. Les discussions ont porté principalement sur trois axes : le développement capacitaire conjoint, les « projets phares » - comme le mur de drones ou la surveillance du flanc oriental - et la montée en puissance de l'industrie de défense européenne. Afin d'accélérer la montée en puissance militaire du continent, l'Union européenne a adopté en juin dernier le Security Action For Europe (SAFE), un instrument financier de prêts de 150 milliards d'euros. Environ 100 milliards sont alloués au flanc oriental de l'Europe : 43,7 milliards pour la Pologne, 16,7 milliards pour la Roumanie, 16,2 milliards pour la Hongrie. Cette concentration géographique reflète une réalité diverse. Chaque pays défend actuellement sa portion de frontière d'une manière légèrement différente, à l'aide de systèmes qui vont du plus sophistiqué au moins élaboré. Cette réunion sans conclusion écrite a permis de décanter des sujets qui seront finalisés les 23 et 24 octobre prochains lors du Conseil européen à Bruxelles. Objectif : combler les lacunes et favoriser des acquisitions conjointes pour lutter contre « la fragmentation de nos efforts à travers des initiatives nationales non coordonnées ».Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:03:01 - Net Plus Ultra - par : Julien Baldacchino - ChatGPT, qui permet déjà d'accompagner nos achats en ligne, permet désormais de le faire sans quitter son environnement. Une nouvelle preuve qu'OpenAI tente d'imposer son robot conversationnel comme une interface indispensable à notre vie quotidienne. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Écrivain et thérapeute, Juliet Drouar est aussi un de mes amis très proche, ce qui rend cet épisode assez spécial.Je suis très fière et très heureuse de le recevoir dans Folie Douce pour sa toute première interview sur un livre qui fera date j'en suis sûre.Déjà auteur de Sortir de l'hétérosexualité, La Culture de l'inceste (avec Iris Brey) et Cuicui, il fera paraître le 8 octobre prochain Trauma - En finir avec nos violences (ed.Stock), essai dans lequel il évoque les liens entre traumas et violences systémiques. Spécialiste des questions de dominations, Juliet Drouar évoque les doutes qui l'assaillent régulièrement, la “psychoéducation des émotions” dont il parle dans son livre, et le lien « d'amour », terme qu'il assume, qui le lie à ses patient·es.Ses livres, complémentaires, se suivent en parlant de sujets liés : le genre, l'enfance , le traumatisme et les violences sociales. Il évoque également une approche thérapeutique révélant le soi majoritaire, entre empathie, calme, curiosité et créativité, et le lien secure avec l'autre, la meilleure des thérapies.Photo : Dorian Prost
"Aujourd'hui, c'est vraiment l'année de la souveraineté&hellip grâ ou à cause de Trump." Le D.E.V. de la semaine est Damien Lecan, expert en numérique responsable. Au c&oeligur des échanges, la souveraineté numérique et la dépendance aux poids lourds du cloud. Damien évoque alors les enjeux du RGPD et recommande de réévaluer l'utilisation des outils dominants. Il mentionne également des alternatives européennes telles qu'OVH et Scaleway, tout en soulignant les défis de l'intégration et du service lors de la migration. En conclusion, une réflexion approfondie s'impose pour une transition réussie vers plus de souveraineté numérique.Chapitrages00:00:58 : Introduction à la souveraineté numérique00:03:16 : Changement de perspective sur les outils bureautiques00:05:23 : La pression législative et le marché européen00:07:14 : Enjeux de souveraineté et migrations technologiques00:08:13 : Supériorité technologique des cloud providers00:10:00 : Les défis de la diversité technologique00:11:54 : Risques et enjeux des technologies dominantes00:16:16 : L'impact de l'IA sur la souveraineté00:16:29 : Alternatives européennes aux géants du cloud00:22:12 : Les défis de l'open source aujourd'hui00:25:26 : Hébergement souverain comme avantage compétitif00:28:10 : Complexités de l'internationalisation des services00:30:13 : Modèles technologiques et adaptations locales00:33:07 : La montée en puissance de la technologie chinoise00:38:32 : Stratégies de migration vers des solutions souveraines00:43:19 : Priorités dans la migration des services00:46:24 : Recommandations de contenu et conclusions00:48:12 : Clôture et réflexions finales Liens évoqués pendant l'émission Clef de voûte | Ausha Double Slash **Restez compliant !** Cet épisode est soutenu par Vanta, la plateforme de Trust Management qui aide les entreprises à automatiser leur sécurité et leur conformité. Avec Vanta, se mettre en conformité avec des standards comme SOC 2, ISO 27001 ou HIPAA devient plus rapide, plus simple, et surtout durable. Plus de 10 000 entreprises dans le monde utilisent déjà Vanta pour transformer leurs obligations de sécurité en véritable moteur de croissance.
durée : 00:25:10 - Vanessa Wagner, pianiste (2/5) - par : Laurent Vilarem - Vanessa Wagner, pianiste précoce, connaît un parcours brillant mais difficile au Conservatoire de Paris, avant de retrouver confiance et plaisir grâce à Jean-François Heisser, tout en rêvant d'une adolescence plus normale. - réalisé par : Pierre Willer Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 01:08:03 - Le PSG peut-il s'en sortir face au FC Barcelone avec autant d'absents ? 100% PSG, la tribune - Ep.9 - Malgré une infirmerie bien remplit, le PSG a repris la tête du championnat de Ligue 1 grâce à sa victoire devant l'AJ.Auxerre (2-0). Reste à savoir si cet effectif réduit va pouvoir tenir le coup face au FC Barcelone mercredi en Ligue des champions. On en parle dans le podcast 100% PSG, la tribune. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:17:13 - 8h30 franceinfo - Mathieu Lefèvre, député Ensemble pour la République du Val-de-Marne, était l'invité du "8h30 franceinfo", samedi 27 septembre 2025 Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Ça y est, “Enfin Seule” est entre vos mains, ou du moins dans les rayons des libraires (vive les libraires) où vous allez pouvoir mettre la main dessus. Commander mon livre !Je suis un peu débordée cette semaine car, pour faire simple, il y a AUSSI eu la rentrée en L3 de de Psychologie à Paris 8 et les futurs épisodes de Folie Douce à préparer en anticipation de la tournée ! Sans parler de la charge parentale et des dingueries du macronisme. MAIS comme je vous aime j'ai pris le temps de vous enregistrer une petite note vocale, ce matin, dans mon parc parisien préféré, je sais que vous kiffez. Je vous y parle notamment du grand lancement d'Enfin Seule, mercredi soir, à la Librairie Ici sur les Grands boulevards. C'était bouleversant.Si vous êtes venue ce soir-là : merci encore ! Les abonné·es Substack étaient nombreusesx et ça m'a beaucoup touchée. Sinon : pas de panique, je vais faire une graaaande tournée à travers la France, mais aussi la Belgique et la Suisse, pour parler avec vous d'enfinsolitude. Merci d'être là, merci de me soutenir. Je rappelle que si vous aimez mon travail, si vous voulez m'aider à continuer d'être une autrice féministe neuroatypique heureuse, vous pouvez vous abonner à ma newsletter sur Sustack (juste ici). Ou sinon achetez mon livre - dans une librairie indépendante, évidams. Ou sinon manifestez contre un pouvoir exécutif qui fait reposer les sacrifices économiques sur les épaules des personnes les plus précaires alors que les ultra-riches s'ultra-enrichissent. (Vous pouvez faire les trois). Si vous m'avez lue : écrivez-moi racontez-moi ! Je suis tellement impatiente de savoir ce que vous avez ressenti à sa lecture et comment vous trouvez, vous, votre enfinsolitude. Prenez soin de vous et prenez votre temps,Lauren
Et si les réseaux sociaux cessaient d'exploiter notre attention pour favoriser des échanges authentiques et respectueux ? C'est le pari audacieux de Republike, une nouvelle plateforme imaginée par Étienne de Sainte Marie, entrepreneur et philosophe de formation, lancé ce 23 septembre 2025. Republike entend proposer une alternative radicale à l'économie de l'attention. Fini les contenus polarisants mis en avant pour maximiser les clics : la plateforme récompense au contraire les comportements vertueux, basés sur le respect et la contribution. Les utilisateurs gagnent en visibilité (et bientôt en rémunération) selon un score de réputation mis à jour en temps réel, influencé par la modération participative et le ton des échanges.
Avec Pascale Vidal Thème: Parler pour sortir de la peur et retrouver confiance dans la vie
Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 19 septembre 2025.Avec cette semaine :Jean-Louis Bourlanges, essayiste, ancien président de la Commission des Affaires étrangères de l'Assemblée nationale.Antoine Foucher, consultant, spécialiste des questions sociales, auteur de Sortir du travail qui ne paie plus.Michaela Wiegel, correspondante à Paris de la Frankfurter Allgemeine Zeitung.Lionel Zinsou, ancien Premier ministre du Bénin et président de la fondation Terra Nova.LECORNU ET LA QUADRATURE DU CERCLEArrivé à Matignon le 10 septembre, le nouveau Premier ministre Sébastien Lecornu a promis une inflexion sur la forme et sur le fond. Cinquième premier ministre de ce quinquennat, dépourvu de majorité absolue à l'Assemblée nationale, il va devoir affronter sans tarder les mêmes murs budgétaires et parlementaires que ses prédécesseurs. Il se trouve confronté à la délicate équation de trouver un compromis avec la gauche sans déplaire à la droite. La composition de la nouvelle équipe gouvernementale ne sera pas connue avant plusieurs semaines, puisque le chef de l'Etat a enjoint son Premier ministre de mener des discussions préalables avec les différentes formations politiques avant de bâtir son gouvernement.L'idée du Premier ministre de chercher un accord, sur le budget, mais également « sur deux ou trois textes forts », convient aux dirigeants de la droite. Le ministre de l'Intérieur, Bruno Retailleau a fait, en gage de bonne volonté, deux concessions : renoncer à l'« année blanche » – le gel des dépenses publiques – et à l'aide sociale unique, mais il ne transigera pas sur le « durcissement sur l'immigration » ou « l'assistanat ». Au-delà du « socle commun », Sébastien Lecornu devra obtenir au minimum une non-censure du Parti socialiste pour faire adopter le budget 2026. Le parti socialiste a défendu le 15 septembre à Matignon une position comprenant la suspension de la réforme des retraites, l'instauration de la taxe Zucman sur les grandes fortunes et la baisse du quantum d'économies à réaliser d'ici à 2029. À l'Élysée, on assure n'avoir fixé aucune ligne rouge au Normand. Pour ne fâcher personne, il a d'ores et déjà été acté qu'il ne procèdera à aucun débauchage au sein du Parti socialiste pour composer son gouvernement. À l'occasion de son interview le 13 septembre dans la presse régionale, pour amadouer les socialistes, Sébastien Lecornu s'est dit « prêt » à l'abandon de la suppression des deux jours fériés, à augmenter la fiscalité des plus riches, mais sans toucher à leur « patrimoine professionnel ». Quant à un aménagement de la réforme des retraites, il reste évasif, mais rejette un retour du « conclave ». Il ne renie pas la totalité de la copie budgétaire de M. Bayrou sur laquelle il devrait, en partie, se fonder. Mais il lui faudra peut-être aussi faire un geste sur le pouvoir d'achat et un autre sur les retraites, sans perdre le soutien des Républicains ou braquer le patronat, ni oublier la réduction du déficit ...Les Français n'accordent que 16% d'opinion favorables à Sébastien Lecornu, contre 40% d'opinions défavorables, selon le baromètre mensuel Ipsos/BVA publié par « La Tribune Dimanche » mais surtout ils le connaissent peu (argument avancé par 44% des personnes interrogées pour ne pas se prononcer). Le Premier ministre connaîtra bientôt sa première épreuve du feu parlementaire, puisque La France Insoumise a d'ores et déjà annoncé le dépôt d'une motion de censure « dès le premier jour » de la session ordinaire, le 1er octobre.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Abel Boyi, éducateur et président de l'association "Tous Uniques Tous Unis", Charles Consigny, avocat, et Flora Ghebali, entrepreneure dans la transition écologique, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Tous les jours à 7H10 et 9H50 , on vous donne les bonnes nouvelles du jour.
Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée en public à l'École alsacienne le 7 septembre 2025.Avec cette semaine :Jean-Louis Bourlanges, essayiste, ancien président de la Commission des Affaires étrangères de l'Assemblée nationale.David Djaïz, entrepreneur et essayiste.Antoine Foucher, consultant, spécialiste des questions sociales, auteur de Sortir du travail qui ne paie plus.Lucile Schmid, présidente de La Fabrique écologique et membre du comité de rédaction de la revue Esprit.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.